Label
int64 0
42
| Texte
stringlengths 11
10.3k
|
---|---|
19 | Tous les jours, à chaque fois que je passe, un homme me siffle " hey poulette tu es bonne" |
19 | Un flic marié pendant 2 ans me matte fesses,joue,sort des blagues degeulasse en patrouille amuse la galerie sa femme là vue faire et en Revers de situation j’ai littéralement un bon paquet de ces collègues qui me font passer pour une tarée , alors ca fait 20 Ans que je connais et vie avec même homme et c’est pas l’idée que j’ai de la police ,des minables |
19 | Mon porc est mon voisin boulanger!!!
j ‘ai bien lu la définition du harcèlement sexuel sur le site du service public avant de poster mon commentaire et pouvoir affirmer que je suis bien victime d’harcèlement sexuel par le caractère REPETITIF des événements et les CONSEQUENCES de des agissements de cette personne qui m’oblige aujourd’hui à changer de trottoir pour ne plus passer devant son commerce.
Je suis une personne très discrète, je ne parle jamais de moi, je m’habille également de façon très discrète, jamais de décoté, toujours un manteau long pour cacher mes formes… Malgré tout mes efforts pour ne pas attirer l ‘attention, je suis victime de cette personne qui m’alpage dans la rue pour me faire des compliments en tout genre et pour lesquels je ne répond pas.
Je n ‘ai JAMAIS répondu de façon favorable à une quelque conque porte ouverte qui pourrait faire croire à cette personne qu’ une relation sexuel était envisageable avec moi.
Aujourd’hui, je ne rentre plus dans sa boulangerie, je change de trottoir pour ne plus croiser cette personne et malgré cela celui-ci traverse le trottoir et continu a me complimenter et me regarder d’une manière perverse!!!
Cette personne ce croyant irrésistible et faisant sa crise de la 50 ène ce permet de draguer tout ce qui bouge comme un chien en rut qu’il faudrait castrer en urgence!!!!
Il ce donne un air sympathique pour pouvoir mieux tromper l’opinion public et ainsi minimiser ces agissements!!!!
Il me dégoute et me répugne au plus haut niveau!!! |
19 | Bonjour je viens témoigner d’une action lamentable de plusieurs hommes sur un chantier public à quelques mètres de chez moi qui gratuitement se sont permis alors que je me rendais à l’école en vélo pour récupérer mes enfants de me siffler tout au long du rond-point que j’ai traversé alors que je pratiquais du sport et que j’étais seule même en short ni en brassière juste un collant et un T-shirt et quand bien même !!! Ce sont mis à me siffler ouvertement devant tout le monde que faire ??? Je repasse tous les jours devant en voitures du coup !!! Et je dois supporter encore et encore leurs regards ??? Non stop je balance mes porcs y’en à marre !!! On n’a pas élevé les cochons ensemble ils ne me connaissent pas je ne les connais ils sont censés bosser pas siffler une mère de famille en vélo ! |
19 | Je ne sais pas si mon témoignage a sa place ici mais j’ai besoin d’en parler. J’ai appris hier, par la petite copine de cet ami, qu’elle avait retrouvé sur son portable des photos/vidéos prises sous des jupes de filles dans la rue.
Je sais que ce comportement est grave et aussi qu’il peut dégénérer mais je ne sais pas comment réagir. Sa copine m’a fait jurer de ne rien dire car elle ne veut pas que ses amis le sachent, que leurs regards changent sur lui. Elle le protège et c’est cela que je ne comprends pas.
Elle a eu une conversation avec lui, elle lui a dit “qu’elle était dégoutée par ces actes” et que ça ne l’intéresse pas de vivre avec quelqu’un qui agit de la sorte. Pourtant, elle a découvert ces photos il y a plus d’1 an et elle est toujours en couple avec lui. C’est aussi le temps qu’il lui a fallu pour en parler avec quelqu’un. Pendant toute cette année elle a gardé cela pour elle ainsi que toutes les émotions et le malaise qu’elle a pu ressentir suite à cette découverte.
Cette situation me laisse perplexe car je suis sidéré qu’elle :
– reste avec lui tout en étant dégoutée
– qu’elle le protège (en maintenant cela secret)
– m’interdise de faire quelque chose (j’aimerais lui en parler)
Ce type d’agissement ne doit pas être laissé sous silence, il faut au moins qu’elle ait une discussion avec lui, qu’il comprenne que c’est très grave. Ça ne me regarde pas, mais je pense aussi qu’elle devrait le quitter car ces actes sont révélateurs d’un rapport aux femmes déréglé et peut être dangereux. |
19 | Harcèlement sexuel propos inapproprié du genre je te lèche alors que je suis en couple. Et le garçon s’est permis de se coucher dans mon lit sans me demander et ma dit qu’il m’attendait |
19 | Alors que je traverse la rue sur un passage piéton, malheureusement je n’ai pas trouvé un travail mais je suis tombé sur un gars que je connais (ou plutôt un gros con de macho) et qui baisse sa vitre en me voyant et me sors :”Toi t’es trop bonne, jte baise quand tu veux et où tu veux !”. Je ne le calcule pas et il me dit :”tu pourrais au moins répondre salope !”. Des fois je me demande sur quelle planète je vis…. |
19 | Je suis une étudiante. Mon logement n’est pas loin de la fac et je passe chaque jour par la même rue pour y aller. Depuis longtemps un homme qui possède un petit café dans cette même rue me dit « Bonjour » à chaque fois quand je passe devant. Au départ j’ai décidé d’ignorer tout cela car oui, c’était un peu embêtant mais ce n’était qu’un simple « Bonjour ». Cela a continué de la même manière, moi je n’ai jamais répondu à cet homme. Un jour quand même, cette situation a changé. Je me suis rentrée chez moi après la fac, je marchais sur le trottoir qui est d’ailleurs très étroit et d’un coup je me suis rendue compte que quelqu’un avec une bicyclette me suit et est juste derrière moi. J’ai pensé que quelqu’un veut passer et vue que le trottoir est étroit, il ne peut pas. Devant moi il y avait 2 autres personnes donc je ne pouvais pas faire plus de place à cette personne avec la bicyclette pour pouvoir passer. Je ne me suis pas retournée pour voir qui est derrière moi parce que le trottoir s’élargissait après quelques pas là où il y avait un feu rouge et j’ai pensé que cette personne pourra continuer sa voie tranquillement. Tout s’est très vite passé, pour quelques secondes peut-être. Quand on est arrivé au feu rouge celui avec la bicyclette s’est avère l’homme du café. A ce moment il m’a dit encore une fois « Bonjour », moi je n’ai rien dit et là il a commencé à me parler avec insistance « Pourquoi tu ne dis rien », « J’habite dans le quartier », « j’ai pensé que tu es une gentille jeune fille » etc. Au fur et à mesure il a commencé à parler d’une haute voix, on était bloqué sur le trottoir, il y avait des voitures sur la rue. J’ai quand même traversé la rue mais l’homme continuait avec son bicyclette à côté de moi, en me criant. J’ai était choquée et effrayée je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Je n’ai toujours rien dit. Après, il a continué sa voie (je pensais comme ça). J’ai décidé de passer par le supermarché avant de rentrer et là encore une mauvaise surprise. Quelques minutes après moi cet homme est venu aussi. Je pense qu’il m’avait cherché avec un regard, après je ne sais pas s’il m’a vu mais j’ai essayé de sortir le plus vite possible. J’ai eu peur parce que je suis seule dans cette ville, ma famille est loin et je ne trouve pas du tout cette situation normale. Même si on suppose que c’était au hasard, il y a des choses qui ne vont pas dans cette situation comme par exemple pourquoi qqn va passer avec son bicyclette par le trottoir étroit, où il y a des gens en ce moment, au lieu de passer par la rue. |
19 | Mon histoire remonte à 30 ans
Un jours en revenant de promenade une voiture garer sur mon passage un homme se masturbe devant moi je cours par vite rentré.chez moi puis le voie de ma fenêtre faire le tour de mon quartier il me cherche
Le lendemain en partant à l école il et ma au même endroits me regarde mais la je ne suis pas seule il regarde juste du coup j ai peur très peur mais ne dit rien pourquoi je c est pas et sa pendent deux matin il et la… Et regarde…
Pendant quelque temps il tourne dans mon quartier à différents horaires
Un jour seule sur l heur du midi je par au pain pour mes parent j ai peur mais personne.. Mais il et sortie de je ne c est pas ou et a essayer de matrape j ai courue comme. Jamais et arrivé à la boulangerie pros mon pain et ressortie mais il et la plus loin. A attendre j ai fait demi tour et suis rentrée à la boulangerie me suis mise à pleure et la ma dame m’a demandé pourquoi lui et expliqué son mari et venu à réussit à prendre l immatriculation du véhicule et m’a ramené à mes parent ou j ai tout esplique nous somme allé porte plainte de suite au bout de 30 ans je me demande toujours pourquoi car rien a été fait nous n àvons jamais eu de nouvelles…. Cette histoire m’a gâcher mon adolescence peur de sortir pour joué ou même pour allez à l école je c est que par rapport à d autre d entre vous j ai eu de la chance mais 30 ans plus tard j ai toujours ses images et toujour peur dehor je force les choses j y vais c est sur mais la peur et la ….
Bon courage à vous |
19 | Je vais remettre la suite la voiture qui m’a suivie un an a arrêté de me suivre mais ce monsieur ne comprends pas qu’il m’embête vraiment que si j’ai pas envie de le regarder ou de le saluer que c’est mon choix et que j’ai le droit aussi de choisir qui je connais ou pas et surtout dans la rue.
Il a deux voitures différentes , il invente des nouveautées pour essayer de m’aborder c’est saoulant mais je l’ignore.
A un moment donnée il attendait en bas de chez moi un jour je lui ai dit ;-Vas t-en c——d et il est parti en jurant.
Enssuite a l’arrêt de bus il passait avec d’autres copains à lui dans mon champs de vision, j’ai changé d’arrêt depuis ça se calme.
Mais il croit quoi qu’il va m’avoir?
Plus il force moins j’aurais envie de lui causer et ça ne me donne pas envie.
Surtout des gens que je connait pas dans la rue.
Une fois il s’est caché sur un parking on voyait juste la lumière de sa voiture et j’ai gueulé ; oui le monsieur il a dit t’est belle, tu sourit beaucoup il s’est barré et m’a regardé bête.
Je lui ai fait un geste.
En ce moment je fait les courses au leclerc je sors il m’a klaxonnée 7 fois.
Quand je vais travailler des fois le midi il attends devant mon lieu de travail les phares allumées et quand j’allait manger il tournait autour de mon lieu de travail et me klaxonnait ça s’est calmé car je réponds jamais et j’en parle autour de moi.
Des copines m’ont aussi dit qu’ils les suivait.
J’espère que mon temoignage ne seras pas effacé cette fois, j’ai besoin de me confier et je sait pas ou le faire.
Je sors je met mon baladeur et je vais là ou il y a du monde ça s’est calmé mais j’en ai marre qu’en étant une femme on puisse pas circuler librement.
J’espère que vous laisserais mon temoignage cette fois j’en ai pas trop envie de le réecrire une 3eme fois et je n’invente rien. |
19 | Depuis 3 ans nous sommes victimes d’un voisin qui pourrit la vie de tout mes voisins
Coups de sifflet à toutes heures , chante la marseillaise à de multiples reprises jours et nuit , s’exibe nue à la fenêtre , regarde vers chez moi avec des jumelles , fais des signes aux gamines qui passent dans la rue en simulant une pénétration avec ses doigts , à déjà essayer de bloquer une adolescente chez lui après l’avoir attiré en simulant un malaise …
La police met trops de temps pour constater , les plaintes n’aboutissent pas , le logeur ne peut rien faire vu qu’il est sous tutelle … sachant que moi et mes voisins avons des enfants que pouvons nous faire ? Je suis reelement à bout et commence à avoir des envies de violence envers lui !!! Besoin de conseils svp |
19 | Depuis que j’ai croisé un obsédé, cela fait 4 ans, juste un regard, ma vie est déstabilisée, ininteressant pr moi ce type, je l’ignore et maintenant, il me fait subir des injustices : travail administrations ,ma vie est bloquée , je dois satisfaire ce porc ou sinon rien ds ma vie, il me prends pour une prostituée ou son jouet,surement pas et je n’accepterai jamais ce comportement envers une femme c’est un manque de respect stop c’est stop et trop c’est trop, voila cela m’écoeure, me dégoute, plus envie d’hommes, je les fuis, je les balaie de ma vie |
19 | Nous sommes dimanche matin, il fait très beau, je demande à ma fille de 12 ans d’aller faire une course au supermarché qui se trouve à 5 mn à pieds, comme c’est déjà arrivé quelques fois…nous vivons dans un quartier calme, familial, près d’un petit parc dans lequel viennent jouer les enfants et se promener les propriétaires de chiens, certains voisins ont déjà sorti les boules de pétanques et s’installent sur les bancs…
Ma fille revient et fond en larmes. Habillée d’un jean, d’une chemise blanche à manches courtes, ses cheveux châtains mi-longs lâchés, chaussée de basket, personne ne peut se méprendre, elle a 12 ans, à peine plus.
Pourtant, elle vient de se faire harceler par un cycliste qui l’a suivie en la “complimentant” sur sa “beauté”… aucun adulte présent autour n’a réagit pour faire comprendre à cet homme d’une cinquantaine d’années à quel point son comportement était inapproprié et mettait ma fille très mal à l’aise.
Encore une fois, objectivement, rien de “grave” si ce n’est qu’elle est complètement bouleversée, choquée, écoeurée…rien de “grave” si ce n’est qu’elle se sent coupable d’être sortie en chemise à manches courtes, d’être jeune, d’être restée silencieuse, d’avoir eu le sentiment de n’être qu’un bout de viande ou une pâtisserie devant laquelle un homme qui a l’âge de son père salive et bave….
Comment lui dire qu’il faut qu’elle se construise une carapace parce que cette scène se reproduira 1 fois, 2 fois, 10 fois….et qu’elle ne peut RIEN faire hormis expliquer à ses copains ce qu’elle a ressenti pour qu’ils évitent, peut-être, à leur tour de reproduire cette scène d’une violente banalité.
