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Le meneur américano-portoricain Kyle Vinales débarque au SLUC Nancy
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Nancy a trouvé son meneur étranger, Kyle Vinales (1,88 m, 30 ans), qui arrive tout droit de Porto Rico, pour la saison prochaine.\n\nL’effectif nancéien prend forme. Après la prolongation de Caleb Walker et des arrivées de Donte Grantham, Roberto Gallinat, Clément Frisch et Aurèle Brena-Chemille, le SLUC Nancy a annoncé l’arrivée du meneur américain de 30 ans, Kyle Vinales, pour la saison 2022-2023.\n\nCe meneur de jeu américano-portoricain a joué pour onze clubs différents depuis 2015 et sa sortie d’université (Central Connecticut), dont huit saisons à Porto Rico. Après un début de saison en ABA League, il a repris début avril avec les Mets de Guaynabo, où le natif du Michigan a compilé 15,4 points à 43,2 % aux tirs (dont 38,8 % à 3-points), 5,7 passes décisives et 2,4 rebonds en 34 minutes de moyenne sur 27 matches.\n\nIl compte à son actif quasiment trois saisons entières en Europe, dont à Kalev/Cramo en Estonie et VTB League, et à Liektabelis en Lituanie. Réputé complet, rapide, scoreur et bon passeur, il devrait apporter son expérience en Lorraine.\n\n« C’est un joueur complet qui a joué trois pleines saisons en Europe de l’Est. Ces championnats offrent beaucoup de jeu de passes. Un style de jeu qui nous caractérise et que nous souhaitons continuer à mettre en plan en Betclic Elite. Kyle est ce joueur qui a également une grosse qualité de shoot dans la zone intermédiaire, ce qui permet de fragiliser le bloc défensif adverse », confie Sylvain Lautié, entraineur du SLUC Nancy, par communiqué.\n\nPhoto : Kyle Vinales (FIBA)
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Boris Dallo prolonge son bail de deux saisons à Cholet
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Artisan de la bonne deuxième partie de saison choletaise, Boris Dallo (1,96 m, 28 ans) a décidé de prolonger son bail avec le club des Mauges jusqu’en 2024.\n\nLes négociations ont pris quelques semaines mais Boris Dallo sera toujours à Cholet la saison prochaine, et même la suivante. L’arrière-ailier et le club des Mauges, quart-de-finaliste sortant du championnat de France, sont désormais liés jusqu’en 2024.\n\nPièce incontournable du cinq majeur choletais la saison dernière, le « French knife » a compilé 7,8 points, 3,7 rebonds, 3,0 passes et 1,1 interception pour 9,2 d’évaluation en 34 matches. Il s’agit de la troisième prolongation de contrat après T.J. Campbell et Dominic Artis.\n\nLaurent Vila, coach de Cholet : « Nous sommes satisfaits de pouvoir enregistrer une signature de plus par rapport à notre projet qui est de travailler dans la continuité. Boris fait partie des joueurs qui ont été très actifs la saison dernière et nous avons pu observer toutes ses compétences qui lui valent le surnom de « French knife ». Il a cette capacité à créer du jeu, à jouer sans ballon, à scorer sous le cercle et à 3-points, à défendre, à prendre des rebonds... Il y a aussi des choses que l’on voit moins mais qui sont toutes aussi importantes, comme le lien qu’il crée entre l’ensemble des joueurs dans le vestiaire et avec le staff et comme son implication permanente dans le bon fonctionnement de l’équipe. Je pense que Boris a également trouvé en Cholet Basket un pied à terre qui lui convient bien, avec la proximité de Nantes où il a toute sa famille et puis un terrain d’expression qui lui correspond et qui est fidèle à ce qu’il recherchait certainement depuis des années. C’est encore une fois une signature intéressante, qui va ravir l’ensemble de nos abonnés, bénévoles, partenaires et supporters. »\n\nPhoto : Boris Dallo (Thomas Savoja)
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WNBA : Marine Johannes : «Elles me font confiance, donc ça m’a rendu plus confiante dans mon jeu»
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Tout continue de rouler pour Marine Johannes (1,78 m, 27 ans), qui a marqué 17 points cette nuit contre les Los Angeles Sparks.\n\nLa Normande a inscrit tous ses tirs du champs à trois-points (5/9) plus 2 lancers-francs sur 3 tentatives. Elle a ajouté 4 rebonds, 4 passes, 2 interceptions et même 1 contre. Seule la joueuse de Los Angeles, Nneka Ogwumike (22 points) a été plus productive offensivement. On notera aussi le presque triple double de Sabrina Ionescu avec 14 points, 9 rebonds et 8 passes. Seul bémol pour le Liberty, sa défaite 74-84.\n\n« Je pense que c’est vraiment différent de jouer à l’étranger. Je pense que c’est plus intense et le rythme n’est vraiment pas le même ici, donc c’était difficile les premiers jours. Mais je me sens mieux. Je pense à l’équipe, à l’entraîneur et aux joueuses. Elles m’aident vraiment avec mon jeu sur le terrain et tout le reste. J’ai l’impression qu’elles me font confiance, donc ça m’a rendu plus confiante dans mon jeu. Donc je me sentais bien, et je me sens toujours bien », a déclaré la Française au Netsdaily. « Je pense que l’objectif est de se qualifier pour les playoffs. Je pense que nous sommes une super équipe. Nous jouons beaucoup mieux ces dernières semaines. Nous en sommes heureuses et je pense que nous devons continuer comme ça. »\n\n\nThe @Withings Highlight of the Game is MJ’s back-to-back 👌in the first quarter. 🗽 pic.twitter.com/qzj9OYYoqz\n\n— New York Liberty (@nyliberty) July 4, 2022\n\n\nPhoto : Liberty
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Après six saisons en NBA, Tomas Satoransky est de retour à Barcelone
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L’international tchèque Tomas Satoransky (2,00 m, 30 ans) quitte la NBA pour revenir à Barcelone, où il avait déjà joué de 2014 à 2016. Il s’est engagé jusqu’en 2026.\n\nLe Barça tient son duo de choc tchèque. Après l’arrivée de Jan Vesely pour trois saisons, le club catalan a officialisé le recrutement de Tomas Satoransky. L’ancier NBAer s’est engagé pour quatre saisons avec le demi-finaliste sortant de l’Euroleague.\n\n« Un jour, je veux soulever un trophée avec vous », avait-il écrit à l’été 2016 lors de son départ pour la NBA. Six ans plus tard, voilà le Tchèque de retour, sous la houlette de Sarunas Jasikevicius cette fois-ci.\n\nIl sort de sa saison NBA la plus délicate, passée entre trois équipes : les New Orleans Pelicans, les San Antonio Spurs et les Washington Wizards. Le combo guard tournait à 3,6 points, 2,3 rebonds et 3,3 passes décisives de moyenne en 55 matches.\n\n\nBEN TORNAT A CASA, @satoransky! 🔵🔴 pic.twitter.com/vwQ44FKf79\n\n— Barça Basket (@FCBbasket) July 4, 2022\n\n\nPhoto : Tomas Satoransky (FIBA)
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Le Belge Hans Vanwijn de retour en France, direction Nanterre
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Après une saison en Espagne, l’ancien Dijonnais Hans Vanwijn (2,07 m, 27 ans) fait son retour dans le championnat de France. L’international belge s’est engagé pour une saison à Nanterre.\n\nNanterre mise à 100 % sur des joueurs déjà passés par le championnat de France. Après Hamady Ndiaye, Justin Bibbins, Rion Brown et Miralem Halilovic, le club des Hauts-de-Seine a sécurisé le retour de l’ailier-fort Hans Vanwijn, un mouvement qui avait été dévoilé par Sportando il y a quelques jours.\n\nL’international belge s’était révélé en France lors de l’exercice 2020-2021 avec Dijon, où il avait atteint la finale de la Coupe et du championnat de France sous les ordres de Laurent Legname. Il tournait alors à 11,3 points à 45 % à 3-points et 5,6 rebonds de moyenne.\n\nSa précédente saison fut moins productive avec Saragosse (6,4 points et 2,9 rebonds en 18 minutes), et loin des attentes collectives (maintien assuré à la dernière journée). L’intérieur arrive ainsi avec l’objectif de relancer sa carrière.\n\n\n🇧🇪 Hans Vanwijn, nouveau poste 4 de Nanterre 92 🔥🏀\n\n+ d’infos sur https://t.co/xMD1OMhK3A 👌🏼#WeAreJSF #BetclicELITE pic.twitter.com/Mvl1lrdCTU\n\n— Nanterre 92 (@Nanterre92) July 4, 2022\n\n\nPhoto : Hans Vanwijn (FIBA)
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Création de 3×3 Paris, la première équipe professionnelle française de 3×3
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La Fédération Française de BasketBall annonce la création de la première équipe professionnelle française de 3×3 : « 3×3 Paris ». Cette équipe composée de 6 joueurs participera notamment au FIBA 3X3 World Tour et au futur circuit professionnel 3×3.\n\n3×3 Paris est composée d’Alexandre Aygalenq, Paul Djoko, Vincent Fauché, Jules Rambaut*, Franck Séguéla et Alex Vialaret. Elle aura le double objectif d’enclencher un mouvement de professionnalisation de la discipline en inspirant d’autres joueurs, et de permettre à la France de gagner plus de points au ranking 3×3 mondial.\n\nLe système de qualification des nations aux compétitions 3×3 majeures étant basé sur les points accumulés par les 25 meilleurs joueurs de chaque pays, les résultats de « 3×3 Paris » auront un impact direct sur le ranking de la France dans la catégorie masculine. L’objectif est une qualification directe aux Jeux de Paris 2024.\n\nDès cette saison, « 3×3 Paris » va participer au FIBA 3X3 World Tour avec l’ambition de disputer le plus de « Challengers » et de « Masters » possibles, pour tenter de se qualifier au tournoi final d’Abu Dhabi en décembre 2022. Début 2023, « 3×3 Paris » participera également au circuit professionnel 3×3, dont les contours seront dévoilés à la rentrée.\n\nUn staff dirigé par Yann Julien et Karim Souchu encadrera l’équipe afin de placer les joueurs dans des conditions optimales de performance. le coût de fonctionnement de l’équipe professionnelle est assumé par la Fédération Française de BasketBall et l’Agence Nationale du Sport. Les joueurs bénéficieront d’un salaire fixe et auront pour objectif de remporter les prize money distribués lors des différents tournois.\n\nJean-Pierre SIUTAT (président de la FFBB) :\n\n« Depuis de nombreuses années et notamment depuis l’attribution des Jeux de Paris 2024, la Fédération Française de BasketBall n’a eu de cesse de promouvoir et développer le basket sous toutes ses formes. Le basket 3×3, nouvelle discipline Olympique, fait partie de nos axes majeurs de développement. Aujourd’hui la montée en puissance du basket 3×3 au niveau planétaire, combinée aux excellentes performances de nos équipes nationales dans cette discipline, valide tous les projets mis en place et nous incite à aller encore plus loin. Une fois de plus la FFBB innove et va de l’avant en créant cette première équipe professionnelle française de 3×3. C’est assurément une étape supplémentaire qui doit permettre, d’une part de qualifier notre équipe nationale masculine 3×3 aux Jeux de Paris 2024, aux côtés de l’Équipe de France féminine, mais également de rendre encore plus visible le 3×3 aux yeux du grand public ».\n\nRoster de l’équipe « 3×3 Paris »\n\nNomPrénomNaissanceTailleRanking MondeRanking FranceAygalenqAlexandre24/03/19971,87127043DjokoPaul02/07/19981,923633137FauchéVincent05/11/19961,9297334Rambaut*Jules06/04/19982,03883SéguélaFranck30/05/19971,98924VialaretAlex15/12/19941,9334211*Jules Rambaut, blessé, est remplacé temporairement par Sylvain Sautier:SautierSylvain14/01/19891,98173684\n\nEntraîneurs : Yann Julien et Karim Souchu
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Smart Good Things devient partenaire majeur de l’ASVEL, masculin et féminin
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Smart Good Things est une entreprise qui produit des boissons bien-être instantanées.\n\n« Smart Good Things est un écosystème d’entrepreneurs engagés qui souhaite proposer la première boisson bonne à la fois pour la santé, le collectif, et la planète, écrit la marque sur son compte facebook. Chez Smart Good Things, nous bousculons les habitudes alimentaires avec des produits ultra-innovants pour (re)donner goût au vivre ensemble. En réduisant drastiquement les déchets, l’empreinte carbone et les coûts de la pollution, nos produits dessinent le futur de la consommation. De plus, nos produits sont associés à des actions généreuses pour soutenir des engagements et des causes solidaires de nos partenaires. »\n\nSmart Good Things est déjà et pour trois ans le partenaire de l’AS Saint-Etienne en football.\n\nSon fondateur est Serge Bueno et son associé actif et ambassadeur de la marque est... Tony Parker, le président de l’ASVEL. Tout s’explique.\n\n\nPhoto : ASVEL\n\n\n@SmartGoodThings devient partenaire majeur de LDLC ASVEL Féminin et @LDLCASVEL 🤝✨#ASVElles #TeamASVEL pic.twitter.com/yhDBe3bQB3\n\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) July 4, 2022\n
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France-Hongrie : Les Hongrois vont arriver sur place seulement aujourd’hui
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En raison des grèves dans les aéroports européens, notamment français, l’équipe hongroise ne sera à pied d’oeuvre qu’aujourd’hui, à Mouilleron-le-Captif, pour le match de qualification à la Coupe du monde 2023 contre la France.\n\nLe vol de la compagnie KLM qui devait les transporter jusqu’à Nantes, via Amsterdam, a fait défaut, de sorte que les Hongrois n’ont pas pu partir hier comme prévu.\n\n« Nous avons reçu l’alerte à l’aube que le vol KLM Budapest-Amsterdam partira de l’aéroport Liszt Ferenc avec un retard important, » a déclaré Gábor Plézer, le manager de l’équipe nationale. « Aussi, on n’aurait pas pu être transféré à Nantes. On a bougé chaque pierre, organisé, négocié, et enfin réussi à résoudre le problème pour pouvoir partir le jour du match. »\n\nLe capitaine de l’équipe nationale Sztojan Ivkovics a ajouté :\n\n« C’es un voyage très fatigant et difficile qui attend l’équipe. On va pratiquement arriver à l’hôtel pour se rendre à la salle. Ce n’était pas une tâche facile, mais nous avons réussi à être là pour le match. Nous quittons Kecskemét à six heures du matin, et en fait nous serons arrivés juste à temps pour le match. Nous avons de la chance d’avoir déjà obtenu notre place pour la deuxième phase vendredi, donc maintenant nous n’avons pas de match à la mort qui nous attend en France. »\n\nPhoto : FIBA
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Wilfried Yeguete signe au Limoges CSP pour deux saisons
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Le Limoges CSP annonce la signature pour deux saisons du pivot Wilfried Yeguete (2,01 m, 30 ans).\n\nWill Yeguete sort d’une saison blanche suite à une blessure au genou. Après l’université de Florida, il avait joué successivement au Havre (une saison), à Pau (une saison), au Mans (trois saisons) et à Monaco (2 saisons). En 2020-21, il avait tourné à 4,5 points et 4,3 rebonds en 16 minutes de temps de jeu moyen.\n\nKevin Anstett, Directeur sportif du Limoges CSP : “Je suis très satisfait de l’arrivée de Wilfried au sein du club. Il a prouvé ses qualités de gagnant et leader partout où il est passé et sera une pièce cruciale dans notre groupe et notre vestiaire pour créer cette culture que nous souhaitons Massimo et moi. Wilfried sera aussi important pour être le socle défensif du système de Massimo avec ses qualités physiques et de mobilité. En attaque, nous pensons qu’il a encore une marge de progression et des qualités intéressantes pour compléter déjà les joueurs de l’équipe. Je pense que Wilfried sera une grosse plus-value pour le club dans son ensemble et j’ai hâte de son arrivée sur Limoges.”\n\nMassimo Cancellieri, entraîneur du Limoges CSP : “Avec Yeguete, nous ajouterons du physique et de l’expérience, de l’engagement et de la fiabilité. Nous comptons sur sa grande motivation pour qu’il devienne une pièce importante de notre identité.”\n\nPhoto : Eurocupbasketball
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Allemagne – Pologne : Avec 38 points, Dennis Schroder a établi un nouveau record d’Europe
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Lors de la victoire, 93-83, de son équipe sur la Pologne, le meneur de jeu allemand Dennis Schroder (1,85 m, 28 ans) a battu avec 38 points le record pour un match de qualification à la Coupe du Monde dans la zone européenne.\n\nLa Pologne est ainsi éliminée de la course à la qualification, et ce sont l’Allemagne, l’Estonie et Israël qui accèdent à la deuxième phase.\n\nSchroder a transformé 10 de ses 25 tirs du champ (7/18 à trois-points), et 11 de ses 12 lancers-francs. Il a ajouté 7 rebonds, 5 passes, et 1 interception pour 4 balles perdues.\n\n« Nous avons besoin de talents individuels, mais nous avons d’abord besoin de l’équipe. Ce soir, vous avez vu une formidable performance individuelle de Dennis Schroder, mais nous avons d’abord eu l’équipe, » a insisté le coach Gordon Herbert.\n\n« Ce fut un match acharné des deux côtés. Nous savions tous à quel point ce match était important pour notre pays. Je pense que nous pouvons être fiers de nos efforts même si nous avons manqué de peu la victoire », a commenté AJ Slaughter, qui a été le top scoreur polonais avec 32 points à 11/17 aux shoots.\n\nPhoto : Dennis Schroder (FIBA)
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La Croatie n’ira pas à la Coupe du Monde !
