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https://www.makery.info/2016/03/14/pour-une-mort-compostee/
Market Impact
Tokyo, de notre correspondante Les tendances écolo DiY ne s’arrêtent pas à nos existences mortelles. Un enterrement naturel, c’est-à-dire directement dans le sol et sans intervention chimique, est préférable pour tout un tas d’excellentes raisons : les cercueils coûtent cher et consomment énormément de ressources (notamment le bois des forêts), les fluides d’embaumement chargés de ralentir la décomposition contiennent des quantités élevées de formol cancérigène, les cimetières occupent un espace de plus en plus précieux, tandis que la crémation pollue l’atmosphère de dioxyde de carbone… En deux points du globe, aux Etats-Unis et en Italie, deux protos développés de longue date creusent la voie d’un enterrement 100% vert. Se prêtant à la vente aux particuliers, ils sont déjà compatibles avec les règles de mise en terre dans certains pays anglo-saxons. Aux Etats-Unis, l’artiste d’origine sud-coréenne Jae Rhim Lee, ancienne étudiante du MIT, a conçu un linceul qui facilite la décomposition grâce à ses « champignons infinis » cultivés pour se nourrir du cadavre humain (ou animal) après l’enterrement et en nettoyer les toxines. Infinity Burial Project a d’abord été un projet artistique expérimental. En 2011, la conférence TED de Jae Rhim Lee connaît un succès viral inattendu, qui la conduit à monter une entreprise dédiée. Une chatte et un homme ont été les premiers cobayes. Sans même passer par une campagne de financement participatif, sa start-up Coeio prévoit de vendre les linceuls aux champignons dès la fin 2016. La conférence TED virale de Jae Rhim Lee (2011) : « Pour nous, toute alternative aux méthodes d’obsèques traditionnelles est une bonne évolution, remarque Mike Ma, cofondateur de Coeio avec JR Lee. Cependant, les alternatives à base de crémation nécessitent encore beaucoup d’énergie et polluent l’air. Nous pensons que la meilleure direction à prendre pour les funérailles, c’est ce que la nature a fait pour des millions de corps déjà : la décomposition naturelle et le retour à la terre. » En Italie, Anna Citelli et Raoul Bretzel ont conçu Capsula Mundi, une capsule biodégradable en forme d’œuf dans laquelle on envelopperait le cadavre en position fœtale, accompagné d’une graine d’arbre. Poussant encore plus loin le principe du retour à la terre pour le renouvellement de la vie, le corps décomposé nourrirait la graine qui deviendrait un arbre dans une forêt sacrée. Présentée au public pour la première fois à Milan en 2003, Capsula Mundi est sans doute le plus poétique de toute une série de projets qui ont pour but de vous réincarner en plante. Le duo a bénéficié d’un petit encouragement médiatique pendant Lille 3000 et après leur conférence de présentation à Turin en 2015. Comme ce choix d’enterrement est actuellement interdit en Italie, ils cherchent pour l’instant à l’introduire dans les pays où cette solution serait légale. La conférence TEDx d’Anna Citelli & Raoul Bretzel (2015, en anglais): A un peu plus long terme, il existe au moins deux autres initiatives internationales pour implémenter des solutions scientifiques et urbaines de funérailles plus écolo. La Suédoise Susanne Wiigh-Mäsak a développé un processus organique de « promession » qui consiste à lyophiliser le corps, le faire vibrer jusqu’à la poussière, en extraire tous les métaux, puis enterrer les restes dans un cercueil biodégradable. L’Américaine Katrina Spade a quant à elle lancé Urban Death Project qui consiste à construire un bâtiment dédié aux obsèques et au compostage des cadavres, en centre ville et pour la communauté locale. Sa campagne Kickstarter, terminée en mai 2015, a récolté 91 378$ (alors qu’elle était fixée initialement à 75 000$). Vu la logistique et les ressources demandées par ces derniers projets, leur implémentation réelle sera intimement liée à la topographie des lieux, à l’adaptation des lois et à l’évolution des mentalités. En attendant, les projets ne manquent pas pour ouvrir le dialogue et inspirer la réflexion créative sur la mort, les funérailles et l’après-mort, vus par les vivants. Vidéo de présentation de la compétition Design for Death (2013) : Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
6medical
[ 5, 0, 6 ]
https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/faire-des-briques-avec-des-fripes/
Market Impact
Clarisse Merlet, jeune architecte, est à l’origine de FabBRICK, un nouveau matériau de construction qui pourrait changer la donne… Chaque Français jette en moyenne 12 kg de vêtements par an dont seulement 2,5 kg sont recyclés (source : ADEME). Un chiffre qui fait réfléchir lorsque l’on sait que l’industrie de la mode est une des plus polluantes aujourd’hui… Il y a quelques années, Clarisse Merlet, alors étudiante en architecture à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Malaquais, doit réaliser un projet pour un séminaire d’éco-conception. Elle réfléchit alors à créer un nouveau matériau, utile, responsable et facile à utiliser : une brique en tissu. Une innovation qui prendra forme grâce à l’accélérateur de projets de design urbain, la Faire Paris en 2017. Ce projet FabBRICK consiste à recycler du textile pour en faire… des briques. Ce matériau innovant est performant à la fois sur le plan acoustique et le plan thermique, notamment grâce à la présence de coton. Pour mettre en place  cette solution, Clarisse s’est associée à une usine de tri qui lui apporte un soutien financier et de la matière à recycler. À noter : dans une brique, il y a 400 grammes de textiles, soit l’équivalent de 3 t-shirts. FabBRICK, ça marche comment exactement ? De vieux vêtements sont compactés, broyés, puis mélangés avec une colle 100% écologique développée elle aussi par Clarisse. Ce mélange est compressé par la suite dans un matériau composite qui permet de fabriquer des briques de différentes tailles et donc de s’adapter à différents projets de construction. Rendez-vous à Bordeaux ou La Roche sur Yon dans les boutiques Jules pour découvrir comment FabBRICK peut permettre de créer un espace responsable et original fait de briques(-à-brac) !
4environment
[ 0, 1, 8 ]
https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/confier-a-une-ia-ses-problemes-de-sante/
Needs
D’un côté, on profite de l’intelligence artificielle pour qu’elle nous offre un diagnostic complet et quotidien. De l’autre, on permet que ces données soient exploitées et quantifiées à des fins qui nous sont parfois inconnues… Un couple d’entrepreneurs, Walter et Sam de Brouwe, ont attiré les projecteurs en 2016, lors de la sortie de Doc.AI. Cette plateforme numérique californienne est née de la volonté de permettre à chacun de consulter en temps réel et quotidiennement ses données de santé. C’est un peu comme si vous commenciez votre consultation chez le médecin par un “Ok docteur”. “Quel est mon taux de cholestérol aujourd’hui ?” “Suis-je en carence de fer ?”. C’est le genre de questions que vous pouvez poser à votre tout nouvel AI. Et pour viser juste, Doc.AI parvient à anticiper les questions que l’utilisateur peut lui adresser. Ce docteur robotisé suit donc ses patients de près, parfois même de trop près. Et c’est là que se dessine une certaine ambiguïté. Car pour que les consultations et suivis soient les plus efficaces possibles, les patients doivent indiquer un maximum d’informations sur eux. Informations exploitables et exploitées. Si les porteurs de ce projet affirment que l’utilisateur “possède ses données”, on est en droit de se demander si ce n’est pas plutôt le cas inverse. Oui, parce que ce Docteur robot brise les tabous de la vente des données santé, en invitant clairement celles et ceux qui le souhaitent à vendre leurs données pour participer à la recherche médicale. En échange d’une cryptomonnaie, ou de petites cartes cadeaux (n’en déplaise à Amazon), le cobaye patient participe donc à faire avancer la science. C’est d’ailleurs suite à sa poignée de mains en 2018 avec le gouvernement anglais – précisément le National Health Service (NHS) – qu’Amazon, a pu avoir accès à quelques millions de données santé. Et ce, gratuitement. Ça partait pourtant d’une bonne intention… Puisque la firme voulait simplement rendre son assistant vocal Alexa encore plus performant du côté santé. Les plus concernés étant alors les moins avertis de cette situation, la polémique ne s’est donc pas fait attendre. Mais il en faudrait beaucoup plus pour freiner les ambitions du géant américain qui s’est invité sur ce marché avec Amazon Care. Et, privatisée deviendra la santé. L’équilibre entre confiance et prévoyance se situe alors dans la prudence, surtout pour ce qui est de la vie privée. L’expérience de l’enseigne américaine Target pose elle aussi quelques questions. L’entreprise de grande distribution s’est tellement intéressée à la grossesse d’une de ses clientes, en lui envoyant des promotions sur des produits pour bébés, que la jeune femme a été contrainte d’annoncer la nouvelle à son père quand ce dernier les a découvert dans la boîte aux lettres familiale. La question de la propriété des données ne date pas d’hier et elle fait l’objet de débats constants, encore plus avec le développement et le déploiement de l’IA dans le monde. Elle devient d’autant plus sensible lorsqu’elle touche au domaine médical… Alors, vous êtes tentés pour tracker “librement” vos données santé ? Rendez-vous ici.
7people
[ 6, 2, 12 ]
https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/aviva-la-fabrique-2019/
Financing
Cette année encore, Aviva France a décidé de récompenser les entrepreneurs utiles et innovants. Avec une dotation conséquente, la Fabrique Aviva pour sa 4ème édition fait peau neuve. Le coin des entrepreneurs vous informe à propos du concours La Fabrique Aviva et vous indique comment y participer. La Fabrique, concours organisé par Aviva, offre une aide financière d’1 million d’euros aux idées entrepreneuriales à la fois utiles et innovantes. Depuis sa création il y a 3 ans, les jurys locaux et nationaux ont désigné 157 Grands Gagnants qui se sont partagés pas moins de 3 millions d’euros. 8,5 millions de votes du grand public qui ont départagé les candidats et plus de 500 projets finalistes ont obtenu une aide financière. Enfin, participer à La Fabrique est une expérience enrichissante pour les lauréats compte tenu des défis à relever : présentation du projet, mobilisation d’une communauté… Aviva France est un des premiers assureurs vie et dommages en Europe. Avec 180 ans d’expérience en France, l’entreprise propose une gamme complète de produits et services à près de 3 millions de clients, particuliers, artisans commerçants, professions libérales et petites et moyennes entreprises. En 2014, en partenariat avec INCO, Aviva a lancé un fonds d’investissement aujourd’hui doté de 30 millions d’€, et destiné au financement de l’Economie Sociale et Solidaire « Aviva Impact Investing France » doté désormais du label Finansol. La Fabrique Aviva, le grand concours d’Aviva France, cherche à récompenser les initiatives entrepreneuriales à fort impact social et/ou environnemental. L’assureur Aviva France, s’est investi dans une démarche RSE depuis de nombreuses années autour de 3 axes clés : le climat, l’investissement responsable et l’inclusion. Cette initiative soutient financièrement des projets innovants, conciliant performance économique, impact social et environnemental. Si vous travaillez sur un projet dans les domaines de la santé, l’environnement, l’inclusion et l’emploi, La Fabrique vous concerne ! Les domaines restent diversifiés : économie circulaire, circuits courts, consommation collaborative, prévention, réinsertion professionnelle, agriculture durable, un grand nombre de projets entrepreneuriaux ayant une utilité sociale, environnementale et/ou sociétale… Pour pouvoir participer au concours La Fabrique organisé par Aviva, votre projet doit avoir moins de 7 ans d’existence (la date de dépôt des statuts, ou tout autre document officiel prouvant la date de début du projet faisant foi). Les micro-entrepreneurs et les étudiants entrepreneurs sont admis au concours. Le concours est organisé autour de 4 thématiques, vous devez choisir celle qui vous correspond :  Voici le calendrier des grandes étapes du concours : À l’issue des auditions par les jurys : De nombreuses innovations viennent enrichir cette nouvelle\nédition de la Fabrique Aviva avec, notamment, une toute nouvelle plateforme\nplus fluide et plus sociale, ainsi qu’un programme d’accompagnement des\ngagnants. La plateforme a notamment pour vocation de devenir le leader dans le financement des entrepreneurs sociaux et environnementaux en France.  Ainsi, vous pourrez notamment durant la phase de votes  interagir avec votre communauté. Celle-ci devrait bientôt être complétée par des\n« solutions d’assurance-vie responsables permettant à nos clients de\nfinancer des projets issus de la Fabrique Aviva » selon Patrick Dixneuf,\nDirecteur Général d’Aviva France. 
4environment
[ 7, 1, 8, 13, 0 ]
https://www.influencia.net/le-green-retail-une-tendance-de-fond-du-prochain-salon-mpv/
Market Impact
70 est la part de entreprises spécialisées en marketing point de vente qui ont constaté une plus forte demande de leurs client pour de solution durables contre 54 en 2019 cette évolution est la conséquence directe une prise de conscience de consommateurs certainement accélérée par la crise sanitaire comment aider le annonceurs à répondre à ce nouvelles attentes sur mpv de solution concrètes seront apportées aux retailer via une animation phare le concours de popai award offre de exposants et le programme de conférences est une première dans histoire de popai award paris éco conception est désormais une catégorie transversale sur le 200 projets qui concourent cette année 82 ont été éco conçus il seront notés sur 5 critères 1 le choix de matériaux 2 optimisation et la réduction de matières et de emballages 3 le pourcentage de matériaux origine locale ou nationale 4 optimisation de transport et 5 la facilitation du traitement de fin de vie le 3 réalisations qui obtiendront le meilleures note sur ce critères recevront un award de bronze argent ou or tout autour du showroom de popai award est sur le stand de exposants que le marque et le enseignes trouveront de réponses à leurs préoccupations environnementales notons la présence de 6 acteurs leader sur le marché du marketing point de vente qui ont reçu la certification eco popai le 1er standard éco conception pour le secteur du mpv rc group idéaform caméléon cci group pilotes plv et sitour autres acteurs engagent aux côtés de leurs client est le ca iconomedia qui mi en place en collaboration avec oréal france un processus pour éviter de jeter le plv et mobiliers obsolètes en leur offrant une seconde vie ou en le recyclant 6 conférences et session de coaching popai éclaireront sur le best practice pour un retail plus responsable comment réduire impact environnemental de plv grâce à éco conception comment innover dans le monde du retail et de agencement de point de vente pour donner une seconde vie aux mobiliers usagers de moment échanges autour de aménagement durable et responsable seront organisés sur espace uper avec le témoignage expert tel que pierrick de ronne président de biocoop selon le baromètre harris sur le marché du mpv en 2020 une étude annuelle réalisée à la demande du popai france visitez mpv du 5 au 7 octobre 2021 bénéficiez un badge gratuit en vous inscrivant ici tribune externe
5learning
[ 7, 1, 3, 8, 0 ]
https://www.maddyness.com/2015/08/03/mediatech-solutions/
Financing
lancée en 2011 et basée à montrouge la startup mediatech solution vient annoncer avoir bouclé une tour de table de 2 5 million euro auprès investisseurs privés dont financière fonds privés et de investisseurs historiques et bpifrance à hauteur de 500 000 euro à travers un prêt bancaire cette opération devrait permettre à la jeune entreprise innovante accélérer son développement grâce à une croissance de 127 de son chiffre affaire la société mediatech su séduire s anciens investisseurs pour rassembler la somme de deux million euro complétée par de nouveaux arrivants cette levée de fonds pour objectif de faire rayonner entreprise basée à montrouge au delà de frontières françaises un très fort développement est donc à prévoir pour cette startup postionnée sur le marché du feedback et de engagement management en france qui recrute actuellement de nouvelles personnes quote cette levée de fonds vient concrétiser la confiance que le investisseurs ont dans le marché sur lequel opère mediatech dans équipe qui dirige la société dans la stratégie définie et dans la solution instant survey nous aurons à cœur de leur démontrer qu il ont eu raison déclare hervé cebula ceo et fondateur de mediatech solution quote de entreprises comme axa global direct la poste ou encore allianz ont déjà utilisé la solution phare de mediatech baptisée instant survey cet outil qui donne la parole aux client permet à toutes le business unit attachées à expérience client direction marketing service qualité de prendre le meilleures décisions stratégiques et opérationnelles grâce à s solution mediatech solution souhaite réduire le temp de réponse ramené à 48h seulement pour certains de s client si 30 grandes entreprises françaises ont déjà expérimenté ce outils de nouvelles opportunités en france et aussi à international devraient voir le jour dans le prochains mois en effet cette opération financière vient soutenir un développement en forte croissance menée par hervé cebula ce dirigeant entreprise qui notamment été mentor pour accélérateur le camping
2design
[ 13, 7, 8, 12 ]
https://www.strategie.gouv.fr/debats/journee-financement-climat
Financing
  Session Financing Mitigation: how to get to an equitable global financing regime? The financing issue has become central to the success of a climate agreement at COP21 and after. 100 billions of annual transfers have been pledged by developed countries in Copenhagen in 2009 until 2020. An OECD - CPI report has recently made an evaluation of the state of climate finance in that respect, which will be presented and discussed in this session. But a significant low carbon transition at global scale would involve much bigger financial flows towards developing economies which have the best potential for decarbonization. On the one hand, developing countries have made clear that credible north-south transfers are a crucial element to gain their engagement in mitigation activities. On the other hand, developed countries’ constrained public budgets lead to develop innovative financing schemes which maximize the leverage on private finance. It is therefore important to build new coalition of actors, or “clubs” of actors, which could address the financing issue in the short run, while avoiding these immediate political constraints. This session will thus address strategies to get an equitable financing regime for mitigation activities in the UNFCCC framework. The session will be moderated by Professor Carlo Carraro (FEEM Scientific Director and Co-Chair of IPCC WG III), and will see your participation as speakers in the following order: France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
[ 13, 0 ]
https://www.frenchweb.fr/live-shopping-ntwrk-leve-50-millions-de-dollars-aupres-de-goldman-sachs-et-du-groupe-de-luxe-francais-kering/428273
Financing
aux états unis le plateformes de livestream shopping séduisent toujours plus investisseurs la semaine dernière la startup californienne whatnot levait 150 million de dollar en série auprès de capitalg ex google capital andreessen horowitz et de combinator passant au rang de licorne aujourd hui une autre startup basée à los angeles baptisée ntwrk lève 50 million de dollar en série auprès de goldman sachs asset management et du groupe de luxe français kering qui investit dans le cadre de sa stratégie innovation liontree partner et tenere capital ont également participé à ce tour de table rejoignant le investisseurs historiques main street advisor live nation et foot locker apparu en chine le livestream shopping ou live video shopping fait partie de nouvelles tendances dans e commerce ce marché atteint le 150 milliard de dollar en 2020 et devrait atteindre 300 milliard de dollar en 2021 rien qu en chine selon coresight research propulsé par la pandémie le shopping en direct permet de diffuser de événements en live et échanger en temp réel avec le participant le but est de leur présenter de produits qu il peuvent acheter immédiatement si le livestream shopping aux états unis en est qu à s débuts cette fusion du commerce et du livestream est de plus en plus populaire notamment sur instagram le marché devrait atteindre le 11 milliard de dollar ici la fin 2021 et 25 milliard de dollar ici 2025 selon coresight research lancé en 2018 par homme affaire et producteur de musique jimmy iovine ntwrk adresse avant tout aux millennials soit le personnes nées entre 1980 et 2000 et à la génération nées entre 1997 et 2010 concrètement la startup californienne propose aux marque créateurs et artiste de vendre leurs produits vêtements chaussures objets de collection etc en live via son application mobile durant le session le utilisateurs peuvent interagir entre eux et avec le vendeur alliant ainsi divertissement et commerce ntwrk propose également de produits exclusifs via de partenariats avec de célèbrités à instar de la chanteuse billie eilish ou du rappeur juice wrld un modèle qui séduit le nouvelles générations et qui attire le investisseurs pour kering le groupe de luxe du milliardaire français françois henri pinault cette participation lui permet avoir un pied dans cette nouvelle tendance du livestream shopping dans le cadre de notre stratégie innovation nous prenons de participation minoritaires dans de entreprises développant de expériences et de service disruptifs pour la prochaine génération de consommateurs de luxe commente gregory boutté chief client digital officer chez kering nous pensons que e commerce en live est un moyen de adresser à ce public de partager histoire unique de no maisons et augmenter la durée de la vente en ligne ntwrk ambitionne désormais de poursuivre sa croissance et de devenir la plateforme numéro 1 de livestream shopping aux états unis notre vision est de devenir la plus grande marketplace de livestream shopping culturellement pertinente pour le public de la génération et de millennials qui sont obsédés par la pop culture explique aaron levant pdg de ntwrk sur ce marché de nouveaux acteurs voient le jour à instar de la startup new yorkaise popshop live qui levé 20 million de dollar en juillet dernier auprès de benchmark tandis que le géants de la tech tentent investir le marché la course pour gagner le live stream shopping aux états unis est intensifiée au cours de dernières années déclarait grant lafontaine co fondateur de whatnot lors de sa dernière levée de fonds gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise référente sur achat média digital et le tracking fondateur jimmy iovine création 2018 siège social los angeles secteur commerce live shopping activité plateforme de livestream shopping financement 50 million de dollar en série auprès de goldman sachs asset management et du groupe de luxe français kering liontree partner et tenere capital ont également participé à ce tour de table rejoignant le investisseurs historiques main street advisor live nation et foot locker pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
