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Le chiffre : Lorenzo Brown sera le 11e naturalisé à jouer pour l’Espagne
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S’il joue effectivement cet été, le combo guard Lorenzo Brown (1,96 m, 31 ans) sera le 11e joueur naturalisé à revêtir le maillot de l’équipe d’Espagne. C’est le quotidien AS qui a fait le calcul.\n\nC’est Clifford Luyk qui fut le premier étranger d’origine à jouer pour l’Espagne, en novembre 1966. Il a épousé une Espagnole, Paquita Torres, Miss Europe, et il s’est installé définitivement à Madrid, remportant 6 coupes d’Europe, 14 ligues et 10 coupes avec le Real. Il a fait équipe avec Wayne Brabender qui a été naturalisé en 1968.\n\nJuan Domingo de la Cruz était Argentin, Chicho Sibilio Dominicain, Jose Biriukov Russe par son père, mais Espagnol par sa mère, Serge Ibaka Congolais, Nikola Mirotic Monténégrin, les autres Américains.\n\nJoueurSélectionsWayne Brabender190Clifford Luyk150Juan Domingo De La Cruz131Chicho Sibilio87Jose Biriukov57Serge Ibaka50Nikola Mirotic30Mike Smith30Chuck Kornegay18Johnny Rogers16\n\nPhoto : Lorenzo Brown (Euroleague)
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N1 : Pierre Tavano remplace Laurent Sciarra comme coach à Hyères-Toulon
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Laurent Sciarra ayant démissionné après avoir mené le HTV en Nationale 1, c’est Pierre Tavano qui lui succède sur le banc.\n\nAprès avoir été pendant seize années l’adjoint de l’actuel entraîneur de l’équipe de France, Vincent Collet, au Mans, à l’ASVEL puis à Strasbourg, Pierre Tavano, 54 ans, était devenu coach principal à Tours, club qu’il a emmené de la N2 à la Pro B en cinq ans. ll a signé pour deux ans avec le club du Var.
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EuroBasket : La Serbie a commencé sa préparation avec Nikola Jokic
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L’équipe nationale serbe s’est réunie hier, lundi, et a entamé la préparation aux qualifications à la Coupe du Monde et à l’EuroBasket. Le MVP de la NBA Nikola Jokic est au centre du dispositif.\n\nLe premier match des qualifications à la Coupe du Monde 2023 aura lieu le 25 août en Serbie contre la Grèce, et trois jours plus tard, les Serbes joueront en Turquie. Puis, du 1er au 18 septembre, ce sera au tour de l’EuroBasket. La Serbie est dans le groupe D à Prague, et les rivaux seront Israël, les Pays-Bas, la Finlande, la Pologne et la République tchèque.\n\n22 joueurs sont en préparation : Aleksa Avramović, Nemanja Bjelica, Dejan Davidovac, Ognjen Dobrić, Marko Gudurić, Marko Jagodić-Kuriža, Ognjen Jaramaz, Nikola Jokić, Nikola Jović, Nikola Kalinić, Balša Koprivica, Vladimir Lučić, Vanja Marinković, Vasilije Micić, Nikola Milutinov , Nemanja Nedović, Aleksej Pokuševski, Filip Petrusev, Dušan Ristić, Boriša Simanić, Alen Smailagić et Miloš Teodosić.\n\nA propos des chances de la Serbie, la FIBA écrit :\n\n« La Serbie est un éternel prétendant à une médaille et le MVP de la NBA Nikola Jokic élève ce statut, mais ne négligez pas la perte considérable de Bogdan Bogdanovic. Le talent supplémentaire de Nemanja Bjelica, Vasilije Micic et Aleksej Pokusevski les place toujours dans la liste des prétendants au titre. »\n\nPhoto : FIBA
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EuroBasket U18 : Les Français invaincus avant les 8e de finale
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3/3 en phase de groupe pour les Bleuets qui aujourd’hui ont dominé Israël, 82-66.\n\nL’écart final est moins imposant que face à la Grande-Bretagne (+52) et le Monténégro (+57), mais le résultat est le même. En fait, les Bleuets ont eu du retard à l’allumage avant de passer un 19-0 à leurs adversaires pour mener 28-12. Ils ont mis 53 points aux Israéliens entre le 2e et le 3e quart-temps avant de se relâcher un peu dans le dernier (12-23).\n\nZacharie Perrin (20 points et 8 rebonds) et Bilal Coulibaly (13 points et 7 rebonds) ont été les plus productifs avec 21 d’évaluation chacun. Toute l’équipe a été dominatrice au rebond : 41-25. Il reste à soigner l’adresse à trois-points (28,6%).\n\nLes Français feront face mercredi au quatrième du groupe B pour le compte des huitièmes de finale.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Halvine Dzella-Diakeno (FIBA)
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Power ranking FIBA EuroBasket : La France favorite pour... la médaille d’argent
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La Fédération Internationale a établi son traditionnel power ranking de l’EuroBasket. Des prédictions en somme... La Slovénie est favorite pour conserver son titre devant la France et la Grèce.\n\nA propos de la France, la FIBA écrit :\n\n« Il y a eu beaucoup de discussions sur la création d’une dynastie, et l’EuroBasket fournit la plate-forme idéale pour la première étape de ce plan. Le vivier de talents est profond, même avec quelques absents notables, et il incombera à des amis proches, Rudy Gobert et Evan Fournier, de mener Les Bleus à ce qu’ils espèrent être un premier titre ensemble après le triomphe de 2013. L’absence de Victor Wembanyama est également un coup dur pour beaucoup qui espéraient le voir. »\n\nLes adversaires de la France au premier tour sont la Slovénie (1ère), la Lituanie (5e), l’Allemagne (9e), la Bosnie-Herzégovine (16e) et la Hongrie (21e).\n\nL’ensemble du ranking est à découvrir ici.\n\nPhoto : Moustapha Fall (FIBA)
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64e de Coupe de France : Blois et Nancy déjà sur le grill
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Le premier tour de la Coupe de France, Trophée Robert Busnel, aura lieu le mercredi 21 septembre. 24 matches sont au programme. Unique pensionnaire de NM2, Fougères accueillera Vitré (NM1) dans un derby breton, alors que Blois et Nancy seront déjà en course.\n\nLa commission fédérale 5×5 a effectué le tirage au sort du premier tour de la Coupe de France. 48 équipes (1 NM2, 27 NM1, 18 Pro B et 2 Betclic Elite, les promus Blois et Nancy) sont engagées dans ces 64e de finale de la Coupe de France.\n\n64e de finale de la Coupe de France\nMercredi 21 septembre à 20h00\nAndrézieux Bouthéon (NM1) – Besançon (NM1)\nHyères-Toulon (NM1) – Lyon (NM1)\nSaint Chamond (Pro B) – Aix-Maurienne (Pro B)\nPont de Cheruy (NM1) – Feurs (NM1)\nChalon (Pro B) – Vichy-Clermont (Pro B)\nSaint Vallier (Pro B) – Antibes (Pro B)\nBoulazac (Pro B) – Lorient (NM1)\nQuimper (Pro B) – Les Sables d’Olonne (NM1)\nToulouse (NM1) – Angers (Pro B)\nLa Rochelle (Pro B) – Nantes (Pro B)\nTarbes Lourdes (NM1) – Poitiers (NM1)\nTours (NM1) – Challans (NM1)\nBoulogne (NM1) – Caen (NM1)\nFougères (NM2) – Vitré (NM1)\nChartres (NM1) – Rennes (NM1)\nLe Havre (NM1) – Berck (NM1)\nBlois (Betclic Elite) – Evreux (Pro B)\nOrléans (Pro B) – Rouen (NM1)\nCergy-Pontoise (NM1) – Châlons-Reims (Pro B)\nLille (Pro B) – Loon Plage (NM1)\nAS Alsace (Pro B) – Mulhouse (NM1)\nDenain (Pro B) – Kaysersberg Ammerschwihr (NM1)\nOrchies (NM1) – Rueil (NM1)\nSaint-Quentin (Pro B) – Nancy (Betclic Elite)\n\nPhoto : Stéphane Gombauld (SLUC Nancy)
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Pro B : L’arrière américain T.J. Price recrue de Quimper
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Les Béliers de Kemper enregistrent la signature de l’arrière américain T.J Price (1,93 m, 29 ans) pour la saison 2022-2023.\n\nAprès une saison à Lille en 2015-2016, T.J. Price revient en France après avoir sillonné les Etats-Unis, l’Asie et l’Europe de l’Est. Formé du côté de Western Kentucky University, il a effectué un cursus complet de quatre années avant de découvrir le monde professionnel au Lille Métropole Basket. A l’époque, il tournait à une belle moyenne de 15,4 points/match et il partageait le poste avec un rookie, Paul-Lou Duwiquet, lui-même quimpérois.\n\nAprès aventure française qui avait amené le club nordiste jusqu’en playoffs, il a fait son retour aux Etats-Unis en G-League. En deux saisons, il a disputé 99 matchs entre les Hawks de Erie Bay et le Magic de Lakeland. En 2018, il a signé son retour en Europe en signant à Egis Kormend en première division hongroise. Il a ensuite réalisé une pige de 2 matchs à Hong-Kong avant de revenir en Hongrie pour 7 rencontres. Après 19 rencontres en Roumanie en 2019-2020, il est revenu une nouvelle fois en Hongrie du côté de Kaposvari. Lors du dernier exercice, il tournait à 16 points à 36,2% de réussite à trois-points, 4,1 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 14,7.\n\nClubs précédents\n2011-2015 : Western Kentucky University (NCAA)- 2015-2016 : Lille Métropole Basket (France – Pro B) – 2016-2017 : Erie Bay Hawks (Etats-Unis – G-League)- 2017-2018 : Lakeland Magic (Etats-Unis – G-League)- 2018-2019 : Egis Kormend (Hongrie – A League) – 2019-2020 : Hong Kong Eastern Long Lions (Hong Kong – D1) puis Szolnoki Olajbanyasz KK (Hongrie – A League) – 2020-2021 : CS Dinamo Stiinta Bucuresti (Roumanie – Division A) – 2021-2022 : Kaposvari KK (Hongrie – A League)
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32e de finale de la Coupe de France Féminine, le samedi 8 octobre
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1 équipe de NF1 et 11 équipes de LF2 participeront aux 32e de finales de Coupe de France Féminine qui auront lieu le samedi 8 octobre.\n\nPremier tour de la Coupe de France féminine, Trophée Joë Jaunay\nSamedi 8 octobre à 20h00\nLe Poinçonnet (NF1) – La Tronche Meylan (LF2)\nFeytiat (LF2) – Montbrison (LF2)\nMonaco (LF2) – Charnay (LF2)\nIllkirch Graffenstaden (LF2) – Calais (LF2)\nReims (LF2) – Chartres (LF2)\nAulnoye (LF2) – Mondeville (LF2)
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Naturalisation de Lorenzo Brown : Le président de la fédé espagnole, Jorge Garbajosa, répond aux critiques
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Jorge Garbajosa, le président de la Fédération espagnole, a répondu sur Radio Marca aux diverses questions d’actualité, notamment sur la sélection en équipe nationale du naturalisé Lorenzo Brown (1,96 m, 31 ans), ce qui a soulevé de vives critiques en Espagne :\n\n\nÀ propos de l’Eurobasket 2022 :\n\n« Ce n’est pas une préparation normale pour un championnat très exigeant : l’Espagne, la France, la Grèce, l’Italie, l’Allemagne, la Slovénie, la Serbie, la Croatie, la Lituanie, la Turquie sont candidates au podium. Le défi est probablement le défi le plus exigeant auquel nous ayons été confrontés ces derniers temps, mais nous allons nous battre et essayer comme cette équipe l’a toujours fait. Avoir Rudy (Fernanndez) et Llull dans l’équipe est inestimable et je suis sûr que nous reviendrons de ce championnat la tête haute, avec une médaille ? On verra. Le 1er août, je dis que je vais terminer ce championnat heureux car le défi est très exigeant et je suis très excité car nous avons la meilleure équipe du monde».\n\n\nA propos du changement de cycle dans la sélection :\n\n« Ce que nous avons vécu n’est pas normal, ce n’est pas normal de gagner autant. Je me souviens qu’à Pékin 2008 après la finale un collègue m’a demandé si Pau allait s’en aller et il est parti 13 ans plus tard. Au cours des 4 dernières années, jusqu’à 40 joueurs ont fait leurs débuts avec l’équipe nationale et il y a une relève bien pensée et les fenêtres nous ont donné une opportunité. Voici un plan de croissance pour l’avenir.\n\n\nÀ propos de Lorenzo Brown :\n\n« Qu’il perde sa citoyenneté américaine est un énorme symbole d’engagement. Il admire beaucoup l’équipe espagnole et cela coïncide à un moment de blessures à Ricky (Rubio) et Alocén et la retraite de Sergio Rodríguez. Ce qui me dérange c’est la critique facile et populiste des gens qui connaissent pas le travail derrière et quand plus de 40 joueurs ont débuté ces années-là avec l’équipe nationale, on dit qu’en naturalisant un joueur en 6 ans, on limite l’ambition des enfants et ce n’est pas vrai, c’est un mensonge. Il vient combler un écart très important et fait partie des meilleurs passeurs d’Europe et le laisser de côté serait irresponsable. Il a une ambition excitante de porter le maillot de l’équipe nationale ».\n\nPhoto : Lorenzo Brown (Euroleague)
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Pro B : Le Jamaïcain Tyran De Lattibeaudière, de Tours à Orléans
