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Horsehead est une véritable surprise. Beaucoup moins film d'horreur que film d'auteur, le film de Basset bluffe par la qualité et l'originalité de ce qu'il délivre : le visuel (déférent et non pas référent à un certain cinéma d'épouvante d'exploitation des 70's) impressionne lors des scènes oniriques, des thématiques fortes (de la maternité à la transmission) traitées via le symbolisme des plans et la matière-cinéma elle-même plutôt que par les prémisses d'un scénario minimaliste (et c'est une très bonne chose), une bande son cousue main dont la modernité des pulsations technoïdes s'entrechoquent avec ces images gothiques ou giallesques à l'ADN daté. Un reproche tout de même : le film souffre de la générosité du premier film et peche parfois par excès. Une impression de boursouflement dans le montage hyper cut résiste à la fluidité de l'ensemble. Mais ne boudons pas le plaisir de ce spectacle inédit dans le paysage cinématographique français et, tant est que notre sensibilité résonne avec celle du film (c'est vrai, c'est LA condition pour profiter du voyage trippal proposé par Basset), profitons de l'opportunité de se rafraîchir le regard avec un film de genre définitivement unique.
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Michele Placido retrace le parcours d'un véritable voyou Italien mais de manière peu inspirée, L'Ange du mal semble ressortir tous les poncifs du genre (on a même droit à la scène du bal ou le mâle conquis la femme inaccessible) sans véritable ingéniosité car ce polar ne fonctionne jamais. Même si ce type de personnage ne me fascine pas Kim Rossi Stuart incarne un bandit qui il faut l'avouer est un personnage tout de même intéressant pour faire un bon polar. L'Ange du mal ne trouve jamais son rythme, n'a pas de véritable intrigue et ne se rattrape pas dans ses scènes d'action filmées au ralenti avec une musique de fond inappropriée.
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Pour moi ce film est un hymne à la vie et à l'amour. Il nous montre que oui la vie n'est pas toujours facile mais qu'il y a quand même plein de petites choses (et aussi des gens) qui font qu'elle vaut la peine d'être vécue. Avec deux acteurs au top niveau ! A voir !
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Mmmmhh, que penser de cette petite comédie vampiresque ? Après un court début intrigant, la situation se met rapidement en place, un diner de vampire avec un invité attendu. Le ton se veut drôle malgré l'air grave de l’événement, répliques légères et enfantines, situations cocasses sans prétentions, on appuie sur le coté festif de la soirée. Quand l'armée s'en mêle, ça sent le petit budget, le film amateur avec ses petits effets spéciaux qui frôle le ridicule (quand les grosse mitrailleuses tirent, l'arme ne bouge pas alors que le feu synthétique au bout du canon bat son plein, kitch ! ) N’espérez pas avoir peur ou voir l'un des meilleur film du genre, on est dans le divertissement à petit budget.
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Le film exprime une pensée philosophique. Qui peut savoir ou juger que le chemin que l’on a pris est le bon ou le mauvais. Noge a suivi ce qu’il pensait être sa voie. Il a été admiré et n’a jamais regretté ses choix. C’est ce que comprends Yuki quand elle retourne chez ses parents. Le film n’est pas un long fleuve tranquille. « Une vie sans aucun regret » c’est une vie qui ne laisse pas le choix de décider ou pas de son avenir. Il faut y aller c’est tout. Et Kurosawa vous livre un portrait fabuleux de femme qui a pris conscience de sa destinée. Très beau.
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"Millennium Mambo" séduit et déçoit à la fois. Il séduit parce que sa magnifique pertinence quant à la perte de sens de la vie moderne (le grand thème des années 60, revitalisé depuis un moment par les cinéastes Taiwanais en général) s'appuie sur la présence infiniment séduisante de Shu Qi. Il déçoit en alternant plusieurs systèmes formels, dont l'hétérogénéité finit par nuire à la beauté et à la force de l'ensemble : on passe d'un cinéma formaliste aux thèmes et à la manière furieusement "Wong kar Waiens" - sans le romantisme échevelé - à des scènes brutes de conflits physiques, qui ne sont pas sans rappeler Pialat et "A nos Amours" (sans parvenir au sentiment d'écorchement et d'élévation de ce dernier). Le meilleur est sans aucun doute quand Hou Hsiao Hsien est simplement lui-même, lors des magnifiques scènes d'hiver au Japon, d'une rare sensibilité et d'une étrange beauté. Enfin, on ne pourra que célébrer l'intelligence remarquable de l'utilisation de la musique, pour beaucoup dans la fascination que procurent les meilleurs scènes de "Millenium Mambo".
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Un film de passionné de voitures sur un scénario bien maigre car tout réside dans une prouesse de conduite : "le drift". Seule une personne peut arréter les méchants car il a la rage est passionné de conduite et qu'il est gentil.On atteint néanmoins un sommet lorsque le méchant monte de biais sur un trottoir pour percer l'arrivée de carburant, un grand moment scénaristique.PLV: à réserver aux fans de 'fast and furious'
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UN pur NAVET ! J'ai perdu 1h24 de ma vie, tous ce qui aime le gore, l'horreur ou l'épouvante, passé votre chemin, cest une MERDE ce film !! On dirait un telefilm petit budget qui passe le dimanche après midi au côtés de votre grand mère. Nul a chier je répète !
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film avec aucun intérêt d'un ennui total aucune peur ils disent film d'horreur mais c'est un thriller encore une fois je mets une étoile et demi juste pour l'action à la fin du film
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Voilà, 50 ans de la nouvelle vague à Cannes, rétrospective Doniol Valcroze : LE réalisateur de l'ombre, inconnu du public et pourtant si cher : il a fondé les cahiers du cinéma, il a créé la SRF, il a réalisé des films qui ont pourtant marché ... Bref, avec ce premier film, "L'eau à la bouche", il prend à contrepied les attentes de son entourage. Un vaudeville lascif, taxé à l'époque d'érotisme. Un scénario aujourd'hui classique sur les couples qui se forment et se défont, mais pourtant très élégant et très intelligent. Les acteurs (et surtout les actrices) sont savoureux, mention spéciale au duo Galabru/Lafont. Le film expérimente les premiers zooms, et les mouvements de caméra sont d'une grâce surprenante. Des trouvailles visuelles sidérantes, comme ce château qui tourne et une bande son signée Gainsbourg, autrement dit : courez voir ce bijou du cinéma français !
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Que ça fait du bien! Quand on voit comment certains se triturent l'esprit de nos jours, c'est pourtant simple le bonheur. Surtout quand il est partagé, comme c'est si bien le faire cet homme avec sa simplicité et son sourire. Inoubliable!
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photo léchée, acteur excellent, humour et horreur, superbe combinaison pour ce film gothique, avec une touche de romantisme et d'amour impossible, cette hammer production. perso j'adore.
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C'est décidé, je vais me faire la filmographie intégrale de Richard Linklater ! Rock Academy est le quatrième long métrage que je vois de ce même Linklater pour autant de satisfaction. Super idée, le scénario de Mike White est concis et délicat et s'octroie une grande dose de dinguerie symbolisé par son acteur titre le facétieux Jack Black. Loufoque à souhait mais aussi très touchant et mélancolique, il est épatant dans ce film. Ses comparses Joan Cusack et Mike White ( encore lui ) sont sur la même base, géniaux ! Pareil pour les gosses d'ailleurs ! Cette comédie est franchement chouette et décalé, une réussite.
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Pierre Richard s'essaye à la comédie grave : un ratage. Certes quelques gags font parfois sourire, la présence de Smaïn dans un rôle chaleureux réserve quelques moments sympathiques et l'audace d'un changement de registre de la part de notre Distrait national demeure respectable. Mais On peut Toujours Rêver joue constamment sur deux tonalités - le lyrique et le burlesque - de manière totalement maladroite, avec un manque de cohérence assez déconcertant. De grosses réserves, notamment, sur le personnage du détective privé, complètement ridicule et inutile au scénario... Une ou deux séquences sortent du lot ( principalement une interprétation de La Bohème de Charles Aznavour par Pierre Richard, mais aussi la fameuse scène de La Joconde ) mais l'ensemble manque de rythme et ne fonctionne que trop rarement. A voir une fois, On peut Toujours Rêver plaira peut-être aux adeptes de Pierre Richard, mais laissera les autres sur la touche... Un divertissement sans envergure, et relativement décevant.
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Trevor, l'enfant révolté de l'Angleterre des années 1980. Trevor a un problème avec l'autorité. Ou bien est-ce l'autorité et l'environnement social qui l'entoure qui a un problème avec Trevor ? Alan Clarke nous plonge dans l'Angleterre dépressive dans laquelle les jeunes ne se retrouvent pas et tombent dès le plus jeune âge dans la délinquance. Pendant 80 minutes, on suit à la trace le parcours de Trevor (Tim Roth) à travers différents établissements sensés l'aider à retrouver la bonne voix et le bon comportement afin de se réinsérer dans la vie. Mais le jeune skinhead n'est pas du tout sur la même longueur d'onde que ses ainés. Le jeune homme est intelligent mais on ne lui donne pas les moyens de s'exprimer. Toute cette envie doit alors sortir de son corps et c'est en brisant des vitrines, défonçant des portes et volant des voitures que cela s'exprime. Grâce à une série de travellings et de plans rapprochés, Clarke met en scène un Tim Roth qui crève l'écran et nous montre toute sa haine de l'Angleterre, de son système éducatif, de son système social et de son manque de franchise envers son peuple. La musique du groupe The Exploited, groupe punk du début des années 80 colle parfaitement à l'ambiance punk et révoltée du jeune Trevor. Lui qui affirme haut et fort que la voix qu'on veut absolument lui faire prendre n'est pas la seule voix possible pour trouver le bonheur. CBTR : http://comebackfrommovietoreality.blogspot.com/2012/01/critique-made-in-britain-alan-clarke.html
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Elie Semoun et Smain dans le meme film!!! je n'est qu'un mot qui me vient à la bouche : GENIAL!!! On s'amuse du début à la fin des pitreries dez nos deux malicieux compères.