2design
[ 13, 7, 8, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/meubles-d-occasion-decoration-comment-le-site-selency-fait-la-difference-avec-leboncoin_459317
Uniqueness
Pourquoi acheter son mobilier ou sa décoration d’occasion sur Selency plutôt que sur Leboncoin? Charlotte Cadé. Leboncoin est un site de petites annonces, qui ne propose pas d’idées de décoration, d’inspirations. Nous présentons différents styles: vintage, scandinave, ethnique, Art déco, classique. Ensuite, nous, nous mettons à disposition des services: facturation, livraison à l’étage, paiement sécurisé, service client, renvoi des commandes. Et surtout, nous sélectionnons à la main chaque pièce pour ne garder que celles de qualité, de belle facture, avec une identité. Environ 30% sont refusées. C’est pour cela qu’en octobre, Brocante Lab s’est renommé Selency. Nous quittons l’ADN de brocante, pour celui d’une marque de décoration sélective. Vous voulez monter en gamme? Cela ne signifie pas que nos prix augmentent et que nous recentrons notre catalogue sur une niche. Nous gardons une offre large et des tarifs de 5 euros à 20.000 euros. Mais désormais, nous proposons aussi de belles pièces signées, uniques. Grâce à cela, vous commencez à travailler avec les entreprises… D’un côté, nous meublons et décorons des enseignes, des restaurants, les bureaux de start-up. De l’autre, nous nous adressons aux architectes et décorateurs qui doivent chiner et faire le tour des brocantes pour leurs projets. Avec notre catalogue de 50.000 pièces, ils gagnent du temps. Pour l’instant, cette offre professionnelle représente moins de 10.% du volume d’affaires, mais le potentiel est énorme. Justement, quel est votre volume d’affaires? Nous avons créé l’entreprise en avril 2014 avec Maxime Brousse. En 2015, pour le premier exercice, le volume d’affaires était d’environ 1 million d’euros. En 2016, nous avons connu une forte croissance. Aujourd’hui, nous enregistrons plus de 100 commandes par jour, et 700.000 visites par mois. Nous prenons une commission de 15 à 20%. Pourquoi avoir levé 3 millions d’euros en octobre? Pour financer le développement de l’équipe, qui est passée d’une dizaine de salariés en septembre à 25 actuellement, et investir en marketing et communication pour supporter le changement de nom. Avec cette nouvelle identité, nous allons mettre un premier pied à l’international d’ici le deuxième semestre, dans les pays d’Europe du Nord, très sensibles à la décoration. L’engouement pour l’occasion est-il durable? Oui, car il répond à une tendance esthétique. Le retour à l’ancien -permet d’écrire une histoire. De plus, les articles de seconde main coûtent moins cher et participent à une économie circulaire. Enfin, les consommateurs recherchent la personnalisation. Avez-vous le sentiment d’avoir réussi? Notre équipe très jeune, de 27 ans en moyenne, hypermotivée, est heureuse de venir travailler. Les salariés partagent vraiment la vie de la start-up, les bons et les mauvais moments. Nous avons créé une petite famille! Propos recueillis par Claire Bouleau.   \n\n \n \n Le Bon Coin\n Start-up\n \n
2design
[ 7, 1, 8, 12 ]
https://www.influencia.net/futur-taxis-volants-jouait-hier-dans-ciel-francilien-bourget/
Engineering
cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span depuis combien de décennies le voitures volantes hantent notre imaginaire collectif sans jamais avoir pointé le bout de leur parechoc et ce ne sont pa le représentations populaires qui manquent on pense immédiatement à ce vieilles publicités rétrofuturistes nous montrant une flopée de vieilles guimbardes on adapte notre vocabulaire à époque flotter au dessus de no têtes symbole une société futuriste qui aurait atteint s grand défis technologiques ou même au roman mythique de jules verne maître du monde qui présente à s lecteurs le proto exemple une telle technologie épouvante à savoir un véhicule hybride entre avion et la voiture qui fait également office de bateau et de sou marin de concept ensuite largement popularisés dans le années 80 et 90 avec le incontournables retour vers le futur de robert zemeckis et 5ème élement de luc bessons mais vous connaissez vos classiques span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span ce qui intéresse aujourd hui est de savoir comment le ingénieurs de notre temp oeuvrent pour donner forme à cette véritable arlésienne direction aéroport du bourget pour en faire une idée lundi 21 juin dernier la startup allemande volocopter venait tester son taxi volant alias le volocity à occasion du paris air forum 2021 ce vol inaugural orchestré dans la perspective un démonstrateur aux jo de 2024 nous présentait un prototype entièrement électrique équipé de 18 moteurs et 9 battery à mi chemin entre le drone et hélicoptère et pouvant transporter un pilote et son passager sur une trentaine de kilomètres à une vitesse environ 100 km après ce premier test réussi volocopter en collaboration étroite avec région île de france le groupe adp la ratp ainsi que choose paris agence de promotion de la région parisienne prévoit de faire voler son joujou sur aérodrome de pontoise concernant son hypothétique deadline commerciale volocopter est fixé à horizon 2030 si ce projet toutes le bonnes raisons de donner de ailes aux franciliens il reste à la start up allemande de nombreux détails à régler pour pérenniser s machine concernant leur autonomie notamment régler cette question reviendrait à prendre une bonne longueur avance sur s concurrents tels qu uber hyundai et tesla mais son plus gros chantier qui tranchera véritablement le sort de ce engins volants reste la conquête de acceptabilité sociale de usagers patrick cipriani directeur de la sécurité de aviation civile de la dgac expliquait en 2019 à no confrères de la tribune que dans paris aujourd hui il y pa hélicoptères ou très peu il a pour cela une raison de sécurité de vols de sûreté et puis de nuisance de bruit et in fine acceptabilité car le citoyen a pa forcément envie être survolé de multiple engins je crois que ce quatre condition existeront toujours premier décollage réussi pour le vtol de volocopter en direct du parisairforum à paris le bourget rendez vous en septembre prochain à aéroport de pontoise pour expérimentation visant à industrialiser cette nouvelle solution de mobilité urbaine pic twitter com nnnliqip2n groupe adp parisairforum groupeadp june 21 2021 un autre grand défi qui offre aux constructeurs est celui de la réglementation le même patrick cipriani avançait ailleurs que au de là de savoir si le voitures finiront bien par voler au dessus de no têtes le plus important était de savoir pour quoi faire et à quel horizon de temp si on parle de taxi volants on parle du transport de passagers on attend pour ce opérations aux mêmes niveaux de sécurité de vols que dans aviation commerciale on verra dans un premier temp de engins pilotés donc si ce sont de engins électriques à décollage vertical et pilotés on est dans un contexte qui est pa très différent de la problématique bien connue de hélicoptères avant de conclure que on aura toujours besoin de plateformes dédiées dégagées il faut bien imposer de trajectoires comme est le ca aujourd hui avec le hélicoptères en outre il agit de survols urbains il faudra aussi gérer de ca de pannes et il faudra vraisemblablement de procédures opérationnelles utilisables en ca de besoin urgent de se poser en bref la science fiction devrait rester le seul territoire créatif capable de donner corp à ce concept pour quelques années encore le 12 juin dernier le new york time était ailleurs saisi du sujet en le présentant ni plus ni moins comme énième fantasme de la silicon valley et de s entrepreneur en français dans le texte un constat partagé par ilan kroo professeur à stanford et ingénieur en aéronautique pour qui la priorité reste à perfectionner le véhicules autonomes de quoi mettre un peu eau dans son kérosène affaire à suivre span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span montagut sacha
13transport
[ 5, 11, 12 ]
https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/faire-mijoter-son-projet-avant-de-se-lancer/
Desirability
Quand on aime la cuisine et les rencontres, la faim justifie les moyens. Marine & Louis sont en couple depuis dix ans, ils aiment les petits plats et les grands voyages. A travers leur projet Food Sweet Food, ils ont donc décidé de parcourir le monde pour expérimenter à fond le concept du « foodsurfing » : le repas chez l’habitant – l’équivalent culinaire du « couchsurfing ». Repérés dès 2013 par les Éclaireuses et les Éclaireurs de Soon Soon Soon, Marine & Louis sont partis caméras à l’épaule à la rencontre des habitants de 10 pays, pour partager avec eux un bon moment autour d’un repas local. Soon Soon Soon les as soutenus pendant leur tour du monde culinaire : leur livre Very Food Trip a été publié en 2015 et ce sont désormais des stars de la télé. Eh oui ! 2016 est un peu pour eux l’année de la consécration, avec la diffusion d’une série documentaire sur Planète+ (8 épisodes de 26 minutes chacun). Ils viennent d’ailleurs de remettre le couvert pour une saison 2 : ils repartent en voyage à la découverte de 8 nouveaux pays, dont le Cambodge – où ils vont produire des vidéos en partenariat avec… le community manager de Soon Soon Soon, grand slasheur devant l’éternel. Pour vous mettre l’eau à la bouche, voici déjà le teaser de la saison 1 :
0agronomy
[ 9, 1, 11 ]
https://www.strategie.gouv.fr/actualites/de-laction-climat-cest-quoi
Market Impact
Donner une valeur à l’action pour le climat, c’est se placer du point de vue de l’intérêt général : c’est reconnaître la valeur pour la collectivité des actions publiques et privées de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Cette valeur aide l’État et les différentes parties prenantes à définir les actions sectorielles et les investissements les plus pertinents pour atteindre l’objectif climatique – et les lancer au bon moment. La valeur proposée est revue en hausse : la valeur cible s’établirait à 250 €/tonne de CO2e en 2030. Concrètement, il faut imaginer toutes les actions possibles permettant de prendre en compte cette valeur. Une fois les actions sélectionnées (développement du véhicule électrique, de la biomasse, des énergies renouvelables chaleur, des travaux d’isolation, etc.), c’est aux acteurs publics de déterminer les meilleures mesures à mettre en place pour les déclencher lorsqu’elles ne sont pas spontanément rentables pour les acteurs privés. La valeur de l’action pour le climat ne préjuge pas de la bonne combinaison de mesures qui relève de considérations sociales, budgétaires, industrielles. En particulier, cette valeur ne signifie pas qu’il faille instaurer une taxe carbone de 250 €/tonne à cet horizon.   La valeur de l'action pour le climat, c'est quoi ?, par fcausse   France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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https://www.lavoix.eu/fr/news/187/rubiks-cube-protection-de-la-forme-du-cube-a-titre-de-marque-tridimensionnelle
Securing
Alors que le puzzle en trois dimensions RUBIK’S CUBE® a fêté en 2014 son quarantième anniversaire, consacré notamment sur le site GOOGLE, le Tribunal communautaire, suite à huit années de procédure, a confirmé par une décision du 25 novembre 2014 la protection de la marque communautaire tridimensionnelle représentant le célèbre cube :   Le 1er avril 1996 SEVEN TOWNS LIMITED a déposé la marque tridimensionnelle communautaire représentant le cube en noir et blanc quadrillé de traits noirs pour désigner des « puzzles en trois dimensions » en classe 28.   Le 15 novembre 2006, SIMBA TOYS GmbH a engagé une action en nullité contre cette marque au motif que ce signe n’est pas protégeable au titre du droit des marques ; cette action a été rejetée par l’OHMI (l’office communautaire) le 14 octobre 2008, puis par la 2ème Chambre des Recours de l’OHMI le 1er septembre 2009. Suite au recours formé par SIMBA TOYS GmbH, le 25 novembre 2014, la 6ème Chambre du Tribunal Communautaire a rendu un arrêt rejetant le recours de cette dernière et validant ainsi la marque tridimensionnelle.   SIMBA TOYS GmbH considérait que la marque tridimensionnelle représentant le cube devait être annulée pour les motifs exposés ci-après. Le Tribunal a écarté chacun des moyens invoqués confirmant ainsi la validité de la marque. Cette décision est particulièrement intéressante dans la mesure où elle permet d’examiner la question de la validité d’une marque tridimensionnelle au regard des 5 principaux motifs de refus de protection et où le Tribunal fonde sa décision sur la jurisprudence à présent bien établie de la Cour de Justice de l’Union Européenne [notamment arrêt du 14 septembre 2010, Lego Juris/OHMI, représentation d’une brique Lego (C 48/09 P) ; arrêt du 18 juin 2002, Philips, représentation de trois têtes circulaires à lames rotatives, disposées dans un triangle équilatéral (C 299/99) ; arrêts du 29 avril 2004, Henkel/OHMI, représentation d’une tablette rectangulaire rouge et blanc (C‑456/01 P et C‑457/01 P) ; arrêt du 7 octobre 2004, Mag Instrument/OHMI, représentation de formes de lampes de poche (C‑136/02 P)] et du Tribunal Communautaire (arrêt du 6 octobre 2011, Bang & Olufsen/OHMI (représentation d’un haut-parleur (T 508/08).   1. La marque est constituée exclusivement par la forme du produit nécessaire à l’obtention d’un résultat technique (art. 7, §1, (e), (ii) du Règlement sur les Marques Communautaires (RMC)   Conformément à la jurisprudence communautaire, le Tribunal devait identifier les caractéristiques essentielles de la marque représentant le cube en trois dimensions à savoir les éléments les plus importants (en l’occurrence le cube et le quadrillage), et vérifier si elles répondent toutes à une fonction technique du produit en cause (pour que la marque soit rejetée sur le fondement de l’art. 7, §1, e), ii) il faut établir que les caractéristiques essentielles remplissent elles-mêmes la fonction technique du produit en cause et non qu’elles sont le résultat de celle-ci).   Le Tribunal considère que le cube en soi, d’une part et la structure en grille qui figure sur chacune des faces du cube, d’autre part sont les caractéristiques essentielles de la marque.   La société SIMBA TOYS GmbH soutenait que les lignes noires remplissaient une fonction technique en l’occurrence de séparer les uns des autres des éléments individuels du cube afin que ceux-ci puissent être bougés et singulièrement faire l’objet de mouvement de rotation.   Le Tribunal rejette cet argument au motif qu’il repose essentiellement sur la connaissance de la capacité de rotation des bandes verticales et horizontales du cube. Or, cette capacité de rotation résulte d’un mécanisme interne, invisible sur les représentations de la marque, lequel ne saurait constituer une caractéristique essentielle de cette marque car selon une analyse objective des représentations graphiques de la marque contestée on ne peut pas déduire qu’il existe un mécanisme interne de rotation. En fait, les lignes noires et, plus globalement, la structure en grille figurant sur chacune des faces du cube en cause ne remplissent, ni même ne suggèrent, aucune fonction technique. Il conclut qu’il n’existe donc pas de lien nécessaire entre, d’une part, une telle éventuelle capacité de rotation, ou même une quelconque autre possibilité de mouvoir certains éléments du cube en cause, et, d’autre part, la présence, sur les faces dudit cube, de lignes noires épaisses ou, a fortiori, d’une structure en grille du type de celle figurant sur les représentations graphiques de la marque contestée.   2. La marque est constituée exclusivement par la forme imposée par la nature même du produit (art. 7, §1, (e), (i) RMC)   Le Tribunal considère que cette disposition n’est pas applicable en l’espèce car la nature des produits concernés, en l’occurrence les puzzles en trois dimensions, n’impose nullement que ces produits aient la forme d’un cube avec des faces ayant une structure en grille.   3. La marque est constituée exclusivement par la forme qui donne une valeur substantielle au produit (art. 7, §1, (e), (iii) RMC)   La société SIMBA TOYS GmbH faisait valoir que, dans la mesure où les caractéristiques individuelles de la forme en cause (cube avec un quadrillage) sont nécessaires pour un puzzle en trois dimensions présentant certaines « caractéristiques individuelles optimisées (convertibilité, un certain degré de difficulté [et des] fonctions ergonomiques) », cette forme donne une valeur substantielle aux produits concernés et à leur succès commercial. Pour que ce motif de refus puisse être retenu, il faut que le signe concerné soit constitué exclusivement par une forme et que les caractéristiques esthétiques de la forme, à savoir son apparence extérieure, déterminent dans une très large mesure le choix du consommateur et, partant, la valeur commerciale du produit en cause.   Le Tribunal rejette ce fondement considèrant que l’argumentation de la société SIMBA TOYS GmbH repose sur l’idée selon laquelle, ce qui confère une valeur substantielle aux produits concernés, ce sont certaines caractéristiques fonctionnelles que possèderait la forme en cause, et qu’elle ne démontre pas, ni même ne prétend, qu’une telle valeur substantielle découle de l’aspect esthétique de ladite forme.   4. La marque est dépourvue de caractère distinctif (art. 7, §1, (b) RMC)   Le caractère distinctif doit être apprécié, d’une part, par rapport aux produits ou aux services pour lesquels l’enregistrement a été demandé et, d’autre part, par rapport à la perception qu’en a le public pertinent. Conformément à la jurisprudence, plus la forme dont l’enregistrement a été demandé en tant que marque se rapproche de la forme la plus probable que prendra le produit en cause, plus il est vraisemblable que ladite forme est dépourvue de caractère distinctif au sens de l’article 7, § 1, (b), du règlement n° 40/94. Dans ces conditions, seule une marque qui, de manière significative, diverge de la norme ou des habitudes du secteur et, de ce fait, est susceptible de remplir sa fonction essentielle d’origine est distinctive.   Le Tribunal rejette l’argumentation de la société SIMBA TOYS GmbH fondée sur cet article. Il considère notamment que l’apparence extérieure de la forme en cause ne peut être considérée comme une simple variante d’un puzzle en trois dimensions ordinaire qui vient naturellement à l’esprit, et souligne que la présence, sur chacune des faces du cube en cause, d’une structure en grille donne à la marque contestée, prise dans son ensemble, l’apparence d’une « cage noire » (voir point 44 ci-dessus). Il conclut que ces caractéristiques sont suffisamment spécifiques et arbitraires pour conférer à cette marque un aspect original, susceptible de se graver facilement dans la mémoire du consommateur moyen et de lui permettre de distinguer les produits couverts par ladite marque de ceux ayant une autre origine commerciale.   5. La marque est descriptive (art. 7, §1, (c) RMC).   L’article 7, §1, (c) RMC refuse à l’enregistrement une marque composée exclusivement de signes ou d’indication pouvant servir, dans le commerce, pour désigner l’espèce, la qualité, la quantité, la destination, la valeur, la provenance géographique ou l’époque de la production du produit ou de la prestation du service, ou d’autres caractéristiques de ceux-ci.   La société SIMBA TOYS GmbH prétendait que la marque contestée, dès lors qu’elle «montre un cube avec certains éléments qui sont graphiquement séparés les uns des autres au moyen de lignes noires » est « simplement descriptive d’un puzzle en trois dimensions ayant la forme d’un cube ‘3 x 3 x 3’ ».   Pour rejeter cette allégation, le Tribunal rappelle qu’il y a lieu de considérer qu’il n’existe pas du point de vue du public pertinent un rapport suffisamment direct et concret entre, d’une part, la marque contestée et, d’autre part, les puzzles en trois dimensions car le public ne percevra pas spontanément, (à savoir, en particulier, sans avoir une connaissance préalable du RUBIK’S CUBE®, sans ambiguïté et sans un minimum d’effort de réflexion ou d’analyse), les caractéristiques de la marque contestée invoquées par la requérante comme décrivant un puzzle en trois dimensions pour lequel la marque a été déposée.   Perspectives   La protection d’un signe à titre de marque permet de mettre en œuvre les dispositifs de défense prévus par les textes communautaires et nationaux pour faire interdire la fabrication et la vente de produits contrefaisants, notamment les procédures de saisie contrefaçon et de retenue en douanes. Ainsi, sur la base d’un dossier de demande d’intervention nationale fondé sur la marque tridimensionnelle représentant le cube RUBIK’S CUBE®, les douanes françaises ont pu saisir et détruire plusieurs dizaines de milliers de cubes contrefaisants en 2014.   (Source : douanes françaises, décembre 2014)   Contacts : Philippe LODS / Valérie SAMSON
2design
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https://www.frenchweb.fr/robotique-le-lillois-exotec-leve-90-millions-de-dollars-aupres-de-83north/405797
Financing
exotec fabricant de robot pour la préparation de commandes installé à croix près de lille levé 90 million de dollar auprès du fonds 83north londres tel aviv et de s investisseurs historiques iris capital et breega pour financer son expansion dans le monde t il annoncé mardi exotec 200 salariés fabrique dans son usine de 6 000 mètres carrés à croix de petits robot capables aller chercher partout dans un entrepôt le casier contenant objet dont besoin le préparateur de commande le robot de la taille une petite valise roule sur le sol de entrepôt à une vitesse allant jusqu à 4 mètres par seconde presque 15 km heure et grimpe le long de rayonnages adaptés mais très simple pour attraper le bon casier et apporter au préparateur la valeur ajoutée du système est pa tant dans le robot lui même relativement simple dans s fonctionnalités que dans le logiciel qui gère la flotte de robot et leur permet être déployés facilement et de virevolter efficacement dans entrepôt explique romain moulin co fondateur et directeur général exotec exotec est 70 de logiciel indique il une grande partie de la performance du système vient de intelligence artificielle qui appelle astar qui donne de mission aux machine et fait tous le calculs logistiques pour arriver à sortir le meilleur de la flotte en sachant envoyer le bon robot au bon moment chercher le bon article pour la bonne commande client entreprise produit plus de 900 robot vendus notamment à carrefour leclerc ou cdiscount elle remporté en 2019 un méga contrat avec le japonais uniqlo prévoyant la livraison de 1 000 robot elle beaucoup ambition prévoyant de porter s capacités de production de robot à 4 000 par an ici à 2021 et de devenir à terme une boite à plusieurs milliard de chiffre affaire selon le termes de romain moulin entreprise vise dans le monde entier de secteurs tels que le textile e commerce alimentaire industrie pharmaceutique ou encore industrie manufacturière pour heure elle prévoit de doubler s ventes en 2020 après de ventes de 19 9 million euro en 2019 et 7 4 million euro en 2018 contrairement à écrasante majorité de pépites de la tech très pudiques sur leurs résultats financier exotec dépose officiellement s résultats financier au greffe du tribunal de commerce de lille côté rentabilité exotec subi une perte nette de 620 000 euro en 2019 signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature afp pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
