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Salaires Pro B 2022-23 – Aix Maurienne: Gavin Kensmil et David Nichols seuls à surnager
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Tout petit poucet financier de la Pro B, Aix Maurienne a l’habitude de faire des miracles pour se maintenir. Malgré la trouvaille Gavin Kensmil, la saison 2022-23 ne déroge pas à la règle et le club savoyard est en grand danger de relégation.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nAix Maurienne – saison 2022-2023\nBudget : 1 718 000 euros (16e, +14 %)\nMasse salariale (brut) : 584 000 euros (17e, +5 %)\nClassement après 19 journées : 18e (5-14)\n\nÀ l’intersaison, Aix Maurienne a su augmenter ses moyens dans de légères proportions, avec un budget en hausse d’environ 200 000 euros et une masse salariale de 30 000 euros. Ce qui n’empêche le club savoyard de disposer de ressources parmi les plus modestes du championnat. Et, comme chaque année, de lutter pour éviter la relégation. Une tâche qui s’annonce difficile, au vu des résultats actuels, l’ASMB étant à une victoire du premier non-relégable et cinq équipes luttant pour éviter les deux dernières places.\n\n\n\n\nPersonne à plus de 50 000 euros\n\nBien évidemment, petits moyens égale petits salaires et obligation de se livrer à des paris. Juan José Garcia, convaincant la saison dernière, a été prolongé avec une petite augmentation (de 45 000 à 50 000 euros). Mais cela ne le situe qu’aux alentours de la 60e place des meilleurs émoluments de la division. S’il était arrivé dès le début de saison, Alex Abreu dépasserait légèrement cette barre tout en restant à un tarif modeste.\n\nPour le reste, Aix Maurienne n’a fait de folie ni pour ses étrangers ni pour ses JFL, deux d’entre-eux seulement dépassant les 30 000 euros. Quant au coach Emmanuel Schmitt, il fait lui aussi partie des entraîneurs les moins bien payés de la division.\n\n\nGavin Kensmil très rentable, pas Corentin Carne\n\nL’AMSB a réalisé deux bonnes pioches : le meneur David Nichols (13,0 d’évaluation) et, encore plus, le pivot Gavin Kensmil (18,8 d’évaluation), 8e marqueur, 6e rebondeur et 4e évaluation de la division, tout cela avec quelque chose comme le 110e salaire du championnat !\n\nEn revanche, ça coince du côté de David Ramseyer, moins performant que la saison passée (6,4 d’évaluation contre 10,1) et plus encore de Corentin Carne (3,0 contre 8,8). La bonne surprise du côté JFL vient de Lucas Hergott qui, pour un salaire en diminution (- 7 000 euros), a monté sa contribution de 4,1 avec Blois à 10,1.\n\nTout cela peut tout de même faire craindre de grandes difficultés pour l’AMSB à se maintenir en Pro B. À moins qu’Alex Abreu (8,2 d’évaluation) et les JFL de l’équipe ne se hissent au niveau des trois autres étrangers du club.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Juan Jose GarciaDOM45 000 €202450 000 €David NicholsUSA-202345 000 €David RamseyerFRA/SUI45 000 €202445 000 €Alex AbreuUSA/POR-8 mois42 000 €Gavin KensmilSUR-202338 000 €Corentin CarneFRA30 000 €202335 000 €Lucas HergottFRA35 000 €202328 000 €Calvin HippolyteFRA28 000 €202328 000 €Georgi JosephFRA41 000 € (7 mois)5 mois22 000 €Samuel Eyango DingoFRA20 000 €2023 (prêt)22 000 €Corentin FalcozFRA-202416 500 €Nisre ZouzouaUSA/CIV33 500 €(4 mois)10 000 €Emmanuel Schmitt (coach)FRA48 000 €202450 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Gavin Kensmil et David Nichols (Laurent Peigue, montage Basket Europe)
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ASVEL-Bologne : La Virtus gâche la fête à Nando De Colo
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Privée de Milos Teodosic, Iffe Lundberg et Semi Ojeleje, et sans être enthousiasmante, la Virtus Bologne a maîtrisé l’ASVEL (77-54), qui a concédé sa 15e défaite et dont le jeu offensif est apparu très pauvre. Tristounet pour Nando De Colo qui a établi pour sa part un nouveau record en Euroleague.\n\nNando De Colo a eu droit à une ovation de l’Astroballe -y compris de son président Tony Parker- lorsqu’il a rejoint le banc après avoir doublé le Grec Nick Galis comme meilleur marqueur de l’Histoire des Coupes d’Europe. Avec 7 points en 5 minutes, le Nordiste avait eu le temps également de remettre l’ASVEL sur les bons rails avec un 8-0 après un départ poussif (2-9). Mais avec 9 ballons perdues, les Villeurbannais ne pouvaient que constater que la Virtus étaient assez nettement en tête à l’issue du premier quart-temps (14-21).\n\n\n🫣 Le sniper MarcoBelinelli prend feu du côté de la @VirtusSegafredo !\n\n💎 #PurBasketball #SKWEEKlive @EuroLeague pic.twitter.com/MjfwBCd5nQ\n\n— SKWEEK (@skweektv) February 3, 2023\n\n\nIntenses et vifs, les Italiens creusaient un écart (17-29, 13e) avec des paniers extérieurs de Marco Belinelli et Niccolo Mannion. Belinelli, qui était récemment amer d’être peu sollicité en Euroleague par le coach Sergio Scariolo, et qui étaient comme un poisson dans l’eau dans la défense française, scorant 15 points à 6/10 aux shoots sur ses 13 premières minutes de jeu. Longtemps à la remorque de son adversaire à une dizaine de points, l’ASVEL pouvait heureusement compter sur son architecte Nando De Colo pour construire des actions capables de la ramener à 37-39 à la mi-temps.\n\n\n💥 CharlesKahudi dans son jardin après une superbe passe de NandoDeColo !\n\n💎 #PurBasketball #SKWEEKlive @EuroLeague pic.twitter.com/FN3XzgI9Yc\n\n— SKWEEK (@skweektv) February 3, 2023\n\n\nSi l’ASVEL parvint à une égalité à 39, c’était sur un panier de l’inévitable De Colo. Lequel De Colo perdait un temps son souffle suite à un choc avec Mam Jaiteh. Les Villeurbannais laissaient les Italiens prendre un peu d’avance pour réaliser ensuite des rapprochés comme à 44-44. Pourtant, sans être irrésistibles et avec une adresse douteuse à trois-points (6/21), les Bolognais avaient tout de même 7 points d’avance (47-55) alors qu’il ne restait plus que 10 minutes au chrono.\n\nLe pire était à venir. Toujours aussi pauvres offensivement, les Villeurbannais laissaient s’échapper d’un coup les Italiens. 48-63. La bande à TJ Parker n’avait ni la vigueur ni la rigueur pour contrarier les plans de la Virtus. Seule contrariété pour Bologne, Isaïa Cordinier se faisait mal dans les dernières secondes du match.\n\nSi l’ASVEL avait encore des illusions de top 8, cette fois elles semblent s’être définitivement envolées.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Nando De Colo (ASVEL, Infinity Nine Media)
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Euroleague : Monaco manque de peu l’exploit contre le RealMadrid
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Vendredi soir, Monaco a failli s’offrir le Real Madrid pour la deuxième fois de la saison. Mais à Gaston-Médecin, les coéquipiers de Mario Hezonja (30 points, 6 rebonds, 6 passes) ont été plus solides dans le moneytime (91-95). Les Espagnols restent leaders et la Roca Team sort provisoirement du top 4.\n\nQuel duel ! Il y avait de l’électricité dans l’air ce vendredi soir à Gaston-Médecin. En tribunes, les supporters monégasques vêtus de rouge et blanc étaient plus bruyants qu’à leur habitude. Et sur le terrain, il y avait clairement un air de revanche vis-à-vis du match aller, conclu sur une victoire renversante et spectaculaire de la Roca Team au Wizink Center en décembre dernier. Cette tension s’est clairement ressentie pendant 40 minutes.\n\nLes deux équipes se sont d’abord livré une belle bataille durant les 20 premières minutes. D’un côté, le duo Mike James – Elie Okobo, auteur de 25 points, a porté Monaco et de l’autre... Mario Hezonja a pris feu pour le Real. À 20 points à 8/11 aux tirs et 22 d’évaluation à la pause, le Croate avait déjà battu déjà son précédant record de la saison (18 unités contre la Virtus Bologne). Cela dit, même largement dominée aux rebonds (19 à 11), la Roca Team ne s’est jamais laissée distancer et n’accusait un retard « que » de 4 unités à mi-parcours (46-50).\n\n\n.@mariohezonja showing his RANGE 🎯#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/GC2hnjsmZM\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 3, 2023\n\n\n\nLes pivots du Real au placard mais...\n\nL’énergie n’a pas faibli en deuxième mi-temps. Surtout pour l’équipe de Sasa Obradovic, qui a passé un splendide 12-1 au retour des vestiaires, dans le sillage de son maestro Mike James (58-51, 25e). Le tout en faisant commettre aux deux pivots adverses, Walter Tavares et Vincent Poirier, leur quatrième et leur cinquième faute avec encore 14 minutes à jouer ! De quoi inverser le cours du match, même si le Real avait de la ressource avec notamment l’adresse extérieure du trio Llull – Deck – Musa en fin de troisième acte (71-70).\n\n\n🤯 MIKE JAMES encore !\n\n15 points pour le meneur de l'@ASMonaco_Basket. 🔥\n\n💎 #PurBasketball #SKWEEKlive @EuroLeague pic.twitter.com/Cwq5EKcXsb\n\n— SKWEEK (@skweektv) February 3, 2023\n\n\nA l’image cet incroyable duel, le quatrième quart a ressemblé à un long moneytime. Chacune des deux équipes a eu des munitions pour prendre deux possessions d’avance sans y parvenir... jusqu’à ce que Guerschon Yabusele (9 points, 5 rebonds, 4 passes) ne sorte les griffes et qu’Adam Hanga n’envoie deux brindilles à 3-points... lui qui était à 1/11 derrière l’arc depuis de le début de la saison (82-87, 37e). Comme un symbole, c’est le héros du match Mario Hezonja, 28 points – record en carrière – et 6 passes décisives, qui a porté le coup de grâce avec deux minutes à jouer (85-90).\n\n\n🙁 La perte de balle monégasque...\n\nAllez, il faut un stop défensif derrière ! 💪🏼\n\n💎 #PurBasketball #SKWEEKlive @EuroLeague pic.twitter.com/RzrUtPF6QZ\n\n— SKWEEK (@skweektv) February 3, 2023\n\n\nLa Roca Team ne s’est jamais avouée vaincue. À 37 secondes du buzzer (88-91), elle a eu le ballon de l’égalisation. Parfaitement servi par Elie Okobo, Mike James avait un shoot totalement ouvert à 3-points mais ce dernier a tenté une extra-passe inhabituelle qui a surpris Jaron Blossomgame. Une perte de balle scellant la fin de la partie, conclue sur la ligne (91-95). Dommage !\n\n\nMonaco sort du top 4\n\nD’autant plus dommage que Mike James avait livré une prestation de cador avec ses 23 points à 9/18 aux tirs et 7 passes décisives. Et que cette courte défaite fait sortir la Roca Team du top 4 tandis que le Real Madrid, leader désormais à 16-8, peut dormir sur ses deux oreilles. Il reste encore 11 journées à Monaco pour retrouver ce quatuor de tête et disposer de l’avantage du terrain en playoffs, à commencer par la réception de l’ASVEL vendredi prochain.\n\nBoxscore Monaco – Real Madrid / Classement Euroleague / Calendrier Euroleague\n\nPhoto : Mike James (Euroleague)
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Nando De Colo devient le meilleur marqueur de l’histoire des coupes d’Europe !
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Ce vendredi 3 février 2023, Nando De Colo est entré un peu plus dans la légende du basket européen. Contre la Virtus Bologne, le Villeurbannais est devenu le meilleur marqueur de l’histoire des coupes d’Europe en dépassant le légendaire Nick Galis (4 904 points).\n\nC’est dès la 6e minute, sur deux lancers-francs – tout un symbole – que Nando De Colo a inscrit ses 3e et 4e points du match pour doubler le Grec Nick Galis.\n\n\nHISTORIQUE ! 🤯\n\n🏅 @NandoDeColo devient officiellement le meilleurmarqueur de l'histoire des Coupes d'Europe !\n\nBravoNando,GrandeNando! 🙌🏼\n\n💎 #PurBasketball #SKWEEKlive @EuroLeague pic.twitter.com/xPm5oMhZGw\n\n— SKWEEK (@skweektv) February 3, 2023\n\n\nDéveloppement à venir.\n\nPhoto : Nando De Colo (Infinity Nine Media)
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Décès de l’ancien meneur de Tours, Wilbur Holland
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Il fut l’un des joueurs marquants du championnat de France de son époque. L’ancien meneur américain de l’ASPO Tours, Wilbur Holland est décédé à l’âge de 70 ans.\n\nAvant de venir en Europe, « Phelps » avait joué quatre saisons en NBA dont trois en tant que starter aux Chicago Bulls. Ses stats furent solides : 13,6 points par match, à 45,2% dans les tirs du champ et 79,9% sur la ligne des lancers-francs, 3,3 passes et 3,1 rebonds.\n\nWilbur Holland a ensuite disputé une saison à Scavolini Pesaro en Italie et deux à Tours, de 1981 à 1983 (7e meilleur marqueur de 1ère division la 2e année avec 22,7 points). Il s’était ensuite retiré dans son Etats d’origine, la Géorgie, en 1984.
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Euroleague : Pas de Rudy Fernandez face à Monaco
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Le Real Madrid doit se passer de Rudy Fernandez (1,96 m, 37 ans) ce vendredi soir face à l’AS Monaco. Le doyen sera également absent lors de la Copa del Rey.\n\n« Nous allons affronter l’un des adversaires coriaces de la compétition. C’est peut-être la révélation de l’Euroleague mais si on regarde l’effectif on se rend compte qu’il a des joueurs de très grande qualité. Il faut bien comprendre le rythme du jeu qui doit se jouer là-bas. Perdre peu de ballons, car c’est une équipe qui punit beaucoup vos balles perdues, et pouvoir très bien fermer le rebond offensif car ils profitent des rebonds en attaque, » a analysé le coach madrilène Chus Mateo.\n\nAlberto Abalde et Rudy Fernández sont forfait. Rudy s’est blessé au adducteurs mercredi face au Panathinaikos et sera absent pendant un an. Vincent Poirier, de son côté, n’a pas disputé le match face à l’équipe grecque, mais Chus Mateo a assuré en conférence de presse que c’était avant tout une mesure de précaution.\n\n« Monaco est très haut dans le tableau, à une victoire de nous et y gagner aurait une valeur double puisqu’il s’agirait de faire un petit pas en avant dans le tableau, » a commenté Fabien Causeur. « On sait que c’est un adversaire très coriace sur son terrain, une équipe très athlétique avec beaucoup de capacité de scorer et je m’attends à un match difficile, très serré dès le départ. Ils vont entrer sur le terrain avec beaucoup d’énergie et nous jouons sur un terrain spécial, différent de ce à quoi nous sommes habitués, où il est difficile de gagner. Toutes les équipes qui y ont joué cette année ont souffert et donc pour gagner, il faut savoir souffrir ».\n\nPhoto : Euroleague
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77 000 téléspectateurs pour Gravelines-Le Portel sur France 3 Nord Pas de Calais
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L’Opalico a rassemblé 77 000 téléspectateurs sur France 3 Nord Pas de Calais, le dimanche 8 janvier, avec 8,9% de part d’audience, alors que les programmes habituels sont en moyenne à 3,8%.\n\nIl s’agit de la meilleure audience des trois matches de Beclic Elit diffusés en janvier sur France 3, loin devant Blois-Pau (38 000) et Strasbourg-Bourg (18 000).\n\nComme on peut le constater sur les graphiques, Monaco, Villeurbanne et Cholet forment le trio de tête sur le mois sur LNBTV, devançant Boulogne-Levallois/Victor Wembanyama. Chalon est solidement en tête des audiences en Pro B.\n\n[adsence2]\n\nPhoto : Nadir Hifi (Le Portel, Thomas Savoja)
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Vidéo : Bryce Jones (Limoges) en tête des actions de janvier de la BCL
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Le meneur de jeu américain de Limoges, Bryce Jones, est numéro 1 des « plays » du mois de janvier de la Basketball Champions League avec son buzzer beater face à Ludwigsbourg qui a permis à son équipe de se qualifier pour le top 16 de la Basketball Champions League.\n\nPhoto : FIBA
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Jonathan Hoyaux (Saint-Chamond) : «La situation donne l’impression qu’on est amorphes...»
