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Attention, ma critique contient des spoilers. Je vous déconseille de la lire si vous n'avez pas vu le film. Bon ben c'est raté. C'est inintéressant du début à la fin, c'est con, c'est pénible. Les mecs ils nous expliquent pendant tout le film qu'en gros ils vont coucher ensemble et que ce sera de l'art et il faut attendre la fin du film pour qu'un des deux se demande en quoi ce sera de l'art (c'est pas comme si y avait une proposition artistique dans leur idée). Et puis y a un truc complètement con dans le film, c'est qu'on t'explique qu'en gros c'est deux hétéros qui vont coucher ensemble mais apparemment pour la réalisatrice, aller au bout de ce parti pris c'est pas possible, alors du coup un de ses deux personnages devient à tendances homo refoulé. Bon, c'est super palpitant tout ça. Et puis c'est pas comme si derrière y avait une mise en scène interessante pour rattraper le tout. Alors à noter tout de même, afin de ne pas être trop méchant, que y a une discussion entre le mari et sa femme qui est très bien écrite, qui est intéressante et qui permet de mener une réflexion sur le couple, la fidélité sexuelle, la fidélité amoureuse. Ca c'est juste très bien, c'est une sorte d'oasis dans le désert, ça fait du bien mais malheureusement après ça disparait et puis on est reparti dans le désert.
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Une agréable surprise pour un film sorti directement en DVD ! D'habitude les direct to dvd sont de qualité moindre. Un très bon film de guerre qui ne laisse pas entrevoir son manque de moyens. Un très bon film historique inspiré d'une histoire vraie qui à le mérite de nous apprendre le rôle des mineurs Australiens durant la première guerre mondiale. Une romance et des flash-back qui ne sont pas dérangeants. Des acteurs qui tiennent la route et une photo très bien travaillée. Un univers souterrain prenant. Ce film aurait mérité une plus large distribution et de meilleures critiques.
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L'homme, capable du pire comme du meilleur. Anurag Kashyap, homme capable du meilleur (Gangs of Wasseypur) mais nous dévoilant aujourd'hui le pire, l'impensable, l'ineffable. Avant d'emmener sa fille au cinéma, un acteur raté doit s'arrêter chez son agent récupérer un scénario. Lorsqu'il revient dans sa voiture, sa fille n'y est plus. Sommes-nous, à la vision d'Ugly, perdus dans un rêve morbide où la morale est une notion qui n'a plus de sens ? Sans aucun doute, l'ambiance est sale, poisseuse, oscillant entre une photographie saturée et une bande son cacophonique. Le cinéaste prend bien le soin d'afficher les jours qui s'écoulent à l'intérieur de son récit. Une semaine absolument barbare, une éternité pour le spectateur, où l'homme n'est plus homme, où l'homme est redevenu bête. Par cupidité, jalousie et pure passion, aucun personnage ne peut se croire supérieur à un autre. Tous ces derniers ont touché le fond et ont conscience d'être désormais en enfer. Et encore, si Satan veut bien les accueillir. Ugly est un excellent polar comme on en voit peu sur fond de misère sociale. Quand ce n'est pas la police et leurs méthodes primitives qui en prennent pour leur grade, c'est alors le milieu futile et avide du show-business qui est attaqué. Élément après élément, on se demande quelles sont les barrières de ce récit et jusqu'où il peut aller. Vers la noirceur la plus obscure, le chagrin le plus odieux. Vous sortirez de ce cauchemar harassé, mais satisfait d'avoir contemplé une œuvre qui tient toutes ses promesses. En somme, un art qui suggère le pire afin de créer le meilleur.
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Mis à part des effets spéciaux numériques datés, Le Syndrome De Stendhal est une œuvre atypique portée par les fabuleux Thomas Kretschmann et Asia Argento qui interprètent des personnages profonds et remarquablement bien écrits. Dario Argento signait alors son dernier très bon film à la mise en scène lancinante qui mélangeait habilement le thriller psychologique à une horreur efficace et sanguinolente, tout en étant transcendé par la musique enivrante d’Ennio Morricone malgré un final quelque peu prévisible. Un essentiel de maître Argento !
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Les deux premiers volets de « Dragons » étaient clairement des chefs d’œuvre de l’animation. Découvrir sa conclusion épique était inévitable. Près de dix ans après le premier opus, les personnages de « Dragons 3 : le monde caché » sont désormais des adultes. Harold est maintenant le chef du village de Berk et Krokmou est le leader des dragons. Humains et dragons vivent en paix. Le jour où une Furie Eclair fait son apparition va cependant coïncider avec l’arrivée d’une coalition d’hommes prêts à tout pour capturer les dragons les plus rares. Chacun va devoir se démener à sa manière mais toujours dans un esprit solidaire pour mettre fin à ce danger. Les prouesses numériques de ce dernier volet sont spectaculaires et la découverte du monde caché est magique. Pourtant, on constate l’absence d’émotions mémorables qu’ont pu provoquer les précédents épisodes. Il faut dire que nous en attendions beaucoup, mais la précision des graphismes et l’intelligence du récit en font malgré tout, une œuvre remarquable. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Je crois que j'aurais pu voir apparaître le nom de Christopher Nolan à la place d'Emmanuel Mouret lorsque j'ai découvert la bande-annonce, je n'aurais pas été beaucoup plus étonné. Le maître de la comédie spirituelle à la française s'essaie donc au drame en bonne et due forme : pourquoi pas après tout ! Le problème, c'est que comme on le craignait le réalisateur s'avère ici nettement moins à l'aise. Si le réalisateur se caractérisait habituellement par sa légèreté, sa subtilité, sa poésie, ici tout paraît bien lourdaud, ampoulé, voire assez pesant. Beaucoup de dialogues ne fonctionnent pas, et une impression de grande platitude se dégage ainsi régulièrement, très loin des modèles dont l'ami Manu semble s'inspirer ainsi. Après, Mouret reste Mouret : c'est (très) élégant, les cadres sont beaux, les décors assez bien exploités et la direction d'acteurs impeccables, Jasmine Trinca s'avérant d'une classe très « bergmanienne » (Ingrid, pas Ingmar) et même JoeyStarr s'avère plutôt crédible dans un rôle très casse-gueule. De plus, l'auteur d' « Un baiser s'il vous plaît » tente des choses, évitant toute linéarité grâce à un montage parvenant à nous surprendre à plusieurs reprises, au risque de paraître parfois assez bancal. Son intelligence parvient ainsi à faire apparaître de vraies questionnements sur l'amour, la passion, le couple, la façon de l'aborder face à telle ou telle situation... Malheureusement on n'y croit pas beaucoup, tous ces personnages finissant parfois par me gonfler à force d'hésiter, de se prendre la tête, de ne pas savoir ce qu'ils veulent alors que la situation n'est en fait pas si complexe. Résultat : j'ai beau avoir apprécié certaines choses, je n'ai quasiment jamais été ému, ce qui est plutôt embêtant pour un mélo, surtout signé par l'un de mes cinq réalisateurs français préférés actuellement. Désolé Manu, mais si cette volonté de changer de registre était on ne peut plus honorable, elle est un peu à côté de la plaque.
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Un bon thriller politique, ni trop complexe, ni trop simpliste. C'est passionnant et crédible à la fois. Comme l'a dit Clooney, que l'on soit démocrate ou républicain on aimera le film car au final, c'est corruptions, scandales, peu importe le camp. Et même si l'on a du mal à imaginer une telle intensité dans une primaire socialiste en France, au vu des échéances de 2012, pour la France comme pour les USA d'ailleurs, ce film nous démontre une fois de plus que le chemin vers le pouvoir est long et que les acteurs impliqués sont aussi nombreux que prêts à tout pour réussir.
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Qu'est-ce qui peut bien animer Manoel De Oliveira? Dans cette histoire nébuleuse à travers les âges d'un mythe invisible, le cadre dominant ne semble répondre qu'à une seule chose : l'architecture. Parsemé de courbes, d'éclairages en symétrie, de décors ou de détails qui forment l'unité du temps et de la séquence, le cinéaste portugais mène ses personnages au bord d'un timing étroit, répondant aux strictes normes de la construction en reflets. La symétrie se joue à la fois physiquement et cérébralement, puisque l'assemblage de plans eux-mêmes finissent par se compléter. Mais à partir de cette mise en scène, était-il vraiment nécessaire de perdre le spectateur dans des dédales d'instants dont on ne sait jamais s'ils creusent l'infini ou l'infime? A partir de l'immobilité de la caméra, Oliveira condamne ses personnages à ne pas vivre. Le montage insisté et hiératique imprime un hors-temps trouble et fascinant, quoique figeant souvent le film à une simple photo nostalgique tant les parti pris radicaux (dont l'apparition inattendue et binaire d'une femme vêtue des couleurs du drapeau portugais) alourdissent toute tentative d'intériorisation émotionnelle. En résulte une oeuvre mystique, au fond des temps, marquée par des empreintes d'amour. C'est la beauté du film : retranscrire l'attachement que l'on porte à un pays. Sa faiblesse, par contre, est d'avoir voulu l'abstraire pour lui donner une complexité qui, finalement, ne s'élève pas plus haut qu'une douce naïveté de cinéma.
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Un film qui ne suffit qu'à lui-même. Mettant en scène de nombreux personnages, aucun ne ressortira réellement de la banalité paradoxalement décalée du film. La comédie grossière ne s'inflige pas, mais ne fera pas rire une seule fois. Le décalage candide ne réussit vraiment pas à l'ensemble. Quant à la réalisation, elle-même ne sait pas toujours où se situer... Nous étions en droit d'en attendre plus, surtout à la vue du casting plus que prometteur !
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Fidèle à la série, le genre d'histoires d'horreur décalées qui ne vieillissent pas.
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Quel bonheur de revoir Veronica Mars !!! Ca valait le coup d'attendre ! Bien sûr, ce n'est pas le chef d'œuvre du siècle, mais il y a une bonne histoire, des séquences très drôles, ... Beaucoup de clins d'œil à la série (la reprise de "We used to be friends" au début, ...). Pour tous les fans de la série, A VOIR ! Pour reprendre une phrase du film, "i'm an addict" de Veronica Mars, j'espère qu'il y aura une suite!
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Le ridicule a remplacé l’ennui, c’est déjà ça de pris, après la lampe hantée du 4 voici l’horloge, qui pour le coup apporte une justification plutôt intéressante dans la mythologie de la saga, avec l’instauration d’illusions, l’originalité vient aussi du second degré venant soutenir le kitsch absolu de la forme, avec des petites touches sexy typiquement 90s. Les personnages quant à eux n’ont malheureusement aucun développement, comme une impression de sur-place durant la première heure de film, jusqu’à la révélation de la vieille voisine concernant l’histoire de l’horloge qui déclenche les hostilités, dommage d’ailleurs que la dernière partie de soit pas en adéquation avec le côté nanar et aille encore plus loin dans la connerie, autant dans les précédents ça n’a pas de sens que là oui, quitte à se saborder. Même la toute fin, plutôt maligne dans l’idée, n’est pas bien exploitée, faute en partie à une écriture se contentant de peu, alors que je suis sûr que rien qu’avec ça tu pouvait tenir 10-15 minutes de plus, voire même carrément inaugurer un nouveau cauchemar pouvant servir de source à une hypothétique suite directe, dommage. Petit sursaut, mais faut dire qu’on revient de loin après La Malédiction.