8production
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https://www.frenchweb.fr/face-a-starlink-oneweb-leve-400-millions-de-dollars-aupres-de-softbank-et-hughes/412962
Financing
l’opérateur de satellite oneweb, en partie détenue par le gouvernement britannique, annoncé vendredi avoir levé million de dollar d’argent frais, en majorité auprès du japonais softbank. en plus de softbank, oneweb va recevoir de fonds de l’opérateur américain de satellite hughes network systems, précise-t-il dans un communiqué. hughes network system avait indiqué en décembre s’être mi d’accord pour investir million de dollars, ce qui signifie que softbank va injecter million de dollars. le japonais va même obtenir une place au conseil d’administration, selon oneweb. ce dernier, qui était en faillite, été repris en juillet dernier par le gouvernement britannique en consortium avec le groupe indien bharti, qui s’étaient engagés à investir chacun million de dollars, soit un milliard au total. l’opérateur de satellite précise avoir reçu à ce jour en tout un financement de , milliard de dollars, compris la levée de fonds annoncée vendredi. cela lui permet de disposer de fonds nécessaires pour lancer une flotte de satellite d’ici fin , selon lui. l’opérateur déploie une constellation de satellite en orbite basse qui vise à fournir de l’internet à haut débit partout dans le monde. il est en concurrence dans ce secteur notamment avec la constellation starlink du mastodonte spacex appartenant au milliardaire américain elon musk. oneweb déjà satellite en orbite, après en avoir lancé supplémentaires en décembre dernier. le engins sont fabriqués en floride grâce à une co-entreprise avec l’avionneur airbus. avant sa reprise, oneweb n’avait pa réussi à lever deux milliard de dollar supplémentaires pour financer sa constellation et avait dû se placer le mar sou la protection du chapitre de la loi américaine sur le faillites, victime de la pandémie. la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateur: greg wyler création: siège: londres, royaume-uni activité: constellation de satellite destinés à fournir l’internet haut débit au monde entier financement : million de dollars, en majorité auprès du japonais softbank. afp pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux (richard@decode.media)nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris
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https://www.lavoix.eu/fr/news/227/cjue-nestle-sa-contre-cadbury-uk-ltd
Securing
  La Société des Produits Nestlé a déposé une demande de marque tridimensionnelle en classe 30 au Royaume Uni pour le signe ci-contre, dont elle a fourni des preuves établissant l’acquisition du caractère distinctif par l’usage.   La société concurrente Cadbury s’est opposé à son enregistrement et l’examinateur de l’Office des marques britannique a considéré que la marque en cause était dépourvue de caractère distinctif intrinsèque, et n’avait pas non plus acquis un tel caractère après l’usage qui en a été fait, et a donc rejeté ladite demande d’enregistrement.   L’examinateur a considéré que la forme pour laquelle l’enregistrement est demandé est constituée des caractéristiques suivantes : Nestlé a interjeté appel de cette décision. C’est dans ce contexte que la Haute Cour de Justice (Angleterre et Pays de Galle), a décidé de poser à la Cour de Justice de l’Union Européenne trois questions préjudicielles:   1. S’agissant de l’acquisition du caractère distinctif par l’usage, faut-il que les consommateurs reconnaissent la forme et l’associent au produit, ou bien faut-il qu’ils identifient la marque seule comme une indication d’origine du produit?   La Cour a tranché et énonce que la condition fondamentale de l’acquisition du caractère distinctif par l’usage est, que ce soit en tant que partie ou combinée avec une autre marque enregistrée, que la marque seule (par opposition à toute autre marque pouvant également être présente) permette au public pertinent de percevoir le produit ou le service désigné comme provenant d’une entreprise déterminée.   2. La seconde question porte sur le cumul des motifs de refus listés à l’article 3, §1, sous e) de la Directive 2008/95, à savoir lorsque la forme est imposée par la nature même du produit, qu’elle est nécessaire à l’obtention d’un résultat technique ou qu’elle lui donne une valeur substantielle. À ce sujet, la Cour rappelle que ces motifs de refus sont autonomes, et énonce qu’il convient qu’au moins un de ces trois motifs de refus s’applique pleinement à la forme en cause. En effet, selon la Cour, l’article précité ne doit pas être interprété de manière à refuser l’enregistrement d’une marque dans le cas où chacun des trois motifs de refus ne serait que partiellement vérifié, car cela irait à l’encontre de l’objectif d’intérêt général. 3. Enfin, la dernière question porte sur le refus d’une forme nécessaire à l’obtention d’un résultat technique, et tout particulièrement sur la prise en compte de la manière de fabrication du produit en cause. Sur point, la Cour vient confirmer une jurisprudence constante selon laquelle ce motif de refus doit être interprété dans le sens qu’il vise la manière dont le produit en cause fonctionne au regard de l’utilisation du produit et ne s’applique pas à la manière dont il est fabriqué, « un résultat technique donné pouvant être atteint par d’autres formes, et par conséquent par d’autres procédés de fabrication » (voir en ce sens CJUE – 18 juin 2002 - C-299-99, Philips).   En conclusion, nous retiendrons que pour prouver l’acquisition du caractère distinctif par l’usage d’une marque, son titulaire doit prouver qu’elle permet d’identifier l’origine des produits et services qu’elle désigne, et que la simple association ne suffit pas.   S’agissant de l’appréciation des motifs de refus de protection liés à la forme du produit, cet arrêt vient renforcer le fait qu’ils doivent interprétés au regard de l’intérêt général.   Contacts : Marion LAPERRIERE et Béatrice DAUBIN
0agronomy
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https://www.influencia.net/classement-marques-2020-par-brand-finance-the-winner-is-apple/
Uniqueness
and the winner is apple la marque la plus valorisée au monde aujourd hui dont la valeur bondi de plus de 87 pour atteindre le chiffre astronomique de 263 3 milliard de dollar sa diversification dans le service nume riques et par abonnement avec app store icloud apple podcasts apple music apple tv et apple arcade lui ont permis de ne plus être aussi dépendant de iphone qui ne représentait plus que la moitié de s ventes en 2020 contre le deux tier en 2015 rien que le jour de an son app store enregistré un chiffre affaire de 540 million de dollar la seconde place de ce classement figure le leader de an dernier amazon précède google et microsoft le géant américain de la distribution walmart fait quant à lui un bond de 8 place en un an pour se retrouver dans le top 6 la réorganisation de son parc de magasin et son développement numérique réussi notamment dans le ventes en ligne ont permis au groupe de reprendre de couleurs après plusieurs années difficiles le spécialistes de e commerce ont clairement tiré profit de cette pandémie le valorisations amazon 15 1 à 254 1 md du chinois alibaba com 108 à 39 2 md et de s filiales taobao 44 à 53 3 md et tmall 60 à 49 2 md ainsi que du japonais rakuten 49 à 7 7 md ont explosé an dernier le groupes technologiques ou appuyant sur innovation technologique ont aussi conside rablement renforce leur valeur de marque repre sentant 14 de la valeur totale du classement 2021 ce secteur reste le plus valorise du brand finance global 500 avec 45 sociétés repre sente e et une valorisation combine de 965 2 milliard de dollar mais le grand gagnant de cette année pa comme le autres est tesla sa valorisation qui bondi de 158 en douze mois est aujourd hui plus importante que celle de neuf plus grand constructeurs automobile du monde re unis parmi le principaux perdants de la crise on trouve assez logiquement le compagnies aériennes le avionneurs et leurs sou traitants boeing 40 13 6 md american airline 40 5 3 md united airline 39 5 md delta 38 5 8 md airbus 36 9 1 md safran 32 4 3 md et emirate 32 4 7 md le hôteliers ne sont pa plus à la fête marriott 60 hilton 30 et airbnb 67 viennent de vivre une année difficile une analyse géographique de ce classement montre à quel point europe ne se trouve plus au centre du monde sur le dix géants le plus valorisés au monde sept sont américains deux sont basés en chine et un se trouve en corée du sud on perçoit un net réequilibrage entre le etats unis et asie résume bertrand chovet le directeur général de brand finance france europe notamment été très impactée par la crise sanitaire no entreprises manufacturières en particulier dans automobile et le groupes de luxe ont subi une baisse brutale de leurs ventes an dernier et le prévisions de analystes pour le prochains mois ne sont pa très optimistes mercedes benz reste la marque européenne la plus valorise mais elle occupe plus que le 13ème rang mondial deutsche telekom est un de rares groupes du vieux continent à avoir tiré son épingle du jeu en gagnant sept place 23ème en un an grâce notamment à sa fusion réussie avec américain sprint le classement de marque le plus fortes est lui aussi instructif pour faire ce palmarès brand finance examine investissement sur la marque son image telle que perc ue par le party prenantes et enfin impact de cette image sur sa performance cette année le chinois wechat avec sa note de 95 4 sur 100 grappille la première place à ferrari 93 9 la troisième marche du podium est occupée par la banque russe sber 92 suivie par coca cola et le free indien jio le reste de ce top 10 est composé de deloitte lego amazon disney et ey et le français me direz vous notre classement cette année comprend 33 marque françaises assure bertrand chovet et la mieux classée orange se trouve à la 91ème place sans commentaire therin frédéric
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/faire-ses-courses-dans-un-magasin-zero-benefice/
Storytelling
Pour être en bonne santé, mieux vaut ne pas grignoter les marges des producteurs entre les repas.  La chaîne de magasins “Le Producteur Local” vous propose des produits alimentaires 100% locaux, en appliquant 0% de marge sur les ventes. Les producteurs & productrices fixent les prix et touchent l’intégralité de ce que vous dépensez pour vos achats. Au sein d’une Société Coopérative d’Intérêt Collectif, ils/elles s’associent à des client·es et à des salarié·es qui souhaitent participer au développement de ces magasins “zéro bénéfice”.\nPour couvrir les frais de gestion de la structure (salaires, loyer…), les producteurs/trices versent une contribution fixe, en fonction de leurs ressources. Cette organisation leur procure un point de vente mutualisé, un peu comme une extension de leur ferme. Les contraintes pour entrer dans la coopérative : être situé·e à moins de 80 km de la boutique pour les produits frais (ou à moins de 150 km pour les produits secs), travailler en agriculture “très raisonnée”, sans OGM ni souffrance animale.  Après avoir éprouvé le concept dans 4 magasins en Normandie, Le Producteur Local se lance à Paris, dans le 20e arrondissement. Voici un joli petit reportage local pour combler votre faim de connaissances :
0agronomy
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https://www.influencia.net/pactisant-avec-euronews-media-city-qatarie-achete-reputation/
Legitimacy
dévoilée au grand public en 2019 alors qu elle trottait dans le têtes qatari depuis déjà une dizaine année medium city qatar est enfin sur le point de prendre antenne imaginée comme le futur catalyseur du développement de industry médiatiques qatari et comme un lien de rencontre idoine entre entrepreneur et médias du monde entier désireux de impliquer en moyen orient cette smart city était également le moyen pour doha de reprendre le contrôle aux émirats arabes unis et leur propre cité médiatique inaugurée en 2000 span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span avec comme objectif de développer la marque en europe ainsi que établir de meilleurs cycle de formation pour s reporter en herbe medium city qatar annoncé mardi avoir signé un partenariat stratégique avec euronews cet accord est considéré comme une étape importante dans le effort de la cité qatari pour attirer de médias de renom accord conduira à la création un bureau régional euronews ainsi que une académie visant à aider le étudiants et le jeunes professionnels de médias à approprier le dernières technique de journalisme pour créer du contenu et gérer avec succès un média à ère digitale grâce à son expertise euronews développera de programme de formation de qualité à destination à la fois de citoyens et de résidents qatari avec 28 an expérience dans la diffusion information fiables la création de contenus originaux et le développement de méthodes innovantes de journalisme euronews développé de module de formation approfondis pour diver plateformes appuyant sur de méthodes enseignement qui ont fait leurs preuves auprès de étudiants de médias et journalisme et de professionnels de industrie le programme euronews academy au qatar consistera en la création une plateforme apprentissage en ligne sur laquelle de module apprentissage en ligne innovants et de formation en direct seront disponibles en anglais et en arabe espace dédié du bureau euronews proposera de formation sur site et un programme éducatif ambitieux en partenariat avec de universités locale comprenant de conférences de séances observation et de stage aux côtés de équipes euronews à doha et à lyon accord comprend également de programme produits localement qui seront créés par le groupe médiatique à destination audience de tous âges mais tout particulièrement adressés aux jeunes le programme couvriront de sujets tels que le business la culture ou le divertissement tous le programme seront disponibles sur le différentes éditions et plateformes euronews ce partenariat représente une étape importante vers établissement de medium city comme une de destination favorite de institution médiatiques et de entreprises technologiques de renommée mondiale nous aspirons à signer davantage de partenariats stratégiques de ce type et espérons que cela conduira à un plus grand développement du secteur de médias dans toute la région déclaré mohammed al sada directeur général de medium city qatar nous somme fiers de nous associer à medium city qatar pour lancer notre ambitieux programme euronews academy dans la région depuis près de trois décennies euronews est un exemple de journalisme impartial et de confiance nous somme ravis de opportunité que nous avon de partager notre expertise et notre savoir faire auprès de jeunes générations de professionnels de médias basés au qatar conclue michael peter président du directoire euronews span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span montagut sacha
5learning
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https://www.makery.info/2016/03/07/wonder-cake-le-truck-festif-pipi-caca-biogaz/
Market Impact
Nantes, correspondance Wonder Cake, parce que c’est donc un gâteau merveilleux qu’on lui déposera, et parce que les initiales sont donc WC : tel est le nom du semi-remorque qu’inaugurera le 9 avril le Nantais Renaud Chambre, 36 ans, vieux routard du DJing, des bars et du spectacle vivant. L’idée ? En finir avec les files d’attente invraisemblables devant les toilettes dans les festivals, que les filles se tortillent jusqu’au malaise avant de parvenir à un Graal toujours cradoque, que les matières récoltées finissent épandues au mépris de tout respect écologique là où ça peut ; matières dont le potentiel de recyclage est toujours perdu. Pour ce faire, Renaud Chambre, qui officie depuis plusieurs années avec quatre grosses compagnies de spectacle vivant, « Mobile Casbah, Maboule distorsion, Madame Suzie et surtout Sweat Lodge avec qui je construis le camion », va proposer les services de son truck tout-en-un : toilettes sèches, bar, DJ électro sur le toit avec les lasers et tout, casier de consignes, bornes de recharge pour les mobiles, vente de Go-girl (pour les filles debout) et même des cartes de fidélité, T-shirts et mugs pour les inconditionnels. Renaud viendra bientôt en festival à vide et repartira à plein. Et comme ce sera nickel (du monde y veillera), c’est dire si les filles vont l’adorer. La récolte sera recyclée en biogaz (il peaufine ces temps-ci le procédé de recyclage avec une ingénieure) permettant de chauffer une maison, douche comprise. Renaud y travaille depuis un an et demi après être tombé en arrêt sur un docu chantant les toilettes sèches japonaises. Il s’est adjoint l’aide des designers nantais Les Ekovores connus entre autres pour avoir inventé les uritonnoirs, et a même sondé 60 copines qui n’en peuvent plus de devoir grimper sur le trône : « Du coup 90% n’y vont pas, et se retiennent », témoigne-t-il. Petite ou grosse, l’affaire est sérieuse. Les festivals sont du coup intéressés, sachant très bien que les spectateurs en ont tant ras la cuvette des conditions habituelles qu’ils sont de plus en plus soucieux de l’environnement. Le Wonder Cake a déjà des dates signées ou en négociation : deux soirées à Nantes, une à Rennes, festivals Au foin de la rue en Mayenne, Terres du son (Tours), le City Trucks festival, Chalons-sur-Saône, Aurillac… Et Renaud de se rendre compte que le « marché » est immense : « Les Escales de Saint-Nazaire ont été contactées. Le Hellfest a ce qu’il lui faut. Je songe aux marathons ou aux festivals de cerfs-volants. Imagine : 10 000 personnes sur la plage et pas de chiottes ! » Pour boucler le financement, à défaut d’avoir pu trouver de l’aide pour achever les travaux, une campagne Wonder Cake a été créée sur le site de financement participatif Ulule pour collecter 5 000€. Le semi-remorque représente déjà plus de 20 000€ d’investissement (10 000€ de la poche de Renaud, 10 000€ de prêt, la coprod de Sweat Lodge, des dons, du mécénat…) mais va nécessiter encore 5 000€ d’aménagements qui seront effectués par le cabinet nantais QUB. Chacun peut donner. C’est un beau projet – et ce serait dommage qu’il se retrouve dans la… Ou plutôt si : ce serait bien qu’il en récolte (enfin, bref, on se comprend). Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
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https://www.frenchweb.fr/french-tech-1kubator-leve-6-millions-deuros-pour-connecter-lecosysteme-regional-et-celui-de-la-capitale/412424
Financing
si station f, campus xxl de start-up à paris présenté comme le plus grand incubateur du genre au monde, fait figure de vitrine de la tech française à l’internationale, il ne faut pa pour autant oublier le incubateurs régionaux qui ont un rôle déterminant pour vitaliser l’écosystème. ce derniers se développent de plus en plus depuis quelques années autour de villes comme lyon, bordeaux, nantes ou encore lille, qui agissent comme de véritables catalyseurs pour faire décoller de start-up françaises. parmi le structure qui ont accompagné l’essor de la french tech ce dernières années, on retrouve kubator, qui développé un réseau d’incubateurs à lyon, bordeaux, nantes, rennes, lille et strasbourg. pour monter en puissance dans l’hexagone, ce réseau d’innovation annonce un nouveau tour de table de million d’euros. cette levée été réalisée auprès de bnp paribas cardif, de la caisse d’épargne pyrénées, du groupe surya et de actionnaires historiques dont la banque populaire auvergne rhône alpes, la banque populaire grand ouest et le fonds french tech accélération du programme d’investissements d’avenir (pia), géré pour le compte de l’état par bpifrance dans le cadre de l’action publique french tech. pour financer son développement, la structure avait auparavant levé près de million d’euros en . créé par alexandre fourtoy, kubator propose aux start-up de bénéficier d’un suivi sur mois, avec un financement de euro en contrepartie de % de leur capital, pour le aider à développer un réseau professionnel dans leur secteur activité et à définir une roadmap leur permettant de prendre leur envol sur le marché ciblé. depuis son lancement en , le réseau d’incubateurs régionaux accompagné plus de start-up en france. la structure entend s’appuyer sur ce financement de million d’euros pour étendre son maillage dans l’hexagone. cela se traduira par l’ouverture d’une antenne à toulouse d’ici le mois de mar et d’une autre à paris qui serum un trait d’union entre l’écosystème régional et celui de la capitale. «dans une certaine mesure, l’année nous aidé à monter la solidité de notre approche, mais surtout comment le entrepreneur et l’innovation sont une vraie solution à la crise. en , nous souhaitons aller encore plus loin, être présents au plus près de start-up et en financer de plus pour que notre portefeuille approche le projets financés», indique alexandre fourtoy, fondateur d’ kubator. la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateur : alexandre fourtoy création : siège social : lyon secteur : french tech activité : réseau d’incubateurs financement : million d’euros en janvier … pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux (richard@decode.media)nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris
5learning
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/fanny-mijon-linstagrameuse-qui-passe-de-chanel-au-resto-vegan-1174661
Magic Team
Quand Fanny Mijon a débuté sa carrière, sans doute ne s’imaginait-elle pas telle qu’elle est aujourd’hui, parée de son jean-tablier noir. Non, à la fin de son école de commerce à Reims, elle se figurait plutôt en chemise en soie, parcourant les openspaces en faisant claquer ses talons, et ponctuant toutes ses phrases d’un “canon !” bien senti. Deux ans chez Chanel, trois chez APC : tout la destinait à marketer des tailleurs fancy. Mais doucement, une idée fait son chemin. En parallèle de son job, Fanny se met à créer, à expérimenter des recettes vegan (pas de viande, de poisson, de poulet, de produits laitiers, d’oeufs…), qu’elle publie sur Instagram. Classique ? Pas en 2014, à une époque où il n’y a pas encore  88 millions d’occurrences au hashtag vegan sur le réseau. En quelques mois, elle récolte quelques 5.000 abonnés. De ce début de notoriété, elle bâtit un CV, et postule comme extra dans les cuisines de Paris. Commence alors une double vie : cheffe de produit le jour, commis de cuisine la nuit. “Je posais parfois des jours de congé… pour aller travailler en cuisine”. Fanny découvre une autre atmosphère que celle qu’elle a connue jusque-là : “On est tous en ébullition, toujours debout, au contact des autres, il y a une adrénaline, une énergie incroyable”. Un jour elle se décide : adieu benchmark et return on investment, ce sera cheffe en cuisine plutôt que cheffe de produit. Deux ans après avoir lâché son job chez APC, en 2017, elle ouvre son restaurant vegan à Paris, et devient à la fois cheffe de cuisine et patronne. Après tout, le diplôme d’école de commerce a servi. Et quand on lui demande si elle ne regrette pas de ne pas avoir fait d’école de cuisine : “à l’école, on n’apprend pas à faire un gâteau sans oeufs !”
