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Ma femme à été violer par un autre malade à l hôpital. La justice a classer l affaire sans suite sous prétexte que les preuves ne sont pas concluante. Pourtant les témoignages et le rapport de police sont explicites et les preuves sont là. Maintenant ça fait à an que ça traîne entre les mains de l avocat et aucun avancement du dossier. Pauvre France pauvre justice !!!!!
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C’etait il y a 35 ou 36 ans. J’avais alors 22 ou 23 ans. Je suis allée chez le généraliste pour un renouvellement de pilule. Il me dit qu’il doit m’examiner pour me prescrire la pilule. Je me suis déshabillée et il a mis un ou plusieurs doigts dans mon vagin et s est “amusé ” un peu… Je me suis demandé si cet examen était normal mais je n’ai rien osé dire. Il ne m’a pas fait payer la consultation. J’ai donc bien compris qu’il y avait quelque chose d’anormal mais je n’en ai jamais parlé. Aujourd’hui, j’ai regardé sur internet si le fait de mettre ses doigts dans le vagin d’une femme par surprise était un viol. Oui, c’est un viol. Il a fallu qur j’arrive à presque 60 ans pour comprendre.
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J’ai vécu une expérience très traumatisme avec un psychosociologue et thérapeute, à l’époque où je suivais une de ces formations sur la communication. Un jour où je me sentais très mal, je l’ai contacté afin d’obtenir des conseils. Il m’a donné rdv pour une consultation le lendemain, dans un endroit qui s’est révélé être également son domicile. Déjà conditionnée par ses formations, alors que je cherchais une relation d’aide et de soin thérapeutique ; il a profité de ma vulnérabilité de patiente et m’a contrainte à accepter des actes dont je n’étais pas demandeuse grâce à sa position dominante de thérapeute ET malgré mon refus d’actes de pénétration, ce qui constitue un viol. Cet homme connu dans son domaine, se sert de son statut pour abuser des femmes (Je sais que je ne suis pas seule), notamment lorsqu’on se retrouve seule avec lui… Quelqu’un a-t-il-vécu une situation similaire ? Avez-vous entendu parler de comportements de de type ? que me conseillez-vous de faire ? Y a-t-il des associations qui peuvent m’aider ?
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Je ne sais si mon nom suffira à vous évoquer la jeune femme en désarroi qui a franchi la porte de votre cabinet. Qui, au décours de son travail d’analyse, a vu resurgir le souvenir d’un viol survenu dix ans auparavant. Une implosion. Déflagration du corps, de l’âme, du cœur. Que vous n’avez pas été en mesure d’accueillir. Que vous avez rejetée. Niée. Vous avez dit : « Fantasme ou réalité, cela revient au même ». Et tout en moi s’est disloqué. Vous avez demandé « s’il y avait eu des témoins », et je me suis sentie sombrer. Aucune parole de soutien, aucun signe de reconnaissance de cette trop intime et insondable douleur. En réponse la seule négation de ce vécu traumatique. Négation de l’être. Vous êtes resté imperturbable.
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Il y a plusieurs années de cela ma soeur n’était pas au top de sa forme et a plongé dans une dépression. Elle a été chez son médecin généraliste qui lui a prescrit des anti-dépresseurs. Elle était sur un nuage, totalement shootée par les médocs, à un point qu’elle était fière et elle appelait même son traitement de la “drogue légale”. Elle a toujours eu une vie borderline, mais on trouvait que son traitement lui faisait plus de mal qu’autre chose. On trouvait déjà que sa relation avec son médecin était ambigue, mais un jour elle nous a appris qu’il lui avait proposé de l’emmener avec lui pendant un voyage à l’étranger lié à son activité, il s’agissait d’un séminaire ou quelque chose de ce genre. J’ai du mal à croire que ce type, qui d’ailleurs était marié, n’avait pas de mauvaises intentions derrière la tête. Pour ne pas qu’elle y aille nous avons tous refusé de garder son enfant, elle n’est donc pas partie. Je ne serais pas étonné qui lui ait déjà fait quelque chose, ou du moins qu’il a profité de sa faiblesse pour en tirer avantage. Maintenant elle va beaucoup mieux, mais tout cela me trote dans la tête, tout ceci est trop étrange et ne peut pas être le fruit du hasard. Je suis un homme, je ne suis pas une victime, mais je souhaitais tout de même poster mon témoignage. Je suis de tout coeur avec vous, toutes ces violences sexuelles et ces abus doivent être punis, il est temps de faire le ménage.
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j’ai été invitée un soir en hiver au restaurant par un médecin qui voulait me remercier pour un service rendu à un membre de sa famille.Au cours du repas il a saisi violemment par main pour la caresser. J’ai abrégé le repas . En partant il m’a demandé de le raccompagner car il n’avait pas pris sa voiture. Arrivant devant son hôtel il m’a demandé de le suivre dans sa chambre, très choquée j’ai refusé très clairement, alors il s’est jeté sur moi, m’a saisi violemment la nuque, m’a tirée vers lui pour m’embrasser. J’ai refusé, protesté, l’ai repoussé, il continuait.Je me suis débattue, il agrippait mon cou et ne me lâchait pas. J’étais sidérée et comme il ne me lâchait pas , je l’ai repoussé en essayant d’ouvrir la portière que j’ai réussi à ouvrir. Je l’ai poussé dehors et suis partie. J’étais en état de choc: à plus de 60 ans je n’avais jamais vécu cela. J’avais des égratignures dans le cou et ai eu mal aux cervicales pendant 2 semaines.Le lendemain il a eu l’outrecuidance de m’envoyer des textos pour me dire qu’il avait passé une bonne soirée! et me dire : ” à bientôt”! Ce cynisme, ce refus de la réalité, cette violence psychologique m’ont écoeurée. Je lui ai envoyé un texto lui demandant de ne plus jamais me recontacter. Le membre de sa famille à qui j’avais rendu service m’a écrit et dit oralement que cet homme était un monstre, qu’il en avait honte. J’ai pensé aller porter plainte mais les policiers de ma ville sont de gros machos: j’aurais été moquée puisque sans preuve et m’attaquant à un “notable”.Je suis allée ces jours ci rencontrer une gendarme très à l’écoute et qui a vérifié mes dires,mais elle m’a dit que cet homme allait sûrement prendre un avocat et porter plainte pour calomnie. Donc ..je pense que je vais essayer d’oublier.
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Je me suis installée dans le Berry sans connaître qui que ce soit. je suis allée à l aveuglette chez un acupuncteur. il s est montré à la fois sympa et grossier avec des gestes déplacés . tout est trouble. il souffle le chaud et le froid et vous ne savez plus qui vous etes et ce que vous désirez. Et plus vous résistez ,plus il insisté et vous propose délibérément de coucher avec lui. Devant mon refus , je me suis retrouvée un jour , ayant l impression d avoir dormi et acceptant des caresses . J ai subi plusieurs viols pensant que j étais consentante et me faisant comprendre que j étais responsable de mes actes. il s est avéré , par la suite, qu il y avait eu hypnose et viol de l âme et du corps . je ne suis pas la seule à son palmarès . je n osé pas porter plainte car j ai une peur terrible de cet homme .D autres ont porté plainte et rien n a abouti. il se dit protégé. il est de plus sadique et aime vous torturer psychologiquement et des pratiques sexuels dégradantes. je ne le côtoie plus depuis un an . mon époux à réussi à me sortir de cet enfer. Mais j ai honte et bcp df mal à me reconstruire. Je ne suis plus très jeune et plutôt quelconque. on me riait au nez si je racontais cette histoire digne d une hystérique. N allez jamais seule chez un thérapeute quelque soit votre âge . Il peut vous en coûter cher . Au point de vous dégoûter et de décider de mourir . Ce qui le ferait jubiler . Mourir pour lui … il est malade et digne d être en HP. Que faire?
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Un homme marié, ancien cancérologue retraité, m’a fait des avances en 2012 alors que mon couple battait de l’aile. J’étais en situation de fragilité, j’avais perdu mon travail et malgré ma reconversion, je n’en trouvait pas d’autre . J’ai cédé à ses avances, peut être pour avoir un peu de réconfort, d’affection ….. que je ne trouvais plus auprès de mon mari . Nous nous sommes retrouvé plusieurs années , dans des chambres d’hôtels. Lorsque sa femme est décédée, il m’a invité dans sa résidence secondaire en été , une semaine . J’étais sous emprise de cet homme qui me demandait toujours plus de relations sexuels pour assouvir ses fantasmes . J’étais sous sa dépendance et malgré mes refus, il me forçait a avoir des relations sexuelles de nuit comme de jour . Je l’ai repoussé à plusieurs reprises, mais cela ne l’arrêtait pas , bien au contraire. Il me harcelait sans arrêt et je n’osais pas user de violence physique pour le repousser à cause de son pacemaker. J’étais devenue son objet sexuel et malgré une relation consentie au départ, j’ai subi des violences sexuelles non consenties pour assouvir ses fantasmes sexuels. Malgré notre différence d’âge, il usait de sa force physique, de son emprise sur moi, pour me forcer à faire des choses que je n’avais pas envie de faire . Je me suis sentie humiliée, salie, écœurée, par cet homme .
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A 21 ans J’étais jeune mère de famille et mariee. Mon medecin a prolongé le toucher vaginal pour me masturber. Au début je n’imaginais pas que ce soit possible, puis Je me suis sentie à la fois dépassée et honteuse. quand j’ai fini par ressentir une excitation purement physique et mécanique contre laquelle j’ai voulu lutter. J’ai fini par repousser le medecin quand ses gestes plus rapides et plus appuyés ne laissaient plus d’ambiguïtés sur ses intentions. Je suis particulièrement marquée par cette agression parce que j’ai eu ensuite une forte contraction douloureuse au ventre. J’en ai parle à une amie qui me dit que c’était sans doute un orgasme fort, ce qui me semble impossible et me rendrait honteuse. Est-ce commun d’avoir ce genre de contraction douloureuse dans le cas d’un viol ?? Est ce déjà arrive à l’une d’entre vous ?
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Violée par un psychiatre et pédopsychiatre dans son bureau de consultation à l’hôpital. Le viol a été facilité par l’effet de médicaments pris pour une tentative de suicide. Ce médecin a déjà fait l’objet de plaintes mais reste en poste, au risque de récidiver.
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Paris, 2014. Bonjour, j’ai été violée et agressée par mon rhumatologue qui me suivait dans le cadre de ma maladie depuis plusieurs années. C’est un spécialiste de renom. Il suivait également avant les abus, ma soeur et ma mère. Mais, 2 consultations ont mal tourné pour moi. Durant toutes les années où je suis allée le consulter, il a également tenu des propos déplacés du style “pourquoi caches-tu ta poitrine? Elle est très belle”, “pourquoi as-tu toujours tes règles chaque fois que tu viens me voir”. La dernière fois que je l’ai consulté, il m’a fait déshabiller presque entièrement et demandé de monter sur la table d’examen, puis m’a serré d’un coup fort contre lui et a tenté de m’embrasser à plusieurs reprises. J’ai détourné la tête à chaque fois et étais pétrifiée. La fois précédente, il m’avait violée (doigt dans l’anus par 2 fois le même jour), je n’en dirai pas plus tellement c’est écoeurant. Mais si une personne se reconnaît dans mon témoignage, je l’invite à prendre contact avec moi. Merci pour ce site et j’espère que l’initiative de recouper les témoignages portera ses fruits.