Chacun, chacune, réagira à sa façon à une scène similaire mais parce que pour ma fille ce qui vient de se passer a été vécu comme une véritable agression, c’est ainsi qu’il faut la qualifier. |
19 | Un matin dans les rues à 6h50 en allant au travail un homme m’a suivie à pied sur la moitié de mon chemin. J’ai essayé plusieurs fois de me retourner légèrement pour voir qui c’était sans arriver à le voir.
Puis je décide de me retourner franchement et je vois un petit homme, je me dis que c’est un jeune sans danger, je fais juste attention qu’il ne vole dans mon sac à dos.
J’avais la musique dans mes écouteurs et là j’entends qu’il me parle.
Je me retourne, je dis « comment? » et la j’entends « t’as un bon petit cul » je réponds « pardon » il dit « t’as un bon petit cul, je vais te le defoncer » et tout un tas de truc du genre, j’entends qu’il parle de ses « couilles » etc.. il était tout près de moi, me parlait comme si on discutait normalement
Du coup je dis « non mais ça va pas de parler comme ça », il continuait de me suivre, j’ai dit « non mais là j’aimerai continuer à marcher tranquille donc lâchez moi » et il lâchait pas du coup j’ai appelé un ami avec mon téléphone et il s’est enfin arrêté
J’ai ensuite fondu en larme, choquée et blessée par ce qu’il venait de se passer. |
19 | Des harcelement sexuel, j en vois presque tous les jours. J ai essaie toujours d aider les victimes dans la rue quand ils ou elles sont harceles dans la rue. Et je suis toujours remerciee par les personnes et on me dit quasiment toujours la meme chose, merci de votre aide il n y a pas beaucoup de personne comme vous, beaucoup passe devant sans rien dire. Tu realises que c est vrai ce que les victimes disent seulement quand cela nous arrive. Et c est que je me suis apercue quand a mon tour je me suis faite harcelee et agressee dans la rue, personne ne m a aide. Je me suis rendue a l hopital seule avec le nez en sang, mes vetements dechires, tout le monde me regardait mais pas une personne n a eu la pensee de venir me voir pour m aider. Ce que moi j aurais fait. Si tout le monde s entraidait, il n y aurait pas d agression et de harcelement |
19 | J’ai hésité à placer les circonstances sous le thème religieux plutôt que médical, mais cet homme ce faisait passer pour un médecin et a aujourd’hui écrit beaucoup de livres . Ma mère a toujours été attiré par les sectes et les hommes charismatiques, elle m’a emmené voir beaucoup de ses “spécialistes” paramédicaux dans mon enfance pour m’aider à aller mieux.
L’un d’entre eux à trouver que ce serait une bonne idée de foutre à poile une ado de 13 ans et de montrer son pubis en lui expliquant ce qu’était la puberté.
Ma mère encore aujourd’hui 20 ans après n’admet pas que c’était un harcèlement et une violence sexuelle. C’est sans doute ce qui pour moi est le plus invivable. |
19 | mon médecin généraliste qui est aussi psychothérapeute et qui connaît mon passé d’abus sexuels dans l’enfance ( une personne est en prison du reste pour viols et tortures d’autres enfants) m’a intimidée, violentée psychologiquement et a refusé de m’aider à faire des papiers pour obtenir des aides auxquelles j’avais droit. Il a donné des consignes à un autre membre de son cabinet médical pour que je n’ai pas accès aux soins dus. Ensuite, il m’a menacée lorsque je me suis rebiffée d’avoir été agressée par un membre de sa secte. Il mélange sa religion dans son cabinet en faisant la promo de l’enfant de l’Afrique (c’est pas cher) et en affichant des signes ostentatoires qui n’ont rien à voir avec la psychothérapie. Les puissants se croient tout permis et les enfants abusés finissent toujours par se refaire systématiquement rabaissés par ceux qui jouissent de les maltraiter gratuitement. |
19 | Suite à un viol et étant dans un état de grande faiblesse, je suis allée voir un psychiatre. Au bout de deux séances, nous étions ensemble, nous avons eu une relation de plusieurs années. Je réalise maintenant que je me suis fait totalement manipulée et qu’au lieu d’être aidé, il n’a fait qu’ajouter des difficultés à ma vie. Il est maintenant parti exercer en Suisse. Je suis très mal par rapport à tout cela. |
19 | j’ai à ce moment là 26 ans et je suis en couple avec un homme formidable, patient avec mon passé de violence subit, viol et attouchement. nous avons deux enfants, 3 ans et 1 an. je suis malade et je me présente au urgence avec de forte douleur au ventre. je me retrouve plus tard dans une salle d’examen, mon compagnon est autorisé à rester. l’interne de service vient m’examiner. il fini par me demander si je peux être enceinte. je dis bien que non, pilule et préservatif en contraception, ma deuxième étant arrivé par surprise, nous prenons double précaution. il décide quand même de me faire un touché vaginal pour vérifié, je demande à mon compagnon de sortir, ça me gêne pour lui. l’interne n’attends pas et le fait, reste plus que tous les touché que j’ai eu. Je suis furieuse et demande à mon compagnon de sortir un instant quand même. j’ai malgré la douleur( finalement calculs rénaux), démonter le gars. il n’en menait pas large quand je l’ai menacé de parler aux autorités. il a fini par s’excusé de son comportement. |
19 | j’avais 24 ans, je travaillais en intérim et devais passer un examen médical pour le boulot. c’était un généraliste. je prends RDV. le docteur me demande de me déshabiller. je reste en sous-vêtements. il prend ma tension, bref, les trucs habituels et ne cesse de lorgner mes seins. ça me dérange pas mal. j’ai une forte poitrine, mais mon généraliste habituel ne se comporte pas de la sorte. au bout d’un moment, il me demande de retirer mon soutien-gorge. j’ai déjà subit des attouchements et des viols, je ne me laisserai plus faire. gentiment, je lui dis non. il se fâche et insiste. je lui demande pourquoi? il me dit que c’est pour vérifié un souffle au cœur. bizarre, je n’ai jamais eu de souffle au cœur. je refuse encore. au final, il se me en pétard et me dit de partir. je remets mes vêtements et exige mon certificat d’aptitude. il fini par me le donner au bout d’un moment.
je suis retourner voir mon généraliste, un type génial, il ne m’a pas trouver de souffle au cœur! plus tard, une femme que je connais à porter une plainte contre lui. moi en partant, je l’ai juste traiter de gros pervers et ai parler à toute mes connaissance de lui. ce doc n’exerce plus. Femme vs gros porc 1-0. A vous de vous défendre! |
19 | Toute jeune externe en hématologie, le professeur entouré d externes et d Internes se moque de la patiente suivante ,ah ah elle est morte dans 6 mois. On va voir ça et il la fait rentrer seule devant tout le monde, debout et nue. C était d une grande violence. Jeune,très naïve cela m a completement bloquée : qu’ est ce que je faisais la ?. J étais en troisième année externe et quelques mois après j ai quitté mes études alors que je voulais être médecin. |
19 | Je débutais ma carrière d’infirmière à l’hôpital dans un service d’addictologie. Un grand nombre de patients étaient victimes d’abus sexuels, et étaient suivis par des psychiatres-addictologues à qui ils se confiaient.
Un jour, j’ai surpris une collègue infirmière se prendre une main aux fesses par un des psychiatres. J’ai cru d’abord qu’ils avaient une relation car elle rigolait gênée. Puis j’ai compris que c’était lui qui était sans-gêne. Elle m’a dit qu’il se permettait régulièrement de la tripoter, et qu’elle ne savait pas comment réagir. Cette infirmière a fini par quitter le service pour des raisons familiales.
Quelques années plus tard, ce même psychiatre s’en est pris à moi.
Il a d’abord commencé par des regards salaces. J’ai appris qu’il trompait sa femme régulièrement. Étant très médiatisé, il profitait de ce petit pouvoir pour séduire celles qui croisaient son chemin. Il avait probablement l’habitude d’enchainer les relations sans lendemain avec facilité.
Ses regards à mon égard sont devenus insistants et il sortait sa langue en me fixant. Un jour, il vient me voir et me dit de le retrouver dans son bureau pour parler d’un patient. Je finis ce que j’ai à faire et naïvement je le rejoints dans son bureau. Son bureau, endroit de ses consultations, là où ses patients parlent en toute confiance devant ce médecin qui soignent les maux intérieurs, là où les confidences les plus secrètes sont dites, les souffrances les plus intimes sont exprimées, notamment l’inceste, les viols, la maltraitance. Là, il m’accueille le sexe sorti de sa blouse, il bandait. Il me dit : “maintenant que je t’ai montré ma bite, à toi de me montrer tes seins”. Je rigole et pars un peu déboussolée.
Un autre jour, étant seule à l’accueil du service, il s’assied à côté de moi, me regarde en sortant sa langue comme d’habitude et glisse sa main dans mon soutien-gorge. Je le repousse et il me dit : “ben quoi? tu ne me proposes pas de toucher tes seins, alors faut bien que j’y aille par moi même !”. Je commence à m’inquiéter, et je mets en garde les étudiantes infirmières en leur disant de ne jamais se retrouver seules avec lui, qu’il est dangereux. J’en parle aux collègues qui sont stupéfaits. Je me sens démunie car il fait en sorte qu’il n’y ait jamais de témoin lorsqu’il me touche. Le temps passe, je fais avec. Je suis mariée, je me concentre sur mon travaille et ma famille.
Quelques mois plus tard, je suis enceinte, mon ventre est bien arrondi, je ne peux plus fermer ma blouse entièrement. Il revient à la charge: “Ça m’excite de te voir enceinte, laisse moi t’enculer” Je lui réponds qu’il est fou et il surenchérit : “juste un doigt dans le cul alors, si la sodomie te dérange”. Je pars outrée.
Je suis fâchée, ce type est considéré, respecté dans le milieu, il écrit des bouquins, est dans toutes les conférences, les colloques, passe à la radio, à la télé. Ces consultations sont pleines à craquer, il vise le poste de professeur, il est sûr de lui.
Un jour, des journalistes sont dans le services pour l’interviewer, ils sont avec lui et leurs caméras. Je passe devant, je m’arrête, et je lui dis : “c’est bizarre, aujourd’hui tu ne me demandes pas de passer à la casserole!”. Il joue l’offusqué et me propose un traitement anti-psychotique. Mes collègues me conseillent de porter plainte, mais je n’ai pas le courage car c’est ma parole contre la sienne. Une petite infirmière contre un médecin puissant qui la fait passer pour délirante.
J’ai fini par quitter l’hôpital et travailler ailleurs. Je l’ai croisé un jour dans la rue, j’ai retrouvé son regard et sa langue sortie dégueulasse. Aujourd’hui il est professeur, et tient les rennes de son service, cet homme dangereux a réussi. |
19 | Déjà petite, mon parrain, un anglais… Il m’a beaucoup dégouté avec sa bave jusqu’ aux oreilles ou il me harcelait de “i love you” sa main baladeuse… Puis difficile l’adolescence, amoureuse mais compliqué pour moi l’amour je suis dégoutée, Nicolas, si tu lis et que tu te reconnais… Souvient toi….et puis vient le moment de la maternité… Des enfants sans papa, parce que je ne peux pas être avec un homme… puis le corps médical qui m’achève avec leur gestes violents leur humiliations la mutilation… Je suis dégoutée à jamais et c’est tout…. |
19 | comment un prédateur marié instituteur violeur menaçant la femme de l’étrangler avec un lacet si elle lui refusait , choisissait ses victimes femmes seules dans les bals , j’ai été victime de ce genre de pervers criminel qui a voulu m’étrangler avec un lacet si je ne lui cédais à son instinct bestial chez moi Harceleur téléphonique nuit et jour invivable en tant que commerçante j’ai été en proie à la peur , au stress à l’angoisse , il y a des tas d’hommes fous sexuels des dangereux obsédés du sexe , enfants femmes . |
19 | Quand j’étais en primaire, au CE1 j’ai subis du harcèlement sexuel de la part d’un garçon de ma classe.
Ca avait commencé d’une manière innocente et mignonne. Une lettre d’amour que j’avais accepté car c’était la première qu’on m’avait faite. Par la suite, il m’a offert une bague volé à sa mère qui a été le déclencheur de ce qu’il m’a fait subir. J’avais voulu la refuser car ne partageant pas ses “sentiments” je ne voulais pas qu’il m’offre cette bague qui semblait avoir de la valeur. Mais il a insisté et on m’avait toujours appris à ne jamais refuser un cadeau. Seulement, je trouvais ça déplacé de la garder et l’avait prêté à une amie de centre aéré que je n’avais plus eu l’occasion de revoir par la suite.
Un jours, il me l’a réclamé mais ne l’avant plus en ma possession, je lui ai répondu que je ne pouvais la lui rendre. C’est la que son chantage a commencé. N’ayant jamais eu de figure paternel car mon père était violent et ma mère l’avait fuis de l’autre coté de la France, son chantage m’avait sincèrement fais ressentir de la crainte : “rend la moi, ou je dis au directeur que tu me l’as volé”. Le directeur était pour moi la figure d’autorité qui allait au delà de tout ce que j’avais connu, n’ayant toujours eu auprès de moi que ma mère, aimante et douce.
Par la suite il a commencé à me faire chanté, échangeant mon corps contre son silence. Il faisait tomber sa gomme sous mon bureau en pleine classe et me demandait de baisser mes collants pour me faire lécher. Parfois, je devait faire l’inverse mais étant extrêmement dégoutée par ce qu’il me demandait, il m’accordait, par sa grande bonté (lisez ça avec beaucoup d’ironie), de lui faire des fellations par dessus son caleçon. Ces actions étaient fréquentes. Il arrivait que les jours s’enchainent et que je doive subir son contacte plusieurs fois par jours sans avoir le droit de refuser. Son chantage à duré un long moment, jusqu’à ce que la maitresse que j’avais à ce moment nous fasse changer de place et que je ne me retrouve plus à cotée de lui. Il avait même eu en tête que nous nous proposions tout les deux comme accompagnateurs (quand on devait aller aux toilettes en classes) pour qu’on se retrouve tout les deux seuls et qu’il puisse me violer dans les toilettes pendant les cours. A mon grand soulagement, ce rôle d’accompagnateur devant se faire voter par la classe, nous n’avons jamais été élu et n’avons donc pas eu à aller jusque là.
