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Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
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Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
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Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !
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Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu !
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Moins pire que prévu et entrecoupé de questions parfois étonnamment pertinentes, « Appelez-moi Dave » aurait presque pu être une jolie surprise. Je dis bien « presque » car on reste malheureusement la plupart du temps dans la comédie américaine standard, lourdaude et terriblement bien-pensante, comme désormais toute comédie qui se respecte avec Eddie Murphy. On sait pourtant à quel point cet acteur peut être drôle (et il l'est d'ailleurs parfois ici), mais échouant à tirer ces projets vers le haut tant il s'enlise systématiquement dans une consensualité gênante, une morale prévisible au possible et des personnages caricaturaux, sans parler de dialogues pas franchement élaborés. Reste donc toutefois le sentiment d'avoir vu quelques pistes intéressantes et plusieurs idées originales (ce qui est toujours appréciable), sans oublier deux actrices particulièrement craquantes (Elizabeth Banks et Gabrielle Union) : très insuffisant toutefois pour compenser les immenses lacunes de cette comédie au potentiel pourtant bien réel. Dommage...
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Voilà un film qui s'en donne à coeur joie avec un casting efficace. Le scénario est très simpliste le tout repose sur l'originalité des personnages. Les gags sont sympa et change des gags habituels. Très bonne comédie qui me semble trop familiale, plus de cynisme et/ou de "mauvais goût" aurait été de bon ton.
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Inadaptable le livre de kundera ? allez dire ça à kaufman ! Quel film superbe ! Kaufman à depuis intégrer le cercle des ex grands réalisateurs rejoignant alan parker et bien d'autres . C'est bien triste .
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Non mais c'est une blague ? C'est quoi toutes ces critiques positives ??? "Premium rush" est carrément ridicule et est dénué de toute crédibilité. Un film pour adolescents avec un semblant de scénario qui demeure nullissime. Tout est mal emmené, les dialogues sont pauvres, on n'y croit pas une seconde, on assiste à une course poursuite de 90 minutes avec un suspens dont on se fout éperdument. Deux bons acteurs (Gordon-Levitt & Shannon) pour un long-métrage où l'arrivée du générique final se fait attendre au plus vite afin d'en terminer avec ce film qui ne cesse de tourner en rond.Entre Michel qui nous fait du trial avec ses côtes cassées, un vélo qui accélère plus vite qu'une belle bagnole luxueuse, une fin totalement ridicule avec un gang de bikers, et j'en passe...bref du cyclisme héroïque qui ne sert à rien.
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Bon premier quart d'heure. Et puis, les malheurs qui s'accumulent chez un homme, cette envie de rebondir qui permet à tout le monde de soudainement trouver le bonheur, ce défi qui s'accomplit miraculeusement... Surtout du cliché et du prévisible : ce film ne brasse finalement pas grand chose. Une belle journée, mais une soirée un peu ratée.
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L'oiseau du succès abattu en plein vol... triste destiné...
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"Boule et Bill" où l'histoire d'un film surprise, surprise agréable au demeurant pour le spectateur. Septique ? J'avoue, que comme vous je l'ai été avant d'aller voir cette comédie inspiré de la bande-dessinée culte, pourtant qu'elle n'était pas mon erreur ! Ce film vaut pour l'humour omniprésent les gags irrésistible et particulièrement unescène de course-poursuite décapante entre un camion et une 2CV. L'humour et la joie des acteurs dont Frank Dubosc font mouche tout du long et à la fin on en vient à vouloir adopter cette adorable boule de poil qu'est bill ! Au final, on passe un bon moment, le film n'est ni trop long, ni trop court, il s'avère avoir été intelligemment pensé et joui même d'une assez bonne fin, la morosité de votre quotidien vous pousse dans le gouffre de la dépression ? Venez voir ce film et vous retrouverez le sourire à tout les coups ! Mention spécial, au jeune acteur campant le rôle de Boule, juste extraordinaire de talent et de maîtrise artistique, chapeau bas l'artiste !
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Un film magnifique avec un duo d'acteurs excellent: Robert De Niro et Robin Williams (deux acteurs que j'aime beaucoup). L'Eveil m'a beaucoup ému, j'avais les larmes aux yeux presque pendant tout le film, les acteurs sont très touchants tout comme l'histoire.
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A mille lieues du film de zombies classique et à des années lumières de la majorité de ces bouses cinématographiques pullulant ces dernières années et reprenant le thème du mort-vivant, "The revenant" créé la surprise. Une grosse surprise même. Ce film se distingue de la masse tant par la manière dont le concept fut développé que par l'intelligence de son scénario et par la qualité de ses dialogues. L'humour noir, souvent présent, sait s'éclipser pour la mise en place d'une atmosphère tragique et dramatique. Inutile de palabrer, le plus simple serait carrément de le regarder. Une merveille !!!!
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C'est une histoire qui ferait rigoler le plus sinistre des neurasthéniques : elle est tout ce qu'il y a de vraie et a néanmoins toutes les apparences d'une farce délirante et cocasse… On rit certes beaucoup à écouter les protagonistes du film se dépêtrer de cette affaire, mais on est aussi un brin admiratif de leur capacité à imposer tranquillement et avec bonne humeur leur volonté infatigable de résister à ce qui les défrise, irréductibles villageois qui mènent leur révolution tranquillement depuis un petit bled de l'Hérault à quatre pas d'ici. C'est une brigade entière qui va donc débarquer en force et aux aurores dans le bled de nos joyeux pépères contestataires, sans que le buraliste ait eu le temps d'enfiler son caleçon. Arrêtés, menottés, embarqués, cuisinés : Pierre blondeau, Jeannot le Suisse, le Renard argenté sont soupçonnés d'être les terribles terroristes qui osent menacer le président de la République… Mais pourquoi eux ? Hein ? Je vous le demande… A voir absolument !!!
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Ah là là, impossible d'aller au bout de ce film. Personnages navrants et dialogues insipides m'ont vite fait lâcher prise. C'est pas les deux ou trois belles vampires qui permettent au spectateur de se tenir en haleine. Comble de l'horreur, la marionnette qui bouge moins bien que les squelettes de "Jason et les argonautes" avec des années de différence. Beurk, film de vampires à oublier
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L'évidence saute au yeux, c'est du très grand cinéma. C'est très visuel, extrêmement peu dialogué, et c'est magnifique. Tellement peu de paroles, que le sous-titrage a dû prendre quelques minutes. L'image numérique tirée du 35mm est époustouflante, avec un grand travail fait sur la lumière, bien sûr, mais aussi sur le cadrage des deux principaux protagonistes, que j'ai trouvé surprenant par les gros plans. Le film est une poésie cinématographique, une ode à la valeur de la terre cultivable. La réalisation est brillante de rigueur, avec de grand moments consacrés aux expressions des visages, des rides et un gros nez pour l'un, des tâches de rousseur pour l'autre. Le scénario importe peu, mais reste ouvert à plusieurs fins possibles. Il est universel par son thème.
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Ce truc est supposé être un blockbuster ??? Il y a du rythme, certes, mais apparemment on a largement préféré préserver l'image de sex symbol d'Angelina Jolie plutôt que de soigner le montage. Le film est si truffé d'incohérences et de clichés grotesques que cela en devient vraiment pénible et qu'on attend la fin avec impatience.
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Kawajiri livrait l'une des plus belles pièces de la Japanimation (et du manga en particulier) au travers de cette splendeur visuelle qu'est NINJA SCROLL, un film extrêmement violent traversé d'éclats de rage viscérale et d'émotion brute a pleurer de beauté. Une oeuvre incroyablement dense et gonflée (la mise en scène emporte tout sur son passage) qui n'a rien perdu de sa puissance depuis sa sortie il y a 10 ans. Du grand cinéma épique pour l'un des plus beaux films d'aventure jamais réalisés. Enragé, poignant, virtuose et tout simplement immanquable.
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Ce film tiré d'une histoire vrai aurait pu être vu l'histoire un bon film. Mais l'interprétation et la mise en scène nous prête plus à sourire tellement qu'elles sont bancale. Dommage !!!!!!!!!
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Un film poignant et cruel sur le renoncement de soi , au nom des conventions sociales, par le plus british des cinéastes américains. Chez James Ivory, tout est clean, un peu rigide, guindé, empesé, suranné et morose, il le prouve encore magistralement dans cette oeuvre à la tristesse refoulée et douloureuse, renforcée par l'osmose parfaite entre les 2 interprètes principaux. Dans cette ambiance très britannique, Anthony Hopkins démontre encore une fois son immense talent de comédien en faisant preuve d'un jeu contenu absolument bouleversant.
