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user	Pro B : Le meneur Kyan Anderson (ex-Pau) rejoint l’Alliance Sport Alsace
assistant	Le meneur Kyan Anderson (1,80m, 30 ans) arrive à l’ASA en provenance d’Heidelberg, club de première division allemande.\n\nAprès avoir démarré sa carrière en Belgique, à Alost, puis fait un passage d’une saison à Bayreuth en Allemagne, Kyan Anderson a foulé les parquets français. C’était en 2017-2018 du côté de Pau-Lacq-Orthez en Pro A. Il avait réalisé une saison en sortie de banc à 8,5 points et 3,8 passes en 20 minutes.\n\nIl est retourné ensuite en Allemagne, pays ou il a effectué trois saisons sur ses quatre dernières (successivement, Bayreuth à nouveau, puis Gottingen, Giessen et Heidelberg). Le meneur US a fait une halte en Hongrie en 2020-2021 pour y jouer la Basketball Champions League, compétition où il avait brillé (14 points, 6,4 passes pour 15,8 d’évaluation).
user	Pro B : Wayne Martin, un ailier-fort à Quimper
assistant	Les Béliers de Kemper annoncent la signature du poste 4 américano-jamaïcain Wayne Martin (2,01 m, 29 ans) pour la saison 2022-2023.\n\nSorti de Tennessee State en 2017, celui-ci a lancé sa carrière en Europe au Kosovo lors de la saison 2017-2018 avant de signer en Janvier 2018 à Chypre. Il a joué ensuite au Royaume-Uni, en Islande, en Suède, en Finlande et en Hongrie. Il a aussi vécu deux expériences sur le continent asiatique en Mongolie et au Vietnam.\n\nIl arrive à Quimper après une saison en Hongrie où il a brillé sous les couleurs de Kaposvari KK. Il tournait à des moyennes de 18,8 points, 8,5 rebonds pour 19,7 d’évaluation. Le 5 Février, face à l’équipe de Nyiregyhaza, il a inscrit 41 points tout en prenant 12 rebonds pour une évaluation de 46 (record en carrière).\n\nClubs précédents\n2012-2014 : St Francis Prep\n\n2014-2015 : Navarro College (JUCO)\n\n2015-2017 : Tennessee State University (NCAA)\n\n2017-2018 : Sigal Prishtina (Kosovo – Superleague) puis Etha Engomis Nicosia (Chypre – D1)\n\n2018-2019 : Leicester Riders (Royaume Uni – BBL) puis Darkhan Garid (Mongolie)\n\n2019 : Hochiminh City Wings (Vietnam – VBA)\n\n2019-2020 : UMFN Njardvik (Islande – Dominos League) puis KFUM Jamtland Basket (Suède – Basketligan)\n\n2020-2021 : Helsinki Seagulls (Finlande – Korisliiga)\n\n2021-2022 : Kaposvari KK (Hongrie – A League)\n\nPalmarès\n\n2017 : All-OVC (Ohio Valley Conference) Second Team\n\n2018 : Finaliste de la coupe de Chypre\n\n2021 : Vainqueur de la coupe de Finlande
user	Coupe du monde U17 féminine : Les Bleuettes entrent en piste aujourd’hui avec un objectif de podium
assistant	L’Équipe de France U17 se lance ce samedi dans la Coupe du Monde de sa catégorie à Debrecen avec des ambitions de podium.\n\nPour faire aussi bien qu’en 2018 où elle avait échoué en finale face aux Etats-Unis, l’équipe de France peut compter sur Dominique Malonga et son 1,97m, et encore Jade Ferré, Téa Cléante et encore Ramouna Vitta.\n\nGroupe A : Mexique , Hongrie , Belgique , Japon\nGroupe B : Australie , France , Argentine , Slovénie\nGroupe C : Egypte , Canada , Espagne , Corée\nGroupe D : Allemagne , USA , Mali , Nouvelle-Zélande\n\n\nTous les matches seront à suivre en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA.\n\n\nNOMPrénomNaiss.Taille PosteClubANGLOMANell12/06/20061822PFBB (Évreux Athletic Club)CLÉANTETéa15/04/20061761PFBB (Dunkerque-Malo BC)DJOKOLéa24/10/20051874BASKET LATTES-MONTPELLIERDURSUSMarine26/08/20051742PFBB (Strasbourg IG)FERREJade28/04/20051761CJM BOURGES BASKETKANEAdja30/03/20051904PFBB (USM Olivet)MALONGADominique16/11/20051985FC LYON ASVEL FÉMININMARCQMaëva20/08/20051975CJM BOURGES BASKETMORELFleur22/06/20051803PFBB (Champagne Basket Féminin)SAÏDRamouna06/01/20051755FC LYON ASVEL FÉMININSALAHYInès13/10/20051681PFBB (AS Horbourg-Wihr)SAULNIERYsaline24/06/20051813PFBB (Pays Voironnais Basket Club)\n\n\nEntraîneur : Vincent Bourdeau\nAssistants : Alan Brun, Romain Leroy, Julie Masson\nPréparateur physique : Johann Ziolkowski\nMédecin : Moussa Mohsen\nKinésithérapeute : Cécile Monet\n\n\n\nPréparation\n3 juillet : France – États-Unis (55-69)\n4 juillet : Espagne – France (52-51)\n5 juillet : France – Australie (53-35)\n\nCoupe du Monde U17 (Debrecen, 9-17 juillet 2022)\n9 juillet : Phase de poule – France-Argentine (14h30)\n10 juillet : Phase de poule – France-Canada (15h00)\n12 juillet : Phase de poule – France- Australie (12h30)\n13 juillet : Huitièmes de finale\n15 juillet : Quarts de finale\n16 juillet : Demi-finales\n17 juillet : Finale
user	Espagne : Rudy Fernandez contre la naturalisation de Lorenzo Brown
assistant	La naturalisation de Lorenzo Brown (1,96 m, 31 ans) et son incorporation dans l’équipe nationale pour l’EuroBasket 2022 continue de faire des vagues en Espagne. C’est le vétéran du Real Madrid Rudy Fernandez qui est notamment monté au créneau sur le sujet.\n\n« Je l’ai déjà dit au président (de la Fédération, Jorge Garbajosa), en tant que capitaine j’ai dû donner mon avis. Ça ne m’a pas l’air bon. J’ai appris par la presse qu’ils avaient naturalisé ce joueur, qui n’avait aucun lien avec le pays, et il m’expliqué cela, » a commenté le joueur du Real. « J’avais la référence d’avoir joué avec (Nikola) Mirotic et avec (Serge) Ibaka. Ce sont des joueurs étrangers, mais ils ont été formés dans une académie espagnole de jeunes depuis leur plus jeune âge et en ce sens, ils avaient un lien spécial avec notre pays. »\n\nIl a ajouté :\n\n« Si (Lorenzo Brown) est là, il faut essayer de l’aider au maximum car au final il nous aidera aussi à concourir. Mais il y a beaucoup de joueurs espagnols qui ont mérité d’être dans cette position (meneur de jeu de l’équipe nationale) et à la fin, peut-être qu’ils n’auront pas la reconnaissance qu’ils méritent du fait d’avoir signé ce joueur. »\n\nPhoto : Euroleague
user	Euroleague : Vlada Jovanovic est le nouvel entraîneur de l’Etoile Rouge de Belgrade
assistant	C’est Vlada Jovanovic, 38 ans, qui a été choisi comme successeur de Dejan Radonjic, parti au Panathinaikos, comme coach de l’Etoile Rouge de Belgrade avec un contrat de trois ans.\n\nAprès avoir travaillé avec des équipes de jeunes entre 2012 et 2017, il a été coach au FMP Belgrade, puis au Cibona Zagreb jusqu’en 2021-22. Il fut ainsi le premier coach serbe sur le banc d’une équipe croate depuis l’éclatement de la Yougoslavie. Il a été coach adjoint en équipe nationale serbe, et il est également l’actuel entraîneur de l’équipe de Serbie U20.
user	Euro U20 féminin : Les Françaises entament parfaitement la compétition face aux Pays-Bas
assistant	À Sopron, pour son premier match de poule, l’équipe de France U20 a facilement battu ce vendredi les Pays-Bas (72-49). Prochain match demain face à la République tchèque (19h45).\n\nAprès dix minutes timides, les joueuses de Jérôme Fournier se sont détachées dans le second quart-temps en infligeant un 26-13 aux Néerlandaises (45-31 à la pause). Un écart maintenu puis accru en fin de la rencontre.\n\nLa capitaine Pauline Astier a réalisé un match plus que complet. La meneuse de Bourges a inscrit quatorze points (7/14 au tir) agrémentés de cinq passes et trois rebonds. Louise Bussière termine meilleure marqueuse du match avec quinze unités.\n\nBoxscore U20 France – U20 Pays-Bas\n\nPhoto : Aminata Gueye (FIBA)
user	Coupe du monde U17 : Les Bleuets écartent les Slovènes et filent en demi-finales
assistant	Les Bleuets de Bernard Faure se sont défaits des Slovènes, ce vendredi, en quarts de finale de la Coupe du monde U17, à Malaga. Une victoire acquise dans la douleur malgré le large score final (83-63). Les partenaires d’Illan Pietrus affronteront samedi, en demi-finale, l’Espagne ou l’Australie.\n\nLes Français ont pourtant pris leurs distances dès le premier quart-temps. Emmenés par Zacharie Risacher déjà à sept points, ils ont mené par douze unités après 10 minutes (26-14). Mais à l’image du jeune espoir de l’ASVEL, bloqué par les fautes, ses partenaires s’enrayaient et voyaient les Slovènes revenir juste avant la mi-temps (35-33), avec une insolente adresse derrière l’arc (8/12).\n\n\nLa différence dans le quatrième quart\n\nTendus jusqu’aux dix dernières minutes, les Bleuets ont fait la différence en fin de rencontre (26-12 dans le denier quart-temps). Le trio Zacharie Risacher (16 points, un 6/6 parfait au tir, 27 d’évaluation), Alexandre Sarr (13 points, 4 contres) et Ilane Fibleuil (douze points) a écoeuré les Slovènes qui n’ont inscrit qu’un seul tir primé en seconde période.\n\nBoxscore U17 France – U17 Slovénie\n\nPhoto : Illan Pietrus (FIBA)
user	Quai 54 : Luka Doncic et la Slovénie, Dennis Schröder, Walter Tavares, une demi-douzaine d’internationaux français...
assistant	En bas de la Tour Eiffel va se tenir samedi 9 et dimanche 10 juillet, le Quai 54, le plus grand tournoi de streetball au monde. On y annonce un plateau exceptionnel. Voyez plutôt.\n\nTêtes d’affiche, les Slovènes Luka Doncic et Goran Dragic, leaders de l’équipe de Slovénie, et aussi l’Allemand Dennis Schröder, le géant du Real Madrid, Walter Tavares, Zion Williamson des New Orleans Pelicans, et encore les internationaux David Michineau, Jerry Boutsiele, Yakuba Ouattara, Mathias Lessort, Axel Toupane, etc.\n\n\nDennis Schröder au Quai 54 ! ⭐️\n\nLe joueur #NBA, rejoint l’équipe mythique de Der Stamm 🇩🇪 pour tenter de faire gagner l’équipe allemande. @quai54wsc pic.twitter.com/0hatQynqMx\n\n— Lukas Nicot (@LukasNicot) July 8, 2022\n\n\n\nParis accueille @luka7doncic 🇫🇷\n\nLa superstar des @dallasmavs sera présente dans la capitale jusqu’à dimanche ✅ pic.twitter.com/MFZQjufmTZ\n\n— Lukas Nicot (@LukasNicot) July 8, 2022\n\n\n\n\n\nLE PLUS GRAND TOURNOI\nDE STREETBALL AU MONDE\n\n16 ÉQUIPES D’ÉLITE\n10 NATIONS REPRÉSENTÉES\n160 JOUEURS PRO & AMATEURS\n15 MATCHS DE HAUT NIVEAU\n1 TITRE SUPRÊME\n\n\nLE TOURNOI FÉMININ\n\n8 ÉQUIPES D’ÉLITE\n80 JOUEUSES PRO & AMATEURS\n6 MATCHS DE HAUT NIVEAU\n1 TITRE SUPRÊME\n\n\nUN DUNK CONTEST\nDE HAUTE VOLTIGE\nSAMEDI 9 JUILLET\n\nAVEC 4 DES MEILLEURS DUNKERS AU MONDE\n\n1 CONCERT DE CLÔTURE PAR JOUR\n15 SPECTACLES & ANIMATIONS ENTRE LES MATCHS\n10 DJ’S AUX PLATINES\n\nPhoto : Dennis Schroder (FIBA)
user	L’ailier-fort Vince Edwards en renfort à Gravelines
assistant	Le BCM Gravelines-Dunkerque engage Vince Edwards (2,03 m, 26 ans), qui est le fils de Bill Edwards, qui fut le meilleur étranger de Pro A en 2001 avec Lyon-Villeurbanne.\n\nFormé à l’université de Purdue, 52e choix de la draft NBA en 2018, Vince Edwards a joué 2 matches avec les Houston Rockets et fait quatre saisons en G-League. La saison dernière, avec les Iowa Wolves, il s’est fendu de 15,1 points, 6,2 rebonds et 2,9 passes.\n\n« Vince Edwards est un profil qu’on recherchait avec JD Jackson et le staff, commente le Directeur Sportif Olivier Bourgain. « A savoir un poste 4 avec un tir fiable, avec des pourcentages, mais aussi un joueur complet avec une vraie qualité de passe. Il met des points, prend des rebonds, quasiment 6 en G-League ce qui est très bien, et surtout il démontre une vraie intelligence de jeu. Ça va être sa première expérience européenne après 4 saisons en G-League. Il va découvrir un Championnat où son père a brillé en étant Champion avec l’ASVEL en 2001, c’est un clin d’œil sympa et qui sait, ça laisse peut-être présager de belles choses ».