0agronomy
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https://www.frenchweb.fr/fintech-tencent-mene-un-tour-de-table-de-40-millions-deuros-dans-la-startup-francaise-lydia/389437
Financing
lydia ne a jamais caché la start up française ambitionne de devenir le paypal de la nouvelle génération mobile une première brique avait été posée pour atteindre cet objectif il a deux an avec une levée de fonds de 13 million euro voici que la deuxième apprête à être posée avec un nouveau tour de table de 40 million euro mené par le géant chinois tencent dans le cadre de cette opération le actionnaires historiques à savoir cnp assurance xange et new alpha ont également accepté de remettre au pot lancée en 2013 par antoine porte et cyril chiche application lydia été popularisée par sa fonctionnalité de remboursement entre particuliers la start up parisienne depuis étendu son champ action en permettant à s utilisateurs de regrouper leurs comptes bancaires sur une seule application de faire de virements bancaires de créer de cagnottes en ligne de programmer de paiements récurrents pour payer son loyer par exemple ou encore de payer avec son smartphone via apple pay google pay et samsung pay ou par qr code pour se rémunérer lydia prélève une commission de 1 9 du montant collecté sur chaque transaction auprès de commerçants qui acceptent le paiements via application disponible gratuitement à s débuts application est dotée début 2018 une offre payante et sans commission prélevée lydia premium pour doper s revenus ce service permet notamment de bénéficier de carte virtuelles pour le paiements en ligne et de disposer une carte mastercard qui remplace toutes le autres carte bancaires une manière pour lydia de rivaliser avec le néobanques comme n26 revolut et orange bank qui ont actuellement le vent en poupe face aux banques traditionnelles qui tentent de rattraper leur retard sur le fers de lance de la fintech pour se différencier la start up française propose également autres produits financier comme assurance habitation dans le cadre un partenariat avec luko ce jour lydia revendique 3 million utilisateurs en europe aujourd hui ce sont 25 de français âgés de 18 à 30 an qui ont un compte lydia précise cyril chiche co fondateur et ceo de la société française qui se positionne face à de solution comme paylib et lyf pay outre la france application également été déployée à automne 2017 au royaume uni en irlande en espagne et au portugal une expansion que la jeune pousse entend poursuivre avec ce nouveau tour de table pour toucher davantage de millennials européens particulièrement friands de nouveaux service financier proposés par le start up de la sphère bancaire et financière le phénomène devrait davantage amplifier grâce à la révolution de open banking rendue possible par application de la deuxième directrice européenne sur le service de paiement dsp2 par ailleurs entrée de tencent au capital de lydia permet au mastodonte chinois de continuer à placer s pion à international comme son rival alibaba avec alipay le propriétaire de application multi service wechat ouvert an passé sa solution de paiement wechat pay aux touristes étrangers lors de leur visite sur le territoire chinois ouverture alipay et wechat pay à de utilisateurs étrangers marque une avancée significative puisque le deux service étaient jusque là réservés à international qu aux touristes chinois en déplacement dans le grandes villes du monde entier comme à paris pour régler de achats aux galeries lafayette par exemple investissement dans lydia ne fait que confirmer cette évolution de tencent sur le marché du paiement international reste désormais à savoir quelles seront le intention du géant chinois avec application française et sa base utilisateurs dans le prochaines années fondateurs antoine porte et cyril chiche création 2013 siège social paris secteur fintech activité paiement mobile financement 40 million euro en janvier 2020 13 million euro en février 2018 rejoignez la promo 2020 du club decode fintech pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
7people
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/grandes-metropoles-croissance-economique
Value Chain
Dans une économie de plus en plus mondialisée, les métropoles par le regroupement de leurs activités et leurs capacités d’innovation  constituent le cœur de la croissance économique d’un pays et in fine sa richesse. Ce constat conduit à plusieurs interrogations qui seront abordées durant les différentes séquences de ce colloque. Comment parvenir à la meilleure valorisation possible du potentiel de croissance d’un pays à travers ses différentes métropoles et ses pôles technologiques et scientifiques ?  Comment favoriser  simultanément le développement de ces pôles et la diffusion de la richesse ainsi créée sur l’ensemble du territoire ? Le colloque « Les métropoles et la croissance » qu’organisent la Société Grand Paris et France Stratégie s'est articulé autour de trois tables rondes  notamment sur la base des exemples du métro automatique du Grand Paris Express et du plateau de Saclay et a abordé les thèmes suivants : Les infrastructures, réseaux physiques qui transportent des flux de personnes, de matières, de produits, de l’énergie, de l’information, de la connaissance… jouent un rôle fondamental et structurant dans le développement économique d’un pays et de ses métropoles. Les infrastructures de transport favorisent les échanges matériels et humains, les économies d’échelle et la spécialisation dans les activités de production. Elles jouent un rôle dans la localisation des emplois et de la population et améliorent l’accessibilité aux grands centres urbains, autre facteur de croissance. Elles ont exercé dans l’histoire une influence positive sur le développement, dans des proportions variant selon les territoires concernés. Le bon fonctionnement des transports au sein des grandes agglomérations est également un facteur significatif d’attractivité pour les investisseurs internationaux. Au moment où des choix structurants ont été effectués par les Pouvoirs publics en France, il est primordial de bien caractériser les mécanismes à l’œuvre et la portée effective de ce rôle des infrastructures sur la croissance économique du pays et des différentes métropoles françaises. 14h30-14h45\nAccueil par Muriel Pénicaud, ambassadrice déléguée aux investissements internationaux, directrice générale de Business France.\nPrésentation du colloque par Jean-Pierre Gonguet, journaliste, rédacteur en chef 14h45-15h15\nIntervention de Jacques-François Thisse, professeur à l’université de Louvain : Le rôle des grands projets d’investissement dans la croissance et l’attractivité des mégapoles. 15h15-16h15\nTable ronde avec Émile Quinet, professeur émérite à l'école des Ponts-ParisTech, Bruce Katz, Centennial Scholar à la Brookings Institution, Washington, Jacques-François Thisse, professeur à l’université de Louvain, Diego Puga, professeur au Madrid Institute for Advanced Studies. Pause 16h30-18h00\nDébat : Muriel Pénicaud, directrice générale de Business France, Jean Pisani-Ferry, commissaire général de France Stratégie,  Philippe Yvin, président du directoire de la Société du Grand Paris, Jacques-François Thisse, professeur à l’université de Louvain, Émile Quinet, professeur émérite à l'école des Ponts-ParisTech, Bruce Katz, Centennial Scholar à la Brookings Institution, Diego Puga, professeur au Madrid Institute for Advanced Studies Les métropoles, par le regroupement de leurs activités et leurs capacités d’innovation,  constituent le cœur de la croissance économique d’un pays ou d’un territoire et in fine sa richesse. Ainsi les métropoles et les territoires sous leur influence directe produisent la plus grande partie des résultats économiques de la France. Les douze métropoles provinciales et l’agglomération parisienne, avec 39 % de la population française, réalisent la moitié du PIB (51 %), rassemblent 43 % de l’emploi, déposent 70 % des demandes de brevets et connaissent une dynamique économique forte (1,6 % de croissance annuelle entre 2000 et 2010 à comparer au taux de 1,1 % pour l’ensemble de France). Elles contribuent à diffuser la richesse sur le territoire par l’intermédiaire de mécanismes distributifs puissants. La concentration spatiale des grandes plateformes de recherche, d’enseignement supérieur, assortie à celle de services publics, d’infrastructures performantes, d’entreprises dynamiques et innovantes, etc., est un phénomène constant. La contribution des métropoles à la compétitivité économique de la France est essentielle et doit être soutenue. La croissance qu’elles impulsent doit cependant bénéficier à l’ensemble du territoire. L’enjeu est donc que les métropoles exploitent à plein leur potentiel de croissance, et en même temps que celle-ci se diffuse vers l’ensemble des territoires. Cette table-ronde se posera les questions des clefs et des facteurs de la prospérité des métropoles, de la réalité actuelle du processus de concentration-diffusion des activités économiques et de la dynamique de diffusion de la prospérité des métropoles dans des territoires. 9h00-9h30\nIntervention de Mario Polèse, professeur à l’Institut national de la recherche scientifique à Montréal : Les clefs de la prospérité des métropoles et la dynamique des territoires. 9h30-10h45\nDébat sur les facteurs de la prospérité des territoires, avec Gilles Duranton, professeur à la Wharton UPenn, Philippe Martin, professeur à Sciences Po, Frédéric Robert Nicoud, professeur à l’université de Genève, Daniel Béhar, professeur à l'Institut d'urbanisme de Paris, université Paris-Est Créteil Val-de-Marne. Pause 11h15-12h45\nDébat sur le rôle des métropoles dans la dynamique des territoires, avec Gilles Duranton, professeur à la Wharton UPenn, Philippe Askenazy, directeur de recherche CNRS-École d’économie de Paris, Nadine Levratto, professeur à l’université Paris-Ouest Nanterre La Défense, Andrès Rodriguez Pose, professeur à la London School of Economics. 12h45-14h15\nDéjeuner (sur place). Le rôle de grandes plateformes technologiques et scientifiques est particulièrement important. Les regroupements d’activités de nature scientifique autour d’universités contribuent à renforcer les transferts des résultats de la recherche, les externalités de connaissance et les innovations. Ils ont des effets d’entraînement sur les dynamiques économiques régionales et nationales. Les méthodes d’évaluation des retombées économiques des parcs scientifiques et technologiques restent cependant encore très partielles, et ne proposent pas de mise en parallèle robuste des bénéfices estimés avec les coûts de mise en œuvre. Les  orientations des politiques publiques dans ces domaines doivent donc s’appuyer sur un ensemble d’éléments qualitatifs et aussi réalistes que possible pour limiter les biais d’optimisme. Cette table-ronde s’interrogera donc sur les moyens de favoriser efficacement le développement des pôles technologiques et scientifiques, la manière d’apprécier les résultats à attendre, et surtout les conditions d’efficacité des politiques de parcs technologiques et scientifiques. 14h15-14h45\nPrésentation par Jean-Claude Prager, directeur des études économiques de la Société du Grand Paris, des conclusions de son rapport sur « les grandes plateformes technologiques et scientifiques, les acquis de la connaissance, les conditions de leur réussite ». 14h45-16h15\nDébat avec Gilles Duranton, professeur à la Wharton UPenn,  Philippe Van de Maele, président de l’EPPS de Saclay (à confirmer), Dominique Bureau, délégué général du Conseil économique du développement durable, Philippe Estèbe, directeur de l’Institut des hautes études d'aménagement du territoire en Europe, Bernard Macq, recteur de l’université de Louvain. 16h15-16h30\nClôture des travaux. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
7people
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/se-faire-ejecter-du-cloud-quand-un-nuage-passe/
Market Impact
À la plage, vous ne surfez que par beau temps ? Et sur Internet ? Lorsque vous visitez le site Low Tech Magazine, vous risquez d’être subitement interrompu·e dans vos lectures par un message d’erreur. Si cela se produit, ne paniquez pas : c’est juste le ciel qui se voile à Barcelone. Eh oui ! Ce site internet est hébergé dans la capitale catalane sur un serveur qui fonctionne exclusivement grâce à l’énergie du soleil. Alimenté par un petit panneau solaire, il passe en mode hors-ligne dès que le mauvais temps s’installe. Le climat barcelonais étant plutôt clément, le site n’est inaccessible que 35 jours par an en moyenne. Le reste de l’année, il affiche (entre autres) les prévisions météo et le pourcentage de batterie restant avant extinction. Derrière cet artifice technologique de façade, le site défend de façon très engagée le recours à la low-tech, la réduction des dépenses énergétiques et la transition vers les énergies renouvelables. Avec ses pages ultra-épurées, sans effet d’animation, en texte brut et aux images hyper-compressées, le site est très léger. Il vous propose ainsi une navigation peu coûteuse en énergie. Une mise en oeuvre lumineuse des principes qu’il défend dans ses articles.  Vous avez dit radical ?
9resource
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https://www.lavoix.eu/fr/news/349/ordonnance-n2018-1125-une-refonte-de-la-loi-informatique-et-libertes
Securing
Elle est issue de la Loi n°2018-493 du 20 juin 2018 relative à la protection des données à caractère personnel, adoptée afin de mettre la LIL en conformité avec les nouvelles exigences du Règlement Général sur la Protection des Données (« RGPD »), du 27 avril 2016.   L’Ordonnance intègre dans le droit français les différents droits et exigences du RGPD, et en particulier :     En outre, l’Ordonnance précise les modalités d’exercice de certains droits déjà existants, comme par exemple le droit à l’information (article 48 de la LIL).   Enfin, les autres dispositions de l’ordonnance visent à modifier pour uniformiser l’ensemble des textes juridiques français relatifs à la protection des données personnelles pour former un ensemble cohérent avec cette nouvelle mouture de la LIL.   L’Ordonnance entrera en vigueur au plus tard le 1er juin 2019.   Les équipes du Cabinet LAVOIX sont à votre disposition pour toute information supplémentaire sur les dispositions de cette ordonnance et plus largement sur le traitement de données à caractère personnel.    