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Adaptation du célèbre roman d’Ernest Hemingway que je n’ai hélas jamais lu, ce long-métrage de Sam Wood est en tous les cas une œuvre bien passionnante notamment en ce qui concerne la magnifique histoire d’amour qu’il y a entre les personnages de Gary Cooper et d’Ingrid Bergman, ces deux mythiques stars s’avèrent par ailleurs lumineux dans leurs interprétations. Mais il serait dommage d’occulter la superbe mise en scène de Sam Wood qui nous gratifie de quelques séquences marquantes (notamment la destruction du pont à la fin du film) tout comme la belle BO de Victor Young. Un grand film qui ne possède aucune longueur malgré sa durée assez conséquente.
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"Deepwater" est la traduction littérale de "Eau profonde". Ben voilà, ça résume tout en fait. Car si l’intrigue est en apparence plutôt intéressante, elle coule à pic dans les bas-fonds d’un mystère aménagé sans maîtrise. Lucas Black, héros de "Tokyo drift ("Fast and furious 3") est confronté à Peter Coyote, et on peut dire que le niveau d’acteur n’est pas le même, tout du moins sur ce film-là : net avantage à Peter Coyote, qu’on a connu pourtant plus inspiré. Le début est pourtant bon, en nous présentant le jeune Nat Banyon (Lucas Black) en plein désir de vivre son rêve américain. Mais un tel vœu se mérite, passant par des embûches qui vont le retarder dans sa quête, sans que ce soit toutefois très gênant. C’est ainsi qu’il va sauver la vie de Herman Finch (Peter Coyote), troublant propriétaire d’un motel douteux, et marié à une très désirable femme en la personne de Iris (Mia Maestro). C’est à partir de ce moment-là que tout déraille, y compris pour le spectateur. D’abord on pense qu’un peu de surnaturel est intégré, ce qui peut paraître une bonne idée, mais une fois cette petite surprise passée, on se rend vite compte que ça ne colle pas vraiment. Du coup, on part sur une autre piste qui se révèle être la bonne et on devine du même coup la chute de l’histoire, à la condition toutefois d’être attentif aux détails parsemés ici ou là. Au final, et avec un peu de recul, l’ensemble se révèle être assez brouillon. Et puisque le twist final est sensé expliquer tout le film, peut-être aurait-il fallu traiter le scénario à la façon de "Old boy", le long métrage sud-coréen de 2003, ou encore de "Sept vies" (2008) avec Will Smith.
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Une interprétation parfaite de Joseph Fouché et charles Maurice Talleyrand, deux personnage qui ont marqué la période napoléonienne, successivement en tant que ministre de la police et ministre des relations extérieurs. On observe durant ce huit clos un magnifique combat où s'affronte le cynisme, la perfidie et l'hypocrisie de ces deux grands tribuns qui ont pour devoir lors de ce souper de donner à la France, et eux-mêmes, un avenir après la défaite de Waterloo. Le vice au bras du crime (Chateaubriand) allaient donc donner une légitimité à la France occupée par les anglais.
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Tanna est une toute petite île âgée de plus de trois millions d’années et située dans l’archipel du Vanuatu à l’Est de l’Australie. En 2004 et 2013, les cinéastes découvrent cette île et réalisent des documents audiovisuels sur l’histoire aborigène en Australie. Ils décidèrent alors de se lancer dans l’aventure de la fiction. Tanna est donc un long-métrage avec une histoire. Mais les acteurs vont être ici les vrais personnages du film et la tribu Yakel va jouer sa propre histoire. Le speech ? Une sorte de Romeo et Juliette version indigène. Mais au-delà du scénario, oui fort prenant, Tanna est surtout l’occasion pour nous de rencontrer une contrée, sa culture, ses pratiques, ses chants, ses danses, ses lois, son alimentation et son mode de vie. C’est aussi ça le cinéma, nous faire découvrir une partie du globe sans être trop explicatif comme le ferait un documentaire. Les cinéastes s’appuient d’ailleurs sur ce dilemme de l’amour pour nous montrer également les évolutions des traditions ancestrales grâce aux nouvelles générations. Alors oui, le jeu est parfois moyen, mais chacun est tellement sincère qu’il est impossible de ne pas les trouver touchants. Candidat aux Oscar pour l’Australie, Tanna est un film sur l’ouverture au monde dans une mise en scène remplie de vie et toujours modeste. Un magnifique papillon. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Le film ne passe jamais la barre d'un court-métrage étendu à l'extrême. Il fait 82mn et paraît durer une éternité, tant à aucun moment, il ne retient l'attention du spectateur. L'ennui a commancé au bout de 5mn. Le scénario tient sur une feuille A4, le propos est vain, il faut attendre 70mn pour voir la scène clef. Tout ça pour ça. Le film est prétentieux, il confond non-dits et subtilité. je m'explique, il se veut subtil, mais ne raconte rien ou si peu, et laisse trop de place à interprétation. Mauricio López Fernández est un nom à retenir, pour ne jamais aller voir ses prochains films. Comment le film a-t-il pu retenir autant l'attention dans les festivals, il a tout simplement fait l'objet d'une immense mansuétude de la part de son public, je dirai.
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Lorsqu'Irène Foster arrive à Broadway, elle espère qu'une de ses connaissances, devenu producteur, l'aidera à monter sur les planches, malheureusement pour elle, et dans un premier temps, il ne la reconnaîtra pas... Comédie musicale typique des années de la grande dépression, Broadway Melody of 1936 permit aussi à la MGM de se maintenir à flot et nous immerge dans le monde de Broadway avec ses planches, sa gloire, ses danseurs et chanteurs. Alors que la série avait commencé en 1929, Roy Del Ruth lui fait vraiment prendre son envol ici et la fera même nommer pour les oscars de 1936. Si Hollywood produisait beaucoup de comédies musicales à l'arrivée du parlant, je ne suis pas un grand connaisseur de celle-ci (même pas du tout) et c'est une bien belle surprise que représente ce Broadway Melody of 1936. Frais, charmant, drôle, sympa et sans temps mort, on est immergé dans cet univers avec un bonheur contagieux et surtout d'excellentes chansons et chorégraphies. Roy Del Ruth maitrise son sujet et sait mettre en valeur ses comédiens et nous faire passer par tout un panel d'émotion, le tout sans manquer de malice et d'idées. La réussite tient bien évidemment sur les épaules des acteurs et notamment l'époustouflante Eleanor Powell (et merveilleuse à regarder !) dont les numéros sont aussi charmants qu'irrésistibles, et sans oublier Robert Taylor, notamment lorsqu'il entonne "I've got a feelin', you're foolin". Les scènes mémorables ne manquent pas, se finissant sur un éclatant final qui conclut en beauté un film qui ne manquera pas de transmettre toute sa joie. Merci à Limguela pour la découverte de cette oeuvre aussi enthousiasmante que rafraichissante où les numéros savoureux et particulièrement réussis se succèdent avec fluidité, le tout servis par d'excellents comédiens.
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Nullissime.....un scénario mince comme une feuille de papier , , des clichés à la pelle.....un show sur la plastique certe très avantageuse de Madame Laroque....on pouvait s’attendre à un peu mieux tout de même.... Une toute petite étoile pour les quelques belles vues de Nice sous le soleil...
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A la fois film romantique et film historique de guerre, ce film est une incontestable réussite sur le plan visuel, émotionnel mais aussi en tant que film d’époque par les costumes, les décors, les lumières et bien sûr les avions. Là scène du grand combat est époustouflante, grandiose, lyrique, spectaculaire. Et puis il y a le toujours excellent Affleck et la belle, talentueuse et envoûtante Kate Beckinsale. Un très très grand film, un classique.
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Très bonne surprise que ce nouveau film de Sam Raimi. Après la triologie Spider-man, on étais curieux de voir ce qu'il allait nous offrir. Et bien c'est un excellent film d'horreur qui est aussi une excellente comédie. En effet on rit et on a peur à peu près à quantité égale. Le scénario est bien écrit, et même s'il est classique il arrive à nous surprendre tout de même. Idem pour la mise en scène, classique pour ce genre de film mais agréable. Les acteurs sont tous convaincants. Les filles sont au dessus du lot. Alison Lohman excelle et avec elle on croit à la malédiction qui lui tombe dessus. Sa ressemblance avec Jessica Lange jeune est troublante, ce qui lui a valut de jouer celle-ci jeune dans le Big fish de Tim Burton. Lorna Rever, la vieille femme par qui le malheur arrive, est elle aussi très bien et terrifiante. Bref on a peur, on rit, il y a du suspens, Raimi s'auto-parodie lui même (Evil dead), plusieurs bonnes raisons d'aller voir ce très bon film qui est malgré tout, attention, interdit au moins de 12 ans...pour les autres courez-y...
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Excellent ! Un film dont je ne pensais pas si bon, la BA faisait penser a un film sympa a voir. Mais le film est bien plus que ça ! Adapté du livre L'épreuve de James Dashner qui a connu deux suites et la saga n'est pas encore finie a ce qui parait. L'intrigue est solide et très agréable a suivre, les acteurs sont vraiment très bons, les effets spéciaux très bons pour un petit budget comparé a d'autres films, une noirceur très bien utilisée et parfois quelques petites touches d'humour. Vraiment surprenant avec de très bons retournements de situation et quelques tensions dans le film. La fin donne vachement envie de voir la suite qui sortira en décembre 2015 dans nos écrans, nous n'avons plus qu'a attendre (ou lire la suite pour les impatients) !
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J ai vu le premier et je l avais déjà trouver médiocre.....alors pourquoi m infliger de voir la suite? Franchement je sais pas. Masochisme ou espoirs fou qu ils avaient pu tirer les leçons du premier. Hé ben non. C est aussi mal joué, les dialogues aussi navrant. Mais bon vu que je ne m attendais pas à grand chose, j ai pu en sourire voir même en rire.
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Ce film est vraiment un grand n'importe quoi... Le fait de tout désordonner devrait rendre le film spéciale, j'ai vu ça... Le fait que ça n'est aucun sens ne me gène pas, il y a certains films qui réussissent à faire des perles dans ce genre, mais au fond de cette soupe d'idées juxtaposées jusqu'à la nausée... Il n'y a pas de moralité, normal ce film veut se faire immoral... Mais après lecture totale, il n'y a pas d'immoralité... Il y a rien du tout... Je reste con... Je n'aime pas.
