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Italie : Avec Danilo Gallinari et sans Marco Belinelli à l’EuroBasket
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17 Azzurri ont été convoqués par le coach Gianmarco Pozzecco pour le camp d’entraînement qui aura lieu, du 3 au 10 août, à Pinzolo. L’Italie préparera deux matches de qualification pour la Coupe du monde 2023 (24 et 27 août), l’EuroBasket 2022 qui se jouera du 1er au 18 septembre (groupe Azzurro à Milan du 2 au 8 septembre), et aussi deux matches contre la France.\n\nPar rapport à l’équipe qui a battu les Pays-Bas le 4 juillet, Danilo Gallinari, Nicolò Melli, Nico Mannion, Gabriele Procida et Matteo Spagnolo sont de retour, mais pas Marco Belinelli.\n\nLes 17 Azzurri pour le camp d’entraînement de Pinzolo :\n\n# 00 Amedeo Della Valle (1993, 194, G)\n# 0 Marco Spissu (1995, 184, P)\n# 1 Niccolò Mannion (2001, 190, P)\n# 6 Paul Biligha (1990, 200 , C)\n# 7 Stefano Tonut (1993, 194, G)\n# 8 Danilo Gallinari (1988, 208, A)\n# 9 Nicolò Melli (1991, 206, A)\n# 13 Simone Fontecchio (1995, 203, A)\n# 16 Amedeo Tessitori (1994 , 208, C)\n# 17 Giampaolo Ricci (1991, 202, A)\n# 18 Matteo Spagnolo (2003, 194, P)\n# 25 Tommaso Baldasso (1998, 192, P)\n# 33 Achille Polonara (1991, 205, A)\n# 50 Gabriele Procida (2002, 201, G/A)\n# 54 Alessandro Pajola (1999, 194, P)\n# 70 Luigi Datome (1987, 203, A)\n# 77 John Petrucelli (1992, 193, G/A)\n\nAutres joueurs disponibles :\n\n# 12 Diego Flaccadori (1996, 193, P)\n# 25 Alessandro Lever (1998, 208, A/C)\n# 31 Michele Vitali (1991, 196, G/A)\n# 40 Luca Severini (1996, 204, A)\n# 43 Leonardo Arinze Okeke (2003, 206, C)\n# 44 Davide Alviti (1996, 200, A)\n# 53 Tomas Woldetensae (1998, 196, G/A)\n\nCoach : Gianmarco Pozzecco\n\n\n12 Août, Italie-France (Bologne, Unipol Arena, 20h30, Amical)\n\n16 août, France-Italie (Montpellier – France, 20h30, Amical)\n19 août, Italie- Serbie (Hambourg – Allemagne, 18h00, Match amical)\n20 août, Italie-Allemagne / Rép. Tchèque (Hambourg – Allemagne, Amical)\n24 août, Ukraine-Italie (lieu à définir, Qualifications Coupe du Monde 2023)\n27 août, Italie-Géorgie (Brescia, 20h30, Qualifications Coupe du Monde 2023)\n\n2 septembre, Italie-Estonie (Milan, 21h00, EuroBasket 2022)\n3 septembre, Italie-Grèce (Milan, 21h00, EuroBasket 2022)\n5 septembre, Italie- Ukraine (Milan, 21h00, EuroBasket 2022)\n6 septembre, Italie-Croatie (Milan, 21h00, EuroBasket 2022)\n8 septembre, Italie-Grande-Bretagne (Milan, 21h00, EuroBasket 2022)\n10-18 septembre, Phase finale (Berlin – Allemagne, Eurobasket 2022)\n\nPhoto : Danilo Gallinari (FIBA)
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Mi-temps avec... Clément Frisch (Nancy) : « Jouer en Euroleague était un rêve, c’est devenu un objectif »
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À l’aube du championnat d’Europe U20 où l’équipe de France vise le titre, Clément Frisch (2,01 m, 20 ans), meilleur jeune de Pro B l’an dernier avec Denain, revient sur son passé mais surtout sur son futur, qui s’écrit en Betclic Elite. À commencer par une première saison dans l’élite du basket français, avec le SLUC Nancy.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nQT1 – Dans le rétroviseur... \n« Après la trêve de Noël, on joue un match amical face à Orchies, on perd le match... Rémy nous a tués, je m’en rappelle encore »\n\nLa personne sans qui vous n’auriez pas fait carrière ? \n« C’est une question difficile pour commencer (rires). Il n’y a pas une personne plus que les autres, c’est un tout. Tout le monde participe de près ou de loin. Mes parents peut-être, et encore ils ne m’ont jamais forcé. Le basket a toujours été mon choix. »\n\nLe coach qui vous a le plus marqué ?\n« Probablement Rémy Valin qui était mon entraîneur cette année (NDLR : à Denain). C’est un coach envers lequel je suis redevable. Jusqu’à la saison dernière, je jouais en Espoirs et c’est le premier à m’avoir fait confiance. En plus, l’année s’est bien passée donc c’est lui qui m’a le plus marqué pour l’instant. Il est connu pour avoir un caractère bien trempé (rires). »\n\nLe plus grand coup de gueule que vous avez vécu ?\n« Il y en a eu beaucoup cette année (rires). On a connu une saison riche avec des hauts et des bas. On a eu des séries de défaites donc des coups de gueule donnés par Rémy mais si je dois en retenir un, c’est en début d’année civile. Après la trêve de Noël, on joue un match amical face à Orchies, qui évolue en NM1. On perd le match. Remy nous a tués, je m’en rappelle encore. C’est une défaite qu’il a pris personnellement et il a voulu nous toucher dans notre fierté. »\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur ?\n« Quand j’étais à Strasbourg chez les espoirs, j’étais partenaire d’entraînement avec les pros. Le groupe était bienveillant avec les jeunes. Beaucoup m’ont marqué, surtout Ishmail Wainright, qui maintenant est en NBA. À son contact, on apprend entraînement après entraînement. C’est un joueur polyvalent qui évolue à mon poste. »\n\nLe match le plus mémorable que vous avez joué ?\n« Je vais dire la finale des Championnats du monde U19 l’année dernière. C’est un match avec un énorme contexte, c’est mon plus beau souvenir même si c’est une rencontre que l’on perd. Plus récemment, le match contre Lille, c’était un match de ouf, le retour chez nous... C’est un derby, un match pour quasiment se maintenir. On gagne à la dernière seconde, derrière les supporters envahissent le terrain, c’était incroyable ! »\n\nLa musique que vous écoutez en avant-match ?\n« Je n’ai pas de musique spécifique. J’écoute beaucoup de rap US, du hip hop. Allez si je devais sortir un titre qui me vient en tête, ce serait Drake avec Energy. Il est bien, il me permet de me chauffer. »\n\nPourquoi portez-vous le numéro 25 ?\n« Il n’y a pas de raison particulière. C’est un numéro que j’ai pris en Espoirs l’an dernier à Strasbourg et j’ai fait une saison réussie. Je ne me suis même pas superstitieux, je l’aime bien tout simplement. »\n\n\nQT2 – Au révélateur...\n« Le titre de meilleur espoir de Pro B est une belle récompense mais le but était de réaliser la meilleure saison possible. Je suis venu à Denain d’abord pour gagner ma place »\n\nQuel bilan dressez-vous de votre saison ?\n« C’est un bilan positif parce qu’on arrive à terminer à la dixième place. C’est une bonne chose, une saison très enrichissante parce que nous avons tout connu. Personnellement, j’ai commencé fort la saison, je réalisé de bonnes performances. Après je me suis blessé et quand je reviens, un Américain arrive à la mène donc j’ai dû m’adapter au fil des matches. Ce n’était plus la même équipe entre le début et à la fin avec quatre ou cinq changements. J’ai beaucoup appris car avec la perte des matches, c’était un peu plus compliqué. On a eu la pression des dirigeants qui attendent des résultats mais au final, c’est une saison qui se termine bien. »\n\nEst-ce qu’être meilleur jeune de Pro B était un objectif ?\n« Pas forcément. C’est une belle récompense mais le but était de réaliser la meilleure saison possible. Je suis venu à Denain d’abord pour gagner ma place. Je me fixe pas forcément d’objectif au départ, j’essaie de faire de mon mieux et après les récompenses viennent petit à petit. Elle met en lumière le travail consenti donc c’est lourd ! »\n\nCette distinction de meilleur jeune vous donne plus de pression pour l’an prochain ?\n« Sans doute. Peut-être pour les gens, moi pas tellement. J’aborde la saison comme je l’ai fait à Denain. Je ne pense pas arriver en Betclic Elite avec le statut de meilleur jeune cela te donne un statut à confirmer, non. Je vais arriver à Nancy en essayant de gagner mes minutes, ma place au sein du groupe. La suite, on verra. L’objectif est toujours de faire la meilleure saison possible et de prendre tout ce que je peux. »\n\nQuels sont vos axes de progression à titre individuel pour être compétitif en Betclic Elite ?\n« Je verrai avec le coach mais dans la mesure où j’évoluerai sur le poste 4/3, il faudra que je sois capable de passer plus de minute au poste 3 au plus haut niveau français. J’ai fait une saison à Denain où j’ai joué majoritairement poste 4, pour ne pas dire que 4. Le coach a pour projet de me faire jouer poste 3 en Betclic. Donc j’aurai une grosse marge de progression à ce niveau-là. Dans le travail, j’aimerais progresser partout. Être plus constant dans la saison par rapport à mes pourcentages, mais tout le monde à ça pour objectif (rires). Être plus régulier dans mes performances est important parce que cette année, j’ai eu des bons matches et le suivant, tu touches pas une balle et tu es limite transparent. »\n\nLe coéquipier le plus professionnel ?\n« Je dirais Matthieu Missonnier (NDLR : capitaine de Denain, qui vient de resigner). Il était très sérieux au niveau de ses étirements, de ses soins. Il allait souvent chez le kiné. Il avait ses routines, il allait à la muscu... très pro. Après, le mec le plus pro que j’ai vu de ma vie, c’était DeAndre Lansdowne à Strasbourg. Lui tout était poussé au maximum. Tu ne pouvais pas être plus pro que ça. Il laissait rien au hasard. Il optimisait sa récupération. Il venait avant les entraînements pour faire ses routines de musculation, d’activation. Il faisait la séance, il restait derrière pour faire ses soins. Je sais aussi qu’au niveau alimentation, c’était hyper réglementé. »\n\nLe plus drôle ?\n« À Denain, il n’y avait pas vraiment de chambreur. On se chambrait tous les uns les autres. Je dirais Rigo Edzata, c’était un gars marrant. Il avait toujours des blagues à dire. »\n\nLe plus mauvais perdant ?\n« Il est possible que ce soit moi. Aux entraînements, Rémy mettait beaucoup de compétition, c’était toujours très intense. On disputait beaucoup de matches, tout le monde était à 100%, ça jouait dur. C’est vrai que je n’aime pas perdre pendant les entraînements. Si c’était le cas, tu pouvais sentir que j’avais le seum (rires). »\n\nL’adversaire le plus coriace affronté ?\n« Je dirais à la SIG, Bonzie Colson. C’est un mec qui, par le talent, pouvait répondre à toutes les situations. Il possède pleins de manières pour scorer, qu’il soit défendu ou non. Voilà c’était un joueur impressionnant. Il y avait aussi Brandon Jefferson qui, dans un autre registre, est très impressionnant. Je n’ai pas été aussi impressionné en Pro B que j’ai été par ces deux mecs-là. »\n\nLe meilleur défenseur ?\n« C’est une question difficile à répondre mais je dirais peut-être Cédric Bah de Vichy. C’était quelqu’un qui défendait très dur. »\n\nLes supporters les plus fervents ?\n« Saint-Quentin a un public qui pousse bien ! Leur salle a vraiment une belle ambiance à tous les matches. Avec Denain, ce sont vraiment les deux endroits où ça pousse. Après, je crois que c’est tout ! (rires) »\n\n\nQT3 – Dans le viseur...\n« Je préfère largement regarder un match d’Euroleague qu’un match NBA. Le jeu est plus propre, ça joue plus, tu sens vraiment que chaque balle est importante »\n\nLe club où vous aimeriez évoluer ?\n« Mon objectif serait de jouer en Euroleague. C’était un rêve, maintenant c’est devenu un objectif. Après dans quel club, je n’ai pas vraiment de préférences. Ce serait cool de pouvoir jouer en Euroleague avec un club français mais tant que j’évolue à ce niveau, peu importe l’équipe. Quand j’étais plus jeune j’aimais bien le Real, le CSKA Moscou et le Partizan Belgrade, des clubs mythiques, qui font rêver. Maintenant, avec le recul, n’importe quel club qui possède le niveau Euroleague, cela m’irait très bien. »\n\nCelui où vous aimeriez terminer votre carrière ?\n« Je dirais Strasbourg, en club de coeur. C’est la ville où j’ai grandi et c’est dans ce club que j’ai été formé donc pourquoi pas. Mais ce n’est pas une question que je me pose encore, je ne suis qu’au début de ma carrière. »\n\nLe titre qu’il faut impérativement gagner dans votre carrière ?\n« Je pense que le plus beau titre à remporter, cela doit être d’avoir la médaille d’or aux Jeux Olympiques avec l’équipe de France. C’est tellement loin qu’on ne peut pas dire que j’ai ça en objectif. Derrière, gagner un Final Four d’Euroleague cela doit être quelque chose de dingue ! »\n\nEst-ce que la NBA est un rêve pour vous ?\n« C’est la plus grosse ligue de ton sport donc oui c’est un rêve, mais cela n’a jamais été un objectif. C’est un jeu qui ne me correspond pas, le jeu européen est mieux pour mon profil. Je le reconnais, il n’y a pas de mal. Je préfère largement regarder un match d’Euroleague qu’un match NBA. Le jeu est plus propre, ça joue plus, tu sens vraiment que chaque balle est importante, on se bat pour tout. Alors qu’en NBA je ressens que les défenseurs sont plus laxistes, plus orienté vers le spectacle, le showtime. »\n\nEst-il possible de vous voir entamer une reconversion dans le 3×3 d’ici la fin de votre carrière ?\n« Oui carrément, le 3×3 me parle. Je pense avoir un profil pour ce type de discipline. Après, je n’ai pas fait de 3×3 pour l’instant donc il faudra traiter la question en temps voulu, mais pourquoi pas. Si cela peut te donner la possibilité de jouer pour l’équipe de France et participer aux JO avec le maillot A de 3×3, c’est une alternative qui peut être intéressante. Mais pourquoi pas un jour peut-être ! »\n\nSi vous ne jouiez pas au basket, que feriez-vous ?\n« Je ne sais pas du tout. Franchement, je ne sais pas car le basket a toujours été présent. J’étais encore en cours l’an dernier mais j’ai arrêté parce que pour moi, tu ne peux pas concilier basket et études. Il y a un moment où tu dois faire un choix. Tu ne peux pas mettre toutes tes chances de ton côté. »\n\nUn vœu pour le basket français ?\n« Qu’il continue de se développer et qu’il progresse comme il le fait depuis quelques années. »\n\nUne prédiction pour 2022 ?