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Après son extraordinaire "Central Do Brazil", Walter Salles réalise une oeuvre qui, de l’avis même de Ismaël Kadaré, l’auteur albanais dont est inspirée l’intrigue du film, est la meilleure adaptation qui ait été faite de son roman. La transposition de Salles a le mérite de respecter à la fois les ressorts dramatiques, la philosophie, et le lyrisme du roman tout en apportant en même temps des éléments historiques et socio culturels, propre au Brésil. L’autre apport de Salles réside dans la magnificence de son symbolisme visuel. Les scènes récurrentes de balançoire, du pivot de la broyeuse à cannes, ainsi que l’ivresse provoquée par le tournis de la corde, outre le fait d’être super bien filmées, elles nous soulignent le caractère triste et morne des vies, immuable et répétitif des activités, tragique et violent des destins.
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Oui, c'est vrai, le film comporte de nombreuses bonnes idées. Oui, il est très mystérieux. Oui, le croquemort est charismatique - bien qu'on le voit dix minutes à tout casser... Et après ? Eh bien, pas grand chose. Si c'est un film d'horreur, elle y est pratiquement absente. Les acteurs - à l'exception peut-être du jeune frère - ne sont absolument pas convainquant. Il ne se passe pas grand chose et les effets-spéciaux sont assez mauvais... Pour mi qui suis amateur de cinéma d'horreur, Phantasm était une curiosité à voir un jour ou l'autre... Je comprends maintenant pourquoi il était si difficile de le trouver, il n'en vaut pas vraiment la peine. Une étoile tout de même pour l'ensemble qui tend à créer un univers, une ambiance unique plutôt intéressante et pour le réalisateur qui suivra jusqu'au bout son poulain. Mais cela ne suffit pas et il est loin derrière d'autres légendes de l'horreur tel Romero, Fulci ou autre Argento... Décevant.
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"Oblivion" est un film de sciences-fiction qui mérite qu'on s'y intéresse véritablement ! Bien sûr, cette fois, la part belle est faite à Tom Cruise qui porte le film à lui tout seul et même un peu trop... Cependant, on s'attache vite à ce héros dans la mesure où on a envie de connaître son histoire étonnante qui émerge tout doucement en nous révélant bien des surprises ! Il persiste en effet ici un côté intimiste et bien personnel dans ce scénario où le nombre de personnages est limité afin de concentrer toute l'attention sur leur aventure ! Et c'est bien cet aspect qui différencie cette réalisation des autres du même genre d'autant plus que le couple que forme Jack avec Victoria est plus qu'intriguant, et cela grâce à un scénario intelligent et habile dont le retournement de situation imprévu rend cette histoire captivante de bout en bout... À noter que leur base toute vitrée avec cette piscine transparente et suspendue, évoque l'univers des maisons modernes californiennes des années 60 ! Elle est superbe ainsi perchée sur ce pied géant ! La présence des fameux et mystérieux chacals avec leurs engins bricolés et rouillés est terriblement réaliste et tranche complètement avec l'aspect lisse et immaculé des vaisseaux futuristes assez remarquables dans leurs détails et leur fonctionnement. L'idée des fameux drones est bien trouvée jusqu'à pousser l'intérêt de les voir même récupérés par les ennemis eux-mêmes ! On ne peut qu'être sous le charme de la beauté des images de la planète Terre dévastée où seuls quelques ruines symboliques subsistent... Les effets spéciaux très réussis complètent avec panache le tout afin d'en faire un véritable spectacle ! Franchement surprenant de réalisme et de profondeur avec selon moi un petit clin d'œil à l'univers de la série TV des années 60 "Les Thunderbirds"...
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Etudiant en droit et passionné de criminologie, je me suis penché sur ce documentaire avec intérêt et je puis vous affirmer que côté fond juridique, ce qui est dit est toujours exact mais ce qui fait encore plus peur c'est lorsque l'on sait que les erreurs effarantes pointées par le documentaire ne sauteraient peut-être pas aux yeux si on avait vu tout le procès, de telle sorte que ces erreurs qui peuvent choquer le profane en droit ne seraient pas si exceptionnelles que cela, bien que certaines erreurs relèvent plus de la faute professionnelle qu'autre chose (les questions dirigées lors de l'interrogatoire par exemple). Mais je vais cesser de vous bassiner avec des questions juridiques et je vais me pencher sur les autres aspects : niveau montage et "mise en scène", c'est très bien fait donc on suit avec passion l'enquête et les témoignages qui apportent tous quelque chose : du profiler du département des sciences criminelles du FBI aux artistes engagés dans la lutte pour un procès plus équitable. Et puis les témoignages sont pris à tous les niveaux de l'enquête et de chaque côté du tribunal. Ainsi, on a une véritable vue d'ensemble de tout le procès, ce qui est formidable et passionant ! Donc West of Memphis est un documentaire qui mérite qu'on s'y intéresse du moment que le monde juridique ou criminel vous intéresse ou même si vous aimez les documentaires qui vous bousculent à la manière de Michael Moore.
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Premier long-métrage de Jean-Jacques Annaud, qui a été un fiasco au box-office français mais qui a été un succès en Amérique en remportant l'Oscar du Meilleur Film étranger, qui dénonce le colonialisme, le racisme, le patriotisme va-t-en-guerre, la médiocrité de certains français d'une France pas si lointaine avec une grosse dose de férocité et avec un casting qui assure pas mal. Reste que la férocité de ce discours est très vite diluée par les longueurs et par un aspect trop bavard qui font qu'on décroche souvent. Jean-Jacques Annaud s'est peut-être trop allé à l'indolence dont font preuve ses personnages au début du film et on a l'impression d'un film qui est très loin d'être pleinement maîtrisé. Annaud déçoit avec son premier film, heureusement que ses œuvres suivantes montreront beaucoup mieux son véritable talent.
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OVNI du cinéma hexagonal. A voir pour sa réalisation léchée, ses dialogues délirants et ses personnages savoureux.Les amateurs d'absurde devraient y trouver leur compte. Lemercier est un peu moins convaincante qu'à son habitude, c'est pourtant un rôle qui devrait lui aller comme un gant ( châtelaine bcbg excentrique ) la faute sans doute à un scénario assez capillotracté. Cluzet est juste parfait dans son rôle de gentil benêt. Les frêres Coën n'auraient sans doute pas renié ce film qui ne cesse de surprendre par sa loufoquerie.
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Je ne sais pas si cela est une bonne chose mais... Grâce à ce film, je me suis découvert une véritable passion pour Hitler, pour son histoire. J'ai peut être regardé une dizaine de fois cette oeuvre, et je dois avouer que cela m'a été fortement utile pour mon cursus scolaire. J'ai pu facilement intégrer les noms des hommes de mains d'Hitler, comme Ernst Röhm que je ne connaissais pas avant d'avoir visualisé ce film. & il est magnifique de voir de quelle manière un homme est capable de s’accaparer le pouvoir grâce à l'éloquence.
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L’histoire d’un fils-à-maman qui, dans un pays qui a connu et connaît encore des situations à la fois exaltantes et dramatiques, n’a rien dans le ventre et qui a les moyens d’avoir des états d’âme stériles. Les personnages, comme les situations, comme les interprétations, comme les images : tout est tiède, fade, mou, inconsistant, sans relief. A peine une esquisse de film.
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Un film plein de tendresse. Dans le désert de Gobi, la vie s'étire calmement, lentement. Les hommes et les bêtes sont liés pour survivre dans ce monde aride. La beauté des relations humaines dans leur simplicité nous inspire du respect. Et l'on découvre que le proverbe "la musique adouci les mœurs" prend tout son sens... un moment de plénitude dans ce monde de brute !
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Quelques constats à propos de ce film: clint eastwood est un réalisateur exceptionnel d'un humanisme rare. Non content d'avoir fait un film (excellent) sur la propagande américaine durant la seconde guerre mondiale, le voilà qui donne la parole à l'adversaire. Mais aulieu de le diaboliser comme c'est souvent le cas, il se met à côté de lui et nous permet de comprendre les mentalités japonaises. Cela donne lieu à des scènes très fortes, notamment celle où, après avoir entendu la lettre d'une mère américaine, un jeune soldat japonais comprend que finalement japonais et américains ne sont pas si différents que ça... Ensuite, ken watanabe est un acteur immense qui donne à son personnage profondeur, noblesse, honneur et grandeur. Le reste de la distribution se met au diapason et révèle nombre de jeunes nippons talentueux. Enfin, le fils de papa clint nous livre une BO magistrale, entre zénitude, grandeur et mélancolie. Les images de la mer venant mourir sur la plage déserte et appuyées par cette musique planante sont de toute beauté et donne une impression de quiétude. La photographie est tout simplement somptueuse. Un très grand film.
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Quelle surprise! Exit Patrick Chirac pour Dubosc...Le thème est classique et la réalisation sans surprise mais la recette fonctionne et plait. J'ai beaucoup aimé...
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Curieuse carrière, quand même, Terence Young. Immortalisé par « James Bond », auteur d'un second film intrigant et prometteur (« L'Étrange rendez-vous »), un très bon thriller (« Seule dans la nuit »)... et pas grand-chose d'autre, en tout cas que je connaisse. « De la part des copains » fait partie du « reste », un polar (pourtant adapté du grand Richard Matheson) des plus quelconques, sans la moindre envergure. Au moins cela a t-il le mérite de la clarté dans le déroulement du récit et de se regarder sans trop d'ennui, à défaut d'être captivant (euphémisme). Qu'écrire de plus ? Qu'on a droit à une course-poursuite relativement sympa, que la présence étrange et (très) sensuelle de Jill Ireland donne un léger piquant, que Young a su s'entourer d'un casting d'experts (généralement en fin de carrière), mais franchement, avoir James Mason, Liv Ullmann et Jean Topart pour leur offrir des rôles aussi stéréotypés, ça s'appelle du gâchis. Car quand on y regarde bien, il y avait sans doute de quoi faire quelque chose d'intéressant en exploitant vraiment le potentiel des personnages, à l'image de la relation ambigu entretenue par Joe et Ross, ne débouchant sur presque rien, le montage apparaissant également défaillant à plusieurs reprises. Peut-être aurais-je toutefois mis une seconde étoile s'il n'y avait pas ce dénouement incroyablement bâclée, conclue avec une légèreté assez dingue... Vaguement regardable, et tout à fait dispensable.