C’est en CM2 que je me suis retrouvée de nouveau dans sa classe mais ma mémoire voulant me protéger, je ne me souvenais plus de ce qu’il c’était passé et avait passé la plupart de l’année à jouer avec lui, un de ses amis et un des miens ensembles sans qu’il ne fasse une seule fois référence à ce qu’il s’était passé. Il n’avait jamais l’air de vouloir jouer avec moi, ce que je ne comprenais pas à ce moment, mais c’est quand tout m’est revenu en mémoire que le déclic s’est fait. J’ai pu comprendre que le nombre de fois ou il voulait m’éliminer quand on jouait à Star Wars n’était pas juste un hasard mais surement de la rancune.
Il y a 1 ans, alors que j’avais 22 ans, j’ai voulu me confronter à lui, pour avancer car son contacte semblait ne jamais me quitter à partir du moment ou je me suis souvenue de tout et que j’étais épuisée de faire des crises de panique quand mon fiancé me touchais. Il n’a jamais lu mon message et ne m’a jamais répondu. C’est il y a 6 mois qu’à bout de ce sentiment de saleté je lui ai envoyé un dernier message en lui disant qu’il était lâche de ne pas me confronter, et qu’il m’a bloqué. Visiblement, il avait eu la notification, avait lu mais n’avais juste pas répondu. Ce soir la, j’ai fais une tentative de suicide.
Aujourd’hui, j’ai pris contacte avec une psychiatre pour réussir à me sortir de ce sentiment de peur, cette impression d’être sale. J’essayer d’aller mieux mais c’est en rédigeant mon mémoire de fin de licence sur le harcèlement scolaire que j’ai pris la décision d’écrire ici pour partager mon vécu, et peut-être, pourvoir écrire mon mémoire sans fondre en larme toute les 10 lignes. |
19 | J’avais 14 ans et mon prof 24 . Il n’a eu de cesse tout au long de l’année de me faire des remarques très déplacées, me convoquait quasiment à chaque fin de cours en fermant la porte à clef. Il m’a traité de suceuse devant toute la classe une fois, et m’a carrément demandé si j’étais vierge. Il m’a expliqué ce qui se passerait pour moi le jour où je rencontrerai la bonne personne et que je commencerai à avoir des rapports sexuels, alors que j’étais à des années lumières de penser à ça, je lui expliquais que cela me dérangeait, mais il s’en fichait. Je sentais son regard sur moi tout le temps, il m’appelait ma jolie, en fait ça me rendait folle et je n’étais pas rassurée lorsque je me retrouvais seule avec.bref, je pensais que tout cela n’était rien mais je n’arrive pas du tout à oublier toute cette histoire. Je trouvais chacun de ses propos violents et insultants. |
19 | Lors de mon année de 4e (j’avais 13ans) j’ai été victime de harcèlement.
Ma rentrée se passe très mal à cause de filles qui m’harcèlent à longueur de journée, mais ça finit par se calmer avant les vacances de la Toussaint. Pendant ces vacances je me rapproche d’un garçon (qui s’avère être le meilleur ami des filles qui m’embêtaient, vous sentez la merde venir là ?) avec qui je vais me mettre en “couple”, ça ne va durer qu’une semaine, même pas une amourette de collège. À la rentrée, le calvaire commence..
Ce mec commence par me toucher les cuisses en classe, malgré mes demandes pour qu’il arrête. Ses attouchements sont de plus en plus fréquents et voyant qui ne s’arrête pas malgré mes multiples demande je lâche l’affaire et le laisse faire. mais il ne va pas s’arrêter là, bien sur !! Sinon ça n’aurait pas était assez drôle !! Petite précision, il trouvait ça drôle de m’emmerder.
Les jours passent et il prend clairement la confiance.
Je vais vous lister quelques événements qu’il m’a fait subir:
– il m’appelait en classe et il faisait des gestes obscènes
– il m’insultait de “sale pute” “salope” “t’es ma grosse chienne à moi” et je vous en passe
– il a commencé à me frapper, chaque inter-cours il me mettait par terre et me frappait quand j’étais au sol, me mettait des frappes derrière la tête
– il faisait des remarques, plus humiliantes les unes que les autres devant tout le monde.
– m’étranglait, tellement il serrait fort, ma voix changeait de tonalité, ça ferait comme si on pressé le petit bout d’un ballon je ne sais pas si vous voyez.
Je vais aussi vous racontez 2/3 anecdotes:
1er: J’étais en cours d’histoire et le prof nous explique que “les soldats pillaient les villages, ils pendaient les hommes, égorgeaient les enfants et violaient les femmes” et cet imbécile dit ( devant tout le monde ) “ah ! et bien, toi tu es la femme et moi je suis le soldat” je lui répond ” bah non puisque je ne veux pas” et il me répond “bah c’est le principe d’un viole salope”. NO COMMENT !!
bien sur toute la classe se marre et moi j’ai bien honte et n’ayant pas de répartie je ne répond rien et me tais.
2eme exemple: cours de français lors d’un exercice la question C de l’exercice est:” Clara a crié, a pleuré et a supplié.”
(j’ai changé le prénom de l’exercice mais en gros le prénom dans l’exercice était le mien).
J’étais très gênée quand monsieur a sorti tout fière “ah et bah Clara t’a crié de plaisir, t’a pleuré parce que j’y allais fort fort et tu m’as supplié pour que j’arrête”. Encore une fois toute la classe rigole sauf moi et quelques élèves un peu choqués. La professeure n’a pas réagi( après explication avec elle, elle n’avait apparemment pas entendu).
Pour ne citer que ça enfin bon, ça aura duré 1mois et demi, vous allez me dire que c’est rien mais 1mois et demi, mais 4,5 jours sur 7 jours et de 8h à 17h, c’est long je vous promets.
Un jour je rentre chez moi et je décide de tout raconter à ma mère, elle prend directement les choses en main et pour passer les détails des rendez-vous avec la direction, toutes les paperasses etc… Il finit par être exclu de l’établissement.
Après ça, j’ai arrêté l’école pendant 2mois puis j’ai réintégré une école privé pour finir l’année et surtout me reconstruire. Après de nombreuses séances chez ma psy, mon psychiatre et beaucoup de travail personnel, je vais beaucoup mieux.
Aujourd’hui j’ai 15ans et je me sens bien dans mes baskets, j’ai gagné en assurance etc…
Cependant, je ne me souviens plus exactement de ce qu’il m’a fait subir, j’arrive à raconter parce que je l’ai tellement expliquer que je le récite presque par coeur mais j’ai presque aucun souvenirs de quand il me frappait ou m’insultait. Cependant, il me reste des séquelles, dans le sens où j’ai des réflexes de personnes battues (je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire), puis j’ai honte de moi des fois, il me mettait la putain de honte devant tout le monde à me tirer les cheveux, m’insulter, en public !!! Personne n’a réagit, même pas les professeurs alors je n’ai plus confiance en l’éducation nationale, d’ailleurs, une fois avoir quitté l’établissement, j’ai reçu plein de mail de professeurs qui s’excusaient de ne pas avoir agis etc…
Honnêtement ce qu’il me manquait pour passer à autre chose c’est la reconnaissance de mes anciens amis ( qui m’ont bien évidemment lâchés, tout le monde a pris la défense de mon bourreau), des gens qui ne me connaissaient même pas et qui m’insultaient enfin bref une reconnaissance.
Et vous savez quoi, j’ai appris dernièrement que tout les gens regrettent ce qu’ils ont pu penser, dire, etc… j’ai aussi appris que mon ex petit copain ( avec qui je suis restée de mon CM2 à ma 5e et qui a beaucoup souffert à cause de moi) s’était battus contre mon harceleur pour me défendre ??!! et j’ai aussi appris que la moitié de mes amis se sont joint à la bagarre, imaginzr-moi dans l’état dans lequel j’étais. Aujourd’hui j’ai enfin réussi à passer à autre chose et j’en suis tellement heureuse.
Alors à toute les victimes d’agressions, d’harcèlement, la roue tourne et c’est vrai. Laisser la vie faire son travail et occupez-vous de votre guérison.
Si j’écris ce témoignage c’est avant tout pour me vider, mais aussi pour faire partager mon histoire, peut être qu’elle pourrait aider ou je ne sais pas mais je voulais la partager. Dans un précédent témoignage des professionnels mon répondu et j’ai adoré lire leur avis et ça m’a permis de faire certain choix dans mon entourage etc…
J’attend donc peut être une réponse 🙂
Enfin bon, je vous souhaite une bonne journée, à vous lecteurs. Et surtout, on ne peut pas avancer seul alors entourez-vous et acceptez d’être aidé.
Je m’excuse pour les faute !! |
19 | Trousseau avec nom demandé cousu sur chaque vêtement : à l’arrivée valises enfermées, on avait droit à un short un tshirt un slip et des soquettes pour la semaine. Les jeux : pouilleux déshabilleur avec ambiance de peur violente, ouverture des portes des douches aux garçons alors que les filles étaient encore à l’intérieur (les garçons pleuraient et se cachaient les yeux en disant qu’ils ne regardaient pas) dictée et ouverture du courrier pour les parents, soirée nocturnes avec des lampes en papier et une bougie à l’intérieur pour chacun. La consigne en cas de problème, écartez vous car on sera obligés de sauter sur celui ou celle qui prendra feu. Les plus petits étaient laissés dehors en pleurs. Je sais que certains montaient dans les chambres des monos. Certaines mono essayaient de s’interposer et nous ont aidés malgré leur peur. Comment tout ça a pu se produire sans que personne ne dise rien ? Ou soit contraints à se taire ? |
19 | une situation que j’ai vécue quand j’étais au collège : J’ai subie du harcèlement scolaire à l’âge de 15 ans au collège par un garçon du même âge que moi à l’époque. Cela a commencé au milieu de l’année scolaire de 2007 et cela s’est terminé à la fin de l’anné 2009 avec des insultes à caractères sexuelles : dont s….e, p…e.
Je voudrais savoir si comme ça s’est passé dans le cadre scolaire, si c’est considéré comme du harcèlement sexuel ou que comme du harcèlement scolaire ?
Au début, il a commencé à me suivre partout où j’allais dans le collège, par exemple quand j’allais au CDI, il s’asseyait toujours derrière moi à chaque fois que j’y étais en se mettant très près de moi.
À chaque fois que je redescendais du self il m’attendait dans le hall du collège pour me guetter et pour me suivre…
Chaque matin,j’étais strésée avant d’aller au collège.
Une autre fois il m’a mis un coup de pied par derrière dans la cour alors que j’étais de dos…
Et la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, la menace de trop c’est quand un jour, j’étais assise dans la cour de récré, qu’il s’est vraiment approchée trop près de moi et qu’il m’a dit tout bas : “je vais te violer”…
Je voulais que tout le monde voie son vrai visage puisque devant les élèves et devant les profs il était normal,il ne laissait rien voir…
Le soir,en rentrant du collège,ma sœur a vu qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas,je lui ai raconté ce qui s’était passé puis ensuite elle a été le dire à mes parents… Le lendemain matin, ma mère s’est déplacée au collège pour voir la principale qui en plus était une femme, mais celle-ci e a minimisé les faits en disant que ce garçon n’était pas méchant,qu’il était juste un peu arriéré et donc que ce n’était pas très grave entre guillemets…
Je me dis que si j’aurais réagi avant cela n’aurait peut-être pas été aussi si loin.
Pour finir, cette principale a juste téléphoné au père de cet élève , son père lui a dit qu’il s’excusait du comportement de son fils mais moi je n’ai pas eu de suite après cela. |
19 | Comme beaucoup de femmes, j’ai appris à ne plus prêter attention aux nombreux commentaires et clins d’oeil dans la rue. Je ne pense pas qu’il existe une seule femme qui n’a pas été harcelée un jour dans la rue.
Ce prof de sport qui au collège s’amusait à caresser les cuisses des filles, notait à la tête des jeunes filles “Alors X, on lui donne combien, elle est gentille elle aura 16” “ah toi tu es moins gentille avec moi, tu auras 12” disait il devant nous quand venait l’heure de remplir son carnet de note. On faisait le guet à tour de rôle dans les vestiaires de filles: une bloquait la porte pendant que les autres se changeaient pour être sur qu’il n’entre pas pour nous dire de nous depecher et en profiter pour nous reluquer au passage.
Ce garçon au collège, plus agé que moi, qui m’a forcé à l’embrasser entre les casiers, sous le regard rieur de ma meilleure amie qui n’a rien dit, rien fait.
Ce mec dans ma bande de pote qui me surnomme gros-seins “pour rigoler”
Plus courant/ habituel, ces vieux mecs (50-60 ans) qui me sifflent ou me font des clins d’oeil dans la rue.
Ces copains au collège/ lycée qui insistaient lourdement pour que je couche avec eux, après tout c’est pour ca que sont faites les relations amoureuses, non?