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D’une équipe à deux doigts de monter en Betclic Elite, quelques mois plus tard, Saint-Chamond est devenu relégable. L’équipe d’Alain Thinet est actuellement 17e avec 5 victoires et 13 défaites et elle reçoit ce vendredi soir Denain pour se lancer pour de bon.\n\n« C’est un championnat à deux vitesses et on fait partie du deuxième wagon. Nous, on est dans un championnat à cinq, six équipes. On doit jouer tous les matchs à fond, profiter de toutes les occasions. Il reste seize matchs, comme seize matchs de coupe », déclare Alain Thinet dans Le Progrès.\n\nLe capitaine Jonathan Hoyaux assure que le groupe a conscience du danger.\n\n« Je pense que l’envie est réellement là c’est juste que les attitudes ne sont pas bonnes. Le coach comme beaucoup de monde attend de nous qu’on soit des morts de faim. La situation donne l’impression qu’on est amorphes, qu’on subit plus qu’on agit. »\n\nLes Couramiauds se doivent de mettre un terme à une série impressionnante de sept défaites d’affilée dans leur nouvel arena, qui va accueillir dans quelques jours la Leaders Cup.\n\n« Je pense que la pression y est depuis quelques matchs. On a perdu plusieurs fois de pas grand-chose. Les spectateurs attendent des victoires, ils commencent à ne pas être contents, ce qui est logique. On doit se mettre une pression de résultat par rapport à ça. Notre place au classement fait qu’on ne finit pas les matchs comme on les finissait l’année dernière en pleine confiance. »\n\nPhoto : Laurent Peige
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Vidéo : Le reportage de France 3 sur la venue de Victor Wembanyama à Blois
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La venue de Victor Wembanyama , ce samedi à 15h15, est un évènement majeur à Blois. France 3 Centre-Val de Loire, qui diffusera le match, a réalisé ce reportage à ce sujet.\n\n\n«Il choque tout le monde, le monde entier... » : quand @ADABloisBasket s’apprête à recevoir (et affronter) le phénomène mondial du basket Victor Wenbanyama...\nExtrait du dernier épisode de notre série sur le club du Loir-et-Cher, signé @Benoit_Bruere et @CharlyKrief pic.twitter.com/kuhlRjbsoN\n\n— France 3 Centre-Val de Loire (@F3Centre) February 3, 2023\n\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Ce qu’il faut retenir des salaires de la saison 2022-2023 de Betclic Élite
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Durant tout le mois de janvier, la rédaction de Basket Europe vous a dévoilé son traditionnel dossier sur les salaires du championnat de France, la Betclic Elite. C’est l’heure du récapitulatif.\n\nAprès un mois de publication quotidienne, nous vous avons dévoilé les salaires de tous les joueurs et coachs des 18 clubs de l’élite professionnelle française pour la saison 2022-2023. Le tout accompagné de notre analyse, club par club et avec les meilleures – et moins bonnes – affaires à la mi-saison. Vous pouvez retrouvez le mode d’emploi ainsi que les divers épisodes sur la rubrique dédiée sur notre site.\n\nEn résumé, Monaco a fait tomber les principaux records financiers sur une saison, dont le budget (20,7 millions d’euros) et la masse salariale (10,8 millions d’euros brut). Mike James est le premier joueur à atteindre la barre des 2 millions d’euros net et Sasa Obradovic le premier coach à franchir celle du demi-million d’euros sur une saison.\n\n\nNando De Colo, le joueur français le mieux rémunéré de l’histoire du championnat\n\nL’ASVEL est l’unique club à pouvoir concurrencer économiquement son rival monégasque avec ses 15,8 millions d’euros de budget, soit la plus grosse enveloppe de son histoire. Et c’est une première : l’autre représentant national en Euroleague compte deux millionnaires, Nando De Colo et Joffrey Lauvergne. Jamais le club de Villeurbanne n’avait atteint de telles sommes.\n\nLe reste du peloton, Boulogne-Levallois et Paris en chefs de file, pointe relativement loin tandis qu’un tiers des clubs reste bloqué sous la barre des 5 millions d’euros de budget annuel. Il y a à peine dix ans, un seul club figurait au-dessus de cette barre symbolique, l’ASVEL, et Nanterre était sacré champion de France 2013 avec 2,6 millions d’euros et l’avant-dernier portefeuille de l’élite. Avec la progression exponentielle des locomotives, le risque qu’un tel exploit se reproduise parait hautement improbable.\n\n\nLe dossier salaires Pro B et quelques nouveautés en février\n\nRassurez-vous, ce n’est pas la fin de notre dossier salaires puisque nous allons publier celui de la Pro B durant le mois de février. Sans vous en dévoiler davantage, le budget des clubs de deuxième division est de 2,6 millions d’euros et la masse salariale de 813 000 euros, soit les deux plus hautes moyennes jamais enregistrées. Suivra enfin une analyse complète sur les deux divisions de la Ligue Nationale de Basket. Bonne lecture !\n\nLa rédaction de Basket Europe\n\nLa liste des articles de notre dossier salaires de Betclic Elite\nClub par club\nBlois : la barre des 100 000 euros franchie, une première\nBoulogne-Levallois (Metropolitans 92) : Wemby, l’affaire du siècle\nBourg : une trouvaille nommée James Palmer\nCholet: Laurent Vila – Dominic Artis, duo de choc\nDijon : Markis McDuffie, facteur X\nFos: Allan Dokossi tient la baraque\nGravelines-Dunkerque: le rebond Laurent Legname\nLe Mans: Terry Tarpey, mini prix et donne le maximum\nLe Portel: Hifi des idées de génie\nLimoges: le CSP surfe sur la vague Cancellieri\nLyon-Villeurbanne (ASVEL) : Nando De Colo, premier millionnaire français\nMonaco: Tous les records sont battus\nNancy : Mike Scott, la surprise du chef\nNanterre : Sur les sables mouvants\nParis: Ismaël Kamagate, un joyau à bon prix\nPau: L’âge de raison\nRoanne : March attaque\nStrasbourg: l’effet Luca Banchi\n\nNos analyses\nLes coachs : Sasa Obradovic et les autres\nTop 20 : Victor Wembanyama loin derrière les millionnaires\nTop 5 par poste : Monaco et l’ASVEL – presque – seuls au monde\nTop-Flop JFL : L’extraordinaire rentabilité de Nadir Hifi\nTop-Flop JNFL : Emmanuel Nzekwesi très rentable, Brynton Lemar beaucoup moins\n\nSoutenez la rédaction de Basket Europe en souscrivant à un abonnement mensuel ou annuel pour avoir accès au dossier salaire dans son intégralité ainsi que 2 000 autres contenus premium (guide, dossiers, interviews) sur le basket français et européen. Retrouvez par ailleurs notre nouvelle version en anglais sur le site : basketeurope.com/en.\n\nPhoto : Nando De Colo (Thomas Savoja)
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Dossier salaires Pro B 2022-23, c’est parti !
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Chaque saison, Basket Europe dévoile son traditionnel dossier sur les salaires du championnat de France. Après la Betclic Élite, place à la Pro B à compter de ce weekend.\n\nTop départ de notre dossier salaires Pro B ! Après vous avoir révélé les salaires des joueurs et coachs de la première division, la rédaction de Basket Europe va vous dévoiler ceux de la deuxième division durant la première quinzaine du mois de février. À compter de samedi, vous pourrez découvrir les salaires de la saison 2022-2023 pour deux équipes par jour – par ordre alphabétique.\n\nL’étude que nous vous dévoilons est une enquête rigoureuse, dans la lignée de la première édition publiée par nos soins lors de la saison 2016-2017 lorsque nous avions pris le relais de BasketHebdo, BasketNews, Maxi-Basket et BasketHebdo (deuxième version). Elle est menée grâce au concours de plusieurs sources, parmi lesquelles de nombreux agents et une grande majorité de représentants de clubs, qui nous permettent de lever le voile sur ces chiffres. Ils ne sont pas officiels – nous ne sommes ni la NBA, ni la LNB -, et ils comportent une marge d’erreur de + ou – 10 %.\n\n\nUne hausse de 7 % du budget moyen\n\nPas de surprise par rapport à la Betclic Élite, les salaires sont divulgués en euros annuels net et nous ne recensons pas les primes et avantages en nature (logements, véhicules) – tous les clubs en proposent à leurs joueurs, notamment aux joueurs étrangers. Nous accompagnons nos chiffres d’un commentaire sur la stratégie des clubs mais vous pourrez bien évidemment apprécier vous-même la pertinence de ces choix.\n\nAprès révélation des 18 équipes de la division, nous publierons également le top des salaires des joueurs, mais aussi nos bonnes et mauvaises affaires ou encore le comparatif des émoluments des entraîneurs. Notons par ailleurs que cette étude sera disponible sur la nouvelle version de Basket Europe en anglais : basketeurope.com/en et qu’elle sera suivie d’une analyse globale sur les deux divisions de la Ligue Nationale de Basket (LNB).\n\nSans en dire plus, nous pouvons déjà vous annoncer que le budget des clubs de Pro B est de 2,6 millions d’euros (+7 %) et la masse salariale de 813 000 euros (+4 %), soit les deux plus hautes moyennes jamais enregistrées. Une hausse qui s’explique par les moyens financiers et les ambitions des anciens clubs de première division relégués au cours des deux dernières saisons, la progression généralisée sur l’ensemble des clubs de la division (11 clubs sur les 14 déjà présents la saison précédente présentent une hausse de leur budget) et l’arrivée de deux promus de NM1 avec des budgets significatifs.\n\n\nUne offre d’abonnement couplée avec MCS Basket\n\nRappelons enfin que ce dossier salaire, comme plus de 2 000 autres articles premium – dont de nombreuses interviews, des reportages, analyses et autres guides de début de saison – est exclusivement réservé à nos abonnés.\n\nEt, cerise sur le gâteau, en vous abonnant pour un an (49,90 €), vous aurez également accès à MCS Basket, le diffuseur des principaux championnats étrangers... et de la Coupe de France ! À commencer par le choc des huitièmes de finale entre Monaco et Boulogne-Levallois ce mercredi 15 février. Le tout pour moins d’un euro par semaine. Alors, n’hésitez plus, abonnez-vous !\n\nBonne lecture !\n\nLa rédaction de Basket Europe\n\nPhoto : Orléans (Tuan Nguyen)
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À la découverte de l’Adidas Arena, en chantier avancé pour accueillir le Paris Basketball
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Le site que l’on connaît désormais sous le nom d’Adidas Arena ouvrira ses portes le 31 janvier 2024 et sera la nouvelle résidence du Paris Basketball. Basket Europe vous propose une visite guidée de l’ambitieux équipement de la Porte de Chapelle.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nÀ l’occasion d’une escapade nocturne organisée par la Paris Entertainment Company – marque ombrelle qui regroupe l’Accor Arena, le Bataclan et la future Adidas Arena – l’impatience est montée d’un cran. Le gros œuvre est terminé, les premières tribunes sont posées et, même s’il manque encore son toit végétalisé, jamais le site n’a été aussi proche de vibrer au son du ballon sur le parquet. C’est en tout cas l’impression que donne le chantier situé porte de la Chapelle (Paris 18e). Il avance à vitesse grand V, malgré un retard initial de livraison de trois mois, ce qui ne remet pas en cause son activité prévue lors des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.\n\nPour rappel, l’infrastructure de 26 000 m2 accueillera les épreuves de badminton, para-badminton, gymnastique rythmique et para-haltérophilie. Elle est également la seule infrastructure olympique en construction dans Paris intra-muros.\n\nEn ce qui concerne les rencontres du Paris Basketball -35 matches y seront programmés si le club joue l’Euroleague- la salle disposera de près de 8 000 places. Mais ce « lieu de vie » – comme aime l’indiquer Nicolas Dupeux, directeur général de l’Adidas Arena – ne se résumera pas qu’à la réception des basketteurs franciliens. Situé dans un nord-est parisien, terre historique où la culture urbaine a pris vie dans les années 80, l’équipement se positionne autour de la rencontre du sport, de la musique, du lifestyle. Plus d’une centaine d’événements verront le jour chaque année dans une Arena capable d’accueillir jusqu’à 9 000 spectateurs.\n\n\nParis Entertainment Company, un groupe multi-sites\n\nAvant d’embarquer dans un bus tour direction Porte de la Chapelle, c’est au sein de son Accor Arena vieille de 40 ans que Nicolas Dupeux et son équipe de la toute nouvelle marque ombrelle « Paris Entertainment Company » ont convié leurs invités.\n\nCelui qui se veut être « un concepteur de lieux de vie hybrides construits autour de salles spectacles emblématiques » disposera bientôt de trois salles au positionnement complémentaire. Celle de Bercy et ses plus de 20 000 places pour les concerts, l’Adidas Arena – la raison de ce road trip dans Paris – ainsi que le Bataclan et ses 1 500 places. Trois jauges différentes pour des exploitations aussi variées que possibles au sein de chaque lieu.\n\nNiché dans les hauteurs de l’Accor Arena, au sein de son appartement avec une vue imprenable sur la scène – les amateurs de jeu de mots auront compris le clin d’oeil dans la seconde – Nicolas Dupeux donne le ton de la soirée. Par un premier discours centré sur la multiplication des activités déployées de l’Accor Arena, on apprend l’arrivée prochaine d’un playground 3×3. Le bus s’apprête à partir direction l’Adidas Arena. Les choses sérieuses commencent !\n\n\n« Tous les clubs de basket français voudront jouer à l’Adidas Arena »\n\nCasque et lunettes pour la protection, bottes et gilet orange pour le côté fashion, nous voici à la Porte de la Chapelle. Après un tour de l’extérieur, il est temps de rentrer dans la future antre du Paris Basketball. Quelques marches d’escaliers plus tard, le coeur du stade s’offre aux visiteurs. Il est 18h30 passées mais les moteurs des camions et grues tournent encore. Après une dizaine de minutes à s’imaginer l’avenir sportif de ce lieu, il est déjà temps de descendre vers l’un d’un des deux gymnases intermédiaires du site.\n\n\nL’Adidas Arena prend forme 🏗️\n\nLe site, situé Porte de la Chapelle accueillera des épreuves olympiques #Paris2024 et sera la prochaine résidence du @ParisBasketball 🏟️ pic.twitter.com/acmEaq0Lgr\n\n— Basket Europe (@basketeurope) February 2, 2023\n\n\n« Demandez aux équipementiers, à la NBA, à l’Euroleague, à la FIBA, tous vous diront que la ville de Paris est l’épicentre du basket européen », lance – sans hésiter – David Kahn lors de la conférence de presse qui suit la visite guidée. Le président du Paris Basketball rappelle ô combien son nouvel outil sera « la première destination des amoureux du basket à travers le continent, l’épicentre de l’épicentre », en ajoutant avec toute la détermination qu’on lui connaît que « tous les clubs français voudront jouer ici ».\n\nEn plus d’accueillir son équipe masculine, le Paris Basketball garde à l’esprit son projet de formation féminine. Avec l’Adidas Arena, cette envie de faire rayonner le basketball féminin est bien ancré dans l’esprit du club parisien, qui avait annoncé en début de saison la mise en place d’un comité exploratoire pour traiter de cette création. Un objectif qui fait écho avec le nom choisi pour le large parvis arboré de l’Arena, baptisé Alice Milliat en hommage à la pionnière du sport féminin.\n\nLa prise de parole de David Kahn a sans doute donné des idées à Nicolas Dupeux. Pour cette première présentation en compagnie des partenaires Paris Basketball et Adidas, le directeur général de la future salle clôture alors la visite non sans une pointe d’émotion et un discours plein d’ambitions :\n\n« Le grand succès de l’Adidas Arena se situe par son contenu, autour de l’équipe, du basket, de la place de Paris dans le basket en France et en Europe. C’est aussi la puissance d’Adidas, du namer, dans le sport mais pas que. C’est faire changer, engager la diversité, l’excellence. Nous sommes très fier d’être arrivé à ce stade, ce n’est pas la pose de la première pierre mais il y a quand même beaucoup d’émotions. Pour nous, ce n’est pas qu’une Arena, c’est aussi un lieu de destination. C’est là où le sport et les infrastructures sportives et d’entertainment peuvent changer la vie, les comportements, avoir une valeur d’élévation. Il y a la salle de basketball mais également deux gymnases pour les scolaires et le quartier ainsi qu’un lieu de vie de 3 500 m2. Ce dernier n’était pas une option. L’Arena doit vivre tous les jours et cela passe par ce lieu de vie, qui comprend de la restauration, des boutiques, des terrasses et des espaces d’animation. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nÀ l’occasion d’une escapade nocturne organisée par la Paris Entertainment Company – marque ombrelle qui regroupe l’Accor Arena, le Bataclan et la future Adidas Arena – l’impatience est montée d’un cran. Le gros œuvre est terminé, les premières tribunes sont posées et, même s’il manque encore son toit végétalisé, jamais le site n’a été aussi proche de vibrer au son du ballon sur le parquet. C’est en tout cas l’impression que donne le chantier situé porte de la Chapelle (Paris 18e). Il avance à vitesse grand V, malgré un retard initial de livraison de trois mois, ce qui ne remet pas en cause son activité prévue lors des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.\n\nPour rappel, l’infrastructure de 26 000 m2 accueillera les épreuves de badminton, para-badminton, gymnastique rythmique et para-haltérophilie. Elle est également la seule infrastructure olympique en construction dans Paris intra-muros.\n\nEn ce qui concerne les rencontres du Paris Basketball -35 matches y seront programmés si le club joue l’Euroleague- , la salle disposera de près de 8 000 places. Mais ce « lieu de vie » – comme aime l’indiquer Nicolas Dupeux, directeur général de l’Adidas Arena...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Basket Europe
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N3 : Un joueur sort un coup de poing américain pour régler un différend entre supportrices !