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J'ai mis du temps à aller voir ce film d'animation sorti en Juin 2019, 4ème volet d'une saga que je n'ai jamais voulu découvrir pensant qu'elle s'adressait surtout à un public très jeune. Quelle erreur ! Au même titre que d'autres Disney-Pixar à succès, on plonge ici dans un univers fantastique mêlant avec malice le monde des enfants et celui des adultes. Les jouets prennent ici totalement vie, rêvant presque tous intérieurement de faire le bonheur d'un enfant. Une véritable humanité se dégage ainsi de chacun de ces joujoux, Woody le cow-boy en tête de liste bien sûr. On rit, on pleure, le rythme est excellent, j'ai passé un super moment de plaisir à l'état brut avec cette bande de jouets hyper attachante. C'est décidé, il faut que je découvre les 3 premiers sortis en 1995, 1999 et 2010 ! Très amusant. Site www.cinemadourg.free.fr
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Un faux air d'Hitchcock (la proposition de meurtre dans un train fait bien sûr irrésistiblement penser à L'Inconnu du Nord-Express) pour un film qui ne tient finalement pas toutes ses promesses, essentiellement à cause d'un scénario bâclé et d'un manque criant de propos. Que veut dire Thomas Vincent avec cette fin ridicule et remplie de points d'interrogation? On ne le saura jamais tout à fait. Les acteurs sont bons et bien dirigés, ce qui est à peu près la seule note positive de ce film manquant de personnalité, qu'on oublie très peu de temps après l'avoir vu...
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En s'inspirant d'une histoire vraie d'un navy seals américain, Le maitre Clin Eastwood signe encore un somptueux film entre action/thriller et drame familiale. Parfois film patriotique parfois film humaniste, Eastwood oscille entre les genres sans jamais trop en rajouter. Coté Acteur, Bradley Cooper démontre ses talents en dehors de la comédie et il est plutôt bon.
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Je suis surpris de découvrir encore des westerns spaghetti à la fin de la décennie 90 tellement ce genre a essaimé et supplanté progressivement le western US à partir des années 70. Mais 30 ans plus tard, certains réalisateurs ont trouvé le moyen de tourner encore des super nanars à deux balles, tellement pourris que l'on se demande comment ils ont pu dégoter un producteur qui a accepté de financer une telle daube. Les acteurs sont tous plus nuls les uns que les autres, le scénario est proche de zéro, les scènes sont téléphonées et le héros est aussi charismatique qu'un laveur de carreau. Comme d'habitude, les cadavres tombent comme des mouches et les colts possèdent au moins cent cartouches, mieux que des mitraillettes, on n'arrête pas le progrès. Je croyais le genre mort, et bien non, il reste encore des spaghettis zombies.
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Oh, un « biopic » sur Harry Houdini, mais vu à travers le regard d'une jeune fille dont la mère aurait été l'amante du légendaire magicien (vous suivez toujours?). Que vous écrire de plus ? C'est joliment soigné et souvent vraiment gentil, la présence de la belle Catherine Zeta-Jones et de la toute jeune Saoirse Ronan étant toujours un plus, tandis que Guy Pearce fait le boulot en Houdini. Voilà. Le reste est tellement académique, plat voire un peu mou que j'aurais beaucoup de mal à vous écrire plus longuement sur cette histoire qui, si elle comporte certains éléments intrigants, reste presque constamment à la surface, au point d'en devenir anodine, anecdotique. Rien de honteux, mais un spectacle que j'oublierais à peine le générique terminé.
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Une petite enquête policière sans grand intérêt. Rien de palpitant. J'aurais bien aimé lire le bouquin pour avoir une vision plus complète. Pourquoi regarder "Les disparus de Saint-Agil" ? Les dialogues ne sont pas trop mal. Le film reflète la peur de la guerre. Enfin, le passage avec les chewing-gums tord le cou à l'idée selon laquelle cet "aliment" a débarqué en France avec les soldats américains lors de la Seconde Guerre mondiale.
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C'est l'histoire d'une passion indestructible entre un ancien hippie et sa fille de seize ans avec laquelle il vit seul depuis la disparition de sa compagne, sur une île perdue de la côte est. De la communauté utopique qu'il a fondé dans les années 60 il ne reste que ces deux individus, se dévorant d'amour, dévoués l'un à l'autre, vivant en autarcie loin du continent, du progrès et des préjugés. Rebecca Miller signe un beau film poétique, nostalgique, touchant et sincère et offre à son compagnon Daniel Day Lewis un très beau rôle dans lequel il s'investit corps et âme. A ses côtés, Camilla Belle est une vraie révélation, étonnante de sincérité, un vrai visage angélique. Par une mise en scène délicate, Miller évoque les doutes et dilemmes qui rongent Jack, l'ancien hippie, se rendant compte que ses convictions et certitudes se sont envolées ou éculées. Le refus du modernisme, ses engagements qu'il voulait transmettre à sa fille, sa communauté idyllique, tout s'envole quand Jack, mourrant, voit sa fille s'éveiller et affronter des sentiments nouveaux pour la première fois comme la jalousie quand sa maîtresse vient emménager avec eux et ses deux enfants. « The ballad of Jack and Rose » est un voyage intimiste, dérangeant (la relation quasi incestueuse entre le père et la fille), émouvant, triste où les acteurs livrent une prestation exemplaire de sensibilité. On retrouve la belle Catherine Keener qui va venir troubler la jeune fille solitaire, possessive et déconnectée de la réalité qu'est Rose, très sauvage, prête à se protéger au moyen d'un fusil ou d'une vipère cachée sous un lit. Ce joli film traite aussi avec justesse de la découverte du sexe, de l'amitié, de la jalousie, des premiers émois, du deuil, de l'héritage et de la fatalité d'un rêve volant en éclat par trop d'idéalisme. Daniel Day Lewis s'affaiblit devant la caméra de sa femme de façon hallucinante et forme avec Camilla Belle un véritable couple aussi inattendu qu'audacieux et troublant.
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Voir Playtime rue de Rennes, à l'Arlequin, ancien cinéma Le Lux Rennes, puis Le Cosmos, mais rebaptisé l'Arlequin par Jacques Tati, lorsqu'il en était le propriétaire. Donc, voir l'univers de Plattime, où tout paysage est soumis à la relativité de l'angle de vue. un monument surgit d'un reflet capté dans l'ouverture d'une porte ou du fait de l'inclinaison d'une baie vitrée. Le verre est transparent, il peut aussi refléter, on peut s'y mirer ou y apercevoir l'autre inaccessible. La rencontre n'est jamais gagnée chez Tati, on se cherche beaucoup, on arpente l'espace à la recherche d'une possible rencontre. Le temps défie l'espace. Dans Playtime, les clones de Mr Hulot prolifèrent. Au Royal Garden, qui ouvre alors que les travaux sont inachevés, ce sera "jour de fête", une atmosphère débridée, due au génie d'un richissime américain, qui transforme les catastrophes, en délimitant un nouvel usage de l'espace. Mr Hulot rencontre une femme, ils vont danser ensemble, s'amuser, mais le cadeau, qu'il lui destine ne pourra lui parvenir qu'au travers d'un messager, tandis que Mr Hulot reste prisonnier des obstacles matériels. Sa poésie créatrice de tourniquets reste impuissante face au service d'ordre incarné par le vigile de la caisse. Il y a aussi les copains de régiment, qui le hèlent lorsqu'ils le reconnaissent, car Mr Hulot est reconnaissable, mais ce n'est jamais lui, qui reconnait l'autre. Mr Hulot est reconnu, lui se perd, erre, circule toujours à la recherche, toujours prêt à s'étonner de l'usage du monde et des objets, qui le constituent. La lumière joue aussi un grand rôle dans ce film, les lampadaires d'Orly, l'enseigne lumineuse du Royal Garden, le O, qui s'éclairant, illumine la tête du prêtre... On rit aussi beaucoup, les gags empruntent au burlesque, mais le détournement contextuel est aussi nourri de poésie. Courrons voir Tati, c'est un ovni dans l'univers cinématographique!
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Le caractère extrêmement malsain n'est pas pour moi rédhibitoire mais la gratuité l'est… La première heure est très bien construite ce qui laisse à penser que le film peut amener à de bonnes surprises. Le fait est qu'il n'y en a pas, au contraire de films comme old boy, ce film est juste malsain et ne fait œuvre d'aucune créativité dans son exécution, le personnage se contente de subir le plan mis en œuvre de manière impuissante et il suffit d'imaginer le scénario le plus malsain possible pour deviner le dénouement. Mon avis reste personnel, je pense simplement que le caractère malsain ne se suffit pas en lui même. Dès les 20 premières minutes le rôle que jouera chaque personnage est évident, aucun n'évoluera, aucun effort n'est fait pour surprendre, pour amener le spectateur, en fait il est évident d'emblée qu'une spirale infernale s'engage et que celle-ci emportera tout sur son passage. Tout est tellement évident que l'on s'attend à une surprise mais non, le scénario de ce film est basé sur son caractère malsain, apparemment cela suffit pour se passer de toute créativité. Pour faire une comparaison je considère que human centipede est 1000 fois plus créatif que cette daube monumentale, et je n'ai aucune affection pour human centipede.
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Un film énigmatique dans son sens (on le qualifie de film-spirale), tout comme le personnage de Klimt, qui par moments reste mutique, ou semble ne pas vouloir choisir. Ce film effleure "en douceur" certains éléments biographiques : les querelles des peintres, Klimt apparemment assez détaché de cela, comme s'il savait qu'il n'imposerait pas son opinion ; l'ami Schiele qui est tellement caricatural et effrayant dans ses postures (un autoportrait animé !) qu'il en oublie d'être grotesque, mais au fond parle à peine. Certains "tableaux scéniques" m'ont plus marquée que d'autres, soit parce qu'ils permettent de ressentir la singularité de cette époque viennoise, soit parce qu'ils participent à l'onirisme en rompant l'organisation du réel, spatialement ou temporellement : la révélation que Klimt choisissait tous ses modèles juives (et leur faisait des enfants), ce qui lui valait une certaine protection bourgeoise (c'est ce qui est dit), l'humanisme à travers la rencontre avec les chinois, les expositions embourgeoisées et les relations humaines hypocrites, le soldat halluciné annonçant les nouvelles du front, les miroirs sans tain, la scène du passage (très belle scène)... et les multiples Lea... Le film tourne d'ailleurs autour de cette femme. Réelle ou fantasmée ? Ce film sophistiqué ne s'oubliera pas de sitôt, tant il joue avec l'imaginaire tout en s'arrêtant juste à temps. Cette construction est fascinante. A voir en VO sous-titrée ! Merci M. Ruiz !