\n« Non je n’en ai pas (rires). Je vais faire de mon mieux puis après, on verra. J’espère juste, à court terme, être champion d’Europe U20 avec l’équipe de France. À titre individuel je me sens prêt, c’est une compétition que j’ai attendu toute l’année. Après l’argent l’an dernier aux championnats du monde, je sais que notre génération a l’Euro U20 dans le viseur. Collectivement, on a eu quelques blessés, quelques absents, on est capables d’aller au bout. On fera de notre mieux mais le groupe avance bien (entretien réalisé dix jours avant le début de l’Euro) et c’est tout ce qui compte. »\n\n\nQT4 – Le quizz... au buzzer !\n\nContre quelle équipe avez-vous réalisé votre record de points cette année ? \n« Je crois que c’était Blois. Je crois avoir mis 24 points avec 13 rebonds. C’était vraiment une sacrée performance, un match réussi face à une future équipe de Betclic Elite. »\nBonne réponse : Une magnifique performance réalisée le 5 novembre dernier\n\nAvec quelle catégorie d’âge êtes-vous allés remporter la médaille de argent au Championnat du Monde l’an dernier ?\n« La catégorie U19. »\nBonne réponse : Il a fait partie du groupe avec Strazel, Wembanyama\n\nDepuis combien de temps Nancy n’a pas été en Betclic Elite ?\n« Ça faisait cinq ans qu’ils étaient en Pro B et qu’ils attendaient de remonter en Betclic Elite. »\nBonne réponse.\n\nVotre futur coach a été sélectionneur d’une équipe d’Afrique, laquelle ?\n« C’est la sélection du Mali. »\nBonne réponse : Sylvain Lautié a entraîné l’équipe masculine (2005-2017) et féminine (2017-2020)\n\nCombien de matches avez-vous joué en Betclic Elite ?\n« C’est une question où je ne pourrai pas trop répondre vu que certains matches comptent alors que j’ai joué dix secondes. Je dirai deux. » \nMauvaise réponse : officiellement, Clément Frisch a disputé quatre rencontres\n\nCombien y’a-t-il de licenciés de basket en France, à 50 000 près, en 2019 ?\n« Alors là, je ne sais pas. Je vais dire au hasard 300 000. »\nMauvaise réponse : En 2019, la France comptait 668 367 licenciés\n\nDans votre sélection U20, combien de joueurs évoluent à l’étranger ? \n« (Il réfléchit) J’en compte trois : deux sont aux States et un autre en Espagne. »\nMauvaise réponse : Ibrahim Magassa (Real Betis) n’a pas été retenu pour l’Euro\n\nCe mercredi 6 juillet, c’est l’anniversaire d’une légende du basket français, laquelle ?\n« Je n’en sais rien. »\nMauvaise réponse : C’était Richard Dacoury\n\nQuel est le nom complet du club de Denain ?\n« C’est l’Association sportive Denain Voltaire Porte du Hainaut. »\nBonne réponse : le nom complet est Association sportive Cail Denain Voltaire Porte du Hainaut\n\nCombien de fois Nancy a remporté le championnat de France ?\n« Il me semble que c’est deux fois. »\nBonne réponse : Le SLUC a été titré en 2008 et 2011\n\n\nScore : 6/10\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nLa personne sans qui vous n’auriez pas fait carrière ? \n« C’est une question difficile pour commencer (rires). Il n’y a pas une personne plus que les autres, c’est un tout. Tout le monde participe de près ou de loin. Mes parents peut-être, et encore ils ne m’ont jamais forcé. Le basket a toujours été mon choix. »\n\nLe coach qui vous a le plus marqué ?\n« Probablement Rémy Valin qui était mon entraîneur cette année (NDLR : à Denain). C’est un coach envers lequel je suis redevable. Jusqu’à la saison dernière, je jouais en Espoirs et c’est le premier à m’avoir fait confiance. En plus, l’année s’est bien passée donc c’est lui qui m’a le plus marqué pour l’instant. Il est connu pour avoir un caractère bien trempé (rires). »\n\nLe match le plus mémorable que vous avez joué ?\n« La finale des Championnats du monde U19 l’année dernière...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Clément Frisch (FIBA)
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Euroleague/FIBA : Milan – Bologne programmé le jour d’Italie – Espagne, premier cas épineux
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Jeudi, l’Euroleague a annoncé le calendrier de la saison 2022-2023, avec déjà un premier couac vis-à-vis des dates des fenêtres internationales de la FIBA.\n\nCoïncidence ou fausse note à corriger ? Après l’annonce du calendrier de la prochaine saison d’Euroleague, un premier cas épineux relance le débat de la libération éventuelle des joueurs d’Euroleague pour les fenêtres internationales, tandis que la FIBA avait rouvert la porte ces dernières semaines.\n\nLe 11 novembre prochain, à 19h30, l’Olimpia Milan accueillera la Virtus Bologne dans le cadre de la 7e journée d’Euroleague. Le même jour, à 17h, l’Italie défiera l’Espagne dans le cadre du deuxième tour de qualification pour la Coupe du monde 2023. Deux problèmes se posent alors.\n\nD’une part, Sergio Scariolo est à la fois le coach de la Virtus et le sélectionneur de l’Espagne, et le technicien italien avait clairement expliqué qu’il comptait bien ne pas choisir entre les deux, raison pour laquelle figure une clause dans son contrat. D’autre part, il est peu probable que Milan et Bologne libèrent leurs joueurs en équipe nationale, comme ce fut le cas la saison dernière.\n\nCe cas de figure ne fait que relancer le débat Euroleague / FIBA. Les deux organisations trouveront-elle un terrain d’entente les prochaines semaines ?\n\nPhoto : Sergio Scariolo (FIBA)
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Euroleague : Marius Grigonis, recrue star du Panathinaïkos
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Courtisé par plusieurs grands clubs européens, l’international lituanien Marius Grigonis (1,98 m, 28 ans) s’est engagé avec le Panathinaïkos pour deux saisons.\n\nQuelques minutes après la prolongation de Mike James à Monaco, un autre grand d’Europe s’est renforcé. Le Panathinaïkos est parvenu à doubler Valence et le Zalgiris Kaunas pour conclure un accord avec le CSKA Moscou afin de s’offrir Marius Grigonis.\n\nL’international lituanien rejoint ainsi la capitale grecque pour deux saisons, dont une en option. Selon Basket News, le CSKA Moscou – avec lequel l’arrière-ailier était sous contrat jusqu’en 2024 – recevra environ 250 000 euros d’indemnités compensatoires.\n\nPour sa seule et unique saison sous le maillot du CSKA Moscou, Marius Grigonis tournait à 9,8 points, 1,1 rebond, 1,9 passe en 19 minutes de moyenne entre Euroleague et VTB League. Il avait quitté l’équipe en mars dernier, après l’invasion russe en Ukraine ayant notamment entraîné la suspension des clubs russes en Euroleague.\n\nL’ancien du Zalgiris Kaunas sera épaulé sur les lignes arrières de l’ancien Monégasque Paris Lee, et probablement de Nate Wolters.\n\n\nIt's official 🖋\n\nWelcome to the family, Marius Grigonis! ☘#WeTheGreens #paobc pic.twitter.com/2rrU92G1N8\n\n— Panathinaikos BC (@paobcgr) July 14, 2022\n\n\nPhoto : Marius Grigonis (FIBA)
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Mike James prolonge à l’AS Monaco pour deux saisons !
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C’est officiel, Mike James (1,85 m, 31 ans) et l’AS Monaco sont désormais liés pour deux saisons supplémentaires, jusqu’en 2024.\n\nJusqu’à maintenant, seule la prolongation de Sasa Obradovic avait été confirmée. La Roca Team est sortie de son mutisme en annonçant la première prolongation de son intersaison, et laquelle, celle de Mike James, pour deux saisons !\n\n« Auteur d’un exercice très accompli, qui lui aura valu les compliments et les louanges de ses pairs, le leader naturel de l’équipe est tombé d’accord avec les dirigeants monégasques pour poursuivre l’aventure sur le Rocher », annonce le club par communiqué.\n\nPrincipale cible de l’intersaison monégasque, le meneur américain conservera son rôle de leader au sein de l’AS Monaco. L’ancien du CSKA Moscou tournait à 16,4 points, 5,8 passes décisives et 3,2 rebonds de moyenne la saison dernière en Euroleague.\n\nL’Américain avait été récompensé par ses pairs comme MVP de la saison mais fut aussi membre du cinq majeur officiel de la compétition. Il avait surtout emmené la Roca Team vers une première qualification historique en playoffs d’Euroleague ou encore sauvé le club d’une élimination prématurée en quarts de finale de Betclic Elite contre Strasbourg, avant de passer à côté de sa finale face à l’ASVEL.\n\n\nUn salaire supérieur à 2 millions d’euros annuels ?\n\nMike James disposait déjà du plus gros salaire de l’histoire du championnat de France cette saison mais ses émoluments devraient encore gonfler, puisqu’on parlait dernièrement d’une offre supérieure à 2 millions d’euros par an. Un montant évidemment jamais atteint en France.\n\nÀ noter que l’AS Monaco aurait également conclu des prolongations de contrat avec Donta Hall (trois ans), Alpha Diallo (trois ans), Donatas Motiejunas (deux ans) et les arrivées de John Brown, Jordan Loyd, Elie Okobo et Jaron Blossomgame selon Basket News. Ajoutons à cette liste les discussions avancées entre le club de la Principauté et Adrien Moerman.\n\nPhoto : Mike James (Monaco)
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David Kahn (Paris Basketball) : «On est prêts pour l’Eurocup»
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À l’occasion de l’ouverture, le 12 juillet au matin, de la billetterie du match de prestige, prévu sous le toit du court Philippe-Chatrier de Roland-Garros, le 16 octobre, et à l’heure de faire le bilan des quatre ans qui se sont écoulés depuis qu’il a pris en main la destinée du Paris Basketball, le président américain du club de la capitale, David Kahn, a abordé les points décisifs de la saison prochaine.\n\nIl était tout seul, face à une dizaine de journalistes, dans la salle du centre culturel des Halles, avec, en fond d’écran, une immense photo du court Philippe-Chatrier, qui va accueillir le 16 octobre un match de championnat de Betclic Elite. C’est, on le sent bien, un événement hors norme qui lui tient à cœur, dans sa volonté de se faire une réputation, de marquer un territoire et la capacité d’organisation événementielle de son club. Mais David Kahn, plutôt globalement satisfait de la progression du Paris Basketball, qui disputera l’Eurocup sur une invitation très controversée (15e du championnat l’an passé) sait aussi qu’il n’a que peu de certitudes et de visibilité, dans l’immédiat, concernant notamment l’effectif de la saison prochaine. Tour d’horizon avec le boss parisien.\n\nLe match à Roland-Garros :\n« On est fiers de ce match historique de basket à Roland-Garros. On a ouvert la billetterie au public ce matin (mardi 12 juillet), et on veut pratiquer une politique de prix attractive. L’idée c’est de permettre à un public familial d’accéder à ce genre de manifestation. On est vraiment très heureux que Roland-Garros ait eu l’idée de mettre un toit sur ce court, ce qui leur a permis d’explorer d’autres voies événementielles, non tennistiques. Dès qu’on a su ça, on s’est rapprochés d’eux. Roland-Garros, c’est une marque iconique dans le monde entier, ils sont là depuis toujours. Nous, en tant qu’Américains, on se doit d’innover. On veut créer un événement, sur un terrain iconique autour du basket. Proposer plus qu’un match de basket. Et si ce genre d’événement peut servir à pousser l’impact du basket, à Paris et en France, tant mieux. L’adversaire ? On peut vous dire que ce sera un adversaire fort, et aussi que ce ne sera pas l’ASVEL. »\n\nL’Eurocup :\n« Ça fait quatre ans qu’on dit que notre club progresse « étape par étape ». On n’a jamais eu la volonté de brûler les étapes, on reste prudent. On sait qu’on a besoin de notre Arena pour franchir un cap, comme de l’Eurocup, qui va nous aider aussi à avancer. Je pense qu’on est prêts pour l’Eurocup, comme on est prêt à entrer dans notre Arena. Je ne pense pas que l’Euroleague nous a choisi sur la base de ce qu’on a fait la saison passée, mais ils nous ont choisi pour ce que nous pouvons montrer la saison prochaine. C’est une opportunité qui n’a rien à voir avec ce que nous étions l’an passé. Maintenant, on doit tout faire pour se mettre à la hauteur de ce très sérieux challenge. On se doit de performer. »\n\nLe recrutement 2022-2023 :\n« C’est compliqué, pour l‘instant. On a huit joueurs sous contrat mais on est un peu « gelés » par la situation de nos joueurs qui sont actuellement en train de tenter leur chance en NBA. Donc on est très dépendants de ce que vont faire Juhann (Begarin, actuellement avec les Boston Celtics) et Ismaël (Kamagate, qui tente sa chance avec les Denver Nuggets). Bien sûr, je voudrais qu’ils reviennent, mais je leur souhaite aussi qu’ils puissent signer là-bas. Tout notre recrutement est basé sur leur présence, ou pas, avec l’équipe. On ne peut pas signer de joueurs à leur poste, sans savoir s’ils vont revenir ou pas. Ce ne serait honnête pour personne. On doit avancer très prudemment sur le recrutement cet été. Et on doit attendre la fin des Summer League pour y voir plus clair, et trouver des solutions. En ce qui concerne le coach ? (Jean-Christophe Prat, toujours sous contrat) Je ne veux isoler personne. Tous, on a été un peu en-dessous de ce qu’on pouvait faire. Je ne veux désigner personne, mais juste considérer que chacun d’entre nous doit être meilleur l’an prochain. »\n\nL’Arena Porte de la Chapelle :\n« Si vous passez en voiture, Porte de la Chapelle, vous verrez cette Arena qui se construit, et qui devrait être ouverte dans quinze mois. Et, je suis heureux que, suite à un deal avec la mairie, nous ayons obtenus d’y être exclusivement le seul club résident pour un bail de dix ans. À Carpentier, on avait créé quelque chose, un esprit, une communauté, et il faudra être vigilant à emmener tout ça avec nous, au Nord, à l’Arena. Mais à Carpentier, on était aussi très limité en matière de production des revenus nécessaires : pas assez de sièges, de sièges VIP, d’espaces de réception... On a vraiment besoin de cette Arena. Je suis fier de ce que nous avons accompli ces quatre années, mais le club est encore un petit enfant, nous sommes encore très, très jeunes. Avec cette Arena, nous pourrons avoir plus d’ambitions. Et après avoir marché, on pourra apprendre à courir. »\n\nPhoto : David Kahn (Thomas Savoja)
