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大 会 Distr.: General 8 June 2004 Chinese Original: English 2 贸易法委员会关于《销售公约》判例法的摘要 1. 本条款列出了不属于本公约适用范围的货物销售。被排除于本公约管辖范围 的有三类销售,其类别分别是基于购买货物的目的﹑基于交易的类型和基于所销 售货物的类型。1 消费性销售 2. 根据第二条(a)项,如果某项销售是有关在订立合同时供私人、家人或家庭使 用的货物的,则不属于本公约的适用范围。买方在订立合同前或订立合同后的意 图非常重要,2 而货物的真正用途则无关紧要,3 因此,销售以个人使用为目的的 汽车4 或者娱乐拖车5 不属于本公约的适用范围。6 3. 如果个人购买货物是出于商业或者职业的目的,则该销售不在本公约的适用 范围之外。因此,下列情形都属于本公约的适用范围:一位专业摄影师为营业目 的购买一架相机;某个企业购买香皂或其他化妆品以供员工个人使用;一位汽车 销售商为转售目的购买一辆汽车。7 4. 如果购买货物是为了上述的“供私人、家人或家庭使用”的目的,则本公 约不予适用,“除非卖方在订立合同前任何时候或订立合同时不知道而且没有 理由知道这些货物是购供任何这种使用”。8 这一点缩小了例外的适用范围,在 国内法不要求卖方知道或理应知道是供个人使用时,可能带来国内法与本公约 的冲突。9 1 《联合国国际货物销售合同会议, 维也纳,1980 年 3 月 10 日—4 月 11 日,正式记录、会议 文件及全体会议和主要委员会会议简要记录》, 1981 年, 16 (以下简称为 “正式记录”)。 2 见德国联邦法院, 2001 年 10 月 31 日, 《国际商法》, 2002 年, 第 16 页。 3 见《法规的判例法》判例 190 [奥地利最高法院,1997 年 2 月 11 日]。 4 见《法规的判例法》判例 213 [瑞士下瓦尔登商事法庭,1996 年 6 月 5 日]; 《法规的判例 法》判例 190 [奥地利最高法院, 1997 年 2 月 11 日]。 5 见阿纳姆地方法院, 1993 年 5 月 27 日, 《荷兰国际私法》, 1994 年,第 261 期。 6 另见德国杜塞尔多夫州高等法院 , 1995 年 10 月 11 日 , 可查阅因特网址 : http://www.jura.uni-freiburg.de/ipr1/CISG, 将本公约适用于为个人目的而使用的发电机的买 卖. 7 关于这些例子, 见上面脚注《正式记录》。 8 见 德国联邦法院, 2001 年 10 月 31 日, 《国际商法》, 2002 年,第 16 页。 9 同上。 3 其他被排除的销售 5. 对经由拍卖的销售的排除包括依法律授权而进行的拍卖,还包括私人拍卖。 商品交易所的销售不属于这些类型,它们只是构成订立合同的一种特殊方式。 6. 根据司法或行政执行而进行的销售或其它依法律授权的销售被排除于本公 约的适用范围,因为这类销售通常是属于授权执行的各国的强制性法律的规范范 围。 7. 将公债、投资证券和流通票据的销售排除在外,也是为了避免同国内法的强 制性规则相冲突。10单据销售不在此类排除范围。 8. 船舶、11船只、12飞机和气垫船的销售也不在本公约的适用范围之内。但是对 船舶、船只、飞机和气垫船的部件的销售属于本公约的适用范围,即使是对其比 较关键的部件,例如引擎的销售也是如此,13因为对排除于本公约适用范围的销 售应当进行限制性的解释。根据一家仲裁庭的裁决,对于一个退役的海军潜艇的 销售不属于第二条(e)项的排除范围。14 9. 尽管电力的销售被排除于本公约的适用范围,但是有一家法院将本公约适用 于天然气的销售。 10 关于排除本公约对于股票的买卖的适用的判决,见《法规的判例法》判例 260, 瑞士, 1998 年; 苏黎世商会仲裁庭, ZHK 273/95, 《商事仲裁年刊》, 1998 年, 第 128 页及其后各页。 11 关于本公约不适用于船舶买卖的合同的判例,见俄罗斯工商会国际商事仲裁庭,第 236/1997 号裁决, 可查阅因特网址: <http://CISG/w3.law.pace.edu/cases/980406r1.html>;南斯拉夫经济 协会仲裁程序, 1999 年 4 月 15 日 , 第 T-23/97 号裁决 , 可查阅因特网址 : <http://CISGw3.law.pace.edu/cases/990415y1.html>。 12 关于本公约不适用于飞机买卖合同的判例, 见俄罗斯工商会国际商事仲裁庭,第 255/1996 号裁决, 可查阅因特网址: <http://CISGw3.law.pace.edu/cases/970902r1.html>。 13 见《法规的判例法》判例 53 [匈牙利最高法院,1992 年 9 月 25 日]. 14 见俄罗斯海事委员会仲裁庭, 1998 年 12 月 18 日, 可查阅因特网址: http://CISGw3.law.pace.edu/ CISG/text/draft/981218case.html。
General Assembly Distr.: General 8 June 2004 Original: English 2 UNCITRAL Digest on the CISG 1. This provision sets out those sales that are excluded from theConvention’s sphere of application. The exclusions are of three types, those based on the purpose for which the goods were purchased, those based on the type of transaction and those based on the kinds of goods sold.1 Consumer sales 2. According to Art. 2 (a), a sale falls outside the Convention’s sphere of application if it relates to goods which at the time of the conclusion of the contract are intended to be used personally, in the family or in the household. The buyer’s intention before or at the conclusion of the contract is relevant,2 rather than the real use of the goods.3 Thus, the sale of a car4 or a recreational trailer5 bought for personal use falls outside the Convention’s sphere of application.6 3. If the goods are purchased by an individual for a commercial or professional purpose, the sale does not fall outside the Convention’s sphere of application. Thus, the following situations are governed by the Convention: the purchase of a camera by a professional photographer for use in its business; the purchase of a soap or other toiletries by a business for the personal use of its employees; the purchase of a single automobile by a dealer for resale.7 4. If the goods are purchased for the aforementioned “personal, family or household use” purposes, the Convention does not apply “unless the seller, at any time before or at the conclusion of the contract, neither knew nor ought to have known that the goods were bought for any such use”.8 This narrows down the applicability of the exception and leads to the possibility of a conflict between domestic law and the Convention in those cases where the domestic law does not require that the seller either knew or ought to have known of the personal use.9 Other exclusions 5. The exclusion of sales by auction covers both auctions resulting from authority of law as well as private auctions. Sales at commodity exchanges do not fall under these categories, as they merely constitute a particular way of concluding the contract. 3 6. The sale on judicial or administrative execution or otherwise byauthority of law is excluded from the Convention’s sphere of application as such sales are normally governed by mandatory laws of the State under whose authority the execution is made. 7. The exclusion of sales of stocks, investment securities, and negotiable instruments is due to the intention to avoid a conflict with mandatory rules of domestic law.10 Documentary sales are not covered by this exclusion. 8. The sale of ships,11 vessels, aircraft,12 and hovercrafts is not covered by the Convention either. However, the sale of parts of ships, vessels, aircraft, and hovercrafts falls under the Convention’s sphere of application, even where these are essential, such as engines,13 since the exclusions from the Convention’s sphere of application have to be interpreted restrictively. According to one arbitral tribunal, the sale of a decommissioned military submarine does not fall within the scope of the article 2 (e) exclusion.14 9. Although the sale of electricity is excluded from the Convention’s sphere of application, the Convention has been applied by a court in the sale of gas.
Assemblée générale Distr. : Générale 8 juin 2004 Français Original : Anglais 2 Précis de jurisprudence de la CNUDCI concernant la CVIM 1. Cette disposition indique quelles sont les ventes qui sont exclues du champ d'application de la Convention. Ces exclusions sont de trois ordres : celles qui tiennent au but dans lequel les marchandises ont été achetées, celles qui tiennent au caractère de la transaction et celles qui tiennent à la nature des objets vendus1. Ventes aux consommateurs 2. Aux termes de l'alinéa a) de l'article 2, une vente n'entre pas dans le champ d'application de la Convention si elle porte sur des marchandises qui, au moment de la conclusion du contrat, sont achetées pour un usage personnel, familial ou domestique. L'intention de l'acheteur avant la conclusion ou lors de la conclusion du contrat est plus pertinente2 que l'usage réel des marchandises3. C'est ainsi que la vente d'une voiture4 ou d'une remorque à usage récréatif5 achetée pour un usage personnel n'entre pas dans le champ d'application de la Convention6. 3. Si les marchandises sont achetées par un particulier à des fins commerciales ou professionnelles, la vente n'est pas exclue du champ d'application de la Convention. Les cas ci-après sont donc régis par la Convention : achat d'un appareil photographique par un photographe professionnel pour un usage professionnel ; achat de savons ou autres articles de toilette par une entreprise pour l'usage personnel de ses employés ; achat d'une seule automobile par un garagiste en vue de sa revente7. 4. Si les marchandises sont achetées pour "un usage personnel, familial ou domestique", la Convention ne s'applique pas "à moins que le vendeur, à un moment quelconque avant la conclusion ou lors de la conclusion du contrat, n'ait pas su ou n'ait pas été censé savoir que ces marchandises étaient achetées pour un tel usage"8. Cette disposition réduit l'applicabilité de l'exception et crée la possibilité d'un conflit entre le droit interne et la Convention lorsque le droit interne n'exige pas que le vendeur ait eu connaissance ou ait été censé avoir eu connaissance du fait que les marchandises étaient destinées à un usage personnel9. 3 Autres exclusions 5. L'exclusion des ventes aux enchères vise aussi bien les ventes résultant d'une décision de justice que les ventes privées. Les ventes effectuées dans des bourses de marchandises n'entrent pas dans ces catégories, car elles constituent simplement une méthode particulière de conclure un contrat. 6. Les ventes effectuées sur saisie judiciaire ou administrative ou de quelque autre manière par autorité de justice sont exclues du champ d'application de la Convention du fait que ces ventes sont normalement soumises à des règles statutaires dans l'Etat sous l'autorité duquel elles ont lieu. 7. L'exclusion des ventes de valeurs mobilières et des effets de commerce s'explique par la volonté d'éviter un conflit avec les règles statutaires du droit interne10. Les ventes de marchandises sur document ne sont pas visées par cette exclusion. 8. Les ventes de navires11, de bateaux, d'aéronefs12 et d'aéroglisseurs ne sont pas non plus régies par la Convention. Toutefois, les ventes de pièces détachées de navires, de bateaux, aéronefs et aéroglisseurs entrent dans le champ d'application de la Convention, même lorsqu'il s'agit d'éléments essentiels tels que les moteurs13, étant donné que les exclusions du champ d'application de la Convention doivent être interprétées de manière restrictive. De l'avis d'un tribunal arbitral, la vente d'un sous-marin militaire mis hors service n'entre pas dans le champ de l'exclusion définie à l'alinéa e) de l'article 214. 9. Bien que la vente d'électricité soit exclue du champ d'application de la Convention, un tribunal a appliqué la Convention à la vente de gaz.
Naciones Asamblea General Distr.: General 8 de junio de 2004 Español Original: Inglés 2 Compendio de la CNUDMI sobre jurisprudencia relativa a la CMI 1. Esta disposición enuncia las compraventas que están excluidas del ámbito de aplicación de la Convención. Las exclusiones son de tres tipos: las basadas en el propósito para el cual se compraron las mercaderías, las basadas en el tipo de transacción y las basadas en las clases de mercaderías vendidas1. Ventas al consumidor 2. Con arreglo al apartado a) del artículo 2, una compraventa queda al margen del ámbito de aplicación de la Convención si versa sobre mercaderías que en el momento de la celebración del contrato están destinadas a uso personal, de la familia o doméstico. La intención del comprador antes o en el momento de la celebración del contrato es más importante2 que el uso real de las mercaderías3. Por consiguiente, la compraventa de un automóvil4 o de un remolque de esparcimiento5 adquiridos para uso personal escapa al ámbito de aplicación de la Convención6. 3. Si una persona compra las mercaderías con un fin comercial o profesional, la compraventa no queda al margen del ámbito de aplicación de la Convención. Así pues, las siguientes situaciones se rigen por la Convención: la compra de un cámara por un fotógrafo profesional para utilizarla en su trabajo; la compra de jabón u otros artículos de tocador por una empresa para uso personal de sus empleados; la compra de un automóvil por un comerciante en automóviles para revenderlo7. 4. Si las mercaderías se compran con los propósitos ya mencionados de uso “personal, familiar o doméstico”, la Convención no se aplicará “salvo que el vendedor, en cualquier momento antes de la celebración del contrato o en el momento de su celebración, no tuviera ni debiera haber tenido conocimiento de que las mercaderías se compraban para ese uso”8. Esto restringe la aplicabilidad de la excepción y conduciría a un posible conflicto entre el derecho interno y la Convención en los cases en que el derecho interno no exigiera que el vendedor tuviera o debiera haber tenido conocimiento del uso personal9. 3 Otras exclusiones 5. La exclusión las ventas en subasta comprende tanto las subastas resultantes de la autoridad legal como las subastas privadas. Las ventas en las bolsas de productos no se ajustan a esas categorías, ya que constituyen sólo una forma particular de celebrar el contrato. 6. La venta judicial o administrativa o bajo otra autoridad legal se excluye del ámbito de aplicación de la Convención pues ese tipo de ventas se rige habitualmente por disposiciones obligatorias del Estado bajo cuya autoridad se efectúa la venta judicial. 7. La exclusión de las ventas de acciones, valores de inversión y títulos de crédito se debe al propósito de evitar conflictos con las normas obligatorias del derecho interno10. Esta exclusión no comprende la compraventa de documentos comerciales. 8. La compraventa de naves11, embarcaciones, aeronaves12, y aerodeslizadores tampoco está sometida a la Convención. Sin embargo, la compraventa de piezas de repuesto de naves, embarcaciones, aeronaves y deslizadores corresponde al ámbito de aplicación de la Convención, aun cuando sean esenciales, como los motores13, dado que las exclusiones del ámbito de aplicación de la Convención deben interpretarse restrictivamente. De conformidad con lo resuelto por un tribunal arbitral, la exclusión del apartado e) del artículo 2 no es aplicable a la compraventa de un submarino militar desmantelado14. 9. Aunque la venta de electricidad está excluida del ámbito aplicación de la Convención, ésta fue aplicada por un tribunal a la venta de gas.
Организация Объединенных Наций A/CN.9/SER.C/DIGEST/CISG/2 Генеральная Ассамблея Distr.: General 8 June 2004 Russian Original: English 2 Сборник ЮНСИТРАЛ по КМКПТ 1. В данном положении указаны такие случаи купли-продажи, которые исключены из сферы применения Конвенции. Исключения составлены по трем основаниям – на основании цели, с которой были куплены товары; на основании вида сделки; и на основании вида проданного товара1. Продажа потребителям 2. Согласно пункту а) статьи 2 продажа выходит за рамки сферы применения Конвенции, если она относится к товарам, которые на момент заключения договора предназначены для личного, семейного или домашнего использования. Значение имеет намерение покупателя до или в момент заключения договора2, а не реальное использование товара3. Таким образом, продажа автомобиля4 или автоприцепа для отдыха5, которые куплены для личного использования, выходит за рамки сферы применения Конвенции6. 3. Если товары куплены частным лицом для коммерческих или профессиональных целей, продажа не выходит за рамки сферы применения Конвенции. Таким образом, Конвенция регулирует следующие ситуации: покупка фотоаппарата профессиональным фотографом для использования в его коммерческой деятельности; покупка мыла и других туалетных принадлежностей предприятием для личного использования его служащими; покупка одного автомобиля торговцем для перепродажи7. 4. Если товары покупаются для вышеупомянутых целей “личного, семейного или домашнего использования”, Конвенция не применяется, “за исключением случаев, когда продавец в любое время до или в момент заключения договора не знал и не должен был знать, что товары приобретаются для такого использования”8. Это сужает применимость изъятия и приводит к возможности коллизии между внутренним правом и Конвенцией в тех случаях, когда согласно внутреннему праву не требуется, чтобы продавец знал или должен был знать о личном использовании9. 3 Другие исключения 5. Исключение продаж с аукциона распространяетсякак на аукционы, проводимые на основании закона, так и на закрытые аукционы. Продажи на товарной бирже не подпадают под эти категории, поскольку они являются лишь конкретным способом заключения договора. 6. Продажи в порядке судебного или административного исполнительного производства или иным образом в силу закона исключаются из сферы применения Конвенции, поскольку такие продажи обычно регулируются императивными нормами законов того государства, по праву которого осуществляется производство. 7. Исключение продаж фондовых бумаг, обеспечительных бумаг и оборотных документов вызвано намерением избежать коллизии с императивными нормами внутреннего права10. Это исключение не распространяется на документарные продажи. 8. Продажа судов водного11 и воздушного транспорта12, а также судов на воздушной подушке также не охватывается Конвенцией. Однако продажа частей судов водного и воздушного транспорта, а также судов на воздушной подушке подпадает под сферу применения Конвенции, даже если они имеют большое значение, такие как двигатели13, поскольку исключения из сферы применения Конвенции следует толковать ограничительно. По мнению одного арбитражного суда, продажа списанной военной подводной лодки не подпадает под сферу применения исключения, предусмотренного в пункте е) статьи 214. 9. Хотя продажа электроэнергии исключается из сферы применения Конвенции, один из судов применил Конвенцию к продаже газа.