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La Croatie est la première puissance du basket mondial à tirer un trait sur une participation à la Coupe du Monde 2023.\n\nC’est Lauri Markkanen qui a marqué le trois-points de la victoire pour les Finlandais à quatre secondes du buzzer. 79-81. La Croatie avait pourtant 8 points d’avance à deux minutes de la fin, et Lovro Gnjidic, 21 ans, a eu l’occasion, sur la ligne des lancers-francs, de faire une différence définitive juste avant le coup de poignard de Markkanen, mais il a loupé ses deux essais.\n\n« Nous avions tout entre nos mains. Nous avons raté 13 lancers francs, dans un match comme celui-ci, c’était trop », a commenté le coach Damir Mulaomerovic. « Nous avons dit que le ballon devait aller à Bogdanovic et Hezonja, je ne sais pas comment il est arrivé à Gnjidic. Mais je ne le blâme pas, il est jeune, ça grandit. »\n\nCette élimination prématurée entraîne le pays un peu plus dans la déprime.\n\n« L’équipe nationale joue avec des individualités, elle n’a pas trois actions coordonnées, et quand de telles défaites sont enregistrées, il y a des excuses comme quoi nous n’avions pas tous les joueurs disponibles, qu’il n’y avait pas assez de temps pour préparer le match, que le monde entier joue au basket aujourd’hui... Alors jouez aussi, personne ne vous arrête, écrit Sport Net. Vous avez encore le Championnat d’Europe cette année, et après je ne sais pas ce qu’on va faire et comment on va le faire. La Croatie remportera-t-elle le prochain tour de qualification pour le Championnat d’Europe dans la compagnie toujours désagréable des Irlandais et des Chypriotes ? Ce serait une gifle de ne pas le faire et ça creuserait un nouveau fond. »\n\nPhoto : Lauri Markkanen (Finlande, FIBA)
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Boulogne-Levallois officialise la venue de Victor Wembanyama
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C’est désormais officiel : Victor Wembanyama (2,19 m, 18 ans) jouera la saison prochaine aux Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois.\n\n« Je suis très heureux de m’engager avec les Mets. Le club est très ambitieux. J’ai hâte d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs, » déclare celui qui est attendu comme numéro 1 de la draft NBA 2023.\n\nVictor Wembanyama a été élu deux fois Meilleur Espoir du championnat de France et il sort d’une saison à Villeurbanne à 9,4 points et 5,1 rebonds en 16 matches de Betlic Elite/18mn de moyenne.\n\nLe coach Vincent Collet : « Je suis ravi que Victor Wembanyama ait choisi de rejoindre les Metropolitans 92. Nous sommes fiers de l’accueillir ici à Levallois. Victor est l’un des plus grands espoirs du basket mondial, son arrivée s’inscrit pleinement dans le projet de développement du club. »\n\nLe directeur des opérations sportives Alain Weisz : « C’est un grand honneur d’accueillir Victor au sein des Metropolitans 92. Il fera partie d’un effectif composé de jeunes espoirs et de joueurs expérimentés sous la coupe du coach Vincent Collet. Je ne doute pas que le jeu prôné par le coach de l’Équipe de France et la présence, entre autres, de Victor draineront un maximum de spectateurs les soirs de match à Cerdan. »\n\nPhoto : Infinity Nine Media
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Le match Serbie-Belgique interrompu au bout de deux minutes !
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Le match Serbie-Belgique à Nis n’a duré que 2 minutes et 6 secondes. La salle a alors été plongée dans le noir et au bout d’une petite heure, les arbitres ont renvoyé définitivement les deux équipes aux vestiaires. Le match reprendra ce lundi.\n\nSelon les règlements, l’équipe qui reçoit à une demi-heure pour effectuer une réparation. Dans le cas contraire, elle est pénalisée d’un forfait.\n\n« D’après les premiers échos qui ressortent de cette situation rocambolesque, les dirigeants serbes ont mis la pression pour faire rejouer le match ce lundi à 19h. C’est d’ailleurs ce qui aurait été annoncé par le speaker après le match et qui a été confirmé pour un journaliste serbe sur les réseaux sociaux. Mais quid du respect du règlement ? N’est-il pas le même pour tous, « petite » ou « grande » nation ? Alors certes, gagner sur tapis vert, ce n’est pas ce qu’il y a de plus glorieux mais si les règlements ne sont pas respectés, c’est la porte ouverte à toutes les dérives », écrit avec justesse la Dernière Heure.\n\nSeulement, dans la nuit, un communiqué de la FIBA allait doucher les espoirs des Belges dont certains avaient prévu de partir en vacances dès aujourd’hui :\n\n« Le match reprendra au Sports Center Cair de Nis, en Serbie, le lundi 4 juillet à 19h00 heure locale (19h00 CET) avec 7h54 à jouer dans le premier quart-temps et le score de 6-3 en faveur de la Belgique. »\n\nLes Belgian Lions sont déjà assurés de leur place au second tour. Avec 8 points, ils occupent la deuxième place, derrière la Lettonie (9 points) et devant la Serbie (8 points) alors que la Slovaquie (5 points) est éliminée.\n\n\n\nPhoto : FIBA
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Non, Luka Doncic n’est pas overrated !
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Devant 8 000 spectateurs à Stockholm, l’équipe de Slovénie a remporté une importante victoire face à la Suède lors des qualifications à la Coupe du monde 2023, 81-84.\n\n« Capitaine d’or » Goran Dragić a terminé sa carrière en équipe nationale en devenant le meilleur marqueur slovène de tous les temps. Il a également inscrit les derniers points du match, pour un total de 20. Luka Dončić a fait de son côté ce que l’on attendait de lui avec 31 points, 10 rebonds et 6 passes.\n\nL’ancienne superstar allemande Dirk Nowitzki était présente au match -sa femme est suédoise- et lorsqu’une partie du public a crié « overrated » (surestimé) à l’encontre de Luka Dončić, qui était sur la ligne des lancers-francs, il s’est joint au concert... en rigolant. Non Luka Dončić n’est pas overrated, il l’a donc montré une fois de plus !\n\nA la fin du match, Goran Dragić, qui retrouvait pour la première fois l’équipe nationale depuis le titre européen de 2017, a lâché : « Pour vous dire la vérité, je jure que ça me manque depuis cinq ans. Je ne sais vraiment pas ce qui va se passer... » Cela veut-il dire qu’il pourrait reconsidérer son départ à la retraite internationale et participer finalement à l’EuroBasket ? C’est toute la Slovénie qui en rêve.\n\n\nDirk joining in on the \overrated!\ chants to Luka 😂😭#FIBAWC | #WinForAll pic.twitter.com/YYUJRkC4Hu\n\n— FIBA Basketball World Cup (@FIBAWC) July 3, 2022\n\n\n\nFamily over everything 🐐🤞 @swish41 @luka7doncic @kzs_si | #MFFL pic.twitter.com/hjC5ZNFvLW\n\n— Dallas Mavericks (@dallasmavs) July 3, 2022\n
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La fille de l’ancienne star du championnat de France, David Rivers, élue Miss Italie
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Le meneur de jeu David Rivers, 57 ans, fut l’un des joueurs américains les plus marquants de l’histoire du basket français. Après la NBA, il séjourna deux ans à Antibes (1993-95) avant de percer au plus haut niveau européen, principalement avec Olympiakos avec qui il a gagné l’Euroleague en 1997. Mais c’est sa fille qui fait maintenant parler de la famille...\n\nGiulia Sofia Rivers, 19 ans, originaire de Bologne -son père a porté le maillot de la Fortitudo en 1997-98-, a été élue Miss Italia dans sa catégorie d’âge. Elle fait partie des deux candidates italiennes retenues pour passer le concours de top model « Élite international Mode ». Giulia est étudiante avec le rêve de créer une marque de mode.