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Danilo Andjusic privé d’EuroBasket avec la Serbie : «Je pense que je méritais ma place»
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Absent de la pré-sélection des 22 joueurs serbes appelés pour préparer l’EuroBasket, le Monégasque Danilo Andjusic (1,95 m, 31 ans) fut surpris de ne pas voir son nom dans la liste.\n\nIl a récemment quitté Monaco pour le Partizan Belgrade. Danilo Andjusic jouera sa deuxième saison consécutive en Euroleague. En revanche, le désormais ex-Monégasque ne sera pas de la partie pour l’EuroBasket avec la Serbie en septembre prochain. Il n’a pas caché sa surprise dans une récente interview accordée à sportklub.rs.\n\n« J’ai été surpris quand j’ai vu la liste. L’entraîneur (Svetislav Pesic) ne m’a rien dit à l’issue de la dernière fenêtre de qualification, j’ai appris cela dans les médias. Cette absence n’était pas claire pour moi parce que j’ai fait une bonne saison, j’ai joué dans une équipe qui a participé aux playoffs de l’Euroleague, et j’ai réalisé des deux ou trois dernières années solides non seulement en club, mais aussi en équipe nationale. Je pense que je méritais ma place dans cette pré-liste. C’est mon opinion. Mais je ne veux attaquer personne. Je ne souhaite que le meilleur à l’équipe nationale serbe. Peu importe si je fais partie de l’équipe ou non, l’équipe nationale est sacrée. J’espère qu’elle ramènera l’or. »\n\nL’arrière a compilé 7,8 points, 1,3 rebond et 0,9 passe la saison dernière en Euroleague avec la Roca Team.\n\nPhoto : Danilo Andjusic (Euroleague)
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Officiel : le Real Madrid s’offre le MVP de Liga Endesa Dzanan Musa
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MVP et meilleur marqueur de Liga Endesa, l’ailier bosnien Dzanan Musa (2,06 m, 23 ans) s’est engagé avec le Real Madrid pour les deux prochaines saisons.\n\nC’était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines, le Real Madrid a officialisé l’arrivée de Dzanan Musa pour deux ans. L’ailier bosnien sort de la meilleure saison statistique de sa carrière avec Breogan, en Espagne. Il a mené le promu à la 11e place de la Liga Endesa (ex aequo avec le 9e).\n\nIl compilait cette saison 20,0 points, 5,1 rebonds, 3,1 passes décisives et 1,1 interception pour 18,9 d’évaluation en 32 minutes de moyenne en ACB.\n\nL’ancien des Brooklyn Nets retrouvera l’Euroleague, qu’il a brièvement connu avec l’Anadolu Efes Istanbul lors de la saison 2020-2021 lorsqu’il a disputé quatre matchs pour l’équipe turque, et en 2015-2016 avec le Cedevita Olimpija.\n\nL’international bosnien retrouvera les Bleus en qualifications à la Coupe du monde 2023 mais aussi à l’EuroBasket en août et septembre prochains.\n\nPhoto : Dzanan Musa (FIBA)
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Pro B : Ousmane Camara rebondit à Evreux
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Après plusieurs saisons ponctuées par des blessures, l’international français Ousmane Camara (2,02 m, 33 ans) se relance à Evreux, en Pro B.\n\nAprès douze saisons dans l’élite du basket français entre Le Havre, Gravelines, Limoges et Chalon, Ousmane Camara avait découvert la Pro B à Rouen en cours de saison dernière, plus d’un an après sa blessure au tendon d’Achille. Il n’avait pas pu empêcher la descente sportive du club en Nationale 1, compilant 3,5 points et 5,3 rebonds en 17 minutes sur 12 matches.\n\nToujours membre du Team France (4 sélections chez les Bleus), le pivot normand d’origine débarque ainsi à Evreux, où il évoluera sous les ordres de Neno Asceric la saison prochaine. Un ajout d’expérience.\n\n\n🚨 Nouvelle recrue !\n\nLe club est heureux de vous annoncer l'arrivée du pivot 🇨🇵 Ousmane CAMARA (2.02m – 33 ans) pour densifier la raquette 🟡🔵\n\nToutes les infos ➡️ https://t.co/R80uvyLcWq pic.twitter.com/aeQJdje6Q0\n\n— ALM Evreux (@ALMEvreux) July 14, 2022\n\n\nPhoto : Ousmane Camara (FIBA)
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Le rookie program, le rendez-vous incontournable du syndicat des joueurs pour ses néo-pros
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Le succès de la première édition du rookie program a conduit le syndicat national des basketteurs (SNB) à renouveler l’expérience à la rentrée, les 6 et 7 août prochains.\n\nC’est une initiative à souligner. Le SNB, syndicat des joueurs du championnat de France, est à l’origine du rookie program, dont la deuxième édition se déroulera les 6 et 7 août 2022 à Paris.\n\nCet événement est un must pour les jeunes joueurs de LNB fraîchement passés professionnels (premier contrat pro, stagiaires faisant partie intégrante d’un effectif professionnel) puisqu’il forme ces jeunes basketteurs pro afin de les préparer au mieux à leur futur environnement.\n\n\nDeux jours de sensibilisation\n\nCela se traduit sur deux jours par des interventions du syndicat et de différents acteurs du métier de basketteur. Le samedi, les jeunes joueurs reçoivent des interventions sur leurs droits et devoirs, leur formation ou reconversion possible au long de leur carrière de basketteur, leur gestion des médias et des réseaux sociaux, des conseils sur la diététique ou la nutrition.\n\nLe dimanche, le SNB fait également venir un représentant des clubs et un représentant des coachs pour expliquer le rôle d’un jeune joueur dans une structure club ou une équipe, un représentant de la LNB sur le rôle de la Ligue et son implication dans l’organisation des championnats, un représentant des agents sportifs sur la relation agent-joueur et les dérives qui peuvent exister ou encore un représentant du corps arbitral sur la relation arbitre-joueur. Autant de sujets sur lesquels chaque jeune joueur se doit d’être sensibilisé.\n\nBasées sur l’échange et le partage d’expériences, les journées sont tournées autours d’activités participatives. C’est bien sûr un événement pris en charge par le SNB durant tout le weekend. Autant de raisons d’en connaître la teneur.\n\n\n🚨Le SNB vous annonce le retour du Rookie Program 🚨\n\nUn programme dédié à tous les joueurs qui viennent de signer un premier contrat pro ! 📝\n\nOn vous en dit plus juste ici avec @AmarouXX @paulbillong1 et Quentin Coste 👇\n\nPlus d'infos dans les prochaines semaines! pic.twitter.com/fHrxFSYVEa\n\n— SNBASKET (@SNBasket1) June 13, 2022\n\n\nPhoto : Matthew Strazel / Victor Wembanyama (Infinity Nine Media)
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Cholet affrontera Besiktas en qualifications de la FIBA Europe Cup
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Ce jeudi matin, le tirage au sort du tour qualificatif de la FIBA Europe Cup a réservé à Cholet un premier adversaire de taille : le Besiktas Istanbul.\n\nCholet Basket espère renouer avec la coupe d’Europe la saison prochaine. Pour cela, le club des Mauges devra passer par un tour préliminaire afin de participer à la FIBA Europe Cup, considérée comme le 4e échelon des coupes d’Europe.\n\nCB a hérité du club de Besiktas, 10e du dernier championnat turc, en demi-finale du tour qualificatif. En cas de victoire en demi-finale, le club devra encore battre un autre adversaire – Leiden (Pays-Bas), Jamtland (Suède) ou Czarni Slupsk (Pologne) – pour rejoindre le tour principal.\n\nLes quatre tournois de qualification de la FIBA Europe Cup se dérouleront du 27 au 30 septembre prochains.\n\nEn cas de qualification pour le tour principal, qui comptera un total de 32 équipes, Cholet serait placé dans un groupe I relevé, composé de l’Unicaja Malaga (Espagne), Oradea (Roumanie) et Malines (Belgique).\n\nRevoir le tirage au sort :\n\nPhoto : T.J. Campbell (Thomas Savoja)
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Euroleague : le calendrier de la saison 2022-2023 dévoilé
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L’Euroleague a annoncé ce jeudi son calendrier de la saison 2022-2023, dont la première journée aura lieu les 6 et 7 octobre prochains. L’ASVEL débutera à domicile contre Milan et Monaco à l’extérieur face à la Virtus Bologne.\n\nFans de l’Euroleague, à vos agendas. L’organisation a dans un premier temps annoncé jeudi les duels de la première journée de la saison 2022-2023. Cinq confrontations auront lieu le jeudi 6 octobre, suivies de quatre autres le vendredi 7 octobre.\n\nEn ce qui concerne les deux équipes françaises, elles affronteront les deux équipes italiennes lors de la première journée. L’ASVEL recevra l’Olimpia Milan et Monaco se déplacera à Bologne pour affronter la Virtus. Un duel entre les deux derniers vainqueurs de l’Eurocup.\n\nL’Euroleague a ensuite annoncé son calendrier de la saison régulière, qui débutera donc le 6 octobre 2022 et se terminera le 14 avril 2023.\n\n\nLes affiches de la première journée\n\nPanathinaïkos – Real Madrid\n\nLe Panathinaïkos a atteint les playoffs pour la dernière fois en 2019. Le nouveau coach Dejan Radonjic verra son équipe accueillir le Real Madrid, finaliste sortant de l’Euroleague, qui a battu les Verts lors de cinq de ses six dernières visites à l’OAKA Arena.\n\nLDLC ASVEL – Olimpia Milan\n\nL’ASVEL a remporté ses trois premiers matches lors de la saison 2021-22 et cherchera à démarrer la nouvelle saison comme elle l’a fait il y a un an – avec une victoire à domicile. Milan a le même objectif, puisqu’il a commencé la dernière campagne par une série de cinq victoires consécutives, dont un triomphe à domicile contre l’ASVEL.\n\nMaccabi Tel Aviv – Zalgiris Kaunas\n\nTout match entre Maccabi et Zalgiris est toujours spécial après leur classique il y a 18 ans, dans lequel seul le vainqueur s’est qualifié pour le Final Four 2004. Le Maccabi a enregistré l’une des victoires les plus emblématiques de son histoire et a remporté deux titres consécutifs en Euroleague. Les deux équipes ont beaucoup changé cet été.\n\nBayern Munich – Fenerbahçe\n\nLe Bayern a opté pour la continuité en conservant le coach Andrea Trinchieri et un noyau de joueurs qui ont aidé l’équipe à atteindre les playoffs pour la deuxième année consécutive. Fenerbahçe commence une nouvelle ère avec Dimitris Itoudis, qui veut que sa nouvelle équipe soit compétitive dès le premier jour.\n\nValence – Baskonia\n\nIl y a de nombreux chemins croisés entre Valence et Baskonia. Notamment le coach Joan Penarroya, qui entraînait Valence la saison dernière et désormais l’équipe de Vitoria. Les deux équipes se sont également affrontées lors des playoffs de Liga ACB au cours de chacune des trois dernières saisons – Baskonia a prévalu en 2020 et 2022, tandis que Valence a gagné en 2021.\n\nAnadolu Efes – Etoile Rouge\n\nL’Efes vise cette année son troisième titre consécutif en Euroleague, ce qui en ferait la troisième équipe à le faire après Riga (1958-60) et Split (1989-91). Les Turcs accueilleront l’Etoile Rouge de Belgrade, qui arrivera sur ce match avec un nouvel entraîneur, un nouveau meneur – Nemanja Nedovic – et des ambitions nouvelles.\n\nALBA Berlin – Partizan\n\nPour la première fois depuis de nombreuses années, l’ALBA Berlin a réussi à conserver un noyau de joueurs et le même coach, Israel Gonzalez. Ce sera aussi le premier match d’Euroleague de la légende Zeljko Obradovic avec le Partizan depuis 1992, quand il a remporté le premier de ses neuf couronnes continentales.\n\nFC Barcelone – Olympiakos\n\nLes deux équipes ont atteint le Final Four la saison dernière et ont eu de nombreuses batailles légendaires dans le passé. L’Olympiakos a remporté sa première Euroleague en 1997 et le Barça a rendu la pareille en battant les Reds en 2010. La plupart des stars et les deux coachs sont de retour, donc un gros premier match est garanti au Palau Blaugrana.\n\nVirtus Bologne – AS Monaco\n\nC’est une bataille entre les deux derniers champions de l’Eurocup. Terminer la saison régulière devant l’autre sera à coup sûr l’un des principaux objectifs des deux équipes. C’est le premier match à domicile de la Virtus en Euroleague depuis 2008. Monaco a atteint les playoffs la saison dernière et rêve d’atteindre à nouveau ce stade lors de la prochaine campagne.\n\n\nThe 2022-23 Turkish Airlines EuroLeague season will tip-off in 85 days!⏳\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) July 14, 2022\n\n\nPhoto : David Lighty (ASVEL)
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Conner Frankamp (ex-Zénit et Limoges) s’exile en Turquie
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Après avoir joué les playoffs de Betclic Elite à Limoges, Conner Frankamp (1,85 m, 26 ans) prend la direction de Gaziantep, en Turquie.\n\nLe départ de Conner Frankamp vers l’étranger n’est pas une surprise. En toute fin de saison dernière, il avait rejoint Limoges le temps des playoffs, compilant seulement 4,5 points et 1,5 passe décisives en deux matches (perdus) face à Dijon.\n\nLe meneur américain s’était surtout fait remarquer avec le Zénit en Euroleague, avant la suspension des équipes russes, compilant 7,8 points et 1,4 passe en 15 minutes de moyenne. Il rejoint désormais Gaziantep, où il disputera la saison prochaine la FIBA Europe Cup.\n\nPhoto : Conner Frankamp (Euroleague)
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Vidéo : le top 10 de la saison 2021-2022 de l’ASVEL
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Champion de France, l’ASVEL a dévoilé ce jeudi son top 10 des meilleures actions de sa saison 2021-2022.\n\nDans ce top 10 mixant Euroleague et Betclic Elite, on retrouve évidemment le shoot de l’égalisation d’Elie Okobo et le contre décisif de William Howard lors du match 5 de la finale du championnat de France et quelques highlights de Victor Wembanyama. Sans surprise, c’est le buzzer victorieux du milieu de terrain de William Howard contre Monaco en coupe d’Europe qui arrive en numéro un.\n\nPhoto : Elie Okobo (Infinity Nine Media)