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L’ailier fort jamaïcain Tyran De Lattibeaudière (2,02 m, 31 ans) a signé à Orléans.\n\nL’ancien joueur de Lamar en NCAA connaît bien la France pour avoir joué à Tours, par deux fois, Denain, et Nancy. La saison dernière, à Tours, en Pro B, il a pointé à 13,2 points, 5,9 rebonds et 14,9 d’évaluation.\n\n\n« C’est vraiment un style de joueur qu’on aime avoir dans son effectif ! Il a une grande activité des deux côtés du terrain. Un jeu très agressif avec beaucoup d’énergie. Il est très complémentaire avec Jérémy Leloup. Nous comptons sur son expérience dans la division pour apporter à l’équipe, » commente le coach Germain Castano.\n\n\nPhoto : Tours MB
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Euroleague : Oriol Pauli de retour au Barça
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Le FC Barcelone a officialisé le retour au club de l’ailier Oriol Paulí (2,01 m, 28 ans), signé pour les deux prochaines saisons.\n\nOriol Paulí avait résilié son contrat avec MoraBanc Andorre pour être libre de signer au Barça, un club qui fut le sien en jeunes pendant huit saisons, de 2006 à 2014. Il avait pris place ensuite à Gran Canaria pendant six saisons avant de passer deux ans à Andorre.\n\nLors de la dernière campagne en Andorre, il a récolté en moyenne 6,4 points et 3,6 rebonds en 22 minutes par match en liga Endesa. En Eurocup, il s’est fendu de 8,2 points, 4,8 rebonds, 2,6 passes et une évaluation de 12,1 en 22 minutes par match.\n\nLe renfort de Paulí complète ceux de Tomas Satoransky, Jan Vesely Mike Tobey, Nikola Kalinic et Oscar Da Silva.\n\nPhoto : Eurocupbasketball
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Gavin Schilling, un ancien pivot du Bayern Munich à Limoges
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Le Limoges CSP vient d’ajouter un dernier puzzle à son recrutement estival avec le Germano-américain Gavin Schilling, un pivot de 2,06 m et 26 ans.\n\nS’il est né à Munich, Gavin Schilling est parti à l’âge de 8 ans vivre aux États-Unis avec sa famille. Il a fait quatre saisons de NCAA aux Spartans du Michigan. Puis, il es retourné dans son pays de naissance : l’Allemagne. Il a signé pour deux saisons au Ratiopharm Ulm et rejoint ensuite les Basketball Löwen Braunschweig pour un an. En 2021, il s’est engagé au Bayern de Munich avec qui il a disputé notamment l’Euroleague.\n\nEn tant qu’ailier fort du Bayern, il a tourné à 4,9 points pour 4,8 rebonds et 0,6 passe décisive durant la saison 2021-2022. C’est pourtant bien au poste de pivot que le Limoges CSP compte le faire évoluer.\n\nKevin Anstett, Directeur sportif : “Gavin va pouvoir nous apporter son expérience du haut niveau que ce soit par son passage à Michigan State, ULM ou dernièrement le Bayern Munich. Il a exprimé le désir de quitter l’Allemagne pour évoluer à l’étranger sans le statut de joueur formé localement et nous sommes heureux qu’il ait décidé de venir à Limoges. Nous attendons qu’il passe encore un cap avec nous, sur le plan offensif, comme il avait pu le faire à Braunschweig et qu’il soit notre socle défensif tout comme Wilfried. Gavin était la pièce manquante de notre puzzle et maintenant nous sommes au complet. Nous avons hâte de nous mettre au boulot sur le parquet et de créer cette alchimie dans l’équipe.”\n\n\nMassimo Cancellieri, entraîneur : “Gavin est motivé pour avancer dans sa carrière et cela compte beaucoup pour moi. Il a le physique et la taille dont nous avons besoin dans la raquette. Sa capacité à être complémentaire de son coéquipier nous apportera un plus.”
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EuroBasket : L’Allemagne sera privée de son géant Tibor Pleiss
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Alors qu’il vient de prolonger son contrat à Anadolu Efes jusqu’en 2024, le pivot allemand Tibor Pleiss (2,21 m 32 ans) ne participera pas à l’EuroBasket.\n\nC’est une blessure à la cuisse qui empêche le géant de faire son retour en équipe nationale qu’il n’a pas fréquenté depuis six ans.\n\n« J’ai subi la blessure lors du match de la Coupe (de Turquie) », a révélé Pleiss dans le podcast Talkin’ Basketball. « Je suis quand même devenu un MVP, et j’en suis heureux. Malheureusement, j’avais déjà eu quelques blessures mineures dans ce match et j’ai subi une blessure à la cuisse. Pour le reste de la saison, qui a été très réussie, j’ai dû prendre des analgésiques. Cependant, j’ai remarqué que ces analgésiques ne sont pas très bons pour le corps, mais parfois, vous ne pouvez tout simplement pas jouer sans eux. J’ai rencontré Gordon Herbert (l’entraîneur de l’équipe d’Allemagne) et nous avons convenu de voir comment la blessure évoluerait au cours de l’été pour voir si je pouvais le faire (l’EuroBasket]. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Je suis rentré d’Égypte et j’ai commencé à m’entraîner tout de suite parce que je voulais rester en forme et, espérons-le, jouer à l’EuroBasket. Plus tard, j’ai passé une IRM à Cologne et j’ai rencontré les médecins. Malheureusement, on m’a dit que cela n’aurait pas beaucoup de sens pour moi de jouer (l’EuroBasket) car je devrais probablement continuer à prendre des analgésiques. De plus, je ne serais pas prêt à 100%, et je ne suis pas un jeune non plus. »\n\nLa saison dernière, Tibor Pleiss a obtenu en moyenne 9,6 points, 4,3 rebonds et 11,2 d’évaluation en 40 matchs d’Euroleague. Dans la finale victorieuse contre le Real Madrid, Pleiss a joué 31 minutes et a terminé le match avec 19 points, 7 rebonds, 1 interception, 2 contres et 24 d’évaluation.\n\nA l’EuroBasket, l’Allemagne sera à Cologne dans le groupe de la France, la Lituanie, la Slovénie, la Bosnie-Herzégovine et la Hongrie.\n\nPhoto : Euroleague
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Les joueurs et joueuses français(e)s qui iront dans des clubs en Russie et Biélorussie seront exclus des équipes de France
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Les joueurs, joueuses et staffs des Équipes de France ne seront plus sélectionnables s’ils signent un contrat avec un club russe ou biélorusse, tant que le conflit est en cours, a décidé la FFBB comme elle l’indique dans un communiqué.\n\n« Outre les sanctions et les mesures visant à limiter les partenariats et autres soutiens financiers provenant d’entités ayant des liens avec l’Etat russe et la Biélorussie, les fédérations internationales sportives, dont la FIBA, ont décidé de l’exclusion des équipes nationales, des clubs et des sportifs russes des compétitions internationales. La Fédération Française de BasketBall (FFBB) soutient l’ensemble de ces mesures.\n\nRéuni le 28 juillet 2022, le Bureau Fédéral a décidé que les joueurs, joueuses et staffs qui signeraient un contrat avec un club russe ou bélarusse ne pourront plus être sélectionnés tant que les mesures d’exclusion de toutes les compétitions internationales seront en vigueur. Cette décision s’applique également aux joueurs, joueuses, membres du staff ayant déjà signé avec un club russe ou bélarusse.\n\nA cet effet, l’ensemble des délégations sélectionnées en Équipe de France masculine et féminine seniors est invité à signer une attestation sur l’honneur pour participer aux rassemblements et compétitions internationales. Joueurs, joueuses et membres du staff devront signer cette attestation, indiquant qu’ils ne sont pas engagés et ne s’engageront pas avec un club russe ou bélarusse pendant la durée du conflit avec l’Ukraine.\n\nIl est indiqué que si cet engagement n’était pas respecté, le joueur, la joueuse ou le membre du staff ne respecterait alors plus les critères de sélection pour les prochaines échéances internationales, incluant les Jeux Olympiques 2024. »\n\nSont ainsi concernés Louis Labeyrie (Zenit Saint-Petersbourg), et Livio Jean-Charles (Olympiakos). Il reste à savoir si Thomas Heurtel dont on dit qu’il pourrait signer au Zenit est concerné par cette mesure.\n\nPhoto : Louis Labeyrie (FIBA)
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Le programme de préparation de l’ASVEL avec un Tournoi aux Philippines
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L’ASVEL a publié son programme de préparation de la saison 2022-23. Son statut de club d’Euroleague lui permet de participer à un tournoi aux Philippines, un pays fou de basket, avec notamment un match face à l’équipe nationale.\n\nPhoto : Paul Lacombe (Infinity Nine Media)
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Adam Silver : «Bill Russell était le plus grand champion de tous les sports d’équipe»
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Le Commissioner de la NBA, Adam Silver, a rendu hommage dans un communiqué à Bill Russell, disparu, hier dimanche, à l’âge de 88 ans :\n\n« Bill Russell était le plus grand champion de tous les sports d’équipe. Les innombrables récompenses qu’il a remportées pour sa carrière légendaire avec les Boston Celtics – dont un record de 11 championnats et cinq trophées MVP – ne sont q’un aperçu de l’immense impact de Bill sur notre ligue et la société en général.\n\nBill représentait quelque chose de bien plus grand que le sport : les valeurs d’égalité, de respect et d’inclusion qu’il a inscrites dans l’ADN de notre ligue. Au sommet de sa carrière sportive, Bill a défendu vigoureusement les droits civils et la justice sociale, un héritage qu’il a transmis à des générations de joueurs de la NBA qui ont suivi ses traces. Malgré les railleries, les menaces et l’adversité impensable, Bill a surmonté tout cela et est resté fidèle à sa conviction que tout le monde mérite d’être traité avec dignité.\n\nPendant près de 35 ans, depuis que Bill a terminé sa carrière de pionnier en tant que premier head coach noir de la ligue, nous avons eu la chance de le voir à chaque événement majeur de la NBA, y compris les finales de la NBA, où il a remis le trophée Bill Russell au MVP des finales.\n\n« J’ai chéri mon amitié avec Bill et j’ai été ravi quand il a reçu la Médaille présidentielle de la liberté. Je l’appelais souvent le Babe Ruth du basket pour la façon dont il a transcendé le temps. Bill était le gagnant ultime et un coéquipier accompli, et son influence sur la NBA se fera sentir pour toujours. Nous adressons nos plus sincères condoléances à son épouse, Jeannine, sa famille et ses nombreux amis. »
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Michael Jordan à propos de Bill Russell : «Le monde a perdu une légende»
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Une pluie d’hommages a suivi l’annonce, hier, dimanche, de la mort de Bill Russell, à l’âge de 88 ans, y compris de la part de Michael Jordan.\n\n« Bill Russell a été un pionnier – en tant que joueur, en tant que champion, en tant que premier entraîneur noir de la NBA et en tant qu’activiste. Il a ouvert la voie et donné l’exemple à tous les joueurs noirs qui sont entrés dans la Ligue après lui, moi y compris. Le monde a perdu une légende. Mes condoléances à sa famille et puisse-t-il reposer en paix. »\n\n\nA statement from Hornets Chairman Michael Jordan on the passing of NBA legend Bill Russell. pic.twitter.com/RdYcnuCrmb\n\n— Charlotte Hornets (@hornets) July 31, 2022\n
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Espagne : Les raisons d’une moisson chez les jeunes