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大 会 Distr.: Limited 11 December 2001 Chinese Original: English 01-68847 (C) 121201 121201 第五十六届会议 议程项目 20(d) 加强联合国人道主义和救灾援助,包括特别经济 援助的协调:“白盔”志愿人员参与联合国在人道 主义救济、复原和技术合作促进发展方面的活动 安道尔、安哥拉、阿根廷、亚美尼亚、澳大利亚、奥地利、孟加拉国、比利时、 巴西、加拿大、智利、中国、哥伦比亚、塞浦路斯、捷克共和国、丹麦、厄瓜 多尔、埃及、萨尔瓦多、爱沙尼亚、埃塞俄比亚、德国、危地马拉、圭亚那、 印度、意大利、日本、哈萨克斯坦、卢森堡、马耳他、摩纳哥、蒙古、尼加拉 瓜、挪威、巴拿马、巴拉圭、葡萄牙、摩尔多瓦共和国、罗马尼亚、俄罗斯联 邦、斯洛伐克、南非、西班牙、瑞典、土耳其、大不列颠及北爱尔兰联合王国、 美利坚合众国、乌拉圭和南斯拉夫:决议草案 “白盔”志愿人员参与联合国在人道主义救济、复原 和技术合作促进发展方面的活动 大会, 重申其 1994 年 12 月 20 日第 49/139 号、1995 年 11 月 28 日第 50/19 号、1997 年 12 月 16 日第 52/171 号和 1999 年 12 月 8 日第 54/98 决议, 又重申其 1991年12 月 19 日第 46/182 号、1992 年 12 月 22 日第 47/168 号、 1993 年 12 月 14 日第 48/57 号、1994 年 12 月 20 日第 49/139 A 和 B 号、1995 年 12 月 12 日第 50/57 号和 1996 年 12 月 17 日第 51/194 号决议以及经济及社会理 事会 1995 年 7 月 28 日第 1995/56 号和 1996 年 7 月 25 日第 1996/33 号决议, 认识到最近的事态发展突出指出,国际社会在处理规模和复杂性日增的自然 灾害和其他人道主义紧急情况时,不仅有赖于在联合国框架范围内制订良好协调 的全球对策,而且有赖于促进从救济顺利过渡到复原、重建和发展的工作, 回顾在全球一级的紧急情况预防、准备和应急规划工作主要取决于业已加强 的地方和国家反应能力以及国内和国际财力资源的供应, 1. 注意到秘书长根据大会关于“白盔”志愿人员参与联合国在人道主义救 济、复原和技术合作促进发展方面的活动的第 54/98 号决议编写的报告;1 2. 鼓励国家和区域自愿行动,以期按照公认的联合国程序和惯例,通过联 合国志愿人员和其他机构以待命方式向联合国系统提供如白盔的国家志愿人员 团,以便为紧急救济和复原提供专门的人力和技术资源; 3. 赞赏白盔倡议作为向联合国系统提供志愿人员专门技术的独特的自愿 性国际努力所取得的可喜进展,其目的是为了迅速、协调一致地回应人道主义救 济、复原、重建和发展需求,同时维护人道主义行动的非政治、中立和公正性质; 4. 确认白盔同秘书处人道主义事务协调厅密切合作,作为联合国系统的业 务伙伴,是一种高效、可行的机制,能为联合国系统提供事先识别和受过训练的整 齐划一的队伍,在自然灾害和其他紧急情况日益增多、日趋严重和复杂的情况下 支持即时救济、复原、重建和发展活动; 5. 吁请会员国通过国家志愿人员团促进联合国系统与民间社会之间的合 作行动,以加强联合国在遇到人道主义紧急情况时尽早作出有效反应的能力,并 邀请它们通过联合国志愿人员特别自愿基金的特别筹资窗口或与其协调,提供相 称的财政资源; 6. 鼓励会员国确定并支助本国白盔联络中心的工作,以便在发生人道主义 紧急情况时让联合国系统继续有一个容易调度的全球快速反应设施网; 7. 赞赏地确认南方共同市场成员国和相关伙伴在区域框架内为加强和扩 大白盔人道主义援助概念所取得的进展,并鼓励其他区域组合中的会员国在旨在 扩大人道主义援助与合作的努力中考虑执行这一概念; 8. 邀请会员国、国际金融机构、区域组织和联合国系统考虑采取各种办法, 确保将白盔倡议纳入其方案活动、特别是有关人道主义和救灾援助的方案活动; 9. 邀请秘书长根据已有的经验,进一步考虑可否利用白盔作为预防和减轻 紧急情况和冲突后人道主义紧急情况的影响的一种资源,并在这方面考虑到进行 中的改革过程,为白盔联络工作维持适当的结构编制; 10. 建议秘书长考虑到与联合国儿童基金会、世界粮食计划署、人道主义事 务协调厅、联合国开发计划署和联合国志愿人员等一起执行的协调行动的成功经 验,鼓励联合国系统有关机构探讨与白盔协作的机会; 11. 请秘书长按照本决议第 9 和第 10 段所述,继续考虑是否可能加强和扩 大协商机制以进一步推广这个概念和将它落实为行动,并在题为“加强联合国人 道主义和救灾援助、包括特别经济援助的协调”的项目下,向大会第五十八届会 议报告根据本决议采取的行动。
United Nations A/56/L.50 General Assembly Distr.: Limited 11 December 2001 Original: English 01-68848 (E) 111201 *0168848* Fifty-sixth session Agenda item 20 (d) Strengthening of the coordination of humanitarian and disaster relief assistance of the United Nations, including special economic assistance: participation of volunteers, “White Helmets”, in the activities of the United Nations in the field of humanitarian relief, rehabilitation and technical cooperation for development Andorra, Angola, Argentina, Armenia, Australia, Austria, Bangladesh, Belgium, Brazil, Canada, Chile, China, Colombia, Cyprus, Czech Republic, Denmark, Ecuador, Egypt, El Salvador, Estonia, Ethiopia, Germany, Guatemala, Guyana, India, Italy, Japan, Kazakhstan, Luxembourg, Malta, Monaco, Mongolia, Nicaragua, Norway, Panama, Paraguay, Portugal, Republic of Moldova, Romania, Russian Federation, Slovakia, South Africa, Spain, Sweden, Turkey, United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, United States of America, Uruguay and Yugoslavia: draft resolution Participation of volunteers, “White Helmets”, in the activities of the United Nations in the field of humanitarian relief, rehabilitation and technical cooperation for development The General Assembly, Reaffirming its resolutions 49/139 of 20 December 1994, 50/19 of 28 November 1995, 52/171 of 16 December 1997 and 54/98 of 8 December 1999, Reaffirming also its resolutions 46/182 of 19 December 1991, 47/168 of 22 December 1992, 48/57 of 14 December 1993, 49/139 A and B of 20 December 1994, 50/57 of 12 December 1995 and 51/194 of 17 December 1996 and Economic and Social Council resolutions 1995/56 of 28 July 1995 and 1996/33 of 25 July 1996, Recognizing that recent events emphasize the need for the international community, in addressing the growing magnitude and complexity of natural disasters and other humanitarian emergencies, to rely not only on the formulation of a well-coordinated global response within the framework of the United Nations but also on the promotion of a smooth transition from relief to rehabilitation, reconstruction and development, Recalling that prevention, preparedness and contingency planning for emergencies at a global level depend, for the most part, on the strengthened local and national response capacities as well as on the availability of financial resources, both domestic and international, 1. Takes note of the report of the Secretary-General,1 prepared in pursuance of its resolution 54/98 on the participation of volunteers, “White Helmets”, in activities of the United Nations in the field of humanitarian relief, rehabilitation and technical cooperation for development; 2. Encourages voluntary national and regional actions aimed at making available to the United Nations system, through the United Nations Volunteers and other agencies, national volunteer corps such as the White Helmets on a standby basis, in accordance with accepted United Nations procedures and practices, in order to provide specialized human and technical resources for emergency relief and rehabilitation; 3. Expresses its appreciation for the commendable progress of the White Helmets initiative as a singular voluntary international effort to provide the United Nations system with voluntary expertise to respond, in a quick and coordinated manner, to humanitarian relief, rehabilitation, reconstruction and development, while preserving the non-political, neutral and impartial character of humanitarian action; 4. Recognizes that the White Helmets, in close cooperation with the Office for the Coordination of Humanitarian Affairs of the Secretariat and as an operational partner of the United Nations system, are an efficient and viable mechanism for making pre-identified and trained homogeneous teams available to the United Nations, in support of immediate relief, rehabilitation, reconstruction and development activities, in the light of the increasing number, growing magnitude and complexity of natural disasters and other emergencies; 5. Calls upon Member States to promote the facilitation of cooperative actions between the United Nations system and the civil society, through national volunteer corps, in order to strengthen the United Nations capacities for early and effective response to humanitarian emergencies, and invites them to make the commensurate financial resources available through the special financing window of the Special Voluntary Fund of the United Nations Volunteers, or in coordination with it; 6. Encourages Member States to identify and support their respective national focal points for the White Helmets in order to continue to provide the United Nations system with an accessible global network of rapid response facilities in case of humanitarian emergencies; 7. Recognizes with appreciation the progress made by the States members of the Common Market of the South and associated partners in the strengthening and broadening of the White Helmet humanitarian assistance concept within a regional framework, and encourages Member States in other regional associations to consider implementing that concept in their efforts aimed at extending humanitarian assistance cooperation; 8. Invites Member States, international financial institutions, regional organizations and the United Nations system to consider ways and means to ensure the integration of the White Helmets initiative into their programme activities, particularly those related to humanitarian and disaster relief assistance; 9. Invites the Secretary-General, on the basis of the experience acquired, to consider further the potential use of White Helmets as a source for preventing and mitigating the effects of emergencies and post-conflict humanitarian emergencies and, in this context, to maintain an adequate structure for the White Helmets liaison functions, taking into account the outgoing reforms process; 10. Recommends that the Secretary-General encourage relevant agencies of the United Nations system to explore opportunities for collaboration with White Helmets, taking into account the success of coordinated actions carried out, inter alia, with the United Nations Children’s Fund, the World Food Programme, the Office for the Coordination of Humanitarian Affairs, the United Nations Development Programme and the United Nations Volunteers; 11. Requests the Secretary-General to continue the consideration of the possible strengthening and broadening of consultative mechanisms to promote further and operationalize the concept, as referred to in paragraphs 9 and 10 of the present resolution, and to report to the General Assembly at its fifty-eighth session, under the item entitled “Strengthening of the coordination of humanitarian and disaster relief assistance of the United Nations, including special economic assistance”, on the actions taken in conformity with the present resolution.
Nations Unies A/56/L.50 Assemblée générale Distr. limitée 10 décembre 2001 Français Original: anglais 01-68849 (F) 121201 121201 *0168849* Cinquante-sixième session Point 20 d) de l’ordre du jour Renforcement de la coordination de l’aide humanitaire et des secours en cas de catastrophe fournis par l’Organisation des Nations Unies, y compris l’assistance économique spéciale : participation de volontaires, les « Casques blancs », aux opérations de secours humanitaires et aux activités de relèvement et de coopération technique pour le développement entreprises par l’Organisation des Nations Unies Afrique du Sud, Allemagne, Andorre, Angola, Argentine, Arménie, Australie, Autriche, Bangladesh, Belgique, Brésil, Canada, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Danemark, Équateur, Égypte, El Salvador, Espagne, Estonie, États-Unis d’Amérique, Éthiopie, Fédération de Russie, Guatemala, Guyana, Inde, Italie, Japon, Kazakhstan, Luxembourg, Malte, Monaco, Mongolie, Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Portugal, République de Moldova, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, Slovaquie, Suède, Turquie, Uruguay et Yougoslavie : projet de résolution Participation de volontaires, les « Casques blancs », aux opérations de secours humanitaires et aux activités de relèvement et de coopération technique pour le développement entreprises par l’Organisation des Nations Unies L’Assemblée générale, Réaffirmant ses résolutions 49/139 du 20 décembre 1994, 50/19 du 28 novembre 1995, 52/171 du 16 décembre 1997 et 54/98 du 8 décembre 1999, Réaffirmant également ses résolutions 46/182 du 19 décembre 1991, 47/168 du 22 décembre 1992, 48/57 du 14 décembre 1993, 49/139 A et B du 20 décembre 1994, 50/57 du 12 décembre 1995 et 51/194 du 17 décembre 1996, ainsi que les résolutions 1995/56 et 1996/33 du Conseil économique et social, en date des 28 juillet 1995 et 25 juillet 1996, Considérant que, comme le font apparaître les événements récents, la communauté internationale doit, face à l’ampleur et à la complexité croissantes des catastrophes naturelles et autres crises humanitaires, non seulement formuler dans le cadre des Nations Unies une intervention bien coordonnée, mais également promouvoir une transition sans heurt de la phase des secours à celle du relèvement, de la reconstruction et du développement, Rappelant que la capacité de prévention des situations d’urgence, de préparation et de planification à l’échelle mondiale exige essentiellement des capacités d’intervention renforcées aux niveaux local et national et des ressources financières nationales et internationales, 1. Prend acte du rapport du Secrétaire général1, établi en application de sa résolution 54/98 relative à la participation de volontaires, les « Casques blancs », aux opérations de secours humanitaires et aux activités de relèvement et de coopération technique pour le développement entreprises par l’Organisation des Nations Unies; 2. Encourage les initiatives nationales et régionales de volontaires, qui ont pour but de mettre à la disposition des organismes des Nations Unies, par le canal des Volontaires des Nations Unies et d’autres entités, des corps nationaux de volontaires, tels que les Casques blancs, prêts à être déployés, conformément aux règles et pratiques habituelles de l’Organisation des Nations Unies, afin d’offrir des ressources humaines et techniques spécialisées pour les opérations de secours et de relèvement; 3. Note avec satisfaction les progrès notables du projet Casques blancs, effort international exceptionnel qui vise à mettre à la disposition des organismes des Nations Unies des spécialistes volontaires à même de répondre, de manière rapide et coordonnée, aux besoins en matière de secours humanitaires, de relèvement, de reconstruction et de développement, tout en préservant le caractère apolitique, neutre et impartial de l’action humanitaire; 4. Constate que, vu l’accroissement du nombre, de l’ampleur et de la complexité des catastrophes naturelles et autres situations d’urgence, les Casques blancs, agissant en étroite collaboration avec le Bureau de la coordination des affaires humanitaires du Secrétariat, et en tant que partenaires opérationnels du système des Nations Unies, offrent un moyen efficace et viable de mettre à la disposition des organismes des Nations Unies des équipes homogènes, déjà désignées et constituées, susceptibles d’appuyer d’urgence les activités de secours, de relèvement, de reconstruction et de développement; 5. Demande aux États Membres de faciliter le lancement d’initiatives communes entre les organismes des Nations Unies et la société civile, par l’intermédiaire de corps nationaux de volontaires, de façon que ces organismes soient mieux à même de faire face rapidement et efficacement aux urgences humanitaires, et les invite à offrir les ressources financières nécessaires en contribuant au compte spécial du Fonds bénévole spécial du Programme des Volontaires des Nations Unies ou en coordonnant leur action avec celui-ci; 6. Encourage les États Membres à désigner des coordonnateurs nationaux des Casques blancs et à soutenir leurs travaux, afin de continuer à mettre à la disposition des organismes des Nations Unies un réseau mondial proposant des moyens d’intervention rapide en cas d’urgence humanitaire; 7. Se félicite des progrès accomplis par les États membres du Marché commun du Sud et les pays associés en ce qui concerne le renforcement et l’élargissement, dans un cadre régional, d’un projet d’assistance humanitaire sur le modèle des Casques blancs, et encourage les États membres d’autres groupements régionaux à examiner la possibilité de suivre un modèle similaire dans leurs initiatives visant à élargir la coopération dans le domaine de l’assistance humanitaire; 8. Invite les États Membres, les institutions financières internationales, les organisations régionales et les organismes des Nations Unies à rechercher le moyen d’intégrer le projet Casques blancs aux activités de leurs programmes, notamment celles qui touchent à l’aide humanitaire et aux secours d’urgence; 9. Invite le Secrétaire général à continuer d’étudier, à la lumière de l’expérience acquise, la possibilité d’utiliser les Casques blancs pour prévenir et atténuer les effets des situations d’urgence et des urgences humanitaires après les conflits et, à cette fin, à maintenir un dispositif de liaison avec les Casques blancs en tenant compte des réformes en cours; 10. Recommande au Secrétaire général d’encourager les organismes compétents des Nations Unies à examiner la possibilité de collaborer avec les Casques blancs, compte tenu du succès des initiatives coordonnées qui ont été menées à bien, notamment avec le Fonds des Nations Unies pour l’enfance, le Programme alimentaire mondial, le Bureau de la coordination des affaires humanitaires, le Programme des Nations Unies pour le développement et les Volontaires des Nations Unies; 11. Prie le Secrétaire général de poursuivre son examen des moyens de nature à renforcer et à élargir les mécanismes consultatifs de façon à favoriser la réalisation et l’exécution du projet Casques blancs, selon les termes des paragraphes 9 et 10 de la présente résolution, et de lui présenter, à sa cinquante-huitième session, au titre de la question intitulée « Renforcement de la coordination de l’aide humanitaire et des secours en cas de catastrophe fournis par l’Organisation des Nations Unies, y compris l’assistance économique spéciale », un rapport sur les mesures prises en application de la présente résolution.
