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Ebejer
Ebejer est un patronyme maltais notamment porté par : Par ordre alphabétique : Francis Ebejer (1925–1993), romancier et dramaturge maltais ; (né en 1929), évêque et missionnaire catholique maltais. Patronyme maltais
Keratella
Keratella est un genre de rotifères de la famille des Brachionidae. Description Les espèces du genre Keratella se distinguent par le nombre et la position de leurs épines caudales, la forme de leur lorica, la cuticule épidermique, plus ou moins transparente, qui protège leur corps, les dimensions de leur tronc corporel, le nombre des épines antérieures de leur couronne cillaire, et leurs ornements ventraux et dorsaux. Liste des sous-espèces et espèces Selon : Selon : Selon : Keratella americana ; Keratella cochlearis ; sous-espèce Keratella cochlearis faluta ; sous-espèce Keratella cochlearis robusta ; sous-espèce Keratella cochlearis tecta ; Keratella cochlearis AEG1 ; Keratella hiemalis ; Keratella morenoi ; Keratella quadrata ; Keratella tropica ; Keratella valga. Selon : Keratella americana Carlin, 1943 ; Keratella cochlearis (Gosse, 1851) ; Keratella cruciformis (Thompson, 1892) ; Keratella eichwaldi (Levander, 1894) ; Keratella kostei Paggi, 1981 ; Keratella quadrata (Müller, 1786) ; Keratella tecta (Gosse, 1851) ; Keratella testudo (Ehrenberg, 1832) ; Keratella tropica (Apstein, 1907) ; Keratella valga (Ehrenberg, 1834). Notes et références Liens externes Zooplancton Brachionidae
Magasins Janić
Les magasins Janić (en serbe cyrillique : ; en serbe latin : ) sont situés à Ostružnica, sur le territoire de la Ville de Belgrade et dans la municipalité urbaine de Čukarica. Construits dans la première moitié du , ils sont inscrits sur la liste des biens culturels de la Ville de Belgrade. Présentation Les magasins Janić, situés 4 place Karađorđevih ustanika à Ostružnica, ont été construits dans la première moitié du . Ils étaient constitués d'une kafana et de huit chambres, de deux salles de restaurant sur le devant de la maison et d'une cuisine avec des garde-manger à l'arrière. L'aile occidentale de la maison, séparée du reste de l'édifice par un couloir faisant toute la largeur de la construction, constituait les quartiers d'habitation du propriétaire. Sur la façade sud se trouve un porche avec des arcades qui courent tout le long de l'édifice. Au début du , la maison a accueilli de nouvelles fonctions commerciales et a subi quelques adaptations mineures. Les magasins Janić restent encore aujourd'hui un exemple typique d'une maison moderne de la Morava. Références Articles connexes Architecture à Belgrade Čukarica Monument culturel à Čukarica
Sakuranétine
La sakuranétine est un composé organique de la famille des flavanones, un sous-groupe de flavonoïdes. Elle est présente dans Polymnia fruticosa et le riz où elle agit comme phytoalexine contre la germination des spores de Magnaporthe grisea (pyriculariose). Hétérosides La sakuranine est le 5-O-glucoside de la sakuranétine. Métabolisme Biosynthèse La sakuranétine est produite par l'action de la naringinine 7-O-méthyltransférase sur la naringinine, avec la S-adénosylméthionine comme donneur de groupe méthyle. Biodégradation Les flavanones 7-méthoxylées comme la sakuranétine sont dégradées par des organismes du type de Cunninghamella elegans, par déméthylation suivie d'une sulfatation. Notes et références Flavanone Méthoxybenzène
Hans Hendrik
Suersaq dit Hans Hendrik, parfois nommé Hans Christian est le premier explorateur groenlandais de l'Arctique. Né vers 1834 à Fiskernæs (Qeqertarsuatsiaat), il est décédé le à Godhavn. Biographie Éduqué dans les missions Moraves, Elisha Kent Kane est le premier à l'utiliser comme interprète de 1853 à 1855 à la recherche de l'expédition Franklin. En 1854, il sauve quatre hommes disparus vers la Baie Rensellaer et par son courage sauve l'expédition de la faim en se montrant un exceptionnel chasseur. Il parcourt aussi en luge avec William Morton le Canal Kennedy jusqu'au cap Constitution. En 1855, il se marie à Qeqertarsuatsiaat avec Merkut qui l'avait soigné lorsqu'il était malade dans la . Célèbre, il devient le compagnon inévitable des expéditions arctiques. En 1860, Isaac Hayes l'engage. Il embarque alors avec sa famille mais, après la mort d'August Sonntag, quitte l'expédition et rejoint Upernavik le . Charles Francis Hall fait appel à lui en 1871 pour son voyage sur le Polaris. Il s'engage de nouveau avec toute sa famille. Après la mort de Hall, le , il fait partie des hommes laissés sur la banquise par le capitaine Budington. Il se montre alors dévoué à George Tyson pendant une dérive qui durera six mois sur un glaçon fondant progressivement et fournira les naufragés grâce à ses chasses. Après le sauvetage, il est reçu, à son retour, à Washington et à New York (1873). Hans Hendrik effectue son dernier voyage en 1875-1876 avec George Nares, rejoignant l'expédition au détroit de Smith, à Pröven pour la guider dans le grand nord du Groenland. Une île, l'île Hans, au centre du canal Kennedy dans le détroit de Nares a été nommée en son honneur. Hans Hendrik est le premier inuit à avoir publié un livre (1878) sur ses voyages en Arctique. Jules Verne, reprenant le récit d'Elisha Kent Kane, le mentionne à diverses reprises, sous le nom d'Hans Christian, dans son roman Les Aventures du capitaine Hatteras. Bibliographie Memoirs of Hans Hendrik, the Arctic traveller, serving under Kane, Hayes, Hall and Nares, 1853–1876 (1878) Mark Nuttall, Encyclopedia of the Arctic, 2004, Notes et références Liens externes Explorateur de l'Arctique Naissance au Groenland Décès en août 1889 Date de naissance non renseignée (XIXe siècle) Décès au Groenland
Kak (Nguelemendouka)
Kak est un village du Cameroun situé dans le département du Haut-Nyong et la région de l'Est. Il fait partie de la commune de Nguelemendouka. Population Selon le Plan Communal de Développement de Nguelemendouka (2012), la population locale était de 225 personnes. Développement Selon le Plan Communal de Développement de Nguelemendouka (2012), plusieurs mesures ont été envisagées pour le développement de Kak. Création, construction et équipement d'une école primaire à Kak Construction d'un point d’eau Extension du réseau électrique Notes et références Annexes Liens externes Nguelemendouka, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC) Plan Communal de Développement, sur le site Programme National de Développement Participatif (PNDP) Village dans la région de l'Est (Cameroun)
Etruridelphis
Etruridelphis est un genre éteint de cétacés qui a vécu lors du Pliocène. Ses restes fossiles ont été mis au jour en Italie. Une seule espèce est connue, Etruridelphis giulii. Étymologie Le nom Etruridelphis est composé de « Etruri[a] », l'ancien nom latin de la Toscane où les restes fossiles ont été découverts, et du latin , « dauphin ». Description Publication originale Notes et références Liens externes Cetacea Mammifère du Pliocène Paléontologie en Italie Taxon fossile décrit en 2009
Armée de réserve de travailleurs
L'armée de réserve de travailleurs est un concept d'économie politique étudié par Karl Marx. Il est développé dans le chapitre 25 de son livre Le Capital. Ce concept entretient des rapports avec le phénomène du chômage dans les sociétés capitalistes. Des expressions synonymiques comme « armée de réserve industrielle » ou « surplus relatif de population » sont utilisables pour désigner l'armée de réserve de travailleurs. Le terme « chômeurs » suppose un filtre idéologique particulier. Il couvre un champ sémantique différent. Avant l'ère capitaliste le chômage structurel à grande échelle a rarement existé, sauf dans le cas de grands désastres naturels ou de guerres importantes. Le mot « emploi » est donc idéologiquement un produit de l'ère capitaliste. En outre le nom « chômeurs » désigne ceux qui cherchent un emploi alors que le « surplus relatif de population » inclut aussi ceux qui sont dans l'incapacité de travailler. L'usage du mot « armée » compare le travailleur à un conscrit, enrégimenté sur le lieu de travail par une hiérarchie, sous le commandement ou l'autorité des détenteurs du capital. Il laisse également entendre que la bourgeoisie parvient à diviser le prolétariat, donc à briser la lutte des classes, par l'instrumentalisation du sous-prolétariat transformé, sans en avoir conscience, en soldat de l'ordre établi. Un niveau permanent de chômage présuppose une population active, qui est dans une large mesure tributaire d'une rémunération ou d'un salaire pour vivre, sans avoir d'autres moyens de subsistance. Il suppose aussi le droit des entreprises d'embaucher et de congédier les employés en fonction des conditions commerciales ou économiques. Marx soutient qu'il n'y a pas de loi sérieuse et pérenne concernant la population possédante. Chaque mode de production a ses propres lois démographiques. S'il y avait surpopulation dans la société capitaliste, ce serait une surpopulation selon les critères de l'accumulation du capital. Par conséquent, la démographie ne peut se contenter de classer les gens de diverses façons. Il lui faut aussi étudier les rapports sociaux et les rapports de production. S'il y a suffisamment de ressources sur la planète pour fournir à tous un niveau de vie décente, l'argument selon lequel il y a « trop de gens » ne tient pas. Origine du concept Bien que l'idée de l'armée industrielle de réserve du travail soit étroitement associée à Marx, elle circulait déjà dans le mouvement ouvrier britannique dans les années 1830. La première mention de l'armée de réserve de main-d'œuvre chez Marx se rencontre dans un manuscrit de 1847 qu'il n'a pas publié. « La grande industrie nécessite en permanence une armée de réserve de chômeurs pour les périodes de surproduction. Le but principal de la bourgeoisie par rapport à l'ouvrier est, bien sûr, d'obtenir le travail en tant que matière première au plus bas coût possible, ce qui n'est possible que lorsque la fourniture de ce produit est la plus grande possible en comparaison de la demande, c'est-à-dire quand la surpopulation est la plus grande. La surpopulation est donc dans l'intérêt de la bourgeoisie, et elle donne de bons conseils aux travailleurs dont elle sait qu'ils sont impossibles à réaliser. Comme le capital n'augmente que s'il emploie des travailleurs, l'augmentation de capital entraîne une augmentation du prolétariat, et, comme nous l'avons vu, conformément à la nature de la relation entre capital et travail, l'augmentation du prolétariat doit en comparaison s'effectuer de façon encore plus rapide. La [...] théorie [...] qui est aussi exprimée comme une loi de la nature, selon laquelle la population croît plus vite que les moyens de subsistance, est très apprécié de la bourgeoisie, puisqu'elle lui permet de faire taire sa conscience, de faire de la dureté de cœur un devoir moral, de faire passer des conséquences sociales pour des conséquences naturelles, et lui donne enfin la possibilité d'assister à la destruction du prolétariat par la famine aussi calmement que s'il s'agissait d'autres événements naturels, sans s'émouvoir, et, d'autre part, de considérer que la misère du prolétariat est sa propre faute et de le punir. Pour sa sécurité, le prolétaire peut retenir son instinct naturel par la raison, et ainsi, grâce à un encadrement moral, stopper la loi de la nature dans ses développements préjudiciables. » - Karl Marx, Travail salarié et Capital, décembre 1847 Dans Le Capital Marx utilise à nouveau le concept dans le chapitre 25 du premier volume de Das Kapital, qu'il fait publier vingt ans plus tard, en 1867, déclarant que : « L'accumulation capitaliste elle-même [...] produit constamment, et à raison directe de sa propre énergie et de son expansion, une population relativement redondante des travailleurs, c'est-à-dire une population plus grande que celle des besoins moyens nécessaires à la valorisation du capital, et donc un surplus de la population [...] c'est l'intérêt absolu de chaque capitaliste de s'appuyer, pour une quantité donnée de travail, sur le plus petit nombre de travailleurs, plutôt que sur un plus grand nombre, si le coût est sensiblement le même [...] plus étendue est l'échelle de production, plus fort est ce motif. Sa force augmente avec l'accumulation du capital. » La logique de son argument repose sur le fait que, au fur et à mesure du développement du capitalisme, la part organique du capital augmente, ce qui signifie que la masse du capital constant croît plus vite que la masse du capital variable. Moins de travailleurs sont requis pour produire tout ce qui est nécessaire aux besoins de la société. En outre, le capital se concentre dans un nombre restreint de mains. Il se centralise. C'est une tendance historique absolue. Dès lors un taux croissant de la population active est désigné comme excédentaire à en croire les exigences de l'accumulation du capital. Paradoxalement, plus la société est prospère, plus grande est l'armée industrielle de réserve. On pourrait ajouter que plus la société est prospère, plus elle peut accepter des gens ne travaillant pas, qu'ils soient rentiers ou misérables. Marx développe plus loin son raisonnement. Selon l'état de l'économie, l'armée de réserve du travail augmente ou diminue, alternativement intégrée ou mise à l'écart de la main-d'œuvre employée. Ainsi : « Pris comme un tout, les mouvements généraux des salaires sont exclusivement régulés par la dilatation et la contraction de l'armée industrielle de réserve, et celles-ci correspondent à des changements périodiques du cycle industriel. Ils ne sont, par conséquent, pas déterminés par les variations du nombre absolu de la population active, mais par les proportions variables dans laquelle la classe ouvrière est divisée en armée active et de réserve, par l'augmentation ou la diminution de la quantité relative de l'excédent de population, selon qu'elle soit tour à tour intégrée, ou libérée. » Marx conclut que « la surpopulation relative est donc le pivot autour duquel s'articulent la loi d'offre et de demande du travail. » La disponibilité du travail influe sur le montant des salaires. Plus la population active au chômage grandit, plus les salaires baissent. À l'inverse, s'il y a des emplois disponibles et un faible niveau de chômage, cela tend à élever le niveau moyen des salaires. Dans ce cas les travailleurs sont à même de changer d'emploi rapidement pour obtenir une meilleure rémunération. Composition de la surpopulation relative Marx soutient que la surpopulation relative a toujours trois formes : la flottante, la latente et la stagnante. La partie flottante se réfère aux chômeurs temporaires (« chômage frictionnel »). La partie latente se compose du segment de la population qui n'est pas encore pleinement intégré dans la production capitaliste, par exemple une partie de la population rurale. Elle forme un réservoir de travailleurs potentiels pour les industries. La partie stagnante se compose des personnes marginalisées à « l'emploi extrêmement irrégulier ». Il ajoute une strate résiduelle qui « habite l'enfer du paupérisme ». À l'exception des criminels, vagabonds et prostituées, elle comprend ceux qui sont encore capables de travailler, les orphelins et les enfants pauvres, les ouvriers hyper-spécialisés « démonétisés », ceux qui ont passé l'âge normal de travailler et les victimes directes de l'industrie. Marx analyse dans le détail l'armée de réserve du travail en utilisant des données propres à la Grande-Bretagne car il y vivait. Controverses Chômage et paupérisation Certains auteurs ont interprété le raisonnement de Marx comme aboutissant à une paupérisation absolue de la classe ouvrière sur le long terme. Les travailleurs seraient de plus en plus pauvres et le chômage croîtrait constamment. Ce point de vue est discutable à la lumière des faits, car à différentes époques, dans différents pays, le niveau de vie des travailleurs s'est nettement amélioré. Durant certaines périodes le chômage a été réduit à un niveau très faible. Si pendant la Grande Dépression environ un travailleur sur quatre est devenu chômeur, durant le boom économique d'après-guerre, le chômage, dans les pays les plus riches, a nettement décru. D'autres auteurs (Ernest Mandel et Roman Rosdolsky) ont toutefois fait valoir qu'en vérité Marx n'élabore pas la théorie d'une paupérisation absolue de la classe ouvrière. Il envisage une paupérisation relative : le fossé entre riches et pauvres croît. Les riches s'enrichissent beaucoup plus vite que les travailleurs ordinaires n'améliorent leur niveau de vie. Enfin le niveau de chômage semble aussi être fondé sur l'équilibre des forces entre les classes sociales. Les politiques étatiques reflètent cet équilibre. Les gouvernements peuvent permettre un accroissement du chômage, ou mettre en œuvre des plans de création d'emplois. Le taux de chômage est donc partiellement tributaire du politique. Il ne résulte pas d'une pure mécanique économique. Surpopulation et croissance Un autre différend concerne la notion de « surpopulation ». Contemporain de Marx, Malthus a prédit que la croissance démographique engendrée par la richesse capitaliste aboutirait à un dépassement des capacités de production alimentaire. Or, de l'avis de Marx, l'idée de « surpopulation » est une construction idéologique ou sociale. Les marxistes ont donc considéré que l'analyse de Malthus n'était pas concluante : la nourriture peut être produite en quantité suffisante pour tous. Si une pénurie existe, elle naît des modes de production et de distribution, non d'une incapacité technique à satisfaire la demande. Chômage subi ou choisi Dans le domaine de la protection sociale, il y a aussi des conflits récurrents sur le fait de savoir si le sous-emploi résulte d'un choix ou d'une contrainte imposée, s'il est subi ou choisi. Lors de la Grande Dépression des années 1930, lorsque le chômage est passé à 20-30 % de la population active dans de nombreux pays, les gens pensaient généralement que le chômage était involontaire. Mais dès les niveaux de chômage deviennent relativement faibles, l'argument selon lequel le chômage est une question de choix est plus souvent entendu. Autres controverses Enfin, il existe des controverses sans fin sur la meilleure façon de mesurer le chômage, ses coûts et ses effets, et dans quelle mesure un degré de chômage est inévitable dans un pays avec un marché du travail développé. Selon le concept du taux de chômage n'accélérant pas l'inflation, la stabilité des prix dans les sociétés basées sur une économie de marché exige nécessairement une certaine quantité de chômage. L'une des raisons justifiant l'existence serait qu'un niveau de chômage trop bas stimulerait l'inflation. Toutefois, la validité de cet argument dépend aussi de la politique économique de l'État, et sur la capacité des travailleurs à augmenter leur salaire. Si par exemple les syndicats sont légalement dans l'impossibilité d'organiser les travailleurs, alors même si le chômage est relativement faible, les salaires moyens peuvent être maintenus bas. Dans ce cas, le seul moyen individuel des travailleurs d'augmenter leurs revenus, est de travailler plus d'heures ou de parvenir à atteindre par leurs propres moyens des emplois mieux rémunérés. Une armée de réserve de travailleurs mondiale ? Marx a écrit cette théorie dans le milieu du , et sa discussion sur le chômage pourrait donc être, en partie, obsolète, en particulier lorsque considérée uniquement au niveau national. Cependant, son analyse peut continuer à être considéré comme valide si on la considère globalement, au niveau mondial. L'Organisation internationale du travail (OIT) indique que la proportion de chômeurs dans le monde est en constante augmentation. La moitié de tous les travailleurs dans le monde - quelque 1,4 milliard de travailleurs pauvres - vivent actuellement dans des familles qui survivent avec moins de américains par jour et par personne. Ils travaillent dans le vaste secteur informel - de l'agriculture à la pêche, en milieu rural ou urbain - sans allocation, sécurité sociale ou soins de santé. 633 millions de travailleurs et leurs familles vivaient avec moins de 1,25 $ US par jour en 2008, et 215 millions de travailleurs supplémentaires vivaient à la marge et avec de forts risques de tomber dans la pauvreté en 2009. Le chômage en termes de personnes réellement sans emploi est à son point le plus haut que jamais et continue d'augmenter. Au cours des dix dernières années, le chômage officiel a augmenté de plus de 25 % et s'élève maintenant à 212 millions dans le monde, soit 6,6 % de l'effectif global. Chômage et sous-employés totalisent environ un milliard de personnes. «Sous-employés» signifie généralement que les travailleurs sont incapables de trouver du travail assez payés pour gagner suffisamment d'argent pour vivre : qu'ils travaillent à temps partiel ou exercent des emplois occasionnels. Cela est parfois appelé travail précaire. Mais une forme de sous-emploi concerne les travailleurs qualifiés, qui préfèrent travailler moins d'heures parce que leur salaire relativement élevé leur permet de le faire. Parmi les chômeurs dans le monde, l'OIT estime qu'environ la moitié du total mondial sont des jeunes âgés de 15 à 24 ans. Notes et références Voir aussi Articles connexes Marxisme Chômage Loi d'airain des salaires Histoire du capitalisme Liens externes Le Capital, livre I, chapitre XXV, iii. Concept et outil théorique marxiste Théorie ou modèle économique Économie du travail Chômage
Nils Täpp
Nils Täpp (né le et décédé le ) est un ancien fondeur suédois. Jeux olympiques Jeux olympiques d'hiver de 1948 à Saint-Moritz Médaille d'or en relais 4 × . Jeux olympiques d'hiver de 1952 à Oslo Médaille de bronze en relais 4 × . Championnats du monde Championnats du monde de ski nordique 1950 à Lake Placid Médaille d'or en relais 4 × . Fondeur suédois Fondeur aux Jeux olympiques d'hiver de 1952 Champion olympique suédois Champion olympique de ski de fond Naissance en octobre 1917 Décès en octobre 2000 Médaillé de bronze olympique suédois Fondeur aux Jeux olympiques d'hiver de 1948
Toribio Calzado
Toribio Calzado (Valladolid, 1805 - après 1863) est un impresario espagnol du , directeur du Théâtre italien de Paris de 1855 à 1863. Biographie Toribio Calzado, est le directeur du Théâtre italien de Paris entre 1855 et 1863. Arrivant de La Havane, au passé trouble, étranger au monde du théâtre, ne parlant ni le français ni l'italien, il obtient pourtant, aussitôt en France, la direction de cette salle parisienne, l'une des plus importantes de l'époque. Il fait de Giovanni Bottesini (contrebassiste, compositeur et ami de Giuseppe Verdi), du ténor Lorenzo Salvi et de la prima donna Claudina Fiorentini (créatrice de l'hymne national mexicain), musiciens rencontrés au Mexique et auxquels il s'est attaché, ses collaborateurs, confiant au premier la direction de l'orchestre et au deuxième l'administration du théâtre. Il réalise une fortune considérable en faisant représenter Il trovatore, La traviata et Rigoletto sans verser ni au compositeur Giuseppe Verdi ni à l'éditeur Léon Escudier le moindre droit d'auteur. Malgré le soutien de Victor Hugo, l'auteur du Roi s'amuse dont est tiré le livret de Rigoletto, Verdi perd tous ses procès contre Calzado et se voit même en appel condamné aux dépens et à des dommages-intérêts en faveur du théâtre en raison de l'interdiction des représentations pendant deux mois qu'il avait obtenue en première instance. S'il est habile, Calzado n'est cependant pas malhonnête ainsi que le juge Escudier écrivant à Verdi : L'impresario s'appuie simplement sur une réglementation de l'époque qui favorise les impresarios au détriment des auteurs étrangers en plaçant dans le domaine public pour la France les œuvres primitivement présentées sur une scène étrangère. Ce qui lui permet de monter toute sa saison avec, comme sa charge le lui impose, des œuvres considérées comme nouvelles, puisqu'elles n'ont jamais été représentées en France. Ne pouvant empêcher que ses opéras soient non seulement représentés sans son accord mais de manière médiocre et parfois amputées, Verdi ne décolère pas et répond à Escudier S'il n'est pas véritablement un escroc, Calzado est cependant suffisamment avide pour s'attaquer à tous ceux qui s'opposent à lui et Verdi n'est pas sa seule victime. Hugo lui-même se voit opposer une prescription puisqu'il n'a pas exigé de droits sur Le roi s'amuse depuis trois ans. Nombre d'auteurs, de compositeurs, de chanteurs, de musiciens de l'orchestre, d'administrateurs se retrouvent en procès avec lui. Il traîne derrière lui une réputation de malhonnêteté confortée par des appuis politiques. Verdi écrit encore : Cependant, l'administration compte sur lui et surtout sur sa fortune, plus que sur les subventions attribuées, pour redresser la situation du Théâtre italien de Paris que Benjamin Lumley a abandonné criblé de dettes. Toribio Calzado gère en effet parfaitement le théâtre, par une politique à la fois de restrictions, provoquant le mécontentement et la révolte des musiciens, astreints à des horaires de plus en plus importants, et des compositeurs dont le répertoire est pillé sans bourse délier, et de munificence lorsqu'il s'agit d'attirer les plus belles voix comme celles d'Adelina Patti ou Enrico Tamberlick. Il fait salle comble, les Italiens sont un lieu à la mode et son public d'abonnés est composé des plus grands noms de l'aristocratie comme la princesse Mathilde, la princesse Radzwill, le duc de Brunswick, la comtesse de Mniszech. Malgré les récriminations de Verdi, la politique de programmation de Calzado a permis au maestro de passer du rang d'auteur méconnu en France à celui de compositeur adulé : en huit ans le public le public a eu 350 fois l'occasion de découvrir et d'apprécier sa musique. L'administration est satisfaite de sa gestion au point d'envisager de lui confier un nouveau privilège pour encore dix-huit ans à l'occasion de la construction d'une nouvelle salle Boulevard Malesherbes. Or, à la suite d'une condamnation pour escroquerie, Toribio Calzado est emprisonné et démis de ses fonctions par un arrêté ministériel de destitution du . Verdi écrit alors à Escudier : Bibliographie Anik Devriès-Lesure, « Les démêlés de Verdi avec le Théâtre-Italien sous la direction de Toribio Calzado (1855-1863) », in Pierluigi Petrobelli et Fabrizio Della Seta (dir.), Studi verdiani n° 13, pp. 155-182, Parme, Istituto nazionale di studi verdiani, 1998, 304 p. (Lire des extraits en ligne) Alessandro Di Profio, « Paris, capitale du monde moderne, Verdi et les différents attraits de la culture française », in Michel Pazdro (dir.) Maestro Verdi, pp. 96-103, Paris, L'Avant-scène opéra n° 200, janvier-, 155 p. Notes et références Liens externes Directeur d'opéra Naissance en 1805 Naissance à Valladolid Date de décès non renseignée (XIXe siècle)
Viaduc routier du Viaur
Le viaduc routier du Viaur, appelé aussi Pont de Tanus, est un pont français de 573 mètres de longueur de la RN 88 situé entre Tauriac-de-Naucelle en Aveyron et Tanus dans le Tarn. Inauguré en 2000, il comprend deux fois deux voies. Description Voir aussi Viaduc du Viaur (1902), viaduc ferroviaire à proximité. Liste de ponts de l'Aveyron Liste de ponts du Tarn Liste des ponts les plus longs de France Liens externes Le viaduc sur le site structurae Références Naître et renaître, Une histoire de Spie; Jean Monville avec la collaboration de Xavier Bezançon; 2004; Presse des Ponts et Chaussées Pont routier en France Viaur Viaur Viaur Pont franchissant un cours d'eau en France
