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Préalablement à l'exercice de toute activité soumise à autorisation, le militaire adresse au ministre de la défense ou à l'autorité déléguée par lui, ou au ministre de l'intérieur ou à l'autorité déléguée par lui pour le militaire de la gendarmerie nationale, qui lui en accuse réception, une demande écrite qui comprend les informations suivantes : 1° Identité de l'employeur ou nature de l'organisme pour le compte duquel s'exercera l'activité envisagée ; 2° Nature, durée, périodicité et conditions de rémunération de cette activité. Toute autre information de nature à éclairer l'autorité mentionnée au premier alinéa sur l'activité accessoire envisagée peut figurer dans cette demande à l'initiative du militaire.L'autorité compétente peut lui demander des informations complémentaires.
Après le 2° de l'article R. 4122-28 du même code, il est inséré un 3° ainsi rédigé : « 3° Dans le cas d'une activité exercée en application de l'article L. 4139-6-1, l'objet social de l'entreprise susceptible d'être créée, son adresse, son secteur et sa branche d'activité. »
Préalablement à l'exercice de toute activité soumise à autorisation, le militaire adresse au ministre de la défense ou à l'autorité déléguée par lui, ou au ministre de l'intérieur ou à l'autorité déléguée par lui pour le militaire de la gendarmerie nationale, qui lui en accuse réception, une demande écrite qui comprend les informations suivantes : 1° Identité de l'employeur ou nature de l'organisme pour le compte duquel s'exercera l'activité envisagée ; 2° Nature, durée, périodicité et conditions de rémunération de cette activité ; 3° Dans le cas d'une activité exercée en application de l'article L. 4139-6-1, l'objet social de l'entreprise susceptible d'être créée, son adresse, son secteur et sa branche d'activité. Toute autre information de nature à éclairer l'autorité mentionnée au premier alinéa sur l'activité accessoire envisagée peut figurer dans cette demande à l'initiative du militaire. L'autorité compétente peut lui demander des informations complémentaires.
Le ministre chargé de la santé statue sur la demande d'autorisation par une décision motivée, prise après avis de la commission des préparateurs en pharmacie. Lorsque, en application du dernier alinéa de l'article L. 582-1 ou du deuxième alinéa de l'article L. 582-2 du code de la santé publique, l'intéressé est soumis à l'exigence d'une épreuve d'aptitude ou à celle d'un stage d'adaptation préalables, cette décision est prise après que l'intéressé aura satisfait à l'épreuve ou après validation de son stage.
Le premier alinéa de l'article 4 du décret du 25 août 1999 susvisé est complété par la phrase suivante : « Le silence gardé pendant plus de quatre mois sur la demande d'autorisation vaut décision de rejet. »
Le ministre chargé de la santé statue sur la demande d'autorisation par une décision motivée, prise après avis de la commission des préparateurs en pharmacie. Le silence gardé pendant plus de quatre mois sur la demande d'autorisation vaut décision de rejet. Lorsque, en application du dernier alinéa de l'article L. 582-1 ou du deuxième alinéa de l'article L. 582-2 du code de la santé publique, l'intéressé est soumis à l'exigence d'une épreuve d'aptitude ou à celle d'un stage d'adaptation préalables, cette décision est prise après que l'intéressé aura satisfait à l'épreuve ou après validation de son stage.
La commission consultative mixte départementale ou académique ne délibère valablement que si les trois quarts au moins de ses membres sont présents lors de l'ouverture de la réunion. Lorsque ce quorum n'est pas atteint, une nouvelle convocation est envoyée dans le délai de huit jours aux membres de la commission, qui siège alors valablement si la moitié de ses membres sont présents. La commission émet son avis à la majorité des membres présents. S'il est procédé à un vote, celui- ci a lieu à main levée. Les abstentions sont admises. Toutefois, à la demande de l'un des membres titulaires de la commission, le vote a lieu à bulletin secret. En cas de partage égal des voix, celle du président est prépondérante. Un procès- verbal est établi après chaque séance. Il est signé par le président et contresigné par le secrétaire et le secrétaire adjoint, et transmis, dans le délai d'un mois, aux représentants des maîtres et des chefs d'établissement de la commission. Ce procès- verbal est soumis à l'approbation des représentants des maîtres et des chefs d'établissement de la commission lors de la séance suivante. Lorsque l'autorité académique prend une décision contraire à l'avis émis par la commission, elle doit informer la commission des motifs qui l'ont conduite à ne pas suivre l'avis.
Le quatrième alinéa de l'article R. 914-12 du code de l'éducation est ainsi modifié : 1° A la deuxième phrase, après les mots : « des maîtres » sont ajoutés les mots : «, de l'administration » ; 2° Après la deuxième phrase, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « Les représentants des chefs d'établissement communiquent, le cas échéant, leurs observations. » ; 3° A la dernière phrase, les mots : « des chefs d'établissement de la commission » sont remplacés par les mots : « de l'administration ».
La commission consultative mixte départementale ou académique ne délibère valablement que si les trois quarts au moins de ses membres sont présents lors de l'ouverture de la réunion. Lorsque ce quorum n'est pas atteint, une nouvelle convocation est envoyée dans le délai de huit jours aux membres de la commission, qui siège alors valablement si la moitié de ses membres sont présents. La commission émet son avis à la majorité des membres présents. S'il est procédé à un vote, celui- ci a lieu à main levée. Les abstentions sont admises. Toutefois, à la demande de l'un des membres titulaires de la commission, le vote a lieu à bulletin secret. En cas de partage égal des voix, celle du président est prépondérante. Un procès- verbal est établi après chaque séance. Il est signé par le président et contresigné par le secrétaire et le secrétaire adjoint, et transmis, dans le délai d'un mois, aux représentants des maîtres, de l'administration et des chefs d'établissement de la commission. Les représentants des chefs d'établissement communiquent, le cas échéant, leurs observations. Ce procès- verbal est soumis à l'approbation des représentants des maîtres et de l'administration lors de la séance suivante. Lorsque l'autorité académique prend une décision contraire à l'avis émis par la commission, elle doit informer la commission des motifs qui l'ont conduite à ne pas suivre l'avis.
Le grade de personnel de direction de 2e classe comporte dix échelons. Le grade de personnel de direction de 1re classe comporte onze échelons. Le grade de personnel de direction hors classe comporte six échelons.
L'article 15 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 15.- Le grade de personnel de direction de classe normale comporte dix échelons. Le grade de personnel de direction hors classe comporte cinq échelons et un échelon spécial. »
Le grade de personnel de direction de classe normale comporte dix échelons. Le grade de personnel de direction hors classe comporte cinq échelons et un échelon spécial.
Seuls peuvent, sous l'autorité d'un médecin ou d'un pharmacien, exercer les fonctions de distribution et de délivrance des produits sanguins labiles définies à l'article R. 1221-17 : 1° Les infirmiers et infirmières ; 2° Les personnes habilitées à être employées en qualité de technicien dans un laboratoire d'analyses de biologie médicale en vertu des dispositions des articles 4 et 26-1 du décret n° 76-1004 du 4 novembre 1976 fixant les conditions d'autorisation des laboratoires d'analyses de biologie médicale ; 3° Les personnes titulaires d'une licence de biologie ; 4° Les sages- femmes.
L'article R. 1222-23 du code de la santé publique est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 1222-23. - Le médecin ou le pharmacien, sous l'autorité duquel sont exercées les activités de distribution ou de délivrance définies à l'article R. 1221-17, justifie de qualifications complémentaires dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la santé et du ministre de la défense. « Seuls peuvent, sous l'autorité du médecin ou du pharmacien mentionné ci- dessus, exercer les activités de distribution ou de délivrance des produits sanguins labiles définies à l'article R. 1221-17, à condition de justifier de qualifications complémentaires dont la liste est définie par arrêté du ministre chargé de la santé et du ministre de la défense : « 1° Les sages- femmes ; « 2° Les infirmiers ; « 3° Les personnes remplissant les conditions pour être employées en qualité de technicien dans un laboratoire d'analyses de biologie médicale en vertu des dispositions des articles R. 6211-7 et R. 6211-8 ; « 4° Les personnes titulaires d'une licence de biologie. »
Le médecin ou le pharmacien, sous l'autorité duquel sont exercées les activités de distribution ou de délivrance définies à l'article R. 1221-17, justifie de qualifications complémentaires dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la santé et du ministre de la défense. Seuls peuvent, sous l'autorité du médecin ou du pharmacien mentionné ci- dessus, exercer les activités de distribution ou de délivrance des produits sanguins labiles définies à l'article R. 1221-17, à condition de justifier de qualifications complémentaires dont la liste est définie par arrêté du ministre chargé de la santé et du ministre de la défense : 1° Les sages- femmes ; 2° Les infirmiers ; 3° Les personnes remplissant les conditions pour être employées en qualité de technicien dans un laboratoire d'analyses de biologie médicale en vertu des dispositions des articles R. 6211-7 et R. 6211-8 ; 4° Les personnes titulaires d'une licence de biologie.
La direction générale de la mondialisation, de la culture, de l'enseignement et du développement international définit et met en œuvre, en liaison avec les administrations concernées et en partenariat avec l'ensemble des organisations internationales et acteurs concernés, l'action de la France relative aux enjeux globaux, au développement durable, à la coopération internationale, à la politique d'influence et aux grandes politiques sectorielles, notamment dans le cadre des enceintes multilatérales relevant de ses domaines de compétence. Elle contribue à la coordination par le ministère des affaires étrangères des mesures visant à renforcer l'attractivité internationale de la France. Elle promeut l'expertise française et anime les réseaux de l'Etat à l'étranger sur ces questions. Elle assure, pour le compte du ministère des affaires étrangères, la tutelle et le pilotage stratégique des opérateurs de l'action extérieure de l'Etat, dont l'Agence française de développement, l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger, l'Institut français, l'Agence française d'expertise technique internationale (Expertise France), Atout France, Business France, Canal France International, Campus France, l'Institut de recherche pour le développement et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement. Elle participe au pilotage stratégique de France Médias Monde et des opérateurs de la Francophonie, dont TV5 Monde. Elle assure le secrétariat du comité des opérateurs de l'action extérieure de la France, qui réunit régulièrement, sous la présidence du ministre des affaires étrangères, l'ensemble des opérateurs et des partenaires qui contribuent à l'action extérieure de la France, en vue d'en coordonner les actions et d'assurer ainsi son unité et sa cohérence. Elle suit les travaux des comités des opérateurs placés sous l'autorité des ambassadeurs au service de ces mêmes objectifs. Elle participe, au titre des attributions du ministre des affaires étrangères en matière de commerce extérieur, à la définition et à la mise en œuvre de la diplomatie économique de la France. Elle contribue à la définition des dispositifs coordonnés destinés à l'appuyer et en suit la mise en œuvre. Elle appuie et coordonne, avec les autres directions et ministères concernés, l'action des personnalités chargées de fédérer les secteurs prioritaires à l'export et apporte son soutien aux directions géographiques qui appuient l'action des représentants spéciaux pour la diplomatie économique. Elle soutient le développement international des entreprises françaises, notamment dans tous les secteurs stratégiques pour l'économie française. Elle contribue à la coordination par le ministère des affaires étrangères des mesures visant à renforcer l'attractivité de la France envers les acteurs économiques internationaux. Elle assure le pilotage de la politique de promotion du tourisme international en France. Elle suit, pour le compte de ce ministère, les questions économiques et financières internationales. Elle assure le suivi des travaux des conseils économiques placés sous l'autorité des ambassadeurs. Elle anime, en lien avec Atout France, le réseau des correspondants pour la promotion du tourisme dans les postes diplomatiques et contribue à la mobilisation de l'ensemble des opérateurs et acteurs concernés en France comme à l'étranger. Elle définit les stratégies françaises en faveur du développement durable. Elle participe aux négociations internationales sur le développement durable. Elle élabore les politiques et stratégies des opérateurs de l'aide publique au développement. Elle assure, pour le compte de ce ministère, le secrétariat conjoint du comité interministériel de la coopération internationale et du développement. Elle assure le pilotage du réseau de coopération et d'action culturelle. Elle définit et met en œuvre, avec les opérateurs et partenaires concernés, la politique d'influence de la France, en matière d'action culturelle et audiovisuelle extérieure ainsi que la politique de promotion de la langue française et de l'enseignement français à l'étranger. Elle contribue à l'élaboration et met en œuvre les programmes de coopération dans les domaines de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle participe aux politiques de mobilité et d'attractivité de la France, en particulier à l'égard des créateurs, étudiants et chercheurs étrangers. Elle assure le suivi des travaux des conseils d'influence placés sous l'autorité des ambassadeurs. Elle assume la responsabilité des programmes budgétaires relatifs à la coopération internationale et au développement arrêtés dans les lois de finances et relevant du ministère des affaires étrangères. Elle assure le suivi de l'action internationale des organisations non gouvernementales et la mise en œuvre des dispositifs de volontariat à l'étranger. Elle établit des partenariats avec les principaux acteurs de l'action extérieure de la France et du développement international. Elle assure le secrétariat du Conseil national du développement et de la solidarité internationale. Elle promeut et soutient, notamment par des programmes de cofinancement, l'action extérieure des collectivités territoriales. Elle assure le secrétariat de la commission nationale de la coopération décentralisée. La direction générale assure la liaison avec les conseillers diplomatiques auprès des préfets de région pour les matières relevant de ses compétences. Le directeur général de la mondialisation, de la culture, de l'enseignement et du développement international est assisté dans ses fonctions par un directeur général adjoint.
Au troisième alinéa de l'article 6 du même décret, les phrases : « Elle contribue à la coordination par le ministère des affaires étrangères des mesures visant à renforcer l'attractivité de la France envers les acteurs économiques internationaux. Elle assure le pilotage de la politique de promotion du tourisme international en France. » sont remplacées par la phrase suivante : « Elle contribue à la coordination par le ministère des affaires étrangères des mesures visant à renforcer l'attractivité de la France, notamment les mesures propres à faire connaître à l'étranger les atouts de la France et de ses territoires et à attirer les investissements, les compétences et les projets internationaux en France. »
La direction générale de la mondialisation, de la culture, de l'enseignement et du développement international définit et met en œuvre, en liaison avec les administrations concernées et en partenariat avec l'ensemble des organisations internationales et acteurs concernés, l'action de la France relative aux enjeux globaux, au développement durable, à la coopération internationale, à la politique d'influence et aux grandes politiques sectorielles, notamment dans le cadre des enceintes multilatérales relevant de ses domaines de compétence. Elle contribue à la coordination par le ministère des affaires étrangères des mesures visant à renforcer l'attractivité internationale de la France. Elle promeut l'expertise française et anime les réseaux de l'Etat à l'étranger sur ces questions. Elle assure, pour le compte du ministère des affaires étrangères, la tutelle et le pilotage stratégique des opérateurs de l'action extérieure de l'Etat, dont l'Agence française de développement, l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger, l'Institut français, l'Agence française d'expertise technique internationale (Expertise France), Atout France, Business France, Canal France International, Campus France, l'Institut de recherche pour le développement et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement. Elle participe au pilotage stratégique de France Médias Monde et des opérateurs de la Francophonie, dont TV5 Monde. Elle assure le secrétariat du comité des opérateurs de l'action extérieure de la France, qui réunit régulièrement, sous la présidence du ministre des affaires étrangères, l'ensemble des opérateurs et des partenaires qui contribuent à l'action extérieure de la France, en vue d'en coordonner les actions et d'assurer ainsi son unité et sa cohérence. Elle suit les travaux des comités des opérateurs placés sous l'autorité des ambassadeurs au service de ces mêmes objectifs. Elle participe, au titre des attributions du ministre des affaires étrangères en matière de commerce extérieur, à la définition et à la mise en œuvre de la diplomatie économique de la France. Elle contribue à la définition des dispositifs coordonnés destinés à l'appuyer et en suit la mise en œuvre. Elle appuie et coordonne, avec les autres directions et ministères concernés, l'action des personnalités chargées de fédérer les secteurs prioritaires à l'export et apporte son soutien aux directions géographiques qui appuient l'action des représentants spéciaux pour la diplomatie économique. Elle soutient le développement international des entreprises françaises, notamment dans tous les secteurs stratégiques pour l'économie française. Elle contribue à la coordination par le ministère des affaires étrangères des mesures visant à renforcer l'attractivité de la France, notamment les mesures propres à faire connaître à l'étranger les atouts de la France et de ses territoires et à attirer les investissements, les compétences et les projets internationaux en France. Elle suit, pour le compte de ce ministère, les questions économiques et financières internationales. Elle assure le suivi des travaux des conseils économiques placés sous l'autorité des ambassadeurs. Elle anime, en lien avec Atout France, le réseau des correspondants pour la promotion du tourisme dans les postes diplomatiques et contribue à la mobilisation de l'ensemble des opérateurs et acteurs concernés en France comme à l'étranger. Elle définit les stratégies françaises en faveur du développement durable. Elle participe aux négociations internationales sur le développement durable. Elle élabore les politiques et stratégies des opérateurs de l'aide publique au développement. Elle assure, pour le compte de ce ministère, le secrétariat conjoint du comité interministériel de la coopération internationale et du développement. Elle assure le pilotage du réseau de coopération et d'action culturelle. Elle définit et met en œuvre, avec les opérateurs et partenaires concernés, la politique d'influence de la France, en matière d'action culturelle et audiovisuelle extérieure ainsi que la politique de promotion de la langue française et de l'enseignement français à l'étranger. Elle contribue à l'élaboration et met en œuvre les programmes de coopération dans les domaines de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle participe aux politiques de mobilité et d'attractivité de la France, en particulier à l'égard des créateurs, étudiants et chercheurs étrangers. Elle assure le suivi des travaux des conseils d'influence placés sous l'autorité des ambassadeurs. Elle assume la responsabilité des programmes budgétaires relatifs à la coopération internationale et au développement arrêtés dans les lois de finances et relevant du ministère des affaires étrangères. Elle assure le suivi de l'action internationale des organisations non gouvernementales et la mise en œuvre des dispositifs de volontariat à l'étranger. Elle établit des partenariats avec les principaux acteurs de l'action extérieure de la France et du développement international. Elle assure le secrétariat du Conseil national du développement et de la solidarité internationale. Elle promeut et soutient, notamment par des programmes de cofinancement, l'action extérieure des collectivités territoriales. Elle assure le secrétariat de la commission nationale de la coopération décentralisée. La direction générale assure la liaison avec les conseillers diplomatiques auprès des préfets de région pour les matières relevant de ses compétences. Le directeur général de la mondialisation, de la culture, de l'enseignement et du développement international est assisté dans ses fonctions par un directeur général adjoint.
Annexe III Règlement d'examen CAP Conducteur routier "marchandises" SCOLAIRES (établissements publics et privés sous contrat) Apprentis (CFA et section d'apprentissage habilités) Formation professionnelle continue (établissements publics) SCOLAIRES (établissements privés hors contrat) Apprentis (CFA et sections d'apprentissage non habilités) Formation professionnelle continue (établissements privés) Enseignement à distance candidats individuels Épreuves Unité Coeff. Mode Durée Mode Durée Unités professionnelles EP1 - analyse d'une situation professionnelle de transport UP1 4 CCF Ponctuelle écrite 2 h EP2 - conduite d'un véhicule UP2 8 Ponctuelle pratique et orale 1 h 40 maxi Ponctuelle pratique et orale 1 h 40 maxi EP3 - évaluation des activités en entreprises : - Réalisation d'opérations de préparation, de groupage, de chargement, d'arrimage, de livraison - Réalisation de mise à quai UP3 5 (1) CCF Ponctuelle pratique 3 h (1) maxi Unités générales EG1 - français et histoire géographie UG1 3 CCF Ponctuelle écrite et orale 2 h 15 EG2 - mathématiques - sciences UG2 2 CCF Ponctuelle écrite 2 h EG3 - éducation physique et sportive UG3 1 CCF Ponctuelle EF - langue vivante (3) UF Ponctuelle orale 0 h 20 Ponctuelle orale 0 h 20 (1) dont 1 pour la VSP (2) dont 1 h pour la VSP (3) seuls les points au- dessus de 10 sont pris en compte pour la délivrance du diplôme. L'épreuve n'est organisée que s'il est possible d'adjoindre au jury un examinateur compétent. L'épreuve est précédée d'un temps égal de préparation.
Dans le règlement d'examen figurant en annexe III de l'arrêté du 21 juin 2007 susvisé, la durée de l'évaluation en mode ponctuel pratique et oral de l'épreuve EP2 « conduite d'un véhicule » est fixée à 2 heures.
Annexe III Règlement d'examen CAP Conducteur routier "marchandises" SCOLAIRES (établissements publics et privés sous contrat) Apprentis (CFA et section d'apprentissage habilités) Formation professionnelle continue (établissements publics) SCOLAIRES (établissements privés hors contrat) Apprentis (CFA et sections d'apprentissage non habilités) Formation professionnelle continue (établissements privés) Enseignement à distance candidats individuels Épreuves Unité Coeff. Mode Durée Mode Durée Unités professionnelles EP1 - analyse d'une situation professionnelle de transport UP1 4 CCF Ponctuelle écrite 2 h EP2 - conduite d'un véhicule UP2 8 Ponctuelle pratique et orale 2 h maxi Ponctuelle pratique et orale 2 h maxi EP3 - évaluation des activités en entreprises : - Réalisation d'opérations de préparation, de groupage, de chargement, d'arrimage, de livraison - Réalisation de mise à quai UP3 5 (1) CCF Ponctuelle pratique 3 h (1) maxi Unités générales EG1 - français et histoire géographie UG1 3 CCF Ponctuelle écrite et orale 2 h 15 EG2 - mathématiques - sciences UG2 2 CCF Ponctuelle écrite 2 h EG3 - éducation physique et sportive UG3 1 CCF Ponctuelle EF - langue vivante (3) UF Ponctuelle orale 0 h 20 Ponctuelle orale 0 h 20 (1) dont 1 pour la VSP (2) dont 1 h pour la VSP (3) seuls les points au- dessus de 10 sont pris en compte pour la délivrance du diplôme. L'épreuve n'est organisée que s'il est possible d'adjoindre au jury un examinateur compétent. L'épreuve est précédée d'un temps égal de préparation.
Le montant mensuel de la prime forfaitaire est fixé ainsi qu'il suit : FONCTIONS OCCUPÉES MONTANT MENSUEL (en euros) Vice- président 1 497,73 Présidents de section 1 164,90 Présidents adjoints de la section du contentieux Présidents de chambre Présidents des cours administratives d'appel 832,07 Secrétaire général Secrétaire général adjoint chargé des juridictions administratives 1 664,15 Secrétaire général adjoint chargé du Conseil d'État 1457,93 Présidents adjoints de section administrative Assesseurs affectés simultanément à la section du contentieux et en section administrative Rapporteurs publics près l'assemblée du contentieux et les autres formations de jugement du conseil d'état 665,67 Autres fonctions 399,39
Le tableau figurant à l'article 2 de l'arrêté du 11 décembre 2002 susvisé est remplacé par le tableau suivant : FONCTIONS OCCUPÉES MONTANT MENSUEL (en euros) Vice- président 1 497,73 Présidents de section 1 164,90 Présidents adjoints de la section du contentieux Présidents de chambre Présidents des cours administratives d'appel 832,07 Secrétaire général Secrétaire général adjoint chargé des juridictions administratives 1 664,15 Secrétaire général adjoint chargé du Conseil d'Etat 1 497,73 Présidents adjoints de section administrative Assesseurs affectés simultanément à la section du contentieux et en section administrative Rapporteurs publics près l'assemblée du contentieux et les autres formations de jugement du Conseil d'Etat 665,67 Autres fonctions 399,39
Le montant mensuel de la prime forfaitaire est fixé ainsi qu'il suit : FONCTIONS OCCUPÉES MONTANT MENSUEL (en euros) Vice- président 1 497,73 Présidents de section 1 164,90 Présidents adjoints de la section du contentieux Présidents de chambre Présidents des cours administratives d'appel 832,07 Secrétaire général Secrétaire général adjoint chargé des juridictions administratives 1 664,15 Secrétaire général adjoint chargé du Conseil d'Etat 1 497,73 Présidents adjoints de section administrative Assesseurs affectés simultanément à la section du contentieux et en section administrative Rapporteurs publics près l'assemblée du contentieux et les autres formations de jugement du Conseil d'Etat 665,67 Autres fonctions 399,39
Dans les conditions prévues par les articles R. 6152-4-1, R. 6152-201, R. 6152-337, R. 6152-404, R. 6152-501 et R. 6152-604 du code de la santé publique, et les dispositions de l'article 13 du décret n° 2021-1645 susvisé, les praticiens hospitaliers, les praticiens contractuels, les assistants des hôpitaux, les praticiens attachés et les membres du personnel enseignant et hospitalier titulaires, temporaires et non titulaires exerçant leurs fonctions à temps plein peuvent réaliser une activité partagée au- delà de leurs obligations de service dans plusieurs établissements publics de santé. Le directeur général de l'agence régionale de santé peut, sur proposition du directeur de l'établissement dans lequel le praticien est nommé ou recruté, autoriser un praticien n'exerçant pas ses fonctions à temps plein à percevoir la prime de solidarité territoriale. Avec l'accord du praticien, après avis du chef de pôle et du chef de service ou, à défaut, du responsable de structure interne, une convention nominative est établie par le directeur de l'établissement dans lequel le praticien est nommé ou recruté. Cette convention prévoit les conditions dans lesquelles l'activité du praticien est organisée. Elle est signée par les directeurs des établissements et par le praticien à qui une copie est transmise.
Au premier alinéa de l'article 2 de l'arrêté du 15 décembre 2021 susvisé, les mots : « R. 6152-201 » sont supprimés.
Dans les conditions prévues par les articles R. 6152-4-1, R. 6152-337, R. 6152-404, R. 6152-501 et R. 6152-604 du code de la santé publique, et les dispositions de l'article 13 du décret n° 2021-1645 susvisé, les praticiens hospitaliers, les praticiens contractuels, les assistants des hôpitaux, les praticiens attachés et les membres du personnel enseignant et hospitalier titulaires, temporaires et non titulaires exerçant leurs fonctions à temps plein peuvent réaliser une activité partagée au- delà de leurs obligations de service dans plusieurs établissements publics de santé. Le directeur général de l'agence régionale de santé peut, sur proposition du directeur de l'établissement dans lequel le praticien est nommé ou recruté, autoriser un praticien n'exerçant pas ses fonctions à temps plein à percevoir la prime de solidarité territoriale. Avec l'accord du praticien, après avis du chef de pôle et du chef de service ou, à défaut, du responsable de structure interne, une convention nominative est établie par le directeur de l'établissement dans lequel le praticien est nommé ou recruté. Cette convention prévoit les conditions dans lesquelles l'activité du praticien est organisée. Elle est signée par les directeurs des établissements et par le praticien à qui une copie est transmise.
Les dispositions de l'article précédent ne sont pas applicables : 1° Aux discriminations fondées sur l'état de santé, lorsqu'elles consistent en des opérations ayant pour objet la prévention et la couverture du risque décès, des risques portant atteinte à l'intégrité physique de la personne ou des risques d'incapacité de travail ou d'invalidité. Toutefois, ces discriminations sont punies des peines prévues à l'article précédent lorsqu'elles se fondent sur la prise en compte de tests génétiques prédictifs ayant pour objet une maladie qui n'est pas encore déclarée ou une prédisposition génétique à une maladie ; 2° Aux discriminations fondées sur l'état de santé ou le handicap, lorsqu'elles consistent en un refus d'embauche ou un licenciement fondé sur l'inaptitude médicalement constatée soit dans le cadre du titre IV du livre II du code du travail, soit dans le cadre des lois portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique ; 3° Aux discriminations fondées, en matière d'embauche, sur le sexe lorsque l'appartenance à l'un ou l'autre sexe constitue, conformément aux dispositions du code du travail ou aux lois portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique, la condition déterminante de l'exercice d'un emploi ou d'une activité professionnelle.
Le 3° de l'article 225-3 du code pénal est remplacé par les 3° à 5° ainsi rédigés : « 3° Aux discriminations fondées, en matière d'embauche, sur le sexe, l'âge ou l'apparence physique, lorsqu'un tel motif constitue une exigence professionnelle essentielle et déterminante et pour autant que l'objectif soit légitime et l'exigence proportionnée ; « 4° Aux discriminations fondées, en matière d'accès aux biens et services, sur le sexe lorsque cette discrimination est justifiée par la protection des victimes de violences à caractère sexuel, des considérations liées au respect de la vie privée et de la décence, la promotion de l'égalité des sexes ou des intérêts des hommes ou des femmes, la liberté d'association ou l'organisation d'activités sportives ; « 5° Aux refus d'embauche fondés sur la nationalité lorsqu'ils résultent de l'application des dispositions statutaires relatives à la fonction publique. »
Les dispositions de l'article précédent ne sont pas applicables : 1° Aux discriminations fondées sur l'état de santé, lorsqu'elles consistent en des opérations ayant pour objet la prévention et la couverture du risque décès, des risques portant atteinte à l'intégrité physique de la personne ou des risques d'incapacité de travail ou d'invalidité. Toutefois, ces discriminations sont punies des peines prévues à l'article précédent lorsqu'elles se fondent sur la prise en compte de tests génétiques prédictifs ayant pour objet une maladie qui n'est pas encore déclarée ou une prédisposition génétique à une maladie ; 2° Aux discriminations fondées sur l'état de santé ou le handicap, lorsqu'elles consistent en un refus d'embauche ou un licenciement fondé sur l'inaptitude médicalement constatée soit dans le cadre du titre IV du livre II du code du travail, soit dans le cadre des lois portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique ; 3° Aux discriminations fondées, en matière d'embauche, sur le sexe, l'âge ou l'apparence physique, lorsqu'un tel motif constitue une exigence professionnelle essentielle et déterminante et pour autant que l'objectif soit légitime et l'exigence proportionnée ; 4° Aux discriminations fondées, en matière d'accès aux biens et services, sur le sexe lorsque cette discrimination est justifiée par la protection des victimes de violences à caractère sexuel, des considérations liées au respect de la vie privée et de la décence, la promotion de l'égalité des sexes ou des intérêts des hommes ou des femmes, la liberté d'association ou l'organisation d'activités sportives ; 5° Aux refus d'embauche fondés sur la nationalité lorsqu'ils résultent de l'application des dispositions statutaires relatives à la fonction publique.
Les demandes de dérogation à la durée légale hebdomadaire du travail ou à l'interdiction du travail de nuit comprennent les informations et pièces indiqués dans l'annexe 1 du présent arrêté.
L'arrêté du 31 octobre 2017 susvisé est ainsi modifié : 1° A l'article 1er, les mots : « à la durée légale hebdomadaire du travail ou » sont supprimés ; 2° L'annexe I est remplacée par l'annexe I du présent arrêté ; 3° L'annexe II est remplacée par l'annexe II du présent arrêté.
Les demandes de dérogation à l'interdiction du travail de nuit comprennent les informations et pièces indiqués dans l'annexe 1 du présent arrêté.
I.- Lorsque les activités mentionnées à l'article L. 625-1 sont exercées par une personne physique, la demande d'autorisation comporte les documents suivants : 1° Pour les ressortissants d'un Etat membre de l'Union européenne ou d'un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen, la copie d'une pièce d'identité en cours de validité ; 2° Pour les ressortissants d'un autre Etat que ceux mentionnés au 1°, la copie d'un titre de séjour en cours de validité l'autorisant à exercer l'activité mentionnée à l'article L. 625-1 ; 3° Pour les ressortissants étrangers, le document équivalent à une copie du bulletin numéro 3 du casier judiciaire, délivré depuis moins de trois mois par une autorité judiciaire ou administrative compétente de leur pays d'origine ou de provenance et accompagné, le cas échéant, de sa traduction certifiée en langue française ; 4° La déclaration d'activité enregistrée dans les conditions fixées aux articles L. 6351-1 à L. 6351-8 du code du travail ; 5° La mention de la ou des activités privées de sécurité pour lesquelles une prestation de formation est réalisée ; 6° La certification prévue à l'article R. 625-7 du présent code ou, le cas échéant, un document attestant que le demandeur est engagé dans une démarche de certification ; 7° L'adresse du domicile du demandeur ; 8° Le numéro unique d'identification. II.- Lorsque les activités mentionnées à l'article L. 625-1 sont exercées par une personne morale, la demande est présentée par le dirigeant ayant le pouvoir d'engager cette personne et comporte les documents mentionnés aux 1° à 6° du I ainsi que : 1° L'adresse du siège social et, s'ils sont distincts, de l'établissement principal et de l'établissement secondaire ; 2° Le numéro unique d'identification ; 3° Pour les associations, une copie de la mention de la création de l'association parue au Journal officiel, une copie des statuts ainsi que du dernier procès- verbal de l'assemblée générale. III.- Lorsque le demandeur souhaite dispenser une formation qui implique le maniement d'armes, la demande comporte également le nom de la personne ou des personnes désignées comme responsables du respect des règles de conservation des armes définies aux articles R. 613-3-4 et R. 613-3-5. Cette personne ne doit pas être interdite d'acquisition ou de détention d'armes. IV.- Le prestataire de formation bénéficiaire de l'autorisation mentionnée à l'article L. 625-2 délivrée au vu d'un certificat attestant de sa compétence en matière de formation au maniement des armes ou de l'autorisation mentionnée à l'article L. 625-3 et justifiant de son engagement dans une démarche d'obtention d'un tel certificat peut être autorisé à acquérir et détenir des armes mentionnées au 1° du II et au III de l'article R. 613-3 ainsi que les munitions correspondantes et les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1, selon les modalités fixées par arrêté du ministre de l'intérieur, à des fins de formation et d'entraînement des personnes exerçant l'une des activités soumises au livre VI du présent code. L'autorisation d'acquisition et de détention d'armes est délivrée pour une durée de cinq ans, renouvelable dans les mêmes conditions, par le préfet du département où se situe l'établissement dispensant la formation ou, à Paris, par le préfet de police et, dans le cas où l'établissement est situé dans le département des Bouches- du- Rhône, par le préfet de police des Bouches- du- Rhône. Le dossier de demande d'autorisation comprend : 1° La copie de l'une des autorisations mentionnées aux articles L. 625-2 et L. 625-3 délivrée au vu d'un certificat attestant de leur compétence en matière de formation au maniement des armes ; 2° La liste des armes qu'il est envisagé d'acquérir au regard de la nature de la formation dispensée ; 3° La justification de l'installation, dans les locaux où se déroule la formation, d'un équipement permettant la conservation des armes dans les conditions fixées à l'article R. 625-18. L'autorisation devient caduque lorsque le prestataire de formation ne dispose plus de l'une des autorisations mentionnées aux articles L. 625-2 et L. 625-3 ou en cas d'interdiction d'exercice de l'activité mentionnée à l'article L. 625-1 à titre temporaire prévue à l'article L. 634-9. Le prestataire de formation qui ne dispose plus de l'autorisation d'acquisition et de détention d'armes se dessaisit des armes, de leurs éléments et des munitions ainsi que, le cas échéant, des systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1 dans un délai de trois mois, selon l'une des conditions fixées aux articles R. 312-74 et R. 312-75. Une copie de l'autorisation est transmise au directeur du Conseil national des activités privées de sécurité. Toute modification, suppression ou adjonction affectant l'un des éléments du dossier de demande d'autorisation mentionnés à cet article fait l'objet d'une déclaration dans un délai de quinze jours auprès du préfet compétent et du directeur du Conseil national des activités privées de sécurité.
L'article R. 625-2 du code de la sécurité intérieureest ainsi modifié : 1° Au III, après la référence : « R. 613-3-5 », sont insérés les mots : « et, s'agissant de l'activité de protection des navires, à l'article R. 5442-3 du code des transports » ; 2° Le premier alinéa du IV est remplacé par les dispositions suivantes : « IV.- Le prestataire de formation bénéficiaire de l'autorisation mentionnée à l'article L. 625-2 délivrée au vu d'un certificat attestant sa compétence en matière de formation au maniement des armes ou de l'autorisation mentionnée à l'article L. 625-3 et justifiant de son engagement dans une démarche d'obtention d'un tel certificat peut être autorisé à acquérir et détenir : « 1° Des armes mentionnées au 1° du II et au III de l'article R. 613-3 ainsi que les munitions correspondantes et les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1, selon les modalités fixées par arrêté du ministre de l'intérieur, à des fins de formation et d'entraînement des personnes exerçant l'une des activités mentionnées à l'article R. 612-38 ; « 2° Des armes de la catégorie A1 et de la catégorie B mentionnées à l'article R. 5442-1 du code des transports et, le cas échéant, leurs éléments et munitions ainsi que les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 5442-1 du code des transports selon les modalités fixées par arrêté conjoint du ministre de l'intérieur et du ministre chargé des transports maritimes, à des fins de formation et d'entraînement des personnes exerçant l'activité mentionnée à l'article R. 616-1. » ; 3° Au huitième alinéa du IV, après la référence : « R. 613-3-1 » sont insérés les mots : « ou, le cas échéant, à l'article R. 5442-1 du code des transports, ».
