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Texte
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iIl a tenu des propos diffamatoires
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Il a dit à tout le monde que j'etais une prostituée
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28 ans et 2 enfants, je me suis faite traiter de tous les noms et bousculée devant mes enfants par 3 “individus” parce que je ne n’avais pas répondu à leur : “ça va?”, “t’es bonne”, “j’ai des capottes tu sais ?”. Les gens autour qui étaient nombreux ont baissé la tête et fait semblant de rien. Je ne me suis pas laissée faire et j’ai répliqué verbalement. Quelques secondes après un homme qui a vu la scène et qui n’a pas bougé le petit doigt m’a dit : “vous avez bien fait de ne pas vous laisser faire, on n’est pas tous comme ça vous savez”. A aucun moment il lui est venu à l’esprit de faire quelque chose. Quand j’y repense je me dis que si je m’étais faite violer, je ne sais même pas si les gens auraient réagi.
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Je me suis faite traitée de pute et de salope.
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4 jeunes cons ont pris leur pied un m’insulter de salope, de pute
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Il me regarde et m'a dit : t'es une vraie de poubelle à sperme
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un homme me hurle dessus ‘SALOPE! SALOPE! JE VAIS TE NIQUER! GROSSE PUTE!’.
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Il m'a envoté un message disant que “les femmes toutes des salopes”, “elles veulent que la thune..”
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L'injure envers une personne, lorsqu'elle n'a pas été précédée de provocation
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Il m'insulte et me maltraite juste par le fait que je sois une femme, j'ai rien fait pour le meriter
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On m'a dit des parole offensante et violente
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L'affront, coup bas, ignominie, offense, outrage que j'ai subit sont douloureux
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Il me traite de Chienne et de pute
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Il m'a insulté parceque je ne voulais pas coucher avec lui.
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J’ai subi une agression verbale une fois dans une rue dans le centre ville.
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A chaque fois que je passe, une bande de 3 mecs me siffle “Hey regardez comment elle est bonne”. J’avance, je ne réagis pas. Il cris “Hey Mademoiselle ça va?”.
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J’ai subi une agression verbale une fois dans une rue dans le centre ville. Nous étions deux amies, on se promenait dans la rue et un mec nous siffle ( je précise qu’on était en jean baskets ). Nous n’avons pas répondu et il commence à crier ” SALOPE” car on l’ignorait. Je me suis donc retournée et la colère et montait en moi et je lui ai dis ” tu me traites de salope car je ne réponds pas à tes sifflements ? Pauvre taré !” On avait 20 ans il devait en avoir 40. Il faut que tout cela cesse. Nous nous battons pour nos droits mais les mentalités régressent de plus en plus. Depuis, je n’ose plus aller en ville seule, j’y vais avec mon conjoint pour être tranquille. C’est vraiment déconcertant.
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Il y a quelque jour je rencontre un marchand qui propose de m’offrir un café, car il m’a souvent vu et il me trouve sympa. J’ai pensé a un plan drague et refuse poliement son invitation; lui précisant que j’avais un petite ami. Il me répond, pas de problème, c’est juste a titre amical, aucune mauvaise pensée de ma part… Bon, j’étais étonnée mais lui donne sa chance après tout un ami homme pourquoi pas, tout les hommes ne sont pas des obsédés. Je lui répond donc OK mais une autre fois. Je revois ce marchand ce matin au marché, je le salue et vais voir ces robes. Il s’approche de moi très près et me dit jolie robe pour une jolie femme. Son attitude me gène, puis les compliments gratuit je n’y crois pas trop. Ses robes sont jolies mais un peu chère je le lui dit. Et là devant tout le monde a voix haute il dit me dis en me rutoyant t’inquiète pas ma jolie, tu es une belle femme pour le prix on peux s’arranger, viens avec moi au restaurant ce soir…. J’étais super gênée, je n’ai pu répondre que non ça ira au revoir. Mais intérieurement j’étais en rage. Qu’a-t-il cru que j’allais coucher avec lui pour une robe et de quel droit et pourquoi personne ne réagit
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Il était environ 14h15 ce vendredi après-midi. Je rentrais chez moi après le travail avec des colis de vente en ligne dans les mains. Plusieurs hommes et femmes sortent d’un bar et l’un d’eux m’invective en souriant et en parlant assez fort: “C’est bien une femme ça, avec des colis…!” Je lui ai répondu que l’on ne se connaissait pas, qu’il n’avait pas à me juger et qu’il ferait mieux de se regarder lui-même (Il était visiblement assez ivre). Il a semblé très vexé que je me défende ainsi mais je suis fière de moi et de la femme que je suis. J’invite toutes les femmes à se défendre car une femme est à mon sens un être humain avant tout.