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Et ben voilà ! Après le très faiblard Rec, voici Rec² !! Et comme souvent avec les suites de films d'horreur à succès, on est en précense d'un chef d'oeuvre. Fiers de leur prouesse avec leur premier film, les deux réalisateurs s'en donnent ici à coeur joie et c'est tant mieux ! Les forces d'intervention espagnoles sont très crédibles car elles savent garder leur calme en toute circonstance ! Les dialogues sont extrêmement imaginatifs, très peu redondants et dépeignent avec efficacité des personnages au bord de la rupture dans un véritable enfer ! Mention spéciale au passage avec les trois gamins, très agréables à entendre parler ! J'ai également adoré tout l'aspect démoniaque du sujet qui n'est en aucun cas pompé sur d'autres films comme l'Exorciste ou Damien la malediction mais qui au contraire réinvente totalement ce genre d'épouvante. Et que dire de la fin, sublime ! Vivement le 3 !
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Un film très chouette! Les comédiens sont tous très bons, cette histoire d'amitié traitée comme une histoire d'amour sonne juste, et me rappelle mes années lycée... Beaucoup moins étouffant que "Respire", plus léger, on ressort de la salle sur une belle note positive, avec l'envie de revivre l'insouciance de la vie étudiante. La BO est géniale et accompagne parfaitement le film! A voir!!
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1953, Joseph Staline meurt d'une attaque cardiaque. Les membres du Politburo se lancent alors dans une quête du pouvoir... Adapté de la bande dessinée française du même nom, le film est globalement très fidèle. Il est tout de même assez amusant de voir ce film en langue anglaise nous donner des dirigeants du PC jurer à base de "fuck"... Par l'humour, l'absurde, le film parvient à montrer, de manière certes caricaturale mais tellement drôle, l'arbitraire et l'horreur du régime stalinien. Les acteurs sont tous bons (sauf celui qui incarne Staline mais tant pis il meurt vite).
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Ce film a le charme d'un album de photos. Un album dont les clichés seraient à la fois terriblement joyeux, naïfs et significatifs. Voilà le souvenir d'un "rideau de sucre", de cette jeunesse non pas dorée par le communisme, mais grandie dans la période post-révolution des années 1970, dans l'espoir d'une société immatérialiste et l'euphorie d'une société abondante, au crochets du grand frère soviétique. C'est toute une génération, ces "pionniers de la liberté", qui racontent face à la caméra l'éducation cubaine, qui prônait (et prône toujours) des valeurs telles que le travail, l'alphabétisation, la solidarité, et surtout la gratuité. On sent chez ces jeunes un vrai amour de Cuba, et un vrai respect pour le message communiste. Néanmoins la réalisatrice est lucide, elle fait raconter à cette génération "du progrès", l'état de Cuba après la chute du mur. Une fois le sucre fondu, une fois es vivres coupés, la fête est apparue moins rose. C'est alors que le film devient émouvant; c'est alors qu'on comprend ce que cette jeunesse, élevée dans le faste, est partie prendre ailleurs ce que Cuba ne peut plus lui offrir.
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L’odeur de la Mandarine est un très beau film. Ses décors, sa lumière, sa magnifique photo et ce couple passionnel … L’histoire d’amour est belle, sous fond de guerre 14-18 . La rencontre de deux mutilés, un mutilé physique et une femme inconsolable après la perte du père de sa fille. Ils vont tous les deux essayer de panser leurs blessures. J’avoue avoir préféré la première partie du film, moins dramatique que la seconde. Olivier Gourmet interprète le rôle de Charles avec beaucoup de pudeur et magnificence. Le jeu de la jeune actrice, très belle actrice, est brut. Autant le jeu de Olivier Gourmet est tout en retenue, autant le jeu de Georgia Scalliet est expansif. Les seconds rôles sont tout aussi de qualité, Dimitri Storoge, Hélène Vincent, Romain Bouteille, Michel Robin, Urbain Cancelier… même si pour certain il s’agit d’une apparition L’odeur de la Mandarine est un film d’amour sensuel et passionnel. Georgia Scalliet et Olivier Gourmet sont magnifiques. L’interprétation est le point fort de ce beau film
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Quel film, mes aïeux ! Qui tient autant du documentaire (une histoire vraie qui a eu lieu en 1996) que du western et du film d'aventures. A couper le souffle, et pas seulement parce que tout se passe à 5000 mètres d'altitude. Les images sont d'une beauté sidérantes (ce pourrait être le pêché mignon de Lu Chuan, l'excès d'esthétisme) et la conduite du récit impeccable. Brutal comme ces terres inhospitalières entre montagnes, lacs glacés et désert. Il y a bien des façons de mourir dans le film : sous les balles des braconniers, de froid, d'un oedème pulmonaire ou, pire encore, englouti dans les sables mouvants (la scène la plus terrible). Bref, c'est grandiose mais, comme dans City of life and death, il y a une sorte de recul dans la mise en scène, le refus de l'apitoiement et un réalisme ébouriffant. Espérons que Lu Chuan, qui ne plait que modérément aux autorités chinoises ne soit pas réduit, à l'avenir, à tourner d'impersonnels films hollywoodiens.
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Un bon gros navet vénéré comme un chef-d'oeuvre par certains sous prétexte qu'il s'agit d'un film signé Kitano. Il aurait été intéressant de masquer le nom du réalisateur puis de voir les réactions des uns et des autres, les résultats auraient été étonnants. Car il s'agit d'un film hautement soporifique. On n'y comprend pas grand chose, les événements s'enchaînent dans la confusion la plus totale. Les scènes sont d'une longueur assommantes, on aurait facilement pu résumer le film en 45 mn. Le héros, une espèce de statue de cire mobile, ne suscite pas l'enthousiasme des foules. L'absence de musique accentue l'ennui que l'on ressent durant le film. Des passages drôles ? Montrez-les moi, parce que là j'ai bien du mal à les repérer. Bref, je ne suis pas rentré une seule seconde dans ce délire kitanesque, alors que je suis fan de ses autres productions.
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Hitman: Agent 47 réussit une performance: faire un reboot bien pire que l'original. L'histoire, pour ceux qui n'ont pas joué aux jeux, bon courage. Pour ceux qui ont joué, bon courage. Hitman, ou l'histoire d'agents "fabriqués", réputés silencieux. Souci, ça tire à tout va, explose tout ce qui bouge (ou pas) et de temps en temps pour faire plaisir aux fans on sort une corde pour étrangler un gars et dans la minute on en flingue un entre les deux yeux. Des "meta-humains" font une apparition en la personne de Mr Quinto qui possede une armure en cuivre de carton de kevlar sous sa peau... Ai je parlé de la "copinette" de 47 dotée de prescience? Ai je mentionné que 47 marche, recharge, tue au ralenti pendant tout le film? Même le réalisateur n'a pas pris la peine de raser la tête de 47... Le premier opus est un chef d'oeuvre à coté, c'est dire...
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La première scène ouvrant le film sur un homme surgissant chez un autre pour lui enfoncer sa chaussette dans la bouche,laisse penser que le ton du film va être décalé et caustique. Ce n'est malheureusement pas le cas,le ton du décalage et tout petit. Et la virée de ces deux hommes dans tokyo devient vite longue et se révèle sans intérêt à suivre.
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Le pitch de départ avec les petits robots était prometteur, l'idée du flic atteint de vertige avait déjà été traité par Hitchcock mais pourquoi pas ? Sauf que le scénario est débile et bourré d'invraisemblances : On passe au scanner tous les vêtements d'une témoin afin de détecter un éventuel mouchard mais on oublie de scanner son sac à main. Un mec armé jusqu'aux dents se livre à un échange d'otages en plein restaurant et égorge une nana sans que tout cela ne provoque une panique. C'est joué très moyen avec une Cynthia Rhodes non crédible. Ajoutons-y un méchant ridicule, deux scènes d'insupportable guimauve avec un gosse et un final téléphoné. Navet !
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Bébel et Delon se marquaient à la culotte à cette époque, le premier ayant tourné le plutôt réussit peur sur la ville, Delon contraquait avec ce thriller "psychologique" ou jean yanne joue les déséquilibrés de service. Malheureusement aucune émotion dans ce film, on attend juste de savoir quel est le but recherché par yanne. Un scénario proche d'une simulation inventée par la police, passionant donc!
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Parmi les grands classiques du film noir, Sweet Smell of Success est le premier à approcher avec une telle virulence les coulisses du monde de la presse people et du show-bizness new-yorkais. A travers les personnages de JJ Hunsecker et Sidney Falco, respectivement incarnés par Burt Lancaster et Jack Lemon tous deux excellents dans ces rôles à contre-emploi, incarnent l’hypocrisie et la soif de pouvoir qui pèsent sur ce petit univers mondain. Les manipulations machiavéliques dont ils usent pour briser la relation qu’entretient la jeune sœur du premier, avec qui il entretient une relation de domination malsaine, et un musicien sont un reflet des jeux d’influence qui règnent sur cette communauté façonnée par sa superficialité, et ce malgré la magnifique musique jazz très légère qui donne sa vie à ce long métrage qui malheureusement fut un échec commercial retentissant à sa sortie en 1957.
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Un film magnifique, remplie d'amour de tristesse de joie et de plein d'autre sentiment. Quand je voit de quel maniéré il représente notre culture sa me fait chaud au cœur et me rend fière d’être Arménienne.