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3×3 : l’Équipe de France féminine U23 s’adjuge les trois premiers stops de la Nations League
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Trois sur trois pour l’équipe de France féminine U23 à la Nations League 3×3, dont les trois premières étapes ont eu lieu à Voiron.\n\nPendant trois jours, les Bleues du 3×3 ont survolé les débats à Voiron, en Isère. Camille Droguet, Sixtine Macquet, Marie Pardon et Anna Ngo Ndjock (remplacée par Emma Peytour à la deuxième étape) ont réalisé un sans-faute puisqu’elles n’ont pas connu la moindre défaite et ont donc remporté chaque étape, franchissant même le cap des 21 points lors de chaque finale.\n\nÉgalement présents, les U23 de l’équipe de France masculine ont terminé troisièmes, deuxièmes et enfin premiers des étapes de Voiron. Lors de ce jour victorieux, les Bleus étaient composés d’Arthur Bruyas, Damien Nseke Ebele, Thomas Pottier et Maxime Semelet.\n\nLa Nations League, késako ?\nLa Nations League 3×3 est une compétition d’équipes nationales de moins de 23 ans lancée en 2017. Elle offre l’opportunité aux futurs talents de se perfectionner – pendant l’été – en vue des grandes compétitions internationales (Coupe du monde, Jeux Olympiques, etc.). Une nouvelle catégorie U21 a été introduite l’année dernière pour aider les fédérations à développer de nouveaux joueurs pour les événements futurs.\n\n\n2 points and.... GAME WINNER FOR FRANCE 🇫🇷🏆#3x3NL pic.twitter.com/LZNLS8LYNx\n\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) July 13, 2022\n\n\n\nT’ES PAS CONTENT ? TRIPLÉ.\n\nL'Équipe de France féminine U23 s'adjuge les trois premiers stops de la @FIBA3x3 Nations League U23 ! 🇫🇷😤 pic.twitter.com/kFwhR4R9pp\n\n— 3×3 FFBB (@3x3ffbb) July 13, 2022\n\n\nPhoto : Equipe de France 3×3 (FIBA)
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Le Real Madrid devrait enrôler Petr Cornelie
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Le vice-champion olympique Petr Cornelie (2,11 m, 26 ans) est sur le point de rejoindre le Real Madrid selon Basket News.\n\nAprès le départ de Thomas Heurtel, le Real Madrid veut reconstituer un quatuor tricolore auprès de Guerchon Yabusele, Vincent Poirier et Fabien Causeur. Selon Basket News, la maison blanche est en train de finaliser un deal avec Petr Cornelie.\n\nLe média lituanien explique que « peu d’équipes » d’Euroleague étaient sur ses rangs mais ce devrait bien être dans la capitale espagnole que le vice-champion olympique de Tokyo devrait atterrir.\n\nLe 53e choix de la Draft NBA 2016 a passé la dernière saison avec les Denver Nuggets et leur filiale en G-League, le Grand Rapids Gold. L’ancien palois a compilé 1,1 point et 1,1 rebond en 2,9 minutes de moyenne en 13 apparitions NBA, contre 17,8 points (dont 36,2 % à 3-points), 12,7 rebonds, 2,9 passes décisives et 0,9 contre en G-League.\n\nPhoto : Petr Cornelie (FIBA)
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L’incroyable parcours de Ricardo Alliman, un Jamaïcain à Orchies
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Rien ne prédestinait Ricardo Alliman (2,01 m, 35 ans) à devenir basketteur professionnel, pourtant le Jamaïcain possède plus de dix saisons en carrière. Un parcours réussi grâce à sa détermination et une éthique de vie irréprochable.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nDans la Pévèle Arena d’Orchies (Nationale 1), cinq drapeaux étrangers sont accrochés. Mais un n’est pas si « commun » dans le basket : celui de la Jamaïque. Ricardo Alliman, 35 ans, est né à Kingston où toute sa famille réside encore. Pourtant, rien ne prédestinait le Jamaïcain à vivre de la balle orange.\n\nPlutôt doué avec une raquette et une balle jaune, tout s’est joué sur une poussée de croissance. « J’ai commencé tard le basket, à 15 ans. Un été, j’ai pris trente centimètres donc je me suis dit que j’allais essayer le basket. Heureusement que j’ai tenté car je suis tombé amoureux du sport. Avec les études, le basket m’a aidé pour avancer », glisse l’ailier fort dans un français parfait.\n\nEssayer le basket, le natif de Kingston a surtout été poussé par certains joueurs de l’équipe de son lycée, situé dans la capitale jamaïcaine. « Ils m’ont convaincu pour délaisser le tennis et venir pratiquer le basket. Je ne voulais pas au départ puis j’ai dit « Ok je vais disputer un entraînement« . J’ai kiffé et je ne suis jamais retourné à l’autre sport. Tout a changé après cet entraînement », souligne l’ancien international.\n\n\nTout s’accélère aux États-Unis\n\nCommence alors le début de la belle aventure. Le jeune Alliman s’entraîne, progresse et intrigue quelques années plus tard les scouts américains lors d’un camp organisé en Jamaïque. « Ils m’ont choisi et heureusement parce que sinon mes parents n’avaient pas les moyens pour m’envoyer aux États-Unis. Grâce à ça, j’ai eu une bourse avec l’opportunité de partir de la Jamaïque pour essayer de percer dans le basket », admet-il. À 19 ans, direction les États-Unis et plus particulièrement l’Université de Cedarville dans l’Ohio. Là-bas, tout s’accélère. Ricardo dispute le championnat NCAA pendant quatre ans, mais pas que. Avoir un diplôme était tout aussi important pour lui. « J’ai pu pratiquer mon sport à l’Université mais le plus important est que j’ai pu étudier. J’ai eu mon bachelor (en informatique) grâce à cela. Aux États-Unis c’est comme ça, le sport et les études. Mais les études d’abord », sourit l’imposant ailier fort aux bras tatoués.\n\nRêveur de rejoindre la grande ligue, le Jamaïcain, devenu international en 2009 – il croisera Al Horford, Nenê, J.J Barea... – réalise au fil des ans qu’il sera un peu trop court. Peu importe, sa passion pour le basket l’anime et l’emmènera jusqu’au bout du monde. « Ma dernière année universitaire, j’ai fait une très belle saison où j’ai été un des meilleurs joueurs de ma division. Grâce à ça, j’ai pu avoir des contacts avec des agents, des scouts pour me faire venir en France. Il y a beaucoup de joueurs qui n’ont pas l’opportunité de continuer à jouer après la fac donc pour moi, c’était une chance. Je voulais venir en France, en Espagne, en Asie, en Amérique... n’importe où ! »\n\n\nLa France, son deuxième pays d’adoption\n\nLe Jamaïcain atterrit alors en France, en 2011, du côté de Vitré (NM2 à l’époque), en Bretagne. Tellement galvanisé de faire ses premiers pas sur les parquets français, le climat breton ne l’affecte pas. Tarbes, Avignon, les Sables d’Olonne, l’ailier fort multiplie les clubs. Mais c’est dans un club familial que Ricardo Alliman se sent comme à la maison : le BC Orchies. Auteur de sa meilleure saison du côté de la Pévèle Arena en 2018-2019 (14,3 points et 6,8 rebonds et un match à 34 points), il décide de revenir la saison dernière. Jimmy Ploegaerts, son ex-entraîneur (NDLR : Orchies a décidé de se séparer de son technicien cet été), se souvient de ses retrouvailles. « Je lui ai dit en rigolant quand je l’ai revu pour la première fois en face à face pour qu’il revienne signer chez nous : »Ce qui est bien c’est que tu es parti il y a trois ans, tu reviens tu n’as pas vieilli. Physiquement c’était le même ! » »\n\nCar Ricardo, c’est un bosseur. Après les séances collectives, le natif de Kingston reste, seul sur le parquet, tirer une centaine de shoots alors que ses partenaires partent à la douche. Résultat ? À 35 ans, le Jamaïcain a réalisé sa meilleure saison statistiques en N1 : quatorze points et 7,8 rebonds de moyenne. C’est tout simplement le meilleur marqueur et rebondeur de l’équipe. « En deux ans avec nous, je ne l’ai jamais vu passé à travers deux matches de suite. Il a toujours eu une réaction après un match un peu moins bien », admire son ancien entraîneur.\n\n\n« J’ai eu l’habitude d’avoir des joueurs étrangers qui ne faisaient pas forcément les efforts en défense »\n\nUn retour gagnant et des efforts qui ont fait de lui un leader. Peu expressif, un poil introverti, Ricardo Alliman s’est construit un charisme à travers l’exemple. Joffrey Verbeke, lui aussi 35 ans, a disputé toute sa carrière à Orchies et peut l’attester. C’est un leader par l’exemple. « C’est vrai que c’est quelqu’un qui ne parle pas beaucoup mais quand il parle, tout le monde l’écoute. J’ai eu l’habitude d’avoir des joueurs étrangers qui ne faisaient pas forcément les efforts en défense. Lui les effectuent des deux côtés du terrain et c’est une très grande force », apprécie le capitaine.\n\nVers la fin de sa carrière (pas d’annonce à ce jour), le Jamaïcain commence peu à peu à s’orienter vers de nouveaux horizons. « On sait que le basket, ça ne dure pas pour toujours donc je vais changer mon focus pour faire une activité plus professionnelle. Pour moi, l’informatique, la finance, c’est ce qui m’intéresse. Je suis en train de regarder pour continuer mes études dans ces domaines et après on verra », confiait le joueur en mars dernier. Mais le basket n’est pas bien loin. L’ailier fort aimerait transmettre à la Jamaïque ce que cette aventure lui a permis de vivre : sa passion. « En Jamaïque, le basket grandit malgré les mauvaises infrastructures. Un jour peut-être, je reviendrai pour aider le pays pour monter des camps pour les jeunes, faire avancer le sport dans le pays. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nDans la Pévèle Arena d’Orchies (Nationale 1), cinq drapeaux étrangers sont accrochés. Mais un n’est pas si « commun » dans le basket : celui de la Jamaïque. Ricardo Alliman, 35 ans, est né à Kingston où toute sa famille réside encore. Pourtant, rien ne prédestinait le Jamaïcain à vivre de la balle orange.\n\nPlutôt doué avec une raquette et une balle jaune, tout s’est joué sur une poussée de croissance. « J’ai commencé tard le basket, à 15 ans. Un été, j’ai pris trente centimètres donc je me suis dit que j’allais essayer le basket. Heureusement que j’ai tenté car je suis tombé amoureux du sport. Avec les études, le basket m’a aidé pour avancer », glisse l’ailier fort dans un français parfait...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Ricardo Alliman (BC Orchies)
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James Nunnally retrouve Zeljko Obradovic au Partizan Belgrade
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Invité en Euroleague la saison prochaine, le Partizan Belgrade se construit une belle armada, avec la nouvelle signature de James Nunnally.\n\nAprès avoir signé Danilo Andjusic et Dante Exum, le Partizan Belgrade ne s’arrête pas là sur le marché des transferts. James Nunnally rejoint la capitale serbe pour la saison 2022-2023.\n\nA 32 ans, l’ancien NBAer a connu une excellente saison en Israël, avec 13,8 points et 3,9 rebonds de moyenne en Euroleague avec le Maccabi Tel Aviv. Il retrouvera le coach Zeljko Obradovic qu’il avait côtoyé à Fenerbahce, entre 2016 et 2018. Les deux ont remporté l’Euroleague ensemble, à Istanbul, en 2017.\n\nPhoto : James Nunnally (Euroleague)
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Euro U20 : Les Bleuettes écartent le Portugal et retrouvent la République Tchèque en demi-finale
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Mercredi soir, l’équipe de France U20 a validé son ticket pour les demi-finales du championnat d’Europe au dépens du Portugal (77-35). Les Bleuettes auront une revanche à prendre vendredi sur les Tchèques, qui les ont battu en phase de groupe.\n\nDéfaite deux fois en trois matches de poules, l’équipe de France U20 était enfin rentrée dans son EuroBasket en huitièmes de finale la veille contre la Suède. Sur leur lancée, les Bleuettes n’ont rien laissé au hasard en quarts de finale.\n\nLe Portugal n’a jamais vu le jour, encaissant un 8-0 dès le début du match. Surtout, les filles de Jérôme Fournier ont complètement dominé en défense, les – maladroites – Portugaises n’inscrivant leur premier panier qu’après de 7 minutes 30 de jeu ! En attaque, Aminata Gueye – 8 points, 4 rebonds – était parfaitement mise en orbite par Pauline Astier (14-8, 10e).\n\nDu reste, les Bleuettes, portées par leur collectif (13 passes décisives à la pause) et malgré une adresse relativement faible (43 % à 2-points), étaient tout de même nettement supérieures aux Lusitaniennes, sans solution offensive en première mi-temps (35-17).\n\n\nUne revanche à prendre contre la République Tchèque\n\nLa deuxième mi-temps fut la copie conforme de la première, avec l’adresse en plus côté français : une domination sans partage. L’équipe de France a déroulé dans le troisième (58-23), jusqu’à porter l’écart final dans le garbage time à + 42 (77-35). Le petit plus : chacune a eu droit à 10 minutes de temps de jeu.\n\nCette victoire est sans conteste une oeuvre collective mais on peut tout de même souligner les performances individuelles d’Aminata Gueye (18 points à 9/9 aux tirs, 9 rebonds en... 18 minutes), Pauline Astier (6 points, 9 passes, 3 rebonds, 3 interceptions en 19 minutes) ou encore Sara Roumy (12 points en 19 minutes).\n\nDésormais dans le dernier carré, les Bleuettes auront deux matches pour repartir de Hongrie avec une médaille. Le premier, après une journée de repos, sera une revanche contre la République Tchèque, un adversaire qui les avait battu lors du deuxième match de groupe il y a quatre jours (59-54). Le second contre le vainqueur ou le perdant d’Espagne – Italie.\n\nBoxscore Portugal U20 – France U20 / Tableau\n\nPhoto : Pauline Astier (FIBA)
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Moustapha Fall (équipe de France) :«Si Joel Embiid est là, c’est sûr qu’il faut le prendre»