Albalophosaurus
Albalophosaurus (« lézard à crête blanche ») est un genre de dinosaure, constitué d'une seule espèce, Albalophosaurus yamaguchiorum et qui vivait au Crétacé inférieur dans l'actuel Japon. Il a été décrit en 2009 à partir des restes découvert en 1997 par Yoshinori Kobayashi dans la aux alentours de la ville d'Hakusan dans la préfecture d'Ishikawa. Les restes nommés SBEI 176 consiste à des os d'un crâne désarticulé incomplet et d'une mâchoire inférieure gauche qui semble appartenir au même individu. L'espèce type est nommé Albalophosaurus yamaguchiorum. Le nom est dérivé du Latin d'albus "blanc" et du Grec λόϕος (lophos) qui signifie "crête" ce nom est une référence aux crête enneigées du Mont Haku. Quant au nom yamaguchiorum il honore Ichio et Mikiko Yamaguchi qui ont découvert de nombreux fossiles sur le site. L'âge géologique des strates d'où viennent les restes de l'Albalophosaurus est inconnue du fait du manque de fossiles stratigraphique mais nous savons que la formation de Kuwajima s'est formé durant le Crétacé inférieur, probablement après le Berriasien et avant le Barrémien en fonction de l'âge des formations géologiques. Des études plus récentes suggèrent que la formation de Kuwajima date de la période Valanginien-Hauterivien sois entre -139.8 et -129.4 millions d'années mais l'âge est incertain. Phylogénie Bien que Albalophosaurus ait été classé comme étant un cératopsien basal dans une analyse phylogénétique menée avec la description du genre, une seule synapomorphie ambiguë du clade est présente dans l'holotype, et aucune des synapomorphies non ambiguës qui définissent les Ceratopsiens n'est présente. D'autres caractéristiques, telles que celles de la morphologie dentaire d’Albalophosaurus, semblent suggérer que le genre partage une relation avec les Ornithopodes. Ainsi, les auteurs de la description originale du genre le réfèrent aux Cérapodes incertae sedis, et ne le considèrent pas comme un cératopsien. Han , 2012 ont constaté que Albalophosaurus était un cératopsien plus dérivé que Micropachycephalosaurus, Yinlong, Stenopelix, ou , mais basal à un clade composé de Psittacosaurus et de cératopsiens plus dérivés. Références taxinomiques Notes et références Dinosaure d'Asie Dinosaure du Crétacé Cerapoda Taxon fossile décrit en 2009
Fêtes historiques de Vannes
Les fêtes historiques de Vannes est un festival retraçant les grandes périodes historiques de la cité morbihannaise. Les fêtes se déroulent sur deux jours au mois de juillet (format actuel : 13 et 14 juillet) et cela tous les ans depuis 1986. L'événement est l'occasion de commémorer les périodes importantes de l'histoire vannetaise en mettant à l'honneur des personnages et des faits qui ont marqué la vie de la ville. C'est aussi le lieu d'animations médiévales : joutes, baladins, concerts… Édition 2007 Les Fêtes historiques de Vannes eurent lieu du 12 au 14 juillet 2007. Le thème de cette édition de 2007 porte sur 1862-1900 : Une fin de siècle éclatante et retrace l'arrivée du chemin de fer à Vannes ainsi que l'essor économique de cette fin de . Édition 2008 Les Fêtes historiques eurent lieu le 12, 13 et 14 juillet 2008 et commémorent le passage en 1505 d'Anne de Bretagne et les festivités qui s'ensuivirent. Édition 2009 En 2009, alors que jusqu'en 2008, les fêtes historiques ne traitaient qu'un évènement par édition, quatre périodes de l'histoire vannetaise sont mises à l'honneur : La prise de Vannes par Waroch en 578 qui marque sa domination sur le Vannetais ; La naissance de Jean V Le sage en 1387 au château de l'Hermine qui fera de Vannes la capitale de son duché ; La signature par Louis XIV en 1697 qui autorise l'utilisation des pierres du château de l'Hermine pour bâtir les quais du port ; La nomination du général Jullien par Napoléon Bonaparte en juillet 1801 en tant que préfet du Morbihan. Édition 2010 La des Fêtes historiques s'est tenue du 12 au 14 juillet 2010. Le thème de cette année était la visite de François I, roi de France, et son épouse Claude, duchesse de Bretagne, dans la ville en 1518. Édition 2011 Cette s'est déroulée les 12, 13 et 14 juillet 2011. Les organisateurs ont choisi de revenir sur l'année 1455. Le mariage de Marguerite de Bretagne, fille de l'ancien duc François I, et de François d'Étampes a eu lieu en cette année à Vannes. Édition 2012 La célèbre l'année 1531, nomination d'Antonio Pucci comme évêque de Vannes. Elle s'est tenue les vendredi 13 et samedi 14 juillet 2012. Édition 2013 L'année 1203 est mise à l'honneur pour cette , qui se déroule du 12 au 14 juillet. Elle commémore la tenue des premiers États de Bretagne dans la ville. Édition 2014 Pour la première fois, les fêtes historiques ne mettent pas à l'honneur une année ou une période historique, mais une personnalité de l'histoire de Bretagne. Ce sont en effet « Les grandes heures d'Anne de Bretagne » que les organisateurs ont choisi de célébrer pour une édition plus longue que les précédentes, du 10 au 14 juillet 2014. Édition 2015 Comme l'année précédente, la est dédiée à un personnage historique : Jean IV le Conquéreur, duc de Bretagne à la fin du . Cette édition s'est déroulée les 13 et 14 juillet 2015. Édition 2016 La , qui prend place les 13 et 14 juillet 2016, est consacrée aux années 1858 et 1865 qui voient la visite de Napoléon III en ville. Édition 2017 La se déroule les 13 et 14 juillet 2017. Elle a pour thème la Belle Époque. Édition 2018 La visite d'Henriette d'Angleterre, fuyant la guerre civile anglaise, à Vannes en 1644 est le thème de cette , tenue les 13 et 14 juillet 2017. Édition 2019 La a pour thème directeur la tenue des États de Bretagne convoqués par Charles VIII à Vannes en 1491. Elle s'est déroulée les 13 et 14 juillet 2019. Notes Liens externes Fêtes historiques - Mairie de Vannes Fête à Vannes
Hybridome
Un hybridome est une cellule provenant de l'hybridation artificielle de cellules lymphoïdes normales de mammifères et de cellules myélomateuses de tumeurs malignes du système immunitaire. Intérêt L' hybridome cumule les propriétés des deux cellules de départ : production spécifique d'anticorps pour le lymphocyte et immortalité pour la cellule cancéreuse. Les hybridomes donnent des lignées immortalisées stables productrices d'anticorps monoclonaux. Ils servent à produire en grande quantité des anticorps monoclonaux utilisés comme réactifs dans la recherche, pour l'établissement de diagnostics, ou utilisés pour produire certains médicaments à base d'anticorps monoclonaux, notamment utilisés en cancérologie (ex : trastuzumab dans le cancer du sein) mais également dans d'autres pathologies (infliximab contre la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn) . Historique Pour diverses applications, de grandes quantités d'anticorps spécifiques et purs sont nécessaires. Or, en produisant des anticorps par injection d'un antigène, plusieurs lymphocyte B sont sollicités ce qui donne lieu à une hétérogénéité d'anticorps. En 1975, Cesar Milstein et Georges Köhler, du Medical Research Counsil de Cambridge, en Angleterre ont cherché un moyen de produire un seul type d'anticorps. Ils ont contourné le problème d'hétérogénéité des anticorps, en isolant les cellules capables de produire l'anticorps souhaité et en cherchant à les cultiver. Malheureusement, les cellules capables de produire les anticorps, les plasmocytes, ne pouvaient alors pas se développer en culture. Ils ont pensé à utiliser des cellules malignes de myélomes car ce sont les cellules les plus proches des cellules voulues et qui se développent rapidement, éternellement et produisent de grandes quantités d'anticorps. Mais celles-ci ne répondent pas à un antigène particulier ; elles produisent l'anticorps du lymphocyte B normal avant que celui-ci ne devienne malin. L'équipe de Milstein et Köhler a combiné les propriétés de ces deux cellules pour obtenir les cellules hybrides appelées hybridomes. Méthodes La production d'hybridomes passe les étapes suivantes : l'antigène est injecté dans une souris pour provoquer la prolifération des cellules produisant l'anticorps spécifique la rate est ensuite prélevée et dissociée en cellules isolées ; ces cellules de rate peuvent synthétiser l'enzyme hypoxanthine-guanine phosphoribosyltransférase (HGPRT). Cette enzyme est nécessaire à la synthèse par la voie exogène des purines. Les cellules malignes de myélomes qui elles seront déficitaires en HGPRT et prélevées à partir de la même lignée d'animaux, sont fusionnées, grâce à un agent fusinogène comme le polyéthylène glycol, avec les lymphocytes producteurs d'anticorps, rendant les hybrides immortels. Les cellules hybrides (hybridomes) sont séparées des cellules non fusionnées en plaçant le mélange dans un milieu de culture spécifique HAT qui empêche la synthèse des purines par voie endogène. Par conséquent seuls les hybrides peuvent survivre puisque ces hybrides peuvent produire l'enzyme HGPRT grâce aux plasmocytes. Les hybridomes se développent et sont isolés par dilution limite chaque hybridome est testé pour vérifier sa capacité à lier l'antigène les hybridomes sont amplifiés, soit par culture cellulaire (in vitro), soit dans les liquides d'ascites (in vivo). remarque : Les hybridomes peuvent être congelés pour la conservation. Utilité Les hybridomes produisent des anticorps monoclonaux qui peuvent servir comme sondes très spécifiques. Cette particularité est très utile pour le diagnostic médical. Les anticorps permettent de mesurer la concentration de protéines spécifiques dans le sang ou l'urine, par exemple un test de grossesse qui décèle la présence d'une protéine. Les anticorps monoclonaux peuvent aussi être utilisés pour la purification des protéines. La méthode des hybridomes est très utile comme agent thérapeutique dans le traitement des maladies humaines. Voir aussi Articles connexes Lien externe Interview de Geoffrey Holsbeek, CEO de la société Amplycell dont la vocation est de booster les hybridomes :http://blog.biotech-finances.com/?p=4590 Bibliographie Jacquelyn G. Black, Microbiology: Principles and Explorations, , p.503-505, Wiley, 2008. Karp, Cell and Molecular Biology. Concepts and Experiments, , p.780-782, de boeck, 2008. Pierre L Masson; Chrystelle Sanlaville; et al. « La croissance et l'utilisation de cellules en culture : Les cellules hybrides appelées hybridomes produisent d'abondants anticorps monoclonaux », dans Biologie moléculaire de la cellule, , p. 237-238, de boeck, 2005. Notes et références Biotechnologie
Dodécaèdre métabiaugmenté
Le dodécaèdre métabiaugmenté est un polyèdre faisant partie des solides de Johnson (J60). Comme le nom l'indique, il peut être construit en augmentant doublement un dodécaèdre en attachant deux pyramides pentagonales (J2), une à une face et l'autre à une face adjacente à la face opposée. Les 92 solides de Johnson ont été nommés et décrits par Norman Johnson en 1966. Liens externes MathWorld.wolfram.com - Johnson Solid Solide de Johnson
Diénay
Diénay est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté. Diénay fait partie de la communauté de communes des vallées de la Tille et de l'Ignon (COVATI). Les gentilés sont "Diénaisois" et "Diénaisoises". Géographie Le territoire de Diénay (15,38 km) est coupé d'ouest en est par la vallée de l'Ignon qui sépare deux zones de collines, celle du sud fait partie du grand massif couvert par les forêts domaniales d'Is-sur-Tille et de Val-Suzon, celle du nord s'intègre à l'extrémité méridionale du plateau de Langres. Les collines sont couvertes de forêts, les terres plus basses sont occupées par l'agriculture et dans une moindre importance par des prairies sur les rives de la rivière. Le point culminant de la commune est à 427 m dans le bois de la Brosse au nord, le point le plus bas sur le cours aval de l'Ignon à 282 m. Le village est installé sur la rive gauche de l'Ignon, il était traversé par la route qui relie Châtillon-sur-Seine à Is-sur-Tille (D 901) qui a été déviée en 1974. Hameaux, écarts, lieux-dits La population est regroupée dans le village, la commune n'a pas de hameaux rattachés ni d'habitations isolées. lieux-dits d'intérêt local : bois de la Brosse, bois du Charmoy, bois de Champ-Fouchard. Communes limitrophes Hydrographie Plusieurs sources apparaissent au pied des collines comme la fontaine Marceveau, certaines sont captées pour les besoins de l'homme, d'autres donnent naissance à des ruisseaux (source de Sept-Fontaines, fontaine Petit). Certaines apparaissent dans la vallée et irriguent les prairies (source des Prés-de-Brie, fontaine du Vivier). La faible déclivité de l'Ignon (à peine plus d'un mètre au kilomètre) a donné lieu à la formation d'étangs, les plus petits sont d'anciens méandres de la rivière, autour des plus grands a été aménagé le parc du château Veil-Picard. Un bief dévié de l'Ignon alimente le moulin et le lavoir. Urbanisme Typologie Diénay est une commune rurale. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de à moins de . Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), terres arables (31,5 %), prairies (8,4 %), zones urbanisées (2,7 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Histoire Carte de Cassini La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au XVIIIè siècle, Diénay est une Paroisse située sur la rive gauche de la rivière L'Ignon. Deux moulins à eau sont représentés sur le cours de la rivière, dont un, La Forge, dont la force motrice servait à battre le fer. Politique et administration |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Démographie Lieux et monuments La commune n'a pas de monument classé à l'inventaire des monuments historiques, y est répertorié. La glacière a été construite au par le propriétaire du château Charles Vaillant de Meixmoron. Le puits à glace est une tour d'un ancien château-fort. Située sur la butte féodale qui porte l'église, sa terrasse offre en outre une vue sur le village. l'église Saint-Corneille a été construite selon un plan en croix latine, du au , sur l'emplacement de l'ancienne chapelle du château fort. On y accède par un grand escalier à cinq paliers, elle abrite une statue de saint Pierre du . les anciens haras de Bourgogne ouverts dans une ferme par les élus des États en 1779 sous l'impulsion de Jean-Baptiste Vaillant de Meixmoron afin de "rétablir l'espèce des chevaux abâtardie en Bourgogne". Les bâtiments retrouveront leur vocation première au lendemain de la Révolution (en 1790). Seul le hangar avec ses arches en plein cintre est contemporain de cette période, des hangars, des écuries et des bergeries rondes (construites en bois) ont disparu. le lavoir de 1838 est bâti sur le bief du moulin (et corderie pendant un temps). On y accède par la rue de l'Abreuvoir. le site gallo-romain a été découvert en 1950 et partiellement fouillé de 1958 à 1963. La mise en œuvre de la déviation sur la D 901 en 1974 a déclenché des fouilles rapides qui ont mis au jour de nombreux vestiges et des constructions en pierre, dont une grande piscine de 10 m. le château de Meixmoron se situe sur l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine qui a été acquis par Gonzague Vaillant, proche d'Henri IV et originaire de Dombasle-sur-Meurthe, et qui se nommait le Meix Moron. Les descendants de Gonzague qui seront "Seigneurs de Meixmoron de Dombasle" agrandiront le premier pavillon de chasse pour en faire le château actuel. Il servira d'atelier au peintre Charles de Meixmoron de Dombasle qui y recevra entre autres Monet et Degas. Le monument aux morts de la Première et de la Seconde Guerres mondiales. Personnalités liées à la commune Pierre Georges Jeanniot (1934-1848) : peintre, dessinateur, aquarelliste et graveur, possédait une propriété à Diénay où il accueillit souvent Edgar Degas. Il signait souvent sous le pseudonyme "Diénay". Sa fille, Marcelle (1879-1966), Comédienne à l'Odéon, épousera, en 1919, en troisièmes noces, Charles Dullin (1885-1949). Lucie Cousturier (1870-1925), peintre pointilliste, amie de Georges Seurat. Son mari, Edmond Cousturier, peintre et critique d'art, possédait une propriété à Diénay. Charles de Meixmoron de Dombasle (1839-1912), peintre postimpressionniste qui habitait le château de Meixmoron. Guy Auffray (1945-2021), né à Diénay, judoka français, champion d'Europe. L'auteur de Vaudeville Georges Feydeau a séjourné à Diénay. Paul Bosq (1845-1922), romancier et journaliste, s'est installé à Diénay en 1906. Notes et références Notes Références Voir aussi Articles connexes Liste des communes de la Côte-d'Or Liens externes Diénay sur le site de l'Institut géographique national Commune dans la Côte-d'Or Aire urbaine de Dijon
Radicalisme culturel
Le radicalisme culturel (en danois Kulturradikalisme) est un mouvement culturel danois, mais aussi plus tard norvégien et Suédois. Ce mouvement a été particulièrement influent dans l'entre-deux-guerres. Le terme de "radicalisme culturel" d'abord été utilisé dans un essai par Elias Bredsdorff dans le grand format du journal, Politiken, en 1956. Bredsdorff décrit les radicaux culturels comme des gens qui sont socialement responsable dans une perspective internationale. Le radicalisme culturel a souvent été décrit comme étant le patrimoine de Georg Brandes, avec la fondation et la publication du journal Politiken et le magazine Kritisk Revy par Poul Henningsen. Ainsi que la fondation d'un parti politique Radikale Venstre, Le radicalisme culturel est décrit par ses adversaires comme étant un mouvement simplement réservé à élite libérale intellectuelle. Les valeurs les plus couramment associés au radicalisme culturel sont entre autres: la critique de la religion, l'opposition à des normes sociales, la critique de l'époque victorienne de la morale sexuelle, l'anti-militarisme et une ouverture à de nouveaux apports culturels autres que le western classique (par exemple, le jazz moderne, l'architecture, l'art, la littérature et le théâtre). À l'échelle internationale Le radicalisme culturel est également utilisé en dehors du Danemark. En Suède, celui-ci a été vu comme une opposition à l'église suédoise et de la congrégation victorienne de la morale sexuelle. En Norvège, le mouvement a été associée avec le magazine Mot Dag dans les années 1930 et ses auteurs tels que Sigurd Hoel et Arnulf Øverland. Aux États-Unis, il est parfois utilisé comme l'opposé du conservatisme culturel, en particulier dans le contexte des différentes guerres ayant alimentées le . Les radicaux culturels Holger Drachmann Kjeld Abell Edvard Brandes Georg Brandes Bernhard Christensen Mogens Brouillard Poul Henningsen (PH) Edvard Heiberg Viggo Hørup Hans Kirk Ove Roulé Hans Scherfig Klaus Rifbjerg Tøger Seidenfaden Voir aussi Libéralisme culturel Politiken Radikale Venstre Liens externes Culturel Radicalisme dans le la Démocratie danoise Canon Danemark/perspective Historique: les politiques culturelles et les instruments Kulturradikalismen sur leksikon.org (en danois) Kulturradikal/kulturradikalisme (en danois) Mouvement culturel
Omni Bedford Springs Resort
L'Omni Bedford Springs Resort est un hôtel américain situé à Bedford, en Pennsylvanie. Cet établissement d'Omni Hotels & Resorts est membre des Historic Hotels of America depuis 2008 et des Historic Hotels Worldwide depuis 2014. Liens externes Hôtel en Pennsylvanie Historic Hotels of America Historic Hotels Worldwide Bedford Springs Resort Comté de Bedford (Pennsylvanie)
Bang Goes the Knighthood
est le dixième album du groupe de pop orchestrale The Divine Comedy, mené par l'auteur-compositeur-interprète nord-irlandais Neil Hannon, sorti en 2010. Liste des titres Disque bonus - Édition limitée Reprises de neuf chansons enregistrées au cours d’un concert donné à la Cité de la musique (Paris) en , parues dans une édition limitée double CD (dont disque bonus). Crédits Membres du groupe Neil Hannon : chant, guitares Thomas Walsh : guitare acoustique, chant (invité) Tosh Flood : guitare électrique, chant (invité) Cathy Davey : batterie, chant (invité) Tim Weller : batterie Ian Watson : accordéon Charlotte Glasson : saxophone, flûte Lucy Wilkins : violon Simon Little : basse (CD1) John Evans : guitare (CD2) Andrew Skeet : claviers (CD2) Orchestre : Millennia Ensemble Direction et arrangements d'orchestre : Andrew Skeet Équipes technique et production Production : Neil Hannon Ingénierie : Fergal Davis (CD1) Mastering : Geoff Pesche Mixage : Bill Somerville-Large, Guy Massey Adaptation française (CD2) : Françoise Hardy, Jacques Lanzmann Enregistrement : Fergal Davis Enregistrement (additionnels et assistants) : Ross Martin, Richard Woodcraft Enregistrement (arrangements d'orchestre) : Guy Massey Notes et références Liens externes Album de The Divine Comedy Album musical sorti en 2010
Kaiwá
Le kaiwá (ou cayová, caingua) est une langue tupi parlée au Brésil dans le Sud de l'État du Mato Grosso do Sul et dans le Nord de l'Argentine. Classification Le kaiwá est une langue tupi-guarani de la branche I, dans la classification de Rodrigues (2007). Il a été considéré comme un dialecte du guarani. Phonologie Voyelles Consonnes Notes et références Voir aussi Bibliographie Bridgeman, Loraine I., Kaiwa (Guarani) Phonology, International Journal of American Linguistics, 27:4, 1961. Rodrigues, Aryon, Tupi Languages in Rondônia and in Eastern Bolivia, Language Endangerment and Endangered Languages, Leo Wetzels (Éditeur), pp. 355-363, Indigenous Languages of Latin America 5, Leyde, CNWS Publications, 2007 . Articles connexes Linguistique Liste de langues Langues par famille Langues amérindiennes Langues tupi Langues tupi-guarani Liens externes Inventaire de langues Inventaire de langues amérindiennes Langue tupi-guarani Langue amérindienne en Amérique du Sud Langue amérindienne au Brésil Langue amérindienne en Argentine
Sarba
Le nom sarba peut désigner : Toponyme la ville de Sarba au Liban. la localité de Sarba au Burkina-Faso. Autre la sîrba, ou sârbă, une danse traditionnelle roumaine ;
Selig ist der Mann
Selig ist der Mann (Bienheureux, l'homme), (BWV 57), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1725. Histoire et livret Bach écrivit cette cantate durant sa troisième année à Leipzig pour le second jour après Noël et la dirigea le pour la première fois. Pour cette destination liturgique, trois autres cantates ont franchi le seuil de la postérité : les BWV 40, 121 et 248/2 (deuxième cantate de l'Oratorio de Noël). Comme toutes les autres années à Leipzig, cette journée était consacrée au martyre de saint Étienne. Les lectures prescrites pour le jour étaient Apot. 6:8–7,22 et 7:51–59, la mort d'Étienne et, Matt. 23:34–39, les pleurs sur Jérusalem. Le livret vient d'un recueil de Georg Christian Lehms, Gottgefälliges Kirchen-Opffer, datant de 1711. Il écrivit les textes en s'inspirant des lectures du jour. La première phrase est tirée de Jacques 1:12, la foule dont il est question s'appelle « stephanos » en grec. Lehms développe le texte comme un dialogue de Jésus avec l'âme (Anima). Il avait l'intention d'utiliser un vers de Gott Lob, die Stund ist kommen de Johann Heermann comme choral final mais Bach choisit à la place le de Hast du denn, Jesus, dein Angesicht gänzlich verborgen de Ahasverus Fritsch, appelé Seelengespräch mit Christus pour continuer le dialogue. Structure et instrumentation La cantate est écrite pour petit ensemble : deux hautbois, hautbois da caccia, deux violons, alto, basse continue avec deux voix solistes soprano et basse pour imager un dialogue (cette cantate est d'ailleurs sous-titrée Dialogus). L'âme est chantée par la soprano tandis que la basse est la Vox Christi, la voix de Jésus. Si besoin, un chœur est requis seulement pour le choral final. Les hautbois ne jouent que dans les premier et dernier mouvements, doublant les cordes. Il y a huit mouvements : aria (basse) : Selig ist der Mann récitatif (soprano) : Ach! dieser süße Trost aria (soprano) : Ich wünschte mir den Tod, den Tod récitatif (soprano, basse) : Ich reiche dir die Hand aria (basse) : Ja, ja, ich kann die Feinde schlagen récitatif (soprano, basse) : In meinem Schoß liegt Ruh und Leben aria (soprano) : Ich ende behende mein irdisches Leben choral : Richte dich, Liebste, nach meinem Gefallen und gläube Musique La musique pour le dialogue entre Jésus et l'âme est plus dramatique que dans la plupart des cantates religieuses de Bach. Presque tous les récitatifs sont secco comme dans les opéras de l'époque et dirigent l'action. John Eliot Gardiner dit ici de Bach qu'il est le meilleur auteur de déclamation dramatique (autrement dit récitatif) depuis Monteverdi. Dans la première aria, de longue notes tenue pendant plusieurs mesures sur les mots selig und bewähret dominent, illustrant la durée éternelle. Dans la deuxième aria, la nostalgie de la mort est exprimée par une ligne ascendante suivie d'un large intervalle vers le bas. La troisième aria montre Jésus vainqueur par des fanfares de triades brisées. Dans la dernière aria, la ligne du violon peut être interprétée comme un mouvement passionné de l'âme vers les bras de Jésus. Après qu'une union mystique a été atteinte dans la seconde partie de l'aria, Mein Heiland, ich sterbe mit höchster Begier, aucun da capo n'est possible ; L'aria se termine sur la question : was schenkest du mir?, à laquelle répond le choral final en quatre parties''. Source Notes et références Bibliographie Gilles Cantagrel, Les cantates de J.-S. Bach, Paris, Fayard, , 1665 p. Articles connexes Liste des cantates de Jean-Sébastien Bach Liens externes Cantate de Jean-Sébastien Bach
Internet Watch Foundation et Wikipédia