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Samedi dernier, dans le Lot-et-Garonne, une bagarre a éclaté entre supportrices de Colayrac-Saint-Circq et de Valence-Condom. Un joueur s’en est mêlé en voulant utiliser un poing américain.\n\nL’incident s’est déroulé à la fin du match alors que des supportrices s’invectivaient puis en étaient venues aux mains. Un joueur de Valence-Condom est alors intervenu comme le rapporte La Dépêche qui a pu visionner une vidéo :\n\n« Très clairement, on voit le joueur portant le numéro 15 se jeter sur un supporter colayracais et le saisir par le col. Certains de ses coéquipiers sont intervenus pour le ramener à la raison. Sur les images qui ne prêtent à aucune confusion possible, on aperçoit ensuite ce joueur courir en direction des vestiaires. Il revient tout aussi rapidement dans la salle et se dirige à nouveau vers les gradins. Selon nos informations, le joueur gersois est revenu dans les gradins non pas avec un couteau mais un « poing américain »(1). Un élément que nous avons pu confirmer de plusieurs sources concordantes. Il a fallu plusieurs personnes pour retenir ce joueur au comportement complètement inapproprié. »\n\nAvant même que la commission de discipline de la FFBB le sanctionne, le joueur de Valence-Condom a été écarté par son club, qui a révélé son nom dans un communiqué :\n\n« A l’issue de la rencontre, une échauffourée a éclaté dans les tribunes entre supportrices des deux clubs. Alors que les dirigeants et certains joueurs essayaient de calmer les tensions, un joueur du club de Valence, Odys Mayeta, a eu un comportement irrationnel, inacceptable et indéfendable. Au lieu d’apaiser la situation, il a eu une réaction inconcevable à l’encontre des valeurs du sport et du VCGB en particulier » écrit le président gersois Jonathan Vives. « Par conséquent, le Bureau du VCGB, qui déplore vivement cet incident et le comportement de ce joueur a rapidement pris la décision de se séparer d’Odys Mayeta, qui à ce jour, ne fait plus partie du club ».\n\n(1)A noter qu’un témoin qui nous a contacté parle d’une paire de « ciseaux » et non pas de coup de poing américain.\n\nPhoto : L’équipe de Valence-Condom
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Euroleague : Milan en hausse, l’Etoile Rouge en baisse
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Les Milanais se rebiffent. Ils ont obtenu une deuxième victoire de suite, cette fois sur le dos de l’Etoile Rouge de Belgrade, qui a ainsi concédé sa quatrième défaite d’affilée (74-68).\n\nBilly Baron a été le meilleur marqueur de l’équipe italienne avec 15 points, Devon Hall en a ajouté 14. Timothé Luwawu-Cabarrot a cumulé 8 points et 6 rebonds, alors que Benjamin Bentil a scoré 17 points pour les Serbes.\n\n« Victoire importante face à une équipe très agressive et physique. Ce n’est jamais facile de gagner contre une équipe qui est sur une série de défaites. En deuxième mi-temps, nous étions fatigués et c’est de ma faute car j’ai décidé de couper la rotation car nous avions besoin de deux manieurs de ballon sur le terrain ensemble. Shabazz (Napier) a eu 0 balle perdue, et c’est énorme » , a déclaré Ettore Messina après la victoire.\n\n«Nous avons eu quelques tirs pour gagner le match. On perd encore une fois, il faut être patient et on verra. Peu importe quand nous jouons, nos supporters sont toujours là pour nous soutenir. Je pense que dans les premières minutes, nous n’avons pas été patients. Au deuxième quart-temps, nous avons joué trop de pick and roll, en deuxième mi-temps, nous avons joué différemment » , a déclaré Dusko Ivanovic après le match.\n\nConséquences : Armani Milan se dégage de la dernière place et peut remonter à la hauteur de l’ASVEL en cas de défaite de l’équipe de TJ Parker ce vendredi soir face à Bologne, et du Panathinaikos à Vitoria. L’Etoile Rouge est quant à elle tombée à la 13e place.\n\nPhoto : Shabazz Napier (Euroleague)
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Vidéo : Le top 10 de janvier de la Betclic Elite
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Victor Wembanyma se retrouve à chaque fois dans le top 3, mais pas toujours à son avantage !\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Thomas Savoja)
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Qualifications Coupe du Monde : Dylan Osetkowski convoqué par l’équipe d’Allemagne
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Le coach Gordon Herbert a livré les noms des 17 joueurs appelés à constituer l’équipe d’Allemagne, qui va jouer face à la Suède à Francfort et en Finlande pour le compte des qualifications à la Coupe du Monde 2023. On note la présence de Johannes Voigtmann et de l’ancien Villeurbannais Dylan Osetkowski.\n\nDans ce groupe de sélectionnés, sept jeunes joueurs n’ont pas encore disputé de match international alors que Johannes Voigtmann d’Armani Milan, une équipe d’Euroleague, sera également de la partie.\n\n« Jo m’a appelé et m’a dit qu’il voulait être là pour la fenêtre. Il adorerait s’entraîner et jouer avec l’équipe. Bien sûr, nous en sommes très heureux et Milan a déjà donné l’autorisation de sa sortie », a déclaré Gordon Herbert.\n\nEgalement remarquable, la présence de l’ancien intérieur de l’ASVEL, Dylan Osetkowski, actuellement au CB Malaga. L’Américain a joué entre 2019 et 2021 dans la BBL pour le BG Göttingen et ratiopharm ulm. Il détient un passeport allemand depuis mai 2020.\n\n« C’est le bon moment pour l’essayer. Dylan est encore assez jeune à 26 ans, il a joué en Euroleague et est maintenant avec Malaga dans la Basketball Champions League. Il est très intéressé de jouer pour nous, il a renvoyé tous les documents nécessaires le même jour ».\n\nGavin Schilling, qui a commencé la saison avec le Limoges CSP, est également convoqué.\n\nJustus Hollatz (CB Breogán/ESP | 191 cm | Point Guard | 26 Sélections.)\nJoshua Obiesie (FRAPORT SKYLINERS | 198 cm | Guard | 5 S.)\nJacob Patrick (MHP Riesen Ludwigsbourg | 197 cm | Shooting Guard | 2 S.)\nJohannes Patrick (MHP Riesen Ludwigsburg | 185 cm | Point Guard | 0 S.)\nNelson Weidemann (NINERS Chemnitz | 190 cm | Guard | 0 S.)\nDavid Krämer (Basketball Löwen Braunschweig | 197 cm | Guard/Ailier | 12 S.)\nLen Schoormann (Veolia Towers Hambourg | 193 cm | Guard | 0 S.)\nLukas Wank (FRAPORT SKYLINERS | 198 cm | Guard/Ailier | 16 S.)\nKarim Jallow (ratiopharm Ulm | 198 cm | Ailier | 16 S.)\nJason George (NINERS Chemnitz | 200 cm | Ailier | 0 S.)\nNicholas Tischler (Basketball Löwen Braunschweig | 200 cm | Ailier| 0 S.)\nChristian Sengfelder (Brose Bamberg | 204 cm | Ailier| 31 S.)\nDylan Osetkowski (CB Malaga/ESP | 206 cm | Ailier/Centre | 0 S. .)\nJohannes Voigtmann (Olimpia Milano/ITA | 211 cm | Centre | 92 S.)\nLeon raye (Telekom Baskets Bonn | 212 cm | Centre | 11 S.)\nJonas Richter (NINERS Chemnitz | 207 cm | Ailier/Centre | 0 S.)\nGavin Schilling (AYOS Konyaspor/TUR | 206 cm | Centre | 7 S.)\n\nPhoto : Dylan Osetkowski (Infinity Nine Media)
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Etats-Unis : une assistante-coach de High School licenciée après s’être fait passer pour une fille de 13 ans
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Une entraineur adjointe d’un lycée en Virginie s’est faite passer pour une joueuse de 13 ans... alors qu’elle en a 22. Arlisha Boykins a été licenciée, tout comme le coach principal.\n\nPrise la main dans le panier ! Arlisha Boykins a 22 ans et était l’entraîneur adjointe de l’équipe de basket junior féminine de Churchland à Portsmouth, en Virginie. Encouragée par l’entraîneur principal, elle a enfilé l’uniforme des Truckers alors qu’une élève-athlète de 13 ans était absente. Malheureusement, son activité sur le terrain n’a pas pu cacher son âge avancé. On l’a vu contrer des tirs, sauter dans les gradins pour récupérer un ballon ou s’imposer en pénétration dans la raquette adverse...\n\nMise au courant de la situation de ce match du 21 janvier dernier, l’école a ouvert une enquête et a déjà pris des mesures radicales en remerciant les deux coachs. De leurs côtés, les joueuses et les parents ont décidé de se retirer et de déclarer forfait jusqu’à la fin de la saison.\n\nLes parents de la jeune fille dont l’identité a été usurpée envisagent de la changer d’école pour la prochaine année scolaire. Ils attendent également des excuses de la part de l’établissement scolaire et de la part de la coach... Vive les US !\n\nPhoto : YouTube
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Ce samedi, l’ADA Blois va mettre en vente... des maillots de Victor Wembanyama !