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C’était il y a plus de trente ans, Ma femme avait 20 ans et moi 22 lorsque je l’ai accompagnée chez un medecin du 15eme pour une douleur gyneco, j’étais dans un coin de la salle d’examen, avec notre bébé d’un an sur les genoux. je tournais le dos au medecin qui examinait ma femme et je faisais confiance à ce praticien d’une soixantaine d’années. Il decida d’appliquer un remède local dans le vagin de ma femme L’examen semblait long et par deux fois ma femme lui a demandé si c’était bientôt fini. Finalement elle a arrêté brutalement l’examen. Quand nous sommes sortis je lui ai demandé ce qui s’était passé et elle m’a dit en pleurant : “c’est un salaud ce toubib, il m’a fait des choses”. Je l’ai consolée en pensant qu’elle se faisait peut être des idées. J’ai eu tort de ne pas chercher a en savoir plus, car plus tard elle m’a confié qu’il s’agissait d’une véritable masturbation. Elle en a souffert psychologiquement, et moi je ne m’en suis pas vraiment remis. Je me considère aussi comme une victime car ma vie d’époux a été hantée par cet acte honteux de la part d’un praticien, Je crois que le mot de viol s’applique même si il n’y a pas eu de violences, même si ma femme m’a dit avoir ressenti une réaction sexuelle qu’elle ne souhaitait absolument pas. Merci pour votre avis
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Viol sur personne vulnérable et isolée par un médecin réputé. Utilisation de produits anesthésiants (cela s’est passé dans mon sommeil. 2 débuts de grossesse mystérieusement arrêtés en milieu hospitailer. Le deuxième dans un contexte particulièrement inhumain et dégradant d’hopsitalisation d’office suite à ingestion de cachets. Entre les viols et le harcèlement criminal en réseau que je subis depuis plus d’un an, je suis exténuée. J’ai voulu porter plainte 2 fois : peine perdue. Les flics et les gendarmes vous considéreraient presque comme une prévenue. Ne me reste-t-il plus qu’à prier le bon Dieu pour que quelqu’un m’entende???
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Je venais d’avoir 18 ans. Suite à une histoire triste qui n’a rien à voir avec un viol ou du harcèlement, je me retrouve à aller voir un psychiatre parce que je n’en peux plus de mes cauchemars. Les séances s’éparpillent sur 2 mois à raison d’une par semaine. Ca se passe bien. Et puis un soir, le soir de la dernière séance tout dérape. Il me raccompagne dans la salle d’attente pour que je récupère mes affaires. Je suis poussée sur le canapé et forcé à le sucer. Heureusement, j’ai pu mordre ce qui s’était infiltré de force dans ma bouche. Et je m’enfuis en courant. 6 ans plus tard, je reste traumatisée, à cauchemarder.
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J’ai été violé par le Docteur F., pour une dysplasie ventriculaire. Il m’a introduit son doigt dans l’anus, puis deux, alors que je me plaignais de ce “traitement” il m’a indiqué qu’il “devait mesurer mes rythmes cardiaques…la séance a duré plus de 20 minutes alors qu’il m’indiquait de ne pas bouger. Il a ensuite frotté son sexe contre mes fesses. J’ai porté plainte, mais le conseil de l’ordre ne m’a pas écouté et a considéré que le Docteur F. était de “la vieille école”… on a refusé de m’écouter. Je ne suis pas le seul, il a violé aussi G. L.qui m’a contacté en connaissant ma plainte qui je le crois était mineure à l’époque… Le Docteur F. continue d’exercer.
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victime de viol, attouchements et pénétration par le docteur M. exerçant dans le Lot-et-Garonne. il y a 24 ans. Sa technique semblait bien rodée, je crains de ne pas avoir été la seule.
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Dans un village proche de Toulouse (15 km environ), un médecin pervers sous prétexte de visite médicale se permet, de palper les seins des femmes, de leur parler et les prends pour des prostituées. Ce pervers à été pris en flagrance d’acte de pénétration sur une personne le soir très tard, il y de cela 10 jours, à mon avis non consenti, car fait sur intimidation et personne vulnérable que sa position de docteur lui confère. La personne à qui cela est arrivé n’ose pas porter plainte car, ce pervers détraqué l’a conditionné, d’autant plus que dans ce cabinet peut-être que ces confrères associés sont au courant des ces agissements et le couvre par peur d’un scandale… Ce pervers sexuels incite les femmes ou et les oblige à visionner des films porno dans son cabinet à l’abri des regards, il leur parlent comme dans les films X, très crade… On me dit que moi le témoin, je ne peux pas porter plainte, on me dit que c’est à la personne à qui cela est arrivé de le faire. Je voudrais le faire, j’ai des preuves, mais je ne connais pas la procédure, est-ce quelqu’un pourrait me dire comment faire pour arrêter ces (violes) répétés sur cette femme victimes ? On m’a toujours dit que ne pas porter assistance à personne en danger était un critère de lourdes conséquences judiciaires, mais comment faire pour que la justice diligente une enquête afin que la vérité un jour éclate et que ce monstres pervers cesse ces agressions sexuelles et qu’il soit condamné et écarté de la médecine ?
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Une jeune fille ne sait pas ce qui est “normal” ou pas. J’ai donc un vécu désastreux auprès de gynécologues, 2 exactement, qui ont profité de la situation pour m’abuser avec leurs mains. Perplexe, je savais quelque part que la visite n’avait pas été “normale”, mais ma jeunesse et le manque de certitude ont fait que j’ai aussi payé les consultations !! Depuis, je ne veux que des gynécologues femme ! Autre aventure, alors que j’étais plus âgée, mais qui m’a sidérée de la même façon. C’était auprès d’un sexologue. Idem, situation ambigüe où j’ai eu le sentiment d’avoir été violée. Mais parole contre parole, les femmes SAVENT qu’elle n’ont aucun poids. Des situations de dominance masculine, vu que j’étais une jolie fille, j’en ai plein ! Cela a fait partie de mon fardeau quotidien !
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Le chirurgien m’a violé avant une intervention en 2012. Il l’a fait avec la complicité de l’anesthésiste, l’infirmière féminine a été remplacée à la dernière minute. je suis toujours à me demander pourquoi moi je n’ai rien d’un canon. Cela s’est passé à Nantes en Loire-Atlantique (44).
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Je témoigne aujourd’hui après bien des hésitations car je suis terrifiée. Mon médecin de famille (avec une aura spectaculaire) m’a violé à maintes reprises alors que j’étais en dépression nerveuse avec un traitement très lourd de plusieurs psychotropes. Je lui avais confié que petite fille j’avais été violée, maltraitée par ma mère. Il m’a répondu que les viols d’enfants pouvait améliorer le plaisir, et qu’avec lui ce serait notre “petit secret”. Je sais qu’il a abusé de beaucoup de filles et de femmes, il règne autour de lui l’omerta. Il coule une heureuse retraite et moi je galère toujours. Je ne veux plus ni avoir honte, ni avoir peur et lui rendre ce qui lui appartient. Je veux rendre hommage aussi aux hommes normaux et qu’un respect mutuel règne enfin sur la terre. Merci
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Voilà, j’avais 26 ans, et une amie m’a recommandé son gynéco à Paris, j’étais bien enceinte et crédule… Après l’examen ce dernier m’a demandé de descendre de la table et de me pencher à l’équerre sur cette table, ce que j’ai fait. Puis avec un torchon(?) il m’a pénétré dans l’anus … J’étais tétanisée… il a fait comme si de rien n’était, et vraiment abasourdie, j’ai payé et je suis partie… J’ai essayé d’en parler à mon amie “mais non tu t’es trompée ! il nous donne souvent une claque sur les fesses ! “. Je n’ai rien dit à mon mari et j’y suis retournée et ça a recommencé et là il m’a dit en haletant “vous devez éprouver autant de plaisir de ce coté” je crois que je pleurais à l’intérieur et je n’y comprenais rien, je n’en n’ai jamais parlé à mon mari ni à personne, mais je ne supportais pas trop faire l’amour avec mon mari… Il y a 43 ans de cela et je pense à la petite fille que je portais et en racontant cela j’ai encore le cœur battant et la gorge serrée. Je n’ai plus été violée par la suite mais terriblement harcelée par un directeur d’une grande agence d’assurance place Vendôme, sexuellement, il me montrait des photos… alors j’ai essayé d’en parler à mon mari…qui ne m’a rien dit et j’ai démissionné…Je crois qu’il y a eu des plaintes.
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j’avais 24 ans je souhaitais la pilule contraceptive, une collègue m’avait donné son adresse : boulevard Montparnasse. J’ai 70 ans aujourd’hui, je n’en n’ai jamais parlé à personne. Il m’a violé sur son bureau. Il m’a fait payer et a retraversé la salle d’attente pour me raccompagner à la porte. En bas, dans sa voiture mon jeune mari m’attendait…
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je me souviens aussi… d’un dentiste un peu “spécial qui m’avait soulevé mon pull parce qu’un morceau de plombage qu’il était entrain de me refaire était tombé dans mon pull et je me souviens m’être faite violée par un monsieur très sympathique en premier abord qui avait ses habitudes dans un dancing du Touquet dans le Pas-de-Calais (62) “le monsieur a la porche” qui m’avait mis une drogue dans mon verre. Tout çà est vieux j’avais 23 ans j’en ai 67, qu’elle est la femme qui n’a jamais rien subie ? ma fille me demande si je lui en veux à cette ordure je lui répond que la vie a du le punir parce que quand on n’est pourri un jour ça vous retombe dessus et ça me console… un peu…
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Cliente de sa pharmacie depuis de nombreuses années, il était plaisant et ses compliments étaient agréables à entendre. Rien de plus. Une nuit j’ai du aller à la pharmacie de garde pour mon neveu (ma sœur, veuve, voulait rester à ses côtés. Je suis entrée dans la pharmacie, il m’a servi l’ordonnance, proposé un café, j’ai accepté car je savais que ma nuit allait être longue, pour tenir, soutenir ma sœur. Il m’a servi mon café, et très vite m’a caressé et jeté sur le lit puis, il m’a violé avec force. je suis repartie, salie, meurtrie et n’ai jamais rien dit à personne. Je le croise régulièrement, je sais qu’il a beaucoup de maîtresses, j’ai parfois envie de prévenir sa femme mais à quoi bon, ces gens là sont des manipulateurs et tout retomberait sur moi.
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J’ai 40 ans. A l’époque des faits, je venais à peine de m’installer à Paris pour suivre des études universitaires. J’avais tout juste 18 ans. Je ne connaissais personne, mon petit ami devait venir me rejoindre après son service militaire deux mois plus tard. J’étais malade (une sorte de grippe intestinale) et j’ai demandé à ma voisine de palier le nom d’un médecin généraliste pour me faire soigner. Elle m’a communiqué le nom d’un docteur qui prenant rapidement des patients. Je ne me souviens malheureusement plus de son nom. Je regrette de ne pas l’avoir retenu. Je sais juste qu’il exerçait dans le 5ème arrondissement de Paris. Je suis arrivée au cabinet. Il devait avoir environ 35 ans. Il m’a demandé d’enlever mon tee-shirt pour m’ausculter. Jusqu’ici, rien de plus normal. Puis, après avoir ausculté mon ventre, il m’a demandé d’enlever mon pantalon et ma culotte pour vérifier que le problème ne serait pas plutôt gynécologique. J’ai trouvé cela étrange mais, bon, il était médecin, donc, je lui faisais confiance. Il m’a examiné au niveau du vagin avec ses doigts et a insisté fortement. J’avais mal et j’ai perçu dans son regard un certain plaisir. Cela a duré 3 minutes et dans ma tête je me suis dit qu’il était en train de me violer. Je lui ai dit que je ne me sentais pas bien. Je suffoquais. Il a arrêté et m’a demandé sèchement de me rhabiller. Il a posé son diagnostic : Une simple gastro entérite, m’a tendu une ordonnance et m’a expédié. Je suis vite partie et je ne suis plus jamais retournée le voir.