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Woh mais quelle surprise que ce film totalement barré ! Les gars se sont totalement lâchés pour faire un film très nerveux et bien barré dans les cascades. Franchement, je trouve que ce genre d'exercice est loin d'être évident, car il faut savoir maintenir un état d'esprit sans forcément partir dans tous les sens, tout en conservant un certain rythme et une certaine densité. Or, je trouve que ce "Shoot'em Up y parvient franchement bien. Un film-détente comme j'en ai que trop rarement. Mmmh que c'est bon !
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Trop peu pour faire peur, et pas assez pour faire rire! Un gros navet qui n'a d'égale que la stupidité des personnages, d'une histoire ridicule et la médiocrité des effets spéciaux.... Un vrai navet.
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Bande-son au top pour ce petit film indépendant des débuts de Ben Stiller qui campe un scénariste de série à Hollywood (en réalité le créateur de Alf) en proie à tous les maléfices de la notoriété. Drogue bien sûr et tous son cortège de comportements délirants allant jusqu’au shoot dans sa voiture en présence de son bébé. Après avoir touché le fond et avoir brisé tous les liens le junkie devenu ex relatera son histoire. On a déjà vu cette histoire plusieurs fois à l’écran mais c’est la performance hallucinante de Ben Stiller qui retient l’attention. Les deux héroïnes sont vraiment craquantes et l’on se demande toujours comment on peut gâcher de telles compagnies, il faut vraiment que miss héroïne soit la plus forte.
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Après avoir réussi à mêler film horreur et teen-movie avec le génial Destination finale, le réalisateur James Wong s'est embarqué sous les sirènes d'Hollywood dans un film de science-fiction bourré d'action et d'effets spéciaux. Sur le papelard, The One avait l'air plutôt intéressant avec cette histoire de combat entre personnages de plusieurs dimensions parallèles. Et puis voir Jet Li dans un double rôle était une idée alléchante pour les fans de la star asiatique. En somme, The One promettait un bon film d'action science-fictionnel bourré d'affrontements câblés et d'effets visuels Matrixiens. Verdict : c'est sympa, c'est marrant, c'est bien foutu mais c'est hélas aussi très lourd. Tournant en rond au bout d'une vingtaine de minutes, le long-métrage s'avère très répétitif et surtout très peu captivant au final, le scénario n'arrivant jamais à aller plus loin que le bout de son nez. Quant au casting, c'est également peu convaincant... Jet Li peine à convaincre dans son double rôle de gentil paumé et de méchant diabolique tandis que son comparse de fortune Jason Statham (Ghosts of Mars) se régale à faire le big boy qui flingue tout sur son passage. S'ajoutent également au casting le polyvalent Delroy Lindo et la sexy Carla Gugino, campant respectivement le traqueur du bad guy et la comparse du héros. The One est donc une série B tout ce qu'il y a de plus banale où scènes d'action filmées au ralenti, effets visuels à outrance et musique rock omniprésente se fracassent constamment dans un gros bordel pas toujours digérable. Et si le film confirme une belle place dans le cinéma d'action pour Jason Statham, il nous fait amèrement regretter le passage Outre-Atlantique d'un Jet Li confiné aux rôles indigestes voire nanardesques.
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Qui aurait cru que la vie d'une rockstar serait si touchante ? Une histoire absolument magnifique tout ça mélée d'une bonne musique country. Un film à voir sans aucun doute porté par un joaquin phoenix boulversant.
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Franchement, c'est décevant. J'ai été déçu par l'intrigue, qui à force de vouloir être complexe devient incompréhensible, entendre les acteurs parler anglais est très fatiguant, les rôles sont à peine bien définis (deux bourrins et des retardés...), l'humour est soit absent soit très rare et très bas (attendez le bêtisier pour amortir votre billet). Une étoile pour avoir réussi à me faire croire que ça serait bien.
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Un très bon film vu dans mon enfance (je le possède toujours en VHS enregistré). L'affrontement comique entre Dean Martin et Brian Keith (acteur de films Disney et de très bonnes séries TV comme mon oncle BEN ou le juge et le pilote) est hilarant. Sans compter le voyou mexicain qui veut comme paiement de sa Gatling (mitrailleuse) dont le héros a besoin pour commettre un casse spectaculaire, une femme. Et cette femme ne sera pas aussi souple que chacun l’espérait, y compris pour son mari. A quand une édition française en DVD de ce bon divertissement sans prétention mais avec un humour bon enfant qui fait parfois défaut à notre époque.
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Voilà un des premiers films symptomatiques du futur Godard... Malgré quelques chef d'oeuvres qui ont fait sa réputation pour la postérité il va devenir surtout un cinéaste pseudo-intello qu'il conviendrait mieux de changer pour égocentrique et nombriliste... Oui la guerre c'est mal et oui en faire un film anti-militariste pour la paix dans le monde et affirmer que la guerre c'est mal et stupide on est tous d'accord encore eût-il fallu que le réalisateur fasse un film un poil moins faineant et caricatural (il y a des limites), surtout qu'il ne va pas au bout de ses idées. La première scène est stupide, les carabiniers venant en "ami" se font agresser par des gens qui ont peur sans raison. Normalement nos bélligérant sont d'un pays fictif dans une guerre fictive, mais à force d'user et d'avuser d'images d'archives le récit est semé d'indices qui pourraient faire penser le contraire comme les avions portant la Croix de Fer, les coupures de journaux,... etc... Avec ça des faux raccorsd (très) grossiers nous brûlent les yeux comme la casquette qu'on retire à une résistante blonde ou la scène (très) longue, peu utile et ennuyeuse des cartes postales. Bref la seule vraie bonne idée est le spitch... Deux hommes s'engagent après la promesse de revenir riche et d'avoir tout pouvoir pendant la guerre, mais c'est leur patrie qui perd la guerre... En outre sur un film qui dure moins de 1h20, si on retire les images d'archives et les encarts (beaucoup de blablas façon interstices d'un film muet) Godar aura fait réellement un film deux fois moins long. Bref beaucoup d'idioties pour un moyen-métrage creux couvert par un un sujet qui méritait mieux.
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Une comédie un peu faiblarde sur la vie au bureau. Déjà comme divertissement Office Space peine à remplir son rôle. La BO puisant largement dans le rap (quel rapport avec le sujet traité ?) est insupportable. La dimension romantique est terriblement convenue et baclée. Les personnages stéréotypés et vides deviennent rapidement agaçants car trop répétitifs. Mention toutefois à Ron Livingston et surtout Bob Slydell qui sort du lot malgré un personnage tout aussi éthéré. La critique du monde du travail (même sous une forme aussi caricaturale) m'est resté sympathique tant que le film ne se prenait pas au sérieux mais lorsqu'on arrive au dénouement lors duquel Mike Judge nous sert sa morale conservatrice et niaise selon laquelle le bonheur serait dans la sueur à travailler avec ses bras plutôt que son cerveau sur un chantier j'ai eu la sensation assez désagréable de m'être fait enfiler 1H30 de ma vie.
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Fin de la trilogie marseillaise de Pagnol, ce César va dresser le bilan de ce que le secret de famille a engendré chez chacun de personnages. Le film est assez fort même s'il y a quelques longueurs à mon goût et je n ai pas été convaincu par l acteur qui joue Cesariot dont j ai trouvé le jeu trop théâtral. La partie de carte au retour de l enterrement de Panisse est un moment extraordinaire (à la fois drôle et touchant une des force de Pagnol).
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"The Master" fascinera certainement le spectateur tout comme notre héros fragile et incontrôlable l'est lui-même par ce gourou sans scrupules ! En effet, car au delà de l'histoire et donc du scénario qui nous balade un bon moment sans but précis, c'est bien sûr l'état psychologique du perturbé et déboussolé Freddie qui va se soumettre, se dévouer au Maître non sans se rebeller pour autant, qui sera l'enjeu, la pierre angulaire de ce film... Cette étude de deux caractères, où la dépendance, l'admiration, le besoin d'être reconnu de l'un vers un autre le dominant et le manipulant, est tout simplement passionnante au point de ne pas voir le temps passer ! On aboutit d'ailleurs presque à une attirance physique des deux hommes puisque la fascination se retourne comme dans un miroir... Les deux acteurs Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffmann sont franchement impeccables et convaincants comme rarement et vont rendre cette rencontre très riche et pleine d'enseignement ! On se délecte des mimiques des deux personnages s'observant,se jaugeant tout en comprenant la tactique du plus fort sur celui en besoin de repères ! Pour autant, rien n'est écrit à l'avance et quelques surprises nous attendent... Ce mouvement appelé "La Cause" aussi farfelu soit-il, laisse cependant songeur face aux adeptes qui vont se laisser entraîner par un charlatan Lancaster Dodd, sans vergogne ! Pour notre satisfaction totale, les images, les plans et la lumière sont très réussis et renforcent ainsi le côté authentique du film. Au final, de multiples aspects vont faire de cette réalisation une grande et belle réussite qu'il ne faudra surtout pas manquer !