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Bien sûr la critique qui a été faite sur ce film je cite puisque il y en a qu'une et digne de quelqu'un qui n'a rien compris comme d'habitude le message qui passe dans ce film dérange car il est bien dit qu'il n'y a pas de jugement et pour la société occidentale c'est incompréhensible évidemment c'est fait sur un ton ludique c'est ce qu'ils ont fait toute sa qualité merci Albert Brook
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Un action movie qui pouvait devenir un très bon film mais qui fait l'erreur de tomber dans l'action a outrance sans limite... Comme une version moderne du "Prix Du Danger" d'Yves Boisset , le scénario développe la relation entre le spectateur et son degré de tolérance , pousser les limites de la morale et utiliser la liberté d'Internet dans le mauvais but , une idée assez intéressante et suivi mais ce n'est pas la que le problème du film réside . Ancien catcheur devenu "acteur" , Steve Austin n'est pas encore au point comme la majeure partie des seconds rôles , exception faite pour Vinnie Jones qui est le seul a bien s'en sortir avec un rôle sans limites et qui lui laisse une liberté de ton amusante ! Un vrai bordel , c'est comme ça que Scott Wiper semble vouloir filmer , avec des scènes de combats dantesques mais bousculer par une mise en scène épileptique et une bande-son pas mauvaise mais terriblement assourdissante ! Un film regardable , un bonne idée mais qui finit comme un action movie banal .
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Enfin un bon film de loup-garou que soit pas made in USA. Ce bon petit film film british est une petite perle rare. J'ai énormément apprécié ce film. Des scènes parfois bien gore, des acteurs crédibles et des personnages touchant (comme celui du Sergent). Un bon petit film d'horreur à regardé avec des ami(e)s pour mieux l'apprécié.
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Film complètement inconnu mais qui est vraiment un très bon thriller. Scénario captivant, message anti-sexiste et acteurs impeccables, tout y est. Une certaine lenteur tout de même à quelques moments, mais vraiment rien qui gâche cette excellente surprise.
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A ce qu'on dit ce "Never Let Me Go" est l'adaptation de la meilleure nouvelle des années 2000... En tout cas le film ne pourra pas prétendre au même titre, du moins de ce que j'en ai vu. C'est sûr qu'il y a pourtant là une histoire et un univers qui possèdent un réel cachet : cet espèce d’emberlificotement de périodes et de genres ne m'a pas laissé indifférent. Cependant, si cet aspect feutré d'une Angleterre d'hier « uchronisé » m'a vraiment convaincu, j'avoue être resté dubitatif sur les enjeux et le rythme de cette histoire. "Never Let Me Go" s'attarde sur une romance pas bien originale et laisse trop souvent de côté le vécu de ces bébés médicaments ainsi que la portée humaine d'un tel concept. Je ne sais pas du tout ce que vaut la nouvelle de Kazuo Ishiguro à ce niveau là, mais en tout cas le film m'a paru au fond bien peu entreprenant sur la façon de traiter son sujet, si bien que la démonstration m'a paru au final assez faible et bien mollassonne. Beaucoup critiquent Nolan car il nous prend la tête avec rien, mais au moins lui sait-il explorer un concept jusqu'au bout. Or, à mes yeux, c'est bien ce qui manque à ce "Never Let Me Go" pour en faire un film qui fasse vraiment chavirer les cœurs...
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magnifique film. Sans doute, un des plus beau film d'Emir Kusturica avec Arizona dream et le temps des gitans.
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Unique rôle 'traditionnel' de la porno-star Marilyn Chambers. On pourrait s'attendre, compte tenu de la personnalité de l'actrice et du style de Cronenberg, à de la nudité en permanence, en fait, non, pas du tout. Preuve que Cronenberg l'a engagée (même si au départ, il pensait à Sissy Spacek, qui venait de jouer dans "Carrie" - il y à d'ailleurs l'affiche du film dans "Rage !") pour prouver ses vrais talents d'actrice. Un film excellent, supérieur à "Frissons", et sur un thème assez similaire, même si étendu au Canada tout entier, et pas seulement à un immeuble. Le sexe = mort, dans ce film. Un film de vampires moderne, en quelque sorte. Seul point faible : la mutation de Rose/Laure (Rose en VO, Laure en VF - à noter, le prénom Rose fait allusion aux épines des roses, comme le dard de l'héroïne...), c'est à dire, la manière dont le dard lui est apparu, est assez peu crédible...
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L'Asie nous présente des putins de films d'horreur d'une créativité impréssionnante et remarquable
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« La Charge », c’est ce que doit transporter un conducteur de poids lourd au travers de la Serbie bombardée par l’OTAN en 1999. L’histoire démarre au Kosovo et Vlada doit rouler jusqu’à Belgrade. On ne sait pas ce qu’il transporte et le chauffeur a interdiction de s’arrêter et d’ouvrir l’arrière du camion. Vu le contexte, il ne préfère pas savoir et il ne tient le volant que pour le salaire. La caméra ne lâche jamais Vlada du regard, sauf quand il s’arrête quand même pour prendre une auto-stoppeuse en route pour l’Allemagne. Le comédien principal trouve le ton juste pour nous embarquer dans la peur et la perplexité permanente de cette mission. Mis à part quelques missiles au loin, la guerre n’est jamais montrée. Pourtant il y réside sans cesse ce sentiment oppressant de danger sur la route. Au-delà de la plongée dans l’obscure et la tension, « Teret – La Charge » nous renvoi à nos propres sentiments. Que ferions-nous face à une telle situation. Doit-on participer à l’inacceptable pour sauver nos yeux ? Doit-on fermer les yeux en sachant très bien que nous devenons coupables ? Un film vibrant d’humilité. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Voici un film magnifique avec des comédiens vraiments excellents et une réalisation simple mais tellement efficace. L'histoire est passionnante et au fur et à mesure que les personnages se dévoilent, le spectateur recréé dans sa tête la fameuse soirée ou tout a basculer pour les protagonistes. La fin est surprenante également. Bref un véritable chef d'oeuvre pour ma part.
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c'est un film nul mais alors vraiment nul . Même pas la peine de vous donner la peine de le regarder fuyez des que le film ou la bouze commence , comme vous voulez. Mais rassurez vous, on voit le drapeau américain à la fin. ...y changerons jamais les amerlocs.....toujours avec des QI de turckeys....
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L'as du déguisement est de retour pour de nouveaux forfaits. Le commissaire Juve est de nouveau en première ligne pour une traque sans merci. Celui qui révéla De Funes, à savoir André Hunebelle, nous livre le deuxième volet d'une trilogie policière quasi shakespearienne. Son choix s'est manifestement davantage porté sur les gags que sur l'aspect policier. Le niveau en est d'autant plus rehaussé. Celui-ci évoque vaguement d'un point de vue parodique, l'esprit James Bond des sixties. Notre petit bonhomme national gesticulant est au sommet de son art. Ses pitreries et sa voix pincharde sont une éternelle source de rigolade. C'est l’avènement du gadget farfelu: le bras mécanique, le cigare tireur ou la DS volante. Tant de concepts rudimentaires en hommage à toute une époque. Le machiavélique mais gentleman Fantômas poursuit ses expériences sur le versant immergé d'un volcan (clin d’œil à Dr. No.). Un personnage que l'on jurerait échappé du Blue Man Group avec son masque en latex. Même si le montage final prête à sourire (entre les doublures-cascades dans les airs, les maquettes et les acteurs qui brassent dans le vide) c'est avec beaucoup de nostalgie et de bonne humeur que l'on regarde ce divertissement produit avec deux francs, six sous. Culte. 4/5
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Quand on entre dans la coulisse des hommes d'Etat, l'ont peu sûrement bien s'imaginer toutes les intrigues qui s'y passent. Excellent film. = 4,5/5.
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Mother of tears est une énorme déception. Après le génial Suspiria et le très bon Inferno, Dario Argento cloture de la pire des manières sa trilogie des Trois Méres. Ce film est sans doute ce qu'il y a de pire dans toute la filmographie du maitre transalpin. La mise en scène est pitoyable et l'interprétation a des années lumières des deux précédents opus, même si Asia Argento interpréte l'actrice principale du film. Une déception a la hauteur de l'attente en ésperant que le grand Dario se remette en question pour la suite de sa carrière.
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Michelle Williams, en bonne habituée des rôles de femmes à la vie sentimentale chaotique (Blue Valentine, Maryline, et bien évidemment Dawson !) continue sur sa lancée avec ce film certainement plus réaliste et commun que les précédents. Elle y joue un rôle de femme vulnérable et en cruel manque de certitude. Cette carence est à la base d'une souffrance certaine chez elle, alors qu'elle n'arrive pas à trouver le bonheur avec sa situation présente. Seth Rogen, qui joue son mari, est touchant de simplicité et d’honnêteté. On tient là un couple dans lequel rien ne va mal, et qui pourtant ne va pas bien, soit une situation très difficile à vivre pour tout le monde. Dès lors, la présence d'un voisin au charme tapageur est une véritable menace, et les moments de séduction entre lui et la sensuelle blonde sont délicieux. Les couleurs et d'une manière générale, la photo du film sont splendides. Difficile de croire qu'on se trouve à Montréal. Le déchirement de Michelle est palpable, avec à son apogée la révélation de la blague de la douche qui, je dois bien l'avouer, a fait couler quelques larmes. C'est de la poésie que l'on voit ici, que l'on savoure de bout en bout et que l'on garde en tête pendant un moment. Un bijou dans cette année 2012.
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Méconnu, longtemps ignoré, "la Caravane héroïque" n'en demeure pas moins aujourd'hui l'un des grands classiques du western hollywoodien. Un chef-doeuvre de mise en scène, de scénario et d'interprétation où brillent Humphrey Bogart, Errol Flynn et l'exceptionnel Randolph Scott. Deux heures de pur bonheur à travers l'Amérique en guerre civile, traversé de rebondissements, de trahisons, de suspense, d'amour et de profondeur psychologique. Bref, du grand cinéma, qui prouve encore aujourd'hui que Curtiz était bien plus qu'un faire valoir pour les acteurs qu'il avait sous sa direction. Un maître du cinéma, tout simplement.
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Décidément, les débuts de Makoto Shinkai ne m'auront pas convaincu (heureusement, j'ai commencé sa filmographie par le très bon "Voyage vers Agartha")... Comme ses "5 centimètres par secondes", "La Tour au-delà des Nuages" m'a profondément ennuyé. Pourtant, ce long-métrage animé débute plutôt bien, car si je ne suis pas fan du mode narratif en voix off, cette fameuse tour au loin a réussi à susciter ma curiosité, tout comme la qualité de l'animation et des graphismes (le gros point fort du réalisateur). Mais voilà, très vite une musique omniprésente et fadasse vient parasiter bon nombre de scènes niaiseuses... Mais c'est surtout le scénario qui devient confus - car mal amené - et qui tombe dans des considérations philosophiques lourdingues allant jusqu'à totalement me désintéresser de l'intrigue... Quant au final, il est bien maigre compte-tenu des premières espérances... Raté.
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Spécialiste des séries télévisées, John Fawcett réalise son second film avec The Dark (2005), un thriller surnaturel aux multiples rebondissements fantastiques et soporifiques ! Si la mise en scène peut satisfaire par moment, le montage sur la fin agace au point de lasser. L’histoire inintéressante ne captive pas et les acteurs peinent à convaincre, que ce soit Sean Bean ou Maria Bello. C’est distrayant sur le début, mais fatiguant vers la seconde partie du film, du en partie au manque de suspens et de surprise.