12society
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https://www.strategie.gouv.fr/actualites/lancement-de-commission-tutelaire-carbone
Market Impact
Le premier ministre a ainsi confié à l’économiste Alain Quinet, avec l’appui de France Stratégie, une mission visant à proposer une nouvelle trajectoire de la valeur tutélaire du carbone qui soit cohérente avec les ambitions climatiques de la France, et pour formuler des recommandations sur les usages de cette valeur. Pour définir cette trajectoire, une commission composée d’experts, de représentants des partenaires sociaux et des ONG se réunira tout au long du premier semestre. Elle s’appuiera pour cela sur les résultats de modèles macroéconomiques et technico-économiques de la transition énergétique. La trajectoire ainsi définie a vocation à être intégrée dans la stratégie nationale bas carbone. La commission poursuivra ses travaux à l’automne sur la question des usages de la valeur tutélaire. Patrick Criqui, CNRS\nGilles Lafforgue, Toulouse Business School\nEmilie Alberola, Eco'Act\nBenoit Leguet, I4CE\nAlain Grandjean, Carbone 4\nMireille Chiroleu-Assouline, PSE\nAugustin Vicard, CGDD\nGilles Croquette, DGEC\nPatrice Geoffron, Université Paris-Dauphine\nDominique Bureau, CEDD\nJacques Percebois, Université Paris-Dauphine\nNathalie Girouard, OCDE\nLaura Cozzi, AIE\nLuc Baumstark, SGpI\nXavier Bonnet, Insee\nBenjamin Delozier, DG Trésor\nAnne Chassagnette, Engie\nFrançois Dassa, EDF\nChristian de Perthuis, Chaire économie du climat- Université Paris Dauphine\nStéphane de Cara, Inra-Agroparistech Entreprises pour l'environnement, AFEP, UNAF, CPME, MEDE, CFDT, RAC, FNE, FO France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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https://www.influencia.net/back-market-place-marche-pas-comme-autres/
Financing
cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span qui dit que le récup ne rapportait rien certainement pa back market le spécialiste du téléphone reconditionné est devenu le mois dernier la quatorzième licorne française sa quatrième levée de fonds annoncée le 18 mai lui permis obtenir 276 million euro depuis sa création en 2014 cette start up de 480 salariés trouvé 452 million euro auprès de investisseurs sa valorisation dépasse aujourd hui le cap symbolique de 1 milliard euro présente dans treize pay dont la france allemagne le etats unis le royaume uni et le japon cette jeune pousse basé son modèle sur une tendance en plein essor depuis quelques années économie circulaire back market est pa un reconditionneur mais une place de marché gérée par un algorithme qui sélectionne pour chaque produit le marchand qui offre la meilleure qualité au meilleur prix trois type de vendeurs collaborent avec la start up le acteurs classiques du reconditionnement incluent le sociétés comme largo recommerce remade ou smaart qui remettent à neuf dans leurs usines de produits électroniques en fin de vie il comprennent également le réparateurs et le petite boutique qui font le même travail à plus petite échelle le recycleurs qui détruisent le appareils et revendent le composants toujours en bon état le grossistes tels kiatoo eeeztrade ou cordon electronics qui proposent de lot article reconditionnés aux entreprises et le sociétés de leasing qui revendent de article high tech après le avoir loués back market travaille également avec de fabricants de produits de enseignes de grande distribution et de opérateurs mobile qui cherchent à écouler leurs invendus et le produits neufs renvoyés par leurs client sans avoir été déballés sa plateforme propose enfin de produits de revendeurs occasion comme cash converter ou easy cash qui rachètent de produits aux particuliers le testent le réparent et le nettoient avant de le proposer de nouveau à la vente pour rejoindre back market chaque vendeur doit passer par un processus rigoureux de sélection algorithme de la société se charge par la suite analyser le retours client et de commandes mystères sont envoyées par la jeune pousse pour assurer de la qualité de service de s partenaires chaque produit acheté sur le site est garanti pendant douze mois minimum et le client ont 30 jours pour changer avis et renvoyer article commandé la société parisienne progresse dans un marché en plein essor selon une étude publiée le 25 février par kantar pour le compte de recommerce 60 de français affirment être intéressés par achat un smartphone restauré par un professionnel an dernier le secteur du reconditionnement représenté 15 de ventes de téléphone en france et 21 de personnes qui ont changé de portable au cours de douze derniers mois ont revendu dont 11 à de professionnels ce réflexe est encore loin être généralisé agence de environnement et de la maîtrise de énergie ademe estime ainsi que 30 million de téléphones portable prendraient toujours la poussière dans le tiroirs de français depuis sa création back market est beaucoup diversifié sa plateforme propose ainsi de smartphones mais aussi de tablettes de appareils photo de robot cuisine de aspirateurs de réfrigérateurs de perceuses de cafetières de téléviseurs et de trottinettes électriques sur le plus long terme la licorne parisienne souhaiterait devenir une marque tech à part entière et proposer de produits avec son propre label un de trois co fondateurs de la jeune société vianney vaute déclarait récemment à thegood fr qu il fallait encore que on arrive à fermer la boucle de économie circulaire le législateur bien failli pour la bonne cause ralentir ce mouvement pourtant louable le gouvernement en effet cherché à appliquer aux appareils reconditionnés la redevance sur la copie privée rcp qui est imposée aux équipements neufs et qui permis de lever an dernier 273 million euro soit 7 du budget attribué au ministère de la culture cette décision aurait provoqué une hausse de 10 du prix de téléphones reconditionnés le députés ont finalement décidé de couper la poire en deux la rcp pour le produits occasion remis au goût du jour serum ainsi calculé à un taux spécifique et différencié qui tiendra compte notamment de leur ancienneté cette décision est une excellente nouvelle pour le re conditionneurs français qui auraient pu être menacés par une législation trop stricte sur le 1500 partenaires qui lui fournissent de équipements à revendre back market en compte 600 basés dans hexagone une rcp trop élevée aurait encouragé à utiliser exclusivement de sou traitants étrangers au détriment de sociétés françaises la prudence de députés devrait empêcher ce mouvement avec le 276 million euro qu elle vient de lever la licorne est donnée le moyens accélérer son internationalisation et de développer de nouveaux service à intention de s marchands quand on vous dit que la récup peut rapporter gros therin frédéric
2design
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/selection-projets-dinvestissement-public
Financing
Les quatre premiers colloques étaient consacrés à l’évaluation socioéconomique des projets de transports (16 septembre 2014), à la prise en compte des externalités environnementales (2 avril 2015), des effets d’agglomération (22 octobre 2015) et enfin à la prise en compte des risque naturels et sanitaires dans le calcul socioéconomique (17 mars 2016). Le cinquième colloque s'est tenu le 14 décembre 2016 et était consacré à la sélection des projets d’investissement public. "Merci tout d’abord à la DGFIP de nous accueillir dans ces locaux qui nous offrent d’excellentes conditions pour débattre. Ce cinquième colloque sur le choix des investis­sements publics est consacré à un thème plus général que ceux abordés lors des quatre précédents ; il s’agit de fait d’un sujet classique mais qui prend une nouvelle actualité dans le contexte actuel. Lorsque ces thématiques sont habituellement abordées, il n’est pas question de macroéconomie. Nous supposons en effet que l’environnement macroéconomique est stable ou connaît des fluctuations de faible ampleur. La réflexion actuellement engagée au plan international sur la question de l’investissement public s’inscrit dans la conjonction de la faiblesse de la demande engagée au niveau international et du niveau extraordinairement bas des taux d’intérêt en termes réels : nous sommes confrontés à des taux nuls sur le long terme, ce qui constitue un environnement très particulier. Ceci nous amène à nous interroger sur l’opportunité d’utiliser l’investissement public comme un élément de rééquilibrage économique global. Des économistes américains tels que Lawrence Summers et le FMI ont mis en avant cette problématique, qui transparaît partiellement dans le plan Juncker. Par ailleurs, celle-ci a suscité un certain débat en Allemagne. Enfin, l’actualité américaine ravive l’intérêt pour cette question. Faut-il utiliser la « fenêtre », plus ou moins longue, des taux bas pour accélérer un certain nombre de programmes d’investissement public dans un contexte en partie traditionnel mais, également, en partie modifié par la question de la transition écologique et énergétique ? Dans certains pays, il fait suite à de longues années de dépression en matière d’investissement public. La rareté de la ressource publique soulève la question de la soutenabilité de cet effort au regard de la forte montée du taux d’endettement, notamment en France. En même temps, la possibilité d’investir à taux d’intérêt zéro peut permettre à l’investissement public d’avoir des incidences positives sur le taux d’endettement, comme l’ont montré les calculs réalisés par le FMI. L’une des questions posées, qui n’est pas à l’ordre du jour de cette séance, concerne la manière d’insérer cette perspective dans une stratégie de finances publiques axée sur la maîtrise de l’endettement. Par ailleurs, nous sommes également confrontés à d’autres questions. D’une part, le taux d’intérêt réel est durablement différent du niveau d’équilibre, ce qui nous mène à réfléchir sur la prise en compte d’un environnement de ce type dans les calculs traditionnels en matière de projets d’investissement. D’autre part, il convient de s’interroger sur la nature même de ces investissements. Nous venons d’évoquer la problématique de l’évaluation des projets d’investissement dans le domaine des transports. À l’heure actuelle, nous n’avons pas besoin de construire des autoroutes ou des lignes supplémentaires de TGV. Nous avons besoin d’investissements de nature différente, qui posent des problèmes plus complexes. Tel est le cas des investissements dans le renouvellement du matériel de transport en zone urbaine dense, qui soulèvent la question du risque, de la fiabilité et de leur incidence sur les temps de transports. Par ailleurs, nous avons besoin d’investissements dans les infrastructures éducatives et sanitaires, qui posent des problèmes spécifiques. Enfin, la question des investissements englobe celle du capital humain, notamment dans le cadre européen où le déficit dans ce domaine est marqué. L’une des questions est donc de savoir si des programmes tels que le plan Juncker devraient avoir une composante plus marquée sur le capital humain. Nous pouvons également nous interroger sur les investissements dans la transition écologique qui constituent de très bons candidats pour l’investissement public mais qui posent une série de questions difficiles. Dans ce cas, les externalités sont globales et non nationales ou locales. Le rendement économique se situe à très long terme, les irréversibilités en matière climatique sont certaines, mais difficiles à appréhender, et les incertitudes technologiques sont très fortes. En effet, le développement de nouvelles filières technologiques nous amène à nous interroger sur le choix à effectuer entre des investissements dans les technologies actuelles et un renforcement des investissements dans la recherche pour développer les technologies d’avenir. Enfin se pose la question de la crédibilité des politiques publiques, notamment par rapport à la trajectoire du prix du carbone. Même si celle-ci a été inscrite dans une loi de programmation, nous savons bien qu’elle dépend d’un certain nombre de vicissitudes impossibles à exclure. Au total, ces questions sont complexes et nous devons y réfléchir de manière globale. Si l’Europe et notamment la France étaient confrontées à un questionnement accru sur le renforcement des investissements publics, les réponses à ces problématiques deviendraient urgentes : elles doivent donc être anticipées. Certes, l’éventail de ces questions est plus large que les thématiques que nous pourrons traiter au cours de cette demi-journée. Cependant, nous avons mis en place, conjointement avec le Commissariat général à l’investissement, un comité d’experts, que Roger Guesnerie a accepté de présider, ce dont je le remercie, ce qui nous permettra d’approfondir le débat. Les différents colloques qui se sont déroulés au cours de quatre journées de 2014 à 2016 sont matière à capitalisation. Nous avons publié sur Internet un document synthétique à ce sujet. Vous avez la possibilité d’y réagir et nous vous y invitons vivement." France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/du-velo-aux-lunettes-marc-simoncini-defend-le-made-in-france-sur-le-web_18476
R.O.I.
Vous lancez Heroïn, une marque de vélos haut de gamme. Quel est votre modèle? Marc Simoncini. C’est un one shot, nous essayons de faire le meilleur vélo du monde, et de le vendre sur Internet. Il y a 8.000 euros de composants sur ce vélo que nous vendons 14.900 euros. La marge ne nous permet pas d’être distribués par des magasins, et nous avons décidé de le vendre en circuit court. Nous amortissons nos investissements à 220 vélos et si nous vendons les 359, cela nous donnera de quoi partir sur le projet suivant. Quels autres types d’objets pourriez-vous lancer? Nous avons plusieurs idées, il y a de quoi faire une marque ombrelle. Il faut que nous réfléchissions aux secteurs dans lesquels la France est légitime à produire des objets -innovants. Le made in France, c’est une conviction personnelle? C’est la genèse du projet: pourquoi la France, qui a le plus gros événement de vélo dans le monde, n’est-elle pas capable de produire un vélo d’exception? La seule chose que nous n’avons pas pu faire dans l’Hexagone, c’est l’assemblage des tubes de carbone: c’est fait à la main en Italie. Mais tout est assemblé en France. C’est un vélo français, numéroté, vendu dans le monde entier. Avec Sensee, votre autre start-up, vous voulez vendre des lunettes sur Internet. Où en est ce projet? Sensee représente déjà 20% des lentilles de contact vendues en France. Pour obtenir un cadre juridique stable qui nous permette de vendre des lunettes sur Internet, il nous a fallu quatre ans. Nous avons ouvert des showrooms à Paris et à Marseille, et d’autres ouvertures sont prévues pour couvrir le territoire français. Nous fabriquons nous-mêmes nos lunettes à la main dans le Jura, et nous les vendons trois à quatre fois moins cher que chez un opticien. Notre collection complète sera vendue sur Internet dès septembre. Pourquoi les Français se mettraient-ils à acheter des lunettes sur le Net? Notre collection est innovante et fabriquée en France. Les gens vont aussi prendre conscience qu’ils doivent désormais payer leurs lunettes, puisqu’ils ne seront plus remboursés par leur mutuelle que tous les deux ans. Ils s’apercevront que c’est beaucoup moins cher sur Internet. Pourquoi arrêtez-vous de financer des start-up ? Entre le moment où vous mettez de l’argent dans une entreprise et celui où vous la revendez, un fonds dure dix ans. Vous me voyez revendre des start-up à 63 ans? Je vais faire d’autres choses pour aider l’éco-système: je peux accompagner, motiver les jeunes pour créer leur entreprise… Marc Simoncini, c’est presque une marque aujourd’hui. C’est cela la réussite pour vous? Je n’ai pas fait tout cela pour être connu. Mais cela m’aide. Depuis peu, je cherche à trouver une manière d’aider une fois que j’aurai terminé tout ce bazar de business. Et pour cela, il faut avoir un réseau, donc une marque. Tout ce que j’aurai fait depuis vingt ans – monter des dizaines de boîtes et en réussir très peu, finalement – m’aidera à créer un projet un peu différent pour aider les jeunes de ce pays. Propos recueillis par Jean-Baptiste Diebold et Gilles Fontaine \n\n \n
0agronomy
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https://www.makery.info/2016/03/29/echopen-lance-une-sonde-dechographie-open-source/
Needs
Un précédent stimulant dans le monde du matériel ouvert à destination de la médecine. Echopen, fablab associatif dédié à l’Open Hardware médical hébergé à l’hôpital de l’Hôtel-Dieu à Paris, a présenté jeudi 24 mars la première version de sa sonde d’échographie open source. Ce prototype d’écho-stéthoscope à destination des professionnels de santé innove, deux cents ans après l’invention du stéthoscope par René Laennec. Installé depuis six mois à l’Hôtel-Dieu grâce au soutien de l’APHP (l’Assistance publique des hôpitaux de Paris) et soutenu par la fondation Pierre Fabre, le fablab associatif Echopen est né d’une nécessité de concevoir un dispositif d’échographie à bas coût permettant d’accéder facilement à l’orientation diagnostique. En général, les équipements d’échographie sont chers et imposants. « Pouvoir disposer d’un outil qui permette de diagnostiquer le tout venant de la pathologie médicale afin de pouvoir faire des orientations diagnostiques rapides serait une révolution », nous explique le coordinateur et cofondateur du projet, Nowami, que Makery est allé rencontrer avec le petit noyau des développeurs de l’écho-stéthoscope, en amont de la présentation publique. Les membres d’Echopen ont d’ailleurs souhaité ne pas donner leur identité pour « préserver le coté open source collectif ». Depuis un an, la communauté a rassemblé près de 200 personnes autour du projet, dont « une vingtaine très actifs », précise Nowami, des médecins, acousticiens, électroniciens, codeurs, radiologues… L’écho-stéthoscope open source permettrait de gagner énormément de temps dans les services d’urgence bien sûr, mais ouvrirait également de nouvelles perspectives aux généralistes en cabinet, dans les déserts médicaux ou dans le cadre de missions humanitaires. « Cela nous permettrait de séparer rapidement les figures entre urgence vitale, examens complémentaires ou fausses alertes », explique Nowami. « Le nombre de patients accédant à l’examen échographique est largement insuffisant car cette ressource est volumineuse, coûteuse et d’usage largement réservé aux radiologues. Il existe des dispositifs ultra-portables, mais ils coûtent entre 8 000 et 15 000$, ce qui est encore prohibitif. » Philips est sur le point de sortir un outil nommé Lumify, loué 199$ par mois. La différence, c’est que la sonde d’Echopen, « low-cost et connectable directement à un smartphone, coûterait au final moins de 200$ », dit Nowami. «Nous voulons certes cracker la technologie, mais avant tout équiper la main du médecin. Il est urgent de libérer l’accès à ce type d’outils.» Le milieu humanitaire s’y intéresse de près également, explique Olivier, qui a une expérience de coordination scientifique dans le cadre de missions humanitaires en Asie du Sud-Est. « Au Cambodge par exemple, c’est très compliqué dans les zones sous-médicalisées d’avoir recours aux échographes. En obstétrique, cet outil serait vital. Au Maroc, un grand nombre de femmes n’ont pas accès au monitoring, le taux de mortalité est trop élevé. » Et puis, ajoute Nowami, « dans les cas d’anomalies obstétriques, de calculs rénaux, cela permettrait une meilleure efficacité de la prise en charge sanitaire ». « La difficulté a consisté à initier une dynamique open source, explique Nowami. Il faut bien se rendre compte que les membres d’Echopen qui font de l’électronique ne pratiquent pas d’échographie tous les quatre matins ! » Le projet, complètement distribué, s’est ainsi réparti entre un pôle de coordination et d’impulsion « ici à l’Hôtel-Dieu », un pôle à l’ENS Cachan « pour la conception transducteur », « un pôle électronique analogique à l’Aforp, un centre de formation d’apprentis, et enfin un pôle sur le traitement du signal à Telecom Paris Tech ». Deux rencontres ont été déterminantes, explique Nowami, celle de Luc, qui « avait déjà travaillé en 2009 à un dispositif d’échographie branché à un OLPC (One Laptop Per Child) » et celle de Pierre Bourier, un radiologue expérimenté de l’hôpital Saint-Louis qui avait beaucoup réfléchi à la miniaturisation de l’échographie. « Pierre a réalisé plus de 200 000 échographies dans sa vie et son idée était de parvenir à un outil ultra-portable pour ramener son usage au niveau du stéthoscope » raconte Nowami.  Après la présentation de la version 1 du proto, l’équipe d’Echopen a encore du travail de développement. Echopen a monté un wiki de documentation qui compte déjà plusieurs centaines de pages. « Mais nous avons véritablement besoin de le structurer car nous souhaitons que le projet se dissémine », dit Émilie qui a le nez dans la masse de documents en ligne. Un des grands chantiers reste la dimension légale. « Il y a encore beaucoup de démarches à faire pour que le dispositif soit agréé », précise Émilie. « Il faut aussi que les personnes soient formées. En ce sens, la formation devra probablement faire partie du kit. » Echopen a d’autres projets en stock, comme Murgen, « un fork de la sonde Echopen, un kit de développement Open Hardware pour l’imagerie par ultra-sons », dit Luc lors de la présentation du prototype à l’Hôtel Dieu. « Un kit pour makers, fablabs, académiques et bidouilleurs qui a été créé de manière délocalisée, avec des gens en France et ailleurs. Mais c’est surtout l’esprit de partage et le temps consacré qui a rendu les choses possibles ! » Echopen organise d’ailleurs tous les vendredis soirs des meet-ups de la communauté dans son lab de l’Hôtel-Dieu, où on discute « sécurité des systèmes d’information en santé, licences libres, automatisation de l’assistance, repérage anatomique ». Mais aussi libération du matériel en santé. Et Nowami de conclure : « Le cœur de la technologie scanner repose sur la formule de projection posée en 1917 par le mathématicien allemand Johann Radon et la formalisation de la première machine scanner à la fin des années 1960 par Cormack et Hounsfield, ce qui leur vaudra le Nobel de médecine. Tout cela date. Il n’y a plus de raison que cela coûte aussi cher aujourd’hui. Du rayon X standard à l’IRM, il existe tout un monde technologique qui peut être décortiqué, hacké, reconstruit et libéré ! »\n Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
6medical
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https://www.influencia.net/christie-devoile-strategie-matiere-nft-sotheby-rencherit/
Storytelling
cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span avec 22 million de spectateurs en ligne lors de sa première vente en mar 2021 et une adjudication au montant record de 69 3 million de dollar christie a indéniablement réussi son incursion dans le monde de art digital œuvre en question everydays the first 5 000 day de artiste américain beeple est un assemblage de dessins et animation réalisés chaque jour pendant 5 000 jours affilée par cette vente mike winkelmann 49 an est entré dans le trio de tête de artiste le plus chers du monde de leur vivant depuis christie s est également distingué par la vente de 9 oeuvre du collectif larva lab considéré comme un de pionniers de nft dans le monde de art avec leur projet cryptopunks lancé en 2017 qui se compose de 10 000 visage dessinés sur ordinateur associés chacun à un nft au total la vente de ce 9 nft atteint le 16 9 million de dollar autre première en mai 2021 gucci vendait son premier nft dans le cadre de la vente proof of sovereignty de christie si la séquence vidéo ainsi commercialisée a pa battu de record elle permis à la marque de participer à la lutte contre le covid le montant de la vente été versé à unicef dans le cadre de initiative covax mais qu est ce qu un nft un nft est un token non fongible techniquement est une ligne de code avec de chiffres et de lettres qui constitue un bloc sur une chaîne donc une œuvre art basée sur le nft est un token qui représente une image un concept ou un élément artistique explique noah davis spécialiste en art après guerre et contemporain de christie l avantage de ce ligne de code enregistrées sur une blockchain le nft ne pourra jamais être édité dupliqué ou contrefait il ne peut pa être à deux endroits à la fois est une solution à de problématiques classiques dans le monde de art en termes authenticité de traçabilité et de provenance ajoute expert plus intéressant qu un simple titre de propriété virtuel le nft ouvrent la possibilité éditer de smart contract ce sont de outils fascinants et dynamiques vous pouvez être très inventif et créatif avec le protocoles contenus dans ce smart contract le artiste sont particulièrement intéressés par la gestion de leurs droits en ca de revente explique noah davis avec ce contrats intelligents il devient par exemple possible de déclencher automatiquement le paiement à artiste un pourcentage sur chaque transaction de revente dans le cadre de application un droit de suite depuis 2021 le sujet de nft enflamme le monde de art contemporain mais pa uniquement il intéresse le artiste et créateurs de tout type et notamment dans la musique presque pour la première fois le artiste peuvent monétiser leur travail directement auprès de leurs fan explique lin dai fondateur de la plateforme oneof une plateforme nft pour le musiciens qui levé 63 million de dollar à son lancement en mai dernier et travaille en partenariat avec christie si la maison de vente britannique est imposée comme un catalyseur clé du boom de nft en 2021 elle en est pa à origine est la plateforme nifty gateway créée en 2018 par le frères winklevoss qui véritablement lancé la tendance avec une vente en décembre 2020 de 3 5 million de dollar record à époque pour 20 œuvres de artiste beeple déjà lui signe de explosion du marché le précédent record pour une vente œuvre numérique via nft sur la plateforme nifty gateway datait de juillet 2020 mais avec une transaction de 55 555 seulement désormais nifty gateway est allié à sotheby le concurrent direct de christie zante benoit
2design
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http://chasseursdecool.fr/big-idaho-potato-hotel-la-plus-insolite-des-residences-airbnb/
Engineering
C’est un jeu de mots honteux, mais si vous nous le permettez : cet hôtel nous file vraiment la patate.  Insolite mais réel, ce hôtel hors norme, en forme de pomme de terre est une location Airbnb disponible et aménagée à Boise dans l’Idaho. Après avoir passé 7 années à sillonner, sans répit, les routes Américaines, à l’arrière d’un semi remorque, dans le but de promouvoir les atouts de la pomme de terre, emblème local en Idaho, cette pomme de terre à finalement été recyclée avec audace et créativité. Reprise en mains par Kristie Wolfe, une entrepreneur spécialisée dans la création de Tiny Houses, cette imposante pomme de terre de 6 tonnes a été creusée et consolidée par un silo qui a permis sa transformation en habitation Airbnb. Appareils électroniques, mini-réfrigérateur, meubles sélectionnés avec goût et même un lit sur mesure : elle à tout pour nous séduire.