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Quelques heures après la naturalisation de Joel Embiid, le pivot Moustapha Fall a réagi de manière fair-play et bienveillante à la possible venue du NBAer chez les Bleus au micro de RMC.\n\nOn connaissait l’humilité de Moustapha Fall. Le vice-champion olympique l’a de nouveau démontré quand il fut interrogé ce mercredi sur RMC à propos de la naturalisation de Joel Embiid, qui en fait de facto un candidat à l’équipe de France sur le même poste que lui.\n\n« Je ne suis pas un gars qui me projette donc, pour l’instant, je ne me prends vraiment pas la tête avec ça. S’il est là, c’est sûr qu’il faut le prendre. C’est un joueur qui peut être MVP en NBA tous les jours. Le voir jouer avec Rudy Gobert, ça peut être quelque chose, surtout que Vincent Collet aime jouer grand, il peut jouer avec deux postes 5 en même temps. Embiid est capable de shooter aussi, donc même les postes 4 vont être impactés par cette nouvelle. Bien sûr que je suis aussi concerné. D’un côté, au niveau de l’éthique, ça peut poser problème parce qu’on ne fait jamais ça. Mais, de l’autre côté, les règles sont les règles, donc on joue selon les règles. C’est dur d’avoir un avis tranché. S’il est là, il faudra faire avec. C’est la loi du sport : s’il y a meilleur que toi, il joue, c’est simple. »\n\nUne réaction tout à l’honneur du pivot de l’Olympiakos, qui aura probablement l’occasion de montrer toutes ses qualités à l’EuroBasket, du 1er au 18 septembre prochains.\n\nPhoto : Moustapha Fall (FIBA)
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Rudy Gobert :«Je me réjouis de voir le 3×3 à Paris en 2024»
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L’international tricolore Rudy Gobert a semble-t-il apprécié le 3×3, qu’il a découvert à Tokyo.\n\nDe passage à Paris – ville où le 3×3 fera sa deuxième apparition olympique – pour le Quai 54, Rudy Gobert a été interrogé sur son rapport au 3×3.\n\n« J’ai commencé à regarder le 3×3 à Tokyo, je connais bien certains joueurs aussi. C’est vraiment sympa, facile à regarder et très compétitif, j’aime beaucoup. C’est physique, j’apprécie les changements de règles (par rapport au 5×5). Je me réjouis de voir le 3×3 à Paris en 2024. »\n\nL’international français disputera l’EuroBasket du 1er au 18 septembre prochain et vise les Jeux Olympiques dans deux ans.\n\n\n\Je suis tellement content de voir cette discipline arriver aux JO, de la voir évoluer.\\n\n... de la rue aux Jeux Olympiques. 💪🏀\nToute la culture du street basket à l'honneur au #Quai54 à Paris. Ville où le 3×3 fera sa 2e apparition olympique.@quai54wsc @rudygobert27 @FIBA3x3 pic.twitter.com/bDzkocQe2V\n\n— Jeux Olympiques (@jeuxolympiques) July 13, 2022\n\n\nPhoto : Rudy Gobert (FIBA)
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Jordan Mickey et Ismael Bako s’engagent avec la Virtus Bologne
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Deux intérieurs se sont officiellement engagés avec la Virtus Bologne ce mercredi : l’ancien du Zénit Jordan Mickey (2,03 m, 28 ans) et l’ancien Villeurbannais Ismael Bako (2,10 m, 26 ans).\n\nAprès la Russie, direction l’Italie pour Jordan Mickey. L’Américain arrive en provenance du Zenit Saint-Pétersbourg, avec lequel il a remporté la VTB League et a été nommé MVP de la finale. Le n°33 de la Draft 2015 a également été élu défenseur de l’année. L’intérieur américain jouera sa cinquième saison consécutive en Euroleague. Il tournait à 10,5 points à 50,9 % aux tirs et 4,3 rebonds en 25 minutes de moyenne cette saison en Euroleague.\n\nPour Ismaël Bako, c’est un retour en Euroleague après une saison du côté de Manresa avec lequel il a atteint la finale de la BCL. L’international belge avait joué deux saisons à Villeurbanne, remportant notamment un titre de champion de France. Il compilait en moyenne 10,3 points et 5,8 rebonds en 21 minutes en Liga Endesa et 8,7 points et 6,1 rebonds en 21 minutes en BCL.\n\nCes deux arrivées auront-elles une incidence directe sur un départ du MVP de la dernière saison d’Eurocup, Mam Jaiteh ?\n\nPhoto : Ismaël Bako (FIBA)
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Mike James aurait prolongé de deux ans à l’AS Monaco
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Selon Basket News, Mike James et l’AS Monaco sont tombés d’accord sur une prolongation de contrat de deux ans.\n\nPrincipale cible de l’intersaison monégasque, Mike James aurait conclu un nouvel accord avec la Roca Team. Selon Basket News, il s’agirait d’un contrat de deux ans. La semaine dernière, Eurohoops avançait déjà que le meneur américain était sur le point d’accepter une offre, probablement supérieure à 2 millions d’euros par an.\n\nL’ancien du CSKA Moscou tournait à 16,4 points, 5,8 passes décisives et 3,2 rebonds de moyenne la saison dernière en Euroleague. Il avait été récompensé par ses pairs comme MVP de la saison mais aussi membre du cinq majeur officiel de la compétition.\n\n\nTrois prolongations et quatre arrivées déjà bouclées ?\n\nSelon le média lituanien, l’AS Monaco aurait également conclu des prolongations de contrat avec Donta Hall (trois ans), Alpha Diallo (trois ans), Donatas Motiejunas (deux ans) et les arrivées de John Brown, Jordan Loyd, Elie Okobo et Jaron Blossomgame.\n\nAjoutons à cette liste les discussions avancées entre le club de la Principauté et Adrien Moerman. Pour le moment, seule la prolongation du coach Sasa Obradovic a été confirmée, jusqu’en 2025.\n\nPhoto : Mike James (Monaco)
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L’international suédois Johan Lofberg débarque à Denain
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Déjà aperçu à Vichy, le Suédois Johan Lofberg (1,99 m, 27 ans) fait son retour en France, direction Denain Voltaire.\n\nNouvelle recrue à Denain, Johan Lofberg débarque en provenance de la deuxième division espagnole où il évoluait pour le club de Coruna. Il cumulait 11,0 points à 44,6 % aux tirs (dont 40,1 % à 3-points), 2,6 rebonds et 1,5 passe de moyenne cette saison.\n\nL’arrière-ailier retrouvera à Voltaire son compatriote Kenny Grant, nouvel assistant du club. L’international suédois (10 sélections) vient notamment de disputer les qualifications pour la Coupe du monde avec l’équipe A.\n\nConnu en Pro B pour être passé à Vichy-Clermont, il avait apporté 9,4 points et 3,0 rebonds de moyenne en 9 matches lors de la saison 2020-2021.\n\nPhoto : Johan Lofberg (FIBA)
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Officiel : Anthony Polite lance sa carrière professionnelle à l’ASVEL
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Après cinq saisons à Florida State en NCAA, Anthony Polite (1,98 m, 25 ans) va bel et bien lancer sa carrière professionnelle avec le champion de France en titre, l’ASVEL. L’ailier suisse s’est engagé sur deux ans.\n\nL’effectif villeurbannais continue de prendre forme. Après les signatures de Nando De Colo, Amine Noua, Retin Obasohan, Parker Jackson-Cartwright et Jonah Matthews, l’ASVEL a officialisé celle d’Anthony Polite. Comme annoncé, l’ailier polyvalent rejoint ainsi les champions de France pour un contrat de deux ans, avec une clause de sortie vers la NBA à l’issue de la première saison.\n\nLe gaucher suisse n’a pas été drafté fin juin mais peut se targuer d’avoir cinq saisons à son compteur avec l’université de Florida State, en NCAA. Il tournait à 9,7 points à 41,6 % aux tirs, dont 30,8 % à 3-points, 5,7 rebonds, 2,5 passes décisives et 1,4 interception en 28 minutes de moyenne la saison passée.\n\nFils de Michael Polite, joueur américain professionnel en Suisse, le natif de Lugano a grandi en Suisse avant de partir aux États-Unis pour jouer en High School puis en NCAA. Il a représenté son pays natal chez les jeunes, récoltant notamment 18,4 points et 12,2 rebonds de moyenne au championnat d’Europe U16 bis en 2013.\n\nIl dispute actuellement la Summer League de Las Vegas avec... les San Antonio Spurs mais n’est pas entré en jeu lors des trois premiers matches.\n\nMichel Veyronnet, directeur général adjoint en charge du sportif : « C’est un pari auquel nous croyons beaucoup. Anthony a beaucoup à prouver, envie de montrer des choses au plus haut niveau. Il va compenser son manque d’expérience du jeu européen par son énergie, son engagement, sa détermination. Et nous sommes persuadés qu’il sera le complément parfait de David Lighty sur le poste 3. »\n\nPhoto : Anthony Polite (NCAA)
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Chris Paul investit dans le vin français
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Grand amateur de vin, le meneur des Phoenix Suns Chris Paul (37 ans) se lance dans le rosé de Provence.\n\nStar de la NBA et ami de Tony Parker – qui a récemment investi dans le vignoble – Chris Paul s’apprête à suivre le même chemin. L’international américain a investi dans un rosé de Provence, Château Saint-Maur de Cogolin. Conseillé par TP, CP3 a expliqué son choix à Var Matin. Il a misé sur un AOP Côtes de Provence, issu d’un terroir d’exception de l’appellation.\n\n« Je suis un grand amateur de vin, Donae (NDLR : Burston, entrepreneur visionnaire dont l’objectif est de faire du rosé le vin le plus vendu sur le marché US) m’a immédiatement séduit avec ses connaissances et sa volonté de vouloir démocratiser la consommation du rosé de Provence à un public plus large issu des minorités. Nous sommes tous les deux très impliqués dans cette cause qui bien entendu n’a pas lieu d’être chez les Français pour qui le rosé est une évidence, là où chez nous il peut être « intimidant », car considéré comme un produit de luxe »\n\nChris Paul, qui séjourne actuellement dans le sud de la France et va entamer sa 18e saison NBA à la rentrée, a également confié au journal local son désir de posséder un jour un équipe professionnelle de basket.\n\n« Comme Tony, j’aimerais avoir mon équipe professionnelle de basket. Avoir été huit ans président du syndicat des joueurs m’a permis d’apprendre tous les rouages du business en NBA. Je suis donc prêt. »\n\nPhoto : Chris Paul
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Coupe du monde U17 féminine : L’équipe de France surclasse le Mexique et file en quarts de finale
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Sans forcer, les partenaires de Dominique Malonga se sont qualifiées, ce mercredi, pour les quarts de finale de la Coupe du monde U17. Les Bleuettes ont facilement dominé le Mexique (86-39).\n\nFace à un adversaire qui n’avait pas remporté la moindre rencontre dans cette compétition, l’équipe de France poursuit son sans-faute. En imposant un press tout terrain d’entrée de jeu, les filles de Vincent Bourdeau ont asphyxié les Mexicaines en huitièmes. Elles avaient déjà 36 longueurs d’avance à la pause (16-52)...\n\nLe match déjà plié, les cadres ont pu souffler au retour des vestiaires. Marine Dursus, troisième meilleure marqueuse de la compétition, n’a passé que 16 minutes sur le parquet (12 points) tout comme la future partenaire d’entraînement des A, Dominique Malonga (14 points en 13 minutes). Le banc en a bien profité avec 34 points inscrits dont 12 d’Adja Kane.\n\nVendredi, les Bleuettes affronteront le vainqueur d’Égypte – Allemagne (ce mercredi à 19h30) en quarts de finale.\n\nBoxscore U17 Mexique – U17 France / Tableau\n\nPhoto : Ysaline Saulnier (FIBA)
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L’arrière US Keandre Cook rejoint l’ADA Blois
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Le scoreur américain Keandre Cook (1,96 m, 25 ans) débarque de Hongrie pour compléter la ligne arrière de l’ADA Blois.\n\nLe promu a bouclé son secteur extérieur. Après l’arrivée du meneur Jaime Smith, l’ADA a annoncé la signature de l’arrière Keandre Cook. Après avoir été formé aux Etats-Unis entre l’Université d’Odessa et celle de Missouri State, l’Américain a évolué une saison en G-League (8 minutes de moyenne) avant de débarquer cette saison en Europe.\n\nLe natif de Baltimore tournait avec le club hongrois de Szedeak – où il faisait équipe avec le néo-Chalonnais Tayler Persons – à 15,7 points à 47,0 % aux tirs dont 41,3 % à 3-points et 4,5 rebonds en 29 minutes. Il a été choisi par le staff blésois pour ses qualités athlétiques, d’adresse, d’agressivité et de polyvalence.\n\nJulien Monclar, manager de Blois : « Keandre a toutes les qualités que nous recherchions sur le poste, il peut être efficace offensivement sur plusieurs registres avec notamment des pourcentages intéressants. Défensivement, nous attendons qu’il s’oppose sur trois postes. Ses qualités sont évidemment très complémentaires de celles de Tim (Vergiat) ».\n\nL’effectif prévisionnel de l’ADA Blois version 2022-2023 : Thomas Cornely, Jaime Smith, Timothé Vergiat, Keandre Cook, Paul Rigot, Mbaye Ndiaye, Tyren Johnson, Brice Dessert\n\nPhoto : Keandre Cook (NCAA)
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Le coach Tiago Splitter mène les U23 du Brésil à l’or
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Tiago Splitter se fait un nom en tant que coach. L’ancien international brésilien et NBAer a mené l’équipe nationale U23 du Brésil au titre au Globl Jam Tournament de Toronto.\n\nL’équipe de France féminine U23 a échoué en finale du Global Jam Tournament face au Canada. Dans le tournoi masculin, ce sont les Brésiliens qui se sont frayés un chemin vers le titre face à Baylor, qui représentait les Etats-Unis. Yago Dos Santos (30 points, 11 passes décisives) a été nommé MVP du tournoi après la victoire.\n\nUne performance à noter, d’autant que c’est l’ancien international Tiago Splitter qui était à la baguette. A 37 ans, il se murmure que le Brésilien pourrait revenir sur la scène internationale ou européenne en tant que coach. Lui qui s’est fait un nom à Vitoria avant de devenir champion NBA avec les Spurs en 2014 puis assistant coach à Brooklyn depuis 2019.\n\nPhoto : Tiago Splitter
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Joel Embiid a obtenu la nationalité française !