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Au banc des nations, les équipes nationales russes continuent de s’entraîner
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Que faire quand on ne peut plus participer aux compétitions internationales ? S’entraîner...\n\nEn mai, la Fédération internationale de basketball et sa division européenne ont suspendu la Russie des compétions internationales, que ce soit en club ou des équipes nationales, masculines et féminines, adultes et jeunes, 5×5 et 3×3. La raison : la Russie a été mise au banc des nations suite à l’invasion de l’Ukraine.\n\nC’est ainsi que l’équipe masculine n’ira pas à l’EuroBasket en Georgie, et l’équipe féminine à Coupe du Monde en Australie. Sauf rebondissement peu probable, on ne verra pas non plus les Russes aux Jeux Olympiques de Paris 2024.\n\nMalgré tout, les équipes nationales masculines et féminines se sont quand même réunies à Novogorsk en juin et ont organisé un camp d’entraînement à part entière. Pourquoi ?\n\n« Quand ils disent que le sport est hors de la politique – c’est toujours de la politique, » a déclaré le président de la fédération Andrei Kirilenko. « Et nous le savons tous très bien. Mais nous ne sommes tout simplement pas des politiciens. Nous jouons au basket, c’est tout. Il y a deux ans, tout le monde était virologue, maintenant tout le monde est devenu politicien. Ma tâche n’a pas changé : prêter une attention maximale au basket-ball et tirer parti des conditions existantes, quelles qu’elles soient. Il y a une telle situation, nous ne participons pas aux compétitions du niveau enfant au niveau adulte à aucune compétition internationale, donc nous allons faire comme ça. Nous avons un été libre, ce qui veut dire que nous donnerons du repos aux vétérans et que les jeunes auront leur propre entraînement.«\n\nPhoto : Andrei Kirilenko
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Fabien Romeyer (directeur sportif JDA Dijon) : «Dans l’imaginaire des gens, il est devenu normal que Dijon soit dans le top 5 chaque saison»
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Le directeur sportif de la JDA Dijon Fabien Romeyer s’est confié à Basket Europe suite à la saison écoulée. Il en fait le bilan et parle des compétitions européennes, de Nenad Markovic, du contexte sportif et économique de la JDA, de l’impact de l’ASVEL et de Monaco sur le championnat et, bien évidemment, du mercato.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nQuel bilan tirez-vous de cette saison ?\nSi l’on prend le bilan dans sa finalité, on perd face à l’ASVEL, c’est dommage car on n’arrive pas à éviter le sweep. On a pu compter sur un public exceptionnel mais on est tombé sur une équipe qui est passée en mode Euroleague. Sur la série, il n’y a rien à dire, ils ont amplement mérité la qualification. Si l’on prend l’ensemble de la saison et que l’on s’intéresse au « comment » on est arrivé là, la saison est très positive, avec les moyens que l’on a, de faire le top 5 en championnat, le parcours en playoffs et en Europe. On est tombés dans une poule avec Ludwigsbourg et l’Hapoel Holon qui vont tous les deux jusqu’au Final Four de la Basketball Champions League (BCL). Donc c’est une saison très positive dans ce qu’on appelle le « combien » on est arrivé mais aussi dans le comment on est arrivé là. On a eu des difficultés en début de saison. On avait gardé 60 % de l’effectif, on pensait que cela allait être une force mais ça nous a donné d’autres problèmes finalement car il y a un nouveau coach qui arrive avec des principes différents. Le temps de tout mettre en place, ça peut parfois être long. On n’a pas non plus été épargné par la Covid et les blessures. Quand on a récupéré un effectif avec des joueurs valides et qu’ils ont compris ce que le staff voulait, on a été compétitif et on est monté crescendo.\n\nComment jugez-vous la première saison avec Nenad Markovic, ainsi que votre relation avec lui ?\nOn entretient une très bonne relation, étant un ancien coach, je veux que les idées de l’entraîneur et de son staff soient focalisées sur le terrain, qu’ils n’aient pas a gérer les aléas en dehors du basket. Je travaille avec des teams managers qui font un excellent travail, totalement au service du sportif. Donc je dirais que l’on a un très bonne relation, dans l’échange notamment. Chacun est à l’écoute, on peut parler basket, de projet de jeu, des choix stratégiques, tactiques, mais aussi de recrutement donc c’est très agréable. On le fait de concert, on a un échange quotidien dont la façon joue l’équipe, ce que l’on peut améliorer... Il y a aussi un échange avec le staff au sens large, tout le monde est ouvert. Pour une première saison dans un nouveau club, ce n’est jamais simple. Il faut s’adapter au contexte de la JDA, on est club qui n’a pas non plus le plus de moyens, mais qui performe très bien. C’est un challenge qui peut ne pas être facile à accepter pour tout le monde mais le club avance dans le bon sens. Dans l’ensemble, c’est une première saison très positive, il a parfaitement géré son arrivée dans un club qui a surperformé, et a répondu présent sans trahison, sans chercher d’excuses. L’équipe était déjà construite quand il est venu, et il n’a jamais eu un mot déplacé à propos d’un joueur, jamais ! Il s’est bien adapté au club, et au territoire, ce qui, je trouve, est important. C’est capital de comprendre comment les gens travaillent et de ne pas vouloir tout révolutionner mais d’apporter sa touche personnelle.\n\nQuel va être le budget de la JDA Dijon la saison prochaine ?\nPour l’instant, on reste sensiblement sur le même budget que l’on avait cette année. Effectivement, on n’est pas dans les plus gros budgets du championnat, mais le groupe JDA travaille pour qu’à terme, on puisse se développer. La force du club, c’est d’être innovant, de trouver des idées dans son modèle économique. Les gens du club bossent sur ça tout en gardant une identité, à savoir l’exigence défensive. Quand on recrute quelqu’un, on lui présente ça, cette idée de partage. On veut un partage défensif, offensif, et avec le public. C’est important pour nous ! Après deux saisons covid, quand on voit les playoffs, il y a eu un vrai partage avec le public même si il y a la défaite au bout. C’est aussi et surtout le but d’un club, de communier avec ses fans. Le public a joué son rôle magnifiquement cette saison. La JDA arrive à fidéliser des joueurs, qui trouvent un intérêt à jouer dans ce club. Il y a un travail dans toutes les strates du club, avec une volonté commune qui est de faire avancer le club. C’est ça la force de Dijon, mais on sait que c’est très fragile, c’est le propre du haut niveau. Par exemple Burgos en Espagne, qui a remporté la BCL il y a quelque temps et qui descend en deuxième division cette saison. On sait qu’on a eu des bons résultats, donc on remet les compteurs à zéro à chaque saison. Cela nous force à retravailler, à s’investir de nouveau.\n\nQu’en est-il du mercato et des quelques mouvements déjà réalisées ?\nOn a déjà fait quelques opérations, on a une liste de joueurs qu’on a observé cette saison, mais aussi celle d’avant. On est sur un marché différent, on ne peut pas se positionner partout car financièrement on n’est pas encore au niveau des autres. Mais tout d’abord, on a un objectif qui est de fidéliser les joueurs. On a eu les prolongations de Jacques (Alingue) et Robin (Ducoté). C’est très positif pour nous, en particulier pour Robin qui est un pur produit de la formation. Au delà de ses performances, cela montre que l’on peut sortir des joueurs du centre de formation. On garde la même identité, donc c’est important qu’il soit avec nous. David Holston reste aussi, donc il y a une base de joueurs sous contrat, c’est une base de continuité. On voulait et on veut toujours garder des joueurs dont je ne peux pas dire les noms, Rashard (Kelly) en faisait partie, on avait fait une bonne offre, mais on a fait face à un club qui a pratiquement doublé son salaire, c’est comme ça. On ne se lamente pas sur le cas de Rashard (Kelly), on bascule sur d’autres options. On ne va pas perdre notre énergie sur des choses que l’on ne peut pas contrôler. C’est dommage car il avait fait une très belle saison, même si au début c’était un peu compliqué puisqu’il découvrait un nouveau championnat. Par la suite, il avait été excellent, c’est dommage de ne pas avoir réussi à le conserver. Je peux juste vous dire que l’on va essayer de garder, à minima, 50% de l’effectif. Il y a aussi Jonathan Rousselle, un JFL que l’on connait bien. En milieu d’année, à cause des blessures, on s’était déjà rapproché de lui car il jouait un peu moins à Bilbao, et puis c’est aussi un joueur que je connais déjà. Ensuite, il y a eu les départs de Terrell Gomez, et on a prêté Ilias Kamardine. Pour ce qui est du staff, je peux confirmer qu’à l’heure actuelle, on devrait poursuivre avec les mêmes personnes.\n\nIl y a deux grosses locomotives en France, ASVEL et Monaco... De quel oeil voyez-vous ça ?\nJe ne considère pas ça comme quelque chose de décourageant, c’est même plutôt positif à vrai dire, cela nous force à être plus compétitif. Plus les locomotives sont fortes, plus cela permet aux autres de se professionnaliser, cela nous force à bien travailler. Il n’y a pas véritablement de concurrence avec ces équipes-là. Donc je ne le vois pas d’un oeil négatif, c’est un vrai plus, ce qu’ils font, on le voit partout en Europe, en Espagne, en Turquie. Les grosses cylindrées sont championnes dans presque chaque championnat. Au final, les équipes d’Euroleague sont très souvent championnes dans leurs pays. On est forcé de progresser, en tout cas de ne pas stagner. L’impact de ces équipes est visible sur les plus petites équipes et sur les compétitions européennes, en particulier sur la BCL. Ce que l’on apprécie dans cette compétition, c’est qu’elle récompense le championnat, les résultats en playoffs. Quand on regarde les équipes qui participent à la BCL, elles ont joué les playoffs dans leurs ligues, ce sont des équipes légitimes, il y a une certaine éthique sportive. Si ces équipes (en BCL) progressent, c’est aussi car elles sont tirées vers le haut. Contrairement à l’Eurocup qui est illisible. Cela n’a rien à voir avec Paris et Bourg attention, mais c’est incompréhensible pour les gens. Normalement, il s’agit de la deuxième meilleure compétition en Europe, mais ce n’est pas concevable de faire comprendre au public que certains clubs soient en Eurocup, c’est impossible. Je crois en l’équité sportive et la BCL, c’est une vraie belle compétition qui ne cesse de progresser.\n\nQuels sont vos objectifs pour la saison prochaine ?\nAlors pour la Coupe de France on ne s’y projette pas encore. D’abord, le tout premier objectif, c’est de finaliser l’effectif pour la saison prochaine. On ne veut pas trop se projeter, cela reste du basique. Il faut bien se préparer, et la préparation va être un indicateur. On aimerait continuer à performer, mais comme je l’ai déjà dit, c’est fragile, tout est fragile ! La BCL n’est plus galvaudée, aujourd’hui c’est plus le cas. Avant certaines équipes ne la jouaient pas, elles faisaient beaucoup tourner, maintenant cela n’est plus possible, tout le monde joue la compétition à 100%, car il y a une belle exposition. On veut continuer d’exister sur le championnat et en Europe. Donc faisons notre préparation, et ensuite on se projettera sur la saison en temps et en heure. En tout cas, il y a toujours volonté de mouvement au sein du club, à l’image du président, de la directrice générale. Je suis arrivé il y a presque deux ans, et je peux témoigner du travail colossal qui est fait dans la structuration du club. Quand je me rappelle de Dijon il y a quelques années, je me dis « Whoa ! ». Vraiment, il y a eu une énorme évolution, et on veut continuer d’aller dans cette direction-là.\n\nAvez-vous une crainte que la vague sur laquelle surfe la JDA depuis quelques saisons s’essouffle ?\nÀ un moment ou un autre, cela risque d’arriver. Je pars du principe que si le sportif tire les infrastructures, c’est mauvaise signe, et ça n’est pas durable. Pour moi, c’est le contraire, les infrastructures doivent tirer le sportif vers le haut. Le club a superformé, mais dans le même temps, a continué d’évoluer, c’est une récompense du travail de fond. Si l’année prochaine, on finit neuvième par exemple, ce que je ne souhaite pas du tout (rires), il ne faudra pas dire que c’est une catastrophe, puisqu’en réalité c’est plus ou moins notre place en terme de budget. Avec les dernières saisons, dans l’imaginaire des gens, il est devenu normal que Dijon soit dans le top 5 chaque saison, mais la réalité, c’est que l’on superforme. Et tout ça, c’est grâce au bon travail effectué dans le club. On a ce poids positif qui est d’assumer l’excellence du travail fait en amont. Cela nous force aussi, on a cette d’obligation de se dire que, ce qui a été fait avant, il ne faut pas, et on ne veut pas le gâcher. Une mauvaise saison arrivera forcément un jour, le plus tard possible je l’espère. Il y a eu des performances au-delà de ce qui était prévu et c’est aussi ce qui fait le charme du sport ! Il y a un an, on termine premier de la saison régulière, alors qu’on est loin des budgets que proposent ces équipes. Tant que les fondations sont solides, et c’est le plus important, ça tire le sportif vers l’avant, et on veut perpétuer cela le plus longtemps possible. On prend la mesure du travail qui est fait, il manque des choses, c’est sûr donc on savoure aussi le chemin parcouru.\n\n.\n\n.\n\n\n[armelse]\n\nQuel bilan tirez-vous de cette saison ?\nSi l’on prend le bilan dans sa finalité, on perd face à l’ASVEL, c’est dommage car on n’arrive pas à éviter le sweep. On a pu compter sur un public exceptionnel mais on est tombé sur une équipe qui est passée en mode Euroleague. Sur la série, il n’y a rien à dire, ils ont amplement mérité la qualification. Si l’on prend l’ensemble de la saison et que l’on s’intéresse au « comment » on est arrivé là, la saison est très positive, avec les moyens que l’on a, de faire le top 5 en championnat, le parcours en playoffs et en Europe. On est tombés dans une poule avec Ludwigsbourg et l’Hapoel Holon qui vont tous les deux jusqu’au Final Four de la Basketball Champions League (BCL). Donc c’est une saison très positive dans ce qu’on appelle le « combien » on est arrivé mais aussi dans le comment on est arrivé là. On a eu des difficultés en début de saison. On avait gardé 60 % de l’effectif, on pensait que cela allait être une force mais ça nous a donné d’autres problèmes finalement car...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Dijon (FIBA)
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Pro B : Earvin Bassoumba, de Rouen à Denain
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L’ailier-fort Earvin Bassoumba (2,06 m, 26 ans) n’accompagnera pas Rouen en Nationale 1. Il a signé à Denain.\n\nFormé au Mans, le Franco-Congolais a passé cinq saisons à Rouen. La dernière a montré un recul vis à vis de la précédente : 6,4 d’évaluation contre 11,2 pour 4,1 points et 3,8 d’évaluation.\n\nPhoto : Maeva Parmentier (RMB)
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Coupe du monde U17 : La France submerge le Canada
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Dans le cadre de la deuxième journée de la Coupe du Monde U17, l’équipe de France a été sans pitié pour le Canada (87-55). Complète à tous les échelons, elle confirme qu’elle peut aller très loin dans la compétition.\n\nLe Canada présentait une arme spéciale avec Olivier Rioux et ses 2,28 m, mais dans le premier quart-temps, sa stature n’était d’aucune utilité face à des intérieurs français tellement plus mobiles. 10-0. Les Bleuets ont pris un départ bien différent de celui poussif contre la Serbie avec un Ilane Pietrus de feu (8 des 12 premiers points français), sous les yeux de papa Florent.\n\nLa défense de l’équipe de France était agressive à souhait, les contres-attaques meurtrières, et l’adresse extérieure très correcte. Résultat : 26-9 après un quart-temps, le Canada à 2/16 aux shoots et 8 balles perdues contre un 9/16 et 3 interceptions aux Français.\n\nAprès ce coup de massue, les Canadiens ont retrouvé leurs esprits, se rassurant sur une zone et trouvant des ouvertures à l’extérieur. De quoi faire un garrot. Avec l’ailier du Centre Fédéral Noah Penda (1,99 m) une fois encore percutant et l’ensemble des troupes -10 Français avaient scoré à la mi-temps-, l’équipe de Bernard Faure avait finalement la même avance après 20 minutes de jeu : 32-49.\n\n\n\nOn voyait quelques instants le vrai visage du Canada, qui semblait libéré de ses chaînes, mais c’était un trompe l’oeil. La belle adresse extérieure des Bleuets leur permettait d’exploser leur zone. Les Français qui obtenaient un pic à trente points juste au démarrage du quatrième quart-temps (71-41).\n\nTout était joué depuis longtemps. Tout cela permettait d’observer que les Français étaient extrêmement actifs dans la conquête de la balle, que Ilane Fibleuil (1,95m, 15 points et 6 rebonds), lui aussi du Centre Fédéral, était talentueux -ce n’est pas le seul- et qu’il faudra une opposition plus féroce pour vraiment les tester. Preuve de leur solidité défense, les Canadiens ont mis 19 de leurs 23 shoots à trois-points dans les décors.\n\nDans le même groupe, la Serbie a dominé la Nouvelle-Zélande, 120 à 72. Les Bleuets seront face aux Néozélandais mardi.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Wilson Jacques, FIBA
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Les 6 infos de la semaine : le grand chassé-croisé de Nando De Colo et Victor Wembanyama à l’ASVEL