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Qui mène la danse ? Des caméras de surveillance, une camionnette, puis, la neige sur les écrans. Une explosion vient de retentir au cœur de Londres. Un suspect, rapidement interpellé, refuse de révéler quoi que ce soit. Martin, son avocat, et Claudia, son avocat spécial, bien que tous deux pour la défense, ne peuvent communiquer entre eux. Claudia a accès, notamment, à des pièces à convictions, à huis clos (closed session). Les évidences tombent les unes après les autres. A qui faire encore confiance ? L’ambiance devient très vite lourde et anxiogène. Rien de convenu, et le suspens prend vraiment. Loin d’un film d’action, voici un thriller psychologique qui pose de vraies questions.
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Un bien curieux Gordon Douglas qui recèle quelques beaux plans mais déçoit beaucoup dans son ensemble. Mauvaise utilisation de l'espace, décors de cartons pâtes, propos grinçants ou incohérents, motivations inconnues et j'en passe. Le pire rôle de Ward Bond sans aucun doute, John Ford a du le chambrer sur ce sujet à de maintes reprises. Comme Gregory Peck n'a que son physique à nous offrir, il ne reste que Gig Young pour nous apporter brièvement un peu de satisfaction. Pourtant l'idée était originale : un capitaine qui choisit, pour l'accompagner dans une mission de grande importance pour la survie d'un fort contenant des civils, les 6 soldats qui ne rêvent que de le voir mourir! Pour corser le scénario, l'auteur y greffe un malentendu insupportable auquel aucun spectateur ne peut adhérer. Je passe sur le coté raciste évident et sur le comportement bizarre de l'héroïne. A vrai dire, presque tous les personnages ont des comportements anormaux. Une originalité macabre: l'utilisation d'une nouvelle arme assez terrifiante, une grosse mitrailleuse qui descend les indiens comme des mouches. Enfin dernière anomalie, le narrateur de l'histoire meurt en court de film ce que je n'avais encore jamais vu.
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Une fresque historique en deux parties, un grand format, un grand film, un film magnifique et touchant.
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Il était évident que Philippe De Chauveron aurait du mal à faire mieux que le succès incroyable de Qu’est ce qu’on a fait au bon Dieu ? . Et puis si on a vu la BA on a quand même un peu peur. Sorti de la projection, on se dit que oui ca risque de galérer. Mais bon ça reste une comédie. Une comédie au scénario convenu et manquant d’originalité. L’histoire se base sur un trio puis un duo. Une dernière mission pour un policier, un voyage qui devait se dérouler sans embuches, un homme sans-papier raccompagné dans son pays, un flic beauf, un vol mouvementé, des blagues attendues…. Les personnages sont aussi caricaturaux. Il faut aimer ce genre de comédie, l’humour n’est pas des plus fins. On parle d’immigration avec beaucoup de clichés. On parle d’homosexualité avec beaucoup de clichés aussi. Il y a du rythme mais bon pas assez pour ne pas s’ennuyer Le trio est joué par Ari Abittan, le beau gosse, Medi Sadoun qui n’a pas du tout un accent crédible et Cyril Lecomte en flic beauf et infidèle. Le trio fonctionne plutot pas mal. Le duo Medi Sadoun et Ari Abittan encore mieux. Débarquement Immédiat est une comédie, aussitot vue, aussitot oubliée. A vous de voir
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Si vous ne supportez pas le charme des effets spéciaux des années 70, passez votre chemin. "Suspiria" est une sorte de Walt Disney pour adultes: les yeux qui terrifient Blanche-Neige dans la forêt deviennent des chuchotements oppressants, le labyrinthe d'Alice au pays des Merveilles prend la forme d'une école de danse ornée de nombreux symboles ésotériques. Certains éléments peuvent toutefois déstabiliser. En effet, tout est poussé à son paroxysme: les couleurs sont criardes, la musique entêtante et angoissante des Goblins est parfois jouée si fort qu'elle devient un leitmotiv insupportable,l'apogée du film en matière d'angoisse et d'horreur survient dans les premières minutes,... Les élèves de l'école paraissent très naïves pour leur âge (c'est normal, dans le script original, elles n'ont qu'une dizaine d'années mais Dario Argento s'est vu refuser d'engager des actrices aussi jeunes). Naïveté que Suzy Banner perd lors de sa quête des sorcières, qui devient une sorte de rite initiatique vers une renaissance à l'âge adulte,lorsqu'elle est prise d'un rire énigmatique après être sortie de l'école en flammes. Un film qu'on peut adorer, détester, trouver ridicule mais qui en aucun cas ne laisse indifférent.
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Le scénario manque de relief . Je ne suis pas surpris que ce film est passé inaperçu sachant que stalonne nous a offert de meilleur interprétation .
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Une comédie musicale des années 80 qui vous transporte dans un univers décalé où l'humour noir règne dans l'excellence. Des acteurs incroyables (Steve Martin en dentiste sadique et maboule & Bill Murray en patient schyzo et maso) sont tous les deux excellents ! (Cette scène du film deviendra culte, si cela n'est pas déjà fait !) Sans oublier bien sûr la fameuse plante carnivore qui ne cesse de réclamer de la nourriture bien fraîche ! !
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Pas de grand intérêt à voir ce film qui se borne à rappeler la construction sociale d'un "homme" et d'une "femme". Il n'est pas très drôle, juste par moment plaisant. Le scénario, mis à part l'idée d'une école de réajustement sexuel, suit une trame des plus hollywoodienne. Pas de grande surprise donc. On s'ennuie même un peu. Ce n'est pas un film que je conseillerais.
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Stop, il faut arrêter ! Tout de suite ! Il faut arrêter immédiatement ces effets de mode sur lesquels surfent les plus opportunistes pour amasser le maximum de flouz, quitte à détourner la réalité ! J'ai moi même participé à Wikileaks et cette tournure qu'emprunte Bill Condon est tout simplement abominable. Comment peut-on autant déformer la réalité et faire vomir à ses acteurs des dialogues aussi dénués de sens ? Je devrais presque porter plainte contre cette immondice dont le budget communication dépasse celui de la campagne de Noël de Coca Cola. C'est une honte qu'on ait laissé un réalisateur si imbus de lui même relater une histoire pourtant capitale dans l'ère actuelle de la géopolitique. J'espère que Assange élèvera sa voix et boycottera un maximum ce déchet filmographique. Honte à tous ceux qui ont liké 5 étoiles et qui ont vu là un scénario magnifiquement raconté !!
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C'est beau, c'est grandiose, Zhang Yimou a le sens du spectacle, mais malheureusement, ce coup-ci, l'ennui l'emporte sur l'émerveillement. C'est très décevant, car avec Gong Li, Chow Yun Fat et Zhang Yimou, il y avait de quoi faire. Ce n'est qu'un petit accident de parcours. Il reste un fabuleux réalisateur.
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J'ai pensé à ce film pendant plusieurs jours après l'avoir vu. Ce qu'il dit sur la nature humaine, sur la notion d'erreur et de justice m'a beaucoup touché. Le plus réussi dans Help est qu'à partir d'une histoire immorale, ce film vous fait réfléchir sur vos propres valeurs. Pas de discours moralisateur dans Help, le film est taiseux, peu de dialogues. C'est plutôt par la mise en scène, le miroir des personnages qu'i réussit à vous interroger. Les dialogues sont efficaces, les comédiens délivrent une interprétation juste et sincère.
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Très bonne surprise. Film engagé, drôle, émouvant et touchant. À voir absolument, de plus les actrices sont toutes excellentes et très belles.
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"Fanny et Alexandre" reprèsente la somme totale de la vie d'Ingmar Bergman en tant que rèalisateur qui n'a plus travaillè depuis que pour la tèlèvision et la scène! Au fil de cette fresque foisonnante, d'inspiration partiellement autobiographique, qui retrace un an de l'existence pleine de rires et de larmes d'une grande famille suèdoise, le cinèaste reprend tous ses thèmes majeurs: l'amour du thèâtre et des femmes, l'angoisse mètaphysique, la sensualitè, la magie et l'illusion, le tout inscrit dans le cadre d'une grande famille d'Uppsala, ville natale de Bergman, au dèbut du XXe siècle, et vu à travers le regard d'un enfant de douze ans, plausible alter ego du cinèaste! Lorsqu'on dècouvre "Fanny et Alexandre" pour la première fois, il se dègage une impression rêveuse d'irrèalitè, apaisante pendant les moments les plus tragiques! A savoir que Bergman a reniè cette version courte de trois heures , le film ne prenant sa vraie valeur, à ses yeux, que dans la version de près de six heures (5h40 plus prècisèment)! Rècompensè par quatre Oscars à Hollywood pour celui du meilleur film ètranger, de la meilleure photographie, de la meilleure direction artistique et des meilleurs costumes, cette oeuvre somptueuse entre bonheurs et drames dont la richesse et la beautè des images continue encore aujourd'hui à nous fasciner, reste le film de Bergman le plus accessible...
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Poursuivant mon parcours de la filmographie de Jean-Pierre Mocky, je n’ai pu voir le film succédant à ”La Cité de l’indicible peur”, à savoir ”La Bourse et la vie”, inexistant en DVD malgré la présence de Fernandel. La faute aux difficiles héritiers de ce dernier? Peut-être! J’ai donc effectué un petit bond dans le temps, en scrutant ”Les Compagnons de la Marguerite”, film qui m’a plu, malgré une première moitié de film bien plus captivante que la seconde. Mais encore une fois, Mocky parvient à couvrir les imperfections de son film par son scénario original et un casting incroyable, jusqu’aux rôles les plus mineurs. A nouveau, Francis Blanche se fond dans un personnage de flic drolatique à souhait, tandis qu’on succombe face à celle qui campe sa femme, Paola Pitagora, actrice toujours très connue en Italie. Expert en rénovation de vieux manuscrits, Jean-Louis Matouzec (Claude Rich, dans la même année qu’”Oscar”), utilise ses talents de faussaire pour modifier les registres de l’état civil pour faciliter son divorce. Ce qui au passage, préfigure ”La Grande Lessive”, critique virulente de la petite lucarne qui sera le film suivant de Mocky. Falsification de documents, divorce compliqué: cette histoire se déroulant à la fin des années soixante peut aujourd’hui nous sembler anachronique, où dans les ordinateurs ont pris le dessus sur l’administration, et où les divorces se comptabilisent autant que les unions sacrées. Mais voilà, au moment du film, Mocky venait lui-même de divorcer de Véronique Nordey, et l’homme s’est semble-t-il lui-même rendu compte des complications d’une séparation. Une farce qui démarre en trombe, qui nous offre ensuite une pléiade de situations drôles, mais qui se perd finalement dans plusieurs séquences inutiles. D’où une qualité d’ensemble moindre qu’”Un drôle de Paroissien”, par exemple. Bien que le film reste à ce jour l’un des plus gros succès publics de Mocky.