Le , l’Internet Watch Foundation — une organisation britannique de veille citoyenne — met sur liste noire l’article de la Wikipédia en anglais concernant l’album Virgin Killer des Scorpions, en raison de la présence dans celui-ci de sa couverture controversée, représentant une jeune fille posant nue, un effet de verre brisé cachant son sexe. L’image a été considérée comme « un contenu potentiellement illégal » aux termes de la loi britannique, qui prohibe la possession ou la création de photographies indécentes d’enfants. La liste noire de l’IWF est utilisée par des systèmes de filtrage comme Cleanfeed, systèmes dont l’utilisation est imposée aux fournisseurs d'accès à Internet britanniques par la loi. L’URL de la page de description, qui présente l’image, a aussi été mise dans la liste noire ; cependant, tant la miniature que l’image elle-même restent accessibles. La couverture avait déjà été l’objet de controverses au moment de sa sortie, et avait été remplacée sur certains marchés par une couverture alternative représentant une photographie des membres du groupe. L’IWF décrit l’image comme « une image potentiellement illégale représentant de manière indécente un enfant de moins de 18 ans ». La politique de Wikipédia veut que l’on ne censure pas les contenus « que certains lecteurs trouvent inconvenantes ou choquantes, même extrêmement », et donc ne retire que les contenus non pertinents, vandales ou illégaux aux termes de la loi de l’État américain de Floride, où ses serveurs sont situés. Wikipédia retire aussi les contenus qui violent ses règles à propos des biographies de personnes vivantes, ou qui violent d’autres de ses règles. En plus des conséquences directes de la censure — qui peut cependant être contournée — de l’article et de l’image pour les lecteurs britannique de la Wikipédia en anglais au travers des FAI touchés, et quand bien même cette image est facilement accessible sur d’autres sites majeurs dont Amazon.co.uk (duquel elle a été retirée ultérieurement) et en vente libre dans le pays, l’action a eu plusieurs conséquences pour Wikipédia, notamment le fait d’empêcher temporairement tous les éditeurs anonymes utilisant ces FAI de contribuer à quelque page que ce soit de l’encyclopédie. Ceci a été décrit par l’IWF comme un « dommage collatéral » involontaire. Ceci est dû au faible nombre de proxies utilisés pour accéder à Wikipédia, étant donné que Wikipédia a une politique de blocage des contributeurs qui vandalisent l’encyclopédie. Ainsi, tout vandalisme venant d’un de ces FAI sera effectué au travers d’un de ces proxies et tous les autres utilisateurs du même FAI seront eux aussi empêchés d’éditer Wikipédia. Après avoir lancé sa procédure d’appel et analysé la situation, l’IWF a annulé sa mise sur liste noire de la page le , et a annoncé qu’elle ne mettrait plus sur liste noire d’autres copies de l’image hébergées hors du Royaume-Uni. Contexte L’illustration de la pochette de l’album Virgin Killer des Scorpions était déjà controversée au moment de sa sortie étant donné qu’elle représente une jeune fille entièrement nue, seul un effet de verre brisé cachant son sexe. Cette pochette a été remplacée sur certains marchés par une image alternative consistant en une photo des membres du groupe. RCA a refusé de vendre l’album avec sa couverture controversée aux États-Unis. Cette couverture n’a pas été la seule des Scorpions à être controversée, ce fut le cas de celles de Taken by Force et de Lovedrive. En fait, la France est le seul pays dans lequel la pochette n'a pas été censurée. Concernant Wikipédia, la pochette était présente sur Wikipédia en anglais, mais pas en français, pour des raisons de droits d'auteur : son usage relevait du fair-use, interdit sur Wikipédia en français. Notes et références Liens externes Internet Watch Foundation Discussion interne sur Wikipédia à propos de l’affaire Liste des articles de presse à propos de l’affaire Aspects techniques de la censure de Wikipédia, Richard Clayton (Université de Cambridge) Censure Internet
Rapport Cox
Le rapport de la commission spéciale sur la sécurité nationale américaine et les préoccupations militaires et/ou commerciales sur la République Populaire de Chine (Report of the Select Committee on U.S. National Security and Military/Commercial Concerns with the People's Republic of China), communément appelé le Rapport Cox du nom du représentant républicain Chris Cox, est un document gouvernemental classifié traitant des opérations secrètes supposées de la république populaire de Chine aux États-Unis durant les années 1980 et 1990. Comité créé par la Chambre des représentants des États-Unis Le rapport est le produit du travail de la commission spéciale sur la sécurité nationale américaine et des préoccupations militaires et/ou commerciales à propos de la République Populaire de Chine. Ce comité spécial a été créé par un vote favorable de 409 voix contre 10 de la Chambre des représentants des États-Unis le . Il était chargé d'établir si de la technologie ou de l'information concernant l'amélioration des missiles balistiques intercontinentaux nucléaires ou pour la fabrication d'armes de destruction massive, avaient été transférées depuis les États-Unis vers la République Populaire de Chine. Une enquête similaire avait déjà commencé au Sénat sous la direction du sénateur Fred Thompson (Républicain-Tennessee), onze mois plus tôt (le ). Thompson avait ouvert ses audiences sur l'influence de la Chine lors des élections présidentielles et du Congrès de 1996. Le président de la commission était le républicain Chris Cox (représentant de la Californie), dont le nom a été donné au rapport final. Quatre autres représentants républicains et démocrates ont siégé à cette commission, dont le démocrate . Le rapport final a été approuvé à l'unanimité par l'ensemble des neuf membres. La version expurgée du rapport a été rendue publique le . Allégations principales Le Rapport Cox contenait cinq allégations principales à propos de la Chine et des armes nucléaires : La Chine a eu accès à des informations concernant les sept armes thermonucléaires les plus avancées des États-Unis ; Ces secrets volés ont permis à l'APL d'accélérer la conception, le développement et l'expérimentation de ses propres armes nucléaires ; La prochaine génération d'armes nucléaires chinoise serait partiellement issue de ces informations dérobées et serait comparable, du point de vue de l'efficacité, aux armes utilisées par les États-Unis ; De petites ogives, basées sur des informations volées aux États-Unis, pourraient être prêtes pour un déploiement en 2002, permettant également à la Chine d'intégrer la technologie MIRV sur sa prochaine génération de missiles ; Ces vols ne sont pas des incidents isolés mais le résultat de décennies d'opérations de renseignement menées par le Guojia Anquanbu contre les laboratoires des États-Unis. Selon le rapport, les activités d'espionnage de la Chine continueraient, malgré le renforcement de sécurité mis en place à la suite de cette découverte. Lorsqu'il en eut connaissance, le gouvernement chinois dénonça l'ensemble de ses allégations et les considéra comme . Alors que plusieurs groupes, dont la République Populaire de Chine, soutiennent que le rapport est surévalué ou inexact, ses auteurs et ses partisans soutiennent que sa substance est indéniable. Les principales découvertes de la commission Cox sont résumées dans l'introduction du rapport : Les réponses au Rapport Cox La réponse de la Chine La République Populaire de Chine a affirmé que sa technologie nucléaire était issue d'un développement local et n'avait pas été le fruit de l'espionnage. La réponse du Congrès La diffusion du rapport Cox a entraîné de grandes réformes législatives et administratives. Plus de deux douzaines de recommandations de la commission spécialisée ont été promulguées en loi, y compris celle concernant la création de la pour prendre en charge les questions attenant à la sécurité des armes nucléaires du Département de l'Énergie des États-Unis. Dans le même temps, nul n'a jamais alors été reconnu coupable de fournir des informations nucléaires à la Chine, et le seul cas d'accusation reporté au , celle de Wen Ho Lee, a été abandonné. Poursuites connexes Deux des entreprises américaines citées dans le rapport (Loral Space and Communications et Hughes Electronics) ont ensuite été poursuivies par le gouvernement fédéral américain pour violation de la loi sur le contrôle des exportations. Les deux sociétés se virent infliger les deux plus fortes amendes de l'histoire du . Loral a payé une amende de 14 millions de dollars et Hughes a payé une amende de 32 millions de dollars. Critiques Le rapport a exagéré la portée des MSBS JL-2 en l'annonçant à au lieu de , valeur classique utilisée dans la communauté du renseignement. En s'appuyant sur cette portée exagérée, le rapport spécule sur la façon dont l'APL pourrait changer sa politique et sa doctrine nucléaires. Évaluation des dommages À la suite des allégations contenues dans le rapport, la CIA a chargé l'amiral à la retraite d'examiner et d'évaluer les conclusions du rapport. En , l'amiral Jeremiah a publié un rapport allant à l'encontre de l'allégation principale du Rapport Cox selon laquelle les informations volées avaient été utilisées pour développer ou moderniser les ogives et/ou les missiles chinois. Complicité des États-Unis Jonathan D. Pollack, un expert du développement technologique et militaire chinois, a critiqué le rapport pour avoir omis de divulguer le contexte dans lequel les relations sino-américaines après la visite de Richard Nixon en Chine en 1972 avait favorisé le renforcement de la puissance de la Chine comme un contrepoids à l'Union soviétique. Ainsi, ces transferts illégaux de technologie aurait, selon lui, eu lieu dans une atmosphère détendue, voire un environnement complice. Utilité des ogives W70 et W88 Richard L. Garwin, un ancien concepteur d'armes américain, a fait remarquer que les informations volées sur les ogives W70 et W88 ne sembleraient pas altérer directement la sécurité nationale américaine puisque le développement d'armes basées sur cette technologie nécessiterait un investissement massif en ressources et ne serait pas en adéquation avec les intérêts stratégiques chinois au vu de leur programme nucléaire. Rapport du CISAC En , un groupe de physiciens et de chercheurs de Harvard, Stanford, et du Laboratoire national de Lawrence Livermore a rendu une évaluation du Rapport Cox qui fut publiée par le Stanford University Center for International Security and Cooperation. L'examen a réfuté l'ensemble des cinq principales conclusions du rapport. Notes et références Annexes Articles connexes Guojia Anquanbu, ministère de la Sécurité de l'État chinois Qingbao, service de renseignement militaire chinois Liens externes The Report of the Select Committee on U.S. National Security and Military/Commercial Concerns with the People's Republic of China - U.S. House website The Report of the Select Committee on U.S. National Security and Military/Commercial Concerns with the People's Republic of China - GPO website The Report of the Select Committee on U.S. National Security and Military/Commercial Concerns with the People's Republic of China - Time.com President Clinton's Response to the Cox Report PDF file of the Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs, Chaired by then-Senator Fred Thompson PBS piece on the Cox Report A collection of short excerpts from articles about responses to and criticisms of the Report Response to the Report by the People's Republic of China Senate Intelligence Committee's rebuttals to criticism (PDF) A response to the rebuttal (PDF) Cox Report on Russia Document classifié Renseignement militaire Affaire d'espionnage Relations entre la Chine et les États-Unis Programme nucléaire de la Chine
Place des Moulins
La Place des Moulins se trouve dans le de Marseille. Cette dénomination provient de l’implantation de moulins à vent installés sur ce point haut. Sur les gravures du on peut en dénombrer une quinzaine, il en reste encore trois : deux au sud englobés dans des maisons et un au nord-est aménagé en habitation au N° 28. L'auteur ayant passé la plupart de sa vie à Marseille a résidé pendant plus de 15 ans aux abords de cette place. Bibliographie André Bouyala d’Arnaud, Évocation du vieux Marseille, les éditions de minuit, Paris, 1961. Adrien Blés, Dictionnaire historique des rues de Marseille, Ed. Jeanne Laffitte, Marseille, 1989, . Moulins Moulins
LCAC
Le LCAC (Landing craft air cushioned, ou véhicule de débarquement à coussin d'air) est une classe d'embarcation de débarquement sur coussin d'air américaine. Son mode de propulsion permet une réduction du temps de transition entre les navires et la plage, ainsi que son déploiement sur plus de 70 % des côtes du globe, et cela comparé aux 17 % des navires de débarquement conventionnels. Historique Son concept remonte aux années 1970. Deux prototypes d'aéroglisseurs, JEFF(A) construit par Aerojet en Californie, et JEFF(B) construit Bell Aerospace à la Nouvelle-Orléans sont testés par l'U.S. Navy de 1977 à 1981 au cours de multiples scénarios et exercices, comprenant des opérations combinées ainsi que des essais en Alaska. Les deux exercices menés en conditions arctiques montrèrent que la cadence de rotations des L.C.A.C. devait être régulièrement ralentie afin de supprimer les amas de givre sur les superstructures et la jupe tandis que l'usage de JP-5 (dénomination militaire américaine du kérosène) réduisait les risques de colmatage des filtres. Le premier LCAC est livré en livré à l'U.S. Navy en 1984. Le lancement de la production en série fut accordé le . Un total de 91 LCAC ayant été construits jusqu'en 2001. Comme tout aéroglisseur, l'emploi du L.C.A.C est particulier, ainsi chaque unité est sous l'autorité du contrôle aérien local ou du contrôleur aérien du navire d’assaut, la commande de tangage et de roulis est un manche, tandis que le lacet est commandé par un palonnier. Il est déployé par les navires des classes Austin, , Whidbey Island, Tarawa, Wasp, etc. Il est utilisé en 2020 par deux marines de guerre, 72 exemplaires pour l'US Navy et 6 pour la Force maritime japonaise d'autodéfense reçu entre 1994 et 2000. 68 exemplaires américains subissent à partir de décembre 2018 un nouveau programme d'extension de durée de service. Remplacement Aux États-Unis, un appel d'offres a été lancé en 2010 pour le remplacement des LCAC. Le programme, dénommé Sea Base-to-Shore Connector (SSC), prévoit alors la commande de 80 nouveaux aéroglisseurs pour un montant de 4 milliards de dollars. Textron a été désigné en 2012 (avec L3C) pour développer un prototype du "Ship-to-Shore Connector" (SSC) dans le cadre d'une enveloppe de 212,7 millions de dollars, avec une option pour une présérie de 8 exemplaires, ce qui portera le montant initial à 570 millions de dollars. Le SSC est capable de transporter 74t de matériel ou 145 fantassins équipés. En plus du prototype destiné aux essais, 72 de série au total pourraient être commandés. 2 exemplaires auraient du être livrés durant l'année fiscale 2015 et 38 sont prévus, à cette date, entre 2016 et 2020. Finalement, le premier exemplaire destiné aux essais immatriculé 100 commence à être construit le ; il commence ses essais sur l’eau en 2015 puis est livré à la marine des États-Unis le . Treize SSC supplémentaires sont en cours de production en date du . Un contrat annoncé le 16 avril 2020 d'un montant de 386 millions de $ prévoit la livraison des SSC 109 a 123, soit 15 unités, d'ici janvier 2025. Notes et références Voir aussi Articles connexes Zubr Engin de débarquement amphibie rapide Liens externes Page officiel de l'US Navy sur les LCAC Page sur les LCAC sur Navysite Embarcation de débarquement de l'US Navy Aéroglisseur Navire construit au Mississippi
19e législature de la Saskatchewan
La législature de la Saskatchewan est élue lors des élections générales de . L'Assemblée siège du au . Le Nouveau Parti démocratique est au pouvoir avec Allan Blakeney à titre de Premier ministre. Le rôle de chef de l'opposition officielle est assumé par David Steuart du Parti libéral jusqu'à son remplacement par en . John Edward Brockelbank sert comme président de l'Assemblée durant la législature. Membres du Parlement Les membres du Parlement suivants sont élus à la suite de l'élection de 1978 : Notes Représentation Notes Élections partielles Des élections partielles peuvent être tenues pour remplacer un membre pour diverses raisons : Notes Liens internes Liste des législatures du parlement saskatchewanais Élection générale saskatchewanaise de 1978 - Résultats par circonscription Liens externes Notes et références Politique en Saskatchewan
Perspective de mouvement
La notion de perspective de mouvement fut développée par James J. Gibson (1904-1979). C'est le fait qu'un objet en mouvement paraît se déplacer plus lentement lorsqu'il est loin que lorsqu'il est proche. Ceci se comprend bien en considérant la notion de perspective conique : une longueur donnée apparaît d'autant plus petite qu'elle est loin. La vitesse moyenne étant la distance parcourue divisée par le temps de parcours, on voit que la vitesse apparente diminue proportionnellement à la taille apparente. Applications Ceci est utilisé pour donner un effet de profondeur dans un film d'animation ou un jeu vidéo. Une des techniques utilisées consiste à faire défiler des calques (celluloïd) à des vitesses différentes : le calque correspondant au premier plan défile à une certaine vitesse, et les calques sous-jacents défilent plus lentement. Dans les jeux vidéo, on parle de (en français, « effet de parallaxe »). Dans les mangas, ce sont des lignes proches les unes des autres qui donne l'impression de vitesse. On part de la base de l'objet qui s'avance, et on trace des lignes jusqu'à sa "cible". Lien externe Les mouvements oculaires et la localisation spatiale lors d'un déplacement Techniques d'animation Vision
Przemysław Stańczyk
Przemysław Stańczyk (° Szczecin, le 12 février 1985), est un nageur polonais, spécialiste des 400 et 800 m nage libre. Biographie Przemysław Stańczyk est étudiant en éducation physique à l'Université de Szczecin. Il participe à ses premiers Jeux olympiques en 2004 où il se classe neuvième de l'épreuve du libre, avec un temps de . Dans cette même discipline, il termine trois fois quatrième aux Championnats d'Europe de natation 2004 en petit bassin à Vienne, aux Championnats du monde de 2005 à Montréal et aux Championnats d'Europe de natation 2006 à Budapest. En 2007 à Melbourne, il est deuxième de l'épreuve du libre des Championnats du monde, derrière le Tunisien Oussama Mellouli et, avec un temps de , il pulvérise son propre record national de près de 3 secondes. Le , soit presque six mois après ce résultat, la médaille d'or lui est attribuée après la disqualification prononcée à l'encontre du nageur tunisien par le tribunal arbitral du sport. Palmarès Championnats du monde de natation Championnats du monde de natation 2007 à Melbourne médaille d'or de l'épreuve du 800 m nage libre (Temps ) Championnats d'Europe de natation en petit bassin Championnats d'Europe de natation 2006 en petit bassin à Helsinki médaille d'argent de l'épreuve du 400 m nage libre (Temps ) Notes Liens externes Naissance en février 1985 Naissance à Szczecin Nageur polonais Nageur aux Jeux olympiques d'été de 2008 Nageur aux Jeux olympiques d'été de 2004 Champion du monde de natation
Dendrolycosa sierwaldae
Dendrolycosa sierwaldae est une espèce d'araignées aranéomorphes de la famille des Pisauridae. Distribution Cette espèce est endémique de Nouvelle-Guinée. Description La femelle holotype mesure . Étymologie Cette espèce est nommée en l'honneur de Petra Sierwald. Publication originale Jäger, 2011 : Revision of the spider genera Nilus O. Pickard-Cambridge 1876, Sphedanus Thorell 1877 and Dendrolycosa Doleschall 1859 (Araneae: Pisauridae). Zootaxa, , . Liens externes Notes et références Pisauridae Espèce d'araignées (nom scientifique) Faune endémique de Nouvelle-Guinée Araignée d'Indonésie
Castrillo de Murcia
Castrillo de Murcia est une ville d’Espagne, dans la province de Burgos, communauté autonome de Castille-et-León. Géographie Jumelages Liens externes Commune dans la province de Burgos
Manuel de Sá
Manuel Sá (ou Manuel de Sá), né vers 1528 à Vila do Conde (entre Douro e Minho, au Portugal) et décédé le à Arona, en Italie, était un prêtre jésuite, théologien et écrivain portugais. Biographie Né vers 1528 le jeune Manuel fait ses études à l’Université de Coimbra avec un tel succès que Klefeker l’a placé parmi les savants précoces (voy. Bibl. erudit. præcoc., p.326). A dix-sept ans, le 27 septembre 1545 il est reçu comme novice chez les Jésuites, à Coimbra : l’Ordre religieux fondé par saint Ignace de Loyola n’est approuve que depuis cinq ans. Étant encore novice, il est envoyé par Simon Rodrigues avec deux autres compagnons en Espagne, pour y aider à l’implantation de la Compagnie de Jésus, avec l’intention de retourner plus tard au Portugal. Ayant achevé la période de noviciat à Valence (Espagne), il est envoyé enseigner la philosophie à Gandie, où le duc François de Borgia avait fondé un collège (1547), qu’il confia immédiatement aux Jésuites. Manuel de Sa y eut pour disciple le duc de Borgia, lui-même, qu’il accompagna également à Rome lors son pèlerinage de l’année jubilaire (1550-1551). De retour en Espagne avec Borgia, il étudie la théologie (1551-1554) à Alcalá. Appelé par Ignace à Rome pour y enseigner au Collège romain (fondé en 1551), il y arrive en octobre 1554. Un an plus tard il est ordonné prêtre: septembre 1555. Pendant deux ans, il donna des leçons sur les prophéties d’Osée et sur la théologie de saint Thomas d'Aquin. Bien qu’il fût jeune et pas encore prêtre Ignace de Loyola l’inclut dans le groupe des premiers compagnons chargés d’examiner les Constitutions de l’Ordre religieux, avant leur promulgation. À partir de 1556, il est surtout engagé dans l’enseignement de la théologie et surtout l’exégèse biblique au Collège romain. Le père Manuel Sa prononce ses vœux solennels définitifs, à Rome, le 2 novembre 1559. Étant donné sa compétence, il est chargé (avec d’autres) par le pape Pie V de réviser la Vulgate (version officielle latin de la Bible), comme l’avait mandaté le concile de Trente À Rome, il jouissait d’une bonne réputation de prédicateur - moins due aux moyens oratoires qu’à une évidente et profonde conviction personnelle - au point de remplacer (1572) pour un temps François de Tolède, prédicateur ordinaire du Palais apostolique. Le père de Sà a également des responsabilités dans le gouvernement de la Compagnie de Jésus : à diverses occasions il est envoyé par le Supérieur général comme visiteur canonique de maisons et œuvres jésuites de Toscane, dans les Marches et Ancône. Il contribue à l’établissement du séminaire de Milan et de plusieurs maisons dans la haute Italie. Sa sante donnant des soucis il est contraint d’abandonner l’enseignement (en 1572) et se consacre à un ministère spirituel et sacerdotal dans le nord de l’Italie (Lorette et ensuite à Gênes). Quand vient le moment d’arrêter toute activité il se retire au noviciat d’Arona, au bord du Lac Majeur, où il meurt le 30 décembre 1596, laissant derrière lui une grande réputation de sainteté. Écrits Scholia in quatuor Evangelia, Anvers, 1596, in-4°. Cet ouvrage a eu plusieurs éditions. Notationes in totam sacram Scripturam, ibid., 1598, in-4° ; souvent réimprimé. Les notes du Père Sa sont courtes, claires et érudites. On y trouve cependant quelques erreurs, que les protestants ont relevées (voy. Thomæ Crenii animadvers. philologicæ, t. 11, p. 84 et suiv.). Aphorismi confessariorum ex doctorum sententiis collecti, Douai, 1627, in-24. Cette édition, citée par les pères Alegambe et Robert Southwell (Bibl soc. Jesu), passe pour la plus correcte. Quoique l’auteur eût employé quarante années à former ce recueil de maximes, il en avait laissé passer un certain nombre qui ont été retranchées par le maître du sacré palais comme s’éloignant des opinions reçues par les théologiens. Le P. Sa est encore auteur d’une Vie du P. Texeda, capucin, confesseur de saint François de Borgia, Supérieur général de la Compagnie de Jésus. Elle est restée manuscrite. Bibliographie Notes Bibliographie Liens externes Naissance en 1530 Naissance à Vila do Conde Décès en décembre 1596 Décès dans la province de Novare Étudiant de l'université de Coimbra Jésuite portugais Théologien catholique portugais Professeur à l'université pontificale grégorienne
Catalogue Hipparcos
Le catalogue Hipparcos (HIP) est un catalogue d'étoiles résultant de la mission spatiale astrométrique Hipparcos diligentée par l'Agence spatiale européenne. Le satellite a fonctionné entre novembre 1989 et mars 1993 et a permis d'obtenir la parallaxe de étoiles proches avec une précision d'une milliseconde d'arc, les coordonnées célestes y sont exprimées dans le référentiel ICRS. Description Le catalogue d'étoiles contient des données astrométriques et photométriques de haute précision pour un grand nombre d'étoiles : coordonnée équatoriale ; mouvement propre ; parallaxe ; magnitudes dans les bandes spectrales B, V et I. Des annexes listent également : étoiles multiples et donnent les paramètres orbitaux pour un petit nombre d'entre elles ; étoiles variables ; des données astrométriques et photométriques concernant le Soleil. Ce catalogue contient également des centaines de milliers d'étoiles, certaines en dehors de la Voie lactée comme dans le Petit Nuage de Magellan. Voir aussi Articles connexes Astrométrie Agence spatiale européenne Catalogue Tycho Liens externes La mission astrométrique Hipparcos Recherche dans le catalogue Hipparcos (site du Centre de données astronomiques de Strasbourg) Recherche dans les catalogues Hipparcos et Tycho (site de l'Agence spatiale européenne) Portail de l'Agence spatiale européenne site Hipparcos Hipparcos
US Open féminin de squash 2021
L'US Open féminin 2021 est l'édition 2021 de l'US Open qui se déroule au nouvel emplacement de l'Arlen Specter US Squash Center à Philadelphie du au . Le tournoi appartient à la catégorie la plus prestigieuse Platinium avec 48 joueuses dont deux wild card, les sœurs Lucie et Marina Stefanoni. Cette dernière crée la sensation en battant sèchement Danielle Letourneau, tout nouvelle joueur mondiale. Georgina Kennedy forte de ses sept titres remportés durant l'été, un record, s'impose très facilement au tour face à la tête de série Rowan Elaraby mais s'inclide au tour suivant face à la Française Mélissa Alvès. Les finalistes la semaine précédente du tournoi Netsuite Open, Salma Hany et Amanda Sobhy sont rapidement éliminées et cette dernière concède sa première défaite à sa compatriote et partenaire d’entraînement Olivia Fiechter. En finale, la tenante du titre Nouran Gohar conserve son titre face à Hania El Hammamy. Dotation et points En 2021, la dotation est de , dotation identique à celle de l'édition masculine. Les points sont répartis suivant le tableau suivant: Têtes de série Tableau final Demi-finale, finale Tableau supérieur Tableau inférieur Références Voir aussi Articles connexes US Open masculin de squash 2021 US Open Saison 2021-2022 de la PSA Liens externes Page PSA Féminin 2021 PSA World Series 2021 Sport en Pennsylvanie en 2021 Sport aux États-Unis en octobre 2021
Meckel (homonymie)
Sciences et techniques Les références à Meckel concernent généralement l'anatomiste allemand Johann Friedrich Meckel (Meckel le Jeune), parfois son grand-père (Meckel l'Ancien). Anatomie Les cartilages de Meckel (le Jeune) sont les cartilages des mandibules sur lesquels se développent l'enclume et le marteau de l'oreille moyenne ; Le cavum de Meckel (l'Ancien) est une poche de la dure-mère, qui contient du liquide cérébro-spinal ; Le diverticule de Meckel (le Jeune) est un reliquat embryologique du canal omphalo-mésentérique, situé sur le dernier tiers de l'intestin grêle. Le ganglion de Meckel (l'Ancien) est un ganglion nerveux situé derrière la cavité nasale, dans la fosse ptérygo-palatine. Biologie La loi de Meckel-Serres (Meckel le Jeune) est une loi pré-évolutioniste selon laquelle un animal a comme phase développementale la phase adulte de l’espèce « inférieure ». Médecine Le syndrome de Meckel (le Jeune) est un syndrome médical qui associe typiquement une polydactylie postaxiale, une et une encéphalocèle, le plus souvent occipitale. Patronyme Jacob Meckel (1842-1905), un général de l'armée prussienne qui fut Conseiller étranger au Japon pendant l'ère Meiji ; Johann Friedrich Meckel (1724-1774), dit Meckel l'Ancien, un anatomiste allemand ; Johann Friedrich Meckel (1781-1833), dit Meckel le Jeune (petit-fils du précédent), un anatomiste allemand, l'un des pères fondateurs de la tératologie ; Markus Meckel (1952-), un théologien, homme politique et diplomate allemand. Toponyme Meckel est une municipalité allemande située dans le Land de Rhénanie-Palatinat et l'arrondissement d'Eifel-Bitburg-Prüm.