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J’étais suivie depuis 6 mois par un kiné a Beausemblant Rééducation du dos. Ce malade a profiter de ma confiance que j avais envers lui entant que médecin pour me violer. J étais tétanisé impossible de bouger je faisait tout ce qu il disait . Je n étais plus maître de mon corps. Je suis aller porter plainte car j ai eu de la chance d être bien entouré et soutenue par mes proches.
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En 2009 je faisais parti d’une association audiovisuelle de le fac quand *.* m’a contacté pour que je film un évènement culturel à la fac pour lui, ce que jai fait. Pour me remercier il m’a invité à dinner chez lui et c’est ce soir là qu’il ma violé.jai senti une grande fatigue il ma conduit vers une chambre en me disant “ne t’inquiète pas il ne va rien se passer” Je me suis allongé éprise d’une grande fatigue Il m’a demandé ce que je voulais jai répondu “Sauver le monde” (jetais en crise maniaque) et il m’a pénétré sans que je puisse m’y opposer J’avais 22ans ont m’a enfermé en psychiatrie quelques semaines plus tard et je n’ai jamais parlé de l’agression jusqu’en 2016 où j’ai porté plainte sans succès Il a porté plainte contre moi la même année et depuis mon dossier est en stand by je réclame justice et je témoigne car mon silence a trop duré et me dévore de l’intérieur
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J’ai été violée par un prof de fac, qui enseignait la littérature. J’avais une vingtaine d’années. J’étais harcelée dans ma promotion et plusieurs étudiants m’ont menacée et agressée. C’était à une soirée étudiante. Un de mes agresseurs m’avait attachée et j’ai cru, vraiment, que cet homme, mon enseignant à l’époque, allait me sortir de là. C’est lui qui m’a détachée et réconfortée. Je me suis pratiquement jetée dans ses bras tellement j’étais en état de choc. Il m’a dit que je lui devais obéissance parce qu’il était mon prof. Il m’a frappée tellement fort que j’en ai encore une marque, plusieurs années après. J’étais vulnérable et il en a profité. Ce soir-là, il m’a réconfortée, m’a forcée à le toucher et m’a violée. Il m’a dit qu’il me mettrait enceinte si je parlais. Je n’ai jamais parlé. À l’école, il me menaçait ouvertement si nous étions seuls. Parfois, j’étais en avance en cours, je le voyais interrompre sa classe pour m’observer par la fenêtre. Il m’a avoué qu’il le faisait, une fois, tout en me touchant les cheveux. D’autres fois, il se collait à moi en public — notamment devant l’administration de la fac. Personne ne disait rien. Quand il le pouvait, il me touchait les cuisses, le dos. Il me répétait que j’étais consentante et j’ai fini par le croire. Un jour, une de ses collègues l’a surpris seul dans sa classe avec moi, la porte fermée. Elle lui a demandé des explications, il s’est défendu. Je n’ai rien osé dire. J’ai voulu parler une fois de ce qu’il m’avait fait à des camarades, il est arrivé par derrière et m’a emmenée dans sa salle de cours, avant que je ne puisse dire quoique ce soit. Il avait compris que j’allais le dénoncer. Honnêtement, je ne me souviens pas de tout ce qu’il m’a fait. Je sais s’est passé d’autres choses, mais tout est flou. Il me faisait tellement peur que j’en suis devenue anorexique. J’étais tellement terrorisée que je pleurais durant ses cours et à chaque début de ceux-ci, il me prenait à part et me demandait de « laisser ça en dehors de son cours » tout en me faisant comprendre que j’avais interêt à me taire. J’ai quitté la fac à la fin de l’année scolaire. Je l’ai confronté récemment et bien sûr, je me suis heurtée à du silence, puis, de nouveau, des menaces. J’ai porté plainte contre lui l’année dernière mais les procédures sont excessivement longues. Je culpabilise encore de m’être fait manipulée de la sorte, même s’il savait ce qu’il faisait. J’ai voulu le dénoncer à mon ancienne fac, mais on ne m’a pas prise au sérieux, malgré les papiers du tribunal. Ça va bientôt faire cinq ans mais j’ai encore l’impression d’être dans cette salle de classe ou à cette soirée et de sentir ses mains sur moi. J’essaie de passer outre, mais j’ai peur qu’il ait fait d’autres victimes. J’en veux aux témoins de n’avoir rien fait, j’en veux à l’école de ne pas m’avoir prise au sérieux. À cause d’eux, j’ai toujours l’impression d’être responsable de ce qu’il m’a fait.
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Viol sous GHB avec une amie, mais peu de souvenirs et je pense que c’est elle qui me la fait boire dissous dans de l’eau. Madame porcine je ne vous reconnaîtrais pas
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bonjours , voila il y a maintenant 8 ans que je me suis fait violée , voila maintenant 8 ans que sa c’est passer mais j’arrive pas a oublier se qui met arriver. Alors aujourd’hui je suis la pour que vous me donniez une solution pour que j’arrive a passer a autre chose sachant que je refuse catégoriquement de porter plainte car sa ferrais beaucoup de mal a ma famille et a sa famille qui elle n’a rien de demander voila merci pour vos commentaire
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19 ans, première année de fac. J’étais avec des amis étudiants dans la rue, nous discutions. 2 jeunes hommes s’arrêtent que nous ne connaissons pas et se mêlent à la conversation. Ils disent être étudiants en économie. L’un d’eux me parle à plusieurs reprises. Mes amis doivent s’en aller. Le groupe s’éclate. Lui reste et me demande où je loge. Je désigne ma rue toute proche. Je m’en vais. Quelques jours après on frappe à la porte de mon studio. J’ouvre:c’est lui. Je suis très étonné car je ne lui ai pas communiqué le no dans la rue et il faut traverser un couloir commun avec l’appartement du propriétaire pour arriver à ma porte. Je lui fais part de mon étonnement. Il rentre et dit quelques phrases banales sur mon appartement puis me demande d’être gentille avec lui. Je refuse et lui demande de s’en aller. Il me pousse alors violemment sur le lit et et se jette sur moi les deux mains autour de mon cou. Il me serre le cou d’une main et me menace pendant que de l’autre il relève ma jupe. Je suis terrorisée, ses yeux sont exhorbites et il continue de me menacer. Il tente de me pénétré mais son sexe mou. Il me dit :quoi, tu ne veux pas, regarde, c’est propre en touchant son sexe. Il me dit que c’est de ma faute s’il ne bande pas. Je suis incapable de dire quoi que ce soit, sidérée, paralysée. Il me lâche soudain et se rhabille très vite et quitte mon studio.
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Il séduit des élèves et aussi des autre prof. Il leur inflige des sevices sexuelles. Il manipule puis séduit puis viole.
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cette homme ma violée avec sa petite cousine pendant que je dormais. Tous sela c’est passer tres vite , quand je commensa a masoupire j’ai sentie quelle chose de dur sur mais fesses et ensuite quelque chose de humide . Cette personne ce reconnaitra !!
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J’ai été violé par plusieurs homme en tournante et qd je suis allé au commissariat j’ai été traité comme si c’était moi lagresseuse mm si je comprend que la police ne croit pa sur parole les accusations de tt le monde je n’ai pa fait suite étant confronté au quotidien à mes agresseurs à l’école…qui depuis 20 ans du coup on maintenant une vie trankil. J’aimerai que justice soit faite malheureusement il ya prescription et je ne peux plus rien faire
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Il m'a sodomisé dans mon sommeil, ça m'a sursauté, j'ai rien pu faire je l'ai repousé
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Il commence à vouloir coucher avec moi. Aucune envie mais j'ai essayé de le repousse mais finalement je me laisse faire. Puis il commence à vouloir essayer une fois de plus la sodomie (ça devenait oppressant à chaque rapport). Il met ses doigts, je dis non. Puis il essaie 4 ou 5 fois de forcer avec son sexe. A chaque je lui dis “non, j’ai mal”, “non, arrête”, “non, j’aime pas” , “non pas envie”. ça fait 5 fois que je tente de le repousser. Je me retourne et là il m’insère un doigt par derrière d’un coup. Je m’énerve en lui disant que c’est non pour tout ce qui se situe là. Il finit le rapport en éjaculant sur moi
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J’ai été déjà plusieurs fois victimes d’agression ou de viols. Mais la j’ai quitté mon copain hier et je me pose beaucoup de questions. Quand on étaient tout les deux on n’avaient pas de rapport sexuels car je ne voulais pas, j’avais toujours terriblement peur des hommes. Le soucis c’est que parfois il mettais ma mains sur son sexe je ne sais même pas pourquoi et je la retirait directement. A chaque fois pour n’importe quels gestes sexuels je disait non. Mais il me caressait à chaque fois juste à côté du sexe et je lui disait d’arrêter mais il continuais et je me réveillais dans la nuit à chaque fois où il me caressait toujours à côté où mettais sa mains dessus ou des quon sembrassaient il mettais sa main derriere ma tete et des que je voulais me retirer il forcait sur ma tete. Vraiment je ne sais pas quoi en penser car je le sens comme une agression mais je ne pense pas que lui le sente comme une agression mais j’ai l’impression de toujours attirer ce genre de situations. Aujourd’hui on est plus ensembles et je suis vraiment soulagée.
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Je souhaite, par cette démarche, rendre ce que je porte seule depuis 27 ans. Tu m’as violée pendant 4 mois, séquestrée 3 jours, battue et fracassée psychologiquement 1 an et 2 mois. J’ai de la peine pour toi… Je pense que ton problème est plus grave que le mien. Je souhaite que les personnes qui font partie de ta vie ne te laissent pas les traiter ainsi ! Je souhaite que tu te retrouve face à la réalité de ce que tu as pu faire vivre aux autres !!! Je souhaite que tu prennes conscience du monstre que tu peux être !!!
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Orléans centre. 3 ans de relation toxique avec un homme. Un viol par derrière au sein d’un rapport plus ou moins consenti (je pleurais à cause d’un énième manque de respect de sa part…et il fallait que je me déshabille pour pouvoir me coucher car les fringues, “c’est sale, tu t’asseois partout avec”. Et de multiples manques de respect. Je lui demande à chaque rapport de ne pas éjaculer sur moi, il le fait car “c’est crade si ça atterrit dans son lit ou dans sa main”. Des tapes dans les seins (complexe pour moi) régulièrement en prenant une voix graveleuse et en disant “ça c’est des sacrées mamelles” Un homme considéré “gentil”….la blague… Un vrai prédateur
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Après avoir reçu un énorme coup de tête… mon ex compagnon m’a tout bonnement violé… me jettant des billets dessus en me disant que maintenant que j’étais payée je devais y mettre plus d’entrain… il m’a violé tellement violemment que j’ai été projetée hors du lit… tombant… sur la tête. .. 5 jours d’itt pour avoir subit des violences et un viol… 48h de garde à vue pour lui et AUCUNE MESURE D’ELOIGNEMENT DE PRISE!!!
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Le 26 juin dernier mon ex compagnon m’ a forcee à avoir un rapport sexuel avec lui c etait violent , j ai pleure il me faisait mal et il a continue . Je l ai quitte et pas revu depuis ce 26 juin il m a menace de me tuer avec une arme si je parle, il a plusieurs armes chez lui . Depuis je suis terrorisee et il m envoie encore des sms .
