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Résume ce document : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? " Résumé :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résumez ce document : "Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? " Résumé :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils pointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ? Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Alors que la saison 7 de Danse avec les stars vient à peine de s'achever par la victoire de Laurent Maistret, la prochaine édition du concours est déjà dans les tuyaux chez TF1. Cependant, un membre du jury exprime déjà ses doutes quant à son retour dans l'émission.
Résumer le texte suivant : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résume le texte suivant : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résumez le texte suivant : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résume le texte suivant en quelques mots : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Condenser le texte à l'essentiel :L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier".
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Condense le texte à l'essentiel :L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier".
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Condensez le texte à l'essentiel :L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier".
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". " Maintenant, rédiger un court résumé.
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". " Maintenant, rédige un court résumé.
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". " Maintenant, rédigez un court résumé.
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Article : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". "/n Résumé :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Comment reformuler cela en quelques mots ?
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résumer ce document : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". " Résumé :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résume ce document : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". " Résumé :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résumez ce document : "L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". " Résumé :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation pour l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Début janvier, le gouvernement recevra les transporteur routiers pour une réunion consacrée aux difficultés rencontrées par les entreprises du secteur.
Résumer le texte suivant : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résume le texte suivant : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résumez le texte suivant : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Condenser le texte à l'essentiel :Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Condense le texte à l'essentiel :Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Condensez le texte à l'essentiel :Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. " Maintenant, rédige un court résumé.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Article : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. "/n Résumé :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résumer ce document : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. " Résumé :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résume ce document : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. " Résumé :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résumez ce document : "Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. " Résumé :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darmanin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Action et des Comptes publics souhaiterait que son président soit entouré de personnes plus proches du peuple qu'elles ne le sont actuellement, rapporte BFM TV.
Résumer le texte suivant : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résume le texte suivant : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résumez le texte suivant : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Condenser le texte à l'essentiel :Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Condense le texte à l'essentiel :Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Condensez le texte à l'essentiel :Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. " Maintenant, rédige un court résumé.
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Article : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. "/n Résumé :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résumer ce document : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. " Résumé :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résume ce document : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. " Résumé :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résumez ce document : "Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. " Résumé :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
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Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
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Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Cinq mois après la mort de la chanteuse Maurane, sa fille se confie dans le magazine Télé Loisirs. Lou Villafranca a décidé de terminer l'album que sa mère avait commencé, et explique combien il a été délicat pour elle de faire son deuil.
Résumer le texte suivant : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résume le texte suivant : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résumez le texte suivant : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Condenser le texte à l'essentiel :Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Condense le texte à l'essentiel :Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.