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Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 27 juin au 3 juillet.\n\nToute l’année, Basket Europe vous informe hebdomadairement de l’actualité du basket français et européen à travers la rubrique «les 6 infos de la semaine». Celle-ci s’offre une pause estivale et reviendra à la rentrée, pour le grand lancement de la saison 2022-2023.\n\n\nL’Equipe de France surprise par le Monténégro\n\nCette semaine, l’équipe de France participe à une fenêtre de qualification au Mondial 2023, le dernier rassemblement officiel avant la préparation de l’EuroBasket (1-18 septembre). Après quatre victoires, les Bleus se sont inclinés à Podgorica, au Monténégro, après une fin de rencontre ratée. Cela ne remet pas en cause une qualification future, mais c’est une mésaventure avant d’aborder la deuxième phase en août. Dernier match de la première phase ce lundi 4 juillet à Mouilleron-Le-Captif avec la réception de la Hongrie (20h30).\n\nA relire (abonnés) – notre série sur la sélection des Bleus pour l’EuroBasket, commentée par Rémi Reverchon et Fred Weis\nQuels meneurs en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels arrières en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels ailiers en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels ailiers-forts en équipe de France à l’EuroBasket ? / Quels pivots en équipe de France à l’EuroBasket ?\n\n\nL’ASVEL perd Victor Wembanyama mais enrôle Nando De Colo !\n\nQuelques jours après son titre de champion de France, l’ASVEL a débuté la semaine par une nouvelle difficile : l’activation de la clause de départ permettant au phénomène Victor Wembanyama de quitter le club, direction Boulogne-Levallois. Mais Tony Parker, déçu de cette décision, a très vite réagi en réalisant un coup de maître, en réussissant à convaincre Nando De Colo de signer, et ce pour deux ans, d’autant que devraient suivre les signatures de Joffrey Lauvergne et Livio Jean-Charles. Lyon-Villeurbanne a tout de même officialisé les départs de Chris Jones, Dylan Osetkowski et Raymar Morgan. Chez les filles, TP a officialisé le départ de son coach et fidèle acolyte, Pierre Vincent.\n\n\nTransferts : la JL Bourg a bouclé son recrutement\n\nUne flopée de contrats ont été signés cette semaine, que vous pouvez retrouver dans nos récapitulatifs des transferts de Betclic Elite et de Pro B, et de Ligue Féminine mis à jour quotidiennement. La JL Bourg est la première équipe à afficher complet après les recrutements de James Palmer, Frantz Massenat, Isiaha Mike et James Dickey. Limoges continue son recrutement avec les arrivées de Bryce Jones et Desi Rodriguez, malgré le départ de Demonte Harper. Dijon a officiellement engagé Jonathan Rousselle, Nanterre a récupéré Miralem Halilovic, Roanne a misé sur Silvio De Sousa, et Strasbourg sur Marcus Keene. À noter les départs des Monégasque Paris Lee vers le Panathinaïkos et Danilo Andjusic vers le Partizan Belgrade.\n\n\nNBA/Euroleague : Rudy Gobert transféré, Nicolas Batum et Fabien Causeur prolongés, Amath Mbaye remplace Adrien Moerman à l’Anadolu Efes\n\nLe début de la Free Agency en NBA a agité la planète basket cette semaine. Rudy Gobert a été tradé aux Minnesota Timberwolves tandis que Nikola Jokic a signé le plus gros contrat de l’histoire à Denver et que Nicolas Batum a prolongé de deux ans aux Los Angeles Clippers. A contrario, le champion NBA Nemanja Bjelica se dirige vers Fenerbahçe, comme l’ancien Villeurbannais Jonye Jekiri. En Europe, Jan Vesely a signé un contrat pluri-annuel avec Barcelone, Fabien Causeur a rempilé au Real Madrid et Amath M’Baye a numériquement remplacé Adrien Moerman à l’Anadolu Efes. A noter que le coach Dejan Radonjic va désormais oeuvrer au Panathinaikos.\n\n\nQualif. Coupe du monde 2023 : Luka Doncic en superstar de la Slovénie\n\nLarge vainqueur de la Croatie, la Slovénie, portée par son duo Luka Doncic – Goran Dragic, a sorti le grand jeu face à la Croatie pour se qualifier au deuxième tour des éliminatoires du Mondial 2023. A noter que l’Ukraine, vainqueur de la Géorgie à Riga, en Lettonie, est elle aussi qualifiée, tandis que la Lituanie s’en est remise à son néo-international Ignas Brazdeikis pour l’emporter sur la Bulgarie.\n\n\nCoupe du Monde U17 : les Bleus démarrent par deux succès\n\nDouze jeunes joueurs nés en 2005 ont été retenus par Bernard Faure pour participer à la Coupe du monde U17 à Malaga (Espagne) du 2 au 10 juillet. En phase de groupe, les Bleuets ont bien débuté avec des victoires sur la Serbie et le Canada. Prochaine échéance face à la Nouvelle-Zélande ce mardi 5 juillet, avant les huitièmes de finale.\n\n\nMais aussi...\n\n * Le jeu concours Basket Europe : des dizaines de lots à gagner !\n * Chronique – Le mental dans le basket : le périlleux exercice du lancer-franc\n * Nicolas Batum : « Le rêve d’Evan (Fournier) est de jouer les Jeux Olympiques dans le quartier où il a grandi »\n * La mise à l’écart de Thomas Heurtel au Real Madrid : « Le moment le plus difficile de ma carrière »\n * L’équipe de France féminine de 3×3 vainqueur de la Women’s Series de Oulan-Bator / La France accélère le développement du 3×3\n * Jordi Bertomeu n’est plus le PDG de l’Euroleague !\n * Le chiffre : Le Partizan Belgrade a versé 500 000 euros à l’Euroleague pour obtenir sa wildcard\n * Première audience du procès de Brittney Griner à Moscou\n * Breanna Stewart, Emma Meesseman et Olivia Epoupa s’engagent avec Fenerbahçe\n * LNB : dix clubs labellisés en bronze, six en argent, aucun en or\n * Emilie Duvivier intègre le staff de la Chorale de Roanne\n * Vidéo : Quand un joueur lituanien de 3×3 fait sa demande en mariage au moment de la remise des médailles\n * Vidéo : Quand un moulin à vent raté se transforme en panier de l’année\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, abonnez-vous !\n\nPhoto : Nando De Colo (FIBA)
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Italie : Officiel, l’ancien Limougeaud Demonte Harper s’engage à Tortona
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Demonte Harper (1,95 m, 33 ans) ne sera plus Limougeaud à la rentrée. Il prend le chemin de l’Italie et de Bertam Derthona Tortona.\n\n« Nous sommes heureux d’accueillir Demonte dans notre projet, commente le président Marco Picchi. La négociation a été très rapide car elle est le fruit d’une volonté mutuelle qui nous rend très confiants. Nous recherchions un joueur expérimenté et de grande qualité, qui reflétait les caractéristiques techniques et tactiques nécessaires pour s’intégrer dans le groupe. Pour tous ces aspects, Harper est un tout premier choix » .\n\nL’arrière américain a été l’un des principaux responsables de la 4e place de saison régulière du Limoges CSP, apportant dans l’escarcelle 15,7 points, 3,2 rebonds, 3,5 passes et 1,1 interception.\n\n« Demonte est un joueur d’une grande expérience et polyvalent qui a joué dans différents contextes et postes. Nous sommes convaincus qu’il peut avoir un impact des deux côtés du terrain en apportant son attitude aussi en défense, » ajoute l’entraîneur Marco Ramondino.
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Serbie : Le coach Svetislav Pesic tire la sonnette d’alarme
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Devant 11 500 spectateurs à Riga, la Serbie a été mise à terre par la Lettonie (66-59). Le coach national Svetislav Pesic tire la sonnette d’alarme à l’heure d’un autre match face à la Belgique, qui au classement est à égalité avec les Serbes à la deuxième place avec 3 victoires et 2 défaites.\n\n« Nous essayons de nous préparer du mieux que nous pouvons. Pour nous, la continuité de l’équipe est menacée. Si l’on compare les matchs contre la Lettonie à Belgrade et là-bas, il est important de dire que durant cette période 23 joueurs sont passés par l’équipe pendant cinq matchs. C’est une situation alarmante, comme l’est la situation dans laquelle se trouve le basket-ball serbe. L’équipe nationale est comme une locomotive du basket-ball dans chaque pays et un indicateur de l’endroit où il se trouve. Au Championnat d’Europe en 2001, nous avons joué les quarts de finale avec la Lettonie et nous avons gagné 114-78, et 20 ans plus tard, la Lettonie est notre adversaire contre qui, quand nous voulons gagner, nous devons donner notre maximum. Nous avons fait peu de progrès en 20 ans car il n’y a du basket en Serbie que lorsque le Partizan et l’Etoile Rouge jouent, le public ne vient nulle part ailleurs, sauf peut-être à Čačak. »\n\nLe coach serbe déplore actuellement de nombreuses absences dans les rangs de l’équipe nationale :\n\n« Sur les 23 joueurs mentionnés qui ont joué dans ces cinq matchs, seuls trois ont joué dans chacun – Avramović, Kuridža et Ristic. Dans ce match à Riga, nous avons perdu trois joueurs, nous ne savons pas si Avramovic s’est cassé le bras, Bjelica a renouvelé sa blessure, Kuridza s’est blessé et ils ne se sont pas entraînés. Quant aux autres, Lučić a eu le coronavirus, il avait encore une déchirure musculaire et on ne sait pas s’il sera opéré, Teodosić s’est blessé, Micić s’est blessé au début, puis il a renouvelé la blessure. Bogdanovic est blessé, il reviendra de rééducation fin juillet et on ne sait pas s’il pourra jouer, Pokusevski était là, il n’a pas obtenu l’autorisation de l’équipe (NDRL : Oklahoma City Thunder) pour jouer les qualifications, qui ne sont pas reconnus comme compétition officielle en NBA... »\n\nIl y a tout de même une nouvelle réconfortante pour les Serbes : le retour programmé du double MVP de la NBA, Nikola Jokic :\n\n« L’accord veut que Jokić rejoindra l’équipe le 4 août au début des préparatifs, et le fait qu’il nous ait souhaité bonne chance avant la Lettonie, nous ait envoyé des messages de soutien montre à quel point l’équipe nationale compte pour lui... »\n\nPhoto : FIBA
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Qualifications Coupe du Monde : L’équipe hongroise en rade à cause des grèves dans le transport aérien
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La délégation hongroise doit se rendre à Mouilleron-le-Captif, en Vendée, pour disputer demain, lundi, à 20h30, le dernier match de la première phase des qualifications à la Coupe du Monde 2023, mais en raison des grèves dans les transports aériens, elle est actuellement en plan.\n\n« L’équipe hongroise masculine de basket-ball devait embarquer tranquillement dans l’avion pour Amsterdam (puis de là à Nantes), mais en raison du chaos dans les aéroports européens, elle ne pourra pas atteindre l’itinéraire prévu. Des retards énormes rendent le transfert impossible, donc maintenant le staff de MKOSZ cherche une solution pour amener le Benedek Váradi au match. Pour le moment on ne sait pas comment l’équipe va atteindre la France », peut-on lire sur la page facebook de la fédération hongroise.\n\nLes aéroports de Paris Charles-de-Gaulle, Marseille et Nantes, mais également en Europe, sont perturbés par les grèves et de nombreux vols ont été annulés.\n\nPhoto : FIBA
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Nicolas Batum : «Le rêve d’Evan (Fournier) est de jouer les Jeux Olympiques dans le quartier où il a grandi»
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Aux « Grandes Gueules du Sport », sur RMC, Nicolas Batum a taclé les organisateurs des Jeux Olympiques de Paris 2024, considérant qu’à ce jour, on ne sait toujours pas où se tiendra la première phase du tournoi de basket, même si l’option du Stade Pierre-Mauroy de Lille apparaît la plus probable.\n\n« Je me fiche que l’on joue à Lille. J’ai déjà joué à Lille à l’Euro 2015, c’est un des plus grands kiffs de ma carrière. Le problème est plus gros que ça. On fait les JO en France, on est une capitale européenne extraordinaire... C’est que l’on se pose cette question là vingt mois avant. On ne doit pas se la poser ! On est à Paris, bordel ! On ne sait pas où on fout le volley, on ne sait pas où on fout le hand, on ne sait pas où on fout le basket. »\n\nPar ailleurs, Nicolas Batum a défendu son équipier en bleu, Evan Fournier, à qui certain(e)s ont reproché de critiquer son désir de jouer entièrement les JO à Paris.\n\n« Ce qui m’a gêné, c’est de comparer Evan a un joueur blingbling. Pour connaître Evan depuis plus de dix ans, c’est peut-être le mec le plus passionné que j’ai pu croiser dans ma carrière. Ce mec est peut-être le plus grand compétiteur. Il est H24 100% dans ce sport-là. Il rêve des Jeux. C’est un pur Parisien. Il a grandi à Charenton, il est né quasiment à Bercy. C’est son rêve de gosse. Son rêve est de jouer les Jeux Olympiques dans le quartier où il a grandi. »\n\n\n🗣💬 \Je me fiche qu'on joue à Lille, le problème est plus gros que ça...\\n\nInvité des #GGSport, @nicolas88batum, capitaine de l'équipe de France de basket, évoque la gestion de 'organisation du tournoi de basketball des Jeux Olympiques de Paris 2024. #RMCLive pic.twitter.com/a63JKKqCeD\n\n— Les Grandes Gueules du Sport – RMC (@GGsportRMC) July 2, 2022\n\n\n\n🗣💬 \Fournier est un passionné, il veut jouer les Jeux Olympiques dans le quartier où il a grandi\@nicolas88batum, capitaine de l'équipe de France de basket et invité des GG Sport, prend la défense de son coéquipier @EvanFourmizz sur le choix du site pour Paris 2024. pic.twitter.com/VqwC9G7UDj\n\n— Les Grandes Gueules du Sport – RMC (@GGsportRMC) July 2, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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L’ancien Villeurbannais Chris Jones s’amuse avec l’Arménie dans le championnat d’Europe des petits pays
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Cela vous a peut-être échappé, mais Chris Jones (1,88 m, 29 ans), champion de France avec l’ASVEL, et qui s’est dirigé depuis à Valence, est arménien. En plus d’être américain, bien sûr...\n\nA ce titre, il dispute actuellement, à Malte, le Championnat d’Europe des petits pays. Pas sûr que cela le passionne, mais il faut bien un retour d’ascenseur au pays qui lui a offert son passeport. C’est ainsi qu’il a joué contre San Marin, Gibraltar et Andorre. On ne dira pas que c’est une compétition à la hauteur de son talent. Résultats individuels : 19 points, 7,7 passes, 5,3 rebonds et 2,7 interceptions. Bilan collectif: 3 larges victoires. L’Arménie joue la finale aujourd’hui contre Malte.\n\nOn notera que l’Arménie compte 2,9 millions d’habitants pour une surface de 29 743 km2 contre 33 000 habitants et 61 km2 à San Marin, et 33 600 habitants et 6,8 km2 à Gibraltar.\n\n\n\n🏀 Aquí, un extracto del partido de Chris Jones con Armenia y contra San Marino. En un contexto bien distinto al que tendrá en @valenciabasket, sí que muestra sus credenciales. Se puede disfrutar mucho con él en La Fonteta. ⬇️⬇️⬇️ pic.twitter.com/KssqjoUDin\n\n— Juanma Romero (@juanmaromerodm) July 1, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Ettore Messina, à propos de Gregg Popovich : «C’est une légende vivante, il n’y a pas un jour où il ne m’a pas surpris avec quelque chose»
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Le coach italien de Milan, Ettore Messina, a été cinq ans durant l’assistant-coach de Gregg Popovich aux San Antonio Spurs. Dans une interview à Blic, il a évoqué la difficulté pour un Européen de franchir le dernier échelon, devenir head coach d’une franchise NBA.\n\n« Je pense qu’il y a une résistance logique parmi les organisations de la NBA et parmi les propriétaires des clubs à faire confiance à quelqu’un qui est étranger, qui ne parle peut-être pas un anglais parfait, qui n’a pas de racines dans le pays. Et maintenant, il est de coutume de choisir des entraîneurs plus jeunes, des entraîneurs afro-américains ou des anciens joueurs. Et je le comprends, cela fait partie de la vie et je suis toujours heureux de la chance que j’ai eue aux Spurs aux côtés de l’entraîneur Popovich »\n\nMessina ne tarit d’ailleurs pas d’éloges sur l’entraîneur des Spurs :\n\n« C’est une légende vivante. Il n’y a pas un jour où il ne m’a pas surpris avec quelque chose. Sa connaissance du basket-ball et de la vie est si grande, si large. »\n\nPhoto : Euroleague
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Euroleague : Le FC Barcelone a fait une offre au Serbe Nikola Kalinic
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Le FC Barcelone est sur la piste de l’ailier serbe Nikola Kalinic (2,03 m, 30 ans), qui sort d’une saison à l’Etoile Rouge de Belgrade, mais ses droits en Espagne appartiennent à Valence.\n\nValence a maintenant cinq jours pour contrecarrer la proposition du Barça. Kalinic a joué pour le club valencien lors de la saison 2020-21.\n\nAuparavant, le Serbe avait fait un séjour de cinq ans à Fenerbahçe. La saison écoulée, à l’Etoile Rouge, il a aligné 12,6 points, 3,9 rebonds et 3,4 passes.\n\nPhoto : Euroleague
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Quand le président américain et le chef du gouvernement espagnol s’échangent des cadeaux de basket-ball
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On apprend dans As que lors du sommet de l’OTAN qui s’est tenu à Madrid ces derniers jours, le président des États-Unis, Joe Biden, a échangé avec le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez des cadeaux de basket.\n\nL’Espagnol a offert au 46e président américain le maillot de l’équipe espagnole de basket-ball, avec le nom de Biden et le numéro 46 au dos.\n\nEn échange, Joe Biden a fait cadeau à Pedro Sánchez d’un ballon de basket historique. Ce ballon, modèle Naismith, inventeur du basket en 1891, a été fabriqué au début de ce sport en Amérique, par la marque LeatherHead, l’une des premières à se lancer dans la fabrication du ballon.\n\nIl faut savoir que Pedro Sanchez, qui mesure 1,90 m, est un vrai fan de basket, qui a joué en jeunes à Estudiantes Madrid.