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Il y a quelques années, j’ai rencontré un homme avec qui j’ai vécu 10 ans. Au début, il était très gentil et on a décidé de s’installer ensemble. Lui, moi et ces deux chiens. A partir de ce moment là, le calvaire a commencé. Je devais me faire baiser comme il disait à chaque fois qu’il en avait envie et toujours dans la même position : la levrette. Il me violait à chaque fois que j’étais à la maison surtout juste avant et juste après que j’aille au travail. Bien entendu, je n’avais pas le droit de prendre une douche après qu’il m’a violé donc j’allais au travail en sentant le sexe et les gens dans les transports me regardait bizarrement. Le pire s’est produit plus tard quand il a voulu partager avec ces deux dobermans. Je me suis faite aussi violée par ces deux chiens. Quand les trois me violait, les uns après les autres, ça durait des heures et je ne compte plus le nombre de fois où je suis tombé enceinte et que j’ai dû avorter. Aujourd’hui, je ne supporte plus qu’on me touche, j’ai fais plusieurs tentatives de suicides et j’ai même fait un long séjour en hôpital psychiatrique. Que vous soyez un homme ou une femme, il faut en parler avant que la personne vous détruit.
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Une personne rencontré très jeune, malheureusement j’ai été manipulé, violé, violenté physiquement et moralement. Je n’ai rien vu ou n’ai pas voulu voir. Tombée enceinte très jeune et marié.
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Je quitte mon mari, lui quitte sa femme. Et là, il commence à devenir bizarre. Il me fait des crises très fréquemment où il me fait culpabiliser sur tout , commence à simuler des ruptures pour revenir ensuite comme un sauveur. Je m’aperçois peu à peu que rien n’est spontané chez lui, il calcule le moindre de ses mots, de ses gestes, pour tout faire au bon endroit, au bon moment , selon un schéma qu’il aura étudié et prévu des jours, des semaines, voire des mois à l’avance. Il retourne chacun de mes mots contre moi, me dit qu’il veut que je sois “addict” à lui. Puis la sexualité devient étrange avec lui… je m’aperçois qu’il me suit, m’espionne. Quand on est tous les deux, il ne parle pas beaucoup et m’observe, comme pour guetter mes réactions, mes comportements. et voilà, un jour est arrivé, je me suis rebellée. Je lui ai dit que j’allais arrêter de me justifier sans cesse, que je ne faisais rien de mal, que j’avais marre de ses crises. Sur le coup, il ne dit rien et s’en va. Puis une semaine après, il arrive chez moi, et me viole, en sodomie et m’expliquant que je suis une salope de menteuse et que je mérite ce qu’il m’arrive. Puis me laisse là dévastée. Je me suis sentie trahie, par un homme en qui j’avais confiance.
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J’ai passé 7 ans de ma vie à me faire frapper et violer quasi quotidiennement. Beaucoup savaient pour les coups mais personne n’a jamais rien fait. Une nuit j’ai appelé la police, j’étais défigurée. J’ai déposé plainte, j’ai divorcé et je suis partie loin, très loin. Je tente maintenant de refaire ma vie, en attendant qu’il soit condamné … ou pas !
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Cela fait 10 an que je suis avec mon copin je ne le désire plus du tout je n ai plus du tout envie de quoi que se soit avec lui je lui et bien fait comprendre depuis plusieurs mois je fais chambre a part mai hier se dernier et devenu violent il m’a forcé à coucher avec lui je lui et dit non à plusieurs reprises mais se dernièr ne ma pas écouter il c est jeté sur moi ma arraché mes sou vêtements et ma pénétrer de force pendant que je pleurer il ma dit bouge pas c est bientôt fini puit il et parti sanc dire un mots je suis resté toute la journée à pleurer je ne sais pas quoi faire je me sent salie j ai honte d aller voir la gendarmerie pour porter plainte
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J’avais témoigné fin mai, au sujet de mon ex. Après notre rupture, je me suis rendue compte, que j’avais été victime de viol conjugal.
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20 ans que nous sommes ensembles. Je pensais que c’était normal. Après tout on entend partout dire que les hommes ont plus de besoin. La première fois qu’il m’a violé cetait au tout début je lui avait clairement dit non je lui ai ensuite fais la gueule, il s’est excusé 1000 fois et ma juré qu’il ne recommencerais pas. Le sexe avec lui était très égoïste. Si je lui disait que j’aimais tel ou tel chose il soupirait, si je lui disait que j’avais mal il soupirait… mais je me disait que c’était normal. Je me souviens qu’il aimait que j’ai bu parce que j’étais plus ” detendu” j’étais surtout plus inconsciente et inerte… une fois je me souviens nous étions en vacance, une fête avait été organisé et j’avais pas mal bu. En me couchant il commence à me caressé je lui ai dit plusieurs fois non j’étais pas bien mais je n’ai pas eu le choix. En 2016 après 14 ans de vie commune je vois sur la télé ” céder n’est pas consentir ” j’ai pris une claque car c ce que je faisais je cédait. Si je disait non j’en avais pour des heures d’argumentation ” mais pourquoi tu veux pas ? Aller on en a pas pour longtemps , plutôt que de parler ça irait plus vite qu’on le fasse tu pourras dormir après, ne t’énerve pas tu vas pas réussir à t’endormir ” ça durait des heures alors à bout pour avoir la paix je cédait. Sauf que petit à petit je haïssait le sexe ça me dégoûtait. Ha un moment je me suis résigné et j’ai arrêté de protester sauf que ça a été terrible. Mon corps le rejetait, mon esprit le rejetait, quand il faisait son affaire je mevadais dans mon esprit. Les paroles blessantes ont augmenté de niveau la dernière année. Il soupirait en me disant ” hen encore pfff t chiante ” quand je lui disait que j’avais mes règles je lui répondait à chaque fois que ce genre de phrase n’était pas normal mais il ne répondait pas. Puis j’ai eu le droit à ” tu as qu’a m’autoriser à aller voir une maîtresse ” 2 fois il me l’a dit . Où encore ” bon t’aime pas le sexe mais tu pourrais faire un effort ou simuler” bref au bout de quelques mois il y a eu la goutte d’eau, un samedi soir nous avions reçu du monde. On va se coucher et il commence à me caressée je lui dit non car j’ai des crampes d’estomac. Il soupire d’agacement s’arrête 2 min et reprend je lui redis non j’ai toujours mal et c pas en 2 min que ça va passer j’ai eu le droit a ” t chiante tu as toujour un truc qui va pas ” je me suis énervé et je lui ai dit ” t’en a vraiment rien a foutre de moi hein? Tout ce que tu veux c baiser le reste tu t’en fou” il m’a dit ” n’importe quoi” il a recommencer je me suis énervé car j’avais vraiment mal après des soupir d’agacement il s’est endormi. Ça a été la dernière fois . Le dimanche je lui disait que c’était fini il ne me toucherai plus tant que nos problème serait pas résolu. Il est tombé de haut quand je lui ai dit qu’il m’avait violé il n’y croyait pas . Il m’a dit qu’il s’excusait qu’il se rend compte qu’il avait pas a faire ça. Ça fais 5 mois que nous n’avons rien fait. Une partie de moi aimerait le croire mais mon corps me hurle ” NON” des qu’il s’approche. Et quand il me carrosse juste le bras dans le lit je reprend mon vieux réflexe de compter… je vous explique , quand il me caressait le bras dans le lit tout se jouait en 1 minutes. Soit au bout de 1 min il arrêtait et s’endormait soit il descendait et la je savais… je devais y passer. Donc cette minute est interminable pour moi mon cœur s’accélère, je transpire, ma respiration est difficile et surtout je ne DOIS pas bouger ! Quand la minute passe je sais que je peux me détendre… du coup même si il ne tente rien j’ai ce vieux réflexe de compter!. Bref tout ça pour dire que cette homme est normal éduquer à l’ancienne ou le sexe est un du… et que le consentement n’est pas pour le couplé. Je ne sais pas comment notre histoire va avancer mais c très dur pour moi et pour lui.
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J’ai subi un viol par pénétration anale. C’était violent. Je n’arrive toujours pas à réaliser . Il savait que je ne voulais pas de sodomie. Il savait que j’étais sèche à cet endroit . Et pour m’humilier un peu plus il a allumé la lumière crue de la chambre. Le lendemain il niait avoir commis ce viol me rejetant la faute et me signifiant qu’il voulait des enfants (que je ne peux plus lui donner). Et il faut que je fasse avec ça.
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Je suis tombée entre les griffes d un jeune homme de 25 ans et moi j avais 19 ans. Il était un vrai prince charmant au début et a toujours eu bcp de charisme. J étais étudiante et je venais de m installer dans une chambre de 9m2 alors quand au bout de 3 mois de relation il m a proposé d emménager avec lui dans son appart j ai tout de suite dit oui, j étais amoureuse et aveugle. Un jour au tout début il m a demandé de mettre une nuisette rouge et de revenir dans la chambre. Quand je me suis changé dans la salle de bains je suis resté un moment à me demander si j avais vraiment envie et je crois que j avais pas envie et je suis allée vers lui pour lui faire plaisir. Sans aucune préliminaire, il m a agrippé par les hanches et m a forcé à faire l amour il est ensuite venu sur moi et je me suis écartée en reculant mais sans me débattre ni dire quoi que ce soit et il m a pénétré de force. J ai eu mal et j essayais de me détendre pour avoir moins mal… Il m a ensuite retournée comme une crêpe je me suis retrouvée allongée sur le ventre et il a continué sans voir mon visage. Ça a duré pas longtemps mais ça m a semblé très long. Je ne comprenais pas ce qu il se passait j avais juste envie que ça s arrête. À la fin il est parti et j ai essayé de me mettre debout je ne pouvais pas j avais mes jambes qui tremblaient. Aux WC j ai vu que je saignais de la chatte j ai eu un choc en voyant ça je pensais avoir mes règles mais non. J ai eu mal pendant 2 jours pour m assoir. Et ensuite je suis resté en couple avec lui et il y a eu plein de bons moments sa famille qui m appréciait des activités sympa resto ciné voir des amis etc… De l extérieur on avait l air d un couple normal. Mais il a commencé à me lancer des pics et la violence psychologique a fait des dégâts sur ma santé. Un jour il m a dit dans la rue “je promène ma chienne ! ” Et puis il me faisait passer pour une conne car il avait plus de culture générale que moi. Un jour je me scarifiais les jambes par terre (en repensant à tous les viols qu il me faisait subir) et il m a épousseté ses pellicules au-dessus de ma tête en disant “oh il neige !”. Il m a aussi collé une étiquette sur le front et dit “15€50 c est ce que tu me coûte en bouffe tous les jours”. Les rapports était douloureux pour moi et je lui disait alors il allait moins vite mais ne s arrêtait pas. Je pensais avoir un problème genre sécheresse vaginale mais en fait c était lui le problème. Avec du lubrifiant ça allait mieux mais toujours presque pas de préliminaire et pas de tendresse, cet homme ne voulait pas me donner du plaisir. J étais son jouet. Il me forçait à lui faire des fellations. J ai déménagé seule pour continuer mes études en Master et nous sommes resté à nous voir le weekend. Je suis tombée en dépression et j ai fais une tentative de suicide. J ai été hospitalisée en clinique psychiatrique pendant 3 semaines. Ma mère n est même pas venue me voir. Après j ai abandonné mon Master et redemenagé chez lui. Grosse erreur. Après chaque rapport douloureux j allais aux WC et je regardai si je ne saignais pas mais non, par contre j avais des brûlures en faisant pipi. (Des micro blessures) et je restais enfermé aux WC pendant 1 heure pour me scarifier les jambes avec mes ongles. J ai ensuite été hospitalisée en psychiatrie encore 2 fois pendant lesquels j ai eu des délires et de la paranoïa. Je suis devenue schizophrène et je souffre aussi de TOC c est un handicap psychique. Avant la dernière hospit j ai réussi à le quitter, quel soulagement quelle liberté !!! le jour où je l ai quitté j ai déménagé chez ma mère qui s occupe bien de moi maintenant que je lui ai tout raconté elle comprend ma souffrance. Je peux compter sur ma mère quand ça va pas et elle m aide pour les soins psy. Cette relation toxique a duré 7 ans. Et j en ressors handicapée avec plein de médicaments à vie (neuroleptiques antidépresseurs correcteurs et anxiolytiques) et un suivi avec une psychiatre. Ainsi que 2 ans en hôpital de jour. Je commence enfin à aller mieux.