Condylarthra
L'ordre des Condylarthra (Condylarthres en français) est constitué de placentaires de l'ère tertiaire. Cet ordre paraphylétique regroupe les ancêtres de nombreux ongulés modernes. On y comptait également les Paenungulata, mais des analyses génétiques ont invalidé cette hypothèse. Leur nom se réfère à leurs articulations calleuses (« condylus » + « arthros »). Au cours du Paléocène et de l'Éocène les condylarthres étaient répartis sur tout le globe, y compris dans les continents australien et sud-américain qui étaient alors isolés. Les condylarthres étaient un groupe très diversifié avec plusieurs familles et un grand nombre de genres et d’espèces. Certains genres étaient de petits insectivores (par exemple Haplaletes), d'autres des omnivores arboricoles (par exemple Chriacus) et d'autres étaient de grands animaux végétariens vivant au sol (par exemple Phenacodus). Évolution Les premiers condylarthres se sont développés au cours du Crétacé. Il s'agissait à l'époque de petits omnivores, qui vivaient parmi les dinosaures. Un exemple de condylarthre mésozoïque et cénozoïque est Protungulatum de la fin du Crétacé et du début du Paléocène (Amérique du Nord). Cet animal à l'allure d'un agouti possédait des dents qui étaient déjà plus ou moins adaptées à la consommation de fruits et de feuilles tendres. Du fait de l'extinction massive à la fin du Crétacé, il y a 66 millions d'années, diverses niches écologiques devinrent vacantes et les condylarthres devinrent les principaux végétariens. Quelques groupes conservèrent toutefois l'ancien mode d'alimentation omnivore. Au cours de l'Éocène les condylarthres furent évincés par les ongulés proprement dits. On considère les condylarthres comme les ancêtres possibles de divers groupes d'Ongulés apparus plus tard. À l'heure actuelle, il est toutefois difficile de dire précisément quelle famille est à l'origine de quel groupe d'ongulés, mais pour l'instant on conjecture : que les Arctocyonidés ont pu évoluer pour devenir des Mésonychidés et des Artiodactyles ; que les Phenacodontidés peuvent être les lointains ancêtres des Périssodactyles ; et que les Mioclénidés ont pu évoluer en Litopternes en Amérique du Sud. Liste des familles Arctocyonidae Didolodontidae Hyopsodontidae Mioclaenidae Peligrotheriidae Periptychidae Phenacodontidae Sparnotheriodae Tingamarroididae Lien externe Condylarths: Archaic hoofed mammals Taxon décrit en 1881 Taxon fossile décrit en 1881
Krasnogorski (oblast de Tcheliabinsk)
Krasnogorski (en ) est une commune urbaine de l'oblast de Tcheliabinsk, en Russie. Sa population s'élevait à habitants en 2013. Géographie Krasnogorski est située dans le sud et sur le versant oriental de l'Oural, à au sud de Iemanjelinsk, à au sud de Tcheliabinsk et à à l'est de Moscou. Histoire Sur la rive opposée de la Ouvelka, un village fondée en 1832 existait. Il s'agit de Krasnoïe (nommé jusqu'en 1919 Nikolaïevka, aujourd'hui Krasnosïolka). Si les premières constructions sont sorties de sol en 1946, la ville se développe surtout à partir de 1954-1958 grâce à l'activité minière centrée autour du charbon. La plupart des entreprises de charbonnages n'ont pas survécu à la dislocation de l'Union soviétique. Aujourd'hui, l'économie s'est restructurée et la ville se positionne comme centre agricole. Les activités gravitent donc autour de la transformation des produits agricoles et de la fabrication d'outillage. Population Recensements (*) ou estimations de la population Notes et références Liens externes Cartes topographiques Commune urbaine dans l'oblast de Tcheliabinsk
Jørgen Schmidt
Jørgen Schmidt (né le à Vester Alling) est un coureur cycliste danois. Il a notamment été champion du monde sur route amateurs en 1970. Palmarès 1969 du championnat des Pays nordiques du contre-la-montre par équipes du championnat du Danemark sur route amateurs 1970 Champion du monde sur route amateurs Champion des Pays nordiques du contre-la-montre par équipes du championnat du Danemark sur route amateurs du Grand Prix de France du championnat des Pays nordiques sur route 1971 Fyen Rundt du championnat du Danemark du contre-la-montre amateurs 1975 du championnat du Danemark du contre-la-montre amateurs Notes et références Liens externes Coureur cycliste danois Champion du monde de cyclisme sur route Naissance en août 1945
Kathleen Baker
Kathleen Baker (née le à Winston-Salem) est une nageuse américaine. Elle remporte la médaille d'argent du dos aux Jeux olympiques d'été de 2016 à Rio de Janeiro. Elle porte le record du monde du 100 m dos, qui appartenait depuis 2017 à la Canadienne Kylie Masse, à 58 s 00 lors des Championnats des États-Unis 2018 à Irvine. Elle est atteinte de la maladie de Crohn. Notes et références Liens externes Nageuse américaine Nageuse aux Jeux olympiques d'été de 2016 Championne olympique de natation Championne olympique américaine Médaillée d'argent olympique américaine Naissance à Winston-Salem Naissance en février 1997 Nageuse du LA Current
Église Saint-Roch de Blésignac
L'église Saint-Roch est une église catholique du située sur la commune de Blésignac, dans le département de la Gironde, en France. Localisation L'église et le cimetière la ceignant se trouvent dans la partie nord-est du village, sur la route départementale D140. Historique L'église Saint-Roch serait une ancienne église templière rattachée à la commanderie de Saint-Jean de Montarouch. Dans les anciens textes, elle est désignée sous le vocable de Saint-Vivien. Elle a suivi des cycles de remaniement. La nef, d’origine romane, a été dotée d’ouvertures supplémentaires et d’un collatéral nord voûté en étoile, puis d’une voûte à la fin du . L’abside ronde en cul-de-four, du , présente des colonnes engagées s’arrêtant avant le sommet. Il ne reste aucune décoration romane. Le bénitier, en pierre, réalisé dans une forme octogonale, date de 1622. La pierre tombale d'un clerc du est encastrée dans le mur de l'église. La tête du défunt est entourée de chérubins, dont un recueille son âme, représentée par un petit homme nu. L’œuvre est de style de Renaissance. Hors de l'église, se trouve également une croix de cimetière (une croix hosannière) inscrite au titre des monuments historiques. L'église a été inscrite au titre des monuments historiques en totalité par arrêté du . Annexes Articles connexes Liste des monuments historiques de l'arrondissement de Bordeaux Blésignac Liens externes L'église Saint-Roch de Blésignac sur le site Visites en Aquitaine. Références Monument historique inscrit en 2001 Blésignac Roch Blesignac Roch Blésignac
Franz von Rinecker
Franz von Rinecker, né à Scheßlitz le et mort à Wurtzbourg le , est un pharmacologiste et médecin bavarois. Biographie Franz von Rinecker étudie la médecine à Munich et Wurtzbourg et obtient son diplôme en 1834. Professeur de pharmacologie à l'université de Wurtzbourg (1838), il a parmi ses étudiants et assistants, entre autres, Emil Kraepelin, Franz von Leydig, Ernst Haeckel, Richard Geigel, Hermann Emminghaus ou encore Carl Gerhardt. En outre, il est aussi responsable de la nomination d'Albert von Kölliker et de Rudolf Virchow à la faculté de médecine. En plus d'être professeur de pharmacologie, Rinecker est responsable de plusieurs développements majeurs de l'université de Wurtzbourg. Avec Franz von Leydig, il crée l'institut de physiologie de l'école et joue un rôle important dans la création de la clinique pédiatrique universitaire. En 1863, il est nommé directeur de la psychiatrie du Juliusspital et en 1872 assume des responsabilités supplémentaires en tant que directeur de la dermatologie. Notes et références Liens externes Pharmacologue allemand Médecin bavarois Naissance en janvier 1811 Naissance en Bavière Naissance dans le royaume de Bavière Décès en février 1883 Décès à Wurtzbourg Décès dans le royaume de Bavière Décès à 72 ans
Relations entre l'Algérie et le Qatar
Les relations entre l'Algérie et le Qatar se réfèrent aux relations bilatérales entre la République algérienne démocratique et populaire et l'État du Qatar. Présentation Tous deux sont membres de la Ligue arabe et ont traditionnellement des relations amicales, bien que l’Algérie ait quelques différends diplomatiques avec le Qatar sur la couverture de l’Algérie par Al Jazeera. Représentations officielles L’Algérie a une ambassade à Doha tandis que le Qatar a une ambassade à Alger. Crise libyenne Au milieu de la guerre civile libyenne, du voisin de l’Algérie et de l’implication du Qatar, l’Algérie a exprimé d’importantes préoccupations quant à l’insécurité en Libye et s’est partagée avec l’opposition à l’aventure du Qatar en Libye, mais pas directement. Il y a eu d’importants arguments politiques entre deux pays. L’Algérie aurait tenté d’étendre ses propres influences algériennes contre les intérêts du Qatar, avec des preuves évidentes au Mali lorsque l’Algérie a pris une grande main lors du conflit dans le nord du Mali aux dépens du Qatar. Guerres civiles syriennes et yéménites et Guerre civile yéménite L’Algérie et le Qatar ont des points de vue différents, lorsque l’Algérie s’oppose à tout type d’armement pour les rebelles en Syrie tandis que le Qatar soutient fermement l’opposition en Syrie ; donc la même chose se passe au Yémen. En 2016, les ministres de la Défense du Qatar et de l’Arabie saoudite se sont rendus respectivement en Algérie pour discuter de l’engagement militaire de l’Algérie au sujet de l'offensive au Yémen, mais l’Algérie avait refusé de participer, bien qu’elles puissent fournir des renseignements aux militaires saoudiens et qataris au Yémen. Dans les deux cas, l’Algérie a appelé à des médiations entre les parties concernées. Crise diplomatique au Qatar 2017 L’Algérie est restée neutre et a appelé à des médiations entre le Qatar et l’Arabie saoudite et prend une mesure fermement indépendante dans la situation. En donnant les problèmes historiques avec le Qatar et l’Arabie saoudite, l’Algérie ne favorise personne dans le conflit. Le Qatar a apprécié la position de l’Algérie et l’a qualifiée d'"honorable". Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des représentations diplomatiques de l'Algérie Liens externes Qatar Embassy in Algeria. Qatar Algérie
Piz Spinas
Le piz Spinas est un sommet des Alpes, situé à cheval sur la Suisse (canton des Grisons) et l'Italie (Lombardie). Il s'agit d'un sommet situé à l'ouest du piz Palü, dans la région d'Engadine. Il culmine à d'altitude. Son accès est possible en réalisant la traversée des trois sommets du piz Palü. Il fait partie de la chaîne de la Bernina. Notes et références Sommet des Alpes italiennes Sommet des Alpes suisses Montagne en Lombardie Montagne dans le canton des Grisons Province de Sondrio
(6070) Rheinland
(6070) Rheinland est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (6070) Rheinland est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à Tautenburg par Freimut Börngen. Il fut nommÉ d’après la Rhénanie. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 2,39 UA, une excentricité de 0,21 et une inclinaison de 3,1° par rapport à l'écliptique. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (6001-7000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1991 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste nommé d'après un lieu d'Allemagne
Festival du film de Changchun
Le Festival du Film de Changchun se tient tous les deux ans à Changchun (Chine). Il a été créé en 1992 sous l'autorité du Ministère chinois de la Radio, du Cinéma, et de la Télévision. Il est coorganisé par son Ministère de tutelle, et le gouvernement provincial du Jilin. Liens externes Site officiel Festival du film de Changchun sur l'Internet Movie Database Changchun Changchun Festival fondé en 1992 Changchun
Anisophyllea
Anisophyllea R. Br. ex Sabine est un genre de plantes de la famille des Anisophylleaceae. Liste d'espèces Selon : Selon : Anisophyllea boehmii Anisophyllea cinnamomoides Anisophyllea corneri Anisophyllea disticha Anisophyllea fallax Anisophyllea manausensis Anisophyllea meniaudi Anisophyllea myriosticta Anisophyllea obtusifolia Anisophyllea polyneura Anisophyllea pomifera Anisophyllea purpurascens Anisophyllea sororia Selon : Selon (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) : Notes et références Liens externes Genre d'Angiospermes (nom scientifique) Anisophylleaceae
Léon Leclère
Léon Louis Marc Leclère (Ixelles 14 janvier 1866 - Uccle le 31 octobre 1944) est un historien et ministre belge. Biographie Descendant d'une famille française de proscrits de 1852, fils de Césaire Victor Leclère, homme de lettres, et de Marie Louise Tavernier, Léon Leclère acquit la nationalité belge. En 1890, il devint professeur d'histoire du Moyen Âge à l'Université libre de Bruxelles, dont il fut le recteur entre 1914 et 1920. Il fut deux fois doyen de la Faculté de Philosophie et Lettres (1899-1901 et 1926-1929). Recteur de l'université pendant la Première Guerre mondiale, il décida de fermer l'institution en solidarité avec l'Université de Louvain détruite en 1914. En 1919, il fut à l'origine de la création d'un enseignement de pédagogie à l'ULB (section dont il devint le président la même année), duquel émana l'École de Pédagogie (1926). Il fut aussi l'un des fondateurs de la section d'histoire de l'Art et d'Archéologie. En 1893, il fonda avec Émile Vandervelde l'Extension de l'Université. On lui doit plusieurs manuels, dont un d'Histoire de Belgique communément appelé le petit Leclère par les étudiants de l'ULB. En 1922, il fut ministre des Sciences et des Arts durant quelques mois. Léon Leclère fut également membre (pendant plus d'un demi-siècle) et président (entre 1893 et 1895) de la Ligue de l'enseignement. Le musée de la Fondation archéologique de l'Université libre de Bruxelles porte son nom. Distinctions honorifiques Grand Officier de l'Ordre de Léopold Grand Officier de l'Ordre de la Couronne Officier de la Légion d'Honneur Notes et références Bibliographie . . Ministre belge Historien belge Professeur à l'université libre de Bruxelles Recteur de l'université libre de Bruxelles Contributeur de l'Encyclopædia Britannica Naissance en janvier 1866 Naissance à Ixelles Décès en octobre 1944 Décès à Bruxelles Décès à 78 ans
Gruffydd Fychan Ier
Gruffydd Fychan , prince de Powys Fadog c'est-à-dire de Powys du nord pendant 20 ans de 1269/1277 à 1289 Biographie Gruffyd Fychan c'est-à-dire « le Jeune » est le plus jeune des fils de Gruffydd Maelor II, seigneur de Dinas Bran. À la mort de son père en 1269/1270 il reçoit d'abord en partage le domaine patrimonial de ce dernier Iâl et l'Edeirnion, soit le « Glyndyfrdwy » dont il se déclare « Prince ». Il demeure un vassal loyal de Llywelyn ap Gruffydd, roi du Pays de Galles, pendant la guerre de 1277. la même année à la suite de la mort au combat de son frère Madog ap Gruffydd II il devient l'ainé de sa famille. L'accord de paix prévoit qu'il rende l'Hommage féodal à Llywelyn pour l'Edeirnion, mais à Édouard d'Angleterre pour Iâl. Il combat encore aux côtés de Llywelyn pendant la guerre de 1282–1283, et voit ses territoires confisqués par la couronne anglaise après la défaite. Toutefois le John de Warenne comte de Surrey réussit à persuader le souverain de lui concéder la possession de ses anciens domaines, qu'il contrôle désormais, à titre viager, comme tenancier du roi d'Angleterre. Il meurt en 1289 laissant comme héritier un jeune fils Madog Crypl ou Cripel.Owain Glyndŵr est son arrière petit-fils le petit-fils de Madog Crypl. Notes et références . Sources Mike Ashley The Mammoth Book of British Kings & Queens Robinson (Londres 1998) « Gruffyd Maelor II » 371 et « Tableau généalogique 18. Wales (5) Medival Powys » 366. Monarque gallois Roi de Powys Décès en 1289
Carl Weissner
Carl Weissner ( - ) est un écrivain allemand, lié au courant Beat Generation dont il traduisit de nombreux textes. Né à Karlsruhe, diplômé en littérature anglo-saxonne et parfaitement bilingue, il crée en 1965 la maison d'édition PANic Press, puis en 1970, lance le magazine alternatif UFO avec, entre autres, Jörg Fauser. En 1972, il produit, toujours avec Fauser, le support de presse underground Gazolin 23 très marqué par le courant Beat Generation, explorant le cut-up et publiant notamment William S. Burroughs et Gregory Corso. Par ailleurs, il écrit pour International Times et des poèmes, directement en langue anglaise. Weissner fut un infatigable explorateur et promoteur du courant Beat en Allemagne : il passa deux ans à New York, entre 1966 et 1967, grâce à une bourse Fulbright, ce qui lui permit d'entrer en amitié avec la plupart des témoins de la culture alternative des années 1960-70. Établi à Manheim mais grand voyageur, il croisa et traduisit en allemand : Andy Warhol, Claude Pélieu, J. G. Ballard, Allen Ginsberg mais aussi certaines chansons de Bob Dylan et Frank Zappa. Sélection d'ouvrages So Who Owns Death TV, Beach Books Texts & Documents [Mary Beach], San Francisco 1967 (avec William S. Burroughs et Claude Pélieu) The Braille Film, Nova Broadcast Press, San Francisco 1970 The Louis Project, Nova Broadcast Press, San Francisco, 1970 Cut Up or Shut Up, Agentzia, Paris, 1972 Burroughs. Eine Bild-Biographie, Berlin, Nishen, 1994 (avec Michael Köhler) Références Liens externes Écrivain allemand du XXe siècle Poète allemand Traducteur allemand Traducteur vers l'anglais Presse alternative Culture underground Naissance en juin 1940 Naissance à Karlsruhe Décès en janvier 2012 Décès à Mannheim
Eberhardt del'Antonio
Eberhardt del’Antonio, né le à Lichtenstein et décédé le à Dresde, est un écrivain allemand de science-fiction. Biographie Eberhardt Del'Antonio naît le comme fils de serrurier. Il travaille comme ouvrier métallurgiste et suit une formation de dessin technique. Il est contraint d'interrompre des études de sciences de l'ingénieur en 1944 lorsqu'il doit intégrer les rangs de la Wehrmacht. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, il est interné politique et envoyé à Bremerhaven pour y travailler comme grutier, docker, peintre et métallurgiste. Il passa ensuite illégalement dans la zone d'occupation soviétique où il exerça à nouveau divers métiers comme mécanicien ou dessinateur de publicités. À partir de 1951, il travaille comme constructeur au développement de systèmes de pompes. Parallèlement, il suit des cours par correspondance et reçoit son diplôme de psychologique cinématographique. De 1953 à 1959, il s'occupe des activités culturelles de différentes entreprises est-allemandes. Puis il s'installe comme écrivain indépendant à partir de 1959 à Dresde. Eberhardt Del'Antonio est surtout connu pour ses romans utopiques qui dépeignent les sociétés humaines du futur après l'avènement du socialisme. Ses plus grands succès furent les deux romans Titanus et Heimkehr der Vorfahren (Le Retour des Ancêtres). Parallèlement à son œuvre de science-fiction, Del'Antonio écrivit de nombreux contes. Œuvres Gigantum, 1957 [Gigantum] Titanus, 1959 [Titanus] Projekt Sahara, 1962 [Projet Sahara] Heimkehr der Vorfahren, 1966 [Le Retour des Ancêtres] Okeanus, 1988 [Océanus] Volle Kraft voraus, 1991 (en collaboration avec Jens Prockat) [Toutes voiles dehors] Annexes Articles connexes Science-fiction Science-fiction de langue allemande République démocratique allemande Liens externes La science-fiction de RDA. Auteurs et œuvres. Naissance en avril 1926 Naissance en Saxe Écrivain allemand du XXe siècle Écrivain allemand de science-fiction Militaire allemand de la Seconde Guerre mondiale Décès en février 1997 Décès à 70 ans Décès à Dresde
Saison 1959-1960 de la Juventus FC
La saison 1959-1960 de la Juventus Football Club est la cinquante-septième de l'histoire du club, créé soixante-trois ans plus tôt en 1897. Le club piémontais prend part lors de cette saison à la du championnat d'Italie ( de Serie A), ainsi qu'à la de la Coupe d'Italie (en italien Coppa Italia). Historique Après deux saisons d'affilée avec au moins un titre à la clé, la Juventus Football Club, entend bien cette année continuer sur sa série de succès. Le président du club, Umberto Agnelli, fait au cours de cette nouvelle saison confiance à un nouvel entraîneur en la personne de Renato Cesarini (ancienne gloire du club), qui prend le relais de l'intérimaire Teobaldo Depetrini. Pour cette saison, les bianconeri font l'acquisition des défenseurs Sergio Cervato (arrivé au début de l'année 1959) et Benito Sarti, tandis que nouveaux milieux de terrain viennent renforcer l'effectif, Severino Lojodice, Bruno Mazzia et Giorgio Rossano, ainsi qu'un nouvel attaquant, Ettore Ninni. C'est donc après une victoire en Coupe de l’amitié au mois de juin contre les français du Stade de Reims (pour la seconde année consécutive), que la Juventus reprend vers la fin de l'été la compétition avec la Serie A. C'est le dimanche que les juventini jouent leur première rencontre à domicile contre le Lanerossi Vicence, s'imposant tranquillement sur le score de 4 buts à 1 (doublé de Charles et buts de Cervato et Nicolè). Il s'ensuit après deux victoires, avant que la Vieille Dame ne connaisse son premier match nul lors de la , un deux buts partout sur le terrain de l'Atalanta (buts de Sívori et Boniperti). La semaine suivante, le 18 octobre, l'équipe de Turin remporte le plus large succès de la saison, en écrasant chez elle 7-0 le club d'Alexandrie (avec des buts de Cervato, Sívori (doublé), Charles (doublé), Stivanello, et Boniperti), premier match d'une nouvelle série de trois victoires d'affilée, série arrêté lors de la et la première défaite bianconera de la saison, 3 à 2 contre Bologne (malgré un doublé de Charles). Deux semaines plus tard, la Juve perd à nouveau à Naples sur ses terres, 2 buts à 1 dans le nouveau Stadio San Paolo (but juventino sur penalty de Cervato), avant de terminer son année avec 2 victoires et un nul. Le a lieu l'élection du Ballon d'or 1959 avec un joueur juventino nominé, et c'est à nouveau le gallois John Charles (dans le classement pour la consécutive) qui termine à la du classement avec 7 votes. Le premier match de 1960 voit la Madama s'en aller gagner 2-0 contre le Milan à San Siro (avec des buts de Stacchini et Cervato), avant d'aller ensuite gagner les 3 derniers matchs de la phase aller. Le 28 février, la Juventus FC s'incline à domicile sur le plus petit des scores face à l'Atalanta, défaite qui mit fin à 8 succès consécutifs. Lors de la du 3 avril, les piémontais débutent à nouveau une nouvelle série de 5 succès de suite, série stoppée le 8 mai à la suite du match nul 2-2 contre la Roma (buts de Sívori et Charles pour la Juve). Il s'ensuivra ensuite deux victoires, puis enfin deux matchs nuls pour les deux dernières rencontres de la saison, les turinois jouant leur dernier match le 5 juin sur le terrain de Palerme, avec un score final de un but partout (réalisation de Sívori). Ayant abandonné le scudetto la saison dernière au Milan, la Juventus, forte de ses 25 victoires, pour 5 matchs nuls et seulement 4 défaites, récupère son titre de champion grâce à ses 53 points, 8 de plus que son premier poursuivant, la Fiorentina. Omar Sívori, avec ses 28 buts en championnat, finit meilleur buteur du championnat, devant le suédois Kurt Hamrin (et termine pour la de suite capocannoniere du club). La Juve prit également part cette saison à la Coppa Italia pour défendre son titre, débutant à l'automne 1959. La première rencontre de coupe, jouée le mercredi , voit finalement les turinois remporter le match avec difficulté après prolongations 5 à 4 sur la Sampdoria (buts de Stacchini, Sívori (doublé) et de Cervato (sur penalty) avant que Nicolè ne donne le coup de grâce à la ). Le match suivant, tout aussi difficile, voit finalement les bianconeri ne l'emporter sur l'Atalanta (au bout de 2 à 2 avec des buts de Sívori et Boniperti) qu'au bout d'une séance de tirs au but sans résultats (6 tirs au but partout). La Juve fut donc donnée gagnante par tirage au sort et qualifiée pour le tour suivant. Le 18 juin, la Vecchia Signora s'impose facilement sur les romains de la Lazio avec un score sans appel 3 buts à zéro (grâce aux buts de Cervato sur penalty, Lojodice et Charles). Qualifiés pour la finale, les joueurs de la Juve se retrouvent à Milan le 18 septembre face à la Fiorentina. Dans un match difficile se terminant par 2-2 à la suite du temps réglementaire (grâce à un doublé de Charles), ce fut le joueur florentin Micheli qui inscrivit un but contre son camp dans les prolongations à la , donnant la victoire à la Juventus. Le club du Piémont garde donc son titre, et devient le premier club italien de l'histoire à remporter la Coupe d'Italie deux saisons consécutivement. La Juve inscrit également une fois de plus son nom dans les records de l'histoire du Calcio, en réalisant cette saison pour la première fois le doublé Championnat-Coupe en une saison (devenant cette saison la seconde équipe italienne de l'histoire à réaliser le doublé après le Torino en 1942-1943). Ce fut une fois au cours de cette saison le secteur offensif qui fut mis en valeur, avec en tout 120 buts inscrits en 54 matchs, grâce notamment à son désormais indispensable « Trio magique » composé de Giampiero Boniperti, de John Charles et d'Omar Sívori. Dans un nouveau cycle, la Juventus FC voit cette saison se terminer sur deux succès (première fois de l'histoire que deux titres officiels sont remportés lors de la même saison par le club), se réinstallant donc définitivement sur le toit de l'Italie. Déroulement de la saison Résultats en championnat Phase aller Phase retour Classement Résultats en coupe -de-finale Quarts-de-finale Demi-finale Finale Matchs amicaux Coupe de l'amitié italo-française Effectif du club Effectif des joueurs de la Juventus Football Club lors de la saison 1959-1960. Buteurs Voici ici les buteurs de la Juventus Football Club toutes compétitions confondues. 32 buts Omar Sívori 29 buts John Charles 11 buts Bruno Nicolè 9 buts Gino Stacchini 8 buts Sergio Cervato 7 buts Giampiero Boniperti 5 buts Umberto Colombo 3 buts Severino Lojodice 2 buts Gianfranco Leoncini Giorgio Stivanello Notes et références Voir aussi Articles connexes Trio magique Liens externes Saison 1959-1960 sur Myjuve.it Saison 1959-1960 sur Juworld.net Saison de la Juventus Juventus Sport en Italie en 1959 Sport en Italie en 1960
Animal Logic
Animal Logic est une entreprise d'effets spéciaux implantée au Building 54 des Fox Studios, dans la ville de Sydney en Australie. Fondée en 1991, la principale ambition d'Animal Logic a été de participer à l'élaboration des meilleurs effets visuels possibles pour la publicité et les émissions télévisées, bien que cette entreprise ait également travaillé pour des clients tels que Cartoon Network. Ensuite, l'entreprise participa à l'élaboration des effets visuels des principaux films à gros budget, comportant entre autres Le Seigneur des anneaux, Moulin Rouge, Matrix, Babe 2 (travaillant alors pour la première fois avec George Miller), Hero, Le Secret des poignards volants, La Planète des singes, Harry Potter et la Coupe de feu, World Trade Center, 300, et Le Royaume de Ga'hoole. En 2002, Animal Logic réalisa Happy Feet, avec George Miller, son premier long métrage d'animation ; le film reçut l'Oscar du meilleur film d'animation. Sorti aux États-Unis le , ce projet fit s'étendre la société de manière significative, celle-ci allant jusqu'à recruter pour l'occasion plus de 300 artistes et techniciens venant de tous les pays du monde. Conçu également par Animal Logic, le vidéo-clip de la chanson “Under the Cherry Tree”, de Telemetry Orchestra, fut récompensé en 2007 à New York. L'entreprise a annoncé avoir fait acquisition de la toute dernière suite logicielle d'effets spéciaux, Nuke, regroupant ainsi en un seul outil certains logiciels qu'elle utilisait déjà. Filmographie 300 de Zack Snyder Le Royaume de Ga'hoole de Zack Snyder Sucker Punch de Zack Snyder Notes et références Liens externes Site officiel Entreprise fondée en 1991 Société d'effets spéciaux Studio d'animation ayant son siège en Australie
Ilhéu da Contenda