I.- Lorsque les activités mentionnées à l'article L. 625-1 sont exercées par une personne physique, la demande d'autorisation comporte les documents suivants : 1° Pour les ressortissants d'un Etat membre de l'Union européenne ou d'un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen, la copie d'une pièce d'identité en cours de validité ; 2° Pour les ressortissants d'un autre Etat que ceux mentionnés au 1°, la copie d'un titre de séjour en cours de validité l'autorisant à exercer l'activité mentionnée à l'article L. 625-1 ; 3° Pour les ressortissants étrangers, le document équivalent à une copie du bulletin numéro 3 du casier judiciaire, délivré depuis moins de trois mois par une autorité judiciaire ou administrative compétente de leur pays d'origine ou de provenance et accompagné, le cas échéant, de sa traduction certifiée en langue française ; 4° La déclaration d'activité enregistrée dans les conditions fixées aux articles L. 6351-1 à L. 6351-8 du code du travail ; 5° La mention de la ou des activités privées de sécurité pour lesquelles une prestation de formation est réalisée ; 6° La certification prévue à l'article R. 625-7 du présent code ou, le cas échéant, un document attestant que le demandeur est engagé dans une démarche de certification ; 7° L'adresse du domicile du demandeur ; 8° Le numéro unique d'identification. II.- Lorsque les activités mentionnées à l'article L. 625-1 sont exercées par une personne morale, la demande est présentée par le dirigeant ayant le pouvoir d'engager cette personne et comporte les documents mentionnés aux 1° à 6° du I ainsi que : 1° L'adresse du siège social et, s'ils sont distincts, de l'établissement principal et de l'établissement secondaire ; 2° Le numéro unique d'identification ; 3° Pour les associations, une copie de la mention de la création de l'association parue au Journal officiel, une copie des statuts ainsi que du dernier procès- verbal de l'assemblée générale. III.- Lorsque le demandeur souhaite dispenser une formation qui implique le maniement d'armes, la demande comporte également le nom de la personne ou des personnes désignées comme responsables du respect des règles de conservation des armes définies aux articles R. 613-3-4 et R. 613-3-5 et, s'agissant de l'activité de protection des navires, à l'article R. 5442-3 du code des transports. Cette personne ne doit pas être interdite d'acquisition ou de détention d'armes. IV.- Le prestataire de formation bénéficiaire de l'autorisation mentionnée à l'article L. 625-2 délivrée au vu d'un certificat attestant sa compétence en matière de formation au maniement des armes ou de l'autorisation mentionnée à l'article L. 625-3 et justifiant de son engagement dans une démarche d'obtention d'un tel certificat peut être autorisé à acquérir et détenir : 1° Des armes mentionnées au 1° du II et au III de l'article R. 613-3 ainsi que les munitions correspondantes et les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1, selon les modalités fixées par arrêté du ministre de l'intérieur, à des fins de formation et d'entraînement des personnes exerçant l'une des activités mentionnées à l'article R. 612-38 ; 2° Des armes de la catégorie A1 et de la catégorie B mentionnées à l'article R. 5442-1 du code des transports et, le cas échéant, leurs éléments et munitions ainsi que les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 5442-1 du code des transports selon les modalités fixées par arrêté conjoint du ministre de l'intérieur et du ministre chargé des transports maritimes, à des fins de formation et d'entraînement des personnes exerçant l'activité mentionnée à l'article R. 616-1. L'autorisation d'acquisition et de détention d'armes est délivrée pour une durée de cinq ans, renouvelable dans les mêmes conditions, par le préfet du département où se situe l'établissement dispensant la formation ou, à Paris, par le préfet de police et, dans le cas où l'établissement est situé dans le département des Bouches- du- Rhône, par le préfet de police des Bouches- du- Rhône. Le dossier de demande d'autorisation comprend : 1° La copie de l'une des autorisations mentionnées aux articles L. 625-2 et L. 625-3 délivrée au vu d'un certificat attestant de leur compétence en matière de formation au maniement des armes ; 2° La liste des armes qu'il est envisagé d'acquérir au regard de la nature de la formation dispensée ; 3° La justification de l'installation, dans les locaux où se déroule la formation, d'un équipement permettant la conservation des armes dans les conditions fixées à l'article R. 625-18. L'autorisation devient caduque lorsque le prestataire de formation ne dispose plus de l'une des autorisations mentionnées aux articles L. 625-2 et L. 625-3 ou en cas d'interdiction d'exercice de l'activité mentionnée à l'article L. 625-1 à titre temporaire prévue à l'article L. 634-9. Le prestataire de formation qui ne dispose plus de l'autorisation d'acquisition et de détention d'armes se dessaisit des armes, de leurs éléments et des munitions ainsi que, le cas échéant, des systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1 ou, le cas échéant, à l'article R. 5442-1 du code des transports, dans un délai de trois mois, selon l'une des conditions fixées aux articles R. 312-74 et R. 312-75. Une copie de l'autorisation est transmise au directeur du Conseil national des activités privées de sécurité. Toute modification, suppression ou adjonction affectant l'un des éléments du dossier de demande d'autorisation mentionnés à cet article fait l'objet d'une déclaration dans un délai de quinze jours auprès du préfet compétent et du directeur du Conseil national des activités privées de sécurité.
Une indemnité de responsabilité non soumise à retenue pour pension civile est allouée aux agents comptables des établissements prenant en charge, par voie de convention, le paiement de la rémunération des personnels titulaires des contrats de travail suivants : - conventions prévues à l'article L. 322-4-18 du code du travail ; - contrats emploi solidarité prévus à l'article L. 322-4-7 du code du travail ; - contrats emploi consolidé prévus à l'article L. 322-4-8-1 du code du travail ; - contrats des assistants d'éducation prévus à l'article L. 916-1 du code de l'éducation.
L'article 1er du décret du 2 juillet 2001 susvisé est complété par les deux alinéas suivants : « - contrats d'accompagnement dans l'emploi prévus à l'article L. 322-4-7 du code du travail ; - contrats d'avenir prévus à l'article L. 322-4-10 du code du travail ; ».
Une indemnité de responsabilité non soumise à retenue pour pension civile est allouée aux agents comptables des établissements prenant en charge, par voie de convention, le paiement de la rémunération des personnels titulaires des contrats de travail suivants : - conventions prévues à l'article L. 322-4-18 du code du travail ; - contrats emploi solidarité prévus à l'article L. 322-4-7 du code du travail ; - contrats emploi consolidé prévus à l'article L. 322-4-8-1 du code du travail ; - contrats des assistants d'éducation prévus à l'article L. 916-1 du code de l'éducation ; - contrats d'accompagnement dans l'emploi prévus à l'article L. 322-4-7 du code du travail ; - contrats d'avenir prévus à l'article L. 322-4-10 du code du travail.
SERVICES ORDONNATEURS RELEVANT DU PÉRIMÈTRE DE L'EXPÉRIMENTATION 1° La direction régionale des finances publiques (DRFiP) de Bourgogne- Franche- Comté et du département de la Côte- d'Or ; 2° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) du Doubs ; 3° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) du Jura ; 4° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de la Nièvre ; 5° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de la Haute- Saône ; 6° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de Saône- et- Loire ; 7° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de l'Yonne ; 8° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) du Territoire de Belfort ; 9° La direction régionale des affaires culturelles (DRAC) de Bourgogne- Franche- Comté ; 10° La direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE) de Bourgogne- Franche- Comté ; 11° La direction régionale et départementale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRDJSCS) de Bourgogne- Franche- Comté ; 12° La direction départementale déléguée de la cohésion sociale (DDDCS) de la Côte- d'Or ; 13° La direction départementale de la cohésion sociale (DDCS) de Saône- et- Loire ; 14° La structure régionale d'appui action sociale et santé- sécurité au travail des ministères économiques et financiers de Bourgogne- Franche- Comté ; 15° Le musée Magnin à Dijon, service à compétence nationale ; 16° Le rectorat de la région académique Bourgogne- Franche- Comté (délégation régionale académique à la jeunesse, à l'engagement et aux sports - DRAJES) ; 17° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de la Côte- d'Or ; 18° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) du Doubs ; 19° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) du Jura ; 20° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de la Nièvre ; 21° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de la Haute- Saône ; 22° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de Saône- et- Loire ; 23° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de l'Yonne ; 24° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) du Territoire de Belfort.
L'annexe de l'arrêté du 22 novembre 2019 portant création, à titre expérimental, d'un centre de gestion financière placé sous l'autorité du directeur départemental des finances publiques du Doubs est ainsi modifiée : 1° Les 10° à 12° sont remplacés par les dispositions suivantes : « 10° La direction régionale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités (DREETS) de Bourgogne- Franche- Comté ; « 11° La direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS) de la Côte d'Or ; « 12° La direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS) de Saône- et- Loire ; » 2° Le 13° est abrogé.
SERVICES ORDONNATEURS RELEVANT DU PÉRIMÈTRE DE L'EXPÉRIMENTATION 1° La direction régionale des finances publiques (DRFiP) de Bourgogne- Franche- Comté et du département de la Côte- d'Or ; 2° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) du Doubs ; 3° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) du Jura ; 4° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de la Nièvre ; 5° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de la Haute- Saône ; 6° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de Saône- et- Loire ; 7° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) de l'Yonne ; 8° La direction départementale des finances publiques (DDFiP) du Territoire de Belfort ; 9° La direction régionale des affaires culturelles (DRAC) de Bourgogne- Franche- Comté ; 10° La direction régionale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités (DREETS) de Bourgogne- Franche- Comté ; 11° La direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS) de la Côte d'Or ; 12° La direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités (DDETS) de Saône- et- Loire ; 13° (Abrogé) ; 14° La structure régionale d'appui action sociale et santé- sécurité au travail des ministères économiques et financiers de Bourgogne- Franche- Comté ; 15° Le musée Magnin à Dijon, service à compétence nationale ; 16° Le rectorat de la région académique Bourgogne- Franche- Comté (délégation régionale académique à la jeunesse, à l'engagement et aux sports - DRAJES) ; 17° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de la Côte- d'Or ; 18° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) du Doubs ; 19° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) du Jura ; 20° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de la Nièvre ; 21° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de la Haute- Saône ; 22° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de Saône- et- Loire ; 23° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) de l'Yonne ; 24° Le secrétariat général commun départemental (SGCD) du Territoire de Belfort.
Sur sa demande, le maire reçoit du haut- commissaire les informations nécessaires à l'exercice des attributions de la commune. Sur sa demande, le haut- commissaire reçoit du maire les informations nécessaires à l'exercice de ses attributions.
La section 8 du chapitre Ier du titre II du livre Ier est complétée par un article L. 121-42 ainsi rédigé : « Art.L. 121-42.- Sur sa demande, le maire reçoit du haut- commissaire les informations nécessaires à l'exercice des attributions de la commune. « Sur sa demande, le haut- commissaire reçoit du maire les informations nécessaires à l'exercice de ses attributions. »
Sur sa demande, le maire reçoit du haut- commissaire les informations nécessaires à l'exercice des attributions de la commune. Sur sa demande, le haut- commissaire reçoit du maire les informations nécessaires à l'exercice de ses attributions.
Il est interdit à toute personne privée, directement ou indirectement, d'être porteur de titres donnant accès au capital ou conférant un droit de vote dans plus d'une société constituée conformément aux dispositions du premier alinéa de l'article 11 et dont l'objet social porte sur une même discipline sportive. Toute cession opérée en violation de ces dispositions est nulle. Il est interdit à toute personne privée porteur de titres donnant accès au capital ou conférant un droit de vote dans une société constituée conformément aux dispositions du premier alinéa du même article de consentir un prêt à une autre de ces sociétés dès lors que son objet social porterait sur la même discipline sportive, de se porter caution en sa faveur ou de lui fournir un cautionnement. Toute personne physique, ainsi que le président, l'administrateur ou le directeur d'une personne morale, qui aura contrevenu aux dispositions du présent alinéa sera punie d'une amende de 45000 euros [*taux*] et d'un an d'emprisonnement.
Le premier alinéa de l'article 15-1 de la loi n° 84-610 du 16 juillet 1984 relative à l'organisation et à la promotion des activités physiques et sportives est ainsi rédigé : « Il est interdit à une même personne privée de détenir le contrôle, au sens de l'article L. 233-16 du code de commerce, de plus d'une société constituée conformément aux dispositions du premier alinéa de l'article 11 et dont l'objet social porte sur une même discipline sportive. »
Il est interdit à une même personne privée de détenir le contrôle, au sens de l'article L. 233-16 du code de commerce, de plus d'une société constituée conformément aux dispositions du premier alinéa de l'article 11 et dont l'objet social porte sur une même discipline sportive. Il est interdit à toute personne privée porteur de titres donnant accès au capital ou conférant un droit de vote dans une société constituée conformément aux dispositions du premier alinéa du même article de consentir un prêt à une autre de ces sociétés dès lors que son objet social porterait sur la même discipline sportive, de se porter caution en sa faveur ou de lui fournir un cautionnement. Toute personne physique, ainsi que le président, l'administrateur ou le directeur d'une personne morale, qui aura contrevenu aux dispositions du présent alinéa sera punie d'une amende de 45000 euros et d'un an d'emprisonnement.
La première partie de l'épreuve orale d'admission, d'une durée de trente minutes maximum, est de nature commune à l'ensemble des spécialités. Elle débute par un exposé du candidat présentant sa formation et, le cas échéant, son parcours professionnel, d'une durée de dix minutes maximum, et se poursuit par un entretien avec le jury visant à mettre en évidence ses aptitudes à la communication, ses capacités de réaction, ses motivations, sa représentation des métiers de technicien et son sens du service public. Le candidat remet, à une date fixée dans l'arrêté d'ouverture du concours, un dossier comportant un curriculum vitae limité à une page, la justification de la ou des activités professionnelles s'il y a lieu et une lettre de motivation d'une page maximum. Le modèle de ce dossier est disponible sur le site internet du ministère chargé de l'agriculture. Ce dossier n'est pas noté. La seconde partie de l'épreuve orale d'admission, d'une durée de vingt minutes maximum, organisée par spécialité doit permettre de vérifier l'aptitude du candidat à mettre en pratique ses connaissances et à montrer sa capacité à se comporter en situation professionnelle. L'épreuve consiste en une mise en situation relevant de la spécialité au titre de laquelle concourt le candidat. Durée totale de l'épreuve : cinquante minutes maximum ; coefficient 5.
L'article 3 du même arrêté est modifié comme suit : 1° La première phrase du premier alinéa est supprimée ; 2° Dans la seconde phrase du même alinéa, le mot : « Elle » est remplacé par les mots : « L'épreuve orale d'admission » ; 3° Dans la première phrase du troisième alinéa, les mots : « La seconde partie de l'épreuve orale d'admission, d'une durée de vingt minutes maximum, organisée par spécialité doit » sont remplacés par les mots : « L'épreuve peut comporter des mises en situation relevant de la spécialité au titre de laquelle concourt le candidat, devant » ; 4° La dernière phrase du troisième alinéa est supprimée ; 5° Dans le dernier alinéa, les mots : « cinquante minutes » sont remplacés par les mots : « quarante minutes ».
L'épreuve orale d'admission débute par un exposé du candidat présentant sa formation et, le cas échéant, son parcours professionnel, d'une durée de dix minutes maximum, et se poursuit par un entretien avec le jury visant à mettre en évidence ses aptitudes à la communication, ses capacités de réaction, ses motivations, sa représentation des métiers de technicien et son sens du service public. Le candidat remet, à une date fixée dans l'arrêté d'ouverture du concours, un dossier comportant un curriculum vitae limité à une page, la justification de la ou des activités professionnelles s'il y a lieu et une lettre de motivation d'une page maximum. Le modèle de ce dossier est disponible sur le site internet du ministère chargé de l'agriculture. Ce dossier n'est pas noté. L'épreuve peut comporter des mises en situation relevant de la spécialité au titre de laquelle concourt le candidat, devant permettre de vérifier l'aptitude du candidat à mettre en pratique ses connaissances et à montrer sa capacité à se comporter en situation professionnelle. Durée totale de l'épreuve : quarante minutes maximum ; coefficient 5.
Le Conseil d'orientation des politiques de jeunesse comprend, outre son président : 1° Au titre du collège de l'Etat : a) Le délégué interministériel à la jeunesse, directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative ou son représentant ; b) Les ministres chargés respectivement des affaires sociales, de la culture, de la défense, de l'éducation nationale, de l'emploi, de l'enseignement supérieur, de l'intérieur, de la jeunesse, de la justice, du logement, de l'outre- mer, de la santé, de la ville et de l'agriculture ou leurs représentants ; 2° Au titre du collège des collectivités territoriales : a) Deux représentants des régions désignés par l'Association des régions de France ; b) Deux représentants des départements désignés par l'Assemblée des départements de France ; c) Deux représentants des communes et de leurs groupements désignés par l'Association des maires de France ; 3° Au titre du collège des jeunes et de leurs organisations : a) Six représentants d'organisations de jeunes désignés par l'association Forum français de la jeunesse ; b) Trois représentants de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire désignés par l'association Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d'éducation populaire ; c) Deux usagers de missions locales ; d) Deux représentants de conseils de jeunes ; e) Le président du groupe des organisations étudiantes et mouvements de jeunesse du Conseil économique, social et environnemental ou son représentant ; f) Un représentant des apprentis désigné par l'Association nationale des apprentis de France ; 4° Au titre du collège des associations et des mouvements de jeunesse et d'éducation populaire : a) Trois représentants de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire désignés par l'association Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d'éducation populaire ; b) Trois représentants d'associations désignés par l'association le Mouvement associatif ; 5° Au titre du collège de l'insertion des jeunes : a) Quatre représentants de missions locales désignés par l'association Union nationale des missions locales ; b) Un directeur de mission locale désigné par l'Association nationale des directeurs de missions locales ; c) (Supprimé) ; d) Deux représentants de Pôle emploi désignés par son directeur général ; e) Le président de l'association Union nationale de l'information jeunesse ou son représentant ; f) Le président du réseau des Ecoles de la deuxième chance ou son représentant ; 6° Au titre du collège des partenaires sociaux : a) Un représentant de chaque organisation syndicale de salariés représentative au plan national et interprofessionnel sur proposition de leur organisation respective ; b) Un représentant de chacune des organisations syndicales suivantes : Fédération syndicale unitaire, Union nationale des syndicats autonomes, union syndicale Solidaires, sur proposition de leur organisation respective ; c) Trois représentants des organisations professionnelles d'employeurs représentatives au plan national et interprofessionnel ; d) Quatre représentants des organisations professionnelles d'employeurs représentatives au plan national multiprofessionnel ; 7° Au titre du collège des membres associés : a) Le président de l'Agence du service civique ; b) Le président de la Caisse nationale d'allocations familiales ou son représentant ; c) Le président de la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés ou son représentant ; d) Le président de la Mutualité sociale agricole ou son représentant ; e) Le président de l'Union nationale des centres communaux et intercommunaux d'action sociale ou son représentant ; f) Deux représentants d'associations de parents d'élèves ; g) Le président de l'Union nationale des associations familiales ou son représentant ; 8° Au titre du collège des personnalités qualifiées, cinq membres nommés à raison de leurs compétences dans les domaines de la jeunesse, de l'éducation populaire, de l'insertion des jeunes et en matière de recherche scientifique. Les membres mentionnés au 3° sont âgés de moins de trente ans au jour de leur désignation.
L'article 3 du même décretest remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 3.- Le Conseil d'orientation des politiques de jeunesse comprend, outre son président : « 1° Au titre du collège de l'Etat : « a) Le délégué interministériel à la jeunesse, directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative ou son représentant ; « b) Les ministres chargés respectivement des affaires sociales, de la culture, des armées, du droit des femmes, de la cohésion des territoires, de l'éducation nationale, de l'emploi, de l'insertion, de l'enseignement supérieur, de l'intérieur, de la jeunesse, de la justice, du logement, de l'outre- mer, de la santé, de la ville, de l'agriculture ou leurs représentants ; « 2° Au titre du collège des collectivités territoriales : « a) Deux représentants des régions désignés par l'Association des régions de France ; « b) Deux représentants des départements désignés par l'Assemblée des départements de France ; « c) Deux représentants des communes et de leurs groupements désignés par l'Association des maires de France ; « d) Deux représentants désignés par l'Association des maires ruraux de France ; « e) Deux représentants désignés par l'Association France Urbaine ; « f) Deux représentants désignés par l'Association des Jeunes Elus de France ; « 3° Au titre du collège des jeunes et de leurs organisations : « a) Quatre représentants d'organisations de jeunes désignés par l'association Forum français de la jeunesse ; « b) Trois représentants de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire désignés par l'association Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d'éducation populaire ; « c) Deux usagers de missions locales ; « d) Deux représentants de conseils de jeunes ; « e) Le président du groupe des organisations étudiantes et mouvements de jeunesse du Conseil économique, social et environnemental ou son représentant ; « f) Un représentant des apprentis désigné par l'Association nationale des apprentis de France ; « g) Deux représentants désignés par l'association Repères ; « h) Deux représentants de moins de 30 ans issus du collège des usagers du CNLE ; « i) Deux représentants de l'association ANIMAFAC ; « j) Deux représentants de la Fédération des Associations Générales Etudiantes ; « 4° Au titre du collège des associations et des mouvements de jeunesse et d'éducation populaire : « a) Trois représentants de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire désignés par l'association Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d'éducation populaire ; « b) Trois représentants d'associations désignés par l'association le Mouvement associatif ; « 5° Au titre du collège de l'insertion des jeunes : « a) Deux représentants de missions locales désignés par l'association Union nationale des missions locales ; « b) Un directeur de mission locale désigné par l'Association nationale des directeurs de missions locales ; « c) Deux représentants de Pôle emploi désignés par son directeur général ; « d) Trois représentants de l'association Union nationale de l'information jeunesse- Info Jeunes France ; « e) Le président du réseau des Ecoles de la deuxième chance ou son représentant ; « f) Le président de l'Etablissement pour l'insertion dans l'emploi ou son représentant ; « g) Le président de la Fédération des acteurs de la solidarité ou son représentant ; « h) Le président de l'Agence nationale pour la formation des adultes ou son représentant ; « i) Le président de l'Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux ou son représentant ; « j) Le président de l'Union nationale pour l'habitat des jeunes ou son représentant ; « k) Le président de l'Union nationale des CLAJJ ou son représentant ; « l) Le président de la Jeune chambre économique française ou son représentant ; « m) Le président de l'association Apprentis d'Auteuil ou son représentant ; « 6° Au titre du collège des partenaires sociaux : « a) Un représentant de chaque organisation syndicale de salariés représentative au plan national et interprofessionnel sur proposition de leur organisation respective ; « b) Un représentant de chacune des organisations syndicales suivantes : Fédération syndicale unitaire, Union nationale des syndicats autonomes, union syndicale Solidaires, sur proposition de leur organisation respective ; « c) Trois représentants des organisations professionnelles d'employeurs représentatives au plan national et interprofessionnel ; « d) Quatre représentants des organisations professionnelles d'employeurs représentatives au plan national multiprofessionnel ; « 7° Au titre du collège des membres associés : « a) Le président de l'Agence du service civique ou son représentant ; « b) Le président de la Caisse nationale d'allocations familiales ou son représentant ; « c) Le président de la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés ou son représentant ; « d) Le président de la Mutualité sociale agricole ou son représentant ; « e) Le président de l'Union nationale des centres communaux et intercommunaux d'action sociale ou son représentant ; « f) Deux représentants d'associations de parents d'élèves ; « g) Le président de l'Union nationale des associations familiales ou son représentant ; « h) Le président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale ou son représentant ; « i) Le président du Haut Conseil à la famille, à l'enfance et à l'âge ou son représentant ; « j) Le président de l'association CESER de France ou son représentant ; « k) Le président de l'Office national d'information sur les enseignements et les professions ou son représentant ; « l) Le président de l'Union nationale des associations de tourisme et de plein air ou son représentant ; « 8° Au titre du collège des personnalités qualifiées, cinq membres nommés à raison de leurs compétences dans les domaines de la jeunesse, de l'éducation populaire, de l'insertion des jeunes et en matière de recherche scientifique. « Les membres mentionnés au 3° sont âgés de moins de trente ans au jour de leur désignation. »
Le Conseil d'orientation des politiques de jeunesse comprend, outre son président : 1° Au titre du collège de l'Etat : a) Le délégué interministériel à la jeunesse, directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative ou son représentant ; b) Les ministres chargés respectivement des affaires sociales, de la culture, des armées, du droit des femmes, de la cohésion des territoires, de l'éducation nationale, de l'emploi, de l'insertion, de l'enseignement supérieur, de l'intérieur, de la jeunesse, de la justice, du logement, de l'outre- mer, de la santé, de la ville, de l'agriculture ou leurs représentants ; 2° Au titre du collège des collectivités territoriales : a) Deux représentants des régions désignés par l'Association des régions de France ; b) Deux représentants des départements désignés par l'Assemblée des départements de France ; c) Deux représentants des communes et de leurs groupements désignés par l'Association des maires de France ; d) Deux représentants désignés par l'Association des maires ruraux de France ; e) Deux représentants désignés par l'Association France Urbaine ; f) Deux représentants désignés par l'Association des Jeunes Elus de France ; 3° Au titre du collège des jeunes et de leurs organisations : a) Quatre représentants d'organisations de jeunes désignés par l'association Forum français de la jeunesse ; b) Trois représentants de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire désignés par l'association Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d'éducation populaire ; c) Deux usagers de missions locales ; d) Deux représentants de conseils de jeunes ; e) Le président du groupe des organisations étudiantes et mouvements de jeunesse du Conseil économique, social et environnemental ou son représentant ; f) Un représentant des apprentis désigné par l'Association nationale des apprentis de France ; g) Deux représentants désignés par l'association Repères ; h) Deux représentants de moins de 30 ans issus du collège des usagers du CNLE ; i) Deux représentants de l'association ANIMAFAC ; j) Deux représentants de la Fédération des Associations Générales Etudiantes ; 4° Au titre du collège des associations et des mouvements de jeunesse et d'éducation populaire : a) Trois représentants de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire désignés par l'association Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d'éducation populaire ; b) Trois représentants d'associations désignés par l'association le Mouvement associatif ; 5° Au titre du collège de l'insertion des jeunes : a) Deux représentants de missions locales désignés par l'association Union nationale des missions locales ; b) Un directeur de mission locale désigné par l'Association nationale des directeurs de missions locales ; c) Deux représentants de Pôle emploi désignés par son directeur général ; d) Trois représentants de l'association Union nationale de l'information jeunesse- Info Jeunes France ; e) Le président du réseau des Ecoles de la deuxième chance ou son représentant ; f) Le président de l'Etablissement pour l'insertion dans l'emploi ou son représentant ; g) Le président de la Fédération des acteurs de la solidarité ou son représentant ; h) Le président de l'Agence nationale pour la formation des adultes ou son représentant ; i) Le président de l'Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux ou son représentant ; j) Le président de l'Union nationale pour l'habitat des jeunes ou son représentant ; k) Le président de l'Union nationale des CLAJJ ou son représentant ; l) Le président de la Jeune chambre économique française ou son représentant ; m) Le président de l'association Apprentis d'Auteuil ou son représentant ; 6° Au titre du collège des partenaires sociaux : a) Un représentant de chaque organisation syndicale de salariés représentative au plan national et interprofessionnel sur proposition de leur organisation respective ; b) Un représentant de chacune des organisations syndicales suivantes : Fédération syndicale unitaire, Union nationale des syndicats autonomes, union syndicale Solidaires, sur proposition de leur organisation respective ; c) Trois représentants des organisations professionnelles d'employeurs représentatives au plan national et interprofessionnel ; d) Quatre représentants des organisations professionnelles d'employeurs représentatives au plan national multiprofessionnel ; 7° Au titre du collège des membres associés : a) Le président de l'Agence du service civique ou son représentant ; b) Le président de la Caisse nationale d'allocations familiales ou son représentant ; c) Le président de la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés ou son représentant ; d) Le président de la Mutualité sociale agricole ou son représentant ; e) Le président de l'Union nationale des centres communaux et intercommunaux d'action sociale ou son représentant ; f) Deux représentants d'associations de parents d'élèves ; g) Le président de l'Union nationale des associations familiales ou son représentant ; h) Le président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale ou son représentant ; i) Le président du Haut Conseil à la famille, à l'enfance et à l'âge ou son représentant ; j) Le président de l'association CESER de France ou son représentant ; k) Le président de l'Office national d'information sur les enseignements et les professions ou son représentant ; l) Le président de l'Union nationale des associations de tourisme et de plein air ou son représentant ; 8° Au titre du collège des personnalités qualifiées, cinq membres nommés à raison de leurs compétences dans les domaines de la jeunesse, de l'éducation populaire, de l'insertion des jeunes et en matière de recherche scientifique. Les membres mentionnés au 3° sont âgés de moins de trente ans au jour de leur désignation.
La comptabilité du groupement est tenue et sa gestion assurée selon les règles du droit privé, sauf si les parties contractantes ont fait le choix de la gestion publique dans la convention constitutive ou si le groupement est exclusivement constitué de personnes morales de droit public. Dans ces deux dernières hypothèses, les dispositions du décret modifié du 29 décembre 1962 susvisé relatives aux établissements publics à caractère industriel et commercial dotés d'un agent comptable sont applicables. Dans ce cas, sauf dispositions particulières prévues dans la convention constitutive, l'agent comptable est alors nommé conformément aux dispositions précitées du décret du 29 décembre 1962.
Le second alinéa de l'article 7 du décret n° 2010-254 du 10 mars 2010 relatif aux groupements d'intérêt public constitués en application de l'article 3 de la loi n° 99-210 du 19 mars 1999 relative à la Nouvelle- Calédonie est remplacé par les dispositions suivantes : « Dans ces deux dernières hypothèses, les dispositions du I de l'article 7 du décret n° 2012-91 du 26 janvier 2012 relatif aux groupements d'intérêt public sont applicables au groupement. Dans ce cas, sauf dispositions particulières prévues dans la convention constitutive, l'agent comptable est alors nommé conformément aux dispositions du II de l'article 7 du décret n° 2012-91 du 26 janvier 2012 relatif aux groupements d'intérêt public. »
La comptabilité du groupement est tenue et sa gestion assurée selon les règles du droit privé, sauf si les parties contractantes ont fait le choix de la gestion publique dans la convention constitutive ou si le groupement est exclusivement constitué de personnes morales de droit public. Dans ces deux dernières hypothèses, les dispositions du I de l'article 7 du décret n° 2012-91 du 26 janvier 2012 relatif aux groupements d'intérêt public sont applicables au groupement. Dans ce cas, sauf dispositions particulières prévues dans la convention constitutive, l'agent comptable est alors nommé conformément aux dispositions du II de l'article 7 du décret n° 2012-91 du 26 janvier 2012 relatif aux groupements d'intérêt public.
La demande d'aide est adressée, par l'opérateur ou son mandataire, avant le dernier jour du troisième mois qui suit celui pendant lequel l'évacuation du bois qui a été colonisé par des scolytes a été réalisée, et au plus tard le 23 novembre 2020, à la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt du lieu de récolte. Le paiement est assuré par la direction des finances publiques compétente.
Le premier alinéa de l'article 5 de l'arrêté du 20 décembre 2019 susvisé est ainsi rédigé : « La demande d'aide est adressée par l'opérateur ou son mandataire à la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt du lieu de récolte, avant le dernier jour du troisième mois qui suit celui pendant lequel l'évacuation du bois qui a été colonisé par des scolytes a été réalisée. Elle porte sur les bois évacués jusqu'au 31 décembre 2020, au plus tard. »
La demande d'aide est adressée par l'opérateur ou son mandataire à la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt du lieu de récolte, avant le dernier jour du troisième mois qui suit celui pendant lequel l'évacuation du bois qui a été colonisé par des scolytes a été réalisée. Elle porte sur les bois évacués jusqu'au 31 décembre 2020, au plus tard. Le paiement est assuré par la direction des finances publiques compétente.
Les droits d'accès et de rectification prévus par la loi du 6 janvier 1978 modifiée susvisée s'exercent auprès du service des impôts des entreprises gestionnaire du dossier professionnel du contribuable. Concernant plus particulièrement les données issues de l'INSEE, le droit s'exerce auprès des services désignés dans l'arrêté du 14 mars 1973 portant création par l'Institut national de la statistique et des enquêtes économiques d'un système national d'identification et d'un répertoire des entreprises et leurs établissements.
Le premier alinéa de l'article 8 de l'arrêté du 16 juin 2008 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Les droits prévus à la section 2 du chapitre V de la loi du 6 janvier 1978 susvisée s'exercent auprès du service des impôts des entreprises gestionnaire du dossier professionnel du contribuable. »
Les droits prévus à la section 2 du chapitre V de la loi du 6 janvier 1978 susvisée s'exercent auprès du service des impôts des entreprises gestionnaire du dossier professionnel du contribuable. Concernant plus particulièrement les données issues de l'INSEE, le droit s'exerce auprès des services désignés dans l'arrêté du 14 mars 1973 portant création par l'Institut national de la statistique et des enquêtes économiques d'un système national d'identification et d'un répertoire des entreprises et leurs établissements.
Les coefficients prévus à l'article 3 du décret n° 2004-88 du 27 janvier 2004 susvisé et affectant le taux horaire de base sont fixés dans le tableau ci- dessous : FONCTIONS EXERCÉES COEFFICIENT à la date d'entrée en vigueur du décret n° 2004-88 du 27 janvier 2004 Pilotes d'avions Chef des moyens opérationnels 46, 328 Officier de sécurité aérienne 45, 448 Chef du personnel navigant 45, 448 Chef du secteur entraînement et contrôle 44, 068 Chef de secteur 10 Chef pilote de secteur 8, 8 Instructeur examinateur pilote (TRE CRE) 20, 93 Instructeur pilote (CRI TRI) 20, 37 Chef de détachement 2, 90 Mécaniciens navigants Chef mécanicien de secteur 8, 8 Instructeur mécanicien navigant 6, 96 Contrôleur technique en vol 4, 64
A l'article 3 du même arrêté, le tableau fixant les coefficients prévus à l'article 3 du décret du 27 janvier 2004 susvisé est remplacé par le tableau suivant : FONCTION EXERCÉE COEFFICIENT Pilotes d'avions Chef des moyens opérationnels 46, 328 Officier de sécurité aérienne 45, 448 Chef du personnel navigant 45, 448 Chef du personnel navigant adjoint 44, 068 Chef de secteur 10 Chef pilote de secteur 8, 8 Instructeur examinateur pilote (TRE ou CRE) 20, 93 Instructeur pilote (CRI ou TRI) 20, 37 Chef de détachement 2, 90 Officier de sécurité aérienne de secteur 5
Les coefficients prévus à l'article 3 du décret n° 2004-88 du 27 janvier 2004 susvisé et affectant le taux horaire de base sont fixés dans le tableau ci- dessous : FONCTION EXERCÉE COEFFICIENT Pilotes d'avions Chef des moyens opérationnels 46,328 Officier de sécurité aérienne 45,448 Chef du personnel navigant 45,448 Chef du personnel navigant adjoint 44,068 Chef de secteur 10 Chef pilote de secteur 8,8 Instructeur examinateur pilote (TRE ou CRE) 20,93 Instructeur pilote (CRI ou TRI) 20,37 Chef de détachement 2,90 Officier de sécurité aérienne de secteur 5
Sont soumis aux dispositions du présent décret les produits suivants : les confitures, les gelées et marmelades de fruits, les crèmes de pruneaux, les crèmes de marrons et crèmes d'autres fruits à coque, les confits de pétales, les confits de fruits confits et les raisinés de fruits [*champ d'application*]. Pour leur application, sont assimilés aux fruits dans les conditions fixées à l'annexe jointe les tomates, les parties comestibles des tiges de rubarbe, les carottes, les citrouilles, les concombres et les patates douces.
L'article 1er du décret du 14 août 1985 susvisé est modifié ainsi qu'il suit : 1° Au second alinéa, après le mot : « concombres », sont insérés les mots : « , les melons, les pastèques ». 2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « Les dispositions du présent décret ne s'appliquent pas aux produits destinés à la fabrication des produits de boulangerie fine, pâtisserie et biscuiterie. »
Sont soumis aux dispositions du présent décret les produits suivants : les confitures, les gelées et marmelades de fruits, les crèmes de pruneaux, les crèmes de marrons et crèmes d'autres fruits à coque, les confits de pétales, les confits de fruits confits et les raisinés de fruits. Pour leur application, sont assimilés aux fruits dans les conditions fixées à l'annexe jointe les tomates, les parties comestibles des tiges de rubarbe, les carottes, les citrouilles, les concombres, les melons, les pastèques et les patates douces. Les dispositions du présent décret ne s'appliquent pas aux produits destinés à la fabrication des produits de boulangerie fine, pâtisserie et biscuiterie.
Lorsque la peine privative de liberté prononcée est d'une durée inférieure ou égale à dix ans, ou que, quelle que soit la peine initialement prononcée, la durée de détention restant à subir est inférieure ou égale à trois ans, la libération conditionnelle est accordée par le juge de l'application des peines selon les modalités prévues par l'article 712-6. Dans les autres cas, la libération conditionnelle est accordée par le tribunal de l'application des peines selon les modalités prévues par l'article 712-7. Pour l'application du présent article, la situation de chaque condamné est examinée au moins une fois par an, lorsque les conditions de délai prévues à l'article 729 sont remplies. Pour les demandes de libération conditionnelle concernant des personnes condamnées à une peine d'emprisonnement égale ou supérieure à cinq ans ou à une peine de réclusion, l'avocat de la partie civile peut, s'il en fait la demande, assister au débat contradictoire devant le juge de l'application des peines, le tribunal de l'application des peines ou la chambre de l'application des peines de la cour d'appel statuant en appel pour y faire valoir ses observations, avant les réquisitions du ministère public. Un décret fixe les modalités d'application du présent article.
Au troisième alinéa de l'article 730 du même code, après les mots : « présent article », sont insérés les mots : « et sans préjudice des articles 720 et 730-3 ».
Lorsque la peine privative de liberté prononcée est d'une durée inférieure ou égale à dix ans, ou que, quelle que soit la peine initialement prononcée, la durée de détention restant à subir est inférieure ou égale à trois ans, la libération conditionnelle est accordée par le juge de l'application des peines selon les modalités prévues par l'article 712-6. Dans les autres cas, la libération conditionnelle est accordée par le tribunal de l'application des peines selon les modalités prévues par l'article 712-7. Pour l'application du présent article et sans préjudice des articles 720 et 730-3, la situation de chaque condamné est examinée au moins une fois par an, lorsque les conditions de délai prévues à l'article 729 sont remplies. Pour les demandes de libération conditionnelle concernant des personnes condamnées à une peine d'emprisonnement égale ou supérieure à cinq ans ou à une peine de réclusion, l'avocat de la partie civile peut, s'il en fait la demande, assister au débat contradictoire devant le juge de l'application des peines, le tribunal de l'application des peines ou la chambre de l'application des peines de la cour d'appel statuant en appel pour y faire valoir ses observations, avant les réquisitions du ministère public. Un décret fixe les modalités d'application du présent article.