12society
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https://www.lavoix.eu/fr/news/199/filing-a-european-french-german-patent-application-under-convention-priority-has-never-been-simpler
Securing
1. Filing at the EPO, the FPO or the GPO in the language of the first filing   It is possible to file a subsequent Convention priority application at the European Patent Office (EPO), French Patent Office (FPO) or German Patent Office (GPO) by simply submitting the original description, claims and drawings of the priority application in the original foreign language. There is no restriction on the foreign language, the text and the drawings may be in any language. At the EPO and the FPO, the applicant has then to submit a translation into an official language of the Office within two months of the filing date. At the GPO, the deadline for submitting a German translation is three months from the filing date.   The advantage of filing the original foreign language text and drawings of the priority application is that these documents then constitute the initial disclosure of the subsequent EP, French or German application. Accordingly, in case of inaccuracies in the later-filed translation, the same can be brought into line with the original foreign language text. This is not possible if the filing of the subsequent application is made based on the translation.   2. Filing at the EPO or the FPO by reference to a previously filed application   At the EPO and the FPO, a subsequent Convention priority application can even be validly filed by, instead of filing application documents, simply providing the filing date, the application number and the name of the Office where the priority application was filed, together with an indication that the reference to the priority application replaces the application documents.   The applicant must then provide a certified copy of the priority application within two months of the filing date. If the priority application is not in an official language of the Office, the applicant must also file a translation into an official language within the same deadline.   3. Conclusion   The possibility to file a patent application in any language at the EPO, FPO or GPO and the possibility to file a patent application at the EPO and FPO by simple reference to an earlier application can be very helpful in meeting an imminent priority deadline.   Also, filing the original foreign language application documents at the EPO, FPO or GPO guarantees that any potential translation mistake can still be corrected during subsequent prosecution.   For further details and legal advice, please contact us.
1business
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https://www.frenchweb.fr/proptech-4-millions-deuros-pour-bellman-syndic-de-copropriete-digital/401119
Financing
bellman un syndic de copropriété lève 4 million euro auprès du fonds suisse lakestar et de actionnaires historiques le britannique connect venture et la financière saint james la startup parisienne avait déjà levé 2 million euro en septembre 2019 lancé en 2019 par deux ingénieurs antonio pinto et jonathan ratier bellman est une plateforme permettant aux gestionnaires de copropriétés de gérer plus rapidement le demandes de copropriétaires via de logiciels conçus spécialement par la startup ce logiciels permettent automatiser certaines tâches administratives et offre une transparence nouvelle puisque le copropriétaires peuvent accéder à la plateforme pour vérifier où en sont leurs dossier par exemple bellman qui revendique déjà la gestion de 100 copropriétés sur sa plateforme rémunère le gestionnaires en fonction de la satisfaction de copropriétaires dans ce contexte de crise sanitaire et économique le fonds comme le startup sont plus prudents dans leur gestion de fonds malgré cela bellman su convaincre le investisseurs que le moment était propice pour accélérer son développement notamment grâce aux mesures de distanciation sociale qui adaptent aux outils digitaux développés par la startup cette levée de fond était pa urgente mais no investisseurs constatant notre croissance et la traction du marché ont souhaité nous aider à accélérer confie antonio pinto dans le cadre de cette levée de fonds la startup parisienne ambitionne améliorer sa plateforme que ce soit interface destinée aux gestionnaires ou celle consacrée aux copropriétaires tout en imaginant de nouveaux service pour ce derniers bellman souhaite également recruter davantage de gestionnaires pour parfaire s service nous restons concentrés sur ile de france qui est un marché important et ce fonds vont nous permettre de supporter la croissance en maintenant cette qualité de prestation conclut antonio pinto fondateurs antonio pinto et jonathan ratier création 2019 siège social paris ile de france secteur proptech activité syndic de copropriété financement 4 million euro en juin 2020 auprès du fonds suisse lakestar et de actionnaires historiques le britannique connect venture et la financière saint james pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/apres-avoir-travaille-sur-les-vtc-je-developpe-loffre-duber-eats-1174630
Desirability
“Au début de mes études, je ne savais trop ce que je voulais faire. Pour me laisser le temps de réfléchir, j’ai opté pour l’école hôtelière de Lausanne, une école citée comme la meilleure du monde. Comme j’étais à  l’aise avec les chiffres, à la fin de mon cursus, j’ai choisi une spécialisation en finance. Là encore, j’avance toujours à l’aveugle. À mon arrivée dans le monde du travail, le mélange des deux a été un sacré atout pour ma vie professionnelle. J’ai réussi mon pari en comprenant qu’on n’a pas besoin d’être sûre à 100% d’où on va pour avancer. Trois ans passés chez le cabinet d’audit EY et j’ai été pris par la quête de sens. J’ai eu envie de m’orienter vers une entreprise qui a un impact réel sur le quotidien des gens, dans un job plus opérationnel. J’ai finalement rejoint les équipes d’Uber en 2015. À l’époque la startup venait de poser ses valises à Genève. On avait donc tout à créer : la notoriété de la marque, faire grandir le nombre de clients VTC sur un marché encore peu mature. Je me sentais capable de relever le défi.  Dans ma première vie chez Uber, j’ai rejoint l’équipe Driver Opérations. J’avais pour mission de faire croître la base de chauffeurs. Une fonction super intéressante et… très opérationnelle. C’était le lancement, donc on n’avait pas encore d’équipe dédiée. Pour m’en sortir, j’ai vite compris qu’il fallait être multitache. D’une part, je m’occupais de l’acquisition de nouveaux chauffeurs. Le but était de les convaincre à rejoindre notre outil qui n’était pas encore tellement connu. Pour y arriver, on proposait  des avantages, dans des stations essences par exemple pour attirer les chauffeurs.  D’autre part, j’enfilais ma casquette de commercial pour dénicher et nouer des partenariats avec des entreprises, des festivals qui nous ont permis de gagner en visibilité. Les journées étaient parfois très longues, mais je voyais l’impact direct que j’avais sur le business.  Après deux ans à Genève, j’ai pu accéder à une nouvelle opportunité, toujours chez Uber mais cette fois à Paris. J’ai débarqué dans la capitale pour rejoindre l’équipe en charge de la stratégie pour l’Europe de l’Ouest et du Sud ! Mon premier challenge a été de travailler sur la stratégie organisationnelle de la région Sud. Grâce à cette mission, j’ai commencé à gérer des sujets plus complexes. J’échangeais avec des interlocuteurs du siège d’Amsterdam et de San Francisco. Sans m’en rendre compte, je gagnais en crédibilité et en visibilité, ce qui allait m’aider à me diriger vers un poste à responsabilité. C’était à ce moment de ma carrière que j’ai rejoint mon domaine de prédilection : la food. Depuis avril 2019, je dirige l’équipe d’innovation de Uber Eats France où je jongle entre la tech et de la food.  Alors non, je ne passe pas mes journées à goûter des plats. (Rires). Mon métier consiste à créer de nouveaux leviers de croissance pour l’entreprise. Concrètement, je travaille avec des restaurateurs pour les aider à maximiser l’utilisation de notre technologie. Je crée aussi des concepts de restaurants virtuels dédiés uniquement à la livraison. Il y a aujourd’hui un milliers de restaurants de ce type sur l’application.  Comment ça marche ? Nous identifions une tendance et nous cherchons des partenaires pour lancer le concept. Personne n’est passé à côté des poke bawl, un plat hawaïen très healthy (et bobo of course!). Avec le groupe Côté Sushi, on a lancé la marque Maison Poké, une marque disponible uniquement sur Uber Eats.  Globalement, c’est beaucoup de veille, d’analyse de data et de la mise en place de process. Mais, j’aime cette notion d’accompagnement et de conseils auprès des restaurateurs. Mon grand moment de satisfaction : c’est quand je vois la concrétisation d’un projet. Parfois, j’arrive avec des trucs complètement farfelus, mais j’ai la légitimité de tester de nouvelles choses. Seul bémol. C’est enrichissant de lancer des idées innovantes, mais il faut aussi beaucoup d’énergie pour les réaliser. Cela nécessite aussi beaucoup d’évangélisation auprès des de mes collaborateurs et des futurs clients. Je dois parfois convaincre plus que les autres, quand je travaille avec d’autres services, mais j’ai le goût du challenge.  Quel sera la prochaine étape ? Je ne sais pas encore quel est le next step pour moi. Mais une chose est sûre, j’ai envie de continuer à évoluer dans la foodtech, un secteur en pleine croissance
0agronomy
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/mini-green-power-veut-construire-50-centrales-par-an-d-ici-cinq-ans_16771
Market Impact
Mini Green Power est une start-up des green techs. En quoi consiste votre solution ? Jean Riondel. En France, « on n’a pas de pétrole, mais on a des idées ». Nous avons trouvé une solution pour remplacer le pétrole. Nous avons inventé et breveté des minicentrales à carbone zéro qui permettent de transformer en chaleur ou en électricité des branches ou des résidus végétaux. En quelques secondes, notre système fait ce que la nature réalise en quelques années : il transforme en hydrogène et en méthane ces résidus qui deviennent un gaz très chaud, puis de l’électricité ou du chauffage. Quels sont vos clients et vos cibles ? Notre solution s’adresse aux industriels et aux collectivités, qui peuvent ainsi faire de grosses économies sur le traitement de leurs déchets et les transformer en carburant pour générer de l’énergie. C’est donc gagnant-gagnant et rentable ! Votre société est encore jeune, à quel stade de développement en est-elle ? Nous avons construit notre première centrale qui tourne à Hyères, notre ville d’origine, depuis février. Nous entrons en négociation avec des groupes industriels de l’énergie et de l’environnement pour vendre deux centrales d’ici la fin de l’année. Nous visons la construction de 50 centrales par an d’ici cinq ans. Vous avez récolté plus de 2 millions d’euros au total. A quoi vous ont servi ces levées de fonds ? Dès le début, nous avons été soutenus par Bpifrance et l’Ademe, qui ont mis 400 000 euros chacun. En plus de cela, nous avons levé 1,5 million auprès d’investisseurs privés pour financer notre R&D. Mini Green Power est à la recherche de 2 millions supplémentaires pour accélérer son entrée sur le marché. Nous comptons réaliser un chiffre d’affaires d’environ 35 millions d’euros d’ici cinq ans, dont 70 % à l’export. En dehors de l’Europe, nous avons un potentiel de développement en Afrique, principalement dans la production d’électricité. Comment vous inscrivez-vous dans l’écosystème des green techs ? Certains modules de notre centrale sont fabriqués par d’autres start-up françaises : la turbine par Enogia à Marseille et la solution de génération de froid est produite par Helioclim à Mandelieu-la-Napoule. Nous avons également un partenariat big data avec Roundcube. Cette synergie nous permettra de jouer face à la concurrence américaine ou chinoise. Cet hiver, l’Inpi a présenté la qualité de nos brevets lors de la COP21, l’occasion de prendre des contacts avec de grosses sociétés internationales pour des échanges commerciaux. Ou de rencontrer du monde, que ce soit en Côte d’Ivoire ou au Brésil. Vous êtes un ancien consultant free-lance dans l’énergie pour des grands groupes. Comment mesurez-vous votre succès ? A 45 ans, j’ai voulu donner un sens plus profond à ce que je faisais. L’avenir est aux énergies vertes et aux petites centrales. Selon moi, ce sont des réponses concrètes au changement climatique. Ma grande réussite, c’est d’avoir créé mon entreprise avec une quinzaine de personnes et de transmettre mes connaissances aux salariés. Entretien réalisé par Léa Lejeune et Jean-Baptiste Diebold   \n\n \n
9resource
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https://www.lavoix.eu/fr/news/224/adhesion-canada-arrangement-de-nice
Securing
Le Canada se prépare à des changements fondamentaux s’agissant du droit des marques. En effet, d’ici le début de l’année 2016, le Canada devrait, en principe, adhérer au Traité de Singapour et au Protocole de Madrid.Afin d’anticiper ces changements de pratique, depuis le 28 septembre dernier, le Canada a commencé à accepter les demandes de marques dont les produits et services sont désignés, de façon volontaire, selon la classification de Nice.Pour le moment, l’usage de cette classification n’est pas encore obligatoire, et ne le deviendra qu’au moment de la ratification des instruments internationaux précités.Néanmoins, il est fortement recommandé de procéder à vos nouveaux dépôts de marque en utilisant le système des classes dès maintenant, et ce afin de faciliter le processus d’enregistrement. Vous pouvez également procéder à la classification des produits et services de vos marques déjà enregistrées qui arrivent à échéance sous peu. En cas de notification du Bureau des Marques Canadien relatif à une mauvaise classification de vos produits et services, il sera possible, soit de modifier la classification selon les recommandations du Bureau, soit de ne rien faire, le Bureau ne tiendra alors pas compte de la classification dans le processus d’examen de la marque et celle-ci sera publiée sans précision des classes.Nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel au sein de Lavoix pour toute information complémentaire.