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À l’occasion de la réception de Boulogne-Levallois ce samedi (15h15), l’ADA Blois va mettre en vente des maillots de Victor Wembanyama... dans sa propre boutique. Une démarche inhabituelle pour répondre à une sollicitation des Metropolitans 92.\n\nLa hype autour de Victor Wembanyama continue. Comme indiqué sur ses réseaux sociaux, l’ADA Blois va proposer le maillot du phénomène des Metropolitans 92 dans sa propre boutique ce samedi. « Une démarche inhabituelle qui se justifie pleinement par les bonnes relations entretenues entre les deux clubs, mais aussi et surtout par la volonté de l’ADA Basket de raisonner pour le bien des fans de basket qui constituent son public », justifie le club de Blois dans un communiqué.\n\n\nL’ADA Basket a décidé d’accéder à la sollicitation du Club des @Metropolitans92 qui souhaite proposer la vente de maillots de Victor Wembanyama lors des matchs à l’extérieur.\n\n+ d'infos 👉 https://t.co/ZUaH5TLnfj\n\n📸 @ngtuan #BetclicElite #PartageonsLaPassion pic.twitter.com/yuEH9GegLp\n\n— 🐝 ADA Blois Basket 41 (@ADABloisBasket) February 1, 2023\n\n\nL’ADA Blois indique également avoir « accédé à la sollicitation du club de Boulogne-Levallois, qui souhaite proposer la vente de maillots de Victor Wembanyama lors de ses matches à l’extérieur ». Cette pratique pourrait donc de se généraliser dans d’autres salles de France, n’en déplaise aux supporters les plus chauvins.\n\nToujours est-il qu’une centaine de maillots floqués Wembanyama seront disponibles au Jeu de Paume ce samedi, au prix unitaire de 85 euros (75 euros pour les enfants)... Le tout sous la responsabilité d’un employé des Mets !\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Tuan Nguyen)
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Strasbourg : Paul Lacombe superstar
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Mercredi soir, Strasbourg a pris les commandes de son groupe de BCL en l’emportant avec la manière à Dijon (72-85). Une victoire collective que la SIG doit aussi à Paul Lacombe, auteur d’une pointe à 30 d’évaluation, son record de la saison.\n\nFin octobre, Paul Lacombe prenait la décision de quitter l’ASVEL et l’Euroleague pour retrouver des responsabilités à Strasbourg. Quelques mois plus tard, on peut affirmer que ce choix s’est avéré payant. Le natif de Vénissieux monte en puissance au fil des semaines et s’affirme comme l’un des leaders de l’équipe alsacienne.\n\nDans le choc 100 % français de BCL contre Dijon ce mercredi soir, l’international français a été d’une régularité exemplaire. Il termine à 18 points à 7/9 aux tirs dont 2/3 à 3-points, 7 passes décisives, 6 rebonds et 2 interceptions pour 30 d’évaluation en 32 minutes. Soit sa performance la plus complète de la saison, championnat et coupe d’Europe compris. Mais en conférence de presse, pas un mot sur sa propre soirée. C’est l’équipe qui prime.\n\n« C’est le match le plus maîtrisé. C’est la victoire avec le plus grand écart, il me semble. Pour une fois, on ne s’est pas fait peur. On ne les a pas laissé revenir. Par leur sens de l’anticipation, Rodions (Kurucs) et DeAndre (Lansdowne) ont donné le ton en première mi-temps. On a fait des stops et on a pu appuyer là où ça fait mal. Ça a été moins évident en deuxième mi-temps mais on a su exploiter les pertes de balles de Dijon, qui n’est pas une équipe habituée à perdre ces ballons aussi rapidement. On est restés solidaires pour défendre sur Holston, qui a moins brillé en fin de match. On a pu compter sur tout le monde et Lucas (Beaufort) a tout donné défensivement. »\n\n[adsence2]\n\n\n« Marcus Keene progresse »\n\nL’arrière loue principalement la progression du collectif. Mais quand un journaliste lui demande son avis sur Marcus Keene, auteur d’un match à 22 points à 9/13 aux shoots, 7 passes et 6 rebonds pour 28 d’évaluation en 34 minutes, Paul Lacombe y va de sa petite anecdote.\n\n« Je n’étais pas là au match aller en championnat mais on m’a dit que Marcus (Keene) était un peu rentré dans un duel avec David Holston, et ça s’était pas très bien passé (sourires). Ce (mercredi) soir, j’ai trouvé qu’il a joué juste. Il a attendu qu’on lui donne des ballons et de la liberté. Il sait qu’il est le joueur à qui on va donner le ballons dans le moneytime. Je trouve qu’il progresse, que ses choix sont de plus en plus bons. Et puis, il est quand même bon. Ses shoots ne sont pas toujours parfaitement sélectionnés mais l’équipe a besoin de ça, j’ai en mémoire un pull-up sur Jonathan Rousselle. Et tant mieux pour lui, tant mieux pour nous. »\n\n\nIl y a des gens qui n’aiment pas Paul Lacombe et David Holston ? Qu’est ce qu’on est chanceux d’avoir ces 2 joueurs en France.\n\n— Cécile (@CecileThms) February 1, 2023\n\n\n\n« Cette victoire comptera à la fin »\n\nPlus globalement, l’ancien Villeurbannais sait que c’est un succès qui vaut cher, car à l’extérieur, chez un adversaire redoutable et pas habitué à perdre à la maison, Dijon. Après deux journées de top 16, Strasbourg est leader invaincu avant un déplacement à Jérusalem – vainqueur de Holon mercredi soir – la semaine prochaine.\n\n« Ce groupe est très dense et relevé. Les quatre équipes sont de niveau équivalent donc toutes les victoires sont importantes, encore plus à l’extérieur avec un bon écart (+13). Elle comptera à la fin. Ce n’est jamais facile de gagner ici, je le sais pour y être venu de nombreuses fois. Et cette victoire est pour JB Maille (victime d’une rupture des ligaments croisés). »\n\nDésormais 6e ex-aequo (avec quatre autres équipes) en Betclic Elite et seule équipe encore invaincue dans son groupe en BCL, la SIG Strasbourg a définitivement tourné la page du début de saison. Et qui sait où elle s’arrêtera, avec un Paul Lacombe si étincelant ?\n\nPhoto : Paul Lacombe (FIBA)
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L’Olympiakos bat son record de matches d’affilée à guichets fermés
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Ce n’est une surprise pour aucun fan de basket européen : la ferveur des supporters de l’Olympiakos n’est plus à prouver.\n\nLeader de l’Euroleague après 22 journées avec un bilan de 15-7, l’Olympiakos réussit aussi en tribunes. Voilà que ses supporters réalisent un nouveau record avec quatre matches consécutifs à guichets fermés.\n\nC’était le cas contre Milan, le Real Madrid et le Maccabi Tel Aviv – trois victoires – et cette série va donc se prolonger selon le club ce vendredi soir à l’occasion de la réception du double champion d’Europe en titre, l’Anadolu Efes.\n\n\n🎙️💻📺 Οι δηλώσεις του Γ. Μπαρτζώκα για την αναμέτρηση με την Έφες (03/02, 21.00) «Κίνητρο μας και το sold out». #OlympiacosBC #WeAreOlympiacos #TogetherWeFighthttps://t.co/SQhUVX9YOL\n\n— Olympiacos B.C. (@olympiacosbc) February 2, 2023\n\n\nPour rappel, le Peace and Friendship Stadium – Stade de la Paix et de l’Amitié – peut contenir 11 640 supporters dans sa configuration basket.\n\nPhoto : Olympiakos (AS Monaco)
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Propos racistes envers Loïc Akono : Charleville-Mézières écope d’un huis clos total
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Sur décision de sa commission de discipline, la fédération française de basket (FFBB) a prononcé le huis clos total des matches de Nationale Masculine 2 qui se dérouleront à Charleville-Mézières à la suite des propos à caractère raciste adressés à Loïc Akono ce weekend. Une mesure à titre conservatoire.\n\nLe racisme, sous toutes ses formes, est à bannir des salles de basket. Ce dimanche, Loïc Akono, double champion de France de Pro B évoluant désormais en NM2 à Metz, a été visé par des propos racistes descendant des gradins de Charleville-Mézières. Un spectateur l’avait traité de « bonobo » à plusieurs reprises.\n\nSon club avait ensuite adressé un recours à la fédération à l’issue du match afin que l’incident soit mentionné sur la feuille de match, ce qui n’avait pas été fait par les arbitres. Mardi, la fédération française a annoncé avoir ouvert « un dossier disciplinaire » sur des accusations de propos racistes. Elle a précisé la sanction dans un nouveau communiqué ce jeudi.\n\n« La fédération française de basketball, sur décision de sa commission de discipline, a prononcé le huis clos total des matches de Nationale Masculine 2 qui se dérouleront à Charleville-Mézières, suite aux propos à caractère raciste qui auraient été adressés à Monsieur Loïc Akono lors de la rencontre du week-end dernier », indique la FFBB.\n\nCette mesure, prise à titre conservatoire, court jusqu’à notification de la décision. Il a également été décidé qu’un texte condamnant fermement tout propos raciste sera lu à haute voix avant chaque rencontre officielle de basketball, LFB et LNB inclus, durant l’intégralité du mois de février.\n\nL’affaire sera également portée en civil. La procureure de Charleville-Mézières, Magali Josse, a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire pour « provocation à la haine dans une enceinte sportive ».\n\nPhoto : Loïc Akono (Metz Canonniers)
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Euroleague : Will Clyburn devant Donatas Motiejunas au titre de MVP de la 22e journée
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Victorieux avec l’Anadolu Efes contre le Zalgiris Kaunas mercredi soir, Will Clyburn a reçu le titre honorifique de MVP de la 22e journée d’Euroleague.\n\nContre l’Alba Berlin, le Monégasque Donatas Motiejunas a livré sa meilleure prestation de la saison avec 22 points à 11/12 aux tirs, 3 rebonds et 1 passe décisive pour 25 d’évaluation. Insuffisant – de peu – pour s’offrir le titre de MVP de la 22e journée, traditionnellement réservé à la meilleur éval d’une équipe vainqueur.\n\nÀ ce titre, Will Clyburn a réalisé la plus belle perf’ avec 27 d’évaluation dans la victoire de l’Anadolu Efes sur Kaunas (80-70). L’ailier US a compilé 19 points à 7/13 aux tirs, 7 rebonds, 3 passes décisives, 1 interception et 5 fautes provoquées. C’est la quatrième fois de sa carrière qu’il reçoit ce titre.\n\n[adsence2]\n\nL’Euroleague continue ces deux prochains jours avec la 23e journée. Vendredi, Monaco reçoit le Real Madrid à 19h et l’ASVEL accueille la Virtus Bologne à 21h... pour fêter le record de Nando De Colo, à qui il manque 3 points pour devenir le plus grand marqueur de l’histoire des coupes d’Europe !\n\nPhoto : Will Clyburn (Euroleague)
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Vidéo : Retour sur le déplacement de Bourges en Hongrie
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Les Tango de Bourges sont allées remporter à Szekszard une précieuse victoire dans la quête d’une qualification aux quarts-de-finale de l’Euroleague. Voici l’aftermovie réalisée par le club.\n\nPhoto : Pauline Astier (FIBA)
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Tony Parker, nouvel ambassadeur d’un groupe derestauration
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Le groupe de restauration spécialisé dans le domaine aérien Newrest a officialisé l’arrivée de Tony Parker comme nouvel ambassadeur pour les trois prochaines années.\n\nC’est une nouvelle ligne à ajouter sur le CV de l’actuel président de l’ASVEL. Olivier Sadran, fondateur et co-président de Newrest – et ancien président du Toulouse Football Club -, peut désormais compter sur Tony Parker dans ses équipes d’ambassadeurs.\n\nNewrest, premier acteur mondial indépendant du transport aérien, compose avec 36 622 collaborateurs présents dans 54 pays. Il a produit un chiffre d’affaires de 1,6 milliard d’euros en 2022.\n\n« Depuis toujours, chacun de mes matchs, chacune de mes actions associatives, et plus récemment, mes choix d’entrepreneur, sont portés par des valeurs d’engagement, de dépassement de soi et d’esprit d’équipe. Ce sont ces valeurs partagées avec le groupe Newrest que je souhaite véhiculer de manière concrète à mes interventions auprès de la direction et des managers de Newrest, ou des rencontres que j’ai pu faire avec leurs équipes », a indiqué TP par communiqué.\n\nPhoto : Newrest
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Eurocup : le Paris Basketball étouffé à Gran Canaria
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Privé de trois joueurs majeurs à Gran Canaria, Paris a pris l’eau en Eurocup ce mercredi soir (118-99).\n\nC’est une semaine sans victoire pour les clubs français en Eurocup. Après Bourg à domicile contre Brescia, le Paris Basketball s’est incliné dans les grandes largeurs aux Canaries. Sans Kyle Allman, Juhann Begarin et Axel Toupane, le Paris Basketball a entrepris une opération portes ouvertes en encaissant pas moins de 95 points en trois quart-temps. L’addition aurait pu être plus lourde mais elle s’est finalement fixée à -19.\n\n« Gran Canaria est une équipe exceptionnellement forte, avec une profondeur de banc et très bien coachée. C’est l’une des meilleures d’Europe. Avec en plus ce soir un excellent pourcentage (15/30 à 3-points). Ma seule déception est que nous n’avions pas une équipe assez saine pour rivaliser avec ces les gars dans les deux matches que nous avons joués. Peut-être que ces deux équipes auront l’occasion de se rencontrer à nouveau et si c’est le cas, je l’attendrai avec impatience », a indiqué le coach parisien Will Weaver en conférence de presse.\n\nDans la défaite, Aamir Simms a tout de même inscrit 22 points, Tyrone Wallace 19 et la nouvelle recrue, le shooteur Michael Roll, 17 points à... 1/8 derrière l’arc. Le collectif espagnol (31 passes décisives), guidé par les internationaux français Andrew Albicy (12 points à 4/4 à 3-points et 6 passes décisives pour 18 d’évaluation en 17 minutes) et Damien Inglis (10 points à 5/11 aux tirs, 4 rebonds et 2 interceptions pour 10 d’évaluation en 14 minutes), est désormais bien installé en tête du groupe B avec 11 victoires en 13 matches. Déjà qualifiés en playoffs, les hommes de Will Weaver sont eux cinquièmes (8-5).\n\nBoxscore Gran Canaria – Paris / Calendrier Eurocup / Classement Eurocup\n\nPhoto : Michael Roll (Eurocup)
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FIBA Europe Cup : Cholet, la première place dans le viseur
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Déjà qualifié pour les quarts de finale de la FIBA Europe Cup, Cholet s’est imposé mercredi soir en Roumanie, à Craiova (64-71). La première place du groupe se jouera mercredi prochain contre Porto.\n\nAvec la défaite de Porto à Chemnitz mardi soir, les cartes sont rebattues dans le groupe I de la FIBA Europe Cup. Du moins, pour les adversaires de Cholet. Car l’addition est finalement simple pour les hommes de Laurent Vila, vainqueurs en Roumanie sans briller. Il faudra une victoire à la Meilleraie mercredi prochain pour obtenir la première place du groupe et ainsi se mettre dans les meilleures dispositions possibles pour les quarts de finale.\n\nMercredi soir à Craiova, l’écart s’est fait en deuxième mi-temps malgré la maladresse choletaise derrière l’arc (3/20). Et le temps de jeu a été partagé. Mention très bien au pigiste Darel Poirier, 11 points et 8 rebonds pour 16 d’évaluation en 16 minutes. Laurent Vila concèdera tout de même en conférence de presse qu’il s’agissait d’un match « très moyen ».\n\n[adsence2]\n\nAvant de retrouver l’équipe portugaise, les Choletais pourront se reprendre en championnat. Une semaine après leur défaite à Nancy, un bouillant derby les attend contre Le Mans ce samedi après-midi.\n\nBoxscore Craiova – Cholet\n\nPhoto : Cholet (Tuan Nguyen)
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ITW Pape-Philippe Amagou: Consultant TV, 4 fois champion de France, ancien meilleur espoir français et reconverti dans la finance
