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Je l'ai trouvé muet et silencieux

Garde ton calme, ne l'espère pas Garde ton calme, ne l'espère pas

Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien

Triste pour ton visage baigné de larmes Encore davantage, avec ton cœur qui peine à te comprendre

Essuie tes larmes, fais appel à ta pensée critique Affûte ta chance, et une autre se présentera à toi

Apaise ton esprit, attrape ton bonheur Bien que ton cœur soit rempli, tu ne seras pas moqué

Ô toi, emporté par la vague, au creux de l'antre de l'amour Je sais que ton esprit est perturbé

Ton cœur, toujours pris dans les tourments Sur celle qui s'est éclipsée de ton regard

Garde ton calme, ne l'espère pas Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien

Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien

Inutile que je te raconte l'histoire qui m'est arrivé Sans cesse perdu dans mes rêveries, je ne trouve pas le sommeil

Je l'ai trouvé muet et silencieux

Inutile que je t'offre mes larmes, les rivières déborderont Le mal s'amplifie, je suis enfoncé dans un état néfaste

Sur elle, quand je chante, les larmes envahissent mes yeux J'ignore si elle se remémore le jour où elle m'a lâchée en toute confiance

Ô toi, emporté par la vague, au creux de l'antre de l'amour Je sais que ton esprit est perturbé

Ton cœur, toujours pris dans les tourments Sur celle qui s'est éclipsée de ton regard

Garde ton calme, ne l'espère pas Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien

Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien

À celle qui l'a quitté, éclaire-moi sur tes raisons Il se retrouve en proie aux tourments, sa jeunesse est anéantie

Il veille avec les étoiles, chaque jour est une souffrance Ton charme l'a hypnotisée, devenant un poison pour lui

Je saisis mieux ton attitude, tu es malhonnête Ton destin reste obscur, manifestement, tu es animée par une quête matérielle

Ô toi, emporté par la vague, au creux de l'antre de l'amour Je sais que ton esprit est perturbé

Son esprit s'évadant vers d'autres horizons

Ton cœur, toujours pris dans les tourments Sur celle qui s'est éclipsée de ton regard

Garde ton calme, ne l'espère pas Garde ton calme, ne l'espère pas

Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien Puisqu'elle s'est tournée vers un vaut rien

Je lui demande, pourquoi es-tu si pensif ?

Je lui demande, pourquoi es-tu si pensif ?

Me fixant avec un regard, rempli de chaudes larmes

Sur sa chérie bien-aimée, son visage empreint de cicatrices Son coeur se serre, comprimé par la peine

Ô toi, emporté par la vague, au creux de l'antre de l'amour Je sais que ton esprit est perturbé

Ton cœur, toujours pris dans les tourments Sur celle qui s'est éclipsée de ton regard

Ô Gardien de la forêt

Sa chance, voilée par le brouillard

Elle raconte, mais tous s'étonnent

Elle raconte, mais tous s'étonnent

Ô Gardien de la forêt

Sauve-moi, s’il te plaît, mon frère

Dis à mon père et ma mère

Zelgoum est dans une grotte

Zelgoum est dans une grotte

Elle est âgée de vingt ans

Cloitrée toujours à la maison

Sauve-moi, s’il te plaît, mon frère

Sa beauté se flétrissant

Qui la voit, c’est l’étonnement

Telle étant sa destinée

Tourmentée dès le jeune âge

Tourmentée dès le jeune âge

Ô Gardien de la forêt

Sauve-moi, s’il te plaît, mon frère

Dis à mon père et ma mère

Zelgoum est dans une grotte

Zelgoum est dans une grotte

Dis à mon père et ma mère

Ses larmes forment des torrents

Quand l'ont-ils mariée à cet homme fortuné

La servitude s'est abbatue sur sa jeunesse

Ils l'ont séparée de son bien-aimé

Sacrifiée par son père

Il'a vendue comme un bélier

Il'a vendue comme un bélier

Ô Gardien de la forêt

Sauve-moi, s’il te plaît, mon frère

Dis à mon père et ma mère

Zelgoum est dans une grotte

Zelgoum est dans une grotte

Zelgoum est dans une grotte

Zelgoum est dans une grotte

La pauvre fille pleure

J'ai de la peine, en la voyant

Elle est comme coincée dans un ravin

Contrariée sans espoir

Baratte ! Baratte ! donne-nous du beurre blanc

Par la grâce de mon ancêtre

Baratte ! Baratte ! donne-nous du beurre blanc

Baratte ! Baratte ! pour qu’on remplisse le jarre

Pour qu’on remplisse le jarre

Baratte-toi, baratte-toi petit lait. Donne-nous la motte de beurre espérée

Baratte-toi, baratte-toi petit lait. Donne-nous la motte de beurre espérée

Calebasse, ça suffit maintenant, Tu vois bien qu’il se fait tard

Je t’implore, récompense mes efforts

J’ai baratté avec mesure et précision. Le beurre flotte et frétille

J’ai eu une mesure et demi, Pour la vieille et ses petits

Baratte ! Baratte ! pour qu’on remplisse le jarre

Pour la vieille et ses petits

Baratte ! Baratte ! donne-nous du beurre blanc

Baratte ! Baratte ! pour qu’on remplisse le jarre

Pour qu’on remplisse le jarre

Baratte-toi, baratte-toi petit lait. Donne-nous la motte de beurre espérée

Baratte-toi, baratte-toi petit lait. Donne-nous la motte de beurre espérée

Pour qu’on remplisse le jarre

Baratte-toi, baratte-toi petit lait. Donne-nous la motte de beurre espérée

Baratte-toi, baratte-toi petit lait. Donne-nous la motte de beurre espérée

Calebasse entre mes mains, c’est toi ma confidente

On connaît la faim mais le chant adoucit la misère

Nous venons baratter, ma calebasse invoque le bien

Mon babeurre sera brassé, séparé (2)

Je ne sais plus d'où je viens Ni même où je vais

Dans le bien être d'où j'étais Jurant de clamer haut et fort ton nom