Le greffier du tribunal d'instance dans le ressort duquel les partenaires d'un pacte civil de solidarité fixent leur résidence commune enregistre leur déclaration conjointe. A cette fin, les partenaires produisent l'original de la convention, ou son expédition lorsque la convention a été conclue en la forme authentique, les pièces d'état civil attestant l'absence d'empêchement au regard des articles 506-1, 515-1 et 515-2 du code civil, et, pour le partenaire de nationalité étrangère né à l'étranger, le certificat délivré par le greffier du tribunal de grande instance de Paris attestant qu'il n'est pas déjà lié à une autre personne par un pacte civil de solidarité. Les partenaires justifient de leur identité par un document officiel délivré par une administration publique comportant leur nom, leur prénom, leur date et leur lieu de naissance, leur photographie et leur signature ainsi que l'identification de l'autorité qui a délivré le document, la date et le lieu de délivrance. Le greffier du tribunal d'instance qui a enregistré la déclaration conjointe de conclusion d'un pacte civil de solidarité vise et date l'original de la convention ou l'expédition de l'acte authentique qu'il restitue aux partenaires. Lorsqu'il constate que les conditions d'enregistrement de la déclaration ne sont pas remplies, il prend une décision motivée d'irrecevabilité. Cette décision fait l'objet d'un enregistrement. Les contestations portant sur l'enregistrement ou le refus d'enregistrement d'un pacte civil de solidarité, de sa modification ou de sa dissolution sont soumises au président du tribunal de grande instance, ou à son délégué, statuant en la forme des référés. Les contestations relatives aux décisions d'irrecevabilité prises par l'autorité diplomatique ou consulaire sont portées devant le président du tribunal de grande instance de Paris ou son délégué statuant en la forme des référés.
Le premier alinéa de l'article 1er du décret du 23 décembre 2006 susvisé est ainsi rédigé : « Le greffier du tribunal d'instance dans le ressort duquel les partenaires d'un pacte civil de solidarité fixent leur résidence commune enregistre leur déclaration conjointe.A cette fin, les partenaires produisent l'original de la convention, ou son expédition lorsque la convention a été conclue en la forme authentique, les pièces d'état civil attestant l'absence d'empêchement au regard des articles 515-1 et 515-2 du code civil, et, pour le partenaire de nationalité étrangère né à l'étranger, le certificat délivré par le greffier du tribunal de grande instance de Paris attestant qu'il n'est pas déjà lié à une autre personne par un pacte civil de solidarité. Les partenaires produisent, le cas échéant, les pièces permettant la vérification du respect des dispositions prévues aux articles 461 et 462 du code civil. »
Le greffier du tribunal d'instance dans le ressort duquel les partenaires d'un pacte civil de solidarité fixent leur résidence commune enregistre leur déclaration conjointe.A cette fin, les partenaires produisent l'original de la convention, ou son expédition lorsque la convention a été conclue en la forme authentique, les pièces d'état civil attestant l'absence d'empêchement au regard des articles 515-1 et 515-2 du code civil, et, pour le partenaire de nationalité étrangère né à l'étranger, le certificat délivré par le greffier du tribunal de grande instance de Paris attestant qu'il n'est pas déjà lié à une autre personne par un pacte civil de solidarité. Les partenaires produisent, le cas échéant, les pièces permettant la vérification du respect des dispositions prévues aux articles 461 et 462 du code civil. Les partenaires justifient de leur identité par un document officiel délivré par une administration publique comportant leur nom, leur prénom, leur date et leur lieu de naissance, leur photographie et leur signature ainsi que l'identification de l'autorité qui a délivré le document, la date et le lieu de délivrance. Le greffier du tribunal d'instance qui a enregistré la déclaration conjointe de conclusion d'un pacte civil de solidarité vise et date l'original de la convention ou l'expédition de l'acte authentique qu'il restitue aux partenaires. Lorsqu'il constate que les conditions d'enregistrement de la déclaration ne sont pas remplies, il prend une décision motivée d'irrecevabilité. Cette décision fait l'objet d'un enregistrement. Les contestations portant sur l'enregistrement ou le refus d'enregistrement d'un pacte civil de solidarité, de sa modification ou de sa dissolution sont soumises au président du tribunal de grande instance, ou à son délégué, statuant en la forme des référés. Les contestations relatives aux décisions d'irrecevabilité prises par l'autorité diplomatique ou consulaire sont portées devant le président du tribunal de grande instance de Paris ou son délégué statuant en la forme des référés.
Les candidats admis au cycle de formation sont nommés élèves directeurs par le directeur général du Centre national de gestion. Ceux d'entre eux qui choisissent d'effectuer un service national volontaire sont tenus de le faire avant de recevoir la formation théorique et pratique. Préalablement à leur entrée en formation, les élèves directeurs sont tenus de souscrire un engagement de servir dans les établissements mentionnés à l'article 1er du présent décret, pendant une durée de dix ans à compter de leur entrée en formation. Toutefois, sur décision du directeur général du Centre national de gestion, tout ou partie de cet engagement peut être accompli dans une administration relevant de l'Etat, dans une collectivité territoriale ou dans un établissement public à caractère administratif. La rupture de l'engagement entraîne le remboursement à l'Ecole des hautes études en santé publique du montant des traitements et indemnités perçus au cours de la scolarité. L'intéressé peut toutefois être dispensé de tout ou partie de cette obligation par arrêté du directeur général du Centre national de gestion. Les candidats admis au concours ayant effectué une formation de même niveau que le cycle de formation prévu à l'article 4 dans un Etat membre de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen autre que la France peuvent être dispensés par le directeur général du Centre national de gestion de le suivre pour tout ou partie, lorsque cette formation satisfait aux conditions fixées par le chapitre II du décret du 13 février 2007 susvisé. A titre exceptionnel et sur avis du directeur de l'Ecole des hautes études en santé publique, les élèves directeurs ayant accompli un temps de formation égal à la moitié de la durée totale du cycle et qui ne seraient pas jugés aptes par la commission administrative paritaire nationale à poursuivre leur formation sont, par arrêté du directeur général du Centre national de gestion, soit licenciés, soit remis à la disposition de leur administration d'origine. Les élèves directeurs qui ont satisfait aux épreuves de fin de formation sont de plein droit titulaires du certificat d'aptitude aux fonctions de directeur d'établissement ou de service d'intervention sociale, et sont inscrits, par ordre alphabétique, sur une liste d'aptitude. Le directeur général du Centre national de gestion arrête la liste des postes offerts, dont le nombre est supérieur à celui des élèves admis. Après avis de la commission administrative paritaire nationale, le directeur général du Centre national de gestion procède à la titularisation des élèves directeurs dans le corps et à leur nomination sur un des postes offerts, d'une part, sur proposition du directeur général de l'agence régionale de santé ou du représentant de l'Etat dans le département, selon le type d'établissement, pour les emplois de directeur et sur proposition du directeur pour les emplois d'adjoint et, d'autre part, compte tenu des choix exprimés par les élèves. Les élèves directeurs qui n'ont pas satisfait aux épreuves de l'examen de fin de formation sont, par arrêté du directeur général du Centre national de gestion, soit licenciés s'ils n'avaient pas déjà la qualité de fonctionnaire, soit remis à la disposition de leur administration d'origine. Sur proposition motivée du jury, ils peuvent toutefois être admis à recommencer la deuxième partie de leur formation d'une durée égale à la moitié de la durée totale du cycle selon des modalités fixées par arrêté du ministre chargé de la santé.
L'article 5 est ainsi modifié : 1° Le premier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Les candidats admis au cycle de formation sont nommés élèves directeurs par le directeur général du Centre national de gestion. Dès leur nomination et pendant l'ensemble de leur scolarité, ils sont rémunérés sur la base de l'indice brut correspondant à celui d'élève directeur de classe normale. Toutefois, les élèves directeurs qui avaient la qualité de fonctionnaire avant leur réussite au concours sont rémunérés sur la base de l'indice brut qu'ils détiennent dans leur corps, cadre d'emplois et grade d'appartenance à la date de leur nomination en tant qu'élève directeur, si cet indice est supérieur à celui d'élève directeur de classe normale. » ; 2° Dans la première phrase du quatrième alinéa, après le mot : « scolarité », sont ajoutés les mots : « dans les conditions fixées par arrêté des ministres chargés du budget, des affaires sociales et de la fonction publique ».
Les candidats admis au cycle de formation sont nommés élèves directeurs par le directeur général du Centre national de gestion. Dès leur nomination et pendant l'ensemble de leur scolarité, ils sont rémunérés sur la base de l'indice brut correspondant à celui d'élève directeur de classe normale. Toutefois, les élèves directeurs qui avaient la qualité de fonctionnaire avant leur réussite au concours sont rémunérés sur la base de l'indice brut qu'ils détiennent dans leur corps, cadre d'emplois et grade d'appartenance à la date de leur nomination en tant qu'élève directeur, si cet indice est supérieur à celui d'élève directeur de classe normale. Ceux d'entre eux qui choisissent d'effectuer un service national volontaire sont tenus de le faire avant de recevoir la formation théorique et pratique. Préalablement à leur entrée en formation, les élèves directeurs sont tenus de souscrire un engagement de servir dans les établissements mentionnés à l'article 1er du présent décret, pendant une durée de dix ans à compter de leur entrée en formation. Toutefois, sur décision du directeur général du Centre national de gestion, tout ou partie de cet engagement peut être accompli dans une administration relevant de l'Etat, dans une collectivité territoriale ou dans un établissement public à caractère administratif. La rupture de l'engagement entraîne le remboursement à l'Ecole des hautes études en santé publique du montant des traitements et indemnités perçus au cours de la scolarité dans les conditions fixées par arrêté des ministres chargés du budget, des affaires sociales et de la fonction publique. L'intéressé peut toutefois être dispensé de tout ou partie de cette obligation par arrêté du directeur général du Centre national de gestion. Les candidats admis au concours ayant effectué une formation de même niveau que le cycle de formation prévu à l'article 4 dans un Etat membre de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen autre que la France peuvent être dispensés par le directeur général du Centre national de gestion de le suivre pour tout ou partie, lorsque cette formation satisfait aux conditions fixées par le chapitre II du décret du 13 février 2007 susvisé. A titre exceptionnel et sur avis du directeur de l'Ecole des hautes études en santé publique, les élèves directeurs ayant accompli un temps de formation égal à la moitié de la durée totale du cycle et qui ne seraient pas jugés aptes par la commission administrative paritaire nationale à poursuivre leur formation sont, par arrêté du directeur général du Centre national de gestion, soit licenciés, soit remis à la disposition de leur administration d'origine. Les élèves directeurs qui ont satisfait aux épreuves de fin de formation sont de plein droit titulaires du certificat d'aptitude aux fonctions de directeur d'établissement ou de service d'intervention sociale, et sont inscrits, par ordre alphabétique, sur une liste d'aptitude. Le directeur général du Centre national de gestion arrête la liste des postes offerts, dont le nombre est supérieur à celui des élèves admis. Après avis de la commission administrative paritaire nationale, le directeur général du Centre national de gestion procède à la titularisation des élèves directeurs dans le corps et à leur nomination sur un des postes offerts, d'une part, sur proposition du directeur général de l'agence régionale de santé ou du représentant de l'Etat dans le département, selon le type d'établissement, pour les emplois de directeur et sur proposition du directeur pour les emplois d'adjoint et, d'autre part, compte tenu des choix exprimés par les élèves. Les élèves directeurs qui n'ont pas satisfait aux épreuves de l'examen de fin de formation sont, par arrêté du directeur général du Centre national de gestion, soit licenciés s'ils n'avaient pas déjà la qualité de fonctionnaire, soit remis à la disposition de leur administration d'origine. Sur proposition motivée du jury, ils peuvent toutefois être admis à recommencer la deuxième partie de leur formation d'une durée égale à la moitié de la durée totale du cycle selon des modalités fixées par arrêté du ministre chargé de la santé.
I.- Il est institué auprès du directeur général du Pôle emploi les commissions paritaires nationales suivantes : 1° Une commission paritaire nationale pour chacun des niveaux d'emplois I à IV B ; 2° Une commission paritaire nationale commune pour les niveaux d'emplois V A et V B. Les commissions paritaires nationales instituées pour les niveaux d'emploi IV B, V A et V B sont compétentes pour donner leur avis sur les décisions individuelles prises en application des dispositions du présent décret qui prévoient leur consultation. Les commissions paritaires nationales des niveaux d'emplois I à V B siègent en conseil de discipline. II.- Il est institué auprès de chaque directeur régional, des commissions paritaires locales compétentes pour donner un avis sur les décisions individuelles concernant les agents appartenant à chacun des niveaux d'emplois I à IV A prises en application des dispositions du présent décret qui prévoient leur consultation. III.- La composition, les attributions et les modalités de fonctionnement des commissions paritaires sont fixées par décision du directeur général. Les représentants du personnel à ces commissions sont désignés dans les conditions prévues aux articles L. 2314-21 à L. 2314-25 du code du travail. IV.- Pour l'application du présent article, seuls sont électeurs et éligibles les agents relevant du présent décret.
Le I et le II de l'article 4 du décret du 31 décembre 2003 susvisé sont remplacés par les dispositions suivantes : « I. ― Il est institué auprès du directeur général de Pôle emploi les commissions paritaires nationales suivantes : « 1° Une commission paritaire nationale pour chacun des niveaux d'emplois I à IV A ; « 2° Une commission paritaire nationale unique pour les niveaux d'emplois IV B, V A et V B. « La commission paritaire nationale unique pour les niveaux d'emplois IV B, V A et V B est compétente pour donner son avis sur les décisions individuelles prises en application des dispositions du présent décret qui prévoient sa consultation. Les commissions paritaires nationales des niveaux d'emplois I à V B siègent en conseil de discipline. « II. ― Il est institué auprès de chaque directeur régional, du directeur général adjoint des systèmes d'information et du directeur du siège des commissions paritaires uniques aux niveaux d'emplois I à IV A. Ces commissions sont compétentes pour donner un avis sur les décisions individuelles relatives aux agents relevant de ces niveaux pour lesquelles le présent décret prévoit leur consultation.»
I. - Il est institué auprès du directeur général de Pôle emploi les commissions paritaires nationales suivantes : 1° Une commission paritaire nationale pour chacun des niveaux d'emplois I à IV A ; 2° Une commission paritaire nationale unique pour les niveaux d'emplois IV B, V A et V B. La commission paritaire nationale unique pour les niveaux d'emplois IV B, V A et V B est compétente pour donner son avis sur les décisions individuelles prises en application des dispositions du présent décret qui prévoient sa consultation. Les commissions paritaires nationales des niveaux d'emplois I à V B siègent en conseil de discipline. II. - Il est institué auprès de chaque directeur régional, du directeur général adjoint des systèmes d'information et du directeur du siège des commissions paritaires uniques aux niveaux d'emplois I à IV A. Ces commissions sont compétentes pour donner un avis sur les décisions individuelles relatives aux agents relevant de ces niveaux pour lesquelles le présent décret prévoit leur consultation. III.- La composition, les attributions et les modalités de fonctionnement des commissions paritaires sont fixées par décision du directeur général. Les représentants du personnel à ces commissions sont désignés dans les conditions prévues aux articles L. 2314-21 à L. 2314-25 du code du travail. IV.- Pour l'application du présent article, seuls sont électeurs et éligibles les agents relevant du présent décret.
I. - Le conseil d'orientation comprend, outre son président, les vingt- trois membres suivants : 1° Au titre des services de l'Etat : - le directeur général des douanes et des droits indirects ou son représentant ; - le directeur général des finances publiques ou son représentant ; - le directeur général du Trésor ou son représentant ; - le directeur général de la police nationale ou son représentant ; - le directeur général de la gendarmerie nationale ou son représentant ; - le directeur des affaires civiles et du sceau ou son représentant ; - le directeur des affaires criminelles et des grâces ou son représentant ; - le directeur des affaires stratégiques, de sécurité et du désarmement ou son représentant ; - le directeur du service à compétence nationale TRACFIN ou son représentant. 2° Au titre des autorités de contrôle : - le directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ou son représentant ; - le secrétaire général de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ou son représentant ; - le secrétaire général de l'Autorité des marchés financiers ou son représentant ; - le chef du service central des courses et jeux ou son représentant ; - le directeur général de l'Autorité de régulation des jeux en ligne ou son représentant ; - un représentant du Conseil national des barreaux ; - un représentant du Conseil supérieur du notariat ; - un représentant de la Chambre nationale des huissiers de justice ; - un représentant du Conseil national des administrateurs judiciaires et mandataires judiciaires ; - un représentant de la Chambre nationale des commissaires- priseurs judiciaires ; - un représentant de l'ordre des avocats au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation ; - un représentant du Conseil supérieur de l'ordre des experts- comptables ; - un représentant du haut Conseil du commissariat aux comptes ; - un représentant du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques. II. - Le conseil associe à ses travaux, en tant que de besoin, des représentants des professions mentionnées à l'article L. 561-2. Il peut y associer des personnalités qualifiées.
Le I de l'article D. 561-53 est ainsi modifié : 1° Au premier alinéa, le mot : « vingt- trois » est remplacé par le mot : « vingt- quatre » ; 2° Au 2° : a) Au premier alinéa, après les mots : « autorités de contrôle », sont ajoutés les mots : « et de sanction » ; b) Après le sixième alinéa sont insérés deux alinéas ainsi rédigés : «- le directeur général du haut conseil du commissariat aux comptes ou son représentant ; «- le président de la Commission nationale des sanctions ou son représentant ; » c) Le quatorzième alinéa est supprimé.
I. - Le conseil d'orientation comprend, outre son président, les vingt- quatre membres suivants : 1° Au titre des services de l'Etat : - le directeur général des douanes et des droits indirects ou son représentant ; - le directeur général des finances publiques ou son représentant ; - le directeur général du Trésor ou son représentant ; - le directeur général de la police nationale ou son représentant ; - le directeur général de la gendarmerie nationale ou son représentant ; - le directeur des affaires civiles et du sceau ou son représentant ; - le directeur des affaires criminelles et des grâces ou son représentant ; - le directeur des affaires stratégiques, de sécurité et du désarmement ou son représentant ; - le directeur du service à compétence nationale TRACFIN ou son représentant. 2° Au titre des autorités de contrôle et de sanction : - le directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ou son représentant ; - le secrétaire général de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ou son représentant ; - le secrétaire général de l'Autorité des marchés financiers ou son représentant ; - le chef du service central des courses et jeux ou son représentant ; - le directeur général de l'Autorité de régulation des jeux en ligne ou son représentant ; - le directeur général du haut conseil du commissariat aux comptes ou son représentant ; - le président de la Commission nationale des sanctions ou son représentant ; - un représentant du Conseil national des barreaux ; - un représentant du Conseil supérieur du notariat ; - un représentant de la Chambre nationale des huissiers de justice ; - un représentant du Conseil national des administrateurs judiciaires et mandataires judiciaires ; - un représentant de la Chambre nationale des commissaires- priseurs judiciaires ; - un représentant de l'ordre des avocats au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation ; - un représentant du Conseil supérieur de l'ordre des experts- comptables ; - un représentant du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques. II. - Le conseil associe à ses travaux, en tant que de besoin, des représentants des professions mentionnées à l'article L. 561-2. Il peut y associer des personnalités qualifiées.
(1) Ces annexes peuvent être consultées ou téléchargées auprès de l'UCEM, Ecole nationale supérieure maritime, rue Gabriel- Péri, BP 90303, 44103 Nantes Cedex 4 (mél : UCEM@developpement- durable.gouv.fr, site internet : www.ucem- nantes.fr).
L'arrêté du 24 juillet 2013 susvisé est ainsi modifié : 1° Après l'article 16, sont insérés un nouveau titre et un nouvel article ainsi rédigés : « Titre IV- I « CONDITIONS DE RECYCLAGE DES TITRES REQUIS À BORD DES NAVIRES SOUMIS AU RECUEIL IGF « Art. 16-1.- Pour l'exercice de fonctions à bord des navires soumis au recueil IGF, le titulaire d'un certificat figurant ci- dessous doit, tous les cinq ans, pour prouver le maintien de sa compétence professionnelle, avoir suivi, dans les douze mois précédant sa demande de revalidation, une formation de recyclage dans les conditions fixées aux articles 6 et 8 du présent arrêté. Liste des certificats soumis à un recyclage quinquennal : « Certificat de formation de base pour le service à bord de navires soumis au recueil IGF ; « Certificat de formation avancée pour le service à bord de navires soumis au recueil IGF. » 2° L'annexe II est ainsi modifiée : 1. Après les mots : « Appendice 18 : Programme des tests et stages de revalidation des certificats de formation avancée pour les navires exploités dans les eaux polaires » et avant les mots : « Aux fins de la présente annexe » sont insérés deux alinéas ainsi rédigés : «- Appendice 19 : Programme des tests et stages de revalidation des certificats de formation de base pour le service à bord de navires soumis au recueil IGF «- Appendice 20 : Programme des tests et stages de revalidation des certificats de formation avancée pour le service à bord de navires soumis au recueil IGF » ; 2. Après l'appendice 18 sont ajoutés deux appendices 19 et 20, figurant en annexe IV (1) du présent arrêté.
(1) Ces annexes peuvent être consultées ou téléchargées auprès de l'UCEM, Ecole nationale supérieure maritime, rue Gabriel- Péri, BP 90303, 44103 Nantes Cedex 4 (mél : UCEM@developpement- durable.gouv.fr, site internet : www.ucem- nantes.fr).
I. - Le Comité consultatif du Fonds pour le développement de la vie associative est consulté chaque année sur les priorités de financement en matière de formations. Il comprend parmi ses membres un député et un sénateur. II. - Les missions, la composition, l'organisation et le fonctionnement du comité sont précisés par décret.
I.- Le I de l'article 27 de la loi n° 2018-699 du 3 août 2018 visant à garantir la présence des parlementaires dans certains organismes extérieurs au Parlement et à simplifier les modalités de leur nomination est complété par trois alinéas ainsi rédigés : « Chaque collège départemental consultatif de la commission régionale du fonds ou, le cas échéant, chaque commission territoriale du fonds exerçant les mêmes compétences comprend l'ensemble des députés et sénateurs élus dans le département ou dans la collectivité de Corse ou dans les collectivités régies par les articles 73,74 et 76 de la Constitution lorsque le département ou la collectivité compte moins de cinq parlementaires. « Lorsque cinq parlementaires ou plus sont élus dans le département ou dans la collectivité, le collège départemental ou, le cas échéant, la commission territoriale exerçant les mêmes compétences comprend deux députés et deux sénateurs ainsi qu'un suppléant ayant la même qualité de député ou de sénateur pour chacun d'eux, tant que le nombre de parlementaires élus dans le département le permet. « Le représentant de l'Etat dans le département communique aux membres du collège, cinq jours francs avant toute réunion, une note explicative de synthèse sur les affaires inscrites à l'ordre du jour. Cette note est communiquée dans les mêmes délais aux parlementaires élus dans le département. » II.- Le I s'applique à compter du 1er janvier suivant la publication de la présente loi.
I. - Le Comité consultatif du Fonds pour le développement de la vie associative est consulté chaque année sur les priorités de financement en matière de formations. Il comprend parmi ses membres un député et un sénateur. Chaque collège départemental consultatif de la commission régionale du fonds ou, le cas échéant, chaque commission territoriale du fonds exerçant les mêmes compétences comprend l'ensemble des députés et sénateurs élus dans le département ou dans la collectivité de Corse ou dans les collectivités régies par les articles 73,74 et 76 de la Constitution lorsque le département ou la collectivité compte moins de cinq parlementaires. Lorsque cinq parlementaires ou plus sont élus dans le département ou dans la collectivité, le collège départemental ou, le cas échéant, la commission territoriale exerçant les mêmes compétences comprend deux députés et deux sénateurs ainsi qu'un suppléant ayant la même qualité de député ou de sénateur pour chacun d'eux, tant que le nombre de parlementaires élus dans le département le permet. Le représentant de l'Etat dans le département communique aux membres du collège, cinq jours francs avant toute réunion, une note explicative de synthèse sur les affaires inscrites à l'ordre du jour. Cette note est communiquée dans les mêmes délais aux parlementaires élus dans le département. II. - Les missions, la composition, l'organisation et le fonctionnement du comité sont précisés par décret.
Une sage- femme ne doit pas s'installer dans un immeuble où exerce une autre sage- femme sans l'agrément du conseil départemental. Le silence gardé par le conseil départemental vaut autorisation tacite à l'expiration d'un délai de deux mois à compter de la date de réception de la demande.
L'article R. 4127-347 du code de la santé publique est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 4127-347. - Une sage- femme ne doit pas s'installer dans un immeuble où exerce une autre sage- femme sans l'accord de celle- ci ou, à défaut, sans l'autorisation du conseil départemental de l'ordre. Cette autorisation ne peut être refusée que pour des motifs tirés d'un risque de confusion pour le public. « Le silence gardé par le conseil départemental vaut autorisation tacite à l'expiration d'un délai de deux mois à compter de la réception de la demande. »
Une sage- femme ne doit pas s'installer dans un immeuble où exerce une autre sage- femme sans l'accord de celle- ci ou, à défaut, sans l'autorisation du conseil départemental de l'ordre. Cette autorisation ne peut être refusée que pour des motifs tirés d'un risque de confusion pour le public. Le silence gardé par le conseil départemental vaut autorisation tacite à l'expiration d'un délai de deux mois à compter de la réception de la demande.
Sauf dans le cas prévu à l'article R. 516-1, lorsqu'une installation classée change d'exploitant, le nouvel exploitant en fait la déclaration au préfet dans le mois qui suit la prise en charge de l'exploitation. Cette déclaration mentionne, s'il s'agit d'une personne physique, les nom, prénoms et domicile du nouvel exploitant et, s'il s'agit d'une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, sa forme juridique, l'adresse de son siège social ainsi que la qualité du signataire de la déclaration. Il est délivré un récépissé sans frais de cette déclaration.
L'article R. 512-68 du code de l'environnement est ainsi modifié : 1° Le premier alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Un arrêté du ministre chargé des installations classées fixe le modèle national de cette déclaration et précise les conditions dans lesquelles elle est transmise par voie électronique. Ce modèle n'est pas utilisable lorsque le changement d'exploitant concerne une installation soumise au régime de la déclaration incluse dans un établissement qui comporte au moins une installation soumise au régime de l'autorisation ou de l'enregistrement » ; 2° Au deuxième alinéa, les mots : « signataire de la déclaration » sont remplacés par le mot : « déclarant ».
Sauf dans le cas prévu à l'article R. 516-1, lorsqu'une installation classée change d'exploitant, le nouvel exploitant en fait la déclaration au préfet dans le mois qui suit la prise en charge de l'exploitation. Un arrêté du ministre chargé des installations classées fixe le modèle national de cette déclaration et précise les conditions dans lesquelles elle est transmise par voie électronique. Ce modèle n'est pas utilisable lorsque le changement d'exploitant concerne une installation soumise au régime de la déclaration incluse dans un établissement qui comporte au moins une installation soumise au régime de l'autorisation ou de l'enregistrement Cette déclaration mentionne, s'il s'agit d'une personne physique, les nom, prénoms et domicile du nouvel exploitant et, s'il s'agit d'une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, sa forme juridique, l'adresse de son siège social ainsi que la qualité du déclarant. Il est délivré un récépissé sans frais de cette déclaration.
La signalisation des véhicules sera réalisée Par au moins soit un feu tournant, soit un feu à tube à décharge. Dans le cas où le chargement ou la configuration du véhicule ne permet pas la visibilité du feu tournant ou du feu à tube à décharge dans tous les azimuts, ce feu sera placé à l'avant du véhicule, et au choix un deuxième feu tournant ou tube à décharge, ou deux feux clignotants seront placés dans la partie arrière. En aucun cas le nombre de feux spéciaux montés sur les véhicules ne devra excéder quatre feux tournants ou tube à décharge et quatre feux clignotants.
Le dernier alinéa de l'article 5 de l'arrêté du 4 juillet 1972 susvisé est remplacé par l'alinéa suivant : « A l'exception des véhicules engins de service hivernal remorqués, le nombre de feux spéciaux montés sur les véhicules n'excède pas quatre feux tournants ou tube à décharge et quatre feux clignotants. ».
La signalisation des véhicules sera réalisée Par au moins soit un feu tournant, soit un feu à tube à décharge. Dans le cas où le chargement ou la configuration du véhicule ne permet pas la visibilité du feu tournant ou du feu à tube à décharge dans tous les azimuts, ce feu sera placé à l'avant du véhicule, et au choix un deuxième feu tournant ou tube à décharge, ou deux feux clignotants seront placés dans la partie arrière. A l'exception des véhicules engins de service hivernal remorqués, le nombre de feux spéciaux montés sur les véhicules n'excède pas quatre feux tournants ou tube à décharge et quatre feux clignotants.
1. La composition des aliments diététiques destinés à des fins médicales spéciales, autres que ceux spécifiquement destinés aux nourrissons, est conforme aux spécifications figurant à l'annexe 2 du présent arrêté. 2. L'apport des vitamines et des sels minéraux dans la fabrication de ces produits est réalisé conformément aux dispositions de l'arrêté du 4 août 1986 susvisé, article 4 (alinéa 2), et du présent arrêté.
1. Le dernier alinéa de l'article 3 de l'arrêté du 20 septembre 2000 susvisé est modifié comme suit : « Dans la fabrication de ces produits, seuls peuvent être utilisés les vitamines et les minéraux mentionnés à l'annexe III de l'arrêté du 5 juin 2003, dans les conditions qui y sont fixées et conformément aux dispositions de l'arrêté du 1er juillet 1976 susvisé et du présent arrêté. » 2. Le paragraphe 2 de l'article 4 de l'arrêté du 20 septembre 2000 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Seuls les vitamines et les minéraux énumérés à l'annexe III de l'arrêté du 5 juin 2003 peuvent être utilisés dans la fabrication de ces produits, dans les conditions qui y sont fixées et conformément aux dispositions du présent arrêté. »
1. La composition des aliments diététiques destinés à des fins médicales spéciales, autres que ceux spécifiquement destinés aux nourrissons, est conforme aux spécifications figurant à l'annexe 2 du présent arrêté. 2. Seuls les vitamines et les minéraux énumérés à l'annexe III de l'arrêté du 5 juin 2003 peuvent être utilisés dans la fabrication de ces produits, dans les conditions qui y sont fixées et conformément aux dispositions du présent arrêté.
Les articles R. 235-1 à R. 235-13 sont applicables dans les îles Wallis et Futuna dans la rédaction suivante : "Art. R. 235-1 - En vue de procéder aux épreuves de dépistage et, le cas échéant, aux analyses et examens médicaux, cliniques et biologiques prévus par l'article L. 235-2, le délai séparant, d'une part, l'heure de l'accident et, d'autre part, l'heure de l'épreuve de dépistage et, le cas échéant, des analyses et examens précités doit être le plus court possible. "Art. R. 235-2 - Pour l'application de l'article L. 235-2, doit être regardé comme étant un accident mortel de la circulation celui qui a des conséquences immédiatement mortelles. "Art. R. 235-3 - Les épreuves de dépistage prévues par l'article L. 235-2 sont effectuées par un médecin ou un biologiste, requis à cet effet par un officier ou agent de police judiciaire qui leur fournit les matériels nécessaires au dépistage. "Art. R. 235-4 - Les épreuves de dépistage réalisées à la suite d'un recueil de liquide biologique sont effectuées conformément aux méthodes et dans les conditions prescrites par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, qui précise notamment les critères de choix des réactifs et le modèle des fiches présentant les résultats. "Ces fiches sont remises à l'officier ou l'agent de police judiciaire mentionné à l'article R. 235-3. "Art. R. 235-5 - Les analyses et examens médicaux, cliniques et biologiques prévus à l'article L. 235-2 comportent les opérations suivantes : "- examen clinique ; "- prélèvement biologique ; "- recherche et dosage des stupéfiants. "Art. R. 235-6 - L'examen clinique et le prélèvement biologique sont effectués par un médecin requis à cet effet par un officier ou un agent de police judiciaire. Le prélèvement biologique peut également être effectué par un biologiste requis dans les mêmes conditions. "Ce praticien effectue le prélèvement biologique à l'aide d'un nécessaire mis à sa disposition par un officier ou un agent de police judiciaire, en se conformant aux méthodes prescrites par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. "Un officier ou un agent de police judiciaire assiste au prélèvement biologique. "Art. R. 235-7 - Le prélèvement biologique est réparti entre deux flacons étiquetés et scellés par un officier ou agent de police judiciaire. "Art. R. 235-8 - En cas de décès du ou des conducteurs impliqués, le prélèvement des échantillons biologiques et l'examen du corps sont effectués soit dans les conditions fixées par les articles R. 235-5 et R. 235-6, soit par un médecin légiste au cours de l'autopsie judiciaire. "Les méthodes particulières de prélèvement et de conservation des échantillons biologiques applicables en cas de décès du ou des conducteurs impliqués sont fixées par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. "Art. R. 235-9 - L'officier ou l'agent de police judiciaire adresse les deux échantillons biologiques prélevés, accompagnés des résultats des épreuves de dépistage, à un expert inscrit sous une rubrique spéciale en toxicologie, sur la liste de la cour d'appel, ou à un laboratoire de police technique et scientifique. "Le laboratoire ou l'expert conserve un des deux flacons mentionnés à l'article R. 235-7 en vue d'une demande éventuelle d'un examen technique ou d'une expertise. Les conditions dans lesquelles est conservé cet échantillon sont fixées par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. "Art. R. 235-10 - La recherche et le dosage des produits stupéfiants sont pratiqués dans les conditions définies par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. "Les résultats des analyses et examens médicaux, cliniques et biologiques sont consignés sur les fiches mentionnées à l'article R. 235-4. Ces fiches sont ensuite transmises à l'officier ou à l'agent de police judiciaire ayant assisté au prélèvement biologique. "Art. R. 235-11 - Le conducteur peut demander au procureur de la République, au juge d'instruction ou à la juridiction de jugement qu'il soit procédé à un examen technique ou à une expertise en application des articles 60, 77-1 et 156 du code de procédure pénale. "De même, le conducteur peut demander qu'il soit procédé, dans les mêmes conditions, à la recherche de l'usage des médicaments psychoactifs pouvant avoir des effets sur la capacité de conduire le véhicule. "En cas d'examen technique ou d'expertise, ceux- ci sont confiés à un autre laboratoire ou à un autre expert répondant aux conditions fixées par l'article R. 235-9. Celui- ci pratique l'expertise de contrôle en se conformant aux méthodes prescrites en application de l'article R. 235-10. "La consignation et la transmission de ces résultats sont effectuées dans les conditions mentionnées à l'article R. 235-10. "Art. R. 235-12 - Les honoraires et indemnités de déplacement afférents aux épreuves de dépistage et aux examens cliniques, médicaux et biologiques prévus aux articles R. 235-4 et R. 235-6 sont calculés par référence aux articles R. 110, R. 111 et R. 117 (1°, c et e) du code de procédure pénale, dans leurs versions applicables localement tirées des articles R. 317 et R. 321 de ce même code. "Lorsqu'il est procédé à un examen clinique et à un prélèvement biologique en application des dispositions de l'article R. 235-6 du code des débits de boissons et des mesures contre l'alcoolisme, il n'est dû qu'une seule indemnité de déplacement et les honoraires pour un seul acte. "Les frais afférents aux examens de laboratoire prévus par les articles R. 235-10 et R. 235-11 relatifs à la recherche et au dosage des produits stupéfiants et, le cas échéant, les frais afférents à la recherche des médicaments psychoactifs sont fixés par référence aux 10° et 11° de l'article R. 118 du code de procédure pénale. "Les frais afférents à l'acquisition des matériels de recueil et de dépistage prévus par l'article R. 235-3 sont fixés par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé du budget. "Art. R. 235-13 - Les dépenses visées à l'article précédent constituent des frais de justice criminelle, correctionnelle et de police. "Le paiement de ces frais a lieu conformément aux dispositions du titre X du livre V du code de procédure pénale."