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Pape-Philippe Amagou (37 ans) a été élu deux fois meilleur espoir de la Pro A, il a été champion de France avec trois clubs différents, et il a joué pour l’équipe nationale de la Côte d’Ivoire après avoir fréquenté les Bleuets à tous les âges. Il s’est reconverti dans la finance et est devenu parallèlement un consultant pertinent, principalement pour France 3. Entretien.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nQuel a été votre première expérience comme consultant à la télévision ?\nC’était il y a deux ans et demi pour France 3, un match de Pro B entre Blois et Fos-sur-Mer. Je suis né en région parisienne mais j’ai grandi à Blois et ma première licence de basket, je l’ai prise à l’ADA Blois. France 3 voulait retransmettre un match et ils avaient besoin d’un consultant sport. C’est Julien Monclar (NDLR : le manager général de l’ADA) qui leur a dit qu’il connaissait quelqu’un qui avait le bon profil, capable d’avoir le niveau d’analyse et de bien s’exprimer. Il leur a dit « vous devriez essayer Pape-Philippe Amagou ». C’est comme ça que j’ai essayé la première fois. Je n’avais jamais pensé faire ça avant. J’ai eu énormément de plaisir à le faire et depuis j’ai fait plus d’une trentaine de matches pour France 3 et 12-15 pour Skweek TV. C’est devenu une belle partie de mon activité.\n\nComment préparez-vous vos matches ? Vous en visionnez beaucoup ?\nJe regarde beaucoup de basket, notamment de l’Euroleague et de l’Eurocup car ce sont des matchs que je suis amené à commenter. Les matches du championnat de France, c’est plutôt facile car je connais pratiquement tous les joueurs, les présidents, les directeurs sportifs et les arbitres. En Euroleague, même si j’y ai joué pendant quatre ans, il y a toujours de nouveaux joueurs, de nouvelles actualités. Je me documente, je vais sur les sites pour être prêt, pour que mes commentaires soient naturels et spontanés.\n\nAvez-vous des modèles de journaliste ou de consultant ?\nJ’aime beaucoup Jacques Monclar, sa personnalité, sa voix, ce charisme quand il commente les matches. Je m’en inspire pour les analyses que je fais pour L’Equipe/Skweek quand je suis en studio à la mi-temps. J’aime bien aussi ce que fait Stephen Brun. C’est cool, décalé, et en même temps très pro, expert. Ce ne sont pas tant des modèles mais des gens que j’aime bien écouter.\n\nLorsque vous commentez l’un de vos anciens clubs, faites-vous parler votre cœur ou êtes-vous neutre comme pour d’autres matchs ?\nOn essaye toujours d’être impartial mais ce n’est pas toujours le cas ! Quand je commente sur Skweek et que c’est un club français, l’ASVEL, Monaco, Bourg-en-Bresse ou Paris, je suis complètement chauvin. Si je commente un match d’Euroleague et qu’il y a un Français sur le terrain, comme au Partizan, je vais dire « cocorico ! » s’il y a un gros dunk de Mathias Lessort. Mais c’est vrai que si c’est Le Mans, Blois, Nancy, Roanne ou Limoges, les clubs où je suis passé, il y a toujours un côté un peu attachement et c’est normal. Je ne pense pas que ça m’empêche d’avoir une justesse dans le commentaire.\n\nVous avez des objectifs dans ce domaine, des ambitions de carrière ?\nBien sûr, j’aimerais que ça soit quelque chose de pérenne. Maintenant, c’est de la télé et on ne sait jamais quels seront les programmes la saison suivante. Mais, oui, j’aimerais que ça s’inscrive dans la durée et continuer à progresser au fur et à mesure des matches. C’est vraiment quelque chose qui me plaît et dans lequel je prends beaucoup de plaisir.\n\n\n« Je prenais beaucoup de plaisir de passer d’un entraînement de basket à mes cours de micro-économie, plutôt que de regarder des top 10 NBA »\n\nQuelles sont vos autres activités ? Vous êtes co-fondateur de Mediadestock, un magasin de téléphonie au Mans, vous êtes aussi consultant à Capgemini ?\nMa principale activité, c’est d’être salarié chez Capgemini Invent. Je fais du conseil en stratégie et en transformation financial services. Mes clients sont essentiellement des banques et des assurances. J’ai aussi une activité de coach mental. J’ai monté avec un associé Mediadestock en 2011 avec des salariés et un gérant, et ils n’ont pas besoin de moi (sourire). Je prends des décisions stratégiques mais je ne suis pas tous les jours là-bas. Si je ne vais pas à la boutique pendant trois mois, il n’y a pas de problème (rires).\n\nComment aviez-vous préparé votre reconversion ? Vous aviez fait l’EDHEC Business School* durant vos dernières années de joueur ?\nJ’ai repris l’école quand j’étais à Limoges à 28 ans. Je me suis inscrit au programme des grandes écoles de l’EDHEC. Je voulais avoir un diplôme dans la finance. Je savais que c’était le top 2 en France pour cette discipline. L’EDHEC Business School avait un programme pour les sportifs de haut niveau ou les gens du cinéma, qui n’étaient pas capables d’être en présentiel. L’ensemble des contenus étaient disponibles à distance avec un tuteur qui te suit pendant ton master comme n’importe quel élève. Et comme n’importe quel élève, tu vas passer tes partiels tous les trois mois en présentiel. C’était complètement adapté à un sportif de haut niveau comme moi, qui jouait en même temps l’Euroleague. Je bossais sur mon ordi avec ma propre discipline à la maison.\n\nÇa demande effectivement une grande discipline quand on joue deux matchs par semaine, les entraînements, les déplacements ?\nEn effet. Ça demande une certaine charge de travail, un sens des responsabilités, une priorisation des différents évènements sur son agenda. J’ai signé comme professionnel à 17 ans au MSB. A 18 ans, j’ai eu mon bac scientifique et je me suis inscrit en sciences éco au Mans. Là aussi, on jouait l’Euroleague. Tu as un match le samedi à Strasbourg et tu pars en Turquie, puis à l’ASVEL et tu te retrouves ensuite en Grèce. C’était juste impossible de suivre ce programme en présentiel. Ce type de programme proposé par l’EDHEC n’existait pas, en tous les cas, ce n’était pas démocratisé. Je n’ai jamais pu valider mon DEUG en Sciences éco. Ça me manquait un peu, j’avais envie de retrouver cette scolarité. Et quand j’ai voulu reprendre mes études supérieures à 27 ans, à l’EDHEC, ils m’ont dit « coco, ton bac scientifique, il est un peu vieux, il date de 2003, aussi tu vas rentrer sur concours. »\nAussi, à l’époque, à Limoges, j’avais pris un professeur pour me mettre à niveau en mathématiques, m’aider en économie, pour préparer le concours. Une fois que je l’ai eu, l’EDHEC m’a dit, « c’est bien beau, mais on est une école de prestige, comment vas-tu faire ? On sait que tu es professionnel, que tu as deux matches par semaine. Comment vas-tu faire pour gérer ton agenda ? » J’ai eu une réunion avec le directeur du programme pour lui montrer que j’étais motivé, que j’allais trouver les moyens d’atteindre mon ambition, de mener le double projet. Après cet entretien, ils ont eu confiance en moi et j’ai pu mener tout de front.\nQuand on y réfléchit bien, on se rend compte qu’il nous reste tout de même beaucoup de temps. Dans une journée, si tu dors 7 heures, il t’en reste 17. Si tu as deux entraînements, tu t’entraînes cinq heures et c’est vraiment large. Un peu de sieste, mais après il reste de la place pour travailler. Je profitais de tous les moments où je pouvais. Le soir, je bossais une heure ou deux, après l’entraînement, parfois le midi, dans le train, dans le bus, en avion. Je prenais beaucoup de plaisir de passer d’un entraînement de basket à mes cours de micro-économie, plutôt que de regarder des top 10 NBA. Et quand j’en avais plein la tête de mes cours de mathématiques appliqués à l’économie, j’étais à l’entraînement et ça me donnait une bouffée d’oxygène. Pour moi, ça a plutôt créé une synergie plutôt que quelque chose de délicat ou de compliqué.\n\nCe genre de double projet, pas mal de joueuses en ont, et peu de garçons ?\nJe pense qu’il y a deux choses. On a souvent des revenus qui sont supérieurs à ceux des filles. Il y a aussi plus cette culture de préparer l’avenir car les filles ont aussi plus de choses à tenir en compte, comme la maternité. Elles n’ont pas forcément des carrières linéaires, il y a parfois des pauses. Ça leur permet d’être plus dans la réflexion que nous. Ce que je dis souvent aux jeunes joueurs qui me le demande, c’est de ne pas hésiter. Il y a beaucoup de choses aujourd’hui qui n’existaient pas quand j’ai commencé ma carrière. Un joueur qui a son bac et qui signe pro à 19 ans, qu’est-ce qui l’empêche de faire son Master en huit ans au lieu de cinq ans ? Tu fais une année en deux ans.\nPlein de choses existent aujourd’hui. Il y a souvent la crainte pour un sportif de rester dans l’écosystème du sport. Il se dit qu’après sa carrière, il va être coach ou assistant ou directeur sportif ou agent. C’est noble, c’est très important pour la réussite d’un sport de haut niveau, mais certains font plus ça par dépit car ils ont peur de sortir de l’écosystème classique du sport professionnel. Si tu as un Master, tu as une vraie plus-value car ton CV est différent car tu as vécu des choses en terme de soft skills que d’autres personnes, qui ont fait une prépa, une école de commerce ou d’ingénieur n’ont pas. Tu as joué des matches, tu sais ce qu’est la compétition, l’échec, la résilience, gérer la pression, t’as joué dans des salles de 5, 10, 15 000 personnes, tu es capable d’évoluer au plus haut niveau. Dans mon métier de conseil, ça m’énormément aidé. Il ne faut pas se dire qu’en tant que sportif, plus tard, je ne peux faire que quelque chose lié au sport. Mais il faut être allé jusqu’au bac car si tu t’es arrêté avant, c’est compliqué de mettre le nez à la fenêtre pour faire des études supérieures.\n\n\n« Le sport, c’est bon pour la santé, mais le sport de haut niveau pas forcément »\n\nL’une de vos caractéristiques est d’avoir été champion avec trois clubs différents. Le Mans deux fois (2006, 18), Nancy (2007) et Limoges (2015). Vous avez choisi les bons clubs au bon moment ?\nUn peu des deux. Il faut de la réussite. Je pense aussi que quand tu es bon, les bons clubs avec de bons projets s’intéressent à toi. Oui, il y a le fait de faire de bons choix. Quand ça t’arrive une fois, on peut dire que c’est de la chance, mais plusieurs fois dans ta carrière, j’ose croire qu’il y a un peu des deux. Il y a de la qualité associée aux bons choix et un peu de réussite.\n\nLors de votre dernier titre en 2018 avec Le Mans, vous avez été blessé, c’est ce qui vous a décidé de mettre fin à votre carrière ?\nOui. J’ai eu une douleur au dos et j’en ai encore aujourd’hui des séquelles cinq ans après. C’était une grosse hernie avec un déchirement du bulbe rachidien avec des débris dans le dos et il y avait des risques de paralysie, etc. Ma carrière était davantage derrière moi que devant, j’ai eu la chance de profiter 15-16 ans de ma passion et de finir sur un titre de champion de France. Je me suis dit que c’était le moment de boucler la boucle, je n’avais pas envie à 40 ans de ne pas pouvoir faire un petit shoot ou du vélo avec mes garçons. Je me suis dit que j’avais la chance que ça ne m’arrive pas à 20 ans. Il fallait aussi que je prépare mon après-carrière. Même si, honnêtement, si je n’avais pas eu ma blessure, j’aurais poursuivi encore deux ans car j’aurais aimé jouer jusqu’à 34-35 ans. C’est arrivé à 32-33 ans, ce n’est pas la fin du monde.\n\nIl y a beaucoup de joueurs qui souffrent physiquement après leur carrière ?\nLe sport, c’est bon pour la santé, mais le sport de haut niveau pas forcément. C’est pour ça qu’il faut être capable de faire très attention à son corps. A la différence avec d’autres sports, il y a énormément d’écart entre les gabarits. Je fais 1,86 m et tu peux avoir des contacts avec des mecs de 2,15-2,20 m, qui font 125 ou 130 kg, alors que toi tu en fais 80 ou 85. Le rugby nous ressemble un peu par rapport à ça. Mais, par exemple au football, il n’y aura jamais plus de 15 kilos d’écart entre les joueurs. Il faut prendre ça en compte quand tu fais une carrière de 16-17 ans. Et puis on est un sport de sauts, de parquet, et tu as beaucoup de douleurs aux chevilles, au dos, aux genoux. C’est vrai que les sportifs ne finissent pas souvent en très bon état. Même si la médecine du sport progresse énormément, il y a de plus en plus de prévention. A mon époque, on était déjà très bien suivi et je vois que ça continue d’aller dans le bon sens. C’est très important de faire attention à son hygiène, à son corps. C’est la première source de réussite et de durée dans ce milieu-là.\n\n\nPape Philippe Amagou, international ivoirien de basket-ball, est un Ambassadeur Giving Back depuis 10 ans.@PapePhilippe @NeverForgetWYCF @academygrow #neverforgetwhereyoucomefrom #givingback #basketball pic.twitter.com/6V6SNbpfCh\n\n— Giving Back (@Giving_Back) November 7, 2022\n\n\nVous avez joué en équipe de France jeunes et ensuite en senior avec la Côte d’Ivoire. Comment ça s’était passé ? Vous n’avez jamais fait de stage en équipe de France A ?\nJ’ai été convoqué une fois dans le groupe élargi A, mais je n’ai jamais été appelé pour un tournoi majeur, une grande compétition. Ça serait différent aujourd’hui car il y a les fenêtres internationales et c’est top car ça permet aux joueurs qui sont en Europe, en France, de jouer pendant la saison. J’avais fait les -16, -17, -18, A’, mais en 2009, j’avais 24 ans, et j’ai pris la décision de jouer pour le pays d’origine de mon père, la Côte d’Ivoire. Ma mère est Sénégalaise et donc j’aurais pu aussi jouer pour le Sénégal. Ce fut un choix murement réfléchi en famille. À l’époque, le Sénégal avait une sélection plus compétitive avec des joueurs en NBA ou en Euroleague. Mais j’ai perdu mon père assez jeune et ma mère m’a dit que ça serait bien de voir le nom Amagou avec la Côte d’Ivoire. Ce fut un super choix. La Côte d’Ivoire ne sortait jamais des poules et on a pu être vice-champion d’Afrique, faire plusieurs demi-finales, participer au championnat du monde, j’ai été élu meilleur meneur africain. Ça m’a permis de redonner un peu au pays d’origine de mes parents, moi qui suis issu de la formation française et qui a joué en jeune pour les équipes de France. S’il y avait eu à l’époque des fenêtres internationales, peut-être que j’aurais joué toute ma carrière pour l’équipe de France et je n’aurais pas vécu ça. C’est vraiment une richesse d’avoir cette double culture.\n\nVous avez été élu deux fois MVP Espoirs du championnat en 2003 et 2004 en succédant à Tony Parker et Boris Diaw. Avez-vous la sensation d’avoir été au bout de vos possibilités ?\nOui et non. À la base, je n’étais pas un profil très basket. Je me suis mis sérieusement au basket à 10-11 ans. Ce n’était pas forcément mon sport de prédilection. Pas beaucoup de gens auraient misé sur moi à cette époque-là. Tout a été très vite. Je me suis imposé, je suis devenu professionnel, etc. J’ai été rapidement sur le devant de la scène. C’est déjà une belle perf en soi. Honnêtement, je pense que j’aurais pu faire plus. C’était une époque où la NBA était un peu moins démocratisée. Même s’il y a du monde, c’est à mon avis un peu plus facile aujourd’hui...\n\nIl y a davantage de canaux ?\nVoilà. C’est plus exposé, plus ouvert pour aller en NBA. Ce qui m’a manqué, c’est tous les trainings que font les jeunes, travailler plus sur leurs skills individuels, avoir des trainers, à l’américaine... L’été, j’étais avec les équipes de France, ce qui est très bien aussi, mais je pense que ce travail individuel en étant très concentré sur soi-même, avec un préparateur physique, un préparateur mental, c’est quelque chose que je recommande à un jeune de faire en plus. Ça m’aurait peut-être permis d’aller au niveau supérieur. Mais je suis très fier de ma carrière, je suis très en paix avec ce que j’ai pu faire.\n\n*L’EDHEC est une grande école de commerce située à Lille, Paris ou Nice mais également dans les grandes villes du monde.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nétait il y a deux ans et demi pour France 3, un match de Pro B entre Blois et Fos-sur-Mer. Je suis né en région parisienne mais j’ai grandi à Blois et ma première licence de basket, je l’ai prise à l’ADA Blois. France 3 voulait retransmettre un match et ils avaient besoin d’un consultant sport. C’est Julien Monclar (NDLR : le manager général de l’ADA) qui leur a dit qu’il connaissait quelqu’un qui avait le bon profil, capable d’avoir le niveau d’analyse et de bien s’exprimer. Il leur a dit « vous devriez essayer Pape-Philippe Amagou ». C’est comme ça que j’ai essayé la première fois. Je n’avais jamais pensé faire ça avant. J’ai eu énormément de plaisir à le faire et depuis j’ai fait plus d’une trentaine de matches pour France 3 et 12-15 pour Skweek TV. C’est devenu une belle partie de mon activité.\n\nComment préparez-vous vos matches ? Vous en visionnez beaucoup ?\nJe regarde beaucoup de basket, notamment de l’Euroleague et de l’Eurocup car ce sont des matchs que je suis amené à commenter. Les matches du championnat de France, c’est plutôt facile car je connais pratiquement tous les joueurs, les présidents, les directeurs sportifs et les arbitres. En Euroleague, même si j’y ai joué pendant quatre ans, il y a toujours de nouveaux joueurs, de nouvelles actualités. Je me documente, je vais sur les sites pour être prêt, pour que mes commentaires soient naturels et spontanés.\n\nAvez-vous des modèles de journaliste ou de consultant ?\nJ’aime beaucoup...\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Pape-Philippe Amagou (Tuan Nguyen)
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Vidéo : Un mois au Pôle, épisode 4
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Chaque mois, la fédération française de basket (FFBB) nous plonge au coeur de sa web-série en immersion avec le Pôle France, à l’INSEP. Quatrième épisode dédié au suivi médical.\n\n« Un de nos principaux objectifs, c’est la prise de conscience de l’importance du corps, d’en prendre soin et de le respecter pour aller loin et longtemps. » Dans ce quatrième numéro en immersion à l’INSEP, la FFBB propose de partir à la découverte du suivi médical des jeunes pensionnaires du Pôle France.\n\nRetrouvez aussi vos rendez-vous habituels : la joueuse et le joueur du mois, la perf’ du mois, le Wall of Fame avec Marine Fauthoux, et aussi la séquence « Comment Je », qui s’intéresse cette fois-ci au vécu des joueurs du Pôle au cours de la NBA Paris Week.\n\nA revoir : épisode 1 – épisode 2 – épisode 3\n\nPhoto : FFBB
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Mathias Lessort et la photo du «scandale»
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Dans le basket serbe, on adore les scandales. Le dernier en date concerne le joueur du Partizan, Mathias Lessort.\n\nQu’est-il reproché au Français ? D’avoir posé tout sourire après la victoire de son équipe sur l’ASVEL, à côté d’une tenture tendue par des supporters où on le voit tenir les « têtes » de Filip Petrusev et Nikola Kalinić, deux joueurs de l’Etoile Rouge, le grand rival -et le mot est faible.\n\nDe quoi faire les choux gras du site Maxbetsport qui écrit en titre « scandaleux » avec ce commentaire :\n\n« Bien sûr, personne ne peut empêcher les basketteurs du Partizan de célébrer leurs victoires, mais il y a des limites au goût et à l’esprit sportif. Mathias Lessort est allé trop loin, peut-être que le club lui-même devrait réagir... »\n\nA chacun de juger si cela vaut tout un fromage...