Je n’ai heureusement pour moi jamais été violée, mais tous ces evenements que l’on le veuille ou non marquent une femme. |
19 | C’est dans les années 2000 à 2006 au Collège Blanche de Castille, dans la commune de LA CHAPELLE LA REINE :
A. P. était un garçon au tempérament agressif qui cherche toujours la bagarre. Il lui arrivait même de se battre contre d’autre garçon et il était violent. Je le connais depuis l’école primaire. C’est un provocateur très belliqueux qui ressent toujours le besoin de dominer, toutes personnes qu’il juge inférieur à lui et dont je suis sa cible favorite. Un jour, au collège il m’a fait des caresses sous les rires de ses potes et je l’ai frappé. Après cela, j’ai eu une double peine parce-que la surveillante Sonia m’a puni pour les coups que je lui ai donné qui n’ont eu aucun effet sur lui. Cette surveillante n’avait aucune solidarité féminine. On voit tout de suite que ce n’était pas elle qui se faisait tripoter ! J’aimerai bien la voir se faire toucher par des hommes dans la rue, pour voir comment elle va réagir ! Elle n’avait pas l’air d’avoir saisie la gravité des faits. J’aimerai bien qu’un jour il lui arrive la même chose, pour qu’elle comprenne ce que ça fait ! J’hallucine, c’est A. P. qui m’a agressé le premier, je me suis défendu et c’est moi que Sonia sanctionne ? CE N’EST PAS NORMAL ! Ce mec n’est pas mon petit-ami, je ne suis pas consentante et il n’a pas à me faire des caresses ! De toute manière je m’en fiche, elle aura beau me punir cela ne changera rien. Je préfère de loin avoir une heure de colle, plutôt que de me laisser faire. Je ne permets pas ce conard de me toucher de cette façon et si c’était à refaire je recommencerai ! Après cet incident, Laurent le plus ancien des surveillants qui me connaissait bien, est venu me voir pour me dire que mon comportement a été stupide, parce-que c’est lui qui a gagné. Il m’a dit que je n’aurai jamais dû lever la main sur lui, et venir le signaler. J’ai trouvé cette réflexion odieuse, gonflé, et ironique.
“Alors quand je viens les voir, ils font semblant de réagir et ils m’envoient chier, mais quand je tente de régler mes problèmes moi-même, ils me reprochent de ne leur avoir rien dit ?! ILS SE FICHENT DE MOI ! Les surveillants me prennent vraiment tous pour une conne …”
En gros, quand je me faisais agresser et que j’allais me plaindre aux surveillants ils m’envoyaient balader. Et quand c’est moi qui réagissais pour me défendre toute seule contre mes agresseurs c’était moi qui me faisais punir. En enfaite, j’avais le sentiment que les surveillants m’agressaient aussi. Ils étaient du côté de mes agresseurs et ils étaient complices ! |
19 | J’avais 12 ans, j’en ai aujourd’hui 53.
C’était l’époque où les surveillants, les “pions”, comme on les appelait, surveillaient les toilettes pour attraper les gamins qui s’en grillaient une… Bizarrement, là, il n’y a eu personne.
Les garçons me harcelaient depuis plusieurs jours déjà, et ce jour-là, je me suis retrouvée dans la cour, face à une ligne serrée de garçons, qui m’empêchaient de passer. La ligne faisait toute la cour, impossible pour moi de leur échapper. Même au rugby on ne fait pas mieux.
Ils m’ont entraînée dans le coin d’un préau et m’ont tripotée, ont passé leurs mains partout sur moi, en moi… je me suis défendue comme une lionne mais ils étaient un troupeau.
Et personne n’a rien dit, personne n’a rien vu.
Moi, dans la vie qui était la mienne à ce moment-là, malmenée par mes parents, j’ai intégré ça avec le reste des maltraitantes et j’ai juste raconté une main aux fesses. Je me disais que j’avais dû faire quelque chose pour provoquer cela.
Et puis je l’ai oublié. Comme ça. Pffuit! Plus rien, seulement un poison dans ma vie, des dysfonctionnements incompréhensibles, des problèmes relationnels et sexuels pendant 35 ans, jusqu’au jour où le souvenir m’est revenu, un matin, au réveil, et où j’ai dû m’en occuper. Consulter. Faire des liens. Me réconcilier avec moi-même et appeler les choses par leur nom : j’ai été violée, et le pire, c’est que je ne sais pas par qui, car ils étaient trop nombreux et j’ai oublié. Et j’avais les yeux fermés…
Je me demande si cette bande de porcelets seront devenus de gros porcs… j’espère que non. |
19 | Viole psychologique d’abord.
En couple à mes 15 ans, avec un pervers narcissique. J’ai dis oui car j’avais très peur de lui. Aussi son chantage affectif “si tu m’aimes tu le fais”, a marché.
Plus de 15 ans après encore suivi psychologique nécessaire.
Jamais eu encore une sexualité normale à cause de lui. |
19 | Je suis sortie juste après le travail avec plusieurs de mes collègues.
Nous sommes allés boire un verre dans un bar branché près de nos bureaux..
Nous avons beaucoup discuté.
A bout de deux heures, je me suis retrouvé seul avec un de mes collègues homme.
Il s'est approché de moi, m'a effleuré la cuisse, a voulu me faire un baiser. Je lui ai dit STOP, je l'ai repoussé.
Je me suis rapidement levée pour me diriger vers la sortie
Je me suis retournée, il ne me suivait pas
Je suis rentrée chez moi.
J'étais encore sous le choc |
19 | Tous les jours, il venait au moins une fois me voir dans mon bureau.
Il disait qu'il me trouvait très belle, que mon corps était magnifique, qu'il adorait mes seins, qu'il ne pensait qu'à moi, qu'il voulait me faire l'amour, que j'allais aimer ça.
Il était marié, mais il ne pensait qu'à moi.
Puis il quittait mon bureau avec un grand sourire et un clin d'oeil.
J'ai du quitter l'entreprise |
19 | Il était toujours très doux et très gentil avec moi.
Il appréciait mes compétences et mon professionalisme.
Nous étions très proche.
Au bout d'un an dans son service, il voulait me proposer une promotion mais m'a fait comprendre que je ne pouvais l'obtenir que si nous passions un moment intime entre nous. |
19 | Il n’a pas lâché. Un an de harcèlement, de SMS baveux, d’appels tardifs et de messages vocaux poisseux, que j’ai tous effacés pour oublier, pour avancer.
Mes parents s’en souviennent. Au téléphone, il m’appelait “ma petite nonne”. Ca l’excitait beaucoup.
J’ai réussi à le faire décrocher quand j’ai menacé de tout raconter à son associé, il a immédiatement arrêté ce harcèlement |
19 | J'étais dans le métro, il était bondé, un homme s'est collé à moi et a commence à frotter son sexe contre mes fesses. Il bandait. Je suis sortie rapidement du métro |
19 | J'étais assise dans le métro, la rame était pratiquement vide, un homme m'a regardé fixement puis à commencer à se masturber. J'ai vite détourné le regard |
19 | Nous étions des bons camarades, puis il a commencé à être de plus en plus pesant, m'appelait dix fois par jour, m'envoyait des SMS à connotation sexuelle, puis a fini par m'envoyer des photos de son sexe en érection plusieurs fois par semaine |
19 | Tout se passe quand il n'y a pas de collègue autour de moi.
Il vient me dire que je suis sublime, qu'il me désire, qu'il ne fait que de penser à moi, que nous pourrions passer un moment ou une soirée en tête à tête, que sa femme ne sera rien. |
19 | Il se poste souvent derrière moi quand je suis assise à mon bureau, je sens son souffle dans mon cou. Il me suit quand je me déplace, il essaye toujours de passer très près de moi pour effleurer mon corps, mes fesses, mes seins |
19 | Je n'arrivais pas à avancer sur un projet, je suis allé voir mon supérieur hierarchique et il m'a tout simplement dit "contre un petit massage, je t’arrange ce dossier". |
19 | J’ai eu droit à des questions sur ma vie sexuelle, la taille de mes seins, des commentaires sur mes fesses, des demandes de fellations |
19 | Cela a commencé comme ça : "J’ai le droit de te toucher, t’es blonde, tu comprends rien, tu tortilles ton cul quand tu marches, ça m’excite" |
19 | Tout a commencé par des blagues douteuses, puis des allusions à propos de mes fesses et enfin des regards insistants et mal placés |
19 | harcèlement sexuel |
19 | On me harcèle |
19 | Il me harcèle en m'envoyant des photos de son sexe et de lui nu |
19 | Il me harcèle avec ses SMS érotiques |
19 | Il me harcèle avec ses mails orientés sex |
19 | Il m'appelle plusieurs fois par jour pour me dire qu'il veut me baiser |
19 | Il me harcèle au téléphone en me suggérant de le rejoindre pour coucher avec lui |
19 | il s'acharne contre moi |
19 | il me lance des propos déplacés tous les jours |
19 | il me traite de garce, pute, salope quotidiennement |
17 | Un homme viens manger le midi et attends le soir devant chez moi, c’est pas le seul, j’ai entendu sa conversation ;- Je vais suivre cette femme toute ma vie.
Il a avoué avoir rayé la voiture, dimanche ma marraine et moi on est allée au culte et en revenant on a vu que quelqu”un l’avait rayé il était sur un autre parking pas loin je l’ai immédiatement soupçonnée.
Il attendait le soir devant mon arrêt de bus aujourd’hui, moi musique sur les oreilles je l’ai ignorée et il a donnée un coup violent dans une voiture, j’ai peur, mon curateur ne me croit pas quand je lui en parle
En plus la violence je connais et j’ai pas envie de la revivre pourquoi lorsqu’on est une femme on aurait pas le droit de choisir la solitude?
Ai-je l’air si bizarre de préférée être seule plutôt qu’avec des personnes violentes?
Pourquoi ces hommes essayent de me contrôler, je me respecte cependant, pour rien au monde je ne changerais mon choix pour eux.
J’ai pas osée en parler à ma marraine car je doute de ma vue, j’ai un handicap je ne reconnait pas les gens dans la rue.
Mais mon amie la aussi vu quand il viens le midi. |
17 | A erstein je me fait suivre et draguer par des vieux mr.
C’est lour et j’aimerais bien qu’on me laisse au leclerc me balader tranquille, un vieux s’est mis à me suivre derrière fesant ses courss en même temps que moi et il va même jusqu’à se prendre un rdv chez le coiffeur en même temps,je sais pas si là j’ai réuss à m’en débarasser ça fait deux fois qu’il m’a pas suivi mais l’autre jour c’était un autre.
Devant le mec pour m’en débarasser et devant tout le monde j’ai osée dire tout fort;-J’en ai marre que vous me suivez.
En gros je lui ai foutu la honte j’aimerais bien faire ma vie tranquille. |
17 | Je suis la maman d’une enfant âgée de 12 ans. Elle découvre sa féminité. Elles est harcelée, maltraitée. Bleus aux corps .
Elle est la proie des réseaux sociaux. Elle n’a pas de honte à vivre sa sensualité mais sa naïveté lui apporte de la malveillance de quelque jeune du quartier. J’ai voulu réagir de manière spontanée. Et on me l’a fortement déconseillé. |
17 | Je n’en peux plus je suis une jeune étudiante et je me suis fait suivre dans les rues de bordeaux plus d une dizaine de fois même en pleine journée. Et parfois quand j ai cours le soir je suis obligée de marcher a 23h la nuit . Et je me dis si ça m’arrive et qu’il n y a personne autour je fais quoi ?
A chaque fois ce sont des personnes différentes mais je le vis comme du harcèlement.
Je suis stressée et ai peur à chaque fois que je sors dans la rue maintenant |
17 | Prise à partie par une bande de “jeunes”, j’ai été insultée et violentée à la vue de tous. De nombreuses personnes ont vu la scène et personne n’a rien dit. Que les femmes n’aient rien fait, je peux le concevoir. Mais que les hommes passent à côté en faisant semblant de ne rien voir, même pire, changent de trottoir, je n’ai pas de mots pour décrire ce que je ressens.
Je suis dégoutée de ce pays et de ce qu’il est devenu.
Quand on laisse une jeune femme se faire agresser à la vue de tous, après il ne faut pas s’étonner des horreurs que l’on peut lire dans les faits divers.
Je n’ai pas été violée, je n’ai pas été tuée, mais je ne vois pas ce qui aurait pû les en empêcher.
Une jeune femme qui pourrait être votre fille. |
17 | Il y a des vieux qui s’amusent à me suivre longtemps, j’aimerais bien une réponse de votre part, qu’on t-il en tête croyent-ils avoir une femme de cette façon?
J’ai beau les recadrers en leurs disant que c’es pas la peine de venir me parler que je ne souhaite pas leurs parler.
Ils me suivent à tour de rôlec’est jamais le même ça dure un tems récement, il y a un groupe de ces vieux qui viennent manger dans notre restaurant , c’est un restaurant ouvert de l’esat et ils font des commentaires entre eux sur comment untel va me suivre.
J’ai les boules et la haine au ventre; je suis une femme celib mais j’ai encore le droit de choisir ce que je veut dans ma vie.
J’ose rien dire à mes supérieurs et ça me stresse d’aller manger au restaurant; j’arrive à les ignorers pendant ce temps mais chose bizarre la police est venu à plusieurs reprise et il y a un de ces mr qui est allée voir la directrice je me demande si ils leurs disent finalement quelque chose mais discretos.
J’en peut plus. |
17 | Un mec un soir que je connais pas me dit Je t’aime devant la porte, il se permet ensuite de se mettre à regarder mes faits et gestes quand je sors de mon bus devant chez moi jusque dans mon immeuble; au resto il me suis et discute avec son groupe d’ami, mon père et moi allions une journée au jardin et il y a un resto pas loin, il nous suivent et c’est vrai et j’entends leurs conversation,j’ai peur enssuite .
Ils disent; -Je suis une femme et enssuite je la fourre.
Il parlait bien de perspective de viol là?
J’ai eu les boules pendant un moment mais ne l’ai pas montré quand il m’avait dit je t’aime j’ai pas répondu, je l’ignorait enssuite je pensait qu’il comprendrait le message et attention c’est pas finit, j’ai acheté un pantalon à carreaux et il avait une veste qui ressemblait à mon pantalon.
Il y a un autre un vieux monsieur qui me suit dès que je vais au magazin.
J’en peut plus de cette prédation.
Je sais aussi qu’il y a cette maladie l’érotomanie qui existe,mais de ou un homme même un peu bête puisse imaginer un sourire un bonjour et c’est dans la poche?
Qu’est-ce que vous croyez?
