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|---|---|
Où place-t-on les électrodes lors de l'utilisation d'un défibrillateur automatisé externe (DAE) chez un enfant si les électrodes adultes sont utilisées ? | Une électrode dans le dos, entre les deux omoplates, et l'autre devant, au milieu du thorax. |
Quel est l'enfoncement approximatif du thorax nécessaire lors des compressions thoraciques chez un adulte ? | Environ 5 cm sans dépasser 6 cm. |
À quelle fréquence doivent être effectuées les compressions thoraciques chez un adulte ? | Entre 100 et 120 compressions par minute. |
Quel pourcentage du débit cardiaque normal est assuré par les compressions thoraciques lors d'une réanimation ? | 20 à 30 %. |
Que doit faire un secouriste après l'analyse du DAE, si un choc électrique est délivré ou non ? | Reprendre immédiatement la réanimation cardiopulmonaire (RCP) sans attendre la suite des instructions vocales du DAE. |
Quelle est la conséquence d'une mauvaise position des mains lors des compressions thoraciques ? | Cela peut entraîner des fractures de côtes, une contusion pulmonaire ou un pneumothorax. |
Quelle largeur d'enfoncement du thorax est recommandée pour les compressions thoraciques chez un nourrisson ? | Au moins un tiers de l'épaisseur du thorax ou environ 4 cm. |
Où doit se placer le secouriste pour réaliser les compressions thoraciques sur une victime adulte ? | À genoux, au plus près du thorax de la victime. |
Quelle est la fréquence des compressions thoraciques chez un nouveau-né à la naissance ? | 120 compressions par minute. |
Quelle technique de compression thoracique est utilisée pour un nourrisson lors d'une intervention en équipe ? | Avec la pulpe des deux pouces placés côte à côte, en englobant le thorax avec les autres doigts de chaque main. |
Quelle est la fréquence recommandée des compressions thoraciques chez l'adulte ? | Entre 100 et 120 compressions par minute |
Quelle profondeur d'enfoncement doit être atteinte lors des compressions thoraciques chez l'adulte ? | Environ 5 cm sans dépasser 6 cm |
À quelle fréquence les compressions thoraciques doivent-elles être effectuées chez un nouveau-né à la naissance ? | 120 compressions par minute |
En cas d'arrêt cardiaque, quelle est la principale raison de réaliser des compressions thoraciques ? | Garder en vie le cerveau de la victime en attendant la mise en œuvre d'un choc électrique externe ou d'une réanimation médicamenteuse |
Quels sont les signes indiquant que les compressions thoraciques sont efficaces ? | Une reprise normale de la respiration et une recoloration de la victime |
Où doit se situer le talon de la main pour effectuer des compressions thoraciques chez un adulte ? | Sur la moitié inférieure du sternum sans appuyer sur l'appendice xiphoïde |
Pourquoi est-il important de laisser le thorax reprendre sa dimension initiale entre deux compressions thoraciques ? | Pour permettre une efficacité maximale |
Quel est le risque principal de ne pas respecter une bonne position des mains lors des compressions thoraciques ? | Provoquer des fractures de côtes, une contusion pulmonaire ou un pneumothorax |
Lors de la mesure de la pression artérielle, où doit être positionné le repère "artery" du brassard ? | Sur le passage de l'artère humérale (face antérieure du bras) |
Quelle taille de brassard doit être utilisée pour la mesure de la pression artérielle chez un adulte obèse ou en cas de mesure sur la cuisse ? | Taille 13 |
Quelle est la profondeur d'enfoncement recommandée pour les compressions thoraciques chez l'adulte ? | Entre 5 cm et 6 cm |
À quelle fréquence doivent être réalisées les compressions thoraciques chez un nourrisson ? | Entre 100 et 120 compressions par minute |
Où doit être placé le talon de la main pour effectuer des compressions thoraciques chez un enfant ? | Une largeur de doigt au-dessus de l'appendice xiphoïde |