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Les Espagnols moissonnent les médailles dans les compétitions de jeunes et El Pais s’est penché sur les raisons de ces succès.\n\n« La clé de ce succès a été le talent et les efforts de cette génération de joueurs », explique Joaquín Prado, entraîneur de l’équipe masculine U-20 qui a remporté l’or à l’Eurobasket. « Ces deux ingrédients réunis apportent généralement le succès, mais vous devez également prendre en compte le travail que ces joueurs font pour leurs clubs. Il y a des centaines d’entraîneurs invisibles en Espagne à qui l’on doit beaucoup et ils font un travail fantastique. »\n\nJoaquin Prado met en avant le rôle de la Fédération pour détecter ces talents, à partir des U12.\n\n« Beaucoup d’entre eux sont passés par toutes les catégories de l’équipe nationale et ils se connaissent très bien. Les moins de 20 ans sont la dernière saison avant l’âge adulte et notre travail est de faire en sorte qu’ils arrivent aussi bien préparés que possible ».\n\nL’Espagne surclasse ses adversaires dans les compétitions de jeunes avec en U20, 26 médailles dont 11 d’or pour les deux sexes. La France est sur la deuxième marche du podium, mais loin derrière : 16 médailles dont 4 d’or.\n\n« S’ils ont de la chance physiquement, ils deviendront tous des joueurs professionnels et plusieurs d’entre eux atteindront sûrement l’élite supérieure », anticipe l’entraîneur à propos de son équipe, composée de joueurs comme Juan Núñez, MVP du tournoi, qui a été inclus dans la préliste de la sélection A pour disputer l’Eurobasket en septembre.\n\nMais au-delà de la gestion des talents, le basket espagnol a connu une évolution ces dernières années sous l’effet des changements démographiques, relève le quotidien espagnol. Sans oublier sa quête de talents en Afrique.\n\n« Le profil de la basketteuse espagnole est celui d’une joueuse très talentueuse et créative, mais qui ne domine pas physiquement », décrit Cristina Cantero, entraîneure de l’équipe féminine U-17 qui a décroché l’argent à la Coupe du monde. « Maintenant, avec tout le multiculturalisme, nous avons beaucoup progressé dans cet aspect. Nous pouvons avoir des joueuses noires qui sont espagnoles et cela nous équivaut physiquement aux équipes les plus puissantes du monde. »\n\nAinsi, Cantero avait dans son équipe Awa Fam, la plus jeune joueuse à débuter avec le Valencia Basket en première division (15 ans, 5 mois et 15 jours), une centre de parents sénégalais qui à 16 ans mesure 1,92 m. Awa Fam a été incluse dans le quintette idéal de la Coupe du monde avec sa partenaire Iyana Martín. Son profil est le même que celui de Astou Ndour qui est la pivot de l’équipe nationale A.\n\n« Il y a dix ans et ce profil de joueur n’existait pas en Espagne. Si vous ajoutez à cela le talent de joueuses au profil différent, vous obtenez une équipe bien équilibrée et vous pouvez affronter les meilleures, comme nous l’avons fait. Il y a encore des équipes qui nous battent, mais nous nous sommes beaucoup améliorées avec ce type de joueuses ».\n\nL’équipe de Cantero a remporté la troisième médaille d’argent d’une Coupe du monde féminine des moins de 17 ans après avoir chuté en finale contre les États-Unis, le tyran de la compétition.\n\nL’Espagne tentera de boucler au mois d’août un été fructueux avec quatre autres compétitions : l’Eurobasket U18 et U16 féminin et masculin.\n\nIl existe deux ombres au tableau, un temporaire et l’autre systémique :\n\n– L’équipe féminine A n’est pas qualifiée pour la prochaine Coupe du monde en Espagne.\n\n-La place pour les joueurs espagnols se réduit de plus en plus en liga Endesa, au point qu’elle est la ligue nationale qui comprend le moins de joueurs autochtones (sélectionnables en équipe nationale, si vous préférez).\n\nPhoto : Juan Nunez (FIBA)
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L’été des Bleus à la TV avec TCL
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Les deux équipes de France seront diffusées cet été sur trois chaînes différentes dont deux payantes. Voici le programme prévisionnel :\n\nDimanche 7 août :\n\n17h00 – France/Pays Bas – Amical – BeIN Sports\n\nVendredi 12 août :\n\n20h30 – Italie/France – Amical – BeIN Sports\n\nMardi 16 août :\n\n20h30 – France/Italie – Amical – France 4 et BeIN Sports\n\nJeudi 18 août :\n\n20h30 – France/Belgique – Amical – France 4 et BeIN Sports\n\nDimanche 21 août :\n\n17h00 – France/Bosnie – Qual. Coupe du Monde – ?\n\nMardi 24 août\n\n20h30 – France/République Tchèque – Qual. Coupe du Monde – France 4 et BeIN Sports\n\nEuroBasket, à partir du 1er septembre sur Canal+ Sport. Demi-finale et finale avec M6 si la France.\n\nCoupe du Monde féminine, à partir du 22 septembre sur FranceTV et BeIN Sports\n\nPhoto : Evan Fournier (FIBA)
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Rediff – Marine Fauthoux, vainqueur de la Coupe de France, 15 ans après son père
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Quinze ans après son père, Freddy, qui avait tiré sa révérence après une ultime victoire en Coupe avec l’Elan Béarnais en 2007, Marine Fauthoux (1,76 m, 21 ans) a ramené son premier titre de Coupe de France avec Basket Landes. La jeune meneuse internationale raconte.\n\nDurant l’été, la rédaction de Basket Europe vous propose de relire une sélection de quelques uns de nos articles premium. Pour les lire, mais aussi découvrir plus de 2 000 autres contenus de qualité (guide de la saison, dossier salaires, interviews, analyses, séries et dossiers), abonnez-vous !\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nDans la joyeuse sarabande de Basket Landes, fêtant son tout nouveau trophée de Coupe de France, acquis face à Bourges (91-88), on l’a vue, d’un coup, traverser le terrain, comme un boulet de canon, échappant aux étreintes de ses coéquipières, pour aller se jeter dans les bras de son frère Baptiste, qui l’attendait au bord du terrain. La jeune meneuse française de 21 ans fait tout en accéléré, à l’image de l’énergie qu’elle déploie sur le terrain. Elle a été élue récemment meilleure jeune joueuse de la saison régulière d’Euroleague, où elle a livré un exercice intense et efficace (12,9 points, 3,9 passes décisives et 2,7 rebonds en moyenne par match, en saison régulière, en jouant plus de 25 minutes).\n\nElle a aussi été, samedi, à la mène des irréductibles landaises, un atout fort pour les filles de Julie Barennes. Avec 14 points, 7 rebonds, 5 passes (mais aussi 5 balles perdues) et la deuxième évaluation de son équipe (15) derrière la MVP Regan Magarity (31), Marine Fauthoux a été le moteur du jeu landais pendant plus de 37 minutes.\n\nEt elle ramène à la maison sa première Coupe de France, dans la famille Fauthoux, qui en comptait déjà trois (2002, 2003, 2007). C’est en effet quinze ans après son père, Freddy, qui avait tiré sa révérence après une ultime victoire en Coupe, avec l’Elan Béarnais en 2007, que Marine ramène la Coupe chez les Fauthoux. Une fierté qu’elle a hâte de partager avec son père, car malheureusement, ses parents n’étaient pas présents à l’Accor Arena. Elle raconte cette soirée qui marquera sa carrière.\n\nMarine, vous avez gagné cette Coupe au bout d’un match très long (deux prolongations), dans une ambiance de folie, comment avez-vous géré tout ça ?\n« J’avais déjà joué à Bercy, ça n’était pas aussi plein ; mais là, ce soir, quand on a vu tous ces supporters derrière nous, cette ambiance, c’était incroyable. C’est une motivation extraordinaire pour nous, joueuses. Surtout dans un match comme ça.\n\nÇa a été un match serré, interminable, où même en ayant fait l’écart à plusieurs reprises, Basket Landes a été sous la menace jusqu’au bout. Vous avez été éprouvée par cette longueur, cette intensité ? Y-at-il eu de l’inquiétude à un moment ?\nNon, non ce n’était pas de l’inquiétude. Mais il ne faut pas oublier que Bourges, c’est la meilleure équipe du championnat. Elles sont dominantes, et on savait bien que ce n’était pas une équipe à qui on allait mettre trente points. Ce sont des filles qui ont du caractère, une capacité de réaction. Donc elles sont revenues, elles nous ont fait peur à chaque fois, c’est vrai que c’était serré, et heureusement, nous aussi on a des ressources, on a tenu.\n\nAviez-vous imaginé que vous pourriez jouer deux prolongations ?\nOh non, vraiment pas ! Parce que moi, j’étais vraiment KO, je n’en pouvais plus. Mes deux lancers francs que je loupe, c’est parce que je suis crevée, j’étais morte. Je savais que c’était important, mais j’étais vraiment morte. Ce n’est pas une excuse, mais pour montrer à quel point ce match a été intense. Il y a eu des erreurs, de tous les côtés, mais on y a mis tellement de cœur, et avec tous les supporters, toutes les Landes derrière nous, ça nous a portées.\n\nCe trophée est un aboutissement ou une porte ouverte sur d’autres ambitions ?\nC’est un peu des deux. Un aboutissement dans la mesure où ça valide tout ce qu’on a fait dans cette partie de la saison. En Euroleague aussi, je pense qu’on méritait d’aller en quarts de finale, on fait des choses. Et là, on a ce trophée pour fêter ça, ça valide tout le travail. Et maintenant qu’on a battu Bourges dans un match couperet, on se dit qu’on peut aller chercher plus loin.\n\nOn a l’impression que tout s’accélère pour vous, que vous avez pris de la maturité très vite sur cette saison. C’est aussi votre impression ?\nC’est vrai que je suis jeune, mais j’ai envie que ça aille vite. Cette année, cette saison, ça a fait beaucoup pour m’aider à gagner en maturité, en responsabilités. En jouant beaucoup, en jouant au quotidien avec « Caps » (Céline Dumerc) à mes côtés, en ayant Shona (Thorburn, assistante) dans le staff qui est une ex-meneuse, c’est vrai que j’apprends beaucoup, énormément. C’est le meilleur endroit pour moi. Et ça se ressent sur le terrain.\n\nEt le fait que ce soit Basket Landes, un club avec une forte identité et un ancrage landais, c’est un plus pour vous ?\nOui, ça fait encore plus chaud au cœur, vu que moi, je suis de là-bas. On construit des choses ensemble, en plus, là, on a le ticket pour l’Euroleague l’année prochaine, et ramener tout ça dans les Landes, cette coupe de France, et tout ce qui va avec, c‘est juste génial.\n\nVous vous êtes jetée dans les bras de votre frère, après le match, mais vos parents n’étaient pas là. Vous allez fêter tout ça en famille ensuite ?\nOui, avec mon frère Baptiste (22 ans), on est très proches tous les deux, et je voulais partager ça direct avec lui. On a toujours été très, très liés, mon frère a toujours été là pour moi. C’est vrai qu’on ne se voit pas beaucoup, mais il est toujours là. Forcément, c’est une petite déception que ni mon père, ni ma mère n’aient pu être là. J’aurais aimé partager ça avec lui, ça aurait été si spécial, vu que c’est lui qui a gagné la dernière dans la famille. Maintenant, c’est pas grave, je pense qu’il a vu le match quand même, et on va trouver un moment pour fêter ça. Ce n’est que du bonheur quand même. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nDans la joyeuse sarabande de Basket Landes, fêtant son tout nouveau trophée de Coupe de France, acquis face à Bourges (91-88), on l’a vue, d’un coup, traverser le terrain, comme un boulet de canon, échappant aux étreintes de ses coéquipières, pour aller se jeter dans les bras de son frère Baptiste, qui l’attendait au bord du terrain. La jeune meneuse française de 21 ans fait tout en accéléré, à l’image de l’énergie qu’elle déploie sur le terrain. Elle a été élue récemment meilleure jeune joueuse de la saison régulière d’Euroleague, où elle a livré un exercice intense et efficace (12,9 points, 3,9 passes décisives et 2,7 rebonds en moyenne par match, en saison régulière, en jouant plus de 25 minutes).\n\nElle a aussi été, samedi, à la mène des irréductibles landaises, un atout fort pour les filles de Julie Barennes. Avec 14 points, 7 rebonds, 5 passes (mais aussi 5 balles perdues) et la deuxième évaluation de son équipe (15) derrière la MVP Regan Magarity (31), Marine Fauthoux a été le moteur du jeu landais pendant plus de 37 minutes.\n\nEt elle ramène à la maison sa première Coupe de France, dans la famille Fauthoux, qui en comptait déjà trois (2002, 2003, 2007). C’est en effet quinze ans après son père, Freddy, qui avait tiré sa révérence après une ultime victoire en Coupe, avec l’Elan Béarnais en 2007, que Marine ramène la Coupe chez les Fauthoux. Une fierté qu’elle a hâte de partager avec son père, car malheureusement, ses parents n’étaient pas présents à l’Accor Arena. Elle raconte cette soirée qui marquera sa carrière.\n\nMarine, vous avez gagné cette Coupe au bout d’un match très long (deux prolongations), dans une ambiance de folie, comment avez-vous géré tout ça ?\n« J’avais déjà joué à Bercy, ça n’était pas aussi plein ; mais là, ce soir, quand...\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Marine Fauthoux (FIBA)
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Rediff – Dušan Ivković, le pape du basket yougoslave