user	Johanne Gomis nouvelle directrice sportive du centre de formation de l’ASVEL féminin
assistant	A 36 ans, tout juste retraitée des parquets, Johanne Gomis a décidé de commencer une nouvelle aventure.\n\nL’ancienne internationale, triple championne de France (2004, 2005 et 2017) vainqueur l’Euroleague avec Valenciennes en 2004 et de l’Eurocup en 2015 avec Villeneuve d’Ascq se lance ainsi dans un nouveau défi et apportera toute son expérience et ses qualités humaines au club lyonnais, en étant sa Directrice sportive du Centre de formation.\n\n« Forte de son expertise du basket féminin avec plus de vingt ans sur les parquets professionnels, elle sera notre référente en matière de formation. Johanne sera en charge du développement des équipes U18 Elite et Espoirs/NF1, des contacts avec l’équipe professionnelle et du développement du Centre de Formation avec la captation de talents à l’étranger. Elle représentera le club et le basket féminin pour et au sein de la Tony Parker Adéquat Academy, » écrit le club dans un communiqué.\n\nPhoto : FIBA
user	Rediff – Turquie, Euroleague, équipe de France... Le grand entretien avec Rodrigue Beaubois
assistant	Double champion d’Euroleague en titre avec l’Anadolu Efes, Rodrigue Beaubois s’est confié en cours de saison à Basket Europe sur sa carrière, son titre NBA, sa première épopée en Euroleague, sa vie en Turquie, ses occasions manquées avec l’équipe de France, son éventuel retour en France d’ici à la fin de sa carrière... Entretien.\n\nDurant l’été, la rédaction de Basket Europe vous propose de relire une sélection de quelques uns de nos articles premium. Pour les lire, mais aussi découvrir plus de 2 000 autres contenus de qualité (guide de la saison, dossier salaires, interviews, analyses, séries et dossiers), abonnez-vous !\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nConsidéré pour nombre d’observateurs comme le meilleur joueur français n’ayant jamais porté le maillot de l’équipe de France, Rodrigue Beaubois (1,88 m, 34 ans) ne reste pas moins l’une des références tricolores en Europe. Après son titre NBA avec les Dallas Mavericks en 2011, le Guadeloupéen est devenu champion d’Euroleague la saison dernière avec l’Anadolu Efes Istanbul, où le meneur-arrière formé à Cholet évolue depuis 2018. Appelé par Vincent Collet en équipe de France l’été dernier, il n’avait pas rejoint le groupe pour raisons personnelles. À 34 ans, Roddy B ne ferme la porte ni à une sélection en équipe de France ni à un retour éventuel dans l’Hexagone.\n\nCela va faire quatre ans que vous êtes en Turquie. Etes-vous épanoui à Istanbul ?\n« Oui, c’est pour ça que je reste. Je me sens bien. C’est surtout grâce au collectif de l’équipe. On a eu des résultats très intéressants depuis ma première année ici. Quand ça fonctionne, tu essayes de continuer. Depuis 2018, on a réussi à garder quasiment les mêmes joueurs, c’est un groupe spécial avec qui on a réussi à gagner pas mal de titres dont le plus prestigieux, l’Euroleague. Et les fans m’ont accueilli d’une façon positive, la ville est intéressante, très riche dans tout ce qui est culture. Jusqu’à maintenant, je me sens très bien ici. »\n\nL’Efes a fait les trois meilleures affluences de la saison d’Euroleague cette année. Quelle atmosphère y a-t-il dans les salles, et quelle ferveur pour le basket en Turquie ?\n« Avant que je signe, on m’a fait comprendre que ce n’était pas trop ça, les fans, et que les salles étaient un peu vides. Quand je suis arrivé à l’Anadolu, je l’ai ressenti, il n’y avait pas beaucoup de personnes dans la salle. L’année avant mon arrivée, l’Anadolu a terminé dernier de l’Euroleague donc cela n’a pas aidé. Mais, très rapidement, ils ont senti que quelque chose de spécial se mettait en place. Match après match, on a commencé à avoir de plus en plus de fans et certains matches, c’est vraiment impressionnant. »\n\nMalgré cette ferveur récente, il reste difficile d’observer l’importance de l’Anadolu à Istanbul... Efes est sur le toit de l’Europe mais confidentiel à Istanbul ?\n« À Istanbul, il y a beaucoup de clubs de basket, les plus gros en termes de fans sont Fenerbahçe, Galatasaray, Besiktas... C’est clairement autre chose, c’est sûr. Mais j’ai pu voir l’évolution de l’engouement des fans pour l’Anadolu et c’est beau à voir. Au début, notre salle était quasiment vide, maintenant elle est remplie ! Est-ce qu’on peut se comparer aux fans de Fenerbahce, on n’en est pas encore là, mais si on peut continuer à obtenir de très bons résultats, on peut réussir à se rapprocher. On sait que ce sera très difficile parce que le Fener a une équipe de football, alors qu’Efes n’a que le basket. On voit nettement la différence avec les clubs qui ont à la fois football et basket. »\n\nContre le Fener, l’Efes reste sur 19 victoires lors des 25 dernières rencontres...\n« Il y a une rivalité car ce sont les deux clubs les plus titrés en Turquie. Quand on est arrivés (NDLR : avec les Micic et Larkin, entre autres), Fenerbahçe dominait, ils venaient de gagner leur premier titre en Euroleague en 2017. Même lors de ma première année (2018-2019), ils ont dominé la saison régulière, avec une très grosse équipe. Et cette année-là, on a réussi à les battre au Final Four de l’Euroleague en demi-finales, puis en finale du championnat turc au bout de 7 matches (4-3 pour l’Anadolu) ! À ce moment-là, il s’est passé quelque chose. Depuis ma première année, on domine Fenerbahçe dans les résultats, avec deux titres de champion sur deux possibles (pas de titre décerné en 2020 en raison du Covid) et un titre d’Euroleague. La saison d’avant mon arrivée, Efes était dernier et Fenerbahçe allait presque chaque année au Final Four avec Zeljko Obradovic aux commandes, on connaît la qualité du coach. Avoir changé la dynamique du basket en Turquie, c’est quelque chose qui fait plaisir. On a commencé à avoir le soutien des fans. Tout cela fait que c’est une expérience très positive jusqu’à maintenant ! »\n\n\n« Il fallait accepter le fait que la saison précédente était terminée »\n\nCette saison avait plutôt mal démarré sur la scène européenne, avec 2 victoires pour 6 défaites. Comment vous-êtes vous relevés de cette mauvaise entame après le titre ?\n« Il fallait réaliser et accepter le fait que la saison précédente était terminée. Le basket que l’on jouait jusque-là n’était pas bon du tout. Il a fallu se remettre en question et repartir sur quelque chose d’autre. Quand tu gagnes, tu sais que tu en es capable, mais il fallait à un moment se dire : “ok, cette année on n’est pas bien donc qu’est-ce qu’on va faire pour retrouver le basket qu’on aime pratiquer et le succès qu’on veut avoir ?”. Bon, ce n’est pas encore aussi bien que ce qu’on a fait les années précédentes mais c’est déjà mieux et on se bat pour avoir une place aux playoffs et tenter de retourner au Final Four, c’est sûr. »\n\nChampion de Turquie en 2018-19, une belle saison stoppée en 2019-20, le doublé historique championnat – EuroLeague en 2021. Vous montez en puissance avec votre effectif au fil des années... Cette saison, vous avez déjà remporté la Coupe de Turquie. Croyez-vous au triplé coupe-championnat-Euroleague ?\n« C’est difficile. Vu comme on a commencé la saison, je préfère prendre étape par étape. L’une des erreurs que l’on a peut-être fait en début de saison, c’est de surfer un peu trop sur le titre de l’année précédente. Il a fallu tourner la page et se concentrer sur la situation actuelle. On est mieux et on a remporté la coupe de Turquie, seul titre qu’il nous manquait depuis qu’on s’est réunis il y a quatre ans, depuis la construction de l’équipe. C’est très positif car on souhaitait vraiment remporter cette coupe. On a vraiment senti ça pendant les trois matches. Penser au triplé, non : la première étape c’est déjà d’accrocher une place en playoffs et après on verra. »\n\n\n« Avec Adrien (Moerman), on a la chance de s’entendre très bien. On est très proches, on se voit en dehors du terrain, on est souvent ensemble, on parle... un peu trop d’ailleurs à en croire nos coéquipiers (rires) »\n\nEn conservant un effectif stable ces dernières années, l’Efes est un peu à contre-courant de ce qui se passe dans le basket aujourd’hui, avec un très grand turnover dans les effectifs chaque année. Est-ce que cela peut vous aider à retrouver votre niveau plus rapidement à l’approche des playoffs ?\n« Oui, arriver en playoffs est la première étape. On sait que c’est possible, forcément, on a la même équipe, mais on sait également que c’est dur si l’on regarde la saison complète. On veut gagner le titre, on ne va pas mentir non plus, mais on ne va pas faire comme si c’est de l’acquis. Il va falloir aller le chercher parce qu’il y a des équipes qui jouent beaucoup mieux que nous pour l’instant. À nous de faire le nécessaire pour être la meilleure équipe que l’on peut être. »\n\nUn autre joueur français joue à l’Anadolu, Adrien Moerman, qui réalise lui aussi une brillante saison. Avez-vous une connexion particulière avec lui ?\n« Oui, c’est clair. Le fait de pouvoir jouer avec un autre Français, ça crée des liens assez forts. On a la chance de s’entendre très très bien. On est très proches, on se voit en dehors du terrain, on est souvent ensemble, on parle... un peu trop d’ailleurs à en croire nos coéquipiers (rires). Je suis content d’avoir pu partager ces quelques années avec lui et j’espère qu’on pourra en partager encore d’autres. »\n\nVous côtoyez Shane Larkin depuis votre passage à Baskonia... Comment jugez-vous votre entente sur les parquets et en dehors ?\n« C’est un joueur avec qui j’ai beaucoup d’affinités aussi. Dès Baskonia, il y a eu une sorte de connexion, surtout en fin de saison. On était quasiment tout le temps ensemble. Une fois que j’ai su qu’il allait signer ici, je savais que j’allais avoir quelqu’un avec qui je m’entendais déjà super bien. »\n\nD’ailleurs, fin septembre, Shane Larkin vous a fait 117 passes décisives à l’entraînement sur une série assez extraordinaire de 117 tirs à 3-points de suite depuis le corner. Est-ce qu’il s’agit de votre meilleure série ?\n« Clairement, je rassure tout le monde, c’est ma meilleure série ! Ce n’est pas quelque chose qui arrive tous les jours. D’ailleurs, je ne sais pas d’où c’est sorti honnêtement. C’est arrivé de nulle part. On shootait après l’entraînement comme on le fait assez souvent. C’était un concours sur cinq spots de tirs. Dès le premier spot, on a eu le même nombre de tirs réussis. Généralement, ce qu’on fait pour se départager, c’est “tu shootes jusqu’à ce que tu rates”. Et je ne sais toujours pas comment et pourquoi mais j’ai enchaîné les 117. Honnêtement, j’étais choqué, c’était bizarre, j’ai été le premier surpris ! (rires) »\n\nQuelle importance a Bryant Dunston dans le vestiaire ?\n« Il est très important. C’est quelqu’un qui a cette faculté à être tout le temps positif, dans n’importe quelle situation. Il est très vocal, il essaye toujours de rassembler, de motiver. Comme dans toute équipe, il y a des moments où l’on joue moins bien et il arrive à le sentir, il trouve les mots pour essayer de nous motiver. C’est un exemple à l’entraînement. À son âge (35 ans), il est tout le temps à fond, c’est limite on veut lui dire parfois “mais calme toi”. C’est un exemple dans le vestiaire. »\n\nÀ 34 ans, comment jugez-vous votre état de forme ? Depuis quelques années, les blessures semblent vous avoir épargné ?\n« C’est vrai que j’ai connu pas mal de blessures qui m’ont écarté des terrains trop souvent. Le dernier pépin physique qui m’a posé beaucoup de problème, c’est mon genou droit. Ça a commencé au Mans en 2014-15, ça a enchaîné à Strasbourg, c’était pire à Victoria la première année. La deuxième année en Espagne, ça allait de mieux en mieux et finalement depuis que je suis arrivé ici, Dieu Merci, mon genou m’a laissé tranquille. Depuis, il y a forcément des petits pépins qui arrivent mais pas de grosses blessures qui m’ont tenu écarté des terrains trop longtemps, pourvu que ça dure. »\n\n\n« Quand j’ai commencé ma carrière, j’étais un joueur énormément basé sur la transition, sur la course. Maintenant, avec tous mes pépins physiques, j’ai dû apprendre à ralentir, à jouer un peu plus sur demi-terrain. »\n\nLe Rodrigue Beaubois actuel est-il la meilleure version de Rodrigue Beaubois ?\n« Difficile à dire. Si je dois choisir, mes jambes de l’époque me manquent un peu (rires) ! Ce n’est plus aussi explosif, ça va moins vite, ça va moins haut mais c’est vrai que pouvoir être en bonne santé, c’est quelque chose qui me plaît énormément donc j’espère que cela va continuer. À moi de continuer à faire ce que je peux contrôler par rapport à l’entretien physique et j’espère que ça va durer. »\n\nDans quels domaines pensez-vous avoir franchi un cap sous les couleurs de l’Anadolu ?\n« L’expérience. D’année en année, tu apprends beaucoup plus de choses, tu côtoies différents coachs, tu essaies de prendre à droite à gauche ce qui peut t’aider, tu apprends de nouvelles choses. Tout fait que j’ai progressé sur certains aspects. Quand j’ai commencé ma carrière, j’étais un joueur énormément basé sur la transition, sur la course. Maintenant, avec tous mes pépins physiques, j’ai dû apprendre à ralentir, à jouer un peu plus sur demi-terrain. Je suis quand même capable de prendre la balle et de la pousser mais j’ai beaucoup progressé sur le jeu demi-terrain. L’expérience fait que je pense avoir progressé en tant que joueur, c’est sûr. »\n\nVotre relation avec Ergin Ataman semble très bonne, il semble avoir une grande confiance en vous...