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DFP
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Résumer le texte suivant : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résume le texte suivant : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résumez le texte suivant : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Condenser le texte à l'essentiel :Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites.
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Condense le texte à l'essentiel :Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites.
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Condensez le texte à l'essentiel :Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites.
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
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L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. " Maintenant, rédiger un court résumé.
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. " Maintenant, rédige un court résumé.
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. " Maintenant, rédigez un court résumé.
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Article : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. "/n Résumé :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Comment reformuler cela en quelques mots ?
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résumer ce document : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. " Résumé :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résume ce document : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. " Résumé :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résumez ce document : "Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. " Résumé :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
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"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
"Thierry Mariani sur la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux européennes ? C'est ce qu'affirme mardi 11 septembre Chez Pol, la nouvelle newsletter politique de Libération. L'ancien député Les Républicain et ministre de Nicolas Sarkozy serait sur le point de rejoindre les troupes de Marine Le Pen pour le élections européennes de 2019. "Ça va se faire. Ce n'est plus qu'une question de calendrier. On n'est pas obligé de l'annoncer tout de suite, à huit mois des européennes", aurait ainsi assuré un membre influent du RN. Contacté par Franceinfo, M. Mariani n'a pas confirmé l'information. "Les élections sont en juin, je ne sais même pas qui sera numéro 1 sur la liste", a répondu l'ancien ministre des Transports. Il reconnaît toutefois, toujours cité par Franceinfo, que son nom sur la liste du RN "fait partie des possibilités". "Fréjus est une ville sympathique mais je n'ai pas prévu de m'y rendre ce week_end", a-t-il par ailleurs commenté sur Twitter alors que Marine Le Pen réunit les cadres de son parti ce week-end dans la cité varoise. Une proximité connue avec le FNLa proximité de Thierry Mariani avec le parti frontiste n'est pas nouvelle. "Sans alliés, nous allons rester dans l'opposition pour longtemps. Il est temps de renverser la table. Le Front national a évolué. Regardons si un accord ou un rapprochement sont possibles", avait-il déclaré dans une interview donnée au Journal du Dimanche en mars dernier. Puis, en avril, avait bruissé la rumeur d'un rencontre entre l'ex-député et Marine Le Pen, qui lui aurait proposé de figurer en position éligible sur la liste de son parti aux européennes. "Pas de conclusion hâtive", avait-il à l'époque écrit sur Twitter. Le même mois, Thierry Mariani avait cosigné une tribune publiée dans Valeurs actuelles aux côté d'élus frontistes appelant à une union des droites. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
L'information n'a pas été confirmée par l'intéressé qui déclare toutefois étudier la question.
Résumer le texte suivant : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résume le texte suivant : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résumez le texte suivant : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résume le texte suivant en quelques mots : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Condenser le texte à l'essentiel :C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez.
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Condense le texte à l'essentiel :C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez.
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Condensez le texte à l'essentiel :C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez.
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. " Maintenant, rédige un court résumé.
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Article : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. "/n Résumé :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
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Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résumer ce document : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. " Résumé :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résume ce document : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. " Résumé :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résumez ce document : "C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. " Résumé :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
"C'est désormais officiel : Alain Juppé n'est plus membre des Républicains. L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, cofondateur de l'UMP en 2002, ne paie plus sa cotisation auprès du parti de droite. Mercredi 9 janvier, le maire de Bordeaux a dénoncé un glissement qui s'opère, selon lui, de la droite vers l'extême droite. "Je me reconnais de moins en moins dans cette famille politique, à laquelle je suis pourtant très attaché (...). C'est avec tristesse que je l'ai quittée, mais il y a une dérive vers des thèses qui sont celles très proches de l'extrême droite, et une ambiguïté sur l'Europe", a-t-il déclaré face aux journalistes, réunis pour assister à ses voeux. "On assiste à cette espèce de transfusion régulière, et sur les thèmes de fond, il y a des moments où je me demande qui j'entends à la radio ? Un membre de LR ou du RN ?", a insisté le maire de Bordeaux. Le même jour, l'ex-député Thierry Mariani annonçait son départ de LR pour rallier une liste du Rassemblement national aux européennes de mai prochain. "Cela fait deux ans que j'ai dit que je prenais mes distances avec Les Républicains. Les choses sont acquises depuis bien longtemps", a tranché Alain Juppé. L'ancien candidat à la primaire de la droite pour la présidentielle de 2017 n'a jamais fait mystère de son désaccord avec les positions du président des Républicains, Laurent Wauquiez. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le maire de Bordeaux ne fait plus partie des Républicains et il tient à le montrer. Lors de ses voeux à la presse, l'édile a pris ses distances avec sa famille politique historique, qu'il trouve trop proche de Marine Le Pen.
Résumer le texte suivant : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Résume le texte suivant : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Résumez le texte suivant : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Résume le texte suivant en quelques mots : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Condenser le texte à l'essentiel :La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Condense le texte à l'essentiel :La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Condensez le texte à l'essentiel :La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
"La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
"La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". Rédige un résumé du texte ci-dessus :
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
"La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". " Maintenant, rédiger un court résumé.
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". " Maintenant, rédige un court résumé.
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". " Maintenant, rédigez un court résumé.
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
Article : "La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". "/n Résumé :
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
"La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". Comment reformuler cela en quelques mots ?
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.
"La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice". Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
En 2020, les tribunaux d'instance fusionnent avec ceux de grande instance pour former un unique "tribunal judiciaire". C'est la principale mesure de la réforme de la Justice, portée par la garde des sceaux Nicole Belloubet.