Dans le chapitre V, les dispositions de l'article R. 245-2 du code de la route sont modifiées par les dispositions suivantes : 1° Le quatrième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 235-3.- Les épreuves de dépistage prévues par l'article L. 235-2 sont effectuées par un médecin ou un biologiste, requis à cet effet par un officier ou agent de police judiciaire, qui leur fournit les matériels nécessaires au dépistage lorsqu'il s'agit d'un recueil urinaire. Ces épreuves sont effectuées par un officier ou agent de police judiciaire dans les conditions prévues à l'alinéa précédent, lorsqu'il s'agit d'un recueil salivaire. » ; 2° Le cinquième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 235-4.- Les épreuves de dépistage réalisées à la suite d'un recueil de liquide biologique sont effectuées conformément aux méthodes et dans les conditions prescrites par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, qui tient compte des particularités locales et qui précise notamment les critères de choix des réactifs et le modèle des fiches présentant les résultats. Lorsqu'il s'agit d'un recueil salivaire, cet arrêté est également pris par le ministre de la justice, par le ministre de l'intérieur et par le ministre chargé de l'outre- mer. » ; 3° Le sixième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Ces fiches sont remises à l'officier ou l'agent de police judiciaire ou complétées par ces derniers lorsqu'il s'agit d'un recueil salivaire. » ; 4° Aux douzième, seizième, dix- huitième et dix- neuvième alinéas, après les mots : « après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé », sont insérés les mots : «, qui tient compte des particularités locales » ; 5° Au vingt- sixième alinéa, les mots : « du code des débits de boissons et des mesures contre l'alcoolisme » sont supprimés ; 6° Après le vingt- huitième alinéa, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux recueils salivaires. »
Les articles R. 235-1 à R. 235-13 sont applicables dans les îles Wallis et Futuna dans la rédaction suivante : " Art. R. 235-1- En vue de procéder aux épreuves de dépistage et, le cas échéant, aux analyses et examens médicaux, cliniques et biologiques prévus par l'article L. 235-2, le délai séparant, d'une part, l'heure de l'accident et, d'autre part, l'heure de l'épreuve de dépistage et, le cas échéant, des analyses et examens précités doit être le plus court possible. " Art. R. 235-2- Pour l'application de l'article L. 235-2, doit être regardé comme étant un accident mortel de la circulation celui qui a des conséquences immédiatement mortelles. " Art. R. 235-3.- Les épreuves de dépistage prévues par l'article L. 235-2 sont effectuées par un médecin ou un biologiste, requis à cet effet par un officier ou agent de police judiciaire, qui leur fournit les matériels nécessaires au dépistage lorsqu'il s'agit d'un recueil urinaire. Ces épreuves sont effectuées par un officier ou agent de police judiciaire dans les conditions prévues à l'alinéa précédent, lorsqu'il s'agit d'un recueil salivaire. " Art. R. 235-4.- Les épreuves de dépistage réalisées à la suite d'un recueil de liquide biologique sont effectuées conformément aux méthodes et dans les conditions prescrites par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, qui tient compte des particularités locales et qui précise notamment les critères de choix des réactifs et le modèle des fiches présentant les résultats. Lorsqu'il s'agit d'un recueil salivaire, cet arrêté est également pris par le ministre de la justice, par le ministre de l'intérieur et par le ministre chargé de l'outre- mer. " Ces fiches sont remises à l'officier ou l'agent de police judiciaire ou complétées par ces derniers lorsqu'il s'agit d'un recueil salivaire. " Art. R. 235-5- Les analyses et examens médicaux, cliniques et biologiques prévus à l'article L. 235-2 comportent les opérations suivantes : "- examen clinique ; "- prélèvement biologique ; "- recherche et dosage des stupéfiants. " Art. R. 235-6- L'examen clinique et le prélèvement biologique sont effectués par un médecin requis à cet effet par un officier ou un agent de police judiciaire. Le prélèvement biologique peut également être effectué par un biologiste requis dans les mêmes conditions. " Ce praticien effectue le prélèvement biologique à l'aide d'un nécessaire mis à sa disposition par un officier ou un agent de police judiciaire, en se conformant aux méthodes prescrites par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, qui tient compte des particularités locales. " Un officier ou un agent de police judiciaire assiste au prélèvement biologique. " Art. R. 235-7- Le prélèvement biologique est réparti entre deux flacons étiquetés et scellés par un officier ou agent de police judiciaire. " Art. R. 235-8- En cas de décès du ou des conducteurs impliqués, le prélèvement des échantillons biologiques et l'examen du corps sont effectués soit dans les conditions fixées par les articles R. 235-5 et R. 235-6, soit par un médecin légiste au cours de l'autopsie judiciaire. " Les méthodes particulières de prélèvement et de conservation des échantillons biologiques applicables en cas de décès du ou des conducteurs impliqués sont fixées par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, qui tient compte des particularités locales. " Art. R. 235-9- L'officier ou l'agent de police judiciaire adresse les deux échantillons biologiques prélevés, accompagnés des résultats des épreuves de dépistage, à un expert inscrit sous une rubrique spéciale en toxicologie, sur la liste de la cour d'appel, ou à un laboratoire de police technique et scientifique. " Le laboratoire ou l'expert conserve un des deux flacons mentionnés à l'article R. 235-7 en vue d'une demande éventuelle d'un examen technique ou d'une expertise. Les conditions dans lesquelles est conservé cet échantillon sont fixées par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, qui tient compte des particularités locales. " Art. R. 235-10- La recherche et le dosage des produits stupéfiants sont pratiqués dans les conditions définies par un arrêté du ministre chargé de la santé, après avis du directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, qui tient compte des particularités locales. " Les résultats des analyses et examens médicaux, cliniques et biologiques sont consignés sur les fiches mentionnées à l'article R. 235-4. Ces fiches sont ensuite transmises à l'officier ou à l'agent de police judiciaire ayant assisté au prélèvement biologique. " Art. R. 235-11- Le conducteur peut demander au procureur de la République, au juge d'instruction ou à la juridiction de jugement qu'il soit procédé à un examen technique ou à une expertise en application des articles 60,77-1 et 156 du code de procédure pénale. " De même, le conducteur peut demander qu'il soit procédé, dans les mêmes conditions, à la recherche de l'usage des médicaments psychoactifs pouvant avoir des effets sur la capacité de conduire le véhicule. " En cas d'examen technique ou d'expertise, ceux- ci sont confiés à un autre laboratoire ou à un autre expert répondant aux conditions fixées par l'article R. 235-9. Celui- ci pratique l'expertise de contrôle en se conformant aux méthodes prescrites en application de l'article R. 235-10. " La consignation et la transmission de ces résultats sont effectuées dans les conditions mentionnées à l'article R. 235-10. " Art. R. 235-12- Les honoraires et indemnités de déplacement afférents aux épreuves de dépistage et aux examens cliniques, médicaux et biologiques prévus aux articles R. 235-4 et R. 235-6 sont calculés par référence aux articles R. 110, R. 111 et R. 117 (1°, c et e) du code de procédure pénale, dans leurs versions applicables localement tirées des articles R. 317 et R. 321 de ce même code. " Lorsqu'il est procédé à un examen clinique et à un prélèvement biologique en application des dispositions de l'article R. 235-6, il n'est dû qu'une seule indemnité de déplacement et les honoraires pour un seul acte. " Les frais afférents aux examens de laboratoire prévus par les articles R. 235-10 et R. 235-11 relatifs à la recherche et au dosage des produits stupéfiants et, le cas échéant, les frais afférents à la recherche des médicaments psychoactifs sont fixés par référence aux 10° et 11° de l'article R. 118 du code de procédure pénale. " Les frais afférents à l'acquisition des matériels de recueil et de dépistage prévus par l'article R. 235-3 sont fixés par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé du budget. Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux recueils salivaires. " Art. R. 235-13- Les dépenses visées à l'article précédent constituent des frais de justice criminelle, correctionnelle et de police. " Le paiement de ces frais a lieu conformément aux dispositions du titre X du livre V du code de procédure pénale. "
1. L'échelonnement indiciaire applicable aux agents techniques de Mayotte régis par le décret n° 2005-138 du 17 février 2005 susvisé est fixé ainsi qu'il suit : GRADES ET ÉCHELONS INDICES BRUTS Agent technique principal 5e échelon 250 4e échelon 222 3e échelon 190 2e échelon 169 1er échelon 128 Agent technique 8e échelon 237 7e échelon 209 6e échelon 178 5e échelon 149 4e échelon 127 3e échelon 117 2e échelon 108 1er échelon 100 2. L'échelonnement indiciaire applicable aux agents administratifs de Mayotte régis par le décret n° 2005-139 du 17 février 2005 susvisé est fixé ainsi qu'il suit : GRADES ET ÉCHELONS INDICES BRUTS Agent administratif principal 5e échelon 250 4e échelon 222 3e échelon 190 2e échelon 169 1er échelon 128 Agent administratif 8e échelon 237 7e échelon 209 6e échelon 178 5e échelon 149 4e échelon 127 3e échelon 117 2e échelon 108 1er échelon 100
L'article 10 du décret du 22 août 2008 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 10.-1.L'échelonnement indiciaire applicable aux agents techniques des administrations de l'Etat à Mayotte régis par le décret n° 2005-138 du 17 février 2005 susvisé est fixé ainsi qu'il suit : GRADE UNIQUE INDICES BRUTS 6e échelon 250 5e échelon 235 4e échelon 221 3e échelon 209 2 échelon 199 1er échelon 184 2.L'échelonnement indiciaire applicable aux agents administratifs des administrations de l'Etat à Mayotte régis par le décret n° 2005-139 du 17 février 2005 susvisé est fixé ainsi qu'il suit : GRADE UNIQUE INDICES BRUTS 6e échelon 250 5e échelon 235 4e échelon 221 3e échelon 209 2 échelon 199 1er échelon 184
1.L'échelonnement indiciaire applicable aux agents techniques des administrations de l'Etat à Mayotte régis par le décret n° 2005-138 du 17 février 2005 susvisé est fixé ainsi qu'il suit : GRADE UNIQUE INDICES BRUTS 6e échelon 250 5e échelon 235 4e échelon 221 3e échelon 209 2 échelon 199 1er échelon 184 2.L'échelonnement indiciaire applicable aux agents administratifs des administrations de l'Etat à Mayotte régis par le décret n° 2005-139 du 17 février 2005 susvisé est fixé ainsi qu'il suit : GRADE UNIQUE INDICES BRUTS 6e échelon 250 5e échelon 235 4e échelon 221 3e échelon 209 2 échelon 199 1er échelon 184
Pour l'attribution de la prime à la naissance ou à l'adoption prévue à l'article L. 531-2 et de l'allocation de base mentionnée à l'article L. 531-3, le montant des ressources du ménage ou de la personne, apprécié dans les conditions prévues à l'article R. 532-1, ne doit pas dépasser un plafond annuel. Ce plafond est majoré de 22 % par enfant à charge. Il est également majoré lorsque les deux membres du couple ont retiré chacun de leur activité professionnelle pendant l'année de référence un revenu au moins égal à 13,6 % du plafond annuel de la sécurité sociale en vigueur au 1er janvier de la même année. Sont pris en compte les revenus d'origine professionnelle compris dans les ressources définies à l'article R. 532-3. Le plafond de ressources de la personne assumant seule la charge des enfants est majoré d'un montant identique. Le plafond de ressources et la majoration prévus aux premier et troisième alinéas sont revalorisés au 1er janvier de chaque année conformément à l'évolution en moyenne annuelle des prix à la consommation hors tabac de l'année civile de référence, par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale. L'allocation de base est attribuée à taux plein lorsque le montant des ressources du ménage ou de la personne ne dépasse pas un plafond, inférieur à celui mentionné au premier alinéa, et majoré dans les conditions définies aux deuxième et troisième alinéas. L'allocation de base est attribuée à taux partiel dans les autres cas. Pour l'ouverture des droits à la prime à la naissance ou à l'adoption, la situation de la famille est appréciée le premier jour du mois civil suivant le cinquième mois de la grossesse. Pour les enfants adoptés ou confiés en vue d'adoption, cette condition est appréciée le premier jour du mois de l'arrivée de l'enfant au foyer des adoptants.
Les cinq premiers alinéas de l'article R. 531-1 du code de la sécurité sociale sont remplacés par les dispositions suivantes : « Pour l'attribution de la prime à la naissance ou à l'adoption prévue à l'article L. 531-2 et de l'allocation de base mentionnée à l'article L. 531-3, les ressources annuelles du ménage ou de la personne s'apprécient dans les conditions prévues à l'article R. 532-1. « Les plafonds annuels respectifs de ces prestations sont majorés dans les conditions définies aux deuxième et troisième alinéas de l'article R. 522-2. « Ces plafonds ainsi que leur majoration respective mentionnée au dernier alinéa de l'article L. 531-2 et au premier alinéa de l'article L. 531-3 sont revalorisés au 1er janvier de chaque année conformément à l'évolution en moyenne annuelle des prix à la consommation hors tabac de l'année civile de référence, par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale. »
Pour l'attribution de la prime à la naissance ou à l'adoption prévue à l'article L. 531-2 et de l'allocation de base mentionnée à l'article L. 531-3, les ressources annuelles du ménage ou de la personne s'apprécient dans les conditions prévues à l'article R. 532-1. Les plafonds annuels respectifs de ces prestations sont majorés dans les conditions définies aux deuxième et troisième alinéas de l'article R. 522-2. Ces plafonds ainsi que leur majoration respective mentionnée au dernier alinéa de l'article L. 531-2 et au premier alinéa de l'article L. 531-3 sont revalorisés au 1er janvier de chaque année conformément à l'évolution en moyenne annuelle des prix à la consommation hors tabac de l'année civile de référence, par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale. Pour l'ouverture des droits à la prime à la naissance ou à l'adoption, la situation de la famille est appréciée le premier jour du mois civil suivant le cinquième mois de la grossesse. Pour les enfants adoptés ou confiés en vue d'adoption, cette condition est appréciée le premier jour du mois de l'arrivée de l'enfant au foyer des adoptants.
La dernière session d'examen du baccalauréat professionnel spécialité Services de proximité et vie locale organisée conformément aux dispositions de l'arrêté du 30 mai 2005 cité à l'article 7 aura lieu en 2022. A l'issue de cette dernière session, cet arrêté est abrogé. A abrogé les dispositions suivantes : - Arrêté du 30 mai 2005 Art. 1, Art. 2, Art. 3, Art. 4, Art. 5, Art. 6, Art. 7, Art. 8, Art. 9, Art. 10
A l'article 9 de l'arrêté du 22 juillet 2019 susvisé, les mots : « A l'issue de cette dernière session, cet arrêté est abrogé. » sont remplacés par les mots : « Les candidats ajournés à la dernière session de l'examen en 2022 peuvent bénéficier d'une session supplémentaire en 2023, organisée conformément aux dispositions de l'arrêté du 30 mai 2005. A l'issue de cette session supplémentaire, l'arrêté du 30 mai 2005 est abrogé. »
La dernière session d'examen du baccalauréat professionnel spécialité Services de proximité et vie locale organisée conformément aux dispositions de l'arrêté du 30 mai 2005 cité à l'article 7 aura lieu en 2022. Les candidats ajournés à la dernière session de l'examen en 2022 peuvent bénéficier d'une session supplémentaire en 2023, organisée conformément aux dispositions de l'arrêté du 30 mai 2005. A l'issue de cette session supplémentaire, l'arrêté du 30 mai 2005 est abrogé. A abrogé les dispositions suivantes : - Arrêté du 30 mai 2005 Art. 1 , Art. 2 , Art. 3 , Art. 4 , Art. 5 , Art. 6 , Art. 7 , Art. 8 , Art. 9 , Art. 10
A l'exclusion des membres de droit, les membres du Conseil d'orientation des politiques de jeunesse, de ses commissions et formations restreintes sont nommés par arrêté du ministre chargé de la jeunesse pour une durée de trois ans renouvelable une fois. Les dispositions de l'article 74 de la loi du 4 août 2014 et du décret du 27 mars 2015 susvisés sont applicables au Conseil d'orientation des politiques de jeunesse. A l'exception des membres désignés au 1°, au e du 3°, aux c, e et f du 5°, aux a, b, c, d, e et g du 7° de l'article 3 qui peuvent être suppléés par un membre du service ou de l'organisme auquel ils appartiennent, sont désignés en même temps que les membres titulaires et selon les mêmes modalités, des suppléants appelés à les remplacer en cas d'absence ou d'empêchement temporaire. Les personnalités qualifiées mentionnées au 8° de l'article 3 ne peuvent être suppléées. En cas de vacance définitive d'un siège de membre titulaire ou suppléant, pour quelque cause que ce soit, il est procédé à la nomination d'un nouveau représentant, selon les mêmes formes, pour la durée du mandat restant à courir.
L'article 5 du même décret est ainsi modifié : 1° Au premier alinéa, les mots : « membres de droit » sont remplacés par les mots : « membres au titre du collège de l'Etat », et les mots : « formations restreintes » sont remplacés par les mots : « formations spécialisées » ; 2° Au troisième alinéa, les mots : « aux c, e et f du 5°, aux a, b, c, d, e et g du 7° de l'article 3 » sont remplacés par les mots : « aux e, f, g, h, i, j, k, l et m du 5° et aux a, b, c, d, e, g, h, i, j, k et l du 7° de l'article 3 ».
A l'exclusion des membres au titre du collège de l'Etat, les membres du Conseil d'orientation des politiques de jeunesse, de ses commissions et formations spécialisées sont nommés par arrêté du ministre chargé de la jeunesse pour une durée de trois ans renouvelable une fois. Les dispositions de l'article 74 de la loi du 4 août 2014 et du décret du 27 mars 2015 susvisés sont applicables au Conseil d'orientation des politiques de jeunesse. A l'exception des membres désignés au 1°, au e du 3°, aux e, f, g, h, i, j, k, l et m du 5° et aux a, b, c, d, e, g, h, i, j, k et l du 7° de l'article 3 qui peuvent être suppléés par un membre du service ou de l'organisme auquel ils appartiennent, sont désignés en même temps que les membres titulaires et selon les mêmes modalités, des suppléants appelés à les remplacer en cas d'absence ou d'empêchement temporaire. Les personnalités qualifiées mentionnées au 8° de l'article 3 ne peuvent être suppléées. En cas de vacance définitive d'un siège de membre titulaire ou suppléant, pour quelque cause que ce soit, il est procédé à la nomination d'un nouveau représentant, selon les mêmes formes, pour la durée du mandat restant à courir.
1. Secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales 1 180 2. Chef du service de l'inspection générale des affaires sociales DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Chef du service de l'inspection générale des affaires sociales 1 180 3. Chef du service de l'inspection générale de la jeunesse et des sports DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Chef du service de l'inspection générale de la jeunesse et des sports 1 140 4. Directeur général et directeur d'administration centrale, délégué général et délégué général adjoint, délégué DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Directeur général d'administration centrale Directeur général du travail 1 180 Directeur général de la santé 1 180 Directeur général de la cohésion sociale 1 180 Directeur général de l'offre de soins 1 180 Délégué général d'administration centrale Délégué général à l'emploi et à la formation professionnelle 1 180 Directeur d'administration centrale Secrétaire général adjoint chargé des ministères chargés des affaires sociales 1 150 Directeur, adjoint au directeur général de la santé 1 150 Directeur de l'animation de la recherche, des études et des statistiques 1 150 Directeur, adjoint au directeur général du travail 1 150 Directeur de la sécurité sociale 1 150 Directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques 1 150 Directeur des sports 1 150 Directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative 1 150 Directeur des ressources humaines 1 150 Directeur des finances, des achats et des services 1 150 Directeur des systèmes d'information 1 150 Directeur des affaires juridiques 1 150 Délégué d'administration centrale Délégué aux affaires européennes et internationales 1 140 Délégué à la stratégie des systèmes d'information de santé 1 140 Délégué à l'information et à la communication 1 120 5. Chef de service, sous- directeur, directeur de projet, expert de haut niveau DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Chef de service ou sous- directeur exerçant les fonctions de directeur général adjoint ou de directeur adjoint Chef de service, adjoint au délégué général à l'emploi et à la formation professionnelle 2 120 Chef de service, adjoint au directeur de l'animation, de la recherche, des études et des statistiques 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des ressources humaines 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des finances, des achats et des services 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des systèmes d'information 1 120 Chef de service, secrétaire général, direction générale de la santé (à compter du 11 avril 2016) 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des sports 1 120 Chef de service, adjoint au directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (à compter du 28 décembre 2015) 1 120 Chef de service, adjoint au directeur général de la cohésion sociale 3 120 Chef de service, adjoint au directeur général de l'offre de soins 1 120 Chef de service, adjoint au directeur de la sécurité sociale 2 120 Chef de service, adjoint au directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques 1 120 Chef de service auprès du secrétaire général des ministèreschargés des affaires sociales 1 120 Chef de service ou sous- directeur en charge d'un serviceou d'une sous- direction d'administration centrale ou d'un service à compétence nationale Chef de service, responsable du service des relations et des conditions de travail et du département des affaires générales et des prud'hommes, direction générale du travail 1 120 Direction générale du travail, sous- directeur des relations individuelles et collectives du travail 1 110 Direction générale du travail, sous- directeur des conditions de travail, de la santé et de la sécurité au travail 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur des politiques de formation et de contrôle 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur des mutations économiques et de la sécurisation de l'emploi 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur des parcours d'accès à l'emploi 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur du financement et de la modernisation (à compter du 1er janvier 2013) 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur du Fonds social européen 1 110 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur du suivi et de l'évaluation des politiques de l'emploi et de la formation professionnelle 1 110 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur de l'action régionale, de la diffusion et des moyens 1 110 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur des salaires, du travail et des relations professionnelles 1 80 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur de l'emploi et du marché du travail 1 80 Direction générale de la santé, sous- directeur de la politique des produits de santé et de la qualité des pratiques et des soins 1 110 Direction générale de la santé, sous- directeur de la santé des populations et de la prévention des maladies chroniques 1 110 Direction générale de la santé, sous- directeur de la prévention des risques liés à l'environnement et à l'alimentation 1 110 Direction générale de la santé, sous- directeur de la veille et de la sécurité sanitaire (à compter du 11 avril 2016) 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur des affaires financières et de la modernisation 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur de l'inclusion sociale, de l'insertion et de la lutte contre la pauvreté 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur de l'autonomie des personnes handicapées et des personnes âgées 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur de l'enfance et de la famille 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur des professions sociales, de l'emploi et des territoires 1 110 Direction générale de l'offre de soins, sous- directeur du pilotage de la performance des acteurs de l'offre de soins 1 110 Direction générale de l'offre de soins, sous- directeur des ressources humaines du système de santé 1 110 Direction générale de l'offre de soins, sous- directeur de la régulation de l'offre de soins 1 110 Direction générale de l'offre de soins : sous directeur de la stratégie et des ressources (à compter du 31 octobre 2014) 1 80 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur du financement du système de soins 1 110 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur du financement de la sécurité sociale 1 110 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur des études et des prévisions financières 1 110 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur de l'accès aux soins, des prestations familiales et des accidents du travail 1 80 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur des retraites et des institutions de la protection sociale complémentaire 1 80 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur de la gestion et des systèmes d'information 1 80 Direction des ressources humaines, sous- directeur du pilotage des ressources, du dialogue social et du droit des personnels 1 110 Direction des ressources humaines, sous- directeur des carrières, des parcours et de la rémunération des personnels 1 110 Direction des ressources humaines, sous- directeur de la qualité de la vie au travail 1 110 Direction des finances, des achats et des services, sous- directeur des services généraux et de l'immobilier 1 110 Direction des finances, des achats et des services, sous- directeur des affaires budgétaires 1 110 Direction des finances, des achats et des services, sous- directeur de la comptabilité et du contrôle de gestion 1 110 Direction des finances, des achats et des services : sous- directeur des achats et du développement durable (à compter du 14 mars 2017) 1 110 Direction des systèmes d'information, sous- directeur des projets des systèmes d'information 1 110 Direction des systèmes d'information, sous- directeur des infrastructures et du support utilisateurs 1 110 Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, sous- directeur de l'observation de la santé et de l'assurance maladie 1 80 Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, sous- directeur de l'observation de la solidarité 1 80 Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, sous- directeur des synthèses, des études économiques et de l'évaluation 1 80 Direction des sports, sous- directeur 3 110 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, sous- directeur des politiques de jeunesse et de vie associative (à compter du 28 décembre 2015) 1 110 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, sous- directeur de l'éducation populaire (à compter du 28 décembre 2015) 1 110 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, sous- directeur en charge du service à compétence nationale "Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire" (à compter du 28 décembre 2015) 1 80 Direction des affaires juridiques, sous- directeur, adjoint au directeur 1 110 Division des cabinets, sous- directeur, chef de la division (à compter du 22 juin 2015) 1 80 Directeur de projet et expert de haut niveau Secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales 3 80 Inspection générale des affaires sociales 1 80 Direction des ressources humaines 7 80 Direction générale de la santé 4 80 Direction générale de la cohésion sociale 3 80 Direction générale de l'offre de soins 3 80 Direction de la sécurité sociale 3 80 Direction des sports 2 80 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, expert de haut niveau 1 80 Direction des finances, des achats et des services : expert de haut niveau (à compter du 14 mars 2017) 1 80 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, expert de haut niveau ou directeur de projet 2 80 6. Président de mission DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Président de la mission interministérielle aux rapatriés 1 140
A la rubrique « Directeur de projet et expert de haut niveau », l'annexe de l'arrêté du 16 février 2015 susvisé est modifiée comme suit : 1. Les mentions : « Secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales 3 80 ». Sont remplacées par les mentions : « Secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales (à compter du 22 novembre 2017) 5 80 ». 2. Après les mentions : « Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, expert de haut niveau ou directeur de projet 1 80 ». Sont insérées les mentions : « Secrétaire général auprès du Haut- commissaire à la réforme des retraites, (à compter du 1er janvier 2018) 1 80 Secrétaire général adjoint auprès du Haut- commissaire à la réforme des retraites, (à compter du 1er janvier 2018) 1 70 ».
1. Secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales 1 180 2. Chef du service de l'inspection générale des affaires sociales DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Chef du service de l'inspection générale des affaires sociales 1 180 3. Chef du service de l'inspection générale de la jeunesse et des sports DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Chef du service de l'inspection générale de la jeunesse et des sports 1 140 4. Directeur général et directeur d'administration centrale, délégué général et délégué général adjoint, délégué DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Directeur général d'administration centrale Directeur général du travail 1 180 Directeur général de la santé 1 180 Directeur général de la cohésion sociale 1 180 Directeur général de l'offre de soins 1 180 Délégué général d'administration centrale Délégué général à l'emploi et à la formation professionnelle 1 180 Directeur d'administration centrale Secrétaire général adjoint chargé des ministères chargés des affaires sociales 1 150 Directeur, adjoint au directeur général de la santé 1 150 Directeur de l'animation de la recherche, des études et des statistiques 1 150 Directeur, adjoint au directeur général du travail 1 150 Directeur de la sécurité sociale 1 150 Directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques 1 150 Directeur des sports 1 150 Directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative 1 150 Directeur des ressources humaines 1 150 Directeur des finances, des achats et des services 1 150 Directeur des systèmes d'information 1 150 Directeur des affaires juridiques 1 150 Délégué d'administration centrale Délégué aux affaires européennes et internationales 1 140 Délégué à la stratégie des systèmes d'information de santé 1 140 Délégué à l'information et à la communication 1 120 5. Chef de service, sous- directeur, directeur de projet, expert de haut niveau DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Chef de service ou sous- directeur exerçant les fonctions de directeur général adjoint ou de directeur adjoint Chef de service, adjoint au délégué général à l'emploi et à la formation professionnelle 2 120 Chef de service, adjoint au directeur de l'animation, de la recherche, des études et des statistiques 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des ressources humaines 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des finances, des achats et des services 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des systèmes d'information 1 120 Chef de service, secrétaire général, direction générale de la santé (à compter du 11 avril 2016) 1 120 Chef de service, adjoint au directeur des sports 1 120 Chef de service, adjoint au directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative (à compter du 28 décembre 2015) 1 120 Chef de service, adjoint au directeur général de la cohésion sociale 3 120 Chef de service, adjoint au directeur général de l'offre de soins 1 120 Chef de service, adjoint au directeur de la sécurité sociale 2 120 Chef de service, adjoint au directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques 1 120 Chef de service auprès du secrétaire général des ministèreschargés des affaires sociales 1 120 Chef de service ou sous- directeur en charge d'un serviceou d'une sous- direction d'administration centrale ou d'un service à compétence nationale Chef de service, responsable du service des relations et des conditions de travail et du département des affaires générales et des prud'hommes, direction générale du travail 1 120 Direction générale du travail, sous- directeur des relations individuelles et collectives du travail 1 110 Direction générale du travail, sous- directeur des conditions de travail, de la santé et de la sécurité au travail 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur des politiques de formation et de contrôle 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur des mutations économiques et de la sécurisation de l'emploi 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur des parcours d'accès à l'emploi 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur du financement et de la modernisation (à compter du 1er janvier 2013) 1 110 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, sous- directeur du Fonds social européen 1 110 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur du suivi et de l'évaluation des politiques de l'emploi et de la formation professionnelle 1 110 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur de l'action régionale, de la diffusion et des moyens 1 110 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur des salaires, du travail et des relations professionnelles 1 80 Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, sous- directeur de l'emploi et du marché du travail 1 80 Direction générale de la santé, sous- directeur de la politique des produits de santé et de la qualité des pratiques et des soins 1 110 Direction générale de la santé, sous- directeur de la santé des populations et de la prévention des maladies chroniques 1 110 Direction générale de la santé, sous- directeur de la prévention des risques liés à l'environnement et à l'alimentation 1 110 Direction générale de la santé, sous- directeur de la veille et de la sécurité sanitaire (à compter du 11 avril 2016) 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur des affaires financières et de la modernisation 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur de l'inclusion sociale, de l'insertion et de la lutte contre la pauvreté 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur de l'autonomie des personnes handicapées et des personnes âgées 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur de l'enfance et de la famille 1 110 Direction générale de la cohésion sociale, sous- directeur des professions sociales, de l'emploi et des territoires 1 110 Direction générale de l'offre de soins, sous- directeur du pilotage de la performance des acteurs de l'offre de soins 1 110 Direction générale de l'offre de soins, sous- directeur des ressources humaines du système de santé 1 110 Direction générale de l'offre de soins, sous- directeur de la régulation de l'offre de soins 1 110 Direction générale de l'offre de soins : sous directeur de la stratégie et des ressources (à compter du 31 octobre 2014) 1 80 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur du financement du système de soins 1 110 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur du financement de la sécurité sociale 1 110 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur des études et des prévisions financières 1 110 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur de l'accès aux soins, des prestations familiales et des accidents du travail 1 80 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur des retraites et des institutions de la protection sociale complémentaire 1 80 Direction de la sécurité sociale, sous- directeur de la gestion et des systèmes d'information 1 80 Direction des ressources humaines, sous- directeur du pilotage des ressources, du dialogue social et du droit des personnels 1 110 Direction des ressources humaines, sous- directeur des carrières, des parcours et de la rémunération des personnels 1 110 Direction des ressources humaines, sous- directeur de la qualité de la vie au travail 1 110 Direction des finances, des achats et des services, sous- directeur des services généraux et de l'immobilier 1 110 Direction des finances, des achats et des services, sous- directeur des affaires budgétaires 1 110 Direction des finances, des achats et des services, sous- directeur de la comptabilité et du contrôle de gestion 1 110 Direction des finances, des achats et des services : sous- directeur des achats et du développement durable (à compter du 14 mars 2017) 1 110 Direction des systèmes d'information, sous- directeur des projets des systèmes d'information 1 110 Direction des systèmes d'information, sous- directeur des infrastructures et du support utilisateurs 1 110 Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, sous- directeur de l'observation de la santé et de l'assurance maladie 1 80 Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, sous- directeur de l'observation de la solidarité 1 80 Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, sous- directeur des synthèses, des études économiques et de l'évaluation 1 80 Direction des sports, sous- directeur 3 110 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, sous- directeur des politiques de jeunesse et de vie associative (à compter du 28 décembre 2015) 1 110 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, sous- directeur de l'éducation populaire (à compter du 28 décembre 2015) 1 110 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, sous- directeur en charge du service à compétence nationale "Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire" (à compter du 28 décembre 2015) 1 80 Direction des affaires juridiques, sous- directeur, adjoint au directeur 1 110 Division des cabinets, sous- directeur, chef de la division (à compter du 22 juin 2015) 1 80 Directeur de projet et expert de haut niveau Secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales (à compter du 22 novembre 2017) 5 80 Inspection générale des affaires sociales 1 80 Direction des ressources humaines 7 80 Direction générale de la santé 4 80 Direction générale de la cohésion sociale 3 80 Direction générale de l'offre de soins 3 80 Direction de la sécurité sociale 3 80 Direction des sports 2 80 Direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative, expert de haut niveau 1 80 Direction des finances, des achats et des services : expert de haut niveau (à compter du 14 mars 2017) 1 80 Délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, expert de haut niveau ou directeur de projet 2 80 Secrétaire général auprès du Haut- commissaire à la réforme des retraites, (à compter du 1er janvier 2018) 1 80 Secrétaire général adjoint auprès du Haut- commissaire à la réforme des retraites, (à compter du 1er janvier 2018) 1 70 6. Président de mission DÉSIGNATION DE L'EMPLOI NOMBRE D'EMPLOIS NOMBRE DE POINTS par emploi Président de la mission interministérielle aux rapatriés 1 140
I. - Pour les stages de la phase socle et de la phase d'approfondissement, le choix des étudiants s'effectue par ancienneté de fonctions validées au cours de la phase de formation dans laquelle ils se situent, pour un nombre entier de semestres, sous réserve de l'application des dispositions de l'article R. 632-32 et du II de l'article R. 632-49 du code de l'éducation. A ancienneté égale, le choix s'effectue selon le rang de classement aux épreuves classantes nationales ou au concours de l'internat en pharmacie, le cas échéant. Le directeur général de l'agence régionale de santé ou son représentant, saisi par le directeur de l'unité de formation et de recherche auprès de laquelle est inscrit l'étudiant, peut, en cas de besoin, après un entretien individuel avec l'étudiant, en présence du coordonnateur local et du représentant des étudiants à la commission locale de subdivision, l'affecter hors procédure de choix dans un lieu de stage agréé ou auprès d'un praticien agrée- maître de stage des universités au semestre suivant, dans la mesure où le stage s'inscrit dans le cadre du bon déroulement de la maquette de formation. L'étudiant concerné ou les organisations représentatives des étudiants de troisième cycle en médecine et de troisième cycle spécialisé des études pharmaceutiques, le cas échéant, peuvent, en cas de besoin, pour répondre à un projet pédagogique ou professionnel, saisir le directeur d'unité de formation et de recherche aux fins de saisine du directeur général de l'agence régionale de santé ou son représentant. La saisine du directeur de l'unité de formation et de recherche est réalisée par l'autorité militaire pour les internes des hôpitaux des armées et les assistants des hôpitaux des armées. II. - Pour les stages de la phase de consolidation, les étudiants établissent, chacun, par ordre de préférence, une liste de vœux de lieux de stage agréés ou praticiens agréés- maîtres de stage des universités parmi les postes offerts aux étudiants de leur spécialité et de leur phase de formation. Cette liste comprend un nombre de vœux correspondant à 20 % des postes offerts avec un minimum de quatre vœux. Les praticiens agréés- maîtres de stage des universités et les responsables médicaux des lieux de stage agréés classent, par ordre de préférence, les étudiants les ayant sélectionnés. Les étudiants sont affectés en stage par le directeur général de l'agence régionale de santé, après recoupement de ces listes et avis de la commission locale de spécialité. En tant que de besoin, les étudiants non affectés à l'issue de la procédure précédente établissent une nouvelle liste vœux de lieux de stage agréés ou praticiens agréés- maîtres de stage des universités parmi les postes offerts au niveau de la région aux étudiants de leur spécialité et de leur phase de formation et non pourvus à l'issue de la procédure de recoupement des listes. Cette liste comprend un nombre de vœux correspondant à 20 % des postes offerts avec un minimum de quatre vœux. Les praticiens agréés- maîtres de stage des universités et les responsables médicaux des lieux de stage agréés classent, par ordre de préférence, les étudiants les ayant sélectionnés. Par dérogation au précédent alinéa, un étudiant peut en fonction de son projet professionnel demander à réaliser un stage de la phase de consolidation dans une région différente de celle dont relève sa subdivision d'affectation, en suivant la procédure prévue à l'article 49 du présent arrêté. En cas de non- affectation selon les modalités définies au II du présent article, le directeur général de l'agence régionale de santé, saisi par le directeur de l'unité de formation et de recherche auprès de laquelle est inscrit l'étudiant, peut, après un entretien avec l'étudiant, en présence du coordonnateur local et du représentant des étudiants à la commission locale de subdivision, l'affecter en stage dans un lieu de stage ou auprès d'un praticien agréé- maître de stage des universités ne figurant pas sur sa liste de vœux. III. - Les internes des hôpitaux des armées et les assistants des hôpitaux des armées choisissent leurs stages parmi les postes proposés, en tenant compte des besoins spécifiques de leur formation et, pour les stages de la phase de consolidation, après avis de la commission locale de spécialité. Conformément au I de l'article R. 632-49 du code de l'éducation, les stages de troisième cycle des études de médecine des internes des hôpitaux des armées et des assistants des hôpitaux des armées sont proposés par les directeurs généraux de l'agence régionale de santé compétents et attribués nominativement aux internes des hôpitaux des armées et aux assistants des hôpitaux des armées par le ministre de la défense.
