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Résume le texte suivant en quelques mots : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résumez le texte suivant en quelques mots : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Condenser le texte à l'essentiel :À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Condense le texte à l'essentiel :À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Condensez le texte à l'essentiel :À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. " Maintenant, rédiger un court résumé.
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. " Maintenant, rédige un court résumé.
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. " Maintenant, rédigez un court résumé.
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Article : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "/n Résumé :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Comment reformuler cela en quelques mots ?
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résumer ce document : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. " Résumé :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résume ce document : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. " Résumé :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résumez ce document : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. " Résumé :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
"À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résumer le texte suivant : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résume le texte suivant : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résumez le texte suivant : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Condenser le texte à l'essentiel :Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Condense le texte à l'essentiel :Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Condensez le texte à l'essentiel :Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. " Maintenant, rédiger un court résumé.
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. " Maintenant, rédige un court résumé.
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. " Maintenant, rédigez un court résumé.
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Article : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. "/n Résumé :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Comment reformuler cela en quelques mots ?
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résumer ce document : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. " Résumé :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résume ce document : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. " Résumé :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résumez ce document : "Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. " Résumé :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
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L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
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L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
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"Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
L'accident de voiture qui a coûté la vie à cinq enfants lundi soir sur l'A7 dans la Drôme a été causé par la casse du turbo du véhicule. L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, met en cause le constructeur Renault.
Résumer le texte suivant : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Résume le texte suivant : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Résumez le texte suivant : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Condenser le texte à l'essentiel :Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Condense le texte à l'essentiel :Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Condensez le texte à l'essentiel :Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". " Maintenant, rédiger un court résumé.
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". " Maintenant, rédige un court résumé.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". " Maintenant, rédigez un court résumé.
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Article : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". "/n Résumé :
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Comment reformuler cela en quelques mots ?
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
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Résumer ce document : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". " Résumé :
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Résume ce document : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". " Résumé :
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Résumez ce document : "Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". " Résumé :
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Les enquêteurs de la police nationale multiplient les appels à témoins afin de tenter de retrouver trace de Léa Petitgas, disparue depuis le 13 décembre 2017.
Résumer le texte suivant : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résume le texte suivant : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résumez le texte suivant : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Condenser le texte à l'essentiel :Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ?
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Condense le texte à l'essentiel :Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ?
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Condensez le texte à l'essentiel :Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ?
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? " Maintenant, rédiger un court résumé.
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? " Maintenant, rédige un court résumé.
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? " Maintenant, rédigez un court résumé.
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Article : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? "/n Résumé :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Comment reformuler cela en quelques mots ?
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
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Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.