orange_sum_fr_prompt_summarization

Summary

orange_sum_fr_prompt_summarization is a subset of the Dataset of French Prompts (DFP).
It contains 683,228 rows that can be used for a summary task.
The original data (without prompts) comes from the dataset orange_sum by Eddine et al.
A list of prompts (see below) was then applied in order to build the input and target columns and thus obtain the same format as the xP3 dataset by Muennighoff et al.

Prompts used

List

28 prompts were created for this dataset. The logic applied consists in proposing prompts in the indicative tense, in the form of tutoiement and in the form of vouvoiement.

'Résumer le texte suivant : "'+document+'"',  
'Résume le texte suivant : "'+document+'"',  
'Résumez le texte suivant : "'+document+'"',  
'Résumer le texte suivant en quelques mots : "'+document+'"',  
'Résume le texte suivant en quelques mots : "'+document+'"',  
'Résumez le texte suivant en quelques mots : "'+document+'"',  
"Condenser le texte à l'essentiel :" +document,  
"Condense le texte à l'essentiel :" +document,  
"Condensez le texte à l'essentiel :" +document,  
'"'+document+' Rédiger un résumé du texte ci-dessus :',  
'"'+document+' Rédige un résumé du texte ci-dessus :',  
'"'+document+' Rédigez un résumé du texte ci-dessus :',  
'Premièrement, lire le texte ci-dessous. \n\n "'+document+'"\n\n Maintenant, rédiger un court résumé.',  
'Premièrement, lis le texte ci-dessous. \n\n "'+document+'"\n\n Maintenant, rédige un court résumé.',   
'Premièrement, lisez le texte ci-dessous. \n\n "'+document+'"\n\n Maintenant, rédigez un court résumé.',  
'Article : "'+document+'"/n Résumé : ',  
'"'+document+' Comment reformuler cela en quelques mots ?',  
'"'+document+' Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?',  
'"'+document+' Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?',  
'Résumer ce document : "'+document+'" Résumé :',  
'Résume ce document : "'+document+'" Résumé :',  
'Résumez ce document : "'+document+'" Résumé :',  
'"'+document+' Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :',  
'"'+document+' Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :',    
'"'+document+' Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :',    
'"'+document+' Rédiger un résumé du texte ci-dessus : ',  
'"'+document+' Rédige un résumé du texte ci-dessus : ',  
'"'+document+' Rédigez un résumé du texte ci-dessus : ' 

Features used in the prompts

In the prompt list above, document and targets have been constructed from:

orange_sum = load_dataset('orange_sum','abstract')
document = orange_sum['train'][i]['text']
targets = orange_sum['train'][i]['summary']

Splits

  • train with 599,228 samples
  • valid with 42,000 samples
  • test with 42,000 samples

How to use?

from datasets import load_dataset
dataset = load_dataset("CATIE-AQ/orange_sum_fr_prompt_summarization")

Citation

Original data

@article{eddine2020barthez, title={BARThez: a Skilled Pretrained French Sequence-to-Sequence Model}, author={Eddine, Moussa Kamal and Tixier, Antoine J-P and Vazirgiannis, Michalis}, journal={arXiv preprint arXiv:2010.12321}, year={2020} }

This Dataset

@misc {centre_aquitain_des_technologies_de_l'information_et_electroniques_2023,
author = { {Centre Aquitain des Technologies de l'Information et Electroniques} },
title = { DFP (Revision 1d24c09) },
year = 2023,
url = { https://huggingface.co/datasets/CATIE-AQ/DFP },
doi = { 10.57967/hf/1200 },
publisher = { Hugging Face }
}

License

CC-BY-SA-4.0

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