Moi j’ai été éduquée à faire cela n bonjour et un sourire, résultat je ne le fais plus et si un homme dans la rue ose m’aborder je le recadre vite fait mais leurs agissement me fait peur d’autant plus que pas loin de chez moi il y a un hopital psychiatrique.. |
17 | Hier en allant au travail en tram et en étant au téléphone avec ma mère, je vois un homme me regarder avec insistance. Je n’y prête plus attention tout le long du trajet (qui dure à peu près 10 minutes). Je descend du tram et remarque que lui aussi. Je marche à proximité d’un petit jeune et décide de traverser en même temps que lui, histoire de ne pas me faire embêter. Malheureusement, le petit jeune part tout droit et moi je dois tourner. Je regarde derrière moi et voit le type commencer à partir tout droit. Il fait demi-tour et finit par être derrière moi dans un raccourci que personne ne prend sauf si tu habites par la. Je dis à ma mère au téléphone, j’ai l’impression d’être suivie. J’accélère le pas et court me réfugier dans le hall de ma cliente qui heureusement ferme à clé. Étant en avance, je décide d’attendre l’heure dans ce hall. Le type qui me suivait arrive finalement à la porte et me demande de lui ouvrir. Je ne suis pas folle, je n’ai pas ouvert car je ne savais pas ce qu’il voulait. il finit par retirer son masque et me faire des gestes pour essayer de me faire sortir. Il mime qu’il veut me parlez. J’ai finalement opté pour arriver en avance chez ma cliente et je me suis hâte à monter 4 etage en courant puisqu’un voisin descendait et j’avais trop peur qu’il lui ouvre la porte. Je me suis enfermé dans l’appartement et ait regarder par la fenêtre. Il était toujours là. Il est rester au moins 10 minutes avant de se résigner à partir. J’ai eu la peur de ma vie et j’ai déposé une main courante aujourdhui. J’ai peur de le recroiser. Peur de sortir seule a nouveau. |
17 | J’ai parfois été victime de “suiveurs”. Le mec un peu louche qui te suis et tu ne sais pas pourquoi…Tu crains de rentrer chez toi ( tu n’as aucune envie qu’il sache où tu habites) ni de risquer se faire coincer dans une rue. Bref, cette fois ci c’était différent. C’était il y a quelques années déjà
Je venais d’aménager chez mon nouvel ami ( qui est devenu mon époux depuis) dans une petite maison de la campagne d’Annecy.
Je faisais mes courses avec ma fille de 6 ans, ce jour là. Rien de bien spécial, super marché, entre rayon poisson et fromage. J’étais habillée normale, féminine avec une robe d’été mais pas de maquillage et des petits talons.
Un homme, entre deux caddies, m’aborde. Plutôt bel homme je dois dire. Mais je n’aime pas son énergie…ma fille me regarde de travers.
Et voila qu’il commence clairement à me faire du “rentre dedans”….là ma fille me regarde carrément mal ( et elle a raison)….
Je reste polie, réplique au monsieur que primo je suis avec ma fille et que deux je suis en couple donc…non.. bref, je suis assez ferme. Il insiste, je deviens sèche, il tourne les talons. incident clos. RAS
La dessus ma puce panique ” dit donc tu vas pas quitter G.. moi je l’aime bien surtout pour lui là, il se prends pour qui”
Ma puce est très choquée, je la rassure. J’aime profondément G, je viens de me mettre en couple avec lui, je lui demande de se calmer….
Bref, je fais mes courses et au rayons surgelé, voila l’autre huluberlu qui remets ca…ma fille est verte.. je le rembarre fermement cette fois ci….
Enfin, je vais à la caisse, paye et me dirige vers ma voiture…rien de bien spécial…
Je démarre, prend ma sortie et continue ma route….ceci étant j’ai l’habitude de toujours regarder dans mon rétro…Au départ, je ne fais pas gaffe, la route est très fréquentée mais je vois une voiture avec un comportement bizarre. Elle double de manière anarchique les autres voitures et se cale derrière moi…Bon, je ne suis pas du genre a paranoïaque, je continue ma route. Je prends ma bifurcation ( nous habitions un tout petit village avec 1500 habitants) et le premier village avait dans les 3000 habitants. Il pouvait être normal qu’il suive ma direction. Mais quelque chose dans sa manière de conduire clochait. Je voulais en avoir le cœur net. J’ai commencé à ralentir dans une ligne droite, il a fait pareil au lieu de doubler, puis à accélérer, il a fait pareil. Là, j’ai vraiment commencé à avoir un doute….D’autant que dans le rétro, il me semblais bien reconnaitre l’huluberlu du supermarché. J’étais enfin à mon embranchement qui menait à mon petit village ( il y avait rarement une autre voiture avec moi sauf en général voiture connue des voisins) et bien sur, il a continué à me suivre….C’est alors que j’ai compris…
Là j’ai prévenue ma fille ” tu t’accroches, on a un soucis”… ma fille m’a toujours fais confiance…
Je savais que mon voisin – un vieux monsieur retraité-était souvent dans un bar du village, je pouvais y arriver en mode fangio attraper ma fille en poids et rentrer dans le bar en hurlant…
Sauf qu’il n’était pas au bar et derrière, il y avait une longue ligne droit qui se perdait en foret ou alors j’avais la route des crètes de l’école à la maison et à cette heure, je pouvais rouler très vite, il n’y aurait personne.. J’ai opté pour la seconde solution. A la dernière minute, alors que je roulais assez vite, j’ai pris la route des cotes, un embranchement en mode “fast and furious” et j’ai lancé le turbot dans le virage en appuyant comme une folle sur l’accélérateur. Lui, sur sa lancé a loupé l’embranchement et je l’ai vu faire demi tour un peu plus loin et revenir sur ses pas à ma poursuite. Sauf qu’il allait arriver à plusieurs embranchement et qu’il ne pourrait pas voir ma voiture…là j’ai vraiment roulé comme une folle jusqu’à la maison et j’ai hurlé tout ce que je pouvais à mon compagnon. Ma fille était terrorisée. Mon compagnon a très mal pris la chose, il a pris la voiture et il est partis à sa poursuite ( bien sur il ne l’a pas retrouvé) et l’autre n’a plus jamais rodé dans le secteur… mais voila quoi, c’est nul de s’en prendre à une mère avec sa fillette.
Je ne sais pas ce que voulait ce tordu ( et je préfère ne pas savoir je crois)
Bref tout cela pour dire, en cas de soucis, enfermez vous dans votre voiture, bloquez le klaxon, rapprochez vous d’ami, faite appel, allez à une gendarmerie, signalez le harcèlement….mais surtout, veillez à ce que le harceleur ignore tout de votre lieu d’habitation. Un prédateur ne doit jamais avoir votre adresse |
17 | Ca me stresse car je nettoyait mon palier et unee fois finie j’ai tout rangé un vieux monsieur passe pour aller je ne sais ou il me voit et se permet de dire ;-Bonjour ma belle,
j’ai pas répondu,
Puis je l’ai entendu marmonner ;-Chipie quand j’ai fermé la porte.
Là je la réouvre et dit bien fort; – Déjà je parle à qui je veut si j’ai pas envie de répondre c’est mon choix et vous n’avez pas à m’y obliger.
Mais j’en ai marre car je me fait constament regarder ou harceler.
On a pas a tout accepter je pourrais dire quoi d’autre pour les remettres à leurs place?
C’est usant et hier c’était pas le même un mec qui se permetait de me suivre s’est un peu calmé mais hier il a fait des traveaux avec un autre et j’ai entendu ce qu’il disait; – Je suis amoureux de cette personne, qui réponds jamais a… cette pimbêche.
Il avait un tête des mauvais jour j’ai regardé discrétos et j’ai ignoré ce monsieur, de ou il y a des hommes qui se crovent tout permis?
Il a même dit a un moment qu’il voulait juste tirer son coup avec moi, que ça le saoulait que je répondait pas; mais j’ai pensé attends c’est mon corps !!!
c’est à moi de décider ce que je veut, mais je l’ai ignoré.
Cependant c’est usant heureusement que j’ai fait du judo. |
17 | JE voudrais un vieux pervers qui s appel ****** et qui ma harcelé pendant plusieurs mois jusqu a que je craque et que mon couple explose apres lui ma laisser tomber comme une merde j ai tout perdu
Aujourd hui je viens d apprendre qu il fait pareil avec une femme de 25 ans plus jeune que lui il a un e parole qui fait croire en lui alors que c est qu un vieux pervers sans moralité
j ai eu du mal a me reconstruit je plein cette femme les faits se passe en ******* a ******** village que j ai du quitte et en plus j ai perdu la garde de mon fils |
17 | J’ai 20 ans, je suis étudiante à Paris. Dans la rue, les vieux me saluent d’un “bonjour, mademoiselle” dégueulasse, en m’évaluant de la tête aux pieds comme un morceau de viande. J’arrête de sourire et de regarder autour de moi.
J’ai 20 ans aussi. Sur les marches d’un escalier dehors, un jeune homme m’interpelle “bonjour!”, insiste : “eh, je t’ai dit bonjour!” et poursuis: “eh salope, tu pourrais répondre!”
J’ai 35 ans, je sors du travail, bottes à talon, joli manteau, féminine. Un homme m’aborde en anglais avec un accent français, je décline poliment sa tentative d’approche en français, il m’insulte. En deux secondes, on passe du “gentleman” au gros connard vexé. De quel droit se permet-il d’attendre quoi que ce soit de moi?! |
17 | Voici ce que mon harceleur me dit un matin, je ne savais que répondre.
Je finis par constater que je le voyait souvent, je me suis demandé si je m’imaginait des trucs, j’en ai parlé autour de moi et à ma psy.
La semaine dernière je vais à la pharmacie pour demander pour un vaccin contre la grippe, j’ai mis mon baladeur à fond.
Sur le parking je vois qui….
C’était lui mon harceleur et il viens me parler, là énervé je lui dit cache ;-C’est pas la peine de venir me parler, c’est mon choix de pas répondre, je parle pas ux inconnus, je suis pas intéressée et pour draguer aller voir ailleurs bye !!!
Je me suis cassée avec mon baladeur j’ai rien entendu de ce qu’il disait et je m’en fichait, ma psy je lui en ai parlé, elle m’a dit;-Au moins vous avez été clair.
Il vous suit encore c’est qu’il reste dans sa bêtise et refuse d’entendre votre refus.
Ignorez-le.
Depuis c’est ce que je fais, pour moi il fait partie du décor.
…….
Merci Zaragan, psionic pour vos message je vais juste vous expliquer quelque chose ;
Dans le bus ;
je prends le bus avec les scolaires car il va sur mon trajet des jeunes se foutent de moi et une s’amuse à imiter ma voix, elle est rauque j’y peut rien j’ai été opéré, ça m’a toujours énervé que des cons se foutent de moi.
Il y avait une personne qui ressemblait à cette collégiene et je l’ai dit à mon père, c’était pas elle en fait j’ai un autre soucis j’ai du mal à reconnaitre les gens.
Là ce jour là c’est la que j’ai déposé le com ou je disait j’en ai marre de me battre.
Pour ceux qui on une différence c’est pas le sujet du site mais c’est dur à supporter surtout que je pourrais rien faire pour la changer car si on m’opère c’est risqué.
Je vous devait cette explication svp admin valide mon texte.
Des jeunes se moquent constament de ma différence.
C’est aussi une autre forme de harcèlement. |
17 | C’était vers la fin du printemps 1979, j’allais avoir 16 ans et je rentrais de chez mes voisins vers 16 h; je marchais sur le trottoir de droite, j’avais à peine 100 mètres à faire, il y avait très peu de circulation. Tout à coup, un véhicule ralentit et se met à rouler à ma hauteur, les vitres à l’avant étaient baissées, le conducteur un homme entre 30 et 35 ans m’a interpellée, je n’ai pas répondu et je continuais à marcher tout droit sans tourner la tête et sans un sourire, il m’a dit ” Mignonne… mais pas sympa” en insistant lourdement sur ces paroles. Finalement, il s’est décidé à partir. C’était mon premier harcèlement de rue, je n’en ai parlé à personne pendant de longues années. Maintenant, je le dénonce régulièrement autour de moi : ami-e-s, collègues….
Cet agresseur était peut être marié et bon père de famille et dans ma tête d’adolescente, je ne pouvais imaginer pouvoir attirer un homme d’âge mûr. |
17 | Un monsieur se met un soir devant ma porte et me dit; -Je t’aime.
Je ne l’ai jamais vu et ne le connais pas.
J’ai pas envie de lui parler et de commencer une relation.
Je sais pas s’il est érotomane.
Depuis 2 ans certains soir il passe devant moi avec sa voiture juste devant la porte d’entrée pour me regarder, je l’ignore.
Un jour j’en ai eu tellement marre que je lui ai crié;- Le silence est un refus et j’ai le droit de ne pas répondre.
J’ai passée une journée avec mon père en allemagne à côté de chez nous,
on est allée au restaurant qui je voit, lui et son groupe, je l’ai ignorée et il a commencée à tirer la tête.
Je vois qu’il s’arrange pour aller au magazin avec moi, aujourd’hui dans le rayon il a fait semblant de prendre un paquet de fromage.
Je l’ai ignoré vite j’ai pris mes courses et je me suis barré à l’autre bout du magazin, il avait la tête baissée et tirait la tête jusqu’à par terre on dirait un bébé qui va pleurer.
Il croit quoi que je vais lui tomber dans ses bras et aller vers lui malgré que j’en ai pas envie.
Je n’en ai pas envie du tout de le connaitre.
Désolé mais là j’en ai marre de ce gros lourd qui n’a pas compris que mon silence est un refus et qui commence tout juste à l’assimiler.
Dans sa pauvre tête avec rien dedans. |
17 | Paris en août, 15h, cinquième arrondissement, quartier Val de grâce.
Je sors de chez moi pour aller à la pharmacie. Jogging et t-shirt noir. J’ai 22 ans.
Aller : un cycliste qui a bien vingt ans de plus que moi s’arrête dans sa course en plein milieu de la route, court vers moi me demander de boire un verre avec lui. Je refuse et continue mon chemin. Il insiste en me suivant à vélo sur le trottoir.
Retour : un homme m’aborde en se collant à moi. Il veut mon numéro. Je refuse et continue mon chemin. Il me traite de « connasse ». Je me retourne pour lui répondre. Avant d’avoir pu ouvrir la bouche, il me dit qu’il va me frapper, que je l’ai « bien cherché », et s’avance en levant le poing. Des gens à une terrasse à côté se lèvent en voyant la scène. Il baisse le poing et s’en va en continuant à m’insulter de « pute », « connasse » et « salope ».