Quelles sont les indications pour ne pas prendre la pression artérielle sur un bras chez une victime dialysée ? | Si le bras présente une fistule artérioveineuse fonctionnelle |
Quelle taille de brassard doit être utilisée pour un adulte obèse ou pour une mesure sur la cuisse ? | Taille 13 |
Quelles sont les trois tailles de brassard disponibles pour la mesure de la pression artérielle avec un appareil multiparamétrique mentionnées dans le texte ? | Taille 13, Taille 11, Taille 9 |
Quelle technique est utilisée pour réaliser des compressions thoraciques chez un nourrisson en étant en équipe ? | Avec la pulpe des deux pouces, en englobant le thorax avec les autres doigts de chaque main |
Quelle doit être la proportion du temps de compression par rapport au temps de relâchement lors des compressions thoraciques ? | Le temps de compression doit être égal au temps de relâchement (rapport 50/50) |
À quelle distance du pli du coude doit être placé le brassard pour mesurer la pression artérielle ? | À environ deux largeurs de doigts au-dessus du pli du coude |
Que doit faire le thorax après chaque compression thoracique pour assurer une efficacité maximale ? | Reprendre sa dimension initiale |
Quelle est la fréquence recommandée des compressions thoraciques chez un nourrisson et un nouveau-né ? | Entre 100 et 120 compressions par minute |
Quelle est la profondeur d’enfoncement du sternum lors des compressions thoraciques chez un adulte ? | Entre 5 cm et 6 cm |
Sur quelle partie du thorax les compressions doivent-elles être effectuées chez un enfant ? | Une largeur de doigt au-dessus de l’appendice xiphoïde |
Que doit faire le thorax entre deux compressions thoraciques pour assurer l’efficacité des compressions ? | Le thorax doit reprendre sa dimension initiale |
Quelle est la fréquence des compressions thoraciques chez un nouveau-né à la naissance ? | 120 compressions par minute |
Lors de la mesure de la pression artérielle, où doit se situer le repère "artère" sur le brassard ? | Sur le passage de l’artère humérale (face antérieure du bras) |
Quelle est la technique recommandée pour vérifier la pression systolique lors de la mesure de la pression artérielle par auscultation ? | Noter la pression sur le cadran dès que le bruit du pouls redevient audible |
Quelle est la taille du brassard pour un adulte obèse lors de la mesure de la pression artérielle avec un appareil multiparamétrique ? | Taille 13 |
Dans quelle position doit être la victime pour une mesure fiable de la pression artérielle ? | Assise, demi-assise ou allongée au repos, bras dénudé |
Quelle est la limite maximale de pression systolique attendue en présence d’un pouls radial ? | Supérieure à 80 mm Hg |
Quel appareil est préférable pour mesurer la tension artérielle lors de la prise en charge d'une victime ? | Un appareil automatique. |
Où ne doit-on pas prendre la tension artérielle en cas de présence d'une fistule artérioveineuse chez un dialysé ? | Sur le bras présentant la fistule artérioveineuse. |
Quel est le matériel utilisé pour écouter les bruits du pouls lors de la mesure de la tension artérielle par auscultation ? | Le stéthoscope. |
Quelle doit être la position du brassard lors de la mesure de la tension artérielle sur le bras de la victime ? | À environ deux largeurs de doigts au-dessus du pli du coude. |
Quelle valeur de la pression artérielle correspond à la disparition du bruit du pouls lors de la mesure par auscultation ? | La pression diastolique. |
Quand faut-il utiliser un pansement hémostatique ? | En cas d’hémorragie non garrotable ou en cas d’inefficacité du garrot. |
Quel type de brassard doit être utilisé pour mesurer la tension artérielle d'un enfant ou d'un petit adulte avec un appareil multiparamétrique ? | Taille 9. |
Quel document doit être respecté pour utiliser un appareil de mesure automatique de la tension artérielle ? | Le mode d'emploi de l'appareil. |