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Alors qu’il avait entamé des démarches depuis plusieurs mois, le pivot camerounais Joel Embiid a bien obtenu la nationalité française.\n\nLe passeport est en poche. Le 5 juillet dernier, à l’occasion de la publication de deux décrets validés le 4 juillet, le pivot des Philadelphia Sixers Joel Embiid a été naturalisé français. L’information était passée totalement inaperçue, dans les annexes du journal officiel de la République Française, mais elle est désormais officielle.\n\nLa nécessité ou non de sélectionner le pivot (2,13 m, 28 ans) en équipe de France pour les prochaines grandes échéances internationales (Coupe du monde 2023 et Jeux Olympiques de Paris 2024) reste à débattre mais la star NBA ne fera quoi qu’il arrive pas partie de l’équipe composée par Vincent Collet pour l’EuroBasket (1er-18 septembre).\n\nL’entourage du joueurs avait fait savoir il y a quelques semaines que la procédure avait été engagée à la demande de la fédération française. Il n’y a en tout cas plus d’obstacle légal à son arrivée en équipe de France.\n\nPhoto : Joel Embiid
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L’ailier fort américain Markis McDuffie renforce la JDA Dijon
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La JDA Bourgogne Dijon mise sur l’ailier fort Markis McDuffie (2,03 m, 24 ans) afin de remplacer Rashard Kelly.\n\nÀ Dijon, Markis McDuffie va découvrir la coupe d’Europe. L’ailier-fort américain arrive en Bourgogne après trois saisons en Europe. Il avait découvert le championnat hongrois avec l’Alba Fehervar à sa sortie de Wichita State en 2019, avant de terminer dans le meilleur cinq de deuxième division italienne à Piacenza (20,4 points, 6,3 rebonds).\n\nCette saison, il a compilé 14,0 points et 4,9 rebonds en 28 minutes à l’étage supérieur en première division italienne, à Naples. C’est le troisième joueur à rejoindre la JDA pour la saison prochaine après les signatures de Jonathan Rousselle et Gregor Hrovat.\n\nFabien Romeyer, directeur sportif de la JDA : « Après un cursus universitaire solide avec les Whichita State Shockers, une équipe qui performe aux Etats-Unis, où il a d’ailleurs côtoyé Rashard Kelly, Markis sort de trois saisons abouties en Europe. Il a dominé la seconde division italienne, en intégrant même le 5 majeur du championnat, avant de rejoindre la Serie A. C’est un joueur actif défensivement, délié en attaque avec une panoplie offensive large. Il est dangereux sur le tir extérieur et a une faculté de percussion. Markis nous offre aussi la possibilité de le décaler par séquence au poste 3 selon les rencontres. »\n\nPhoto : Markis McDuffie (NCAA)
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Les droits NBA de Vasilije Micic bientôt transférés ?
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Véritable star de l’Euroleague, le Serbe Vasilije Micic suscite l’intérêt de nombre de franchises NBA.\n\nPrincipal artisan du doublé de l’Anadolu Efes en Euroleague, MVP du dernier Final Four, Vasilije Micic est logiquement courtisé aux Etats-Unis. Selon Adrian Wojnarowski d’ESPN, plusieurs équipes travaillent actuellement à récupérer ses droits NBA, qui appartiennent au Oklahoma City Thunder. Une franchise qui ne compte pas sur le combo-guard serbe pour reconstruire.\n\n« Je pense toujours à la NBA, cette saison je me sens plus prêt à y aller, si ça arrive ça arrivera », a déclaré l’intéressé cette semaine, quand bien même il lui reste une saison sous contrat en Turquie. Vasa Micic tournait à 18,2 points, 4,6 passes décisives, 2,7 rebonds et 17,5 d’évaluation en 34 matches d’Euroleague la saison dernière.\n\n\nESPN Sources: EuroLeague MVP Vasilije Micic continues to attract significant interest among several NBA teams who’d like to acquire and sign him. OKC has rights to 6-foot-5 PG, but doesn’t fit their rebuild timeline at 28. Micic would like to join NBA next season if deal’s found\n\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) July 12, 2022\n\n\nPhoto : Vasilije Micic (Euroleague)
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L’Elan Béarnais encore et toujours dans la tourmente
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Malgré la confirmation de la relégation administrative de l’Elan Béarnais ce lundi, David Otto veut de nouveau faire appel, et même porter plainte, tandis qu’un projet de reprise est encore loin d’aboutir.\n\nLundi 11 juillet, le gendarme financier de la Ligue Nationale de Basket (DNCCG) a confirmé la relégation du club hors du monde professionnel en appel. Mais CSG, le consortium américain à la tête de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, n’entend pas s’arrêter là. Il envisage non seulement de faire appel mais aussi de porter plainte contre une série de personnes et d’institutions selon eux responsables de la situation, selon France Bleu Béarn Bigorre.\n\nPour David Otto, l’un des cofondateurs de CSG, la LNB a essayé de coincer les patrons américains. « Ils ont dit qu’ils ne croyaient pas en la survie du club en l’état la saison prochaine même si nous avons apporté des preuves de notre engagement, des preuves que les fonds nécessaires sont sur nos comptes », a confié le patron américain à la radio locale, qui ne « comprend pas pourquoi il y a autant d’animosité », notamment en interne.\n\nUne allocution à laquelle le président de l’Elan David Bonnemason-Carrère a répondu sur France Bleu : « David Otto fuit ses responsabilités, il omet d’indiquer qu’il n’a respecté aucune de ses obligations vis-à-vis de la mairie, vis-à-vis de la CCLO. Il omet d’indiquer à tout le monde que c’est lui qui est à l’initiative de tout ce projet, qu’il a nommé Tom Huston directeur général avec les conséquences que l’on connaît... »\n\n\nQuid du projet de reprise ?\n\nÀ ce jour, l’hypothèse d’un dépôt de bilan ou d’une liquidation judiciaire, pour un club qui doit faire face à un déficit de 2 millions d’euros, n’est pas écartée même s’il reste la possibilité d’un appel auprès de la fédération française (FFBB). « La situation est grave et la désunion entre les acteurs est très inquiétante », a indiqué Philippe Ausseur, président de la direction nationale de conseil et du contrôle de gestion (DNCCG), à L’Equipe.\n\nLe quotidien Sud Ouest a révélé mardi l’existence d’un plan de reprise par un groupe d’investisseurs franco-luxembourgeois. Ce plan de reprise est désormais piloté par l’agglomération paloise. « L’étape qui s’ouvre maintenant est la recherche d’éventuels investisseurs. Un certain nombre d’entre eux se sont proposés mais il reste à vérifier la solidité des plans qu’ils pourraient présenter », a communiqué l’agglomération.\n\nSelon L’Equipe, des personnalités du monde économique béarnais seraient également partie prenante de ce projet de reprise actionné par le maire François Bayrou et David Bonnemason-Carrère. David Otto aurait rejeté une première offre de repreneurs potentiels. L’enjeu du club est aujourd’hui de convaincre CSG de passer la main, de redresser la situation financière et enfin de convaincre la FFBB que l’appel est solide. Le temps presse.\n\nPhoto : Elan Béarnais (Hervé Bellenger/LNB)
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Après sept saisons au Real Madrid, Trey Thompkins signe au Zénit Saint-Pétersbourg
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Le Zénit Saint-Pétersbourg a officialisé mercredi l’arrivée de l’intérieur américain Trey Thompkins (2,08 m, 32 ans).\n\nEcarté par le Real Madrid en fin de saison, comme Thomas Heurtel, après une virée nocturne, Trey Thompkins revient en Russie. Là où il avait lancé sa carrière en Europe du côté du Nizhny Novgorod en 2014. Il ne jouera pas l’Euroleague la saison prochaine mais évoluera sous les ordres de Xavi Pascual au Zénit.\n\nL’ailier fort américain tournait à 5,7 points et 2,2 rebonds en 13 minutes en Euroleague en 13 matches cette saison. Il pourrait être rejoint prochainement par... Thomas Heurtel, dont les rumeurs l’envoient également à Saint-Pétersbourg.\n\nPhoto : Trey Thompkins (Euroleague)
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Coupe du monde U17: Ces jeunes qui jouent en première division nationale, les Français au top
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La Coupe du monde U17, opposant les meilleures sélections de jeunes de tous les continents, vient de s’achever en Espagne sur la victoire des Etats-Unis, la France terminant troisième. Nés en 2005 ou 2006 pour les plus jeunes, certains joueurs ayant participé à cet événement, peu nombreux, ont toutefois déjà effectué leurs premiers pas sur un parquet professionnel de première division de leur championnat national. Voici ce contingent, dans lequel les jeunes Français se taillent la part du lion.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLa Coupe du monde U17 permet de voir en action de jeunes talents (nés en 2005 ou 2006) d’un peu partout dans le monde, de l’Argentine au Liban, du Mali à la Pologne, en passant par les usuels Espagne, Serbie, États-Unis et, bien sûr, France. Des sélections au profil parfois très varié – Canadiens et Nord-Américains, par exemple, évoluant tous dans des « high schools » (équivalent de nos lycées) alors que d’autres, Australiens ou une partie des sélectionnés tricolores, jouent dans un institut national de développement (le Center of Excellence pour les Kangourous, le Pôle France pour nos Bleuets). Et d’autres encore font partie du centre de formation d’un club professionnel.\n\nCe sont ces derniers qui nous intéressent ici, puisqu’ils sont les seuls à avoir pu fréquenter les matchs de leur équipe première en championnat national. Bien sûr, à 16-17 ans, sauf cas exceptionnel, ces très jeunes joueurs n’ont eu droit qu’à quelques minutes, dans des championnats de niveau très disparate : difficile de comparer le championnat national libanais ou slovène, par exemple, avec la Betclic Élite française.\n\nCela étant dit, nous avons recensé 15 joueurs participant à la Coupe du monde et ayant déjà effectué leurs débuts sur un parquet professionnel. Cela ne signifie pas forcément qu’ils sont les plus en avance sur leur âge ni qu’ils sont meilleurs que ceux qui n’ont pas encore eu cette possibilité, chacun ayant pu bénéficier d’un contexte particulier lui permettant cette opportunité. Du reste, on constatera qu’aucun des 15 joueurs recensés ici n’a terminé meilleur joueur de son équipe nationale U17. Voici donc ces chanceux, qui représentent six pays sur les 16 nations concernées par cette Coupe du monde U17.\n\n\nArgentine (11e au classement final, 3 victoires – 4 défaites)\n\nDans ce grand pays d’Amérique Latine, deux natifs de 2005 ont eu l’occasion de pointer le bout de leur nez dans La Liga, la première division du championnat professionnel national. Pour une participation tout à fait anecdotique : à eux deux, ils cumulent 3 minutes sur le parquet en tout et pour tout.