est un film cap-verdien réalisé par Leão Lopes et sorti en 1996. C'est une adaptation du roman du même nom de Henrique Teixeira de Sousa paru en 1978 et traduit en français sous le titre Un domaine au Cap-Vert. Synopsis Le film se déroule au Cap-Vert en 1964. Il relate l'évolution de la société cap-verdienne à cette époque où le pouvoir de l'aristocratie, qui possède les grands domaines de l'île, est menacé par l'émergence de nouvelles catégories sociales, notamment les métis qui vivent principalement du commerce. La culture de l'île évolue aussi, mêlant les influences africaines et portugaises. Fiche technique Titre : Réalisation : Leão Lopes Scénario : José Fanha et Leão Lopes, d'après Un domaine au Cap-Vert (Ilhéu da Contenda) de Henrique Teixeira de Sousa. Musique : Manuel Paulo Direction de la photographie : João Abel Aboim Montage : Denise Vindevogel Costumes : Teresa Campos Production : Paulo De Sousa Studios de production : Fundação Calouste Gulbenkian, Instituto Caboverdiano de Cinema (ICC), Instituto Português da Arte Cinematográfica e Audiovisual (IPACA), MBSA Productions, Radiotelevisão Portuguesa (RTP), Saga Film, Vermedia Distribution : Marfilmes (monde, tous supports), Filmes Castello Lopes (Portugal, tous supports) Pays : Langue : portugais Durée : 110 minutes Format : couleur Cadrage : 1,661 Dates de sortie : : : (Festival international du film d'Amiens) : Distribution Marina Albuquerque : Fernanda Alves : Nha Mariquinha Camacho Costa : Felisberto Luísa Cruz : Esmeralda Isabel de Castro : Nha Caela Henrique Espírito Santo : Governor José Fanha : Carneiro Laurinda Ferreira : Alice Leandro Ferreira : Father Vitorio Filipe Ferrer : Alberto Cecília Guimarães : Nha Noca Betina Lopes : Soila João Lourenço : Eusébio Teresa Madruga : Belinha Luís Mascarenhas : Inspector Mano Preto : Chiquinho Carlos Rodrigues : Augusto Foleiro Horácio Santos : Anacleto Pedro Wilson : Dr. Vicente Diffusion Le film est projeté lors de la du Festival du film à Bruxelles, en Belgique, en 1996. Distinctions Le film remporte le Prix de la meilleure musique lors de la quinzième édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (au Burkina Faso) en 1997. Notes et références Liens externes Film dramatique cap-verdien Film sorti en 1996 Adaptation d'un roman cap-verdien au cinéma Film se déroulant au Cap-Vert Film se déroulant dans les années 1960 Film tourné au Cap-Vert Film en portugais
Sanctuaire San Mauro Abate (Bomba)
Le sanctuaire de San Mauro Abate est situé à Bomba dans la province de Chieti et est le principal bâtiment de culte dédié au saint. L'église d'origine remonte au , tandis que le bâtiment actuel a été commencé en 1954 sur un projet d'Alessio Mancini (sa femme est de Bomba) et inauguré en 1963. Les stucs sont de Reni et les œuvres des frères Bravo sont placées à l'intérieur. Au-dessus de l'entrée, il y a une fenêtre arrière en mosaïque créée par la société Favet représentant San Mauro avec les malades. Devant la façade il y a une arcade. L'intérieur a une seule nef. Il y a 2 statues de San Mauro, une en terre cuite, une processionnelle en bois. A proximité, près de Vallecupa, il y avait un monastère célestinien. Culte de San Mauro une bombe Le culte de San Mauro est répandu dans les Abruzzes et le saint est l'un des mécènes de Bomba. Il est invoqué pour douleurs arthritiques, rhumatismes et dents. Pour ceux qui souffrent d'arthrose et de rhumatismes, une huile (après la mendicité) est offerte par les moines du sanctuaire, posée sur une pierre centenaire, à appliquer sur les parties douloureuses sur place, mais vous pouvez également apporter cette huile chez vous en ampoules. Au lieu de cela, pour les maux de dents, les fidèles doivent attraper une corde reliée à une cloche , toujours située dans le sanctuaire, connu sous le nom de San Mauro, et tirer en faisant sonner la cloche. Ce sont des traditions médiévales mêlées de superstitions et de foi, mais il n'en demeure pas moins que le bâtiment du culte attire de nombreux fidèles qui, après s'être occupés d'eux, laissent des ex-voto qui recouvrent les murs du bâtiment. En plus de demander la grâce, les couples mariés choisissent l'église pour se marier. Le culte de San Mauro dans la région est perdu dans les origines du christianisme. Notes et références Sanctuaire en Italie
Rosthern
Rosthern est un toponyme pouvant désigner: Toponyme , ville de la Saskatchewan , municipalité rurale de la Saskatchewan Circonscriptions Rosthern, ancienne circonscription fédérale de la Saskatchewan Rosthern, ancienne circonscription provinciale de la Saskatchewan Rosthern-Shellbrook, circonscription provinciale de la Saskatchewan Autres , corvette de la Marine royale canadienne Rostherne, paroisse du Cheshire en Angleterre Homonymie de toponyme
Zohra Zemamta
Zohra Zemamta, née en 1983, est une judokate algérienne. Carrière Zohra Zemamta évolue dans la catégorie des moins de 57 kg. Elle est médaillée d'or aux Championnats d'Afrique de judo 2002 au Caire. Notes et références Liens externes Judokate algérienne Naissance en 1983
Saison 9 de Mariés, deux enfants
La neuvième saison des Mariés, deux enfants a été diffusée pour la première fois aux États-Unis par la Fox entre le et le . La saison comporte le de la série accompagné d'une vidéo présentée par George Plimpton pour l'occasion. Un second épisode spécial est diffusé le avec le de la saison 9 réunissant les acteurs Ed O'Neill, Katey Sagal, David Faustino, Christina Applegate, Amanda Bearse et Ted McGinley. La saison 9 marque l'arrivée d'un nouveau personnage: Griff (Harold Sylvester), qui assiste Al au magasin de chaussures pour femmes « Gary's Shoes and Accessories for Today's Woman ». Steve Rhoades (David Garrison), personnage récurrent lors des quatre premières saisons, fait aussi ses deux dernières apparitions au cours de cette saison. La journaliste Miranda Veracruz De La Hoya Cardenal (Teresa Parente), fait plusieurs apparitions lors de cette saison ainsi que dans la dixième saison et une dernière apparition dans la onzième saison. Le frère de l'acteur David Faustino, Michael Faustino, fait une apparition en tant qu'invité marquant sa cinquième et dernière manifestation dans la série. Lors de l'épisode Le Chausseur Déchaussé, les chansons We Are the Champions et We Will Rock You du groupe Queen sont reproduites et remplacées par des interprétations semblables selon certaines versions internationales de la série. Distribution Personnages principaux Ed O'Neill (VF : Michel Dodane) : Al Bundy Katey Sagal (VF : Martine Meiraghe) : Peggy Bundy David Faustino (VF : Sophie Arthuys) : Bud Bundy Christina Applegate (VF : Véronique Soufflet) : Kelly Bundy Amanda Bearse (VF : Malvina Germain) : Marcy D'Arcy Ted McGinley (VF : Edgar Givry) : Jefferson D'Arcy Personnages récurrents Harold Sylvester : Griff (épisodes 4, 5, 6, 11, 17, 21, 22, 23, 24 & 27) E.E. Bell : Bob Rooney (épisodes 5, 6, 10, 11, 12, 13, 14, 22, 23, 24 & 27) Juliet Tablak : Amber (épisodes 4, 8, 15 & 23) Teresa Parente (VF : Caroline Beaune) : Miranda Vera Cruz de la Hoya Cardenal (épisodes 5, 6, 13 & 20) David Garrison (VF : Georges Caudron) : Steve Rhoades (épisodes 17 & 26) Invité(e)s Tawny Kitaen : Dominique (épisode 1) Terry Murphy : elle-même (épisode 1) Terri J. Vaughn : Connie (épisode 5) George Wyner : Ronald N. Michaels (épisode 9) Dean Norris : Rodent (épisode 10) Bubba Smith, Lawrence Taylor, Ken Stabler : joueurs des "Grandes Sauteuses" (épisode 10) Mike Piazza, Bret Saberhagen, Danny Tartabull, Frank Thomas, Dave Winfield, Joe Morgan : joueurs de baseball (épisode 11) Leland Orser : Mark (épisode 12) Andrew Prine : "Papa le dingue / Psycho Dad" (épisode 12) Shabaka Barry Henley : Charlie (épisode 14) Letha Weapons : Rocki Mountains (épisode 14) Gilbert Gottfried : lui-même (épisode 19) Elaine Hendrix : Sandy (épisode 22) Keri Russell : April (épisode 24) Résumé de la saison Liste des épisodes Disque 1 Disque 2 Disque 3 Disque 4 Références Lien externe Mariés, deux enfants
Toukoro-Sambla
Toukoro-Sambla est une commune rurale situé dans le département de Karangasso-Sambla de la province du Houet dans la région des Hauts-Bassins au Burkina Faso. Géographie Le village est constitué de deux unités distinctes séparées d'environ . Histoire Économie Éducation et santé Le centre de soins le plus proche de Toukoro-Sambla est le centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Bouendé. Culture Annexes Notes et références Liens externes Articles connexes Ville dans le département de Karangasso-Sambla
Bateau d'Haithabu
Le bateau d'Haithabu (Haithabu 1 ou Hedeby 1) est le nom donné à une épave de bateau viking (ou drakkar) récupérée en 1979 dans le port d'Hedeby en Allemagne, connu anciennement sous le nom de Haithabu , un comptoir viking établi au Danemark jusqu'en 1864. Il est exposé au Musée viking d'Haithabu en Allemagne. Il fut considéré comme la plus grande épave viking découverte jusqu'en 1997, date à laquelle le Skuldelev 2 du Musée des navires vikings de Roskilde au Danemark put être rallongé par la découverte du morceau Skuldelev 4 qui était son prolongement. Le Haithabu 1 a été construit dans la tradition nordique des bordages à clin dans le meilleur bois possible. Il aurait terminé de servir comme brûlot lors d'une attaque du port. Déjà, au début des années 1950, des découvertes archéologiques avaient été faites dans le port d'Haithabu à côté de l'épave du navire. Certains morceaux de bois, maintenant reconnus sous les noms de Haithabu wrack 2 et Haithabu wrack 3 avaient été découverts provenant d'autres épaves ainsi que des objets métalliques (haches et épées). Sauvetage de l'épave En 1979, le navire a été extrait entre des palplanches pour maintenir les vestiges à l'humidité. Le navire a été fortement carbonisé au niveau de la ligne de flottaison mais les morceaux de bois obtenus ont été suffisants pour une reconstitution partielle de l'avant. Celle-ci est exposée, dans sa taille originale, au Musée viking. Il était évident que le navire fut brûlé et coulé lors de la chute de la ville d'Haithabu en 1050, à la fin de l’Ère viking. Le navire avait été rempli avec du foin ou des broussailles puis embrasé. Les restes du navire ont été découverts sur des couches plus âgées de débris et de déchets urbains. La datation dendrochronologique a montré que les arbres qui ont servi à la construction ont été abattus autour des années 985. Les échantillons ont également montré que les arbres ont grandi dans la région du Schleswig. Caractéristiques de l'épave Haithabu 1 possédait 24 à 26 bancs de rameurs. La partie récupérée mesure environ de long, mais le navire complet était beaucoup plus long. L'estimation faite est basée sur la longueur d'origine d'autres bateaux vikings ; celle-ci a abouti à une longueur de 26 à , en raison de la position du mât. La reconstitution effective du navire donne de long, avec une largeur d'environ et d'un tirant d'eau de . Selon les bordages à clin traditionnels, toutes les planches ont été reliées entre elles par des rivets de fer avec des intervalles réguliers de sur les varangues espacées d'environ Les planches étaient en chêne d'une largeur maximale . Leur épaisseur se situe entre à . Le calfeutrage était réalisé en laine torsadée imbibée de goudron. Notes et références Voir aussi Articles connexes Musée viking d'Haithabu Musée des navires vikings de Roskilde Liste d'épaves de bateau viking Liste des répliques de bateau viking Musée des navires vikings d'Oslo Bateau tombe Bateau viking Liens externes Wikinger Museum Haithabu Hedeby 1 Bateau viking Site archéologique en Allemagne Bateau d'intérêt patrimonial en Allemagne Histoire maritime Âge des Vikings en Allemagne Portail:Haut Moyen Âge/Articles liés
Christian Gottlob Heyne
Christian Gottlob Heyne, né le à Chemnitz (électorat de Saxe) et mort à Göttingen le , est un philologue et archéologue allemand. Biographie Né d'un père tisserand, il se forma lui-même et parvint à acquérir une instruction profonde malgré la misère de ses parents. Il fut longtemps attaché comme simple copiste à la bibliothèque du comte du Bruni à Dresde. Ayant commencé à se faire connaître par ses éditions de Tibulle (Leipsick, 1755) et d'Épictète (Dresde, 1756), il fut nommé en 1761 professeur d'éloquence à l'Université de Gœttingue. Il devint peu après bibliothécaire de cette ville, et président du séminaire philologique. Il devint membre de la Royal Society en 1789 et associé étranger de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1802. Une de ses filles, connue sous le nom de Thérèse Huber, s'est distinguée dans les lettres. Par une autre de ses filles, Wilhelmine, il était le beau-père de l'historien Arnold Hermann Ludwig Heeren. Il s'est surtout occupé de faire connaître les poètes et les mythologues. Ses travaux sur les anciens poètes unissent l'érudition du philologue, de l'historien, de l'archéologue au jugement sûr et délicat de l'homme de goût. Ses principales éditions sont de Virgile (1767-1776), de Pindare (1774), de L'Iliade d'Homère (1802), d'Apollodore (1782), de Diodore (1790-1806). Il est également l'auteur d'Opuscula academica (1785-1811). Notes et références Bibliographie Eve Gran-Aymerich, Les Chercheurs de passé, Éditions du CNRS, 2007, p.869 Liens externes Philologue allemand Traducteur depuis le latin Traducteur depuis le grec ancien Archéologue allemand Bibliothécaire allemand Professeur à l'université de Göttingen Étudiant de l'université de Leipzig Académie des inscriptions et belles-lettres Membre de la Royal Society Naissance en septembre 1729 Naissance à Chemnitz Naissance dans l'électorat de Saxe Décès en juillet 1812 Décès à Göttingen Décès dans le royaume de Westphalie Décès à 82 ans Personnalité inhumée à Göttingen
Hermann Brandl
Hermann Brandl, aussi appelé Otto Brandl, (1896 en Bavière en Empire allemand - à Munich en Allemagne) était un ingénieur et un agent des services de renseignement allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Biographie Il devient ingénieur et s’installe en 1925 à Bruxelles où il faisait déjà du renseignement. Le colonel Friedrich Rudolf commande l'Abwehrleitstelle Frankreich, dès juin 1940, et installe ses bureaux à l'Hôtel Lutétia, boulevard Raspail à Paris. Il fait venir Brandl à Paris en juillet. Il sera chargé de créer des officines pour protéger ses agents et les financer. Les différents postes de l'Abwehr, nommés Abwehrstelle ou Ast, se trouvent en zone occupée à Saint-Germain-en-Laye, Angers, Bordeaux et Dijon. Avec l'occupation de la zone Sud en novembre 1942, trois nouveaux postes sont créés à Lyon, Marseille et Toulouse. Au printemps 1941, le bureau est un succès et emploie plus de 400 personnes. Tout était fait sans factures, sans connaissances du nom du vendeur ou l’origine des marchandises. Les transactions se faisaient en numéraire. Göring demandait de rafler tout ce qui était possible de voler en utilisant ou en créant des filières avec le marché noir. Hermann Brandl sera arrêté le à Munich et incarcéré à la prison de Stadelheim. Il sera retrouvé pendu dans sa cellule le . Deux toiles authentifiées d'Alfred Sisley, Allée de peupliers aux environs de Moret-sur-Loing et Le Chemin des Petits Près à By, temps d'orage, sont retrouvés en 1949 avec d'autres tableaux chez un particulier à Kölblöd en Bavière. Elles auraient été acheté au marché noir ou saisi par Hermann Brandl. Références Annexes Voir aussi Abwehr Spoliation d'œuvres d'art par le régime nazi Bibliographie Ouvrages Bandes dessinées Il est évoqué dans Il était une fois en France (2007-2012), par Fabien Nury et Sylvain Vallée, éd. Glénat. Liens externes Naissance en Bavière Naissance en 1896 Décès en mars 1947 Suicide par pendaison en Allemagne Personnalité s'étant suicidée en prison Ingénieur allemand Agent d'un service de renseignement allemand Espion de la Seconde Guerre mondiale
Carter Smith
Carter Smith (né le ) est un réalisateur et photographe de mode américain. Filmographie 1998 : Me and Max (court-métrage) 2006 : Bugcrush (court-métrage) 2008 : Les Ruines 2011 : Yearbook (court-métrage) 2014 : Jamie Marks Is Dead Liens externes Réalisateur américain Photographe américain Photographe de mode Naissance en novembre 1971 Naissance dans le comté de Sagahadoc
New York Melody
ou Nouveau Refrain () est une comédie dramatique américaine écrite et réalisée par John Carney sortie en 2013. Synopsis Greta et Dave ont quitté l'Angleterre pour emménager à New York. Ils ont tous les deux une grande passion la musique. Dave a décroché un contrat solo avec une grosse maison de production. Après être parti à Los Angeles pour enregistrer en studio, il annonce à Greta, avec une chanson, qu'il la quitte pour son attachée de presse. Totalement abattue, effondrée et fauchée, elle décide de rentrer en Angleterre. Lors de sa dernière soirée à New York, à l'invitation de Steve son ami et nouveau colocataire, Greta interprète une de ses créations sur scène dans un bar, où Dan Mulligan, un producteur de musique alcoolique, dépressif et sur le déclin l'entend chanter. Il a alors une illumination et son talent le fascine. Il lui propose alors de produire son album dans les rues de New York. Fiche technique Titre original : Titre provisoire : Titre français : Titre québécois : Nouveau Refrain Réalisation et scénario : John Carney Direction artistique : Chad Keith Décors : Anne Goelz Costumes : Arjun Bhasin Photographie : Yaron Orbach Montage : Andrew Marcus Musique : Gregg Alexander Producteur : Judd Apatow, Tobin Armbrust et Anthony Bergman Producteur exécutif : Guy East, Sam Hoffman, Ben Nearn, Tom Rice, Marc Schipper, Nigel Sinclair et Molly Smith Coproducteur : Shira Rockowitz, Lauren Selig et Ian Watermeier Sociétés de production : Apatow Productions, Exclusive Media Group, Likely Story et Sycamore Pictures Sociétés de distribution : Pays d’origine : États-Unis Langue originale : anglais Format : couleur - 35 mm - 2,35:1 - son Dolby numérique Genre : Comédie dramatique, romance et film musical Durée : 104 minutes Dates de sortie : (festival international du film de Toronto) , : (sortie nationale) : Distribution Keira Knightley (VF : Sybille Tureau ; VQ : Catherine Sénart) : Gretta James Mark Ruffalo (VF : Rémi Bichet ; VQ : Louis-Philippe Dandenault) : Dan Mulligan Adam Levine (VF : Mathias Kozlowski ; VQ : Martin Watier) : Dave Kohl Catherine Keener (VF : Isabelle Leprince) : Miriam Hart Hailee Steinfeld (VF : Claire Bouanich ; VQ : Célia Gouin-Arsenault) : Violet Mulligan James Corden (VF : Christophe Lemoine ; VQ : Tristan Harvey) : Steve Cee Lo Green (VF : Asto Montcho ; VQ : François L'Écuyer) : Troublegum Mos Def (VF : Jean-Baptiste Anoumon ; VQ : Patrick Chouinard) : Saul Mary Catherine Garrison (VF : Marie-Laure Dougnac) : Jill Rob Morrow (VF : Éric Aubrahn) : CEO Maddie Corman : Phillis Aya Cash : Jenny Sources et légende : Version française (VF) sur AlloDoublage et RS Doublage Version québécoise (VQ) sur Doublage Québec Bande originale Box-office : Distinctions Nominations et sélections Festival international du film de Toronto 2013 : sélection « Special Presentations » Festival international du film de San Francisco 2014 Festival international du film de Seattle 2014 Festival du film de Sydney 2014 Festival du film de Tribeca 2014 Critics' Choice Movie Awards 2015 : meilleure chanson originale pour Lost Stars interprétée par Keira Knightley Oscars du cinéma 2015 : meilleure chanson originale pour Lost Stars de Gregg Alexander et Danielle Brisebois Notes et références Liens externes Film américain sorti en 2013 Comédie dramatique américaine Film romantique américain Film musical américain Film se déroulant à New York Film tourné à Manhattan Film tourné à Brooklyn Film d'Apatow Productions Film nommé aux Oscars Film produit par Judd Apatow
Mikołaj Łoziński
Mikołaj Łoziński, né en 1980 à Varsovie, est un écrivain polonais. Il est le fils du réalisateur Marcel Łoziński. Biographie Mikołaj Łoziński a fait ses études universitaires de sociologie à Paris, tout en gagnant sa vie notamment comme peintre en bâtiment et assistant d'une psychothérapeute aveugle. Il a ensuite travaillé comme traducteur pour la télévision franco-allemande Arte et pris des photos pour l'hebdomadaire Przekrój et le quotidien Rzeczpospolita. Il a publié des nouvelles, a fait plusieurs expositions photographiques. Mikołaj Łoziński a remporté le deuxième prix au concours de littérature pour jeunes de la Fondation de la Culture de Varsovie (Warszawska Fundacja Kultury) en 2006. Son premier roman Reisefieber a notamment été présenté à la Foire internationale du livre de Varsovie et à la Foire du Livre de Leipzig. Il a bénéficié du programme de bourses de l'Institut du livre (Instytut Książki) et du programme de bourses pour écrivains et traducteurs Homines Urbani de l'Association Villa Decius (automne 2007), des résidences à Ledig House, Chattham, NY (États-Unis), au Château de Lavigny (Suisse), à l'Akademie Schloss Solitude (Stuttgart) en 2010. En 2011, il a présidé à Cracovie le jury du prix Liste Goncourt : le choix polonais. Prix 2006 - Prix littéraire de la Fondation des jeunes artistes de la Culture (Varsovie). 2007 - Prix littéraire de la fondation Kościelski pour son roman Reisefieber. Prix de la "Plume de paon" (Literacka Nagroda "Pawiego Pióra") décerné par un jury de lycéens 2011 - Prix littéraire du Mois de Cracovie de Septembre pour Książka. Bibliographie Reisefieber, Znak, Cracovie 2006 (traduit en allemand, letton, russe, slovène et tchèque), nouvelle édition, Wydawnictwo Literackie, Cracovie, 2011 Bajki dla Idy (Contes pour Ida), Znak, Cracovie 2008 (cinq histoires animalières pour les enfants), illustration de Ewa Stiasny Książka (Le Livre), roman inspiré de l'histoire de sa famille, Wydawnictwo Literackie, Cracovie, 2011 Références Liens externes Naissance en 1980 Écrivain polonais du XXIe siècle Naissance à Varsovie
Guy-Claude Burger
Guy-Claude Burger , né le à Lausanne, est connu pour avoir créé une pratique alimentaire controversée appelée instinctothérapie qu'il a exposée dans trois ouvrages publiés entre 1985 et 1990. Il a aussi exposé une théorie de la « métapsychanalyse », décrite par la presse comme faisant l'apologie de la pédophilie. Il a eu plusieurs démêlés avec les justices suisse et française : il est cité dans le rapport de l'Assemblée nationale française Les Sectes et l'argent, qui indique que Burger a été condamné en 1997 pour escroquerie et exercice illégal de la médecine. Burger a été également condamné en décembre 2001 à 15 ans de réclusion criminelle pour « viol sur mineur de quinze ans ». Il est depuis classé par la presse comme un « gourou pédophile ». Pour le docteur Jean-Louis Abgrall, spécialiste des sectes, Burger est et . L'expert déclare : . Biographie Il a été de Lausanne et se dit licencié en physique et mathématique de l'université de Lausanne. En 1958, à Vevey, il est condamné à un an de sursis pour attentats à la pudeur. En 1960, à l'âge de 26 ans, atteint d'un cancer du pharynx (sarcome lymphomateux) et traité par chirurgie et radiothérapie, il commence à développer sa théorie de l'instinctothérapie. En 1964, il fonde une société se présentant comme un centre d'écologie alimentaire à Éclépens puis en 1978, il est condamné à quatre ans de prison en Suisse pour avoir abusé de son fils et d'une fille de 9 ans par le tribunal de Cossonay pour attentat à la pudeur et « débauche contre nature » sur des enfants. En 1981, après sa libération, son départ pour le Mexique est décrit comme une fuite ou un exil. En 1984, il fonde le Centre d’instinctothérapie au château de Montramé, à Soisy-Bouy, au sud-est de Paris. En 1985, il écrit le livre La guerre du cru, instinctothérapie. Il est arrêté, en 1987, pour exercice illégal de la médecine et il lui est interdit de revenir à Montramé et de pratiquer l'instinctothérapie en France. Après sa libération, il s'installe à Provins, non loin de Montramé. En , il passe dans l'émission Ciel, mon mardi ! de Christophe Dechavanne. En 1990, il publie Instinctothérapie, manger vrai aux Éditions du Rocher. En 1995, la Fédération internationale pour le développement de l'alimentation instinctive (FIDALI), organisation de Guy-Claude Burger, est dénoncée comme une secte par le rapport de la commission d'enquête parlementaire française sur les sectes de 1995. En 1997, il est à nouveau condamné pour exercice illégal de la médecine, confirmé en appel. Il est condamné en à quinze ans de réclusion criminelle pour « viol sur mineur de quinze ans », peine confirmée en appel en 2003, puis en cassation en . Théories Instinctothérapie L'instinctothérapie est une pratique alimentaire crudivore basée sur l'hypothèse de Burger d'une adaptation génétique incomplète aux modifications subies par l'alimentation humaine depuis la préhistoire. Dans la pratique, les repas sont constitués d'aliments « originels », c'est-à-dire crus et non assaisonnés ni mélangés, choisis et dosés suivant les variations des perceptions de l'odorat, du goût et de la réplétion, le lait animal et certaines céréales sont exclus. Burger prétend soigner de nombreuses maladies grâce à sa méthode, notamment le cancer et le sida, il n'existe pas d'études cliniques sur l'instinctothérapie, la théorie de Burger est basée sur ses expériences personnelles invérifiables. En 1997, il a été condamné pour exercice illégal de la médecine. Métapsychanalyse Pour Burger, le but de la sexualité humaine ne se résume pas à la reproduction et au plaisir, il postule qu'une sexualité en accord avec l'instinct, sans respecter les schémas dictés par la société (notamment sur les relations adulte-enfant), permettrait de résoudre de nombreux maux de la société et de développer des facultés extra-sensorielles comme la voyance et la télépathie, théorie qu'il nomme « métapsychanalyse ». La « métapsychanalyse » a été décrite par la presse comme « une apologie de la pédophilie emballée dans un charabia pseudoscientifique ». Déjà condamné en 1978 en Suisse pour « attentat à la pudeur et pratiques contre nature sur des enfants », dont son propre fils, Burger a été de nouveau condamné en 2001 à 15 ans de prison pour « viol sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité, corruption de mineurs et menaces de mort réitérées », ce qu'il a toujours nié. De même, son fils fut poursuivi pour des agressions sexuelles et abus sur mineurs. Lors de son procès, Burger a expliqué ses recherches sur l'instinct sexuel des enfants : « Il était difficile de parler de leur sexualité sans en faire l’expérience. Les enfants ont des pulsions, et je pense qu’il faut laisser venir les enfants vers l’adulte quand ils le demandent. Je voulais vérifier si les pulsions étaient programmées génétiquement et quel était le but de l’instinct sexuel. » Publications La Guerre du cru, édition Roger Faloci, 1985, préface de Jean Devernoix de Bonnefon ; réédité chez Orkos édition en 1988, préface de Jean Seignalet, . Instinctothérapie, Manger vrai, éditions du Rocher, 1990, . les enfants du crime ou la fonction délinquance, Orkos édition, 1990, . Bibliographie Sept ans sous influence, témoignage de Nicole Schneider, Éditions Mon Village, 2002, Notes et références Voir aussi Articles connexes Instinctothérapie Gourou Apologie de la pédophilie Liens externes Prevensectes Enquête sur les pratiques douteuses de Guy-Claude Burger, L'Express, 1997. Guy-Claude Burger aux assises, L'Express, 2001. Personnalité suisse condamnée pour crime Naissance en septembre 1934 Naissance à Lausanne Crudivorisme Personnalité condamnée pour abus sexuel sur mineur Apologie de la pédophilie Inceste Personnalité de la médecine non conventionnelle
François Marie Edmond Chevrot
François Marie Edmond Chevrot né le à Bosjean Saône-et-Loire et mort le à Bletterans dans le Jura est médecin français et un pionnier de la spéléologie française. Biographie Docteur en médecine de la faculté de Paris Il est élu, au début du , conseiller général dans le département du Jura et maire de Bletterans. Il est président de la section de Lons-le-Saunier du Club alpin français (CAF), dès sa création en 1894. Il s’intéresse alors aux cavernes jurassiennes et s’entoure d’une équipe issue du CAF pour explorer quelques dizaines de grottes et gouffres du Jura, entre 1894 et 1898. En 1903, il préside le Syndicat d'initiative du Jura et tente de développer le tourisme dans ce département. Il meurt en 1944 dans la ville de Bletterans. Activités spéléologiques Il est notamment connu, dans le domaine de la spéléologie, pour l’exploration partielle, dès 1896, de la grotte de Balerne (Lons-le-Saunier). Son exploration de 1896 a fait l’objet d’un compte rendu publié dans la revue de la Société de spéléologie. Il est classé, un siècle plus tard, parmi les pionniers de la spéléologie française. Publications Publications médicales Recherches sur la rétraction de l’aponévrose palmaire et son traitement chirurgical, Paris, éd. Alphonse Derenne, 1882, , 59 pages Rapport sur la décomposition des campagnes et les moyens de la combattre, 1906. Publications spéléologiques Spelunca, bulletin de la société de Spéléologie, 1897 : « Explorations dans le Jura, par MM. Bidot et Chevrot : Grotte de Balerne ». Publications touristiques Notes et références Bibliographie . Voir aussi Articles connexes Spéléologie Lien externe Association des anciens responsables de la fédération française de spéléologie : In Memoriam. Médecin français du XIXe siècle Médecin français du XXe siècle Spéléologue français Maire du département du Jura Naissance en mai 1858 Décès en février 1944 Décès à 85 ans