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ITW Mam Jaiteh: «Quand tu réussis à performer dans des championnats différents, il y a de quoi être encore plus fier»
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Entretien avec Mam Jaiteh (2,08 m, 27 ans), qui, animé par un nouveau statut, est revenu en force chez les Bleus. Au point de bousculer la hiérarchie établie ?\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nMouhammadou « Mam » Jaiteh a franchi plusieurs échelons depuis qu’il a quitté Limoges et la France en 2018. Ses différents séjours à l’étranger (Turin, Saratov, Gaziantep puis la Virtus Bologne) lui ont fait un bien fou, et il concrétise les immenses espoirs placés en lui quand il a commencé sa carrière professionnelle au SOM Boulogne. A l’époque, il avait décroché le trophée de MVP français de la Pro B, à seulement 19 ans.\n\nCette saison a été celle de la consécration avec pour la Virtus Bologne : la victoire en Eurocup synonyme de qualification à l’Euroleague, et pour Mam le trophée de MVP de la saison régulière suite à ses performances XXL. Dans une véritable all-stars team, il a réussi à cumuler une moyenne de 12,8 points à 71,1 % de réussite à 2-points, et 7,5 rebonds pour une évaluation de 18,1 – la 5e de la compétition – sur seulement 22 minutes.\n\nA 20 ans, Mam Jaiteh était déjà en équipe de France, sur le bout du bout du banc, mais il a eu ensuite des sélections par saccades et il n’en totalise aujourd’hui que 28. Ce sont les fenêtres internationales qui lui ont permis de remettre le pied à l’étrier. Il s’est ainsi fendu sur quatre matches de qualifications à la Coupe du monde, de 10,8 points à... 83,3 % de réussite aux tirs, 3 rebonds et 12,3 d’évaluation.\n\nAu-delà des deux fenêtres estivales réservées aux qualifications à la Coupe du monde 2023, se profile l’EuroBasket en Allemagne, en septembre. Mam est un vrai postulant aux Bleus, mais déboulonner le trio Rudy Gobert – Moustapha Fall – Vincent Poirier est un véritable tour de force. Dans son histoire, l’équipe de France a souffert de sa pénurie de big men. Elle est aujourd’hui dans une période d’abondance.\n\n\n« Il y a quelques années, il y avait des craintes d’effectif vis-à-vis des Etats-Unis, et c’est de moins en moins le cas »\n\nCes deux matches contre le Monténégro et la Hongrie sont-ils un moyen pour vous de montrer les progrès accomplis sur ces dernières années dans l’optique d’avoir votre place dans l’équipe pour le championnat d’Europe ?\nJe prends ces deux matches comme une opportunité. Je suis vraiment heureux de pouvoir être là. Mon but, c’est de rester dans ma lignée et d’être le plus efficace possible pour pouvoir aider l’équipe à gagner ces deux matches-là. Après, ce qui va en découler, je n’y pense pas trop, je veux faire les choses étape par étape.\n\nDepuis toujours en équipe de France, rien n’est acquis pour vous, vous êtes habitué à devoir gagner votre place ?\nOui. Je pense que de toutes façons, peu de choses sont acquises dans la vie. Mais que ce soit acquis ou pas, ce n’est pas quelque chose qui va influer sur mon approche du match et ce que je compte faire. Je reste focalisé sur le fait qu’il faut que j’aide au maximum l’équipe, être le plus productif sur ce que je peux apporter, et ensuite, on verra. Je ne me projette pas sur ce qui est acquis ou pas acquis.\n\nVous avez certainement suivi l’équipe de France, notamment aux Jeux Olympiques de Tokyo, lorsque vous n’étiez pas avec. Qu’en avez-vous pensé ?\nDéjà, je suis vraiment fier de tous ces résultats de ces dernières années de l’équipe de France. Quelque part, ça a bénéficié à tout le monde. C’est une fierté de voir la France avec tout le talent que l’on a qui réussit de plus en plus à concrétiser ça. A nous maintenant, à chaque été, à chaque fenêtre, de jouer sur cette continuité.\n\nLe niveau n’a jamais été aussi fort, à commencer par le jeu intérieur. Quand vous avez commencé, ce n’était pas comme ça ?\nCe qui est bien, c’est qu’il y a un essor de joueurs en France. C’est un peu un cercle vertueux, ça pousse tout le monde vers le haut, à en faire davantage. Il y a quelques années, il y avait des craintes d’effectif vis-à-vis des Etats-Unis, et c’est de moins en moins le cas. Ça montre la mentalité, le niveau qu’il y a, et le travail qui est fait derrière.\n\n\n« En terme d’atmosphère à Bologne, c’est vraiment spécial, surtout que l’on a eu une année avec beaucoup de victoires »\n\nVous avez énormément progressé au fil du temps. Quelle analyse portez-vous sur votre saison à la Virtus Bologne ? C’était un cap supplémentaire ?\nC’est une continuité de plusieurs choses. C’est le résultat de beaucoup de travail et d’abnégation. Je suis très heureux de cette année. Cela a été une fierté, et ça m’incite à vouloir en faire plus pour être le plus efficace possible en tant que joueur.\n\nComment est le championnat italien vis-à-vis du français ou du turc ?\nChaque championnat a ses spécificités, ses normes, sa manière de jouer. Ce qui est bien, c’est que j’ai fait plusieurs championnats où ça s’est bien passé à chaque fois. J’ai fait aussi la Russie avant la Turquie. Il faut trouver le moyen de s’adapter, de comprendre le fonctionnement. Les demandes des coaches, des systèmes de jeu sont quand même assez différents. Quand tu réussis à performer dans des championnats différents, il y a de quoi être encore plus fier. Ça montre que ce n’est pas juste une année, mais que c’est vraiment toi.\n\nL’ambiance à la Virtus est assez extraordinaire, les supporters ont l’air très chaud. C’est le maximum vis-à-vis de ce que vous avez vécu jusqu’ici ?\nClairement. J’ai vécu des ambiances vraiment chaudes à Limoges, mais en terme d’atmosphère à Bologne, c’est vraiment spécial surtout que l’on a eu une année avec beaucoup de victoires, ce qui a fait qu’il y a eu un vrai engouement, des salles pleines, une ambiance telle qu’on ne s’entendait pas sur le terrain. Je suis très content d’être dans un club qui a une fan base et des supporters incroyables.\n\nAvez-vous appris l’italien ?\nPas vraiment. Mais disons que je peux comprendre quand les gens parlent, je ne sais pas trop comment ! Je me contente de ça.\n\nIls ont le culte des anciens joueurs à la Virtus, sachant qu’Antoine Rigaudeau et Manu Ginobili ont, par exemple, joué là-bas. Vous en entendez parler tout le temps de cet héritage ?\nTout le temps, non, mais quand on a joué contre Valence, Antoine Rigaudeau était là, et là tu vois qu’il est quasiment adulé. C’est un public qui a une très bonne mémoire, qui est très reconnaissant, et quand il donne, c’est de manière très forte, très passionnée. Maintenant, je suis au courant de la façon dont il l’appelle : le Roi. Respect à lui. Et ça prouve que les supporters n’ont pas la mémoire courte.\n\nÇa fait du bien d’avoir un coéquipier français, Isaïa Cordinier, dans l’équipe ?\nOui, clairement. J’ai vécu trois années à l’étranger sans autres Français. Déjà en avoir un c’est bien, mais c’est mieux encore quand c’est un Français avec qui tu t’entends bien. Ça aurait pu être un Français avec qui tu as moins d’affinités, de feeling. Là, clairement, on se parle et on s’aide beaucoup. C’est très bien dans un environnement où la compétition est rude et les attentes élevées avec une direction très exigeante.\n\nLorsque vous étiez en Russie, vous vous sentiez isolé ?\nPartout où je suis parti, c’était quand même assez difficile. Même à Turin, qui n’est pas loin de la France, ça l’était. A partir du moment où tu quittes la France, que tu es dans un autre pays avec une autre culture, que tu es étranger et que l’on attend de toi que tu performes, que tu ne connais personne là où tu arrives, c’est forcément difficile. Après, j’essaye au maximum de me concentrer sur le fait d’être à la salle, de performer et de trouver juste deux ou trois lieux où je peux manger. A partir de là, ça peut être n’importe où, je m’adapte dans n’importe quelle circonstance.\n\nLa cuisine italienne est l’une des meilleures du monde ?\nLa cuisine turque est très bonne aussi, la russe aussi. Chaque pays a sa bonne cuisine.\n\n\n« Je suis passé par beaucoup de situations difficiles et beaucoup de remises en question »\n\nAvoir le trophée de MVP de l’Eurocup, c’est un aboutissement, une reconnaissance ?\nOui. J’étais le premier Français et le premier joueur en Italie à avoir cette distinction. Je suis passé par beaucoup de situations difficiles et beaucoup de remises en question. Je ne pense pas avoir été en bas, mais j’ai dû faire face à des situations où j’étais presque à zéro, et me retrouver là maintenant, c’est la plus grande fierté. C’est un bon exemple de persévérance, de ne pas lâcher, de croire en soi.\n\nVous avez donc gagné le droit de jouer en Euroleague, mais vous n’êtes pas encore certain de rester à la Virtus ?\nÀ l’heure actuelle, je me concentre sur l’équipe de France. J’essaye de ne pas être concentré sur mon avenir en club et je laisse mes agents travailler dessus, et puis on verra ce qu’il en est.\n\nVous allez aussi participer cet été à un camp organisé par Yacine Aouadi, qui est assistant coach à Limoges. C’est une façon de continuer à s’entretenir, à se perfectionner durant l’été ?\nÇa ne s’arrête jamais ! En ce moment, il y a beaucoup de polémiques sur la durée des saisons. Nous aussi, on se sent beaucoup fatigués. Les équipes qui jouent deux compétitions par semaine se sentent exténuées à la fin de la saison, mais malgré tout ça fait partie du job. Les étés, entre les rendez-vous de l’équipe nationale, on essaie de trouver du temps pour continuer à s’améliorer. C’est comme ça que l’on maintient un certain niveau de performance. Quand on commence à se reposer sur ses lauriers, on progresse moins.\n\nAvec la prochaine fenêtre à la fin août puis l’EuroBasket, ça réduit le temps de repos ?\nJe vais avoir une semaine après les qualifs. Et ça sera mes vacances. C’est peu, mais ça fait partie des sacrifices quand on est sportif de haut niveau. On a des avantages et on a des inconvénients, comme tout métier, et il faut savoir assumer ça.\n\nVos genoux fatiguent un peu (après l’entraînement, ils sont enserrés dans des poches de glace) ?\nOh ! Mes genoux vont tenir ! Mon corps va tenir !\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nMouhammadou « Mam » Jaiteh a franchi plusieurs échelons depuis qu’il a quitté Limoges et la France en 2018. Ses différents séjours à l’étranger (Turin, Saratov, Gaziantep puis la Virtus Bologne) lui ont fait un bien fou, et il concrétise les immenses espoirs placés en lui quand il a commencé sa carrière professionnelle au SOM Boulogne. A l’époque, il avait décroché le trophée de MVP français de la Pro B, à seulement 19 ans.\n\nCette saison a été celle de la consécration avec pour la Virtus Bologne : la victoire en Eurocup synonyme de qualification à l’Euroleague, et pour Mam le trophée de MVP de la saison régulière suite à ses performances XXL. Dans une véritable all-stars team, il a réussi à cumuler une moyenne de 12,8 points à 71,1 % de réussite à 2-points, et 7,5 rebonds pour une évaluation de 18,1 – la 5e de la compétition – sur seulement 22 minutes.\n\nA 20 ans, Mam Jaiteh était déjà en équipe de France, sur le bout du bout du banc, mais il a eu ensuite des sélections par saccades et il n’en totalise aujourd’hui que 28. Ce sont les fenêtres internationales qui lui ont permis de remettre le pied à l’étrier. Il s’est ainsi fendu sur quatre matches de qualifications à la Coupe du monde, de 10,8 points à... 83,3 % de réussite aux tirs, 3 rebonds et 12,3 d’évaluation.\n\nAu-delà des deux fenêtres estivales réservées aux qualifications à la Coupe du monde 2023, se profile l’EuroBasket en Allemagne, en septembre. Mam est un vrai postulant aux Bleus, mais déboulonner le trio Rudy Gobert – Moustapha Fall – Vincent Poirier est un véritable tour de force. Dans son histoire, l’équipe de France a souffert de sa pénurie de big men. Elle est aujourd’hui dans une période d’abondance.\n\n\n« Il y a quelques années, il y avait des craintes d’effectif vis-à-vis des Etats-Unis, et c’est de moins en moins le cas »\n\nCes deux matches contre le Monténégro et la Hongrie sont-ils un moyen pour vous de montrer les progrès accomplis sur ces dernières années dans l’optique d’avoir votre place dans l’équipe pour le championnat d’Europe ?\nJe prends ces deux matches comme une opportunité. Je suis vraiment heureux de pouvoir être là. Mon but, c’est de rester dans ma lignée et d’être le plus efficace possible pour pouvoir aider l’équipe à gagner ces deux matches-là. Après, ce qui va en découler, je...\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′\n\nhide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Mam Jaiteh (FIBA)
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Vidéo rétro : Coup de projecteur sur Don Collins, alias Le Cobra
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Vous avez vu jouer Don Collins ou du moins vous en avez entendu parler ? Comment vous ne connaissez pas cet Américain, qui a été élu MVP étranger du championnat de France en 1988, 89 et 90 alors qu’il jouait à Limoges? Cet extrait d’un CSP-Orthez et ce match complet CSP-Mulhouse va vous en dire plus sur ce phénomène.\n\nPhoto : Don Collins à droite avec Michael Brooks.