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"Hollywood Ending" est un exemple pas désagréable mais pas marquant non plus de la paresse dont a commencé à faire preuve Woody Allen dans la décennie 90 et qui ne fera que s'amplifier dans les années qui suivent... C'est d'autant plus regrettable qu'il part d'une très bonne idée de départ (même s'il faut attendre d'arriver au milieu du film pour la voir se pointer !!!) à savoir un réalisateur loser qui a la chance de pouvoir faire un magnifique comeback mais qui tombe aveugle la veille du tournage. Le problème, c'est que quand il ne refait dix fois le même gag, en particulier dans la seconde partie, Woody Allen étire inutilement les autres à l'instar de la séquence au restaurant où son personnage parle à son ex du film tout en lui reprochant de l'avoir quitté ; ça peut amuser deux minutes mais au bout de dix minutes... Reste quelques répliques qui font mouche et deux ou trois gags vraiment drôles, comme celui où il tombe dans le décor ou encore l'ironique chute finale ce qui fait regretter que le reste ne soit pas du même acabit...
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"Haute Couture" est un bon film, autant techniquement que scénaristiquement, que nous n’avons malheureusement pas eu la chance de voir dans nos salles de cinéma. Heureusement le dvd traverse les océans et répare cette erreur ! "Haute Couture" révèle une intrigue à laquelle on ne s’attend pas avec pareil titre ! L’histoire oscille entre thriller, malédiction et vengeance au sein d’une minuscule ville du bush australien. Surpiqué de rebondissements, le scénario révèle secrets, non-dits et rancœurs dans un film confectionné comme un western féminin en haute couture ! Tous les personnages sont truculents mais Kate Winslet a, comme toujours, une classe à la hauteur de son talent dans ce rôle taillé sur mesure. Alternant drame et humour, naviguant d’un genre à l’autre, "Haute Couture" est une agréable surprise plein de style et de classe. Retrouvez de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress.com
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Ce n'est pas seulement l'été qui est magique, c'est le film tout entier qui est un moment rare de poésie dans ce monde de brutes ou la plupart des films n'existent pas sans effets spéciaux. Dans celui-ci et cela fait du bien on se laisse porter par les personnages tous plus attachant les uns que les autres, j'ai eu un peu de mal à y rentrer car nous ne sommes plus habitués dans ce monde ou tout va trop vite, de simplement prendre son temps de regarder les autres, d'échanger, de parler à ses voisins, et surtout de laisser son imagination vagabonder, une vraie leçon de vie, avec un Morgan Freeman épatant, admirez son sourire et son regard sur l'affiche du film....tout est dit ....sublime..
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Ce film d'horreur propose une ambiance intéressante certes mais un scénario manquant cruellement d'originalité n'apportant aucune nouveauté au genre, des jump-scares sans quasiment aucun effets, et des acteurs peu crédibles. Ne perdez pas votre temps avec ce navet.
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Belle réussite pour ce type de film. Je donne une note un peu trop bonne mais j'avoue avoir été réellement positivement surpris de ce film.
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« L’âme russe » Les Russes n’ont pas tardé à prendre le pire de ce qu’il y avait chez nous tout en conservant le pire de ce qu’il y avait chez eux. Pour leur salut il leur reste quelques grandes âmes pour s’en indigner. Andreï Kontchalovski en est une, ni immaculée, ni noire… Russe ! En Russie, l'anecdote révèle souvent son homme. À l'avant première parisienne de Gloss, Kontchalovski rapporta celle-ci. Comme un spectateur lui reprochait d'éprouver la « Nausée » après avoir vu le film, il lui répondit : - « Vomis ! ». Il nous annonça dans la foulée que 2 heures plus tard, nous serions triste et qu'il en serait heureux, car nous serions tristes avec lui. Alors, le film ? Si vous en doutiez encore, les plus belles filles du monde sont à Moscou et elles vous dévoileront leurs charmes pendant près de deux heures. Des coulisses des collections où s'exerce la tyrannie d'une copie de Karl Lagerfeld qui habillait « La truie du Kremlin » (dixit un de ses mignons) jusqu'aux yachts, suites et jets privés des oligarques tout se passe comme dans un rêve. Les hommes qui font l'économie, la politique et le malheur de leur pays et de leurs concitoyens s'achètent des êtres humains comme des animaux de compagnie. Des laquais serviles composent leurs pédigrées, les toilettent et les parent. La camera caresse les peaux satinées, les mains manucurées et les chevelures platines. Tant d'innocences sacrifiées au culte du veau d'or tournent au cauchemar ou à la tragédie. Happy ending ? Quand la prostituée incarnée par Julia Roberts dans Pretty Woman finit par épouser son milliardaire c'est un happy end. Quand Tarkovski scénariste écrit le dénouement de Gloss l'on comprend qu'il est revenu d'Hollywood et une bonne fois pour toute. Le sacrifice de toutes les valeurs au dieu dollar lui est aussi insupportable que le culte de la personnalité aux heures les plus sombres du stalinisme. Je ne vous dévoile pas la fin de Gloss car s'il n'y a qu'un film à voir cette saison c'est ce
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Quand le choc des titans est sortie tout le monde a fustigé sa 3D alors que le film méritait vraiment mieux dans la mesure où il offrait du spectacle avec une générosité qui pouvait faire passer ses défauts pour de la maladresse. La suite : la colère des titans devait être selon son réalisateur( celui qui avait fait le lamentable battle to Los Angeles), être supérieur au premier opus, est en définitive assez mauvais: l'histoire est un remake du premier avec Kronos qui remplace à la fin le Kraken, le bestiaire des créatures est original mais mal exploité on ne sait même pas ce qui foutent dans le film, les personnages à part Zeus et Hadès sont fades et inintéressants. Cela reste néanmoins largement supérieur à un Conan mais quand le réalisateur, se permet de critiquer son prédécesseur, il devrait faire preuve d'humilité, tant ses scènes d'actions paraissent illisibles, incohérentes et qu'il devrait au contraire prendre exemple sur "le choc des titans" qui a réussi à donner un souffle épique au premier film, ce qui n'est pas son cas.
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Len Wiseman nous livre un film d'action ultra efficace et spectaculaire(c'est son meilleur film), j'ai passé un excellent moment, et en ce qui me concerne, c'est le meilleur de la saga aprés le premier bien sûr. Et Bruce Willis n'a vraiment rien perdu de son potentiel malgré son age.
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Après la très bonne comédie "Nos jours heureux", le duo Eric Toledano et Olivier Nakache tous les deux réalisateurs et scénaristes nous présentent cette nouvelle comédie basé sur une famille peu commune. Le film démarre très fort et réussie à nous intéresser plus qu'une simple comédie, à la fois touchant et hilarant ce petit chef d'oeuvre du cinéma français est un très bon moment de bonheur et d'émotion. L'ambiance du film rappelle évidemment "Nos jours heureux" en partie à cause d'un casting presque identique. On retrouve Omar Sy toujours aussi hilarant, Joséphine de Meaux, qui pour le coup garde pratiquement le même rôle ou presque mais toujours aussi douée pour jouée la folle de service. Puis vienne des rôles moins importants mais que l'on retrouve encore ici tel que Jean Benguigui. Malgré une ressemblance frappante entre le casting, la réalisation et l'humour similaire, on est loin d'être en face d'une simple suite puisque le sujet n'est plus du tout le même et malgré que l'humour soit au rendez-vous, l'émotion est bien plus présente de part le sérieux du sujet que l'on aurait tendance à oublier. Au final, ce "Tellement proches" est une perle du cinéma français qu'il est presque impératif de voir lorsque l'on a peu d'estime pour le cinéma français à force de voir des comédies ringardes faire la une du Box office alors que d'autres passent inaperçues ou presque. Le duo Toledano/Nakache est à suivre de très prêt et vont je l'espère être enfin récompenser avec la sortie de "Intouchables".
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Le monde Et en particulier la France part en vrille. Où sont passé les gars qui classent les films par tranche d'âge? Pour sauce partie on s'est dit ils sont en grève, et maintenant on va se dire qu'ils sont à la retraite? En plus venant des turcs ça m'étonne énormément. C'est quoi cette volonté de mélanger la vulgarité et la violence avec le monde des enfants? Les mangas ne suffisent pas? Heureusement que ça fait pas un succès, ça prouve qu'il y a encore de l'espoir en l'humanité.
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La passion muette et douloureuse d'un vieux musicien sur le déclin pour un bel adolescent en vacances à Venise. Le cinéma de Visconti a des affinités évidentes avec les écrivains de la décadence qu'il a adaptés dans sa filmographie (ici Thomas Mann): contemplation mélancolique du passage du temps, chant du cygne d'une aristocratie qui emporte avec elle une certaine idée de la culture et de la sociabilité, goût pour les histoires d'amour vouées à l'échec, représentation impressionniste des sentiments, lyrisme étouffé par un pessimisme lucide, etc. Il faut aimer ce type d'oeuvres, très datées et parfois un peu indigestes, mais pour les amateurs, Mort à Venise est une magnifique tragédie et l'un des plus beaux films du cinéaste.
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Encore une oeuvre de Miyazaki absolument ravissant, enchanteur et magnifique quoique nettement plus sombre que la plupart de ses autres films. De l'animation fluide, magique. De la véritable poésie pour les petits et les grands. Un film à visionner plusieurs fois pour en saisir tout le sens.
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Il faut sortir en courant de la salle de cinoche quand, après vingt minutes de grand angle, Christian Bale rentre avec un sourire...grand angle dans le village de ses ravisseurs...