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Qui était Dušan Ivković, décédé en septembre dernier ? L’un des plus grands noms du basket européen. La référence des coaches en Yougoslavie et en Serbie.\n\nDurant l’été, la rédaction de Basket Europe vous propose de relire une sélection de quelques uns de nos articles premium. Pour les lire, mais aussi découvrir plus de 2 000 autres contenus de qualité (guide de la saison, dossier salaires, interviews, analyses, séries et dossiers), abonnez-vous !\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nÀ son enterrement, à Belgrade, en septembre dernier, il y avait un parterre de personnalités du basket, Vlade Divac, Žarko Paspalj, Predrag Danilović, Željko Obradović, Dino Radja, Jure Zdovc, Nikola Pekovic et encore les Grecs Vassilis Spanoulis et Dimitris Itoudis. Un autre hommage solennel lui a été rendu à la Chambre de l’Assemblée nationale de la République de Serbie, avec le président de la République, Aleksandar Vučić, le président du Parlement, Ivica Dacic, et le ministre de la Jeunesse et des Sports Vanja Udovicic. Cela situe la hauteur du personnage dans la vie politique serbe. Là encore, ses pairs les plus prestigieux faisaient partie de l’assemblée, du président de la fédération de basket-ball, Predrag Danilovic à Dragan Kicanovic, en passant par Svetislav Pesic, Bozidar Maljkovic, Dejan Bodiroga, le Russe Sergueï Panov, et Zeljko Obradovic, lequel avait été l’ancien élève de Dušan Duda Ivković, qui était le parrain de son fils.\n\n« Je n’ai rien à ajouter sur la biographie de Dušan Ivković. Beaucoup ici la connaissent incomparablement mieux que moi..., » a déclaré Aleksandar Vučić. « En tant que président de la Serbie, je suis fier que la Serbie ait eu un tel homme. » Et s’adressant à sa famille : « Soyez fier de votre père et de votre mari, tout comme nous tous en Serbie serons fiers de tout ce qu’il a fait et de son excellent travail. La Serbie ne l’oubliera pas et puisse-t-il avoir la gloire éternelle. » « Je suis ici en tant que président de l’Association de basket-ball, mais je dois souligner que cette Association ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans Dušan Ivković, » a ajouté Predrag Danilović. « Aussi, l’histoire du basket serbe, yougoslave et européen est inconcevable sans son nom. Pendant un demi-siècle, il a travaillé dans le basket auquel il a tout donné. Après tout, il a un jour souligné que le basket-ball ne faisait pas partie de sa vie, mais était sa vie. »\n\n\nUn colombophile\n\nDušan Ivković est décédé à Belgrade à l’âge de 78 ans suite à de la présence d’eau dans les poumons et de l’herpès. Une autre légende serbe, le coach, Dusko Vujosevic, vu brièvement à Limoges, a révélé à la télévision que Duda avait contracté l’infection des pigeons, qui étaient sa grande passion. « Tout ce qu’il a fait, il l’a fait de manière monumentale, que ce soit ce dévouement aux pigeons, à l’équipe nationale, à l’organisation des entraîneurs ... Nous sommes moins forts quand nous nous retrouvons sans une personne de cette stature. »\n\nOui, Dušan Ivković était colombophile, et beaucoup prétendent que cette passion était chez lui encore plus forte que celle pour le basket-ball. Il a affirmé que la relation homme-pigeon est très similaire à la relation entraîneur-joueur. « Mon père m’a dit que ceux qui regardent les pigeons sont toujours dans les nuages. Que cela mène à des problèmes avec l’école et des choses comme ça. Et c’est pourquoi il était contre. J’étais aussi contre que mes fils accordent autant d’attention aux pigeons, mais enfant, je pensais différemment. Les pigeons ont été avec moi toute ma vie, j’élève des haut-volants serbes, et dans chaque contrat que j’ai signé, il y avait une clause pour faire de la place aux pigeons dans ma maison. Malheureusement, c’était impossible seulement à Moscou, il fait trop froid », avait-il confié.\n\nL’amour de Dušan Ivković et de son frère pour le basket-ball a été contrarié comme il l’a raconté plus tard. «Nous avions 13 ou 14 ans. Mon père, docteur en droit, nous surveillait toujours derrière un grand arbre et disait à ma mère : « Écoute, je ne comprends pas ce qu’ils font là avec le ballon, en sautant comme des singes ». Son idée était que ses fils grandiraient en tant que combattants, gladiateurs. Pour lui, il incombait aux hommes de jouer au football, de faire de la boxe ou de la lutte. Alors personne ne voyait dans le basket le spectacle super-athlétique qu’il est devenu aujourd’hui. On nous a dit que c’était un jeu pour les filles et les gays. Donc, mes amis des clubs de football et de boxe nous le disaient aussi. Et regardez ce qui se passe maintenant : ce sont les basketteurs qui sont un exemple d’endurcissement physique et psychologique. Le basket m’a attiré au premier regard. »\n\n\nAvec la paire Kicanovic-Dalipagic\n\nD’une façon générale, Duda n’a pas été élevé avec une cuillère en argent dans la bouche. Son père était docteur en droit, mais sa philosophie ne correspondait pas au régime communiste du Maréchal Tito, aussi il s’est lancé dans l’apiculture. Ce sont les abeilles qui ont nourri la famille Ivković. «J’ai résumé l’histoire de notre famille dans les armoiries, sur lesquelles j’ai appliqué des nids d’abeilles en forme de panier de basket, une abeille et des pigeons, que j’ai élevés avec mon frère Slobodan. Soit dit en passant, il était non seulement le meilleur entraîneur de basket-ball de ma vie, mais aussi un talent universel : il dessinait, chantait, jouait. »\n\nSon père lui a interdit la pratique de la boxe, mais pas du basket. Quand il est entré à la Faculté des Mines et de Géologie, il a participé à la création d’une équipe universitaire, avec laquelle il a joué jusqu’à Londres et au Moyen-Orient. A l’époque, en Serbie, le basket-ball se pratiquait exclusivement à l’extérieur. « J’étais moi-même un joueur moyen, pas une star, mais je me suis progressivement impliqué dans le processus. J’ai d’abord travaillé dans l’équipe de jeunes, puis j’ai dirigé le Partizan, où j’ai travaillé avec deux des meilleurs joueurs de l’époque (Dragan Kicanovic et Drazen Dalipagic) ... Je suis une personne très heureuse, j’ai pu travailler avec tant de grands joueurs de différentes générations. Et après cela, j’ai dirigé l’équipe nationale yougoslave. Autrement dit, j’ai monté les escaliers et je me suis entraîné à tous les niveaux. »\n\nAprès avoir servi dans l’armée, il s’est occupé de l’équipe de jeunes du club Radnicki, où son frère aîné a entraîné également, et la troisième année, il a remporté le championnat yougoslave de la catégorie. « J’ai beaucoup appris de Slobodan, même si nous sommes complètement différents. C’est un romantique, et je suis un réaliste. » Sa carrière était lancée. Il s’est retrouvé ainsi head coach au Partizan Belgrade. Dès 1979, à 36 ans, il a gagné trois trophées : le championnat yougoslave, la Coupe nationale, et la Coupe Korac (C3). A l’occasion du dixième anniversaire de la mort de Radivoj Korac, l’organisation de la finale fut confiée à Belgrade, et face aux Italiens de Rieti, Dragan Kicanovic a planté 41 points. « Ensuite, Kicanovic m’a supplié d’être le témoin de son mariage, mais je lui ai rappelé que j’étais son entraîneur et je lui ai conseillé de choisir l’un de ses coéquipiers. »\n\nDuda rêvait de remporter la Coupe des Champions (C1) avec le retour de Dalipagic, qui était démobilisé, mais il n’a jamais résolu le problème de leur jalousie mutuelle avec Kicanovic. Ivkovic a avoué qu’à 36 ans, il n’avait pas assez d’expérience pour réconcilier les deux meilleurs basketteurs yougoslaves : « Kicanovic est allé à l’armée pour voir si l’équipe pouvait se débrouiller sans lui et Dalipagic en tête, mais au début de la saison, Drazen a abandonné en raison d’une blessure. »\n\n\nUn amoureux de la Grèce\n\nLa Grèce marque plusieurs étapes dans le voyage au long cours du serbe : Aris et PAOK Salonique, Panionios, AEK Athènes, et Olympiakos par deux fois. « J’ai visité la Grèce pour la première fois en 1980. Puis je suis devenu l’entraîneur d’Aris. J’ai déménagé là-bas uniquement parce que mon fils avait des problèmes des voies respiratoires. Les médecins lui ont recommandé de changer de climat. » Il ajoutait : « les Grecs sont nos amis et j’ai beaucoup de bons souvenirs de ce pays. Comment puis-je oublier que Sava Grozdanović, l’entraîneur de volley-ball, et moi sommes venus ouvrir la voie dans ce pays. Comme nous sommes tous les deux de la Croix-Rouge à Belgrade, nous avons plaisanté en disant que « les croisés sont arrivés » ! Je suis tombé amoureux des gens, des coutumes, en particulier de la musique grecque, et de nombreux chanteurs célèbres de Terzis, de Marinella à Remos, sont devenus de bons amis. »\n\nPasser à l’Aris n’était pas une promotion. A l’époque, la ligue yougoslave était la plus forte d’Europe, alors qu’à l’Aris, il s’est retrouvé dans une salle d’entraînement sans vestiaires et avec Michalis Romanidis, 15 ans, dans le cinq de départ. « Vous n’auriez pas dû venir ici, mon ami », a asséné l’arbitre Kostas Dima à Ivković. « Vous perdrez contre tout le monde de 50 points. »\n\nLe jumelage entre la rigueur du Serbe et le tempérament j’en-foutiste des basketteurs grecs d’alors n’allait pas de soi. Les Grecs le considéraient comme un tyran et lui ne concevait pas d’avoir à faire à des joueurs trop paresseux pour assister aux entraînements du matin. « Je ne pouvais pas le supporter. Il était nécessaire de peaufiner la tactique et la technique individuelle. Au fil du temps, les joueurs ont réalisé les avantages du travail d’entraînement, et je pense qu’à Aris, nous avons réussi à créer quelque chose de nouveau pour la réalité grecque. »\n\nLa star de l’Aris était l’Américain aux origines grecques, Nikos Galis. Ivkovic l’appréciait, mais à cause d’une élection à la présidence du club, une guerre froide a commencé à l’Aris. L’une des parties a cherché à freiner les résultats de l’équipe, afin que la direction en place ne soit pas réélue. Dans le cadre de cette campagne, de mauvaises langues ont dit à Galis qu’Ivkovic le taillait dans son dos, à savoir : « Avec Galis, Aris ne sera jamais champion ! ». Nikos Galis en a été offensé, Aris a terminé deuxième du championnat et Dušan Ivković est retourné en Yougoslavie.\n\nNeuf ans plus tard, Ivković est revenu à Salonique, mais au PAOK cette fois. C’est la guerre qui le fit quitter son pays. Au PAOK, il eut à faire avec deux stars problématiques. Panayotis Fassoulas et ses 2,13 m n’aimaient pas trop s’entraîner, sinon, de l’avis de Duda, il aurait joué en NBA et serait devenu le meilleur joueur grec de tous les temps. L’autre était le champion NBA avec les Chicago Bulls, Cliff Levingston, qui a créé le chaos dans le vestiaire et... la salle à manger.\n\nAprès une lourde défaite à Peristeri, Dušan Ivković a mis l’Américain en vacances forcées pour trois semaines.Le président du PAOK, Nikos Vezirtzis, a plaidé : « coach, ne le faites pas. Mettez-le simplement sur le banc. » « Mais je ne le punis pas. Je ne fais que rendre l’équipe plus forte. » Après les vacances, Cliff Levingston a aidé le PAOK à atteindre les playoffs de l’Euroleague 92-93 et à éliminer Pau-Orthez en quarts de finale. « Notre employé cachait les bouteilles de Coca-Cola pour Levingston quand il a recommencé à jouer. Cet excentrique de Cliff a affirmé qu’il ne pouvait pas jouer sans roter. C’est de la foutaise ! «\n\nDušan Ivković a effectué un intermède à Panionios, inspiré par la perspective de travailler avec le jeune centre américain Ed Stokes et l’arrière-vedette Panayotis Yannakis. Mais quand il est arrivé dans la banlieue d’Athènes, Stokes était déjà à Stefanel Milan et Yannakis au Panathinaikos. Mais même avec un roster plus modeste et des retards de salaire, Ivkovic a amené l’équipe en Euroleague pour la deuxième année et a entendu l’entraîneur d’Atlanta Mike Fratello, qui est passé quelques jours en Grèce, affirmer : « Je suis allé à Barcelone et à Madrid, mais je n’ai jamais vu un tel jeu d’équipe nulle part, comme à Panionios. »\n\nA Olympiakos, Duda a gagné sa première Euroleague. Pourtant le début de la saison 96-97 avait été cauchemardesque : blessures, maladies, provocations de la presse, conflit avec l’ailier Willy Anderson, défaite face à la pire équipe du championnat... Après cela, Dusan a permis aux joueurs d’emmener leurs femmes au tournoi de Noël à Madrid, et plus tard Olympiakos a battu le CSKA dans le match décisif pour atteindre les playoffs de l’Euroleague. « Avant le match, le speaker a parlé d’empoisonnement, d’eau empoisonnée, etc. », a révélé Ivković. « Je comprenais le russe et j’étais furieux. J’ai dit au commissaire du match que ce type parlait mal de mon équipe, que je ne laisserais personne faire ça. »\n\nEt avant la finale victorieuse face au Barça, Dusan a annulé l’entraînement du matin et a emmené les joueurs se promener pour jeter des cailloux dans la mer. « J’étais sûr que la tactique avait déjà été mémorisée, et des répétitions supplémentaires ne feraient que faire du mal. Et je n’avais pas tort. »\n\nAprès deux saisons suivantes sans titres, Duda considérait son cycle au Pirée terminé et il est parti à l’AEK, avec qui il a remporté deux Coupes de Grèce et la Coupe des vainqueurs de coupe (C2). « Et j’ai décidé que ça suffisait : une nouvelle génération d’entraîneurs était arrivée, il était temps de prendre sa retraite. »\n\nAprès un transit par Moscou (CSKA et Dynamo), il est revenu au Pirée en 2010, contrairement à sa propre règle de ne jamais retourner sur les lieux de ses exploits. « J’y suis allé parce que je n’avais pas reçu de salaire dans l’équipe nationale serbe depuis un an, et j’ai même entendu le président de la fédération, Dragan Kapicic dire : « Frère, si je recevais une telle offre, je n’hésiterais pas une minute. ” »\n\nLes frères Angelopoulos, proprios de l’Olympiakos, attirèrent Vassilis Spanoulis du Panathinaikos, et Dušan Ivković s’est souvenu avoir employé une méthode particulière à la mi-temps d’un match face au CSKA où son équipe comptait 14 points de retard. « Pendant la pause, j’ai crié sur Spanoulis », a-t-il admis. « Je voulais remonter le moral des autres gars. J’ai compris que nous n’avions que quelques chances sur cent de battre ce CSKA. Trois de nos Américains n’ont pas marqué un seul point dans ce match. L’âme grecque a joué un rôle décisif. » Ivković a remporté avec Olympiakos une deuxième Euroleague, quinze ans plus tard.