Le II de l'article 44 de l'arrêté du 12 avril 2017 portant organisation du troisième cycle des études de médecine susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « II.-1° Pour les stages de la phase de consolidation, les étudiants établissent, chacun, par ordre de préférence, une liste de vœux de lieux de stage agréés ou praticiens agréés- maîtres de stage des universités parmi les postes offerts aux étudiants de leur spécialité et de leur phase de formation. Cette liste comprend un nombre de vœux correspondant au minimum à 20 % des postes ouverts et au minimum à deux postes. Les praticiens agréés- maîtres de stage des universités et les responsables médicaux des lieux de stage agréés classent, par ordre de préférence au minimum 80 % des étudiants les ayant sélectionnés. Ce classement comporte pour moitié les étudiants rattachés au CHU de la subdivision dans laquelle est situé le terrain de stage et, pour l'autre moitié, l'ensemble des étudiants les ayant sélectionnés. Lorsqu'un seul poste est ouvert sur le terrain de stage, l'étudiant de la subdivision est classé en priorité par le responsable du terrain de stage. Les étudiants sont affectés en stage par le directeur général de l'agence régionale de santé, après recoupement de ces listes et avis de la commission locale de spécialité. En tant que de besoin, les étudiants non affectés à l'issue de la procédure précédente établissent une nouvelle liste de vœux de lieux de stage agréés ou praticiens agréés- maîtres de stage des universités parmi les postes offerts au niveau de la région aux étudiants de leur spécialité et de leur phase de formation et non pourvus à l'issue de la procédure de recoupement des listes. Cette liste comprend un nombre de vœux correspondant au minimum à 40 % des postes ouverts et au minimum à deux postes. Les praticiens agréés- maîtres de stage des universités et les responsables médicaux des lieux de stage agréés classent, par ordre de préférence et au minimum 80 % des étudiants les ayant sélectionnés. Ce classement comporte pour moitié les étudiants rattachés au CHU de la subdivision dans laquelle est situé le terrain de stage et, pour l'autre moitié, l'ensemble des étudiants les ayant sélectionnés. Lorsqu'un seul poste est ouvert sur le terrain de stage, l'étudiant de la subdivision est classé en priorité par le responsable du terrain de stage. « 2° Par dérogation au 1°, un étudiant peut, en fonction de son projet professionnel et en fonction des capacités de formation, demander à réaliser un stage de la phase de consolidation dans une région différente de celle dont relève sa subdivision d'affectation en suivant la procédure prévue à l'article 49 du présent arrêté. En cas de réponse négative à sa demande de réalisation d'un stage hors région, l'étudiant participe à la procédure prévue au 1° du présent article. « 3° En cas de non- affectation selon les modalités définies au 1° du présent article, le directeur général de l'agence régionale de santé, saisi par le directeur de l'unité de formation et de recherche auprès de laquelle est inscrit l'étudiant, peut, après un entretien avec l'étudiant, en présence du coordonnateur local et du représentant des étudiants à la commission locale de subdivision, l'affecter en stage dans un lieu de stage ou auprès d'un praticien agréé- maître de stage des universités ne figurant pas sur sa liste de vœux ». « 4° Par dérogation aux maquettes de formation qui prévoient une durée de stage d'un an, les étudiants entrant en phase de consolidation au cours de l'année universitaire 2020-2021 participent à deux procédures de choix semestrielles. »
I. - Pour les stages de la phase socle et de la phase d'approfondissement, le choix des étudiants s'effectue par ancienneté de fonctions validées au cours de la phase de formation dans laquelle ils se situent, pour un nombre entier de semestres, sous réserve de l'application des dispositions de l'article R. 632-32 et du II de l'article R. 632-49 du code de l'éducation. A ancienneté égale, le choix s'effectue selon le rang de classement aux épreuves classantes nationales ou au concours de l'internat en pharmacie, le cas échéant. Le directeur général de l'agence régionale de santé ou son représentant, saisi par le directeur de l'unité de formation et de recherche auprès de laquelle est inscrit l'étudiant, peut, en cas de besoin, après un entretien individuel avec l'étudiant, en présence du coordonnateur local et du représentant des étudiants à la commission locale de subdivision, l'affecter hors procédure de choix dans un lieu de stage agréé ou auprès d'un praticien agrée- maître de stage des universités au semestre suivant, dans la mesure où le stage s'inscrit dans le cadre du bon déroulement de la maquette de formation. L'étudiant concerné ou les organisations représentatives des étudiants de troisième cycle en médecine et de troisième cycle spécialisé des études pharmaceutiques, le cas échéant, peuvent, en cas de besoin, pour répondre à un projet pédagogique ou professionnel, saisir le directeur d'unité de formation et de recherche aux fins de saisine du directeur général de l'agence régionale de santé ou son représentant. La saisine du directeur de l'unité de formation et de recherche est réalisée par l'autorité militaire pour les internes des hôpitaux des armées et les assistants des hôpitaux des armées. II.-1° Pour les stages de la phase de consolidation, les étudiants établissent, chacun, par ordre de préférence, une liste de vœux de lieux de stage agréés ou praticiens agréés- maîtres de stage des universités parmi les postes offerts aux étudiants de leur spécialité et de leur phase de formation. Cette liste comprend un nombre de vœux correspondant au minimum à 20 % des postes ouverts et au minimum à deux postes. Les praticiens agréés- maîtres de stage des universités et les responsables médicaux des lieux de stage agréés classent, par ordre de préférence au minimum 80 % des étudiants les ayant sélectionnés. Ce classement comporte pour moitié les étudiants rattachés au CHU de la subdivision dans laquelle est situé le terrain de stage et, pour l'autre moitié, l'ensemble des étudiants les ayant sélectionnés. Lorsqu'un seul poste est ouvert sur le terrain de stage, l'étudiant de la subdivision est classé en priorité par le responsable du terrain de stage. Les étudiants sont affectés en stage par le directeur général de l'agence régionale de santé, après recoupement de ces listes et avis de la commission locale de spécialité. En tant que de besoin, les étudiants non affectés à l'issue de la procédure précédente établissent une nouvelle liste de vœux de lieux de stage agréés ou praticiens agréés- maîtres de stage des universités parmi les postes offerts au niveau de la région aux étudiants de leur spécialité et de leur phase de formation et non pourvus à l'issue de la procédure de recoupement des listes. Cette liste comprend un nombre de vœux correspondant au minimum à 40 % des postes ouverts et au minimum à deux postes. Les praticiens agréés- maîtres de stage des universités et les responsables médicaux des lieux de stage agréés classent, par ordre de préférence et au minimum 80 % des étudiants les ayant sélectionnés. Ce classement comporte pour moitié les étudiants rattachés au CHU de la subdivision dans laquelle est situé le terrain de stage et, pour l'autre moitié, l'ensemble des étudiants les ayant sélectionnés. Lorsqu'un seul poste est ouvert sur le terrain de stage, l'étudiant de la subdivision est classé en priorité par le responsable du terrain de stage. 2° Par dérogation au 1°, un étudiant peut, en fonction de son projet professionnel et en fonction des capacités de formation, demander à réaliser un stage de la phase de consolidation dans une région différente de celle dont relève sa subdivision d'affectation en suivant la procédure prévue à l'article 49 du présent arrêté. En cas de réponse négative à sa demande de réalisation d'un stage hors région, l'étudiant participe à la procédure prévue au 1° du présent article. 3° En cas de non- affectation selon les modalités définies au 1° du présent article, le directeur général de l'agence régionale de santé, saisi par le directeur de l'unité de formation et de recherche auprès de laquelle est inscrit l'étudiant, peut, après un entretien avec l'étudiant, en présence du coordonnateur local et du représentant des étudiants à la commission locale de subdivision, l'affecter en stage dans un lieu de stage ou auprès d'un praticien agréé- maître de stage des universités ne figurant pas sur sa liste de vœux . 4° Par dérogation aux maquettes de formation qui prévoient une durée de stage d'un an, les étudiants entrant en phase de consolidation au cours de l'année universitaire 2020-2021 participent à deux procédures de choix semestrielles. III. - Les internes des hôpitaux des armées et les assistants des hôpitaux des armées choisissent leurs stages parmi les postes proposés, en tenant compte des besoins spécifiques de leur formation et, pour les stages de la phase de consolidation, après avis de la commission locale de spécialité. Conformément au I de l'article R. 632-49 du code de l'éducation, les stages de troisième cycle des études de médecine des internes des hôpitaux des armées et des assistants des hôpitaux des armées sont proposés par les directeurs généraux de l'agence régionale de santé compétents et attribués nominativement aux internes des hôpitaux des armées et aux assistants des hôpitaux des armées par le ministre de la défense.
Les aides de laboratoire sont recrutés : 1° Par voie de concours, dans les conditions prévues à l'article 18 ci- dessous ; 2° Par voie d'inscription sur une liste d'aptitude établie après avis de la commission administrative paritaire, dans la limite du cinquième des nominations prononcées au titre du présent article, parmi les agents techniques de laboratoire régis par le titre Ier du présent décret. Les intéressés doivent justifier au 1er janvier de l'année de l'établissement de la liste d'aptitude d'au moins neuf années de services publics.
L'article 17 du même décret est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 17. - Les aides de laboratoire sont recrutés par voie de concours dans les conditions prévues à l'article 18. »
Les aides de laboratoire sont recrutés par voie de concours dans les conditions prévues à l'article 18.
L'épreuve, d'une durée de trente minutes maximum, débute par un exposé du candidat, pendant une durée de dix minutes maximum, prenant appui sur sa formation universitaire ou professionnelle, reçue dans une université, dans un institut universitaire de formation des maîtres ou dans un autre lieu de formation dans le secteur disciplinaire et, le cas échéant, dans l'option correspondant à la certification complémentaire choisie. Le candidat peut également faire état de son expérience et de ses pratiques personnelles, dans le domaine de l'enseignement ou dans un autre domaine, notamment à l'occasion de stages, d'échanges, de travaux ou de réalisations effectués à titre professionnel ou personnel. Cet exposé est suivi d'un entretien avec le jury, d'une durée de vingt minutes maximum, dont l'objet est d'apprécier les connaissances du candidat concernant les contenus d'enseignement, les programmes et les principes essentiels touchant à l'organisation du secteur disciplinaire et, le cas échéant, à l'option correspondant à la certification complémentaire choisie, et d'estimer ses capacités de conception et d'implication dans la mise en oeuvre, au sein d'une école ou d'un établissement scolaire du second degré, d'enseignements ou d'activités en rapport avec ce secteur. Le jury tient compte du niveau d'enseignement (primaire ou secondaire) dans lequel le candidat a vocation à intervenir.
Au premier alinéa de l'article 5 du même arrêté, après les mots : « dans un institut universitaire de formation des maîtres » sont insérés les mots : «, dans une école supérieure du professorat et de l'éducation ».
L'épreuve, d'une durée de trente minutes maximum, débute par un exposé du candidat, pendant une durée de dix minutes maximum, prenant appui sur sa formation universitaire ou professionnelle, reçue dans une université, dans un institut universitaire de formation des maîtres, dans une école supérieure du professorat et de l'éducation ou dans un autre lieu de formation dans le secteur disciplinaire et, le cas échéant, dans l'option correspondant à la certification complémentaire choisie. Le candidat peut également faire état de son expérience et de ses pratiques personnelles, dans le domaine de l'enseignement ou dans un autre domaine, notamment à l'occasion de stages, d'échanges, de travaux ou de réalisations effectués à titre professionnel ou personnel. Cet exposé est suivi d'un entretien avec le jury, d'une durée de vingt minutes maximum, dont l'objet est d'apprécier les connaissances du candidat concernant les contenus d'enseignement, les programmes et les principes essentiels touchant à l'organisation du secteur disciplinaire et, le cas échéant, à l'option correspondant à la certification complémentaire choisie, et d'estimer ses capacités de conception et d'implication dans la mise en oeuvre, au sein d'une école ou d'un établissement scolaire du second degré, d'enseignements ou d'activités en rapport avec ce secteur. Le jury tient compte du niveau d'enseignement (primaire ou secondaire) dans lequel le candidat a vocation à intervenir.
L'avancement à la classe exceptionnelle de maître- assistant se fait au choix parmi les maîtres- assistants de 1re classe justifiant de huit années de services effectifs dans ce corps dont quatre années au moins dans la 1re classe de maître- assistant. Cet avancement se fait selon la procédure prévue à l'article 31 ci- dessus. Les maîtres- assistants nommés à la classe exceptionnelle de leur grade sont classés à l'échelon comportant un indice égal ou, à défaut, immédiatement supérieur à celui dont ils bénéficiaient antérieurement. Ils conservent, dans la limite de la durée de service exigée pour l'accès à l'échelon supérieur dans leur nouvelle classe, l'ancienneté d'échelon acquise dans leur précédente classe, lorsque cette nomination ne leur procure pas un avantage supérieur à celui qui aurait résulté d'un avancement d'échelon dans leur ancienne classe.
L'article 32 du même décret est modifié comme suit : 1. La dernière phrase est remplacée par la phrase suivante : « Ils conservent, dans la limite de la durée de service exigée pour l'accès à l'échelon supérieur dans leur nouvelle classe, l'ancienneté d'échelon acquise dans leur précédente classe, lorsque l'augmentation de traitement consécutive à leur nomination est inférieure à celle qui aurait résulté d'un avancement d'échelon dans leur ancienne classe. » 2. Après le dernier alinéa est ajouté l'alinéa suivant : « Ceux qui avaient atteint l'échelon le plus élevé de leur ancienne classe conservent leur ancienneté d'échelon dans les mêmes conditions et limites lorsque l'augmentation de traitement consécutive à leur nomination est inférieure à celle résultant d'une élévation audit échelon. »
L'avancement à la classe exceptionnelle de maître- assistant se fait au choix parmi les maîtres- assistants de 1re classe justifiant de huit années de services effectifs dans ce corps dont quatre années au moins dans la 1re classe de maître- assistant. Cet avancement se fait selon la procédure prévue à l'article 31 ci- dessus. Les maîtres- assistants nommés à la classe exceptionnelle de leur grade sont classés à l'échelon comportant un indice égal ou, à défaut, immédiatement supérieur à celui dont ils bénéficiaient antérieurement. Ils conservent, dans la limite de la durée de service exigée pour l'accès à l'échelon supérieur dans leur nouvelle classe, l'ancienneté d'échelon acquise dans leur précédente classe, lorsque l'augmentation de traitement consécutive à leur nomination est inférieure à celle qui aurait résulté d'un avancement d'échelon dans leur ancienne classe. Ceux qui avaient atteint l'échelon le plus élevé de leur ancienne classe conservent leur ancienneté d'échelon dans les mêmes conditions et limites lorsque l'augmentation de traitement consécutive à leur nomination est inférieure à celle résultant d'une élévation audit échelon.
Le directeur régional des finances publiques en région Centre est désigné pour exercer le contrôle budgétaire des organismes suivants : ― agence régionale de santé du Centre ; ― centre de ressources, d'expertise et de performance sportives du Centre ; ― centre régional de documentation pédagogique d'Orléans- Tours ; ― centre régional des œuvres universitaires et scolaires d'Orléans- Tours ; ― chancellerie des universités d'Orléans- Tours ; ― Ecole nationale supérieure d'art de Bourges ; ― Ecole nationale supérieure de la nature et du paysage.
A l'article 1er de l'arrêté du 11 mars 2014 susvisé fixant la liste des organismes dont le contrôle budgétaire est confié au directeur régional des finances publiques en région Centre, l'alinéa : «- centre régional de documentation pédagogique d'Orléans- Tours ; » est supprimé.
Le directeur régional des finances publiques en région Centre est désigné pour exercer le contrôle budgétaire des organismes suivants : ― agence régionale de santé du Centre ; ― centre de ressources, d'expertise et de performance sportives du Centre ; ― centre régional des œuvres universitaires et scolaires d'Orléans- Tours ; ― chancellerie des universités d'Orléans- Tours ; ― Ecole nationale supérieure d'art de Bourges ; ― Ecole nationale supérieure de la nature et du paysage.
Pour l'application des 1 et 2 de l'article L. 322-3 : I. - La participation de l'assuré aux tarifs servant de base au calcul des prestations en nature de l'assurance maladie est supprimée dans les cas suivants : 1. Pour les actes inscrits sur la liste mentionnée à l'article R. 162-52 qui sont affectés soit d'un coefficient égal ou supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 euros. Le montant de ce tarif évolue chaque année conformément à l'évolution du tarif moyen pondéré afférent aux actes de la classification commune des actes médicaux constaté par le directeur général de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie à la fin de l'année précédente. 2. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation dans un établissement de santé, lorsqu'il est effectué un acte thérapeutique ou un acte diagnostique dont la réalisation en établissement de santé est nécessaire à la sécurité des soins, affecté d'un coefficient égal ou supérieur à 50 ou d'un tarif égal ou supérieur à 91 euros. 3. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation consécutive à une hospitalisation répondant aux conditions mentionnées au 2 et en lien direct avec elle, ainsi que pour les frais de transport entre les deux établissements ou entre l'établissement et le domicile en cas d'hospitalisation à domicile. En cas d'hospitalisation mentionnée au 2 ci- dessus, la participation de l'assuré est également supprimée pour les frais de transport d'urgence entre le lieu de prise en charge de la personne et l'établissement de santé. Les frais des prothèses dentaires, des analyses de biologie et des actes d'anatomo- cyto- pathologie ne donnent pas lieu à exonération sauf si ces actes sont dispensés dans le cadre d'une hospitalisation prévue aux 2 ou 3 ci- dessus. 4. Pour l'appréciation des règles fixées aux 1 et 2 ci- dessus, les coefficients des actes peuvent se cumuler lorsque ces actes sont réalisés dans le même temps, par le même praticien et pour le même patient. Les conditions d'application de ces dispositions sont fixées par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale et du ministre chargé de l'agriculture. Les tarifs des actes peuvent se cumuler dans les mêmes conditions. Lorsque le cumul concerne un acte affecté d'un coefficient et un acte affecté d'un tarif, la participation de l'assuré est supprimée, lorsque le montant en euros résultant de ce cumul est égal ou supérieur à 91 euros. 5. Les coefficients ou les tarifs de chacun des actes de radiodiagnostic ne peuvent être cumulés. II. - La participation de l'assuré est également supprimée dans les cas suivants : 1. Pour les frais d'acquisition des prothèses oculaires et faciales, des orthoprothèses et des véhicules pour handicapés physiques figurant sur la liste prévue par l'article L. 165-1. 2. Pour les frais afférents à la fourniture du sang humain, du plasma ou de leurs dérivés et de la fourniture du lait humain. 3. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation à compter du 31e jour d'hospitalisation consécutif.
L'article R. 322-8 du code de la sécurité sociale est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 322-8. - Pour l'application des 1° et 2° de l'article L. 322-3 : I. - La participation de l'assuré aux tarifs servant de base au calcul des prestations en nature de l'assurance maladie est réduite à 18 dans les cas suivants : 1. Pour les actes inscrits sur la liste mentionnée à l'article R. 162-52 qui sont affectés soit d'un coefficient égal ou supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 . 2. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation dans un établissement de santé, lorsqu'il est effectué un acte thérapeutique ou un acte diagnostique dont la réalisation en établissement de santé est nécessaire à la sécurité des soins, affecté d'un coefficient égal ou supérieur à 50 ou d'un tarif égal ou supérieur à 91 . 3. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation consécutive à une hospitalisation répondant aux conditions mentionnées au 2 et en lien direct avec elle. Dans les cas mentionnés aux 2 et 3 ci- dessus, la participation de l'assuré est due au titre des frais d'hospitalisation. Dans le cas mentionné au 1 ci- dessus, lorsqu'au cours d'une même consultation sont réalisés par un même praticien et pour un même patient plusieurs actes affectés soit d'un coefficient égal du supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 , la participation de l'assuré pour l'ensemble de ces actes est réduite au montant défini au premier alinéa du présent I. Pour l'application de ces dispositions, les coefficients ou les tarifs des actes peuvent se cumuler lorsque ces actes sont réalisés dans le même temps, par le même praticien et pour le même patient. Les conditions d'application de ces dispositions sont fixées par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale. Lorsque le cumul concerne un acte affecté d'un coefficient et un acte affecté d'un tarif, la participation de l'assuré est égale au montant défini au premier alinéa du présent I lorsque le montant en euros résultant de ce cumul est égal ou supérieur à 91 . II. - La participation de l'assuré est supprimée : 1. Pour les actes de radiodiagnostic, d'imagerie par résonance magnétique, de scanographie, de scintigraphie ou de tomographie à émission de positons mentionnés dans la liste des actes et prestations pris en charge ou admis au remboursement par l'assurance maladie prévue à l'article R. 162-52 qui sont affectés soit d'un coefficient égal ou supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 ; cette suppression ne dispense pas du versement du montant de la participation due par l'assuré au titre des autres actes pratiqués à l'occasion de la consultation ou des frais intervenus au cours de l'hospitalisation. 2. Pour les frais de transport d'urgence entre le lieu de prise en charge de la personne et l'établissement de santé, en cas d'hospitalisation mentionnée au 2 du I ainsi que, en cas d'hospitalisation mentionnée au 3, pour les frais de transport entre les deux établissements ou entre l'établissement et le domicile en cas d'hospitalisation à domicile. Pour l'application des dispositions du 1 ci- dessus, les coefficients ou tarifs de chacun des actes mentionnés ne peuvent être cumulés. III. - Le tarif ouvrant droit à réduction est revalorisé chaque année conformément à l'évolution du tarif moyen pondéré afférent aux actes de la classification commune des actes médicaux constaté par le directeur général de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie à la fin de l'année précédente. IV. - La participation de l'assuré n'est ni réduite ni supprimée pour les frais de prothèses dentaires, d'analyses de biologie et d'actes d'anatomo- cyto- pathologie sauf si ces actes sont dispensés dans le cadre d'une hospitalisation prévue aux 2 ou 3 du I ci- dessus. V. - La participation de l'assuré est supprimée dans les cas suivants : 1. Pour les frais d'acquisition des prothèses oculaires et faciales, des orthoprothèses et des véhicules pour handicapés physiques figurant sur la liste prévue par l'article L. 165-1. 2. Pour les frais afférents à la fourniture du sang humain, du plasma ou de leurs dérivés et de la fourniture du lait humain. 3. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation à compter du trente et unième jour d'hospitalisation consécutif. »
Pour l'application des 1° et 2° de l'article L. 322-3 : I. - La participation de l'assuré aux tarifs servant de base au calcul des prestations en nature de l'assurance maladie est réduite à 18 euros dans les cas suivants : 1. Pour les actes inscrits sur la liste mentionnée à l'article R. 162-52 qui sont affectés soit d'un coefficient égal ou supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 euros. 2. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation dans un établissement de santé, lorsqu'il est effectué un acte thérapeutique ou un acte diagnostique dont la réalisation en établissement de santé est nécessaire à la sécurité des soins, affecté d'un coefficient égal ou supérieur à 50 ou d'un tarif égal ou supérieur à 91 euros. 3. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation consécutive à une hospitalisation répondant aux conditions mentionnées au 2 et en lien direct avec elle. Dans les cas mentionnés aux 2 et 3 ci- dessus, la participation de l'assuré est due au titre des frais d'hospitalisation. Dans le cas mentionné au 1 ci- dessus, lorsqu'au cours d'une même consultation sont réalisés par un même praticien et pour un même patient plusieurs actes affectés soit d'un coefficient égal du supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 euros, la participation de l'assuré pour l'ensemble de ces actes est réduite au montant défini au premier alinéa du présent I. Pour l'application de ces dispositions, les coefficients ou les tarifs des actes peuvent se cumuler lorsque ces actes sont réalisés dans le même temps, par le même praticien et pour le même patient. Les conditions d'application de ces dispositions sont fixées par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale. Lorsque le cumul concerne un acte affecté d'un coefficient et un acte affecté d'un tarif, la participation de l'assuré est égale au montant défini au premier alinéa du présent I lorsque le montant en euros résultant de ce cumul est égal ou supérieur à 91 euros. II. - La participation de l'assuré est supprimée : 1. Pour les actes de radiodiagnostic, d'imagerie par résonance magnétique, de scanographie, de scintigraphie ou de tomographie à émission de positons mentionnés dans la liste des actes et prestations pris en charge ou admis au remboursement par l'assurance maladie prévue à l'article R. 162-52 qui sont affectés soit d'un coefficient égal ou supérieur à 50, soit d'un tarif égal ou supérieur à 91 euros ; cette suppression ne dispense pas du versement du montant de la participation due par l'assuré au titre des autres actes pratiqués à l'occasion de la consultation ou des frais intervenus au cours de l'hospitalisation. 2. Pour les frais de transport d'urgence entre le lieu de prise en charge de la personne et l'établissement de santé, en cas d'hospitalisation mentionnée au 2 du I ainsi que, en cas d'hospitalisation mentionnée au 3, pour les frais de transport entre les deux établissements ou entre l'établissement et le domicile en cas d'hospitalisation à domicile. Pour l'application des dispositions du 1 ci- dessus, les coefficients ou tarifs de chacun des actes mentionnés ne peuvent être cumulés. III. - Le tarif ouvrant droit à réduction est revalorisé chaque année conformément à l'évolution du tarif moyen pondéré afférent aux actes de la classification commune des actes médicaux constaté par le directeur général de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie à la fin de l'année précédente. IV. - La participation de l'assuré n'est ni réduite ni supprimée pour les frais de prothèses dentaires, d'analyses de biologie et d'actes d'anatomo- cyto- pathologie sauf si ces actes sont dispensés dans le cadre d'une hospitalisation prévue aux 2 ou 3 du I ci- dessus. V. - La participation de l'assuré est supprimée dans les cas suivants : 1. Pour les frais d'acquisition des prothèses oculaires et faciales, des orthoprothèses et des véhicules pour handicapés physiques figurant sur la liste prévue par l'article L. 165-1. 2. Pour les frais afférents à la fourniture du sang humain, du plasma ou de leurs dérivés et de la fourniture du lait humain. 3. Pour l'ensemble des frais intervenant au cours d'une hospitalisation à compter du trente et unième jour d'hospitalisation consécutif.
Le président ou le directeur de l'établissement est ordonnateur principal du budget de l'établissement. Sous réserve des dispositions des articles 32 et 33 de la loi du 26 janvier 1984 susvisée, l'ordonnateur principal peut désigner comme ordonnateurs secondaires du budget de l'établissement, pour l'exécution de leur budget propre, les responsables des composantes et services communs visés à l'article 3 du présent décret.
Le second alinéa de l'article 9est supprimé.
Le président ou le directeur de l'établissement est ordonnateur principal du budget de l'établissement.
Les candidats aux trois concours autorisés à concourir par arrêté du garde des sceaux sont convoqués soit par les procureurs généraux près les cours d'appel ou les procureurs de la République près les tribunaux supérieurs d'appel dans le ressort desquels ils doivent prendre part aux épreuves, soit par les autorités désignées par l'arrêté ouvrant les concours.
L'article 3 est remplacé par les dispositions suivantes : « Les candidats inscrits aux trois concours qui n'ont pas fait l'objet d'une décision de refus de concourir avant le début des épreuves, sont convoqués par le directeur de l'Ecole nationale de la magistrature. »
Les candidats inscrits aux trois concours qui n'ont pas fait l'objet d'une décision de refus de concourir avant le début des épreuves, sont convoqués par le directeur de l'Ecole nationale de la magistrature.
Pour les agréments des établissements d'enseignement de la conduite, les informations nominatives enregistrées sont les suivantes : a) Identité de l'exploitant : nom, prénoms, date et lieu de naissance, nationalité, adresse ; b) Identité de l'établissement : nom ou raison sociale, statut juridique, adresse du local d'activité ; c) (Abrogé) d) Capacité à la gestion d'un établissement d'enseignement de la conduite : diplôme détenu ou attestation de formation ; e) Inscription ou non- inscription au casier judiciaire de l'exploitant d'une peine criminelle ou d'une peine correctionnelle pour l'une des infractions énumérées à l'article R. 243-2 du code de la route ; f) Moyens de l'établissement : superficie du local, nombre et catégories de véhicules- école ; g) Qualification des personnels enseignants : nombre d'enseignants employés (dont qualifiés groupe lourd et deux- roues, dont temps plein, temps partiel) ; h) (Abrogé) i) Réactualisation des connaissances : date et intitulé de la formation ; j) Validité de l'agrément : - dates de délivrance de l'agrément pour chaque catégorie de formation agréée ; - dates des mesures affectant sa validité (délivrance ou maintien provisoire, suspension, retrait, renouvellement) ; k) Date et numéro de l'agrément d'exploiter délivré antérieurement au 1er janvier 2001, s'il y a lieu.
L'article 3 est ainsi modifié : Le a est complété par les mots : « numéros de téléphone, de télécopie et courriel ; ». Le b est complété par les mots : « numéro SIREN/SIRET, enseigne ; ». Au e, les mots : « l'article R. 243-2 » sont remplacés par les mots : « l'article R. 212-4 ». Le f est ainsi rédigé : « f) Moyens de l'établissement : superficie et capacité d'accueil du local, nombre et catégories de véhicules- école, mise en commun avec d'autres établissements ; ». Le g est ainsi rédigé : « g) Qualification des personnels enseignants : nombre et catégorie enseignée ; ».
Pour les agréments des établissements d'enseignement de la conduite, les informations nominatives enregistrées sont les suivantes : a) Identité de l'exploitant : nom, prénoms, date et lieu de naissance, nationalité, adresse, numéros de téléphone, de télécopie et courriel ; b) Identité de l'établissement : nom ou raison sociale, statut juridique, adresse du local d'activité, numéro SIREN/SIRET, enseigne ; c) (Abrogé) d) Capacité à la gestion d'un établissement d'enseignement de la conduite : diplôme détenu ou attestation de formation ; e) Inscription ou non- inscription au casier judiciaire de l'exploitant d'une peine criminelle ou d'une peine correctionnelle pour l'une des infractions énumérées à l'article R. 212-4 du code de la route ; f) Moyens de l'établissement : superficie et capacité d'accueil du local, nombre et catégories de véhicules- école, mise en commun avec d'autres établissements ; g) Qualification des personnels enseignants : nombre et catégorie enseignée ; h) (Abrogé) i) Réactualisation des connaissances : date et intitulé de la formation ; j) Validité de l'agrément : - dates de délivrance de l'agrément pour chaque catégorie de formation agréée ; - dates des mesures affectant sa validité (délivrance ou maintien provisoire, suspension, retrait, renouvellement) ; k) Date et numéro de l'agrément d'exploiter délivré antérieurement au 1er janvier 2001, s'il y a lieu.
Pour la session de concours 2015 de la voie B, les étudiants en troisième année de préparation et les titulaires d'une licence dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie composeront pour l'épreuve scientifique complémentaire, prévue à l'annexe VI, en « mathématiques- physique » et les étudiants en troisième année de préparation et les titulaires d'une licence hors domaine de la biologie et des sciences de la vie composeront pour l'épreuve scientifique complémentaire, prévue à l'annexe VI, en « biologie ». Le président du jury du concours précisera au candidat l'épreuve scientifique complémentaire qu'il devra passer, au regard du diplôme de licence préparé ou acquis. Pour la session de concours 2015 de la voie B, seuls les étudiants en année de préparation et les titulaires d'une licence professionnelle dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie seront autorisés à concourir. Pour l'épreuve scientifique complémentaire, prévue à l'annexe VI, ils composeront en « mathématiques- physique ». Pour la session de concours 2015 de la voie apprentissage, seuls les étudiants en année de préparation et les titulaires d'une licence professionnelle dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie seront autorisés à concourir.
L'article 17 de l'arrêté du 25 juillet 2014 susvisé est modifié comme suit : Aux premier et deuxième alinéas, le mot : « 2015 » est remplacé par le mot : « 2016 » ; Le troisième alinéa est remplacé par l'alinéa suivant : « Pour les sessions 2015 et 2016 de la voie de l'apprentissage, sont également autorisés à concourir les étudiants en année de préparation et les titulaires d'une licence professionnelle dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie. »
Pour la session de concours 2016 de la voie B, les étudiants en troisième année de préparation et les titulaires d'une licence dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie composeront pour l'épreuve scientifique complémentaire, prévue à l'annexe VI, en " mathématiques- physique " et les étudiants en troisième année de préparation et les titulaires d'une licence hors domaine de la biologie et des sciences de la vie composeront pour l'épreuve scientifique complémentaire, prévue à l'annexe VI, en " biologie ". Le président du jury du concours précisera au candidat l'épreuve scientifique complémentaire qu'il devra passer, au regard du diplôme de licence préparé ou acquis. Pour la session de concours 2016 de la voie B, seuls les étudiants en année de préparation et les titulaires d'une licence professionnelle dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie seront autorisés à concourir. Pour l'épreuve scientifique complémentaire, prévue à l'annexe VI, ils composeront en " mathématiques- physique ". Pour les sessions 2015 et 2016 de la voie de l'apprentissage, sont également autorisés à concourir les étudiants en année de préparation et les titulaires d'une licence professionnelle dans le domaine de la biologie et des sciences de la vie.
Le retrait des fonds et, d'une manière générale, toutes opérations financières ne peuvent être effectués que sous la signature conjointe de deux des membres ci- après : président, vice- président, trésorier ou trésorier adjoint. Toutefois, la délégation de l'une des deux signatures peut être donnée au directeur du conseil en cas d'absolue nécessité pour les opérations suivantes : paiement des salaires, règlement des charges sociales et impôts soumis à date limite. En outre, une régie d'avances dont le quaritum est fixé par le bureau peut être confiée au directeur, à charge pour lui de rendre compte au bureau de l'emploi des sommes ainsi déléguées.
L'article 9 est modifié ainsi qu'il suit : 1° Les mots : « du conseil » sont remplacés par le mot : « général » ; 2° Les mots : « d'absolue » sont remplacés par le mot : « de » ; 3° Les mots : « pour les opérations suivantes : paiement des salaires, règlement des charges sociales et impôts soumis à date limite » sont supprimés ; 4° A la dernière phrase, le mot : « quaritum » est remplacé par le mot : « quantum » et après le mot : « directeur » est inséré le mot : « général ».
Le retrait des fonds et, d'une manière générale, toutes opérations financières ne peuvent être effectués que sous la signature conjointe de deux des membres ci- après : président, vice- président, trésorier ou trésorier adjoint. Toutefois, la délégation de l'une des deux signatures peut être donnée au directeur général en cas de nécessité. En outre, une régie d'avances dont le quantum est fixé par le bureau peut être confiée au directeur général, à charge pour lui de rendre compte au bureau de l'emploi des sommes ainsi déléguées.
La liste des diplômes compatibles avec l'exercice des missions de la personne spécialisée en radiophysique médicale et permettant l'inscription à la formation spécialisée prévue à l'article 4 de l'arrêté du 19 novembre 2004 est fixée comme suit : Master "radiophysique et imagerie médicales", option 1 : recherche : radiophysique, délivré par l'université Paul Sabatier de Toulouse ; Master "ingénierie pour la santé et le médicament", spécialité physique qualité radioprotection, option professionnel et recherche : physique médicale, délivré par l'université Joseph Fournier de Grenoble ; Master "physique médicale et biologique", spécialité professionnel et recherche : radiophysique médicale, délivré par l'université Paris- Sud ; Diplôme d'étude approfondie rayonnements et imagerie en médecine, option 1 : physique radiologique et médicale, délivré par l'université Paul Sabatier de Toulouse ; Master professionnel mention physique électronique, spécialité rayonnements ionisants et applications, délivré par l'université de Nantes ; Master "sciences, technologie, santé", mention physique, spécialité physique médicale et biologique, délivré par l'université des sciences et technologies de Lille. Master "sciences, technologie, santé, mention physique", parcours "physique médicale", délivré par l'université Rennes- I ; Master "physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale" délivré par l'université Blaise Pascal de Clermont- Ferrand.
L'article 1er de l'arrêté du 7 février 2005 susvisé est ainsi modifié : 1° Les mots : « de l'arrêté du 19 novembre 2004 » sont remplacés par les mots : « de l'arrêté du 6 décembre 2011 » ; 2° Il est ajouté un dernier alinéa rédigé comme suit : « Master ingénierie pour la santé, spécialité professionnel et recherche : physique médicale, délivré par l'université Claude Bernard - Lyon- I au plus tard au titre de la promotion 2012-2013. »
La liste des diplômes compatibles avec l'exercice des missions de la personne spécialisée en radiophysique médicale et permettant l'inscription à la formation spécialisée prévue à l'article 4 de l'arrêté du 6 décembre 2011 est fixée comme suit : Master " radiophysique et imagerie médicales ", option 1 : recherche : radiophysique, délivré par l'université Paul Sabatier de Toulouse ; Master " ingénierie pour la santé et le médicament ", spécialité physique qualité radioprotection, option professionnel et recherche : physique médicale, délivré par l'université Joseph Fournier de Grenoble ; Master " physique médicale et biologique ", spécialité professionnel et recherche : radiophysique médicale, délivré par l'université Paris- Sud ; Diplôme d'étude approfondie rayonnements et imagerie en médecine, option 1 : physique radiologique et médicale, délivré par l'université Paul Sabatier de Toulouse ; Master professionnel mention physique électronique, spécialité rayonnements ionisants et applications, délivré par l'université de Nantes ; Master " sciences, technologie, santé ", mention physique, spécialité physique médicale et biologique, délivré par l'université des sciences et technologies de Lille. Master " sciences, technologie, santé, mention physique ", parcours " physique médicale ", délivré par l'université Rennes- I ; Master " physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale " délivré par l'université Blaise Pascal de Clermont- Ferrand. Master ingénierie pour la santé, spécialité professionnel et recherche : physique médicale, délivré par l'université Claude Bernard - Lyon- I au plus tard au titre de la promotion 2012-2013.
Les cessions de gré à gré de parts de groupements agricoles d'exploitation en commun, d'exploitations agricoles à responsabilité limitée mentionnées au 5° de l'article 8 et de sociétés civiles à objet principalement agricole sont enregistrées au droit fixe de 125 euros.
I. ― A l'article 730 bis du code général des impôts, après les mots : « l'article 8 et de », est inséré le mot : « toutes » et, après les mots : « principalement agricole », sont insérés les mots : « , même non exploitantes, ». II. ― Le I s'applique aux opérations intervenues à compter du 1er janvier 2009.
Les cessions de gré à gré de parts de groupements agricoles d'exploitation en commun, d'exploitations agricoles à responsabilité limitée mentionnées au 5° de l'article 8 et de toutes sociétés civiles à objet principalement agricole, même non exploitantes, sont enregistrées au droit fixe de 125 €.