\n« Depuis qu’on a mis en place une équipe ensemble il y a quatre ans, on avait de l’ambition mais personne n’avait prévu autant de succès sur ces années. Chaque année, beaucoup de joueurs veulent resigner, continuer l’aventure. Sans savoir exactement pourquoi, ça fonctionne, avec un basket qui pour beaucoup est un peu bizarre, on joue beaucoup en première intention. Ce n’est pas souvent le cas dans le basket européen, on shoote beaucoup à 3-points... En tout cas, ce que fait coach Ataman avec ce groupe-là fonctionne. Il arrive à donner beaucoup de confiance à ses joueurs, il ne met pas beaucoup de limites. Ça se voit comme on joue d’ailleurs. Il demande aussi beaucoup d’agressivité offensive et défensive. Il pousse ses joueurs mais en les laissant s’exprimer.\n\nOn a pu voir l’éclosion d’un joueur comme Vasilije Micic, qui avec coach Ataman a pu montrer ce qu’il était capable de faire. L’année d’avant avec Coach Saras (Sarunas Jasikevicius, au Zalgiris Kaunas en 2017-18), il était un peu plus cadré, et une fois qu’il est arrivé à Efes, on a vu que c’était un joueur exceptionnel, avec beaucoup d’armes dans son jeu. Pareil pour la deuxième saison de Shane (Larkin), il a fait une saison exceptionnelle où il tournait à 20 points par match, il était inarrêtable... C’est un coach qui permet ça, il permet à ses joueurs de pouvoir s’exprimer à leur maximum. On a un groupe qui comprend l’importance de chacun et les joueurs acceptent leur rôle. On a un groupe extrêmement talentueux et beaucoup de joueurs acceptent un peu moins parfois parce qu’il y a le résultat. Beaucoup de joueurs peuvent faire plus, on le voit souvent à l’entraînement mais ils acceptent la situation parce que cela fonctionne. On a un groupe intelligent, qui veut gagner. On a des joueurs d’expérience qui ont beaucoup joué en Europe et qui voulaient gagner. Aucun joueur de l’équipe n’avait gagné l’EuroLeague avant ça. On a vu tous les efforts que les joueurs ont dû faire pour accepter leur rôle mais ça a payé. »\n\n\n« Imaginer un jour revenir en France et jouer pour l’ASVEL ou Monaco, ou même d’autres clubs, c’est une possibilité, c’est sûr »\n\nVous êtes en fin de contrat dans un an, à l’été 2023. Avez-vous un plan ou une idée pour la suite de votre carrière ?\n« Non, pour l’instant je me concentre sur cette saison. Normalement, je suis encore ici la saison d’après. Je veux juste me concentrer sur ce que je sais maintenant et après, on verra. »\n\nEtes-vous prêt à continuer encore longtemps ?\n« Jusqu’à ce que mon corps et ma tête me permettent de continuer. »\n\nVous avez brillé en NBA et sur la scène européenne, plus qu’en France. Un retour en France est-il envisageable ?\n« C’est une possibilité, ce serait intéressant. Je ne vais pas dire que c’est quelque chose qui est sûr de se faire mais c’est une possibilité. »\n\nDes clubs comme l’ASVEL ou Monaco prennent de l’importance en Europe et aiment attirer des talents nationaux...\n« Sûrement. Je n’y pense pas car je suis concentré sur la situation actuelle mais ça fait plaisir de voir des clubs comme l’ASVEL ou Monaco qui arrivent à avoir de bons résultats sur la scène européenne. C’est une bonne nouvelle pour le basket français. Imaginer un jour revenir en France et jouer pour ces clubs-là ou même d’autres, c’est une possibilité c’est sûr. »\n\n\n« Je n’ai jamais porté le maillot de l’équipe de France, jamais de ma vie. Peut-être que ça n’arrivera jamais... J’en suis conscient. Si ça doit arriver, ça arrivera. Sinon, on a la chance d’avoir beaucoup de joueurs de talent qui ont réussi à avoir de très bons résultats »\n\nParlons rapidement de l’équipe de France. Vincent Collet a pris contact avec vous pour les JO l’été dernier mais ce n’était pas le bon timing (raisons familiales). Qu’avez-vous de prévu pour cet été ?\n« Rien de prévu, je suis concentré sur la saison actuellement. Si ça doit se faire, s’il doit y avoir discussion, il y aura discussion. Mais ce n’est pas particulièrement dans ma tête car j’ai raté tellement de rendez-vous malheureusement, je suis conscient qu’il y ait possibilité que je ne sois pas dans les plans. Je comprendrais, j’en ai raté pas mal depuis quelques années. »\n\nÀ l’EuroBasket, dans moins de six mois, nous retrouverons probablement Tibor Pleiss avec l’Allemagne, Shane Larkin avec la Turquie, Vasilije Micic avec la Serbie... Aimeriez-vous retrouver ces joueurs-là, en tant qu’adversaires à l’occasion de l’Euro ?\n« Si ça doit se faire, il y aura plein de choses positives, comme pouvoir se battre contre des joueurs avec lesquels je joue habituellement, avec le maillot de l’équipe de France. Ce serait intéressant, mais on verra quand ça va se rapprocher. Pour l’instant, il y a encore du temps et je ne sais pas ce que le sélectionneur a en tête. »\n\nVous ne dites pas non à un retour en équipe de France à l’approche de l’EuroBasket 2022 et la Coupe du Monde 2023 ?\n« Je ne dis pas non. Comme je l’ai dit, je n’y pense pas. Les joueurs qui y vont depuis pas mal d’années ont de très bons résultats. Honnêtement, si demain j’y suis, ce serait superbe, mais je suis conscient des choses... Je n’ai jamais porté le maillot de l’équipe de France, jamais de ma vie ! Peut-être que ça n’arrivera jamais... J’en suis conscient. Si ça doit arriver, ça arrivera. Sinon, on a la chance d’avoir beaucoup de joueurs de talent qui ont réussi à avoir de très bons résultats, c’est super. »\n\n\n« Le titre d’Euroleague a une saveur particulière, c’est quelque chose d’exceptionnel, un accomplissement assez extraordinaire. Je le mettrais un peu plus haut que le titre NBA, c’est sûr »\n\nVendredi, vous allez fêter votre 200e cape en Euroleague. Au match aller, vous aviez brillé (17 points, 7 passes) dans une large victoire (98-77)... Comment abordez-vous ce match retour ?\n« C’est un match très important, contre une équipe qui joue très bien depuis quelques temps maintenant. On sait que ça va être un match très difficile. C’est à nous de faire le nécessaire pour gagner, on a besoin de victoires. »\n\nQuel est votre regard sur Monaco, qui devrait se battre avec vous pour les places restantes aux playoffs ?\n« Déjà, en tant que Français, ça fait plaisir de voir une équipe française qui a l’opportunité de se qualifier pour les playoffs en Euroleague. C’est une équipe qui pose problème à tout le monde. On sait que ce sera un match difficile avec un joueur de très haut niveau comme Mike James et un groupe qui fonctionne très bien ensemble. Il faudra être prêt à se battre parce que ça ne va pas être facile. »\n\nLe titre conquis en Euroleague l’an passé est-il plus important que le titre NBA avec Dallas en 2011 ?\n« Oui, parce que mon utilisation était différente. Si j’avais eu la même utilisation dans les deux titres, ma réponse aurait été différente, je pense. Le titre d’Euroleague a une saveur particulière, c’est quelque chose d’exceptionnel, un accomplissement assez extraordinaire. C’est énormément de plaisir et je le mettrais un peu plus haut que le titre NBA, c’est sûr. De mon point de vue personnel en tout cas, au vu de mon rôle. Le titre NBA, j’en suis également fier mais pour d’autres raisons, c’était spécial. C’était le premier de la franchise, le premier de Dirk Nowitzki et de Jason Kidd, des joueurs de légende. D’avoir fait partie de ce groupe c’est particulier, c’est fort. »\n\nAvez-vous encore des liens avec les États-Unis ?\n« Surtout des liens avec d’anciens joueurs. Ian Mahinmi, avec qui j’ai joué deux ans à Dallas, Kévin Séraphin avec qui j’ai joué à Cholet... À chaque fois que je vois Tony (Parker) aussi, c’est particulier. De temps en temps aussi Rudy Gobert, que j’ai côtoyé à Cholet quand il était encore tout jeune. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nConsidéré pour nombre d’observateurs comme le meilleur joueur français n’ayant jamais porté le maillot de l’équipe de France, Rodrigue Beaubois (1,88 m, 34 ans) ne reste pas moins l’une des références tricolores en Europe. Après son titre NBA avec les Dallas Mavericks en 2011, le Guadeloupéen est devenu champion d’Euroleague la saison dernière avec l’Anadolu Efes Istanbul, où le meneur-arrière formé à Cholet évolue depuis 2018. Appelé par Vincent Collet en équipe de France l’été dernier, il n’avait pas rejoint le groupe pour raisons personnelles. À 34 ans, Roddy B ne ferme la porte ni à une sélection en équipe de France ni à un retour éventuel dans l’Hexagone.\n\nCela va faire quatre ans que vous êtes en Turquie. Etes-vous épanoui à Istanbul ?\n« Oui, c’est pour ça que je reste. Je me sens bien. C’est surtout grâce au collectif de l’équipe. On a eu des résultats très intéressants depuis ma première année ici. Quand ça fonctionne, tu essayes de continuer. Depuis 2018, on a réussi à garder quasiment les mêmes joueurs, c’est un groupe spécial avec qui on a réussi à gagner pas mal de titres dont le plus prestigieux, l’Euroleague. Et les fans m’ont accueilli d’une façon positive, la ville est intéressante, très riche dans tout ce qui est culture. Jusqu’à maintenant, je me sens très bien ici...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhotos : Rodrigue Beaubois (Euroleague)
user	FIBA Europe Cup : Cholet Basket va passer par les qualifications
assistant	Les clubs qui participeront à l’édition 2022-23 de la FIBA Europe Cup (C4) ainsi que les clubs qui devront passer par les qualifications dans l’espoir d’accéder à la saison régulière viennent d’être annoncés.\n\n\nCholet Basket, seule équipe française engagée, va devoir batailler pour participer à la saison régulière.\n\nLes 10 clubs avec place directe en Saison Régulière (par ordre alphabétique des pays) :\n\nKangoeroes Basket Malines (BEL)\nBC Balkan (BUL)\nHAKRO Merlins Crailsheim (GER)\nHapoel Galil Elion (ISR)\nNew Basket Brindisi (ITA)\nDonar Groningen (NED)\nAnwil Wloclawek (POL)\nFC Porto (POR)\nCSM Oradea (ROU)\nGaziantep Basketbol (TUR)\n\nPendant ce temps, 19 des clubs qui participeront aux tours de qualification de la Basketball Champions League ont choisi de participer à la FIBA Europe Cup au cas où ils n’atteindraient pas la saison régulière de la BCL. Pas plus de 18 de ces clubs peuvent finalement rejoindre la FIBA Europe Cup, et ils seraient placés directement dans la saison régulière de la compétition.\n\nPar conséquent, afin de déterminer les clubs qui occuperont les places restantes en saison régulière et complèteront le tableau 2022-23, la FIBA Europe organisera quatre tournois de qualification, du 27 au 30 septembre.\n\nLes 22 clubs dont Cholet Basket qui participeront aux quatre tournois de qualification seront répartis en six pots (têtes de série et non têtes de série) pour le tirage au sort, sur la base des résultats des clubs en Coupe d’Europe FIBA au cours des trois saisons précédentes.\n\nIl y aura 10 clubs têtes de série qui entreront directement dans les tournois en demi-finale et ce sont les quatre équipes du pot 1, les quatre équipes du pot 2 et deux équipes qui seront tirées au sort parmi les quatre du pot 3, celui de Cholet.\n\nPot 1 (tête de série) :\nZZ Leiden (NED)\nSporting CP (POR)\nKapfenberg Bulls (AUT)\nRilski Sportist (BUL)\n\nPot 2 (tête de série) :\nTelenet Giants Antwerp (BEL)\nKataja Basket (FIN)\nSigal Prishtina (KOS)\nBesiktas JK (TUR)\n\nPot 3 (deux têtes de série, deux non-têtes de série) :\nHapoel Haifa (ISR)\nCholet Basket (FRA)\nBC Kalev/Cramo (EST)\nPetrolina AEK (CYP)\n\nPot 4 (sans tête de série) :\nSCMU Craiova (ROU)\nCzarni Slupsk (POL)\nBG Gottingen (GER)\nAris BSA (GRE)\n\nPot 5 (sans tête de série) :\nBC CBET Jonava (LTU)\nBC Wolves (LTU)\nBC Trepca (KOS)\nJamtland Basket (SWE)\n\nPot 6 (non tête de série) :\nKK Cedevita Junior (CRO)\nThor Thorlakshofn (ISL)\n\nDans les tournois A et B, les équipes du Pot 3 seront tirées au sort contre les équipes du Pot 6 et les équipes du Pot 4 seront tirées au sort contre les équipes du Pot 5 jusqu’à ce que tous les quarts de finale soient terminés. Dans les tournois C et D, les deux équipes têtes de série du pot 3 seront directement tirées au sort pour les demi-finales.\n\nLes vainqueurs des demi-finales s’affronteront dans quatre duels, les équipes qui remportent les finales rejoignant la saison régulière de la FIBA Europe Cup.\n\nToutes les places supplémentaires dans la saison régulière de la FIBA Europe Cup qui pourraient s’ouvrir après la fin des tournois de qualification de la BCL seront occupées par les équipes perdantes lors des finales des tournois de qualification, selon les critères de la section D du règlement officiel du basketball. .\n\nLe tirage au sort aura lieu à Munich le jeudi 14 juillet.\n\nPhoto : Dominique Artis (Thomas Savoja)
user	A 75 ans, Aito Garcia Reneses va entraîner Girone de Marc Gasol
assistant	Après quatre saisons à l’Alba Berlin et une pause, Aito Garcia Reneses reprend la compétition dans son pays, l’Espagne, au Basquet Girona, qui vient d’obtenir son accession en Liga Endesa avec au pivot Marc Gasol.\n\n« Alejandro ‘Aíto’ García Reneses est le nouvel entraîneur de l’équipe première de Bàsquet Girona. García Reneses, avec une vaste expérience du basket-ball national et européen, devient le plus haut représentant de l’équipe technique de la première saison du club dans l’élite, » écrit le club catalan dans un communiqué. « Lors de la saison 2013-14, il a dépassé le millier de matchs en tant qu’entraîneur de l’ACB (1 077 au total). Au cours de sa longue carrière, il a entraîné au FC Barcelone (14 saisons), au Club Juventud de Badalona (7), au Club Baloncesto Málaga (3), au Club Baloncesto Sevilla (2) et au Club Baloncesto Gran Canaria (2). Sa dernière expérience européenne remonte à l’ALBA Berlin (2017-21), qui a disputé l’Euroleague, où il a remporté une édition de la Coupe d’Allemagne et deux fois la Bundesliga (première division allemande).«\n\nAito est né le 20 décembre 1946. Il a également été le coach de l’équipe d’Espagne vice-championne olympique en 2008.