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Malgré un background quelque peu naif - certains ont dit racoleur - ; il s'agit toute de même d'un bon report sur la shoa & une belle preuve de cette énorme organisation nazie formant le coeur de l'horreur de cette guerre, & dont bien sûr le SA décrit tel Goeth dans " La liste de Schindler " n'en est bien sûr que le représentant...
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Déjà, il y a dans "Et puis les touristes" l'apologie plus que discutable du commerce forgé sur les camps de concentration, très vite métamorphosés en centres touristiques bénéfiques sous prétexte que personne ne doit oublier l'horreur de ces innommables massacres. Se basant sur cette facette du drame, son après, la mémoire à entretenir, les écarts malheureusement inévitables qui se creusent entre les générations l'ayant vécu et les plus jeunes, Robert Thalheim réalise une fiction quasi-documentaire, comme un reportage, un témoignage sur l'oubli et l'irréparable. Mais rien ne dissocie un personnage d'un autre ; ainsi la victime semble aussi peu concernée que ceux qui l'écoutent, des humains fades et inintéressants, mollement interprétés par une série d'acteurs peu enthousiastes. Le scénario, très carte-postale intime, navigue dans des eaux troubles, mélangeant l'idée d'une certaine mouvance paysagesque et les installations raides lors de longs dialogues. La fadeur de l'inflexion des cadres assemblée à la lourdeur du montage et la perforation qu'il effectue dans le récit plombent le film et lui enlève toute trace de sincérité. On ne sait pas trop quoi retenir de ce pseudo-drame mélancolico-carnavalesque aux enchaînements thématiques déliés, lourd hymne à la mémoire et au présent, ennuyeux devoir, rigide, froid et désagréablement rugueux dans son approche volontairement inattachante de l'humain. A la limite des tics auteurisants et scolaires (caméra à l'épaule, éclairages pauvres, absence de psychologie pour soi-disant expérimenter la recherche subjective), parfois mièvre dans son application sans génie des conséquences du drame, des gens qui ne sont plus grand-chose et n'ont plus que la transmission comme avenir et espoir, "Et puis les touristes" est une oeuvre inoffensive, sans effet, dont on ne saura plus tard qu'elle a existé que grâce aux quelques pélerins qui, tels des touristes, sont allez faire un tour devant.
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Del Toro signait ici un bon film d'épouvante au scénario astucieux et plutôt bien ficelé. Une réussite.
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J'ai du mal à comprendre pourquoi ce film est cité comme référence, car il n'y a vraiment rien d'extraordinaire à y voir. Le genre du film, le giallo, s'apparente à un policier teinté de fantastique et assez violent. Les scènes de meurtre constituent pour une grande part le point fort de l'oeuvre de Dario Argento. Inventives et filmées de façon assez originale. Le problème c'est qu'il doit y en avoir seulement quatre sur 1h50... Le thème musical principal est également mémorable mais paradoxalement, le style rock progressif de la bande son ne colle pas au film puisque la musique tend même à diminuer l'effet de peur. Le jeu d'acteurs est plutôt moyen, voire très moyen (mention spéciale à Macha Meril qui aurait pu récolter un Razzie Award). De façon générale, l'effort de recherche esthétique ne suffit pas à rendre ce film d'horreur indispensable car rien ne se démarque vraiment : ni la crédibilité des acteurs, ni l'originalité du scénario.
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Encore un western inclassable tant il fait la part belle à l’érotisme. Il faut dire qu’avec Yvonne de Carlo, véritable convoitise et proie de tous les hommes, Sherwood n’a pas eu trop de mal à nous émoustiller. A ce point-là, je dois dire ma surprise, dans le cinéma d'aujourd’hui elle finirait nue. L’histoire est d’ailleurs construite en ce sens puisque la ‘’ loi Montgomery’’ incite, par son incongruité, les hommes à tous les débordements. Pour éviter toute complication inutile le scénario a privé de morale tous les personnages y compris les rapports père-fils. Il n’y a que la vengeance et le sexe qui comptent. Le réalisateur a beaucoup négligé les scènes de transition mais, et c’est bien ce qui compte le plus, il a conçu des plans magnifiques. L’ouverture est somptueuse puisque la caméra suit une robe d’un rouge éclatant découvrant pas instant de superbes jambes. La mêlée érotique dans la rivière suivie de la chute le long de la cascade est une des plus réussies du genre. Quant au plan sur Paca savourant sa vengeance du haut de son cheval sa grande beauté nous fait oublier la traîtrise de l’indienne et les horreurs qui ont dû suivre. Sherwood a été assistant de grands metteurs en scène, il en a retenu les leçons pour le plaisir des purs cinéphiles.
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Un très bon film qui fait voyager. Tous les acteurs jouent bien leur rôle en étant justes. Les images sous marines sont superbes; La bande originale aussi. Une très bonne surprise pour un bon moment.
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3 sketches qui sont à la base des longs métrages : ce qui fait que l'on comprend à peine ce qu'il se passe par moment. Les histoires restent classiques mais c'est mal joué, les effets spéciaux sont cheap et le gore peu présent. Un film qui ne sert à rien.
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"Cherche fiancé tous frais payés" (2007) 6ter le 06.02.2016 Vous connaissez Aline Issermann ? Moi non plus et il semble qu'à ce jour (2017) ce navet soit l'épilogue de sa courte carrière cinématographique (ouf !) qui n'aura pas révolutionné l'industrie du film. Il faudrait montrer cette histoire neu-neu à tous les candidats à une carrière dans la profession car elle résume toutes les erreurs à ne pas commettre ! Pour le chant du cygne d'Issermann (apparemment) le palmipède était enroué, et pas qu'un peu : tout est loupé et pas qu'un peu non plus ! La réalisatrice, qui se croit investie de la science infuse des frères Lumière, s'était aussi investie dans le scénario, puis comme dialoguiste, comme adaptatrice. Le scénario n'est que le plagiat d'un thème souvent abordé au cinéma, mais qui fait flop car il est ici mal exploité, sans humour fin : n'est pas Dany Boon qui veut ! Le casting est l'exemple du choix qu'il ne faut pas faire : les copains d'abord ! On dirait que chacun des comédiens (mal choisis) a été mis à la place inverse de là où il aurait dû être. Quant au cocotier du Japon, on le découvre avec le rôle abracadabrantesque de Claudia Cardinale qu'on transforme en cougar à 69 balais ! Ca a dû faire sourire Bernadette Chirac, pas nous ! Non, j'ai l'impression que ce film nous prend vraiment pour des abrutis... Ne parlons pas des dialogues ratés, soporifiques, ni de l'adaptation ! L'adaptation de quoi du reste ? Des temps morts ? Malgré une aumône des pays de la Loire, le bide total en salles ! A éviter soigneusement ! ( le navet, pas la région touristique !) willycopresto
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Que faut-il retenir de ce film policier français qui n'atteint aucune hauteur ? Ah si celle de l’extrême violence montrée, du sang à gogo, et un acteur principal qui est aussi expressif qu'une pierre tombale. Non, la vérité c'est que ce type de film doit aussi raconter une histoire, des enjeux et que là, il y a à peine une ébauche de scénario. Passez votre chemin.
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Un 3ème film vraiment réussit. L'humour est toujours aussi présent. De plus on retrouve la bande au complet comme dans le 1. Le scénario est bien ficelé, le jeu des acteurs, toujours aussi bon !! Bref, j'ai vraiment adoré. Ce film ne m'a pas déçue, bien au contraire. :) On a une seule crainte : voir la fin du film arriver !!
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Sur le ton de la comédie, sur un humour verbal parfaitement bien écrit, Stanley Kubrick dénonce un nouvel aspect de la bêtise humaine qui s’avère être en parfaite adéquation avec son époque puisqu’il s’agit d’une image satirique particulièrement acerbe de la guerre froide et de la menace nucléaire sous-jacente. Le jeu polymorphique de Peter Sellers donne à cette nouvelle charge antimilitariste une vision à la fois ridicule et effrayante des motivations politico-militaires des responsables de ce petit jeu géopolitique. L’écriture plein de cynisme des dialogues et des personnages avec lesquels sont dépeints l’absurdité et l’incompétence de ces instances en période de crise et le ton plus burlesque de certaines situations dans des scènes restées cultes tel que le lâcher de la bombe font de cette farce enragée, à défaut d’être une des plus grandes réussites de son réalisateur de génie, une œuvre incontournable du cinéma américain des années soixante.