Sur quel bras ne doit-on pas prendre la tension artérielle chez un dialysé ? | Sur le bras présentant une fistule artérioveineuse |
Que risque-t-on si le tensiomètre reste gonflé plus longtemps que nécessaire ? | Une douleur |
Quelle doit être la pression systolique minimale en présence d’un pouls radial ? | 80 mm Hg |
Où doit-on placer le repère "artery" lors de la mesure de la pression artérielle par auscultation ? | Sur le passage de l’artère humérale |
Quelle est la vitesse de dégonflage recommandée pour le brassard lors de la mesure de la pression artérielle ? | 2 à 3 mmHg par seconde |
À quelle pression correspond le chiffre noté sur le cadran lorsque le bruit du pouls redevient audible ? | La pression systolique |
Quelle action doit précéder la mise en place d’un pansement hémostatique ? | Une compression manuelle directe |
Quel type de pansement doit être mis en place directement en cas de fracture ouverte du crâne ? | Un pansement compressif |
Que doit-on faire si la mesure de la pression artérielle semble anormalement basse ou élevée ? | Tester l’appareil sur une personne saine |
Quel matériel est nécessaire pour réaliser une mesure de la pression artérielle par auscultation ? | Brassard et stéthoscope |
Où doit-on placer le pavillon du stéthoscope lors de la mesure de la pression artérielle par auscultation ? | Sur le trajet de l’artère, juste en dessous du brassard, et le maintenir en position avec l’index et le majeur. |
À quelle vitesse l’aiguille du manomètre doit-elle descendre lors du dégonflage du brassard ? | De 2 à 3 mmHg par seconde. |
Que représente le chiffre noté sur le cadran dès que le bruit du pouls redevient audible lors de la mesure de la pression artérielle par auscultation ? | La pression systolique. |
Quel type de blessure ne nécessite pas l'utilisation de pansement hémostatique selon la fiche technique ? | Fracture ouverte du crâne, plaie du cuir chevelu ou plaie thoracique soufflante. |
Quelle est la première étape pour la pose d’un pansement hémostatique ? | Effectuer une compression manuelle directe à l’endroit qui saigne. |
Combien de temps minimum doit-on appuyer après avoir appliqué un pansement hémostatique QuickClot GAUZE® ou CELOX RAPID® ? | Au minimum 3 minutes. |
Quelle est la procédure à suivre si le premier pansement hémostatique ne suffit pas à arrêter le saignement ? | Compléter par un second pansement hémostatique et effectuer une nouvelle compression de 3 minutes. |
À quelle distance au-dessus du pli du coude doit être placé le brassard pour une mesure de la pression artérielle ? | À environ deux largeurs de doigt au-dessus du pli du coude. |
Quels éléments doivent être notés après la pose d’un pansement hémostatique ? | La(les) localisation(s), le nombre de pansements utilisés, et l’heure de la pose. |
Que doit faire un secouriste avant de débuter la mesure de la pression artérielle chez la victime ? | Prévenir la victime que le gonflement du brassard peut entraîner une possible sensation douloureuse. |
Quelle est la vitesse de dégonflement recommandée pour mesurer la pression artérielle à l'aide d'un manomètre ? | De 2 à 3 mm Hg par seconde |
Que doit indiquer l'aiguille du manomètre pour noter la pression systolique pendant la mesure de la pression artérielle ? | Dès que le pouls redevient perceptible |
Que doit faire la victime pour des mesures fiables de la pression artérielle ? | Être assise, demi-assise ou allongée, au repos, et avec le bras dénudé |
Quelle est la première étape pour poser un pansement hémostatique sur une plaie hémorragique non garrotable ? | Effectuer une compression manuelle directe à l’endroit qui saigne |
Pendant combien de temps est-il impératif d’appliquer une pression avec le pansement hémostatique QuickClot GAUZE® ou CELOX RAPID® ? | Au minimum 3 minutes |
Quel type de pansement est à utiliser dans le cas d'une plaie thoracique soufflante ? | Un pansement 3 côtés |