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Mc Kee signe une fois de plus après son May un film dérangeant, malsain, glauque. Mais ce n'est pas un simple film d'horreur gore. Mais ici le réalisateur se fait sociologue et critique une société patriarcale. Tout est bon; la mise en scène, les acteurs (on retrouve l'actrice de May dans le rôle de la mère), et la bande son spécialement composée pour le film de Sean Spillane qui est sublime ! Un film à voir mais qui installe un vrai malaise. Une très bonne surprise
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Ce grand (3 heures) film populaire égyptien permet de retrouver - à l'heure de sa déliquescence dans la corruption omniprésente, sous la menace d'un islamisme de plus en plus radical - la joyeuse énergie de la société égyptienne, si bien chantée au cours des dernières décennies par Youssef Chahine. Malheureusement, Marwen Ahmed n'est pas Chahine, et, s'il évite l'artificiel brillance de nombre de films "choraux" récents, sa mise en scène a la lourdeur de l'éléphant lorsqu'il dénonce les méfaits de l'intolérance, ou tout simplement de la mesquinerie. Si "l'Immeuble Yacoubian" finit par captiver son spectateur, c'est qu'il bénéficie de l'interprétation impeccable d'un casting "all star" du cinéma égyptien (Adel Imam dans un rôle central qui pourrait être ingrat, dégage une sensibilité, une émotion bouleversantes). Au final, si l'on est loin du chef d'oeuvre, on se dit néanmoins que cela fait belle lurette que l'on a pas vu le cinéma populaire français produire un tel film, à la fois mélodrame populaire et politiquement engagé.
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Une bande de mercenaires retrouve un ancien bunker allemand abandonné. Voilà un pitch qui nous rappelle inévitablement The bunker. Ce qui aurait pu être une bonne idée originale sent plutôt l'opportunisme. Cependant, Outpost acquiert son identité propre s'affranchissant de son modèle grâce à une mise en scène intense et des acteurs convaincants (aussi bien pour leurs interprétations que pour leurs physiques). Une excellente surprise.
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Le film "le Projet Blair Witch" est un film tourné caméra à l'épaule et traite d'un sujet de disparition de plusieurs randonneurs dans la forêt de Blair alors qu'ils enquêtaient sur la possible existence d'une sorcière dans cette même forêt. Ce film se déroule comme si on visionnait la vidéo de ces randonneurs en excursion dans la forêt juste avant leur disparition, vidéo retrouvée par la police cherchant à savoir ce qui leur était arrivé. Le film a connu un marketing considérable, faisant croire qu'il s'agissait d'un fait réel et que les vidéos retrouvées étaient tout ce qui restait de ces randonneurs. Si l'idée de départ est originale, le film en lui même est d'une nullité sans borne ! Il n'y a AUCUN effet spécial, le film tient plus de la vidéo amateur que d'un vrai film professionnel. Les dialogues sont d'un niveau de collégiens, les acteurs n'ont aucun charisme, les situations sont parfois grotesques. Je pense à ce randonneur qui pète les plombs parce qu'il est perdu et marche depuis près de 3 heures dans la forêt en tournant en rond et qui ne trouve rien de mieux que de jeter leur carte de repérage dans la rivière dans un geste d'énervement... Irréaliste. Le film est vide, vide d'action, vide de scénario, vide d'effets spéciaux. Au final, on n'a même pas peur et on a du mal à continuer jusqu'à la fin... Même un enfant de 10 ans ne serait pas effrayé devant autant de bêtises. C'est vraiment affligeant ! Pour finir dans l'incroyable, le coût de production de ce film se situait entre 50 000 et 75 000 dollars (ce qui d'ailleurs explique bien le vide sidéral que l'on visionne dans ce film) et a remporté.... accrochez-vous bien, 250 000 000 dollars au box office mondial !! Oui vous avez bien lu ! Ceci grâce à la promotion faite sur internet, car après visionnage, on se rend bien compte qu'on a voulu se payer la tête des spectateurs... "Le projet Blair Witch" ou comment devenir millionnaire autrement qu'en gagnant au loto...
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A mi chemin entre el western et le film policier. Un excellent film j'ai apprécie ce face à face entre un jeune rangers avide de vengence et un charognard intriguant avec une grande prestation de Woody Harrelson Liam Hemsworth est quant excellent à deux milles lieux de sa prestation dans independance days. Ce film legerement violent sous forme de racisme anti mexicain est genial.
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Irréversible est un film choc dont on ne ressort pas indemne. Il nous plonge dans ce monde d'horreur appelé réalité. Cependant Gaspard Noé ne se contente pas de le filmer d'une manière lisse et documentaire comme la plupart des cinéastes souhaitant dépeindre cette réalité. Gaspard Noé filme à la manière de Kubrick pour 2001 l'odyssée de l'espace à qui il rend d'ailleurs hommage à la fin du film. La caméra est comme en apesanteur. Quant à la narration elle est similaire à celle de Memento, l'histoire est racontée en remontant le temps. Noé nous démontre qu'il serait préférable de vivre notre vie à l'envers car pour lui le temps détruit tout (ce qui explique le dialogue sur le destin...). Pour finir, le couple Cassel/Bellucci fait encore des étincelles pour servir une fois de plus un film noir...d'un noir profond.
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Bon alors en gros, c'est un gars qui devient vampire et qui a des crises d'existentialisme. On aurait pu en faire quelque chose avec plus de rythme et d'audace (ça commence à être gonflant ces filles qui gardent leur soutif pour s'envoyer en l'air). L'actrice principale (Rachel Miles) est la seule très bonne surprise de ce film dont le final est ridicule
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Un film d’animation pour ados et adultes ! Adapté du livre éponyme de Deborah Ellis, Parvana est un conte merveilleux sur l’émancipation des femmes et l’imagination face à l’oppression. Un film très fort, intelligent, accessible à tout âge grâce aux différents niveaux de lecture qu’il permet. Produit par Tomm Moore (Le Chant de la mer) et porté par l’animation magnifique du studio Cartoon Saloon, le récit prend d’emblée un tour pédagogique, à la croisée du cours d’histoire et de la tradition afghane du conte. Plusieurs digressions racontent en images des histoires légendaires du passé, les enjeux géopolitiques contemporains du pays (coup d’état, invasion soviétique, guerre civile), ou l’épopée de grandes figures historiques telles Alexandre le Grand, apportant une dimension onirique qui apaise la dureté du sujet.
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a lire certaines critiques, je me demande si on a vu le même film! mais comment des personnes peuvent donner autant d'étoiles (...des membres de la famille du metteur en scène? du producteur?) à ce film très français, d'une forme classique totalmeent anachronique tant elle est poussiérieuse et pompeuse, désespérement plat, sans souffle, caricatural jusqu'à l'extrême avec nombre de ses personnages, au scénario indigent, et dont la mise en scène ampulée respire souvent l'autosuffisance et la prétention, avec parfois de grandes envolées de caméra dont on se demande ce qu'elles viennent apporter. Les seules choses à sauver sont la photo et les costumes. Filmer des pins, la lande, les dunes, les vagues, ca fait peut être très art et essai mais ca ne fait pas un film. Tout est prévisible, et la prise de conscience "sociale" de l'héritiere nous laisse de marbre. Il est vrai que le ton est donné dès la première scène du film (la céréméonie funèbre) qui est grotesque et totalement ratée. Encore, une fois, le copinage a du permettre de décrocher des budgets d'une région qui ferait mieux d'utiliser l'argent du contribuable à de vraies actions sociales plutôt que de financer ce type de films. La pauvre marie gilain essaye tant bien que mal de sauver ce qui peut l'être mais l'impossibilié pour le metteur en scène de la mettre en relief voue ses tentatives à l'échec. Un film sans aucun intérêt donc qui ne fera pas la richesse de ses producteurs, je suis prêt à le parier...
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Encore un film qui atteste du talent exceptionnel et varié de Dino Risi. L'ambiance, la photo, les comédiens, tout est magnifique. Quel joie de revoir Gassman dans ce rôle qui évoque docteur Jekill et Mister Hyde ! Deneuve est formidable aussi, totalement à contre emploi. On regrettera tout juste un scénario un peu trop prévisible. A noter que Dino Risi évite le piège des flash back dans lequel tombent de si nombreux réalisateurs. Tout est suggéré, le spectateur parvient à tout comprendre assez facilement sans lourdes explications, sans voix off. Chapeau l'artiste !
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Une belle et douloureuse histoire qui est avant tout celle d'une famille juive et de ses sauveurs et non pas essentiellement celle de Marga... Le film retrace leur vie dans une petite ville entre 43 et 45, caché par des fermiers amis de longues datent du père ; ce dernier étant le personnage le plus intéressant, malgré sa solitude qui n'est pas assez montré, on comprend qu'au final c'est lui qui a le plus ouffert notamment le fait de ne voir personne ou si peu. Le film se fait fort de montrer surtout la difficulté de vivre ensemble dans une communauté où les opinions et les dangers sont si présents dans les esprits et dans l'actualité (la radio). Une très belle histoire pour un film très juste. Il manque juste une mise en scène plus créative, la peur de faire trop mélo semble avoir figé la caméra. Une réalisation plus personelle et un père plus présent dans le scénario aurait donné un film d'une importance encore plus marquante. Mais ça reste un très très bon film avec une fin très émouvante.
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Wahou ! Quel remake ! Poséidon comporte au premier abord, un scénario plutôt simple pour notre époque mais si on regarde bien, avec tout le suspens qu'il y a, tout les rebondissements et toutes les émotions ressenties par le spectateur, le script est composé de moments assez forts ! Les effets visuels sont justes... je n'arrive pas à trouver de mots assez intenses mais ils sont extraordinaires ; la photographie et les décors, pareils ! Le casting est lui aussi remarquable : Josh Lucas, Kurt Russell, Jacinda Barrett, Richard Dreyfuss, Emmy Rossum, Mía Maestro, Mike Vogel, Kevin Dillon, Freddy Rodríguez, Jimmy Bennett, Andre Braugher et la célèbre chanteuse Stacy Ferguson alias Fergie. Certes, ils ne sont pas tous très connus, ils sont cependant tous crédibles ! Le rythme est quand à lui très dynamique, ça ne met pas 20 ans à se mettre en place ! J'ai été conquis par la bande originale qui s'avère être émouvante à certains moments (lors des décès) et explosive à d'autres (quand il y a beaucoup d'action par exemple). La seule chose qui m'a insatisfait, c'est le fait que les personnages de ce long-métrage soient beaucoup moins attachants que ceux de l'original (à par peut-être le père de Jennifer ainsi qu'Elena). Ce n'est pas Titanic, mais ça vaut quand même le coup d'être vu ! Un plaisir pour les yeux et les oreilles et un régal ceux qui aiment les sensations fortes (émotions, action ect...). Excellent film catastrophe !