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Il était 15h, je me promenais dans les rue de ma ville. Je passe devant un groupes de garçons. L’un d’eux dit à ses potes “Hey regardez comment elle est bonne”. J’avance, je ne réagis pas. Il cris “Hey Mademoiselle ça va?”. Je ne réponds pas. Il s’arrête et se retourne vers moi “Quand on te fait un compliment, tu réponds ! Salope!”
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« Si je te viole je suis sûr que tu ne crieras pas. » Un garçon de ma classe en troisième, nous étions six à table, personne n’a rien dit.
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Elle marche tranquillement dans la rue un homme croise son chemin et sans savoir pourquoi, l’insulte. Marie ne se laisse pas faire et lui répond.
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Les deux garçons sont toujours présents au lycée, moi j’ai repris seulement en janvier j’avais arrêter d’y aller depuis les vacances d’octobre. En revenant la première semaine son ami s’est “amusé’ a m’insulter de “pute” a chaque fois que je passer à cote de lui. Le principal lui a mis un rappel mais rien. Ils pourraient être virer tous les deux mais non. Donc cela fais un certains temps que je suis sous antidépresseur (pensé suicidaire) et suivis par une psychologue.
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En rentrant de soirée avec un ami nous étions déjà bien éméché, c’est au moment où je lui ai dis que je ne passerai pas chez lui avant de rentrée car il était plus tard que ce que nous avions prévu et que j’étais épuisé. Il a commencé à monter sur c’est grand chevau voyant que j’insistais pour rentrer. Quelque minutes après il c’est mis à me suivre, le prenant très mal je me suis mise à le giflé en lui demandant d’aller chez lui et de me laisser rentrer. C’est a ce moment que l’horreur commence, il ne me frappe pas. Mais enragé et énervée il me claquera dans tout les murs jusqu’à ce que j’arrive au bout de ma rue et hurle “Papa” c’est a ce moment la que sa folie a pris le dessus et qu’il m’a tenue la bouche en me disant “ferme ta gueule ” rien qu’à sa voix son ” ferme ta gueule ” je ne l’ai plus reconnu je ne savais qui était devant moi, c’est au même moment qu’il m’a claqué par terre et a commencé à me tordre le cou sur la droite j’ai entendu mon cou craqué deux fois il ne me l’achait pas jusqu’à se qu’un homme débarques et lui ordonne de me lâcher . Quelque temps après les voisins son sorti et mon papa aussi. Choqué je ne sors plus avec mes amies..je n’ai plus confiance en personne depuis je vie ma vie en mode robotisé.. j’espère aller mieux un jour Force a toute c’est femmes victimes d’agressions et j’en passe….
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En juin 2021 J ai été victime de violences en réunion dans la rue de la part de mon colegue .Il était en état d ivresse accompagné de son ami. Cette personne est élue municipal. la Mairie est intervenue pour que je retire ma plainte . Je maintiens ma plainte et essaie de tenir le coup. Bon courage à toutes les autres victimes
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Elle m'a giflé
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Elle a été victime de violence pas très grave mais douloureuse
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Les violences quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences psychologiques. ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail
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Il m'a torturé psychologiquement au sujet de mon traumatisme toute la journée
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Il m'a frappé et donné un coup sur la tête.