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Rétro: L’évolution des terrains de basket-ball de 1919 à 2022
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Evolution dans le temps du tracé d’un terrain de basket-ball. 1919, 1925, 1936, 1951, 1984, 2022.\n\nDocuments : Musée du Basket
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Le Belge Hans Vanwijn aurait signé avec Nanterre
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Selon Emiliano Carchia de Sportando, l’intérieur belge Hans Vanwijn (2,08 m, 26 ans) aurait donné son accord avec Nanterre 92.\n\nAprès une saison 2020-21 réussie à la JDA Dijon, l’international a été embauché par Casademont Saragosse où il a été moins à son aise. Son évaluation est tombée de 13,4 à 6,6 pour 6,4 points et 2,9 rebonds en 19 minutes sur 27 matches dans le championnat espagnol. Avant son premier passage en France, Hans Vanwijn a fait toute sa carrière dans son pays.\n\n\nHans Vanwijn agreed to terms with Nanterre, sources tell @Sportando.\nThe Belgian comes from Casademont Zaragoza where he averaged 6.4 points in ACB\n\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 2, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Coupe du Monde U17 : La France ouvre par une large victoire sur la Serbie
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Les Bleuets ont confirmé qu’ils sont venus en Andalousie avec de hautes ambitions. Pour leur entrée dans la compétition, ils ont dominé la Serbie (81-68), qui est toujours une sérieuse référence.\n\nPourtant la mise en route de l’équipe de France fut laborieuse (2-13), ce qui traduisait un manque d’intensité au rebond (6 à 20 à la fin du premier quart-temps). Et puis, les Français ont commencé à exprimer leur athlétisme, notamment en défense, et le bel ordonnancement des Serbes s’est retrouvé chamboulé. La France leur a infligé un 27-8 en un peu plus de 4 minutes, et passait en tête un peu plus tard, à 31-30. Dans ce quart-temps, les Bleuets avaient pis 12 rebonds et les Serbes en avaient rendu seulement 5.\n\nLa bourrasque bleu a continué de souffler en deuxième mi-temps. 54-47, 61-47 avant que la barre symbolique des 20 points d’avance soit franchie à 75-54 (35e). Ce qui est très bien, c’est que les 12 joueurs ont scoré, et au-delà de ça, ils ont eu chacun leurs flashes. On retiendra la complémentarité du duo de meneurs, Iliane Pietrus (11 points, 4 rebonds)-Théo Pichard (2 points, 4 passes, 2 interceptions), celle des big men, Wilson Jacques (6 points, 2 rebonds)-Alexandre Sarr (10 points, 1 rebond), ou encore la robustesse de Noah Penda (13 points, 4 rebonds, 3 interceptions), qui a déjà fait sa réputations chez les adultes, en Nationale 1 avec le Centre Fédéral.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nA suivre :\n\nDimanche 3 juillet : France/Canada\n\nMardi 5 juillet : Nouvelle-Zélande/France\n\nPhoto : Noah Penda (FIBA)
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James Dickey, un pivot pour la JL Bourg
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La JL Bourg enregistre l’arrivée du pivot américain James Dickey III (2,09 m, 25 ans), en provenance de l’Hapoël Haïfa.\n\nDès la fin de son cursus universitaire avec UNC Greensboro où il prenait déjà beaucoup de rebonds (8,7 points, 9,2 rebonds, 1,7 contre), James Dickey a pris la direction de la Hongrie pour le club de Naturtex SZTE-Szedeak. Ce fut une première expérience réussie, que ce soit individuellement ou collectivement. Ses performances statistiques, 12,8 points, 13,1 rebonds, 3,1 passes, lui ont permis de figurer dans le 5 idéal de la saison du site spécialisé Eurobasket.com. Il faut dire qu’avec plusieurs performances de très haut niveau, dont une à 40 d’évaluation (24 points, 15 rebonds, 2 contres), il ne pouvait pas passer inaperçu. Avec son équipe, il atteint les demi-finales de Playoffs. La saison passée, il l’a passé entre Allemagne (Göttingen, 7 matchs) et Israël avec l’Hapoël Haïfa (22 matchs) où il évoluait avec Kadeem Allen. Dans un championnat plus relevé, sa production a été de 8,6 points, 7,0 rebonds, 1,4 contre en seulement 20,1 minutes.\n\n« James a été mon gros coup de cœur sur ce poste, révèle le coach Freddy Fauthoux. Nous avons des joueurs sous contrat qui ont des qualités offensives certaines, et je ne souhaitais pas les brider. Avec la signature de Kevin que nous allons accompagner dans son développement, il nous manquait un profil extrêmement précis pour le basket actuel, à savoir un joueur de course, vite en pied et vite au cercle. C’est la qualité première de James, qui est encore un jeune joueur en plein développement, mais très enthousiaste et engagé. Avec son envergure de 2m20 et ses qualités de course et de saut, il va nous permettre de disposer d’un jeu intérieur avec plusieurs profils complémentaires. »\n\n\nSON PARCOURS\n\n * 2016-2020 : UNC Greensboro Spartans (NCAA)\n * 2020-21 : Naturtex-Szte-Szedeak (Hongrie)\n * 2021-22 : BC Göttingen (Allemagne)\n * 2021-22 : Hapoel Haifa (Israël)\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=HnAWh5FM3Mw&ab_channel=JCKSports
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Espagne : Dylan Osetkowski, de l’ASVEL à Malaga
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Unicaja Malaga incorpore l’ailier-fort américain doté d’un passeport allemand, Dylan Osetkowski (2,06 m, 25 ans).\n\nDylan Osetkowski sort d’une saison à l’ASVEL à 9,2 points et 3,3 rebonds en Betclic Elite, contribuant ainsi au titre de champion de France. Il avait auparavant joué deux saisons en Allemagne.\n\nPhoto : Infinity Nine Media
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L’équipe de France vue par Rémi Reverchon et Fred Weis : quels pivots pour l’EuroBasket 2022 ?
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Alors que les Bleus participent à une fenêtre de qualification au Mondial 2023 cette semaine – le dernier rassemblement officiel avant la préparation de l’EuroBasket (1-18 septembre) – la rédaction de Basket Europe a demandé au journaliste de BeIN Sports, Rémi Reverchon, et au consultant numéro un du basket français, Fred Weis, leur avis quant aux chances des principaux candidats aux 12 places en équipe de France. Qui de Vincent Poirier, Moustapha Fall, Mam Jaiteh ou Mathias Lessort accompagneront Rudy Gobert dans la raquette à l’EuroBasket ?\n\nDe lundi à vendredi,Basket Europeprésente tous les principaux prétendants aux Bleus, poste par poste, pour l’EuroBasket 2022 mais aussi pour les compétions futures, la Coupe du monde 2023 et les Jeux Olympiques de Paris 2024. Ultime épisode : les pivots.\nCe dossier est exclusivement réservé à nos abonnés. Pour le découvrir mais aussi plus de 2 000 autres contenus premium,abonnez-vous!\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nPendant longtemps, le basket français a manqué de pivots dominants. Depuis quelques années, la tendance s’est inversée et le staff des Bleus dispose désormais d’une multitude de choix dans la peinture. Intouchable, Rudy Gobert sera encore une fois l’une des pièces maîtresses de l’équipe de France au championnat d’Europe. Vincent Collet avait choisi Vincent Poirier et Mathias Lessort pour l’accompagner à la Coupe du monde 2019, puis Vincent Poirier et Moustapha Fall à Tokyo. Les deux derniers cités ont de très sérieux arguments pour être reconduits, mais il faut aussi avoir un oeil sur Mam Jaiteh, MVP de la saison d’Eurocup, et avoir en tête que Joël Embiid a engagé des démarches pour obtenir la nationalité française. Une chose est sûre, pour l’Euro comme jusqu’aux prochains JO, le sélectionneur n’aura que l’embarras du choix.\n\n\nIl a sa place garantie\n\nRudy Gobert (2,16 m, 30 ans) – Utah Jazz/Minnesota Timberwolves\nStats 2021-2022 : 15,6 points à 71,4 % aux tirs, 14,7 rebonds, 2,1 contres pour 28 dévaluation en 32 minutes (66 matches NBA)\nEquipe de France : Coupe du monde 2014 (bronze) – 2019 (bronze), EuroBasket 2015 (bronze) – 2017, Jeux Olympiques 2016 – 2021 (argent) – 74 sélections\n\nSa défaite au premier tour des playoffs avec Utah est un mal pour un bien pour les Bleus car, un temps incertain pour l’EuroBasket, Rudy Gobert a bien confirmé sa présence. C’est l’assurance pour les Bleus de compter sur leur tour de contrôle, le triple meilleur défenseur de l’année en NBA. Il entamera l’an prochain sa 10e saison aux Etats-Unis, avec les Minnesota Timberwolves, franchise où il vient juste d’être transféré. Avec un tel atout dans son jeu, Vincent Collet peut en tout cas bâtir une équipe à l’ADN défensive. Comme Evan Fournier, le Picard ne vise que l’or après avoir décroché quatre médailles avec l’équipe de France.\n\nL’avis de Rémi Reverchon : «Rudy, c’est le totem de l’équipe de France, le point d’ancrage numéro un. Il est intouchable. Il sort encore d’une saison exceptionnelle sur le plan individuel, même si collectivement, c’est un échec car Utah ne passe pas le premier tour des playoffs alors que ça visait le titre. Chez les Bleus, il doit être le point central de la construction même si Evan sera le meilleur marqueur.»\n\n\nIls pourraient en être\n\nVincent Poirier (2,13 m, 28 ans) – Real Madrid (Espagne)\nStats 2021-2022 : 9,0 points à 57,1 % aux tirs, 5,8 rebonds, 1,3 contre pour 13,3 d’évaluation en 19 minutes (34 matches de Liga Endesa)\nEquipe de France : EuroBasket 2017, Coupe du monde 2019 (bronze), Qualification Coupe du Monde (2017, 2018), Jeux Olympiques 2021 (argent) – 39 sélections\n\nAprès deux saisons aux Etats-Unis, Vincent Poirier avait su rebondir à temps avec le Real Madrid pour décrocher sa place aux JO de Tokyo. Cette année a été celle de la confirmation pour le Francilien dans la capitaine espagnole : avec à la clé un titre de champion d’Espagne et une campagne d’Euroleague efficace (7,4 points, 5,5 rebonds en 18 minutes) conclue sur une finale perdue contre l’Anadolu Efes. L’ancien NBAer n’avait eu qu’un rôle secondaire l’été dernier (5,4 points, 3,0 rebonds en 11 minutes) mais son atout résidait dans le fait de pouvoir évoluer par séquence en même temps que Rudy Gobert sur le terrain. Et il est même prêt à jouer « remplaçant d’Evan Fournier » si jamais Joel Embiid obtient son passeport, c’est dire !\n\nL’avis de Fred Weis : «Comment ne pas aimer Vincent Poirier ? Peu importe le temps de jeu, il se donne à fond. Il est très athlétique, il finit très souvent au dunk, il est toujours en train d’essayer de contrer, on se rappelle notamment de ce chasedown block qu’il met contre l’Anadolu Efes en Euroleague. Il est très fort. Et surtout, on a vu qu’on pouvait l’associer à Rudy Gobert en même temps en équipe de France, ce qui peut amener doublement de la dissuasion.»\n\nMoustapha Fall (2,18 m, 30 ans) – Olympiakos (Grèce)\nStats 2021-2022 : 7,8 points à 67,4 % aux tirs, 4,9 rebonds, 1,1 contre pour 12,4 d’évaluation en 19 minutes (19 matches en Grèce)\nEquipe de France : fenêtres internationales depuis 2017, Jeux Olympiques 2021 (argent) – 21 sélections\n\nMous Fall ne compte peut-être que 21 capes et une seule compétition internationale dans les jambes, mais il est devenu sur le tard un élément important des Bleus, compilant tout de même 12 minutes de moyenne dans la rotation aux JO. Son état d’esprit irréprochable en font une valeur sûre dans un collectif. Et ses qualités de fixation à l’intérieur tirent un groupe vers le haut, en attestent ses performances avec l’Olympiakos où il a atteint le Final Four de l’Euroleague (8,2 points, 5,1 rebonds en 37 matches). Le sélectionneur des Bleus espère pouvoir compter sur lui.\n\nL’avis de Fred Weis : «Mous Fall vient de réaliser une vraie bonne saison à l’Olympiakos. C’est un vrai poste 5, à l’ancienne, capable de poster et d’être un vrai point de fixation à l’intérieur. Bien sûr, c’est aussi une menace défensive, mais c’est surtout le seul vrai pivot capable d’être un point de fixation à l’intérieur en équipe de France. Pour moi, il est incontournable.»\n\n\nIl peut garder espoir\n\nMouhammadou Jaiteh (2,08 m, 27 ans) – Virtus Bologne (Italie)\nStats 2021-2022 : 11,8 points à 64,1 % aux tirs, 7,5 rebonds, 0,5 contre pour 15,1 d’évaluation en 21 minutes (26 matches en Lega)\nEquipe de France : EuroBasket 2015 (bronze), préparation (2018), fenêtres internationales depuis 2017 – 28 sélections\n\nPrésent lors de l’EuroBasket 2015 à seulement 20 ans, Mam Jaiteh n’a pas confirmé les attentes placées en lui dans l’Hexagone. Mais depuis qu’il est parti à l’étranger en 2018, le natif de Pantin a explosé. En Russie, en Turquie, et surtout en Italie. Cette saison, le Francilien a ni plus ni moins été élu MVP de la saison régulière de l’Eurocup (12,8 points, 7,6 rebonds en 22 minutes) ! Un exploit qu’aucun Français ni aucun joueur issu du championnat italien n’avait réalisé. Vincent Collet l’a convoqué lors des fenêtres internationales, et notamment celle de début juillet. Profitera-t-il d’une absence pour se hisser dans les 12 ?