Naciones Unidas A/56/L.50 Asamblea General Distr. limitada 11 de diciembre de 2001 Español Original: inglés 01-68851 (S) 121201 121201 *0168851* Quincuagésimo sexto período de sesiones Tema 20 d) del programa Fortalecimiento de la coordinación de la asistencia humanitaria y de socorro en casos de desastre que prestan las Naciones Unidas, incluida la asistencia económica especial: participación de voluntarios, "Cascos Blancos", en las actividades de las Naciones Unidas en la esfera del socorro humanitario, la rehabilitación y la cooperación técnica para el desarrollo Alemania, Andorra, Angola, Argentina, Armenia, Australia, Austria, Bangladesh, Bélgica, Brasil, Canadá, Chile, China, Chipre, Colombia, Dinamarca, Ecuador, Egipto, El Salvador, Eslovaquia, España, Estados Unidos de América, Estonia, Etiopía, Federación de Rusia, Guatemala, Guyana, India, Italia, Japón, Kazajstán, Luxemburgo, Malta, Mónaco, Mongolia, Nicaragua, Noruega, Panamá, Paraguay, Portugal, Reino Unido de Gran Bretaña e Irlanda del Norte, República Checa, República de Moldova, Rumania, Sudáfrica, Suecia, Turquía, Uruguay y Yugoslavia: proyecto de resolución Participación de voluntarios, “Cascos Blancos”, en las actividades de las Naciones Unidas en la esfera del socorro humanitario, la rehabilitación y la cooperación técnica para el desarrollo La Asamblea General, Reafirmando sus resoluciones 49/139, de 20 de diciembre de 1994, 50/19, de 28 de noviembre de 1995, 52/171, de 16 de diciembre de 1997, y 54/98, de 8 de di-ciembre de 1999, Reafirmando también sus resoluciones 46/182, de 19 de diciembre de 1991, 47/168, de 22 de diciembre de 1992, 48/57, de 14 de diciembre de 1993, 49/139 A y B, de 20 de diciembre de 1994, 50/57, de 12 de diciembre de 1995, y 51/194, de 17 de di-ciembre de 1996, y las resoluciones del Consejo Económico y Social 1995/56, de 28 de julio de 1995, y 1996/33, de 25 de julio de 1996, Reconociendo que los recientes acontecimientos ponen de relieve la necesidad de que, frente a la creciente magnitud y complejidad de los desastres naturales y otras situaciones de emergencia humanitaria, la comunidad internacional no sólo formule una respuesta general bien coordinada, en el marco de las Naciones Unidas, sino también promueva la transición sin tropiezos del socorro a la rehabilitación, la reconstrucción y el desarrollo, Recordando que la prevención, la preparación y la planificación para situacio-nes de emergencia en el plano mundial dependen, en su mayor parte, de que aumente la capacidad de respuesta local y nacional y de la disponibilidad de recursos finan-cieros, tanto nacionales como internacionales, 1. Toma nota del informe del Secretario General1, preparado en cumpli-miento de la resolución 54/98, sobre la participación de voluntarios, “Cascos Blan-cos”, en las actividades de las Naciones Unidas en la esfera del socorro humanitario, la rehabilitación y la cooperación técnica para el desarrollo; 2. Alienta la adopción de medidas voluntarias a nivel nacional y regional para poner a disposición del sistema de las Naciones Unidas, por conducto de los Voluntarios de las Naciones Unidas y otros organismos, cuerpos nacionales de vo-luntarios como los Cascos Blancos en calidad de equipos de reserva, de conformidad con los procedimientos y las prácticas aceptados de las Naciones Unidas, con el fin de proporcionar recursos humanos y técnicos especializados para las actividades de socorro de emergencia y rehabilitación; 3. Expresa su reconocimiento por los encomiables avances realizados por la iniciativa de los Cascos Blancos, como singular esfuerzo internacional de carácter voluntario, para poner a disposición del sistema de las Naciones Unidas especialistas voluntarios capaces de responder, de forma rápida y coordinada, a las necesidades de socorro humanitario, rehabilitación, reconstrucción y desarrollo, preservando al mismo tiempo la índole no política, neutral e imparcial de la acción humanitaria; 4. Reconoce que los Cascos Blancos, en estrecha cooperación con la Oficina de Coordinación de Asuntos Humanitarios de la Secretaría, y en su calidad de cola-boradores en las operaciones del sistema de las Naciones Unidas, constituyen un mecanismo eficaz y viable para poner a disposición de las Naciones Unidas equipos homogéneos capacitados e identificados previamente, en apoyo de las actividades de socorro inmediato, rehabilitación, reconstrucción y desarrollo, en vista de que el número, la magnitud y la complejidad de los desastres naturales y otras situaciones de emergencia son cada vez mayores; 5. Exhorta a los Estados Miembros a que promuevan la facilitación de ac-ciones de cooperación entre el sistema de las Naciones Unidas y la sociedad civil, por conducto de los cuerpos nacionales de voluntarios, a fin de reforzar la capacidad de las Naciones Unidas de hacer frente con rapidez y eficacia a las situaciones de emergencia humanitaria, y los invita a proporcionar recursos financieros acordes a través de la cuenta especial del Fondo Especial de Contribuciones Voluntarias para los Voluntarios de las Naciones Unidas, o en coordinación con éste; 6. Alienta a los Estados Miembros a que establezcan sus respectivos centros nacionales de coordinación de los Cascos Blancos y les presten apoyo a fin de seguir proporcionando al sistema de las Naciones Unidas una red mundial accesible de ser-vicios de respuesta rápida en casos de emergencia humanitaria; 7. Reconoce con aprecio los logros alcanzados por los Estados miembros del Mercado Común del Sur y sus asociados en el fortalecimiento y la ampliación del concepto de asistencia humanitaria de los Cascos Blancos dentro de un marco regional, y alienta a los Estados miembros de otras asociaciones regionales a que consideren la aplicación de ese concepto en sus actividades dirigidas a ampliar la cooperación en la asistencia humanitaria; 8. Invita a los Estados Miembros, las instituciones financieras internacio-nales, las organizaciones regionales y el sistema de las Naciones Unidas a que estu-dien los medios de asegurar la integración de la iniciativa de los Cascos Blancos en las actividades de sus programas, especialmente las relacionadas con la asistencia humanitaria y la asistencia de socorro de emergencia; 9. Invita al Secretario General a que, basándose en la experiencia adquirida, estudie además la posibilidad de utilizar a los Cascos Blancos como recurso para prevenir y mitigar los efectos de las situaciones de emergencia y de las situaciones de emergencia humanitaria posteriores a los conflictos y, en este contexto, mantener una estructura adecuada para las funciones de enlace de los Cascos Blancos, tenien-do en cuenta el proceso de reformas en curso; 10. Recomienda al Secretario General que aliente a los organismos pertinen-tes del sistema de las Naciones Unidas a que exploren las oportunidades de colabo-ración con los Cascos Blancos, teniendo en cuenta los buenos resultados de las ac-ciones coordinadas emprendidas con, entre otros, el Fondo de las Naciones para la Infancia, el Programa Mundial de Alimentos, la Oficina de Coordinación de Asuntos Humanitarios, el Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo y los Volunta-rios de las Naciones Unidas; 11. Pide al Secretario General que continúe la consideración del posible for-talecimiento y ampliación de mecanismos consultivos que fomenten la continuación y expansión de la puesta en práctica del concepto, en los términos de los párrafos 9 y 10 de esta resolución, y que le presente en su quincuagésimo octavo período de se-siones, en relación con el tema titulado “Fortalecimiento de la coordinación de la asistencia humanitaria y de socorro en casos de desastre que prestan las Naciones Unidas, incluida la asistencia económica especial”, un informe acerca de las medi-das adoptadas de conformidad con la presente resolución.
Организация Объединенных Наций A/56/L.50 Генеральная Ассамблея Distr.: Limited 11 December 2001Russian Original: English 01-68850 (R) 121201 121201 *0168850* Пятьдесят шестая сессия Пункт 20(d) повестки дня Укрепление координации в области гуманитарной помощи и помощи в случае стихийных бедствий, предоставляемой Организацией Объединенных Наций, включая специальную экономическую помощь: участие добровольцев, ´белых касокª, в деятельности Организации Объединенных Наций в области гуманитарной помощи, восстановления и технического сотрудничества в целях развития Австралия, Австрия, Ангола, Андорра, Аргентина, Армения, Бангладеш, Бельгия, Бразилия, Гайана, Гватемала, Германия, Дания, Египет, Индия, Испания, Италия, Казахстан, Канада, Кипр, Китай, Колумбия, Люксембург, Мальта, Монако, Монголия, Никарагуа, Норвегия, Панама, Парагвай, Португалия, Республика Молдова, Российская Федерация, Румыния, Сальвадор, Словакия, Соединенное Королевство Великобритании и Северной Ирландии, Соединенные Штаты Америки, Турция, Уругвай, Чешская Республика, Чили, Швеция, Эквадор, Эстония, Эфиопия, Югославия, Южная Африка и Япония: проект резолюции Участие добровольцев, ´белых касокª, в деятельности Организации Объединенных Наций в области гуманитарной помощи, восстановления и технического сотрудничества в целях развития Генеральная Ассамблея, подтверждая свои резолюции 49/139 от 20 декабря 1994 года, 50/19 от 28 ноября 1995 года, 52/171 от 16 декабря 1997 года и 54/98 от 8 декабря 1999 года, подтверждая также свои резолюции 46/182 от 19 декабря 1991 года, 47/168 от 22 декабря 1992 года, 48/57 от 14 декабря 1993 года, 49/139 A и B от 20 декабря 1994 года, 50/57 от 12 декабря 1995 года и 51/194 от 17 декабря 1996 года и резолюции Экономического и Социального Совета 1995/56 от 28 июля 1995 года и 1996/33 от 25 июля 1996 года, признавая, что последние события ясно показывают, что при решении проблем, связанных с ростом масштаба и сложности стихийных бедствий и других гуманитарных чрезвычайных ситуаций, международное сообщество должно полагаться не только на разработку хорошо скоординированных гло-бальных мер реагирования в рамках Организации Объединенных Наций, но и на содействие плавному переходу от оказания помощи к восстановлению, ре-конструкции и развитию, напоминая о том, что предупреждение, готовность и планирование на случай чрезвычайных обстоятельств на глобальном уровне зависят большей частью от укрепления местных и национальных возможностей реагирования, а также от наличия финансовых ресурсов - как национальных, так и междуна-родных, 1. принимает к сведению доклад Генерального секретаря1, подготов-ленный во исполнение ее резолюции 54/98 об участии добровольцев, ´белых касокª, в деятельности Организации Объединенных Наций в области гумани-тарной помощи, восстановления и технического сотрудничества в целях разви-тия; 2. рекомендует принять добровольные национальные и региональные меры, направленные на предоставление в распоряжение системы Организации Объединенных Наций и другие структуры ó через Добровольцев Организации Объединенных Наций и другие структуры ó национальных корпусов добро-вольцев, таких, как ´белые каскиª, на резервной основе в соответствии с при-нятыми в Организации Объединенных Наций процедурами и практикой в це-лях обеспечения специализированных людских и технических ресурсов для оказания чрезвычайной помощи и восстановления; 3. выражает удовлетворение в связи с отрадным прогрессом в деле реализации инициативы ´белые каскиª как уникального добровольного меж-дународного усилия по предоставлению системе Организации Объединенных Наций специалистов-добровольцев для быстрого и скоординированного реаги-рования на потребности в гуманитарной помощи, восстановлении, реконструк-ции и развитии при сохранении неполитического, нейтрального и беспристра-стного характера гуманитарной деятельности; 4. признает, что ´белые каскиª в тесном сотрудничестве с Управлени-ем по координации гуманитарной деятельности Секретариата и в качестве опе-ративного партнера системы Организации Объединенных Наций представляют собой эффективный и жизнеспособный механизм предоставления в распоря-жение Организации Объединенных Наций заранее сформированных и подго-товленных однородных групп для поддержки мероприятий по оказанию экс-тренной помощи восстановлению, реконструкции и развитию с учетом роста числа, масштабов и сложности стихийных бедствий и других чрезвычайных ситуаций; 5. призывает государства-члены содействовать сотрудничеству между системой Организации Объединенных Наций и гражданским обществом - че-рез национальные корпуса добровольцев - в целях укрепления возможностей Организации Объединенных Наций по скорейшему и эффективному реагиро-ванию на гуманитарные чрезвычайные ситуации и призывает их предоставить соответствующие финансовые ресурсы через специальный финансовый меха-низм Специального фонда добровольных взносов для Программы доброволь-цев Организации Объединенных Наций; 6. рекомендует государствам-членам определить и поддерживать свои соответствующие национальные координационные центры ´белых касокª в целях дальнейшего предоставления в распоряжение системы Организации Объединенных Наций доступной глобальной сети средств быстрого реагиро-вания в случае гуманитарных чрезвычайных ситуаций; 7. с удовлетворением отмечает прогресс, достигнутый государствами-членами Общего рынка стран Южного Конуса и ассоциированными партнера-ми в деле укрепления и расширения в региональном контексте концепции ока-зания ´белыми каскамиª гуманитарной помощи, и рекомендует государствам-членам других региональных объединений рассмотреть возможность претво-рения в жизнь этой концепции в рамках их усилий, нацеленных на расширение сотрудничества в области оказания гуманитарной помощи; 8. предлагает государствам-членам, международным финансовым уч-реждениям, региональным организациям и системе Организации Объединен-ных Наций рассмотреть вопрос о путях и средствах обеспечения интеграции инициативы ´белые каскиª в свои программные мероприятия, в частности в те, которые связаны с оказанием гуманитарной помощи и помощи в случае сти-хийных бедствий; 9. предлагает Генеральному секретарю на основе накопленного опыта продолжить рассмотрение вопроса о возможном использовании ´белых касокª в качестве одного из ресурсов для предотвращения и смягчения последствий чрезвычайных ситуаций и постконфликтных гуманитарных чрезвычайных си-туаций и в этой связи обеспечить наличие адекватного механизма связи с ´бе-лыми каскамиª с учетом текущего процесса реформ; 10. рекомендует Генеральному секретарю поощрять соответствующие учреждения системы Организации Объединенных Наций к изучению возмож-ностей осуществления сотрудничества с ´белыми каскамиª с учетом успеха скоординированных действий, предпринятых, в частности, совместно с Дет-ским фондом Организации Объединенных Наций, Мировой продовольственной программой, Управлением по координации гуманитарной деятельности, Про-граммой развития Организации Объединенных Наций и Добровольцами Орга-низации Объединенных Наций; 11. просит Генерального секретаря продолжить рассмотрение вопроса о возможном усилении и расширении консультационных механизмов для даль-нейшей пропаганды и практической реализации концепции, о которой говорит-ся в пунктах 9 и 10 настоящей резолюции, и представить Генеральной Ассамб-лее на ее пятьдесят восьмой сессии по пункту, озаглавленному ´Укрепление координации в области гуманитарной помощи и помощи в случае стихийных бедствий, предоставляемой Организацией Объединенных Наций, включая спе-циальную экономическую помощьª, доклад о мерах, принятых в соответствии с настоящей резолюцией.