\n\n\nUn rendez-vous raté avec les Denver Nuggets\n\nDušan Ivković aurait-il pu devenir le premier Européens head coach d’une franchise NBA ? Il avait reçu une offre du CSKA et des Denver Nuggets. « A New York, le directeur général des Nuggets, Kiki Vandeweghe, l’agent Bill Duffy et trois autres gars m’ont posé des questions toute la soirée », révéla t-il. « Nous nous sommes mis d’accord sur les conditions et que dans la première saison, je serai consultant, puis j’aurai encore deux ans de contrat. Avant de partir, Duffy m’a dit : « Sois prêt à signer le contrat demain matin. » Le lendemain, j’ai appris que les propriétaires du club étaient partis en vacances et j’ai dû patienter quelques jours. J’ai répondu : « d’accord, mais dans deux semaines, j’ai un rendez-vous avec le CSKA. » Les jours ont passé et j’ai signé un contrat avec le club de Moscou. »\n\nEn un an seulement, il a fait du CSKA l’un des meilleurs clubs d’Europe, améliorant non seulement l’équipe, mais aussi la vie dans le vestiaire et la discipline générale du club. « L’approche de Duda est profonde, approfondie. Il a construit un bâtiment fondamental, et Ettore Messina, qui l’a remplacé, a construit une architecture italienne élégante », a imagé le Russe Sergueï Panov.\n\nA propos d’architecture, le coach serbe estimait qu’il fallait concilier autant que faire se peut, basket et art, culture en général. « Il me semble très important que les joueurs connaissent la culture, l’histoire du pays où ils évoluent. Quand je suis arrivé au CSKA, je voulais montrer aux joueurs la Russie. Nous avons voyagé ensemble à Saint-Pétersbourg, nous sommes allés à l’Ermitage, dans d’autres musées, nous avons visité des lieux historiques à Moscou. Je sais que les joueurs n’aiment pas particulièrement ça. Mais partout où nous allions, nous essayions d’aller dans les musées locaux et d’apprendre à connaître la culture. C’était normal pour le basket dans lequel j’ai grandi. Maintenant, les joueurs n’ont pas le temps d’étudier. Le basket-ball était autrefois qualifié de sport académique. Il était entendu que seules les personnes ayant fait des études supérieures y jouaient. Maintenant tout est différent : ils commencent à jouer très jeunes, les saisons sont très longues, il y a trop de matches. »\n\n\nSa plus grande frustration, Barcelone en 92\n\nLa plus éclatante réussite deDušan Ivković a été enregistrée avec l’équipe nationale de Yougoslavie, soit deux médailles d’argent olympiques (1988 et 92), une d’or au championnat du monde (1990), trois d’or (1989, 91 et 95) et une d’argent -avec la Serbie- aux championnats d’Europe.\n\nAvant l’EuroBasket de 1995, il a demandé à sa femme d’acheter des chemises et des cravates pour ses joueurs. En raison des sanctions internationales, la Yougoslavie avait perdu le droit non seulement d’accueillir la Coupe du monde de 1994, mais aussi d’y participer. Un an plus tard, les meilleurs joueurs du pays -Dejan Bodiroga, Predrag Danilovic...- n’ont pas pu se rassembler chez eux car ils avaient peur d’être enrôlés dans l’armée. Ils se sont entraînés en Grèce, à une époque où Ivkovic dirigeait Panionios. « Ma femme a d’abord été horrifiée : « Où puis-je trouver autant de chemises dans vos tailles ? » Et puis, épuisée, elle a couru dans tout Athènes et nous a quand même trouvé des vêtements convenables. Enfin, on ressemblait à une équipe », s’est souvenu Ivković.\n\nEn demi-finale, la Yougoslavie a battu l’équipe nationale grecque, et en finale, la plupart des vingt mille spectateurs ont soutenu avec force les Lituaniens. Ce fut probablement le match le plus intense, le plus beau, le plus émotionnel du basket européen. S’estimant brimés par l’arbitre américain, George Tolliver, les Lituaniens de Sarunas Marciulonis, qui fut à la fois le meilleur marqueur et le MVP du tournoi, et d’Arvidas Sabonis, ont refusé un moment de jouer, mais ils sont retournés sur le terrain par crainte de manquer les Jeux olympiques d’Atlanta. La Serbie a fini par avoir gain de cause, 96-90.\n\nLa plus grande frustration de Duda -et pas uniquement la sienne- était survenue trois ans auparavant. La NBA avait enfin été accueilli au sein du mouvement olympique, ce qui mettait fin à une longue supercherie. C’est ainsi que fut construite pour les JO de Barcelone en 1992 la Dream Team de Michael Jordan, Magic Johnson et Larry Bird. Seulement, boycottée par la communauté internationale, la Yougoslavie ne fut pas invitée au grand raout. « Je suis sûr que nous avons perdu la meilleure équipe de tous les temps. Il me semble que le basket a beaucoup perdu parce que la Dream Team n’a pas pu jouer avec la seule équipe qui pouvait les battre. Nous ne pouvons pas évaluer comment le match final entre nous aurait tourné. Cette équipe n’avait pas de véritable adversaire, et nous n’aurions connu le vrai niveau que dans un face-à-face. Bora Stankovic et David Stern (NDLR : le secrétaire-général de la Fédération Internationale et le Commissioner de la NBA d’alors) ont pris une décision très importante, et selon sa logique, on aurait dû voir ces deux équipes s’affronter en finale. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nÀ son enterrement, à Belgrade, en septembre dernier, il y avait un parterre de personnalités du basket, Vlade Divac, Žarko Paspalj, Predrag Danilović, Željko Obradović, Dino Radja, Jure Zdovc, Nikola Pekovic et encore les Grecs Vassilis Spanoulis et Dimitris Itoudis. Un autre hommage solennel lui a été rendu à la Chambre de l’Assemblée nationale de la République de Serbie, avec le président de la République, Aleksandar Vučić, le président du Parlement, Ivica Dacic, et le ministre de la Jeunesse et des Sports Vanja Udovicic. Cela situe la hauteur du personnage dans la vie politique serbe. Là encore, ses pairs les plus prestigieux faisaient partie de l’assemblée, du président de la fédération de basket-ball, Predrag Danilovic à Dragan Kicanovic, en passant par Svetislav Pesic, Bozidar Maljkovic, Dejan Bodiroga, le Russe Sergueï Panov, et Zeljko Obradovic, lequel avait été l’ancien élève de Dušan Duda Ivković, qui était le parrain de son fils.\n\n« Je n’ai rien à ajouter sur la biographie de Dušan Ivković. Beaucoup ici la connaissent incomparablement mieux que moi..., » a déclaré Aleksandar Vučić. « En tant que président de la Serbie, je suis fier que la Serbie ait eu un tel homme. » Et s’adressant à sa famille : « Soyez fier de votre père et de votre mari, tout comme nous tous en Serbie serons fiers de tout ce qu’il a fait et de son excellent travail. La Serbie...\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Avec Vassilis Spanoulis
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Espagne : Plus de 4 000 abonnés à Grenade pour une première saison en Liga Endesa
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Covirán Granada a annoncé ce dimanche qu’il avait déjà dépassé les quatre mille abonnés pour la saison prochaine, qui sera la première de l’équipe andalouse en liga Endesa de toute son histoire.\n\nLa campagne d’abonnements a démarré le 7 juillet, et il reste encore deux mois avant le début du championnat. Covirán Granada double le nombre d’abonnés qu’il avait la saison dernière dans la LEB Oro et qui a abouti à la promotion historique dans la catégorie la plus élevée.\n\nLe pourcentage d’abonnés de l’année précédente qui ont renouvelé leur relation avec le club est proche de 100%, alors que les nouvelles inscriptions dépassent déjà le chiffre de 2 000 fans, a précisé le club. Le prix des abonnements, qui comprennent tous les matchs de la Endesa League et le match de présentation de l’équipe qui aura lieu en septembre, varie entre 165 et 415 euros, avec des réductions spéciales pour différents groupes.
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Décès de la légende Bill Russell, héros des Jeux Olympiques de Melbourne
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Bill Russell, une légende de la NBA qui a guidé les Boston Celtics vers 11 championnats en 13 ans -les deux derniers en tant que premier entraîneur noir dans un sport majeur américain-, et qui avait été champion olympique à Melbourne en 1956, est décédé dimanche. Il était âgé de 88 ans.\n\nCinq fois MVP de la NBA et 12 fois invité au All-Star Game, Russell a été élu en 1980 plus grand joueur de l’histoire de la NBA par les journalistes spécialisés. Il demeure la personne la plus titrée de son sport et le modèle du joueur sans égo, qui gagnait grâce à sa défense et les rebonds tout en laissant les autres joueurs marquer. Seulement Wilt Chamberlain a fait partie de la même catégorie de supermen à cette époque.\n\n« Ce que j’ai vu était un big man incroyablement talentueux et athlétique, mais plus que cela, un joueur apportant une dimension au jeu qui n’avait jamais été vue auparavant », a déclaré son ancien coéquipier Tommy Heisohn au Boston Herald en 1999. « Il pouvait absolument contrôler un joueur défensivement... Son génie défensif était quelque chose de complètement étranger à la NBA. »\n\nBill Russell a retardé son entrée en NBA afin de participer aux Jeux Olympiques de Melbourne, en tant que capitaine. Il dût démontrer au sinistre Avery Brundage, président du CIO, que son contrat de professionnel ne prenait effet qu’à l’issue des JO -à l’époque les Jeux Olympiques étaient réservés aux « amateurs ». Plus tard, il confia avoir envisagé de disputer l’épreuve de saut en hauteur s’il n’avait pas été sélectionné dans l’équipe de basket.\n\nA Melbourne, les Etats-Unis surclassèrent leurs adversaires avec une victoire 85-55 en poule contre l’URSS et une autre en finale, 89-55. L’équipe américaine gagna l’ensemble de ses matches avec une marge de 53,5 points. Russell en fut le meilleur marqueur avec 14,1 points.\n\nRussell a été l’un des premiers participants au mouvement des droits civiques qui prenait de l’ampleur au milieu des années 1960. Il s’est rendu au Mississippi en 1961 pour apporter son soutien aux Freedom Riders qui protestaient contre la ségrégation et il a participé à la Marche sur Washington pour les droits civiques en 1963.\n\nEn 1966, au sommet de sa carrière, il avait peu de choses à dire sur Boston. « Une atmosphère empoisonnée plane sur cette ville. C’est une atmosphère de haine, de méfiance et d’ignorance. »\n\nEn 2011, le président Barack Obama lui a remis la médaille de la Liberté. Deux ans plus tard, une statue à l’effigie de Russell a été dévoilée devant l’hôtel de ville de Boston.\n\nPhoto : Bill Russell (à gauche) avec KC Jones, ensemble deux fois champions NCAA avec l’université de San Francisco, et champion olympique à Melbourne.