Je rentre chez moi, il est 15h20. |
17 | En allant chez mon copain hier soir en voiture je suis tombée deux fois sur des mecs très “courtois” :
– La première fois en partant de chez moi, 5 mecs du BTP qui sont passés dans des camionnettes devant moi à un rond-point. Il y en a un qui s’est arrêté en plein milieu du rond-point, j’étais bloquée. Il faisait le beau et il me sifflait dans tous les sens, et ses potes derrière faisaient pareil…
– Ensuite, en arrivant vers chez mon copain, 2 mecs en BMW derrière moi qui faisaient les cons en voiture à virer dans tous les sens, je les ai laissés passer pour qu’ils me foutent la paix, et en sortie de rond-point ils se sont arrêtés sans raison apparente, là encore j’étais bloquée, et j’ai eu peur qu’ils descendent de leur voiture… On sait déjà que des mecs font exprès de causer des accidents pour violer des filles… Donc évidemment que j’ai eu peur en vivant ça (sur 10km de route seulement). |
17 | Il y a un groupe d’hommes, postés toujours au même endroit à la sortie du métro , à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, qui me harcèle quand je passe . Commentaires à haute voix sur mon physique ou mes habits, des “hey excuse moi!” , tentatives pour m’empêcher de passer en se mettant sur ma trajectoire.
Ils deviennent de plus en plus intrusifs et sont souvent alcoolisés (ils ont des bouteilles avec eux) .
Que faire? La police risque de ne rien faire s’il n’y a pas eu d’agression physique… |
17 | Dans la rue quand je me promène des types en voiture lancent des waouh!
d’autres me klaxonnent un vieux est venu me voir et me dit- Tu est belle, tu souris beaucoup.
Depuis j’ai peur de sortir mais je le montre pas, quand je suis avec des potes si une des voitures car ils sont plusieurs vieux à observer mes faits et gestes, j’hurle tout fort;-La voiture là bas c’est le vieux qui m’a dit ça et le vieux il s’est barré.
Une voiture blanche pendant un an m’a suivi c’est un autre vieux une fois j’en ai u marre il m’a fait des grimaces t il a arrêté.
Un autre vieux avec une voiture grise métallisée et une noire m’ont suivi, je les ignores , j’ai du changer d’arrêt de bus car à chaque fois ils passait dans mon champs de vision tout les matins, là depuis que je dénonce les faits à voix haute devant mes copains on m’embête moins.
Mais j’en ai marre c’est pas parce’qu’on est sur un trottoir qu’on attends ces messieurs moi j’attends pour mon bus, c’est pareil quand je vais au travail c’est pas parce’que je marche seule que j’ai envie de discuter avec eux, ces vieux en chaleurs me dégoute.
C’est pas parce’que vous êtes des hommes seuls qu’il faut s’imaginer que je veut être draguée, c’est pas forcément mon souhait et cela ne regarde que moi, j’ai des comptes à rendre à personne, si vous savez pas vous tenir, j’y peut rien.
Mais après faut pas s’étonner qu’on deviens agressive car c’est des agressions. |
17 | Il y a 1 an, lors d’un voyage par un organisme d’échanges linguistiques, ma fille, alors âgée de 16 ans, est partie à Cambridge. On pensait qu’elle serait bien encadrée. Un soir, elle a du rentrer toute seule à 23h dans sa famille d’accueil située à une heure de métro du centre ville. Elle devait traverser un parc. Elle n’avait pas le choix. Elle a été interpellée par un groupe d’individus et embêtée. Elle a réussi à s’échapper. Elle a été traumatisée. Elle nous en a parlé que récemment. On ne sait même pas si elle a subi quelque chose.
Son comportement, depuis ce séjour là, a beaucoup changé.
Elle est devenue agressive, renfermée alors que c’était une ado plutôt gaie et joyeuse.
Récemment, elle a beaucoup maigri et a restreint son alimentation.
J’envisage de lui faire consulter un psychologue mais elle refuse.
Je pense que les traumatismes peuvent sortir avec le temps.
En tant que maman, je me sens un peu démunie. Merci de vos conseils. |
17 | J’habite dans une ville moyenne et je vais rarement dans une grande ville pour ne pas dire jamais, mais la semaine dernière j’ai passé une petite semaine chez ma cousine dans le sud de la France et qui a eu la “superbe” idée de me faire découvrir Marseille. Moi où j’habite l’harcèlement de rue est quasi inexistant à part de la part quelques marginaux ou personnes alcoolisées, mais rien de dramatique. Pendant ma journée à Marseille j’ai été accostée pas loin de 10 fois, la plupart des fois rien de méchant et les hommes m’ont laissé tranquille, mais 2 fois j’ai été insultée de salope et autre et 1 fois j’ai été suivi par plus de 15 min par un gars totalement cinglé, on a été obligée de se réfugier dans un magasin de fringues jusqu’à temps qu’il finisse par partir. Je n’ose même pas imaginer le calvaire des femmes qui y habitent et qui ont le droit à ce cirque tous les jours. L’harcèlement de rue il faut vraiment le vivre pour le comprendre et je me dis que je ne suis pas prête de quitter ma cambrousse pour une grande ville. C’est sûr que l’harcèlement de rue c’est rien par rapport au viol, mais quand une femme se fait harceler tous les jours dès qu’elle sort de chez elle je comprends maintenant ce qu’elle peut ressentir. |
17 | Le jour de mon anniversaire en 2017 j’ai été faire réaliser un prélèvement vaginal. Le biologiste s’est permis le jour même de me contacter téléphoniquement pour me dire que les résultats étaient disponibles et au regard de ce jour d’anniversaire…. ME PROPOSER D’ALLER BOIRE UN VERRE !!! J’ai bien entendu refusé, humiliée et me sentant salie d’une telle proposition après un acte biologique intime. Ce jour j’ai réalisé dans ce même laboratoire une simple prise de sang et cette après midi le même biologiste m’a appelé en me nommant par mon prénon et semblant froissé que je ne le reconnaisse pas me demandant si j’avais effacé son numéro de téléphone. Comme il ne s’atait pas présenté j’ai hésité puis lui ai demandé si il s’agissait bien du biologiste du Laboratoire. Il a répondu par la négative. De mon téléphone pro j’ai refait son numéro en l’appelant par son prénom et BINGO c’était bien le même homme. Furieuse je me suis rendue au laboratoire, fermé. Il était là, il à ouvert une fenêtre et je lui ai dit le fond de ma pensée s’agissant de son agissement de 2017 et de ce jour en lui imtimant l’ordre de ne plus jamais utiliser mon téléphone personnel. Il m’a alors affirmé qu’il ne m’avait appelé que pour m’aviser de la mise à disposition de mes résultats. Ce sur quoi je lui ai répondu que si il faisait celà avec tous les patients celà devait lui prendre beaucoup de temps après la fermeture du laboratoire. Je lui ai également fait part de mon étonnement que lors de son appel pour une simple mise à disposition sur un site internet de résultats il appelait les patiens par leur prénom ! Je l’ai traité de pervers. En 2017 lorsque j’avais avisé sa hiérarchie de son dérapage il m’avait été répondu … DE CHANGER DE LABORATOIRE !!! Ce Dr étant le biologiste responsable du laboratiore. |
17 | J’étais en 4e , j’avais 14 ans lui aussi. C’étais mon meilleur ami du moins c’est ce que je voulais montrer mais j’étais en réalité amoureuse de lui , il en avait la connaissance et ces sentiments très fort que je ressentais pour lui ont duré 2ans . Si je devais poser une étiquette sur notre relation , je nommerais cette étiquette “ambigue”. Pour un peu vous la faire courte il usé de chantage affectif pour parvenir à ses fins. Il ma violé. Suite a ça il s’en est venter et la raconter dans tous le collège. J’ai été harceler , moquer , rabisser , insulter. De nombreuse fois on ma divulguer des message haineux et des propos ou ils était dit que je devais mourrir car j’était la “pute” du collège. Lui , se moque de cette situation , en joue , est en est content. La seule fois ou il me complimenter ou me donner de l’attention c’était quand je devais me sexualiser pour lui. Il à été le premier garçon dont j’ai était éperduement amoureuse mais cette amour au final m’a était fatidique. Il y à 1 ans de cela je vous aurait dit que je l’aime énormément ma réponse aurait était immédiate. Aujourdh’ui , toi , R.. tout ce que je peux dire c’est que : je t’ai aimer . Tu à était mon présent mais maintenant tu n’est que passée , souffrance et tristesse. Malgré tout prend soin de toi… |
17 | J’ai, aujourd’hui, 20 ans et j’ai été harcelée pendant mes années de lycée par 2 filles de ma classe et un garçon. Tout est parti d’une rumeur infondée et inventée de toute part. J’ai été mise à l’écart de tout le monde. J’aurai du porter plainte à l’époque car les menaces que j’ai reçues ont été très graves. Actuellement, je suis suivie par une psychologue, je suis en dépression car je subis un stress post-traumatique qui a resurgi, il y a 3 mois.
Mon harcèlement a été à la fois physique et moral et je compare cela à un viol psychologique.
Ma mère m’aide beaucoup. C’est à elle que je me suis confiée, en premier.
J’envisage de porter plainte mais je n’ai, malheureusement, pas gardé les preuves des menaces (sms, facebok,..). J’avais tout effacé car je voulais tirer un trait définitivement sur cette périodes difficile.
J’avoue avoir plusieurs fois eu des idées noires mais j’ai une famille aimante et je reste lucide en me disant que la vie est quand même belle et vaut d’être vécue.
J’ai beaucoup de jours où je suis triste, mélancolique sans raison, j’ai de gros problèmes digestifs et gynécologiques, j’ai perdu beaucoup de poids, et j’ai des insomnies très difficiles à gérer. Je suis suivie par un médecin mais cela ne fait pas tout. Elle envisage de me donner un traitement médical pour aller mieux mais je n’aime pas les médicaments alors, pour l’instant, je ne veux pas.
Je continue malgré tous mes études dans lesquelles tout se passe bien et j’arrive à avoir de bons résultats.
Par contre, j’ai développé une phobie sociale et je ne fais plus du tout confiance aux personnes de mon âge.
Aussi, je suis devenue solitaire et très méfiante de tout.
Voilà pour mon histoire. Merci pour ce site qui permet de poser par écrit un peu de son vécu et d’avoir pu “balancer mes porcs” qui m’ont fait beaucoup de mal même si j’aurais préféré le faire et que j’aurais du le faire en direct il y a plusieurs mois. |
17 | etant adolescente jai souvent subi du harcelement des garcons , sans raison. pince cuisse, harcelement moral .reflexions deplacées.
ça m’a rendu introvertie dans le milieu scolaire.pourtant un collége correct , privé et bien noté.
Dans le privé, il y a 20 ans, il n’y avait aucune prevention sur le harcélement…mais qu’est ce que c’etait l’education civique??
j’ai eu beau me rebeller une ou deux fois ça pouvait etre pire.
on me changeait de groupe si j’en parlais aux animateurs en colonie, (harcelement devant l’animateur) .
j’ai échappé aux agressions sexuelles ou coups des garçons car je me faisais discrete…
et j’étais moins mature physiquement que les autres filles.
Mais pourquoi un fille doit etre soumise ou discrete pour echapper aux violence des hommes ?
quelqu’une a connu cela à l’adolescence? |
17 | JE NE LE DÉSIRAIS PAS… ce nabot !
J’avais choisi ses connaissances par sa queue, pas son pouvoir.
Jamais je n’aurais couché pour un poste de Maître de conférence :
Vous qui l’avez fait : à quoi devez vous votre poste ?
À votre intelligence ou à vos fesses ?
Moi j’ai choisi de garder MA TÊTE,
MA POSSIBILITÉ DE CRÉER DES IDÉES, DU SAVOIR, QUAND JE VEUX ET SI JE VEUX
MON CERVEAU M’APPARTIENT
JE NE LE VENDS PAS AU PORC MÊME SI C’ÉTAIT MON DIRECTEUR DE THÈSE
HABITUÉ À SE TAPER LES FEMMES QUI VOULAIT UN POSTE EN FAC…!
ON EST PLUS EN GRÈCE ANTIQUE !
ESPÈCE DE CONNARD ET DE PERVERS NARCISSIQUE !
IL EST PROTÉGÉ PAR LES FRANC-MAÇON, PAR LE PRÉSIDENT D’ALORS, PAR LES POTES DE SA PRESTIGIEUSE ÉCOLE QUI FORME NOS ÉLITES ET LAISSENT CROITRE DES PORCS
Enfermée dans son bureau de la prestigieuse UNIVERSITÉ de notre plus ancien quartier dédié aux savoirs
IL ME DISAIT CE PORC :
“MOI, J’AI TOUT, MA RÉPUTATION, MES LIVRES, MA RÉPUTATION ET VOUS VOUS N’AVEZ RIEN : CE SERA PARILE CONTRE PAROLE ET PERSONNE NE VOUS CROIRA”
Et je savais que c’était vrai…
MAIS JE N’AI PAS ÉTÉ ÉLEVÉE POUR ÊTRE LÂCHE
J’AI RÉSISTÉ
ET IL EST PASSÉ AU HARCÈLEMENT MORAL…
ÇA A DURÉ… 4 ANS…!
UNE ÉTERNITÉ…
Je me suis battue
pour qu’il ne m’approche pas
pour finir ma thèse
pour la soutenir
J’AI FAIT APPEL AU MINISTÈRE DE LA RECHERCHE POUR M’AIDER, AU MÉDIATEUR DE L’ÉDUCATION NATIONAL
RIEN… “Juste… REFAITE UNE THÈSE AVEC QUELQU’UN D’AUTRE”!!!!!!!
Et qui me nourrit pendant les 5 ans qu’il aurait fallu encore pour refaire une thèse
ET quel directeur de thèse aurait repris une thèse après CE PONTE, CE PORC…
Il se serait fait flinguer comme moi…!!