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L’expression « Avoir le show sur ses épaules » prend tout son sens dans I Want to Live. Susan Hayward en est la porteuse et elle le fait de manière admirable. L’Académie lui a d’ailleurs bien rendu en lui remettant l’Oscar de la meilleure actrice en 1959. Un rôle tracé assurément pour le tapis rouge, mais remplie par la comédienne de manière très personnelle. Susan Hayward a une énergie d’actrice comique que l’on projette ici dans une situation des plus tragiques. Cela donne à son personnage des réactions parfois étranges, mais toujours senties. Derrière une attitude de frondeuse se dévoile un être vulnérable et une âme écorchée. Ce qui rend sa performance si unique. Pour ce qui est du film, on a droit à une réalisation rigoureuse. Que ce soit pour la première portion du film se passant dans les boîtes de nuit ou pour celles se passant dans le milieu carcéral et à la cour, on sent tout le soin apporté aux détails. Il y a une volonté de reproduire de manière intégrale les témoignages provenant des acteurs réels du drame. À cet égard, la dernière demi-heure qui nous fait spectateur du rituel des préparatifs de la mise à mort de la condamnée est sidérante. Chaque plan illustre minutieusement chacune des étapes menant la « victime » à son dernier souffle. Durant tout le processus, le public est amené à se questionner sur la perversité du lien entre les médias et le monde judiciaire et sur la notion même de « peine de mort ». Plus qu’un plaidoyer, Je veux vivre est un cri du cœur lancé à la conscience humaine.
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Une énième parodie de Twilight, on retrouve les mêmes ingrédient habituel, sans trop de surprise, et on s'ennuie finalement assez vite de cet humour pseudo pipi caca répétitif. Bref dans l'ensemble, mieux que "Mord moi sans hésitation" mais pas pour autant un film recommandable.
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Après leur monstrueusement déjanté mais totalement assumé "La Tour Montparnasse Infernale", Eric et Ramzy reviennent au cinéma avec cette parodie de la saga James Bond. Mais malheureusement pour nous, le résultat est bien moins sympathique que leur premier « méfait » : si la première partie du film relatant l’intégration des nos deux zéros dans la DGSE était très sympathique et laissez présager du meilleur ; ça se gâte totalement par la suite avec une accumulation de gags plus lourds les uns que les autres. Alors forcément, parmi tant de blagues balancées à la minute, il y en a certaines qui font mouche mais ce n’est pas suffisant pour sauver le film dans son intégralité. Et malgré tous les efforts d’Eric et Ramzy, cela fait peine d’avouer que le meilleur moment du film nous est donné par un lapin numérique en rut façon Tex Avery !! Par contre, si vous aimez les jolies poupées, vous allez être servi vu le nombre de nanas que le film vous présentera (notamment la charismatique Georgianna Robertson et sa magnifique plastique !) On retiendra aussi que, malgré une coupe de cheveux ringarde, une barbe improbable et des fringues absolument ridicules, Edouard Baer arrive tout de même à paraître classe ! "Double Zéro" est donc un petit film potache qui arrivera peut-être à vous distraire le temps de sa durée mais que vous oublierez très vite.
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Les hèros de Robert Mulligan sont le plus souvent des solitaires, des dèphasès qui ne peuvent intègrer la sociètè. "Baby the Rain Must Fall" ne dèroge pas à la règle et reste l'une des oeuvres majeures du cinèaste! Et, dans cette complainte des inadaptès, Steve McQueen fait une crèation prodigieuse! A l'origine, il y a une pièce d'Horton Foote! Mulligan en tire une dramatique tèlèvisèe en direct! La pièce fait le portrait d'une femme venue avec son enfant retrouver son mari qui vient de purger une peine de prison pour avoir poignardè quelqu'un! Ce personnage du mari est quasiment inexistant et le rèalisateur dècide de le dèvelopper contrairement à la pièce! Le film fut donc retaillè par McQueen, tout bonnement excellent et personne ne pourra l'oublier, dèsèquilibrè, taciturne et dèchirè, alors qu'il chante en martelant le sol un rock dèsespèrè! Mais c'est Lee Remick, avec sa capacitè à survivre dans cette histoire, qui est sensationnelle! Et le mot est faible! Et même si les orages peuvent être èvitès ou que la pluie doit finir par tomber (chanson que chante admirablement McQueen dans le film), elle rèvèle une ènergie et un courage à fleur de peau ètonnants! De plus la photo en noir et blanc est d'une grande beautè, magnifièe par la rèalisation pure et sensible de Mulligan! Ce pourrait être un effroyable drame psychologique! il n'en est rien...
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C'est une très bonne idée de faire un film comme cela mais il manque trop de bonnes histoires !!! Dommage que les sujets restent tout temps sur le sexe et la drogue , certains sujets sont trop malsain pour que j'apprécie l'ensemble du film . Certaines histoires sont trop merdiques !!! On a pas vraiment besoin tout le temps de l'extrémité pour faire de bons court-métrages d'horreur !!
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J'ai jamais vu un film tellement magnifique que celle là. Je vous conseille de le regarder absolument !!J'avais carrément des larmes aux yeux à la fin du film, tellement que c'était triste !!
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Pouah, c't'horreur, je sais même pas comment j'ai réussi à le regarder entièrement. Shirley Henderson est mauvaise, et la VF empire certainement les choses, malheureusement. Goran Visnjic vaut tellement mieux que ça ! Bref, c'est un film britannique, je n'savais pas, et je n'en suis pas étonnée.
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Ce film a un charme fou. C’est inattendu, déroutant, à la fois glacial et chaleureux. C’est le récit de deux trajectoires convergentes qui se joignent au milieu du film. Un immigré clandestin syrien découvre l’accueil nordique en Finlande tandis qu’un représentant, cinquantenaire insignifiant, décide de plaquer sa femme et son travail de VRP en chemise. Les trajets de chacun d’eux sont grinçants et font sourire à la fois. Le traitement est glacial et chirurgical entrecoupé de fulgurances humoristiques toujours inattendues. Ces dernières permettent de supporter la profondeur du message … Une brillante sinistrose !
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Il manque une sixième étoile dans le classement allociné pour différencier les films exceptionnels (19 pour ma part dans mes 1289) .Celui ci ne les mériterait cependant pas pour sa première partie à la fois trop longue pour le spectateur et bien trop courte dans l’histoire pour ne pas en sourire. Par contre, une fois Stella morte, le film devient grandiose à tous points de vue. Il est rare de traiter pareil sujet; l’histoire d’un homme de 30 ans raté mais que l’amour unilatéral d’une femme seule va sans doute sauver. Sur ce sujet peu traité au cinéma, ce film est un modèle de discrétion et de force; cela est toujours possible dans la vraie vie et donne tout son sens aux rapports humains. Preminger a réussi ce tour de passe passe difficile ( Stella est éblouissante et June effacée) grâce à un trio parfaitement choisi et dirigé. Alice Faye plus connue pour ses comédies musicales fait un sans faute et bien que des séquences entières sur elle furent coupées, elle finit par se faire remarquer. Le scénario est habile, Eric se montre plus intelligent que la majorité des spectateurs dont je fais partie, pourtant les indices existaient pour trouver le vrai meurtrier. Un grand polar noir. Ces grands films du passé demandent de la réflexion et du recul pour les apprécier, ils demandent aussi de voir dans le cinéma une source culturelle passée de mode. C'est à chacun d'y réfléchir, ces œuvres se revoient comme on relie un poème ou qu'on écoute une symphonie.
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Après vu Hunger games ou d'autres récents films SF, comme l'excellent Looper, celui-ci me semble très moyen, l'ennui total, aucune surprise...A voir un Dimanche pluvieux à la T.V car vaut pas mieux qu'un Téléfilm...BOF!!!
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Bon, je sais qu'il est de très bon ton de dire que Jean-Luc Godard est un génie mais après la vision du film, je n'ai nullement envie de le dire. Brigitte Bardot n'a jamais été aussi belle mais elle n'a jamais joué aussi mal, Jack Palance, qui passe toutes ses scènes à grogner, ne sait pas ce qu'il fout dans ce film, Fritz Lang, au moins sa présence montre qu"il y avait un véritable metteur en scène qui trainait dans le coin, débite les conneries que Godard lui demandé de dire sans trop y croire mais avec l'assurance de recevoir un bon cachet de la part des producteurs. En fait, seul Michel Piccoli arrive à être convaincant mais ce n'est pas génial non plus. La réalisation du "génie" quand à elle frôle l'amateurisme, malgré quelques moments de grâce dans un océan d'ennui, les scènes dans l'appartement sont interminables et la mise en scène de l'accident final, censé être le scène la plus bouleversante, est tellement ridicule qu'on aurait plus envie d'en rire. Des points positifs quand même, les paysages capresis filmés par la superbe photographie Raoul Coutard sont sublimes et la musique de Georges Delerue, une des plus belles jamais composées,magnifique, mais Godard réussit l'exploit de la rendre énervante en l'utilisant à tort et à travers. Inutile de dire que l'ensemble est très ennuyeux, amateur et très prétentieux.