\n\nL’avis de Fred Weis : «Quelle saison il vient de nous faire, Mam Jaiteh. On ne finit pas MVP de l’Eurocup pour rien. Ce n’est pas le plus athlétique, pas le plus physique, mais il est toujours bien placé. C’est un super finisseur. Il a vraiment gagné en maturité et apporté à son équipe cette année, prouvant qu’il était lui aussi un pivot à surveiller chez les Bleus. Après, la concurrence est rude sur ce poste.»\n\n\nIl ne devrait pas en être\n\nMathias Lessort (2,06 m, 26 ans) – Partizan Belgrade\nStats 2021-2022 : 9,8 points à 65,7 % aux tirs, 5,4 rebonds, 0,9 contre pour 11,9 d’évaluation en 23 minutes (14 matches d’ABA League)\nEquipe de France : Coupe du monde 2019 (bronze), préparation (2017, 2018), fenêtres internationales depuis 2017 – 28 sélections\n\nAprès une saison de rêve avec Monaco, Mathias Lessort n’était pas loin d’accrocher le wagon des Bleus pour Tokyo l’été dernier, comme c’était le cas lors de la Coupe du monde 2019. Mais le Martiniquais, auteur d’une saison correcte entre le Maccabi Tel Aviv et le Partizan Belgrade, est une victime collatérale de l’éclosion du trio Mous Fall – Vincent Poirier – Mam Jaiteh. Moins grand mais plus explosif que les autres candidats à son poste, il peut tout de même se frayer un chemin si Vincent Collet juge que sa polyvalence sur le poste 4 peut être un atout à l’EuroBasket.\n\nL’avis de Fred Weis : «C’est un profil différent de ceux cités précédemment, plus petit, plus tonique, plus énergizer. Il est capable de défendre sur un poste 4 plus athlétique tout en ayant cette densité physique de pouvoir dunker sur n’importe qui. Il peut être une option pour Vincent Collet.»\n\n\nIls ont l’avenir devant eux\n\nIsmaël Kamagate (2,11 m, 21 ans) – Paris Basketball\nStats 2021-2022 : 11,3 points à 64,3 % aux tirs, 6,3 rebonds, 1,6 contre pour 15,0 d’évaluation en 27 minutes (34 matches de Betclic Elite)\nEquipe de France : 0 sélection\n\nIsmaël Kamagate est un prospect qui a tout fracassé pour sa première année en Betclic Elite. Promu en même temps que son club en première division, le Francilien s’est fait un nom jusqu’à avoir été sélectionné en 43e position de la draft NBA par les Denver Nuggets. S’il devrait s’aguerrir une saison de plus en Europe, ses qualités athlétiques et défensives sont un sérieux atout pour le futur en équipe de France. Il a été appelé comme partenaire d’entraînement durant les fenêtres internationales.\n\nL’avis de Fred Weis : «Ismaël Kamagate s’est révélé en Betclic Elite en terminant meilleur défenseur de la saison. Il a ce sens du contre incroyable et surtout cette capacité à dunker sur n’importe qui avec ses longs bras. Il a encore une très grosse marge de progression mais il a déjà énormément progressé, et ce n’est pas pour rien qu’il est devenu partenaire d’entraînement chez les Bleus.»\n\nOlivier Sarr (2,13 m, 23 ans) – Oklahoma City Thunder\nStats 2021-2022 : 7,0 points à 57,4 % aux tirs (dont 44,8 % à 3-points), 4,2 rebonds, 0,7 contre pour 9,8 d’évaluation en 19 minutes (22 matches de NBA)\nEquipe de France : 0 sélection (ne fait pas partie du Team France)\n\nNon drafté l’été dernier à sa sortie de Kentucky, Olivier Sarr est arrivé en NBA sur la pointe des pieds, via deux contrats de 10 jours signés fin décembre 2021. Depuis, tout s’est accéléré assez vite. Le pivot a donné entière satisfaction, et convaincu le Thunder de lui donner un two-way contract. Au final, il a davantage joué en NBA qu’en G-League (8,7 points, 7,3 rebonds en 9 rencontres avec l’OKC Blue), avec même une pointe à 24 points dans la Grande Ligue. De quoi évidemment attirer l’oeil de Vincent Collet, qui pourrait se laisser tenter à le découvrir dans un futur rassemblement élargi des Bleus.\n\nL’avis de Rémi Reverchon : «C’est un mec hyper intéressant. C’est un professionnel affirmé, un mec intelligent, posé, qui s’intègrerait très bien dans un groupe, j’en suis persuadé. C’est un profil long, avec de bonnes mains, et un tir comme on n’en a pas beaucoup en France. J’aimerais beaucoup le voir dans une pré-sélection chez les Bleus pour lui donner une chance de faire sa place.»\n\n\nLe cas Joel Embiid\n\nJoel Embiid (2,13 m, 28 ans) – Philadelphia 76ers\nStats 2021-2022 : 30,6 points à 49,9 % aux tirs (dont 37,1 % à 3-points), 11,7 rebonds, 4,2 passes, 1,5 contre pour 33,9 d’évaluation en 34 minutes (68 matches de NBA)\nEquipe de France : 0 sélection (ne fait pas partie du Team France)\n\nEn demandant son passeport français, Joel Embiid vise les JO de Paris 2024. Boris Diaw a évoqué son cas ce mardi en conférence de presse. Le manager général des Bleus a été interrogé sur l’avancée de la demande de naturalisation de la star NBA, qui semblait avancer ces derniers mois : « Est-ce que ça a bougé ? Je ne sais pas. Il faut lui demander s’il a son passeport. Aux dernières nouvelles, il ne l’a pas encore. Mais le jour où son passeport sera obtenu, ce sera un autre sujet de faire une sélection et de prendre les joueurs qui ont les capacités de porter cette équipe de France en restant dans l’état d’esprit du groupe [...] Au-delà des papiers, il s’est fait opérer de la main et on n’en récupère pas rapidement », a-t-il rappelé. Il reste que le Camerounais est l’un des meilleurs joueurs du monde. Il a terminé 2e au vote de MVP de la saison en NBA derrière Nikola Jokic. Son association avec Rudy Gobert a fait autant saliver qu’elle a interrogé sur le principe.\n\nL’avis de Rémi Reverchon : «Sans remettre en cause ses incroyables qualités de basketteur, j’ai un avis partagé sur sa potentielle arrivée chez les Bleus. Je trouve que la philosophie d’une telle sélection serait... discutable, disons.»\n\nAutres membres du Team France au poste 5 : Joffrey Lauvergne, Jerry Boutsiele, Alexandre Chassang, Yannis Morin\n\nA relire :\nQuels meneurs en équipe de France à l’EuroBasket ?\nQuels arrières en équipe de France à l’EuroBasket ?\nQuels ailiers en équipe de France à l’EuroBasket ?\nQuels ailiers-forts en équipe de France à l’EuroBasket ?\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nPendant longtemps, le basket français a manqué de pivots dominants. Depuis quelques années, la tendance s’est inversée et le staff des Bleus dispose désormais d’une multitude de choix dans la peinture. Intouchable, Rudy Gobert sera encore une fois l’une des pièces maîtresses de l’équipe de France au championnat d’Europe. Vincent Collet avait choisi Vincent Poirier et Mathias Lessort pour l’accompagner à la Coupe du monde 2019, puis Vincent Poirier et Moustapha Fall à Tokyo. Les deux derniers cités ont de très sérieux arguments pour être reconduits, mais il faut aussi avoir un oeil sur Mam Jaiteh, MVP de la saison d’Eurocup, et avoir en tête que Joël Embiid a engagé des démarches pour obtenir la nationalité française. Une chose est sûre, pour l’Euro comme jusqu’aux prochains JO, le sélectionneur n’aura que l’embarras du choix.\n\n\nIl a sa place garantie\n\nRudy Gobert (2,16 m, 30 ans) – Utah Jazz\nStats 2021-2022 : 15,6 points à 71,4 % aux tirs, 14,7 rebonds, 2,1 contres pour 28 dévaluation en 32 minutes (66 matches NBA)\nEquipe de France : Coupe du monde 2014 (bronze) – 2019 (bronze), EuroBasket 2015 (bronze) – 2017, Jeux Olympiques 2016 – 2021 (argent) – 74 sélections\n\nSa défaite au premier tour des playoffs avec Utah est un mal pour un bien pour les Bleus car, un temps incertain pour l’EuroBasket, Rudy Gobert a bien confirmé sa présence. C’est l’assurance pour les Bleus de compter sur leur tour de contrôle, le triple meilleur défenseur de l’année en NBA. Il entamera l’an prochain sa 10e saison aux Etats-Unis, avec le Jazz ou une autre franchise. Avec un tel atout dans son jeu, Vincent Collet peut en tout cas bâtir une équipe à l’ADN défensive. Comme Evan Fournier, le Picard ne vise que l’or après avoir décroché quatre médailles avec l’équipe de France.\n\nL’avis de Rémi Reverchon : «Rudy, c’est le totem de l’équipe de France, le point d’ancrage numéro un. Il est intouchable. Il sort encore d’une saison exceptionnelle sur le plan individuel, même si collectivement, c’est un échec car Utah ne passe pas le premier tour des playoffs alors que ça visait le titre. Chez les Bleus, il doit être le point central de la construction même si Evan sera le meilleur marqueur.»\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Rudy Gobert et Vincent Poirier (FIBA)
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Nicolas Batum au «tu préfères»... Caen ou Los Angeles ?
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L’international Nicolas Batum s’est prêté au jeu de RMC Sport, « tu préfères »... Accor Arena ou Stade Pierre-Mauroy ? Michael Jordan ou Kobe Bryant ? Killian Mbaye ou Zinedine Zidane ?... Contre ou panier à la dernière seconde ?...\n\n\n👀 Contre ou panier à la dernière seconde ? Caen ou Los Angeles ? Michael Jordan ou Kobe Bryant ?\n\n🏀🇫🇷 Le capitaine de l'équipe de France de basket @nicolas88batum était de passage dans la capsule de RMC Sport et s'est prêté au fameux jeu du \Tu préfères\. pic.twitter.com/wnQD2yxVh9\n\n— RMC Sport (@RMCsport) July 2, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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L’équipe de France féminine vainqueur de la 3×3 Women’s Series de Oulan-Bator
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L’équipe de France a remporté la FIBA 3×3 Women’s Series de Ulaanbaatar (Oulan-Bator), en Mongolie.\n\nLes Bleues ont vaincu en finale les Pays-Bas U24, 13-11. Elles étaient pourtant menées 11-8 à l’entrée de la dernière minute. A dix secondes du temps réglementaire, c’est Maud Stervinou -meilleure marqueuse du match avec 6 points- qui a égalisé (11-11) d’un deux-points, et c’est Marie Mané, qui a planté un autre panier primé décisif en prolongation. Quel sang froid !\n\nLa France présentait une équipe totalement différente de celle qui vient d’être sacrée championne du monde, avec Romane Bernies, Victoria Majekodunmi, Marie Marie et Maud Stervinou.\n\nAuparavant, l’équipe de France a été battue par la Roumanie (13-18), par les Pays-Bas U24 (15-16), avant de s’imposer à la Mongolie (18-14), aux Pays-Bas en quart-de-finale (15-13) et à la Roumanie en demi-finale (17-10).\n\n\nMARIEEEEEEE MANEEEEEEEEEE 🗣🚨\n\nLes Bleues remportent le @FIBA3x3 Women's Series d'Ulaanbaatar après prolongation (13-11) 👏🇫🇷@FIBA3x3 | @marie_mane pic.twitter.com/bch0u9939t\n\n— 3×3 FFBB (@3x3ffbb) July 2, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Ignas Brazdeikis (Orlando Magic) sauveur de la Lituanie face à la Bulgarie
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Pour ses débuts en équipe nationale, l’ailier du Orlando Magic, Ignas Brazdeikis (1,98 m, 23 ans) a marqué de son empreinte le match victorieux de la Lituanie face à la Bulgarie 72-70.\n\nIgnas Brazdeikis est né à Kaunas, en Lituanie, mais a déménagé aux États-Unis avec sa famille lorsqu’il était enfant. Les Brazdeikis ont rapidement trouvé leur foyer en Ontario, au Canada, et Ignas est tombé amoureux du basket-ball, ce qui lui a valu une formation à l’Université du Michigan, juste au sud de la frontière. Il a joué une saison en NCAA avant d’être sélectionné lors de la draft 2019, et il a passé les trois dernières années entre la NBA et la G League.\n\nFace à la Bulgarie, Brazdeikis a accumulé 13 points, mais à 5/15 aux shoots, 6 rebonds, 2 passes et 1 interception en 23 minutes.\n\n« Il n’a pas vraiment converti ses tirs, mais il est resté dans le match et il a joué une bonne défense. Ce sera le plus important, qu’il se soit battu jusqu’à la fin. C’est un joueur en qui nous pouvons avoir confiance dans les moments critiques », a estimé l’entraîneur Kazys Maksvytis après la victoire. « C’est l’un des joueurs les plus talentueux de l’équipe. Il aime jouer avec le physique. Ignas a joué fort, a très bien géré le contact et nous avons eu des situations avantageuses avec lui. »\n\nC’est un dunk de Brazdeikis qui a donné à la Lituanie une avance de deux points, à 71-69, avec un peu plus d’une minute à jouer. La Bulgarie a eu une chance d’égaliser, mais c’est une fois de plus Brazdeikis qui a fait le travail pour la Lituanie, captant le plus gros rebond du match alors que Stanimir Marinov a raté un lay-up potentiellement gagnant. La super production d’Alexandar Vezenkov (29 points et 11 rebonds) n’a pas été ainsi suffisante pour la Bulgarie.\n\n« Je veux juste gagner. Je veux gagner tous les matchs que je peux. C’est le but, c’est ce que nous voulons tous faire », a déclaré Brazdeikis à BasketNews. « Tu ne vas pas toujours bien jouer. Tu dois juste garder ta confiance et croire en ce que tu peux faire. Mes coéquipiers ont cru en moi, l’entraîneur a cru en moi. C’est tout ce dont j’ai besoin. »\n\nLa Lituanie est un futur adversaire de la France dans la deuxième phase de ces qualifications à la Coupe du Monde 2023. Elle est pour l’instant invaincue avec 5 victoires. La Bulgarie est désormais dans une position difficile (1-4), soit une victoire derrière la République tchèque et la Bosnie-Herzégovine.