user	Pro B : Jonathan Augustin-Fairella signé à Angers, son 7e club français
assistant	Promue en Pro B, l’Etoile Angers Basket enregistre la venue de l’intérieur bahaméen Jonathan Augustin-Fairell (2,01 m, 29 ans).\n\nIl s’agit du 7e club français du Bahaméen après Rouen, Blois, Cholet, Denain, Fos et Chalon. Il sort d’une saison en Pro B à 9,2 points (65,3% de réussite aux tirs) et 4,5 rebonds pour 10,9 d’évaluation.\n\n\nNOUVELLE RECRUE✍️\n\nNous sommes heureux de vous annoncer notre sixième recrue : Jonathan Augustin Fairell.\nJonathan sera notre nouveau poste 5 pour la saison 2022-2023.\nEvoluant en France depuis 2016, Jonathan nous apportera son expérience de la division Pro B\n\n🔥🔥 pic.twitter.com/WpoI7D8srH\n\n— EAB – Etoile Angers Basket (@EABasket49) July 8, 2022\n\n\nPhoto : Elan Chalon
user	L’ASVEL officialise les arrivées de Parker Jackson-Cartwright et Retin Obasohan
assistant	Parker Jackson-Cartwright (1,80 m, 27 ans) et l’international belge Retin Obasohan (1,88 m, 29 ans) porteront le maillot de l’ASVEL la saison prochaine.\n\nSorti de l’Université d’Arizona en 2018, Parker Jackson-Cartwright a été à la suite, MVP du championnat britannique en 2020 (Cheshire Phoenix), MVP de la Pro B avec Saint-Quentin (15,6 points et 7,2 passes décisives), et MVP de la Bundesliga avec Bonn ! Il a emmené son équipe à une demi-finale contre le Bayern Munich perdue en cinq manches. Ses stats remarquables en saison régulière : 19,3 points, 7,4 passes et 3,4 rebonds pour 19,6 d’évaluation.\n\nRetin Obasohan a également été formé aux Etats-Unis, à l’Université d’Alabama en 2016. Bien qu’international belge, il n’a jamais joué dans le plat pays. Il est passé ensuite successivement par l’Italie (Avelino), l’Allemagne (Oettinger et Bamberg), la République Tchèque (Nymburk) puis Israël (Hapoël Jerusalem). Ses stats en Israël : 16,8 points, 5,1 points et 4,0 rebonds.\n\n« Parker est un joueur avec une progression impressionnante sur les deux dernières saisons, commente le coach TJ Parker. Il va nous apporter son agressivité sur le jeu de transition où sa vitesse balle en main est très difficile à contenir. Sa qualité de passe et son altruisme vont permettre de mettre en avant ces coéquipiers et correspond parfaitement à ma philosophie. Sa taille peut paraître un désavantage défensivement mais il a toujours été un bon défenseur grâce à son envergure de bras. Il devra de nouveau prouver au plus haut niveau en EuroLeague, mais il a déjà montré cette année sur de nombreuses confrontations qu’il pouvait être clutch et répondre à l’intensité que demandera cette compétition. De son côté, Retin est un combo guard complet doté de qualités physiques qui correspondent au haut niveau européen. Il passe un palier chaque année, tant en club qu’avec l’équipe nationale belge, et a encore une marge de progression intéressante. Il va densifier notre ligne arrière grâce à son volume de jeu et sa capacité à jouer sur les deux postes arrières, avec beaucoup d’intensité des deux côtés du terrain. Ses qualités de relance et de création collent parfaitement au jeu que nous souhaitons développer. »\n\nPhoto : Retin Obasohan (FIBA)
user	Eurocup : La JL Bourg et le Paris Basketball connaissent leurs adversaires
assistant	Le verdict du tirage au sort de l’Eurocup a été rendu. Les deux représentants français, la JL Bourg et le Paris Basketball sont inclus dans un groupe différent.\n\nLe nouveau format introduit lors de la saison 2021-22 a été renouvelé, ce qui conduit à une saison régulière -interminable- de 18 matches. Tout cela pour que les 8 meilleures équipes de chaque groupe se qualifient pour les playoffs.\n\nLes playoffs se joueront sur un match sec donnant l’avantage du terrain à domicile au mieux classé, en huitième de finale, quart de finale, demi-finale et finale. Le vainqueur sera qualifié pour l’Euroleague 2023-24.\n\nIl a par ailleurs été décidé d’interdir les impayés ainsi que :\n• Budget minimum de participation de 2,5 millions d’euros.\n• Limitation des dépenses affectées aux salaires des joueurs à 65% des dépenses totales du club.\n• Limitation des apports des actionnaires à un maximum de 65% des dépenses totales du club.\n• Un déficit financier global limité à 10 % du budget moyen d’un club sur une période de trois ans.\n\nGroupe A\n\nJoventut Badalona\nCedevita Olimpija\nUmana Reyer Venezia\nFrutti Extra Bursaspor\nLietkabelis\nJL Bourg\nratiopharm Ulm\nGermani Brescia\nU-BT Cluj-Napoca\nPrometey\n\nGroupe B\n\nHapoel SP Tel Aviv\nGran Canaria\nBuducnost VOLI\nDolomiti Energia Trento\nTurk Telekom\nPromitheas\nParis Basketball\nHambourg Towers\nSlask Wroclaw\nLondres Lions\n\nPhoto : Axel Julien (JL Bourg, Jacques Cormarèche)
user	Pro B : L’Alliance Sport Alsace engage Zimmy Nwogbo
assistant	L’ASA et l’intérieur américano-nigérian Zimmy Nwogbo (2,02 m, 30 ans) se sont mis d’accord pour un contrat valable pour la prochaine saison.\n\nZimmy Nwogbo est devenu une figure des championnats de France puisque, après trois ans en Espagne, il a joué à Brissac en 2017-2018 (NM1), puis quatre saisons en Pro B, à Rouen et Lille. La saison dernière, il était à 12,0 points, 5,7 rebonds et 13,3 d’évaluation.\n\nPhoto : RMB
user	Pro B : Terrell Gomez est le nouveau meneur de Saint-Quentin
assistant	Le meneur de jeu américain Terrell Gomez (1,73 m, 24 ans) arrive à Saint-Quentin, en provenance de la JDA Dijon.\n\nFormé dans les universités de Cal State Northridge Matadors et San Diego Aztecs, il a débuté en Europe en 2021-2022 à Final Spor Bursa (division 2 turque). Ses stats : 21,6 points, 3,4 rebonds et 3,8 passes pour 19,2 d’évaluation.\n\nEn février, il a rejoint Dijon et en 15 matches, il s’est fendu de 4,3 points, 0,7 rebond et 1,5 passe. Doublure de David Holston, il a été utilisé juste un peu plus de 15 minutes par match.
user	Espagne : Décès de la légende du Real Madrid, Pedro Ferrandiz
assistant	Pedro Ferrandiz, l’une des plus grandes figures de l’histoire du Real Madrid, est décédé à l’âge de 93 ans.\n\nPedro Ferrandiz a entraîné le Real Madrid de 1959 à 1975 et a remporté 4 fois la Coupe des Clubs Champions (C1), 12 fois la Ligue espagnole et 11 fois la Coupe d’Espagne.\n\nEn 2007, Ferrandiz a été intronisé au Naismith Memorial Basketball Hall of Fame et en 2008, il a été nommé parmi les 50 plus grands contributeurs de l’Euroleague.\n\nFerrandiz fut également l’entraîneur de l’équipe nationale espagnole lors de l’EuroBasket de 1965.\n\nUne fondation de basket-ball a été créée en son honneur en 1991 pour préserver et promouvoir le basket-ball, publier des livres et, à l’époque, héberger la plus grande bibliothèque de basket-ball au monde.\n\n« Pedro Ferrandiz était un véritable pionnier du basket-ball en Europe et l’un des plus grands entraîneurs de tous les temps, sans parler du fait qu’il était un historien de notre jeu », a déclaré le PDG de l’Euroleague Basketball, Jordi Bertomeu. « Nous lui sommes tous redevables pour son exemple de classe, de professionnalisme et d’excellence sur et en dehors du terrain. Nos condoléances vont à sa famille et au Real Madrid. Qu’il repose en paix. »
user	Gavin Ware reste à Dijon pour la prochaine saison
assistant	Après les renouvellements de Jacques Alingue et Robin Ducote, la poursuite des contrats de David Holston, Chase Simon et Abdoulaye Loum ainsi que l’arrivée de Jonathan Rousselle, la JDA Dijon annonce que son pivot américain Gavin Ware (2,06 m, 28 ans) va disputer avec elle sa troisième saison.\n\nGavin Ware sort d’un exercice 2021-22 à 11,3 points et 6,0 rebonds de moyenne.\n\n« C’est avec plaisir que nous retrouverons Gavin Ware avec le groupe la saison prochaine. Nous restons sur notre ligne, à savoir la fidélisation des joueurs dans la durée. Cela nous permet d’avoir une base importante qui était déjà présente la saison passée. Nous souhaitions avoir 50 à 60% des joueurs encore présents pour avoir une vraie continuité dans le travail, c’est donc un signe encourageant. Gavin est un joueur très complémentaire de Jacques Alingue avec un état d’esprit irréprochable et un profil atypique pour le poste 5 nous ouvrant des options offensives intéressantes, » commente le directeur sportif Fabien Romeyer.\n\nPhoto : FIBA
user	Tournoi de Toronto U23 féminines : les Bleues tombent face au Canada
assistant	Dans le dernier match de poule, jeudi soir, l’équipe de France U23 s’est largement inclinée face au pays hôte, le Canada (73-56). Avec deux victoires pour une défaite, les partenaires de Marine Fauthoux disputeront la demi-finale face aux Belges samedi.\n\nLe Tournoi de Toronto (U23 Globl Jam Tournament) a rendu son verdict jeudi pour la phase de poule. Les Bleues, après avoir battues les États-Unis et la Belgique, ont lourdement chuté face aux Canadiennes (73-56).\n\nFace au trio Russell, Edwards et Day-Wilson à 54 points, les filles de Jean-Aimé Toupane n’ont pas fait le poids dès la première période (41-28, 20′). Seule Janelle Salaun a su leur répondre avec quinze points.\n\nLes Française affronteront, samedi, en demi-finale, les Belges tombeuses des États-Unis (50-63). Les Américaines, étonnement sans victoires pour l’instant, joueront face aux Canadiennes, seule équipe invaincue.\n\nBoxcore U23 Canada / U23 France .\n\nPhoto : Janelle Salaun (FIBA)
user	EuroBasket U20 féminin : L’équipe de France ouvre face aux Pays-Bas
assistant	C’est aujourd’hui que débute, à Sopron, le Championnat d’Europe U20 féminin, qui se terminera le 20 juillet.\n\nAprès une élimination précoce en huitième de finale l’année dernière lors de la coupe du monde U19, la génération 2002 arrive en Hongrie revancharde. Le groupe de Jérôme Fournier pourra s’appuyer sur des joueuses d’expérience puisque la plupart d’entre elles ont foulé les parquets Européens cette saison en club ou occupent un rôle majeur dans l’antichambre de la Ligue Féminine.\n\nTous les matches seront à suivre en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA.\n\nLes rosters :\n\nGroupe A : France , Hongrie , République tchèque , Pays-Bas\nGroupe B : Italie , Belgique , Finlande , Suède\nGroupe C : Espagne , Pologne , Bulgarie , Lituanie\nGroupe D : Serbie , Portugal , Irlande , Lettonie\n\nL’équipe de France :\n\nNomPrénomDate de naissanceTaillePosteClubASTIERPauline15/02/20021751Bourges BasketBUSSIERELouise07/08/20021802-3USO MondevilleCARDENALCélia23/05/20021762-3Basket LandesGOMISVaciana20/12/20021732-1USO MondevilleGUEYEAminata10/07/20021905USO MondevilleHATTABIlona28/03/20031802-3LanderneauKIAVIElyah11/08/20031741-2Basket Lattes MontpellierMBUPalmire12/05/20031854-3Roche Vendée BCNIARENahan15/02/20021905USO MondevilleROUMYSara07/11/20031802Basket LandesSIDA ABEGASeehia09/08/20021853-4Basket LandesTOUREMaye04/03/20021884Rhode Island (NCAA)\n\nEntraîneur : Jérôme Fournier\nAssistants : Virgil Abel, Emilie Duvivier, Maxime Bezin, Matthieu Donnard\nPréparatrice mentale : Virginie Nicaise\n\nVendredi 8 juillet, 19h45 : France – Pays-Bas\n\nSamedi 9 juillet, 19h45 : République Tchèque – France\n\nDimanche 10 juillet, 18h00 : France – Hongrie\n\nPhoto : Pauline Astier (FIBA)