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Je suis toujours marié avec l’homme qui m’a violée entre 2013 et 2014. Il a été relaxé pour les viols. Un des juges a posé une question . Les juges des affaires familiales ont reconnu les violences subies. Mais il a fait appel puis maintenant il fait un pourvoi en cassation. J’espère que la justice sera juste et que je serai divorcée. J’ai beaucoup culpabilisé après ma plainte. Mais il n’y a pas d’autre solution pour sauver sa peau. Quand je lui ai dit qu’il aurait pu me défigurer, il a répondu qu’il en avait plus rien à foutre et qu’il faisait ce qu’il voulait de moi car j’étais et malheureusement encore sa femme. Il m’hurlait des insultes dans les oreilles, il a commencé à me gifler quand j’ai dit non. Il faut fuire ce genre de relation et surtout garder toutes les preuves car notre justice est toujours gouvernée par une grande majorité d’hommes. Ça fera 8 ans que j’ai porté plainte et je ne suis toujours pas divorcer. J’essaie de continuer à vivre disons à survivre avec les médicaments prescrits par les médecins. Mon corps me fait mal et la fibromyalgie s’est installée peu à peu. Je suis maintenant handicapée et ma vie est compliquée…
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Il était mon conjoint. Il m’a violé pendant des mois. Il m’a agressé sexuellement et m’a violenté physiquement et psychologiquement. Mais il est apprécié socialement. Alors il fait passer ses ex compagnes qui ont le courage de porter plainte contre lui pour des folles, des femmes instables, jalouses… Nous sommes trois à avoir porté plainte. Mais sa famille, ses amis, ses collègues sont loin d’imaginer l’enfer que j’ai vécu une fois que la porte de la maison était fermée. Malgré les antécédents judiciairesje ne sais pas si ma plainte sera prise au sérieux.
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Voilà 5 ans que nous sommes ensemble avec mon compagnon. Nous avons eu un enfant l’an dernier. Il est tendre, attentionné, et se préoccupe de mon bien être, et des injustices homme femme. Il suit beaucoup l’actualité et s’indigne des violences faites aux femmes. Voilà pour vous dresser le tableau. Hier soir alors que je dormais, il a commencé à baisser ma culotte et a placer son sexe dur entre mes fesses. J’étais tétanisée et j’ai continué de faire semblant de dormir pour voir jusqu’où il irait. Quand il me voyait bouger ou respirer un peu plus bruyamment il se stoppait puis recommençait son manège en faisant tout pour ne pas me réveiller. Au bout de 15 minutes d’effroi je lui a dis “qu’est ce que tu fais” et là il m’a dit “des coquineries”, je lui ai répondu “tu te fous de ma gueule ?” et lui “tu me manques ma chérie” je lui ai hurlé de dégager, il voulait me prendre dans ses bras et s’est mis à sangloter bruyamment en s’excusant mille fois. J’ai tenu bon et il est allé se coucher dans la salon. Je suis restée interdite. Ca s’était déjà produit il y a 4ans et je n’avais rien dis. Enfouis sous le tapis. Et puis des attouchements avaient repris ces derniers temps, une main sous ma culotte et vers mon anus, ce genre de choses… mais à chaque fois j’étais perdue car dans un demi sommeil, je me dégageais de son étreinte et me rendormais. Ça a finit par me mettre la puce à l’oreille c’est pourquoi cette nuit je n’ai pas bougé et retenu mon souffle pour comprendre ce qui se passait, ce qui m’arrivait et jusqu’où il irait. Je ne crois pas qu’il serait aller jusqu’à la pénétration. C’est des caresses sexuelles faites a mon insu.
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J’étais sa chose j’étais sa salope , sa pute , il m’appelait comme ça et je devais faire tous ses caprices . Caméra sous la table pour filmer mon sexe , pendant les repas , pendant que je faisais de la comptabilité . Caméra connectée sur les réseaux où je devais me caresser devant des hommes , avec des objets ou avec des légumes, je devais aussi montrer mon sexe a tous les ouvriers ou artisans qui venaient à la maison , un jour il a mis une petite cuillère dans mon sexe et l’a mise dans le café de l’un d’eux , je devais aussi lui faire une fellation quand il l’exigeait autrement il m’attrapait par les cheveux , me faisait mal , pour me forcer à me mettre à genou devant lui , je n’avais pas le droit de mettre de dessous et je devais être habillée comme une prostitué , je devais aller travailler dans cette tenue – nous avons un commerce- et là il mettait son téléphone sous ma jupe pour prendre des photos , ils montaient les photos aux pauvres hommes qu’il croisait ( sans abri , handicapé mental) en me disant que cela leur faisait plaisir , et que je devrais les caresser les pauvres , j’étais humiliée sans cesse et rabaissée , je devais aller faire les courses comme cela aussi et me pencher dans les rayons pour montrer mon sexe …il voulait que de la voiture j’ouvre la fenêtre et que je fasse des fellations aux hommes qui voulaient , il voulait me laisser sur un chantier pour que les ouvriers jouent avec moi , il regardait sans cesse des vidéos pornos et après voulait faire la même chose , j’essayais de lui dire que ce n’était pas la réalité d’un couple , il me répondait que si , que toutes les femmes faisaient ça et même plus que moi … quand je refusais d’être sa chose , il se fâchait, son visage changeait ,il me menaçait et devenait violent , je lui ai demandé d’aller voir un psy ou un sexologue pour en parler il a refusé et c’est devenu pire il se caressait en regardant ma mère dans le jardin par la fenêtre, je devais me mettre à quatre pattes et bien mettre mes fesses en vue quand venait le plombier ou autres personne , il a pris des maîtresses car je commençais à me rebeller jusqu’au jour où il s’est arrêté sur un parking de routier m’a demandé de me déshabiller et de sortir de la voiture , j’ai eu la force de dire non . Il m’a détruite psychologiquement , moralement ,je vivais avec la boule au ventre , la peur de ce qu’il allait inventer, j’avais des enfants et un travail en commun avec lui et j’ai eu peur de m’exprimer et d’ailleurs à qui aurais je pu raconter ce que je subissais , encore aujourd’hui c’est la première fois que je parle de cela car il avait réussi à ce que je pense que c’était la normalité ce que je subissais …. Je suis séparée aujourd’hui mais il va détruire une autre femme , il est tellement gentil pense notre entourage ….
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5 ans. C’est le tout le temps qu’il m’a fallut pour me rendre compte qu’il me violait depuis le début de la relation. Lorsque nous nous sommes rencontrés j’avais 17 ans, lui 24. À cette époque je n’étais pas bien dans ma peau (problèmes familiaux – un père mort suicidé et une mère qui ne s’occupait pas tellement de moi), j’étais perdue, effacée, je venais de me faire larguer, je n’avais pas de vrais amis, je ne parlais pas beaucoup. Bref j’étais très seule. L’idée que quelqu’un s’intéresse à moi me paraissait tellement bizarre que je n’ai pas compris qu’il me draguait. Pas même lorsque qu’il m’a invité à boire un verre. Je croyais qu’il s’intéressait à une copine, et qu’il voulait que je leur arrange un coup ou un truc comme ça. Finalement il ne m’a pas parlé d’elle, il m’a parlé de lui, de son boulot, de sa petite maison qu’il venait d’acheter, et des travaux qu’il entamait dedans. Ensuite il m’a proposé qu’on aille la voir. J’ai accepté, il m’a montré l’intérieur vite fait (c’était en chantier il venait de tout casser). Ensuite nous sommes allés boire une bière dans le garage. Il me parlait de ses travaux et d’un coup il m’a embrassé, alors que je ne m’y attendais pas du tout. Je n’ai pas réagi car j’ai été surprise. Ensuite tout est allé très vite. Il m’a enlevé mon manteau, mon pantalon et m’a prise comme ça, froidement, sur une pile de plaques de placo. Je n’en avais pas envie mais je me suis laissée faire, je n’osais pas lui résister, il m’impressionnait. Je ne considérais pas ça comme un viol, parce que je ne lui ai pas dit non. J’avais tellement peu d’estime de moi-même que ça m’a rendue indifférente à mon consentement. Au moins j’ai eu l’impression de faire plaisir à quelqu’un, de servir à quelque chose. Et je suis tombée amoureuse de lui. En fait je crois que je serais tombée amoureuse de n’importe qui. Parce que j’étais mal dans ma peau, que je pensais qu’on ne pouvait pas s’intéresser à moi et aussi parce que je voulais absolument me barrer de chez ma mère. Alors on s’est mis en couple, et j’ai emménagé avec lui, j’ai rencontré sa famille et lui ai présenté la mienne. Nous avions l’air d’un couple normal. Mais déjà que j’étais complètement effacée, il m’a carrément éteinte. Le peu de fois où je parlais, il me coupait la parole. Tout ce que j’aimais, c’était de la merde. Il m’a fait perdre ma personnalité, et moi je faisais tout pour lui faire plaisir. Tout ce qu’il attendait de moi, c’était que je ferme ma gueule, que je m’occupe de la maison, et que j’écarte les jambes, en gros. Au début c’était tous les jours, plusieurs fois. Sans aucune marque d’affection, de tendresse. J’ai fini au bout de quelques mois par avoir la chatte complètement irritée (parce que je ne mouillais pas pendant les rapports, il utilisait sa salive pour que ça rentre). J’avais une sensation de brûlure à chaque pénétration, et je continuais à avoir mal plusieurs heures après. J’ai fini par lui dire timidement que j’avais mal, ça ne l’a pas arrêté. À ce moment là je pensais que c’était moi qui avait un problème de libido, de sécheresse vaginale, je me disais que c’était peut-être à cause de la pilule, ou peut-être même que j’étais allergique à son sperme lol. J’appréhendais tous les soirs le moment d’aller au lit, de passer à la casserole. Au fil du temps il s’est un peu calmé et me touchait moins souvent. Je lui résistais un peu plus aussi, je lui disais que je voulais dormir, et je tenais ma culotte quand il me la baissait. Mais quand il était vraiment déterminé il était capable d’insister plusieurs heures (“j’peux te la mettre? aller, ce sera pas long…”) et je finissais par me laisser faire pour avoir la paix. Il profitait des moments où j’étais plus faible pour pouvoir me baiser, quand j’étais malade, bourrée, endormie. Il passait son temps