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大 会 Distr.: Limited 4 December 2006 Chinese Original: English) 051206 051206 *0664164* 第六十一届会议 第二委员会 议程项目 56(a) 处境特殊的各类国家组:第三次 联合国最不发达国家问题会议 副主席普拉约诺·阿蒂扬托先生(印度尼西亚)根据就决议草案 A/C.2/61/L.37 举行的非正式磋商提交的决议草案 第三次联合国最不发达国家问题会议 大会, 回顾《布鲁塞尔宣言》 1 和《2001-2010 十年期支援最不发达国家行动 纲领》,2 又回顾《联合国千年宣言》,3 特别是第 15 段,各国元首和政府首脑在该段 中承诺满足最不发达国家的特殊需要, 还回顾其 2003 年 6 月 23 日关于联合国经济和社会领域各次主要会议和首脑 会议结果的统筹协调执行及后续行动的第 57/270 B 号决议, 回顾 2005 年世界首脑会议成果,4 又回顾 2005 年 12 月 23 日第 60/228 号决议, 还回顾 2006 年 9 月 27 日第 61/1 号决议, 重申其 2006 年 6 月 30 日关于 2005 年世界首脑会议的发展方面成果、包括 千年发展目标和其他国际商定的发展目标的后续行动的第60/265 号决议, 注意到经济及社会理事会 2004 年实质性会议高级别部分就“为在执行 《2001-2010 十年期支援最不发达国家行动纲领》框架内消除贫穷而调动资源和 建立有利环境”的主题发表的部长宣言,5 1. 注意到秘书长的报告;6 2. 欢迎直到《2001-2010 十年期支援最不发达国家行动纲领》2 执行情况 全球综合中期审查之时所作的贡献,包括制定《进一步执行 2001-2010 十年期支 援最不发达国家行动纲领科托努战略》,7 这是一项由最不发达国家掌控和主导 的倡议; 3. 重申其对参加大会《2001-2010 十年期支援最不发达国家行动纲领》执 行情况全球综合中期审查高级别会议的国家元首和政府首脑以及代表团团长通 过的《宣言》8 的承诺,其中他们再次承诺在迈向脱贫、和平与发展目标的路上 取得进展,以满足这些国家的特殊需要; 4. 确认全球综合中期审查的结论,其中着重指出虽然在执行《2001-2010 十年期支援最不发达国家行动纲领》方面取得了一些进展,但最不发达国家的总 体社会经济状况仍然岌岌可危,需要予以注意,并着重指出鉴于当前各种趋势, 许多最不发达国家不大可能实现《行动纲领》中所定的各项目标; 5. 着重指出各项国际商定的发展目标,包括千年发展目标,是能够有效地 在最不发达国家得到实现的,特别是通过按时履行《行动纲领》中的七项承诺; 6. 重申《行动纲领》是建立牢固的全球伙伴关系的基本框架,目标在于加 快最不发达国家的持续经济增长和可持续发展,加快消除贫穷; 7. 又重申要在执行《行动纲领》方面取得进展,就需要切实执行促进最不 发达国家经济增长和可持续发展的国家政策和优先项目,而且需要最不发达国家 及其发展伙伴建立牢固和坚定的伙伴关系; 8. 强调为了进一步执行《行动纲领》,最不发达国家及其发展伙伴必须以 综合办法、更广泛的真正伙伴关系、国家掌有权、市场因素和面向成果的行动为 指导; 9. 敦促最不发达国家通过其各自的国家发展框架,包括现有的减贫战略文 件、共同国家评估和联合国发展援助框架,加强执行《行动纲领》; 10. 又敦促发展伙伴各自尽全力继续增加对执行《行动纲领》的财政和技术 支助; 11. 鼓励联合国驻地协调员系统协助最不发达国家按照本国发展优先事项, 把《行动纲领》所载各项目标和指标变为具体行动; 12. 又鼓励联合国驻地协调员系统和国家工作队以及布雷顿森林机构、双边 和多边捐助者及其他发展伙伴的国家一级代表同有关发展论坛和国家后续行动 机制协作,并酌情向这些论坛和机制提供支助; 13. 请尚未这样做的联合国系统组织和其他多边组织,把执行《布鲁塞尔宣 言》1 和《行动纲领》的工作纳入其工作方案及其政府间进程,并在各自授权任 务内采取有利于最不发达国家的多年行动方案; 14. 着重指出正如《行动纲领》所设想的,需要在年度全球审查范围内按每 一个部门评估《行动纲领》的执行情况,并在这方面请联合国系统和所有相关国 际组织,根据它们各自的授权任务,利用拟按照《行动纲领》的各项目标来衡量 的量化准则和指标报告在执行方面取得的进展,并充分参与在国家、次区域、区 域和全球各级对《行动纲领》进行的审查; 15. 又着重指出极为重要的是采取综合和协调的后续行动,监测和报告在国 家、次区域、区域和全球各级有效执行《行动纲领》的情况; 16. 请秘书长确保在秘书处一级充分调动和协调联合国系统的所有组成部 分,促进在国家、次区域、区域和全球各级协调地执行《行动纲领》以及统筹采 取后续行动,并监测和审查执行情况,包括通过诸如联合国系统行政首长协调理 事会、联合国发展集团、经济和社会事务执行委员会和千年发展目标指标问题机 构间专家组等协调机构来这样做; 17. 重申邀请联合国系统各机关、组织和机构以及其他相关多边组织向最不 发达国家、内陆发展中国家和小岛屿发展中国家高级代表办公室提供充分支持与 合作; 18. 请秘书长编写并向大会第六十二届会议提交一份详尽清晰的宣传战略, 旨在提高对《行动纲领》各项目的、目标和承诺的认识,促进有效和及时执行; 19. 又请秘书长就进一步执行《行动纲领》的情况提交年度面向成果的分析 性进度报告,并在现有资源范围内为编写这份报告提供足够的资源。
United Nations A/C.2/61/L.64 General Assembly Distr.: Limited 4 December 2006 Original: English 06-64165 (E) 051206 *0664165* Sixty-first session Second Committee Agenda item 56 (a) Groups of countries in special situations: Third United Nations Conference on the Least Developed Countries Draft resolution submitted by the Vice-Chairman, Mr. Prayono Atiyanto (Indonesia), on the basis of informal consultations held on draft resolution A/C.2/61/L.37 Third United Nations Conference on the Least Developed Countries The General Assembly, Recalling the Brussels Declaration1 and the Programme of Action for the Least Developed Countries for the Decade 2001-2010,2 Recalling also the United Nations Millennium Declaration,3 in particular paragraph 15 thereof, in which the Heads of State and Government undertook to address the special needs of the least developed countries, Recalling further its resolution 57/270 B of 23 June 2003 on the integrated and coordinated implementation of and follow-up to the outcomes of the major United Nations conferences and summits in the economic and social fields, Recalling the 2005 World Summit Outcome,4 Recalling also its resolution 60/228 of 23 December 2005, Recalling further its resolution 61/1 of 27 September 2006, Reaffirming its resolution 60/265 of 30 June 2006 on the follow-up to the development outcome of the 2005 World Summit, including the Millennium Development Goals and other internationally agreed development goals, Taking note of the ministerial declaration of the high-level segment of the 2004 substantive session of the Economic and Social Council on the theme “Resources mobilization and enabling environment for poverty eradication in the context of the implementation of the Programme of Action for the Least Developed Countries for the Decade 2001-2010”,5 1. Takes note of the report of the Secretary-General;6 2. Welcomes the contributions made in the lead-up to the midterm comprehensive global review of the implementation of the Programme of Action for the Least Developed Countries for the Decade 2001-2010,2 including the elaboration of the Cotonou Strategy for the Further Implementation of the Programme of Action for the Least Developed Countries for the Decade 2001-20107 as an initiative owned and led by the least developed countries; 3. Reaffirms its commitment to the Declaration8 adopted by Heads of State and Government and heads of delegations participating in the high-level meeting of the General Assembly on the midterm comprehensive global review of the implementation of the Programme of Action for the Least Developed Countries for the Decade 2001-2010, in which they recommitted themselves to addressing the special needs of the least developed countries by making progress towards the goals of poverty eradication, peace and development; 4. Acknowledges the findings of the midterm comprehensive global review, which stressed that despite some progress in the implementation of the Programme of Action for the Least Developed Countries for the Decade 2001-2010, the overall socio-economic situation in the least developed countries continues to be precarious and requires attention and that, given current trends, many least developed countries are unlikely to achieve the goals and objectives set out in the Programme of Action; 5. Stresses that the internationally agreed development goals, including the Millennium Development Goals, can be effectively achieved in the least developed countries through, in particular, the timely fulfilment of the seven commitments of the Programme of Action; 6. Reaffirms that the Programme of Action constitutes a fundamental framework for a strong global partnership, whose goal is to accelerate sustained economic growth, sustainable development and poverty eradication in the least developed countries; 7. Also reaffirms that progress in the implementation of the Programme of Action will require effective implementation of national policies and priorities for the sustained economic growth and sustainable development of the least developed countries, as well as strong and committed partnership between the least developed countries and their development partners; 8. Underscores that for the further implementation of the Programme of Action, the least developed countries and their development partners must be guided by an integrated approach, a broader genuine partnership, country ownership, market considerations and results-oriented actions; 9. Urges the least developed countries to strengthen the implementation of the Programme of Action through their respective national development framework, including, where they exist, poverty reduction strategy papers, the common country assessment and the United Nations Development Assistance Framework; 10. Also urges development partners to exercise individual best efforts to continue to increase their financial and technical support for the implementation of the Programme of Action; 11. Encourages the United Nations resident coordinator system to assist the least developed countries in translating goals and targets of the Programme of Action into concrete actions in the light of their national development priorities; 12. Also encourages the resident coordinator system and country teams, as well as country-level representatives of the Bretton Woods institutions, bilateral and multilateral donors and other development partners, to collaborate with and provide support to, as appropriate, the relevant development forums and follow-up mechanisms; 13. Invites the organizations of the United Nations system and other multilateral organizations that have not yet done so to mainstream the implementation of the Brussels Declaration1 and the Programme of Action within their programmes of work as well as in their intergovernmental processes and to undertake within their respective mandates multi-year programming of actions in favour of the least developed countries; 14. Stresses, within the context of the annual global reviews, as envisaged in the Programme of Action, the need to assess the implementation of the Programme of Action sector by sector, and in this regard invites the United Nations system and all relevant international organizations, consistent with their respective mandates, to report on the progress made in its implementation using quantifiable criteria and indicators to be measured against the goals and targets of the Programme of Action and to participate fully in reviews of the Programme of Action at the national, subregional, regional and global levels; 15. Also stresses the crucial importance of integrated and coordinated follow-up, monitoring and reporting for the effective implementation of the Programme of Action at the national, subregional, regional and global levels; 16. Requests the Secretary-General to ensure, at the Secretariat level, the full mobilization and coordination of all parts of the United Nations system to facilitate coordinated implementation as well as coherence in the follow-up to and monitoring and review of the Programme of Action at the national, subregional, regional and global levels, including through such coordination mechanisms as the United Nations System Chief Executives Board for Coordination, the United Nations Development Group, the Executive Committee on Economic and Social Affairs and the Inter-agency Expert Group on the Millennium Development Goals Indicators; 17. Reiterates its invitation to the organs, organizations and bodies of the United Nations system, and other relevant multilateral organizations, to provide full support to and cooperation with the Office of the High Representative for the Least Developed Countries, Landlocked Developing Countries and Small Island Developing States; 18. Requests the Secretary-General to elaborate and submit to the General Assembly at its sixty-second session a detailed and clearly defined advocacy strategy aimed at raising awareness about the objectives, goals and commitments of the Programme of Action with a view to facilitating its effective and timely implementation; 19. Also requests the Secretary-General to submit an annual analytical and results-oriented progress report on the further implementation of the Programme of Action and to make available adequate resources, within existing resources, for the preparation of such a report.
Nations Unies A/C.2/61/L.64 Assemblée générale Distr. limitée 4 décembre 2006 Français Original : anglais 06-64166 (F) 051206 051206 *0664166* Soixante et unième session Deuxième Commission Point 56 a) de l’ordre du jour Groupes de pays en situation particulière : troisième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés Projet de résolution présenté par le Vice-Président, M. Prayono Atiyanto (Indonésie), à l’issue de consultations officieuses tenues sur le projet de résolution A/C.2/61/L.37 Troisième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés L’Assemblée générale, Rappelant la Déclaration de Bruxelles1 et le Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001-20102 , Rappelant également la Déclaration du Millénaire3 , en particulier son paragraphe 15 dans lequel les chefs d’État et de gouvernement se sont engagés à prendre en compte les besoins particuliers des pays les moins avancés, Rappelant en outre sa résolution 57/270 B du 23 juin 2003 sur l’application et le suivi intégrés et coordonnés des textes issus des grandes conférences et réunions au sommet organisées sous l’égide de l’Organisation des Nations Unies dans les domaines économique et social, Rappelant la Déclaration finale du Sommet mondial de 20054 , Rappelant également sa résolution 60/228 du 23 décembre 2005, Rappelant en outre sa résolution 61/1 du 27 septembre 2006, Réaffirmant sa résolution 60/265 du 30 juin 2006 sur la suite donnée aux dispositions du Document final du Sommet mondial de 2005 consacrées au développement, y compris les objectifs du Millénaire pour le développement et les 1 A/CONF.191/13, chap. I. 2 Ibid., chap. II. 3 Voir résolution 55/2. 4 Voir résolution 60/1. autres objectifs convenus au niveau international, Prenant note de ladéclaration ministérielle issue du débat de haut niveau de la session de fond de 2004 du Conseil économique et social sur le thème « Mobilisation des ressources et conditions à réunir pour éliminer la pauvreté dans le cadre de l’application du Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001-2010 »5, 1. Prend note du rapport du Secrétaire général6; 2. Accueille avec satisfaction les contributions faites pendant la période qui a précédé l’examen global approfondi à mi-parcours de la mise en œuvre du Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001- 20102 , dont l’élaboration de la Stratégie de Cotonou pour la poursuite de la mise en œuvre du Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001-20107, initiative conçue et menée par les pays les moins avancés; 3. Réaffirme son engagement en faveur de la déclaration8 adoptée par les chefs d’État et de gouvernement et les chefs de délégation participant à la Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale sur l’examen global approfondi à mi-parcours de la mise en œuvre du Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001-2010, dans laquelle ils ont réaffirmé leur volonté de répondre aux besoins particuliers des pays les moins avancés en accomplissant des progrès vers la réalisation des objectifs de l’élimination de la pauvreté, de la paix et du développement; 4. Prend acte des constatations de la Réunion de haut niveau sur l’examen global approfondi à mi-parcours, qui a souligné que malgré certains progrès accomplis dans l’application du Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2001-2010, la situation socioéconomique globale des pays les moins avancés restait précaire et demandait à être attentivement suivie, et qu’étant donné les tendances actuelles, un grand nombre de pays les moins avancés avaient peu de chances de réaliser les objectifs fixés dans le Programme d’action; 5. Souligne que les objectifs de développement convenus au niveau international, y compris les objectifs du Millénaire pour le développement, peuvent être effectivement atteints dans les pays les moins avancés en particulier s’il est donné suite en temps voulu aux sept engagements inscrits dans le Programme d’action; 6. Réaffirme que le Programme d’action constitue un cadre fondamental en vue d’un partenariat mondial robuste dont le but est d’accélérer la croissance économique, le développement durable et l’élimination de la pauvreté dans les pays les moins avancés; 7. Réaffirme également qu’il faudra, pour progresser dans l’application du Programme d’action, mettre effectivement en œuvre les politiques et priorités nationales pour la croissance économique soutenue et le développement durable des pays les moins avancés, et instaurer des partenariats solides et actifs entre ces pays et leurs partenaires de développement; 8. Souligne que, pour faire progresser l’application du Programme d’action, les pays les moins avancés et leurs partenaires de développement doivent être guidés par une démarche cohérente, un partenariat authentique élargi, la prise en charge par les pays eux-mêmes, les impératifs du marché et l’adoption de mesures orientées vers les résultats; 9. Prie instamment les pays les moins avancés de renforcer l’application du Programme d’action dans leur cadre national de développement, y compris, le cas échéant, les documents de stratégie pour la réduction de la pauvreté, les bilans communs de pays et le Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement; 10. Engage vivement les partenaires de développement à faire de leur mieux, individuellement, pour continuer à accroître leur appui financier et technique pour l’application du Programme d’action; 11. Encourage le système des coordonnateurs résidents des Nations Unies à aider les pays les moins avancés à concrétiser les objectifs du Programme d’action conformément à leurs priorités nationales en matière de développement; 12. Encourage également le système des coordonnateurs résidents et les équipes de pays, ainsi que les représentants des institutions de Bretton Woods au niveau des pays, les donateurs bilatéraux et multilatéraux et les autres partenaires de développement, à apporter leur concours et leur appui, selon qu’il conviendra, aux instances de développement et aux mécanismes de suivi concernés; 13. Invite les organismes des Nations Unies et autres organisations multilatérales qui ne l’ont pas encore fait à intégrer dans leur programme de travail et leurs processus intergouvernementaux la mise en œuvre de la Déclaration de Bruxelles1 et du Programme d’action, et à entreprendre, dans le cadre de leur mandat, une programmation pluriannuelle de l’action en faveur des pays les moins avancés; 14. Souligne qu’il est nécessaire, dans le contexte des examens globaux annuels, comme il est envisagé dans le Programme d’action, d’évaluer l’application du Programme d’action secteur par secteur et, à cet égard, invite les organismes des Nations Unies et les autres organisations internationales intéressées, dans le cadre de leur mandat, à faire rapport sur les progrès accomplis dans son application à l’aide de critères et d’indicateurs quantifiables permettant la comparaison avec les objectifs du Programme d’action, et à participer pleinement à l’examen du Programme d’action aux niveaux national, sous-régional, régional et mondial; 15. Souligne également qu’il est d’une importance cruciale d’entreprendre une action intégrée et coordonnée de suivi, de contrôle et de présentation de rapports aux fins de l’application effective du Programme d’action aux niveaux national, sous-régional, régional et mondial; 16. Prie le Secrétaire général d’assurer, au niveau du Secrétariat, toute la mobilisation et la coordination de l’ensemble des organismes des Nations Unies afin de faciliter l’application coordonnée et la cohérence du suivi, du contrôle et de l’examen du Programme d’action aux niveaux national, sous-régional, régional et mondial, y compris au moyen de mécanismes de coordination tels que le Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination, le Groupe des Nations Unies pour le développement, le Comité exécutif des affaires économiques et sociales et le Groupe d’experts interinstitutions sur les indicateurs relatifs aux objectifs du Millénaire pour le développement; 17. Invite à nouveau les organes et organismes des Nations Unies et autres organisations multilatérales intéressées à offrir leur appui et leur coopération au Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement; 18. Prie le Secrétaire général d’élaborer et de lui présenter à sa soixante-deuxième session une stratégie de mobilisation détaillée et clairement définie visant à faire mieux connaître les objectifs et les engagements énoncés dans le Programme d’action afin d’en assurer l’application effective et diligente; 19. Prie également le Secrétaire général de présenter un rapport d’étape annuel, analytique et orienté vers les résultats, sur la poursuite de la mise en œuvre du Programme d’action, et de dégager, dans les limites des ressources disponibles, les ressources nécessaires à cet effet.