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Il m'a bousculé tellement fort que je suis tombée par terre sans s'excuser il me regarde avec mepris
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Bonjour, je travaille dans le milieu du sociale , je travaille un weekend sur deux . le vendredi 18 janvier au soir ( 21h) je finis mon travail et je contente car ce weekend je ne travaille pas et je vais pouvoir profiter de mon copain. Je l’attend devant mon travail avec mon sac à main et un sac de voyage. 3 jeunes passent je ne suis pas rassurer mais sans plus, puis je jette un regarde vite fait sur la rue mais les 3 jeunes avait disparu , mon copain m’appelle pour me dire qu’il m’attend au bout de la rue je lui dit j’arrive puis je commence à avancer 2 jeunes sur 3 me passent devant et le 3eme reste derrière moi je ralentie pour que le 3eme passe devant chose qui se fait puis dans un virage ( IL FESSAIT NUIT ) je ne l’ai voit plus et la un m’attrape je hurle il me prend par le cou, m’étrangle puis me donne un gros cou de genou dans le dos je tombe le 2eme m’attrape mon sac et le 3eme attrape mon sac de voyage . je hurle de toute mes forces mais rien personnes. Par chance mon portable et les clés de chez moi son dans mes poches j’appelle mon copain qui est à 600 m de l’agression . Nous sommes aller porter plaintes mais sa ne donneras rien malheureusement. Par contre moi je reste avec une boule au ventre chaque jour où je doit affronter la rue ( pour aller ou sortir du travail)
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Un soir d’hiver, je rentre chez moi aprés le travail. Je finis plus tard que d’habitude. C’est vendredi soir, je croise déjà ceux qui sont partis en soirée et qui sont déjà bien alcoolisés. Un homme m’interpelle et me complimente. Je le remercie, il me barre la route et veut m’obliger à aller en soirée avec lui. Je lui dis que je ne peux pas mes enfants sont à la maison et la nounou m’attend. Je lui dis ça avec un sourire et gentiment car je ne veux pas que les choses tournent mal comme avec tous les personnes qui sont alcoolisées. Il insiste et m’attrape par le bras. J’essaie de me libérer mais je n’y arrive pas. Un de ses copains s’aperçoit que les choses s’enveniment et il vient s’interposer. Heureusement que cet homme est venu m’aider autrement je ne sais pas ce qu’il me serait arrivé.
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Je me retrouvais toute seule dans un parking quand deux hommes ont surgi. Ils m'ont bloqué contre la portière de ma voiture. L'un me tenait les mains, pendant que l'autre me baissait ma jube et mon slip. Ils m'ont alors pénétré à tour de rôle; Je n'ai rien pu faire pour les repousser,
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A la sortie d'une discothèque, un homme avec qui j'avais dansé m'a raccompagnée pour soit disant « me protéger des inconnus dans la rue ». Ensuite, il a tenté de me violer. J'ai réussi à m'échapper en le frappant : une force extraordinaire s'est emparée de moi. J'ai couru verschez moint mais j'entendais qu'il me suivait. J'ai réussi à rentrer mais il a continué à tourner autour de la maison. J'étais terrorisée, tapie dans un coin du salon. Il a fini par partir
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C’étaient des gifles, des coups de pied, des coups de poing, des crachats au visage. Parfois je n’avais pas le droit de manger, pas le droit de sortir non plus. J’avais juste le droit de me la fermer
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J'ai été suivie par un homme qui, après s'être positionné derrière moi dans l'abribus, a commencé à se déshabiller puis à se caresser. Je suis allée dans un café chercher de l'aide, il m'a suivie et m'a hurlé dessus puis est parti quand j'ai menacé d'appeler la police.