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Un des grands classiques de Pagnol, avec un thème plus que jamais d’actualité, à savoir le pouvoir de l’argent. En ce sens, le film est véritablement visionnaire, rappelons quand même qu’il date des années 50 ! Le parcours de cet instituteur parangon de vertu qui se transforme progressivement en homme d’affaire véreux est tout simplement jouissif. Le découpage du film en deux parties (Topaze instituteur naïf puis Topaze homme d’affaires crapuleux) est parfaitement adapté, chacune ayant ses scènes et ses répliques impayables. Et puis, qui d’autre que Fernandel aurait pu interpréter ce rôle ? Parfait en honnête poire et monstrueux en cynique désabusé, il use de toutes les facettes de son immense talent d’acteur. Sa tirade finale à son ami Tamise (excellent Pierre Larquey) est tout simplement mémorable. « Le mépris des proverbes est le commencement de la fortune », la nouvelle maxime de Topaze, est au final tristement véridique. Alors certes, d’aucuns reprocheront une mise en scène de théâtre, et un scénario prévisible. Mais quand dans une comédie, on pleure de rire aussi souvent, quand le thème est aussi universel, c’est qu’incontestablement, le réalisateur a réussi son pari. Bref, un grand film, qui offre à Fernandel un de ses meilleurs rôles, ne le cantonnant pas seulement à son potentiel comique. A voir et revoir sans modération.
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Véritable chef d’oeuvre du film fantastique, Voyage au centre de la Terre (1960) garde admirablement bien toute sa magie d’antan. Adapté du roman éponyme de Jules Verne, cette version est quarante ans plus tard toujours aussi riche et émerveille encore. Véritable réussite technique et visuelle (les décors du centre de la Terre sont renversants !). A la fois drôles et prenants, les acteurs sont excellents et nous captivent aisément durant plus de deux heures. Même Gertrude (l’oie) apporte au film une agréable touche d’humour. Une œuvre toujours aussi palpitante qui (hélas) aura connu une réadaptation en 2008, signée Eric Brevig avec Brendan Fraser, le tout, en 3D relief (!), une adaptation familiale à la fois grotesque et décevante.
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"Les amoureux sont seuls au monde" (France, 1948) est le meilleur film d'Henri Decoin. Majoritairement filmé en studio ( ce qui donne parfois un côté étriqué aux décors ), le film débute par une mise en abyme intelligente où les personnages dévoilent le temps d'un instant leur statut d'acteur. Ensuite le film de Decoin conte l'histoire d'un homme et d'une femme, joué par l'atypique Louis Jouvet et Renée Devillers, qui s'aiment depuis fort longtemps. Un jour, Gérard Favier ( Louis Jouvet ) rencontre une jeune pianiste qui joue une de ses compositions, il va donc la prendre sous son aile et la rendre célèbre. Les journaux à scandale vont imaginer une idylle entre eux ce qui va déclencher les foudres de la convoitise et de la jalousie. Decoin réalise là un film émouvant porté par Jouvet mémorable. Le scénario de Henri Jeanson est parfaitement irréprochable et clairement conçu puisque clairement perçu. Le film se révèle finalement un drame, pessimiste et une critique parfaite des journaux à scandale. Certaines scènes, parfaitement romantique ( mais pas mielleuse ), sont tendre à point, notamment celle où Louis Jouvet joue pour la première fois la chanson "Les amoureux sont seuls au monde" qu'il a composé pour sa femme. En conclusion, "Les amoureux sont seuls au monde" (France, 1948) d'Henri Decoin est aussrément un film qui vous donnera la larme à l'oeil et chaud au coeur. Si pour le personnage de Jouvet, tout le monde est idiot, pour Henri Decoin tout le monde est cruel et c'est de cette cruauté latente que parle le film.
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Un peu larmoyant, une histoire très française, avec une belle morale dégoulinante... A montrer bien sûr à tous les enfants!! Merci les français ! encore une fois.... ¡ Animate ! 1re Année
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Un téléfilm qui rend hommage au "malgré-nous", Alsaciens et Mosellans, nés Allemands et pris dans l'Allemagne Nazie sans avoir oubliés leur attachement à la France et leur identité propre. Situation délicate pendant et après le conflit. Une belle histoire, avec quelques acteurs et actrices Alsaciennes (comme la belle Strasbourgeoise Laura Weissbecker) pour le symbole. Quelques poteaux edf modèle 11D 6 dans le décor et certains accessoires anachroniques, un langage parfois teinté d'expressions contemporaines, cela peut faire craindre à un petit téléfilm sans moyens au début, mais très vite nous sommes pris dans la grande histoire, à travers le parcours de ces deux jeunes filles mises au service de l'Allemagne, malgré-elles.
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On critique souvent (à juste titre d'ailleurs!) notre cher cinéma national, celui faisant preuve d'un manque flagrant d'originalité. Et pourtant, heureusement qu'il y a des cinéastes comme Claude Chabrol qui font exception à la règle en faisant un cinéma intelligent mais aussi divertissant. "Masques" fait partie de cela. Dans ce film, on sent que Chabrol a voulu se faire plaisir en lorgnant visiblement vers Hitchcock tout en critiquant cette bourgeoisie qu'il désaffectionne tant. Côté interprétation, les acteurs y ont aussi visiblement pris du plaisir, il y a pas de raison, en particulier Philippe Noiret très à l'aise dans la peau d'un animateur tout rutilant de gentillesse à l'extérieur mais qui est bien sûr une vieille crapule à l'intérieur. L'intrigue quand à elle contient son lot de rebondissements et de suspense. Et puisque tout le monde a pris plaisir à faire ce film, je vois pas pourquoi le spectateur n'en aurait pas à le regarder.
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Le principe est simple : Le réal tourne un film et filme ce tournage (il filme même le tournage du tournage). Avec cette idée géniale et très arty, William Greaves cherche probablement quelque chose qu'il réussira à trouver à en voir le film terminé. Lorsque le staff se demande si tourner une scène sans l'accord du réal fait partie de ses attentes et que cette scène se retrouve dans le montage final on se dit qu'il a réussit sont coup. En fait a tout filmer, tout le temps, ils allaient a coup sûr capter des moments très intéressants. D'ailleurs ces moments ne sont jamais provoqués, toujours dans la continuité et le film en possède pleins : Le hobo de central park bafouillant je ne sais quelle connerie, les acteurs faisant part de leurs préoccupations au réalisateur, le split screen avec une caméra qui s'arrête faute de pellicule, le staff en réflexion sur le pourquoi du film Je retiendrais surtout le blabla, symbio est un film qui parle beaucoup, et l'intelligent split screen qui propose de voir les scènes différemment selon l'angle de vue. Symbio est une réflexion pertinente sur le cinéma et le rôle du réalisateur, une vraie perle, merci criterion !
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Personnellement j'ai trouvé ce film magnifique... Il nous montre encore une fois la bêtise de l'homme... Je trouve que ce genre de film nous aide a réfléchir et à remettre en cause notre vision de la société moderne. Les acteurs jouent admirablement leur rôle et l'histoire est, je trouve, merveilleuse... Maintenant chacun est libre de penser ce qu'il veut sur le sujet. Je voudrais néanmoins conseiller ce film à toute les personnes amoureusent de la nature et des animaux. Je fais des études de psychologie et ce film est très bien réalisé sur ce point.
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Le sujet est d'une sensibilité rare (cacher à une personne qu'elle va mourir prochainement)….Le film l'est aussi, ...Le film a une grande qualité, c'est un mélange de pudeur constante (aucun personnage n'en fait trop) et d'humour au dixième degré (notamment sur les habitudes chinoises (les scènes du restaurant et du cimetières sont si équivoques, presque surréalistes), qu'on en sourit intérieurement…..Le film est d'une grande maitrise dans les dialogues d'un réalisme touchant...On note aussi le naturel des comédiens et leur sensibilité qui sonne très juste;....On est en immersion avec cette famille, dont certains membres, les plus jeunes viennent des USA et d'autre du Japon…..On est dans la modernité de la Chine, avec une vie sociale entre enthousiasme et résignation...Chaque personnage montre son caractère (j'ai adoré celui de la petite New Yorkaise qui veut mettre les pieds dans le plat, pleine de jeunesse, celui du fils travaillant au Japon, très digne)...Le film parle d'amour et de dignité, il le fait comme une comédie dramatique avec beaucoup de sincérité et de retenue...Dépaysement garanti ….C'est tout cela que j'ai gouté et apprécié...Je conseille…..
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Un film assez ancien et ayant passé plutôt inaperçu en France... Je suis pourtant assez surpris, l'intrigue reprends vraiment celle des Destinations Finales, on est donc amené à penser que le réalisateur n'avais que peu d'imagination. Mais malgré tout, le film est assez bien fait, les acteurs sont particulièrement doués. On peut trouver quelques défauts à ce film, mais pour ma part j'ai vraiment bien aimé et je trouve dommage que 999-9999 n'ai pas pu être connu du grand public. Bref, un bon film que je conseille !
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Un film desespèrè et crèpusculaire! Louis Jouvet retrouve ici Julien Duvivier, qui l'avait dirigè en 1937 dans le très beau film "Un carnet de bal". Dès cette èpoque, le cinèaste avait envie de faire avec Jouvet un film sur les vieux comèdiens qu'il aurait appelè Pont-aux-souvenirs,par allusion à Pont-aux-Dames, la maison de retraite pour acteurs ruinès! Le projet voit le jour deux ans plus tard! Ce huis-clos, qui convient parfaitement à Duvivier, ou le rèalisateur laisse libre cours à son pessimisme sur la nature humaine, prèsente une galerie humaine saisissante de ratès! Des numèros d'acteurs cocasses et èmouvants: Michel Simon, èternelle doublure d'un acteur jamais malade! Victor Francen, au talent toujours ignorè du public, Gabrielle Dorziat qui joue en demi-teinte, Madeleine Ozeray qui incarne la fraicheur, blessèe à tout jamais et Louis Jouvet,en sèducteur cabotin, paraphrasant ses rôles pour mieux abuser ses conquêtes! Un film magnifique et une belle reflexion sur la vieillesse à l'atmosphère dense et sombre...