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Pro B : Malcolm Duvivier renforce Nantes
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L’arrière canadien Malcolm Duvivier (1,89 m, 27 ans) rejoint l’effectif nantais pour la fin de la saison.\n\nL’Hermine de Nantes a officialisé la venue d’un nouveau joueur sur sa ligne arrière. Malcolm Duvivier débarque en Loire-Atlantique pour renforcer une formation à la lutte pour la qualification en playoffs. Actuellement 9e de Pro B (9v-8d), cette arrivée, cherchée de longue date, tombe à pic pour les Nantais.\n\nL’arrière-ailier connaîtra sa première expérience professionnelle en France, après avoir évolué en NCAA et en ligue canadienne. En début de saison, Malcolm Duvivier évoluait dans la ligue finlandaise à Tapiolan Honka et affichait des statistiques plutôt flatteuses avec 15,9 points, 4,3 rebonds et 3,9 passes décisives pour 13,4 d’évaluation. Une belle pioche selon son futur coach Jean-Marc Dupraz, dans le communiqué officiel du club :\n\n« Depuis quelques temps, nous sondions le marché pour densifier l’effectif, et le profil de Malcolm correspond à nos critères de recherches : poste 2, très physique, qui pourra nous permettre de le faire aussi évoluer en 3. C’est un joueur complet, capable de shooter à 3-points, de passer, et de se créer son propre shoot. Il devrait arriver bientôt et nous permettre d’atteindre nos objectifs, à savoir le top 8 et jouer les playoffs. »\n\nPhoto : Malcolm Duvivier (NCAA)
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Eurocup féminine : l’ASVEL, Angers et Villeneuve d’Ascq en quarts de finale
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Sur les cinq équipes françaises encore en lice, trois ont rejoint les quarts de finale de l’Eurocup féminine : Villeneuve d’Ascq, Angers et l’ASVEL – deux formations qui se défieront au prochain tour. C’est en revanche terminé pour Charleville-Mézières et Lattes-Montpellier.\n\nComme l’année dernière, il y aura trois équipes françaises au rendez-vous des quarts de finale de l’Eurocup féminine. Déjà vainqueur de Sepsi au match aller (76-91), l’ASVEL – considérée comme favorite de la compétition aux yeux de la FIBA – a confirmé en l’emportant en Roumanie (87-83) en début de soirée. Un succès bâti notamment sur les 21 points et 4 rebonds de Marine Johannès, les 18 points, 5 rebonds et 4 interceptions de Gabby Williams et les 9 points et 11 rebonds de Sandrine Gruda.\n\nLes Lyonnaises retrouveront Angers, sorties gagnantes de leur double confrontation sur les Belges de Braine (89-83 après l’avoir déjà emporté 62-61 à l’aller). Devant leur public au retour, les joueuses d’Aurélie Bonnan se sont appuyées sur Alexis Peterson, auteur d’un match plein à 21 points à 7/15 aux tirs, 9 passes décisives, 5 rebonds et 3 interceptions en 33 minutes. Il s’agira d’un duel franco-français dans le top 8 pour des retrouvailles pour le coach lyonnais qui a permis à Angers d’initialement se qualifier en coupe d’Europe : David Gautier.\n\n\n🗞 APRÈS-MATCH\n\nLes Lionnes ont maintenu le rythme et maîtrisé le match retour (83-87) de ces 8ème de finale d’EuroCup Women !\n\n🔜 1/4 de finale @EuroCupWomen !\n\n➕ https://t.co/pKJX0fJdyP#ASVElles #EuroCupWomen pic.twitter.com/Jpy6Sdp6Zt\n\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) February 1, 2023\n\n\n\nLattes-Montpellier et Charleville-Mézières éliminés\n\nEn quarts de finale, l’ASVEL et Angers seront accompagnés de Villeneuve d’Ascq, large vainqueur des Hongroises de Pecs (74-44) qu’elles avaient déjà battu avec la manière à l’aller (74-66). Les joueuses de Rachid Meziane affronteront les Espagnoles de Saragosse pour une place dans le dernier carré de la compétition. À noter que ces quatre équipes ont été placées dans la même partie de tableau.\n\nEn revanche, l’aventure s’arrête pour Lattes-Montpellier et Charleville-Mézières. Battues à l’aller par Galatasaray (88-75), les Gazelles ne sont pas parvenues à inverser la tendance à domicile (57-67). Quant aux Flammes Carolo, leur victoire lors du match retour (77-65) face à Cadi La Seu n’a pas suffi à combler l’écart du match aller, remporté haut la main par les Espagnoles (72-54).\n\nLe tableau complet des quarts de finale\n\nPhoto : Sandrine Gruda – ASVEL féminin (FIBA)
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Euroleague : large vainqueur du Panathinaïkos, le Real Madrid reste coleader
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Mercredi soir, le Real Madrid n’a pas fait dans le détail contre un Panathinaïkos en manque d’inspiration (83-68). Les coéquipiers de Guerschon Yabusele (16 points, 7 rebonds) restent coleaders de l’Euroleague.\n\nLe Panathinaïkos n’a plus gagné dans la capitale espagnole depuis mars 2013. Cette série noire ne s’est – évidemment – pas achevée ce mercredi soir. Une classe d’écart séparait les Grecs, quinzièmes au classement avec un bilan négatif, des coleaders madrilènes. La logique a somme toute été respectée.\n\nDans un Wizink Center très peu rempli, les hommes de Chus Mateo ont annoncé la couleur d’entrée de jeu. Dans le sillage de Guerschon Yabusele, 8 points et 3 rebonds express, les Madrilènes menaient 13-2 après seulement 5 minutes de jeu. Le début d’une rencontre à sens unique, ponctuée par un horrible pourcentage à 2-points de 16 % dans le premier acte (26-14). La suite ? Un nouveau run de 16-0 qui anéantissait très vite tout espoir de retour (48-30 à la pause).\n\n\n⚡ @Petr_Cornelie ⚡ pic.twitter.com/MXcJMoR337\n\n— Real Madrid Basket (@RMBaloncesto) February 1, 2023\n\n\n\nÀ sens unique\n\nIl faut tout de même souligner la défense de fer des locaux. Peu étonnant quand on sait que le Real Madrid est la seconde meilleure défense de l’Euroleague avec 77,3 points encaissés en moyenne. Dans le naufrage des Grecs, deux dunks de Dwayne Bacon et Arturas Gudaitis ont réveillé le Wizink Center durant quelques minutes, le Pana revenant tout proche de la barre des 10 points après trois quart-temps (68-57). Une illusion dans le marasme : la fin du match ne fut qu’une formalité, le Real Madrid creusant de nouveau l’écart dès le début du quatrième (74-59, 35e).\n\n\nBacon is sizzling!! 🥵\n\nThrowin' it DOWN #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/pcAINVEiod\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 1, 2023\n\n\nLa bonne nouvelle côté tricolore, c’est la nouvelle prestation aboutie de l’ailier-fort Guerschon Yabusele, meilleur marqueur de son équipe. Le natif de Dreux termine à 16 points, 7 rebonds, 2 interceptions pour 21 d’évaluation en seulement 17 minutes. Mario Hezonja a ajouté 14 unités, et les deux autres Frenchies du soir, Petr Cornelie et Fabien Causeur, respectivement 8 et 4 points.\n\nToujours coleader avec un bilan de 15 victoires et 7 défaites, le Real Madrid se prépare à un déplacement plus difficile contre Monaco, de retour dans le top 4 en Euroleague grâce à sa victoire du soir contre Berlin. De son côté, le Panathinaïkos restera en Espagne afin de défier Baskonia.\n\nBoxscore Madrid – Panathinaïkos\n\nÀ Madrid.\n\nPhoto : Guerschon Yabusele (Euroleague)
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Euroleague : Monaco abat Berlin et retrouve le top 4
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Fin de série pour la Roca Team. Après avoir perdu ses quatre derniers matches en déplacement en Euroleague, Monaco a dominé de la tête et des épaules l’ALBA Berlin ce mercredi soir (84-102).\n\nAu complet, Monaco n’avait d’autre choix que de gagner sa rencontre face à la lanterne rouge d’Euroleague. C’est ce qu’Elie Okobo et ses coéquipiers ont fait en déplacement à la Mercedes Benz Arena, réintégrant ainsi le top 4 de la compétition. Alors qu’il reste 12 matches en saison régulière, ce succès – avec la manière – permet à la Roca Team de bien commencer sa course à l’avantage du terrain pour les playoffs.\n\nAu coude à coude après démarrage tambour battant, Monaco a rapidement pris le dessus sur un adversaire plus faible. Ce dernier s’appuyait sur ses forces en multipliant les relances rapides et en tentant même une box-and-one qui avait tant fait défaut à Mike James au match aller. Yakuba Ouattara remettait Monaco à -2 à la fin du premier quart (24-22, 10e). Malgré son grand vis-à-vis nommé Christ Koumadje, Donatas Motiejunas s’imposait dans sa raquette comme au large avec 9 points dès l’entame. Il terminera la rencontre avec 22 points en 20 minutes.\n\nSans son international allemand Maodo Lo, Berlin n’avait guère de solution pour inquiéter offensivement la solide défense du Rocher. En place collectivement, les Monégasques montaient d’un cran du deuxième quart-temps. Ils lançaient enfin leur rencontre avec une série à 15 points marqués pour 2 encaissés en seulement quatre minutes de jeu (32-43, 17e), portant ainsi le score à 36-51 à la mi-temps.\n\n\n.@mrjloyd ➡️ @DonatasMot 😤#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/AoI2W3bBEo\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 1, 2023\n\n\nAu retour des vestiaires, les Monégasques se sont faits quelques frayeurs... durant deux minutes tout au plus. Face à une équipe en grand manque de réussite (7/26 à trois-points), ils ont profité de chaque possession pour enfoncer le clou, tous ensemble. Derrière un Motiejunas de gala, Mike James a évidemment convaincu avec 13 points et 6 passes décisives. Quant au nouveau venu, Chima Moneke a fait une bien belle impression avec 6 points, 4 rebonds et beaucoup d’énergie déployée.\n\nYakuba Ouattara, encore lui, tuait la rencontre à sept minutes du terme avec un trois-points dans le corner (60-80, 33e). À 90 secondes de la fin, John Brown permettait à Monaco de passer la barre symbolique des 100 points. La deuxième fois consécutive après le succès contre Milan.\n\nLa large victoire décidée avant le dernier acte a même permis à Sasa Obradovic de faire tourner et de reposer ses leaders pour la réception du Real Madrid ce vendredi. En tête de l’Euroleague, l’armada espagnole voudra prendre sa revanche vis-à-vis du match aller, terminé par une victoire monégasque après prolongation.\n\nBoxscore ALBA Berlin – AS Monaco / Classement Euroleague / Calendrier Euroleague\n\nPhoto : Donatas Motiejunas (Euroleague)
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BCL : Strasbourg s’impose à Dijon et prend les commandes du groupe
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Mercredi soir, la SIG Strasbourg s’est adjugée le duel 100 % français du top 16 de BCL contre Dijon au Palais des Sports (72-85). Paul Lacombe (18 points, 7 passes, 6 rebonds) et Marcus Keene (22 points, 7 passes, 6 rebonds) ont été flamboyants.\n\nC’est un fait : Strasbourg a vécu des moments difficiles depuis le début de la saison. Pas épargnée par les blessures – y compris cette semaine avec celle de Jean-Baptiste Maille, victime d’une rupture des ligaments croisés -, la SIG a toujours pu compter sur la coupe d’Europe pour maintenir le cap. Sortis leaders de leur phase de poule, les hommes de Luca Banchi font désormais la course en tête dans le top 16 de la Basketball Champions League (BCL).\n\n\nY⛔ur attempts are n⛔ l⛔nger safe ☝☝#BasketballCL I @SIGStrasbourg pic.twitter.com/uo1VlG3jG8\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) February 1, 2023\n\n\nDans le sillage d’un succès épique au Rhénus contre Holon après deux prolongations, Strasbourg s’est offert une autre victoire importante – si ce n’est cruciale – à Dijon contre son rival français. Après un premier acte ultra offensif (29-32), la SIG s’est détachée juste avant la pause grâce notamment aux performances du quatuor Lacombe – Lansdowne – Keene – Massa, déjà tous à 10 points ou plus à la pause (41-50).\n\n\nLe récital du duo Lacombe – Keene\n\nPortée par son leader David Holston (19 points, 6 passes, 22 d’évaluation) et son public, la JDA Dijon a entamé un retour au troisième quart-temps (63-66). Mais l’équipe de Nenad Markovic n’est jamais parvenue à revenir à hauteur. Elle a manqué de jus sur la fin tandis que l’option Markis McDuffie, cinquième meilleur marqueur de Betclic Elite et exclu en tout début de partie après un contact avec Rodions Kurucs, a cruellement manqué dans le moneytime.\n\n\nDavid Holston: 37yo, 167cm/5'6''\nBodian Massa: 25yo, 208cm/6'10''\nHe never stood a chance...#BasketballCL | @jdadijonbasket pic.twitter.com/G9PMyq9FJu\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) February 1, 2023\n\n\nLa victoire strasbourgeoise est une oeuvre collective – 23 passes décisives à 14 et 68 % d’adresse à 2-points notamment – mais s’il faut sortir deux individualités, soulignons l’impact de Paul Lacombe et de Marcus Keene. En soldat, l’international français a été d’une régularité exemplaire et termine à 18 points à 7/9 aux tirs dont 2/3 à 3-points, 7 passes décisives, 6 rebonds et 2 interceptions pour 30 d’évaluation en 32 minutes. Le meneur américain a de son côté répondu au défi proposé par David Holston en compilant 22 points à 9/13 aux shoots, 7 passes et 6 rebonds pour 28 d’évaluation en 34 minutes.\n\n[adsence2]\n\nDans l’autre rencontre du groupe, l’Hapoël Jérusalem a surpris sur le fil l’Hapoël Holon dans le duel 100 % israélien (63-65). Conséquence : après deux journées de top 16, Strasbourg est désormais seul leader avant d’aller à Jerusalem mardi prochain. Entre temps, il y a aura une escale au Portel en Betclic Elite vendredi soir. De son côté, Dijon ira à Villeurbanne en championnat ce dimanche avant d’affronter Holon. Notons que, qualifié pour le Final Four la saison dernière, le champion d’Israël en titre est déjà en grand danger d’élimination.\n\nBoxscore Dijon – Strasbourg / Calendrier BCL / Classement BCL\n\nPhoto : Paul Lacombe (FIBA)