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Je marchais dans le couloir du métro, un homme qui me suivait a saisi mon poignet, m'a plaqué contre le mur, m'a dit "suce moi salope". J'ai pu le pousser et m'enfuir en courant
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J’ai été agressée dans la rue, en pleine journée, juste devant ma porte d’entrée. Un homme m’a plaquée contre la porte avant d’insérer sa main dans ma culotte.
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Je lisais tranquillement un livre sur un banc dans un jardin de la ville Un garçon s'est approché. Nous parlions tranquillement puis au bout de quelques minutes, il s'est collé à moi, ma caresser la cuisse puis m'a embrassé dans le cou en me tenant fermement la main Ils ne voulait pas me lacher. J'ai crié, il m'a donné un coup de poingt. J'ai perdu connaissance. Il n'était plus là quand je me suis réveillé
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Il m'a dit tu me quittes, tu vas le regretter, tu vas souffrir et ta vie sera un enfer
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Après mon refus de ses avances, il est devenu de plus en plus virulent. Il ne cessait de me rabaisser, de me juger. Il me traitait de tous les mots et dès qu’une personne arrivait vers nous, il changeait brusquement d’attitude pour faire croire que nous menions une conversation normale.
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J'ai été suivie dès la sortie de mon travail par deux hommess. Je ne me suis pas laissée faire mais après cinq minutes de trajet ils m'ont attrapée par derrière, m'ont étranglée et volé toutes mes affaires...
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Il était terriblement jaloux et pensait que je le trompais. Pour me punir, il m'enfermait dans la chambre.
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Je me suis fait abordée et draguée dans la rue, j'ai refusé les avances et repoussé. le jeune homme. Il m'a alors bousculé et traité de "sale pute" et "coincée du cul" en me disant que je ne savais pas ce que je ratais.
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Dans mon université, une nouvelle étudiante est arrivée dans la classe. Rapidement, elle s’est mise à me bousculer et à m’insulter. Je n’aime pas les conflits alors je ne réagissais pas, mais un jour j’ai craqué et nous nous sommes disputées. Pour se venger, elle a alors volé mon sac. Toute la journée, mes recherches ont été vaines et j’ai pu deviner que c’était elle car le signal de mon téléphone menait chez elle. À son retour, elle me menace : « il ne fallait pas me dénoncer sale pute, tu verras ce que je vais te faire. Toi et ta pote je vais vous planter. ». Elle a mis sa menace à exécution. Nous étions aux toilettes avec mon amie, et mon harceleuse nous a coincé en nous menaçant avec un couteau. Nous avons eu très peur, nous nous sommes enfermées dans les toilettes. Déterminée, elle nous attendait à la sortie du collège pour nous planter avec son couteau."
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Vers midi, alors que j'allais acheter à manger à deux rues de mon bureau, une rue pourtant très fréquentée, un homme m'a attrapée par le bras et m'a forcée à le suivre sur quelques pas en me disant de "la fermer" et de me "tenir tranquille", jusqu'à ce que je me dégage, et que je crie que je ne suivrais pas quelqu’un que je ne connaissais pas. Il m'a attrapée par le poignet, et s'est avancé, menaçant. J'ai pu m'enfuir
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Alors que je marchais dans la rue à ma pause déjeuner et que j'allais me poser sur un banc, un homme m'a accostée en me disant "Tu es toute seule ? Ça va ?". J'ai refusé de lui parler en lui disant que je n'avais pas envie de répondre à ses questions. Il a insisté de manière de plus en plus agressive : "C'est bon, allez, viens on discute", etc. En ayant marre, je me suis levée et me suis dirigée vers la rue qu'il y avait en face de moi. C'est alors que j'ai senti quelqu'un m'attraper violemment par les épaules et me dire que je n'étais qu'une salope, une connasse et que j'avais intérêt à rester avec lui pour discuter. J'ai eu vraiment très très peur. Je me suis libérée de l'étreinte en criant "laissez-moi tranquille maintenant !" (en espérant qu'un passant m'entende et pour lui faire peur). J'ai couru ensuite de peur qu'il me suive encore. Ce n'était pas le cas et j'ai pu rejoindre ma destination.