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Euroleague : Meilleur marqueur de la G-League, Carsen Edwards est le nouveau meneur de Fenerbahçe
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L’Américain Carsen Edwards (1,80 m, 24 ans) sera le meneur de Fenerbahçe pour la saison 2022-23.\n\nAprès son cursus à Purdue, Carsen Edwards a été sélectionné en 33e position de la draft 2018. Il a joué ensuite en NBA et en G-League. La saison dernière, si ses stats avec les Boston Celtics n’étaient que de 4,0 points et 0,8 rebond en 31 matches, et de 5,8 points, 3,5 passes et 1,5 rebond en 4 matches avec les Detroit Pistons, il a performé en G-League avec 26,7 points, 3,8 passes et 2,6 rebonds, ce qui en a fait le meilleur marqueur du championnat.\n\nCarsen Edwards a par ailleurs représenté l’équipe nationale des États-Unis aux Championnats du monde des moins de 19 ans en 2017 en Égypte.
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Andrew Albicy quitte le rassemblement des Bleus
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Suite à des tests médicaux effectués ce dimanche, le staff de l’équipe de France a décidé de libérer le meneur de jeu Andrew Albicy.\n\nAndrew Albicy (1,78 m, 32 ans, 76 sélections), qui a ressenti, récemment, une gêne à la cuisse, avant le rassemblement des Bleus, a été examiné par le staff médical de l’équipe de France lors des tests médicaux à l’INSEP, et il a été décidé que celui-ci allait quitter le groupe. Andrew Albicy suivra des soins appropriés. Il pourra être revu ultérieurement et réintégré, si son état le lui permet. Vincent Collet n’a pas prévu de remplacer le meneur de jeu dans le groupe, pour le moment.\n\nIl ne reste plus que trois meneurs de métier, Thomas Heurtel, Théo Maledon et Frank Ntilikina, plus Elie Okobo qui peut occuper les deux postes arrières.\n\nLes joueurs de Vincent Collet ont entamé la pratique du basket ce dimanche, au Palais des Sports de Nanterre. Ils enchaîneront sur une préparation avec quatre rencontres (Pays-Bas, deux fois l’Italie et la Belgique) avant les deux matches de qualifications à la Coup du Monde (République Tchèque et Bosnie-Herzégovine) et l’EuroBasket le 1er septembre en Allemagne.\n\n\n\nLe groupe France de 15 joueurs : Préparation à l’EuroBasket 2022 – au 31/07/22\n\nNomPrénomNaissanceTaillePosteSélectionsPointsClubCORDINIERIsaïa28/11/19961,9121381Virtus Bologne (Italie)FALLMoustapha23/02/19922,16521132Olympiakos BC (Grèce)FOURNIEREvan29/10/19921,992/380878New York Knicks (NBA)GOBERTRudy26/06/19922,16574614Utah Jazz (NBA)HEURTELThomas10/04/19891,88184598Real Madrid (Espagne)HOWARDWilliam25/10/19932,023515LDLC ASVEL (BC Elite)JAITEHMouhammadou27/11/19942,06530127Virtus Bologne (Italie)LUWAWU-CABARROTTimothé09/05/19951,9831283Atlanta Hawks (NBA)MALEDONThéo12/06/20011,911758Oklahoma City Thunder (NBA)M’BAYEAmath14/12/19892,06430223Pinar Karsiyaka SK (Turquie)NTILIKINAFrank28/07/19981,98121129Dallas Mavericks (NBA)OKOBOElie23/10/19971,902/11056LDLC ASVEL (BC Elite)POIRIERVincent17/10/19932,135/440214Real Madrid (Espagne)TARPEYTerry02/03/19941,962621Le Mans (BC Elite)YABUSELEGuerschon17/12/19952,0141192Real Madrid (Espagne)\n\nEntraîneur : Vincent Collet – Assistants : Pascal Donnadieu, Ruddy Nelhomme et Laurent Foirest\n\nPhoto : FFBB
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Euro U18 : La France fait une démonstration face à la Macédoine du Nord
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Deuxième victoire, ce dimanche, pour l’équipe de France U18 dans cette phase de poule. Après leur facile succès hier face à la Grande-Bretagne, les Bleuets se sont encore imposés avec la manière face à la Macédoine du Nord (47-104).\n\nLes hommes de Lamine Kebe ont réalisé une première période époustouflante. Ils ont inscrit 39 points dans le premier acte (15-39 10′). Un écart favorisé par une très belle adresse à longue distance (5 sur 7) mais aussi grâce aux six points consécutifs de Rayan Rupert (treize au final) après deux pertes de balle macédoniennes.\n\nUne belle partition offensive mais la défense s’est aussi illustrée dans le second quart-temps. Les Français n’encaissaient que six points et pointaient avec une large avance à la pause (21-64, 20′). Le scénario était le même en seconde période où les Macédoniens, bien contenus par les Bleuets, atteignaient à peine les 30 unités après trente minutes (29-89). À noter la belle performance collective encore une fois avec cinq joueurs à plus de dix points.\n\nDemain, les Bleuets joueront le sort de la première place du groupe face à l’Israël (17h15).\n\nBoxscore U18 Macédoine du Nord / U18 France\n\nPhoto : Rayan Rupert (FIBA)
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Espagne : Scott Bamforth (Le Mans) retourne en Espagne
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Breogán Lugo a trouvé un accord avec l’ancien Manceau Scott Bamforth (1,88 m, 32 ans), indique Eurohoops.\n\nDeuxième arrière américain au passeport kosovar, Scott Bamforth sort de deux saisons au Mans où il a fait preuve de son adresse extérieure, y compris en remportant le concours à trois-points du All-Star Game 2021, mais il a été handicapé en fin de saison par une entorse de la cheville qui a amenuisé le potentiel du MSB.\n\nScott Bamforth a déjà joué en Espagne par le passé, à Murcie, Séville et et Bilbao.\n\nPhoto : LNB
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Donald Trump à propos de Brittney Griner emprisonnée en Russie : «Elle y est entrée chargée de drogue»
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L’ancien président des Etats-Unis, Donald Trump, a déclaré que le projet d’échange de prisonniers entre la Russie et les États-Unis qui permettrait à Brittney Griner, actuellement en prison à Moscou, de retourner dans son pays, en échange d’un trafiquant d’armes russe « ne semble pas être un très bon échange ».\n\nDonald Trump n’est pas réputé pour donner dans la finesse -euphémisme- et ses rapports avec le basket professionnel américain et la communauté noire sont discourtois. Aussi, on n’est pas vraiment surpris de l’entendre dire :\n\n« Elle savait que vous n’allez pas là-bas chargé de drogue, et elle l’a admis. Je suppose qu’elle l’a admis sans trop de force parce que c’est ce que c’est, et cela ne semble certainement pas être un très bon échange, n’est-ce pas ? C’est absolument l’un des pires au monde, et il va être libéré parce qu’une personne potentiellement gâtée entre en Russie bourrée de drogue. »\n\nTrump faisait référence à des informations selon lesquelles les États-Unis tentaient d’obtenir la libération de Brittney Griner et de l’ancien marine américain Paul Whelan, en échange du marchand d’armes russe Viktor Bout, connu sous le nom de « marchand de la mort » en raison de ses ventes d’armes qui ont alimenté des conflits meurtriers dans le monde.\n\nEt Trump d’en rajouter une louche à propos de la double championne olympique :\n\n« Elle y est entrée chargée de drogue dans un territoire hostile où ils sont très vigilants à propos de la drogue. Ils n’aiment pas la drogue. Et elle s’est fait prendre. Et maintenant, nous sommes censés la faire sortir, et elle gagne, vous savez, beaucoup d’argent, je suppose. Nous sommes censés la faire sortir pour un tueur absolu et l’un des plus grands trafiquants d’armes au monde, qui a tué de nombreux Américains, qui tué beaucoup de gens. »\n\nLa porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré plus tôt cette semaine que si le Kremlin et les responsables américains ont engagé des pourparlers, « il n’y a pas encore eu de résultat concret ».\n\nHeureusement pour Brittney Griner, c’est désormais Joe Biden qui est Président des Etats-Unis.
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François Lamy (Bourg) : «Je détestais Freddy Fauthoux le joueur... En une semaine, nous sommes devenus copains»
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François Lamy est un ancien agent de joueurs, devenu conseiller du président Tony Parker à l’ASVEL, puis quelques mois general manager adjoint au Zalgiris Kaunas. Il travaille désormais pour la JL Bourg dont le coach est Freddy Fauthoux. A ce sujet, il raconte au Progrès une anecdote :\n\n« Freddy, c’est mon gars. Je revendique qu’il soit un ami. Il est suffisamment tête de c... et moi aussi pour qu’on puisse mettre les choses sur la table. Nous sommes devenus amis par le boulot. J’ai été son agent. Juan Aisa, qui était mon patron à l’agence YouFirst, m’a dit un jour : ‘‘J’ai un ancien coéquipier qui veut devenir coach (NDLR : L’Espagnol et le Landais ont joué ensemble à Pau). Il va falloir que tu t’en occupes.’’ Je détestais le Freddy joueur, je ne pouvais pas m’en occuper. Mais en une semaine, nous sommes devenus copains. »\n\nLe Breton sera t-il le successeur de Frédéric Sarre au poste de Directeur Sportif de la JL lorsque celui-ci prendra sa retraite à l’automne 2023 ? Réponse :\n\n« Je ne souhaitais pas me réengager à fond dans un club tout de suite, même j’ai eu des appels de France et de l’étranger. Je trouve très intéressant le fait de passer par une période de transition. J’aurai beaucoup de temps pour appréhender l’environnement de la JL, ce qui a été fait avant. Le club et moi devons avoir la certitude absolue que notre collaboration sera la solution idéale pour la suite »
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Euroleague : Tarik Black est le septième étranger d’Olympiakos
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Le pivot américain Tarik Black (2,06 m, 31 ans) est la nouvelle recrue d’Olympiakos, son septième étranger.\n\nTarik Black a gagné la FIBA Europe Cup 2022 avec les Turcs de Bahcesehir. En 5 matchs, et en 17 minutes de moyenne, il a récolté en moyenne 7,6 points, 4 rebonds et 1 passe décisive. Il a eu au préalable des expériences en NBA et en Euroleague.\n\nMemphis (2010-2013)\nKansas (2013-2014)\nHouston Rockets (2014)\nLos Angeles Lakers (2014-2017)\nLos Angeles D-Fenders (2015-2016)\nHouston Rockets (2017-2018)\nMaccabi Tel Aviv (2018-2020)\nZenit Saint Petersburg (2021)\nGrand Rapids Gold (2021-2022)\nBahcesehir Koleji (2022)\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=fkTHzWgsIiU&ab_channel=RealSPGHighlights
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VTB League : Richard Solomon (ex-Gravelines et Dijon) au Zenit Saint-Petersbourg
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Malgré la guerre en Ukraine qui continue, les clubs russes font toujours leurs courses sur le marché international. C’est au tour de l’ailier-fort américain Richard Solomon (2,10 m, 30 ans) de rejoindre le Zenit Saint-Petersbourg.\n\nRichard Solomon est connu en France pour avoir joué à Gravelines (2016-17) et Dijon (2019-20). Il était la saison dernière avec le club turc de Bahcesehir, avec qui il a remporté la FIBA Europe Cup.\n\nPhoto : FIBA
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Israël : Direction Hapoel Galil Elion pour Deishuan Booker
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Le meneur de jeu Deishuan Booker (1,91 m, 25 ans) avait partagé sa saison 2021-22 entre Le Mans et Fos. Il s’est engagé avec le club israélien de l’Hapoel Galil Elion.\n\nTimide avec Le Mans où il s’est retrouvé à la fin sur le banc en raison d’un surnombre d’étrangers (7,2 points et 3,0 passes en 14 matches), l’Américain avait explosé à Fos (17,6 points et 4,7 passes en 14 matches) participant activement au maintien en Betclic Elite des Provençaux.\n\nPhoto : MSB
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EuroBasket : La sélection de Thomas Heurtel menacée s’il signe au Zenit Saint-Petersbourg
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La FFBB voit d’un mauvais oeil le départ d’internationaux dans des clubs russes.\n\nLes signatures de Livio Jean-Charles et Louis Labeyrie dans des clubs russes, le premier au CSKA Moscou, le deuxième à UNICS Kazan, sont apparues choquantes à l’heure de la guerre en Ukraine, des sanctions économiques à l’encontre de la Russie, et alors que le gouvernement français a été très clair sur le sujet dès le début des hostilités, déclarant :\n\n« Il est instamment recommandé aux ressortissants français, dont la présence et celle de leur famille n’est pas essentielle en Russie, de quitter le pays tant que cela est encore possible (...) L’ensemble du territoire de la Russie est déconseillé sauf raison impérative. Il convient de différer tout déplacement vers la Russie. »\n\nIl est évident que s’installer en Russie pour y jouer au basket n’est pas une « raison impérative ».\n\nLa FFBB n’a pas non plus apprécié ces transferts. C’est ce qu’indique le manager général de l’équipe de France, Boris Diaw, à L’Equipe :\n\n« C’est clairement un sujet et la Fédération va se positionner, elle communiquera d’ici à mardi et prendra une position sur la “sélectionnabilité” des joueurs mais aussi des coaches qui s’engageraient dans des clubs russes . »\n\nConséquences directes : Louis Labeyrie, qui n’est pas dans le groupe pour l’EuroBasket, ne devrait pas être rappelé pour les fenêtres hivernales, alors que si la signature de Thomas Heurtel au Zenit Saint-Petersbourg était confirmée, sa participation aux compétitions de l’été serait compromise.\n\nIl faut rappeler que le Suédois Jonas Jerebko a été, par exemple, exclu de son équipe nationale au moment de son recrutement par le CSKA Moscou. Sa fédération n’avait pas changé de position lorsque le joueur avait quitté le club russe quelques semaines plus tard.\n\n\n\nPhoto : Thomas Heurtel (FIBA)