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Décès de Thierry Rupert : La responsabilité d’un médecin établie
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Le tribunal judiciaire du Mans a reconnu la faute du médecin, qui avait délivré à Thierry Rupert un certificat de non contre-indication à la pratique du sport de haut niveau, indique Ouest France.\n\nThierry Rupert, qui portait alors le maillot de la JDA Dijon, était décédé le 10 février 2013, à la suite d’un malaise cardiaque survenu lors d’un entraînement le 15 mai 2012.\n\n« Dix ans après le décès du basketteur Thierry Ruper, la bataille sur le terrain judiciaire de sa famille a peut-être livré son dénouement. Mardi 31 janvier 2023, le tribunal judiciaire du Mans (Sarthe) a reconnu la part de responsabilité d’un médecin de l’Institut régional de médecine du sport de Haute-Normandie (IRMS), dans la mort du sportif. Le jugement avait été mis en délibéré, à la suite de l’audience au civil, qui s’était déroulée le mardi 6 décembre dernier », indique le quotidien\n\nThierry Rupert est le père d’Iliana, qui joue cette saison pour la Virtus Bologne, et de Ryan, qui est actuellement aux New Zealand Breakers dans le championnat australien. Il a joué en professionnel dans dix clubs différents. Sa femme Elham est installée dans la Sarthe.\n\n[adsence2]\n\nPhoto : FFBB
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Vidéo : Quand Marine Fauthoux reçoit en cadeau le maillot de son joueur préféré...
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Regardez les yeux et le sourire de Marine Fauthoux quand elle reçoit le maillot dédicacé de son joueur préféré, Juan Carlos Navarro, alias La Bomba.\n\nC’est une vidéo de l’hebdomadaire Gigantes del Basket qui a saisi ce moment de bonheur.\n\n\nMarine Fauthoux, una de las grandes jugadoras jóvenes de Francia, recibió una camiseta firmada de NAVARRO como regalo de cumpleaños 💣🇫🇷\n\nHa sido siempre su gran ídolo.\n\n🎥@BasketLandes pic.twitter.com/ynkvArsNpP\n\n— Gigantes del Basket (@GIGANTESbasket) February 1, 2023\n\n\nPhoto : FIBA
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Belgique : Rachid Méziane coach des Belgian Cats jusqu’en 2024
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La Fédération Belge a confirmé Rachid Méziane dans ses fonctions de head coach de l’équipe nationale féminine jusqu’aux Jeux Olympiques de Paris en 2024, en cas de qualification.\n\nRachid Méziane, 42 ans, qui est parallèlement l’entraîneur de Villeneuve d’Ascq, a rejoint le staff des Cats en février 2022 pour le tournoi de qualification de la Coupe du monde à Washington. En novembre 2022, suite au licenciement de Valéry Demory, il a été nommé entraîneur pour la qualification au championnat d’Europe contre la Macédoine du Nord et la Bosnie-Herzégovine.\n\nDésormais, Rachid Méziane est sous contrat jusqu’en 2024, ce qui inclut, en cas de qualification, le championnat d’Europe 2023 et les Jeux olympiques de Paris 2024.\n\n« Rachid a brillamment conclu la mission en novembre », déclare le directeur général des Belgian Cats, Koen Umans. « Sur et en dehors du terrain, il y a un bon déclic avec le groupe de joueuses. Nous avons donc pleinement confiance en ses capacités à amener ce groupe à un niveau supérieur dans les années à venir. »\n\n« Avant tout, je suis extrêmement reconnaissant pour cette fantastique opportunité », a déclaré le Rachid Méziane. « C’est formidable de gagner la confiance du personnel, des joueurs et de l’équipe de direction. Bien sûr, il y a aussi beaucoup de motivation pour tirer le meilleur parti de ces joueuses au cours des prochaines années. Je suis impatient de commencer ce défi. »\n\nDans sa carrière, Rachid Méziane a entraîné Nice, Montpellier et, depuis 2019, Villeneuve D’Ascq. Il a aussi été adjoint de Valérie Garnier en équipe de France entre 2014 et 2021.\n\nPhoto : FIBA
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Strasbourg : Saison terminée pour Jean-Baptiste Maille !
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Le meneur de jeu de la SIG Strasbourg, Jean-Baptiste Maille (1,90 m, 29 ans), est victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou, et doit mettre un terme à sa saison.\n\nTouché au genou à la suite d’une mauvaise réception lors du dernier match face à la JL Bourg, Jean-Baptiste Maille a passé plusieurs examens médicaux afin de fixer un diagnostic. Les derniers réalisés ont permis de mettre en évidence une rupture totale du ligament croisé antérieur du genou gauche.\n\nUne intervention chirurgicale est d’ores et déjà programmée pour le joueur et son indisponibilité est fixée à 8 mois minimum, mettant ainsi un terme prématurément à sa saison. Le club est à la recherche d’un pigiste médical afin de pallier cette absence longue durée.\n\nJean-Baptiste Maille avait déjà été victime d’une rupture des ligaments croisés en 2017 alors qu’il portait le maillot du Limoges CSP.\n\nCette saison, en Betclic Elite, il tournait à 3,9 points, 3,2 rebonds et 3,4 passes en 20 minutes de moyenne.\n\n[adsence2]\n\nPhoto : FIBA
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Euroleague : Le Partizan interdit à vie à un supporter d’assister à ses matches à domicile
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Lors du match Partizan Belgrade-Baskonia Vitoria, un supporter serbe avait craché sur un arbitre. Il a été identifié et le Partizan lui interdit à vie d’assister à ses matches à domicile. Il a également déposé plainte.\n\nLe Partizan n’a pas hésité à publier sur les réseaux sociaux la photo de l’individu, précisant qu’il lui réclame le remboursement des 5 000 euros d’amende infligés par l’Euroleague, plus des frais supplémentaires.\n\n« Le Partizan a engagé la procédure de dépôt de plainte contre la personne aux initiales SG qui a craché sur l’arbitre lors du match Partizan Mozzart Bet-Baskonia, que l’on peut voir dans la vidéo ci-jointe, est-il écrit dans un communiqué. La police a identifié le visage de SG, et il lui est désormais interdit à vie d’entrer dans la salle où Partizan Mozzart Bet joue en tant qu’hôte. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo, SG a fait cet acte sans justification lors de l’avance au score convaincante du Partizan et sans aucun grief à faire quant aux décisions des arbitres. Le club réclamera des dommages-intérêts à l’auteur par l’intermédiaire des tribunaux pour l’amende de l’Euroleague de 5 000 euros, plus les frais supplémentaires. NOUS DEVONS ENSEMBLE BLOQUER LE CHEMIN DES ÉMEUTIERS DANS NOS SALLES !. »\n\n\nLice S. G. je od strane policije legitimisano i njemu je od sada doživotno zabranjen ulazak u halu gde god da Partizan Mozzart Bet igra kao domaćin. pic.twitter.com/6QuUXdoB9s\n\n— KK Partizan Mozzart Bet (@PartizanBC) February 1, 2023\n
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Les Français des Etats-Unis : Rudy Gobert sort de l’ombre, Killian Hayes dans la lumière
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Killian Hayes en visite au pays, les Wolves de Rudy Gobert vont (un peu) mieux et Evan Fournier attend toujours sa prochaine destination : quatrième point de la saison de nos Français expatriés aux Etats-Unis.\n\nChaque semaine,Basket Europevous propose un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger. Chaque mois, on fait aussi le point avec les principaux expatriés des Etats-Unis (NBA, G-League, NCAA).\n\nRudy Gobert et les Wolves connaissent une meilleure passe depuis le début 2023. Avec 11 victoires en 16 rencontres ce dernier mois, Minnesota a réintégré le large peloton des équipes à la lutte pour un ticket en playoffs. Derrière un Anthony Edwards en très grande forme (27,3 points de moyenne en janvier), principale source du succès des Loups, Rudy Gobert contribue au progrès défensif de la meute de Chris Finch (12e defensive rating avec 113,3).\nDe plus, le pivot des Bleus nous a offert de belles prestations en double-double, dont le 25 points et 21 rebonds en début de mois dans une victoire contre les Clippers de Nicolas Batum. Plus récemment encore, il sort de deux performances à plus de 13 points et 14 rebonds face aux magnifiques Sacramento Kings.\n\nLa saison d’Evan Fournier se complique un peu plus encore et ne devrait pas aller en s’arrangeant ces prochaines semaines, malgré l’arrivée imminente de la trade deadline le 9 février. Le capitaine de l’équipe de France avait réintégré la rotation de Tom Thibodeau le mois dernier, enchaînant six rencontres consécutives non sans mal. Et depuis le 11 janvier, il déplore seulement un match disputé.\nCelui qui a été papa pour la deuxième fois il y a quelques jours devrait cependant rester jusqu’à cet été à New York. Avec son contrat à 18 millions de dollars la saison (37M de dollars entre 2022-24), les Knicks préféraient garder Evan Fournier dans un transfert à plus grande échelle à l’intersaison. Si tel est le cas, Vavan pourrait être mis à contribution dans un effectif en course pour le playoffs, histoire de prendre de la valeur avant un départ estival.\n\n\nKillian Hayes, un Paris qui tourne mal ?\n\nKillian Hayes a été dans toutes les bouches en janvier. Après une belle fin de 2022, le meneur des Pistons a confirmé sa montée en puissance, sans pour autant faire gagner son équipe, toujours lanterne rouge de la NBA. De retour en France lors du NBA Paris Game, il a été la star d’un événement grandiose pour l’internationalisation de la NBA et la popularisation du basketball en France. Sur le parquet de l’Accor Arena, le rendez-vous a été plus compliqué pour Hayes avec 4 petits points, autant de ballons perdus et une défaite face aux Bulls. Tant pis pour cette fois, la saison n’est pas finie pour le Frenchie.\nMais depuis le voyage à Paris, son coach Dwane Casey le met à l’épreuve. Titulaire indiscutable depuis la blessure de Cade Cunningham, Killian Hayes s’est vu débuter quelques matches sur le banc et réduire son temps de jeu. Le 7e choix de la Draft 2020 voit grand en NBA. Après le mois le plus tumultueux de sa jeune carrière, Killian Hayes est mis face à ses responsabilités. Un joli défi pour lui.\n\nEn G-League, la formation française montre un meilleur visage. Renvoyé dans la ligue de développement après 35 matches avec les Hornets, Théo Maledon brille sous le maillot de Greensboro. Dans un championnat qui pousse vers le jeu rapide, le Tricolore enchaîne les performances en double-double avec une moyenne à 22,3 points par rencontre. Adam Mokoka et Joël Ayayi progressent eux-aussi pendant que Moussa Diabate (Clippers) et Ousmane Dieng (Thunder) s’invitent dans les rosters de NBA. Le premier cité a d’ailleurs affiché 13 points et 5 rebonds dans une large défaite contre les Cavaliers.\nDans une saison NBA où les Français sont davantage à la peine que les années précédentes, il y a de quoi se réjouir des générations qui arrivent. Patience.