\n\nLeurs performances pendant cette Coupe du monde U17 ne donnent par ailleurs pas matière à s’enflammer. Même si Maximo Lomello a disposé d’un important temps de jeu, son influence a été bien moindre que celle de Lucas Giovanetti, le meilleur Argentin de cette compétition, qui joue lui à l’Estudiantes Madrid, en Espagne.\n\nJoueurAnnéeClubPosteMatchsMinutesPointsEvaluationChampionnatSantiago Bilbao2005Argentino Junin311,00,00,0WC U17614,11,73,7ChampionnatMaximo Lomello2005Atenas Cordoba412,00,00,0WC U17723,26,38,4Meilleur U17WCLucas Giovanetti2005Estudiantes Madrid3722,112,610,1\n\n\nLiban (16e, 0 v. – 7 d.)\n\nAu pays du Cèdre, la Pepsi LBL, championnat national d’un niveau très correct, trois des U17 nationaux participant à la Coupe du monde ont eu l’occasion d’entrer en jeu dans cette compétition locale. Avec notamment le dénommé Serouj Avedissian, qui a disputé 14,5 minutes de moyenne sur 17 matchs. Et Jad Tabbara est l’un des deux seuls 2006 recensés à avoir foulé, à 6 reprises, le parquet d’un match pro, pour une production intéressante sur un faible temps de jeu. Qui plus est dans le club finaliste du dernier championnat. À voir comment il évoluera dans le temps.\n\nÀ l’occasion de ce tournoi mondial, le Liban a terminé bon dernier, mais Serouj Avedissian s’est révélé comme le meilleur marqueur de son équipe, même si Karl Zamatta, plus complet, s’est distingué comme le meilleur joueur. Bryan Saleh a également eu de l’impact sur sa sélection nationale alors que Jad Tabbara s’est logiquement montré plus timide.\n\nJoueurAnnéeClubPosteMatchsMinutesPointsEvaluationChampionnatSerouj Avedissian2005Homentmen11714,51,92,4WC U17729,712,94,4ChampionnatBryan Saleh2005Sagesse364,50,8-1,7WC U17418,17,34,8ChampionnatJad Tabbara2006Al Riyadi165,83,81,5WC U17712,12,01,7Meilleur U17WCKarl Zamatta2006Zahle Xtreme Sport5728,49,112,0\n\n\nPologne (8e, 3 v. – 4 d.)\n\nUn seul membre de la sélection nationale polonaise U17 s’est déjà retrouvé sur un parquet de l’EBL, le championnat national, pour une petite minute seulement. Mais Tymoteusz Sternicki est né en 2006, il aura sans doute l’occasion de se montrer à nouveau dans son championnat. Malgré son jeune âge, l’ailier-fort a bien contribué aux bons résultats de sa sélection, au relais ou à côté de Szymon Nowicki.\n\nJoueurAnnéeClubPosteMatchsMinutesPointsEvaluationChampionnatTymoteusz Sternicki2006Gdinya41100WC U17616,76,28,3Meilleur U17WCSzymon Nowicki2005Gdinya4731,914,421,7\n\n\nSerbie (Ligue Adriatique) (5e, 4 v. – 3 d.)\n\nAucun grand championnat n’ouvre plus ses portes aux U21 que la Ligue Adriatique, comme nous l’avons vu dans le dossier consacré à la place de ces joueurs dans les grands championnats. Mais il s’agit souvent de joueurs nés en 2003 ou avant. Et si deux 2005 ont déjà joué dans ce championnat multi-national, un seul, Djorde Marijan Curcic (Marijan étant son second prénom, permettant de le différencier d’un homonyme évoluant dans le même club) a disposé d’un peu de temps de jeu dans cette difficile compétition, avec des statistiques très intéressantes pour son âge.\n\nLors de la Coupe du monde U17, Djordje Curcic a fait partie des éléments majeurs d’une sélection serbe de très bon niveau, qui n’a été stoppée dans son ascension que par les futurs vainqueurs américains. Si Curcic a été plutôt bon, le meilleur Serbe a été Ognjen Stankovic, un « enfant » du Partizan Belgrade.\n\nJoueurAnnéeClubPosteMatchsMinutesPointsEvaluationChampionnat (Ligue Adriatique)Djordje Curcic M.2005Borac257,03,82,2WC U17723,38,17,1Meilleur U17WCOgnjen Stankovic2005Partizan Belgrade2725,511,715,7\n\n\nSlovénie (7e, 4 v. – 3 d.)\n\nLa Liga Nova KBM, le championnat national slovène, n’est pas la compétition la plus cotée du continent – une sorte de D2 de la Ligue Adriatique. Mais elle permet à plusieurs très jeunes joueurs de trouver un terrain d’expression dans un environnement professionnel. Les quatre joueurs de 2005 à avoir pu entrer sur le parquet évoluent dans des clubs de deuxième partie de tableau. Et Filip Pirs a eu la possibilité de passer plus de 10 minutes par match sur 14 rencontres de la Liga Nova KBM.\n\nÀ l’occasion du tournoi mondial de leur catégorie d’âge, trois de ces joueurs – Filip Pirs, Nik Urbanija et Blaz Tratar – ont bénéficié d’un gros temps de jeu, bien utilisé au vu de leurs statistiques. Ils ont ainsi bien épaulé la pépite Jan Vide, meilleur marqueur de la compétition mais sélectionnant bien mal ses tirs (29,3 % aux tirs dont 26,9 % à trois-points, avec 23,9 tirs par match !).\n\nJoueurAnnéeClubPosteMatchsMinutesPointsEvaluationChampionnatFilip Pirs2005Zlatorog Lasko11410,51,30,1WC U17726,64,98,7ChampionnatNik Urbanija2005Zlatorog Lasko313,03,03,0WC U17717,08,96,0ChampionnatBlaz Tratar2005Zlatorog Lasko539,70,72,0WC U17724,04,09,3ChampionnatVid Borisek2005Hopsi Polzela253,60,80,4WC U1757,44,04,4Meilleur U17WCJan Vide2005Real Madrid1731,120,19,3\n\n\nFrance (3e, 6 v. – 1 d.)\n\nLa Betclic Élite française est le plus fort championnat représenté ici. Et c’est dans notre championnat national que l’on retrouve le plus grand nombre de U17 ayant déjà joué en pro (à égalité avec le championnat slovène, bien plus faible). Aucun d’eux n’a disputé plus de 8 recontres et un seul (Illian Pietrus) a évolué plus de 7 minutes par match. Et la production de ces quatre joueurs reste très limitée.\n\nMais cette « bande des quatre » se montre très prometteuse, avec notamment un Zaccharie Risacher qui a également eu la possibilité d’entre en jeu en Euroleague. À 16 ans, il y est même le 2005 à avoir eu le plus de temps de jeu (9,2 minutes sur 3 rencontres). Et les quatre semblent destinés à un avenir brillant.\n\nMembres majeurs de l’équipe de France U17, les quatre ont bénéficié d’un gros temps de jeu et présentent de belles statistiques, même si Pacôme Dadiet, blessé, n’a pas eu le rendement que l’on attendait de lui. S’ils ont largement contribué aux belles performances françaises, nos quatre mousquetaires ont été surpassés au niveau statistique par la belle surprise Ilane Fibleuil. Enfin, il est à noter que Zaccharie Risacher et Illan Pietrus affichent les deux meilleures évaluations des joueurs analysés ici pendant cette Coupe du monde.\n\nJoueurAnnéeClubPosteMatchsMinutesPointsEvaluationChampionnatZaccharie Risacher2005Asvel322,42,02,5WC U17720,810,414,9ChampionnatPâcome Dadiet2005Paris186,90,50,6WC U17514,34,84,4ChampionnatMohamed Diawara2005Paris323,60,0-1,5WC U17720,64,35,3ChampionnatIllan Pietrus2005Strasbourg167,41,01,0WC U17721,410,911,4Meilleur U17WCIlane Fibleuil2005Pôle France2719,712,615,4\n\n[armelse]\n\nLa Coupe du monde U17 permet de voir en action de jeunes talents (nés en 2005 ou 2006) d’un peu partout dans le monde, de l’Argentine au Liban, du Mali à la Pologne, en passant par les usuels Espagne, Serbie, États-Unis et, bien sûr, France. Des sélections au profil parfois très varié – Canadiens et Nord-Américains, par exemple, évoluant tous dans des « high schools » (équivalent de nos lycées) alors que d’autres, Australiens ou une partie des sélectionnés tricolores, jouent dans un institut national de développement (le Center of Excellence pour les Kangourous, le Pôle France pour nos Bleuets). Et d’autres encore font partie du centre de formation d’un club professionnel.\n\nCe sont ces derniers qui nous intéressent ici, puisqu’ils sont les seuls à avoir pu fréquenter les matchs de leur équipe première en championnat national. Bien sûr, à 16-17 ans, sauf cas exceptionnel, ces très jeunes joueurs n’ont eu droit qu’à quelques minutes, dans des championnats de niveau très disparate : difficile de comparer le championnat national libanais ou slovène, par exemple, avec la Betclic Élite française.\n\nCela étant dit, nous avons recensé 15 joueurs participant à la Coupe du monde et ayant déjà effectué leurs débuts sur un parquet professionnel. Cela ne signifie pas forcément qu’ils sont les plus en avance sur leur âge ni qu’ils sont meilleurs que ceux qui n’ont pas encore eu cette possibilité, chacun ayant pu bénéficier d’un contexte particulier lui permettant cette opportunité. Du reste, on constatera qu’aucun des 15 joueurs recensés ici n’a terminé meilleur joueur de son équipe nationale U17. Voici donc ces chanceux, qui représentent six pays sur les 16 nations concernées par cette Coupe du monde U17.\n\n\nArgentine (11e au classement final, 3 victoires – 4 défaites)\n\nDans ce grand pays d’Amérique Latine, deux natifs de 2005 ont eu l’occasion de pointer le bout de leur nez dans La Liga, la première division du championnat professionnel national. Pour une participation tout à fait anecdotique : à eux deux, ils cumulent 3 minutes sur le parquet en tout et pour tout.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Djorde Curcic (Serbie)/Zaccharie Risacher (France)/Filip Pirs (Slovénie) – FIBA
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JO de Paris 2024 : La phase préliminaire du tournoi de basket se jouera à Lille
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Le conseil d’administration de Paris 2024 a pris ce mardi la décision de faire jouer la phase préliminaire du Tournoi de basket-ball au Stade Pierre-Mauroy de Villeneuve d’Ascq, dans la proche banlieue de Lille.\n\n« Le conseil d’administration de Paris 2024 a approuvé les solutions identifiées, et donné mandat à Paris 2024 de poursuivre les travaux avec les acteurs concernés avant leur présentation officielle au CIO et à l’IPC pour validation définitive », est-il indiqué dans un communiqué, qui poursuit : « La phase préliminaire de basket (trois matches par équipe) se déroulant à Lille, la phase préliminaire des épreuves de Handball pourra être disputée dans le Hall 6 du Parc des Expositions de la Porte Versailles, offrant la possibilité aux handballeurs d’évoluer à Paris. À partir des quarts de finale les tournois de Basketball auront lieu à l’AccorArena de Bercy en plein cœur de Paris. Et encore : «Le CIO se prononcera sur la validation définitive de ces sites, en particulier, lorsque l’ensemble des études techniques permettront de valider la conformité du stade Pierre-Mauroy au cahier des charges établi par la Fiba».\n\nLe Stade Pierre-Mauroy avait permis d’organiser l’EuroBasket 2015 et de battre à cette occasion un record d’Europe pou un match indoor avec 27 372 spectateurs pour la finale.\n\nAlors que les organisateurs ont voulu faire, dans un premier temps, de l’indigne Hall 6 de la Porte de Versailles le cadre du tournoi de basket olympique, il s’agit donc d’une solution de replis qui fait constater que Paris n’avait pas les infrastructures nécessaires pour organiser les Jeux Olympiques.