Alors dans CETTE TERREUR J’AI FINI ET SOUTENU MA THÈSE !
Et j’ai obtenu avec une MENTION TRÈS HONORABLE ce qui est excellent dans cette prestigieuse université
ET
AVEC UN JURY CONTRE MOI PRÊT À ME DESCENDRE
Le porc, 2 potes (dont 1 femme sa nouvelle maîtresse) de cette Très grande école, 1 homme de paille qui voulait un poste sur Paris…
Jury qu’il a obtenu en USURPANT MA SIGNATURE DANS L’EXERCICE DE SON EMPLOI DE FONCTIONNAIRE…
PROCÈS
NON LIEU
Je connaissais l’issu de ce procès AVANT de l’entamer
Et il avait un avocat pour les riches et moi… un avocat qui avait travaillé comme stagiaire chez le sien !!!
Il me l’a dit APRÈS le Procès
ET LA JUGE D’INSTRUCTION ÉTAIT DOCTORANTE AUPRÈS D’UN DE SES AMIS…!!
ALORS…
ET IL M’AVAIT ANNONCÉ L’ASSASSINAT SOCIAL QU’IL A ORGANISÉ…
“VOUS NE FEREZ PLUS JAMAIS DE RECHERCHE”
IL A MÊME RÉUSSI À ME BARRER LA ROUTE DE L’EXIL À MONTRÉAL…
JE NE VOULAIS PLUS VIVRE EN FRANCE…
MAIS en échange il est devenu prof honoraire là-bas…!
ILS NE SONT PAS DÉGOÛTÉ DE L’AVOIR…!!
MOI JE SUIS DÉGOÛTÉE PAR ÇA.
IL A PIQUÉ MES IDÉES ET SES POT-E-S aussi..
MAIS CELA PROUVE QUOI !!
QUE MOI J’EN AI
ET
QU’EUX SONT OBLIGÉS DE RECYCLER LES MIENNES
TELLEMENT
ILS SONT DÉPASSÉS PAR UNE SOCIÉTÉ QUI N’EST PLUS CELLE DES ANNÉES POST 68…
ILS ONT RATÉ LE TOURNANT DU 21ieme SIÈCLE :
ALORS QUE
J’ANNONÇAIS LES CHANGEMENTS DANS MA THÈSE AU PASSAGE À L’AN 2000
ET
ILS SONT BIEN LÀ VIVANT PENDANT QUE VOUS RESSASSEZ VOS IDÉES DÉPASSÉES
EST-CE POUR CELA QUE
LES ÉLITES EN FRANCE NE PEUVENT PLUS ÉCLAIRER
LA COMPRÉHENSION DE CE MONDE ET
N’A PLUS PU AIDER AINSI UNE PART DU MONDE POLITIQUE À LA DÉRIVE…?
Ce monde a choisi SES élites intellectuelles et a disparu…!
ALORS FAITES VOUS PLAISIR…!
RECYCLEZ MES IDÉES
VOS ÉCRITS ONT LE GOÛT DES CENDRES
ET MOI DES IDÉES
JE PEUX CONTINUER À EN AVOIR
QUAND JE VEUX ET SI JE VEUX ET POUR CE QUE JE VEUX
ET
MÊME NE PLUS LES DONNER…!
LE PORC ET SES POTES
“J’IRAIS CRACHÉ SUR VOS TOMBES”.
C’est une si belle citation…!
VOUS M’AVEZ APPRIS SURTOUT CE QU’IL Y A DE PLUS INNOMMABLE DANS LE MONDE UNIVERSITAIRE
MERCI À CE SITE QUI PERMET UN PEU DE BRISER L’OMERTA SANS SE FAIRE TUER SOCIALEMENT DAVANTAGE
DEPUIS 20 ANS JE FUIS TOUT TRAVAIL OÙ CERTAINS DE CES AMIS SONT EN POSTE…
MAIS LE MONDE CHANGE, ILS SONT VIEUX, VIEILLES ET N’ONT PLUS BEAUCOUP DE POUVOIR sauf Honoraire…!
CE PORC SE CROIT PROTÉGÉ ENCORE AU POINT DE VENIR ÉCRIRE UNE ARTICLE SUR LE HARCÈLEMENT SEXUEL ET SA JURIDICISATION DANS UN FAMEUX QUOTIDIEN…
LUI !!!
LE PORC !!!
QUI N’A PAS DIT 1 MOT dans ces écrits SUR LE RÔLE DU MOUVEMENT FÉMINISTE DANS LA CRIMINALISATION DU VIOL…!!
Et c’est ça qui est NOMMÉ À L’INSTITUT UNIVERSITAIRE DE FRANCE…
Pas la même de se demander
POURQUOI L’ASCENSEUR SOCIAL EST BLOQUÉ SUR LE NIVEAU -4
Et
POURQUOI LES UNIVERSITÉS FRANÇAISES SONT SI MAL CLASSÉES DANS PISA !!! |
17 | Je vis avec un PN depuis 20 ans. Au début on ne voit rien tout n’est que gentillesse at amour. Et puis le temps passant, l’étau se resserre, plus d’ami, pas de sortie au resto, les sortis sont surveiller,repproche sur mon physique et pour des broutilles,même la famille c’est éloigné et je ne parle pas des relations sexuelles non consenties, qui pour lui sont des mensonges de ma part.Bien sûr il nie tout en bloc. Négatif sur négatif, tu es grosse, tu n’est bonne à rien. 3jours en clinique pour une abdominoplastie, et pas un coup de fil ni une visite de sa part. Un monstre, qui pourtant paraissait doux et gentil aux yeux des autres,et inutile de le critiquer devant ces gens,personnes ne vous croirait. Mon foyer, ma vie qui devait être un conte de fée s’est transformé en enfer. Il nie tout. Le mec qui vous traite de pimbeche parce que vous ne voulez pas de rapport ou qui vous prends en dormant, ce qui paraissait normal pour moi, en fait ne l’était pas. C’est en commençant à en parler autour de moi que je me suis rendu compte de la manipulation de cet homme immonde dépourvu d’empathie. Des insoignables. Quand je lui ai parler de rapport non consenti,il a éclaté de rire! Ben oui, il se prend pour un Dieu du sexe en plus et je compte pas les relations virtuelles à tout va, alors que moi, si j’avais le malheur d’avoir un vrai pote, jetais une p…. Alors dès la première violences quelle qu’elle soit faite vous aider. C’est ce que j’ai fais. Enregistrement,sauvegarde des sms ou messages et main courante. Ça calme. Ça la calmé. Voilà mon témoignage. Il n’a pas réussi à me détruire parce que je l’ai contré et je le suis rentré dedans comme un tank à coup de main courante et surtout j’en ai parler autour de moi,je me suis entourée de personne bienveillante et du coup il ne dit plus rien. Merci de m’avoir lu. |
17 | il m'assaille tous les jours avec ces textos |
17 | il m'insulte et me ridiculise tous les jours |
16 | Le 17 avril 2019, vers 18 heures, à un changement de métro (je venais d’Odéon, de la ligne 4, et je changeais à la station Raspail pour aller en direction de Nation par la ligne 6), je montais des escaliers et j’ai vu deux hommes bizarres qui attendaient là et avaient un comportement louche.
J’étais seule avec eux.
J’avais l’impression qu’ils cherchaient à voler des sacs à main à la tire, ou des téléphones.
On voyait qu’ils voulaient faire un mauvais coup !
Donc, j’ai eu peur et j’ai voulu redescendre les escaliers vers le quai.
Et là, un des deux m’a demandé le trajet pour aller à Denfert et je lui ai répondu.
Puis il a ri et s’est masturbé en mettant sa main sur son pantalon de jogging, en faisant des grimaces et en sortant sa langue !
Je ne m’attendais pas du tout à cela, donc j’ai eu peur et j’ai commencé à redescendre les escaliers pour retourner sur le quai, puis je suis revenue vers eux, furieuse, et j’ai crié que j’allais appeler la Police et j’ai sorti mon téléphone portable.
Et là, ils sont partis en courant ! Puis je suis allée voir les deux dames du guichet situé à quelques mètres du lieu de l’agression, elles ont regardé sur leur écran et n’ont rien vu, donc elles m’ont demandé de déposer plainte, ce que je ne vais pas faire car cela ne sert à rien.
Les deux hommes de 18/20 ans étaient bruns, Roms, je suppose, avec un fort accent des pays de l’Est. L’un des deux était beaucoup plus grand que l’autre et portait un pantalon de jogging.
Je suis sûre qu’ils se postent souvent à cet endroit précis car il y a peu de passage. Donc, ils vont revenir et il faudrait faire surveiller cet escalier par des policiers. |
16 | Un médecin du Centre hospitalier de Blois, encore en fonction !
il a commencé a appuyé sur mon sexe tout en faisant l’échographie rénale, puis m’as demande de me mettre sur le ventre. Il a commencé à me masser le dos avec du gel lubrifiant qu’il est censé utiliser pour sa machine. Tout en me demandant si c’était agréable, puis il est descendu au niveau de mes fesses et cet abruti a commencé à regarder mon anus. J’étais gravement malade, shootée par les médicaments, et mal réveillée… Il ne m’étais jamais arrivé ce genre de choses auparavant (j’avais 25ans) et surtout d’autres médecins m’avaient massé et regardé à cet endroit aussi. Je ne réalisa donc pas de suite ce qui était en train de se passer. De là, je commença à l’entendre haleter comme un chien en rut, je me retourna et je le vis se diriger vers la porte, puis vers la serrure. Pour éviter ce genre d’atrocité aucunes portes de cet hôpital n’en a, mais il fit quand même le geste avec sa main pour me faire croire du contraire. Il a alors fait les 3 mètres qui le séparait de la porte où il était, à la table où jetais allonge presque nue… Il m’a regardé avec les yeux de Golum, la blouse ouverte, plus excité que jamais il a descendu légèrement son pantalon. J’ai vue son sexe en érection, j’ai tout de suite crié “Mais qu’est ce que vous faite?? Vous êtes taré!!!”, je suis alors très vite descendue de la table tout en me rhabillant. Il y avait une immense corbeille à papier juste à coté, j’avais fait du foot quand j’étais petite, ni une ni deux j’ai frappé un grand coup dans la corbeille. Il se l’est prise en pleine tête, ce qui l’a fait reculer et presque tomber sur sa machine. J’ai donc profité de sa perte d’équilibre pour me diriger par cette porte protectrice. La pièce qui se trouvait derrière elle était un bureau avec une secrétaire sur son ordi. J’étais heureuse de trouver une présence féminine aussi vite, mais c’était avant que je m’aperçoive qu’elle ne m’aiderai pas et que c’est moi qui lui faisait peur vue qu’on était dans un hôpital. Comprenant que je n’aurais aucune aide de sa part, je sortis dans le couloir où je vis une infirmière dans une petite réserve, je rentra avec elle dedans et referma la porte pour pouvoir me rhabiller en sécurité. Pendant ce temps, je lui expliqua ce qu’il venait de se passer, et la le médecin ouvrit la porte et entra dans le local avec nous. j’hurla à l’infirmière de le sortir vite.. elle eu un moment d’hésitation alors je lui ai dis : “Si vous le sortez pas je vais le tuer!! “. Elle vit dans mon regard que ce n’était pas des paroles en l’air, alors elle l’attrapa fermement par le bras et le jeta comme un tas de bouse en dehors de la pièce. Après m’être rhabillée, je suis ressortis dans le couloir, il avait disparu. Il y avait un autre médecin un peu plus loin, arrivé à son niveau je lui dis : “Un médecin a essayé de me violer”, c’est là que je suis entré dans la 9ème dimension, il me regarda d’un air hautain et se mit à rire. Je ne savais pas vers qui me tourner, en 5minutes j’avais perdue tout mes repères, la norme me semblait être utopie à ce moment là. Au moins 8 membres du personnel sont venus me chercher pour me ramener dans ma chambre, je leurs ai dis que j’allais appeler les gendarmes, ils m’ont dit que “non”, pas avant d’avoir fait une analyse psychiatrique. Wahou ça y est j’étais dans la 10eme dimension. A ce moment là, j’ai compris que ça servait à rien que je m’obstine à trouver de l’aide et du soutien et qu’il fallait que je me débrouille seule. Je les ai alors insulté et je leur ai rappelé qu’ils n’avaient pas le droit de m’empêcher d’appeler qui que se soit. Je leurs ai donc claqué la porte de ma chambre au nez et j’ai téléphoné au gendarme qui sont arrivées dans la chambre en 20 minutes pour prendre ma plainte. Après une enquête ridicule et sans aucunes preuves, ils ont classé l’affaire. C’est de la folie cette justice, ils nous prennent vraiment pour des cons et des connes et surtout nous font passer pour des mythomanes. Le système est à refaire !!!
2 mois plus tard je suis allé voir une psychologue, elle m’a demandé ce qui selon moi aurait pu provoquer ça chez lui. Je me retrouvai donc encore une fois dans une autre vision du monde qui m’était inconnue. J’ai donc voulu changer de psychologue, je suis tombée sur le chef des psychiatres du centre hospitalier le docteur Eric Boissicat. Il m’a expliqué que beaucoup de femmes du centre lui racontait aussi qu’elles avaient été abusées sexuellement, que c’était très très fréquent mais de peur de perdre leur emploi : elles se taisent. Je compris que si le médecin leurs avait fait des choses similaires et qu’elles avaient porté plainte, il y aurait eu une suite à la mienne. Ce sera la cas pour les prochaines, si il y en a. Alors s’il vous plait : portez plainte, déposez des mains courantes, faites en sorte qu’il est des traces quelques part pour le futur. Toutes ensembles on arrivera à les bloquer !!
En tout cas, s’il y a bien une chose qu’il faut qu’on se dise toutes, c’est que ce n’est pas de notre faute, si l’on se soutient toutes et qu’on fait bloc ils se sentiront faibles et nous bien plus fortes.