Naciones Unidas A/C.2/61/L.64 Asamblea General Distr. limitada 4 de diciembre de 2006 Español Original: inglés 06-64168 (S) 051206 051206 *0664168* Sexagésimo primer período de sesiones Segunda Comisión Tema 56 a) del programa Grupos de países en situaciones especiales: Tercera Conferencia de las Naciones Unidas sobre los Países Menos Adelantados Proyecto de resolución presentado por el Vicepresidente, Sr. Prayono Atiyanto (Indonesia), sobre la base de consultas oficiosas sobre el proyecto de resolución A/C.2/61/L.37 Tercera Conferencia de las Naciones Unidas sobre los Países Menos Adelantados La Asamblea General, Recordando la Declaración de Bruselas1 y el Programa de Acción en favor de los países menos adelantados para el decenio 2001-20102 , Recordando también la Declaración del Milenio3 , en particular su párrafo 15, en el que los Jefes de Estado y de Gobierno decidieron atender las necesidades especiales de los países menos adelantados, Recordando asimismo su resolución 57/270 B, de 23 de junio de 2003, sobre la aplicación y el seguimiento integrados y coordinados de las decisiones adoptadas en las grandes conferencias y cumbres de las Naciones Unidas en las esferas económica y social, Recordando el Documento Final de la Cumbre Mundial 20054 , Recordando también su resolución 60/228, de 23 de diciembre de 2005, Recordando asimismo su resolución 61/1, de 27 de septiembre de 2006, Reafirmando su resolución 60/265, de 30 de junio de 2006, sobre el seguimiento de los resultados de la Cumbre Mundial 2005 en materia de desarrollo, 1 A/CONF.191/13, cap. I. 2 Ibíd., cap. II. 3 Véase la resolución 55/2. 4 Véase la resolución 60/1. incluidos los objetivos de desarrollo del Milenio y los demás objetivos convenidos internacionalmente, Tomando nota de la declaración ministerial de la serie de sesiones de alto nivel del período de sesiones sustantivo del Consejo Económico y Social de 2004 sobre el tema “Movilización de recursos y entorno propicio para la erradicación de la pobreza en el contexto de la aplicación del Programa de Acción en favor de los países menos adelantados para el decenio 2001-2010”5, 1. Toma nota del informe del Secretario General6; 2. Acoge con beneplácito las contribuciones realizadas en el período previo al examen mundial amplio de mitad de período de la ejecución del Programa de Acción en favor de los países menos adelantados para el decenio 2001-20102 , incluida la elaboración de la Estrategia de Cotonú para la ulterior ejecución del Programa de Acción en favor de los países menos adelantados para el decenio 2001-20107 como iniciativa controlada e impulsada por los países menos adelantados; 3. Reafirma su adhesión a la Declaración8 aprobada por los Jefes de Estado y de Gobierno y los jefes de las delegaciones que participaron en la reunión de alto nivel de la Asamblea General sobre el examen mundial amplio de mitad de período de la ejecución del Programa de Acción en favor de los países menos adelantados para el decenio 2001-2010, en la que renovaron su compromiso de atender las necesidades especiales de los países menos adelantados y avanzar con ese fin hacia el logro de los objetivos de erradicación de la pobreza, paz y desarrollo; 4. Toma nota de las conclusiones del examen mundial amplio de mitad de período en las que se destacó que, a pesar de que se habían hecho avances en la ejecución del Programa de Acción en favor de los países menos adelantados para el decenio 2001-2010, la situación socioeconómica general de los países menos adelantados seguía siendo precaria y requería atención y que, habida cuenta de las tendencias actuales, muchos países menos adelantados probablemente no lograrían alcanzar las metas y los objetivos enunciados en el Programa de Acción; 5. Subraya que los objetivos de desarrollo convenidos internacionalmente, incluidos los objetivos de desarrollo del Milenio, pueden lograrse efectivamente en los países menos adelantados, en particular si se cumplen oportunamente los siete compromisos del Programa de Acción; 6. Reafirma que el Programa de Acción constituye un marco fundamental para una alianza mundial firme que acelere el crecimiento económico sostenido, el desarrollo sostenible y la erradicación de la pobreza en los países menos adelantados; 7. Reafirma también que los progresos en la ejecución del Programa de Acción requerirán una aplicación efectiva de las políticas y prioridades nacionales para promover el crecimiento económico y el desarrollo sostenible de los países menos adelantados, así como una asociación firme y decidida entre esos países y sus asociados para el desarrollo; 8. Subraya que, para seguir ejecutando el Programa de Acción, los países menos adelantados y sus asociados para el desarrollo deben seguir un enfoque integrado y promover una verdadera colaboración mundial más amplia en pro del desarrollo, la identificación de los países en el proceso de desarrollo y las actividades orientadas a la acción; 9. Insta a los países menos adelantados a que afiancen la ejecución del Programa de Acción con sus respectivos marcos nacionales de desarrollo, incluidos, cuando existan, los documentos de estrategia de lucha contra la pobreza, las evaluaciones comunes para los países y el Marco de Asistencia de las Naciones Unidas para el Desarrollo; 10. Insta también a los asociados para el desarrollo a que hagan todo lo posible individualmente por aumentar su apoyo financiero y técnico para ejecutar el Programa de Acción; 11. Alienta al sistema de coordinadores residentes de las Naciones Unidas a que ayude a los países menos adelantados a traducir las metas y los objetivos del Programa de Acción en medidas concretas teniendo en cuenta las prioridades nacionales de desarrollo de esos países; 12. Alienta también al sistema de coordinadores residentes y a los equipos de las Naciones Unidas en los países, así como a los representantes de las instituciones de Bretton Woods en los países, los donantes bilaterales y multilaterales y otros asociados para el desarrollo a que colaboren con los foros nacionales de desarrollo y los mecanismos nacionales de seguimiento y les presten apoyo; 13. Invita a las organizaciones del sistema de las Naciones Unidas y a otras organizaciones multilaterales que todavía no lo hayan hecho a que incorporen la aplicación de la Declaración de Bruselas1 y del Programa de Acción en sus programas de trabajo y en sus procesos intergubernamentales, y a que dentro de sus respectivos mandatos ejecuten programas multianuales en favor de los países menos adelantados; 14. Subraya, en el contexto de los exámenes amplios mundiales previstos en el Programa de Acción, la necesidad de evaluar la ejecución del Programa de Acción sector por sector y, a ese respecto, invita al sistema de las Naciones Unidas y a todas las organizaciones internacionales competentes a que, en consonancia con sus respectivos mandatos, informen de los progresos realizados en su ejecución empleando criterios e indicadores cuantificables que puedan compararse con las metas y los objetivos del Programa de Acción y participen plenamente en los exámenes nacionales, subregionales, regionales y mundiales del Programa; 15. Subraya también la importancia crucial de organizar actividades integradas y coordinadas de seguimiento, observación e información, para ejecutar eficazmente el Programa de Acción en los planos nacional, subregional, regional y mundial; 16. Pide al Secretario General que garantice que en la Secretaría se movilicen y coordinen plenamente todas las partes del sistema de las Naciones Unidas para facilitar la ejecución coordinada y la coherencia en el seguimiento, la vigilancia y el examen del Programa de Acción en los planos nacional, subregional, regional y mundial, por ejemplo mediante mecanismos de coordinación como la Junta de los jefes ejecutivos del sistema de las Naciones Unidas para la coordinación, el Grupo de las Naciones Unidas para el Desarrollo, el Comité Ejecutivo de Asuntos Económicos y Sociales y el Grupo Interinstitucional de Expertos sobre los indicadores de los objetivos de desarrollo del Milenio; 17. Reitera su invitación a los órganos, las organizaciones y los organismos del sistema de las Naciones Unidas y a otras organizaciones multilaterales pertinentes para que brinden su apoyo y cooperación plenos a la Oficina del Alto Representante para los países menos adelantados, los países en desarrollo sin litoral y los pequeños Estados insulares en desarrollo; 18. Pide al Secretario General que prepare y le presente en su sexagésimo segundo período de sesiones una estrategia detallada y claramente definida para crear mayor conciencia de los objetivos, las metas y los compromisos del Programa de Acción con miras a facilitar su ejecución eficaz y puntual; 19. Pide también al Secretario General que presente un informe anual analítico y orientado hacia los resultados sobre la ejecución del Programa de Acción, y que proporcione los recursos necesarios, dentro de los límites de los recursos existentes, para preparar ese informe.
Организация Объединенных Наций A/C.2/61/L.64 Генеральная Ассамблея Distr.: Limited 4 December 2006 Russian Original: English 06-64167 (R) 051206 051206 *0664167* Шестьдесят первая сессия Второй комитет Пункт 56(а) повестки дня Группы стран, находящихся в особой ситуации: третья Конференция Организации Объединенных Наций по наименее развитым странам Проект резолюции, представленный заместителем Председателя г-ном Прайоно Атиянто (Индонезия) по итогам неофициальных консультаций, проведенных по проекту резолюции A/C.2/61/L.37 Третья Конференция Организации Объединенных Наций по наименее развитым странам Генеральная Ассамблея, ссылаясь на Брюссельскую декларацию1 и Программу действия для наи-менее развитых стран на десятилетие 2001–2010 годов2, ссылаясь также на Декларацию тысячелетия Организации Объединен-ных Наций3, в частности на ее пункт 15, в котором главы государств и прави-тельств обязались содействовать удовлетворению особых потребностей наиме-нее развитых стран, ссылаясь далее на свою резолюцию 57/270 В от 23 июня 2003 года о ком-плексном и скоординированном осуществлении решений крупных конферен-ций и встреч на высшем уровне Организации Объединенных Наций в экономи-ческой и социальной областях и последующей деятельности в связи с ними, ссылаясь на Итоговый документ Всемирного саммита 2005 года4, ссылаясь также на свою резолюцию 60/228 от 23 декабря 2005 года, ссылаясь далее на свою резолюцию 61/1 от 27 сентября 2006 года, вновь подтверждая свою резолюцию 60/265 от 30 июня 2006 года о по-следующих мерах по связанным с развитием итогам Всемирного саммита 2005 года, включая цели в области развития, сформулированные в Декларации тысячелетия, и другие согласованные на международном уровне цели в облас-ти развития, принимая к сведению декларацию министров, принятую на этапе заседа-ний высокого уровня основной сессии Экономического и Социального Совета 2004 года по теме «Мобилизация ресурсов и создание благоприятных условий для искоренения нищеты в контексте осуществления Программы действий для наименее развитых стран на десятилетие 2001–2010 годов»5, 1. принимает к сведению доклад Генерального секретаря6; 2. приветствует вклад, внесенный в период подготовки к среднесроч-ному всеобъемлющему глобальному обзору хода осуществления Программы действий для наименее развитых стран на десятилетие 2001–2010 годов2 , вклю-чая разработку Стратегии Котону по дальнейшему осуществлению Программы действий для наименее развитых стран на десятилетие 2001–2010 годов7 в ка-честве инициативы, принадлежащей наименее развитым странам, в осуществ-лении которой они играют ведущую роль; 3. вновь заявляет о своей приверженности Декларации8, которая была принята главами государств и правительств и главами делегаций, участвовав-ших в заседании высокого уровня Генеральной Ассамблеи по среднесрочному всеобъемлющему глобальному обзору хода осуществления Программы дейст-вий для наименее развитых стран на десятилетие 2001–2010 годов, и в которой они вновь заявили о своей приверженности делу содействия удовлетворению особых нужд наименее развитых стран на основе прогресса в достижении це-лей искоренения нищеты и обеспечения мира и развития; 4. подтверждает выводы по итогам среднесрочного всеобъемлющего глобального обзора, в которых подчеркивается, что, несмотря на некоторый прогресс в осуществлении Программы действий для наименее развитых стран на десятилетие 2001–2010 годов, общее социально-экономическое положение в наименее развитых странах по-прежнему внушает опасения и требует внима-ния и что вследствие нынешних тенденций многие наименее развитые страны вряд ли достигнут цели и решат задачи, предусмотренные Программой дейст-вий; 5. подчеркивает, что согласованные на международном уровне цели в области развития, в том числе цели в области развития, сформулированные в Декларации тысячелетия, могут быть реально достигнуты в наименее развитых странах, в частности в результате своевременного выполнения семи обяза-тельств, предусмотренных Программой действий; 6. вновь заявляет о том, что Программа действий закладывает основу для налаживания тесных глобальных партнерских отношений в целях ускоре-ния поступательного экономического роста, обеспечения устойчивого развития и искоренения нищеты в наименее развитых странах; 7. вновь заявляет также о том, что достижение прогресса в осуществ-лении Программы действий потребует эффективной реализации национальных стратегий и приоритетов в области поступательного экономического роста и устойчивого развития наименее развитых стран, а также прочного и целена-правленного партнерства между этими странами и их партнерами по процессу развития; 8. особо отмечает, что для продолжения осуществления Программы действий наименее развитые страны и их партнеры по процессу развития должны руководствоваться комплексным подходом, принципами более широ-кого подлинного партнерства и национальной ответственности, рыночными соображениями и стремлением ориентировать свои действия на достижение конкретных результатов; 9. настоятельно призывает наименее развитые страны укрепить осу-ществление Программы действий на основе своих соответствующих рамочных программ национального развития, включая документы с изложением страте-гии сокращения масштабов нищеты и механизмы общего анализа по стране и Рамочной программы Организации Объединенных Наций по оказанию помощи в целях развития, где таковые существуют; 10. настоятельно призывает также партнеров по процессу развития к тому, чтобы каждый из них делал все возможное для дальнейшего увеличения объема оказываемой ими для осуществления Программы действий финансовой и технической помощи; 11. рекомендует системе координаторов-резидентов Организации Объе-диненных Наций помогать наименее развитым странам воплощать предусмот-ренные Программой действий цели и задачи в конкретные действия в свете их национальных приоритетов в области развития; 12. рекомендует также системе координаторов-резидентов и страно-вым группам, а также страновым представителям бреттон-вудских учрежде-ний, двусторонних и многосторонних доноров и других партнеров по процессу развития с учетом конкретных обстоятельств взаимодействовать с соответст-вующими форумами по вопросам развития и механизмами осуществления по-следующей деятельности и оказывать им поддержку; 13. предлагает организациям системы Организации Объединенных На-ций и другим многосторонним организациям, которые еще не сделали этого, обеспечить всесторонний учет необходимости осуществления Брюссельской декларации1 и Программы действий в своих программах работы, а также в своих межправительственных процессах и подготовить в рамках своих соот-ветствующих мандатов многолетние программы мероприятий в интересах наименее развитых стран; 14. подчеркивает, в контексте годовых глобальных обзоров, проведение которых предусмотрено в Программе действий, необходимость посектораль-ной оценки осуществления Программы действий и в этой связи предлагает системе Организации Объединенных Наций и всем соответствующим между-народным организациям, действуя в рамках своих соответствующих мандатов, докладывать о прогрессе, достигнутом в ее осуществлении, используя под-дающиеся количественной оценке критерии и показатели, которые должны со-поставляться с предусмотренными в Программе действий целями и задачами, и принимать всестороннее участие в обзорах осуществления Программы дейст-вий на национальном, субрегиональном, региональном и глобальном уровнях; 15. подчеркивает также решающее значение комплексного и скоорди-нированного осуществления последующей деятельности, контроля и подготов-ки отчетности для эффективного осуществления Программы действий на на-циональном, субрегиональном, региональном и глобальном уровнях; 16. просит Генерального секретаря обеспечить на уровне Секретариата полную мобилизацию и координацию действий всех подразделений системы Организации Объединенных Наций для облегчения скоординированного осу-ществления Программы действий, а также согласованного принятия после-дующих мер в связи с ней, контроля за ее осуществлением и обзора хода ее осуществления на национальном, субрегиональном, региональном и глобаль-ном уровнях, в том числе посредством задействования таких механизмов коор-динации, как Координационный совет руководителей системы Организации Объединенных Наций, Группа Организации Объединенных Наций по вопросам развития, Исполнительный комитет по экономическим и социальным вопросам и Межучрежденческая группа экспертов по показателям достижения целей в области развития, сформулированных в Декларации тысячелетия; 17. вновь предлагает органам, организациям и учреждениям системы Организации Объединенных Наций и другим соответствующим многосторон-ним организациям оказывать всестороннюю поддержку и содействие Канцеля-рии Высокого представителя по наименее развитым странам, развивающимся странам, не имеющим выхода к морю, и малым островным развивающимся го-сударствам; 18. просит Генерального секретаря разработать и представить Гене-ральной Ассамблее на ее шестьдесят второй сессии детальную и четко сфор-мулированную стратегию информационно-пропагандистской деятельности, направленной на повышение осведомленности о задачах, целях и обязательст-вах, предусмотренных в Программе действий, в поддержку ее эффективного и своевременного осуществления; 19. просит также Генерального секретаря представлять годовой анали-тический и ориентированный на достижение конкретных результатов доклад о прогрессе в дальнейшем осуществлении Программы действий и обеспечить, за счет имеющихся средств, наличие адекватных ресурсов, необходимых для под-готовки такого доклада.