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3×3 : Les Bleues troisièmes au Women’s Series d’Edmonton
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Le Canada a remporté les 3×3 Women’s series d’Edmonton en battant les Etats-Unis en finale. La France décroche la 3e place.\n\nUn mois après avoir empoché l’argent à la Coupe du monde, le Canada a remporté son premier « event » de la Women’s series de l’année, devant ses fans d’Edmonton, en battant les États-Unis en finale, 21-17. Michelle Plouffe a mené les Canadiennes dans cette finale avec 13 points, dont le point gagnant. Linnae Harper a été la meilleure marqueuse des États-Unis avec 10 points.\n\nEn quart-de-finale, les Françaises ont battu les Japonaises d’Exe Wing (15-11), mais sont tombées face aux Etats-Unis en demi (17-21).\n\nMichelle Plouffe, qui a été élue MVP, a terminé meilleure marqueuse de l’événement avec 43 points, 10 de plus que Linnae Harper, qui a terminé deuxième, Laetitia Guapo s’est classée cinquième.\n\nCLASSEMENT FINAL\n1. Canada\n2. USA\n3. France\n4. Force 10\n5. Allemagne\n6. EXEWING\n7. Pays-Bas\n8. Roumanie\n\n\n🇫🇷 Laetitia Guapo takes her time and ends up finding a path to the basket...and one!!!#3x3WSEdmonton #3x3WS pic.twitter.com/i8ljPcsRTV\n\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) July 30, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Italie : 17 joueurs retenus en perpective de l’EuroBasket et de deux matches contre la France
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Le coach des Azzurri, Gianmarco Pozzecco, a appelé 17 joueurs pour préparer l’EuroBasket avec en amont deux matches amicaux contre la France.\n\nDanilo Gallinari, Simone Fontecchio, Achille Polonara, Niccolò Mannion, Nicolo Melli, Luigi Datome ou encore Matteo Spagnolo, et l’Italo-Américain John Petrucelli sont présents mais pas le numéro 1 de la Draft NBA 2022, Paolo Banchero, qui a exprimé son désir de jouer à l’avenir avec l’équipe italienne.\n\nLa préparation dans le Trentin durera jusqu’au 10 août, après quoi l’Italie affrontera la France le 12 août à Bologne et le 16 à Montpellier.\n\n#00 Amedeo Della Valle (1993, 194, G)\n#0 Marco Spissu (1995, 184, P)\n#1 Niccolò Mannion (2001, 190, P)\n#6 Paul Biligha (1990, 200, C)\n#7 Stefano Tonut ( 1993, 194, G)\n#8 Danilo Gallinari (1988, 208, A)\n#9 Nicolò Melli (1991, 206, A)\n#13 Simone Fontecchio (1995, 203, A)\n#16 Amedeo Tessitori (1994, 208, C)\n#17 Giampaolo Ricci (1991, 202, A)\n#18 Matteo Spagnolo (2003, 194, P)\n#25 Tommaso Baldasso (1998, 192, P)\n#33 Achille Polonara (1991, 205, A)\n#50 Gabriele Procida (2002 , 201, G/A)\n#54 Alessandro Pajola (1999, 194, P)\n#70 Luigi Datome (1987, 203, A)\n#77 John Petrucelli (1992, 193, G/A)\n\nEntraîneur : Gianmarco Pozzecco\n\nPhoto : Danilo Gallinari (FIBA)
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Jeremy Lin va t-il jouer à Taiwan la saison prochaine ?
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Les Kaohsiung Steelers ont confirmé les rumeurs selon lesquelles ils essaient de recruter l’ancienne star de la NBA, Jeremy Lin, pour la saison prochaine.\n\nLe directeur général des Steelers, Kenny Kao, a déclaré à la Central News Agency que les Steelers tentaient d’enrôler Lin, mais faisaient face à la concurrence d’autres clubs.\n\n« Si vous avez un grand talent, si vous avez quelqu’un qui est une figure légendaire et probablement le meilleur basketteur asiatique de tous les temps, et vous ne poursuivez pas ce genre de talent, vous ne faites pas votre travail correctement », a déclaré Kao.\n\nLin est devenu célèbre en 2012 en tant que membre des New York Knicks lorsque, en tant que premier Américain d’origine taïwanaise à jouer en NBA, il a mené de manière inattendue les Knicks à une série de victoires et a inspiré l’engouement « Linsanity ».\n\nJeremy Lin est né en Californie de parents originaires de Taiwan et qui ont émigré aux Etats-Unis dans les années 70. Après son séjour en NBA, il a joué en G-League et en Chine. Les fans et les médias ont émis l’hypothèse que Lin pourrait jouer dans l’une des ligues professionnelles de Taiwan, tout comme son jeune frère, Joseph Lin, qui joue dans la P.League, aux Taipei Fubon Braves.\n\nCommentant de telles spéculations, Kenny Kao a déclaré que chaque directeur général d’un club de la P.League + essaie d’enrôler Jeremy Lin.\n\n« Si vous demandez à n’importe quel directeur général de cette ligue: « Essayez-vous d’avoir Jeremy ? S’il dit non, alors il y a deux possibilités : une possibilité est qu’il ment, la deuxième possibilité est qu’il va se faire virer », a déclaré Kao.
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Ergin Ataman, coach de la Turquie : «Notre plus grand désir est une médaille à l’EuroBasket»
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Quand on est double vainqueur de l’Euroleague avec Anadolu Efes, et que l’on prend en mains l’équipe nationale de son pays, on est forcément ambitieux. Tel est le coach turc, Ergin Ataman à l’approche de l’EuroBasket.\n\n« Notre équipe nationale commence sa préparation le 1er août, dit-il. Notre plus grand désir est une médaille à l’Eurobasket et le droit de participer à la Coupe du Monde en 2023. Après la conquête consécutive de l’Euroleague , je commence maintenant le travail en équipe nationale avec beaucoup d’enthousiasme. Mon grand objectif, ainsi que celui de tous les joueurs, est d’amener l’équipe nationale et le drapeau turc au plus haut niveau européen. Avec cette responsabilité et le soutien des supporters turcs, je suis sûr que nos joueurs rendront le pays fier . »\n\nLa Turquie sera dans le groupe A de l’Eurobasket, qui se déroulera en Géorgie. Elle affrontera l’Espagne, le Monténégro, la Bulgarie, les Pays-Bas et la Géorgie. La pré-sélection turque est ICI.\n\nPas de doute : beaucoup d’équipes veulent revenir de Berlin avec une médaille en poche.\n\nPhoto : Euroleague
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La Bosnie-Herzégovine fait appel à la diaspora pour financer les compétitions de l’été
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Alors qu’elle connaît de graves problèmes financiers qui menacent la participation de ses équipes aux compétitions estivales, la fédération de Bosnie-Herzégovine a fait un appel aux dons. L’équipe masculine est réunit en stage pour préparer les qualifications à la Coupe du monde et à l’EuroBasket où elle va rencontrer les deux fois l’équipe de France.\n\nCompte tenu du grand nombre d’appels de citoyens d’origine bosniaque qui vivent aux États-Unis et qui souhaitent aider à financer les équipes nationales, la Fédération de basket-ball de Bosnie-Herzégovine a lancé une collecte de fonds via la plateforme GoFundMe aux États-Unis.\n\nComme le souligne le secrétaire général, Amer Čolan, l’aide de la diaspora peut être cruciale pour tenter de boucler la structure financière pour la préparation des équipes nationales aux grandes compétitions.\n\n« C’est une action similaire à celle en Australie, qui a également été initiée par notre diaspora. Nous avons décidé de la lancer après un appel des citoyens vivant aux États-Unis qui veulent vraiment nous aider. Nous avons alors contacté Ismir Mirvić, le président du FK Sarajevo, qui s’est également impliqué dans cette histoire, et nous espérons que son exemple sera suivi par d’autres personnes de bonne volonté. »\n\n\n\nPendant ce temps, la sélection nationale se prépare à Vlašić. Adin Vrabac, Aleksandar Lazić, Sani Čampara, Ismet Sejfić, le Nanterrien Miralem Halilović, Emir Sulejmanović, Amar Gegić, Edin Atić, Džanan Musa, Ajdin Penava, Haris Delalić, Đorđe Topolović, Kenan Kamenjaš et Rijad Avdić sont déjà présents. Le meneur naturalisé John Roberson (ex-Strasbourg) est attendu lundi et Jusuf Nurkić (Portland Trailblazers) jeudi.\n\nL’équipe féminine doit pour sa part disputer la Coupe du Monde en septembre, en Australie.\n\nPhoto : Fédération de Bosnie
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Pas d’EuroBasket 2022 pour Joël Embiid avec les Bleus
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Bien qu’il ait obtenu la nationalité française, Joël Embiid (2,13 m, 28 ans) ne participera pas à l’EuroBasket 2022 avec les Bleus. C’est le manager général Boris Diaw qui l’a affirmé à L’Equipe.\n\n« Sa demande de naturalisation a été acceptée. On sait qu’il est encore dans l’attente d’un passeport français. Lorsqu’il l’aura obtenu, il pourra entamer les démarches et faire sa demande de licence FIBA pour l’équipe nationale. Il aurait bien voulu jouer cet été s’il n’avait pas été blessé. Mais il a subi une opération de la main et n’a pas repris le basket. Pour lui comme pour Victor Wembanyama ce serait trop juste (pour l’Euro). »\n\nLes débuts en bleu du Camerounais d’origine pourrait se faire à l’occasion de la Coupe du Monde 2023 -si la France est qualifiée- puis les Jeux Olympiques de Paris 2024.
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Euro U18 : La France surclasse la Grande-Bretagne pour son entrée dans la compétition
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Le coup d’envoi de l’Euro U18 a été donné par les Bleuets à Izmir (Turquie) ce samedi midi. Les hommes de Lamine Kebe se sont facilement imposés aux Britanniques (97-45)\n\nLes partenaires de Rayan Rupert n’ont pas fait de détails en Turquie. Après un premier quart-temps timide (19-15, 10′), les Bleuets ont accéléré dans le second acte.\n\nPlus tranchants en défense avec de nombreuses interceptions, ils ont rapidement distancé les Britanniques. En six minutes, ils ont tout simplement infligé un 23-2 pour mener 42-20 (16′), grâce au tir primé de Mael Hamon. À la pause, les Français viraient avec 26 points d’avance (53-27).\n\nAu retour des vestiaires, les partenaires de Zacharie Perrin, auteur d’un double-double (10 points et 10 rebonds), ont fait mieux que gérer. L’équipe de France U18 totalement impliquée – tous les joueurs ont marqué un panier – a infligé un 20-0 en sept minutes à son adversaire, histoire de tuer le match (73-27, 27′).\n\nDemain, pour le deuxième match de poule, les Bleuets affronteront la Macédoine du Nord (12h45).\n\nBoxscore U18 France / U18 Grande-Bretagne\n\nPhoto : Zacharie Perrin (FIBA)
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Le combo guard au CV très étoffé, DJ Seeley, arrive à Gravelines
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DJ Seeley est combo guard américain de 1,93 m et 32 ans, qui a déjà joué en Euroleague au Maccabi Tel-Aviv et au Bayern Munich.\n\nAu cours de son riche parcours, DJ Seeley a notamment porté les maillots de Gran Canaria, du Maccabi Tel-Aviv, de Saragosse et du Bayen Munich. Avec le Bayern, il y a deux ans, il pointait à 10,9 points avec une réussite de 44,2% à trois-points et 2,5 passes. La saison dernière, il séjournait en ABA League, à Buducnost pour 12,2 points (50,0% à trois-points, soit le 2e pourcentage de la ligue adriatique), 2,0 rebonds et 2,8 passes. Il totalise 8 saisons dans les différentes coupes d’Europe dont 2 en Euroleague.\n\nAu Bayern, il était l’équipier de JaJuan Johnson, une autre recrue du BCM.\n\n« DJ c’est avant tout un joueur avec beaucoup d’expérience », note le directeur sportif Olivier Bourgain. « A 32 ans, il a connu beaucoup de clubs avec de la Coupe d’Europe que ce soit Euroleague, EuroCup... On attend de lui beaucoup de choses. Il doit apporter à l’équipe une certaine maturité pour un poste 2-1. C’est un joueur intelligent aussi. Il a peu de déchets. Il a une très belle sélection de tirs. C’est un joueur qui est habitué à des joutes européennes et à des championnats qui sont très très forts. Pour nous c’est vraiment intéressant d’avoir ce type de profil au BCM. Il connait bien un de ces coéquipiers, JaJuan Johnson avec qui il a joué au Bayern Munich, ça va accélérer aussi son intégration. J’espère qu’il sera capable de nous faire passer un cap. »\n\nPhoto : Euroleague
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Le meneur Jayvon Graves recruté par Limoges
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Comme meneur de jeu, le Limoges CSP s’est assuré les services de l’Américain Jayvon Graves (1,91 m, 23 ans).\n\nJayvon Graves évoluait la saison passée avec les Austin Spurs en G-League. Il tournait alors à 7 points pour 2,9 rebonds et 2,4 passes décisives.\n\nAuparavant, l’Américain a fréquenté l’université de Buffalo, tout comme C.J. Massinburg, avec 14,2 points et 6,1 rebonds en senior et un record à 33 points face à Kent State.\n\n“Jayvon est un rookie en Europe mais a déjà joué une saison en professionnel en G-League. Il a eu un parcours très intéressant en NCAA où il a été coéquipier de CJ Massinburg. Jayvon est physiquement et athlétiquement taillé pour le championnat de France. Il peut évoluer sur les deux postes arrières avec aisance et joue des deux côtés du terrain. Nous avons hâte de l’accueillir à Limoges et de l’aider à s’adapter au basket européen. Nous pensons que Jayvon a beaucoup de potentiel et avons hâte de l’aider dans sa progression, » estime le directeur sportif, Kevin Anstett.\n\nQuant au coach Massimo Cancellieri, il ajoute :\n\n“Jayvon a de l’énergie et de l’instinct. De la solidité en défense et des capacités en attaque pour marquer ou diriger l’équipe. Nous aimons son sang-froid et sa capacité à s’adapter à toutes les situations de jeu. Il est un excellent apport physique également pour nous !”