Épisodes de Blaise le blasé
Cet article présente le guide des épisodes de la série télévisée Blaise le blasé. Épisode 1 La Vie en rose Épisode 2 : Circulez, y'a rien à voir ! Épisode 3 : La Joie incarnée Épisode 4 : Chère Madame Butterfly Épisode 5 : L'Essence des affaires Épisode 6 : Sur l'autoroute de la vie Épisode 7 : Terreur chez les rongeurs Épisode 8 : L'Amour au bord des lèvres Épisode 9 : À un cheveu roux de l'amour Épisode 10 : Un ami moisi Épisode 11 : Psychose sur le lac Épisode 12 : Les Leblanc s'enguirlandent Épisode 13 : Beau dans ta peau Épisode 14 : Blaise TV Épisode 15 : Adieu Sanschagrin Épisode 16 : Amours frappés Épisode 17 : Le Hareng presque frit Épisode 18 : La Méthode Benji Épisode 19 : L’Analgésique de l’Apocalypse Épisode 20 : À un poil du bonheur Épisode 21 : Le saucisson de la réconciliation Épisode 22 : Blaise tourne pas rond Épisode 23 : Comme des rats Épisode 24 : Fugue mineure Épisode 25 : Un vent de vente Épisode 26 : Seize ans bien sonnés Notes Cliquez ici pour voir toutes les citations en vidéos telles que montrées dans l'émission à l'exception de la 26 (elle n'est pas considérée comme une citation). Blaise le blasé
Marius Mondelé
Marius Mondelé est un footballeur belge, né le à Molenbeek-Saint-Jean (Belgique) et mort le à Libramont-Chevigny. Biographie Il a évolué comme avant-centre au Daring Club de Bruxelles de 1931 à 1945. Excellent buteur, il est connu pour avoir arrêté la série de 60 matchs sans défaite en championnat de l'Union Saint-Gilloise, le lors de la rencontre Daring-Union (2-0) : sur le terrain gelé du Stade Oscar Bossaert, il marque les deux buts du Daring et prélude à la domination de son club sur le championnat belge. Il remporte le Championnat de Belgique en 1936 et en 1937. Il a également joué quatre fois en équipe de Belgique. Palmarès International en 1935 et 1936 (4 sélections) Champion de Belgique en 1936 et 1937 avec le Daring Club de Bruxelles Meilleur buteur du Championnat de Belgique en 1935 avec 28 buts et en 1938 avec 32 buts Vainqueur de la Coupe de Belgique en 1935 avec le Daring Club de Bruxelles Références Liens externes Footballeur international belge Joueur du Daring Club de Bruxelles Naissance en décembre 1913 Naissance à Molenbeek-Saint-Jean Décès en février 1981 Décès à Libramont-Chevigny Décès à 67 ans
Ponte Lambro
Ponte Lambro est une commune italienne de la province de Côme dans la région Lombardie en Italie. Transport La commune est traversée par la ligne de Milan à Asso, la gare de Pontelambro - Castelmarte est une halte voyageurs desservie par des trains régionaux R. Administration Hameaux Communes limitrophes Caslino d'Erba, Castelmarte, Erba Notes et références Commune dans la province de Côme
Indigofera simplicifolia
Indigofera simplicifolia est une espèce de plantes de la famille des Fabaceae et du genre Indigofera, présente en Afrique tropicale. Description C'est une plante annuelle érigée, émergeant d'une racine pivotante et atteignant entre 0,5 et de hauteur. Distribution Elle est observée en Afrique de l'Ouest et de l'Est, jusqu'au Mozambique et à l'Angola. Habitat On la rencontre dans les savanes arbustives, herbeuses et les terrains rudéraux. Notes et références Liens externes simplicifolia Espèce de Fabaceae (nom scientifique) Flore en Afrique
Remse
Remse est une commune de Saxe (Allemagne), située dans l'arrondissement de Zwickau, dans le district de Chemnitz. Commune en Saxe
Strachujov
Strachujov est une commune du district de Žďár nad Sázavou, dans la région de Vysočina, en République tchèque. Sa population s'élevait à habitants en 2020. Géographie Strachujov se trouve à au nord-est de Nové Město na Moravě, à à l'est-nord-est de Žďár nad Sázavou, à au nord-est de Jihlava et à au sud-est de Prague. La commune est limitée par Jimramov au nord, par Unčín à l'est, par Dalečín et Velké Janovice au sud, et par Věcov à l'ouest. Histoire La première mention écrite de la localité date de 1361. Transports Par la route, Strachujov se trouve à de Nové Město na Moravě, à de Žďár nad Sázavou, à de Jihlava et à de Prague. Notes et références Commune dans le district de Žďár nad Sázavou
Seima
La groupe Seima Italiana Spa est une société industrielle dont le siège social est installé à Tolmezzo dans la région du Frioul et dont la spécialité est la conception et la production de feux arrière et intérieurs pour automobiles. Le groupe est leader européen dans ce secteur avec plus de 40 % du marché neuf et rechange devant Valeo (30 %), Hella (14 %) et les autres (16 %). Il fournit quasiment toutes les marques automobiles. Il produit également des feux arrière pour motocycles et des circuits électroniques pour l'"’Information Technology", mais de façon plus marginale avec 15 % du marché. Son rachat par le groupe Automotive Lighting, filiale du groupe italien Magneti-Marelli, a donné lieu à un avis favorable de la Commission européenne rendu le . Notes et références Voir aussi Liens externes Le site officiel de Magneti Marelli Fiat Équipementier automobile ayant son siège en Italie Marque italienne
Chartalisme
Le chartalisme, du latin charta signifiant « papier, écrit » est une formalisation théorique permettant d'expliquer le fonctionnement d'une économie moderne. Dans le chartalisme, la monnaie est principalement considérée comme un bon, un avoir, un coupon pour des taxes à payer. L'argent ainsi créé est appelé monnaie fiduciaire, sa valeur découle des taxes dont il permet de s'acquitter, puis du désir qu'ont les individus d'en épargner pour se les échanger avant même de payer ces taxes. L'État crée la monnaie en dépensant, et détruit cette monnaie en la taxant : la fiscalité sert alors à revendiquer la monnaie et à contrôler la masse totale de monnaie en circulation. La fiscalité devient un outil monétaire essentiel au maintien de la valeur d’échange de la monnaie. Le chartalisme connait un approfondissement et un renouveau important depuis les années 1990 avec le néochartalisme ou théorie monétaire moderne. Histoire Chartalisme La théorie originale fut développée par l’économiste Georg Friedrich Knapp au début du avec d’importantes contributions de la part du juriste Alfred Mitchell-Innes. En 1930, elle a influencé le Traité sur la monnaie de John Maynard Keynes. Pour insister sur le fait que cette monnaie résulte d'actes souverains, cette monnaie fiduciaire est souvent renommée monnaie souveraine, Knapp donne sa définition et l'appelle monnaie valuta : c'est le moyen de paiement définitif, c'est-à-dire n'impliquant aucun paiement ultérieur, au contraire des monnaies de crédit. La portée empirique de cette théorie est très particulière : elle est universelle car il est impossible de ne pas décider en premier d'émettre cet artefact humain qu'est la monnaie, pour qu'ensuite on puisse ne dépenser que ce qu'on a acquis ; mais elle est presque aussi universellement méconnue au point que, le plus souvent, le souverain s'encombre de contraintes artificielles, comme la convertibilité en or à taux fixe, ou de l'emprunter au préalable. Ces contraintes supplémentaires n'influent pas sur les mécanismes de création et de destruction monétaire, uniquement sur les décisions de le faire. Ainsi, un souverain peut décider de cesser d’émettre de la monnaie simplement parce qu'il s'effraie de la faiblesse de la couverture en or de sa monnaie. Il peut aussi recouvrer sa pleine souveraineté simplement en refusant de promettre une quantité fixe d'or pour chaque unité monétaire, par exemple à l'occasion d'une guerre. Knapp avait prévu avec sept décennies d'avance que ce ne serait pas éternellement temporaire et réservé aux crises, mais deviendrait la règle, et il le déplorait. Néochartalisme Divers auteurs sont parvenus à leur tour jusqu'aux découvertes de Knapp, mais avec un grand enthousiasme. Warren Mosler le fit grâce à son expérience de financier américain et l'appela soft currency economics (science économique de la monnaie douce, littéralement). Le professeur australien William Francis "Bill" Mitchell le fit en recherchant les conditions du plein emploi, et l'appela Modern Monetary Theory (Théorie Monétaire Moderne ou MMT). le fit en redécouvrant les travaux de Knapp, via Keynes, et l'appela Neochartalism mais reprit plus tard à son compte le terme Modern Monetary Theory avec les autres professeurs américains l'ayant rejoint. Il semble donc que l'appellation de ce jeune courant de pensée (initié dans les années 1990) formé de la fusion de ces différentes approches semblables se stabilise autour de Modern Monetary Theory. Toutefois, c'est comme neochartalism qu'il fut publicisé par The Economist. Le terme néochartalisme a été proposé mais ce courant est désormais souvent désigné par une traduction directe du nom anglais, la théorie monétaire moderne. Les néochartalistes se sont encore nourris de précurseurs ayant fait en leur temps la redécouverte des trouvailles de Knapp, comme Abba Patchya Lerner après-guerre en poursuivant la quête de stabilité économique de Keynes, et sa finance fonctionnelle. Ce dernier était alors si hégémonique que des libéraux aussi fermement convaincu que Milton Friedman ont prôné la création monétaire souveraine pure et simple. Fonctionnement Basile Moore, l'une des sources qui ont conflué dans le néochartalisme, décrit deux visions opposées de la nature de la monnaie : l'une horizontale ou bancaire, l'autre verticale ou étatique, dans Horizontalists and Verticalists. Le néochartalisme combine les deux. Transactions verticales Sont ainsi appelées toutes les transactions impliquant l'État, c'est-à-dire principalement le Trésor, et éventuellement la Banque Centrale. Peu importe ici que l'autre partie soit nationale ou étrangère, ce qui compte c'est que l'un soit émetteur de la monnaie souveraine, alors que l'autre n'est qu'utilisateur de cette monnaie. De manière inhérente à la construction comptable, la dépense nette de l'État ajoute son montant à la trésorerie de l'utilisateur de la monnaie, et la recette nette de l'État ôte son montant à la trésorerie de l'utilisateur de la monnaie ; on dit que le déficit public est enregistré comme actif net supplémentaire pour les autres secteurs, et qu'à l'inverse, le surplus budgétaire de l'État est enregistré comme diminution des actifs nets des autres secteurs. Aussi, par définition, le revenu net de l'État, celui du secteur privé et celui de l'étranger s'annulent : (T - G) + (S - I) - BC = 0, avec T les recettes de l'État, G ses dépenses, S l'épargne privée, I l'investissement privé, et BC la balance courante donnant le revenu net dégagé par l'économie nationale sur l'étranger (il faut donc l'inverser pour avoir le revenu net de l’étranger). C'est une équation comptable, et non une équation de modélisation économique, elle est universellement vérifiée. On peut la lire ainsi : (S - I) = (G - T) + BC, c'est-à-dire que l'épargne privée nette est égale à la somme du déficit public et de la balance courante, donc que le secteur privé ne peut épargner que si un État s'autorise un déficit ou si l'étranger est lui-même en déficit. Cette constatation va à l'encontre de l'opinion dominante affirmant que l'État doit rembourser tôt ou tard ses déficits budgétaires. Il faut un déficit pour monétariser une économie, un déficit pour financer la croissance, et encore un déficit pour financer l'épargne du secteur privé lorsqu'il souhaite rembourser ses dettes avant de croître à nouveau. Il se peut qu'il soit souhaitable, pour un néochartaliste, que le budget public fasse un surplus (l'inverse d'un déficit), mais en pratique, ce sera éphémère, de faible volume, et en aucun cas la somme de tous les surplus budgétaires n'égaliseront la somme de tous les déficits précédents. Voici le cas des États-Unis résumé par le professeur Wray : À une brève exception près, le gouvernement fédéral a été endetté chaque année depuis 1776. En , pour la première et seule fois de toute l’histoire des U.S.A., la dette publique fut éliminée, et un surplus budgétaire fut maintenu les deux années suivantes pour accumuler ce que le Secrétaire au Trésor Levi Woodbury appela « un fonds pour faire face aux futurs déficits. » En 1837 l’économie s’effondra en une grande dépression qui mit le budget en déficit, et le gouvernement a toujours été endetté depuis. Depuis 1776 il y eut exactement sept périodes de surplus budgétaires substantiels avec une réduction significative de la dette. De 1817 à 1821 la dette nationale baissa de 29 % ; de 1823 à 1836 elle fut éliminée (les efforts de Jackson) ; de 1852 à 1857 elle chuta de 59 %, de 1867 à 1873 de 27 %, de 1880 à 1893 de plus de 50 %, et de 1920 à 1930 d’environ un tiers. Bien sûr, la dernière fois que nous avions un surplus budgétaire était durant les années Clinton. Je ne connais pas de ménage qui fut capable d’avoir un budget en déficit pendant approximativement 190 des 230 et quelques dernières années, et d’accumuler des dettes virtuellement sans limite depuis 1837. Les États-Unis ont également connu six périodes de dépression. Les dépressions commencèrent en 1819, 1837, 1857, 1873, 1893, et 1929. (Ne remarquez-vous rien ? Jetez un œil aux dates listées au-dessus.) À l’exception des surplus de Clinton, chaque réduction significative de la dette en cours fut suivie d’une dépression, et chaque dépression fut précédée par une réduction de dette significative. Le surplus de Clinton fut suivi par la récession de Bush, une euphorie spéculative, et maintenant l’effondrement dans lequel nous nous trouvons. Le jury délibère encore pour savoir si nous pourrions réussir à en faire une nouvelle grande dépression. Bien qu’on ne puisse jamais éluder la possibilité d’une coïncidence, sept surplus suivis par six dépressions et demi (avec encore quelque possibilité pour en faire la parfaite septième) devrait faire hausser quelques sourcils. Et, au passage, nos moins graves récessions ont presque toujours été précédées par des réductions du budget fédéral. Je ne connais aucun cas de dépression engendrée par un surplus du budget des ménages. Cette histoire traverse divers systèmes monétaires (étalon or, étalon change or, monnaie souveraine) et on peut y constater le hiatus entre la nature irrévocablement néochartaliste de la monnaie de l'État et l'utilisation que l'État en fait dans le cas de la dépression de 1837 : non seulement les surplus budgétaires ont totalisé tous les déficits en 1835, mais le Trésor accumula encore deux années de surplus, jusqu'à la dépression de 1837. Cela s'explique par le fait que le système adopté était celui de l'étalon-or, donc, l'État pouvait épuiser son secteur privé à lui fournir inutilement de l'or, drainant la trésorerie du secteur privé, alors même qu'il n'y avait de risque futur de défaut étatique que par ce choix de l'or. Comme toujours, lorsque l'économie devient trop fragile, les agents économiques simples utilisateurs de la monnaie restreignent leurs dépenses de peur de faire faillite à leur tour, ce qui perpétue la dépression. Dans le cas d'une monnaie souveraine (l'état ne s'est pas encombré d'un autre moyen de paiement définitif dans lequel sa monnaie est convertible à taux fixe et dont il n'est pas l'émetteur, c'est-à-dire dans lequel il s'est mis en position de faire éventuellement défaut), il n'aurait pas été possible d'arriver jusqu'en 1835, car la monnaie souveraine perdue (pièce de monnaie dans la nature, billet brûlé par Serge Gainsbourg) ou farouchement épargnée n'aurait pas pu être récupérée.... Fondé sur ces constatations, le néochartalisme recommande un budget fortement contra-cyclique, une monnaie fiduciaire dont l'État dispose du monopole d'émission, la taxation en cette seule monnaie, de ne jamais administrer des plans d'austérité en période de crise mais de faire des stimulus. Elle prône également, pour que les stabilisateurs soient encore plus efficaces, l'instauration d'une agence d'État employeuse type WPA chargée d'employer à salaire universel fixe tous ceux qui le désirent, ce qui constituerait un stock-tampon d'employés pour le privé autrement plus efficace et plus humain que la masse actuelle des chômeurs… Cette dernière, dénommée Job Guarantee (JG) ou Employer of Last Resort (ELR) en anglais est généralement traduite par Employeur en Dernier Ressort (EDR) en français. Transactions horizontales Sont ainsi appelées les transactions entre utilisateurs de la monnaie souveraine, par exemple les transactions entre banques commerciales. De manière inhérente à la construction comptable, les crédits accordés entre utilisateurs de la monnaie ont un solde global nul : il n'est pas possible de créer une épargne nette par paiement ou par crédit. Le crédit influe uniquement sur la vitesse de la monnaie, sur le nombre de transactions payées avec la même monnaie, exactement de la même manière que le marché à terme peut échanger de nombreuses fois une même matière première depuis son embarquement jusqu'à sa livraison sans qu'elle en soit démultipliée physiquement pour autant. De même, les banques accordent des crédits qui ne sont que des droits à tirer sur leur trésorerie en monnaie souveraine. Si les banques promettent trop de crédit par rapport à leur trésorerie, seul l'état peut leur épargner la faillite. C'est justement un des rôles de la banque centrale que de racheter à ces banques des bons du Trésor pour fournir de la trésorerie aux banques commerciales nécessiteuses, et de vendre ces bons du trésor lorsque les banques commerciales ont plus de trésorerie que de possibilité de prêt, et menacent donc de sous-enchérir jusqu'à laminer leurs marges ou produire des bulles spéculatives en prêtant au-delà du raisonnable, avec tous les risques de défaut que ces mauvais prêts encourent, ainsi que de déstabilisation économique. Le crédit est dit passif, ou endogène, c'est-à-dire qu'il suit les fluctuations du cycle économique, et que la capacité de la banque centrale à en faire une politique active de relance est quasi nulle. C'est une chose régulièrement vérifiée par l'expérience, et encore récemment confirmée par la Banque des règlements internationaux par exemple. Au plus, lorsque l'activité faiblit et que le Trésor refuse de laisser son déficit accommoder l'économie, la Banque centrale peut faciliter le surendettement en baissant ses taux. La chose est si frappante dans le cas d'une crise profonde, forte récession ou dépression, qu'elle a donné le concept de trappe à liquidité. Un exemple historique flagrant illustrant la véracité du néochartalisme est le cas du Japon. Depuis l'éclatement de sa bulle immobilière dans les années 1990, ce pays s'est enfoncé dans une lente déflation. De 2003 à 2010 les prix baissèrent de 1 % en moyenne, son PIB a décru de 1 %, et le taux d'emploi a baissé de 1,1 point, tout cela malgré un déficit de 5,6 % du PIB par an en moyenne et une dette publique gagnant les 200 % du PIB. Une politique d'assouplissement quantitatif entreprise par la Banque du Japon, la banque centrale japonaise, de mars 2001 à 2005 environ, n'a pas relancé l'économie, c'est-à-dire que le niveau des prix a conservé sa tendance légèrement baissière, les taux d'intérêt interbancaire ont chuté jusqu'à zéro en raison de ces réserves excessives, les auteurs japonais d'un rapport précoce de la BRI sur ce sujet ont dû reconnaître très vite que « nos analyses suggèrent que l'ordre de grandeur de tels effets [d'expansion économique] est très incertain et très faible.». En d'autres mots, l'assouplissement quantitatif redécouvre la passivité, l'endogénéité du crédit, son rôle uniquement d'amplification des cycles économiques et non d’entraînement. Seule la monnaie souveraine peut renflouer et étendre une économie, c'est-à-dire améliorer sa solvabilité ; les banques centrales ne peuvent gérer que les problèmes ayant présidé à leur création : les problèmes de liquidité. Notes et références Annexes Bibliographie Articles connexes Théorie monétaire moderne Monnaie fiduciaire Keynésianisme Liens externes Néochartaliste Néochartaliste Monnaie Théorie économique
Cinémaction (revue)
Cinémaction - ou CinémAction selon la graphie de la couverture - est une revue de cinéma fondée en 1978 par Guy Hennebelle et Monique Martineau. Chaque numéro est consacré à un dossier dont la coordination est assurée par un critique qui constitue l'équipe chargée de la rédaction. La revue est coéditée par les éditions Corlet et Télérama. En 2019, la publication de la revue cesse avec la parution du numéro 173. Notes et références Lien externe Entretien avec Monique Martineau à propos de Cinémaction Site officiel Cinemaction Revue française Titre de presse créé en 1978
Andrée Pascal
Andrée Alice Georgette Pascal (née le à Paris et morte le à Clichy) est une actrice de théâtre et de cinéma française. Biographie Théâtre 1907 : La belle au bois dormant de Jean Richepin et Henri Cain avec Sarah Bernhardt au Théâtre Sarah Bernhardt. 1910 : Vidocq, empereur des policiers, pièce en 5 actes d'Emile Bergerat au théâtre Sarah-Bernhardt. 1913 : La folle enchère de Lucien Besnard au Théâtre de la Renaissance 1914 : Le destin est maître, pièce de théâtre en deux actes de Paul Hervieu, représentée pour la première fois au Théâtre de la Porte-Saint-Martin le . 1916 :Sherlock Holmes, pièce de Pierre Decourcelle, reprise à l'Ambigu-Comique. 1916 : La Femme X... d'Alexandre Bisson à l'Ambigu-Comique. 1918 : Monsieur Bourdin, profiteur de Yves Mirande et G. Montignac au Théâtre des Célestins. 1920 : Arsène Lupin, pièce en quatre actes de Francis de Croisset et Maurice Leblanc, reprise) au Théâtre de Paris. Filmographie 1909 : Les Deux Orphelines d'Albert Capellani 1909 : La Tour de Nesle 1911 : Au temps des grisettes 1911 : Barbe grise 1911 : L'Inespérée Conquête 1911 : La Ruse de Miss Plumcake 1911 : Cadoudal 1912 : La Fille des chiffonniers 1912 : Rigadin et la Tante à héritage 1913 : Rigadin père nourricier 1913 : Rigadin au téléphone 1913 : Roger la Honte 1913 : La Closerie des genêts 1914 : Les Exploits de Rocambole 1914 : La Jeunesse de Rocambole 1914 : Rocambole et l'héritage du marquis de Morfontaine 1917 : La Coupe d'amertume 1921 : Fromont jeune et Risler 1922 : L'Empereur des pauvres Notes et références Source Comoedia Liens externes Iconographie d'Andrée Pascal Couverture du magazine Les Sports modernes d'octobre 1911 Actrice française de théâtre Actrice française de cinéma Naissance en janvier 1892 Naissance dans le 17e arrondissement de Paris Décès en décembre 1982 Décès à Clichy Décès à 90 ans Actrice française du muet
Yvonne Schultz
Yvonne Schultz née à Paris et morte le à Nice est une écrivaine française. Biographie Née à Paris en 1889, sans aucune parenté avec la romancière Jeanne Schultz (1862-1910),Yvonne Schultz est la fille de Henri André Schultz dit aussi Taupin (1857-1932), artiste dessinateur d'origine alsacienne qui se consacra principalement à l'ex-libris et de Lucie Preis (1861-1936), parents divorcés avant 1908, année du remariage de son père. En 1928 elle épouse Ferdinand de Fenis de Lacombe (1877-1966) qui a été le directeur de l'école des beaux-arts de Hanoï sous la colonisation française. Son œuvre se compose essentiellement de drames sentimentaux. Elle a vécu à Paris et à Nice, a beaucoup voyagé, et s'est passionnée pour l'Indochine qui lui fournit le cadre de plusieurs de ses romans. Elle a été admise au sein de la Société des gens de lettres en 1916. Elle a publié certains de ses romans sous le pseudonyme de Dyvonne. Œuvres Œuvres originales Dzinn, Plon-Nourrit et Cie, 1919 Le Mari de Vivianne, Le Petit Écho de la Mode, Collection Stella, n°69, 1923 Près de lui, Plon, 1923 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Les Nuits de fer, roman lapon, Plon-Nourrit, 1923 Précoce avril, Grasset, 1924 Joujou se marie..., Plon-Nourrit et Cie, 1924 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) La Flamme sur le rempart, Plon et Nourrit, 1926 Le Mari de Cendrillonne, Plon-Nourrit et Cie, 1926 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Le Roman d'Arlette, Fayard, coll. "Jeunes femmes et jeunes filles", 1928 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) L'Idylle passionnée, La Petite Illustration, 1928 La Couronne d'étoiles, Plon et Nourrit, 1928 Le Secret du destin, Plon, 1928 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Mariage secret, Plon , 1929 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Sous le ciel de jade, Plon et Nourrit, 1930 Le Sampanier de la baie d'Along, La Petite Illustration, 1930 Dans la griffe des jauniers, Plon et Nourrit, 1931 Les Fiancés d'Angkor, A. Fayard, coll. "Jeunes femmes et jeunes filles", 1932 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Chipette et lui, Plon, 1932 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Zompette à la cour, Plon, 1933 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) L'Enlèvement de Jadette, Plon, 1934 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Nuits de Ceylan, Plon et Nourrit, 1934 L'Etoile de Grenade, Plon, 1936 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Les Récits de Maman Chine 1. Au fond d'un temple hindou. L'Immolation. Le Bandeau de jade, Plon, 1937Le Mariage de Passerose, Plon, 1938 (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Les Confidences de Maman Chine. La Divine inconnue, La Petite Illustration, 1939Les Récits de Maman Chine 3. Le Palais des cent lacs, histoire intime d'une famille chinoise, Plon, 1946 Les Récits de Maman Chine. Le Démon passionné, Plon, 1947Le Mariage aux flambeaux, Gautier-Languereau, coll. " Bibliothèque de ma fille", 1950 (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Barcarolle tragique, Gautier-Languereau, coll. "Bibliothèque de ma fille", 1952 (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Pour l'amour de Christiane, Plon, 1953 (Sous le pseudonyme de Dyvonne) Préface Grépon, Marguerite, Lotissement-Journal, Imprimerie de l'Eclaireur de Nice, Aux éditeurs associés, Editions du monde moderne, 1926 RééditionsDzinn, Le Petit Écho de la Mode, 1922 (1 éd. 1919)Près de lui, Plon, 1926 (1 éd. 1923) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Joujou se marie..., Plon , 1928 (1 éd. 1924) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)La Flamme sur le rempart, La Petite Illustration, 1926 (1 éd. 1926) Le Mari de Cendrillonne, Plon, coll. "La Liseuse", 1931 (1 éd. 1926) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Dzinn, Plon-Nourrit et Cie, Coll. "De la liseuse", 1924 (1 éd. 1919)L'Idylle passionnée, librairie Plon, les Petits-Fils de Plon et Nourrit, 1929 (1 éd. 1928)Les Fiancés d'Angkor, Louis Bellenand et fils, coll. "Jeunes femmes et jeunes filles", 1932 (1 éd. 1928) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Les Nuits de fer, roman lapon, Plon et Nourrit, 1932 (1 éd. 1923)Le Sampanier de la baie d'Along, Plon et Nourrit, 1932 (1 éd. 1930) Le Mari de Cendrillonne, Plon , 1935 (1 éd. 1926) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Les Récits de Maman Chine 1. Au fond d'un temple hindou, L'Illustration, 1937 (1 éd. 1937)Dzinn, Plon, 1939 (1 éd. 1922)La Flamme sur le rempart, Plon et Nourrit, 1939 (1 éd. 1926) Le Mari de Cendrillonne, Flammarion, 1940 (1 éd. 1926) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Les Récits de Maman Chine. La Divine inconnue, Plon, 1941 (1 éd. 1939)Dans la griffe des jauniers, Plon, 1944 (1 éd. 1931)Joujou se marie..., Plon , 1949 (1 éd. 1924) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Près de lui, Plon, 1950 (1 éd. 1926) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Mariage secret, Plon, coll. "Bibliothèque Plon", 1955 (1 éd. 1929) (Sous le pseudonyme de Dyvonne)Le Sampanier de la baie d'Along, in Indochine. Un rêve d’Asie, Omnibus, 1995 (1 éd. 1930) Le Sampanier de la baie d'Along, Kailash, coll. Les exotiques, 1995, (1 éd. 1930) Le Sampanier de la baie d'Along, Kailash, coll. Les exotiques, 2000, (1 éd. 1930) Le Sampanier de la baie d'Along, in Indochine. Un rêve d’Asie, Omnibus, 2000 (1 éd. 1930) Notes et références Sources Monographies Alain Ruscio, Le Credo de l'homme blanc. Regards coloniaux français XIXe-XXe siècles, Complexe, 1995 Indochine. Un rêve d’Asie, Omnibus, 1995 Bernard Hue, Littératures de la péninsule indochinoise, Karthala, 1999 Indochine. Un rêve d’Asie'', Omnibus, 2000 Liens externes Yvonne Schultz sur le site des Lettres du Mékong Romancière française du XXe siècle Indochine française Histoire coloniale de la France Naissance en juin 1889 Naissance dans le 7e arrondissement de Paris Décès en mars 1977 Décès à Nice Décès à 87 ans
Bielinek
Bielinek est une localité polonaise de la gmina mixte de Cedynia, située dans le powiat de Gryfino en voïvodie de Poméranie-Occidentale. Elle se situe à environ au sud-ouest de la ville Gryfino et au sud-ouest de la capitale régionale Szczecin. Géographie Notes et références Village dans la voïvodie de Poméranie-Occidentale Powiat de Gryfino