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Première audience du procès de Brittney Griner à Moscou
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Une première audience du procès de Brittney Griner s’est tenue, hier vendredi, dans la banlieue de Khimki, à Moscou.\n\nBrittney Griner, 31 ans, est arrivée dans la salle d’audience sous escorte, menottée et portant un t-shirt du célèbre guitariste américain, Jimi Hendrix. Elle risque jusqu’à 10 ans de prison si elle est reconnue coupable d’avoir emmené en Russie une importante quantité de drogue.\n\nL’agence de presse russe Tass a rapporté que la double championne olympique a déclaré au tribunal qu’elle comprend les accusations mais qu’elle ne les commenterait que plus tard.\n\nDeux témoins ont été interrogés par l’accusation : un douanier de l’aéroport, qui s’est exprimé en audience publique, et un témoin non identifié à huis clos. Le procès a ensuite été ajourné d’une semaine, car... deux autres témoins ne se sont pas présentés.\n\nL’avocat de Brittney Griner a confié que la joueuse fait de l’exercice en détention, et qu’elle souhaite pouvoir s’entraîner davantage mais qu’elle avait du mal à le faire car elle ne comprend pas le russe.\n\nElizabeth Rood, chargée d’affaires américaine à Moscou, était au tribunal et a déclaré s’être entretenue avec Brittney Griner, qui « se porte aussi bien qu’on peut s’y attendre dans ces circonstances difficiles. La Fédération de Russie a détenu à tort Brittney Griner », a déclaré Elizabeth Rood. « La pratique de la détention injustifiée est inacceptable où qu’elle se produise et constitue une menace pour la sécurité de tous ceux qui voyagent, travaillent et vivent à l’étranger. » Elle a ajouté que le gouvernement américain, à ses plus hauts niveaux, « travaille dur pour ramener Brittney et tous les ressortissants américains détenus à tort chez eux en toute sécurité ».\n\n\nRussie: le procès sous tension de la basketteuse américaine Brittney Griner s'est ouvert hier à Moscou pic.twitter.com/Av1Lw8F8MQ\n\n— BFMTV (@BFMTV) July 2, 2022\n
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Pourquoi Elie Okobo a t-il shooté au buzzer à trois-points ?
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Sur la dernière action du match face au Monténégro, Elie Okobo (1,91 m, 24 ans) a fait un step back et shooté à trois-points, alors qu’un tir plus proche du cercle aurait suffi aux Bleus pour remporter le match. Il s’en est expliqué après le match à L’Equipe :\n\n« C’est frustrant. Nous voulions gagner, et ils nous ont dominés au rebond. On n’a pas fait assez d’efforts en défense. Nous n’avons pas mis nos trois-points alors que nous avons eu des tirs ouverts. Il y a beaucoup de boulot pour être prêt lundi. On n’est pas loin, mais ce sont des détails, un manque de lucidité, d’agressivité en défense. Sur la dernière action, je vois l’adversaire sortir vite, je fais une feinte. Je me sentais plus à l’aise de prendre un tir de loin qu’une pénétration. C’est mon shoot, je vis avec ça. » .\n\nPhoto : FIBA
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Qualifs Coupe du Monde : Vyacheslav Bobrov (Nanterre) emmène l’Ukraine vers la victoire
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L’Ukraine a battu la Géorgie 79-66 à Riga, en Lettonie, et elle s’est ainsi qualifiée pour le deuxième tour des qualifications pour la Coupe du Monde 2023.\n\n« Nous connaissions le prix de ce match. Défensivement, nous avons joué un basket de qualité, mais offensivement, nos décisions à certains moments étaient inacceptables », a expliqué l’entraîneur Ainars Bagatskis. « Finalement, avec un peu de patience et de bonnes décisions, nous avons fait ce qui est le plus important : gagner le match, nous qualifier ».\n\nC’est l’ailier de Nanterre Vyacheslav Bobrov (2,03 m, 29 ans) qui a été le joueur le plus consistant de l’Ukraine avec 17 points et 8 rebonds.\n\n« Le plus important pour nous était de nous qualifier pour le tour suivant. Nous nous battons, les 14 joueurs qui sont dans l’équipe, nous restons sur notre chemin, nous faisons juste notre jeu », a-t-il déclaré après le match. « Merci pour tous les fans ici, mais aussi en Ukraine. Nous sommes reconnaissants pour leur soutien, nous avons joué pour eux, c’est la seule raison pour laquelle nous sommes ici. »\n\nL’Ukraine est passée à 2 victoires pour 2 défaites et doit encore affronter la Macédoine du Nord et l’Espagne pour clôturer le premier tour.\n\nPhoto : FIBA
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Vidéo : Les highlights de Monténégro-France
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Retour sur la défaite des Bleus, hier soir, face au Monténégro (70-69).\n\nPhoto : Théo Maledon (FIBA)
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Euroleague : Le champion NBA Nemanja Bjelica a signé au Fenerbahçe
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Selon le journaliste turc Ugur Ozan Sulak, Fenerbahce aurait conclu un accord pour deux saisons avec l’ailier serbe Nemanja Bjelica (2,06 m, 34 ans).\n\nBjelica a déjà joué au Fener de 2013 à 2015 avant de partir en NBA. Il a été champion avec les Golden State Warriors cette saison, leur apportant 6,1 points, 4,1 points et 2,2 passes. Il a joué jeudi avec la Serbie lors de la défaite en Lettonie (66-59), se contentant d’un point, deux rebonds et trois passes en 21 minutes.\n\nPhoto : FIBA
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Espagne– Les affluences dans les salles de l’ACB : Relégué, Burgos est numéro 1
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Hereda San Pablo Burgos est numéro 1 des affluences du championnat espagnol avec près de 8 000 spectateurs en moyenne. Un score d’autant plus remarquable que l’équipe a terminé bonne dernière de la compétition.\n\nA l’inverse, Andorre, qui a fini 17e sur 18, a attiré les plus faibles affluences.\n\nDe bons résultats à noter à Vitoria, première des équipes d’Euroleague, alors que Valence, qui vient d’obtenir une wild card est à la peine.\n\nPhoto : Coliseum de Burgos
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Le Maccabi Tel Aviv continue son festival de signatures estivales avec Josh Nebo
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Après une belle saison de découverte de l’Euroleague avec le Zalgiris Kaunas, le pivot américain Josh Nebo s’est engagé avec le Maccabi Tel Aviv pour une saison.\n\nC’est une razzia à laquelle le Maccabi Tel Aviv nous habitue chaque été en signant bon nombre d’Américains. Cet été plus que d’autres. Rien qu’en recrues, on peut citer Wade Baldwin, Lorenzo Brown, Darrun Hilliard, Austin Hollins, Bonzie Colson, Alex Poythress... Et désormais Josh Nebo !\n\nLe pivot américain (2,06 m, 24 ans) compte deux saisons en Europe à son actif, la première en Israël pour l’Hapoel Eilat, et surtout la seconde avec le Zalgiris Kaunas, mixant entre championnat lituanien et Euroleague. C’est surtout en coupe d’Europe que le natif de Houston s’est fait remarquer en compilant 8,8 points à 65 % aux tirs et 6,2 rebonds en 22 minutes de moyenne.\n\nPhoto : Josh Nebo (Euroleague)
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Rudy Gobert est transféré du Utah Jazz aux Minnesota Timberwolves
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Après neuf saisons au Utah Jazz, le pivot international Rudy Gobert (2,16 m, 30 ans) a été transféré ce vendredi aux Minnesota Timberwolves.\n\nSelon ESPN, en contre partie de Rudy Gobert, le Jazz récupère des joueurs de deuxième zone : Malik Beasley, Patrick Beverley, Walker Kessler, Leandro Bolmaro et Jarred Vanderbilt, et encore des premiers tours de draft en 2023, 2025, 2027 et 2029.\n\nRudy Gobert est triple meilleur défenseur de l’année (2018, 2019, 2021). Il a joué 611 matches de saison régulière avec le Jazz, et cette saison, il a pointé à 15,6 points (71,3% de réussite), 14,7 rebonds et 2,1 contres. Son salaire, la saison prochaine, sera de 38 172 414 $.\n\nPhoto : Utah Jazz
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Qualifications Coupe du Monde : La France se fait piéger au Monténégro
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Après quatre victoires, l’équipe de France a perdu à Podgorica, au Monténégro, son premier match en qualifications pour la Coupe du Monde 2023 (70-69). Cela ne remet pas en cause sa qualification future, mais c’est un boulet avant d’aborder la deuxième phase en août.\n\nA l’évidence, cette équipe de France là à un problème de hiérarchisation. Tout au long du match, elle s’est cherchée et elle a produit un jeu chaotique. S’il présente des stats en apparence très convenables (16 points, 4 rebonds, 3 passes, 3 interceptions, mais aussi 5/13 aux shoots), Théo Maledon, qui a eu énormément de responsabilités pour un quasi rookie, a beaucoup -trop- porté le ballon et n’a pas toujours fait les choix judicieux à la mène. Les Bleus n’ont pas su pleinement profiter de la puissance de Vincent Poirier (18 points et 12 rebonds), très efficace même quand il était associé à Mam Jaiteh.\n\nA l’inverse, bien que dépouillés de plusieurs de leurs joueurs majeurs, les Monténégrins ont joué avec davantage de collectif, sans peur et sans reproche. Leur hargne leur a permis d’être supérieurs au rebond (41-35), et ils ont bénéficié de l’anémie des Bleus à trois-points. Il a fallu attendre la 35e minute pour que Théo Maledon inscrive le premier et seul panier primé de l’équipe de France sur 15 tentatives !\n\n\nUne gabegie aux lancers-francs\n\nPour ce match dans une salle bruyante, chaude et sans air conditionné -on a l’habitude en France-, Vincent Collet lançait Andrew Albicy, Elie Okobo, Yakuba Ouattara, Louis Labeyrie et Vincent Poirier dans le cinq de départ. Les Français étaient agressifs à souhait, mais maladroits, loupant leurs sept premiers shoots. Vincent Poirier était dominant dans la peinture, mais un manque de finition générale faisait que les Monténégrins étaient encore à égalité à 15, à la fin du premier quart-temps.\n\nVincent Collet faisait tourner son effectif et leur pression défensive permettait aux Français de mener momentanément de six points (15-21). Théo Maledon prenait ses responsabilités mais il y avait trop déchets dans le jeu offensif (7 balles perdues), de l’inattention au rebond (8 offensifs à la mi-temps pour le Monténégro), et une incapacité à scorer à trois-points (0-6). Ceci dit, gênés par le défense des Bleus, les Monténégrins présentaient eux aussi un bilan catastrophique dans leurs shoots à plus de 6,75 m : 1/11. On retiendra néanmoins qu’ils menaient après 20 minutes dans un score peu généreux: 33-31.\n\nLe troisième quart-temps offrait un duel à distance entre Vincent Poirier et l’Américain naturalisé Jonas Radebaugh (12 points et 6 rebonds), qui avait été discret en première mi-temps. Avec l’aide de Nemanja Radovic, le Monténégro prenait à son tour 6 points d’avance sur un dunk de Alexa Ilic qui enflammait la salle (52-44). Les Bleus étaient empruntés, dominés au rebond (31-21) et gâchaient aussi des munitions aux lancers-francs (18/28). Il y avait toujours 8 points de retard à l’amorce de la dernière tranche de dix minutes : 56-48.\n\nLa France a quand même réussi à refaire son retard (56-56). Un trois-points de Jonas Radebaugh a pesé lourd dans la balance, comme ces deux lancers-francs manqués de Mam Jaiteh. C’est sur une pénétration de Nemanja Radovic -meilleur marqueur de son équipe avec 15 points-, pleine de toucher que le Monténégro a obtenu la victoire. Sur la dernière possession, Théo Maledon s’est embourbé dans la défense monténégrine, et sur le rebond, Elie Okobo, qui jusque là avait converti 7 de ses 10 shoots, a loupé le panier de la gagne au buzzer.\n\nDans le même groupe, la Hongrie a battu ce soir le Portugal, 69-68. Les Portugais termineront ainsi derniers.\n\nLundi (20h30), la France accueillera la Hongrie au Vendéspace de Mouilleron-le-Captif. La deuxième phase commencera du 24 au 28 août prochains.\n\nLa boxscore est ICI.\n\n\nThéo Maledon 😳 #TeamFranceBasket | #PassionnémentBleu | #MNEFRA | #FIBAWC pic.twitter.com/zwMS8YgEdM\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) July 1, 2022\n\n\nPhoto : Vincent Poirier (FIBA)
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Jonathan Rousselle a signé pour deux ans à la JDA Dijon
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Jonathan Rousselle (1,88 m, 32 ans) rejoint officiellement la JDA Dijon pour les deux prochaines saisons.\n\nLe meneur de jeu international est un joueur expérimenté, qui évoluait depuis 2019 dans le très réputé championnat espagnol, au Surne Bilbao Basket, où il a disputé 79 rencontres. Ses stats ont été en baisse lors de la saison 2021-22 avec 5,5 points, 2,4 passes et 1,3 rebond.\n\nLe Nordiste compte également 9 sélections avec l’équipe de France. Il a été champion d’Europe U20 en 2010 et vainqueur de la semaine des As en 2011. Après des expériences au BCM Gravelines, à Boulogne-sur-Mer, Cholet et Limoges, c’est donc le grand retour en France de Jonathan Rousselle qui a choisi la Bourgogne pour la suite de sa carrière.\n\n« J’ai hâte de rencontrer les supporters et de vivre un match au Palais. Je suis très heureux de pouvoir prendre part à l’évolution positive du club et de découvrir une nouvelle région que l’on m’a vivement recommandé », se réjouit le nouveau joueur de la JDA.\n\nFabien Romeyer, directeur sportif de la JDA Bourgogne Dijon, commente aussi cette arrivée :\n\n« Jonathan est un joueur et un homme de projet qui aime se stabiliser dans les clubs où il évolue. Il apportera à la JDA version 2022-2023 sa mentalité, sa maturité, sa lecture du jeu ainsi que son leadership, lui qui était encore capitaine de Bilbao ces dernières saisons. Nous souhaitions une doublette complémentaire et expérimentée sur le poste 1 mais aussi un joueur capable d’évoluer aux côtés de David Holston et d’endosser des responsabilités comme il a su le faire durant sa carrière. La JDA Bourgogne Dijon se félicite de pouvoir compter sur Jonathan et lui souhaite de s’épanouir pleinement au sein de notre projet. »
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Vidéo : Quand un moulin à vent raté se transforme en panier de l’année
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Lors d’un match de qualification pour la Coupe du monde 2023, le Belge Retin Obasohan a tenté un gros dunk en moulin à vent... à l’issue chanceuse !\n\nAuteur d’un match plein (18 points) permettant à la Belgique de s’imposer largement contre la Slovaquie (102-59) et de pointer à la deuxième place du groupe A derrière la Lettonie et devant la Serbie, Retin Obasohan a surtout inscrit le panier de la soirée...\n\nPhoto : Retin Obasohan (FIBA)