à se branler. Parfois il me réveillait avec une bifle, ou en m’éjaculant dessus. Pendant les rapports il me disait des genre du genre “tu l’aimes ma grosse queue, hein sale chienne!” Parfois il s’excusait de ces comportements. Il me dégoûtait de plus en plus. Il me dégoûtait aussi dans son comportement avec les autres, il rabaissait toujours les plus faibles que lui. Il me faisait peur. Il se mettait en colère pour un rien, piquait des crises de nerfs. Il tapait notre chienne quand elle n’obéissait pas. Je m’en veux tellement de n’avoir rien fait aujourd’hui, pauvre loulou. Un jour nous sommes partis en vacances au ski, je me suis pété le genou et j’ai dû me faire opérer et porter une attelle pendant 2 mois. Le côté positif c’était qu’il ne me touchait plus. Et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à me réveiller et à vouloir le quitter. C’était à l’époque des débuts des dénonciations MeeToo, on parlait de consentement et tout ça et ça m’a ouvert les yeux. Je me suis sentie tellement conne de l’avoir laissé m’utiliser comme un jouet pendant plusieurs années. Je m’en voulais de m’être laissée faire, de ne pas avoir été plus ferme dans mes refus. Je me dégoutais autant que lui. Je me suis réfugiée dans l’alcool et la coke. J’ai mis du temps à le quitter parce que j’avais peur de sa réaction, et parce que je n’avais nulle part où aller, j’étais en froid avec ma mère, et chez les amis je ne pouvais pas venir avec ma chienne. Il fallait que je me trouve un boulot, une voiture, un appart. J’étais deter à rééduquer ma jambe pour pouvoir le quitter, ma kiné était très impressionnée de mes progrès lol. Dès que j’ai pu remarcher à peu près normalement je me suis trouvé un boulot à l’usine. J’y allais avec la voiture de mon ex, et j’économisais pour m’en acheter une. Je restais boire des coups avec les collègues après le boulot, parce que je n’avais pas envie de rentrer. Et quand je rentrais je continuer à me bourrer la gueule. Je ne mangeais quasiment plus, j’ai perdu 10kg en un mois. Mon ex avait bien compris que j’allais partir mais il pensait sûrement qu’il me récupèrerait facilement plus tard. Il a fini par me dégager et me dire de retourner chez ma mère, pensant que j’allais revenir en rampant. J’ai ravalé ma fierté et je suis retournée chez elle. À ma grande surprise elle m’a beaucoup aidé. Elle me laissait sa voiture pour aller au boulot, m’a aidé à trouver un appart. Une tante m’a prêté de l’argent pour acheter une voiture. Tout allait mieux. Je me retrouvais. J’ai commencé à sortir avec un collègue de boulot. C’est une relation qui n’a pas marché mais nous nous amusions bien et parlions beaucoup. Nous avions tous les deux une histoire compliquée et un problème de confiance en nous. Grâce à lui j’ai redécouvert les relations consenties et ma libido. Mais on passait notre temps à boire et à se défoncer la gueule. Je pensais pouvoir recommencer ma vie tranquillement. C’était sans compter mon ex qui cherchait à me récupérer et qui a pété les plombs en apprenant que je sortais avec un autre mec. J’ai appris plus tard que j’étais restée connectée à Messenger sur sa tablette et qu’il pouvait lire toutes mes conversations. Grâce à ça il a su mon adresse et venait m’espionner, il savait souvent où j’étais et s’est pointé à une soirée à laquelle j’étais présente (je pensais qu’il était venu par hasard dire bonjour à ses potes, mais c’est eux qui m’ont dit plus tard qu’ils pensaient qu’il me géolocalisait) On s’est reparlé, il me disait vouloir qu’on reste amis. Pourquoi pas. Il m’a demandé si j’avais un mec, je lui ai dit non parce que j’avais peur qu’il s’en prenne à lui (il savait que je mentais puisqu’il lisait mes conversations). Ça a duré un an comme ça, j’essayais de le faire aller mieux, je culpabilisais parce que je vivais bien la séparation et pas lui, je lui disais de passer à autre chose, etc.. Il me disait qu’il voulait se soigner de ses pulsions sexuelles et qu’il irait voir un psy. Et pendant ce temps là il savait tout de ma vie et il était persuadé qu’il allait me récupérer. Quand il a su via mes conversations que je m’étais séparée de mon copain, il a commencé à m’espionner de plus en plus, et il venait cogner contre la porte de mon immeuble souvent le dimanche soir pour m’empêcher de dormir (heureusement il ne pouvait pas rentrer dedans il fallait un badge) C’est à ce moment là que j’ai vérifié les paramètres Facebook et que j’ai vu que mon compte Messenger était connecté sur sa tablette. Ça m’a valu des crises d’angoisse, des insomnies, cauchemars, paralysies du sommeil… J’ai déconnecté mon compte de sa tablette. À ce moment là il m’a menacé de se suicider. Je suis allée voir les flics le lendemain, ils m’ont dit de le bloquer de partout et de ne plus jamais lui répondre. J’ai tout de même vu le début d’un message quelques temps après, qui commençait par “J’espère que tu as conscience que tu as pourri ma vie”. Je ne me sentais plus en sécurité chez moi parce qu’il savait où j’habitais. J’envisageais de changer de région pour être tranquille, quitte à quitter famille et amis. Aujourd’hui je suis avec un homme génial, qui est très attentionné, protecteur, qui fait tout pour que je prenne confiance en moi. Il m’apporte toute l’affection que je n’avais jamais eue. Il me traite comme la huitième merveille du monde, ça fait bizarre après avoir été traitée comme une merde pendant 5 ans. Il m’a proposé dès le début de la relation de venir habiter chez lui parce qu’il savait que j’avais peur de mon ex (il se connaissent et ne peuvent pas se blairer) Du coup l’autre enflure me fous la paix depuis que je suis avec mon chéri, parce qu’il a peur de lui (j’avoue que ça me fait beaucoup marrer) J’ai mis beaucoup de temps à en parler, à mettre des mots sur cette relation, et à utiliser le mot viol. Aujourd’hui je suis en colère contre ce genre de porcs qui n’hésitent pas à abuser de meufs qui n’ont pas la force/la maturité de dire non. Mais en même temps je suis contente que les choses évoluent, qu’il y ait un mouvement de rébellion de la part des victimes. Raconter mon histoire sur internet avec tous les détails c’est une façon de me libérer d’un poids. Ça faisait un moment que ça me trottait dans la tête. Parce que j’ai besoin d’avancer dans la vie. J’en ai marre de me détruire. J’ai envie d’être heureuse avec mon copain, de le rendre heureux aussi. Ce soir comme beaucoup de gens sur ce site j’ai balancé mon porc, en espérant que ça m’aidera à occulter cette sombre période de ma vie.
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Je me suis fait violée… Je n’en ai jamais parlé, jusqu’aujourdhui tout était à l’intérieur, mais je n’arrive plus à avancer depuis la naissance de ma fille j’ai la tête sous l’eau… pourquoi tout ressort aujourd’hui alors que j’ai tout pour être heureuse ? Je n’en peux plus je ne sais même pas à qui.me.confier car chez nous les relations hors mariage sont mal toléré, limite si on me dira pas ” bien fait”
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Je me suis faite violée plusieurs fois, par différentes personne Le premier viol a eu lieu quand j’avais 13 ans… mon premier amour en avait 19, biensur il savait que j’étais mineur et vierge ! Il m’a violée et frappée à plusieurs reprise pendant plus d’un an… Je tombe pendant cette année dans l’anorexie et la.boulimie. Jusqu’au viol de “trop” ou j’ai réussi à le repousser et à m’enfuir en le menaçant de porter plainte…
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Sauf que mon mal être est plus profond mais je ne me rend pas compte de sa dans ma carapace faite de tissus je suis bien je me sens protégée Mais je n’arrivais pas à franchir le pas d’avoir un rapport réellement consenti Alors au bout de 3 mois de mariage il me menace de divorce Je me donne à lui Quand il ne voit pas de sang son comprotement pourtant jusqu’à présent doux et amoureux se transforma Il devient mon bourreau pendant 6 mois il me viol aussi à plusieurs reprise Monsieur veut un enfant donc c’est des viol casi tout les jours hors période de regle
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Me force à lui faire des fellation je sais pas si c’est du viol aussi mais je n’aime pas ça il le sais
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Il me re violera dans ma chambre d’ado chez ma mère, il me pousse sur mon lit et me viol en me disant tu te souviendra tout le temps de sa quand tu dormiras Il me viol dans mon lit. Ce sera la dernière fois où il me touchera. Après sa je rentre dans la religion je décide de me voiler entièrement je ne veut plus.quon me touche qu’on me voit non je ne veux plus qu’un homme s’approche de moi
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Mon premier copain m a viole le jour de mon anniversaire . On venais de se remettre ensemble mais il m avais fait tellement souffrir que je n arrivais plus à avoir de rapport avec lui . Du à des trauma de mon enfance aussi . Je ne voulais plus de rapport . Le soir de mon anniversaire je me suis endormi chez lui. Et mon réveil étais horrible . Je me faisais violer . J étais allonger sur le ventre et lui sur moi . Je disais « non » « non » arrête je t en supplie : je ne l ai pas reconnu il a tenue mes poignées et m a dit de la fermer et le laisser terminer . J ai tenter de me débattre et il tenais mes poignée et. M empêchais de sortir . A un moment mon esprit c est comme déconnecté . Je ne parvenais plus à parler ni à bouger . J étais tétanisé et briser . ..je n ai même pas pu partir après car j avais peur qu il me fasse du mal après se qu il venais de me faire .auparavant il avais déjà été très violent avec moi . Notamment une fois où j ai renverse mon verre . Et il m avais defoncer la tête contre un mur … le lendemain je suis partie et peu de temps après je suis parti vivre loin de la ville où il étais . Des années plus tard il avais tenté de me demander pardon . Et moi conne que je suis j ai fini après longtemps a essayer de lui pardonner j avais pitier de lui .. et cette après enfoire m à viole de nouveau . Il a viole deux autres filles elles n ont jamais porter plaintes .. j ai porter plaintes des années plus tard … et il n y a jamais eu de suite . La police m à ris au nez ..