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Troisième opus de "Bloodsport". C'est à peu près du même tonneau que le n°2 avec toujours Alex Cardo alias Daniel Bernhardt!Sun, le maitre et ami d'Alex a ètè assassinè! On n'apprend qu'il fut le frère du Juge du Kumitè de "Bloodsport II".Si son frère l'a choisi comme èlève, alors ce juge pas comme les autres pense être en mesure d'aider Alex Cardo! Le mieux est de ne pas intervenir jusqu'au Kumitè et qu'ensuite un champion se prèsente au dernier moment pour affronter la « Bête » qui succède au « Demon » . Cela bouleversera le plan d'un certain John Rhys-Davies (l'inoubliable Sallah dans "Raiders of the Lost Ark") qui joue un riche milliardaire sans envergure! Et Alex est ce champion! La surprise est l'arme la plus redoutable! L'important pour le personnage de Rhys-Davies, c'est l'argent et la vanitè! La cupiditè est son point faible! Pour parvenir au niveau supèrieur, Alex ne doit plus faire qu'un avec le monde qui l'entoure comme dèfier un serpent venimeux ou arrêter une flèche en plein tir! Allumer un feu paraît si simple (et en même temps si ridicule) quand on n'est une bête de combat comme Alex Cardo! Pour maîtriser son corps, il faut d'abord commencer par dominer l'esprit! Alex est venu voir le frangin de Sun pour ça! C'est une sage dècision! Le reste fait une fois de plus dans le dèja vu avec un entraînement physique loin des tatamis, de la sueur, une philosophie à la Xian Chow et des combats virils! Les inconditionnels de la franchise ne s'en plaindront pas! Les autres se concentreront sur Amber Van Lent, une rousse incendiaire qui joue les pots de fleurs...
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Dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale, un caporal déserteur trouve un uniforme de capitaine et commence ainsi sa descente dans la folie et la guerre. The Captain est une satire de la guerre où des scènes d'horreur remplacent les blagues. Imaginez le Dr Strangelove sans l'humour mais la violence à la place. Le film ressemble de très près au «Capitaine» qu'il dépeint: fort, décisif et saisissant. L'histoire est aussi imprévisible que les performances sont frappantes. En plus de du scénario déjanté, ce qui frappe, c'est que le film est à la fois divertissant et cérébral. Un film important. Ne manquez surtout pas le générique de fin, qui est aussi surréaliste, honnête et vrai que n'importe quel flash d'info que vous verrez sûr la télé ce soir.
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Décidément, pour une fois que j'allume la télé en plein après-midi, je ne tombe que sur des films dont le thème principal est l'infidélité, la fin des sentiments, l'épuisement du couple .... A croire que les programmateurs essaient de donner des idées à la ménagère de moins de 50 ans qui garde les enfants à la maison ou de les rendre parano, au choix. Bref, c'est nul, tellement nul, que, comme une ménagère de moins de 50 ans, j'ai accroché mon linge, fais mes machines, mangé, fais des papiers en même temps. Quel bonheur de s'immiscer dans ce quotidien morne et sans saveur -_-'
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un film magnifique et d'une énergie folle qui dresse finement le portrait de femmes fortes et hautes en couleur, sans stéréotypes.
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J'avais été intéressé par le titre, l'affiche du film et par le synopsis mais j'avais une appréhension n'étant pas très friand de films italiens et encore moins de ceux faits il y a plus de trente ans. Le résultat est un film avec de bonnes scènes d'action, un fil rouge plutôt passionnant. Cependant, il y a trop de bavardages et de scènes qui font baisser l'intensité du scénario. J'ai également trouvé la musique vite énervante et cela a beaucoup altéré ma concentration. Dommage car tout n'était pas à jeter !!
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Face-de-mort, un catcheur devenu sénateur (sic), embauche quatre chasseurs de primes pour retrouver le précieux document qui lui a été volé dans l’incendie du bar des bikers qui lui servent de garde prétorienne. L’un des quatre, Rod Rosse, va se retourner contre son employeur et prendre fait et cause pour Lana, l’auteur du larcin. Revoilà Bill Plympton et ses films d’animation pour adultes. On reconnaît dès la première planche l’auteur de "L’Impitoyable lune de miel" et des "Mutants de l’espace" : couleurs pop, silhouettes déformées (des têtes énormes sur des corps minuscules), dialogues trash. Dans "Revengeance" (intraduisible mot-valise), le vieux dessinateur s’est adjoint les services d’un jeune scénariste. Pour la première fois peut-être il raconte une histoire, particulièrement dense pour un film de une heure onze seulement. Une histoire complexe, pleine de rebondissement, qui évoquerait les films noirs des années 40 si elle ne se déroulait dans une Californie bien contemporaine. On pense à "Inherent Vice" de Paul Thomas Anderson et plus encore à l’esthétique pop de "Kill Bill" Quentin Tarantino dont Lana la vengeresse, aussi adroite à manier l’arc que Uma Thumrman le sabre, n’a pas pu ne pas s’inspirer. Pourquoi ne donner qu’une seul étoile à ce dessin animé dont je suis en train de saluer la richesse ? Parce que je ne suis pas entré dans le délire de Bill Plympton. Parce que ses dessins ont cessé de m’intéresser passé le premier étonnement. Parce que son histoire, finalement assez conventionnelle, ne m’a pas captivé. Bref parce que, malgré la brièveté du film, je m’y suis copieusement ennuyé.
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Encore plus mauvais que le premier. Dialogue navrant Comedien en roue libre, plus mauvais les uns que les autres. Pas drôle. Mais alors vraiment pas. Même triste à pleurer. Mise en scène... euh... peut on appeler cela de la mise en scène. Lumière immonde. Visiblement produit et destiné pour la télévision. Navrant. Seul Christian Clavier sort son épingle du jeu. C’est le seul qui a le sens du rythme et qui a une vrai diction. A quand un grand film pour cet acteur sous estimé ? Le prochain Blier ?
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Un navet anglais des plus défraîchis qui ne s'est pas arrangé avec le temps et dont la date limite de consommation est dépassée depuis longtemps. En fait, même lors de sa sortie, il était déjà faisandé et puait grave de la gueule. ça fait penser à un vague téléfilm à la petite semaine dont l'indigence crasse ne laisse pas de stupéfier, d'autant que son titre ronflant laissait au moins espérer (bien naïvement) quelque chose de drôle au 3ème ou 4ème degré éventuellement : "la nuit des maléfices" en français ou littéralement "le sang sur la griffe de Satan" en anglais ! Nom de nom, le titre est la seule chose "réussie" (si l'on peut dire) dans cet accident très vaguement cinématographique.
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un vrai navet .. scénario nul ... acteurs médiocres ... et le top...des effets spéciaux mauvais comme rarement...même un hélicoptère dans le ciel c'est une horreur ....bref perte de temps.
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Si les costumes et les décors peuvent faire illusion (on a vu pire), la direction d'acteurs est exécrable (il faut voir le type jouant Akhenaton ânonner son texte avec un air idiot), les dialogues sont puérils, voire débiles, la mise en scène est ridicule (les mouvements de foules sont impayables) et l'histoire inintéressante. Heureusement cette pitrerie sans humour ne dure que 68 minutes et on peut éventuellement se consoler avec la présence de la superbe Michela Rocco di Torrepadula, ex Miss Italie qui a l'extrême obligeance de nous dévoiler ses charmes.
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Superbe film, qui aborde sans détour, dans la lignée d'"un long dimanche de fiancailles" de JP Jeunet, l'absurdité de la guerre et celle de 14/18 en particulier : les journées de combat pour rien (avancer ou reculer de...30m!),la boue, le froid, la peur...et le handicap à vie ou la mort. Acteurs très justes, belle histoire d'amour, cocktail très réussi comme on aimerait en voir plus souvent !
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Film déprimant au possible, "La nourrice" est à proscrire les soirs où le moral est au plus bas. C'est simple, les personnages tirent tous les tronche du début à la fin, y compris lorsqu'ils sont heureux. A cela s'ajoute une esthétique très 70's, tant la qualité des images laisse à désirer. Pour rester cohérent avec l'ensemble, Marco Bellocchio adopte d'ailleurs une réalisation old school avec une lenteur assassine. En clair, on s'ennuie ferme. Et quel dommage, car le jeu des uns et des autres est de qualité, et Bellocchio parvient à mettre en scène toute la complexité des émotions humaines. On se noie facilement dans le bleu des yeux de Valeria Bruni Tedeschi, et l’ambiguïté du personnage de Mori à l'égard de celui de Annetta ne cesse de fasciner. Elément déterminant, du moins pour ma part, le rôle trop décoratif de l'histoire. Un drapeau rouge, quelques placards sur les murs, ... on se demande bien quel rôle Bellocchio voulait accorder aux agitations sociales de l'Italie du premier XXe siècle. En résumé, un film artésien tant il rebutera les jeunes spectateurs, à réserver à un public très averti.
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Houlà là les condamnations vont pleuvoir...... ce film est une excellente surprise doublée d'une critique acerbe envers la religion, la justice, la police et finalement un plaidoyer pour l'auto défense..... Une Katie Holmes au mieux de sa forme nous campe une justicière tout à fait convaincante et impitoyable, accompagnée par un shérif (James Badge Dale) fou amoureux d'elle, leur chemin sera mortifère....... le scénario est bien amené, les costumes de Kate sont trop cute, seul le manque de profondeur du sujet empêche le film d'être plus qu'un excellent film, c'est déjà pas mal....... les bobos machistes vont avalés de travers...... J'aime Miss Meadows.....