I.- La rémunération d'une aide à domicile est exonérée des cotisations patronales d'assurances sociales et d'allocations familiales, lorsque celle- ci est employée effectivement à leur service personnel, à leur domicile ou chez des membres de leur famille, par : a) Des personnes ayant atteint un âge déterminé et dans la limite, par foyer, et pour l'ensemble des rémunérations versées, d'un plafond de rémunération fixé par décret ; b) Des personnes ayant à charge un enfant ouvrant droit au complément de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé mentionné à l'article L. 541-1 ou à la prestation de compensation dans les conditions définies au 1° du III de l'article L. 245-1 du code de l'action sociale et des familles. c) Des personnes titulaires : - soit de l'élément de la prestation de compensation mentionnée au 1° de l'article L. 245-3 du code de l'action sociale et des familles ; - soit d'une majoration pour tierce personne servie au titre de l'assurance invalidité, d'un régime spécial de sécurité sociale ou de l'article L. 18 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre ; - soit d'une prestation complémentaire pour recours à tierce personne servie au titre de la législation des accidents du travail ; d) Des personnes se trouvant, dans des conditions définies par décret, dans l'obligation de recourir à l'assistance d'une tierce personne pour accomplir les actes ordinaires de la vie, sous réserve d'avoir dépassé un âge fixé par décret ; e) Des personnes remplissant la condition de perte d'autonomie prévue à l'article L. 232-2 du code de l'action sociale et des familles, dans des conditions définies par décret. Sauf dans le cas mentionné au a, l'exonération est accordée sur la demande des intéressés par l'organisme chargé du recouvrement des cotisations dans des conditions fixées par arrêté ministériel. Le bénéfice de ces dispositions ne peut se cumuler pour une même aide à domicile avec le complément de libre choix du mode de garde de la prestation d'accueil du jeune enfant versé au titre de la garde à domicile. I bis.- Chaque heure de travail effectuée par les salariés mentionnés à l'article L. 7221-1 du code du travail ouvre droit à une déduction forfaitaire patronale : 1° De la cotisation due au titre des assurances maladie, maternité, invalidité et décès, à hauteur de 0,75 € dans les cas autres que ceux mentionnés aux 2° et 3° ; 2° Des cotisations de sécurité sociale, à hauteur de 1,50 €, pour les salariés à domicile employés pour des activités de garde d'enfants dont l'âge dépasse l'âge limite mentionné au IV de l'article L. 531-5 et n'excède pas celui mentionné au premier alinéa de l'article L. 521-3, dans la limite d'un nombre d'heures fixé par décret et sous réserve, pour l'employeur, de se conformer aux modalités de déclaration fixées par le décret mentionné au deuxième alinéa de l'article L. 531-8 ; 3° Des cotisations et contributions sociales d'origine légale et conventionnelle, à hauteur de 3,70 €, dans les départements d'outre- mer ainsi que dans les collectivités de Saint- Barthélemy, de Saint- Martin et de Saint- Pierre- et- Miquelon. Ces déductions ne sont cumulables avec aucune exonération de cotisations sociales, ni avec l'application de taux ou d'assiettes spécifiques ou de montants forfaitaires de cotisations. II.- Les particuliers et personnes morales qui ont passé un contrat conforme aux articles L. 442-1 et L. 444-3 du code de l'action sociale et des familles pour l'accueil par des particuliers à leur domicile, à titre onéreux, de personnes mentionnées aux a, c, d et e du I du présent article sont exonérés, dans les conditions prévues à l'avant- dernier alinéa du même I, des cotisations patronales d'assurances sociales et d'allocations familiales dues sur la rémunération qu'elles versent à ces accueillants familiaux. III.- Sont exonérées de cotisations patronales d'assurances sociales et d'allocations familiales les rémunérations versées aux aides à domicile employées sous contrat à durée indéterminée ou sous contrat à durée déterminée pour remplacer les salariés absents ou dont le contrat de travail est suspendu dans les conditions prévues à l'article L. 1242-2 du code du travail, par les structures suivantes : 1° Les associations et entreprises déclarées dans les conditions fixées à l'article L. 7232-1-1 du même code pour l'exercice des activités concernant la garde d'enfant ou l'assistance aux personnes âgées ou handicapées ; 2° Les centres communaux ou intercommunaux d'action sociale ; 3° Les organismes habilités au titre de l'aide sociale ou ayant passé convention avec un organisme de sécurité sociale. Cette exonération s'applique à la fraction des rémunérations versée en contrepartie de l'exécution des tâches effectuées au domicile à usage privatif : a) Des personnes mentionnées au I ; b) Des bénéficiaires soit de prestations d'aide ménagère aux personnes âgées ou handicapées au titre de l'aide sociale légale ou dans le cadre d'une convention conclue entre les structures susmentionnées et un organisme de sécurité sociale, soit des prestations mentionnées au deuxième alinéa de l'article L. 222-3 du code de l'action sociale et des familles ou des mêmes prestations d'aide et d'accompagnement aux familles dans le cadre d'une convention conclue entre ces structures et un organisme de sécurité sociale, dans la limite, pour les tâches effectuées au bénéfice des personnes visées au a du I du présent article, du plafond prévu par ce même a. Le bénéfice du présent III ne peut s'appliquer dans les établissements, centres et services mentionnés aux 2° et 3°, au b du 5° et aux 6°, 7°, 11° et 12° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, au titre des prestations financées par les organismes de sécurité sociale en application de l'article L. 314-3 du même code. Un décret détermine les modalités d'application de l'exonération prévue par le présent III et notamment : - les informations et pièces que les associations, les centres communaux et intercommunaux d'action sociale et les organismes visés au précédent alinéa doivent produire auprès des organismes chargés du recouvrement des cotisations de sécurité sociale du régime général ; - les modalités selon lesquelles les organismes chargés du recouvrement des cotisations de sécurité sociale du régime général vérifient auprès des organismes servant les prestations mentionnées aux b, c, d et e du I ou les prestations d'aide ménagère visées au précédent alinéa que les personnes au titre desquelles cette exonération a été appliquée ont la qualité de bénéficiaires desdites prestations. Les rémunérations des aides à domicile ayant la qualité d'agent titulaire relevant du cadre d'emplois des agents sociaux territoriaux en fonction dans un centre communal ou intercommunal d'action sociale bénéficient d'une exonération de 100 % de la cotisation d'assurance vieillesse due au régime visé au 2° de l'article R. 711-1 du présent code pour la fraction de ces rémunérations remplissant les conditions définies au présent III. IV.- Par dérogation aux dispositions de l'article L. 131-7 du présent code, l'exonération prévue au III n'est pas compensée par le budget de l'Etat. V.- Les dispositions du présent article sont applicables aux périodes d'emploi postérieures au 31 décembre 1998 ; toutefois, la limite prévue au a du I est applicable aux périodes d'emploi postérieures au 31 mars 1999.
I.- Le I bis de l'article L. 241-10 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié : 1° Le 1° est ainsi rédigé : « 1° Des cotisations de sécurité sociale, à hauteur de 2 €, dans les cas autres que celui mentionné au 3° ; » ; 2° Le 2° est abrogé. II.- Le I entre en vigueur pour les cotisations dues au titre des périodes courant à compter du 1er décembre 2015.
I.- La rémunération d'une aide à domicile est exonérée des cotisations patronales de sécurité sociale, à l'exception de celles dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles, lorsque celle- ci est employée effectivement à leur service personnel, à leur domicile ou chez des membres de leur famille, par : a) Des personnes ayant atteint un âge déterminé et dans la limite, par foyer, et pour l'ensemble des rémunérations versées, d'un plafond de rémunération fixé par décret ; b) Des personnes ayant à charge un enfant ouvrant droit au complément de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé mentionné à l'article L. 541-1 ou à la prestation de compensation dans les conditions définies au 1° du III de l'article L. 245-1 du code de l'action sociale et des familles. c) Des personnes titulaires : - soit de l'élément de la prestation de compensation mentionnée au 1° de l'article L. 245-3 du code de l'action sociale et des familles ; - soit d'une majoration pour tierce personne servie au titre de l'assurance invalidité, d'un régime spécial de sécurité sociale ou de l'article L. 18 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre ; - soit d'une prestation complémentaire pour recours à tierce personne servie au titre de la législation des accidents du travail ; d) Des personnes se trouvant, dans des conditions définies par décret, dans l'obligation de recourir à l'assistance d'une tierce personne pour accomplir les actes ordinaires de la vie, sous réserve d'avoir dépassé un âge fixé par décret ; e) Des personnes remplissant la condition de perte d'autonomie prévue à l'article L. 232-2 du code de l'action sociale et des familles, dans des conditions définies par décret. Sauf dans le cas mentionné au a, l'exonération est accordée sur la demande des intéressés par l'organisme chargé du recouvrement des cotisations dans des conditions fixées par arrêté ministériel. Le bénéfice de ces dispositions ne peut se cumuler pour une même aide à domicile avec le complément de libre choix du mode de garde de la prestation d'accueil du jeune enfant versé au titre de la garde à domicile. I bis.- Chaque heure de travail effectuée par les salariés mentionnés à l'article L. 7221-1 du code du travail ouvre droit à une déduction forfaitaire patronale : 1° Des cotisations de sécurité sociale, à hauteur de 2 €, dans les cas autres que celui mentionné au 3° ; (1) 2° Abrogé ; 3° Des cotisations et contributions sociales d'origine légale et conventionnelle, à hauteur de 3,70 €, dans les départements d'outre- mer ainsi que dans les collectivités de Saint- Barthélemy, de Saint- Martin et de Saint- Pierre- et- Miquelon. Ces déductions ne sont cumulables avec aucune exonération de cotisations sociales, ni avec l'application de taux ou d'assiettes spécifiques ou de montants forfaitaires de cotisations. II.- Les particuliers et personnes morales qui ont passé un contrat conforme aux articles L. 442-1 et L. 444-3 du code de l'action sociale et des familles pour l'accueil par des particuliers à leur domicile, à titre onéreux, de personnes mentionnées aux a, c, d et e du I du présent article sont exonérés, dans les conditions prévues à l'avant- dernier alinéa du même I, des cotisations patronales de sécurité sociale, à l'exception de celles dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles, dues sur la rémunération qu'elles versent à ces accueillants familiaux. III.- Sont exonérées de cotisations patronales de sécurité sociale, à l'exception de celles dues au titre des accidents du travail et des maladies professionnelles, les rémunérations versées aux aides à domicile employées sous contrat à durée indéterminée ou sous contrat à durée déterminée pour remplacer les salariés absents ou dont le contrat de travail est suspendu dans les conditions prévues à l'article L. 1242-2 du code du travail, par les structures suivantes : 1° Les associations et entreprises déclarées dans les conditions fixées à l'article L. 7232-1-1 du même code pour l'exercice des activités concernant la garde d'enfant ou l'assistance aux personnes âgées ou handicapées ; 2° Les centres communaux ou intercommunaux d'action sociale ; 3° Les organismes habilités au titre de l'aide sociale ou ayant passé convention avec un organisme de sécurité sociale. Cette exonération s'applique à la fraction des rémunérations versée en contrepartie de l'exécution des tâches effectuées au domicile à usage privatif : a) Des personnes mentionnées au I ; b) Des bénéficiaires soit de prestations d'aide ménagère aux personnes âgées ou handicapées au titre de l'aide sociale légale ou dans le cadre d'une convention conclue entre les structures susmentionnées et un organisme de sécurité sociale, soit des prestations mentionnées au deuxième alinéa de l'article L. 222-3 du code de l'action sociale et des familles ou des mêmes prestations d'aide et d'accompagnement aux familles dans le cadre d'une convention conclue entre ces structures et un organisme de sécurité sociale, dans la limite, pour les tâches effectuées au bénéfice des personnes visées au a du I du présent article, du plafond prévu par ce même a. Le bénéfice du présent III ne peut s'appliquer dans les établissements, centres et services mentionnés aux 2° et 3°, au b du 5° et aux 6°, 7°, 11° et 12° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, au titre des prestations financées par les organismes de sécurité sociale en application de l'article L. 314-3 du même code. Un décret détermine les modalités d'application de l'exonération prévue par le présent III et notamment : - les informations et pièces que les associations, les centres communaux et intercommunaux d'action sociale et les organismes visés au précédent alinéa doivent produire auprès des organismes chargés du recouvrement des cotisations de sécurité sociale du régime général ; - les modalités selon lesquelles les organismes chargés du recouvrement des cotisations de sécurité sociale du régime général vérifient auprès des organismes servant les prestations mentionnées aux b, c, d et e du I ou les prestations d'aide ménagère visées au précédent alinéa que les personnes au titre desquelles cette exonération a été appliquée ont la qualité de bénéficiaires desdites prestations. Les rémunérations des aides à domicile ayant la qualité d'agent titulaire relevant du cadre d'emplois des agents sociaux territoriaux en fonction dans un centre communal ou intercommunal d'action sociale bénéficient d'une exonération de 100 % de la cotisation d'assurance vieillesse due au régime visé au 2° de l'article R. 711-1 du présent code pour la fraction de ces rémunérations remplissant les conditions définies au présent III. IV.- Par dérogation aux dispositions de l'article L. 131-7 du présent code, l'exonération prévue au III n'est pas compensée par le budget de l'Etat. V.- Les dispositions du présent article sont applicables aux périodes d'emploi postérieures au 31 décembre 1998 ; toutefois, la limite prévue au a du I est applicable aux périodes d'emploi postérieures au 31 mars 1999.
La composition de la commission administrative paritaire mentionnée à l'article 1er est fixée ainsi qu'il suit : Membres Titulaires Suppléants a) Représentants du personnel : Adjoint technique principal de 1re classe 1 1 Adjoint technique principal de 2e classe 2 2 Adjoint technique 2 2 b) Représentants de l'administration 5 5 Total 10 10
Le tableau de l'article 2 de l'arrêté du 30 août 2007 susvisé est ainsi modifié : 1° La ligne : « Adjoint technique 2 2 » est remplacée par la ligne : « Adjoint technique 1 1 » 2° La ligne : « b) Représentants de l'administration 5 5 » est remplacée par la ligne : « b) Représentants de l'administration 4 4 » 3° La ligne : « Total 10 10 » est remplacée par la ligne : « Total 8 8 »
La composition de la commission administrative paritaire mentionnée à l'article 1er est fixée ainsi qu'il suit : Membres Titulaires Suppléants a) Représentants du personnel : Adjoint technique principal de 1re classe 1 1 Adjoint technique principal de 2e classe 2 2 Adjoint technique 1 1 b) Représentants de l'administration 4 4 Total 8 8
Pour bénéficier de l'aide définie à l'article 3, les représentations de spectacle vivant doivent être réalisées dans une salle dont la jauge, définie comme l'effectif maximal du public qu'il est possible d'admettre, est inférieure à 300 personnes. Constituent des salles de petite jauge, les lieux dont la jauge, définie comme l'effectif maximal du public qu'il est possible d'admettre dans un établissement, est inférieure à 300 personnes.
Au premier et au deuxième alinéa de l'article 2 du décret du 4 juillet 2018 susvisé, après le mot : « inférieure » sont ajoutés les mots : « ou égale».
Pour bénéficier de l'aide définie à l'article 3, les représentations de spectacle vivant doivent être réalisées dans une salle dont la jauge, définie comme l'effectif maximal du public qu'il est possible d'admettre, est inférieure ou égale à 300 personnes. Constituent des salles de petite jauge, les lieux dont la jauge, définie comme l'effectif maximal du public qu'il est possible d'admettre dans un établissement, est inférieure ou égale à 300 personnes.
L'échelonnement indiciaire applicable aux magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel est fixé ainsi qu'il suit : ÉCHELONS À COMPTER DU 1er JANVIER 2017 À COMPTER DU 1er JANVIER 2018 Indice brut Indice brut Président 7 HEE HEE 6 HED HED 5 HEC HEC 4 HEBbis HEBbis 3 HEB HEB 2 HEA HEA 1 1021 1027 Premier conseiller Echelon spécial HEBbis HEBbis 7 HEB HEB 6 HEA HEA 5 1021 1027 4 946 953 3 876 883 2 807 813 1 755 762 Conseiller 7 755 762 6 706 713 5 659 665 4 593 600 3 533 542 2 477 485 1 434 441
A l'article 1er du décret n° 2017-140 du 6 février 2017 fixant l'échelonnement indiciaire applicable au corps des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, les mots : « A COMPTER DU 1er JANVIER 2018 » sont remplacés par les mots : « A COMPTER DU 1er JANVIER 2019 ».
L'échelonnement indiciaire applicable aux magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel est fixé ainsi qu'il suit : ÉCHELONS À COMPTER DU 1er JANVIER 2017 À COMPTER DU 1er JANVIER 2019 Indice brut Indice brut Président 7 HEE HEE 6 HED HED 5 HEC HEC 4 HEBbis HEBbis 3 HEB HEB 2 HEA HEA 1 1021 1027 Premier conseiller Echelon spécial HEBbis HEBbis 7 HEB HEB 6 HEA HEA 5 1021 1027 4 946 953 3 876 883 2 807 813 1 755 762 Conseiller 7 755 762 6 706 713 5 659 665 4 593 600 3 533 542 2 477 485 1 434 441
Dans le cadre des contrôles diligentés en application des articles mentionnés au dernier alinéa de l' article L. 313- 13, les inspecteurs de l' action sanitaire et sociale assermentés peuvent procéder, sur autorisation judiciaire préalable, à la saisie de tout document, objet ou produit. Le président du tribunal de grande instance dans le ressort duquel est situé l' établissement ou le service concerné statue selon la procédure d' ordonnances sur requête prévue aux articles 493 à 498 du code de procédure civile. L' ordonnance fixe une durée à l' issue de laquelle les mesures ordonnées sont caduques. Cette durée ne peut excéder deux mois. Sauf impossibilité dûment constatée dans le rapport établi à la suite du contrôle, les documents, objets ou produits sont saisis en présence du responsable de l' établissement ou du service concerné ou de la personne habilitée à le représenter et, le cas échéant, en présence de la personne à laquelle ils appartiennent. Ils sont immédiatement inventoriés. L' inventaire comportant une description précise est signé des parties en cause et annexé au rapport établi à la suite du contrôle. Le refus de signer est mentionné dans le rapport et l' inventaire. Toute mesure conservatoire est prise en tant que de besoin. Dans un délai de cinq jours suivant sa clôture, le rapport et son annexe, dressés en trois exemplaires, sont transmis au préfet. Dans ce même délai, une copie est transmise par lettre recommandée avec accusé de réception à l' organisme gestionnaire ainsi qu' au responsable de l' établissement ou du service concerné, à la personne habilitée à le représenter, le cas échéant à la personne à laquelle appartiennent les documents, objets ou produits saisis ainsi qu' au président du conseil général s' il a seul ou conjointement délivré l' autorisation. Le président du tribunal de grande instance est saisi sur simple requête de toute difficulté relative aux opérations de saisie. La mainlevée de la saisie peut être ordonnée par le président du tribunal de grande instance saisi par simple requête de l' inspecteur de l' action sanitaire et sociale, du responsable de l' établissement, du service concerné ou de la personne à laquelle appartiennent les documents, objets ou produits saisis. Il statue, les parties entendues ou appelées. La décision est susceptible d' appel devant le premier président de la cour d' appel dans un délai de quinze jours à compter de sa notification. Pour l' application du présent article, les parties sont dispensées du ministère d' avocat.
L'article R. 313-26 est ainsi modifié : 1° Au premier alinéa, les mots : « et les inspecteurs de l'agence régionale de santé ayant la qualité de médecin » sont insérés avant le mot : « assermentés » ; 2° Au quatrième alinéa, les mots : « au préfet » sont remplacés par les mots : « à l'autorité dont relèvent les inspecteurs et à celle ou celles qui ont délivré l'autorisation » et les mots : « ainsi qu'au président du conseil général s'il a seul ou conjointement délivré l'autorisation » sont supprimés.
Dans le cadre des contrôles diligentés en application des articles mentionnés au dernier alinéa de l' article L. 313- 13, les inspecteurs de l'action sanitaire et sociale et les inspecteurs de l'agence régionale de santé ayant la qualité de médecin assermentés peuvent procéder, sur autorisation judiciaire préalable, à la saisie de tout document, objet ou produit. Le président du tribunal de grande instance dans le ressort duquel est situé l' établissement ou le service concerné statue selon la procédure d' ordonnances sur requête prévue aux articles 493 à 498 du code de procédure civile. L'ordonnance fixe une durée à l'issue de laquelle les mesures ordonnées sont caduques. Cette durée ne peut excéder deux mois. Sauf impossibilité dûment constatée dans le rapport établi à la suite du contrôle, les documents, objets ou produits sont saisis en présence du responsable de l'établissement ou du service concerné ou de la personne habilitée à le représenter et, le cas échéant, en présence de la personne à laquelle ils appartiennent. Ils sont immédiatement inventoriés. L'inventaire comportant une description précise est signé des parties en cause et annexé au rapport établi à la suite du contrôle. Le refus de signer est mentionné dans le rapport et l'inventaire. Toute mesure conservatoire est prise en tant que de besoin. Dans un délai de cinq jours suivant sa clôture, le rapport et son annexe, dressés en trois exemplaires, sont transmis à l'autorité dont relèvent les inspecteurs et à celle ou celles qui ont délivré l'autorisation. Dans ce même délai, une copie est transmise par lettre recommandée avec accusé de réception à l'organisme gestionnaire ainsi qu'au responsable de l'établissement ou du service concerné, à la personne habilitée à le représenter, le cas échéant à la personne à laquelle appartiennent les documents, objets ou produits saisis. Le président du tribunal de grande instance est saisi sur simple requête de toute difficulté relative aux opérations de saisie. La mainlevée de la saisie peut être ordonnée par le président du tribunal de grande instance saisi par simple requête de l' inspecteur de l' action sanitaire et sociale, du responsable de l' établissement, du service concerné ou de la personne à laquelle appartiennent les documents, objets ou produits saisis. Il statue, les parties entendues ou appelées. La décision est susceptible d' appel devant le premier président de la cour d' appel dans un délai de quinze jours à compter de sa notification. Pour l'application du présent article, les parties sont dispensées du ministère d' avocat.
L'échelonnement indiciaire applicable aux différents grades du corps des ingénieurs des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat est fixé ainsi qu'il suit : GRADES, CLASSES ET ÉCHELONS INDICES BRUTS Ingénieur divisionnaire des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 8e échelon 966 7e échelon 916 6e échelon 864 5e échelon 811 4e échelon 759 3e échelon 701 2e échelon 641 1er échelon 593 Ingénieur des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 11e échelon 801 10e échelon 750 9e échelon 710 8e échelon 668 7e échelon 621 6e échelon 588 5e échelon 540 4e échelon 492 3e échelon 458 2e échelon 430 1er échelon 379 Elève ingénieur des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 2e année 359 1re année 340
Le tableau figurant à l'article 1er du décret du 9 novembre 2010 susviséest remplacé par le tableau suivant : « ÉCHELONS INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2017 INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2018 INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2019 INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2020 Ingénieur hors classe des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat Echelon spécial HEA HEA HEA HEA 5e échelon 1022 1027 1 027 1 027 4e échelon 979 985 995 995 3e échelon 929 935 946 946 2e échelon 882 888 896 896 1er échelon 834 841 850 850 Ingénieur divisionnaire des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 9e échelon - - - 1 015 8e échelon 979 985 995 995 7e échelon 929 935 946 946 6e échelon 879 885 896 896 5e échelon 826 833 837 837 4e échelon 778 784 791 791 3e échelon 713 720 721 721 2e échelon 653 659 665 665 1er échelon 603 610 619 619 Ingénieur des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 10e échelon 810 816 821 821 9e échelon 758 765 774 774 8e échelon 724 731 739 739 7e échelon 679 686 697 697 6e échelon 633 640 646 646 5e échelon 597 604 611 611 4e échelon 551 558 565 565 3e échelon 505 512 518 518 2e échelon 464 471 484 484 1er échelon 434 441 444 444 Elève ingénieur des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 2e année 359 359 359 359 1re année 340 340 340 340 »
L'échelonnement indiciaire applicable aux différents grades du corps des ingénieurs des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat est fixé ainsi qu'il suit : ÉCHELONS INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2017 INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2018 INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2019 INDICES BRUTS à compter du 1er janvier 2020 Ingénieur hors classe des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat Echelon spécial HEA HEA HEA HEA 5e échelon 1022 1027 1 027 1 027 4e échelon 979 985 995 995 3e échelon 929 935 946 946 2e échelon 882 888 896 896 1er échelon 834 841 850 850 Ingénieur divisionnaire des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 9e échelon - - - 1 015 8e échelon 979 985 995 995 7e échelon 929 935 946 946 6e échelon 879 885 896 896 5e échelon 826 833 837 837 4e échelon 778 784 791 791 3e échelon 713 720 721 721 2e échelon 653 659 665 665 1er échelon 603 610 619 619 Ingénieur des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 10e échelon 810 816 821 821 9e échelon 758 765 774 774 8e échelon 724 731 739 739 7e échelon 679 686 697 697 6e échelon 633 640 646 646 5e échelon 597 604 611 611 4e échelon 551 558 565 565 3e échelon 505 512 518 518 2e échelon 464 471 484 484 1er échelon 434 441 444 444 Elève ingénieur des travaux géographiques et cartographiques de l'Etat 2e année 359 359 359 359 1re année 340 340 340 340
Les commissions contentieuses et la commission supérieure des soins gratuits ont qualité : 1° Pour opérer tous redressements et abattements sur les mémoires qui leur sont déférés ; 2° Pour imputer à l'une des parties en cause, soit isolément, soit conjointement, les sommes indûment réclamées à l'Etat ; 3° Pour adresser des avertissements en cas de contravention aux dispositions du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre relatives aux soins gratuits ; 4° Pour prononcer éventuellement, en cas de fraude ou abus caractérisé, l'exclusion temporaire ou définitive du droit de recevoir ou de délivrer des soins ou produits au titre de l'article L. 115 dudit code.
Le décret du 20 février 1959 susvisé est modifié ainsi qu'il suit : 1° A l'article 4, les mots : « Les commissions contentieuses et la commission supérieure des soins gratuits » sont remplacés par les mots : « Les tribunaux départementaux des pensions, ou les tribunaux des pensions dans les collectivités d'outre- mer, et les cours régionales des pensions, ou les cours des pensions d'outre- mer dans les collectivités d'outre- mer, » ; 2° Les articles 3-1 et 5 sont abrogés.
Les tribunaux départementaux des pensions, ou les tribunaux des pensions dans les collectivités d'outre- mer, et les cours régionales des pensions, ou les cours des pensions d'outre- mer dans les collectivités d'outre- mer, ont qualité : 1° Pour opérer tous redressements et abattements sur les mémoires qui leur sont déférés ; 2° Pour imputer à l'une des parties en cause, soit isolément, soit conjointement, les sommes indûment réclamées à l'Etat ; 3° Pour adresser des avertissements en cas de contravention aux dispositions du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre relatives aux soins gratuits ; 4° Pour prononcer éventuellement, en cas de fraude ou abus caractérisé, l'exclusion temporaire ou définitive du droit de recevoir ou de délivrer des soins ou produits au titre de l'article L. 115 dudit code.
1° Pour les enfants âgés de 2 mois à moins de 1 an lors de la première injection, le schéma de vaccination recommandé est de 4 doses, soit 3 doses de primo- vaccination et 1 rappel une année après la troisième injection. 2° Pour les enfants âgés de plus de 1 an, les adolescents et les adultes, le schéma vaccinal recommandé est de trois doses, soit deux doses de primo- vaccination et un rappel six mois après la deuxième injection.
L'article 3 de l'arrêté du 21 avril 2011 relatif à la recommandation d'une vaccination contre les infections invasives à méningocoque B : 14 : P1-7,16 en Seine- Maritime, dans la Somme et dans la Manche et aux modalités d'organisation de cette vaccination est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 3.-1° Dans les cantons mentionnés aux 1° et 2° de l'article 1er, le schéma de vaccination recommandé pour les personnes âgées de 2 mois à 24 ans révolus, nouvellement éligibles à la vaccination, est de quatre doses de vaccin MenBvac avec l'injection des trois premières doses à six semaines d'intervalle et un rappel pratiqué un an après l'injection de la troisième dose. 2° Dans les cantons mentionnés aux 1° et 2° de l'article 1er, un rattrapage vaccinal est recommandé aux personnes ayant déjà reçu le schéma à trois doses mis en œuvre à compter de l'avis du Haut Conseil de la santé publique du 19 mars 2008 relatif à la vaccination contre les infections invasives à méningocoque B : 14 : P1-7,16 avec le vaccin MenBvac en Seine- Maritine, dans la zone de Dieppe, selon les modalités suivantes : ― les personnes ayant reçu les deux premières doses selon le schéma à trois doses mis en œuvre à compter du 19 mars 2008, à savoir l'injection des deux premières doses à six semaines d'intervalle et un rappel six mois après, continuent leur vaccination selon le schéma à quatre doses prévu au 1° et reçoivent en conséquence une troisième dose six semaines au moins après la deuxième dose et un rappel un an après l'injection de la troisième dose ; ― les personnes ayant été complètement vaccinées selon le schéma vaccinal à trois doses mis en œuvre à compter du 19 mars 2008, soit par l'injection de trois doses de vaccin MenBvac dont les deux premières à six semaines d'intervalle et un rappel six mois après, se voient proposer l'injection d'un second rappel au moins un an après le premier rappel. »
1° Dans les cantons mentionnés aux 1° et 2° de l'article 1er, le schéma de vaccination recommandé pour les personnes âgées de 2 mois à 24 ans révolus, nouvellement éligibles à la vaccination, est de quatre doses de vaccin MenBvac avec l'injection des trois premières doses à six semaines d'intervalle et un rappel pratiqué un an après l'injection de la troisième dose. 2° Dans les cantons mentionnés aux 1° et 2° de l'article 1er, un rattrapage vaccinal est recommandé aux personnes ayant déjà reçu le schéma à trois doses mis en œuvre à compter de l'avis du Haut Conseil de la santé publique du 19 mars 2008 relatif à la vaccination contre les infections invasives à méningocoque B : 14 : P1-7,16 avec le vaccin MenBvac en Seine- Maritine, dans la zone de Dieppe, selon les modalités suivantes : - les personnes ayant reçu les deux premières doses selon le schéma à trois doses mis en œuvre à compter du 19 mars 2008, à savoir l'injection des deux premières doses à six semaines d'intervalle et un rappel six mois après, continuent leur vaccination selon le schéma à quatre doses prévu au 1° et reçoivent en conséquence une troisième dose six semaines au moins après la deuxième dose et un rappel un an après l'injection de la troisième dose ; - les personnes ayant été complètement vaccinées selon le schéma vaccinal à trois doses mis en œuvre à compter du 19 mars 2008, soit par l'injection de trois doses de vaccin MenBvac dont les deux premières à six semaines d'intervalle et un rappel six mois après, se voient proposer l'injection d'un second rappel au moins un an après le premier rappel.
Immédiatement après la fin du dépouillement, le procès- verbal des opérations électorales par circonscription est rédigé par le président du conseil d'administration de la caisse de mutualité sociale agricole ou son représentant. Il est établi en deux exemplaires. Les délégués des listes ou des candidats des premier et troisième collèges en présence sont obligatoirement invités à contresigner ces deux exemplaires. L'un est déposé au siège social de la caisse de mutualité sociale agricole, l'autre est immédiatement remis à la commission électorale. Les pièces fournies à l'appui des réclamations et des décisions prises par le président du conseil d'administration de la caisse de mutualité sociale agricole ou son représentant ainsi que les feuilles de dépouillement sont jointes au procès- verbal. Les bulletins autres que ceux qui doivent être annexés au procès- verbal sont détruits.
L'article R. 723-70 du même code est ainsi modifié : 1° Le premier alinéa est remplacé par un alinéa ainsi rédigé : « Immédiatement après la fin du dépouillement des votes par voie électronique et des votes par correspondance, les résultats sont consolidés et font l'objet de l'édition d'un procès- verbal des opérations électorales par circonscription, sous la responsabilité du président du conseil d'administration de la caisse de mutualité sociale agricole ou de son représentant. » ; 2° Au dernier alinéa, après les mots : « Les bulletins », sont insérés les mots : « de vote par correspondance ».
Immédiatement après la fin du dépouillement des votes par voie électronique et des votes par correspondance, les résultats sont consolidés et font l'objet de l'édition d'un procès- verbal des opérations électorales par circonscription, sous la responsabilité du président du conseil d'administration de la caisse de mutualité sociale agricole ou de son représentant. Il est établi en deux exemplaires. Les délégués des listes ou des candidats des premier et troisième collèges en présence sont obligatoirement invités à contresigner ces deux exemplaires. L'un est déposé au siège social de la caisse de mutualité sociale agricole, l'autre est immédiatement remis à la commission électorale. Les pièces fournies à l'appui des réclamations et des décisions prises par le président du conseil d'administration de la caisse de mutualité sociale agricole ou son représentant ainsi que les feuilles de dépouillement sont jointes au procès- verbal. Les bulletins de vote par correspondance autres que ceux qui doivent être annexés au procès- verbal sont détruits.