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Un soir où je rentrais d'une soirée, un homme s'est mis en travers de mon chemin et m'a proposé de monter chez lui boire un thé. J'ai refusé. Il a insisté, m'a saisi les bras avec force et a réitéré sa demande. J'ai demandé à ce qu'il me lâche. Il ne l'a fait que lorsque j'ai hurlé pour alerter les quelques personnes qui se trouvaient dans la rue à cette heure-là. Il m'a alors traitée de « salope » et de « pute »
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J'avais à peine 15 ans et j’étais dans le bus pour rentrer du lycée. Un type d’une quarantaine d’années, assis à quelques mètres de moi, n’arrêtait pas de me fixer et j’étais super mal à l’aise. Cinq minutes avant que je descende, il a fini par s’approcher pour me parler. Au début, j’ai eu droit à plein de compliments un peu déplacés et au moment où il a vu que je n’étais pas réceptive, il est devenu carrément agressif. Quand j’ai refusé d’aller prendre un verre avec lui et que je lui ai rappelé mon âge, il s’est mis à me crier dessus et à me traiter de tous les noms et de" Salope"
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Cela a commencé par des insultes et des attouchements et puis des violences verbales très fortes quand j'ai demandé à ce que cela s'arrête. Les trois auteurs ont alors frappé sur un volet de magasin de toutes leurs forces en me hurlant dessus. Cela a duré au moins cinq minutes
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un homme m'a accostée en me disant "Tu es toute seule ? Ça va ?". J'ai refusé de lui parler en lui disant que je n'avais pas envie de répondre à ses questions. Il a insisté de manière de plus en plus agressive : "C'est bon, allez, viens on discute",. En ayant marre, je me suis levée et me suis dirigée vers la rue qu'il y avait en face de moi. C'est alors que j'ai senti quelqu'un m'attraper violemment par les épaules et me dire que je n'étais qu'une salope, une connasse et que j'avais intérêt à rester avec lui pour discuter
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il m'a brisé le doigt car je refusais de le sucer
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il m'a frappé et cassé le nez car je ne voulais pas faire l'amour
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il m'a étranglé jusqu'à ce que je perde connaissance
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il m'a étouffé jusqu'à ce que je tombe dans les pommes
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Un homme croise son chemin et sans savoir pourquoi, l’insulte. Marie ne se laisse pas faire et lui répond. Chacun passe son chemin, mais l’homme, sans doute piqué dans sa fierté masculine, revient sur ses pas et lui assène un violent coup au visage. Tout est allé très vite. Pas le temps pour Marie de réagir, alors elle encaisse. Pas question pour elle de baisser les yeux ou de s’excuser. Son honneur de femme est plus fort. Elle reste droite et digne face à son agresseur.
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J’ai eu le courage ce porter plainte une première fois juste après la réapparition de ma mémoire mais peu de temps après j’ai fait marche arrière ,envahie par la peur ,le doute et la honte.
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Et puis, il y a la violence du milieu médical (psychiatrique). J’évoque sans relache ces violences sexuelles qui m’ont détruites. Les soignants n’ont pas un mot gentil. Pas de conseil pour guérir. Pas meme un “je vous crois”.