user	A 41 ans, Lauren Jackson fait son retour dans l’équipe d’Australie
assistant	Après son retour en club, la superstar australienne Lauren Jackson (1,95 m) va faire, à 41 ans, son retour en équipe nationale à l’occasion de deux matches contre le Canada, et en prévision de la Coupe du Monde prévue en septembre, à Sydney.\n\nLes matches auront lieu à New York sachant que la coach des Opals, Sandy Brondello est aussi celle du New York Liberty en WNBA.\n\nDans l’équipe, on retrouve des figures connues en Ligue Féminine comme Bec Allen, Cayla George, Steph Talbot, Marianna Tolo et encore Sami Whitcomb.\n\n« Lauren a remporté des médailles à tous les Jeux olympiques et à trois de ses apparitions en Coupe du monde, elle sait comment gagner », a insisté l’entraîneur Sandy Brondello. « Son expérience est sans précédent, elle a la même soif de succès et apportera un avantage à notre équipe. »\n\nBec ALLEN\n\nSara BLICAVS\n\nDarcée GARBIN\n\nCayla GEORGES\n\nLauren JACKSON\n\nTess MADGEN\n\nEzi MAGBEGOR\n\nAnneli MALEY\n\nJade MELBOURNE\n\nMaddy ROCCI\n\nAlanna SMITH\n\nSteph TALBOT\n\nMarianna TOLO\n\nKristy WALACE\n\nSami WHITCOMB
user	Vidéo : Les Bleus à Podgorica et au Vendéspace
assistant	La caméra de la FFBB s’est introduite à Podgorica et au Vendéspace de Mouilleron-le-Captif pour suivre l’équipe de France lors de ses deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2023 contre le Monténégro et la Hongrie. Voici le résultat.\n\nPhoto : FIBA
user	3×3 Women’s Series de Bordeaux : La France décroche la 2e place
assistant	L’équipe de France, championne du Monde, est tombée en finale des Women’s Series de Bordeaux, battue par l’Espagne 21 à 15.\n\nLa meneuse espagnole de Villeneuve d’Ascq, Sandra Ygueravide, a été la meilleure marqueuse du match avec 12 points à 8/15, et a ajouté 3 rebonds et 5 highlights, terminant le match avant le buzzer sur un lay-up inversé. Une heure auparavant, l’ancienne numéro un mondiale avait réalisé la meilleure performance statistique du tournoi en demi-finale face à la Hongrie : 14 points avec 8/14 aux tirs, 6 rebonds et 4 highlights, dont un panier primé au buzzer alors que le score était à égalité à 20.\n\nYgueravide a été élue MVP après avoir terminé top-scoreuse du tournoi avec 46 points, devant la récente MVP de la Coupe du monde, Laetitia Guapo (43 points). Guapo qui a inscrit 9 points pour les Bleues en finale mais aucune de ses coéquipières n’a contribué à plus de 3 points.\n\nCLASSEMENT FINAL\n1. Espagne\n2. France\n3. Hongrie\n4. France U24\n5. Lituanie\n6. Bordeaux Ballistik\n7. Allemagne\n8. Lettonie\n9. Slovaquie\n10. Israël\n11. Autriche\n12. Roumanie\n\nLa cinquième étape des FIBA 3×3 Women’s Series 2022 aura lieu à Prague les 29 et 30 juillet.\n\nPhoto : FIBA
user	LNBTV : 7 362 téléspectateurs en moyenne, ASVEL, Cholet, Strasbourg et Limoges au top
assistant	7 362 utilisateurs uniques en moyenne sur la saison 2021-22 pour la Betclic Elite et 3 232 pour la Pro B. Ce sont deux des chiffres essentiels à retenir d’un rapport effectué sur les audiences sur LNBTV, la chaîne OTT de la Ligue Nationale Basket, qui propose des matches en clair à la seule condition d’une inscription gratuite.\n\nCe que l’on peut remarquer, c’est que tous les clubs de Betclic Elite ont augmenté leur audience par rapport à 2020-21 (+ 1 797), et que celle-ci fut croissante au fur et à mesure de la saison régulière.\n\nConstat assez surprenant, les téléspectateurs sont majoritaires dans les régions qui ne sont pas concernées par le match suivi.\n\nVilleurbanne se taille la part du lion avec la meilleure moyenne (9 500 téléspectateurs), tout en étant concerné par 4 des Top 10 des audiences en saison régulière et son quart-de-finale de playoffs face à Cholet, aller et retour, a été de loin le plus suivi de l’année (41 721).\n\nLes constats sont similaires en Pro B avec une moyenne de 3 232 téléspectateurs avec là aussi une augmentation générale d’une saison à l’autre (+1 424).\n\nCes chiffres sont un bon indicateur -en plus des affluences à la salle- de l’attractivité de chaque club dans son bassin de population et aussi en dehors, ce qui est le cas de Monaco et de ses stars. On peut constater aussi que les playoffs donnent un sacré coup de boosters aux affluences (22 152 téléspectateurs en moyenne en Betclic Elite, 8 947 en Pro B).\n\nLa surprise du chef, ce sont les bonnes audiences pour les espoirs qui sont supérieures à celles de la Basketball Champions League.\n\nBETCLIC ELITE :\n\nPRO B\n\nAUTRES COMPETITIONS\n\n\n\nPhoto : Dustin Sleva (Thomas Savoja)
user	Ancienne joueuse de 1ère division, Cathy Bancarel est directrice des ressources humaines du FC Nantes
assistant	On sait ce que devienne certaines joueuses de premier plan une fois leur carrière sportive terminée. Ainsi Carole Force est l’actuelle présidente de la Ligue Féminine, Yannick Souvré sa Directrice Générale, alors que son ancienne équipière à Bourges, Ilona Korstine, est devenue la Directrice Générale de la VTB League. Le suivi des autres joueuses de première division est moins évident à faire, mais on peut de temps en temps débusquer quelques réussites originales.\n\nC’est le cas pour Cathy Bancarel, joueuse de première division à Nantes et Limoges -avec notamment la présidente actuelle du Limoges CSP, Céline Forte, comme équipière, et Claude Bolotny comme coach-, qui a entrepris des études à l’ESSEC et au Centre de Droit et d’Economie du Sport de Limoges. Elle a été un temps DRH de l’entreprise Packetis, en Charente, et aujourd’hui, elle est directrice des ressources humaines du FC Nantes football depuis septembre 2020.\n\nPas un hasard puisque si elle est née à La Roche-sur-Yon, Cathy Bancarel a grandi à Nantes et elle a découvert le foot à La Beaujoire. Au FC Nantes, elle gère pas moins de 230 salariés dont les stars du terrain.\n\n« Mais personne n’a le boulard chez nous !, assure t-elle à La Charente Libre. L’humilité est une des marques de fabrique d’Antoine (NDLR: Koumbouaré, l’entraîneur). » Elle ajoute : « c’est une entreprise comme une autre... sauf que le résultat sportif est totalement aléatoire par rapport à l’industrie par exemple. Ce peut-être l’euphorie ou la soupe à la grimace. » Le sport de haut niveau, elle connaît. « Cela m’a aidée dans la compréhension du fonctionnement d’un club. Je sais aussi comment ça se passe dans un vestiaire, les valeurs... »\n\nCathy Bancarel est par ailleurs la compagne du journaliste de CNews, Pascal Praud, mais ça, c’est son jardin privé.\n\nPhoto : Cathy Bancarel n°4, à l’époque du Limoges ABC, avec Claude Bolotny comme coach.
user	Equipe de France : Le programme complet de la préparation à l’EuroBasket
assistant	Après l’annonce des 17 joueurs retenus par Vincent Collet pour la préparation au championnat d’Europe (du 1er au 18 septembre 2022 en Allemagne), voici le programme complet de l’été de l’équipe de France.\n\nLe programme estival de l’équipe de France :\n\n * Vendredi 29 juillet : Début du rassemblement / tests à l’INSEP\n * Dimanche 31 juillet au 6 août : Stage à Nanterre\n * Dimanche 7 août : France – Pays Bas (amical, Rouen, Kindarena, 17h)\n * Vendredi 12 août : Italie – France (amical, Bologne, Virtus Arena, horaire à déterminer)\n * Mardi 16 août : France – Italie (amical, Montpellier, 20h30)\n * Jeudi 18 août : France – Belgique (amical, Montpellier, 20h30)\n * Mercredi 24 août : France – République Tchèque (qualifications CDM 2023, Paris, Accor Arena, 20h30)\n * Samedi 27 août : Bosnie – France (qualifications CDM 2023, 20h30)\n * Lundi 29 août : Transfert à Cologne\n * Jeudi 1er septembre : Allemagne – France à 20h30 (EuroBasket 2022, Cologne, 20h30)\n * Samedi 3 septembre : Lituanie – France à 17h45 (EuroBasket 2022, Cologne, 17h45)\n * Dimanche 4 septembre : Hongrie – France à 20h30 (EuroBasket 2022, Cologne, 20h30)\n * Mardi 6 septembre : Bosnie – France (EuroBasket 2022, Cologne, 14h30)\n * Mercredi 7 septembre : Slovénie – France (EuroBasket 2022, Cologne 17h15)\n * Jeudi 8 septembre (si qualifié) : Transfert à Berlin\n\nPhoto : Theo Maledon (FIBA)
user	Les adieux des joueurs du Real Madrid à Pablo Laso
assistant	Le départ de l’entraîneur Pablo Laso, pour raisons médicales, a suscité les remerciements des joueurs du Real Madrid, anciens ou actuels.\n\nUne immense page se tourne au Real Madrid. Il fallait bien que les tauliers de l’ère Pablo Laso remercient le deuxième entraîneur le plus victorieux dans l’histoire du club (22 titres), qui a oeuvré pendant onze années. Sur Twitter, les vagues d’hommages ont déferlé. Sergio Lull, Rudy Fernandez, Fabien Causeur ou encore Luka Doncic, tous ont voulu adresser un petit mot à Pablo Laso.\n\n« J’ai joué sous le Real Madrid de Pablo Laso et c’était incroyable. Merci d’avoir redonné à cette grande équipe la place qu’elle mérite », résume notamment Sergio Lull.\n\n\nGracias por dejarme disfrutar tanto del baloncesto. Aprendí muchísimo. Eres muy grande Pablo. @pablolaso pic.twitter.com/u5JVPQVTBA\n\n— Fabien Causeur (@FCauseur1) July 6, 2022\n\n\n\nGracias por hacer que tomase la mejor decisión de mi vida. Ha sido un honor jugar a tu lado y haber conseguido tantos éxitos juntos. Gracias Pablo 🙏🏻 pic.twitter.com/m8dPzMOZte\n\n— Rudy Fernandez (@rudy5fernandez) July 6, 2022\n\n\nPhoto : Pablo Laso (Euroleague)
user	Luka Doncic sera à Paris ce week-end au Quai 54
assistant	Le Quai 54, plus grand tournoi de streetball au monde, revient ce week-end (9-10 juillet) à Paris avec du beau monde. Le Slovène Luka Doncic vient d’annoncer qu’il sera de la partie.\n\nLe meneur star des Dallas Mavericks, Luka Doncic a communiqué sur ses réseaux sociaux, vêtu d’un t-shirt « Quai 54 », sa venue pour le plus grand tournoi de streetball de la planète. Et il ne viendra pas tout seul. Le Slovène annonce « amener l’équipe de Slovénie » avec lui. Ce samedi 9 et dimanche 10 juillet, devant la Tour Eiffel, dunkeurs, rappeurs, joueurs pro et amateurs se retrouveront devant une foule de spectateurs à guichets fermés.\n\n\nBONJOUR LUKA 🇸🇮👋\n\nLuka Doncic débarque à Paris pour le #Quai54 🔥🔥🔥🔥🔥 pic.twitter.com/Y4A0KE8guA\n\n— Lukas Nicot (@LukasNicot) July 7, 2022\n\n\nPhoto : Luka Doncic (FIBA)
user	De retour à la maison, Amine Noua signe deux ans à l’ASVEL !