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Il s'inscrit dans la veine des films asiatiques d'horreur, sombre, inquiétant et à la musique grinçante sauf que...Il n'en a pas toutes les qualités, voire même il cumule leurs défauts!!! Il se laisser regarder tout de même, mais sans plus.
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Daens est un film retraçant le travail des ouvriers, de comment sont vue les socialistes, de comment réagit le parlement face à ces problématiques, ... Je dirais que le film est très réussie, il retrace vraiment bien les conditions de travail et d'hygiène des citoyens, d'un coté les riches et de l'autre, les pauvres. Ce film est émouvant d'un coté et "trash" à la fois, il y a des scènes qui sont assez dur mais qui montre belle et bien la réalité de l'époque entre ces différent partit, mais surtout des conditions de travail des ouvriers, ... . Pour le jeu des acteurs, je dirais que c'est plutôt bien joué, le casting n'est pas grandiose, ce film n'est pas un blockbuster mais au moins il est réussie. Le scénario n'en parlons pas, il est très bien écrit, il relate très bien les faits de cette époque et donc pour moi, ce film mérite un bon 16/20. Si je ne mets pas plus, c'est le faite que j'ai trouvé l'intrigue assez lente, et il fallait vraiment attendre le tiers voir la seconde partie du film pour être entraîner dans l'histoire et donc voilà, ce film je l'ai vu une fois, je ne le verrais pas deux fois certes, mais ce n'est pas pour autant que je ne l'ai pas apprécié. L'histoire est donc très bien travaillée mais il faut le dire que c'est quand même assez long et lent, surtout au début. ;) PS: Comme quoi la Belgique fait de très beau film quand elle veut. :p
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Etant allée au ciné le jour de Noël par dépit (payer une redevance télé pour y voir de sombres bouses pendant les vacances scolaires et même à longueur d'année pour être honnête!...), je me retrouve donc devant CATS en VO (dont j'ai entendu parler dans mes jeunes années mais que je n'ai jamais ni écouté ni vu) un 25 décembre avec ma progéniture de 11 ans et mon amoureux. Nous n'attendons pas grand chose de ce film, sinon un peu de divertissement. Nous voilà finalement embarqués dans cette histoire, subjugués par l'ambiance (rues sombres de Londres), les personnages, leurs costumes, les chorégraphies et les tours de chant. En bref, une très agréable surprise! Même ma 11 ans qui parle un peu Anglais a adoré (je l'ai entendue entonner quelques refrains!!!) Alors certains diront que c'est kitsch, dénué d'intéret... mais nous nous avons adoré! C'est surprenant, original, décalé voire même bluffant! Je conseille vivement pour passer un moment magique hors du temps!
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Auréolé de son Ours d'Or obtenu à Berlin, "Miel" a bénéficié lors de sa sortie en septembre d'un nombre relativement important de copies, contrairement à "Milk", sorti le même jour, ou que "Yumurta" ("L'oeuf") sorti en 2008. Espérons que le succès remporté permettra à "Milk" et à "Yumurta" de bénéficier d'une "nouvelle" sortie ! Film contemplatif, "Miel" est, avant tout, un film esthétiquement très réussi : par leur utilisation de la lumière, certains plans font penser à Vermeer, ce qui, pour moi, n'est pas un mince compliment. Ne serait ce que sur ce plan, la comparaison entre l'ours d'or et la dernière palme d'or est plus que sévère pour le jury cannois ! Mais "Miel" n'est pas que beau ! Il y a une excellente direction d'acteurs, une immersion très réussie dans une nature pleine de mystère et l'histoire d'un petit gamin de 6 ans, extraordinaire de grâce et de sensibilité. Après les chefs d'œuvre de Nuri Bilge Ceylan, le cinéma turc n'arrête pas de nous étonner !
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Difficile de ne pas tomber amoureux d'un tel film. Malgré le fait que le film nous déverse des bons sentiments tout le long, l'ensemble est tellement bien réalisé et ficelé et le design des personnages et leur émotions tellement parfait que l'on se laisse très rapidement transporter par l'histoire, elle aussi magnifique. Ratatouille est l'un des tous meilleurs films d'animation, et l'un des tous meilleurs films tout court de tous les temps.
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Super film, je ne m'attendais pas a un truc aussi violent c'est vraiment une excellente surprise. C.Farrell est parfait. On passe de scènes d'humour decalé et de dialogues absurdes a de la violence assez sombre, voir a des scenees plutot triste. J'adore les films qui melangent les genres comme ca
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Quelle foirade cette saga; et ça n'en finit donc jamais! Comme si je pouvais m'attendre à une quelconque amélioration après 4 opus pathétiques. Et la blague va très loin: comme si un flop ne lui suffisait pas, le réalisateur double la mise au prix de sa dignité en tournant deux navets consécutifs la même année. C'est un exploit je dois l’admettre. Celui là est bel et bien productif en ce qui concerne la nullité absolue. Je le dis et je le répète, une série B ne devient drôle que si le message délivré est assumé jusqu'au bout. Et bien, j'attends; où est donc la rigolade tant attendue. En effet, j'oubliais ce casting à mourir de rire, recruté par degrés de médiocrité. Jamais le milieux du cinéma n'a été autant bafoué par de si pitoyables doublages et un nombre incalculable de répliques au rabais. Et comme si cela ne suffisait pas, le scénario est minable. Un filon exploité de son jus et même bien au delà du zeste, à tel point qu'il n'y a plus rien à presser. Le premier opus étant le mieux ne volait déjà pas très haut, on atteint ici les sommets. Au final, c'est vrai qu'on a tendance à se marrer, mais plus par pitié que de bon cœur. Achevez moi. 1,5/5
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Rendons d'abord hommage à la photo, aux décors et aux costumes, étonnamment réussis par rapport au niveau 0 (-1000 ?) de tout le reste. Car, en terme de ressenti, regarder "The Longest Week" c'est un peu comme manger le vomi de Woody Allen. Pendant 1h20. Et tu finis bien l'assiette s'il te plait, regarde, il en reste un peu sur le bord. J'ai rarement vu un film aux dialogues aussi poussifs et pas naturels au point qu'on en est mal à l'aise pour les comédiens. Comédiens qui se noient d'ailleurs littéralement dans la fange qu'est ce film, mais leur jeu d'acteur est tellement exécrable qu'on les soupçonnerait presque d'aimer ça. Saupoudrez le tout d'une la voix off démonstrative insupportable comme si elle s'adressait à des enfants oligophrènes, et vous obtenez cet amas fécalo-filmique que même les vers n'oseraient pourrir.
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Très bon film, belle intrigue, quelques moments d'angoisse et de sursaut. Je le recommande
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El Campo est une reconquête à la vie, dans les codes du film d'horreur avec une écriture soignée et minutieuse. Hernan Belon prend le temps d'installer les détails et les bases de son histoire pour mieux capter l'angoisse de son personnage féminin. Cette angoisse qui mettra le feu aux poudres dans une crise conjugale à venir avec ce déménagement conséquent, qui nous questionne sur le sens de la vie. J'ai vu ce film au Festival International du film d'Amiens 2011 et j'ai été totalement conquis par ce film.
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C'est franchement mauvais ! Les personnages sont transparents. Les caractères sont à peine esquissés. Ils changent d'attitude sans raison évoquée. Le chef des Rangers qui se targue d'avoir des manuels stratégie militaire envoie ses hommes dans tous les traquenarts que leur tendent les méchants-pas-beau. Certains apparaissent et disparaissent comme par enchantement. C'est affreux de voir un tel gâchis sur un tel sujet. On a l'impression d'avoir une surprise de boulangerie : plein de bordel (profusion de personnages) sans aucun lien entre ses éléments (l'histoire est racontée comme si sagissait du résumé du film qui aurait du être fait), et au final on est très très très déçu. Je retourne voir OPEN RANGE et laisse ce western spaghetti qui se prend au sérieux au chat de la voisine. Insipide !
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Quand un réalisateur accepte de se laisser emmener par son sujet et qu'il découvre que le film, qu'il tourne n'est pas celui qu'il projetait de tourner. On peut circuler dans l'horreur et néanmoins permettre qu'une rencontre fructueuse advienne. Ce film est exemplaire et illustre le processus transférentiel. Un cadre de rencontre s'institue. Une parole s'énonce. Un désir de dire s'adresse. La réception du dire engage celui qui prononce, mais aussi celui qui écoute. L'écoute n'est pas jugeante, mais elle s'engage. Le cadre n'est pas le préalable, il se construit à chaque instant. Même si ce n'est pas l'objet de ce film, c'est tout de même une belle démonstration du processus psychanalytique. Les détracteurs de la psychanalyse, qui affirment qu'elle n'est pas scientifique, n'ont pas tort. Leur tort, c'est de penser que l'ascientificité de la psychanalyse serait son point faible, alors que son efficace résulte précisément de cette rencontre un par un et qu'aucune garantie préalable que ça va marcher à coup sûr ne peut être fournie. Le réalisateur n'est pas psychanalyste, mais il sert la cause freudienne en allant explorer sans reculer là où on n'a pas envie de partir en excursion. Bravo pour ce projet, qui donne sa place à l'intime, alors qu'il expose sur un écran l'indicible et l'innommable. Une belle démonstration également de ce qu'est la sérendipité.