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Le genre "horreur" a une caractéristique extraordinaire qui est qu'à chaque fois qu'on pense avoir vu ce qui se fait de plus nul dans le le genre, se pointe quelque chose d'encore pire. Si l'on peut accorder au moins une qualité à Julia X c'est d'avoir placé la barre si haut en matière de nullité qu'il faudra faire beaucoup d'efforts de recherche pour trouver pire ! Le scénario (quel scénario ??) est incohérent, inconsistant voire absent, purement et simplement. Pour faire simple :trois psychopathes passent 90 minutes de temps de film à tenter de se massacrer chacun leur tour. Les filles ont une pseudo raison exploitée à travers quelques flashback qui sont aussi nuls et mal foutus que le reste du film. Quant à l'homme il n'a aucune raison. Il le fait "parce que" ...Les situations illogiques s'enchaînent et deviennent si nombreuses que ça devient totalement ridicule. Les personnages subissent tant que de coups et de blessures qu'il y a de quoi tuer tout un régiment. Sans parler du pauvre type qui se retrouve mêlé à tout ce bazar alors qu'il n'a rien à voir, qui est libéré dans un moment de lucidité d'une des filles ... et qui ne prévient pas les flics alors qu'il sort d'une espèce d'abattoir cauchemardesque où il a failli y rester ... Pour faire simple : à éviter ... Un bon bouquin (voire même un mauvais) vous feront passer un bien meilleur moment que cet étron.
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Un superbe mélo où les larmes viennent à la fin, le couple Quinn/Loren est intéressant faute d’être passionnant car le sujet ne peut s’y prêter. En tous cas, les deux acteurs sont excellents. C’est un film profondément misogyne malgré l’initiative prise au dernier moment par Rose Bianco pour débloquer la situation. Martin Ritt adore ces scénarios difficiles pleins de problèmes humains. Sa mise en scène est propre et me convient particulièrement bien, de même que ses trouvailles comme le dîner au restaurant ou la petite séquence de danse par exemple. Quand je vois un film de Ritt, je me sens bien, j’ai l’impression de respirer le même air que lui et dans son oeuvre seul ‘’Paris blues’’ ne m’a pas convenu. Sur ses 26 films, 10 sont quasiment invisibles et c’est bien dommage. ‘’L’orchidée noir’’ est original car son entrée sur un enterrement de gangster nous entraîne inévitablement vers un règlement de compte, aussi la surprise est de taille lorsqu'on en découvre son contenu, d’autant que Anthony Quinn opère dans un registre que je ne lui connaissais pas. Le scénario se prête à de belles discussions entre amis.
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Comment ce magnifique film indépendant a-t-il pu trouver si peu d'écho ? Jamais depuis "Un week-end sur deux" un récit n'avait conté avec autant de finesse les rapports mère/enfant contrariés par les préjugés sociaux. Tout est dans la demi-teinte, le non dit (le troublant personnage du grand-père, dans une brève séquence dérangeante) ; les clichés sont subtilement contournés et Maggie Gyllenhaal se révèle grande comédienne, dans un rôle pourtant piège. Du grand art !
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Premier d'une série de policiers tourné par Wayne (alors âgé de plus de 65 ans), "Un silencieux au bout du canon" ne se signale guère par quelques scènes navrantes qui lorgnent volontairement vers le vigilent movie. Il était peut être de bon ton, à l'époque, de vouloir singer le Clint Eastwood de "Dirty Harry" mais le film s'évertue à proposer une série de poncifs du genre. Dommage, car l'intrigue réserve quelques bonnes surprises qui auraient, à coup sûr, pu faire de ce polar de routine un honnête représentant de la vague néo-noir.
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De tous les navets à base d'animaux tueurs qu'il m'ait été donné de voir, je crois que celui ci décroche la palme. Il fait beaucoup d'efforts pour être mauvais mais cela manque de cohérence et n'est pas suffisamment assumé pour être élevé au rang de nanar. Les personnages sont au mieux inutiles, au pire débiles ou hystériques. L'héroïne court au ralenti en se dandinant. Il n'y a même pas vraiment de moments de bravoure, les personnages se contentant de courir en hurlant devant des dinosaures de synthèse particulièrement laids dont le comportement laisse perplexe... On les voit par exemple souvent attendre patiemment dans les fourrés ou s'évertuer à ouvrir une porte alors qu'ils sont capables de casser les murs. C'est évidemment très mal filmé, les transitions sont horribles et les dialogues incompréhensibles. On ne comprend pas bien pourquoi les personnages s'emportent subitement ni à quoi servent les deux flics du FBI... Bref, un film vraiment à part.
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Superbe et beau film j'adore mais c'est un film assez stressant aussi trop de suspens mais c'est triste que dans la réalité les forces de l'ordre ne sont pas présent de ce fait les terroristes ont cible la zone. Comment peut on tuer, se suicider au nom de Allah c'est ridicule
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Très bon film ! L'étoile en moins parce que c'est filmé façon amateur et je suis pas trop fan de cette manière de tourner. En dehors de cela, j'ai vraiment beaucoup aimé ce film ! Et pour deux raisons principales : 1. Le film n'est absolument pas gore, il n'y a pas d'effusion de sang, pas de sadisme excessif. 2. L'intrigue vient assez vite, on est tout de suite pris dans le bain, on stresse, on flippe, on a la trouille, on se demande ce qui va se passer. De plus, Même après 5 minutes de stress intense, il n'y a pas d'image brutale qui vous arrive de derrière un buisson, ou du fond d'un puits : ce genre d'image qui tuerait un cardiaque par sursaut volontairement violent provoqué volontairement TRÈS VIOLENT. Le scénario est relativement basique (c'est un film d'horreur après tout), mais le coté oppressant est très bien rendu.
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J'ai eu assez peur au début avec un humour en bas de la ceinture... Puis après la première attaque, le film décolle. Original, Sanglant et passionnant, j'ai vraiment beaucoup aimé le film. Des scènes de violences assez dures à voir, et même parfois tristes. On s'attache facilement à la tribu et ce qu'ils leurs arrivent est vraiment horrible tout le long du film. La course poursuite finale, d'une grande longueur, est vraiment haletante et jouissive, je ne pouvais pas décrocher mes yeux de l'écran tellement j'étais sous tension. Les paysages sont vraiment magnifiques et tout les acteurs sont vraiment très bons. Du très bon.
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Fortunata n'a pas la vie facile. Son ex-mari bas-du-front la harcèle. Elle doit s'occuper seule de sa fille de huit ans et veiller comme une sœur sur son voisin, un tatoueur camé qui a la charge de sa vieille mère démente. Juchée sur de hauts talons, le cheveu en pétard, elle arpente Rome avec son Vanity pour aller coiffer ses clientes à domicile. Son rêve : ouvrir son salon de coiffure. "Fortunata" rappelle "Mamma Roma", le chef d’œuvre de 1961 qui valut la célébrité à Pasolini. Il est tourné dans les mêmes banlieues pauvres de la capitale italienne, entre un aqueduc romain et une barre HLM. Si elle n'exerce pas le même métier qu'Anna Magnani (qui interprétait le rôle d'une prostituée en mal de respectabilité), la flamboyante Jasmine Trinca (déjà aperçue chez Nanni Moretti et chez Michele Placido) en a les tenues décolletées et surtout le grand cœur. Le problème est que "Fortunata" ne peut compter que sur ses interprètes pour retenir l'intérêt. Le scénario échoue cruellement à leur donner vie. On en est d'autant plus frustré qu'ils sont attachants. Mais la rencontre entre Fortunata et le séduisant psychologue chargé de sa fille (Stefano Accorsi, sans doute l'un des acteurs italiens les plus connus de ce côté ci des Alpes) est tellement cousue de fil blanc qu'on s'en désintéresse dès la première embrassade. Dommage...
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Une folie savoureuse *** Deuxième film réalisé par Glenn Ficarra et John Requa, Crasy, stupid, love (2011) se classe dans la catégorie des comédies romantiques américaines inévitables. *** Emplie de promesses, la bande annonce invite à la découverte. A raison, puisque les surprises rencontrées en chemin parviennent à combler les espérances. Finement tissé, le scénario ne se laisse pas tenter par des clichés faciles, ou trop évidents. Parsemé de rebondissements, le fil conducteur entraîne le spectateur vers une chute explosive, rappelant avec délice les dénouements mouvementés des pièces de théâtre comiques. L’humour côtoie l’amour dans un échange juste, efficace, rafraîchissant. Soutenu par un solide fond respectant les codes du genre, le casting réussi participe à la bonne marche du projet. Le duo entre le charismatique Ryan Gosling (Jacob), endossant le rôle du célibataire séducteur incroyablement sexy, et le sympathique Steeve Carell (Cal Weaver), dans la peau de l’attachant père de famille à la conquête de sa virilité envolée, fonctionne à merveille. *** Interprété par Marisa Tomei, le personnage de Kate excessivement surjoué ternit cependant l’éclat de la performance générale des comédiens. En outre, après l’éclatement de la vérité dans une scène formidable d’étranges retrouvailles, l’étirement des dernières minutes surprend, tandis qu’un manque d’approfondissement lors de certains passages reste à déplorer. *** Sans être transcendant, le divertissement offre toutefois un véritable feu d’artifice revigorant.
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Seul film à avoir raflé les 5 oscars majeurs (meilleur film, meilleur acteur, meilleure actrice, meilleur réalisateur, meilleur scénario) avec New-York Miami et Vol au-dessus d'un nid de coucou, Le Silence des Agneaux rentre clairement dans la catégorie culte. Le film nous introduit dans l'histoire de Clarice Starling, une jeune stagiaire au FBI. Elle va être plongée dans une affaire tout autant sordide qu'intéressante. Autour de cette affaire gravite Hannibal Lecter, psychiatre dérangé et cannibale. Une relation va donc s'installer entre lui et Starling. Ce sont les scènes les plus marquantes, et donc les mieux réussies du film. On a d'un côté l'interprétation glaçante d'Hopkins, et de l'autre la réalisation virtuose de Demme. On parle la d'une révélation magistrale de Demme, sa caméra se plonge dans cet univers oppressant que lui même a créé. Même si certains codes du film d'horreur viennent ce fondre au décor, le film est bel et bien un thriller psychologique. C'est même, pour moi, le Thriller Psycho ! Le silence des agneaux est avant tout une ambiance. On ajoute à celle-ci la caméra de Demme qui, dans un timing génial, alterne les gros plans sur le visage de Hopkins et les hors-champ suggérant la présence du psychopathe, on a là la force et l'essence même du Thriller. Un film qui m'a marqué et qui vous marquera. Et surtout c'est un film don il ne faut que peu entendre parler pour l'apprécier à sa juste valeur. Un bijou du cinéma américain.