assistant	Après une saison de découverte entre Andorre et Strasbourg, Amine Noua (2,02 m, 25 ans) revient à l’ASVEL, son club formateur. L’international français s’est engagé pour deux saisons.\n\nLe triple champion de France avec l’ASVEL est de retour chez lui. Amine Noua revient après un exercice 2021-2022 mitigé entre la Liga Endesa à Andorre (6,7 points en 17 minutes) et la Betclic Elite à Strasbourg (14,0 points, 4,5 rebonds en 24 minutes, puis 15,7 points et 2,3 rebonds en trois matches de playoffs).\n\nTrois fois champion de France (2016, 2019 et 2021), deux fois vainqueur de la coupe de France (2019 et 2021) et deux fois All-Star (2018 et 2019) à Villeurbanne, le natif de Vénissieux compte déjà 301 matches joués avec le club, dont 53 en Euroleague. L’intérieur de 25 ans s’est engagé pour les deux prochaines saisons.\n\nTony Parker, président de LDLC ASVEL : « Amine revient au club avec énormément d’ambitions et d’envie. Chaque année, il enrichit son expérience et progresse dans son jeu. Il sera un atout majeur de notre effectif, avec un vrai rôle de leader. C’est avec bonheur que nous le voyons revenir dans son club de coeur. »\n\nAmine Noua, recrue de LDLC ASVEL : « C’est un grand bonheur de revenir à la maison ! Je remercie Tony et Gaëtan de me donner à nouveau l’occasion de briller avec le club de mon coeur. J’ai hâte de retrouver l’Astroballe, nos supporters, l’Euroleague... Et de gagner encore des titres avec l’ASVEL ! »\n\nPhoto : Amine Noua (Infinity Nine Media)
user	Sasha Vezenkov nommé MVP du championnat grec
assistant	Déjà nommé au sein de la All-Euroleague First Team, l’ailier de l’Olympiakos Sasha Vezenkov a été sacré meilleur joueur du championnat grec.\n\nUne saison magnifique à titre individuel pour Sasha Vezenkov. Déjà nommé au sein de la All-Euroleague First Team, le Bulgare de 26 ans a reçu ce jeudi la distinction de meilleur joueur du championnat grec pour la deuxième fois de sa carrière (2014-2015). Il succède ainsi à Ioannis Papapetrou.\n\nEn plus d’amener l’Olympiakos au Final Four de l’Euroleague, il a permis au club de remporter le titre de champion de Grèce, une première depuis six ans. L’ailier affiche cette saison 15,5 points à 65,5 % de réussite à 2-points et 43,4 % derrière l’arc, et 7,1 rebonds.\n\nDes exploits qui intéressent de très près les Sacramento Kings, qui ont récupéré ses droits NBA le soir de la Draft. Son avenir en Europe s’écrit aujourd’hui au conditionnel.\n\nPhoto : Sasha Vezenkov (Euroleague)
user	Brittney Griner plaide coupable devant la cour russe !
assistant	Détenue depuis plus de quatre mois, Brittney Griner a plaidé coupable ce jeudi, d’importer intentionnellement de la drogue en Russie. Elle risque dix ans de prison.\n\n« J’aimerais plaider coupable, votre honneur. Mais il n’y avait pas d’intention. Je ne voulais pas enfreindre la loi. » Selon un journaliste de Reuters présent dans la salle, l’intérieure des Phoenix Mercury, Brittney Griner a plaidé coupable pour transport de drogue en Russie. En février dernier, elle a été arrêtée dans un aéroport avec de l’huile de cannabis, substance illégale dans le pays.\n\nL’Américaine réserve sa version des faits pour la prochaine audience prévue pour le 14 juillet. « J’aimerais livrer mon témoignage plus tard. J’ai besoin de temps pour me préparer », a-t-elle néanmoins expliqué. Selon ESPN, cette stratégie de défense pourrait favoriser un échange de prisonniers... et donc un retour aux Etats-Unis.\n\nMardi, suite à sa lettre envoyée lundi dernier au président des États-Unis, la joueuse a reçu une réponse de la part de Joe Biden. Sa porte-parole s’est exprimée mardi pour affirmer que la joueuse de 31 ans est une « priorité » pour lui. « Le président fait tout ce qu’il peut », a annoncé Karine Jean-Pierre, représentante de la Maison Blanche.\n\nPhoto : Brittney Griner (FIBA)
user	Le Serbe Nemanja Nedovic de retour à l’Étoile Rouge, dix ans après
assistant	Dix ans après son départ, le meneur serbe Nemanja Nedovic (1,92 m, 31 ans) revient à l’Étoile Rouge de Belgrade.\n\nNemanja Nedovic de retour à la maison, c’est une réalité. Dix ans après avoir quitté l’Étoile Rouge de Belgrade, club où il a débuté sa carrière professionnelle (2008-2012), le meneur du Panathinaïkos a décidé de revenir en Serbie. Le Serbe a signé un contrat de trois ans pour un salaire estimé à 3,3 millions d’euros selon BasketNews.\n\nIl était pourtant lié avec le club grec jusqu’en 2023, mais l’ancien des Golden State Warriors a activé une clause de sortie. Il a dû, en échange, verser une indemnité de rupture de contrat à hauteur de 300 000 euros. L’international serbe tournait la saison dernière à 14,3 points, 3,2 passes décisives et 2,2 rebonds en 24 minutes de moyenne en Euroleague.\n\n\nReprezentativac Srbije, @nedovic1624, novi je član Crvene zvezde!\n\nZvezdino dete se vraća kući nakon 10 godina, a sa našim klubom potpisao je trogodišnji ugovor!\n\nWelcome back home, Nemanja! 🔴⚪️🏡#kkcz #TogetherWeCan #WeAreTheTeam pic.twitter.com/W76GCNFEtM\n\n— KK Crvena zvezda Meridianbet (@kkcrvenazvezda) July 7, 2022\n\n\nPhoto : Nemanja Nedovic (Euroleague)
user	Pro B : l’international camerounais Roger Moute A Bidias rejoint Antibes
assistant	Les Sharks d’Antibes annoncent l’arrivée de l’international camerounais Roger Moute A Bidias (2,00 m, 27 ans) pour les deux prochaines saisons.\n\nAprès Gédéon Pitard, c’est un autre international camerounais qui pose ses valises à Antibes. Roger Moute A Bidias apportera aux Sharks d’Antibes une dimension athlétique au poste d’ailier lors des deux prochaines saisons.\n\nAprès un cursus complet en NCAA, le natif de Yaoundé a notamment joué trois ans en G-League avant de connaître cette année sa première saison en Europe, à l’Apollo Amsterdam, pour des moyennes de 15,8 points, 6,3 rebonds et 2,1 passes en 30 minutes de moyenne dans la ligue belgo-néerlandaise.\n\nDan Goethals, coach des Sharks : « Roger va nous donner une véritable dimension athlétique sur le poste 3. Il va beaucoup nous apporter dans le combat, la bataille du rebond. Il va surement régaler l’Azur Arena d’actions spectaculaires, mais aura surtout un gros impact physique. Et cela va également nous permettre de décaler Tim Derksen au poste 2. Roger est prêt à se lancer dans notre projet, et Gédéon qui est également son coéquipier et capitaine en sélection a forcément contribué à sa venue. »\n\nPhoto : Roger Moute A Bidias (FIBA)
user	Le Jamaïcain Shevon Thompson, nouveau pivot de Fos Provence
assistant	Le big man jamaïcain Shevon Thompson (2,13 m, 29 ans) débarque à Fos-sur-Mer la saison prochaine.\n\nFos-sur-Mer a quasiment bouclé son recrutement. Le club provençal a bouclé son 9e joueur professionnel pour la saison prochaine avec l’arrivée de Shevon Thompson. Il fera équipe avec Jo-Passave Ducteil – qui effectuera sa dernière saison pro – sur le poste 5.\n\nL’intérieur jamaïcain de 29 ans est un colosse (2,13 m) qui apportera sa dimension physique et son expérience à la raquette fosséenne, lui qui est passé par la G-League – au Birmingham Squadron en 2016-2017, puis aux Raptors 905, au Wisconsin Herd les saisons suivantes, et aux Agua Caliente Clippers en 2021-2022, à plus de 13 points et 11 rebonds par match l’an dernier – et qui a d’ores et déjà fait le tour d’Europe (Turquie, Belgique, Espagne, Allemagne).\n\nIl compilait encore 13,5 points et 10,1 rebonds en 25 minutes en moyenne en BCL lors de la saison 2019-2020 avec Ostende, où il a inscrit 16 points et 10 rebonds à deux reprises face à Strasbourg.\n\nRémy Valin, coach de Fos : « Shevon va prendre la place de poste 5 titulaire. C’est un vrai big man avec des forces que notre collectif devra chercher, très fort près du cercle, qui peut finir des deux mains, et s’imposer grâce à son physique. Il a déjà pas mal d’expérience, et avait notamment fait une superbe campagne en BCL en 2019-2020 avec Ostende. C’est un garçon qui est apprécié partout où il est passé pour ses qualités humaines et de travail, en témoignent ses deux années à Ostende où l’on ne tarit pas d’éloges sur lui. Il va nous permettre d’être forts au rebond sur ce poste. Pour finir, c’est aussi un joueur qui est réputé pour se battre pour le collectif ».\n\nEffectif prévisionnel de Fos Provence, version 2022-2023 :\nSous contrat:Allan Dokossi(prolongation, 2023),Jordan Degre(premier contrat pro)\nArrivées:Dylan Affo Mama(Tours, 2023),Johan Passave-Ducteil(Le Portel, 2023),Milan Barbitch(Paris, 2023),Stephen Brown(Gottingen/Allemagne, 2023),Gabe DeVoe(Piacenza/D2 italienne),Garlon Green(Oradea/Roumanie, 2023), Shevon Thompson (Agua Caliente Clippers/G-League, 2023), Rémy Valin(coach Denain, 2024)\nDéparts:Rémi Giuitta(coach, libre),Bodian Massa(2025, Strasbourg),Nik Caner-Medley(retraite),Édouard Choquet(libre)\n\nPhoto : Shevon Thompson (FIBA)
user	Eurocup : l’ASVEL, Charleville-Mézières et La Roche en saison régulière, Angers et Lattes-Montpellier en qualifications
assistant	Le plateau de la saison 2022-2023 de l’Eurocup a été dévoilé. On retrouve cinq équipes françaises, dont deux qui passeront par un tour qualificatif.\n\nAprès l’Euroleague féminine, l’Eurocup a dévoilé son plateau. Pas moins de 52 équipes – en comptant les quatre équipes reversées de l’Euroleague en phase finale – aspirent à succéder à Bourges au palmarès de la C2.\n\nLa saison régulière se déroulera sur deux conférences divisées en deux zones géographiques pour un total de 12 groupes de quatre équipes. 19 clubs par conférence sont déjà qualifiés. Parmi eux, dans la conférence ouest, l’ASVEL féminin, Charleville-Mézières ou encore La Roche Vendée.\n\nLes cinq autres billets restant par conférence seront accordés aux vainqueurs des matches de qualification disputés sur deux manches, dans un format aller-retour. Respectivement 7e et 8e de la saison régulière de LFB, l’UFAB et le BLMA en feront partie.\n\nLe tirage au sort des groupes et des matches de qualif’ aura lieu à Munich le vendredi 15 juillet.\n\nConférence Ouest – Clubs avec une place en saison régulière\nTournoi de qualification ELW A – 2e place\nTournoi de qualification ELW A – 3e place\nLDLC ASVEL Féminin (FRA)\nFlammes Carolo Basket (FRA)\nLa Roche Vendee Basket (FRA)\nCadi La Seu (ESP)\nCasademont Zaragoza (ESP)\nIDK Euskotren (ESP)\nUmana Reyer Venezia (ITA)\nZabiny Brno (CZE)\nKP Brno (CZE)\nMithra Castors Braine (BEL)\nBasket Namur Capitale (BEL)\nBCF Elfic Fribourg (SUI)\nRutronik Stars Keltern (GER)\nLondon Lions (GBR )\nSL Benfica (POR)\nBasket T71 Diddeleng (LUX)\nZKK Raguse (CRO)\n\nConférence Est – Clubs avec une place en saison régulière :\nTournoi de qualification ELW B – 2e place\nTournoi de qualification ELW B – 3e place\nTournoi de qualification ELW C – 2e place\nTournoi de qualification ELW C – 3e place\nOrman Genclik (TUR)\nNesibe Aydin (TUR)\nGalatasaray SK (TUR)\nBursa BSB (TUR)\nNKA Universitas PEAC (HUN)\nUni Gyor (HUN)\nAZS UMCS Lublin (POL)\nVBW Arka Gdynia (POL)\nInvestInTheWest Enea Gorzow (POL)\nFCC UAV Arad (ROU)\nPanathinaikos AC (GRE)\nMaccabi Bnot Ashdod (ISR)\nPiestanske Cajky (SVK)\nBeroe Stara Zagora (BUL)\nKibirkstis (LTU)\n\nConférence Ouest – Clubs participant aux qualifications\nUFAB 49 (FRA)\nBasket Lattes Montpellier (FRA)\nMovistar Estudiantes (ESP)\nLointek Gernika Bizkaia (ESP)\nBanco di Sardegna Sassari (ITA)\nPhantoms Basket Boom (BEL)\nHouse of Talents Spurs (BEL)\nSportiva Hôtels Azoris (POR)\nBBC Grengewald Hueschtert (LUX)\nZKK Plamen Pozega (CRO)\n\nConférence Est – Clubs participant aux qualifications\nHatay BB Spor (TUR)\nLudovika-FCSM Csata (HUN)\nKS Basket 25 Bydgoszcz (POL)\nEsperides Kallitheas Athens (GRE)\nAC Eleftheria Moschatou (GRE)\nOmilos Antisfairisis Chanion (GRE)\nDafni Agiou Dimitriou (GRE)\nRamat Hasharon (ISR)\nElitzur Holon (ISR )\nSlavia Banska Bystrica (SVK)\n\nPhoto : ASVEL (FIBA)
user	BCL : Limoges hérite de Manresa, Dijon de Sassari et Strasbourg de Murcie