(Art.A. 212-1 du code du sport) A. - Diplômes et titres délivrés par le ministère chargé de l'enseignement supérieur INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE DEUG "sciences et techniques des activités physiques et sportives : animateur- technicien des activités physiques pour tous". Encadrement et animation auprès de tous publics des activités physiques ou sportives à un niveau d'initiation, d'entretien ou de loisir. Toute activité physique ou sportive auprès de tous publics, à l'exclusion des pratiques compétitives. DEUST "activités physiques et sportives adaptées : déficiences intellectuelles, troubles psychiques". Encadrement des activités physiques ou sportives auprès de personnes souffrant de déficiences intellectuelles et de troubles psychiques. Toute activité physique ou sportive visant l'amélioration de l'intégration sociale. DEUST "activités physiques et sportives et inadaptations sociales". Encadrement des activités physiques ou sportives auprès de personnes présentant des inadaptations sociales. Toute activité physique ou sportive visant l'amélioration de l'intégration sociale. DEUST "action, commercialisation des services sportifs". Encadrement des pratiques physiques liées aux loisirs. Toute pratique sportive de loisir auprès de tout public, à l'exclusion des personnes ayant un handicap, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. DEUST "manager de club sportif". Encadrement des activités physiques ou sportives. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des personnes ayant un handicap, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. DEUST "métiers de la forme". Encadrement pour tous publics d'activités physiques dans le secteur des métiers de la forme. Toute activité physique des métiers de la forme liée au développement et à l'entretien du bien- être et de la santé. DEUST "pratique et gestion des activités physiques et sportives et de loisirs pour les publics seniors". Encadrement des activités physiques ou sportives de publics seniors. Toute activité sportive adaptée à la prévention du vieillissement, visant à entretenir et améliorer la condition physique des publics seniors. DEUST "animation et gestion des activités physiques, sportives ou culturelles". Animation auprès de tous publics par la découverte des activités physiques, sportives ou culturelles et par l'initiation à ces activités. Animation auprès de tous publics, à l'exclusion : - des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique ; - des pratiques compétitives. Licence professionnelle "santé, option vieillissement et activités physiques adaptées". Encadrement des activités physiques ou sportives de publics seniors. Toute activité sportive adaptée à la prévention du vieillissement, visant à entretenir et améliorer la condition physique des publics seniors. Licence professionnelle "activités sportives, option remise en forme et loisirs sportifs associés : responsable d'équipe de projets". Encadrement pour tous publics d'activités physiques dans le secteur des métiers de la forme. Toute activité physique des métiers de la forme, liée au développement et à l'entretien du bien- être et de la santé. Licence professionnelle activités sportives, spécialité "développement social et médiation par le sport". Encadrement et animation auprès de tous publics, des activités physiques et sportives. Encadrement et animation auprès de tous publics, à l'exclusion : - des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique ; - des pratiques compétitives. Licence professionnelle activités sportives, spécialité "métiers de la forme". Encadrement auprès de tous publics d'activités physiques dans le secteur des métiers de la forme. Licence professionnelle "animation, gestion et organisation des activités physiques ou sportives". Encadrement auprès de tous publics à des fins d'initiation, d'entretien ou de loisir dans la ou les discipline (s) mentionnée (s) dans l'annexe descriptive au diplôme visée à l'article D. 123-13 du code de l'éducation. Licence "éducation et motricité", filière "sciences et techniques des activités physiques et sportives". Encadrement et enseignement des activités physiques ou sportives auprès des enfants, adolescents et jeunes adultes. Licence "entraînement sportif ", filière "sciences et techniques des activités physiques et sportives". Encadrement de différents publics à des fins d'amélioration de la performance ou de développement personnel dans la (les) discipline (s) mentionnée (s) à l'article D. 123-13 du code de l'éducation. Licence "activité physique adaptée et santé", filière "sciences et techniques des activités physiques et sportives". Encadrement des activités physiques ou sportives à destination de différents publics dans une perspective de prévention- santé ou de réadaptation ou d'intégration de personnes présentant l'altération d'une fonction physique ou psychique. B. - Diplômes et titres délivrés par le ministère chargé de l'agriculture Néant. C. - Diplômes délivrés par le ministère chargé des sports INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Brevet d'Etat d'éducateur sportif (BEES) BEES, option "métiers de la forme". Enseignement des méthodes et techniques visant à entretenir et améliorer la condition physique ; conduite de séances de préparation physique sportive. BEES, option "activités gymniques" (gymnastique générale, gymnastique artistique féminine, gymnastique artistique masculine, gymnastique rythmique et sportive, aérobic). Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique sportive féminine". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique sportive masculine". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique sportive masculine et féminine". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique rythmique et sportive". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "haltérophilie, culturisme, musculation éducative, sportive et d'entretien". Enseignement de l'haltérophilie, du culturisme, de la musculation éducative, sportive et d'entretien dans tout établissement. BEES, option "animation des activités physiques pour tous". Encadrement des activités physiques ou sportives dans une perspective de découverte des activités encadrées, de développement et de maintien des capacités physiques individuelles dans tout établissement. A l'exclusion de toute activité d'entraînement ou d'approfondissement d'une discipline sportive. BEES, option "activités physiques et sportives adaptées". Enseignement des activités physiques ou sportives adaptées auprès des personnes déficientes intellectuelles ou des personnes atteintes de troubles psychiques. Enseignement de la natation sous la surveillance d'un maître- nageur sauveteur. BEES, option "sports pour handicapés physiques et sensoriels" (options principales : athlétisme, basket- ball en fauteuil roulant, développé couché et musculation, tennis de table, tir à l'arc, volley- ball, natation, ski alpin, ski nordique de fond). Enseignement des activités physiques ou sportives adaptées auprès des personnes handicapées physiques et sensorielles. Enseignement de la natation dans les seuls établissements spécialisés, sous la surveillance d'un maître- nageur sauveteur. Enseignement du ski alpin et du ski nordique réservé aux personnes ayant choisi ces disciplines en option. BEES, option "activités de la natation". Enseignement des activités de la natation, entraînement à la compétition et surveillance des baignades dans tout lieu de baignade ou établissement de natation. Sous réserve de la présentation du certificat quinquennal d'aptitude à l'exercice de la profession de maître- nageur sauveteur, en cours de validité. BEES, option "aviron". Enseignement de l'aviron dans tout établissement. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Dans les rivières jusqu'à la classe 3. En mer jusqu'à un mille d'un abri et par vent jusqu'à 3 Beaufort. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du certificat de qualification complémentaire (CQC) entraînement à la compétition. Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement de séances ou stages d'entraînement. Dans les rivières jusqu'à la classe 3. En mer jusqu'à un mille d'un abri et par vent jusqu'à 3 Beaufort. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du "CQC mer". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement des sorties en mer, y compris vent supérieur à force 3 Beaufort ou à plus d'un mille d'un abri accessible et conduite des séances d'apprentissage et d'entraînement de canoë- kayak de vagues. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du "CQC raft en eaux vives". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement du canoë- kayak et du raft, y compris dans les rivières de classe supérieure à 3. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du "CQC nage en eaux vives". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement du canoë- kayak et de la nage en eaux vives y compris dans les rivières de classe supérieure à 3. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du CQC "canoë- kayak en eaux vives". Organisation et enseignement du canoë- kayak sur rivières de toutes classes. BEES, option "char à voile". Enseignement du char à voile dans tout établissement. BEES, option "plongée subaquatique". Enseignement de la plongée subaquatique dans les conditions techniques et de sécurité prévues par la réglementation. BEES, option "ski nautique". Enseignement et organisation des activités de ski nautique sous toutes leurs formes, dans tout établissement. BEES, option "surf". Enseignement des activités du surf dans tout établissement. BEES, option "voile". Enseignement de la voile (catamarans, dériveurs, planches à voile, habitables) dans tout établissement. BEES, option "aïkido", spécialité "aïkido". Enseignement de l'aïkido dans tout établissement. BEES, option "aïkido", spécialité "aïkibudo". Enseignement de l'aïkibudo dans tout établissement. BEES, option "boxe anglaise". Enseignement de la boxe anglaise dans tout établissement, avec le titre de prévôt. BEES, option "boxe française". Enseignement de la boxe française dans tout établissement. BEES, option "escrime". Enseignement de l'escrime (épée, fleuret, sabre) dans tout établissement, avec le titre de maître d'armes. BEES, option "judo, jujitsu". Enseignement du judo et des disciplines associées dans tout établissement. BEES, option "karaté et arts martiaux affinitaires". Enseignement du karaté et des arts martiaux affinitaires dans tout établissement. BEES, option "lutte". Enseignement de la lutte dans tout établissement. BEES, option "sambo". Enseignement du sambo dans tout établissement. BEES, option "taekwondo et disciplines associées". Enseignement du taekwondo et des disciplines associées dans tout établissement. BEES, option "athlétisme". Enseignement de l'athlétisme (vitesse, haies, demi- fond, fond, marche, sauts, lancers) dans tout établissement. BEES, option "badminton". Enseignement du badminton dans tout établissement. BEES, option "billard". Enseignement du billard (billard français, américain, pool anglais) dans tout établissement. BEES, option "bobsleigh". Enseignement du bobsleigh dans tout établissement. BEES, option "hockey sur glace". Enseignement du hockey sur glace dans tout établissement. BEES, option "patinage sur glace". Enseignement du patinage sur glace dans tout établissement. BEES, option "patinage artistique". Enseignement du patinage sur glace, et notamment du patinage artistique dans tout établissement. BEES, option "patinage de vitesse". Enseignement du patinage sur glace, et notamment du patinage de vitesse dans tout établissement. BEES, option "patinage danse". Enseignement du patinage sur glace, et notamment du patinage danse dans tout établissement. BEES, option "roller- skating". Enseignement du roller- skating (patinage artistique, rink hockey, course, danse, randonnée, roller acrobatique, roller in line hockey, skateboard) dans tout établissement BEES, option "penthlaton moderne". Enseignement du penthlaton moderne dans tout établissement. BEES, option "motocyclisme". Enseignement du motocyclisme dans tout établissement. BEES, option "motocyclisme" assorti du CQC "sécurité routière des cyclomotoristes". Enseignement du motocyclisme dans tout établissement. Encadrement de stages d'initiation à la conduite de cyclomoteurs dont le déroulement s'effectue en partie sur la voie publique et qui conduisent à la délivrance du brevet de sécurité routière valant autorisation de conduite des cyclomoteurs. BEES, option "trampoline et sports acrobatiques". Enseignement du trampoline et des sports acrobatiques dans tout établissement : trampoline, double mini- tramp, tumbling, acrosport. BEES, option "golf". Enseignement du golf et des disciplines associées dans tout établissement BEES, option "tennis". Enseignement du tennis dans tout établissement. BEES, option "tennis de table". Enseignement du tennis de table dans tout établissement. BEES, option "squash". Enseignement du squash dans tout établissement. BEES, option "tir à l'arc". Enseignement du tir à l'arc dans tout établissement. BEES, option "tir sportif". Enseignement du tir sportif dans tout établissement : - plateau : double trap, fosse olympique, skeet olympique, fosse américaine ; - cible : arbalète, carabine, pistolet, sanglier courant. BEES, option "sport- boules". Enseignement du sport- boules dans tout établissement. BEES, option "pelote basque". Enseignement de la pelote basque dans tout établissement. BEES, option "activités du cyclisme". Enseignement des activités du cyclisme dans tout établissement. BEES, option "cyclisme", spécialité "cyclisme traditionnel". Enseignement du cyclisme traditionnel dans tout établissement : route, piste, cyclo- cross. BEES, option "cyclisme", spécialité "bicross". Enseignement du bicross dans tout établissement. BEES, option "cyclisme", spécialité "cyclisme en salle". Enseignement du cyclisme en salle dans tout établissement. BEES, option "cyclisme", spécialité "vélo tout terrain (VTT)". Enseignement du vélo tout terrain dans tout établissement. BEES, option "cyclisme" assorti du CQC "VTT en milieu montagnard". Enseignement de la spécialité et de l'activité VTT en milieu montagnard dans tout établissement BEES, option "course d'orientation". Enseignement et conduite de la course d'orientation dans tout établissement. BEES, option "équitation - activités équestres". Enseignement des activités équestres dans tout établissement. BEES, option "parachutisme", spécialité "progression traditionnelle (TRAD)". Enseignement de la TRAD dans tout établissement. BEES, option "parachutisme", spécialité "progression accompagnée en chute libre (PAC)". Enseignement de la PAC dans tout établissement. BEES, option "parachutisme", spécialité "parachute biplace (tandem)". Enseignement du parachute biplace (tandem) dans tout établissement. BEES, option "vol libre", spécialité "parapente". Enseignement du parapente dans tout établissement. BEES, option "vol libre", spécialité "delta". Enseignement du delta dans tout établissement. BEES, option "spéléologie" délivré avant le 31 décembre 1996. Encadrement de la spéléologie dans toute cavité et tout établissement. BEES, option "spéléologie" délivré après le 1er janvier 1997. Enseignement de la spéléologie dans toutes cavités, canyons, lieux d'entraînement pour tous publics et dans le respect du milieu naturel. BEES, option "escalade" délivré avant le 31 décembre 1996. Enseignement de la discipline sur des structures artificielles d'escalade à toute altitude et sur des sites naturels d'escalade situés à une altitude inférieure à 1 500 m. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. BEES, option "escalade" délivré après le 1er janvier 1997. Enseignement de la discipline sur des structures artificielles d'escalade et dans les canyons à caractéristiques verticales et aquatiques nécessitant l'usage d'agrès à toute altitude et sur des sites naturels d'escalade situés à une altitude inférieure à 1 500 m. A l'exclusion : - des sites enneigés ou de ceux dont l'accès ne peut s'effectuer qu'en traversant des zones enneigées ; - des sites dont la fréquentation fait appel aux techniques de la neige et de la glace. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'aspirant guide du brevet d'Etat d'alpinisme. Encadrement et conduite de personnes dans des excursions ou des ascensions : - alpinisme (randonnée, rocher, neige, glace et mixte) : randonnées à toutes altitudes ; courses faciles et peu difficiles ; courses AD, D, TD ; courses hivernales ; - ski- alpinisme ; - escalade sportive. Enseignement des techniques d'alpinisme, de ski de randonnée, de ski- alpinisme et ski hors pistes et entraînement aux pratiques de compétition dans ces disciplines. Alpinisme : - courses faciles et peu difficiles jusqu'à 5 000 m ; - courses AD, D, TD jusqu'à 3 500 m ; - courses hivernales jusqu'à 2 000 m sans limitation de difficulté. Ski- alpinisme jusqu'à 4 000 m et pour des randonnées à ski de 2 jours maximum (une seule nuit en refuge). Escalade sportive jusqu'à 2 000 m sans limitation de difficulté. Enseignement des techniques d'alpinisme, de ski de randonnée, de ski- alpinisme et ski hors pistes et entraînement aux pratiques de compétition dans les mêmes limites. Ces limites sont sans objet lorsque les activités sont placées sous la conduite d'un guide. Diplôme de guide de haute montagne du brevet d'Etat d'alpinisme délivré avant le 31 décembre 1996. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions ou des ascensions de montagne en rocher, neige, glace et terrain mixte. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions de ski de randonnée, ski alpinisme et en ski hors pistes. Enseignement des techniques d'alpinisme, d'escalade et de ski de randonnée, ski alpinisme et ski hors pistes. Entraînement aux pratiques de compétition dans les disciplines précitées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme de guide de haute montagne du brevet d'Etat d'alpinisme délivré après le 1er janvier 1997. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions ou des ascensions de montagne en rocher, neige, glace et terrain mixte. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions de ski de randonnée, ski alpinisme et en ski hors pistes. Enseignement des techniques d'alpinisme, d'escalade et de ski de randonnée, ski alpinisme et ski hors pistes. Entraînement aux pratiques de compétition dans les disciplines précitées. Encadrement et enseignement de la pratique des canyons à caractéristiques verticales et aquatiques nécessitant l'usage d'agrès. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme de guide de haute montagne du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du CQC "VTT en milieu montagnard". Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions ou des ascensions de montagne en rocher, neige, glace et terrain mixte. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions de ski de randonnée, ski alpinisme et en ski hors pistes. Enseignement des techniques d'alpinisme, d'escalade et de ski de randonnée, ski alpinisme et ski hors pistes. Entraînement aux pratiques de compétition dans les disciplines précitées. Enseignement de l'activité VTT en milieu montagnard. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'accompagnateur en moyenne montagne (AMM) du brevet d'Etat d'alpinisme délivré en application de l'arrêté du 5 juin 1985 modifié fixant les conditions de délivrance du diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme. Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de toute pratique de la moyenne montagne enneigée. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme délivré en application de l'arrêté du 10 mai 1993 relatif au brevet d'Etat d'alpinisme. Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti de la qualification "pratique de la moyenne montagne enneigée". Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du brevet national de pisteur- secouriste 2e degré ou option "ski alpin" 2e degré ou option "ski nordique" 2e degré. Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du BEES du 1er degré, option "ski alpin" ou option "ski nordique". Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. Prérogatives conférées aux titulaires du BEES, option ski alpin » ou ski nordique » selon la spécialité. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme, option "moyenne montagne tropicale". Conduite et encadrement de personnes en moyenne montagne tropicale, animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion des rochers, des canyons, des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du CQC "VTT en milieu montagnard". Enseignement de l'activité VTT en milieu montagnard. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme, option "moyenne montagne tropicale". Conduite et encadrement de personnes en moyenne montagne tropicale, animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion des rochers, des canyons, des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme, option "moyenne montagne tropicale" assorti du CQC "encadrement du canyon en milieu tropical". Encadrement de personnes dans les canyons situés en milieu tropical. BEES, option "ski alpin". Enseignement et entraînement en ski alpin et activités assimilées à l'ensemble des classes de la progression du ski alpin définies par le Conseil supérieur des sports de montagne (CSSM). Permet d'exercer sur pistes et hors pistes. Confère le titre de moniteur national. A l'exclusion des zones glaciaires non balisées et des terrains dont la fréquentation fait appel aux techniques de l'alpinisme. BEES, option "ski nordique de fond". Enseignement, encadrement et animation du ski nordique de fond sous toutes ses formes, dans toutes les classes de la progression de l'enseignement du ski nordique de fond définie par le CSSM, y compris la classe compétition. Confère le titre de moniteur national. BEES, option "football". Enseignement du football dans tout établissement. BEES, option "baseball et softball". Enseignement du baseball et du softball dans tout établissement. BEES option "basket- ball". Enseignement du basket- ball dans tout établissement. BEES, option "handball". Enseignement du handball dans tout établissement. BEES, option "volley- ball". Enseignement du volley- ball dans tout établissement. BEES, option "hockey sur gazon". Enseignement du hockey sur gazon dans tout établissement. BEES, option "rugby". Enseignement du rugby dans tout établissement. BEES, option "rugby à XIII". Enseignement du rugby à XIII dans tout établissement. Brevet d'aptitude professionnelle d'assistant animateur technicien de la jeunesse et des sports (BAPAAT) BAPAAT, options "loisirs du jeune et de l'enfant" ; "loisirs tout public dans les sites et structures d'accueil collectif" ; "loisirs de pleine nature". Supports techniques du BAPAAT Bicross. Initiation au bicross, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié relatif à l'organisation et aux conditions de préparation et de délivrance du BAPAAT. Escalade. Initiation à l'escalade, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Poney. Animation de l'activité poney, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée équestre. Accompagnement de randonnée équestre avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, raft. Initiation au raft, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, canoë- kayak. Initiation au canoë- kayak, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, nage en eau vive. Initiation à la nage en eau vive, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, kayak en mer. Initiation au kayak en mer, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Spéléologie. Initiation à la spéléologie, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Vélo tout terrain (VTT). Initiation au VTT, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée pédestre. Conduite de randonnées pédestres, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Course d'orientation. Encadrement de la course d'orientation, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Jeux sportifs collectifs. Animation des jeux sportifs collectifs, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Roller skating. Animation de l'activité roller skating, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Tennis de table. Animation de la pratique du tennis de table, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Tir à l'arc. Animation de la pratique du tir à l'arc, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Swin. Animation de la pratique du swin, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée équestre et brevet d'études professionnelles agricoles, option "activités hippiques, support technique "randonnée équestre". Conduite de randonnées équestres dans les conditions prévues par l'arrêté du 14 septembre 1993 créant une spécialité "accompagnement de randonnée équestre" du brevet d'études professionnelles agricoles, option "activités hippiques", et fixant les modalités de certification conjointe avec le BAPAAT, support technique "randonnée équestre". Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport (BP JEPS) BP JEPS, spécialité "activités équestres". Mentions de la spécialité "activités équestres" Equitation. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en équitation. Tourisme équestre. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en tourisme équestre. Equitation western. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en équitation western. Equitation de tradition et de travail. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en équitation de tradition et de travail. Attelage. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en attelage. BP JEPS, spécialité "activités nautiques". Mentions monovalentes de la spécialité "activités nautiques" Aviron. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en aviron. Canoë- kayak. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak. Pour tout public, en eau calme, en rivière jusqu'en classe III incluse, en mer dans la limite de la navigation en 6e catégorie sur des parcours connus et reconnus, au maximum par vent de force 4 sur le site d'évolution. Conduite des séances d'initiation en kayak de vagues. Char à voile. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en char à voile. Char à voile en pratique assise et allongée, en pratique debout, en pratique tractée, pour tout public et pour tout lieu de pratique de l'activité aménagé et ouvert. Glisse aérotractée. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en glisse aérotractée. Activités de cerf- volant, de cerf- volant de traction terrestre, de cerf- volant de traction nautique ou de planche nautique ou de planche nautique tractée dite "kitesurf", pour tout public et sur tout lieu nautique ou terrestre de pratique de l'activité. Motonautisme. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en motonautisme. Activités de jet, bateau à moteur, engins tractés, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Ski nautique. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en ski nautique. Activités du ski nautique et des disciplines associées (téléski nautique, wakeboard, nu- pied et courses), pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Voile. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en voile. Activités de multicoque, dériveur, croisière (jusqu'à 12 milles nautiques d'un abri) et planche à voile pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Au- delà de 12 milles nautiques d'un abri, possibilité d'encadrer en croisière au sein d'une flottille et sous la responsabilité d'un chef de flottille possédant les diplômes requis. Mentions plurivalentes de la spécialité "activités nautiques" Groupe A Aviron de mer. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en aviron de mer. Sur des bateaux d'aviron utilisables en mer, pour tout public, sur le milieu marin. Sur tout type de bateaux, pour tout public sur des plans d'eau calmes, abrités et délimités. Aviron d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Pour tout public, en eau calme et en rivière, jusqu'en classe III incluse. Groupe B Canoë- kayak "eau calme et rivière d'eau vive". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak "eau calme et rivière d'eau vive". Sur tout support (à l'exception des activités tractées), pour tout public, sur parcours école aménagés (mille mètres maximum). Canoë- kayak "eau calme, mer et vagues". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak "eau calme, mer et vagues". Pour tout public en eau calme et en mer, dans la limite de la navigation en 6e catégorie sur des parcours connus et reconnus, au maximum par vent de force 4 sur le site d'évolution. Conduite de séances d'initiation en kayak de vagues. Groupe C Char à voile d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en char à voile. Groupe D Croisière côtière. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en croisière côtière. Sur des voiliers autres que les embarcations légères de plaisance, pour tout public, jusqu'à 12 milles nautiques d'un abri. Au- delà, possibilité d'encadrer en croisière au sein d'une flottille et sous la responsabilité d'un chef de flottille possédant les diplômes requis. Multicoques et dériveurs. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en multicoques et dériveurs. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Planche à voile. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en planche à voile. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Groupe E Ski nautique d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en ski nautique. Activités du ski nautique (bi ski, wakeboard), pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Groupe F Jet (véhicule nautique à moteur). Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en jet. Activités de véhicule nautique à moteur, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Bateau à moteur d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Tous types de bateaux définis, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Engins tractés. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en engins tractés. Pratique d'engins flottants tractés sur l'eau (bouées, ski, bus, fly fish..) pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Groupe G Parachutisme ascensionnel nautique. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en parachutisme ascensionnel nautique. Avec des voitures hémisphériques à tuyères, dans tous les modes de pratique, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités nautiques" UCC "aviron de mer". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en aviron de mer. Sur des bateaux d'aviron utilisables en mer, pour tout public, sur le milieu marin. UCC "aviron d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Sur tout type de bateau, pour tout public, sur des plans d'eau calmes, abrités et délimités. UCC "canoë- kayak, eau calme, mer et vagues". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak, eau calme, mer et vagues. Pour tout public, en eau calme et en mer, dans la limite de la navigation en 6e catégorie sur des parcours connus et reconnus, au maximum par vent de force 4 sur le site d'évolution. Conduite de séances d'initiation en kayak de vagues. UCC "canoë- kayak, eau calme et rivière d'eau vive". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak, eau calme et rivière d'eau vive. Pour tout public, en eau calme et en rivière, jusqu'en classe III incluse. UCC "char à voile d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en char à voile. Sur tout support (à l'exception des activités tractées), pour tout public, sur des parcours école aménagés (mille mètres maximum). UCC "croisière côtière". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en croisière côtière. Sur des voiliers autres que les embarcations légères de plaisance, pour tout public, jusqu'à 12 milles nautiques d'un abri. Au- delà, possibilité d'encadrer en croisière au sein d'une flottille et sous la responsabilité d'un chef de flottille possédant les diplômes requis. UCC "multicoques et dériveurs". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en multicoques et dériveurs. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "planche à voile". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en planche à voile. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "ski nautique d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en ski nautique. Activités du ski nautique (bi ski, wakeboard) pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "jet". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en jet. Toute forme de pratique pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "bateau à moteur d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Tous types de bateaux définis, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "engins tractés". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en engins tractés. Pratique d'engins flottants tractés sur l'eau (bouées, ski, bus, fly fish), pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "parachutisme ascensionnel nautique". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en parachutisme ascensionnel nautique. Avec des voitures hémisphériques à tuyères, dans tout mode de pratique, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités nautiques" CS "croisière". Encadrement de la croisière côtière ou hauturière pour tout public, de jour comme de nuit, dans les limites navigation du (ou des) voilier (s) utilisé (s) jusqu'à 200 milles nautiques d'un abri. Croisière : encadrement de la croisière côtière ou hauturière pour tout public, de jour comme de nuit, dans les limites navigation du (ou des) voilier (s) utilisé (s) jusqu'à 200 milles nautiques d'un abri. CS "activités d'escalade". Conduite de cycles de découverte, d'animation, d'initiation et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en escalade. Toutes structures artificielles d'escalade, tous sites naturels d'escalade de blocs ; tous sites naturels d'escalade sportifs limités aux secteurs "découverte" d'une longueur de corde et d'un maximum de 35 mètres de hauteur en partant du sol ; tous parcours aménagés dont les parcours acrobatiques en hauteur, à l'exclusion de la via ferrata. CS "cerf- volant". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en cerf- volant. BP JEPS, spécialité "activités pugilistiques". Mentions de la spécialité "activités pugilistiques" Kick boxing. Encadrement et animation d'activités de kick boxing. Muaythaï. Encadrement et animation d'activités de muaythaï. Boxe anglaise. Encadrement et animation d'activités de boxe anglaise. Boxe française, savate. Encadrement et animation d'activités de boxe française, savate. Full contact. Encadrement et animation d'activités de full contact. BP JEPS, spécialité "golf ". Encadrement et animation de l'activité golf. BP JEPS, spécialité "pêche de loisir". Encadrement, animation et initiation d'activités de pêche sportive en eau douce. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "pêche de loisir" UCC "pêche de loisir en milieu maritime". Conduite de cycles d'apprentissage en pêche de loisir en milieu maritime, jusqu'au premier niveau de compétition. BP JEPS, spécialité "sport automobile". Mentions de la spécialité s"port automobile" Circuit. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en circuit. Karting. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en karting. Perfectionnement du pilotage. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en perfectionnement du pilotage. Rallye. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en rallye. Tout- terrain. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en tout- terrain. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "sport automobile" UCC "conduite sur glace". Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en conduite sur glace. UCC "conduite de loisir sur quad". Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte. BP JEPS, spécialité "activités physiques pour tous". Animation à destination des différents publics à travers notamment la découverte des activités physiques. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités physiques pour tous" UCC "baseball et softball". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en baseball et softball. UCC "cricket". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en cricket. UCC "football américain et flag". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en football américain et flag. UCC "rugby à XIII". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en rugby à XIII. UCC "triathlon". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en triathlon. UCC "swin". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en swin. UCC "pétanque". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en pétanque. UCC "skateboard". Conduite de cycles d'apprentissage en skateboard. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités physiques pour tous" CS "cerf- volant". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en cerf- volant. CS "roller". Conduite de cycles de découverte, d'initiation et d'apprentissage en roller. CS "activités athlétiques". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en activités athlétiques. CS "activités d'escalade". Conduite de cycles de découverte, d'animation, d'initiation et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en escalade. Toutes structures artificielles d'escalade, tous sites naturels d'escalade de blocs ; tous sites naturels d'escalade sportifs limités aux secteurs "découverte" (*) d'une longueur de corde et d'un maximum de 35 m de hauteur en partant du sol ; tous parcours aménagés dont les parcours acrobatiques en hauteur, à l'exclusion de la via ferrata. CS "tennis de table". Conduite de cycles d'animation et d'entraînement en tennis de table. CS "bowling et sport de quilles". Conduite de cycles d'apprentissage et de séances d'entraînement jusqu'au premier niveau de compétition en bowling. Conduite de cycles d'initiation et d'apprentissage en sports de quilles. CS "tir sportif". Conduite de cycles d'animation dans toutes les disciplines du tir sportif. CS "tir à l'arc. Conduite de cycles d'animation en tir à l'arc. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. CS "accompagnement et intégration des personnes en situation de handicap". Animation des activités physiques ou sportives : - auprès de groupes intégrant des personnes déficientes motrices, sensorielles ou intellectuelles ; des personnes présentant une souffrance psychique ou éprouvant des difficultés d'adaptation du fait de carences affectives ou éducatives ; - auprès de groupes constitués exclusivement de ces publics. Auprès de groupes constitués exclusivement de ces publics, cette intervention est réalisée : - à titre ponctuel ; - et en qualité de prestataire pour le compte de la structure employeuse. Les pratiquants demeurent sous la responsabilité éducative et / ou thérapeutique du personnel de la structure spécialisée qui les accompagne. BP JEPS, spécialité "activités gymniques de la forme et de la force". Mentions de la spécialité "activités gymniques de la forme et de la force" Activités gymniques acrobatiques. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités gymniques acrobatiques. Activités gymniques d'expression. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités gymniques d'expression. Forme en cours collectifs. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités de forme en cours collectif. Haltère, musculation et forme sur plateau. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités haltère, musculation et forme sur plateau. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités gymniques de la forme et de la force" UCC "gymnastique artistique féminine". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique artistique féminine. UCC "gymnastique artistique masculine". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique artistique masculine. UCC "gymnastique acrobatique". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique acrobatique. UCC "trampoline". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en trampoline. UCC "tumbling". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en tumbling. UCC "gymnastique rythmique". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique rythmique. UCC "twirling". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en twirling. UCC "gymnastique aérobic". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique aérobic. UCC "force athlétique". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en force athlétique. UCC "culturisme". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en culturisme. UCC "haltérophilie". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en haltérophilie. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités gymniques de la forme et de la force" CS "activités d'escalade". Conduite de cycles de découverte, d'animation, d'initiation et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en escalade. Toutes structures artificielles d'escalade, tous sites naturels d'escalade de blocs ; tous sites naturels d'escalade sportifs limités aux secteurs "découverte" (*) d'une longueur de corde et d'un maximum de 35 m de hauteur en partant du sol ; tous parcours aménagés dont les parcours acrobatiques en hauteur, à l'exclusion de la via ferrata. CS "tennis de table". Conduite de cycles d'animation et d'entraînement en tennis de table. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. BP JEPS, spécialité "activités sports collectifs". Conduite de séances et de cycles d'initiation, de découverte et d'animation sportive en sports collectifs. Mentions de la spécialité "activités sports collectifs" Basket- ball. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en basket- ball. Football. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en football. Handball. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en handball. Hockey sur gazon. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en hockey sur gazon. Rugby à XIII. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en rugby à XIII. Rugby à XV. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en rugby à XV. Volley- ball. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en volley- ball. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités sports collectifs" CS "activités athlétiques". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en activités athlétiques. CS "tennis de table". Conduite de cycles d'animation et d'entraînement en tennis de table. BP JEPS, spécialité "vol libre". Mentions de la spécialité "vol libre" Parapente. Encadrement d'actions d'animation, d'initiation et de progression jusqu'à l'autonomie en parapente. Deltaplane. Encadrement d'actions d'animation, d'initiation et de progression jusqu'à l'autonomie en deltaplane. BP JEPS, spécialité "activités aquatiques". Encadrement et animation d'activités aquatiques d'éveil, de découverte et d'initiation auprès de tous publics et d'activités aquagym. Surveillance des baignades et des piscines. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités aquatique" du BP JEPS UCC "triathlon". Conduite de cycles de découverte et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en triathlon. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "loisirs tous publics" du BP JEPS CS "tir sportif". Conduite de cycles d'animation dans toutes les disciplines du tir sportif. CS "tir à l'arc". Conduite de cycles d'animation en tir à l'arc. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "animation culturelle" du BP JEPS CS "tir sportif". Conduite de cycles d'animation dans toutes les disciplines du tir sportif. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "animation sociale" du BP JEPS CS "tir à l'arc". Conduite de cycles d'animation en tir à l'arc. Diplôme d'Etat de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, spécialité "perfectionnement sportif", toutes mentions. Enseignement, animation, encadrement de l'activité visée par la mention considérée ou entraînement de ses pratiquants. Diplôme d'Etat supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, spécialité "performance sportive", toutes mentions. Enseignement, animation, encadrement de l'activité visée par la mention considérée ou entraînement de ses pratiquants. (*) Normes de classement des sites itinéraires d'escalade (Fédération française de la montagne et de l'escalade / FFME) en vigueur au 17 juillet 2007. D. - Titres délivrés par le ministère chargé de la défense INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Aide- moniteur d'entraînement physique, militaire et sportif. Participation à l'animation des activités physiques ou sportives. Sous le contrôle d'un titulaire de diplôme ou titre de niveau IV. Moniteur d'entraînement physique, militaire et sportif. Animation auprès de tous publics des activités physiques ou sportives à des fins d'initiation, de découverte, de loisir, de développement et de maintien des capacités physiques individuelles. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. Moniteur- chef d'entraînement physique, militaire et sportif. Encadrement et coordination auprès de tous publics des activités physiques ou sportives. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. E. - Certificats de qualification délivrés par les branches professionnelles E-1. Certificats de qualification délivrés par la Commission paritaire nationale de l'emploi des entreprises équestres (CPNE- EE) INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Certificat de qualification professionnelle (CQP) "animateur- soigneur assistant". Participation à l'encadrement des pratiquants dans le cadre d'une action d'animation en "équitation cheval", en "équitation poney" ou en "tourisme équestre". Pour les mentions "équitation public poney" et "équitation public cheval" sous le contrôle d'un titulaire du brevet d'Etat d'éducateur sportif option "équitation" ou du brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport spécialité "activités équestres" mention "équitation". Pour la mention "tourisme équestre" sous le contrôle d'un titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport spécialité "activités équestres" mention "tourisme équestre" ou du brevet de guide de tourisme équestre. E-2. Certificats de qualification délivrés par la Commission paritaire nationale emploi- formation du sport (CPNEF du sport) INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE CQP guide de véhicules terrestres motorisés à guidon, option "quad" (guide de VTM à guidon, optionquad"). Encadrement en autonomie d'excursions en quad pour des publics titulaires d'un permis ou d'un brevet délivré par l'Etat permettant la conduite d'un quad, conformément à l'article R. 213 du code de la route. A l'exclusion de toute activité d'enseignement ou d'entraînement. Dans la limite de 6 personnes accompagnées. Sur des parcours connus et reconnus. Sous réserve de la présentation de l'attestation triennale de recyclage. CQP "animateur de tir à l'arc". Encadrement en autonomie du tir à l'arc, par la découverte et l'animation. Dans la limite de 12 pratiquants. Durant la période allant du début des vacances de printemps à la fin des vacances d'été, conformément aux dates du calendrier des vacances scolaires fixé par les ministères de l'enseignement supérieur et de l'éducation nationale. A l'exclusion du temps scolaire contraint. Dans les structures de loisirs sportifs, socio- éducatives et de tourisme. CQP "assistant moniteur de voile". Animation et initiation à la pratique de la voile. Sous l'autorité d'un titulaire d'une certification professionnelle des activités physiques ou sportives de niveau IV ou supérieur, le nombre de titulaires du CQP AMV placés sous cette autorité ne pouvant être supérieur à 10, dans la limite de 140 pratiquants encadrés par titulaire d'une certification de niveau IV ou supérieur. Durant les périodes de congés scolaires et universitaires fixées par les ministères de l'enseignement supérieur et de l'éducation nationale. CQP "animateur de savate". Encadrement en autonomie de la savate, incluant la mise en œuvre des procédures de passage des gants bleus, verts, rouges et blancs. Activité exercée à titre secondaire. CQP "animateur des activités gymniques". Mentions du CQP animateur des "activités gymniques" Mention "activités gymniques acrobatiques". Encadrement en autonomie, par la découverte et l'initiation, des activités gymniques acrobatiques, à visée compétitive ou non : - activités gymniques au sol, aux agrès ou sur supports élastiques (piste gonflable, fast track, mini- trampoline, trampoline) ; - activités gymniques acrobatiques de groupe. Activité exercée à titre secondaire. Mention "activités d'éveil gymnique pour la petite enfance". Encadrement en autonomie, par la découverte et l'initiation, des activités d'éveil gymnique pour la petite enfance : - activités gymniques sous forme de parcours de motricité ; - activités gymniques d'expression avec ou sans engins ; - activités gymniques d'expression avec ou sans support musical. Activité exercée à titre secondaire. Mention "activités gymniques d'expression et d'entretien". Encadrement en autonomie, par la découverte et l'initiation, des activités gymniques d'expression et d'entretien : - activités gymniques à dominante cardio- vasculaire ; - activités gymniques dansées de groupe avec ou sans engins ; - activités gymniques de renforcement musculaire avec ou sans petit matériel ; - activités gymniques de renforcement musculaire sur parcours avec agrès ; - stretching. Activité exercée à titre secondaire. CQP "animateur de loisirs sportifs". Options du CQP "animateur de loisirs sportifs" Option "activités gymniques d'entretien et d'expression". Encadrement en autonomie par la découverte et l'animation des activités gymniques d'entretien et d'expression : - techniques cardio ; - renforcement musculaire ; - techniques douces ; - activités d'expression. - activité exercée à titre secondaire ; - sans recours à des appareils de musculation ; - sous réserve de la présentation du certificat d'aptitude à l'exercice de la fonction d'animateur de loisirs sportifs en cours de validité. Option "jeux sportifs et jeux d'opposition". Encadrement en autonomie par la découverte et l'animation des jeux sportifs et des jeux d'opposition : - arts et éducation par les activités physiques d'opposition ; - jeux de raquettes ; - jeux de ballons, petits et grands terrains. - activité exercée à titre secondaire ; - à l'exclusion des pratiques compétitives ; - à l'exclusion de la délivrance de niveaux, de ceintures ou de grades ; - sous réserve de la présentation du certificat d'aptitude à l'exercice de la fonction d'animateur de loisirs sportifs en cours de validité. F. - Diplômes délivrés par le ministère chargé de la santé INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Diplôme de masseur- kinésithérapeute. Encadrement de la pratique de la gymnastique hygiénique d'entretien ou préventive dans les établissements d'activités physiques et sportives déclarés. "Dans le respect de la législation et de la déontologie de la kinésithérapie".