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Bonsoir, j ai un soucis et je n ai pas encore trouvé d échappatoire, je suis en couple depuis 3ans avec mon copain qui m a soutenu dans pleine d épreuve une complicité sans nom mais ce matin il voulait qu on face l amour je n’ étais pas contre mais je voulais un préservatif il ne voulais pas alors j ai opter pour qu on face plutôt de l anal… ça ne passer pas donc bon je lui dis on arrête et on fais à l ancienne (main, bouche) et là…il me pénètre devant sans préservatif je lui dis non **** non si te plaît! “Ça va je compte” il a compter 10seconde pour pas éjaculé, il a pas éjaculé et là je me sens…vide j avais pas mal au sexe mais plus mentalement et lui dis cash “c étai pas consenti ça, je t avais dis non” “mais tu bougeais pas pour mon c étai bon”…..pendant le reste de la journée on etai chacun de son côté a la maison, n osan pas nous regarder, l esprit torturer jamais il avait fais ça en 3ans de relation lui qui était un défenseur des femmes lui qui m a aidé sur tellement de chose y compris des trauma sexuelle étant petite (juste en parler et être apte à écoute r) mais il m avai bien violer alors que faire? et j ai pris les devant pour discuter avec lui et….il était pas bien me disant que sur le moment ben il a pas réfléchi, que ça excuse en rien ce qu il a fait car qu il vient de tout détruire en 10seconde notre relation, qu il est près a ce couper le sexe, que si il veut plu qu il me touche il écouterai tout ça ce son ses mots je lui ai conseiller de voir un thérapeute et m a dis qu il le fera ….depuis il dort sur le canapé (c est lui qui a insisté car il ce sent pas digne) et moi actuellement je suis dans le lit et j’écris je suis partager de l autre je l aime et le faite qu il prend conscience que c est grave et qu il est prêt à faire ce qui peu même si je sais ça enlèvera pas son acte et a mon avis magnifique il aurai pu nié tout en bloc et douté de mes mots je sens qu il tient sincèrement à moi en me disant que j étai ça raison de vivre et l’autre côté le temps….je repense à ses belles paroles sur la protection mutuelle sur mes confidences sur mes difficultés sexuelle qui s essouffle dès que je repense à ce qui c est passé je veux plu faire certaine position et il pense que notre relation ne marchera pas pour l instant moi je suis dans le flou, lui il pense qu il y aura un énorme mur et que avec tout ce que j’ai enduré peu être qui y aura des changement y compris notre complicité mon regard plein d amour car il m’a trahi il le sait et donc pense que ce sera terminé a cause de lui….. désolé du pâter qu en pensez vous? J ai déjà eu des agressions sexuelles étant jeune mais j en suis guéri mais celle ci devant un homme qui reconnaît mais pleure et ce pli en quatre ben….je suis dans le flou
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Depuis que je me suis rendue compte que j’avais été victime de viols conjugaux par mon ex, je fais souvent des cauchemars. Ce sont souvent des cauchemars de viol mais jamais les scènes qui se sont passées dans la vraie vie. C’est toujours mon ex mais différemment de ce qu’il s’est passé dans la vraie vie. J’ai souvent aussi des « flash ». A des moments random je repense sans le vouloir à des phrases qu’il m’a dit, à des scènes où je n’étais pas vraiment consentante. Je ne sais pas trop quoi faire
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je me suis mariée à 18 ans et 4 mois j’ai connu les violences psychologique des le début ton prénom est moche donc sans prénom pendant 40 ans ,tu es trop grosse tu ressembles à ta mère ton père est un alcolo ………………..ensuite il aura des viols puis ensuite il m’a proposée à d’autres hommes puis ensuite à des couples je l’ai quitté en 2012 j’ai déposé plainte en 2020 à ce jour une garde à vue et classement sans suite pour manque de preuves je vais donc me porter partie civile j’espère que la justice fera son travail si quelqu’un peut me donner des conseils je suis preneuse
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Je croyais que il m’aimais parce que c’était mon premier amour et pour moi l’amour c’est beau et rose Je faisais tout pour lui faire plaisir car si je le faisais pas il était extrêmement déçu de moi et je voulais pas Îl me filmais à mon insue la nuit il me touchais il me faisais du mal sexuellement et me faisais des trucs super degeulasse Chez lui il avait ce comportement violent et m’interdisais de manger il voulais jamais qu’on nous assimile ensemble et je comprenais pas J’ai vrmt bcp souffert j’ai eu tellement mal pendant cette relation et pendant des mois je me dégoûtais J’avais besoin d’en parler mais ça me dégoûtais trop je pouvais pas personne la vraiment compris c’est pour ça je préfère l’écrire anonymement et encore je veux pas rentrer dans les détails Je souffre beaucoup tout les jours j’ai des chocs j’essaye de passer outre mais c’est super dure ça fais 3 ans presque et j’arrête pas de cogiter là dessus J’espère que d’avoir écrit cava aller mais je sais pas je crois que je me dégoûte encore je m’en veux c’est moi
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Tombée sous le charme d’un partenaire d’un club de sport, pompier professionnel, les premières insultes arrivent vite. Trop vite. Les premières humiliations en privé. Les premières agressions sexuelles et premiers viols… Les premières insultes publiques qui me font avoir le courage de partir. Puis 4 mois plus tard, il vient chez moi, en pleine nuit. 5h de viols, coups, insultes et étranglement… ça l’a fait rire! S’en suit 2 mois hors du temps, à essayer de reprendre sa vie à la veille de cette nuit… puis il revient « en sauveur » et sort une lame de plus de 20cm. Des objets détruits. Des coups. Je récupère mon téléphone qu’il a enfin décidé de jeter. 17. Je hurle. Le policier me demande si j’ai besoin des secours… mais lui est pompier! Il m’arrache le téléphone des mains… plainte en cours. 13 kg de perdu en 3 semaines, un séjour à l’hôpital… je ne vis plus! J’ai récupéré mon poids d’avant mais pas ma vie. Des cauchemars, des angoisses, stress post traumatique. Et lui, en totale impunité suit sa vie, tranquillement!
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J’ai quitté mon ex, il y a quelques semaines car je me suis rendue compte que je n’étais pas bien dans cette relation. Il a essayé (et essaye toujours) de me faire culpabiliser mais je ne changerai pas d’avis. Je me suis aussi rendue compte de plusieurs choses qui concernaient nos relations sexuelles. Je sais que cela s’appelle un viol voire des viols mais j’ai du mal à gérer mes questions contradictoires alors que je connais les réponses. Des questions du style : pourquoi t’es restée avec lui? Pourquoi tu t’en ai pas rendu compte avant? Est ce que je suis légitime de dire que c’est un viol alors que pour d’autres c’est pire ? Je connais les réponses car je suis formée à ces questions la. Ce qui rend la chose encore plus dure car j’aurai du m’en rendre compte avant..
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Un soir, avec le copain que j’avais depuis quelques mois, on était au lit et on a fait des préliminaires. J’avais pas envie alors je lui ai dit ” arrête tu vas me violer” et il a ri et à continué, m’a pénétré. Je me suis laissée faire, J’avais envie de me poser à 35ans, qu’une histoire marche enfin!
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TW : description de scènes de viol J’ai fait ma première fois avec cette personne. Il savais que je n’avais jamais rien fait avec personne. Tout a commencé avec un massage pour lequel j’étais ok. Puis comme il me trouvait « mouillée » il a décidé d’aller plus loin et de me pénétrer sans que je donne mon accord. Il n’avait pas mis de préservatif (alors que je ne savais pas si il avait des IST ou autres, il ne savait pas si j’avais un moyen de contraception ou pas). Forcément j’ai eu très mal car c’était ma première fois et que j’ai été très surprise. Quand je lui ai dit que j’avais mal il m’a juste allongée sur le dos et à continuer. En sortant de chez lui, je savais au fond que quelque chose de pas normal c’était arrivé mais c’est comme si mon corps avait fait comme si de rien n’était. Il s’est passé plusieurs épisodes de ce style : * J’avais souvent mal pendant nos rapports et je lui faisais savoir au début. Jamais il ne s’est arrêté quand je demandais. Souvent il me disait que c’était normal et que ça allait passé, tout en étant tres doux dans ces mots. Il a même une fois rigolé et m’a dit que c’était bizarre que j’ai mal dans cette position. * une fois je voulais juste dormir et il a forcé pour qu’on le fasse. Il me touchait, me grimpait dessus etc * Il ne m’a jamais demandé mon consentement et même quand je lui exprimais que je n’étais pas d’accord, on le faisait. Je me forçais puis il me reprochait de ne jamais prendre d’initiative. J’avais comme un blocage je n’y arrivais pas * je n’ai jamais pris de plaisir. Je me laissais faire et je simulais. Je sais que cela s’appelle des agressions sexuelles voire des viols mais comme je n’ai pas été vriament violentée physiquement c’est dur. J’me dis que j’aurai du m’en rendre compte avant. Ou peut être que j’abuse et que c’est pas si grave. C’est très bizarre comme ressenti…
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Il es 4h53 du matin je n’ai pas dormi de la nuit Mon conjoint et moi consommons des fois de l’alcool pour avoir ensuite des rapport sexuelle…..mais depuis quelque temps je sais que des fois je m’endort et je sais que je n’ai pas eu de relation sexuelle avec lui… Mais le lendemain parfois je me réveille sans mes sous vêtement… Et je lui demande est ce qu’on a fait l’amour il me réponds oui… Je lui dit mais moi je ne me souviens pas….. Il me réponds mais si tu était consciente…. Avant je me disait que j’ai eter trop soul et je ne m’en souviens pas….. Mais la… J’ai fais semblant de dormir…… Et je m’aperçois qull le fais aussi.. Donc il es la il bouge … Il met sa main sur mes hanche bouge ses jambes essaie de voir si je suis complètement endormi…. La il commence à me toucher lesfesses….. Je bouge…. Et il stop… Il patiente quelque instant après il continue…. Et je remarque qu’il baisse mes culotte…la je sais qu’il me viol pendant mon sommeil… Ça m’aneantie pourtant nous avons des relations sexuelle environ 2 x d fois même 3x par jour… Il es tellement satisfait qu’il me dit Kil maime et tout … Mais pourquoi me violer pendant que je dort…. Il es encore plus exciter quand je dort…. Pourquoi ce comportement…la jai vu qu’il m’avais filmer aussi quand j’ai regarder son iPhone….. Criss je sais plus quoi pense
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J ai 62 ans. J’ ai été battue et violée par mon ex mari de 1979 à 1986. Je ne peux plus porter plainte et j’en souffre énormément. Je me sens tellement seule. Mon ex mari est un manipulateur. Il a réussi à manipuler mes filles qui se détournent de moi alors qu elles savent ce que j ai vécu. Elles me disent que je dois oublier et tirer un trait sur le passé. Comment oublier? Comment des filles, des femmes maintenant qui ont elles même des filles peuvent me demander cela!!
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J ai 61 ans et meurtrie dans mon corps de femme Depuis 1 an je vis le parcours du combattant d avoir porté plaine contre mon ex compagnon pour viol Entre auditions et enquête on se sent plus coupable que victime abandonnée du système social sans soutien pour se reconstruire sereinement en ayant juste un toit une précarité sociale financière affective Et d apprendre désormais à vivre la peur au ventre les yeux dans le dos
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Il démarre en me faisant un cunnilingus assez sauvage, et finis par me mettre un doigt dans le vagin et le bouger violemment. J’aime pas, j’ai jamais aimé ça mais il le faisait à chaque fois. J’avais beau lui dire que j étais davantage stimulé par le clitoris et que c était désagréable voir douloureux. Il tentait à chaque fois comme si à force j allais finir par apprecier vu que ça avait l air anormal de ne pas aimer se faire pénétrer par un doigt sans faire de vrai préliminaire. Sauf qu’il ne s est pas arrêté là et m a mis un doigt dans l anus. Je n ai jamais accepté la sodomie, je savais qu’il voulait tenter mais je ne me sentais pas prête et j avais toujours été catégorique. Donc quand je l ai senti, j’ai été pétrifié, je voulais dire non mais ça ne sortait pas ou un murmure à peine audible. Ses mouvements été brutaux, je ne comprenais pas ce qu il se passait, j étais comme endolori. Il a fini par se relever et dire qu il n était pas assez excité. Alors, il a pris ma tête pour l approcher de son pénis. Je ne voulait plus continuer, j ai réussi à tirer en arrière et retomber dans le lit. Il m a fait rouler sur le ventre et là j ai eut très peur, peur qu il me sodomise pour de bon. Je me suis sentie partir loin de mon corps, fatiguée j étais prête à le laisser faire. Pour lui faire plaisir, à cette simple pensée tellement contradictoire avec mon caractère de base, j’ai pleuré, silencieusement mais je me suis mise à pleurer. Il a remarqué mes larmes et s est reculé en répétant sans cesse “pardon”.