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Il m'a attaché et cassé le poignet
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Les violences quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences psychologiques. ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours
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j'ai été sa proie, il m'a tiré la main et m'a entrainé dans une ruelle pour me donner des coup de point et de coup de couteau
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Sa jalousie est devenue incontrollable, Il m'a frappé violament, j'ai eu 3 côtes cassés. J'ai été hospitalisé pendant plusieurs semaines
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Elle m'a cassé les bras
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Il m'a poussé dans les escaliers, mes jambes sont brisées
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Il lui a donné un coup de point
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J'ai plein de bleu partout, je ne peux plus marcher
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A cause de ce qu'il m'a fait, je ne peux plus bouger, je suis allité
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Il m'a agressé, on s'est battu mais il a eu le dessus sur moi, j'ai fini à l'hopital avec le machoir cassé
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Un jeune s'est mis à nous siffler et à nous suivre. On a commencé à courir mais ils nous ont rattrapé. Ils nous ont frappé à mort
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Les jours passent et il prend clairement la confiance. – il a commencé à me frapper, chaque inter-cours il me mettait par terre et me frappait quand j’étais au sol, me mettait des frappes derrière la tête – il faisait des remarques, plus humiliantes les unes que les autres devant tout le monde. – m’étranglait, tellement il serrait fort, ma voix changeait de tonalité, ça ferait comme si on pressé le petit bout d’un ballon je ne sais pas si vous voyez.
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Il m'a brisé le poignet car je refusais de le sucer
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Il m'a brisé les jambes, je ne peux plus marcher
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Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente
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Il m'a mutilité
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Il m'a battu à mort, j'ai été hospitalisé et je ne pouvait plus marcher par la suite, je suis devenue handicapée
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J’avais 16 ans lorsque que j’ai été renversée par une voiture par une personne malveillante Mon poignet gauche a heurté violemment la portière du véhicule: double fracture. Ma colonne vertébrale s’est tassée, une vertèbre a été fissurée. Je suis transportée par les pompiers à l’hôpital le plus proche.
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J'ai été tabassée et laissée pour morte
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Elle est intervenue pour sauver une femme par deux porcs. Elle a reçu un mauvais coup et a perdu son enfant !
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Mon témoignage porte sur des viols, pour commencer de la part de mon instituteur en primaire, lui qui venait me réveiller la nuit pendant une classe de montagne pour m’emmener dans sa chambre et enfoncer son sexe dans ma gorge et ses doigts dans ma vulve, il m’a appris le mot “éjaculer”… j​’aurais volontiers grandi sans le connaître.
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j'ai été mutilé
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il m'a coupé le bras
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Elle m'a estropié
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il a decoupé en morceau
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C’était la nuit du 29mars 2022 , dans une banlieue vu que je préparais deux examen à la fois je finissais les cours du jour je rentrais me changé pour ne rendre au cours du soir. J’avais 14ans et 11mois quand les faits ce sont déroulés. Un soir le prof de Chimie avait donné plus de cours que d’habitude compte tenu du grand retard qu’il avait à rattraper nous avions terminé vers genre 9h du soir je pris un taxi pour chez moi mais forcé de constaté que le chauffeur était en état saoul j’ai du descendre plutôt que prévu et vu l’heure j’ai décidé d’emprunter un raccourci. A un certain niveau un groupe de mec me regardait mais je me suis compter de les saluer et de poursuivre mon chemin et avant que je mec puisse m’en rendre l’un me tenais par Le Bras j’ai voulu crié et ils m’ont mis un cutter sur la gorge ils m’ont entraîné dans un terrain désert et ont commencé à se disputer pour savoir qui passera en premier. Après de longue discussion