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安全理事会 Distr.: General 4 October 2002 Chinese Original: English 03-20168 (C) 070103 070103 秘书长关于安全理事会处理中的事项及其审议达到的阶段的简要说明 增编 秘书长依照安全理事会暂行议事规则第 11 条,提出下列简要说明。 安全理事会处理中的项目清单载于 2002 年 3 月 15 日 S/2002/30 号、2002 年 3 月 22 日 S/2002/30/Add.1 号、2002 年 3 月 25 日 S/2002/30/Add.2 号、2002 年 3 月 26 日 S/2002/30/Add.3 号、2002 年 4 月1日 S/2002/30/Add.5 号、2000 年 4 月 9 日 S/2002/30/Add.13 号、2002 年 6 月 21 日 S/2002/30/Add.23 号、2003 年 7 月 19 日 S/2002/30/Add.27 号和 2002 年 9 月 20 日 S/2002/30/Add.36 号文 件。 在 2002 年 9 月 28 日终了的一周内,安全理事会在 2002 年 9 月 26 日举行的 第 4616 次会议上审议了它提交大会的报告草稿,报告所涉期间是 2001 年 6 月 16 日至 2002 年 7 月 31 日。 安全理事会未经表决通过了经更正的报告草稿,有关的决定见安理会主席的 说明(S/2002/1068)。 在 2002 年 9 月 28 日终了的一周内,安全理事会还对以下项目采取了行动: 中东局势,包括巴勒斯坦问题(见 S/2000/40/Add.39、44、46、47 和 50; S/2001/15/Add.11-13、34 和 50;S/2002/30/Add.7、8、10、12-15、17、23、 24、28、29 和 37;又见 S/7382、S/7441、S/7452、S/7564、S/7570、S/7596、 S/7600、S/7913、S/7923、S/7976、S/8000、S/8048、S/8066、S/8215、S/8242、 S/8252、S/8269、S/8502、S/8525、S/8534、S/8564、S/8575、S/8584、S/8595、 S/8747、S/8753、S/8807、S/8815、S/8828、S/8836、S/8885、S/8896、S/8960、 S/9123、S/9135、S/9319、S/9382、S/9395、S/9406、S/9427 和 Corr.1、S/9449、 S/9452、S/9805、S/9812、S/9930、S/10327、S/10341、S/10554、S/10557、S/10703、 S/10721、S/10729、S/10743、S/10770/Add.4、S/10855/Add.15、16、23、24、 29、30、33、41、43、44 和 50;S/11185/Add.14-16、21、42/Rev.1 和 47; S/11593/Add.15、21、29、42 和 49;S/11935/Add.2-4、12、18-21、23-26、42、 44、45 和 48;S/12269/Add.12、13、21、42、43 和 48;S/12520/Add.10、11、 17、21、37、39、42、47 和 48;S/13033/Add.2、9-11、16、19、21、23、25、 28、29、33、34、47 和 50;S/13737/Add.7、8、13-18、20-22、24-26、33、47 和 50;S/14326/Add.10、11、20、24、28、29、47 和 50;S/14840/Add.1-4、8、 12、13、15、16、21-25、27、30-33、37、42、45 和 48;S/15560/Add.3、6、7、 20、21、29-31、37、42、45、47 和 48;S/16270/Add.6-8、15、20、21、34、 35、40 和 47;S/16880/Add.8-10、15、20、21、36、40、41 和 46;S/17725/Add.2-4、 15、21、28、35、38、43 和 47-49;S/18570/Add.2、21、30、47 和 49-51; S/19420/Add.1-5、13、15、18、19、22 和 Corr.1、30、48 和 50;S/20370/Add.4-6、 12、16、21、22、26、30、32、34、37、44、46、47 和 51;S/21100/Add.4、10、 12、17、20、21、30、39、40、42、44、45、and 47-50;S/22110/Add.4、12、 20、21、30 和 47;S/23370/Add.1、4、7、13、21、30、47 和 50;S/25070/Add.4、 21、30 和 48;S/1994/20/Add.3、8、10、20、29 和 47;S/1995/40/Add.4、8、 18、19、21、29 和 47;S/1996/15/Add.4、15、21、30、38 和 47;S/1997/40/Add.4、 9、11、21、30 和 46;S/1998/44/Add.4、21、26、28、30 和 47;S/1999/25/Add.3、 20、29 和 46;S/2000/40/Add.4、15、20、21、24、29 和 47;S/2001/15/Add.5、 22、31 和 48 以及 S/2002/30/Add.4、21 和 30) 2002 年 9 月 20 日巴勒斯坦常驻联合国观察员以及阿拉伯集团 2002 年 9 月当 值主席的身份并代表阿拉伯国家联盟成员致函安全理事会主席(S/2002/1055), 要求安全理事会立即举行会议,“审议以色列完全无视安全理事会决议——特别 是第 1402(2002)号和第 1403(2002)号决议、继续加紧对巴勒斯坦人民和巴 勒斯坦权力机构的军事侵略这一局势”。阿拉伯集团请安全理事会考虑“立即采 取必要措施,确保结束当前的悲惨局势,执行上述安全理事会决议。” 2002 年 9 月 20 日阿拉伯叙利亚共和国常驻联合国代表向安全理事会主席发 出普通照会(S/2002/1056),表示支持阿拉伯集团 2002 年 9 月当值主席的要求, 即立即召开安全理事会会议,以审议被占领巴勒斯坦领土上的最近事态发展。 安全理事会根据上述要求,于 2002 年 9 月 23 日和 24 日举行第 4614 次会议, 继续审议该项目。会议曾暂停两次,又两次复会。 主席经安理会同意,并应下述国家代表的要求,邀请他们参加讨论,但无表 决权:阿尔及利亚、巴林、孟加拉国、古巴、丹麦、埃及、印度、伊朗伊斯兰共 和国、以色列、约旦、阿拉伯利比亚民众国、马来西亚、巴基斯坦、卡塔尔、沙 特阿拉伯、南非、苏丹、突尼斯 和土耳其。 2002 年 9 月 23 日巴勒斯坦常驻联合国观察员致函安全理事会主席 (S/2002/1058),安理会主席应上述信函中提出的要求,并按照暂行议事规则和 以前相关的惯例,邀请巴勒斯坦常驻观察员参加讨论。 会议中途暂停。 复会后,主席经安理会同意,并应塞浦路斯、印度尼西亚、伊拉克、毛里塔 尼亚、摩洛哥和尼泊尔等国代表的要求,邀请他们参加讨论,但无表决权。 2002 年 9 月 23 日阿拉伯叙利亚共和国常驻联合国代表致函安全理事会主席 (S/2002/1060),安理会主席应信中提出的要求,并根据安全理事会暂行议事规 则第 39 条,向阿拉伯联盟常驻联合国观察员叶海亚·马赫马萨尼发出邀请。 2002 年 9 月 23 日巴勒斯坦人民行使不可剥夺权利委员会主席致函安全理事 会主席,安理会主席应信中提出的要求,并根据安全理事会暂行议事规则第 39 条,向巴勒斯坦人民行使不可剥夺权利委员会主席帕帕·路易斯·法尔发出邀请。 2002 年 9 月 23 日科特迪瓦常驻联合国代表致函安全理事会主席 (S/2002/1059),安理会主席应信中提出的要求,并根据安全理事会暂行议事规 则第 39 条,向非洲联盟常驻联合国观察员阿马杜·凯贝发出邀请。 会议中途暂停。 2002 年 9 月 24 日复会,主席在会上提请注意保加利亚、法国、爱尔兰、挪 威和大不列颠及北爱尔兰联合王国提出的决议草案(S/2002/1063)。 安全理事会对 S/2002/1063 号决议草案进行了表决,该决议草案以 14 票对 0 票、1 票弃权(美利坚合众国)获得通过,成为第 1435(2002)号决议(文号 S/RES/1435(2002));该决议将被编入《安全理事会正式记录,第五十七年,安 全理事会决议和决定,2002 年》发行。 塞拉利昂局势 ( 见 S/1995/40/Add.47 ; S/1996/15/Add.6 、 11 和 48 ; S/1997/40/Add.21、27、31、40 和 45;S/1998/44/Add.8、11、15、20、22、28 和 50;S/1999/25 和 Add.1、9、18、22、32、41 和 48;S/2000/40/Add.5、10、 17-19、24、26、28、30、32、35、37、43 和 50;S/2001/15/Add.4、13、26、 38 和 51;S/2002/30/Add.2、12、20 和 27;又见 S/2001/15/Add.7、10、20 和 37;和 S/2002/30/Add.11 和 37)。 2002 年 9 月 24 日,安全理事会根据先前协商达成的谅解,召开第 4615 次会 议,继续审议上述项目。安理会面前有秘书长关于联合国塞拉利昂特派团的第十 五次报告(S/2002/987)。 主席经安理会同意,并应塞拉利昂代表的要求,邀请他参加讨论,但无表决 权。 主席提请注意安理会在先前的协商中草拟的决议草案(S/2002/1062)。 安全理事会对 S/2002/1062 号决议草案进行了表决,该决议草案获得一致通 过,成为第 1436(2002)号决议(文号 S/RES/1436(2002));该决议将被编入 《安全理事会正式记录,第五十七年,安全理事会决议和决定,2002 年》发行。
United Nations S/2002/30/Add.38 Security Council Distr.: General 4 October 2002 Original: English 03-20169 (E) 070103 *0320169* Summary statement by the Secretary-General on matters of which the Security Council is seized and on the stage reached in their consideration Addendum Pursuant to rule 11 of the provisional rules of procedure of the Security Council, the Secretary-General is submitting the following summary statement. The list of items of which the Security Council is seized is contained in documents S/2002/30 of 15 March 2002, S/2002/30/Add.1 of 22 March 2002, S/2002/30/Add.2 of 25 March 2002, S/2002/30/Add.3 of 26 March 2002, S/2002/30/Add.5 of 1 April 2002, S/2002/30/Add.13 of 9 April 2002, S/2002/30/Add.23 of 21 June 2002, S/2002/30/Add.27 of 19 July 2002 and S/2002/30/Add.36 of 20 September 2002. During the week ending 28 September 2002, the Security Council, at its 4616th meeting, held on 26 September 2002, considered its draft report to the General Assembly covering the period from 16 June 2001 to 31 July 2002. The Security Council adopted the draft report, as corrected, without a vote, and the decision was reflected in a note by the President of the Council (S/2002/1068). Also during the week ending 28 September 2002, the Security Council took action on the following items: The situation in the Middle East, including the Palestinian question (see S/2000/40/Add.39, 44, 46, 47 and 50; S/2001/15/Add.11-13, 34 and 50; and S/2002/30/Add.7, 8, 10, 12-15, 17, 23, 24, 28, 29 and 37; see also S/7382, S/7441, S/7452, S/7564, S/7570, S/7596, S/7600, S/7913, S/7923, S/7976, S/8000, S/8048, S/8066, S/8215, S/8242, S/8252, S/8269, S/8502, S/8525, S/8534, S/8564, S/8575, S/8584, S/8595, S/8747, S/8753, S/8807, S/8815, S/8828, S/8836, S/8885, S/8896, S/8960, S/9123, S/9135, S/9319, S/9382, S/9395, S/9406, S/9427 and Corr.1, S/9449, S/9452, S/9805, S/9812, S/9930, S/10327, S/10341, S/10554, S/10557, S/10703, S/10721, S/10729, S/10743, S/10770/Add.4, S/10855/Add.15, 16, 23, 24, 29, 30, 33, 41, 43, 44 and 50; S/11185/Add.14-16, 21, 42/Rev.1 and 47; S/11593/Add.15, 21, 29, 42 and 49; S/11935/Add.2-4, 12, 18-21, 23-26, 42, 44, 45 and 48; S/12269/Add.12, 13, 21, 42, 43 and 48; S/12520/Add.10, 11, 17, 21, 37, 39, 42, 47 and 48; S/13033/Add.2, 9-11, 16, 19, 21, 23, 25, 28, 29, 33, 34, 47 and 50; S/13737/Add.7, 8, 13-18, 20-22, 24-26, 33, 47 and 50; S/14326/Add.10, 11, 20, 24, 28, 29, 47 and 50; S/14840/Add.1-4, 8, 12, 13, 15, 16, 21-25, 27, 30-33, 37, 42, 45 and 48; S/15560/Add.3, 6, 7, 20, 21, 29-31, 37, 42, 45, 47 and 48; S/16270/Add.6-8, 15, 20, 21, 34, 35, 40 and 47; S/16880/Add.8-10, 15, 20, 21, 36, 40, 41 and 46; S/17725/Add.2-4, 15, 21, 28, 35, 38, 43 and 47-49; S/18570/Add.2, 21, 30, 47 and 49- 51; S/19420/Add.1-5, 13, 15, 18, 19, 22 and Corr.1, 30, 48 and 50; S/20370/Add.4-6, 12, 16, 21, 22, 26, 30, 32, 34, 37, 44, 46, 47 and 51; S/21100/Add.4, 10, 12, 17, 20, 21, 30, 39, 40, 42, 44, 45 and 47-50; S/22110/Add.4, 12, 20, 21, 30 and 47; S/23370/Add.1, 4, 7, 13, 21, 30, 47 and 50; S/25070/Add.4, 21, 30 and 48; S/1994/20/Add.3, 8, 10, 20, 29 and 47; S/1995/40/Add.4, 8, 18, 19, 21, 29 and 47; S/1996/15/Add.4, 15, 21, 30, 38 and 47; S/1997/40/Add.4, 9, 11, 21, 30 and 46; S/1998/44/Add.4, 21, 26, 28, 30 and 47; S/1999/25/Add.3, 20, 29 and 46; S/2000/40/Add.4, 15, 20, 21, 24, 29 and 47; S/2001/15/Add.5, 22, 31 and 48; and S/2002/30/Add.4, 21 and 30) By a letter dated 20 September 2002 addressed to the President of the Security Council (S/2002/1055), the Permanent Observer of Palestine to the United Nations, acting in his capacity as Chairman of the Group of Arab States for the month of September 2002, and on behalf of the States members of the League of Arab States, requested the convening of an immediate meeting of the Security Council to consider “the continued escalation of the Israeli military aggression against the Palestinian people and the Palestinian Authority in total disregard of the resolutions of the Security Council, in particular resolutions 1402 (2002) and 1403 (2002)”. The Arab Group requested the Council to consider “the adoption of the necessary immediate measures to ensure an end to the current tragic situation and the implementation of the Security Council resolutions referred to above”. By a note verbale dated 20 September 2002 addressed to the President of the Security Council (S/2002/1056), the Permanent Representative of the Syrian Arab Republic supported the convening of an immediate meeting of the Security Council as requested by the Chairman of the Group of Arab States for the month of September 2002, to consider the latest developments in the occupied Palestinian territories. The Security Council resumed its consideration of the item at its 4614th meeting, held on 23 and 24 September 2002, in accordance with the aforementioned request. There were two suspensions and two resumptions of the meeting. The President, with the consent of the Council, invited the representatives of Algeria, Bahrain, Bangladesh, Cuba, Denmark, Egypt, India, the Islamic Republic of Iran, Israel, Jordan, the Libyan Arab Jamahiriya, Malaysia, Pakistan, Qatar, Saudi Arabia, South Africa, Sudan, Tunisia and Turkey, at their request, to participate in the discussion without the right to vote. In response to the request contained in a letter dated 23 September 2002 from the Permanent Observer of Palestine to the United Nations addressed to the President of the Security Council (S/2002/1058), the President, in accordance with the provisional rules of procedure and the previous practice in that regard, invited the Permanent Observer of Palestine to participate in the discussion. The meeting was suspended. Upon resumption of the meeting, the President, with the consent of the Council, invited the representatives of Cyprus, Indonesia, Iraq, Mauritania, Morocco and Nepal, at their request, to participate in the discussion without the right to vote. In response to the request contained in a letter dated 23 September 2002 fromthe Permanent Representative of the Syrian Arab Republic to the United Nations (S/2002/1060), the President extended an invitation under rule 39 of the Council’s provisional rules of procedure to Yahya Mahmassani, Permanent Observer of the League of Arab States to the United Nations. In response to the request contained in a letter dated 23 September 2002 from the Chairman of the Committee on the Exercise of the Inalienable Rights of the Palestinian People, the President extended an invitation under rule 39 of the Council’s provisional rules of procedure to the Chairman of the Committee on the Exercise of the Inalienable Rights of the Palestinian People, Papa Louis Fall. In response to the request contained in a letter dated 23 September 2002 from the Permanent Representative of Côte d’Ivoire to the United Nations (S/2002/1059), the President extended an invitation under rule 39 of the Council’s provisional rules of procedure to Amadou Kébé, Permanent Observer of the African Union to the United Nations. The meeting was suspended. Upon resumption of the meeting, on 24 September 2002, the President drew attention to a draft resolution (S/2002/1063) that had been submitted by Bulgaria, France, Ireland, Norway and the United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland. The Security Council proceeded to vote on draft resolution S/2002/1063, which was adopted as resolution 1435 (2002) by 14 votes in favour to none against, with one abstention (United States of America) (for the text, see S/RES/1435 (2002); to be issued in Official Records of the Security Council, Fifty-seventh Year, Resolutions and Decisions of the Security Council, 2002). The situation in Sierra Leone (see S/1995/40/Add.47; S/1996/15/Add.6, 11 and 48; S/1997/40/Add.21, 27, 31, 40 and 45; S/1998/44/Add.8, 11, 15, 20, 22, 28 and 50; S/1999/25 and Add.1, 9, 18, 22, 32, 41 and 48; S/2000/40/Add.5, 10, 17-19, 24, 26, 28, 30, 32, 35, 37, 43 and 50; S/2001/15/Add.4, 13, 26, 38 and 51; and S/2002/30/Add.2, 12, 20 and 27; see also S/2001/15/Add.7, 10, 20 and 37; and S/2002/30/Add.11 and 37) The Security Council resumed its consideration of the item at its 4615th meeting, held on 24 September 2002 in accordance with the understanding reached in its prior consultations, having before it the fifteenth report of the Secretary-General on the United Nations Mission in Sierra Leone (S/2002/987). The President, with the consent of the Council, invited the representative of Sierra Leone, at his request, to participate in the discussion without the right to vote. The President drew attention to a draft resolution (S/2002/1062) that had been prepared in the course of the Council’s prior consultations. The Security Council proceeded to vote on draft resolution S/2002/1062, and adopted it unanimously as resolution 1436 (2002) (for the text, see S/RES/1436 (2002); to be issued in Official Records of the Security Council, Fifty-seventh Year, Resolutions and Decisions of the Security Council, 2002).