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Je veux déposer plainte pour viol, harcelement sexuel au sein du couple, mais avocates femmes, amies me disent que c’est difficile à prouver sans preuve, sans hématome, et que mieux vaut se taire car “c’est le père des enfants”. Je n’en peux plus d’entendre çà! Quand la justice sera t elle à la hauteur de la parole des femmes pour reconnaitre et nous défendre vraiment? Quand la peur changera t elle de camp? Des plaintes d’agression sexuelle ou viol aboutissent à un non lieu ou classée sans suite parce que le mec aura habilement caché les faits, je les vomis!
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il m'a bloqué sous lui, a écarté mes cuisses et m'a pénétré sans mon accord
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il m'a bloqué sous lui, a écarté mes cuisses et m'a pénétré sans mon accord
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Il m'a forcé à me mettre à joue et à enfoncer son sexe dans ma bouche
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il m'oblige à avoir des rapports sexuels
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il m'oblige à le sucer
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il a enfoncé son sexe dans ma bouche et m'a ordonné de le sucer
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il m'a sodomisé par surprise
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Plusieurs fois par semaine, il me demandait de me mettre à quatre pattes et il venait derriere moi pour m'enculer alors que je luis disais que je n'aimais pas ça ! Il me faisait mal.
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il me forçait à le sucer alors qu'il était ivre et que son sexe était sale
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Il me demandait toujours une fellation quand il revenait énervé du travail, même si je n'avais pas envie. il me disait que ça le calmait.
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Cela a commencé par des effleurements et des mains baladeuses puis cela a terminé dans son bureau où il s'est collé contre moi et a joui entre mes fesses
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J’ai tout fait pour m’écarter de lui, mais je n'arrivais pas, pour sortir de son emprise, la seule solution était que j'accepte de lui faire une fellation
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Etant fatiguée et n'ayant pas envie de faire l'amour, il ne m'a pas laissé le choix, il m'a jeté sur notre lit, m'a déshabillé avec rage et m'a pénétré brutalement sans mon consentement
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Je me suis retrouvée entouré d'un groupe de jeunes lors d'une soirée étudiante, ils étaient ivres. ils ont commencé à me bousculer, me caresser les seins, les fesses. J'ai tenté de les repousser, mais ils étaient trop nombreux; Je n'ai rien pu faire quand ils ont exigé que jeur fasse une fellation.
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Je me retrouvais toute seule dans un parking quand deux hommes ont surgi. Ils m'ont bloqué contre la portière de ma voiture. L'un me tenait les mains, pendant que l'autre me baissait ma jube et mon slip. Ils m'ont alors pénétré à tour de rôle; Je n'ai rien pu faire pour les repousser,
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03 juillet 2022 : J’avais envie d’une petite balade et mon mari me demandant de faire des achats, je décide de marcher un peu en ce dimanche ensoleillé, puis prendre le bus pour rentrer du magasin. Tout allait bien jusqu’au chemin du retour. Dans le bus, un homme d’une quarantaine d’année, 1m80-85, d’origine africaine, skinny et marqué au visage avec une canne noire et une canette de bière, m’observait de loin dans le bus. J’essayais de l’ignorer, mais à l’arrêt suivant, il vient s’asseoir à côté de moi et me bloque le passage. Je me lève alors et lui dis que je dois descendre au prochain arrêt. Au moment où je descends, il descend également et commence à me suivre. Je commence à accélérer ma marche et essaye de traverser la route au prochain passage piéton. Je ne le vois plus derrière moi. Cependant, dès que je traverse, je m’aperçois qu’il a déjà traversé la route et se trouve à 25 mètres de chez moi, en face de moi. Je m’arrête net et décide d’appeler mon conjoint pour qu’il puisse me raccompagner à la maison, dans le but également de le faire fuir. Pas de réponse. Je décide alors de passer à côté de lui sans le regarder ni m’arrêter. Il commence à accélérer le pas derrière moi et me suivre. Je me mets donc à courir dans la rue, j’ouvre la porte de mon bâtiment, je referme aussi sec et je vérifie qu’il n’a pas regardé où j’habitais exactement.
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En ce temps, je rentrais du collège à pied. J’avais un peu prés 30 min de route. Et une fois, un homme s’est mis devant moi. Par rapport à son allure, j’ai eu peur. Je me suis décalée sur le côté pour continuer à avancer mais l’homme m’a interpelé. Il m’a demandé le chemin vers une rue qui ne me disait rien du tout. Je lui ai dit que je ne savais pas. J’ai voulu repartir mais l’homme m’a attrapé pas le bras. Il a commencé à s’énerver et à parler mais je ne comprenais rien de ce qu’il racontait. Il me tirait sur le bras pour m’emmener je ne sais pas où. Quand je me suis mise à crier, il a sorti un couteau de sa poche, donc je me suis tue. J’avais trés peur de ce qu’il allait faire de moi. C’est au moment où il m’a laché que j’en ai profité pour partir en courant. Je suis rentrée dans une petite épicerie qui n’était pas trés loin et je suis restée un bon moment dans cette épicerie. Aprés je suis rentrée chez moi en courant. J’avais le coeur qui battait à fond quand je suis rentrée mais je n’en ai parlé à personne jusqu’à aujourd’hui.
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Toutes les mains aux cul dans le métro, les divers harcèlements dans la rue ou au boulot, les réflexions sexistes des chefs pour justifier l’absence d’augmentation ou d’autres comme “mais enfin voyons, on est tous un peu misogynes” qu’on a toutes connu…
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Les garçons s’amusait à me toucher , les filles m’insultaient ou me giflaient … J’en pouvais plus donc j’ai prévenu ma mère qui n’a pas voulu me croire elle a dit que je devais pas avoir ce genre de fantasme …
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“Si j’avais envie de te violer là, maintenant, tu ne pourrais pas m’en empêcher. Tu es une fille, tu n’es pas assez forte.” me repetais à chaque fois qu'il me croise
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C’était un camarade de classe dans le bus, avec d’autres personnes de notre groupe “d’amis” dont il était le chef, les seules personnes dont j’avais à peu près réussi à me rapprocher après avoir changé de filière. Tout le monde a rigolé (parce qu’ils trouvaient vraiment ça drôle ? De gêne ? Par peur d’être différent ?). Ce genre de remarques étaient quotidiennes. Ils les faisaient en classe devant tout le monde, à l’intercours, à la cafétariat, devant le lycée, à n’importe quelle occasion. Pourtant, tous savaient que j’avais été violée un an plus tôt par l’une de leurs connaissances et que j’avais porté plainte quelques mois plus tôt. Lorsque j’ai cru avoir la bonne idée, pour me défendre, de lui dire que ses paroles ne me faisaient ni chaud ni froid parce que sa frustration avec les femmes me faisaient pitié, il m’a fait une telle réputation de salope (déjà bien élaborée par mon violeur) et a monté tant de gens contre moi que j’ai fini par quitter le lycée en dépression quelques mois avant mon bac.
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J’étais alors en seconde année de philo. Un de mes profs a essayé de m’embrasser et d’avoir des relations intimes avec moi. J’ai refusé, il m’a demandé pourquoi, je lui ai dit alors : que non, c’est non et que c’était comme ça. Meilleure élève de la classe dans sa matière, aux partielles suivantes, j’ai eu la plus mauvaise note, à savoir 2/20. J’ai demandé une réévaluation de ma copie, sachant qu’elle était juste. Il m’a alors proposé de venir chez moi pour en discuter, j’ai refusé et j’ai demandé la réévaluation par un autre professeur au secrétariat. Le jour dit, ce n’était pas un autre professeur qui m’attendait mais encore lui. Je lui ai alors demandé des explication quant à ma note, lui prouvant la justesse de ma copie, il m’a alors répondu que non, non, et que c’était comme ça; reprenant à son compte mot pour mot les mots de mon refus. De retour au secrétariat, on m’a alors affirmé qu’il était seul compétent dans sa matière et que personne ne voulait recorriger une de ses copies.
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Durant un simple examen gynécologique,il m’a demandé “t’as déjà baisé dans ta vie”…je nie ce qui se passe, je fais comme si je n’entendais rien, puis je sens qu’il commence à me masturber, très vite, ses doigts bougent très vite en avant et en arrière,je le garde et je vois qu’ils me fixe avec dans les yeux,il n’a rien à faire de l’objet de son “examen”,son visage…je ne l’oublierai jamais,une sourire,une demi sourire et ce regard insistant,je regarde vers le plafond,je ne comprends pas,no,je comprends très bien ce qui se passe,mais …je regarde le plafond,je cherche un caméra, rien,que un plafond,sans aucune surveillance,je commence à aller mal, je sais que je suis à 2 secondes de faire quelque chose mais je ne sais pas quoi- me lever? Le gifler? Le blesser? Mes sourcils se rejoignent,mon visage commence,il est premier à réagir et lui il le voit,..j’avais impression qu’il se touchait,car son corps tremblait comme si il faisait plus que me violer avec sa main.
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J’ai subi un harcèlement sexuel pendant un demi siècle. Le psychanalyste agresseur et lacanien travaillait dans un centre médical avec une pédopsychiatre renommée. Ma mère a été influencée pour que je cède à suivre une thérapire avec le lacanien âgé de 21 ans de plus que moi. J’en avais 23. J’étais enceinte, le restant de ma vie il s’est approprié ma famille, mon enfant. A écarté tous les enfants de ma famille loin de moi. Il a détruit mon couple, a éloigné, maltraité mes parents me décrivant parano à qui voulait entendre les diffamations qui me salissaient. A l’âge de 25 ans il a cassé mes dents à distance, ;ma vie sexuelle s’est arrétée net quand j’ai compris qu’un psychanalyste me harcelait et détruisait toutes mes relations, les médecins même gynéco que je consultais me maltraitaient ou me refusaient des soins. Orthophoniste je respectais infiniment la parole de l’enfant, ses choix de façon plutôt psychopédagogique. A 70 ans je comprends, alors que ce monstre est mort en ****, qu’il était pédophile, favorisait l’inceste et se donnait des pouvoirs sans limite par son appartenance. Ce dont il s’est souvent vanté. Il a pu introduire surtout des femmes dans notre famille, leur donnant des consignes pour me montrer que ma pratique vis à vis des enfants était perverse car je refusais l’autorité qui aurait soumis les enfants sans mobiliser leur intelligence.
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Ils ont imprégné notre société par la loi du père qui viole les droits de tous les membres de la famille, femmes, enfants, empêchent la pratique de la psychopédagogie à l’éducation nationale, partout où elle pourrait être utile, notament pour enrayer la délinquance. Cette AUTORITE PATERNELLE DU PATRIARCAT empoisonne toute notre société française. Comme la psycho, la pédagogie sont des sciences, des moteurs d’une belle humanité non violente pourtant. La justice en France est très en retard, c’est grave pour ce pays des droits de l’humain. Tout en France a été asservi à l’inceste, interdit fondamental d’une société saine et dignement humaine.
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Un soit-disant pote a commencé à m’humilier en soirée. Comme j’étais la seule fille du groupe il s’en est pris à moi une fois, en demandant aux autres gars quelle note ils me mettraient physiquement, en m’ordonnant d’aller dans sa chambre pour que lui et son coloc s’occupent de moi. J’ai refusé en lui jetant mon verre au visage. Suite à cela il m’a harcelé sur répondeur pendant des semaines, décrivant exactement comment il me violerait et ferait regarder les autres potes. A débarqué chez moi ivre en me ramenant un tableau trouvé par terre, comme si de rien n’était, mais juste histoire de montrer qu’il connaissait mon digicode. A passé une soirée entière avec ce coloc à me laisser des messages répondeur que finalement il ne voulait plus me violer, il paraît que je donnais moins envie qu’une prostituée…