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Pro B : Jeremy Nzeulie a signé à Saint-Quentin
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Après l’ailier-fort Emmanuel Wembi, Saint-Quentin annonce l’arrivée de Jeremy Nzeulie.\n\nIl y a quelques heures, SQBB rendait officielle la venue de l’ailier-fort américain Emmanuel Wembi (2,05 m, 24 ans), en provenance de la ligue estonienne (12,3 points et 9,2 rebonds en 2021-22). A présent, c’est l’arrière Jeremy Nzeulie (1,87 m, 31 ans) qui prend la direction de l’Aisne.\n\nDepuis ses problèmes physiques, l’ancien joueur de Nanterre et Chalon n’a pas retrouvé toute sa verve, que ce soit à Strasbourg, Boulazac et Orléans (6,2 points à 35,2% de réussite, 2,2 rebonds et 1,8 passe avec l’OLB la saison dernière). Le voici en Pro B pour se relancer définitivement.\n\nPhoto : FIBA
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Edouard Choquet met fin à sa carrière : «Je veux prendre cette annonce comme une renaissance»
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A 34 ans, le meneur de jeu de Fos-sur-Mer, Edouard Choquet, tire sa révérence, lui qui a commencé sa carrière professionnelle avec Limoges, sa ville de naissance -il est né au moment de la victoire en Coupe des Coupes en 1988-, et comme il aime écrire, il a partagé l’information sur les réseaux sociaux avec un document photographique personnel.\n\n« J’avais une dizaine d’années et une obsession : celle de pouvoir, un jour, fouler les parquets avec la légitimité, le talent et la fierté d’un joueur professionnel.\n\nEt puis, j’ai fait un pacte avec moi-même. Celui de ne jamais mettre de limite à mes envies, mon engagement, ma force de travail et ma passion.\n\n25 ans plus tard, 25 ans qui ont couru comme jamais je n’aurais pu l’imaginer, je regarde avec le plus grand plaisir l’enfant amoureux de basket que j’étais avoir pu franchir de nombreuses étapes qui auraient pu ne jamais l’avoir été.\n\nJe ne voyais pas une carrière comme de l’argent ou de la gloire, je la voyais comme le plaisir du shoot important, de la belle passe, de devenir meilleur chaque jour mais aussi du chemin d’un groupe de personnes devenu équipe vers un but commun.\n\nAprès coup, je me rends compte également qu’une carrière est un challenge quotidien fait de choix, de sacrifices, d’échecs qui, à la fin, rendent le chemin si beau.\n\nJe ne pourrai jamais remercier directement chaque personne ayant croisé mon chemin durant ce parcours tant elles ont été nombreuses. Ce qui est sûr en revanche, c’est que je garde en moi la gratitude de me dire que chacune d’entre elles à participer à devenir qui je suis aujourd’hui.\n\nCe sont ma famille, mes proches, des coéquipiers, des entraîneurs, des dirigeants, des partenaires, des bénévoles, des supporters, des adversaires, des arbitres, des officiels...\n\nOn parle souvent de la « petite mort » du sportif qui doit se retirer.\n\nJe veux prendre cette annonce comme une renaissance.\n\nLa renaissance du petit garçon de Beaublanc qui aura vécu 15 ans comme il l’avait décidé.\n\nLe renaissance de la personne qui, malgré l’amour passionnel porté à son métier, a compris qu’une vie l’attendait après.\n\nLe basket, dans sa forme de joueur professionnel prend fin aujourd’hui comme on finit un chapitre mais le livre continuera, sans aucun doute, à se remplir de belles histoires.\n\nEdouard. »\n\nPhoto : Byers
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Hyères-Toulon : Laurent Sciarra démissionne une deuxième fois !
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Laurent Sciarra, vice-champion olympique à Sydney, a cette fois démissionné pour de bon de son poste de coach du Hyères-Toulon Basket.\n\nEpisode 1 : Laurent Sciarra emmène le HTV au titre de champion de France de Nationale 2, et donc en Nationale 1.\n\nEpisode 2 : Devant les graves difficultés financières du club, et en conflit avec le président Gilles Gardia, Laurent Sciarra démissionne.\n\nEpisode 3 : Vincent Masingue prend la présidence, le HTV est sauvé, Laurent Sciarra revient.\n\nEpisode 4 : « J’arrête au HTV pour raisons personnelles. Je ne commenterai pas ma décision... » indique t-il par SMS. Une information révélée par Var Matin, qui complète :\n\n« Impossible donc de connaître ses motivations. Mais selon nos informations, il aurait fini par se lasser des difficultés financières et de l’incertitude immédiate autour des ambitions sur la saison à venir. Et ce, même si des investisseurs sont sur le point de venir donner un coup de boost au projet varois... » complète le quotidien.\n\nFin du feuilleton. Le HTV est à la recherche d’un nouveau coach.
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YouTube : Regarder France vs Grande-Bretagne U18 à 12h45
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Aujourd’hui, samedi 30 juillet, à 12h45, l’équipe de France U18 entame l’EuroBasket, contre la Grande-Bretagne. Le match est à voir sur le YouTube de la FIBA.\n\nPhoto : Zacharie Perrin, Kymany Houinsou, Rayan Rupert (FIBA)
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3×3 : Les Françaises en quart-de-finale aux Women’s Series d’Edmonton
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Avec 2 victoires en 3 matches, l’équipe de France féminine s’est qualifiée pour les quarts-de-finale des Women’s Series d’Edmonton, au Canada.\n\nLes Françaises ont battu une équipe américaine appelée Force 10 (20-13), et la Roumanie (18-14) et ont été vaincues par le Canada (17-20) des soeurs Katherine et Michelle Plouffe. En quarts-de-finale, elles vont affronter l’équipe japonaise d’Exewing.\n\nL’équipe de France est composée de Romane Berniès, Laëtitia Guapo, Victoria Majekodumni et Marie Mané. Laëtitia Guapo est actuellement la meilleure rebondeuse et la 3e joueuse du tournoi à l’évaluation.\n\n\nGUAPO SHOW 🔂🚨@FIBA3x3 | #3x3WS pic.twitter.com/xamHcb0kP1\n\n— 3×3 FFBB (@3x3ffbb) July 29, 2022\n\n\n\n🇫🇷 France dominating in offense and defense...#3x3WS #3x3WSEdmonton pic.twitter.com/xSOMsCXRH2\n\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) July 29, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Klemen Prepelic et le contre de Nicolas Batum en demi-finale des JO : «Il y a toujours une amertume»
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Klemen Prepelic (1,91 m, 29 ans) est revenu sur le contre de Nicolas Batum en demi-finale des Jeux Olympiques, alors qu’il allait faire un lay-up probablement synonyme de qualification pour la Slovénie.\n\n« Il y a toujours une amertume. Je ne vais pas me cacher. J’ai pris la responsabilité. C’était dur, je le revis de temps en temps, mais je ne le prends pas au sérieux. C’est un sport. Je crois que nous serons heureux le 18 septembre. »\n\nL’ancien shooteur de Limoges et de Boulogne-Levallois fait référence au dernier jour de l’EuroBasket, qui pour lui doit amener une médaille à son pays. La Slovénie est tenante du titre est pour Prepelic ce fut un tremplin pour sa carrière :\n\n« Je dis toujours que je n’aurais pas vu le Real et Valence si je n’avais pas été en équipe nationale. J’aime redonner, peu importe l’institution. Je crois ce qu’Igor Kokoskov (NDLR : le coach des champions d’Europe) nous a dit, à savoir que l’équipe nationale est la meilleure équipe pour laquelle nous jouerons ». »\n\nPhoto : FIBA
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Italie : Riccardo Moraschini, un an de suspension pour dopage : «C’est injuste !»
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Riccardo Moraschini (1,94 m, 31 ans) a été condamné à un an de suspension pour dopage. Il s’est exprimé pour la première fois sur le sujet dans La Réppublica.\n\nC’est en octobre 2021, alors qu’il portait le maillot d’Olimpia Milan, que l’international s’est fait prendre à un contrôle anti-dopage. Sa défense : c’est un spray que sa femme a utilisé pour une blessure au doigt qui l’a contaminé car il contenait du clostebol. Son explication ne s’est pas avérée suffisante pour éviter une sanction, mais il n’a pas écopé des quatre ans de suspension réservés habituellement à ce type d’infraction.\n\n« J’ai montré au comité la vidéo du doigt blessé de ma femme avec la date de sa blessure. Essayer de « voler » était impossible, c’est pourquoi une interdiction d’un an a été proposée au lieu des quatre ans prévus », a d’abord déclaré Moraschini, avant d’ajouter: « Cependant, je pense que c’est injuste ce qui s’est passé et je suis désolé que d’autres athlètes passent par là. Je ne savais pas quel médicament le pharmacien a donné à ma femme, ni qu’il contenait une substance interdite. Les équipes devraient donner aux athlètes une liste de médicaments interdits pour éviter cela. »\n\nMoraschini déclare qu’il n’avait pas fait appel de la décision car l’ensemble du processus prenait beaucoup de temps :\n\n« J’ai réalisé que si je faisais appel, la décision interviendrait après la fin de la saison. J’ai attendu 2,5 mois pour la première décision et encore 1,5 mois après le premier appel que j’ai fait. Ce n’est pas juste. Je comprends la lutte contre le dopage, mais le processus est lent. »\n\nMoraschini a quitté Milan pour Venise. Sa suspension se terminera le 20 octobre et il pourra reprendre l’entraînement dès le 20 août.\n\nPhoto : FIBA
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Ligue Féminine : Kyria Lambert, une meneuse américaine pour Toulouse
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La meneuse de jeu américaine Kyra Lambert (1,75 m, 25 ans) vient renforcer Toulouse, qui accède à la Ligue Féminine.\n\n« Ma carrière de basketteuse à été un long voyage (rire) ! J’ai eu la chance de jouer à la fois à l’Université Duke (2015-20) et à l’Université du Texas (2020-21). Après avoir obtenu mon diplôme de Master en Management du Sport j’ai décidé de traverser l’océan Atlantique pour jouer en Turquie (TKBL) et en Slovaquie (Extraliga). Comme j’avais encore envie de jouer à la fin de la saison régulière alors je me suis engagé dans une équipe en Nouvelle-Zélande (Mid North Whai) car le championnat se déroule pendant l’été », explique t-elle à propos de son parcours sur le site du club.\n\nA propos de ses qualités, elle énumère :\n\n« Tout d’abord je dirais le leadership, le fait d’occuper le poste de meneuse de jeu implique l’envie et la capacité de fédérer autour du projet de jeu du coach. Ensuite je dirais ma confiance en moi. Dans le sport de haut niveau, le mental joue un rôle imporant. J’ai de l’assurance, j’ai beaucoup travaillé sur ça. Je sais ce dont je suis capable, et je vais répondre présente le moment venu. Enfin, je dirais ma compétitivité. J’aime ce jeu, c’est une passion et j’aime apporter de l’intensité sur le terrain, surtout défensivement car tout part de là. Je vais me battre jusqu’au bout, à chaque fois. »