Conseil de sécurité Distr. générale 4 octobre 2002 Français Original: anglais 03-20170 (F) 070103 070103 *0320170* Exposé succinct du Secrétaire général sur les questions dont le Conseil de sécurité est saisi et sur l’état d’avancement de leur examen Additif Conformément à l’article 11 du Règlement intérieur provisoire du Conseil de sécurité, le Secrétaire général présente l’exposé succinct ci-après. La liste des questions dont le Conseil est saisi figure dans les documents S/2002/30 du 15 mars 2002, S/2002/30/Add.1 du 22 mars 2002, S/2002/30/Add.2 du 25 mars 2002, S/2002/30/Add.3 du 26 mars 2002, S/2002/30/Add.5 du 1er avril 2002, S/2002/30/Add.13 du 9 avril 2002, S/2002/30/Add.23 du 21 juin 2002, S/2002/30/Add.27 du 19 juillet 2002 et S/2002/30/Add.36 du 20 septembre 2002. Au cours de la semaine qui s’est achevée le 28 septembre 2002, le Conseil de sécurité, à sa 4616e séance, tenue le 26 septembre 2002, a examiné son projet de rapport à l’Assemblée générale couvrant la période du 16 juin 2001 au 31 juillet 2002. Le Conseil de sécurité a adopté le projet de rapport, tel qu’il a été modifié, sans le mettre aux voix, et la décision a été indiquée dans une note du Président du Conseil (S/2002/1068). Également au cours de la semaine qui s’est achevée le 28 septembre 2002, le Conseil de sécurité s’est prononcé sur les questions suivantes : La situation au Moyen-Orient, y compris la question de Palestine (voir S/2000/40/Add.39, 44, 46, 47 et 50; S/2001/15/Add.11 à 13, 34 et 50; et S/2002/30/Add.7, 8, 10, 12 à 15, 17, 23, 24, 28, 29 et 37; voir également S/7382, S/7441, S/7452, S/7564, S/7570, S/7596, S/7600, S/7913, S/7923, S/7976, S/8000, S/8048, S/8066, S/8215, S/8242, S/8252, S/8269, S/8502, S/8525, S/8534, S/8564, S/8575, S/8584, S/8595, S/8747, S/8753, S/8807, S/8815, S/8828, S/8836, S/8885, S/8896, S/8960, S/9123, S/9135, S/9319, S/9382, S/9395, S/9406, S/9427 et Corr.1, S/9449, S/9452, S/9805, S/9812, S/9930, S/10327, S/10341, S/10554, S/10557, S/10703, S/10721, S/10729, S/10743, S/10770/Add.4, S/10855/Add.15, 16, 23, 24, 29, 30, 33, 41, 43, 44 et 50; S/11185/Add.14 à 16, 21, 42/Rev.1 et 47, S/11593/Add.15, 21, 29, 42 et 49; S/11935/Add.2 à 4, 12, 18 à 21, 23 à 26, 42, 44, 45 et 48; S/12269/Add.12, 13, 21, 42, 43 et 48; S/12520/Add.10, 11, 17, 21, 37, 39, 42, 47 et 48; S/13033/Add.2, 9 à 11, 16, 19, 21, 23, 25, 28, 29, 33, 34, 47 et 50; S/13737/Add.7, 8, 13 à 18, 20 à 22, 24 à 26, 33, 47 et 50; S/14326/Add.10, 11, 20, 24, 28, 29, 47 et 50; S/14840/Add.1 à 4, 8, 12, 13, 15, 16, 21 à 25, 27, 30 à 33, 37, 42, 45 et 48; S/15560/Add.3, 6, 7, 20, 21, 29 à 31, 37, 42, 45, 47 et 48; S/16270/Add. 6 à 8, 15, 20, 21, 34, 35, 40 et 47; S/16880/Add.8 à 10, 15, 20, 21, 36, 40, 41 et 46; S/17725/Add.2 à 4, 15, 21, 28, 35, 38, 43 et 47 à 49; S/18570/Add.2, 21, 30, 47 et 49 à 51; S/19420/Add.1 à 5, 13, 15, 18, 19, 22 et Corr.1, 30, 48 et 50; S/20370/Add. 4 à 6, 12, 16, 21, 22, 26, 30, 32, 34, 37, 44, 46, 47 et 51; S/21100/Add.4, 10, 12, 17, 20, 21, 30, 39, 40, 42, 44, 45, et 47 à 50; S/22110/Add.4, 12, 20, 21, 30 et 47; S/23370/Add.1, 4, 7, 13, 21, 30, 47 et 50; S/25070/Add.4, 21, 30 et 48; S/1994/20/Add.3, 8, 10, 20, 29 et 47; S/1995/40/Add.4, 8, 18, 19, 21, 29 et 47; S/1996/15/Add.4, 15, 21, 30, 38 et 47; S/1997/40/Add.4, 9, 11, 21, 30 et 46; S/1998/44/Add.4, 21, 26, 28, 30 et 47; S/1999/25/Add.3, 20, 29 et 46; S/2000/40/Add.4, 15, 20, 21, 24, 29 et 47; S/2001/15/Add.5, 22, 31 et 48; et S/2002/30/Add.4, 21 et 30) Dans une lettre datée du 20 septembre 2002, adressée au Président du Conseil de sécurité (S/2002/1055), l’Observateur permanent de la Palestine auprès de l’Organisation des Nations Unies, agissant en sa qualité de Président du Groupe des États arabes pour le mois de septembre 2002 et au nom des États membres de la Ligue des États arabes, a demandé la convocation immédiate d’une réunion du Conseil de sécurité pour examiner « l’intensification constante de l’agression militaire israélienne contre le peuple palestinien et l’Autorité palestinienne, au mépris total des résolutions du Conseil de sécurité, en particulier de ses résolutions 1402 (2002) et 1403 (2002) ». Le Groupe des États arabes a demandé au Conseil d’examiner « la possibilité d’adopter les mesures immédiates qui s’imposent pour mettre fin à la situation tragique qui sévit actuellement et pour assurer la mise en application de ses résolutions susmentionnées ». Dans une note verbale datée du 20 septembre 2002, adressée au Président du Conseil de sécurité (S/2002/1056), le Représentant permanent de la République arabe syrienne a appuyé la convocation immédiate d’une réunion du Conseil de sécurité demandée par le Président du Groupe des États arabes pour le mois de septembre 2002, pour examiner les faits nouveaux intervenus dans les territoires palestiniens occupés. Le Conseil de sécurité a repris l’examen de la question à sa 4614e séance, les 23 et 24 septembre 2002, conformément à la demande susmentionnée. Il y a eu deux suspensions et deux reprises de la séance. Le Président, avec l’approbation du Conseil, a invité les représentants de l’Afrique du Sud, de l’Algérie, de l’Arabie saoudite, du Bahreïn, du Bangladesh, de Cuba, du Danemark, de l’Égypte, de l’Inde, d’Israël, de la Jamahiriya arabe libyenne, de la Jordanie, de la Malaisie, du Pakistan, du Qatar, de la République islamique d’Iran, du Soudan, de la Tunisie et de la Turquie, à leur demande, à participer au débat sans droit de vote. En réponse à la demande contenue dans une lettre datée du 23 septembre 2002, adressée au Président du Conseil de sécurité par l’Observateur permanent de la Palestine auprès de l’Organisation des Nations Unies (S/2002/1058), le Président, conformément au Règlement intérieur provisoire et à la pratique antérieure à cet égard, a invité l’Observateur permanent de la Palestine à participer au débat. La séance a été suspendue. À la reprise de la séance, le Président, avec l’assentiment du Conseil, a invité les représentants de Chypre, de l’Indonésie, de l’Iraq, du Maroc, de la Mauritanie et du Népal, à leur demande, à participer au débat sans droit de vote. En réponse à la demande contenue dans une lettre datée du 23 septembre 2002 du Représentant permanent de la République arabe syrienne auprès de l’Organisation des Nations Unies (S/2002/1060), le Président a adressé une invitation, conformément à l’article 39 du Règlement intérieur provisoire du Conseil, à Yahya Mahmassani, Observateur permanent de la Ligue des États arabes auprès de l’Organisation des Nations Unies. En réponse à la demande contenue dans une lettre datée du 23 septembre 2002 du Président du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, le Président a adressé une invitation, conformément à l’article 39 du Règlement intérieur provisoire du Conseil, au Président du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, Papa Louis Fall. En réponse à la demande contenue dans une lettre datée du 23 septembre 2002 du Représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès de l’Organisation des Nations Unies (S/2002/1059), le Président a adressé une invitation, conformément à l’article 39 du Règlement intérieur provisoire du Conseil, à Amadou Kébé, Observateur permanent de l’Union africaine auprès de l’Organisation des Nations Unies. La séance a été suspendue. À la reprise de la séance, le 24 septembre 2002, le Président a attiré l’attention sur un projet de résolution (S/2002/1063) qui avait été soumis par la Bulgarie, la France, l’Irlande, la Norvège et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord. Le Conseil de sécurité a procédé à un vote sur le projet de résolution S/2002/1063, qui a été adopté en tant que résolution 1435 (2002) par 14 voix contre zéro, avec une abstention (États-Unis d’Amérique) (pour le texte, voir S/RES/1435 (2002); à paraître dans Documents officiels du Conseil de sécurité, cinquante-septième année, Résolutions et décisions du Conseil de sécurité, 2002). La situation en Sierra Leone (voir S/1995/40/Add.47; S/1996/15/Add.6, 11 et 48; S/1997/40/Add.21, 27, 31, 40 et 45; S/1998/44/Add.8, 11, 15, 20, 22, 28 et 50; S/1999/25 et Add.1, 9, 18, 22, 32, 41 et 48; S/2000/40/Add.5, 10, 17 à 19, 24, 26, 28, 30, 32, 35, 37, 43 et 50; S/2001/15/Add.4, 13, 26, 38 et 51; et S/2002/30/Add.2, 12, 20 et 27; voir également S/2001/15/Add.7, 10, 20 et 37; et S/2002/30/Add.11 et 37) Le Conseil de sécurité a repris l’examen de la question à sa 4615e séance, le 24 septembre 2002, comme convenu lors de ses consultations préalables, et il était saisi du quinzième rapport du Secrétaire général sur la Mission des Nations Unies en Sierra Leone (S/2002/987). Le Président, avec l’assentiment du Conseil, a invité le représentant de la Sierra Leone, à sa demande, à participer au débat sans droit de vote. Le Président a attiré l’attention sur un projet de résolution (S/2002/1062) qui avait été élaboré au cours des consultations préalables du Conseil. Le Conseil de sécurité a procédé à un vote sur le projet de résolution S/2002/1062, et l’a adopté à l’unanimité en tant que résolution 1436 (2002) (pour le texte, voir S/RES/1436 (2002); à paraître dans Documents officiels du Conseil de sécurité, cinquante-septième année, Résolutions et décisions du Conseil de sécurité, 2002).
Naciones Unidas S/2002/30/Add.38 Consejo de Seguridad Distr. general 4 de octubre de 2002 Español Original: inglés 03-20172 (S) 070103 070103 *0320172* Relación sumaria comunicada por el Secretario General en la que se indican los asuntos que se hallan sometidos al Consejo de Seguridad y la etapa alcanzada en su estudio Adición De conformidad con el artículo 11 del reglamento provisional del Consejo de Seguridad, el Secretario General presenta a continuación la siguiente relación sumaria. La lista de los temas que tiene ante sí el Consejo de Seguridad figura en los documentos S/2002/30 de 15 de marzo de 2002, S/2002/30/Add.1 de 22 de marzo de 2002, S/2002/30/Add.2 de 25 de marzo de 2002, S/2002/30/Add.3 de 26 de marzo de 2002, S/2002/30/Add.5 de 1º de abril de 2002, S/2002/30/Add.13 de 9 de abril de 2002, S/2002/30/Add.23 de 21 de junio de 2002, S/2002/30/Add.27 de 19 de julio de 2002 y S/2002/30/Add.36 de 20 de septiembre de 2002. Durante la semana que finalizó el 28 de septiembre de 2002, el Consejo de Se-guridad, en su 4616ª sesión, celebrada el 26 de septiembre de 2002, examinó su pro-yecto de informe a la Asamblea General correspondiente al período comprendido entre el 16 de junio de 2001 y el 31 de julio de 2002. El Consejo de Seguridad aprobó el proyecto de informe, en su versión corregi-da, sin someterlo a votación y la decisión quedó consignada en una nota del Presi-dente del Consejo de Seguridad (S/2002/1068). También durante la semana que finalizó el 28 de septiembre de 2002, el Con-sejo de Seguridad tomó medidas sobre los temas siguientes: La situación en el Oriente Medio, incluida la cuestión de Palestina (véanse S/2000/40/Add.39, 44, 46, 47 y 50; S/2001/15/Add.11 a 13, 34 y 50; y S/2002/30/Add.7, 8, 10, 12 a 15, 17, 23, 24, 28, 29 y 37; véanse también S/7382, S/7441, S/7452, S/7564, S/7570, S/7596, S/7600, S/7913, S/7923, S/7976, S/8000, S/8048, S/8066, S/8215, S/8242, S/8252, S/8269, S/8502, S/8525, S/8534, S/8564, S/8575, S/8584, S/8595, S/8747, S/8753, S/8807, S/8815, S/8828, S/8836, S/8885, S/8896, S/8960, S/9123, S/9135, S/9319, S/9382, S/9395, S/9406, S/9427 y Corr.1, S/9449, S/9452, S/9805, S/9812, S/9930, S/10327, S/10341, S/10554, S/10557, S/10703, S/10721, S/10729, S/10743, S/10770/Add.4, S/10855/Add.15, 16, 23, 24, 29, 30, 33, 41, 43, 44 y 50; S/11185/Add.14 a 16, 21, 42/Rev.1 y 47; S/11593/Add.15, 21, 29, 42 y 49; S/11935/Add.2 a 4, 12, 18 a 21, 23 a 26, 42, 44, 45 y 48; S/12269/Add.12, 13, 21, 42, 43 y 48; S/12520/Add.10, 11, 17, 21, 37, 39, 42, 47 y 48; S/13033/Add.2, 9 a 11, 16, 19, 21, 23, 25, 28, 29, 33, 34, 47 y 50; S/13737/Add.7, 8, 13 a 18, 20 a 22, 24 a 26, 33, 47 y 50; S/14326/Add.10, 11, 20, 24, 28, 29, 47 y 50; S/14840/Add.1 a 4, 8, 12, 13, 15, 16, 21 a 25, 27, 30 a 33, 37, 42, 45 y 48; S/15560/Add.3, 6, 7, 20, 21, 29 a 31, 37, 42, 45, 47 y 48; S/16270/Add.6 a 8, 15, 20, 21, 34, 35, 40 y 47; S/16880/Add.8 a 10, 15, 20, 21, 36, 40, 41 y 46; S/17725/Add.2 a 4, 15, 21, 28, 35, 38, 43 y 47 a 49; S/18570/Add.2, 21, 30, 47 y 49 a 51; S/19420/Add.1 a 5, 13, 15, 18, 19, 22 y Corr.1, 30, 48 y 50; S/20370/Add.4 a 6, 12, 16, 21, 22, 26, 30, 32, 34, 37, 44, 46, 47 y 51; S/21100/Add.4, 10, 12, 17, 20, 21, 30, 39, 40, 42, 44, 45, y 47 a 50; S/22110/Add.4, 12, 20, 21, 30 y 47; S/23370/Add.1, 4, 7, 13, 21, 30, 47 y 50; S/25070/Add.4, 21, 30 y 48; S/1994/20/Add.3, 8, 10, 20, 29 y 47; S/1995/40/Add.4, 8, 18, 19, 21, 29 y 47; S/1996/15/Add.4, 15, 21, 30, 38 y 47; S/1997/40/Add.4, 9, 11, 21, 30 y 46; S/1998/44/Add.4, 21, 26, 28, 30 y 47; S/1999/25/Add.3, 20, 29 y 46; S/2000/40/Add.4, 15, 20, 21, 24, 29 y 47; S/2001/15/Add.5, 22, 31 y 48; y S/2002/30/Add.4, 21 y 30) En una carta de fecha 20 de septiembre de 2002 dirigida al Presidente del Con-sejo de Seguridad (S/2002/1055), el Observador Permanente de Palestina ante las Naciones Unidas, en su calidad de Presidente del Grupo Árabe durante el mes de septiembre de 2002 y en nombre de los Estados miembros de la Liga de los Estados Árabes, solicitó “la convocatoria de una reunión inmediata del Consejo de Seguri-dad para examinar la continua escalada de la agresión militar de Israel contra el pueblo palestino y la Autoridad Palestina, con un desprecio absoluto de las resolu-ciones del Consejo de Seguridad, en particular de las resoluciones 1402 (2002) y 1403 (2002)”. El Grupo Árabe pidió al Consejo que estudiara “la adopción de las medidas inmediatas necesarias para velar por que se ponga fin a la trágica situación actual y se apliquen las resoluciones del Consejo de Seguridad mencionadas”. En una nota verbal de fecha 20 de septiembre de 2002 