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Le mépris est magnifique. La scène de l'appartement,sublime, avec une très belle mise en scène, une très belle musique et une très belle photographie.
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The descent : voilà un bon film de flippe, un film qui vous prend aux tripes, qui fonctionne sur nos peurs ancestrales (la peur du noir, du vide, de l'inconnu, et celle de se faire dévorer), qui impressionne jusqu'à son magnifique plan final, laissant le spectateur hors d'haleine et traumatisé. J'ai commis l'erreur de regarder sa suite, the descent 2. Ah ça oui, pour une erreur, c'était une erreur... Des effets gore grands guignol, des tentatives d'effrayer le spectateur qui tombent à plat (oh, tiens, le monstre qui jaillit du coin noir de l'écran alors que tout est calme depuis dix minutes, l'avais pas vu venir). Mais le pire c'est la trahison, l'injure faite au premier opus. Un scénario inepte, qui contredit directement la fin du premier film, des "résurrections" aberrantes(June se porte bien, malgré qu'on lui ai planté un piolet dans la jambe, elle bashe du monstre sans trop chercher la sortie...), de l'humour inutile(LOL la créature qui vient faire caca au-dessus des filles)et une fin non seulement débile mais totalement incohérente ET invraisemblable(Faudra qu'on m'explique ce que le gars foutait là avec sa pelle, et surtout comment la fille ne l'a pas vu ni entendu venir alors qu'elle vient de faire un 360 pour ne voir que des arbres clairsemés). Si un jour vous regardez ce monument de la trouille qu'est "The Descent", restez-en là. La suite est descendue bien bas, jonchée d'invraisemblance et de personnages bipolaires qui oublient régulièrement ce qu'ils ont fait ou subis 2 minutes plus tôt.
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En découvrant cette... euh, "chose" en forme de film, je me suis fait la réflexion que les scénaristes auraient pu aller bien plus loin dans leur euh... "idée" : moi j'aurais fait se multiplier à l'infini ces créatures mangeuses de pétrole et les aurait envoyées partout dans le monde afin d'avaler définitivement (et goulûment, miaaam !) toutes nos réserves d'or noir sous toutes ses formes afin de mettre un terme définitif à la pollution de l'air, aux micro-particules toxiques qui empoisonnent nos enfants, à l'acidification meurtrière des mers et des océans, et à l'accélération folle des changements climatiques qui perturbent nos écosystèmes.......... Mais voilà, on est à Hollywood, chez Walt Disney (ou équivalent), tout est bien marketisé, balisé, "puérilisé", américanisé et emballé, aucune surprise, idée nouvelle ou dissidence à attendre. Les compagnies pétrolières (qui ont certainement participé, directement ou pas, au financement de ce... "truc") ont sûrement du approuver ce message "subliminal" (lourdement appuyé) en direction des ados. Pas moi.
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Une très jolie surprise pour un premier film attachant et intimiste, portrait réussi de deux adolescents confrontés à une première grossesse. Finement écrit, Keeper m'a fait passer par toutes les émotions : tendresse, énervement, frustration, empathie et tristesse...au regard du comportement et des choix de ces gamins "attachiants" qui oscillent entre rêves et réalité, entre espoir et peur. Le choix des acteurs est pour beaucoup dans la qualité et la justesse du film, Kacey Mottet Klein et Galatéa Bellugi incarnant à merveille ce couple d'adolescents à la fois immatures et sensibles.
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Film original qui inspirera quarante ans plus tard son remake Ocean's Eleven (qui renouvèlera par ailleurs le film de casse avec brio), L'inconnu de Las Vegas nous renvoie aux débuts des années 60 à l'époque des tripots, des gangsters sophistiqués et des systèmes de sécurité faillibles. Inventif, le film l'est quelque peu ; laborieux, il l'est certainement. En effet, outre son casting alors prestigieux (l'ensemble du fameux Rat Pack sur grand écran), le long-métrage peine à rester captivant. Dès le début, la présentation des différents personnages principaux s'avère ennuyeuse et poussive, nos héros n'étant au final que de vulgaires bonshommes misogynes (Franck Sinatra, égal à lui-même) et racoleurs, amateurs de whisky et de cigarettes, blablatant sans cesse des vannes et se remémorant leur glorieux passé de soldat... durant une heure ! Cinquante minutes d'humour passable et de situations longuettes et nous rentrons (enfin) dans le vif du sujet, soit le braquage de cinq casinos pour s'en mettre plein les poches, tout simplement. Beaucoup de personnages éclipsés par le Rat Pack nous empêchent de clairement apprécier les "Onze d'Ocean" à leur juste valeur, certains ayant un rôle prépondérant à l'histoire (Richard Conte l'électricien, Peter Rheimer et Sammy Davis Jr. les experts en explosif...), d'autres n'étant uniquement que de la main d'œuvre supplémentaire (l'ancien pilote automobile Curly Steffans, le cowboy Louis Jackson ou encore l'ex-joueur de baseball Josh Howard). La préparation du casse et le vol lui-même sont donc vite expédiés et peu impressionnants, la fin du film revenant hélas quant à elle aux longueurs du début. Ainsi, phagocyté par la présence du Rat Pack composé de Frank Sinatra, Dean Martin, Sammy Davis, Jr., Peter Lawford et Joey Bishop, L'inconnu de Las Vegas ne brille de son statut culte que pour son casting et son idée de casse osé mais sûrement pas par sa réalisation mollassonne ce qui en fait une œuvre injustement acclamée.
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On m'en avait dit tellement de bien... J'étais si impatient à l'idée de le découvrir (avec "Ultravixens" en attente)... Forcément, la déception est à la hauteur de mes attentes ! Russ Meyer, gros coquin amateur de poitrines aux dimensions incroyables avait au cours des années 70 retrouvé la santé en exploitant le filon des "Vixens", série cinématographique à l'image de son oeuvre : kitschissime et anti-érotique au possible bien qu'évidemment remplie de scènes de sexe plus ou moins explicites. Ayant toujours refusé de se lancer dans le X, le réalisateur a toutefois réussi à imposer sa marque dans le cinéma parodique et anti-conventionnel qui connut un essor considérable à travers les célèbres "Midnight Movies". "Megavixens" (j'y viens, pardonnez ces vaines élucubrations !) est donc un porno soft (volontairement) comique bénéficiant d'un scénario il faut bien le dire hors du commun (le dénouement avec la fille cachée d'Hitler est prodigieux !). Mais au-delà de cette histoire de cinglés évidemment improbable (quoique...), c'est à une hallucinante déferlante de seins énormes à laquelle nous avons droit, la chose étant il faut bien le dire joliment mise en avant par le talent de cadreur de Meyer, sachant alterner avec maestria les angles les plus fous pour laisser transparaître des mensurations hors-norme de la façon la plus inventive possible. Rempli de détails cochons ma foi imaginatifs et fort amusants, son film respire une joyeuse misogynie à laquelle il est franchement difficile de ne pas adhérer, quelles que soient vos convictions à ce niveau. Pourtant, malgré tous ces éléments, "Megavixens" laisse un sentiment d'inaccompli, jusqu'à provoquer un ennui certain passé la moitié (si l'on excepte la conclusion) ; la laideur de l'image, son côté répugnant ainsi que ses innombrables répétitions finissent par peser dans la balance. Si l'on passe somme toute un agréable moment (à condition de le voir à plusieurs !), le résultat n'est hélas globalement pas à la hauteur.
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Très bon film . Il est vrai que le scénario , montages ne sont pas au point , mais comme dit la critique précédente les acteurs ne jouaient pas la peur il la ressentait vraiment et sa se remarque , ils arrivent a nous captivé et nous mettent dans une ambiance des plus angoissantes . Moi je conseil ce film a quiconque voudrait passer un bon moment . Death Tunnel est loin d'être une déçeption est encore moins un navet !
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L'affiche laissait présager une sombre bouse pseudo-comique comme c'est souvent le cas dans le cinéma français ces dernières années. Voir ces trois glands s'enlasser avec un sourire niais, ce n'est pas bien crédible. Eh bien finalement, c'est une bonne surprise. L'humour est léger, agréable, bien distillé, même si quelque peu prévisible. L'intrigue n'a rien d'exceptionnel, mais c'est très agréable à suivre, le fil rouge de la filiation assure la cohérence de l'ensemble. Les trois personnages ont chacun une vraie personnalité et se complètent à merveille. Un bon divertissement en somme bien que ce ne soit pas la comédie de l'année.
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La Belle et la Bête", version "réelle" (enfin, si on ose dire...) de 2017, c'est pas beau et c'est très bête. Moi qui n'apprécie déjà pas beaucoup le dessin animé "original", je n'ai vu ici qu'une copie sans âme, sans imagination et sans talent. Emma Watson, dans un contre-emploi total, a autant de charisme qu'une moule. La Bête en version digitale enchaîne les mouvements disgracieux et ridicules, rendant l'affrontement final grotesque. L'accumulation de mauvais goût dans les décors, les meubles, etc. qui passait à la rigueur en dessin animé, devient un triomphe absolu de la laideur. Les ajouts scénaristiques, dont certains visent à corriger certains "trous" dans le récit initial, s'avèrent ineptes, inutiles et donc profondément ennuyeux. Les nouvelles chansons sont insignifiantes, et incitent donc à piquer un petit somme au milieu du film. Quant à l'enchaînement d'incohérences topographiques et temporelles dans les allers-et-retour entre château et village, il finit par avoir raison de notre bonne volonté. Au final, j'ai été content de voir apparaître pendant cinq minutes ces excellents acteurs que sont McGregor, McKellen, Thompson et Tucci, qui devaient quand même se demander ce qu'ils faisaient là. Mais j'ai quand même ragé devant ce ridicule "moment gay" dont on a tellement parlé, et qui s'apparente plus aux grossièretés caricaturales de la "Cage aux Folles" qu'à autre chose. Ce film est une aberration, et qu'il engrange ainsi les dollars parce que tout le monde s'est précipité pour le voir donne une image vraiment peu rassurante de l'état intellectuel de la planète.