assistant	Les tirages au sort de la saison régulière et de la phase qualificative de la Basketball Champions League (BCL) ont été effectués ce jeudi matin à Mies (Suisse). La SIG Strasbourg, la JDA Bourgogne Dijon et le Limoges CSP ont hérité de trois groupes relativement homogènes.\n\n28 équipes disputeront la septième édition de la BCL la saison prochaine. Parmi elles, quatre passeront par le tournoi de qualification. Strasbourg devait participer initialement à cette première partie mais, à la suite du retrait de Pau, la SIG s’est vu s’octroyer un accès direct à la phase principale.\n\nLes Strasbourgeois ont hérité du groupe A qui semble à leur portée. Ils affronteront le champion de Hongrie (Falco Szombathely), le dixième du championnat d’Espagne, Murcia et le vainqueur d’un tournoi de qualification.\n\nPour son grand retour en Coupe d’Europe, Limoges aura fort à faire. Présent dans le chapeau 3, le CSP a hérité de Manresa (Espagne), présente au Final Four de la compétition l’an dernier, de Riga, le champion de Lettonie ainsi que d’un autre vainqueur du tournoi de qualification.\n\nQuant à la JDA, pourtant chapeau 1, elle aura des déplacements périlleux notamment en Grèce et en Italie. Dijon affrontera le PAOK, les Sardes du Dinamo Sassari et un autre survivant du tournoi de qualification. Pas forcément un cadeau, d’autant que Malaga fait partie du potentiel dernier adversaire.\n\nLes groupes des équipes françaises :\nGroupe A : SIG Strasbourg, Falco KC Szombathely, UCAM Murcia, vainqueur QRT1\nGroupe F : BAXI Manresa, VEF Riga, CSP Limoges, vainqueur QRT3 \nGroupe H : JDA Bourgogne Dijon, Dinamo BDS Sassari, PAOK Mateco, QRT 2\n\nLe tableau complet\n\nPhoto : Nicolas Lang (Thomas Savoja)
user	Women’s Series 3×3 : Les Bleues en quarts de finale à Bordeaux
assistant	Suite et fin ce jeudi soir de l’étape du 3×3 des Women’s Series en Gironde. Les championnes du monde affrontent en quarts de finale la Lituanie (19h25).\n\nFraîchement championnes du monde à Anvers (Belgique), les Bleues sont de sortie à Bordeaux. Sans Marie-Eve Paget, remplacée par Maud Stervinou (Toulouse), le trio Myriam Djekoundade – Laëtitia Guapo – Hortense Limouzin espère remporter un nouveau trophée.\n\nPremière de la poule D avec deux victoires en autant de rencontres, l’équipe de France affronte la Lituanie à 19h25. S’en suivront les demi-finales (20h45 ou 21h10) et la finale plus tard dans la soirée (22h05). En cas de victoire, les Françaises pourraient retrouver les Bleues U24, opposées à la Lettonie.\n\nPour suivre les rencontres, c’est ici.\n\nPhoto : Équipe de France de 3×3 (FIBA 3×3)
user	Equipe de France : 17 joueurs convoqués pour l’EuroBasket, avec Victor Wembanyama et sans Fabien Causeur
assistant	Vincent Collet a dévoilé ce jeudi la liste des joueurs appelés pour participer à la préparation de l’EuroBasket (du 1er au 18 septembre 2022 en Allemagne). Dix-sept joueurs ont été convoqués, dont Victor Wembanyama, Theo Maledon, Elie Okobo ou encore Terry Tarpey. En revanche, pas de Fabien Causeur ni de Petr Cornelie.\n\nLes forfaits annoncés de Nando De Colo et Nicolas Batum ne bouleverseront pas outre mesure le groupe France à l’EuroBasket. Contrairement aux Jeux Olympiques, le sélectionneur de l’équipe de France Vincent Collet a opté pour une liste élargie de 17 joueurs qui prendront part à la préparation de l’EuroBasket. Evan Fournier et Rudy Gobert en seront les leaders.\n\nAprès avoir refusé sa sélection pour les JO, Theo Maledon est bien dans le groupe cette fois-ci, tout comme le champion de France Elie Okobo ou Thomas Heurtel, écarté par le Real Madrid en deuxième partie de saison.\n\nAlors qu’il ne compte aucune sélection chez les Bleus, Victor Wembanyama fait lui aussi partie du groupe France. Vincent Collet a également choisi de revoir le Villeurbannais William Howard après sa superbe finale de Betclic Elite et de permettre au Manceau Terry Tarpey de connaître sa première campagne de préparation hors fenêtres internationales.\n\n\n\n\nPetr Cornelie et Fabien Causeur ne sont pas là\n\nA l’inverse, on peut noter plusieurs absents de marque. Vice-champion olympique l’été dernier, Petr Cornelie ne figure pas dans le groupe, ni Louis Labeyrie à l’intérieur. Privé depuis des années d’équipe de France en raison des fenêtres internationales tombant en même tant que l’Euroleague, Fabien Causeur n’en est pas. On peut aussi noter les absences de Paul Lacombe, Yakuba Ouattara ou celle du jeune Jaylen Hoard, testé au poste 3 cette semaine.\n\nAprès avoir terminé sa première phase de qualification à la Coupe du monde 2023 sur un bilan de cinq victoires et une défaite, l’équipe de France masculine se réunira à partir du 29 juillet pour préparer l’EuroBasket 2022. La préparation des Bleus débutera à l’INSEP, par des tests médicaux, le vendredi 29 juillet à midi.\n\nLes joueurs de Vincent Collet entameront la pratique du basket à partir du dimanche 31 juillet, au Palais des Sports de Nanterre, avant d’enchaîner sur une préparation avec six rencontres avant le début de l’EuroBasket le 1er septembre en Allemagne, dont une fenêtre qualificative pour la Coupe du monde 2023.\n\nLe groupe France de 17 joueurs retenus pour la préparation à l’EuroBasket 2022 :\n\nNomPrénomNaissanceTaillePosteSélectionsPointsClub 2021-2022ALBICYAndrew21/03/19901,78176215Gran Canaria CB (Espagne)CORDINIERIsaïa28/11/19961,9121381Virtus Bologne (Italie)FALLMoustapha23/02/19922,16521132Olympiakos BC (Grèce)FOURNIEREvan29/10/19921,992/380878New York Knicks (NBA)GOBERTRudy26/06/19922,16574614Utah Jazz (NBA)HEURTELThomas10/04/19891,88184598Real Madrid (Espagne)HOWARDWilliam25/10/19932,023515LDLC ASVEL (BC Elite)JAITEHMouhammadou27/11/19942,06530127Virtus Bologne (Italie)LUWAWU-CABARROTTimothé09/05/19951,9831283Atlanta Hawks (NBA)MALEDONThéo12/06/20011,911758Oklahoma City Thunder (NBA)M’BAYEAmath14/12/19892,06430223Pinar Karsiyaka SK (Turquie)NTILIKINAFrank28/07/19981,98121129Dallas Mavericks (NBA)OKOBOElie23/10/19971,902/11056LDLC ASVEL (BC Elite)POIRIERVincent17/10/19932,135/440214Real Madrid (Espagne)TARPEYTerry02/03/19941,962621Le Mans (BC Elite)WEMBANYAMAVictor04/01/20042,195––LDLC ASVEL (BC Elite)YABUSELEGuerschon17/12/19952,0141192Real Madrid (Espagne)\n\nCoach principal : Vincent Collet. Assistants : Pascal Donnadieu, Ruddy Nelhomme et Laurent Foirest\n\nA relire – les Bleus vus par Rémi Reverchon et Fred Weis, poste par poste\nQuels meneurs en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels arrières en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels ailiers en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels ailiers-forts en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels pivots en équipe de France à l’EuroBasket ?\n\nPhoto : Equipe de France (FFBB)
user	Pro B : Gerry Blakes de Limoges à Saint-Vallier
assistant	Saint-Vallier, 14e de Pro B l’an passé, vient de s’offrir les services de Gerry Blakes (1,93 m, 28 ans). En provenance de Limoges, l’Américain est un atout de poids.\n\nLe club de la Drôme ponctue son recrutement de la plus belle des manières. Le Limougeaud Gerry Blakes s’est engagé avec Saint-Vallier, pensionnaire de Pro B. Blessé quasiment toute la saison (seulement trois matches joués), l’Américain de 28 ans s’était surtout illustré à Cholet il y a deux ans, avec 10 points de moyenne en sortie de banc.\n\n« Nous avons le plaisir d’accueillir Gerry Blakes, poste 2 qui arrive de Limoges. Gerry est un arrière scoreur qui est passé par les premières divisions italiennes, allemandes et françaises. Joueur très agressif ballon en main, il va nous amener du scoring et de la création », s’est félicité Philippe Namyst, coach du SVBD.\n\nIl s’agit de la quatrième arrivée annoncée cette semaine après le meneur Nadyr Labouize (1,88 m, 24 ans), le pivot Kentan Facey (2,06 m, 28 ans) et l’ailier fort Charles Nkaloulou (2,00 m, 28 ans).\n\nPhoto : Gerry Blakes (Limoges)
user	Betclic Elite : les audiences de la saison sur BeIN Sports, France 3 et Sport en France
assistant	Quels scores d’audiences pour le championnat de France ? La saison 2021-2022 de Betclic Elite a été suivie par nombre de spectateurs à la télévision, portée par ses locomotives, dont l’ASVEL.\n\nMalgré les incertitudes liées à l’absence de diffuseur traditionnel en début de saison, plus de 70 matches du championnat de France ont été retransmis à la télévision lors de l’exercice 2021-2022, répartis sur trois chaînes différentes.\n\nFrance 3, via ses chaînes locales et régionales, a retransmis 13 rencontres de saison régulière et 3 de playoffs, en clair, pour une audience moyenne de 50 000 téléspectateurs.\n\nBeIN Sports, diffuseur payant qui a récupéré les droits de la Betclic Elite à compter de fin décembre, a diffusé 28 matches dont 10 de playoffs, avec les cinq manches des finales en exclusivité. Son audience moyenne est estimée à 35 000 téléspectateurs.\n\nDiffuseur le plus régulier tout au long de l’exercice, Sport en France a retransmis 30 matches de saison régulière et un de playoffs, en clair, pour une audience moyenne de 20 000 téléspectateurs.\n\n\n\n\n190 000 téléspectateurs devant ASVEL – Dijon\n\nLe remake de la finale de la saison précédente entre l’ASVEL et Dijon le 10 octobre dernier est le match qui a le plus attiré de téléspectateurs. On en dénombre 117 000 de moyenne sur France 3 Rhône-Alpes (8,7 % de pdA), 58 000 sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté (11,6 % de pdA), et 15 500 devant Sport en France, soit plus de 190 000 spectateurs de moyenne réunis devant leur télévision.\n\nA noter que c’est le match 2 des playoffs entre Strasbourg et Monaco le 28 mai dernier qui a réalisé la plus belle part d’audiences de la saison avec 11,7 %, soit 32 000 téléspectateurs un samedi en début d’après-midi, sur France 3 Alsace (audience non mesurée sur France 3 Côte d’Azur).\n\nSur Sport en France, le record de la saison est le match entre Dijon et Bourg-en-Bresse le 29 janvier dernier avec près de 29 000 téléspectateurs de moyenne.\n\nsource : médiamétrie\n*dans le cas de BeIN Sports, les audiences n’ont pas systématiquement été mesurées au match par match\n\nPhoto : Elie Okobo (Infinity Nine Media)
user	Espagne : Fabien Causeur prolonge au Real Madrid pour deux saisons
assistant	Fabien Causeur (1,96 m, 35 ans) continuera à porter le maillot blanc du Real Madrid, après avoir conclu un accord de prolongation de contrat de deux ans.\n\nFabien Causeur vient de terminer sa cinquième saison avec le club, et il a été le joueur décisif de la finale du championnat espagnol avec le Capverdien Walter Tavares. Lors du quatrième et dernier match contre le Barça, il a marqué huit points décisifs dans les quatre dernières minutes, dont un panier à trois-points et un 2+1. Malgré ses contacts avec Vincent Collet, le Breton ne sera pas de l’équipe de France à l’EuroBasket en septembre prochain.\n\nPhoto : Fabien Causeur (Euroleague)
user	La FIBA laisse une chance à l’Euroleague de libérer ses internationaux pendant les fenêtres
assistant	Alors que la FIBA a déjà annoncé son calendrier pour les fenêtres internationales de qualification à la Coupe du monde, l’Euroleague devrait bientôt annoncer le sien pour la saison prochaine.\n\n« La fenêtre de novembre a été une opportunité ratée d’une démonstration de la bonne foi de l’Euroleague », analysait en décembre dernier Andreas Zagklis, le secrétaire général de FIBA. En sera-t-il de même la saison prochaine ?\n\nAprès l’annonce du calendrier international par la FIBA, celui de l’Euroleague devrait bientôt suivre. Une annonce scrutée de près par la fédération internationale. Alors qu’un changement de présidence se présente au sein de l’Euroleague, avec probablement Dejan Bodiroga à sa tête, une cohabitation plus saine entre les deux entités est espérée.\n\nCela résoudrait en partie le problème de ne pas voir les plus grands joueurs sous le maillot de leur sélection nationale lors des phases qualificatives aux compétitions internationales. La balle est dans le camp de la grande ligue européenne pour unifier le calendrier.\n\nPhoto : Shane Larkin (FIBA)
user	Coupe du monde U17 : les Bleuets défieront la Slovénie en quarts de finale