Quels types de pansements hémostatiques sont mentionnés dans le document ? | QuickClot GAUZE® et CELOX RAPID® |
Lors de la pose du pansement compressif, quelle étape suit la préparation du pansement ? | Remplacer la compression manuelle directe par un pansement compressif |
Quand le pansement hémostatique doit-il être utilisé en association avec un pansement compressif ? | En cas d’hémorragie non garrotable, en cas d'inefficacité du garrot ou après une compression manuelle directe. |
Quel est le rôle du pansement hémostatique ? | Le pansement hémostatique permet une obstruction de la plaie et un arrêt du saignement en concentrant les facteurs de coagulation. |
Quels sont les types de pansements hémostatiques mentionnés dans la fiche technique ? | QuickClot GAUZE® et CELOX RAPID®. |
Quelle est la contre-indication majeure à la pose d’un pansement hémostatique ? | La présence de corps étrangers dans la plaie. |
Que doit-on impérativement noter après avoir mis en place un pansement hémostatique ? | La (les) localisation(s) des pansements, le nombre de pansements utilisés et l’heure de la pose. |
Quelle position est recommandée pour un pansement hémostatique au niveau du cou ? | Privilégier la position demi-assise ou assise. |
Quelle action doit être effectuée avant de préparer le pansement hémostatique ? | Effectuer une compression manuelle directe à l’endroit qui saigne. |
Combien de temps doit-on appuyer après la pose d'un pansement hémostatique ? | Au minimum 3 minutes. |
Que faut-il faire si la pose du premier pansement hémostatique n’arrête pas le saignement ? | Ajouter un second pansement hémostatique et effectuer une nouvelle compression de 3 minutes. |
Pourquoi faut-il empêcher les pansements hémostatiques au niveau du cou d’être circulaires ? | Pour éviter d'altérer la respiration dans le temps. |
Quelle est la contre-indication principale à la pose d'un pansement hémostatique ? | Présence de corps étrangers. |
Que faut-il faire si le saignement persiste après la pose d'un pansement hémostatique ? | Ajouter un second pansement hémostatique. |
Pendant combien de temps minimum doit-on appuyer après avoir posé un pansement hémostatique (QuickClot GAUZE® ou CELOX RAPID®) ? | 3 minutes. |
Dans quel cas ne doit-on pas utiliser de pansement hémostatique pour une plaie thoracique soufflante ? | Mettre un pansement 3 côtés. |
Que doit-on noter après la pose d’un pansement hémostatique ? | La (les) localisation(s), le nombre de pansements utilisés, l’heure de la pose. |
Comment doit être positionnée la victime avec une plaie hémorragique non garrotable au niveau du cou pour améliorer la respiration ? | Demi-assise ou assise. |
Quelle est la procédure en cas de saignement important et de troubles de la conscience pour une plaie hémorragique au niveau du cou ? | Allonger la victime. |
Où faut-il placer l'emballage du pansement hémostatique après application du pansement compressif ? | Dans le pansement compressif pour que les équipes suivantes sachent qu’un pansement hémostatique est en place. |
Quelle est la durée de la compression manuelle directe recommandée avant de remplacer par un pansement compressif ? | Au moins jusqu'à ce que le pansement compressif soit prêt à être appliqué. |
Que faut-il surveiller et réévaluer en particulier après avoir appliqué un pansement compressif sur une plaie hémorragique au niveau du cou ? | Les voies respiratoires. |
Combien de temps faut-il appuyer sur un pansement hémostatique pour qu'il soit efficace ? | 3 minutes |
Quels sont les deux types de pansements hémostatiques mentionnés ? | QuickClot GAUZE® et CELOX RAPID® |
Où faut-il placer le pansement hémostatique pour qu'il soit efficace ? | Au contact direct de l'artère ou de la veine qui saigne |
Que faut-il faire si une plaie de petit diamètre est difficile à combler ? | Essayer de la combler au maximum |
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