ils ont pris ma chemise et ils ont déchiré mon pantalon a cause de ma retissance. Plutôt un mec est monté sur moi à commencer à me renifler, m’a écarté les jambes et m’a violemment pénétré il ne cessait de retiré et de le remettre ce qui rendait sa encore plus douloureux il a fini il a joui dans moi et m’a fait pipi dessus, puis le prochain avait des demandes très particulière il voulait une felation, il voulait me lécher les nichons, et il s’est contenté d’introduire toute sa main dans mon vagin en l’ouvrant et la resserrant d’aussi tôt plutard j’ai perdu connaissance tellement c’était douloureux, le suivant m’a dit qu’il es musulman donc il se contentera d’une sodomie je résistais pour me retourner sur le dos il m’a retourné lui même et m’a enfoncé sa bite dans le cul j’ai jamais ressenti une douleur pareil j’ai hurlé en larme mais il ne s’arrêtait pas il retirait sa bite faisait une pause puis revenais à l’assaut et je me suis encore évanoui. Ensuite il m’ont donné une substance qu’il ont dit qu’elle me rendrait comme un chien enragé. J’ai snifé puis je voyais plus grands choses. J’avais mal,j’avais faim,j’avais soif, je puais la prostitué du moins je pensais que j’étais au bout de ma vie quand les deux derniers ont essayé de me mettre a quatre pattes mais sa ne marchait pas je ne sentais plus mes jambes. Les trois autres m’ont tenu débout fermement et les deux autres m’ont pénétré devant et derrière j’étais la comme un zombie même la force de hurler j’avais plus . Je poussais juste des gémissements dans lesquelles la douleur se laissait ressentir plutard il m’ont abandonné là c’est un médecin qui passait par la et a faillit me rouler dessus et c’est arrêté et vu mon état elle m’a transporté à l’hôpital , mon père me cherchais partout quand je repris conscience j’ai relaté toute l’histoire à la dame et elle m’a aidé à contacter mon père. On m’a fait un lavage d’estomac, plein de souture au niveau du vagin, j’ai eu droit au meilleur suivie psychologique du pays et j’ai découvert que j’aurais sans doute jamais d’enfant ces cons m’ont bousillé l’utérus et en plus la plus grosse haine que je transporte es qu’il ne seront sans doute jamais jugé néanmoins j’ai foi en la justice divine et au Karma
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A 17 ans le soir un homme m à violée devant ma meilleure amie et quand j ai porté plainte 9 ans plus tard elle s est rangée du côté du bureau et m à demander de retirer ma plainte. Il Ya eu prescription mais ma plainte est toujours enregistrée et je le dirai jusqu’à mon dernier souffle c est un viol
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pendant une visite médical une médecin scolaire madame **** ma toucher le jour de mes 6 ans et l’état ne considère pas que c’est du viol quand une femme touche le sexe d’un petit garçon
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J’avais 8 ans. Ce jour-là, j’étais allongée sur la table d’examen, en culotte et t-shirt. Elle parlait avec ma mère et soudain, elle est venue vers moi, elle a baissé ma culotte et a introduit violement un doigt en moi. Je me souviens simplement me dire à un moment de me détendre. Je ne comprenais pas ce qui se passait. J’avais honte et savoir ma mère juste à côté en train d’observer était encore pire que tout. Je voulais disparaître, je me demandais ce qui m’arrivait. Et puis, au-delà du sentiment d’humiliation et d’impuissance car c’était un endroit sacré auquel on ne touche pas, il y a eu cette douleur car elle n’était pas douce.
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Ce que j’ai vécu à 8 ans n’est pas normal. C’est un viol ! Et c’était une femme médecin. Je n’ai que des hommes parmis mes médecins et je n’ai jamais eu à m’en plaindre. Parfois je rêve de retrouver le nom de cette femme pour aller lui dire ce qu’elle m’a fait, la vie qu’elle m’a volé. Je sais à présent que moi seule peut m’aider à guérir.
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Il avait toute ma confiance et un jour il dérape. Ostéopathe, il a prétendu une pratique chinoise ou je ne sais quoi. J’avais 17 ans et n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait. Les patients sont en proie aux médecins tout puissants. Il faut apprendre à dire non, aux enfants, à tout le monde, à savoir ce qui est normal et ce qui ne l’est pas et ne le sera jamais. Je n’ en ai jamais parlé à personne mais ce médecin ne s’en est pas pris qu’à moi.
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Il me pose un “cache-sexe” pour me protéger des radiations et me demande quel âge j’ai. Il me demande comment va mon dos. Je lui dis que j’ai mal mais que c’est supportable. Il me sourit, fais un signe à son collègue. En me regardant, il pose sa main sur mon sexe, je le regarde et je m’endors complètement. J’ai été violée par 2 médecins sous anesthésie générale.