assistant	L’équipe de France U17 affrontera la Slovénie en quarts de finale de la Coupe du monde ce vendredi à Malaga (18h30).\n\nLes choses sérieuses commencent pour les Bleuets. Larges vainqueurs du Japon mercredi après-midi, les garçons de Bernard Faure sont toujours invaincus dans cette compétition, au stade des quarts de finale. Ils connaissent désormais leurs futurs adversaires : les Slovènes.\n\nLa Slovénie a battu l’Argentine en huitièmes de finale (69-55) grâce notamment à son – nouveau – prodige du Real Madrid, Jan Vide (20 points à 6/25 aux tirs, 8 passes décisives et 6 rebonds pour 12 d’évaluation en 34 minutes). Au premier tour, le pays de Luka Doncic avait pris le dessus sur le Mali (65-56) avant de tomber contre Team USA (55-88) et enfin de l’emporter tranquillement face au Liban (84-51).\n\nLes Bleuets seront eux privés de Noah Penda, blessé à la cheville, et peut-être de Pacôme Dadiet, touché au poignet, préservé en huitièmes. Mais cette génération 2005 a de la ressource, elle abordera son quart en favori vendredi (18h30), avec l’objectif de rejoindre samedi le vainqueur d’Espagne – Australie en demie.\n\nTableau\n\nPhoto : Bernard Faure (FIBA)
user	WNBA : Record de points pour Iliana Rupert face au New York Liberty de Marine Johannès
assistant	Les Las Vegas Aces d’Iliana Rupert n’ont pas réussi à stopper un New York Liberty record, porté par Marine Johannes et Sabrina Ionescu, dans la nuit de mercredi à jeudi (116-107).\n\nC’est une soirée record en WNBA. Notamment pour nos Frenchies. Arrivée à la mi-juin aux Etats-Unis, Iliana Rupert s’affirme petit-à-petit dans la rotation des Las Vegas Aces. Contre New York, elle a notamment battu son record de points avec 13 unités en 23 minutes, le tout à 5/7 aux tirs dont 3/4 à 3-points.\n\n\nThe Rook can shoot 🔥@Iliana_rups // #ALLIN pic.twitter.com/wYVGcd5sP4\n\n— Las Vegas Aces (@LVAces) July 7, 2022\n\n\nLa désormais ex-Berruyère n’a toutefois pas pu éviter la défaite de son équipe. La faute à Marine Johannès, 11 points et surtout 9 passes décisives (son record en WNBA), et à une orgie offensive du Liberty, qui a tout simplement établi un nouveau record de franchise avec 116 points inscrits pour se replacer dans la course aux playoffs.\n\n\nSabrina Ionescu dans l’histoire : premier triple-double à plus de 30 points !\n\nPlus encore, New York a pu compter sur une Sabrina Ionescu de gala. Elle est devenue lors de cette rencontre la première joueuse de l’histoire à réussir un triple-double à plus de 30 points en WNBA (31 points, 13 rebonds, 10 passes décisives). C’est aussi son troisième triple double en carrière, ce qui la place au niveau de Candace Parker.\n\nPhoto : Marine Johannes / Iliana Rupert (Las Vegas Aces)
user	Mike James serait prêt à accepter l’offre de Monaco
assistant	Malgré ses envies de NBA, Mike James (1,85 m, 31 ans) serait sur le point de prolonger à Monaco selon Eurohoops.\n\nC’était l’une des principales interrogations de l’intersaison monégasque. La prolongation de Mike James n’est pas loin d’être bouclée selon Eurohoops. Le média avance que le meneur américain ne serait pas indifférent à l’offre en cours, qui serait supérieure à 2 millions d’euros par an.\n\nLes conditions définitives et la durée du contrat resteraient à convenir. L’ancien du CSKA Moscou tournait à 16,4 points, 5,8 passes décisives et 3,2 rebonds de moyenne la saison dernière en Euroleague, étant récompensé dans le cinq majeur de la compétition.\n\n\n\nL’objectif annoncé de l’AS Monaco restera les playoffs d’Euroleague mais aussi de remporter ce titre de champion de France qui a échappé à la Roca Team dans un match 5 à rebondissements. Mike James devrait faire équipe avec Elie Okobo et Jordan Loyd sur les lignes arrières. Officialisation(s) à suivre.\n\nPhoto : Mike James (LNB/Hervé Bellenger)
user	Coupe du Monde 2023 : Les Serbes dans de sales draps
assistant	Déjà absente des Jeux Olympiques de Tokyo, la Serbie est dans une mauvaise posture avant d’aborder la deuxième phase des qualifications à la Coupe du Monde.\n\nMalgré la présence des NBAers, Nemanja Bjelica et Boban Marjanovic, la Serbie a perdu, lors de la fenêtre de juillet, en Lettonie puis surtout à domicile face à la Belgique. Le groupe A dans lequel se retrouvent les Serbes doit maintenant rencontrer le groupe B dans lequel ne figurent plus que trois équipes après la mise à l’écart de la Biélorussie. Cela implique que la FIBA ne prend en compte que les matchs du groupe A qui ont été disputés contre les équipes qualifiées, de sorte que toutes ont disputé un total de 6 matchs. Conséquence néfaste pour les les Serbes, ils se retrouvent avec un bilan de 1 victoire pour 3 défaites.\n\nLa Serbie va maintenant avoir à faire à la Grande-Bretagne, la Turquie et la Grèce. Elle n’a plus son sort entre ses mains. Il faut savoir que son point-average particulier vis à vis de la Belgique et de la Lettonie est négatif.\n\nLe traumatisme est profond dans ce pays qui est une terre glorieuse du basket-ball. On cherche des explications. Lors des matchs à Riga et à Nis, l’entraîneur Svetislav Pesic a déploré les absence de Nikola Kalinić, Vladimir Lučić, Nikola Jokić, Vasilij Micić, Bogdan Bogdanović, Nemanja Nedović, Miloš Teodosić, Nikola Milutinov, Danilo Andušić, Aleksej Pokuševski, Marko Gudurić, Nikola Jović, et Stefan Jovic... Les raisons : des blessures, des franchises NBA qui allument le feu rouge, et aussi des joueurs qui veulent profiter des vacances.\n\n« Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles les joueurs mentionnés ne faisaient pas partie de la formation des « aigles », mais à part les blessures ou l’interdiction de club, peu peuvent être considérées comme justifiées, » écrit MaxbetSport. « Alors que dans le passé, les gens venaient en équipe nationale avec « une jambe en bonne santé », aujourd’hui, cette invitation est facilement rejetée. L’excuse selon laquelle un joueur ne peut pas jouer pour la Serbie en raison d’un repos ou d’un entraînement individuel était autrefois un « péché mortel », alors qu’aujourd’hui elle est pleinement soutenue. Une invitation à l’équipe nationale serbe était un honneur pour chaque joueur, tout sauf une médaille était considéré comme un échec. Aujourd’hui, lorsque les individus considèrent cet appel comme un appel à l’armée, la qualification dans les grandes compétitions est remis en question. »\n\nLe constat est impitoyable : les Serbes perdent peu à peu le culte de l’équipe nationale.\n\nPhoto : FIBA
user	Matthieu Gauzin (Gravelines-Dunkerque) : « Rester une heure au téléphone avec son futur entraîneur, c’est rare »
assistant	Le jeune meneur du Mans Matthieu Gauzin (1,91 m, 21 ans) a décidé de quitter la Sarthe pour le Nord. Un nouveau départ pour poursuivre sa progression auprès de J.D. Jackson, entraîneur qu’il a croisé au tout début de sa carrière.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nVous avez quitté Le Mans pour Gravelines cet été, racontez-nous les coulisses de ce changement de cap ?\n« Je suis très content de ma signature. Ils ont un beau projet pour moi donc cela me fait plaisir de venir. Les négociations se sont faites très rapidement, tout s’est décidé au bout d’une semaine. C’est vraiment un club qui me voulait, c’est la raison pour laquelle j’ai signé. »\n\nComment se sont passées les discussions avec votre futur entraîneur, J.D. Jackson, que vous connaissez très bien ?\n« J’ai eu au téléphone le coach JD pendant au moins une heure. On a parlé de tout : de ma saison, la prochaine... Rester une heure avec son futur entraîneur, c’est rare. Je pense que ce n’est pas commun de rester aussi longtemps au téléphone, c’est une bonne chose. La communication, c’est la clé. »\n\nVous allez découvrir Sportica, l’une des salles les plus chaudes de France...\n« C’est vraiment lourd ! La dernière fois où je suis venu, c’était au moment du carnaval (13 mars dernier). C’était incroyable ! Si l’ambiance est comme cela tous les week-ends, c’est magnifique. Ils te poussent à gagner et à réaliser de grandes choses là-bas. »\n\n\n« Je pense qu’on sera tous les deux gagnants dans ce deal »\n\nComment jugez-vous votre saison au Mans ?\n« Oui je suis satisfait de ma saison, mais je suis un compétiteur et je me dis que j’aurais pu faire mieux. J’avais bien commencé puis j’ai eu un trou de trois mois, je dirais. J’ai remonté la pente ensuite. Avec l’équipe on n’a pas pu accrocher les playoffs, c’est comme ça. Je n’ai pas pu aider mon équipe à gagner, c’est un peu dommage. »\n\nQu’est-ce qui permettra à vous et au BCM de franchir un palier et d’atteindre les playoffs ? « Je pense qu’il faut que je capitalise sur ma fin de saison au Mans tout en rajoutant un autre step pour faire gagner mon équipe. Je pense qu’on sera tous les deux gagnants dans le deal. Le plus important c’est de gagner, tout est positif quand ça l’est. »\n\nIl ne fait pas souvent beau dans le Nord, ce n’est pas grave d’habiter sous la pluie ? « Ce n’est pas trop grave, ça (rires). Je préfère vivre dans une petite ville comme ça, je suis pleinement concentré. Je ne suis pas loin de tout donc c’est parfait. À part pour le basket, je ne suis jamais allé à Gravelines mais je pense que ce sera bien ! Je vais venir début août pour commencer à m’entraîner là-bas, m’occuper de mon appartement. »\n\nL’avis de J.D. Jackson : « Il fallait trouver un remplaçant pour Abdou (Abdoulaye Ndoye) donc on a signé Matthieu Gauzin. Le marché des joueurs français, talentueux ou avec un fort potentiel se déroule très vite. On avait une ouverture sur lui et on n’a pas perdu temps. C’est un joueur que je connais bien parce qu’il a été formé au Mans, de la même génération que mon fils (Liam). Ils ont joué ensemble. Je l’ai suivi par rapport à ce contexte d’année en année. Je pense qu’il est prêt pour confirmer ce qu’il fait depuis deux ans. Il est de plus en plus consistant. On va lui donner une ouverture pour montrer ce qu’il sait faire de manière plus constante. Je pense qu’il est content et très motivé. C’est un joueur très agressif des deux côtés, très rapide. Il a une vitesse de pointe assez impressionnante pour attaquer le panier, courir en contre-attaque et mettre de la pression défensive. C’est un bosseur très sérieux. Matthieu va continuer à progresser de jour en jour. Il a montré plusieurs fois sur deux ans qu’il avait le niveau. Il n’a pas fait une saison très constante et il est largement capable de le faire. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nVous avez quitté Le Mans pour Gravelines cet été, racontez-nous les coulisses de ce changement de cap ?\n« Je suis très content de ma signature. Ils ont un beau projet pour moi donc cela me fait plaisir de venir. Les négociations se sont faites très rapidement, tout s’est décidé au bout d’une semaine. C’est vraiment un club qui me voulait, c’est la raison pour laquelle j’ai signé. »\n\nComment se sont passées les discussions avec votre futur entraîneur, J.D. Jackson, que vous connaissez très bien ?\n« J’ai eu au téléphone le coach JD pendant au moins une heure. On a parlé de tout : de ma saison, la prochaine... Rester une heure avec son futur entraîneur, c’est rare. Je pense que ce n’est pas commun de rester aussi longtemps au téléphone, c’est une bonne chose. La communication, c’est la clé. »\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Matthieu Gauzin (FIBA)
user	« Des filles en or », le reportage sur la saison du Tango Bourges Basket
assistant	En l’honneur de la fabuleuse saison du Tango Bourges Basket, les équipes de France 3 Centre-Val-de-Loire retracent dans un documentaire la belle aventure berruyère.\n\nUne année quasi-parfaite. Un doublé coupe d’Europe – championnat de France et une finale de Coupe de France, le Tango Bourges Basket a (presque) tout raflé cette saison. Pour célébrer cette aventure, les équipes de France 3 Centre-Val-de-Loire ont réalisé un documentaire nommé « Bourges Basket : des filles en or »\n\nDiffusé dimanche dernier, le long métrage de 26 minutes retrace l’épopée avec les joueuses berruyères. La journaliste, Céline Durchon, a retrouvé, au Prado, Sara Michel, la capitaine Élodie Godin ou encore l’entraîneur Olivier Lafargue pour évoquer cette saison 2022 gravée dans l’histoire du club. Pour voir le documentaire : cliquez ici.\n\nPhoto : Iliana Rupert et Pauline Astier (FIBA)