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Premier long-métrage du photographe britannique Perry Ogden, Pavee Lacken, la fille du voyage se situe à mi-chemin entre la fiction et le documentaire. Le cinéaste s'intéresse à une population méconnue, celle des Irish Travellers, les gens du voyage irlandais. Winnie est une fillette d'une dizaine d'années qui vit avec sa mère et ses nombreux frères et soeurs dans une caravane, près d'une zone industrielle de Dublin. La caméra portée à l'épaule la suit dans les difficultés de sa vie quotidienne comme les problèmes de scolarité, l'entente avec les autres enfants et leurs préjugés, les conditions matérielles pénibles, trouver de l'eau et des vêtements. Winnie est une enfant-adulte. On la voit bouder mais toujours la tête haute, décidée, douce, espiègle et légère. On la suit tout au long des vicissitudes de son existence où subsiste néanmoins le sentiment d'appartenir à une famille, à une communauté. J'ai beaucoup pensé à Rosetta des frères Dardenne que ce soit dans le fond (fiction aux limites du documentaire à la fois bouleversant et révoltant) que dans la forme (le cinéaste ne quitte pas sa jeune héroïne d'une semelle, caméra portée à l'épaule). Pavee Lacken est un film qui interpelle. Ogden dresse le portrait d'une petite fille débrouillarde et d'une mère de famille qui lutte quotidiennement contre l'administration et les préjugés pour offrir à ses enfants une vie décente. Le cinéaste ne tombe jamais dans les pièges du misérabilisme mais porte un vrai regard émouvant, documenté chaleureux et humain sur une réalité sociale sans concession, sur les marginaux. Il montre également le véritable désir de cette famille de s'intégrer à la communauté mais la société fait qu'ils sont laissés de côté, littéralement au bord de la route et les éloigne de plus en plus. La famille Maughan intègre leur expérience à cette fiction inspirée d'observations personnelles du réalisateur. Le visage rayonnant de vitalité de la jeune Winnie Maughan est de ceux qu'on oublie pas.
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Le coup de foudre doit se produire sur des bases sèrieuses...nous cherchons,par des moyens scientifiques,à rèduire les risques d'erreurs!Ces publicitès des annèes 80 se multiplient au même rythme que les agences de rencontres!A partir de là,Michel Lang a conçu "Club de rencontres" avec un Francis Perrin en PDG fort et dynamique de l'Affairs Club qui recrute ses clients à la sortie du palais de justice,parmi les couples fraîchement divorcès!Divorcès,esseulès,ne sombrez pas dans le chagrin!Quelqu'un peut tout arranger: c'est Francis Perrin!Une comèdie sous forme de vaudeville assez moyenne mais qui se laisse voir malgrè ses nombreux clichès...
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Une magnifique nanar, un film de série B à voir quand il pleut et encore, j'ai perdu mon temps. Scénario pas ou peu abouti, des incohérences, on espère en vain un peu de science fiction mais rien de tout cela à part une mutation génétique des plus extravagante.
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Les Straub sont si sacrés, dans certains cercles, qu'il est impossible de ne pas les aimer, sans passer pour un imbécile. Je dois alors confesser ne pas être aller au bout de ce film... tout simplement emmerdant. Tout est fait,bien sûre, pour aller à l'encontre du spectacle et de la mise en scène, concidérés par nos deux réalisateurs franco-suisses, comme bourgeois et alliénant. Alors pourquoi une aussi belle photographie. La lumière est tout simplement sublime, mais malheureuse, elle ne suffit pas à notre attention. Cette vision marxiste de l'amérique est en plus tout simplement grostesque et ridicule. Ce qui touche en revanche, pour finir sur une note positive, c'est une certaine austerité qui tranche avec la débauche de moyen des gros succés d'aujourd'hui. L'anti Avatar, ce trouve quelque part entre ce film et l'Année dernière à Marienbade, autre navet cultissime et sacré. Pourquoi les Straub sont des cinéastes vénérés, celà doit tout seulement tenir de l'absence totale de compromis et à l'aspect marginale de leur oeuvre... qui séduit, paradoxalement et comme toujours, plus le bourgeois que l'ouvrier.
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Ce film est vraiment super mes fils ont adoré. Ca faisait longtemps que l'on n'avait pas vu un dessin animé avec un rythme calme, sans méchant, tout en douceur avec une musique géniale. Tous les enfants de la salle sont restés yeux et bouche ouverte pendant tout le film, les parents ont applaudi en sortant. L'animation est d'une très grande qualité (graphisme, colorisation, fluidité des mouvements) même si vous ne verrez pas de supers effets spéciaux 3D. Les personnages sont vraiment très attachant. Vivement la sortie du DVD
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Difficile de faire plus chiant que ce délire pseudo-humaniste hystérique sur fond de musique rock tzigane laide et répétitive. Profondément détestable.
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Le cinéaste dépressif et hypocondriaque de Douleur et gloire est-il le double d'Almodovar ? Un peu, sans doute, beaucoup, pour certains aspects, pas du tout, pour d"autres. Qu'importe, en définitive, puisque l'on sait que le film est l'un des plus personnels de son auteur et qu'il lui ressemble dans sa vision du passé et de l'avenir, celle d'un homme qui aura 70 ans en septembre. Pas de flamboyance ni de provocation baroque dans Douleur et gloire, Pedro Almodovar est à un moment de sa vie où l'on fait le bilan, où la mélancolie est souvent présente se mariant parfois avec une sorte de sérénité et de douceur, autant de sentiments que l'on retrouve au plus profond dans son dernier film. Celui-ci, longtemps ne paie pas de mine, plutôt banal voire irritant avec une voix off qui va heureusement s'effacer au fil des minutes. La magie va opérer crescendo au rythme d'une émotion retrouvée alors que les flashbacks s'enchaînent, fluides et soyeux, comme dans les plus grands films d'Almodovar. La séduction est moins évidente que dans certains de ses autres films, peut-être parce que le personnage principal est un homme, cette fois-ci, et que rien ne pourra égaler ses portraits de femmes même si ces dernières jouent un rôle prépondérant dans Douleur et Gloire. Le maître espagnol s'est fait plus sobre mais sa patte n'est pas absente dans ce film entre couleur (les décors) et noir (comme les humeurs de son héros, au sens médical du terme). Antonio Banderas interprète son rôle avec une économie de moyens qui confine au génie, parfaite pour cette pseudo autofiction et vraie introspection qui est avant tout romanesque et qui revient à l'essentiel de chaque être, à savoir l'enfance et l'apprentissage du désir. Des thèmes forcément Almodovariens dans un film qui l'est un peu, beaucoup et même pas du tout ...
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Si le mot "consternation" devait prendre la forme d'un film, il prendrait sans doute celle de Mother of Tears. Suspiria ne m'avait pas vraiment convaincu bien qu'il possède de bons points, à côté de ce Mother of Tears je dois dire que c'est un chef-d'œuvre. Le film est terriblement grossier et ce en touts points que ce soient les acteurs, l'histoire, les situations mais la palme d'or revient aux scènes gores qui se veulent sûrement outrageantes mais qui sont au final ridicules et donc risibles (les effets sont vraiment grotesques, pourtant le film est loin d'être vieux). Sans parler qu'on a l'impression que le film dure 400 minutes. Une grosse chiure de Dario Argento qui ne mérite même pas l'appellation de navet.
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Dreamer : Inspired by a True Story : Vraiment, un magnifique film : léger et transpirant la bonne humeur et l’espoir. Bon, même si ce film est tout beau, tout rose et que la fin est hyper prévisible car je l’ai deviné au bout de 15 minute de film. Mais pourquoi sans priver franchement : c’est beau. Le casting et solide et les acteurs sont pétillants. Kurt Russell a une belle sensibilité et Dakota Fanning est radieuse. Et vraiment, ça fait plaisir de voir tout ces bons acteurs qui jouent des personnages aussi attachants. Car, c’est une histoire vrai, c’est bien de le souligné. L’histoire d’un père de famille qui va soigner pour sa fille un cheval de course qui était censé être fini et finir a l’abattoir. Mais, sa petite fille va tellement y croire a son rétablissement que ils vont tous se serrés les coudes et ravivés des liens unique en famille. Donc voila, tout ça est très beau a voir, l’émotion et la tendresse est la. Et puis, le film possède une réalisation qui est juste de toute beauté : c’est juste sublime. Vraiment, c’est bien filmé, les cadres sont beaux, la mise en scène est hyper soignée et ça colle parfaitement au film, voila tout. Donc, un très beau divertissement familiale qui même si vous aimée pas le coté hippique, vous pourrait craquer pour ce film.
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Le film dure 82 minutes et il faut attendre la 50ème pour que film démarre. Auparavant on a droit à une succession de gamineries assez lamentables. Il faut ensuite 10 minutes pour trouver le cadavre puis l'énigme policière est bâclée. C'est dire si c'est passionnant. Au niveau de l'interprétation Blier est bon, Larquey fait du Larquey mais a tendance à pontifier, Perrier est transparent et Reggiani ridicule en curé. Quant à la fin, elle est grotesque.
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Nicolas duvauchelle 2,the return of the source of the beginning de la revanche dans le role du quetard de meufs rebel et...boxeur cette fois ci!Brisé par la perte de ses parents,il cherche desesperement à canaliser sa souffrance et sa colere dans le noble art,epaulé par un entraineur,veritable pere de substitution pour notre hero,que meme l'amour naissant de sa rencontre avec une jolie serveuse asiatique ne peut visiblement pas apaiser (entre 2 coups de quequettes biens desesperés eux aussi)Arrivera t il à vaincre ses demons interieurs?Arrivera t il à faire triompher l'amour??ARRIVERA T IL A GAGNER CE COMBAT???!!!...Bah en fait,on s'en fout un peu pour tout dire!
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Un couple fusionnel face à un grand drame de la vie. Le sujet d'Alabama Monroe évoque instantanément celui de La guerre est déclarée. Mais le traitement n'est pas le même. Felix van Groeningen, 4 ans après La merditude des choses, réalise un véritable mélodrame, poignant, avec une force et une délicatesse extrêmes. La déconstruction chronologique est loin d'être artificielle, elle permet au film de varier les émotions, de donner gaieté, humour dans une inéluctable descente vers les ténèbres. L'alchimie entre deux êtres peut-elle suffire quand le malheur s'abat, quand "la vie n'est pas généreuse" ? L'interprétation remarquable de Veerle Baetens et de Johan Heldenbergh est pour beaucoup dans l'intensité d'un film qui fait la part belle à la musique. Du bluegrass qui s'accorde parfaitement au tempo d'Alabama Monroe. Les diatribes anti-religion sont elles souvent maladroites. Elles ne suffisent à détruire l'impression générale : c'est un beau film, triste et inexpugnable comme peut l'être le destin.