1business
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/changement-climatique-secteur-financier-face-aux-trajectoires-2degc-francois-villeroy
Market Impact
Cette conférence organisée grâce à la 2° Investing Initiative, la Oxford Martin School et France Stratégie, pour l’ouverture de la COP 21, est un événement majeur, et je suis heureux d’y participer. Je voudrais aujourd’hui avancer quelques remarques sur un sujet qui a pris de l’importance dans l’agenda du changement climatique, à savoir la façon dont les banques centrales et les superviseurs financiers peuvent prendre en compte les défis liés à ce changement. C’est une question assez nouvelle, de fait. Chacun de nous était déjà engagé, comme citoyen et comme responsable public. Mais les autorités monétaires et prudentielles sont aujourd’hui concernées par trois grandes catégories de risques : En pratique, on peut déjà observer des déséquilibres financiers au sein des secteurs fortement émetteurs de carbone, qui font face à des coûts en hausse, à l’apparition de technologies perturbatrices, et à des incertitudes réglementaires[1]. La valeur de marché de la plupart des secteurs fortement émetteurs est déjà touchée. Et une modification des prix pourrait survenir rapidement et de façon abrupte. Ce qui est moins clair actuellement, c’est la façon dont nous devons agir face à ce contexte, parce que l’horizon de réalisation des risques liés au changement climatique dépasse le temps traditionnel des agents économiques, et notamment des acteurs financiers. C’est la désormais fameuse « tragédie de l’horizon » décrite par mon collègue Mark Carney[2]. Nous sommes tous d’accord sur l’idée qu’un prix du carbone plus élevé serait le bon signal économique. Mais nous connaissons la difficulté de la prise de décisions internationales en la matière. En attendant de telles décisions, la question est d’ores et déjà la suivante, vue de la responsabilité qui est la mienne : comment éviter un défaut de conscience des investisseurs et des intermédiaires financiers sur leur exposition aux risques ? Et comment éviter une mauvaise allocation du capital, qui serait trop favorable aux secteurs intensifs en carbone ou aux actifs inexploitables ? Face à ces interrogations, il faut d’abord souligner que le secteur financier et la société civile sont heureusement déjà en mouvement (I). Ensuite, j’aborderai la nécessité d’une intervention publique pour garantir l’alignement des intérêts (II).   Cette mobilisation a été source de progrès ; et pour la résumer, elle me semble s’être faite en trois temps. D’abord, les grandes institutions financières publiques ont été à l’avant-garde de ce mouvement. C’est le cas de la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) ou de la Caisse des Dépôts, avec CDC-Climat. La Banque européenne d’investissement (BEI) estime octroyer aujourd’hui 25% de ses prêts – près de 20 milliards d’euros par an – à des projets « verts ». Puis, sous l’égide des Nations Unies, sont nés des projets comme l’UNEP finance initiative, partenariat entre le Programme des Nations-Unies pour l’environnement (PNUE) et 200 institutions du secteur financier, qui font de la soutenabilité environnementale un impératif collectif, échangent les meilleures pratiques et se fixent des principes en matière de financements verts. Avec l’engagement de Montréal sur le changement climatique, ou la Coalition pour la décarbonisation des portefeuilles, les investisseurs signataires s’astreignent à mesurer et à publier l’empreinte carbone de leurs portefeuilles. L’objectif est ambitieux : réduire les investissements dans les projets fortement émetteurs de carbone de plusieurs centaines de milliards de dollars. Enfin, les institutions financières s’engagent aujourd’hui plus directement. Des banques et des assureurs français ont annoncé récemment le retrait de leur soutien au charbon et l’augmentation de leur financement des énergies renouvelables. Paris Europlace a appelé à la création d’un fonds d’investissement dans la transition énergétique, qui serait alimenté par les contributions des entreprises bancaires, d’assurance et de gestion d’actifs françaises, et qui pourrait investir 10 milliards d’euros à l’horizon 2020, pour financer des projets d’amélioration de l’efficacité énergétique ou de promotion des énergies renouvelables. Cette initiative mérite d’être saluée. Trois questions se posent aujourd’hui pour un banquier central ou une autorité prudentielle : celle du financement –et de l’interaction avec la politique monétaire–, celle de l’information –et de la publication ou disclosure–, et enfin celle de l’horizon temporel –et par là des stress tests–. Le changement climatique est susceptible d’affecter les prix des biens et services. Il a un impact direct sur celui des denrées alimentaires. Mais il affectera plus largement la croissance, de même que l’allocation des ressources. Dans ce contexte, il est certain que les banquiers centraux devront garder un œil sur –et même veiller sur– les conséquences économiques du changement climatique. Et la politique monétaire devra jouer son rôle d’accompagnement du rééquilibrage progressif des structures de prix, en ligne avec son mandat de maintien de la stabilité des prix. En vertu du statut du Système européen de banques centrales (SEBC), à l’article 2, « sans préjudice de l’objectif de stabilité des prix, le SEBC apporte son soutien aux politiques économiques, en vue de contribuer à la réalisation des objectifs [de l’Union, notamment une croissance soutenable et non-inflationniste, respectueuse de l’environnement, et l’élévation de la qualité de vie]. Certains envisagent d’aller plus loin en utilisant l’outil de l’assouplissement quantitatif pour contribuer à financer la transition énergétique. Acheter des actifs verts, accorder un traitement favorable aux actifs verts éligibles au collatéral, ou bien mettre en place des facilités dédiées à long terme… Longue est la liste des possibilités éventuelles. Mais ne nous trompons pas sur la nature de la politique monétaire. Elle doit permettre d’atteindre des objectifs macroéconomiques, plutôt que des objectifs spécifiques liés à tel ou tel secteur. L’hypothèse sous-jacente aux interventions directes de politique monétaire est qu’une banque centrale serait mieux équipée que des agents privés pour garantir une allocation efficace des ressources. Mais cet avantage des banques centrales en matière d’information est loin d’être certain. L’assouplissement quantitatif ne vise donc pas à promouvoir certains types d’actifs plutôt que d’autres, mais simplement à libérer les capacités de financement de l’économie. Ainsi, l’actuelle politique monétaire favorise le report des investisseurs vers des projets plus longs, et à meilleur rendement que les obligations souveraines, comme les infrastructures et la transition énergétique. À une condition essentielle : il faut que la réglementation prudentielle soit cohérente en ce sens, ce qui peut nécessiter des adaptations du cadre fixé par la directive Solvabilité II pour les assurances. Je salue certaines propositions récentes de la Commission européenne en faveur des infrastructures, qui vont dans la bonne direction. Les risques potentiels que pose le changement climatique au secteur financier sont complexes, et leur compréhension n’en est qu’à ses débuts. Le besoin le plus urgent est probablement celui d’une meilleure information. Beaucoup de travail – et un travail de qualité – a été fait ces dernières années, en faveur de la publication d’informations. La loi française sur la transition énergétique, promulguée en août, renforce les exigences en matière de publication des risques environnementaux. Son article 173 exige des investisseurs institutionnels qu’ils incluent, dans leurs rapports annuels, des objectifs environnementaux, notamment l’exposition aux risques climatiques, en mesurant l’empreinte carbone des actifs qu’ils financent et la part « verte » de ces actifs, comparée à des cibles. Le décret d’application de la loi, en cours d’élaboration, précisera les informations concernées et leur présentation. Il devra prendre plus largement la mesure du défi de la clarification : il y a environ 400 dispositifs de publication d’informations liées au climat. Imposer des exigences ou formuler des recommandations en termes de publication d'informations peut être un instrument puissant de discipline de marché, dès lors que les informations concernées sont ciblées et pertinentes, comme en témoignent quelques exemples réussis. Au plan international, sous l'égide du Conseil de stabilité financière, une première task force dite "Enhanced Disclosure Task Force" et composée de représentants du secteur avait déjà émis en 2012 des recommandations pour améliorer, simplifier et cibler la communication des banques d'importance systémique sur la nature de leurs risques. Au plan national, le guide sur la pertinence, la cohérence et la lisibilité des états financiers publié par l’Autorité des marchés financiers en juillet dernier est un autre exemple positif. La clarification est un défi à prendre au sérieux. Nous avons donc décidé, au sein du Conseil de stabilité financière avec le soutien du récent G20 à Antalya, la mise en place très prochaine – d’ici le début de l’année 2016 – d’une autre task force (EDTF) dédiée. Ses travaux devront aboutir en un an afin de permettre rapidement une publication effective des risques liés au changement climatique. Elle développera des recommandations de publication volontaire, selon des modalités harmonisées et donc comparables. Cela permettra aux parties intéressées et au public de mieux connaître la part d’actifs liés aux émissions de carbone que comprend le secteur financier et son degré d’exposition aux risques climatiques. Conduire des stress tests fait partie intégrante de la gestion des risques par les institutions financières. C’est dans les secteurs de l’assurance et de la réassurance que cette gestion par des stress tests est actuellement la plus développée. La modélisation des risques de catastrophes et des niveaux de fonds propres – prévue dans Solvabilité II – y prend en compte une partie des risques climatiques. Mais le cadre réglementaire actuel pour les banques néglige en quelque sorte le changement climatique en tant que source de risques. Ce serait pourtant la façon de traiter la question de l’horizon temporel. À cet égard, la loi sur la transition énergétique prévoit la remise d’ici fin 2016 d’un rapport sur la mise en œuvre d’un scénario de stress tests représentatifs des risques associés au changement climatique pour les banques. Pour autant, la réalisation de cette avancée pose des questions sérieuses. Deux approches sont envisageables. Celle d’un stress global, couvrant l’intégralité des risques et les classes d’actifs associées pour les établissements financiers, ce qui permettrait au superviseur de surveiller l’exposition totale aux risques climatiques. Ou bien celle d’un stress granulaire concentré sur les actifs plus spécifiquement exposés au risque climatique, ce qui serait plus approprié pour analyser des secteurs et besoins de financement spécifiques, comme par exemple le financement du secteur pétrolier. Quelle que soit l’approche retenue, le défi principal serait d’inclure les risques liés au changement climatique, soit par des estimations économiques que nous maîtrisons comme le PIB observé en situation de stress, soit directement à travers des variables climatiques – comme l’élévation de la température – qui nécessiteraient de nouvelles méthodes et la collecte d’informations. Cela impliquerait évidemment de se fier au jugement des experts sur ces questions, dans un contexte où les institutions financières n’ont pas suffisamment de recul pour appréhender les risques futurs. Nous y travaillerons avec l’ACPR et les autorités publiques concernées. La compréhension et l’analyse des risques liés aux changements climatiques sont essentielles. Les projets de  réglementation en cours – loi sur la transition énergétique ou travaux du Conseil de stabilité financière – sur la publication d’informations constituent des outils utiles pour que la transition vers une économie plus verte soit active et donc maîtrisée. Ces initiatives pourront aussi favoriser une prise de conscience des acteurs de marché quant au taux d’actualisation qu’ils utilisent, qui soit davantage compatible avec le passage à une économie plus verte. Le rapport Canfin-Grandjean de juin 2015 comporte aussi nombre de pistes stimulantes. Mais nous devons en même temps rester modestes. Nous, acteurs publics, ne savons pas tout. Et nous ne pouvons pas nous substituer aux acteurs privés, financiers ou non. Il nous faudra nous assurer que toute nouvelle exigence offre les bonnes incitations aux institutions financières, permet un certain degré de flexibilité pour les autorités, et ne crée pas de désincitation à la poursuite du processus de transition énergétique. Modestes, adaptables, mais déterminés. Parce qu’il y a une bataille à gagner et parce que les signaux qui sont aujourd’hui ceux du marché – ses prix du carbone trop bas, son horizon de temps trop court – sont insuffisants pour garantir pleinement la mobilisation. Il y a de nombreuses initiatives privées. Mais il y a aussi besoin d’un cadre public qui sécurise l’alignement général et durable des intérêts. Nous sommes déterminés à y prendre toute notre part, de Bâle à Paris et ailleurs. Je vous remercie. [1] Cf. Moody’s Investors Service, « Impact of Carbon Reduction Policies is Rising Globally », mars 2015. [2] M. Carney, « Breaking the Tragedy of the Horizon – Climate change and financial stability », discours prononcé le 29/09/2015. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/systemes-electriques-transition-energetique-france-europe
Engineering
L’électricité est devenue un bien essentiel, pour ne pas dire vital, sous l’effet de la double transition numérique et écologique. Du véhicule électrique aux pompes à chaleur, réduire les émissions de CO2 passe par une électrification des usages. Ces évolutions mettent les systèmes électriques face à de nouveaux défis : intégration des énergies renouvelables, développement de moyens de production et de stockage décentralisés, arrivée des « réseaux intelligents ». Et parce que l’électricité est « une industrie du temps long », c’est dès maintenant qu’il faut penser sa transformation pour prévenir le risque d’une déstabilisation du système dans son ensemble. Dans cette perspective, France Stratégie met en ligne deux contributions au débat. Dans un premier document de travail, Dominique Auverlot a demandé à trois économistes européens, Dieter Helm, Marc-Oliver Bettzüge et Fabien Roques de formuler des propositions pour réorganiser le secteur au niveau européen, cinq ans après leur contribution sur la crise du système électrique. Quelles sont les régulations nécessaires à horizon 2030 pour assurer la transition vers la neutralité carbone du système énergétique européen? C’est en somme à cette question que le groupe d’experts international se propose de répondre, en tenant compte notamment du problème du prix de l’électricité pour le client final, de la dépendance de l’Europe aux importations d’hydrocarbures et d’équipements tels les panneaux solaires photovoltaïques ou les batteries, et de l’intégration des énergies renouvelables intermittentes dans le système électrique, intégration qui tend à le fragiliser. Dans ce contexte, les réseaux de distribution se trouvent fortement impactés. Un chiffre pour s’en convaincre : selon la Commission européenne, 64 % du coût estimé de la transition énergétique (soit 450 milliards d’euros) sont liés aux investissements nécessaires à l’adaptation des réseaux. Dans le cas français, sur lequel s’est penché Étienne Beeker dans un second document de travail, il apparaît clairement que le réseau de distribution fait face à des défis de taille. Géré majoritairement par Enedis, il n’avait jusqu’ici qu’un rôle d’acheminement de l’électricité vers le client final. Ce rôle évolue avec le développement de la production décentralisée d’énergie renouvelable, celui des possibilités de stockage et du véhicule électrique, et l’aspiration des citoyens à l’autonomie énergétique. Il se complexifie aussi avec l’arrivée des « réseaux intelligents », c'est-à-dire l’intégration des technologies numériques (compteurs et objets connectés notamment) pour optimiser la production et la consommation d’énergie. Le réseau de distribution est donc appelé à jouer un rôle « de plus en plus assurantiel » et de gestionnaire de données, tout en continuant de garantir la solidarité entre territoires. Avec quelles conséquences en termes de portage des risques et de tarification ?   France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
9resource
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/jai-lache-mon-externat-de-medecine-pour-lutter-contre-les-faux-medicaments-1255292
Market Impact
« En 2015, après le séisme dévastateur qui a frappé le Népal, je décide d'effectuer une mission humanitaire dans des zones reculées de ce pays. J'étais alors étudiant en médecine et en santé publique, également diplômé d'une formation générale en sciences pharmaceutiques. Là, ce fut un choc : je découvrais l'existence des médicaments contrefaits, dont la consommation provoque des maladies graves et entraîne chaque année un million de morts (source OMS). L'année suivante, j'ai fait le même constat en gérant la distribution de médicaments de premiers soins dans un hôpital de Tanzanie. Face à ce fléau mondial, révolté, j'ai envie d'agir concrètement au plus vite. Le déclic vient alors que je poursuis l'étude du phénomène en Bolivie : là je m'intéresse aux côtés d'acteurs locaux à la lutte contre la consommation médicamenteuse hors hôpitaux et officines, c'est-à-dire via le dark web, les marchés parallèles, l'e-commerce. En 2017, je suspends mon externat afin de me consacrer pleinement à la mise au point d'une application sur smartphone pour authentifier les médicaments. Basé sur la technologie blockchain, le service est infalsifiable. Je prends contact avec un ami d'enfance, Romain Renard, qui partage la même volonté d'entreprendre pour réaliser en commun un projet utile avec un impact fort. Son parcours est complémentaire au mien, il est diplômé d'un Master Finances et Stratégies à Sciences po Paris. Nos valeurs convergent : sauver des centaines de milliers de vies, en éradiquant la contrefaçon de médicaments dans les pays en voie de développement. LIRE AUSSI : « Etudiant en médecine, j'ai fini premier aux ECN » Et voilà comment Meditect est lancée en 2018, avec pour objectif de développer le service dans la première puissance économique d'Afrique de l'Ouest, la Côte d'Ivoire. Je m'installe à Abidjan, écume les quartiers populaires et leurs dédales de cases puis parcours le pays, sillonnant les villages en province et la région montagneuse de l'ouest pour sensibiliser les professionnels de santé et les patients aux dangers des médicaments contrefaits, et leur expose notre solution. Mon action sur le terrain me passionne. Surtout, je suis convaincu que je peux sauver des millions de vies sur la planète plutôt que quelques dizaines dans un bloc opératoire. Je me suis entièrement engagé dans ce combat et poursuivrai ma lutte contre le trafic de médicaments contrefaits. Quand bien même je dois y consacrer plusieurs années, cela m'importe peu. Les résultats m'encouragent à persévérer dans cette voie. L'application a conquis plus de la moitié des pharmacies du pays ainsi que des dizaines de milliers de patients. Des pays voisins ont programmé l'installation de notre service avant la fin de cette année. Cette expansion nous permet d'envisager un développement dans les pays d'Afrique anglophone. Permettre à toute l'Afrique d'accéder à des médicaments de qualité, telle est ma détermination. LIRE AUSSI : « J'ai arrêté mes études de médecine pour faire un CAP pâtisserie » Cette ambition, bien sûr, je ne suis pas seul à la partager avec Romain, mon associé. Il faut reconnaître que des rencontres exceptionnelles - au moment opportun - ont favorisé notre évolution. Le soutien, dès le départ, de la région Nouvelle Aquitaine, en particulier l'incubateur Unitec et French Tech Bordeaux, a été clé. En mai de cette année, la levée de fonds avec LBO France d'1,5 million d'euros nous a permis d'accélérer notre déploiement et de voir plus grand ! Parallèlement, un contrat signé avec UPSA, le le laboratoire qui commercialise l'antalgique le plus utilisé en Afrique francophone a dynamisé notre essor. Résultat, nous avons aujourd'hui une équipe de 25 collaborateurs, extrêmement motivés. Pour nous tous, relever ce défi de santé publique majeur est urgent pour contribuer à construire la société de demain ».
6medical
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https://www.frenchweb.fr/e-commerce-little-cigogne-leve-22-millions-deuros-pour-personnaliser-la-mode-pour-enfants/395515
Financing
little cigogne spécialisé dans la mode pour enfants lève 2 2 million euro auprès acg management du family office entheos et de investisseurs historiques la startup parisienne avait déjà levé 1 million euro en 2016 auprès de calao finance et de bpifrance lancé en 2013 par mathieu waltzer et sébastien prot little cigogne est une plateforme commerce à destination de parent enfants ayant entre 1 mois et 14 an depuis 2017 elle propose de malles de vêtements crées sur mesure pour recevoir ce coffret le parent doivent renseigner un questionnaire sur leurs habitude quotidiennes et celles de leurs enfants suite à quoi little cigogne analyse le données et imagine trois look personnalisés pour le enfants little cigogne appuie également sur de marque partenaires à instar de petit bateau cyrillius timberland ou encore tape à œil la startup parisienne revendique 600 000 client depuis s débuts et 100 000 malles envoyés en 2019 elle prévoit de dépasser le 10 million euro de chiffre affaire en 2020 dans le cadre de cette levée de fonds little cigogne ambitionne de dépasser le 110 000 parent client de développer davantage s marque propres et accélérer son développement en france et à étranger fondateurs mathieu waltzer et sébastien prot création 2013 siège social paris france effectifs 50 secteur retail commerce activité plateforme commerce à destination de parent enfants financement 2 2 million euro auprès acg management du family office entheos et de investisseurs historiques la startup parisienne avait déjà levé 1 million euro en 2016 auprès de calao finance et de bpifrance pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
2design
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/filieres-de-commerce-ligne-de-logistique-responsables-premieres-signatures-chartes
Market Impact
Le 11 mars 2021, dans le prolongement de la remise du rapport « Pour un développement durable du commerce en ligne » publié par France Stratégie, le CGEDD et l’IGF, les ministres de la transition écologique et de l’économie, des finances et de la relance ont confié à Mme Anne-Marie Idrac, présidente de France Logistique, et M. Gilles de Margerie, Commissaire général de France Stratégie, la mission de conduire une concertation avec les acteurs de l’immobilier logistique et du commerce en ligne pour faire émerger les conditions du développement de filières de commerce en ligne et de logistique plus responsables. Cette mission portait sur les engagements volontaires que les professionnels étaient prêts à prendre afin, notamment, de réduire leur impact environnemental et d’encourager des comportements de consommation plus responsables. Elle visait également à la proposition de modalités permettant de formaliser ces engagements et de les valoriser auprès du consommateur final. Au terme d’un processus de concertation conduit avec les services de l’Etat et les acteurs de l’immobilier logistique représentés par l’association Afilog, d’une part, et avec des acteurs du commerce en ligne autour de la FEVAD, d’autre part, deux chartes d’engagements ont ainsi été élaborées. Elles ont été signées le 28 juillet 2021 au ministère de la transition écologique, en présence de la ministre de la Transition écologique, Mme Barbara Pompili, ainsi que, pour l’immobilier logistique, la ministre déléguée chargée du Logement, Mme Emmanuelle Wargon, et la ministre déléguée chargée de l’Industrie, Mme Agnès Pannier-Runacher et, pour le commerce en ligne, le secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, M. Cédric O. Avec la charte d’engagements réciproques pour la performance environnementale et économique de l’immobilier logistique français, l’association AFILOG et ses membres s’engagent notamment : De son côté, l’Etat s’engage réciproquement : Une restitution de la mise en œuvre de ces engagements sera menée dans le cadre du CILOG (comité interministériel de la logistique). TELECHARGER LA CHARTE D’ENGAGEMENTS RECIPROQUES POUR LA PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE ET ECONOMIQUE DE L’IMMOBILIER LOGISTIQUE FRANÇAIS Avec la charte d’engagements des acteurs du commerce en ligne signée par la FEVAD et un ensemble d’entreprises actrices du e-commerce – CDISCOUNT, EBAY, FNACDARTY, LA REDOUTE, MAISONS DU MONDE, MILLET MOUTAIN GROUP, OTELO, RAKUTEN, ROSA, SARENZA, SENSEE, SHOWROOMPRIVE, SOS ACCESSOIRE et VEEPEE – les e-commerçants signataires s’engagent notamment : Les entreprises signataires rendront compte chaque année, aux services de l’État compétents, des moyens mis en œuvre et des résultats obtenus. Les services de l’État assureront la publication de ces résultats. TELECHARGER LA CHARTE D’ENGAGEMENTS POUR LA REDUCTION DE L’IMPACT ENVIRONNEMENTAL DU COMMERCE EN LIGNE France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
13transport
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https://www.frenchweb.fr/welink-leve-42-millions-deuros-aupres-de-oneragtime/410928
Financing
beaucoup de profession libérales et indépendants ont pa la chance avoir trouvé leur doctolib et ont pa encore la solution pour trouver leurs client sur internet était le constat de charles passereau déjà confronté auparavant à cette problématique avec mon avocat fr et kevin goncalves en début année à occasion de annonce de la levée de fonds de 1 5 million euro pour welink leur entreprise qui édite de plateformes à destination de personnes exerçant une profession libérale depuis la crise du covid 19 est passée par là et elle considérablement accéléré la digitalisation de métiers de indépendants et libéraux éprouvant de difficultés pour développer leurs activités et gagner en visibilité en ligne pour épauler ce professionnels btp comptables avocats agences de communication dans ce sen la start up française vient de boucler un tour de table de 4 2 million euro mené par oneragtime fonds de capital risque lancé par stéphanie hospital et jean marie messier takara capital ainsi que de business angel comme thomas rebaud meero et jonathan benhamou peopledoc ont également participé à opération charles passereau co fondateur et ceo de welink nous explique le enjeux et le ambition derrière cette levée de fonds présente dans huit pay en europe france royaume uni italie allemagne espagne portugal belgique et irlande la société entend appuyer sur ce financement pour passer la vitesse supérieure à international en se déployant de autre côté de atlantique dans trois pay le brésil le mexique et le canada trois pay dans lesquels le indépendants et le libéraux sont confrontés à de problématiques tout aussi importantes qu en europe dans ce cadre welink va lancer de outils et de plateformes pour leur permettre de générer de lead et faciliter la conversion de prospect pour chaque pay et verticale adressés entreprise développe une plateforme dédiée soit une vingtaine de plateformes spécialisées à ce jour revendiquant plus de 3 500 indépendants et libéraux sur s plateformes welink se fixe pour objectif atteindre plus de 11 000 professionnels avec s service ici fin 2021 pour parvenir la société va recruter plus de 800 nouveaux collaborateurs sur trois an 60 en 2020 250 en 2021 et 500 en 2022 tout en ne perdant pa de vue la rentabilité attendue à horizon 2021 outre expansion internationale cette vague de recrutements doit permettre aussi de mettre sur orbite de nouvelles verticales gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise de référence sur achat média digital et le tracking fondateurs charles passereau et kevin goncalves création 2018 siège social paris secteur marketing activité solution saas de digitalisation de métiers de profession libérales et indépendants financement 4 2 million euro auprès de oneragtime en décembre 2020 pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
5learning
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/loic-villemin-le-robinson-de-la-gastronomie-ecolo-et-etoile-1174659
Market Impact
Si on avait demandé son rêve à Loïc Villemin, au moment où il devenait chef de cuisine à seulement 23 ans, il aurait répondu “avoir un restaurant autosuffisant”. Dix ans plus tard, il commence à s’en rapprocher, une étoile Michelin au compteur en plus. 2010 : il s’apprêtait à partir à l’étranger après plusieurs années à travailler chez de grands noms triplement étoilés (Jean-Georges Klein, Arnaud Lallement). Mais une occasion se présente à lui : ses parents rachètent l’hôtel-restaurant Chambellan dans sa ville natale, Faulquemont, en Moselle. Classique et loin de ressembler aux rêves du vingtenaire, Loïc reprend le restaurant gastronomique, avec mille idées en tête. À bord, lui, seul en cuisine, et un maître d’hôtel. Deux ans plus tard, il devient le plus jeune chef étoilé de France. C’est que des idées, Loïc en a tout le temps. “Chaque semaine, je refais la carte, en fonction de ce qui nous arrive du maraîcher, du lac à côté”. Il a enlevé de sa carte tous les poissons pêchés en mer, il cuisine au rythme des saisons. Son beurre de table est fait maison, son beurre de cuisine par le laitier d’à côté, ses légumes sont cuits dans le petit lait qui reste de la fabrication. Il fait lui-même son pain, Tout est récupéré : les peaux légumières déshydratées, torréfiées comme du café, les entrailles de poisson transformées en garum romain (une sorte de condiment populaire dans l’Empire romain pour relever les plats). “Rien ne se crée tout se transforme” semblent dire ses méthodes. Quand on rentre dans sa cuisine, nulle trace de plastique : les sacs sous vide sont remplacés par des bacs en métal, les bocaux en verre trônent sur les étagères, “récupérés chez tous les voisins du coin” sourit-il. Loïc pense déjà à former son élevage, à faire son fromage. Locavore invétéré, Loïc l’est assurément. Mais pas fermé sur le monde pour autant. Son restaurant s’appelle Toya, du nom d’un lac sur l’île japonaise d’Hokkaïdo ; son équipe vient du monde entier (Mexique, Maroc, Japon) ; ses techniques aussi, comme la découpe du poisson à la japonaise. De toutes façons, les codes, il n’en a que faire. C’est en tablier-basket que les membres de la cuisine servent eux-mêmes les plats. “Au début, j’ai reproduit ce qu’on m’a appris et puis je me suis dit que je ne pouvais plus être comme ça.”