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Robert Lamoureux revisite à merveille la seconde guerre mondial en compagnie des géantissimes Jean Lefebvre, Pierre Mondy, Aldo Maccione et Pierre Tornade, l'humour est parfaitement irrésistible, chaque scène est une scène culte, chaque réplique est une réplique culte, cette trilogie est inoubliable et immortel, que du bonheur !
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Un excellent film! Le fond historique est bien respecté. Edward Fox y interprète avec justesse un tueur froid, méthodique, prêt à tout pour atteindre sa cible. En face Michael Lonsdale, est un flic tout aussi méthodique, mais plus humain. Seules imperfections, des longueurs dans la dernière partie du film. Quelques plans de défilés militaires, de prise d'armes auraient pu être coupé sans préjudice pour le film.
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Le téléfilm ricain basique, donc sur le mariage (le plus beau jour de la vie on rappelle) et les problèmes qui en découlent surtout quand on le décide après quelques mois de relation seulement (ce qui est la règle limite là bas). Donc on se retrouve avec une trame et une histoire banales, comme pour les films de catastrophe naturelle on devine tout et ils se ressemblent tous. Passée cette non surprise on n’a pas grand-chose non plus. Shannon Elisabeth me direz-vous oui mais on la préfère tous en mode American Pie, et là c’est pas trop le cas. Une belle histoire ? Pas du tout, à part sa banalité elle est prévisible à souhait, chiante à mort et débile à fond. On ne voit que des gamins qui ne savent pas se parler, ni penser, ni agir à temps. A 10 ans je veux bien, mais quand on en a 30, un poste à responsabilité et un mariage en vu, hum hum. En fait vous remarquerez surtout des clichés US et un côté ultra superficiel de tous les personnages. L’ancien petit ami du lycée qui revient pile là, les doutes habituels, la chambre de l’héroïne qui n’a pas bougé depuis ses 13 ans (et à 18 ans elle y vivait encore ? Pourquoi elle ne l’a pas relooké ?), les copines qui sont des ersatz de Sex and the city, le mariage en lui-même, la vie du mec célibataire… Non vraiment ce truc est une farce, une preuve supplémentaire ? Les monologues intérieurs, depuis Sauvés par le Gong (80’s donc) c’est dépassé. Quant au recyclage d’acteurs de séries c’est devenu tellement courant que plus trop besoin de prouver l’ineptie du procédé. En bref : on s’attendait à une bouse, on là eu, et on s’étonne des carrières de certains après…
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Je reconnais que sur le web, Norman parvient à enchanter beaucoup de spectateurs grâce à un humour particulier assez sympa ... Mais où cet humour est il passé dans ce film ? Et où est donc passé aussi le scénariste et le réalisateur, ils allaient à la cafet pendant que les autres incompétents se coltinaient le travail ? Non, ce film est vraiment un mauvais film ! Il est marqué que c'est une comédie, hors il n'a jamais su m'arracher un sourire sur toute la longueur ( oui, j'ai trouvé que les misérables 1h20 passaient trop lentement ) ... Peut-être n'y a-t-il que le barbu pour soutenir cette comédie non comique !
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Un retour aux sources pour James Belushi qui n'en pas eu assez des ces films d'action qui n'a d'autre but que de nous divertir avec des scénes d'actions faisant appel non pas aux effets spéciaux mais aux simples pétards,canons et autres artifices.On pouvait s'attendre à une sorte de "double détente" sans Schwarzi,mais on est bien loin de cette époque.Les scénaristes font tout pour recreer cette atmosphére qu'on a connu dans les 80's et le début des 90's mais se plante carrément en tentant d'instaurer un dénouement qui tue.Marre de ces fins où tout le monde se ment,et que le gentil est en fait le méchant depuis le début.Bref un scénario médiocre que les auteurs ont éssayé de sauver avec les dialogues qui sont moyens.Ca se croit drole et surprenant c'est juste très moyen et à peine divertissant.
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Surfait, sentiments bancals et trop binaire: on a d'un côté la pauv' victime et son parrain, de l'autre les suspicieux et autres méchants. Film trop sensibiliste (petites musiques douces émouvantes mais inappropriées), trop terne, trop stylé, trop maniéré. Andrew Garfield n'arrête pas de faire des "grimaces" de paumé légèrement psychotique: pas la peine d'en rajouter! Est-ce bien vu, d'ailleurs? C'est larmoyant, le scénario fait tout pour nous écoeurer mais avec un manque de force, un manque d'énergie certains. Je n'ai pas pu me projeter dans le personnage à cause de cette affectation sans cesse trop appuyée. La ressemblance Jack/Eric est mauvaise ; d'autres aspects rongent la crédibilité de l'histoire, dont la visée démonstrative irrite. Le film plaît à d'autres, certes, mais pour moi il n'a guère d'intérêt.
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J'adoooooore l'expressionnisme allemand. Et Le cabinet du docteur Caligari en est un des représentants les plus importants. Plus terrifiant encore que bon nombre de péloches dites "d'horreur" que l'on tourne de nos jours, son atmosphère est si particulière qu'on se croirait plongé non pas dans un rêve, mais bel et bien dans un cauchemar. D'autant plus terrifiant ici que le film s'appuie sur la vision d'un fou, et en donne les perspectives avec les bandes colorées, les décors géométriques, et les expressions poussées des acteurs. Tout cela pour nous faire décoller, le temps d'une projection, de notre réalité, pour accéder au monde si étrange de Francis, l'interné. Le film, plus théâtral que cinématographique de par les techniques employées, permet à Wiene de se détacher du cinéma de son époque pour créer une oeuvre unique et symbolique du courant expressionniste. Un bijou.
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Je m'étonne de voir une moyenne aussi basse pour ce qui est l'un des plus grands films du cinéma....King Kong est un monument tout comme ce gorille. Les effets spéciaux pour l'époque sont juste hallucinants, des trucages géniaux qui font encore pâlir ceux d'aujourd'hui et pourtant il y a 80 ans de différence !! L'histoire est juste superbe, relecture de la Belle et la Bête, Fay Wray est sexy, les décors sur l'île exotiques, la fin mythique sur l'ESB inauguré deux ans plus tôt. Bref, un film que tout cinéphile se doit d'avoir dans sa dvdthèque pour ce chef d'oeuvre du film de monstres.
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La petite Irma vit seule avec sa mère. L'adorable fillette a trouvé chez les enfants des voisins, en pâmoison devant sa grâce, une cour d'admirateurs conquis. Mais l'arrivée d'un nouveau petit voisin qui refuse de reconnaître sa beauté la plonge dans le désespoir. Inédit en France, "La Belle" a été tourné en noir et blanc en 1969 par le réalisateur lituanien Arunas Žebriūnas. Sa sortie - confidentielle - sur quelques écrans parisiens est l'occasion de découvrir qu'existait avant la Chute du Mur, avant Sharunas Bartas et Alanté Kavaïté, un cinéma en Lituanie. Ce film de soixante-trois minutes est minimaliste. Il ne quitte pas d'une semelle la gracieuse Inga Mickyté - dont on serait bien curieux de savoir ce qu'elle est ensuite devenue. L'inspiration de Arunas Žebriūnas est aisément identifiable : la Nouvelle Vague et "Les Quatre cents coups" de Truffaut. Pour autant, il ne s'agit pas, comme chez Truffaut de filmer les facéties de l'enfance ou ses révoltes rentrées. Le cinéma de Žebriūnas emprunte plutôt au réalisme poétique, embarquant la gamine dans une quête, un brin poseuse, de l'essence de la beauté qu'elle recherche dans un bouquet d'aurone en fleurs. Le tout sur une musique très référencée qui rappelle l'acoustique de François de Roubaix. Ce qui frappe aujourd'hui dans ce film tourné un an seulement après le Printemps de Prague est son absence de tout caractère politique - sauf à considérer que l'histoire d'une enfance qui s'ennuie dessine en creux le portrait d'un système qui l'étouffe. Témoignant de ce que le pouvoir soviétique autorisait l'expression des cultures locales, on s'exprime en lituanien tout le long du film et non en russe (mais je n'ai pas réussi à vérifier que les dialogues étaient d'origine ou résulteraient d'une post-synchronisation plus récente). Et "La Belle" montre Vilnius, le va-et-vient indolent de ses habitants, les berges paisibles de la rivière qui la traverse, comme n'importe quelle ville au monde.
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Description

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