\n\n\nLes statistiques des Français de NBA\n\nRudy Gobert (Minnesota Timberwolves)\n27 victoires – 26 défaites | 9e de la Conférence Ouest\n13,4 points à 67,7 % aux tirs, 11,7 rebonds, 1,3 contre, 1,8 perte de balles et 0,9 passe décisive pour 22,3 d’évaluation en 31 minutes (44 matches)\n\nEvan Fournier (New York Knicks)\n27 victoires – 24 défaites | 7e de la Conférence Est\n6,8 points à 34,8 % aux tirs, 2,1 rebonds, 1,5 passe décisive, 0,6 interception et 1,0 perte de balles pour 5,7 d’évaluation en 19 minutes (20 matches)\n\nNicolas Batum (Los Angeles Clippers)\n28 victoires – 25 défaites | 4e de la Conférence Ouest\n6,2 points à 43,0 % aux tirs, 4,2 rebonds, 1,5 passe décisive, 0,6 interception, 0,7 contre et 0,7 perte de balles pour 9,4 d’évaluation en 21 minutes (50 matches)\n\nKillian Hayes (Detroit Pistons)\n13 victoires – 39 défaites | 15e de la Conférence Est\n9,8 points à 37,5 % aux tirs, 6,0 passes décisives, 2,8 rebonds, 1,3 interception et 1,9 perte de balles pour 11,5 d’évaluation en 27 minutes (52 matches)\n\nFrank Ntilikina (Dallas Mavericks)\n27 victoires – 25 défaites | 6e de la Conférence Ouest\n2,8 points à 36,5 % aux tirs, 1,4 rebond, 1,2 passe décisive et 0,8 perte de balles pour 2,9 d’évaluation en 13 minutes (30 matches)\n\nOusmane Dieng (Oklahoma City Thunder)\n4,1 points à 43,5 % aux tirs, 2,7 rebonds, 1,4 passe décisive, 0,3 interception, 0,3 contre et 0,6 perte de balles pour 5,8 d’évaluation en 15 minutes (16 matches)\n\nJoël Embiid (Philadelphie Sixers)\n32 victoires – 17 défaites | 3e de la Conférence Est\n33,6 points à 53,5 % aux tirs, 10,0 rebonds, 4,2 passes décisives, 3,7 pertes de balles, 1,2 interception et 1,7 contre pour 35,5 d’évaluation en 35 minutes (37 matches)\n\n[adsence2]\n\nLes statistiques des Français de G-League\n\nThéo Maledon (Greensboro Swarm)\n22,3 points à 47,0 % aux tirs, 8,8 rebonds, 5,5 passes décisives, 1,7 interception et 4,0 pertes de balles pour 25,3 d’évaluation en 36 minutes (6 matches)\nAvec les Charlotte Hornets :\n5,5 points à 40,5 % aux tirs, 2,5 passes décisives, 2,4 rebonds, 1,0 perte de balles et 0,8 interception pour 7,5 d’évaluation en 16 minutes (35 matches)\n\nMoussa Diabaté (Ontario Clippers)\n17,3 points à 58,5 % aux tirs, 12,2 rebonds, 2,6 passes décisives, 0,8 interception et 2,8 pertes de balles pour 25,3 d’évaluation en 32 minutes (18 matches)\n\nJoël Ayayi (Lakeland Magic)\n9,0 points à 53,9 % aux tirs, 5,4 rebonds, 4,0 passes décisives, 1,4 interception et 1,7 perte de balles pour 14,6 d’évaluation en 28 minutes (26 matches)\n\nSidy Cissoko (G-League Ignite)\n10,2 points à 43,8 % aux tirs, 2,7 rebonds, 2,6 passes décisives, 1,1 interception, 1,7 perte de balles et 1,0 contre pour 10,8 d’évaluation en 28 minutes (25 matches)\n\nSekou Doumbouya (Delaware Blue Coast)\n4,0 points à 38,2 % aux tirs, 2,6 rebonds, 0,9 passe décisive, 0,2 interception et 1,2 perte de balles pour 4,1 d’évaluation en 14 minutes (14 matches)\n\nAdam Mokoka (Oklahoma City Blue)\n12,2 points à 46,9 % aux tirs, 5,7 rebonds, 1,6 passe décisive, 0,9 interception et 1,6 perte de balles pour 14,0 d’évaluation en 30 minutes (24 matches)\n\n[adsence2]\n\nLes statistiques des Français de NCAA\n\nJoshua Mballa (Ole Miss)\n3,9 points à 49 % aux tirs, 2,6 rebonds, 0,3 passe décisive, 0,4 interception et 1,0 perte de balle en 10 minutes (14 matches)\n\nEddy Kayouloud (Central Arkansas)\n13,2 points à 41,5 % aux tirs, 5,8 rebonds, 0,9 passe décisive et 0,9 interception en 30 minutes (22 matches)\n\nYvan Ouedraogo (Gran Canyon)\n5,9 points à 62,2 % aux tirs, 5,9 rebonds, 0,3 passe décisive, 0,6 interception et 0,8 perte de balles en 23 minutes (13 matches)\n\nDaniel Batcho (Texas Tech)\n8,6 points à 64,3 % aux tirs, 4,8 rebonds, 1,4 passe décisive, 0,6 interception, 1,9 perte de balles et 1,8 contre en 26 minutes (16 matches)\n\nYohan Traoré (Auburn)\n2,4 points à 44,1 % aux tirs, 1,5 rebond, 0,2 passe décisive et 0,6 perte de balles pour 2,9 d’évaluation en 11 minutes (17 matches)\n\nAdama Bal (Arizona)\n2,9 points à 42,5 % aux tirs, 1,0 rebond, 0,5 passe décisive, 0,3 interception et 0,6 perte de balles pour 3,6 d’évaluation en 8 minutes (17 matches)\n\nKymany Houinsou (Washington State)\n4,8 points à 42,0 % aux tirs, 3,0 rebonds, 1,8 passe décisive et 1,9 perte de balles en 20 minutes (20 matches)\n\nAlex Tchikou (Rhode Island)\n3,5 points à 44,4 % aux tirs, 3,3 rebonds, 0,4 passe décisive, 0,7 contre et 1,4 perte de balles en 15 minutes (17 matches)\n\nJosaphat Bilau (Rhode Island)\n6,9 points à 44,4 % aux tirs, 5,8 rebonds, 0,5 passe décisive, 1,0 contre et 2,4 pertes de balles en 23 minutes (8 matches)\n\nQuentin Diboundje (East Carolina)\n7,1 points à 42,2 % aux tirs, 0,9 rebond, 0,6 passe décisive, 0,2 interception et 0,6 perte de balles en 18 minutes (18 matches)\n\nBenjamin Bayela (East Carolina)\n2,7 points à 23,1 % aux tirs, 2,9 rebonds, 0,3 passe décisive, 0,6 interception et 0,3 perte de balles en 14 minutes (15 matches)\n\n[adsence2]\n\nAlaaeddine Boutayeb (Arkansas State)\n2,8 points à 42,9 % aux tirs, 1,9 rebond, 0,3 passe décisive et 0,9 perte de balles en 10 minutes (12 matches)\n\nMaxime Raynaud (Stanford)\n7,7 points à 53,5 % aux tirs, 5,3 rebonds, 0,6 passe décisive, 0,7 contre et 1,4 perte de balles en 20 minutes (20 matches)\n\nKane Milling (UC Davis)\n6,0 points à 40,0 % aux tirs, 3,7 rebonds, 1,4 passe décisive, 0,5 interception et 1,3 perte de balles en 24 minutes (21 matches)\n\nLouis Lesmond (Harvard)\n5,8 points à 31,4 % aux tirs, 2,2 rebonds, 0,8 passe décisive, 0,8 interception et 0,8 contre en 21 minutes (5 matches)\n\nPhoto :
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Le contentieux entre Laurent Legname et la JL Bourg devant les prud’hommes
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L’audience de conciliation dans le contentieux qui oppose le coach Laurent Legname et son ancien club, la JL Bourg, n’ayant pas abouti, une procédure de jugement devant le Conseil des prud’hommes de Bourg-en-Bresse est en cours, informe Le Progrès.\n\nVia son avocat, Me Xavier Le Cerf-Galle, Laurent Legname demande le versement de ses indemnités légales de licenciement, c’est-à-dire l’intégralité des salaires jusqu’à la fin de son contrat sachant qu’il était lié avec le club burgien jusqu’au 30 juin 2024, avec en plus des indemnités compensatrices de congés payés et des dommages et intérêts complémentaires.\n\nPhoto : Jacques Cormarèche
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Equipe de France 3×3 : 14 joueurs en stage pour préparer 2023
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Quatorze joueurs ont rendez-vous du 20 au 26 février sur l’Île de Ré puis à La Rochelle avec l’Équipe de France 3×3 pour le premier stage de l’année 2023.\n\nAprès un été marqué par une médaille de bronze à la Coupe du Monde, l’Équipe de France masculine 3×3 se retrouvera à La Rochelle pour le premier rassemblement de 2023. L’occasion pour l’entraîneur Karim Souchu de procéder à une première revue d’effectif et préparer les différentes échéances estivales. En plus de la Coupe du Monde, où la France aura un statut à défendre, les Bleus doivent disputer la Coupe d’Europe et les Jeux Européens qui auront lieu également cet été. Des événements à ne pas manquer afin d’engranger un maximum de points dans la course à la qualification aux Jeux Olympiques de Paris 2024.\n\nSept joueurs issus de la première équipe professionnelle française de 3×3 (« 3×3 Paris ») dont le numéro un français Alex Vialaret, prendront part à ce premier rassemblement. À l’issue du stage, l’ensemble des joueurs participeront à un tournoi international, organisé à La Rochelle les 24 et 25 février.\n\nNomPrénomDate de N.Ranking MondialClubAYGALENQAlexandre24/03/19975583×3 ParisCURIERGaylor04/02/1992NCCholet Basket (Betclic Élite)DELAUNAYLéopold14/11/2001159Vichy-Clermont (Pro B)DJOKOPaul02/07/1998623×3 ParisDUSSOULIERLucas27/07/1996220Nanterre 92 (Betclic Élite)EITOAntoine06/04/1988148Élan Chalon (Pro B)FAUCHEVincent05/11/19961633×3 ParisPONTENSCharly13/07/1995NCPoitiers Basket 86 (Pro B)RAMBAUTJules06/04/1998NC3×3 ParisSAUTIERSylvain14/01/198973–SEGUELAFranck30/05/1997493×3 ParisSUHARDHugo13/03/1992136CEP Lorient (NM1)THIROUARD-SAMSONLorenzo19/02/2001100Lille Métropole (Pro B)VIALARETAlex15/12/1994463×3 Paris\n\nEntraîneur : Karim Souchu\n\nAssistant coach : Sylvain Maurice\n\nPhoto : Franck Seguela (FIBA)
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Pro B : Chalon cède à Vichy-Clermont
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L’Elan Chalon a concédé 21 pertes de balles face à Vichy-Clermont et c’est l’une des raisons majeures de son premier échec en 2023 (71-62).\n\nTrois milliers de spectateurs ont pu apprécier le 13-0 infligé par les Auvergnats à leurs invités qui leur a permis de mener 23-9 un peu avant la fin du premier quart-temps. Chalon s’est retrouvé derrière une bonne partie du match (49-39, 24e) avant de se réveiller pour revenir à la hauteur de son adversaire après 30 minutes (54-54). Mais, avec 26 points d’Ivan Février, Vichy a su redonner un coup de collier décisif.\n\n« Un match comme ça, il faut être prêt pour la bagarre. Nous, on a été soft. Absent toute la première mi-temps. En attaque, ça a été compliqué aussi. On ne met pas un ballon à l’intérieur et quand on y arrive, on le perd. En plus, on est dominé au rebond. Ce n’est pas normal qu’un extérieur qui vient du corner vienne prendre des rebonds offensifs. Non, on n’était pas prêt pour le combat. Individuellement, on a beaucoup de joueurs qui n’ont pas répondu présent, » a commenté le coach Savo Vucevic au JSL.\n\nVoici comment Saint-Quentin (12-4), vainqueur d’Evreux, a récupéré sa première place devant Vichy-Clermont et Chalon (13-5), la JAVCM ayant empoché en plus le point-average au terme de cette soirée.\n\nPhoto : Savo Vucevic (Charlotte Geoffray)
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Euroleague féminine : Bourges toujours en course pour les quarts de finale
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Vainqueur de Szekszard en Hongrie (61-77), Bourges peut toujours croire en sa qualification pour les quarts-de-finale de l’Euroleague.\n\n« Sur les trente premières minutes, on ne peut pas dire qu’on a fait un match reluisant ; la différence s’est faite sur l’investissement, le cœur et l’énergie qu’on a mis dans le dernier quart », a résumé le coach Olivier Lafargue au Berry.\n\nLes Tango se sont ainsi fait mener, 18-11, et c’était toujours le cas après trois quarts-temps, 50-49. Le déclic est survenu dans les 10 dernières minutes lorsque les vannes de la défense hongroises ont totalement cédé : 11-28. Alors qu’elle est forfait pour les deux prochains matches des Bleues face à la Lituanie et la Finlande, la plus belle production est venue de la meneuse Alix Duchet avec 20 points (5/7 à trois-points) et 7 passes. Yvonne Anderson (15 points et 6 passes) étant toujours indispensable.\n\nIl faut maintenant que Valence parvienne à s’imposer ce mercredi à Polkowice, et ainsi la qualification se jouera la semaine prochaine en Pologne.\n\nPhoto : Alix Duchet (FIBA)
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Le dessin rétro : La grève des arbitres en 1975
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Au début de l’année 1975, lors de la journée du 25 janvier du Championnat de France de Nationale I(*), 15 des 16 arbitres désignés refusent de prendre le sifflet.\n\nLes arbitres souhaitent alors dénoncer l’insécurité dont ils sont victimes dans les salles et les critiques régulières dans la presse mettant en cause l’impartialité et leur niveau. Ou, formulé autrement, comme on peut le lire dans L’Equipe Basket Hebdomadaire du 29 janvier 1975 : « Ils en avaient assez d’en prendre plein la g... pour pas un rond... ».\n\nIls se défendent d’ailleurs d’être grévistes : « Une grève est un geste professionnel. Or, nous sommes des amateurs. En fait, nous sommes indisponibles... ». Dans un contexte d’enjeux financiers grandissants dans un basket français en crise de croissance, en route tant bien que mal vers le professionnalisme, les arbitres refusent de jouer les boucs-émissaires des tensions qui s’exacerbent dans les salles.\n\n(*) La Nationale I, à ne pas confondre avec la NM1 actuelle, est alors le plus haut niveau (équivalent à l’actuelle Betclic Elite)
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Sasha Djordjevic : «Je veux que le basket chinois retrouve l’enthousiasme de l’époque de Yao Ming»
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Dans une interview à La Repubblica, Sasha Djordjevic a évoqué ses années passées à Milan, comme joueur (1992 à 1994 et 2005) et comme entraîneur (2006-07), et aussi ses ambitions maintenant qu’il est à la tête de l’équipe nationale de Chine.\n\n« C’est une affection que je ressens, ça me rend fier et ça me rend si heureux parce que j’ai choisi avec ma famille de devenir et d’être milanais. Quand j’ai gagné la Coupe d’Europe en 1992, j’ai eu beaucoup d’offres. J’ai dit à mon agent : ‘Y a-t-il Milan aussi ? S’il y a, prenons celle-là, je me fous du reste’. J’ai grandi comme ça, en admirant Simac de Dan Peterson, JB Carroll, Dino (Meneghin), Mike (D’Antoni), Premier, le retour avec Aris. C’est un lien profond qui s’est développé au fil du temps. L’année dernière, au Forum, j’ai encore vu des fans porter mon maillot, tout comme le souvenir de mon dernier match reste indélébile : même M. Armani portait mon numéro 19. C’est quelque chose que j’ai à l’intérieur et que je porte toujours avec moi. »\n\nLe Serbe veut se montrer ambitieux dans sa nouvelle mission en Chine :\n\n« J’ai toujours cherché des défis dans ma vie et entraîner la Chine est un choix fort, différent, hors de ma zone de confort mais avec des objectifs sportifs très précis. Je veux que le basket chinois retrouve l’enthousiasme de l’époque de Yao Ming. »\n\nPhoto : FIBA
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