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Le crime de l'Orient Express: n'ayant pas lu le livre auquel en réfère cette interprétation, ni vu le film de 1974, ma critique ne sera portée que sur le film et non sur la comparaison de ce que j'aurais pu voir, ou lire, auparavant. J'était très enthousiaste à l'idée d'aller voir ce film: bande annonce alléchante, suscitant l'intrigue; casting plus que prometteur, huit clos tremblant. Seulement, après quelques minutes, je m'ennuyais déjà. On prend alors son mal en patience, on attend; quand apparait enfin le grand et mystérieux Edward Ratchett interprété par Johnny Depp: tout le monde se soulage alors de sa venue, on peut entendre des "ah!" dans la salle; et c'est alors que je me dis: ça y est, ça va enfin commencer. Il semble que ce n'était qu'une belle illusion. Des scènes entre les autres s'entremêlent alors que nos paupières crient sommeil, Le temps et l'espace se décousent régulièrement: j'entend par là qu'une scene à laquelle on pourrait donner plus d'importance n'est travaillée que brièvement dans le film, tandis que d'autres,trop en suspens ne mériteraient pas une telle intention. Quand la chute apparait, nous sommes déjà trop épuisés pour l'apprécier… Je donne une étoile pour les effets spéciaux managés avec brio Je donne la seconde au réalisateur pour sa chance d’avoir dégoté et pu travailler avec un tel casting (prestigieux!), et enfin, pour son impudence d’en avoir fait une telle déconfiture…
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Dans une photographie à couper le souffle (le noir et blanc est plastiquement superbe), le rèalisateur Tony Kaye signe un rèquisitoire sans concession, utilisè comme outil pèdagogique par Amnesty International! Par son histoire de gangs, de vengeance et de haine le film nous montre une rèalitè bien prèsente sur le continent amèricain! "American History X" nous donne une belle leçon de vie et nous éclaircit petit à petit sur les dangers qui nous guettent et qui font de l'homme un être si faible et si dangereux! Edward Norton se montre impressionnant dans le rôle du jeune skinhead Derek Vinyard qui bascule dans la spirale de la violence! Sa prestation lui vaudra une nomination à l'Oscar du meilleur acteur! il est èpaulè par l'excellent et trop rare Edward Furlong qui monte ici l'ètendu de son talent! La fin laisse passer un message: on ne peut èchapper a son passé...Avec des comèdiens criants de vèritè (Edward Norton surtout) et sa B.O magnifique composèe par Anne Dudley, "American History X" est une oeuvre coup de poing que l'on n'est pas prêts d'oublier de si tôt! Un vrai tour de force...
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Saisie d’un temps de la vie mais aussi d’un temps de son époque, « l’auberge espagnole » est un film qui fonctionne d’autant plus que Cédric Klapisch a pris le temps d’écrire des personnages qui ont une vraie identité, une vraie profondeur et dont les histoires sont astucieusement mises en scène. Moi, c’est bête, mais ça suffit parfois à mon bonheur.
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Inédit sur grand écran.Présenté comme une satire féroce de l'industrie du cinéma,"Panique à Hollywood"(quel titre horrible!)reste en fait bien dans les clous.Il ne heurtera personne,on n'y apprend rien que l'on ne connaisse déja sur la dure réalité de travailler dans le milieu du cinéma.Une comédie peu élaborée,dont le rythme rappelle le style d'un Robert Altman par exemple.Barry Levinson ne repousse pas les influences,au contraire.C'est un faiseur capable du pire("Sphere")comme du meilleur("Rain Man").Il dénonce ici mollement un système qui fonctionne en circuit fermé,impitoyable pour les nerfs,qui peut bouffer l'existence d'un homme.En l'occurence celle d'un producteur sur le déclin(De Niro,fatigué)jonglant entre ses différentes obligations.Il doit s'agiter dans tous les sens,pour contenter un acteur capricieux(Bruce Willis),un réalisateur à la ramasse,une boss ambitieuse(Catherine Keener)ou une ex-épouse lunatique(Robin Wright Penn).Pas la peine de réunir tant de monde pour un constat si contrasté.
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Ouais bon, j'aurais mieux fait finalement d'attendre que la mer redescende. Comme je suis breton, j'ai l'habitude. Mais par contre, je n'aurais jamais l'habitude de voir des films chiants et franchement à ce niveau-là on a affaire un morceau de choix. Parler du milieu des spectacles de Province, OK pourquoi pas mais encore faut-il en parler de manière convaincante. Je sais qu'aux yeux des parisiens les provinciaux sont des gros ploucs débiles mais il est vraiment pas crédible, à moins qu'on leur ait fourni du shit à l'entrée du théâtre, que les spectateurs rigolent devant un one-woman-show qui n'a pas une once de drôlerie. Quand à l'histoire d'amour, si déjà on arrive à affronter l'accent à couper à la tronçonneuse de Wim Willaert (je précise que d'habitude je n'ai absolument rien contre les accents, au contraire même, mais là je ne sais pas pourquoi j'ai eu du mal !!!), on s'aperçoit très vite que rien n'ai fait pour que l'émotion règne ou qu'on s'attache aux personnages. En tous les cas pas le rythme très cahoteux ou le scénario qui sous prétexte de poésie se permet d'être inexistant. Quand à décerner un César à Yolande Moreau pour ce film, il semble que ce soit un canular dont cette honorable académie a le secret. A moins que vous voulez perdre 90 minutes de votre vie, qui vont vous paraître dans ce cas-là très longues, je ne vois pas d'autre raison valable de vous encourager à voir ça.
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Dernier film de François Ozon, «Angel» (Grande Bretagne-France, 2007) illustre l'histoire d'une jeune fille, Angel (Romola Garai), pédante, imbue d'elle-même, qui vit dans l'épicerie d'un petit village anglais. Au lieu de se rendre à l'école, elle feint la maladie pour se consacrer à sa passion : l'écriture. Elle finira par se faire publier, rencontrera le succès, l'amour peut-être, et finira dans la déchéance. «Angel» parle donc d'une vie consumée par la passion de soi, car le plus frappant dans le film c'est l'égoïsme sans fin dont fait preuve Angel. Est évincé toute peine lorsqu'on admire le talent d'Angel. Mais pas l'ombre du cynisme clamé par la presse. En effet, on finit par juger Angel, possédant parfois un point de vue omniscient. Mais François Ozon reste trop attaché à son ange, si bien qu'on est en décalage avec l'histoire. On tente alors d'adopter l'optique d'un film de conte de fée, c'est alors là que ça déplaît. Pour peu qu'on aime les contes de fée pour filles, de ces contes où les princesses vivent heureuse et rencontrent l'amour, on pourra aimer «Angel», encore que la «princesse» Angel ne vit pas heureuse et ne rencontre pas véritablement l'amour. Ainsi «Angel» et l'emmêlement de ses pistes, tantôt conte de fée, tantôt cynisme léger, tantôt peinture sur-colorée, tout cela fait qu'«Angel» échappe et échappera à nombre de gens, non pas par l'auteurisme de sa forme ou de son propos mais par l'insondabilité de son essence. In fine, on sort de la projection en ayant vu un film maîtrisé, respectant les codes des films hollywoodiens romantiques des années 20-30 et pour cela, «Angel» mérite le coup d'être vu, pour la splendeur de ses décors et la beauté de ses costumes. Enfin, le film plaira à un public naïf, puisqu'il utilise la magie des contes de fée pour transmettre les affres de la réalité. «Angel» (Grande Bretagne-France, 2007) de François Ozon est donc une mi-déception.
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De temps en temps, je me laisse tenter par les polars « made in France » du lundi soir, sans doute ici en raison du réalisateur et du casting, imposant pour une production télé (Mélanie Doutey, Michel Vuillermoz et surtout Karole Rocher sont notamment à saluer). Au final, le résultat est assez standard, se regardant sans ennui mais sans passion non plus. La réalisation est quelconque, même si elle sait plutôt bien capter les tensions et anciennes rancœurs omniprésentes dans la vie des personnages. J'ai beau avoir deviné sans trop de mal le coupable, le renversement concernantla personnalité de la victime ainsi qu'une intrigue autour du mal-être adolescentest assez bien vu, avec un peu plus de noirceur et de cruauté que de coutume. Pour le reste, rien de bien nouveau : un téléfilm sans réelle envergure faute de protagonistes vraiment marquants ou originaux, une sérieuse impression de déjà vu flottant à plusieurs reprises, l'œuvre abusant parfois des fausses pistes en se croyant un peu trop maligne. Un polar légèrement au-dessus de la moyenne hexagonale donc, qui s'effacera toutefois assez vite de ma mémoire.
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Sans m'attendre à du grand cinéma j'espérais passer un sympathique moment de détente et si en effet Galaxy Quest est sympa il prouve encore une fois que la SF et la comédie se mélangent mal. Car après un bon départ force est de constater que les occasions de rire sont quasiment nulles devant Galaxy Quest aucun dialogues percutant aucune situations délirantes. C'est d'ailleurs ce qui manque à Galaxy Quest le délire, le film se veut une gentille parodie de la série Star Trek et ne dépasse jamais ce niveau.
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"Ted" est un pur produit américain où tous les clichés bien lourds de ce genre de cinéma, sont ici réunis tel un record de bêtise ! Dialogues vulgaires et gratuits de la part d'un ... ours en peluche (!), situations idiotes et grossières à souhait voire jusqu'à la nausée, aucun scénario valable, histoire sans pertinence, sans finesse et même insipide, acteurs niais, ridicules et vraiment peu inspirés ! Résultats des courses : aucun plaisir, aucun intérêt pour le spectateur qui n'en peut plus de découvrir jusqu'à quel point de n'importe quoi on peut s'abaisser et tout cela sans rire ou même sourire une seule fois ! Parle-t-on bien du même film qui a été lui encensé par la presse au fond pas bien exigeante ? Sidérant !!!
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Burger Kill est un petit film bien sympathique, à voir comme une parodie de film d'horreur. En effet le scénario a priori semble des plus banals ( il est plus inattendu sur la fin), les morts sont souvent ridicules (on reconnaîtrait presque la marque du ketchup utilisé...), les acteurs surjouent par moment... Tous ces éléments pourraient être de gros défauts mais le réalisateur, conscient de cela, a pris le parti de s'en amuser. Ainsi grâce en plus à un humour noir marqué, un costume de clown grotesque et effrayant, des personnages ridicules ( cf le Detective Dwayne Crockers), une musique entraînante, il en résulte un cocktail très divertissant. A voir et à revoir mais au second degré uniquement !!
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Pour rendre hommage à charlton Heston décédé hier à 84 ans ,j'ai revu ce film soigné mais sans prétention ou il donne la réplique à un superbe Gary Cooper(décédé à 61 ans) qui a 23 ans de plus que lui.Quand on aime les bateaux,la Manche et les conflits humains à l'écran:on est satisfait.Mais ce film manque de rythme et d'émotion à cause du choix d'un scénario extrêmement classique et l'absence de sentiments entre les personnages qui n'agissent que pour leur compte.Aucune générosité à aucun moment;dommage.Les prises de vues lors de la tempête et ce grand bateau vide sont bien réussies.
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