Armand Frappier
Armand Frappier ( à Salaberry-de-Valleyfield dans la province de Québec au Canada - à Montréal) est un médecin, microbiologiste, professeur et chercheur québécois. Il a été le directeur fondateur de ce qui se nommait (de 1938 à 1974) l'Institut de microbiologie et d'hygiène de l'Université de Montréal (IMHUM), un organisme à but non lucratif, mais profitable, suivant le modèle de l'Institut Pasteur. Cet institut est devenu une des constituantes de l'Université du Québec en 1972, puis est devenu un des quatre centres de recherche de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) en 1999. Biographie Jeunesse et formation Désirant, plus que tout, contrer la tuberculose qui lui avait enlevé sa mère (en mai 1923 et âgée de seulement 40 ans) et d'autres membres de sa famille, Armand Frappier obtient un baccalauréat ès arts du Collège de Valleyfield, s’inscrit en 1924 à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et devient médecin en 1930. Il obtient une maîtrise en sciences chimiques en 1931. Frappier défraie lui-même ses études grâce au sextuor "Les Carabins", un orchestre qui se produit en différents lieux, comme au magasin Dupuis Frères, au restaurant Kerhulu et Odiau ou sur les petits navires d'excursion de la Canada Steamship Lines. Il réalise aussi les analyses courantes dans les laboratoires des hôpitaux Saint-Luc et de la Miséricorde de Montréal sous la supervision du George H. Baril. Alors à une croisée des chemins, c'est le Télesphore Parizeau, doyen de la Faculté de médecine de l'Université de Montréal, qui lui conseille de se diriger du côté de la bactériologie (le terme alors utilisé pour la microbiologie). Selon Parizeau, il s'agit d'une jeune discipline pleine de promesses. Aux États-Unis et en France En 1931, Armand Frappier reçoit une bourse de la Fondation Rockerfeller. Ceci lui permet d'aller se perfectionner en immunologie et prophylaxie, vaccination, aux États-Unis et à l'Institut Pasteur à Paris. Aux États-Unis, il se rend notamment à l'Université de Rochester, aux laboratoires d'hygiène de l'État de New York (à Albany), de même qu'au Trudeau Sanitorium situé dans les Adirondacks. À l'Institut Pasteur, il étudie auprès d'Albert Calmette et Camille Guérin, les co-découvreurs du Bacille Calmette-Guérin (connu sous le nom de « vaccin BCG »), un vaccin pour prévenir et guérir la tuberculose. Le Armand Frappier revient au Québec avec une souche atténuée du bacille tuberculeux et s'affaire à produire le vaccin à Montréal. Bien qu'un laboratoire de l'Université de Montréal ait déjà servi à créer ce vaccin auparavant, c'est la première fois, avec Armand Frappier, que le vaccin est produit selon les normes très strictes de l'Institut Pasteur. À partir de ce moment, la production du vaccin au Québec sera l'affaire d'Armand Frappier et de son futur institut. Le Conseil national de recherches du Canada avait d'ailleurs demandé à Frappier de démontrer l'innocuité du vaccin. D'abord offerte à petite échelle, la vaccination avec le BCG sera étendue à l'ensemble de la province du Québec à partir de 1949. Le vaccin devient un élément central de la lutte antituberculeuse dans la province et la principale production (et source de revenus) de l'Institut qu'Armand Frappier fondera, peu de temps après, en 1938. À noter que le BCG suscitera toujours une intense méfiance dans le reste de l'Amérique du Nord et que l'utilisation universelle de ce vaccin restera limitée au Québec (Malissard, 1998, 1999a, 1999b, 2000). En 1937, Armand Frappier retourne faire un stage d'études à l'Institut Pasteur, notamment pour parfaire ses connaissances sur les anatoxines. Il profite aussi de ce séjour en Europe pour visiter des laboratoires à Berlin, à Vienne, à Milan, à Rome et à Sienne. Il est impressionné par les travaux des chercheurs qu'il rencontre et revient d'Europe avec la conviction que la microbiologie est plus que jamais la voie de l'avenir. L'Institut de microbiologie et d'hygiène de l'Université de Montréal (IMHUM) De 1933 à 1963, il réorganise le département de bactériologie de la faculté de médecine de l’Université de Montréal et y introduit l’enseignement des et . Dès 1933, Armand Frappier y enseigne la microbiologie et la médecine préventive. Il poursuivra cette fonction de professeur pendant plus de 35 ans. Il est aussi le fondateur en 1945 et le doyen durant 20 ans de l'école d’hygiène de cette université. La principale réalisation du Frappier demeure toutefois la fondation d'un institut moderne voué à la microbiologie. Le docteur Frappier précise sa proposition en ayant en tête les besoins réels de la société : " ...besoin de développer dans la province le secteur de la bactériologie [microbiologie] sous un grand nombre de ses aspects médicaux et industriels, besoin de former des experts dans ce domaine, besoin de créer et de rendre toutes sortes de services pertinents à la santé publique et à l’industrie, besoin de mettre à la portée du gouvernement et des hôpitaux des produits essentiels et indispensables à une nation qui se veut moderne." À cet effet, dès 1934-1935, le Frappier va être accompagné par des étudiants, des médecins, des pharmaciens, des chimistes et des vétérinaires qui vont former la première cohorte de scientifiques de l’Institut. Beaucoup ont effectué leurs études supérieures aux États-Unis ou en Europe, à l’instar d’Armand Frappier, ou dans des établissements reconnus comme l’Hôpital St-Luc ou l’École vétérinaire d’Alfort (France). Parmi eux, citons : Victorien Fredette, le premier assistant du Frappier, Lionel Forté, Jean Tassé, Maurice Panisset, Jean Denis, Vytautas Pavilanis, Paul Marois ou encore Adrien Borduas. Pour financer son projet d’Institut, le Frappier tente de sensibiliser les autorités, notamment le premier ministre du Québec, Maurice Duplessis. Son Institut permettra d'assurer l'autonomie du Québec en matière de vaccins et de certains produits biologiques. Cette autonomie et l'attrait d'un impact économique pour le Québec rallie les autorités, si bien que le gouvernement accorde au Frappier (environ 1,3 million de dollars en monnaie de 2018). L’Institut est donc fondé en 1938 sous le nom d’Institut de microbiologie et d’hygiène de Montréal, un nom qu’on change en 1942 pour l’Institut de microbiologie et d’hygiène de l’Université de Montréal (IMHUM). L'organisme loge tout d'abord dans d'exigus locaux appartenant à l'Université de Montréal, sur la rue St-Denis. Puis, en 1942, l'Institut devient l'un des premiers occupants du nouvel édifice de l'Université sur le flanc nord du mont Royal (l'actuel pavillon Roger-Gaudry de l'Université de Montréal). Il s'y entoure de jeunes collègues, s'occupe de leur formation et devient avec eux une référence mondiale dans le domaine de la microbiologie et de la médecine préventive. L'institut est actif en recherche, enseignement, publications scientifiques et expertises dans tous les domaines des sciences biomédicales : immunologie, bactériologie, épidémiologie, médecine préventive et virologie. De plus, se basant sur le modèle de l'Institut Pasteur et des Laboratoires Connaught de l'Université de Toronto, il ajoute aux mandats d'enseignement et de recherche celui de production de vaccins et autres produits biologiques. Au nombre des vaccins produits, on retrouve : anti-poliomyélite (Salk, puis Sabin) ; anti-diphtérie-coqueluche-tétanos (DCT) ; anti-influenza ; anti-tuberculose (BCG) et bien d'autres. L'institut produit également des milieux de culture (géloses et autres produits diagnostiques) ainsi que des services diagnostiques de pointe à l'intention des médecins, des vétérinaires et des laboratoires publics ou privés, ainsi que des sociétés (du domaine alimentaire entre autres). Sous Armand Frappier, les profits qui résultent de la vente des produits et services de l'institut sont donc réinvestis en recherche, comme à l'Institut Pasteur. Aufil des ans, toutefois, ces profits ne permettront pourtant de couvrir que 50 % des budgets de recherche. L'autre 50 % devra être reçu de subventions gouvernementales auxquelles s'ajoutent parfois quelques commandites ou contrats de recherche avec des sociétés.. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il contribue à la fondation et à l’installation des cliniques de donneurs de sang de la Croix-Rouge dans la province de Québec et organise les laboratoires de dessiccation du sérum normal humain à l’Institut qu’il dirige. Plus de 150,000 bouteilles de sérum desséché seront envoyées par caisse afin de soigner les blessés de guerre eu Europe. L’équipe de l’Institut va s’accroître au fil des ans. De 8 membres en 1942, le personnel passe à 150 en 1951, puis à plus de 300 en 1958. L’Institut tire sa force de son interdisciplinarité en termes de recherche, à preuve la mise en place de différents services de l’Institut. Ainsi, la Section des recherches en microbiologie, hygiène publique et médecine préventive regroupe des services à la fois multidisciplinaires et complémentaires, parmi lesquels on compte le Service du BCG, le Service de la diphtérie et le Service des vaccins. Le docteur Frappier fait partie du bureau de nombreuses sociétés nationales et internationales. Il est, entre autres, membre de la Société Royale du Canada dont il reçoit, en 1979, le prix et la médaille T.W. Eadie pour ses œuvres. Il est aussi associé honoraire du Collège Royal des Médecins-Chirurgiens du Canada, associé étranger de l’Académie Nationale de Médecine en France, Fellow de la Royal Society of Medicine de Londres, Fellow de l’American Public Health Association et Membre d’Honneur de la Société Française de Microbiologie. Il participe aux travaux de nombreux organismes de santé publique et de recherche sur la santé, au Canada et à l’étranger, et est l’un des instigateurs de l’organisation des agences officielles de recherche médicale au Canada. Il est membre de comités du Conseil National de Recherches du Ministère de la Défense du Canada dont il fut le président du Comité consultatif sur la guerre biologique et membre de comités du Conseil médical de recherche du Canada et du Ministère de la Santé nationale et du Bien-être social. Il est également membre honoraire de la Société Canadienne de la Croix-Rouge. Il est aussi membre du Tableau d’experts sur la tuberculose de l’Organisation Mondiale de la Santé et président du Comité sur le BCG de l‘Union internationale contre la tuberculose. En 1972, l'Institut est intégré au réseau de l’Université du Québec (créé en 1968). En 1975, à la suite de la retraite d’Armand Frappier, l’Institut prend le nom de son fondateur : Institut Armand-Frappier (IAF). Cette période est marquée par l'intensification et la diversification des activités de production de biens et services, par le développement de la microbiologie appliquée et industrielle surtout orientée vers l'alimentation et l'utilisation des ressources naturelles. En 1999, l'Institut est rattaché à l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) et devient le Centre INRS-Institut Armand-Frappier. Bien que la mission de production de vaccins et autres produits biologique ait cessé, l'Institut poursuit sa mission de recherche et d'enseignement en microbiologie et en santé. Ainsi, le nouveau centre se consacre essentiellement à l’avancement de la recherche et au développement de l’enseignement supérieur, tout en maintenant certains services à la collectivité. Alors que s’achève la seconde décennie du , ce centre compte environ 40 professeurs, de même que 140 étudiants de maîtrise et de doctorat inscrits dans ses cinq programmes d’études, soit la microbiologie appliquée, les sciences expérimentales de la santé, la biologie, la virologie et l’immunologie. Plusieurs partenariats internationaux sont mis sur pied. Ainsi, l’INRS-Institut Armand-Frappier fait notamment partie du Réseau international des instituts Pasteur, du Réseau de recherche en santé environnementale et du Centre canadien pour l’éthique dans le sport. Sa retraite et son héritage En 1974, après 37 ans à la direction de l'Institut, le docteur Frappier, à l'âge de 70 ans, quitte son poste. Son successeur, le docteur Aurèle Beaulnes, prend en charge la restructuration de l'Institut. Armand Frappier demeure toutefois en contact avec son Institut en agissant à titre de conseiller et de consultant. Il préside aussi de nombreux événements et travaille à organiser ses archives et à rédiger ses mémoires (qui seront publiées en 1992 aux Presses de l'Université du Québec sous le titre de Un rêve, une luttle. Autobiographie). Il décède le 17 décembre 1991 à Montréal. Armand Frappier est reconnu comme un pionnier dans le domaine de la recherche en microbiologie et en médecine préventive au Canada. Il se range parmi les premiers chercheurs nord-américains à avoir confirmé l’innocuité et l’efficacité du BCG, à avoir développé des méthodes originales d’étude et d’utilisation de ce vaccin et à en avoir mis en évidence de nombreuses propriétés biologiques et cliniques. Avec sa collègue et sa fille, madame Lise Frappier-Davignon, il montre un effet de prévention non spécifique par ce vaccin dans le cas de la leucémie de l’enfant et établit une méthodologie pour ce type d’étude épidémiologique. Avec son collègue L. Kato, il favorise l’étude internationale de la lèpre et contribue à construire l’un des seuls laboratoires spécialisés à cette fin au monde. Il laisse derrière lui un important legs scientifique, d'abord avec son Institut, mais aussi avec plusieurs cohortes de scientifiques formés en français au Québec. Par ses recherches et son action en santé publique, il a contribué à sauver un nombre très important de vies. De plus, conséquence du programme universel de vaccination au BCG, un exceptionnel registre de plus de 4 millions de fiches de vaccination est créé et sert encore aujourd'hui aux chercheurs en épidémiologie. Une personnalité attachante Le Armand Frappier pratiquait l’aequanimitas, une attitude qui consiste à contrôler ses émotions, à ne pas trop s'emporter, ni dans le malheur, ni dans le bonheur, à se maintenir d'humeur égale et de bonne humeur autant que possible. Écoutez la voix du Armand Frappier, très détendu, à 67 ans, le 6 octobre 1972. Principaux honneurs décernés au Armand Frappier 1942 - Médaille de la Croix-Rouge canadienne décernée au Armand Frappier et à son équipe pour leurs efforts de guerre 1945 - Membre honoraire de la Croix-Rouge canadienne 1946 - OBE : Officier de l'Ordre de l'Empire britannique, honneur que lui a décerné le roi George VI, père d'Élisabeth II 1948 - Médaille de l'Institut Pasteur 1950 - Membre correspondant de la Société médicale des hôpitaux de Paris 1952 - Membre correspondant de l'Instituto Brasiliero Para Investigaçao de Tuberculose (du Brésil) 1953 - Membre correspondant étranger de l'Académie nationale de médecine de France 1953 - Membre du Comité d'honneur du Congrès international de microbiologie, tenu à Stockholm 1954 - Prix Urgel-Archambault (décerné par l'Association francophone pour le savoir) 1957 - Officier de l'Académie nationale de médecine de France, avec palmes 1959 - Fellow de la Royal Society of Medicine de Londres et de l’American Public Health Association 1963 - Médaille de Notre-Dame de Paris, à l'occasion du Centenaire de Paris (1163-1963) 1964 - Doctorat honorifique de l'Université de Paris 1969 - Médaille commémorative du de l'Institut national d'hygiène de Varsovie 1969 - Compagnon de l'Ordre du Canada 1970 - Membre honoraire de la Société médicale de la Pologne 1970 - Prix de l'œuvre scientifique de l'Association des médecins de langue française du Canada, honneur attribué à un médecin canadien et francophone pour l'ensemble de son œuvre scientifique, avec une bourse de 1970 - Médaille de l'Académie nationale de médecine de France, à l'occasion du cinquantenaire de l'organisme (1920-1970) 1971 - Prix John Toy, l'un des sept grands prix de l'Académie des sciences de l'Institut de France 1971 - Doctorat honorifique de l'Université Laval (de Québec) 1972 - Prix de la SCM/Roche Diagnostics, pour contribution exceptionnelle à la microbiologie 1973 - Prix au mérite, de la Fondation Jean-Louis Lévesque au Armand Frappier, bientôt « retraité » : canadiens, que le Armand Frappier donne aussitôt à la Fondation Armand-Frappier, qu'il crée alors, pour favoriser encore davantage, chaque année, la recherche et les études à l'institut (bourses pour stages postdoctoraux ou pour études supérieures à l'institut, acquisition d'appareils de pointe, etc.) À compter de décembre 1974, le Armand Frappier, devenu septuagénaire, n'est plus un employé régulier ni le directeur de son institut (les règlements de l'université imposaient alors à quiconque la retraite avant l'âge de 70 ans et un jour). 1975 - L'institut (IMHM) prend dorénavant le nom de Institut Armand-Frappier (IAF), tel que prévu dans l'entente d'annexion à une université en 1972 1976 - Doctorat honorifique de l'Université de Montréal 1977 - Membre correspondant étranger de l'Académie nationale de médecine de Paris 1977 - Médaille du de règne de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni (1952-1977) 1977 - Médaille du de la Faculté de médecine de Cracovie (Pologne) (1917-1977) 1977 - Doctorat honoris causa de l'Académie de médecine Nicolas Copernic de Cracovie (Pologne), présenté en séance solennelle au Consulat de Pologne à Montréal 1977 - Médaille du de la Société polonaise des microbiologistes (1927-1977) 1978 - Nommé Grand Montréalais 1978 - Doctorat honorifique de l'Université du Québec 1979 - Prix Marie-Victorin, le prix scientifique le plus prestigieux du gouvernement du Québec] 1979 - Médaille Thomas W. Eadie, de la Société royale du Canada 1985 - Nommé grand officier de l'Ordre national du Québec 1988 - Prix de $ en reconnaissance des services qu’il a rendus au progrès de la santé publique, par le gouvernement du Québec, à l’occasion du de fondation de l’Institut (1938-1988) 1989 - Doctorat honorifique de l'Université McGill (de Montréal) 1991 - Honoré par l’Institut canadien de science et technologies alimentaires (ICSTA) 1991 - Trophée Méritas de la Chambre de commerce de Laval (en la Ville de Laval où est situé l'Institut) 1991 - Lauréat de l’Académie des grands Montérégiens et bourse de Titres posthumes 1993 - Citoyen honoraire de Salaberry-de-Valleyfield 1993 - Membre de la Société royale du Canada 1996 - Membre d’honneur de la Société française de microbiologie 1998 - Médaille Frédéric Newton Gisborne Starr de l’Association médicale canadienne, la plus haute distinction que l'association décerne à l'un de ses membres Hommages 1992 - Création du Musée Armand-Frappier, un centre d’interprétation des biosciences ouvert au public, sur les terrains de l'institut par Lise Frappier-Davignon (1930-1999), médecin épidémiologiste, retraitée de l'Institut et fille aînée du Armand Frappier 1994 - Création d'un Prix du Québec à son nom, par le gouvernement du Québec Plusieurs villes et organismes publics du Québec ont donné son nom à des voies de communication, des écoles, des Bibliothèques et d'autres lieux. 2000 - Un timbre est émis par la Société canadienne des Postes, inspiré d'une photo du Armand Frappier vers 1940, front plissé, yeux perçants, en veston bleu foncé, portant au cou un beau nœud papillon bleu, en vue plongeante, de biais, en plan américain, côté droit invisible, tenant un flacon de BCG au premier plan dans la main gauche, avec un microscope optique au troisième plan et vis-à-vis et, derrière le tout, ses premiers collègues chercheurs, estompés, l'observant avec intérêt, l'écoutant ; inscription au-dessus du microscope (verticale, à droite, en latin) : vox non echo (l'inscription signifierait être une voix (parlante, compétente, écoutée), non un écho (impersonnel, distordu, insignifiant…)) ; titre au catalogue : « Armand Frappier et la recherche médicale » ; concepteurs : Louise Delisle, Jean-Claude Guénette ; valeur nominale : ; tirage : un million d'exemplaires ; date d'émission : le 17 janvier 2000 2012 - Intronisation du Armand Frappier au Temple de la renommée médicale canadienne Citations — Armand Frappier — [Gaston] Cordier, doyen, Faculté de médecine de Paris, 1964 Bibliographie Malissard, P. (1998), « La longue controverse de la vaccination antituberculeuse au Canada : le Bacille Calmette Guérin (bcg), 1925-1975 », Canadian Bulletin of the History of Medicine/Bulletin canadien d’histoire de la médecine, vol. 15, . Malissard, P. (1999a), « Les centres universitaires de production et de recherche en microbiologie au Canada ou savoir se rendre utile», Bulletin d’histoire politique, vol. 7, no 3, . Malissard, P. (1999b), Quand les universitaires se font entrepreneurs. Les Laboratoires Connaught et l’Institut de microbiologie et d’hygiène de l’Université de Montréal, 1914-1972, thèse de doctorat, Université du Québec à Montréal. Malissard, P. (2000), « Les "Start-Up" de jadis : la production de vaccins au Canada », Sociologie et sociétés, vol. 32, , . https://www.erudit.org/revue/socsoc/2000/v32/n1/001473ar.pdf Armand Frappier, Un rêve, une lutte : autobiographie, Presses de l'Université du Québec, 1992, 342 pages, GA703 Biographie succincte du Armand Frappier (fichier pdf, 10 pages avec plusieurs photos), émise par le Musée Armand-Frappier- ces photos et autres informations familiales furent fournies par 2 filles du Armand Frappier, dont Lise Davignon (1930-1999), médecin épidémiologiste La fiche du Frappier dans l'Encyclopédie canadienne Références Liens externes INRS : L'œuvre d'Armand Frappier. 75 ans de recherche et d'enseignement pour l'amélioration de la santé. Fonds Armand-Frappier, fonds d'archives conservé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal. Naissance en novembre 1904 Naissance à Salaberry-de-Valleyfield Décès en décembre 1991 Décès à Montréal Décès à 87 ans Biologiste du XXe siècle Médecin du XXe siècle Médecin québécois Professeur québécois Étudiant de l'Université de Montréal Compagnon de l'Ordre du Canada Grand officier de l'Ordre national du Québec Membre de la Société royale du Canada Microbiologiste canadien Officier de l'ordre de l'Empire britannique Lauréat du prix Marie-Victorin Docteur honoris causa de l'université Laval Docteur honoris causa de l'Université du Québec
(32891) Amatrice
(32891) Amatrice est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (32891) Amatrice est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à Colleverde par Vincenzo Silvano Casulli. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 2,54 UA, une excentricité de 0,14 et une inclinaison de 13,4° par rapport à l'écliptique. Articles connexes Liste des planètes mineures (32001-33000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1994 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste nommé d'après un lieu d'Italie
Embouchure (hydrologie)
Une embouchure est le lieu où un cours d'eau se jette dans un lac, un réservoir, une mer ou un océan. Elle se distingue d'une confluence qui correspond à la rencontre avec un autre cours d'eau. L'embouchure peut prendre la forme d'un estuaire ou d'un delta. Terminologie Le terme de « bouche(s) » est parfois employé comme dans le cas des « bouches du Rhône ». Dans le cas d'un cours d'eau qui se jette dans un autre cours d'eau, on désigne par « confluence » le lieu où les cours d'eau se joignent. Le mot « confluent » est associé aux noms des deux cours d'eau concernés et n'indique pas de hiérarchie (par exemple le confluent de la Semois et de la Vierre). Le mot « embouchure » s'accompagne du seul nom de l'affluent, dont la confluence marque l'extrémité (par exemple l'embouchure de la Semois qui correspond au confluent de la Semois et de la Meuse). Description L'eau d'une rivière peut pénétrer dans le milieu récepteur de différentes manières. Le mouvement d'une rivière est influencé par la densité relative de la rivière par rapport au milieu récepteur, la rotation de la Terre et tout mouvement ambiant dans le milieu récepteur, comme les marées ou les seiches. Si l'eau de la rivière a une densité plus élevée que la surface de l'eau réceptrice, l'eau de la rivière plongera sous la surface. L'eau de la rivière formera alors soit un courant inférieur, soit un courant intermédiaire dans le lac. Toutefois, si l'eau de la rivière est plus légère que l'eau réceptrice, comme c'est généralement le cas lorsque l'eau douce de la rivière se jette dans la mer, l'eau de la rivière flottera à la surface de l'eau réceptrice sous forme de débordement. Parallèlement à ces transports par advection, l'eau entrante diffusera également. Comme tous les lieux à cheval entre deux milieux naturels différents, les embouchures sont généralement des endroits de grande biodiversité : des eaux de composition, température et vitesse différentes se rencontrent. Les nutriments et les sédiments charriés par les cours d'eau se diluent ou se déposent sur les fonds (charge de fond). Ce dépôt de sédiments peut générer diverses formes de relief, telles que des deltas, des bancs de sable, des cordons littoraux, des canyons sous-marins et des chenaux de liaison. Dans le cas d'un cours d'eau qui se jette dans un lac, une mer ou un océan, son embouchure est délimitée par la zone du cours d'eau subissant l'effet des marées. La biodiversité y est encore accrue par le mélange d'eaux douces et salées, créant des eaux saumâtres à des concentrations variées. Influence culturelle Au Royaume-Uni, de nombreux lieux tirent leur nom de leur position à l'embouchure des rivières, tels que Plymouth ( « embouchure de la rivière Plym »), Sidmouth ( « embouchure de la rivière Sid ») et Great Yarmouth ( « embouchure de la rivière Yare ») ; en celtique, le terme est « Aber » ou « Inver ». Notes et références Notes Références Voir aussi Articles connexes Estuaire Delta Hydrographie Géomorphologie littorale Géomorphologie fluviale et lacustre
Sauce moutarde
La sauce moutarde ou sauce à la moutarde est une préparation culinaire à base de moutarde. Il en existe plusieurs variantes : il peut s'agir d'un simple ajout de moutarde à une sauce hollandaise ou bien à une sauce blanche bouillante, ou encore d'une sauce émulsionnée à base de moutarde, de beurre, de fécule et d'eau. Notes et références Voir aussi Article connexe Liste de sauces Moutarde
Totò au Tour d'Italie
Totò au Tour d'Italie () est un film italien réalisé par Mario Mattoli, sorti en 1948. Il s'agit du premier film où le nom de Totò apparaît dans le titre. Synopsis Fiche technique Titre français : Totò au Tour d'Italie Titre original : Réalisation : Mario Mattoli Scénario : Vittorio Metz, Marcello Marchesi, Steno Photographie : Tino Santoni Montage : Giuliana Attenni Musique : Nino Rota Direction artistique : Domenico Bologna, Dante Fazi Scénographie : Costumes : Werther Producteur : Lorenzo Pegoraro Société de production : Ente Nazionale Industrie Cinematografiche (ENIC) Pays d'origine : Langue : Italien Format : Noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — Son : Mono Genre : Comédie Durée : Dates de sortie : : : Distribution Totò : le professeur Totò Casamandrei Giuditta Rissone : la mère Isa Barzizza : Doriana, la juré Walter Chiari : Bruno, le journaliste Carlo Ninchi : Dante Alighieri : Néron Mario Castellani : Renato Stella, l'entraîneur : Filippo, le diable Fulvia Franco : Gisella, Miss Italie, sœur de Doriana Alda Mangini : Gervasia, la femme de chambre Ughetto Bertucci : le mécanicien Mario Riva : le commentateur : le cuisinier Luigi Pavese : le serveur Eduardo Passarelli : le commissaire Loris Gizzi : le maire : le passant à vélo Mirella Gallo: : Fausto Coppi : lui-même Gino Bartali : lui-même Fiorenzo Magni : lui-même Ferdi Kübler : lui-même Giordano Cottur : lui-même : lui-même Oreste Conte : lui-même Adolfo Consolini : lui-même Louison Bobet : lui-même Alberic Schotte : lui-même Amos Matteucci : lui-même Jean-Pierre Wimille : lui-même Ulisse Lorenzetti : lui-même Di Segni : lui-même Amedeo Deiana : lui-même Aldo Spoldi : lui-même Giuseppe Tosi : lui-même : lui-même Tazio Nuvolari : lui-même Liens externes Film italien sorti en 1948 Comédie italienne Film réalisé par Mario Mattoli Film avec une musique composée par Nino Rota Film sur le cyclisme Film tourné au Piémont Film tourné à Bologne Film italien en noir et blanc Film scénarisé par Vittorio Metz
QP
QP peut faire référence à : Quoted-Printable, un format d'encodage de données codées sur 8 bits ; Qatar Petroleum, compagnie nationale pétrolière du Qatar ; QP, pour Quiz party, un jeu vidéo Neo-Geo MVS prototype prévu par N.C.I et qui sortirai donc plusieurs années après son développement ; Q.P. dans un devis fait référence à quantité présumée ; QP, un seinen manga écrit et dessiné par Hiroshi Takahashi.