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EuroBasket U20 féminin : les Françaises en quarts de finale
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En battant la Suède (73-57), l’équipe de France U20 féminines s’est qualifiée pour les quarts-de-finale de l’EuroBasket.\n\nAlors que la France avaient échoué face à la Hongrie et République Tchèque et que la Suède avait gagné 2 de ses 3 matchs de phase de groupe, les filles de Jérôme Fournier ont su passer la vitesse supérieure dans ce match couperet. C’est dans le troisième quart-temps qu’elles ont pris le large (49-37, 26e).\n\nPreuve de son impact dans le jeu, la MVP Espoirs de la Ligue Féminine, Pauline Astier a frôlé le triple double avec 9 points, 10 rebonds et 9 passes, laissant à Sara Roumy le privilège d’être la meilleure marqueuse de l’équipe avec 13 points. Collectivement, les Bleuettes ont ultra dominé au rebond avec 51 prises à 31.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto :
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Equipe de France Féminine : 22 joueuses en préparation à la Coupe du Monde
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La fédération a publié une liste de 22 joueuses dans le cadre de la préparation à la Coupe du Monde, qui va se tenir à Sydney, en Australie, du 22 septembre au 1er octobre 2022.\n\nPour leur premier été à la tête des Bleues, Jean-Aimé Toupane et son staff ont décidé de réaliser une large revue d’effectif en composant un groupe de 22 joueuses. Parmi elles, trois joueuses participent actuellement à la saison WNBA aux États-Unis : Marine Johannes (New York Liberty), Iliana Rupert (Las Vegas Aces) et Gabby Williams (Seattle Storm). Ces trois joueuses ne seront donc pas présentes à l’INSEP (Paris) le 9 août prochain pour le début de la préparation de l’Équipe de France féminine, qu’elles rejoindront ultérieurement.\n\nD’autre part, deux jeunes joueuses sont également convoquées en tant que partenaires d’entraînement et participeront à la préparation des Bleues : Pauline Astier (1,76m, 20 ans) et Dominique Malonga (1,97m, 16 ans).\n\nVis à vis des Jeux Olympiques de Tokyo, Alix Duchet, Endy Miyem, qui relèvent de blessures, Valériane Vukosavljevic, qui est en période post maternité, et Diandra Tchatchouang, qui a pris sa retraite, ne figurent pas dans cette liste.\n\nLe Groupe France :\n\nPrénomNomNaissanceTaillePosteSélPtsClub 2021 / 2022MarièmeBADIANE24/11/19941,904-53481LDLC ASVEL FémininOrnellaBANKOLE17/09/19971,8131310Roche VendéeLisaBERKANI19/05/19971,761-287Flammes CaroloAlexiaCHARTEREAU05/09/19981,91477532LDLC ASVEL FémininKendraCHERY16/07/20011,88334Basket LandesSaraCHEVAUGEON12/02/19931,752-31863LDLC ASVEL FémininHelenaCIAK15/12/19891,975119668LDLC ASVEL FémininOliviaEPOUPA30/04/19941,65199488BLMAMarineFAUTHOUX23/01/20011,74132101Basket LandesAbyGAYE03/02/19951,9551766Schio (Italie)SandrineGRUDA25/06/19871,974-52152784Schio (Italie)CarolineHERIAUD22/12/19961,65126Villeneuve d’AscqMarineJOHANNES*21/01/19951,772102953LDLC ASVEL FémininAssitanKONE23/04/19951,904-5––La Roche VendéeSarahMICHEL10/01/19891,802-3104457Bourges BasketMarie-EvePAGET28/11/19941,711213Basket LandesTimaPOUYE07/04/19991,751-2614Flammes CaroloIlianaRUPERT*12/07/20011,944-542138Bourges BasketJanelleSALAUN05/09/20011,884––Villeneuve d’AscqAnaTADIC21/09/19981,95520Tarbes GBMamignanTOURE19/12/19941,832-3537BLMAGabbyWILLIAMS*09/09/19961,80326242Sopron (Hongrie)\n\n*joueuses actuellement en WNBA\n\nEntraîneur : Jean-Aimé Toupane / Assistants : Cathy Melain, David Gautier, Grégory Halin\n\nPartenaires d’entraînement :\n\nPrénomNomNaissanceTaillePosteSélPtsClub 2021 / 2022PaulineASTIER15/02/20021,761-2––Bourges BasketDominiqueMALONGA16/11/20051,974-5––LDLC ASVEL Féminin\n\nPhoto : Sarah Michel (FIBA)
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Euroleague : Nikola Kalinic à Barcelone, c’est fait
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Le FC Barcelone a annoncé la finalisation d’un contrat de deux ans avec le Serbe Nikola Kalinic (2,03 m, 30 ans).\n\nNikola Kalinic sort d’une saison à l’Etoile Rouge de Belgrade à 12,6 points, 3,9 rebonds et 3,4 passes décisives en 32 matchs d’Euroleague. Il a également remporté le trophée de MVP de la Ligue serbe.\n\nA son CV figurent notamment une médaille d’argent aux JO de Rio en 2016 et une à la Coupe du Monde de 2014, ainsi qu’une Euroleague avec Fenerbahçe en 2017.\n\nPhoto : Euroleague
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L’arrière Jonah Mathews a signé à l’ASVEL
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C’est officiel, l’arrière américain en instance d’un passeport polonais, Jonah Mathews (1,91 m, 25 ans) sera villeurbannais la saison prochaine.\n\nPassé par Southern California, cet arrière solide et athlétique s’est montré impressionnant pour sa première expérience en Europe avec 21,8 points en moyenne par match avec Köping, en Suède. Il confirma ensuite, lors de l’exercice 2021-2022 avec Wloclawek, en Pologne avec 19,0 points, 3,7 rebonds et 3,9 passes pour 17,6 d’évaluation.\n\nElu dans le meilleur cinq du championnat et vainqueur de l’ENBL (European North Basketball League), cet attaquant né vient poursuivre sa progression avec LDLC ASVEL, et apporter toute son énergie en découvrant le très haut niveau de l’Euroleague. En attente d’un passeport polonais, il pourrait disputer l’EuroBasket, du 1er au 18 septembre prochain.\n\nMichel Veyronnet – Directeur Général Adjoint en charge du sportif :\n\n« Jonah nous a tapés dans l’oeil et ne demande qu’à confirmer son excellente saison en Pologne ! Il a énormément de talent offensif, est très agressif et fiable dans le tir longue distance. C’est encore un jeune joueur, mais avec un profil de développement très intéressant, qui va apporter toute son énergie au sein du groupe. »
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Serbie : Une liste de 22 noms sans Bogdan Bogdanovic pour l’EuroBasket
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L’entraîneur de l’équipe nationale serbe de basket-ball, Svetislav Pesic, a annoncé une liste de 22 joueurs pour le Championnat d’Europe. Blessé, Bogdan Bogdanović (Atlanta Hawks) n’y figure pas.\n\nLa liste : Aleksa Avramović, Nemanja Bjelica, Dejan Davidovac, Ognjen Dobrić, Marko Gudurić, Marko Jagodić Kuridža, Ognjen Jaramaz, Nikola Jokić, Nikola Jović, Nikola Kalinić, Balša Koprivica, Vladimir Lucić, Vanja Marinković, Vasilije Micić, Nikola Milutinov, Nemanja Nedović, Aleksej Pokuševski, Filip Petrusev, Dušan Ristić, Boriša Simanić, Alen Smailagić et Miloš Teodosić.\n\nAvant d’aller au Championnat d’Europe, l’équipe serbe disputera deux matches dans le cadre de la qualification pour la Coupe du Monde. Le 25 août, les « Orlovi » accueilleront la Grèce, tandis que trois jours plus tard, ils iront en Turquie.\n\nL’EuroBasket est programmé du 1er au 18 septembre, et la Serbie jouera à Prague (groupe D) contre Israël, les Pays-Bas, la Finlande, la Pologne et la République Tchèque.\n\nPhoto : Bogdan Bogdanovic (FIBA)
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Coupe du monde U17 féminines : La France poursuit son sans faute face à l’Australie
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L’équipe de France U17 termine première du groupe B suite à sa victoire mardi face à l’Australie (66-77). En huitièmes de finale, les Bluettes affronteront demain le Mexique, la dernière équipe du groupe A.\n\nAu terme d’un match rugueux, avec beaucoup d’intensité, les filles de Vincent Bourdeau ont fait le boulot. Avec ce succès, elles sont toujours invaincues après les victoires face à l’Argentine et la Slovénie.\n\nL’équipe de France s’est détachée dans le second quart-temps en infligeant un 2-12 en seulement quatre minutes (17-21, 10′ ; 19-33, 14′). Marine Dursus, meilleure marqueuse de la rencontre, a inscrit dix de ses vingt-deux points pendant ce run. La meneuse du Centre fédéral a profité de ses cinq interceptions pour marquer en contre-attaque.\n\nMais les Bleuettes se sont faites peur dans le dernier acte. Avec notamment deux tirs primés consécutifs, elles ont vu revenir les Australiennes à seulement six unités (57-63, 33′, 10-1 en trois minutes). Marine Dursus a assené le dernier coup de poignard pour sceller la victoire avec un tir longue distance à 40 secondes de la fin.\n\nÀ noter le second double-double de Dominique Malonga. L’intérieure conclue sa phase de poule avec quinze points et dix rebonds (dont six offensifs).\n\nBoxscore U17 Australie / U17 France\n\nPhoto : Jade Ferre (FIBA)
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La billetterie pour le match du Paris Basketball à Roland-Garros est ouverte
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Ce sera un évènement parisien et national. Le Paris Basketball va investir le court Philippe-Chatrier de Roland-Garros le dimanche 16 octobre à 15h. La billetterie est déjà ouverte.\n\nL’adversaire sera révélé le 18 juillet, mais on peut être sûr qu’il sera prestigieux. Le prix des places va de 12 à 60 euros.\n\nVous pouvez réserver ICI.
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Espagne : Rudy Fernandez, un an de plus au Real Madrid
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« Le Real Madrid CF et Rudy Fernández ont convenu de prolonger le contrat du joueur, qui reste lié au club jusqu’au 30 juin 2023. »\n\nC’est par ce communiqué très bref que le Real a annoncé que son icône Rudy Fernandez (1,96 m, 37 ans) va jouer les prolongations. Fernandez était arrivé dans le club de la capitale espagnole lors du lockout NBA de 2011, puis y a joué sans interruption à partir de 2012.\n\nLa saison dernière, dans le championnat national, il a tourné à 6,2 points et 2,5 rebonds, et en Euroleague à 9,4 points, 2,9 rebonds et 2,5 passes. Il devrait en principe participer à l’EuroBasket en septembre.\n\nPhoto : Euroleague
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Euroleague : Milan prolonge le contrat de Gigi Datome
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Pallacanestro Olimpia Milano annonce avoir conclu un accord avec Gigi Datome (2,03 m, 34 ans) pour prolonger son contrat.\n\n« Nous avons toujours considéré Gigi comme un joueur clé pour notre équipe tant pour ce qu’il peut faire sur le terrain que pour l’exemple, le dévouement et le professionnalisme dont il fait preuve au quotidien, des qualités qui ne sont pas moins importantes. Nous sommes heureux qu’il ait décidé de rester avec nous », a déclaré le directeur général d’Olimpia, Christos Stavropoulos. « Je suis heureux de poursuivre mon expérience à Olimpia Milano, a répondu le joueur. J’ai l’envie et l’ambition de faire de mieux en mieux dans un club qui a de grandes ambitions, et je suis heureux de le faire avec une équipe qui a fait ses preuves. En même temps je suis très curieux de connaître les camarades qui vont nous rejoindre pour nous aider à atteindre d’autres objectifs ».\n\nEn deux ans à Milan, Datome a aidé l’équipe à remporter un Scudetto, une Super Coupe et deux Coupes d’Italie, en étant le MVP 2021 de la compétition. De plus, il a contribué à la qualification pour le Final Four de l’Euroleague de 2021.\n\nLa saison dernière, Datome s’est fendu de 7,0 points (39% de réussite à trois-points), et 1,4 rebond en 26 matches d’Euroleague.
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L’international italien Alessandro Gentile se blesse en chutant d’un balcon
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En vacances à Palma de Majorque, aux Baléares, l’international italien Alessandro Gentile, 30 ans, est tombé d’un balcon d’une villa de location. Plus de peur que de mal.\n\nLe nouveau joueur de Brindisi, au parcours tumultueux depuis qu’il a quitté Milan -7 clubs dont 2 fois Estudiantes Madrid depuis 2017-, est tombé sur le dos d’une hauteur de quatre mètres. Il a été immédiatement transporté par hélicoptère à l’hôpital de Palma de Majorque. Une rumeur a couru que son état était très grave, mais Alessandro Gentile s’est montré depuis rassurant sur les réseaux sociaux.\n\n« Je viendrai en Italie pour me faire soigner. Je remercie tous ceux qui ont eu une pensée ou un message pour moi et je suis désolé que vous vous soyez inquiétés », a posté le joueur sur son compte Instagram.\n\nSelon la Gazzetta dello sport, Gentile a subi des fractures aux vertèbres, c’est pourquoi il sera transporté à Naples ce matin où il devra subir une intervention chirurgicale. Il va avoir besoin d’une période de convalescence, mais la suite de sa carrière ne semble pas en danger.
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Un pool de fonds franco-luxembourgeois serait intéressé par la reprise de l’Elan Béarnais
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Selon les informations de Sud Ouest, un pool de fonds franco-luxembourgeois est intéressé pour la reprise de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, qui vient d’être recalé en appel par le Conseil Supérieur de Gestion.\n\nCe pool de fonds franco-luxembourgeois est en contact avec David Otto pour racheter les parts de Counterpointe Sport Group.\n\n« Ce pool serait piloté par Sylvain Bonnet, un industriel messin, PDG de la société NL international, et conseillé par l’ancien secrétaire d’État aux sports, Thierry Braillard, qui est déjà intervenu dans le dossier de rachat des Girondins de Bordeaux, en 2018, et qui est également consultant pour le FC Nantes, » indique le quotidien.\n\nLa reprise peut-elle se faire à temps pour éviter une rétrogradation ? Le club béarnais devra t-il repartir en Nationale 1 ? A prévoir de nombreux rebondissements dans ce (triste) feuilleton de l’été.\n\nPhoto : FFBB
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Espagne : 2 000 abonnements en 5 jours à Grenade
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Promu en Liga Endesa, Covirán Granada a dépassé les deux mille abonnés au cours des cinq premiers jours de la campagne d’adhésion.\n\nGrenade est une ville de 230 000 habitants situé en Andalousie, et Covirán est un club champignon puisqu’il a connu quatre montées en dix ans. Les renouvellements des abonnements des fidèles de la saison dernière ont atteint 45% du nombre total de cartes vendues, tandis que les nouveaux fans qui ont acquis leur abonnement cette saison représentent les 55% restants.\n\n« La réponse des fans a été spectaculaire. Atteindre le chiffre de 2 000 abonnés en seulement 5 jours avec un week-end entre les deux est impressionnant. Grenade montre qu’elle mérite d’être dans la ligue Endesa et qu’elle veut vivre une saison historique pour la ville. Nous sommes très contents de ces premiers jours de campagne, puisque nous avons largement dépassé les prévisions que nous avions faites », a commenté le président de la Fondation CB Granada, Óscar Fernández-Arenas.
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Monaco Matin fait sa Une sur Michael Jordan
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Pourquoi le quotidien Monaco Matin fait-il sa Une sur Michael Jordan ? C’est qu’il y a trente ans, la Dream Team était en Principauté, et celle-ci était composée des plus grandes superstars du basket, de Magic Johnson à Larry Bird, en passant par Charles Barkley et Pat Ewing, et donc Michael Jordan.\n\nAvant d’aller aux Jeux Olympiques de Barcelone, les Américains étaient descendus au Loews, un hôtel cinq étoiles, s’étaient entraînés à Gaston-Médecin, avaient été reçus par le Prince Rainier, jouer le 22 juillet un scrimmage contre la France, et un match beaucoup plus acharné entre-eux, au golf, au casino, et passé du bon temps en famille.\n\nA propos de golf, Monaco Matin avait fait témoigner il y a peu, Frédéric Ruffier-Meray, professionnel du MCGC depuis 1987.\n\n« En fait, Michael était venu jouer pour la première fois en 1990 alors qu’il était invité par le groupe d’hôtel Loews », se souvient Ruffier-Meray. « Je le vois arriver et il me demande s’il peut jouer avec moi. On a passé un excellent moment. Évidemment, je l’avais reconnu mais je ne l’avais pas attaqué sur le sujet. Il frappait fort mais n’était pas très précis, il venait de débuter. On a joué 3 ou 4 fois ensemble après ça dans la semaine. Il était doué, il avait un bon geste puisqu’il s’appuyait sur la technique du baseball qu’il avait pratiqué petit. D’ailleurs avec ses grandes mains, le grip de ses clubs était de la taille d’un manche de pioche. C’était impressionnant. Michael était un parieur alors il avait tenu à pimenter un peu nos parties. Rien de bien méchant. Malheureusement pour lui, il ne m’a jamais battu et a dû perdre à l’époque une poignée de dollars. Mais je dois reconnaître qu’en 1992, quand il est revenu, il m’avait un peu accroché. Clairement, il ne venait pas pour perdre. C’était un athlète impressionnant, cool, à l’américaine, qui envoyait déjà la balle à 300 m. On avait joué les 18 trous en 2h30 (3h30 en moyenne) tellement il marchait vite. Il faisait un pas, j’en faisais quatre ».
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Euroleague : Le Belge Ismaël Bako attendu à la Virtus Bologne
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Ce n’est pas encore officiel, mais selon Eurohoops, l’intérieur belge Ismaël Bako (2,08 m, 26 ans) sera la saison prochaine à la Virtus Bologne, vainqueur de l’Eurocup et ainsi de retour en Euroleague.\n\nAprès son passage à l’ASVEL en 2020-21, le Belge avait rejoint l’Espagne et Manresa avec qui il a obtenu 8,7 points, 6,1 rebonds et 1,1 passe en Basketball Champions League alors que son équipe se qualifiait pour la finale.\n\nPhoto : BCL