Cela dure depuis des millénaires, il était temps qu’on s’unisse enfin pour mettre fin à ce carnage. Je vous souhaite beaucoup de courage et restez fortes quoi qu’il arrive.. Nous sommes des femmes, ce qui signifie que nous avons une puissance intérieure incroyable alors servons nous en |
6 | Cet imbécile à osé prendre une photo de mon intimité … Tous à dérapé à partir car il avait partager la photo en disant que je lui avais sauter dessus … Tous le collège ma pris pour une pute, même les professeurs ont commencer à me regarder étrangement , |
6 | Il a pris en photo mon sexe et l'a diffusé sur internet |
6 | Je suis morte de honte, la photo de mon corps nue a été partagé sur les reseaux sociaux |
6 | Je decouvre qu'il y a des photos de moi denudée partout, il m'a envoyé à tout le monde |
4 | A 11 ans je m’étais fait emmerder par une bande de gars de ma classe. Ils m’encerclaient alors que j’étais assise contre un mur, j’ai ce souvenir qui me revient d’un qui m’attrape par l’entrejambe en criant “hé je suis un gynéco”. Ils avaient un an ou deux que moi, ne se rendaient probablement pas compte de la portée de leur geste. Mais sur des années collège d’humiliation c’est celui-là que je n’ai pas oublié, et dont je n’ai jamais parlé.
|
4 | J avais 16 ans. J etais obese, la peau très blanche parsemé de boutons très rouges. Bref pas du tout attirante et on me le faisait savoir.
Un matin très tôt je sors pour aller à la boulangerie. Une voiture avec plusieurs gars arrivent à ma hauteur. Ils me disent “tu couches ?”. Je ne réponds pas et accélère. Ils s en vont. Je pensais me réfugier à la boulangerie mais elle était fermée. De retour vers chez moi, la voiture repassent et là ma mère descend par chance car sinon ils m auraient embarqués. |
4 | J’avais 12 ans, je rentrait de mon cour de théâtre à 20h30.
Un homme me fixe puis me dit: “Toi, tu dois grave bien sucer” j’avance encore et puis “tu veux qu’on vérifié?”
C’était traumatisant et déguelasse. |
4 | Mon témoignage n’est rien par rapport à d’autres mais je voulais quand même en faire part car je n’ai que 11 ans et je suis déjà ici !
Donc j’etait dans la rue un midi avec une amie et nous rentrions chez moi par le chemin habituel et un homme au phisyque pas très comment dire accueillant commence à marmonner des mots bizarres que je n’ai pas compris , mon amie commence à accélérer et du coup moi aussi car je ne veux pas me retrouver seule derrière et là il dit « et oh faut pas accéléré comme ça chuis pas un…. » ce n’est pas très grave mais nous avons eu peur de nous retrouver dans une situation bien plus dangereuse ! |
4 | J’avais à peine 16 ans et un soir d’hiver alors que je sortais du bus, un homme qui n’était visiblement pas dans un état normal a attendu que je sois dos à lui pour me tirer par les cheveux puis m’aggriper par les fesses en me disant “gaky pamoloka” (je sais pas ce que cela signifie). J’ai crié de toute mes forces et il m’a relâché et s’est enfui en courant.
Ce soir là, j’ai eu la peur de ma vie, j’ai crû mourrir. Je suis rentrée chez moi et je me suis effondrée en larmes dans les bras de ma soeur.
Même si je réalise que ce n’est pas grand chose par rapport aux autres témoignages qu’il y a sur ce site, ma vision de la vie a radicalement changé ce soir d’hiver. Depuis je suis constamment sur mes gardes lorsque je suis seule dans la rue, même si cela est très rare car je fais toujours tout pour être accompagnée. |
4 | Je descends du car scolaire pour prendre la direction de chez moi. Je traverse la route et une voiture s’arrête pour me laisser passer. Je vois que le conducteur (un homme de 40 ans minimum) me regarde de haut en bas et de manière très perverse. 5 minutes après je le revois dans une petite rue près de chez moi alors que cela ne devrait pas être le cas et il s’arrête en me posant plein de questions sur moi, où j’habite, où je vais à l’école … J’ai pris mes jambes à mon coup et je suis partie en courant.
Avec le recul, je me dis que j’aurais dû prendre sa plaque et prévenir tout le monde. Mais je n’avais que 13 ans |
4 | Je sais que se que je vais écrire dans ce témoignage ne témoigne pas d’une agression très grave mais je veux le raconter parce que je pense que ce que j’ai vécu n’est pas normal. En 1 mois je me suis fais harcelés dans le bus 2 fois. Les deux fois des hommes de environ 30 et 60 ans se sont collés contre moi et on pas arrêtés de toucher leur entre jambe. Alors, je me sentais de plus en plus oppresser et je n’osais rien dire, j’était presque en crise d’angoisse. Et vous savez quoi personne na rien fait et ces deux hommes ont put me mater, me coller et même me toucher. Sa fait que peux de temps que je suis vraiment considérer comme une jeune fille ( j’ai 15 ans) et j’ai l’impression que sa sera toujours mon quotidien…ce n’est pas le premier témoignage que je poste sur se site |
4 | Cette petite robe bleue a une histoire à raconter. J’avais 12 ans. Ma mère m’avait demandé de l’accompagner au marché forain. Je n’avais rien d’autre à faire… J’ai mis la roble bleue pour lui faire plaisir…
A un moment donné un homme d’environ 35 ans s’est approché derrière moi, il s’est collé contre moi et a murmuré à mon oreille : « Salut ma jolie.. Mmm, en voilà une jolie robe, j’aurais bien envie de te faire des choses.. » Il a effleuré mes hanches. J’étais tétanisée. Le temps que je me retourne il s’était éloigné et fondu dans la foule, mais je l’avais repéré. J’ai continué à le surveiller tout en faisant les courses avec ma mère, il me fixait les bras croisés, avec un sourire en coin.
J’étais décontenancée, déçue de ce monde rempli de « gens malveillants » (je ne connaissais pas encore le mot pervers). Tout ça au nez et à la barbe de ma mère et de tout le peuple du marché forain… Quelle jungle, ce monde. Et j’en ai éprouvé une immense tristesse.
Je n’ai plus porté ni jupe, ni robe avant cinq à six longues années (17-18 ans). |
4 | Je suis une jeune fille originaire de la campagne partie faire mes études et ma vie lycéenne à bordeaux. Ma sœur habitant là bas cela m’éviter l’internat car mon lycée était à 10 min de bus de son lieu d’habitation. Ma sœur et mon beau frère sont en fauteuil roulant.
La maison ce situe dans une ville universitaire collé à bordeaux, dans un quartier calme et très familial. La maison forme un U, avec deux entrée. Une entrée donnant sur une rue et l’autre sur un parking qui fait un cul de sac et donne l’accès à l’entrée d’un stade de foot par où rentre les employés. Je fesait mes études dans un lycée d’hôteliers j’étais une des élèves doué de la classe, je participé à des concours. J’avais à cette époque un copain.
Mon histoire commence en sortant mon chien sur ce fameux parking où donner la deuxième entrée de ma maison trois ans avant le jour où tout est arrivée. Je vois un homme arrivais avec son chien le laissé se promenait sur le parking, jouait avec le miens. A ce moment là je commence à parler avec cet homme qui était en faites un voisin. Celui ci connaissait bien ma soeur et mon beau frère qui arrivait justement du travail a ce moment là et qui le saluait aussi. Nous avons parlé sur le parking puis nous sommes tous rentrées chacun chez sois. Chaque soir et chaque matin je le croisé en rentrant ou en partant au lycée m, il discutait avec mon beau frère pendant que les deux chiens s’amusaient.
Un jour en rentrant de vacance de chez mes parents en campagne je fais remarqué à ma soeur qu’un petit trou avez était percé sur mon volé roulant. Plus petit qu’une pièce d’un centimes.. nous ne sommes pas inquiétez.
Un soir en rentrant du lycée ma soeur m’accoste
« ou te déshabille tu dans ta chambre ? »
Je lui réponds un peu partout écoute c’est ma chambre.
Puis ma soeur me demande si je ferme la porte de man salle de bain car celle si ce trouve dans ma chambre face à la fenêtre.
Je lui répond encore non car je suis dans ma chambre.
A ce moment là elle m’annonce qu’un gardien du stade qui eté arrivait ce matin plus tôt que d’habitude avait attendu dans sa voiture l’heure d’embauche sur le parking. Après quelque minute il voit quelqu’un arrivait devant ma fenêtre et en sortant de sa voiture une personne se cache. Intrigué par la situation et en ayant vus un faisceau lumineux sur le volet en pleine nuit. il va donc voir mon beau frère quand il sortait la chienne et lui raconte la scène.
J’étais choqué je me suis mise à pleuré. Une personne me regardé prendre ma douche, m’habillé, me pesé chaque matin (car je suis une ancienne obèse) changer des serviettes hygiéniques ou m’entretenir. Je suis Immédiatement sorti dehors pour regarder devant ma fenêtre et là j’ai constaté qu’en regardant par le trou aucune des herbes folles qui se trouver devant mon volet me gratter les jambes j’ai donc baisser les yeux et je me suis rendu compte que j’avais mis les pieds sur deux traces de pas où l’herbe de pousser plus.immédiatement sorti dehors pour regarder devant ma fenêtre et là j’ai constaté qu’en regardant par le trou aucune des herbes folles qui se trouver devant mon volet me gratter les jambes j’ai donc baisser les yeux et je me suis rendu compte que j’avais mis les pieds sur deux traces de pas où l’herbe ne poussait plus. Cela voulait dire que la terre avait était foulé et re foulé.
C’était donc pour cette homme une habitude.
Ma sœur et mon beau-frère étant en fauteuil roulant chaque soir et chaque matin une dame venait les lever et les coucher. L’une d’elle qui était une personne de confiance à qui nous avions tout raconté a décidé de m’aider à retrouver cet homme. lendemain matin je me suis réveillé plutôt et j’ai décidé de sortir directement dehors pour voir si quelqu’un était là . J’ai appelé mon chien et nous sommes sortis dehors, À ce moment-là j’ai vu un homme arriva à vélo et je l’ai reconnu. C’était mon voisin celui avec qui j’ai discuté. Il a tourné la tête en pensant que je ne le reconnaîtrais pas . Je suis donc rentré dans la maison et fait part de mes soupçons à ma sœur. Celle-ci ne m’a pas cru et m’a dit que je m’imaginer quelque chose c’était mon voisin un homme sérieux père de famille est marié. Le lendemain nous avons donc décidé avec L’aide du jardinier est la femme qui aide ma sœur de tendre un piège cet homme.
Je me suis donc levé plutôt et surveiller l’entrée de la seule route qui menait à ma fenêtre. À chaque fois qu’une personne arriver caché derrière la fenêtre j’avais le cœur qui battait fort je les voyais prendre leur voiture et partir. Jusqu’à l’heure où normalement je me réveil à ce moment-là un homme est apparu au détour de la rue c’était mon voisin encore une fois. Cette fois-ci j’étais persuadé que c’était lui j’ai hurlé à la femme de venir, et moi je me suis placé dans ma chambre comme si de rien été en petite tenue. L’homme s’est bien diriger à la fenêtre comme prévu le jardinier a donc l’appeler la police et a décidé d’intervenir. La femme étant aussi sorti mon chien layant suivi quand elle a surpris l’homme devant la fenêtre il s’est dépêché de rattacher son chien et de courir. malheureusement mon chien lui étant familier il a commencé à jouer avec lui l’homme a donc tribu chez sur sa pauvre bête et nous avons du le lâcher pour le bien-être de l’animal il s’est enfuit.
J’étais pétrifié et la police n’a pas voulu se déplacer vu que l’homme n’était plus entre nos mains.
À ce moment-là le gardien du stade va chercher quelque chose dans l’ombre du mur. Celui-ci avait placé une caméra pour garder une preuve de la scène du matin.
Nous sommes rentrés avons regardé les images avec ma sœur et mon beau-frère avant de partir au commissariat. Malheureusement un problème se poser.
Oui nous connaissions cet homme c’était bien notre voisin et nous connaissions toute sa vie mais ni son nom ni son adresse.
Au commissariat ils m’ont donc dit que je porter donc plainte contre X et que ça ne servait à rien. J’ai rejoins ma meilleure amie au lycée je lui ai tout expliqué elle m’a donc suivi dans les rues à côté de chez moi pour faire du porte-à-porte. Je devais essayer de retrouver le nom de cet homme pour pouvoir porter plainte avec la peur de tomber nez à nez avec lui. Porte après porte personne ne savait de qui je parlais. puis un jeune couple de retraités m’a ouvert sa porte je leur ai raconté mon histoire et ils m’ont dit qu’il penser à une personne. Mais la personne à qui il pensait ça ne pouvait pas être lui c’était un homme respectable marié père de famille avec un bon travail respectable disait-il. Moi aussi c’est ce que je pensais avant ce fameux 22 novembre. Le soir en rentrant une fois le nom de cet homme en main je parler avec la femme qui m’a aidé le matin
Elle m’a avoué qu’en venant travailler elle l’avait souvent croisé pendant plus de deux ans déjà revenir du parking à l’heure où je me réveillé.
Après des interrogatoires cet Hommes niées. Mais la femme ayant témoigné qu’elle avait vu un jour non pas à vélo mais avec une camionnette blanche il a dû avouer car il se trouvait que son patron avait témoigné que ce jour là il était bien en possession du ce véhicule de la société.
Une fois l’histoire passée cet homme a reçuUn simple stage de citoyenneté.
Pour moi c’était bien trop peu par rapport à ce que j’ai enduré j’ai donc décidé de demander dommages et intérêts. j’avais perdu mon copain perdu mon job d’étudiant je n’osais plus aller dans les magasins dans les bars dans les boites de nuit dans les centres commerciaux tout ça parce que je n’avais qu’une peur être observé. J’enchaîne encore aujourd’hui crise d’angoisse et panique et parfois je me dis c’est bête il n’a fait que regardais par une fenêtre.
Mais au final moi ça m’a bouleversé
Toutes les questions qu’on peut se poser
Cet homme avait une femme une fille qui me ressemblait brune grande assez fine qui faisait les mêmes études que moi et je ne pouvais m’empêcher de penser à elle |
Subsets and Splits