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Un excellent film plein de charme, d’originalité, de sensualité, un très bel hommage au tango – et peut-être à Luciana Pedraza qui est devenue la femme de Duvall. Un film de mort, tourné avec légèreté et élégance… comme peut l’être le tango ! Sur un rythme faussement nonchalant, l’auteur se dirige lui-même avec brio et parsème son histoire – banale en elle-même mais là n’est pas l’intérêt – de merveilleux intermèdes de tango. Luciana Pedraza est éblouissante et les autres danseurs époustouflants. Un extraordinaire divertissement sombre.
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Un film magnifique que ce « Sylvia », de Christine Jeffs, avec Gwyneth Paltrow dans le rôle de la poétesse Sylvia Plath. On suit son parcours, depuis sa rencontre avec Ted Hughes jusqu’à sa mort en 1963, à 31 ans. Le film est inspiré des « Birthdays letters » de Ted Hughes. Gwyneth Paltrow est transcendé par son personnage. Vraiment un joli moment de cinéma, qui n’essaye ni de condamner Hughes ni de faire de Plath une héroïne brisée. Non, tout se fait par touche, on assiste à la vie de Sylvia, flirtant toujours avec la folie, et vivant dans l’ombre de Hughes, poète connu et reconnu. Quel dommage que ce film n’ait pas trouvé de distributeur en France lors de sa sortie ! On peut néanmoins le voir sur une célèbre chaîne cryptée ces temps-ci. Si vous en avez l’occasion, n’hésitez pas !
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-Countdown est un film d'horreur réalisé par Justin Dec sortie le 13 novembre 2019. Les acteurs principaux sont Elisabeth Lail (Quinn Harris) et de Jordan Calloway (Matt Monroe) ainsi que de Thalitha Bateman (Jordan Harris). -Voulez-vous savoir combien de temps il vous reste à vivre ? Téléchargez l'appli countdown! Lorsque Quinn, une jeune infirmière, télécharge cette application à la mode, elle découvre qu'il lui reste plus que trois jours à vivre. Elle doit trouver un moyen d'échapper à son sinistre destin avant la fin du compte à rebours... -Ce que j'ai le plus aimé dans ce film c'est le scénario, l'idée est assez stressante et angoissante. Certaines scènes sont très surpreantes et effrayantes ainsi que les démons qui sont très bien fait. Le casting est très bon, d'ailleurs ça a été un grand plaisir de retrouver Thalitha bateman (vu dans Annabelle 2) dans ce nouveau film d'horreur. Nous retrouvons cette avec histoire qui se base sur une personne qui essaye d'échapper à la mort, comme dans destination finale. Hâte de voir à quoi va ressembler "Countdown 2.0". En tout cas c'est un très bon film qui plaira à certains, et d'autres qui trouverons le film nul
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En voyant l'affiche, et même la bande-annonce, je m'attendais à un film épique se déroulant dans le passé et qui mélange de nombreux registres seulement, on en est assez loin et comme souvent les "meilleurs" moments sont dans cette dernière. Déjà avant d'arriver à rencontrer Rajnayak, le personnage de l'affiche, il faut attendre jusqu'à l'intermission soit la moitié du film. Avant cela, on suit les différentes arnaques de Kaashmora et de sa famille qui trompent les gens en leur faisant croire qu'ils peuvent communiquer avec les fantômes et par conséquent les chasser. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils se retrouvent mêlés à cette ancienne histoire et cette malédiction. La première partie bien que ça soit celle qui m'intéressait le moins n'est pas si mal par contre la seconde est terriblement décevante. Les quelques scènes de combats sont mauvaises tout comme les effets spéciaux puis surtout l'histoire n'est pas intéressante. On est loin de l'épopée fantastique que l'on nous vend déjà parce que tout se passe au même endroit et on est loin du grand film d'action ou d'une bonne comédie... C'est vrai que j'espérais autre chose à la base, mais le film est quand même très décevant pour ne pas dire mauvais.
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Et nous revoici avec une banale vendetta avec Stallone comme tête d'affiche. Et c'est bien LE dernier film que je vois avec Sly. Il joue si mal que ça en devient rapidement saoulant. On en croit pas à un seul instant à cette histoire du gars qui va se racheter une conduite en découvrant qui a tué son frère et faisant justice lui-même alors qu'il n'en avait cure auparavant. D'autant que le long-métrage est irrémédiablement raté : entre d'un côté une musique désagréable à écouter; des effets de caméra et notamment une overdose de split-screen, utilisés jusqu'à la nausée; une esthétique grise et terne, voire glaciale à l'image de la narration. Tous les acteurs jouent mal, là encore, le réal' n'a pas inventé l'eau tiède... Ces histoires de macs, de petites frappes et de règlements de compte à deux balles, étant tout sauf crédibles. Il va jusqu'à oser rajouter une couche de morale absurde au vu du sujet du film, et prône la vengeance car comme le dit un des personnages : "la vengeance ne mène à rien" et Sly lui répond "ça soulage!" et puis il le bute. Vous aurez compris aisément qu'il est vain de consacrer du temps à cette nullité.
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Les Veuves est moins un film d'action (ce à quoi je m'attendais au départ) qu'un drame, qu'une étude sociologique d'une ville minée par le racisme, le mensonge et les petites ou grosses combines. Attention, les braquages sont filmés de main de maître. Mais l'intérêt est ailleurs. Dans le portrait de ces femmes délaissées (bon certaines l'étaient déjà avant) qui vont devoir prendre les choses en main pour régler l'ardoise laissée par leurs maris. Elles vont devoir composer avec un entourage familial souvent compliqué, la pègre locale et notamment un psychopathe qui m'a vraiment glacé le sang par son absence totale d'humanité et un politicien ambitieux dont la volonté est de se démarquer le plus possible de son vieux père. Chacun se cherchant des rognes, s'intimidant ou, au contraire, à gagner la confiance de l'autre. Contre un service. Le casse, le règlement de compte final et le dénouement valent l'attente parfois un peu laborieuse due au recrutement et à la préparation du plan. Ce qui s'explique aisément par l'inexpérience de ces anti-héroïnes ordinaires. Et pourtant. Je me suis surpris à leur souhaiter une autre vie meilleure que celle-ci.
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Un film indigne de Hithcock. Le maitre nous avait habitué à beaucoup mieux que ce petit film noir, efficace et malin, mais incomparablement inférieur à sueurs froides ou encore Psychose. Seules quelques scènes sont très réussies. De plus, Marlene Dietrich semble éteinte. Déception.
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Mais quel désastre ! Moi qui me faisais une joie de voir ce film ... Une cinquantenaire écartelée entre l'envie de rencontrer quelqu'un de valable et l'envie de ne pas faire de concessions plus que de raison. C'est-à-dire pas à n'importe quel prix. Notamment pas avec un mec sordidement emprisonné dans sa loyauté envers son ex-femme (via ses filles) . C'est long et long et aussi un peu long. Les personnages sont pénibles, on a envie de les secouer pour ne pas nous-même déprimer pendant la séance ! Une petite dose de peps grâce à la musique, et un moment jouissif, je n'y croyais plus, quand Gloria se défoule au paint-ball sur Arnold et sa baraque ! À aller voir uniquement si vous êtes adepte du "Il faut le voir pour le croire"
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A ce qui parait le livre est éxellent, je n'en doute pas mais le film horriblement ennuyeux. Seul la réalisation est très bien. On ne fait q'attendre la fin(si on tient le coup) dès le début. BRef bien réalisé mais ennuyeux.
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Un film complètement fou, insensé, destructeur, virtuose parfois, irresponsable, ultra-violent, fun et décomplexé, bref, ce n'est pas du film "Deadpool" dont nous parlons mais de son rejeton illégitime. Car oui, "Hardcore Henry" est pour moi une adaptation détournée du célèbre héros Marvel avec son joyeusement foutraque, son esprit de destruction massive et sa capacité à détourner les codes du cinéma d'action. Si voir un jeu vidéo live au cinéma peut dérouter, on se rend bien compte que le cinéastes et son incroyable équipe de cascadeurs rejouent de nombreux morceaux de bravoure déjà vu ailleurs mais en se conformant à les filmer différemment, on obtient quelque chose de nouveau et de presque inédit. En celà, le film est un pur bijou du genre, pas révolutionnaire mais juste jouissif. S. Copley s'en donne à coeur joie au milieu d'un mix d'influences toujours bien maîtrisés, qui donne pas mal de sueurs froides, de hauts le coeur et de sentiments grisants, alignant scènes incongrues, éléments de SF, morceaux de bravoure dantesques évoquant les jeux vidéos et même du cinéma avec quelques idées jouissives. C'est un peu épuisant, parfois too much mais quel plaisir on prend à le visionner. Une expérience unique, racontée à un rythme dingue et nanti de quelques punchlines efficaces. D'autres critiques sur
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Vivement la vieillesse pour vivre de belles histoires d'amour affranchies de ts les préjugés ! PLus de temps perdu à se poser des questions, la vie s'impose comme une évidence, et le bonheur aussi ! Voilà ce que nous enseigne ce film ! Des acteurs époustoufflants, un accent argentin irrésistible...le film est à voir en VO pour les amoureux de Cervantes ! Elsa y Fred propose une réfléxion sur la vieillesse, sur la folie, la maladie, et notre tendance à la sagesse, au conformisme... ON sort de là transformés, la larme à l'oeil et avec une immense envie de vivre ses rêves !
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D'abord, pour dissiper les malentendus, il y a deux versions de ce film. Une version de 3h, celle sortie en salle, que la Fnac avait éditée en VHS et que l'on peut trouver en DVD import US, et une autre, de 4h40 "director's cut", éditée sous forme d'un coffret DVD en VO avec sous-titres allemands. On peut heureusement trouver des sous-titres français sur la toile. A sa sortie, la version courte m'avait ébloui. Je viens de voir la version longue: c'est également un beau film, mais avec des longueurs. Supportables quand on sait on l'on va, mais je ne conseillerais pas forcément de regarder d'abord la version longue. On a en fait trois films en un (qui coïncident à peu près aux trois parties de la version longue): une intrigue policière, un road-movie, puis un film de science-fiction. L'intrigue policière est assez sympa, avec des personnages secondaires (le détective privé, les deux bandits attachants). Le road-movie nous abreuve de belles images mais est au final un peu long. La dernière heure du film est la plus réussie, onirique, à la fois envoûtante et dérangeante. Un film à voir.