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Il a demandé à ma mère de sortir pour m’examiner. Il m’a violée. J’avais 4 ans. C’était dans la fin des années 60.
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J’ai 17 ans et Le vieux kiné grand et fort, il a l’air bonhomme. La séance commence et je ne garde que ma culotte et mes chaussettes. Après des mouvements il me dit que je suis gracieuse que cela se voit que je suis danseuse et que je suis très souple. A la fin de la séance il me dit de faire des mouvements sur le dos. Et la il se jette sur moi. Me coupe la respiration .il est lourd. Il m’écrase. Il appuie sur le haut de mon corps et se frotte a moi. Je tente de me contrebatte m’embrasse. C’est infect. Je me débats et finis par réussir a glisser au sol et a prendre ma robe au passage. Je m’enfuis.Je ne supporte pas qu’on m’écrase. Je ne supporte pas les hommes autoritaires. Ma vie de femme a été détruite.
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Ne pouvant cocher qu’une case j ai choisie cercle familial oui j ai été violée à 6 ans mais j’aurai pu cocher la case lieux public, car oui j’ai été violée par surprise à 8 ans dans la rue et en plein jour; et enfin j’aurai pu également cocher la case milieu scolaire, car oui j’ai été agressée sexuellement à 12 ans par un proviseur. Et je rajouterai attouchements par le médecin de famille. je n’en ai parle à aucun moment de tous ces actes c’est une première grâce à ce monstre de Weinstein. A oui j ai 58 ans et je suis démolie
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A l’âge de 10 ans (en 1968), j’ai été violée par le médecin de famille .
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Ils m’ont suivi aux toilettes et de force m’ont touché et doigté. Après je suis dit plus jamais on me fera ca. Je dois leur dire. Ils m’ont entraîne plus loin et m’ont déshabille de force et toucher.
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J’avais 14 ans en cours de sport, 2 garçons de ma classe m’ont entrainee dans les buissons et m’ont forcee à faire une fellation.
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Je me suis fait violée à 16 ans en voyage scolaire, j’ai dis non pendant près 1h 1h30 et j’ai essayé de le repousser mais mon école nous avait autorisé à aller au bar j’ai fais comme les autres consommer de l’alcool et me sentant pas bien je suis partie pour me coucher… c’était le meilleur pote de celui que j’aimais et il était dans ma classe , il m’a demandé en 1er une felation j’ai dis non et après insistait pour que je couche avec, je lui disais non
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Bonjour, bonsoir je viens d’apprendre que ma fiancée a été victime d’un viol elle est au lycée elle a bientôt 17 ans et je ne sais pas quoi faire . Elle a été violée a son lycée par une personne qu’elle croyait être son ami . J’ai pas plus de détails car elle a beaucoup de mal en m’en parler vraiment beaucoup elle a été en pleure et elle me l’a annoncé par téléphone .
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Il s’agissait de mon maitre, en primaire. Il m’a reprise plusieurs fois pendant le cours, en me disant que je bavardait, ce qui était faux. À la fin du cous il m’a dit de rester et a attendu que les derniers élèves partent. Ensuite, il a commencé à me dire qu’il fallait que je sois punie pour ce que j’avais fait tout en me touchant les fesses et les seins. Il m’a embrassée avec la langue et me léchait certaines parties du corps et m’a violée. Il m’a dit que c’était normal que ça fasse mal et qu’il y ai du sang partout, que ça faisait parti de la punition. Je pleurait et il me disait qu’il allait appeler mes parents pour que je rentre chez moi car je ne me sentait pas bien. Il fallait, bien sur, que je ne dise rien a personne. Il a conclut en disant que si j’en avait mare des cours certaines journées, il pourrait me faire rentrer chez moi en échange de la même chose mais que ça ferait moins mal, que ça ne saignerait plus. J’étais en CE1, je ne comprenais pas ce qu’il venait de faire. Il a recommencé plusieurs fois.
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