Canyon Tenaya
Le canyon Tenaya (en ) est une gorge américaine située dans le comté de Mariposa, en Californie. Formé par le Tenaya Creek, il est protégé au sein du parc national de Yosemite et pour partie par la Yosemite Wilderness au sein de ce parc. Liens externes Yosemite Wilderness
Melanie Barbezat
Melanie Barbezat, née le , est une joueuse suisse de curling. Biographie À l’été 2018, alors qu’elle envisageait d’arrêter sa carrière, elle rejoint le CC Aarau et l’équipe de Silvana Tirinzoni. En novembre de cette même année, elle remporte la médaille d’argent aux Championnats d'Europe. Elle remporte la médaille d'or du Championnat du monde féminin de curling 2019. Références Naissance en août 1991 Curleuse suisse Sportive bernoise Championne du monde de curling Curleuse aux Jeux olympiques d'hiver de 2022 Naissance à Bienne
Le Grand 8
Le Grand 8 est une émission de télévision diffusée sur la chaîne française D8, du au d'abord à , puis à du au , à du au , et enfin à du au . Présentée par Laurence Ferrari, il s'agit d'un talk-show inspiré de l'émission américaine The View. Description Principe Diffusée du lundi au vendredi à sur D8, l'émission voit les cinq intervenantes débattre sur différents sujets d'actualité (politique, société, santé, tendance, économie, culture). Il s'agit de la troisième émission télévisée française uniquement présentée par des femmes, après Frou-Frou, en 1992, et Les Poules ont des dents en 2005. Première version : octobre-décembre 2012 Le plateau est constitué d’une banquette blanche semi-circulaire, où sont assises de gauche à droite : Roselyne Bachelot, Hapsatou Sy, Laurence Ferrari (la meneuse de jeu), Élisabeth Bost et Audrey Pulvar. L’invité s’assied généralement à gauche ou à droite de Laurence Ferrari. Une table ronde est située devant la banquette. Derrière cette dernière, un grand écran projette les reportages de l'émission, ou bien en guise de fond visuel, les images liées à l’actualité. Sur les côtés de l’écran figurent des armoires de différentes couleurs (violette, rouge, orange, jaune, l'écran, vert, bleu et violet) remplies d’ustensiles de cuisine ou d'objets de la vie de tous les jours de même couleur. La première semaine, chaque émission était rediffusée le même jour à 16 h 15, mais après des audiences jugées décevantes, cette rediffusion est supprimée dès la deuxième semaine. Seconde version : de janvier 2013 à juin 2016 Le , Laurence Ferrari annonce que l’émission subira un lifting de rentrée, en . Cela impliquerait par exemple un . Depuis le , l'émission est également avancée d'une heure : elle est maintenant diffusée à 10 h 50 et est en direct. L'émission du vendredi est composé des meilleurs séquences de la semaine. Faisant le bilan de l'émission trois mois après son lancement, le , et ce alors que les audiences sont jugées décevantes, Ara Aprikian, président de D8 déclare : . Le Grand 8 est toujours divisé en trois parties (séparées par deux publicités), mais avec des séquences plus distinctes : « L’Actu » (« Le témoin d’actu », « La question d’actu ») « Le Mag » (« Vu à la télé », « Le regard du psy », « Bien dans son assiette » ou « Quoi de neuf docteur ? », « En immersion », « À table ») « L’invité » (« Restons connectés », « La revue de presse », « Tout pour la musique » ou « En mode fashion ») Le plateau est désormais basé sur un point central, où sont attablées (et non plus seulement assises) les cinq intervenantes, leurs invités et les chroniqueurs régulier. Le fond visuel est toujours un grand écran où sont projetés des images et des reportages, mais les armoires garnies d’ustensiles ont été déplacées dans un champ moins visible. Le public est maintenant directement visible, alors qu’auparavant on ne pouvait le voir que lorsque les intervenantes souhaitaient interagir avec lui. Le directeur général de Canal +, Rodolphe Belmer, a publiquement assuré les animatrices qu’il laisse à l’émission deux ans pour s’installer. Le , D8 intervertit la plupart de ses animateurs et chroniqueurs pour la journée : la chaîne appelle cela « Le Grand Switch ». Exceptionnellement, l’émission est présentée par Cyril Hanouna, avec comme chroniqueuses Valérie Bénaïm, Enora Malagré (qui sont normalement avec ce dernier dans l'émission Touche pas à mon poste !), Élisabeth Bost et Audrey Pulvar (qui restent donc sur le même plateau). Dans la grille de rentrée 2016, Le Grand 8 est arrêté pour insuffisance d'audiences. Présentatrice et chroniqueurs Laurence Ferrari est entourée de quatre intervenantes : Roselyne Bachelot, femme politique, ancienne ministre ; et remplaçante de Laurence Ferrari. Élisabeth Bost, journaliste ; Hapsatou Sy, cheffe d'entreprise ; Aïda Touihri, journaliste ; (de à ) Myriam Weil, co-rédactrice en chef de l'émission, en l'absence d'une des quatre intervenantes. Ancienne chroniqueuse Audrey Pulvar, journaliste ; (d' à ) Chroniqueurs spécialisés Des chroniqueurs spécialisés viennent également chaque jour en alternance pendant un moment de l'émission : Actuels Jean-Pierre Montanay : chronique culinaire « À table, le défi ! » ; Gérald Kierzek : chronique médicale « Quoi de neuf docteur ? » ; Jérémy Chatelain : chronique « In & Out » ; Myriam Weil : chronique : « Miss Green » ; Nicolas Roux : chronique : « Papa Poule » ; Magali Bertin : chroniques : « Nos amis, les hommes » et « Nos amies les stars » ; Damien Hammouchi : chronique « Tout nouveau, tout techno ! » ; Caroline Ithurbide : chronique : « Tout nouveau, Tout Caro » (anciennement « en immersion ») ; Hélène Mannarino : chronique « La semaine d'Hélène » ; Sebastian Marx : chronique « Made in USA » ; Sandrine Arcizet : chronique : « La Coach du Grand 8 » (anciennement « Les Animaux du Grand 8 ») ; Anciens Marie Montuir : chronique : « Dans ma maison » ; Seb Mellia : chronique : « Seb sur le web » ; Stéphanie Renouvin : chroniques : « Toutes les femmes », « Dans tous ses états » et « Dans ma famille ; Stéphanie Loire : chronique « C'est tout nouveau » ; Harold Cobert : chronique relations amoureuses ; Lauren Bastide : chronique mode : « En mode fashion » ; Laurence Haurat : chronique nutrition « Bien dans son assiette » ; Serge Hefez : chronique psychiatrie « Le regard du psy » ; Sylvain Tesson : chronique littéraire. Thomas Chauvineau : chronique technologie et médias féminins « La revue de presse » ; William Réjault : chronique numérique « Restons connectés ». Damien Hammouchi : chronique musicale « Tout pour la musique » ; Stéphanie Renouvin : chronique : « Dans ma famille » ; Invités La première émission de la saison a été diffusée le . La première version de l'émission (octobre-décembre) accueillait entre un et trois invités par émission, selon un schéma qui divergeait selon les jours. La seconde version (depuis janvier) opte pour un cadre plus rigide : un invité « témoin de l’actu » dans la première partie, généralement une personnalité, connue ou non, impliquée dans l’actualité nationale, puis un invité dans une partie qui lui est dédiée, en fin d’émission, venu faire la promotion d’un livre, d’un album musical ou encore d’une émission de télévision. Le Grand 8 a ainsi accueilli des personnalités politiques (Jean-Luc Mélenchon, Najat Vallaud-Belkacem, François Baroin, Florian Philippot), musicales (Garou, Cecilia Bartoli, Stromae, Lacrim), cinématographiques (Olivier Marchal, Alexandra Lamy, Bernadette Lafont), littéraires (Philippe Labro ou Guillaume Musso) du monde de la mode (Karl Lagerfeld, Adriana Karembeu), de la science (Philippe Even, Jean-Pierre Luminet), de la cuisine (Pierre Hermé, Hélène Darroze), de l'humour (Liane Foly, Anne Roumanoff), de la religion (Alain Maillard de La Morandais), du sport (Felix Baumgartner) ou des médias (Bernard Pivot, Laurence Haïm, Yann Barthès, David Pujadas). Des animateurs de la chaîne (Cyril Hanouna, André Manoukian, Guy Lagache) y viennent parfois parler de leur propre émission. Le , D8 annonce la présence dans l'émission d'Eva Longoria, de passage en France, et modifie pour l'occasion le générique de l'émission en intégrant l'invitée. Le , l'émission fête sa édition en invitant Alain Delon et modifie également le générique, comme pour Eva Longoria. Préparation Roselyne Bachelot déclare à propos de la préparation de l'émission : . Alain Contrepas, un ancien de Canal+, est le producteur de l'émission. Agathe Blanchard, Myriam Weil et Damien Hammouchi sont les rédacteurs en chef de l'émission. Audiences Évolution des audiences Le premier jour de diffusion, l'émission réalise 1,9 % de part de marché et téléspectateurs, les audiences étant alors considérées comme bonnes. Néanmoins, l'audience baisse continuellement pendant la semaine, tombant à 0,7 % et personnes le jeudi de la même semaine, avant de remonter à 0,9 % et le lendemain. Début novembre, Roselyne Bachelot estime que l'émission , bien que ce soit et de s'installer . Début , la nouvelle formule, avec par ailleurs un changement d'horaire (12 h 15 pour 11 h 15 désormais) recueille téléspectateurs. Pour Philippe Nouchi, directeur de l'Expertise Média chez VivaKi Advance, s’. En , Audrey Pulvar commente cette nouvelle formule et les audiences qui l’accompagnent : . Elle explique par la suite les erreurs de départ : . Le , l'émission réalise un record d'audience en rassemblant téléspectateurs, et plus de 3,6 % du public. Une audience multipliée quasiment par cinq par rapport aux audiences initiales. Au terme d'une saison, en juin, Le Grand 8 se félicite d'avoir selon un article du Point alors que les premières . L'émission a donc doublé la taille de son public (3 % environ, passant de à téléspectateurs), ce qui conduit le groupe Canal + à confier en plus à Laurence Ferrari un programme d'information (18 h / 19 h 30) à la rentrée de septembre sur iTélé. Le , l'émission bat un record en part d'audience avec un taux de 4,5 % auprès de l’ensemble du public. Le Grand 8 totalisait alors téléspectateurs et se classait quatrième chaîne nationale sur les ménagères de moins de 50 ans entre 10 h 42 et 11 h 55 avec 8,2 % de part d’audience sur la cible. Audiences hebdomadaires remarquables Audiences quotidiennes remarquables Notes et références Annexes Lien externe Site officiel Émission de télévision produite en France Émission diffusée sur C8 Débat télévisé Média féminin Émission de télévision créée en 2012 Émission de télévision disparue en 2016 Talk show à la télévision
Église Sainte-Colombe de Vià
L'église Sainte-Colombe de Vià (Santa Coloma de Vià en catalan) est une église romane située à Via, hameau de Font-Romeu en Cerdagne dans le département français des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1964. Historique L'église Sainte-Colombe de Vià est mentionnée pour la première fois dans l'« Acte de Consécration de la Cathédrale de la Seu d'Urgell » au sous le nom d'Avizano. L'édifice roman actuel date du . L'église abrite une statuette de saint Vincent qui était dans la chapelle Saint-Vincent de Portoles, située dans la même commune près de la limite de Saillagouse, et dont il ne reste que de maigres vestiges (). Cette chapelle, signalée au , était une hostellerie située près de la strata Ceretana, ancienne voie romaine traversant la Cerdagne et reliant la mer et la voie Domitienne à Llivia, la Seu d'Urgell et Lérida par le Conflent et le col de la Perche. Architecture De l'église romane ne subsistent qu'une partie de la façade méridionale et le portail. Cette portion de façade est édifiée en pierre de taille de très grandes dimensions. Le remarquable portail méridional est surmonté d'une archivolte comportant deux voussures. La première voussure est ornée de têtes et de boules alors que la deuxième est ornée d'un arc torique (boudin). Le portail est encadré de deux courtes colonnes surmontées de chapiteaux massifs et intègre une porte aux superbes pentures. Au-dessus du portail se trouve un corbeau figurant un visage humain, dernier vestige d'un ancien porche. Annexes Bibliographie Notes Articles connexes Liste des églises romanes des Pyrénées-Orientales Liste des monuments historiques des Pyrénées-Orientales Font-Romeu-Odeillo-Via Colombe via Patrimoine du XIIIe siècle Église monument historique dans les Pyrénées-Orientales Monument historique inscrit en 1964 Via Monument à Font-Romeu-Odeillo-Via Église en Cerdagne
Enrico Emanuelli
Enrico Emanuelli (né en 1909 à Novare, Piémont, Italie - mort à Milan en 1967) fut cofondateur avec Mario Soldati de la revue Memolo en 1928. Écrivain et journaliste, ses courts romans et nouvelles accordent une place importante à l'introspection. Biographie Œuvres Storie crudeli (1943) Una educazione sbagliata (1941) La congiura dei sentimenti (1943) Il pianeta Russia (1952), reportage Un viaggio sopra la terra (1953), reportage La Cina è vicina (1957), reportage Giornale indiano (1957), reportage Uno di New York (1959) Una lettera dal deserto (1960) Settimana nera (1961) Curriculum mortis (1968), posthume Œuvres traduites en français La Conjuration des sentiments (La congiura dei sentimenti, 1943), roman traduit par Louis Bonalumi. La Table ronde, 1951, 256 p., épuisé. La Bouche amère (Uno di New York, 1959), roman traduit par Maddy Buysse. La Table ronde, 1964, 272 p., épuisé. Secrète Violence (Settimana nera, 1960), roman traduit par Henriette Valot. La Table ronde, 1963, 208 p., épuisé. Prix et récompenses Prix Bagutta Prix Charles Veillon Naissance à Novare Écrivain italien du XXe siècle Lauréat du prix Bagutta Naissance en avril 1909 Décès en juillet 1967 Décès à 58 ans
Les Aventures d'Arthur le Dragon
Les Aventures d'Arthur le Dragon () est une série télévisée canadienne en 65 épisodes de 25 minutes et diffusée entre le et sur TVOntario (jusqu'en 1995), puis sur YTV. En français, elle a été diffusée à partir du sur TFO, et à partir du sur Canal Famille. Les rediffusions ont été diffusées en français et en anglais sur APTN en 2008. Elle reste inédite dans les autres pays francophones. Le spectacle est basé sur la pièce de 1982 « The Conserving Kingdom » du ministère de l'Énergie de l'Ontario. Synopsis Arthur (Dudley en ), un dragon vient de se réveiller de siècles d'hibernation et rencontre ses nouveaux amis de dix ans Sophie et Max (plus tard Annick, Mathieu et Bastien). Les enfants guideraient Arthur dans le monde moderne et le trio apprendrait l'environnementalisme, l'amitié et les valeurs prosociales. Fiche technique Réalisateur(s) : Ira Levy et Peter Williamson Scénaristes : Ira Levy et Peter Williamson Compositeur(s) : Glenn Schellenberg, Andrew Zealley, Cam Machinnes, Alex Galatis, Evelyne Datl et Randy Vancourt Compagnies de production : Breakthrough Entertainment Diffuseurs : TVOntario, YTV, TFO et Canal Famille Distribution Olivier L'Écuyer : Arthur le Dragon Annick Obonsawin : Sophie Andréanne Bendir : Annick Anael G. Roy : Max Owen Leitch : Mathieu Barnabé Geisweiller : Bastien Christian Laurin : Ti-Louis, , , Grand-père Rouge Gorge, Ti-Gus, Bernardo, Kostus, Maluron, Radar, Le Sorcier, Extraterrestre Mireille Dumont : , , Iréne, Rosi, Giselle La Poubelle Marthe Moliki-Sassa : Rosi Lyne Tremblay : Vivi Bernard Gagnon : The Tiny Giant Louise Shekter : Visage de la Nature René Lemieux : Le Roi Daniel Richer : Pablo Picot Angelo Cadet : Flammo Notes et références Liens externes Série télévisée créée en 1993 Série télévisée canadienne des années 1990 Série télévisée de fantasy Émission diffusée sur Mini TFO Série télévisée du Canal Famille Magie dans la fiction Série télévisée doublée au Québec Dragon de fiction
Eremobiotus ginevrae
Eremobiotus ginevrae est une espèce de tardigrades de la famille des Isohypsibiidae. Distribution Cette espèce se rencontre en Italie en Sicile, en Israël et en Russie. Publication originale Lisi, Binda & Pilato, 2016 : Eremobiotus ginevrae sp. nov. and Paramacrobiotus pius sp. nov., two new species of Eutardigrada. Zootaxa, , . Notes et références Isohypsibiidae Tardigrade (nom scientifique)
Marlène Bayet
Marlène Bayet, née le , est une gymnaste française pratiquant la discipline du tumbling et championne du monde par équipes en 1996. Carrière Aux Championnats du monde de trampoline 1996 ainsi qu'aux Championnats d'Europe de trampoline 1998, elle remporte la médaille d'or en tumbling par équipes. Elle est médaillée d'argent de tumbling par équipes aux Championnats du monde de trampoline 1998. Notes et références Liens externes Tumbleuse française Naissance en septembre 1977 Étudiant de l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines Étudiant de l'université Rennes-I
Trophée Maurice-Filion
Le Trophée Maurice-Filion est remis annuellement au meilleur directeur général de hockey sur glace de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Lauréats Ci-dessous sont inscrits les vainqueurs du trophée : 2005-2006 - Ted Nolan, Wildcats de Moncton 2006-2007 - Pascal Vincent, Screaming Eagles du Cap-Breton 2007-2008 - Jacques Beaulieu, Sea Dogs de Saint-Jean 2008-2009 - Dominic Ricard, Voltigeurs de Drummondville 2009-2010 - Dominic Ricard, Voltigeurs de Drummondville 2010-2011 - Mike Kelly, Sea Dogs de Saint-Jean 2011-2012 - Joël Bouchard, Armada de Blainville-Boisbriand 2012-2013 - Philippe Boucher, Océanic de Rimouski 2013-2014 - Steve Ahern, Drakkar de Baie-Comeau 2014-2015 - Martin Moudou, Cataractes de Shawinigan 2015-2016 - Gilles Bouchard, Huskies de Rouyn-Noranda 2016-2017 - Joël Bouchard, Armada de Blainville-Boisbriand 2017-2018 - Serge Beausoleil, Océanic de Rimouski 2018-2019 - Mario Pouliot, Huskies de Rouyn-Noranda 2019-2020 - Jocelyn Thibault, Phoenix de Sherbrooke 2020-2021 : Jim Hulton, Islanders de Charlottetown Références Bibliographie Filion, Maurice
Conseil œcuménique réformé
Le Reformed Ecumenical Council (REC - Conseil œcuménique réformé) était une alliance mondiale d'Églises réformées. Plus petite que l'Alliance réformée mondiale, elle rassemblait 10 millions de chrétiens, dans 39 églises de 25 pays. Ses positions étaient plus conservatrices, en particulier en matière de mœurs que celle de l'ARM. En 2010, elle a fusionné avec l'Alliance réformée mondiale pour créer la Communion mondiale d'Églises réformées. Historique Fondé en 1946, son siège est aux États-Unis. En , il a entamé des discussions avec l'Alliance réformée mondiale pour la création d'une nouvelle alliance de toute la famille réformée. En , à Grand Rapids, le Conseil œcuménique réformé fusionne avec l'Alliance réformée mondiale dans la Communion mondiale d'Églises réformées. Églises membres Afrique du Sud Nederduitse Gereformeerde Kerk (Église réformée néerlandaise) Dutch Reformed Church in Africa (Église réformée néerlandaise en Afrique) Reformed Church in Africa (Église réformée en Afrique) Nederduitsch Hervormed Kerk van Afrika (Église réformée néerlandaise d'Afrique) Australie Christian Reformed Churches in Australia (Églises réformées chrétiennes en Australie) Botswana Dutch Reformed Church in Botswana (Église réformée néerlandaise au Botswana) Corée Reformed Church of Korea (Chan Yang) (Église réformée de Corée (Chan Yang)) États-Unis et Canada Christian Reformed Church in North America (Église réformée chrétienne en Amérique du Nord) France : Union nationale des Églises protestantes réformées évangéliques de France (UNEPREF) Grèce Helliniki Evangeliki Ekklesia (Église évangélique grecque) Inde Presbyterian Church of India (Église presbytérienne de l'Inde) Indonésie Gereja Kristen Indonesia (Église chrétienne indonésienne) Gereja Kristen Java (Église chrétienne javanaise) Gereja Kristen Sumba (Église chrétienne de Sumba) Gereja Kristen Sumatra Bagian Selatan (Église chrétienne de Sud-Sumatra) Gereja Toraja Mamasa (Église de Toraja Mamasa) Gereja Toraja (Église de Toraja) Japon Reformed Church in Japan (Église réformée au Japon) Kenya Reformed Church of East Africa (Église réformée d'Afrique de l'Est) Malawi Church of Central Africa Presbyterian - Nkhoma Synod (Église présbytérienne d'Afrique centrale - Synode Nkkhoma) Mexique Associate Reformed Presbyterian Church of Mexico (Église presbytérienne réformée associée du Mexique) Mozambique Igreja reformada em Mocambique (Église réformée en Mozambique) Myanmar Christian Reformed Church in Myanmar (Église réformée chrétienne au Myanmar) Nigéria Christian Reformed Church of Nigeria (Église réformée chrétienne du Nigéria) Nongo u Kristu u ken Sudan hen Tiv (Église du Christ au Soudan parmi les Tiv) Evangelical Reformed Church of Christ in Nigeria (Église réformée évangélique du Christ au Nigéria) Presbyterian Church of Nigeria (Église presbytérienne du Nigéria) Reformed Church of Christ in Nigeria (Église réformée du christ au Nigéria) Ouganda Christian Reformed Church of East Africa (Église réformée chrétienne d'Afrique de l'Est) Reformed Presbyterian Church in Uganda (Église presbytérienne réformée en Ouganda) Pays-Bas Protestantse Kerk in Nederland (Église protestante aux Pays-Bas) Philippines Christian Reformed Church in the Philippines (Église réformée chrétienne aux Philippines) République dominicaine Christian Reformed Church in the Dominican Republic (Église réformée chrétienne en République dominicaine) Sri Lanka Dutch Reformed Church in Sri Lanka (Église réformée néerlandaise au Sri Lanka) Swaziland Swaziland Reformed Church (Église réformée du Swaziland) Zambie Church of Central Africa Presbyterian - Zambia Synod (Église présbytérienne d'Afrique Centrale - Synode de Zambie) Reformed Church in Zambia (Église réformée en Zambie) Zimbabwe Church of Central Africa Presbyterian - Harare Synod (Église présbytérienne d'Afrique Centrale - Synode d'Harare) Reformed Church in Zimbabwe (Église réformée au Zimbabwe) Organisation internationale d'Églises protestantes Église calviniste
Naundorf
Naundorf peut faire référence à: Naundorf bei Seyda, une commune de Saxe-Anhalt, Allemagne Naundorf (Saxe), une commune d'Allemagne Voir aussi
Letsie II Lerotholi
Letsie II du Lesotho est le chef suprême du Basutoland du au . Biographie Letsie II est le premier fils de la seconde épouse du chef suprême Lerotholi Letsie. Il grandit dans le village de son père, Likhoele près de Matsieng. Avec son père, il combat avec succès son oncle Masopha en 1898. Son père Lerotholi Letsie meurt le 9 août 1905. Letsie II est le premier chef suprême du Basutoland à être confirmé dans ce tôle par le haut-commissaire britannique. Il fonde le village de Phahameng entre Likhoele et Morija, et y réside. Letsie. II s'oppose, comme ses ascendants, à l'intégration du Basutoland dans l'Union d'Afrique du Sud, fondée en 1910. Lors de la création du South African National Council, mouvement précurseur de l'African National Congress 'ANC), Letsie II est l'un des présidents de l'assemblée. Il meurt en 1913. Letsie II a longtemps entretenu une relation avec 'Mamojela, une concubine veuve de son grand-père Letsie Ier Moshoeshoe. Son seul descendant mâle issu d'un mariage est le fils Tau, qui meurt de manière inexpliquée peu après sa propre mort. De ce fait, c'est son frère Griffith Lerotholi qui devient son successeur. Références Liens Souverain lésothien
Nicolás Paredes
César Nicolás Paredes Avellaneda, né le , est un coureur cycliste colombien, membre de l'équipe Louletano-Loulé Concelho. Biographie Palmarès 2016 de la Vuelta a Chiriquí 2017 Tour du Chili 2018 Tour du Michoacán du Gran Premio Comité Olímpico Nacional 2019 de la Vuelta a Cundinamarca Classements mondiaux Notes et références Liens externes Coureur cycliste colombien Naissance en septembre 1992
Dayr al-Qassi
Dayr al-Qassi ou Deir el-Qasi (), était un village de Palestine mandataire situé à au nord-est de la ville d’Acre. Il a été en grande partie détruit et sa population a été expulsée lors de la guerre israélo-arabe de 1948. Histoire ancienne Le mot Dayr ("monastère") suggère que le village a pu héberger ou être constitué d’un monastère à une époque ancienne. Selon les habitants du village, des artefacts des périodes canaanéenne, israélite et romaine ont été mis au jour pendant l’empire ottoman et l’époque de la Palestine mandataire. Le village est connu sous le nom de Cassie pendant les croisades : en 1183 les terres du village sont acquises (à Godfrey Le Tor) par Josselin III d'Édesse ; la fille de ce dernier, Beatrix de Courtenay, et son second époux Othon de Botenlauben les cèdent ensuite aux chevaliers teutoniques. Période ottomane Dayr al-Qassi fut intégré à l’empire ottoman en 1517 ; il faisait partie du nahié (sous-district) de Jira, dans le sandjak de Safed. En 1596, les registres fiscaux lui attribuaient une population de 132 résidents, payant des impôts sur des cultures variées, dont le blé et l’orge, ainsi que sur les chèvres et les ruches. Au début du , Dayr al-Qassi était un village fortifié, contrôlé par un cheikh local, nommé Abd al-Khaliq Salih. En 1740, le cheikh Zahir al-Umar, un membre du clan des Zaydani dont le pouvoir grandissait dans toute la Galilée, chercha à gagner le contrôle de Dayr al-Qassi. Il épousa la fille du cheikh Salih, intégrant les terres du village à ses propriétés et scellant une alliance avec le clan de Salih. Fin 1767, le fils de Zahir, Ali de Safad, demanda à son père le contrôle de Dayr al-Qassi après s’être fait refuser celui de Dayr Hanna. Zahir refusa et un conflit armé s’ensuivit, où Zahir fut vainqueur ; cependant, Zahir pardonna à Ali et finalement lui céda le village. Lors de son passage à Dayr al-Qassi en 1875, l’explorateur français Victor Guérin estima la population à 350 habitants, tous musulmans. Il nota la présence d’anciennes citernes, abandonnées et de vestiges antiques. La synthèse à peu près contemporaine du Palestine Exploration Fund attribue au village environ 200 habitants seulement ; Dayr al-Qassi est décrit comme un village en deux parties, situé sur des crêtes et entouré de figuiers, d’oliviers et de terres arables. En 1887, le ministère des travaux publics de Constantinople planifia la construction ou la réfection des routes par un système de corvées, imposées à tout homme entre 16 et 60 ans ; le recensement entrepris alors indique que "Deir el Kasy" a 189 hommes corvéables (tous musulmans), estimant la population totale à 945 habitants. Palestine mandataire Les deux premiers recensements de la Palestine sous mandat britannique indiquaient que tous les habitants de Dair al Qasi étaient de religion musulmane. En 1922, le village avait une population de 663 personnes (326 hommes et 337 femmes) et en 1931, de 865 habitants (450 hommes, 415 femmes), occupant 169 maisons. Lors du recensement de 1945, Dayr al-Qassi fut regroupé avec les villages de (maintenant en Israël) et al-Mansura. La population totale pour ces trois localités atteignait alors (avec une substantielle minorité de chrétiens, les autres habitants étant de religion musulmane) ; une donnée indique 1250 résidents pour Dayr al-Qassi seul. La surface totale était de dounams (c’est-à-dire ) : dounams étaient constitués de plantations et de terres irrigables, étaient utilisés pour des cultures céréalières, 247 dounams étant occupés par les bâtiments et les maisons. La fin du village Pendant la guerre israélo-arabe de 1948, Dayr al-Qassi fut défendu par l’Armée de libération arabe, mais le village fut capturé par les forces israéliennes au cours de l’Opération Hiram le 30 octobre 1948. Les résidents du village furent expulsés le 27 mai 1949 et la plupart trouvèrent refuge au Liban. Un mois plus tard, la population arabe de toute la région nord avait été remplacée par une population juive, en particulier à Tarshiha, Suhmata, Dayr al-Qassi, Tarbikha, Meiron, al-Sammu'i, Safsaf et al-Ras al-Ahmar. , établi en 1949, occupe une partie du site du village. , fondé en 1966 près du village d’al-Mansura, , fondé en 1979 et , fondé en 1980, sont aussi situés sur les terres de l’ancien village. L’historien palestinien Walid Khalidi a décrit les structures restant sur le site du village en 1992 : . En 2004, d'autres débris furent enlevés par des équipements mécaniques pendant les fouilles du département des antiquités d’Israël. En 2000, Ibrahim Khalil Uthman a consacré un livre au village. Références Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Localité conquise par Israël durant la guerre israélo-arabe de 1948 Village disparu
2002 PN147
2002 PN147 est un objet transneptunien, dont l'orbite est mal connue. Caractéristiques 2002 PN147 mesure environ de diamètre. Annexes Liens internes Objet transneptunien Références Planète mineure non numérotée Cubewano Objet céleste découvert par Marc William Buie
Couples (roman)
Couples (titre original en anglais Couples) est un roman de l'écrivain américain John Updike publié originellement en aux États-Unis et en français le aux éditions Gallimard. Écriture du roman Résumé Réception critique Le roman fut dès sa parution jugé dans une grande partie de la presse américaine comme un « livre sale » en raison du thème de l'adultère et des relations libres décrites allant jusqu'à faire la couverture de Time sur la « société adultère ». C'est à ce titre l'un des romans les plus controversés de l'auteur. Éditions Couples, Alfred A. Knopf Publishers, 1968. Couples, éditions Gallimard, 1969 . Couples, Ballantine Books, 1996, . Notes et références Roman de John Updike Roman américain paru en 1968 Roman se déroulant au Massachusetts