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Excellent film d'horreur, c'est gore, jubilatoire et violent. Une jeune femme va tout faire pour obtenir l'appartement de ses rêves. L'actrice principale est très crédible et les effets spéciaux sont très réussis. Si vous voulez voir du sang et de la violence vous ne serez pas déçu avec Dream Home.
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Le film pour fille par excellence!!A l'eau de rose maximum.le scenario est banale et logique,pas de surprise mais parfois c'est drole et on se surprend a rire d'ou le 1 etoile .
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Une ambiance lourde et orientale du Liban tiraillé par des factions ennemies, un facilitateur d'affaire coincé entre des relations compromettantes et une affaire sentimentale et une Darine Hamzé fascinante par sa beauté et qui donne au film tout son charme. Une intrigue plutôt simple mais qui ne sert que de toile de fond à la relation forte entre Zoha et Mathieu. Magnifique.
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Structure narrative classique (une épanadiplose qu'on appelle ça les enfants... non ce n'est pas une maladie !), épanadiplose classique, un peu état des lieux, De Bon Matin est un film éminemment politique et je le traiterais comme tel. Englué dans un fait divers, il se réduit à l'observation comptable et exhaustive des impacts sociaux du stress professionnel et de la division orchestrée des travailleurs, sans hélas toucher, ni même effleurer cette dernière. Condamnant l'individu à un acte sporadique et tragique, l'auteur de "Violences des échanges en milieu tempéré", dans son cloisonnement, laisserait pratiquement entendre qu'il n'y a d'autres armes que d'être un prédateur isolé, la résignation et la soumission aux prérogatives pour les travailleurs. Alors qu'il y a tout lieu de s'interroger, au-delà de cette préparation minutieuse et réfléchie, sur ce qui provoque cette indifférence froide, sur ce qui asphyxie l'empathie, en tous cas la perte de faculté de liens sociaux. Le film pourtant bien maîtrisé ne prend aucun parti que celle de la compréhension toute iréniste de son protagoniste principal et du contexte dans lequel il évolue : j'en pense que, pour commencer à comprendre, il faut s'aventurer à faire des liens, même fallacieux, au lieu de conclure sottement à l'impuissance, notamment de la médecine du travail ; au lieu d'opérer un flou artistique sur les notions de durabilité, de confiance des échanges sans pointer la précarité. Il m'est avis que si ce fait divers est plus qu'un fait divers - puisque c'est un film, je veux dire, un art de masse ayant la volonté d'être vu et compris de tous - pourquoi donc faire diversion avec cet humanisme non militant ? Cet humanisme me rappelle l'autrement meilleur "La Question Humaine". Personnellement, je me sens trahi quand je vois ce type de pruderie oecuménique. Après quoi, une seule question me tarode : pourquoi n'a-t-on pas fait appel à Christophe Hondelatte pour soigner la B.O. ?
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pourquoi pas voir ce film si vous ne voulez pas vous prendre la tête...Je dois avouer qu'on ne rit pas vraiment mais qu'on peut sourire pendant une bonne heure...C'est déja pas si mal...Si vous allez voir ce film SVP pas d'analyse intellectuelle, captez plutot les réparties et alors pourquoi pas, peut être sourirez vous car c'est avant tout une comédie et l'on ne s'y ennuie pas...PS : la vietnamienne est extra....L'histoire sans importance
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Delphine occupe l'espace d'un scénario indigent et sans surprise ni finesse .
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Et bien ce long métrage est pas des plus roses, presque deux heures de platitude, peut déterminante ni dans la carrière de Clint ni pour le genre du road movie. Vous pourrez vous mettre sous la dent une petite apparition de Jim Carrey en pleine représentation à Las Vegas qui parodie Elvis Presley, puis quelques prestation qui peut nous tirer un sourire de Clint bien qu'à la longue c'est peut efficace.
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Un des slayers les plus pourri que j'ai vu. Honnêtement on ce fait hier pendant tout le film, les acteurs sont minables, la mise en scène est inexistante et surtout il n'y a aucun scénario. Le seul truc pas mal en fait c'est l'affiche. Un film affligeant qui fait plus rire que peur d'ailleurs c'est peut être son seul point fort c'est d'être une excellente comédie tellement l'ensemble ne ressemble à rien. Je me demande comment on peut donner un budget à un truc aussi merdique.
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Ce film n'est pas un biopic sur Hopper, ni même un documentaire sur son oeuvre mais bel et bien une fiction autour de ses toiles. L'exercice, ambitieux, est néanmoins très réussi, parfois spectaculaire tant le travail effectué dans la reconstruction des peintures à grande échelle (les lumières notamment) est titanesque. Une belle surprise en somme, doublée d'une autre : celle d'entendre Fréhel ou Cora Vaucaire dans la BO de ce film autrichien sur un peintre américain...
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Capter l'insondable, filmer l'impossible.... Michael Powell crée le papa du slasher, du film de serial killer mais pas seulement... Il est aussi avant l'heure l'ancêtre du Snuff, du Found Footage que sanctifiera Cannibal Holocaust puis tant d'autres... Car toutes ces bobines retrouvées après la mort du personnage principal constitueront la matière première et le plus beau prétexte à du Found Footage dans sa plus pure tradition. En cela,Le Voyeur est tout à la fois génial et précurseur. Michael Powell nous dit aussi qu'en tout voyeur sommeille un meurtrier en puissance et que pour devenir réalisateur il faut être ce meurtrier en puissance, ce tyran, ce voleur ou plus exactement ce violeur d'âmes... Le fait que les victimes ici soient des femmes et que l'arme du crime soit une caméra dans les mains d'un homme résume parfaitement cette dialectique (éminemment sexuelle). Il a souvent été constaté au contact des civilisations autochtones d'Amazonie ou des confins de l'Afrique (les Pygmées d'Afrique Centrale) un réflexe de peur et de repli à l'idée d'être pris en photo. En y mettant des mots, il y avait l'angoisse que l'appareil ne vole, ne suce les âmes (la photo comme sa propre image hors de soi, dépossédée), ... La vérité se niche souvent dans ces intuitions premières. Ces hommes avaient tout compris à cette étrange intrusion qui peut s'avérer terriblement mortifère... Le Voyeur est donc un monument du 7ème art, la pierre angulaire d'un genre (le film d'horreur) et surtout une des plus grandes réflexions qui soient sur la création d'images d'éternité et le chemin forcément douloureux, chaotique, parfois meurtrier que cet accouchement impliique...
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"L'homme tranquille" (1952), qui ressort à la Filmothèque, se présente comme un chef d'œuvre méconnu de John Ford. Délaissant les grandes plaines de l'Ouest, le réalisateur d'origine irlandaise a entraîné John Wayne dans un retour aux sources. Les riantes collines gaéliques servent en effet de décor à cette comédie désuète. Fortune faite aux Etats-Unis, son héros a décidé de revenir dans son village natal. Il y rachète la propriété où il grandit jadis, au grand dam de son voisin. Et il tombe amoureux de la jolie fille du village qui - ô coïncidence - se trouve être la sœur dudit voisin. Naît ainsi une animosité qui constitue le fil rouge de ce film gentillet. Car rien n'est jamais grave dans cette comédie noyée de bons sentiments et aux relents vaguement machistes. Voir John Wayne sans colt ni cheval est assez dépaysant. Cela ne suffit pas à lui seul à justifier l'intérêt porté à ce film qui résonnera peut-être au cœur des Américains d'origine irlandaise, nostalgique du vert paradis de leurs amours enfantines, mais qui n'éveillera guère d'écho chez les autres.
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Absolument d'accord avec jojopov. Heavy est un bijou tant par son scénar que par ses comédiens. Un film vrai qui ne tombe ni dans le cliché, ni dans la facilité, ni dans le convenu. Une très belle histoire qui sait surprendre autant par ce qui s'y passe que par ce qui ne s'y passe pas. Tu m'étonnes que ça n'est jamais diffusé à la télé. Vin Diesel fait une bien meilleure audience.
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Une tres bonne surprise qui m'as vraiment épaté.A voir meme si j'ai pas tout compris à la fin.
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J'ai regardé à la base car Jackie Chan jouai dans le film, mais en final on le vois très peux et est vraiment un perso très secondaire ! Malgré ça ce film est juste magnifique, entre les différentes émotions, tristesse, vengeance, désespoir, espoir, rage et amour ont passe vraiment par tous ces état d’esprit avec l'excellent Andy Lau qu'ont prends plaisir à suivre tout aux longs de ce film. Sans compter bien entendu les combat, certain épique vraiment c'est du grand art, je recommande à tous les fans de ce genre de film : Regardez vous ne serrez pas déçu !
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Encore une comédie romantique made in France plate et conventionnelle.Un couple mixte(une Française et un Arabe),qui a peur que leurs parents n'acceptent pas leur relation.Oui,oui,c'était bien le pitch du "Mauvaise Foi"de Roschdy Zem,autrement plus réussi.Anne Dépétrini réalise ici pour la première fois,et s'empare d'un sujet autobiographique,en engageant en plus son mari Ramzy Bedia dans le rôle du médecin urgentiste d'origine algérienne.Un Ramzy qui n'est pas crédible une seconde,loin de son compère Eric,et sans ses vannes habituelle.Dans le rôle de sa moitié,Anne Marivin expose son joli minois et sa sympathie débordante,mais elle reste une médiocre actrice."Il reste du jambon?" déroule tout son cortège de situations convenues,à la fois dans la dénonciation de l'intolérance,et dans l'évolution de l'histoire d'amour.Les clichés s'empilent,alors que l'idée de départ était de les dénonçer.La musique urbaine de quelques groupes de rap ou hip-hop locaux,horripile vite,tant elle est omniprésente.Notons la joie de revoir Leila Bekhti et Géraldine Nakache,les héroïnes de "Tout ce qui brille",et passons fissa à autre chose de plus consistant.
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