0agronomy
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https://www.frenchweb.fr/cryptoactif-bitpanda-leve-52-millions-de-dollars-aupres-du-fonds-de-peter-thiel/405854
Financing
la plateforme autrichienne investissement en ligne bitpanda annonce un tour de table de 52 million de dollar en série mené par valar venture le fonds du co fondateur de palantir peter thiel avec notamment la participation de speedinvest la startup revendique la plus importante opération de financement européen de série de année lancé en 2014 par eric demuth paul klanschek et christian trummer bitpanda est une plateforme de trading actifs numériques et de métaux précieux elle permet investir dans 44 type actifs tels que le bitcoin ethereum best xrp cosmos tron ou encore litecoin la plateforme disponible sur application prend en charge euro le franc suisse la livre sterling le dollar américain et la livre turque bitpanda adresse aussi bien aux professionnels qu aux particuliers et revendique à ce jour plus de 1 3 million utilisateurs la startup viennoise annonce également arrivée andrew mccormack associé fondateur de valar venture au conseil administration de entreprise il rejoint paypal à s débuts et notamment soutenu peter thiel lors de son introduction en bourse la thématique de investissement personnel suscite beaucoup intérêt ce dernières années une tendance qui est accélérée étant donné que nous passons plus de temp à la maison en raison de la pandémie commente andrew mccormack nous somme convaincus que bitpanda est parfaitement positionné pour profiter de cette opportunité en se développant à travers europe et en continuant à attirer de utilisateurs fidèles ce que équipe déjà prouvé qu elle pouvait faire de manière rentable ensemble nous allons faire en sorte que toute personne en europe qui souhaite investir dans son avenir financier puisse accéder aux marchés financier grâce à la prochaine licorne européenne dans le secteur fintech que nous construisons conclut andrew mccormack le co fondateur de palantir et ancien de paypal peter thiel en est pa à son premier investissement dans le crypotactifs il notamment soutenu layer1 en 2019 spécialisé dans le minage et cryptomonnaies ainsi que blockfi en début année via le fonds valar qui déjà accompagnée de fintech prometteuses devenues de licornes telles que n26 ou transferwise bitpanda qui est implantée dans de nouveaux pay cette année notamment en espagne en turquie et en france en mai 2020 ambitionne atteindre de nouveaux marchés européens ici la fin de année elle prévoit également embaucher 70 nouveaux collaborateurs avant 2021 ce qui portera s effectifs à un total de 300 personnes signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature fondateurs eric demuth paul klanschek et christian trummer création 2014 siège social vienne autriche secteur fintech financement 52 million de dollar en série mené par valar venture le fonds du co fondateur de palantir peter thiel avec notamment la participation de speedinvest pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
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https://www.influencia.net/vianney-vaute-co-fondateur-back-market-faut-encore-que-arrive-fermer-boucle-economie-circulaire/
Market Impact
vianney vaute histoire de backmarket est écrite à trois avec thibaud hug de larauze et quentin le brouster thibaud avait la vision du business model démocratiser achat de produits reconditionnés auprès de industriels grâce à une place de marché pour le rendre accessibles au grand public et quentin avait la vision technique pour ma part ai apporté la vision de la marque avec ambition aller au delà du rapport qualité prix nous nous somme rendu compte rapidement que nous faisions quelque chose de plus important que de proposer un bon rapport qualité prix aux consommateurs nous réinventions le rapport à achat de produits technologiques nous avon une vision éthique quasiment idéologique de ce marché contrairement à autres catégories comme le textile ou ameublement qui ont été investis par de nouveaux entrant la technologie assez peu été bousculée si on compare un iphone aujourd hui et un micro ondes de années 60 ce sont à peu près le mêmes chaînes en amont et en aval v pour le bon coin avoir une approche très transactionnelle est logique est un lieu de mise en relation pour le particuliers entre eux dans lequel le service en lui même efface nous avon adopté une approche différente en nous positionnant assez tôt contre le géants de la tech et du commerce que ce soit en termes de posture de ton de voix ou attributs de marque nous avon donc essayé de remettre le facteur humain au centre de équation en parlant à de gen plutôt qu à de portefeuilles là où tout le monde est obsédé par le performance technique nous adoptons un rapport plus léger à objet technologique là où il a du sérieux nous avon apporté un peu autodérision et humour toutes no valeurs de marque peuvent se lira en creux de ce que ferait un géant de la tech ou du commerce que le distributeurs et le constructeurs rejoignent le mouvement est quelque chose qui commence à se produire et qui va permettre de faire croître le marché on le voit de plus en plus dans le textile et la déco la tech doit suivre quand vous avez un apple qui dit qu il de produits reconditionnés à vendre il donne une légitimité hyper importante au marché que le marque se mettent à occasion et acceptent en parler est ça qui va être déterminant du côté de consommateurs il faut encore que on arrive à fermer la boucle de économie circulaire si beaucoup sont prêts à passer le cap de la seconde main en achetant occasion il a encore de difficultés sur approvisionnement le gen revendent peu le produits dont il ont plus usage additionnés ce sont pourtant de appareils qui ont une énorme valeur rien que pour le appareils électroniques on parle un marché de 1 300 milliard de dollar occasion ne représente que 10 de ce marché si on va vers de ratio comme ceux de automobile où occasion domine le marché du neuf on encore de quoi faire plutôt que aller sur autres verticales nous allons continuer à perfectionner le modèle en développant le reconditionnement et notre service de reprise tout en travaillant sur un troisième pilier la réparation acheter de produits qui ont déjà vécu le réparer pour le garder plus longtemps et le revendre quand on en plus usage pour que le machine ne cessent jamais de vivre voilà notre vision on bien conscience que ce est pa quelque chose qu on arrivera à faire tout seuls ce papier d abord été publié sur the good zante benoit
4environment
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https://www.makery.info/2015/01/27/microsoft-hololens-un-petit-pas-pour-lhomme-un-grand-pas-pour-la-virtualite/
Storytelling
Oui holo, comme hologrammes. Mais pas un petit soleil pour vous dire qu’il fait beau. Non, des megabytes de données graphiques qui épousent les angles du réel. Extase de la planète geek depuis l’annonce par Microsoft le 21 janvier. On peut donner la palme du cachottier à Microsoft, qu’on pensait un peu essoufflé… Accordons même à Microsoft le droit de parler d’hologrammes qui n’en sont pas. C’est presque mieux, puisqu’il s’agit de manipuler des éléments réputés intangibles. A la retraite R2D2 et son rétroprojecteur de VHS, Hololens nous invite à des références plus contemporaines, comme Dennö Coil, cet animé japonais qui décrit un monde révolutionné par les technologies de la réalité augmentée. Mais doit-on vraiment parler de révolution ? En matière de réalité virtuelle, on savait déjà imprimer un QR code, poser la feuille sur la table, et, à l’aide d’une application, y faire apparaître un dragon. C’est l’exploitation du champ lumineux, le light field, qui, couplé à des capteurs de position, fait toute la magie du système mis au point par Microsoft. Après tout, Microsoft était déjà précurseur avec Kinect. Alex Kipman, le chef du projet Hololens, était aussi celui du Projet Natale qui préfigurait la sortie de la Kinect. Sauf que, pour de bêtes raisons de coûts, la technologie grand public fut bien plus fade que son prototype. Doit-on y voir un précédent ? Subtile variante, HoloLens n’a pas été présenté comme un accessoire de la Xbox, la console de jeux maison, mais plutôt comme une interface du futur à vocation collaborative pour de la téléprésence active et de la manipulation de prototypes en plein air. Pour l’une des démonstrations, Microsoft s’est même associé à la NASA pour faire coopérer les journalistes sur un sol martien. Présentation de HoloLens par Microsoft : Les autres démonstrations ont mis en œuvre une communication Skype augmentée, une séance de bricolage assistée par un avatar. Et enfin, un Minecraft-like projeté dans le réel pour évoquer, tout de même, le potentiel ludique de l’appareil. On retiendra surtout le casque autonome qui peut être présenté comme une libération prochaine du poste informatique traditionnel. Enfin, on assiste aussi à l’empowerment de l’avatar qui peut agir dans les coordonnées du réel. HoloLens reste cependant un proto. Ne pas se fier à la densité des visuels proposés par Microsoft. Les journalistes qui l’ont testé mentionnent une réalité augmentée fine et transparente. Et puis, HoloLens n’a pas de date de sortie mais, affirme la firme de Redmond, le logiciel sera intégré à Windows 10. Bref, l’annonce est un appel à contribution mais surtout une belle opération marketing! Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
10science
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https://www.influencia.net/acracy-2020-etait-meilleure-annee-pour-lancer-boite-dediee-freelancing/
Magic Team
séverine bavon et romain brignier il a deux conviction profondes au cœur de la création acracy qui résonnent auprès de client comme de freelance la première nous somme là pour accompagner un mouvement de reprise de pouvoir dans le marché un côté de personnes extrêmement talentueuses qui passent en freelance pour reprendre le contrôle sur leur façon de travailler de autre de client qui face à une démultiplication de leurs besoins en création de contenu en social digital crm etc veulent travailler en direct avec de partenaires proches et ultra réactifs qui comprennent leurs enjeux nous somme à intersection de ce deux mouvements qui prennent une ampleur inédite en ce moment la deuxième le profils créatifs sont uniques et ne peuvent pa être traités comme tous le autres profils il faut comprendre à la fois le différentes expertise et importance de soft skill face à de plateformes généralistes qui mettent en compétition de dizaines de profils et donc risquent amener à une baisse de valeur nous nous spécialisons à la verticale créative et avon une promesse de matching le meilleur profil pour chaque entreprise mission b et b 2020 était probablement la pire année pour lancer une boîte mais la meilleure pour lancer une boîte dans le freelancing on assisté lors du premier confinement déconfinement à une évolution incroyable dans la façon qu avaient no client aborder la collaboration avec nous et no freelance il ont vu en acracy un partenaire créatif qui comprend leurs enjeux du moment pouvoir concevoir de contenus et leur com de façon rapide réactive et flexible et par ailleurs après une phase compliquée incertitude le mois qui ont suivi le déconfinement ont fait progresser le façons de travailler dans le sen de ce que le freelance prônaient déjà le remote la flexibilité et la recherche une meilleure qualité de vie pour nous ce mouvements ont été de accélérateurs b et b évidemment notre croissance est forte en partie car nous somme littéralement partis de rien mais elle dépassé no espérances et on le sentiment être au bon endroit au bon moment du côté de modèles de travail le confinement révélé énormément de questionnements sur notre qualité de vie est ce qu on est obligé de vivre en ville est ce qu on est obligé de travailler sur place à de horaires fix est ce qu on est vraiment sûr de vouloir travailler sur certains sujets le freelance par leur choix de vie sont la figure de proue de cette réflexion du côté de client on vu aussi une envie de travailler de façon plus proche plus directe avec le talent créatifs sans un process et de intermédiaires qui parfois freinent la créativité b et b en un an nous avon dépassé le million euro de chiffre affaire avec plus de 50 client près de 400 freelance et un taux de croissance moyen de près de 50 mais le chiffre le plus important pour nous est celui du taux de retour plus de 63 de no client reviennent après une première mission avec acracy et 56 de freelance qui bossent avec nous font au moins 2 mission pour nous est la plus belle preuve que nous répondons à leurs attentes b et b la pub on en vient on adorera toujours énergie la créativité et incroyable richesse de talent de cette industrie mais ce secteur est comme un bébé est parce qu on aime qu on le change 2020 avec balance ton agency avec une pression toujours plus grande sur le budget et donc sur le gen été une année révélatrice de dysfonctionnements du milieu et de son besoin de se réinventer structurellement il est plus possible de sou payer et de sur pressuriser s employés en échange une promesse de cool et évolutions future ça ne tient plus et ça le talent ont compris mais le client aussi ont compris ce qu il nous disent est qu il ont besoin de plus de transparence de plus agilité et de plus de proximité b et b il a deux façons de voir le travail avec de freelance il peut abord être un ajout de valeur à un moment précis un moyen de traiter de enjeux de bande passante surcharge activité manque une compétence en interne remplacement de quelqu un mais il peut aussi être intégré structurellement au modèle une entreprise plusieurs de no client studio interne chez de client ou agences ont intégré la collaboration avec le freelance acracy dans leur façon normale de travailler il externalisent ainsi de compétences dont il ont pa besoin en permanence qu il ne peuvent intégrer en interne ou sur lesquelles il expérimentent de nouvelles offres en étant certains qu il pourront à tout moment travailler avec de personnes talentueuses et qui comprennent leurs besoins ce modèle là implique une façon différente aborder le freelancing et une adaptation de la structure une personne en interne dédiée à la gestion du travail avec le freelance une reprise en main de la gestion de projet et du suivi b et b il a un travail de fond à faire sur le statut de indépendants le cadre législatif social juridique fonctionne encore comme si le cdi était la norme et avec près un million indépendants en france ce est plus du tout le ca nous soutenons le action du syndicat independants co qui se bat pour le freelance en demandant notamment la poursuite du fonds de solidarité dont la plupart de indépendants viennent en être exclus ensuite il a de nombreux sujets sur lesquels le freelance doivent être soit accompagnés prévoyance retraite mutuelle soit tout simplement pris en compte comme pour la recherche ou achat appartement est un travail de titan et on envie y participer car le freelance est là pour durer la rédaction
7people
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https://www.frenchweb.fr/fintech-revolut-se-renforce-en-pleine-crise-du-coronavirus-avec-une-extension-de-80-millions-de-dollars-de-sa-serie-d/403591
Financing
en début année la fintech britannique revolut avait frappé fort en levant un demi milliard de dollar dans le cadre un tour de table en série mené par investisseur américain tcv entreprise londonienne clôture aujourd hui cette opération avec une extension de 80 million de dollar la valorisation de la société évaluée à 5 5 milliard de dollar en février dernier reste inchangée à issue de ce nouvel investissement provenant du fonds américain tsg consumer partner cette nouvelle opération vise à accélérer la stratégie de déploiement à international de revolut maintenant que la série est close nous pouvons concentrer no effort sur le déploiement opérations bancaires complètes en europe et accélérer le développement de no produits aux états unis indique nikolay storonsky co fondateur et pdg de revolut la société prévoit notamment de déployer de produits comme un outil de gestion de abonnements et un programme de récompenses pour s client le fonds levés depuis le début année par la fintech britannique sont en effet indispensable pour financer une stratégie internationalisation agressive qui se fait au prix de pertes de plusieurs dizaines de million de dollar le pertes de entreprise avaient notamment doublé en 2018 la banque mobile avait ainsi enregistré sur la période 40 3 million de dollar de pertes pour un chiffre affaire de plus de 73 million de dollar 354 un an plus tôt ce pertes élevaient à 18 6 million de dollar pour un chiffre affaire de 16 8 million de dollar ce jour revolut qui compte plus de 2 000 employés répartis dans 23 bureau à travers le monde revendique plus de 12 million de client elle en vise 20 million ici la fin de année et 100 million à horizon 2023 reste désormais à savoir quel serum effet de la crise du coronavirus sur le performance de la fintech britannique compte tenu du climat actuel nous somme ravis être dans une position aussi forte pour apporter de meilleurs service bancaires aux population du monde entier estime nikolay storonsky son entreprise doit cependant avec une concurrence qui est densifiée au cours de ce dernières années revolut doit notamment faire face à la néobanque allemande n26 qui annoncé une extension de 100 million de dollar de sa série en mai dernier pour porter sa valorisation à 3 5 milliard de dollar n26 revendique de son côté 5 million de client dans 25 pay fondateurs nikolay storonsky et vlad yatsenko création 2015 siège social londres effectifs 2 000 personnes secteur fintech activité banque en ligne concurrents n26 monzo orange bank atom bank financement 580 million de dollar levés en série entre février et juillet 2020 lira aussi revolut de challenger bank à première fintech européenne pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
12society
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https://www.strategie.gouv.fr/actualites/mission-detude-vehicule-propre-europe-linternational
Market Impact
La réduction des émissions de gaz à effet de serre du secteur du transport constitue un enjeu majeur pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2050, comme annoncé par le Premier ministre dans son discours de politique générale de juillet 2018.. Ce secteur contribue en effet à près de 30 % des émissions de GES françaises, et c’est le secteur dont les émissions ont le plus augmenté depuis 1990 (+13 %). Dans cette optique, le plan climat prévoit l’arrêt de la commercialisation de véhicules émettant des gaz à effet de serre d’ici 2040. La France n’est pas le seul pays à s’être fixé un objectif aussi ambitieux. Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l’Inde, la Chine notamment ont également annoncé leur volonté de mettre progressivement fin à la vente de véhicules thermiques. Pour mieux connaître les politiques publiques mises en place et les choix technologiques retenus par ces pays, le ministre de la Transition écologique et solidaire a confié à France Stratégie une étude de parangonnage de plusieurs pays engagés dans une politique de transition vers un véhicule propre à moyen terme. Cette étude s’intéressera en particulier aux quatre aspects suivants : Les résultats de cette étude sont attendus pour fin mars 2018. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
13transport
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