dirigida al Presidente del Consejo de Seguridad (S/2002/1056), el Representante Permanente de la Repú-blica Árabe Siria apoyó la convocatoria de la reunión inmediata del Consejo de Se-guridad solicitada por el Presidente del Grupo Árabe durante el mes de septiembre de 2002 con el fin de estudiar los últimos acontecimientos en los territorios palesti-nos ocupados. En respuesta a esa solicitud, el Consejo de Seguridad reanudó el examen del tema en su 4614ª sesión, celebrada los días 23 y 24 de septiembre de 2002. La se-sión se suspendió y se reanudó dos veces. El Presidente, con el consentimiento del Consejo, invitó a los representantes de la Arabia Saudita, Argelia, Bahrein, Bangladesh, Cuba, Dinamarca, Egipto, la India, Israel, la Jamahiriya Árabe Libia, Jordania, Malasia, el Pakistán, Qatar, la República Islámica del Irán, Sudáfrica, el Sudán, Túnez y Turquía, a petición de éstos, a que participaran en el debate sin derecho de voto. En respuesta a la solicitud que figura en la carta de fecha 23 de septiembre de 2002 dirigida al Presidente del Consejo de Seguridad por el Observador Perma-nente de Palestina ante las Naciones Unidas (S/2002/1058), el Presidente, de con-formidad con el reglamento y la práctica habitual a este respecto, invitó al Observa-dor Permanente de Palestina a participar en el debate. La sesión se suspendió. Al reanudarse la sesión, el Presidente, con el consentimiento del Consejo, in-vitó a los representantes de Chipre, Indonesia, el Iraq, Mauritania, Marruecos y Ne-pal, a petición de éstos, a que participaran en el debate sin derecho de voto. En respuesta a la solicitud que figura en la carta de fecha 23 deseptiembre de 2002 del Representante Permanente de la República Árabe Siria ante las Nacio-nes Unidas (S/2002/1060), el Presidente, con arreglo al artículo 39 del reglamento provisional del Consejo, cursó una invitación al Sr. Yahya Mahmassani, Observador Permanente de la Liga de los Estados Árabes ante las Naciones Unidas. En respuesta a la solicitud que figura en la carta de fecha 23 de septiembre de 2002 del Presidente del Comité para el ejercicio de los derechos inalienables del pueblo palestino, el Presidente, con arreglo al artículo 39 del reglamento provisional del Consejo, cursó una invitación al Sr. Papa Louis Fall, Presidente del Comité para el ejercicio de los derechos inalienables del pueblo palestino. En respuesta a la solicitud que figura en la carta de fecha 23 de septiembre de 2002 del Representante Permanente de Côte d'Ivoire ante las Naciones Unidas (S/2002/1059), el Presidente, con arreglo al artículo 39 del reglamento provisional del Consejo, cursó una invitación al Sr. Amadou Kébé, Observador Permanente de la Organización de la Unidad Africana ante las Naciones Unidas. La sesión se suspendió. Al reanudarse la sesión, el 24 de septiembre de 2002, el Presidente señaló a la atención un proyecto de resolución (S/2002/1063) presentado por Bulgaria, Francia, Irlanda, Noruega y el Reino Unido de Gran Bretaña e Irlanda del Norte. El Consejo sometió a votación el proyecto de resolución S/2002/1063, y lo aprobó como resolución 1435 (2002) con 14 votos a favor, ninguno en contra y una abstención (Estados Unidos de América) (el texto de la resolución figura en el do-cumento S/RES/1435 (2002); se publicará en Documentos Oficiales del Consejo de Seguridad, quincuagésimo séptimo año, Resoluciones y Decisiones del Consejo de Seguridad, 2002). La situación en Sierra Leona (véanse S/1995/40/Add.47; S/1996/15/Add.6, 11 y 48; S/1997/40/Add.21, 27, 31, 40 y 45; S/1998/44/Add.8, 11, 15, 20, 22, 28 y 50; S/1999/25 y Add.1, 9, 18, 22, 32, 41 y 48; S/2000/40/Add.5, 10, 17 a 19, 24, 26, 28, 30, 32, 35, 37, 43 y 50; S/2001/15/Add.4, 13, 26, 38 y 51; y S/2002/30/Add.2, 12, 20 y 27; véanse también S/2001/15/Add.7, 10, 20 y 37; y S/2002/30/Add.11 y 37) El Consejo de Seguridad reanudó el examen del tema en su 4615ª sesión, cele-brada el 24 de septiembre de 2002, de conformidad con el entendimiento a que había llegado en sus consultas, y tuvo a la vista el decimoquinto informe del Secretario General sobre la Misión de las Naciones Unidas en Sierra Leona (S/2002/987). El Presidente, con el consentimiento del Consejo, invitó al representante de Sierra Leona, a petición de éste, a que participara en el debate sin derecho de voto. El Presidente señaló a la atención de los miembros del Consejo un proyecto de resolución (S/2002/1062), preparado en el curso de las consultas que había celebrado. El Consejo de Seguridad sometió a votación el proyecto de resolución S/2002/1062 y lo aprobó por unanimidad como resolución 1436 (2002) (el texto de la resolución figura en el documento S/RES/1436 (2002); se publicará en Docu-mentos Oficiales del Consejo de Seguridad, quincuagésimo séptimo año, Resolucio-nes y Decisiones del Consejo de Seguridad, 2002).
Организация Объединенных Наций S/2002/30/Add.38 Совет Безопасности Distr.: General 4 October 2002 Russian Original: English 03-20171 (R) 070103 070103 *0320171* Краткое сообщение Генерального секретаря о вопросах, которые находятся на рассмотрении Совета Безопасности, и о стадии, достигнутой в рассмотрении этих вопросов Добавление В соответствии с правилом 11 временных правил процедуры Совета Безо-пасности Генеральный секретарь представляет следующее краткое сообщение. Перечень пунктов, находящихся в настоящее время на рассмотрении Со-вета Безопасности, содержится в документах S/2002/30 от 15 марта 2002 года, S/2002/30/Add.1 от 22 марта 2002 года, S/2002/30/Add.2 от 25 марта 2002 года, S/2002/30/Add.3 от 26 марта 2002 года, S/2002/30/Add.5 от 1 апреля 2002 года, S/2002/30/Add.13 от 9 апреля 2002 года, S/2002/30/Add.23 от 21 июня 2002 го-да, S/2002/30/Add.27 от 19 июля 2002 года и S/2002/30/Add.36 от 20 сентября 2002 года. В течение недели, закончившейся 28 сентября 2002 года, Совет Безопас-ности на своем 4616-м заседании, состоявшемся 26 сентября 2002 года, рас-смотрел проект доклада Генеральной Ассамблее, охватывающий период с 16 июня 2001 года по 31 июля 2002 года. Совет Безопасности принял проект доклада с внесенными в него исправ-лениями без голосования, и это решение было отражено в записке Председате-ля Совета (S/2002/1068). В течение недели, закончившейся 28 сентября 2002 года, Совет Безопас-ности принял также решения по следующим пунктам: Положение на Ближнем Востоке, включая палестинский вопрос (см S/2000/40/Add.39, 44, 46, 47 и 50; S/2001/15/Add.11ñ13, 34 и 50; и S/2002/30/Add.7, 8, 10, 12ñ15, 17, 23, 24, 28, 29 и 37; см. также S/7382, S/7441, S/7452, S/7564, S/7570, S/7596, S/7600, S/7913, S/7923, S/7976, S/8000, S/8048, S/8066, S/8215, S/8242, S/8252, S/8269, S/8502, S/8525, S/8534, S/8564, S/8575, S/8584, S/8595, S/8747, S/8753, S/8807, S/8815, S/8828, S/8836, S/8885, S/8896, S/8960, S/9123, S/9135, S/9319, S/9382, S/9395, S/9406, S/9427 и Corr.1, S/9449, S/9452, S/9805, S/9812, S/9930, S/10327, S/10341, S/10554, S/10557, S/10703, S/10721, S/10729, S/10743, S/10770/Add.4, S/10855/Add.15, 16, 23, 24, 29, 30, 33, 41, 43, 44 и 50; S/11185/Add.14ñ16, 21, 42/Rev.1 и 47; S/11593/Add.15, 21, 29, 42 и 49; S/11935/Add.2ñ4, 12, 18ñ21, 23ñ26, 42, 44, 45 и 48; S/12269/Add.12, 13, 21, 42, 43 и 48; S/12520/Add.10, 11, 17, 21, 37, 39, 42, 47 и 48; S/13033/Add.2, 9ñ11, 16, 19, 21, 23, 25, 28, 29, 33, 34, 47 и 50; S/13737/Add.7, 8, 13ñ18, 20ñ22, 24ñ26, 33, 47 и 50; S/14326/Add.10, 11, 20, 24, 28, 29, 47 и 50; S/14840/Add.1ñ4, 8, 12, 13, 15, 16, 21ñ25, 27, 30ñ33, 37, 42, 45 и 48; S/15560/Add.3, 6, 7, 20, 21, 29ñ31, 37, 42, 45, 47 и 48; S/16270/Add.6ñ8, 15, 20, 21, 34, 35, 40 и 47; S/16880/Add.8ñ10, 15, 20, 21, 36, 40, 41 и 46; S/17725/Add.2ñ4, 15, 21, 28, 35, 38, 43 и 47ñ49; S/18570/Add.2, 21, 30, 47 и 49ñ51; S/19420/Add.1ñ5, 13, 15, 18, 19, 22 и Corr.1, 30, 48 и 50; S/20370/Add.4ñ6, 12, 16, 21, 22, 26, 30, 32, 34, 37, 44, 46, 47 и 51; S/21100/Add.4, 10, 12, 17, 20, 21, 30, 39, 40, 42, 44, 45, и 47ñ50; S/22110/Add.4, 12, 20, 21, 30 и 47; S/23370/Add.1, 4, 7, 13, 21, 30, 47 и 50; S/25070/Add.4, 21, 30 и 48; S/1994/20/Add.3, 8, 10, 20, 29 и 47; S/1995/40/Add.4, 8, 18, 19, 21, 29 и 47; S/1996/15/Add.4, 15, 21, 30, 38 и 47; S/1997/40/Add.4, 9, 11, 21, 30 и 46; S/1998/44/Add.4, 21, 26, 28, 30 и 47; S/1999/25/Add.3, 20, 29 и 46; S/2000/40/Add.4, 15, 20, 21, 24, 29 и 47; S/2001/15/Add.5, 22, 31 и 48; и S/2002/30/Add.4, 21 и 30) В письме от 20 сентября 2002 года на имя Председателя Совета Безопас-ности (S/2002/1055) Постоянный наблюдатель от Палестины при Организации Объединенных Наций, выступая в своем качестве Председателя Группы араб-ских государств в сентябре 2002 года и от имени государств ó членов Лиги арабских государств обратился с просьбой о созыве срочного заседания Совета Безопасности для рассмотрения вопроса о ´дальнейшей эскалации израиль-ской военной агрессии против палестинского народа и Палестинской админи-страции, которая полностью противоречит резолюциям Совета Безопасности, в частности резолюциям 1402 (2002) и 1403 (2002)ª. Группа арабских государств просила Совет Безопасности рассмотреть возможность ´принятия необходи-мых срочных мер к тому, чтобы положить конец нынешнему трагическому по-ложению и обеспечить осуществление упомянутых выше резолюций Совета Безопасностиª. В вербальной ноте от 20 сентября 2002 года на имя Председателя Совета Безопасности (S/2002/1056) Постоянный представитель Сирийской Арабской Республики при Организации Объединенных Наций поддержал просьбу Пред-седателя Группы арабских государств на сентябрь 2002 года о созыве срочного заседания Совета Безопасности для рассмотрения вопроса о последних собы-тиях на оккупированных палестинских территориях. Совет Безопасности возобновил рассмотрение этого пункта на своем 4614-м заседании заседании, состоявшемся 23 и 24 сентября 2002 года, в соот-ветствии с вышеупомянутой просьбой. Заседание дважды прерывалось и дваж-ды возобновлялось. Председатель с согласия Совета пригласил представителей Алжира, Банг-ладеш, Бахрейна, Дании, Египта, Израиля, Индии, Иордании, Исламской Рес-публики Иран, Катара, Кубы, Ливийской Арабской Джамахирии, Малайзии, Пакистана, Саудовской Аравии, Судана, Туниса, Турции и Южной Африки, по их просьбе, принять участие в обсуждении этого пункта без права голоса. В ответ на просьбу, содержащуюся в письме Постоянного наблюдателя от Палестины при Организации Объединенных Наций от 23 сентября 2002 года на имя Председателя Совета Безопасности (S/2002/1058), Председатель в соответ-ствии с временными правилами процедуры и сложившейся практикой в этом отношении пригласил Постоянного наблюдателя от Палестины принять уча-стие в обсуждении. Заседание было прервано. После возобновления заседания Председатель с согласия Совета пригла-сил представителей Индонезии, Ирака, Кипра, Мавритании, Марокко и Непала, по их просьбе, принять участие в обсуждении без права голоса. В ответ на просьбу, содержащуюся в письме Постоянного представителя Сирийской Арабской Республики при Организации Объединенных Наций от 23 марта 2002 года (S/2002/1060), Председатель с согласия Совета пригласил в соответствии с правилом 39 временных правил процедуры Совета Постоянного наблюдателя от Лиги арабских государств при Организации Объединенных Наций Яхье Махмассани. В ответ на просьбу, содержащуюся в письме Председателя Комитета по осуществлению неотъемлемых прав палестинского народа от 23 сентября 2002 года, Председатель пригласил в соответствии с правилом 39 временных правил процедуры Совета Председателя Комитета по осуществлению неотъем-лемых прав палестинского народа Папу Луи Фаля. В ответ на просьбу, содержащуюся в письме Постоянного представителя Кот-дíИвуара при Организации Объединенных Наций от 23 сентября 2002 года (S/2002/1059), Председатель с согласия Совета пригласил в соответствии с пра-вилом 39 временных правил процедуры Совета Постоянного наблюдателя от Африканского союза при Организации Объединенных Наций Амаду Кебе. Заседание было прервано. После возобновления заседания 24 сентября 2002 года Председатель при-влек внимание к проекту резолюции (S/2002/1063), который был представлен Болгарией, Ирландией, Норвегией, Соединенным Королевством Великобрита-нии и Северной Ирландии и Францией. Совет Безопасности провел голосование по проекту резолю-ции S/2002/1063 и принял его в качестве резолюции 1435 (2002) 14 голосами при одном воздержавшемся (Соединенные Штаты Америки), при этом никто не голосовал против (текст см. S/RES/1435 (2002); будет опубликован в Офици-альных отчетах Совета Безопасности, пятьдесят седьмой год, Резолюции и решения Совета Безопасности, 2002 год). Положение в Сьерра-Леоне (см. S/1995/40/Add.47; S/1996/15/Add.6, 11 и 48; S/1997/40/Add.21, 27, 31, 40 и 45; S/1998/44/Add.8, 11, 15, 20, 22, 28 и 50; S/1999/25 и Add.1, 9, 18, 22, 32, 41 и 48; S/2000/40/Add.5, 10, 17ñ19, 24, 26, 28, 30, 32, 35, 37, 43 и 50; S/2001/15/Add.4, 13, 26, 38 и 51; и S/2002/30/Add.2, 12, 20 и 27; см. также S/2001/15/Add.7, 10, 20 и 37; и S/2002/30/Add.11 и 37) Совет Безопасности возобновил рассмотрение этого пункта на своем 4615-м заседании 24 сентября 2002 года в соответствии с пониманием, достиг-нутым в ходе ранее проведенных им консультаций, имея в своем распоряжении пятнадцатый доклад Генерального секретаря о Миссии Организации Объеди-ненных Наций в Сьерра-Леоне (S/2002/987). Председатель, с согласия Совета, пригласил представителя Сьерра-Леоне, по его просьбе, принять участие в обсуждении без права голоса. Председатель привлек внимание к проекту резолюции (S/2002/1062), ко-торый был подготовлен в ходе ранее проведенных в Совете консультаций. Совет Безопасности провел голосование по проекту резолю-ции S/2002/1062 и принял его единогласно в качестве резолюции 1436 (2002) (текст см. S/RES/1436 (2002); будет опубликован в Официальных отчетах Со-вета Безопасности, пятьдесят седьмой год, Резолюции и решения Совета Безопасности, 2002 год).
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