Le tableau E-2 « Certificats de qualification délivrés par la Commission paritaire nationale emploi- formation du sport (CPNEF du sport) » de l'annexe II-1 de la partie réglementaire du code du sport (Arrêtés) est abrogé et remplacé par les dispositions suivantes :
(Art.A. 212-1 du code du sport) A. - Diplômes et titres délivrés par le ministère chargé de l'enseignement supérieur INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE DEUG "sciences et techniques des activités physiques et sportives : animateur- technicien des activités physiques pour tous". Encadrement et animation auprès de tous publics des activités physiques ou sportives à un niveau d'initiation, d'entretien ou de loisir. Toute activité physique ou sportive auprès de tous publics, à l'exclusion des pratiques compétitives. DEUST "activités physiques et sportives adaptées : déficiences intellectuelles, troubles psychiques". Encadrement des activités physiques ou sportives auprès de personnes souffrant de déficiences intellectuelles et de troubles psychiques. Toute activité physique ou sportive visant l'amélioration de l'intégration sociale. DEUST "activités physiques et sportives et inadaptations sociales". Encadrement des activités physiques ou sportives auprès de personnes présentant des inadaptations sociales. Toute activité physique ou sportive visant l'amélioration de l'intégration sociale. DEUST "action, commercialisation des services sportifs". Encadrement des pratiques physiques liées aux loisirs. Toute pratique sportive de loisir auprès de tout public, à l'exclusion des personnes ayant un handicap, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. DEUST "manager de club sportif". Encadrement des activités physiques ou sportives. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des personnes ayant un handicap, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. DEUST "métiers de la forme". Encadrement pour tous publics d'activités physiques dans le secteur des métiers de la forme. Toute activité physique des métiers de la forme liée au développement et à l'entretien du bien- être et de la santé. DEUST "pratique et gestion des activités physiques et sportives et de loisirs pour les publics seniors". Encadrement des activités physiques ou sportives de publics seniors. Toute activité sportive adaptée à la prévention du vieillissement, visant à entretenir et améliorer la condition physique des publics seniors. DEUST "animation et gestion des activités physiques, sportives ou culturelles". Animation auprès de tous publics par la découverte des activités physiques, sportives ou culturelles et par l'initiation à ces activités. Animation auprès de tous publics, à l'exclusion : - des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique ; - des pratiques compétitives. Licence professionnelle "santé, option vieillissement et activités physiques adaptées". Encadrement des activités physiques ou sportives de publics seniors. Toute activité sportive adaptée à la prévention du vieillissement, visant à entretenir et améliorer la condition physique des publics seniors. Licence professionnelle "activités sportives, option remise en forme et loisirs sportifs associés : responsable d'équipe de projets". Encadrement pour tous publics d'activités physiques dans le secteur des métiers de la forme. Toute activité physique des métiers de la forme, liée au développement et à l'entretien du bien- être et de la santé. Licence professionnelle activités sportives, spécialité "développement social et médiation par le sport". Encadrement et animation auprès de tous publics, des activités physiques et sportives. Encadrement et animation auprès de tous publics, à l'exclusion : - des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique ; - des pratiques compétitives. Licence professionnelle activités sportives, spécialité "métiers de la forme". Encadrement auprès de tous publics d'activités physiques dans le secteur des métiers de la forme. Licence professionnelle "animation, gestion et organisation des activités physiques ou sportives". Encadrement auprès de tous publics à des fins d'initiation, d'entretien ou de loisir dans la ou les discipline (s) mentionnée (s) dans l'annexe descriptive au diplôme visée à l'article D. 123-13 du code de l'éducation. Licence "éducation et motricité", filière "sciences et techniques des activités physiques et sportives". Encadrement et enseignement des activités physiques ou sportives auprès des enfants, adolescents et jeunes adultes. Licence "entraînement sportif ", filière "sciences et techniques des activités physiques et sportives". Encadrement de différents publics à des fins d'amélioration de la performance ou de développement personnel dans la (les) discipline (s) mentionnée (s) à l'article D. 123-13 du code de l'éducation. Licence "activité physique adaptée et santé", filière "sciences et techniques des activités physiques et sportives". Encadrement des activités physiques ou sportives à destination de différents publics dans une perspective de prévention- santé ou de réadaptation ou d'intégration de personnes présentant l'altération d'une fonction physique ou psychique. B. - Diplômes et titres délivrés par le ministère chargé de l'agriculture Néant. C. - Diplômes délivrés par le ministère chargé des sports INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Brevet d'Etat d'éducateur sportif (BEES) BEES, option "métiers de la forme". Enseignement des méthodes et techniques visant à entretenir et améliorer la condition physique ; conduite de séances de préparation physique sportive. BEES, option "activités gymniques" (gymnastique générale, gymnastique artistique féminine, gymnastique artistique masculine, gymnastique rythmique et sportive, aérobic). Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique sportive féminine". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique sportive masculine". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique sportive masculine et féminine". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "gymnastique rythmique et sportive". Enseignement des activités gymniques dans tout établissement. BEES, option "haltérophilie, culturisme, musculation éducative, sportive et d'entretien". Enseignement de l'haltérophilie, du culturisme, de la musculation éducative, sportive et d'entretien dans tout établissement. BEES, option "animation des activités physiques pour tous". Encadrement des activités physiques ou sportives dans une perspective de découverte des activités encadrées, de développement et de maintien des capacités physiques individuelles dans tout établissement. A l'exclusion de toute activité d'entraînement ou d'approfondissement d'une discipline sportive. BEES, option "activités physiques et sportives adaptées". Enseignement des activités physiques ou sportives adaptées auprès des personnes déficientes intellectuelles ou des personnes atteintes de troubles psychiques. Enseignement de la natation sous la surveillance d'un maître- nageur sauveteur. BEES, option "sports pour handicapés physiques et sensoriels" (options principales : athlétisme, basket- ball en fauteuil roulant, développé couché et musculation, tennis de table, tir à l'arc, volley- ball, natation, ski alpin, ski nordique de fond). Enseignement des activités physiques ou sportives adaptées auprès des personnes handicapées physiques et sensorielles. Enseignement de la natation dans les seuls établissements spécialisés, sous la surveillance d'un maître- nageur sauveteur. Enseignement du ski alpin et du ski nordique réservé aux personnes ayant choisi ces disciplines en option. BEES, option "activités de la natation". Enseignement des activités de la natation, entraînement à la compétition et surveillance des baignades dans tout lieu de baignade ou établissement de natation. Sous réserve de la présentation du certificat quinquennal d'aptitude à l'exercice de la profession de maître- nageur sauveteur, en cours de validité. BEES, option "aviron". Enseignement de l'aviron dans tout établissement. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Dans les rivières jusqu'à la classe 3. En mer jusqu'à un mille d'un abri et par vent jusqu'à 3 Beaufort. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du certificat de qualification complémentaire (CQC) entraînement à la compétition. Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement de séances ou stages d'entraînement. Dans les rivières jusqu'à la classe 3. En mer jusqu'à un mille d'un abri et par vent jusqu'à 3 Beaufort. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du "CQC mer". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement des sorties en mer, y compris vent supérieur à force 3 Beaufort ou à plus d'un mille d'un abri accessible et conduite des séances d'apprentissage et d'entraînement de canoë- kayak de vagues. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du "CQC raft en eaux vives". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement du canoë- kayak et du raft, y compris dans les rivières de classe supérieure à 3. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du "CQC nage en eaux vives". Enseignement du canoë- kayak (canoë- kayak, raft, nage en eaux vives) dans tout établissement. Organisation et encadrement du canoë- kayak et de la nage en eaux vives y compris dans les rivières de classe supérieure à 3. BEES, option "canoë- kayak et disciplines associées" assorti du CQC "canoë- kayak en eaux vives". Organisation et enseignement du canoë- kayak sur rivières de toutes classes. BEES, option "char à voile". Enseignement du char à voile dans tout établissement. BEES, option "plongée subaquatique". Enseignement de la plongée subaquatique dans les conditions techniques et de sécurité prévues par la réglementation. BEES, option "ski nautique". Enseignement et organisation des activités de ski nautique sous toutes leurs formes, dans tout établissement. BEES, option "surf". Enseignement des activités du surf dans tout établissement. BEES, option "voile". Enseignement de la voile (catamarans, dériveurs, planches à voile, habitables) dans tout établissement. BEES, option "aïkido", spécialité "aïkido". Enseignement de l'aïkido dans tout établissement. BEES, option "aïkido", spécialité "aïkibudo". Enseignement de l'aïkibudo dans tout établissement. BEES, option "boxe anglaise". Enseignement de la boxe anglaise dans tout établissement, avec le titre de prévôt. BEES, option "boxe française". Enseignement de la boxe française dans tout établissement. BEES, option "escrime". Enseignement de l'escrime (épée, fleuret, sabre) dans tout établissement, avec le titre de maître d'armes. BEES, option "judo, jujitsu". Enseignement du judo et des disciplines associées dans tout établissement. BEES, option "karaté et arts martiaux affinitaires". Enseignement du karaté et des arts martiaux affinitaires dans tout établissement. BEES, option "lutte". Enseignement de la lutte dans tout établissement. BEES, option "sambo". Enseignement du sambo dans tout établissement. BEES, option "taekwondo et disciplines associées". Enseignement du taekwondo et des disciplines associées dans tout établissement. BEES, option "athlétisme". Enseignement de l'athlétisme (vitesse, haies, demi- fond, fond, marche, sauts, lancers) dans tout établissement. BEES, option "badminton". Enseignement du badminton dans tout établissement. BEES, option "billard". Enseignement du billard (billard français, américain, pool anglais) dans tout établissement. BEES, option "bobsleigh". Enseignement du bobsleigh dans tout établissement. BEES, option "hockey sur glace". Enseignement du hockey sur glace dans tout établissement. BEES, option "patinage sur glace". Enseignement du patinage sur glace dans tout établissement. BEES, option "patinage artistique". Enseignement du patinage sur glace, et notamment du patinage artistique dans tout établissement. BEES, option "patinage de vitesse". Enseignement du patinage sur glace, et notamment du patinage de vitesse dans tout établissement. BEES, option "patinage danse". Enseignement du patinage sur glace, et notamment du patinage danse dans tout établissement. BEES, option "roller- skating". Enseignement du roller- skating (patinage artistique, rink hockey, course, danse, randonnée, roller acrobatique, roller in line hockey, skateboard) dans tout établissement BEES, option "penthlaton moderne". Enseignement du penthlaton moderne dans tout établissement. BEES, option "motocyclisme". Enseignement du motocyclisme dans tout établissement. BEES, option "motocyclisme" assorti du CQC "sécurité routière des cyclomotoristes". Enseignement du motocyclisme dans tout établissement. Encadrement de stages d'initiation à la conduite de cyclomoteurs dont le déroulement s'effectue en partie sur la voie publique et qui conduisent à la délivrance du brevet de sécurité routière valant autorisation de conduite des cyclomoteurs. BEES, option "trampoline et sports acrobatiques". Enseignement du trampoline et des sports acrobatiques dans tout établissement : trampoline, double mini- tramp, tumbling, acrosport. BEES, option "golf". Enseignement du golf et des disciplines associées dans tout établissement BEES, option "tennis". Enseignement du tennis dans tout établissement. BEES, option "tennis de table". Enseignement du tennis de table dans tout établissement. BEES, option "squash". Enseignement du squash dans tout établissement. BEES, option "tir à l'arc". Enseignement du tir à l'arc dans tout établissement. BEES, option "tir sportif". Enseignement du tir sportif dans tout établissement : - plateau : double trap, fosse olympique, skeet olympique, fosse américaine ; - cible : arbalète, carabine, pistolet, sanglier courant. BEES, option "sport- boules". Enseignement du sport- boules dans tout établissement. BEES, option "pelote basque". Enseignement de la pelote basque dans tout établissement. BEES, option "activités du cyclisme". Enseignement des activités du cyclisme dans tout établissement. BEES, option "cyclisme", spécialité "cyclisme traditionnel". Enseignement du cyclisme traditionnel dans tout établissement : route, piste, cyclo- cross. BEES, option "cyclisme", spécialité "bicross". Enseignement du bicross dans tout établissement. BEES, option "cyclisme", spécialité "cyclisme en salle". Enseignement du cyclisme en salle dans tout établissement. BEES, option "cyclisme", spécialité "vélo tout terrain (VTT)". Enseignement du vélo tout terrain dans tout établissement. BEES, option "cyclisme" assorti du CQC "VTT en milieu montagnard". Enseignement de la spécialité et de l'activité VTT en milieu montagnard dans tout établissement BEES, option "course d'orientation". Enseignement et conduite de la course d'orientation dans tout établissement. BEES, option "équitation - activités équestres". Enseignement des activités équestres dans tout établissement. BEES, option "parachutisme", spécialité "progression traditionnelle (TRAD)". Enseignement de la TRAD dans tout établissement. BEES, option "parachutisme", spécialité "progression accompagnée en chute libre (PAC)". Enseignement de la PAC dans tout établissement. BEES, option "parachutisme", spécialité "parachute biplace (tandem)". Enseignement du parachute biplace (tandem) dans tout établissement. BEES, option "vol libre", spécialité "parapente". Enseignement du parapente dans tout établissement. BEES, option "vol libre", spécialité "delta". Enseignement du delta dans tout établissement. BEES, option "spéléologie" délivré avant le 31 décembre 1996. Encadrement de la spéléologie dans toute cavité et tout établissement. BEES, option "spéléologie" délivré après le 1er janvier 1997. Enseignement de la spéléologie dans toutes cavités, canyons, lieux d'entraînement pour tous publics et dans le respect du milieu naturel. BEES, option "escalade" délivré avant le 31 décembre 1996. Enseignement de la discipline sur des structures artificielles d'escalade à toute altitude et sur des sites naturels d'escalade situés à une altitude inférieure à 1 500 m. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. BEES, option "escalade" délivré après le 1er janvier 1997. Enseignement de la discipline sur des structures artificielles d'escalade et dans les canyons à caractéristiques verticales et aquatiques nécessitant l'usage d'agrès à toute altitude et sur des sites naturels d'escalade situés à une altitude inférieure à 1 500 m. A l'exclusion : - des sites enneigés ou de ceux dont l'accès ne peut s'effectuer qu'en traversant des zones enneigées ; - des sites dont la fréquentation fait appel aux techniques de la neige et de la glace. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'aspirant guide du brevet d'Etat d'alpinisme. Encadrement et conduite de personnes dans des excursions ou des ascensions : - alpinisme (randonnée, rocher, neige, glace et mixte) : randonnées à toutes altitudes ; courses faciles et peu difficiles ; courses AD, D, TD ; courses hivernales ; - ski- alpinisme ; - escalade sportive. Enseignement des techniques d'alpinisme, de ski de randonnée, de ski- alpinisme et ski hors pistes et entraînement aux pratiques de compétition dans ces disciplines. Alpinisme : - courses faciles et peu difficiles jusqu'à 5 000 m ; - courses AD, D, TD jusqu'à 3 500 m ; - courses hivernales jusqu'à 2 000 m sans limitation de difficulté. Ski- alpinisme jusqu'à 4 000 m et pour des randonnées à ski de 2 jours maximum (une seule nuit en refuge). Escalade sportive jusqu'à 2 000 m sans limitation de difficulté. Enseignement des techniques d'alpinisme, de ski de randonnée, de ski- alpinisme et ski hors pistes et entraînement aux pratiques de compétition dans les mêmes limites. Ces limites sont sans objet lorsque les activités sont placées sous la conduite d'un guide. Diplôme de guide de haute montagne du brevet d'Etat d'alpinisme délivré avant le 31 décembre 1996. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions ou des ascensions de montagne en rocher, neige, glace et terrain mixte. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions de ski de randonnée, ski alpinisme et en ski hors pistes. Enseignement des techniques d'alpinisme, d'escalade et de ski de randonnée, ski alpinisme et ski hors pistes. Entraînement aux pratiques de compétition dans les disciplines précitées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme de guide de haute montagne du brevet d'Etat d'alpinisme délivré après le 1er janvier 1997. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions ou des ascensions de montagne en rocher, neige, glace et terrain mixte. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions de ski de randonnée, ski alpinisme et en ski hors pistes. Enseignement des techniques d'alpinisme, d'escalade et de ski de randonnée, ski alpinisme et ski hors pistes. Entraînement aux pratiques de compétition dans les disciplines précitées. Encadrement et enseignement de la pratique des canyons à caractéristiques verticales et aquatiques nécessitant l'usage d'agrès. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme de guide de haute montagne du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du CQC "VTT en milieu montagnard". Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions ou des ascensions de montagne en rocher, neige, glace et terrain mixte. Conduite et accompagnement de personnes dans des excursions de ski de randonnée, ski alpinisme et en ski hors pistes. Enseignement des techniques d'alpinisme, d'escalade et de ski de randonnée, ski alpinisme et ski hors pistes. Entraînement aux pratiques de compétition dans les disciplines précitées. Enseignement de l'activité VTT en milieu montagnard. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'accompagnateur en moyenne montagne (AMM) du brevet d'Etat d'alpinisme délivré en application de l'arrêté du 5 juin 1985 modifié fixant les conditions de délivrance du diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme. Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de toute pratique de la moyenne montagne enneigée. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme délivré en application de l'arrêté du 10 mai 1993 relatif au brevet d'Etat d'alpinisme. Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti de la qualification "pratique de la moyenne montagne enneigée". Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du brevet national de pisteur- secouriste 2e degré ou option "ski alpin" 2e degré ou option "ski nordique" 2e degré. Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du BEES du 1er degré, option "ski alpin" ou option "ski nordique". Conduite et encadrement de personnes en espace rural montagnard ainsi que sur des terrains enneigés faciles, vallonnés, de type nordique excluant tout accident de terrain et situés en moyenne montagne. Animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. Prérogatives conférées aux titulaires du BEES, option ski alpin ou ski nordique selon la spécialité. A l'exclusion : - des rochers, des glaciers, des canyons et des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme ; - de la pratique du ski et activités assimilées. Autorisation d'exercer pour une durée de six ans, renouvelée à l'issue d'un stage de recyclage. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme, option "moyenne montagne tropicale". Conduite et encadrement de personnes en moyenne montagne tropicale, animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion des rochers, des canyons, des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme assorti du CQC "VTT en milieu montagnard". Enseignement de l'activité VTT en milieu montagnard. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme, option "moyenne montagne tropicale". Conduite et encadrement de personnes en moyenne montagne tropicale, animation de groupes et enseignement des connaissances et savoir- faire propres à l'activité et au milieu. A l'exclusion des rochers, des canyons, des terrains nécessitant pour la progression, l'utilisation du matériel ou des techniques de l'alpinisme. Diplôme d'AMM du brevet d'Etat d'alpinisme, option "moyenne montagne tropicale" assorti du CQC "encadrement du canyon en milieu tropical". Encadrement de personnes dans les canyons situés en milieu tropical. BEES, option "ski alpin". Enseignement et entraînement en ski alpin et activités assimilées à l'ensemble des classes de la progression du ski alpin définies par le Conseil supérieur des sports de montagne (CSSM). Permet d'exercer sur pistes et hors pistes. Confère le titre de moniteur national. A l'exclusion des zones glaciaires non balisées et des terrains dont la fréquentation fait appel aux techniques de l'alpinisme. BEES, option "ski nordique de fond". Enseignement, encadrement et animation du ski nordique de fond sous toutes ses formes, dans toutes les classes de la progression de l'enseignement du ski nordique de fond définie par le CSSM, y compris la classe compétition. Confère le titre de moniteur national. BEES, option "football". Enseignement du football dans tout établissement. BEES, option "baseball et softball". Enseignement du baseball et du softball dans tout établissement. BEES option "basket- ball". Enseignement du basket- ball dans tout établissement. BEES, option "handball". Enseignement du handball dans tout établissement. BEES, option "volley- ball". Enseignement du volley- ball dans tout établissement. BEES, option "hockey sur gazon". Enseignement du hockey sur gazon dans tout établissement. BEES, option "rugby". Enseignement du rugby dans tout établissement. BEES, option "rugby à XIII". Enseignement du rugby à XIII dans tout établissement. Brevet d'aptitude professionnelle d'assistant animateur technicien de la jeunesse et des sports (BAPAAT) BAPAAT, options "loisirs du jeune et de l'enfant" ; "loisirs tout public dans les sites et structures d'accueil collectif" ; "loisirs de pleine nature". Supports techniques du BAPAAT Bicross. Initiation au bicross, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié relatif à l'organisation et aux conditions de préparation et de délivrance du BAPAAT. Escalade. Initiation à l'escalade, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Poney. Animation de l'activité poney, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée équestre. Accompagnement de randonnée équestre avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, raft. Initiation au raft, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, canoë- kayak. Initiation au canoë- kayak, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, nage en eau vive. Initiation à la nage en eau vive, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée nautique, kayak en mer. Initiation au kayak en mer, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Spéléologie. Initiation à la spéléologie, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Vélo tout terrain (VTT). Initiation au VTT, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée pédestre. Conduite de randonnées pédestres, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Course d'orientation. Encadrement de la course d'orientation, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Jeux sportifs collectifs. Animation des jeux sportifs collectifs, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Roller skating. Animation de l'activité roller skating, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Tennis de table. Animation de la pratique du tennis de table, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Tir à l'arc. Animation de la pratique du tir à l'arc, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Swin. Animation de la pratique du swin, avec les prérogatives et dans les conditions prévues par l'arrêté du 19 janvier 1993 modifié. Randonnée équestre et brevet d'études professionnelles agricoles, option "activités hippiques, support technique "randonnée équestre". Conduite de randonnées équestres dans les conditions prévues par l'arrêté du 14 septembre 1993 créant une spécialité "accompagnement de randonnée équestre" du brevet d'études professionnelles agricoles, option "activités hippiques", et fixant les modalités de certification conjointe avec le BAPAAT, support technique "randonnée équestre". Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport (BP JEPS) BP JEPS, spécialité "activités équestres". Mentions de la spécialité "activités équestres" Equitation. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en équitation. Tourisme équestre. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en tourisme équestre. Equitation western. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en équitation western. Equitation de tradition et de travail. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en équitation de tradition et de travail. Attelage. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation aux premiers niveaux de compétition en attelage. BP JEPS, spécialité "activités nautiques". Mentions monovalentes de la spécialité "activités nautiques" Aviron. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en aviron. Canoë- kayak. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak. Pour tout public, en eau calme, en rivière jusqu'en classe III incluse, en mer dans la limite de la navigation en 6e catégorie sur des parcours connus et reconnus, au maximum par vent de force 4 sur le site d'évolution. Conduite des séances d'initiation en kayak de vagues. Char à voile. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en char à voile. Char à voile en pratique assise et allongée, en pratique debout, en pratique tractée, pour tout public et pour tout lieu de pratique de l'activité aménagé et ouvert. Glisse aérotractée. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en glisse aérotractée. Activités de cerf- volant, de cerf- volant de traction terrestre, de cerf- volant de traction nautique ou de planche nautique ou de planche nautique tractée dite "kitesurf", pour tout public et sur tout lieu nautique ou terrestre de pratique de l'activité. Motonautisme. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en motonautisme. Activités de jet, bateau à moteur, engins tractés, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Ski nautique. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en ski nautique. Activités du ski nautique et des disciplines associées (téléski nautique, wakeboard, nu- pied et courses), pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Voile. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en voile. Activités de multicoque, dériveur, croisière (jusqu'à 12 milles nautiques d'un abri) et planche à voile pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Au- delà de 12 milles nautiques d'un abri, possibilité d'encadrer en croisière au sein d'une flottille et sous la responsabilité d'un chef de flottille possédant les diplômes requis. Mentions plurivalentes de la spécialité "activités nautiques" Groupe A Aviron de mer. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en aviron de mer. Sur des bateaux d'aviron utilisables en mer, pour tout public, sur le milieu marin. Sur tout type de bateaux, pour tout public sur des plans d'eau calmes, abrités et délimités. Aviron d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Pour tout public, en eau calme et en rivière, jusqu'en classe III incluse. Groupe B Canoë- kayak "eau calme et rivière d'eau vive". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak "eau calme et rivière d'eau vive". Sur tout support (à l'exception des activités tractées), pour tout public, sur parcours école aménagés (mille mètres maximum). Canoë- kayak "eau calme, mer et vagues". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak "eau calme, mer et vagues". Pour tout public en eau calme et en mer, dans la limite de la navigation en 6e catégorie sur des parcours connus et reconnus, au maximum par vent de force 4 sur le site d'évolution. Conduite de séances d'initiation en kayak de vagues. Groupe C Char à voile d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en char à voile. Groupe D Croisière côtière. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en croisière côtière. Sur des voiliers autres que les embarcations légères de plaisance, pour tout public, jusqu'à 12 milles nautiques d'un abri. Au- delà, possibilité d'encadrer en croisière au sein d'une flottille et sous la responsabilité d'un chef de flottille possédant les diplômes requis. Multicoques et dériveurs. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en multicoques et dériveurs. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Planche à voile. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en planche à voile. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Groupe E Ski nautique d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en ski nautique. Activités du ski nautique (bi ski, wakeboard), pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Groupe F Jet (véhicule nautique à moteur). Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en jet. Activités de véhicule nautique à moteur, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Bateau à moteur d'initiation et de découverte. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Tous types de bateaux définis, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Engins tractés. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en engins tractés. Pratique d'engins flottants tractés sur l'eau (bouées, ski, bus, fly fish..) pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Groupe G Parachutisme ascensionnel nautique. Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en parachutisme ascensionnel nautique. Avec des voitures hémisphériques à tuyères, dans tous les modes de pratique, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités nautiques" UCC "aviron de mer". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en aviron de mer. Sur des bateaux d'aviron utilisables en mer, pour tout public, sur le milieu marin. UCC "aviron d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Sur tout type de bateau, pour tout public, sur des plans d'eau calmes, abrités et délimités. UCC "canoë- kayak, eau calme, mer et vagues". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak, eau calme, mer et vagues. Pour tout public, en eau calme et en mer, dans la limite de la navigation en 6e catégorie sur des parcours connus et reconnus, au maximum par vent de force 4 sur le site d'évolution. Conduite de séances d'initiation en kayak de vagues. UCC "canoë- kayak, eau calme et rivière d'eau vive". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en canoë- kayak, eau calme et rivière d'eau vive. Pour tout public, en eau calme et en rivière, jusqu'en classe III incluse. UCC "char à voile d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en char à voile. Sur tout support (à l'exception des activités tractées), pour tout public, sur des parcours école aménagés (mille mètres maximum). UCC "croisière côtière". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en croisière côtière. Sur des voiliers autres que les embarcations légères de plaisance, pour tout public, jusqu'à 12 milles nautiques d'un abri. Au- delà, possibilité d'encadrer en croisière au sein d'une flottille et sous la responsabilité d'un chef de flottille possédant les diplômes requis. UCC "multicoques et dériveurs". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en multicoques et dériveurs. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "planche à voile". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en planche à voile. Pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "ski nautique d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation en ski nautique. Activités du ski nautique (bi ski, wakeboard) pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "jet". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en jet. Toute forme de pratique pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "bateau à moteur d'initiation et de découverte". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation. Tous types de bateaux définis, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "engins tractés". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en engins tractés. Pratique d'engins flottants tractés sur l'eau (bouées, ski, bus, fly fish), pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. UCC "parachutisme ascensionnel nautique". Encadrement et animation d'activités de découverte et d'initiation, incluant les premiers niveaux de compétition en parachutisme ascensionnel nautique. Avec des voitures hémisphériques à tuyères, dans tout mode de pratique, pour tout public et sur tout lieu de pratique de l'activité. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités nautiques" CS "croisière". Encadrement de la croisière côtière ou hauturière pour tout public, de jour comme de nuit, dans les limites navigation du (ou des) voilier (s) utilisé (s) jusqu'à 200 milles nautiques d'un abri. Croisière : encadrement de la croisière côtière ou hauturière pour tout public, de jour comme de nuit, dans les limites navigation du (ou des) voilier (s) utilisé (s) jusqu'à 200 milles nautiques d'un abri. CS "activités d'escalade". Conduite de cycles de découverte, d'animation, d'initiation et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en escalade. Toutes structures artificielles d'escalade, tous sites naturels d'escalade de blocs ; tous sites naturels d'escalade sportifs limités aux secteurs "découverte" d'une longueur de corde et d'un maximum de 35 mètres de hauteur en partant du sol ; tous parcours aménagés dont les parcours acrobatiques en hauteur, à l'exclusion de la via ferrata. CS "cerf- volant". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en cerf- volant. BP JEPS, spécialité "activités pugilistiques". Mentions de la spécialité "activités pugilistiques" Kick boxing. Encadrement et animation d'activités de kick boxing. Muaythaï. Encadrement et animation d'activités de muaythaï. Boxe anglaise. Encadrement et animation d'activités de boxe anglaise. Boxe française, savate. Encadrement et animation d'activités de boxe française, savate. Full contact. Encadrement et animation d'activités de full contact. BP JEPS, spécialité "golf ". Encadrement et animation de l'activité golf. BP JEPS, spécialité "pêche de loisir". Encadrement, animation et initiation d'activités de pêche sportive en eau douce. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "pêche de loisir" UCC "pêche de loisir en milieu maritime". Conduite de cycles d'apprentissage en pêche de loisir en milieu maritime, jusqu'au premier niveau de compétition. BP JEPS, spécialité "sport automobile". Mentions de la spécialité s"port automobile" Circuit. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en circuit. Karting. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en karting. Perfectionnement du pilotage. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en perfectionnement du pilotage. Rallye. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en rallye. Tout- terrain. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en tout- terrain. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "sport automobile" UCC "conduite sur glace". Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte et de préparation à un premier niveau de compétition en conduite sur glace. UCC "conduite de loisir sur quad". Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation, de découverte. BP JEPS, spécialité "activités physiques pour tous". Animation à destination des différents publics à travers notamment la découverte des activités physiques. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités physiques pour tous" UCC "baseball et softball". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en baseball et softball. UCC "cricket". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en cricket. UCC "football américain et flag". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en football américain et flag. UCC "rugby à XIII". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en rugby à XIII. UCC "triathlon". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en triathlon. UCC "swin". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en swin. UCC "pétanque". Conduite de cycles d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en pétanque. UCC "skateboard". Conduite de cycles d'apprentissage en skateboard. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités physiques pour tous" CS "cerf- volant". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en cerf- volant. CS "roller". Conduite de cycles de découverte, d'initiation et d'apprentissage en roller. CS "activités athlétiques". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en activités athlétiques. CS "activités d'escalade". Conduite de cycles de découverte, d'animation, d'initiation et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en escalade. Toutes structures artificielles d'escalade, tous sites naturels d'escalade de blocs ; tous sites naturels d'escalade sportifs limités aux secteurs "découverte" (*) d'une longueur de corde et d'un maximum de 35 m de hauteur en partant du sol ; tous parcours aménagés dont les parcours acrobatiques en hauteur, à l'exclusion de la via ferrata. CS "tennis de table". Conduite de cycles d'animation et d'entraînement en tennis de table. CS "bowling et sport de quilles". Conduite de cycles d'apprentissage et de séances d'entraînement jusqu'au premier niveau de compétition en bowling. Conduite de cycles d'initiation et d'apprentissage en sports de quilles. CS "tir sportif". Conduite de cycles d'animation dans toutes les disciplines du tir sportif. CS "tir à l'arc. Conduite de cycles d'animation en tir à l'arc. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. CS "accompagnement et intégration des personnes en situation de handicap". Animation des activités physiques ou sportives : - auprès de groupes intégrant des personnes déficientes motrices, sensorielles ou intellectuelles ; des personnes présentant une souffrance psychique ou éprouvant des difficultés d'adaptation du fait de carences affectives ou éducatives ; - auprès de groupes constitués exclusivement de ces publics. Auprès de groupes constitués exclusivement de ces publics, cette intervention est réalisée : - à titre ponctuel ; - et en qualité de prestataire pour le compte de la structure employeuse. Les pratiquants demeurent sous la responsabilité éducative et / ou thérapeutique du personnel de la structure spécialisée qui les accompagne. BP JEPS, spécialité "activités gymniques de la forme et de la force". Mentions de la spécialité "activités gymniques de la forme et de la force" Activités gymniques acrobatiques. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités gymniques acrobatiques. Activités gymniques d'expression. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités gymniques d'expression. Forme en cours collectifs. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités de forme en cours collectif. Haltère, musculation et forme sur plateau. Encadrement et animation d'activités de loisir, d'initiation et de découverte des activités haltère, musculation et forme sur plateau. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités gymniques de la forme et de la force" UCC "gymnastique artistique féminine". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique artistique féminine. UCC "gymnastique artistique masculine". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique artistique masculine. UCC "gymnastique acrobatique". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique acrobatique. UCC "trampoline". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en trampoline. UCC "tumbling". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en tumbling. UCC "gymnastique rythmique". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique rythmique. UCC "twirling". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en twirling. UCC "gymnastique aérobic". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en gymnastique aérobic. UCC "force athlétique". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en force athlétique. UCC "culturisme". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en culturisme. UCC "haltérophilie". Découverte, initiation, animation et perfectionnement jusqu'au premier niveau de compétition en haltérophilie. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités gymniques de la forme et de la force" CS "activités d'escalade". Conduite de cycles de découverte, d'animation, d'initiation et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en escalade. Toutes structures artificielles d'escalade, tous sites naturels d'escalade de blocs ; tous sites naturels d'escalade sportifs limités aux secteurs "découverte" (*) d'une longueur de corde et d'un maximum de 35 m de hauteur en partant du sol ; tous parcours aménagés dont les parcours acrobatiques en hauteur, à l'exclusion de la via ferrata. CS "tennis de table". Conduite de cycles d'animation et d'entraînement en tennis de table. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. BP JEPS, spécialité "activités sports collectifs". Conduite de séances et de cycles d'initiation, de découverte et d'animation sportive en sports collectifs. Mentions de la spécialité "activités sports collectifs" Basket- ball. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en basket- ball. Football. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en football. Handball. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en handball. Hockey sur gazon. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en hockey sur gazon. Rugby à XIII. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en rugby à XIII. Rugby à XV. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en rugby à XV. Volley- ball. Conduite en autonomie d'une séance d'entraînement en volley- ball. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "activités sports collectifs" CS "activités athlétiques". Découverte, animation et initiation jusqu'au premier niveau de compétition en activités athlétiques. CS "tennis de table". Conduite de cycles d'animation et d'entraînement en tennis de table. BP JEPS, spécialité "vol libre". Mentions de la spécialité "vol libre" Parapente. Encadrement d'actions d'animation, d'initiation et de progression jusqu'à l'autonomie en parapente. Deltaplane. Encadrement d'actions d'animation, d'initiation et de progression jusqu'à l'autonomie en deltaplane. BP JEPS, spécialité "activités aquatiques". Encadrement et animation d'activités aquatiques d'éveil, de découverte et d'initiation auprès de tous publics et d'activités aquagym. Surveillance des baignades et des piscines. Unités capitalisables complémentaires (UCC) associées à la spécialité "activités aquatique" du BP JEPS UCC "triathlon". Conduite de cycles de découverte et d'apprentissage jusqu'au premier niveau de compétition en triathlon. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "loisirs tous publics" du BP JEPS CS "tir sportif". Conduite de cycles d'animation dans toutes les disciplines du tir sportif. CS "tir à l'arc". Conduite de cycles d'animation en tir à l'arc. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "animation culturelle" du BP JEPS CS "tir sportif". Conduite de cycles d'animation dans toutes les disciplines du tir sportif. CS "escrime". Conduite de cycles d'animation en escrime. Certificats de spécialisation (CS) associés à la spécialité "animation sociale" du BP JEPS CS "tir à l'arc". Conduite de cycles d'animation en tir à l'arc. Diplôme d'Etat de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, spécialité "perfectionnement sportif", toutes mentions. Enseignement, animation, encadrement de l'activité visée par la mention considérée ou entraînement de ses pratiquants. Diplôme d'Etat supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, spécialité "performance sportive", toutes mentions. Enseignement, animation, encadrement de l'activité visée par la mention considérée ou entraînement de ses pratiquants. (*) Normes de classement des sites itinéraires d'escalade (Fédération française de la montagne et de l'escalade / FFME) en vigueur au 17 juillet 2007. D. - Titres délivrés par le ministère chargé de la défense INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Aide- moniteur d'entraînement physique, militaire et sportif. Participation à l'animation des activités physiques ou sportives. Sous le contrôle d'un titulaire de diplôme ou titre de niveau IV. Moniteur d'entraînement physique, militaire et sportif. Animation auprès de tous publics des activités physiques ou sportives à des fins d'initiation, de découverte, de loisir, de développement et de maintien des capacités physiques individuelles. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. Moniteur- chef d'entraînement physique, militaire et sportif. Encadrement et coordination auprès de tous publics des activités physiques ou sportives. Toute activité physique ou sportive auprès de tout public, à l'exclusion des groupes constitués de personnes ayant un handicap physique ou sensoriel, une déficience intellectuelle ou un trouble psychique. E. - Certificats de qualification délivrés par les branches professionnelles E-1. Certificats de qualification délivrés par la Commission paritaire nationale de l'emploi des entreprises équestres (CPNE- EE) INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Certificat de qualification professionnelle (CQP) "animateur- soigneur assistant". Participation à l'encadrement des pratiquants dans le cadre d'une action d'animation en "équitation cheval", en "équitation poney" ou en "tourisme équestre". Pour les mentions "équitation public poney" et "équitation public cheval" sous le contrôle d'un titulaire du brevet d'Etat d'éducateur sportif option "équitation" ou du brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport spécialité "activités équestres" mention "équitation". Pour la mention "tourisme équestre" sous le contrôle d'un titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport spécialité "activités équestres" mention "tourisme équestre" ou du brevet de guide de tourisme équestre. E-2. Certificats de qualification délivrés par la Commission paritaire nationale emploi- formation du sport (CPNEF du sport) INTITULÉ DU CERTIFICAT CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE CQP guide de véhicules terrestres motorisés à guidon, option "quad" (guide de VTM à guidon, option "quad") . Encadrement en autonomie d'excursions en quad pour des publics titulaires d'un permis ou d'un brevet délivré par l'Etat permettant la conduite d'un quad, conformément à l'article R. 213 du code de la route. A l'exclusion de toute activité d'enseignement ou d'entraînement. Dans la limite de 6 personnes accompagnées. Sur des parcours connus et reconnus. Sous réserve de la présentation de l'attestation triennale de recyclage. CQP animateur tir à l'arc . Encadrement en autonomie du tir à l'arc, par la découverte et l'animation. Dans la limite de 12 pratiquants. Durant la période allant du début des vacances de printemps à la fin des vacances d'été, conformément aux dates du calendrier des vacances scolaires fixé par les ministères de l'enseignement supérieur et de l'éducation nationale. A l'exclusion du temps scolaire contraint. Dans les structures de loisirs sportifs, socio- éducatives et de tourisme. CQP assistant moniteur de voile . Animation et initiation à la pratique de la voile. Sous l'autorité d'un titulaire d'une certification professionnelle des activités physiques ou sportives de niveau IV ou supérieur, le nombre de titulaires du CQP AMV placés sous cette autorité ne pouvant être supérieur à 10, dans la limite de 140 pratiquants encadrés par titulaire d'une certification de niveau IV ou supérieur. Durant les périodes de congés scolaires et universitaires fixées par les ministères de l'enseignement supérieur et de l'éducation nationale. CQP animateur de savate . Encadrement en autonomie de la savate, incluant la mise en œuvre des procédures de passage des gants bleus, verts, rouges et blancs. Activité exercée à titre secondaire. CQP animateur des activités gymniques . Mentions du CQP animateur des activités gymniques Mention activités gymniques acrobatiques . Encadrement en autonomie, par la découverte et l'initiation, des activités gymniques acrobatiques, à visée compétitive ou non : - activités gymniques au sol, aux agrès ou sur supports élastiques (piste gonflable, fast track, mini- trampoline, trampoline) ; - activités gymniques acrobatiques de groupe. Activité exercée à titre secondaire. Mention activités d'éveil gymnique pour la petite enfance . Encadrement en autonomie, par la découverte et l'initiation, des activités d'éveil gymnique pour la petite enfance : - activités gymniques sous forme de parcours de motricité ; - activités gymniques d'expression avec ou sans engins ; - activités gymniques d'expression avec ou sans support musical. Activité exercée à titre secondaire. Mention activités gymniques d'expression et d'entretien . Encadrement en autonomie, par la découverte et l'initiation, des activités gymniques d'expression et d'entretien : - activités gymniques à dominante cardio- vasculaire ; - activités gymniques dansées de groupe avec ou sans engins ; - activités gymniques de renforcement musculaire avec ou sans petit matériel ; - activités gymniques de renforcement musculaire sur parcours avec agrès ; - stretching. Activité exercée à titre secondaire. CQP animateur de loisirs sportifs . Options du CQP animateur de loisirs sportifs Option activités gymniques d'entretien et d'expression . Encadrement en autonomie par la découverte et l'animation des activités gymniques d'entretien et d'expression : - techniques cardio ; - renforcement musculaire ; - techniques douces ; - activités d'expression. Activité exercée à titre secondaire. Sans recours à des appareils de musculation. Sous réserve de la présentation du certificat d'aptitude à l'exercice de la fonction d'animateur de loisirs sportifs en cours de validité. Option jeux sportifs et jeux d'opposition . Encadrement en autonomie par la découverte et l'animation des jeux sportifs et des jeux d'opposition : - arts et éducation par les activités physiques d'opposition ; - jeux de raquettes ; - jeux de ballons, petits et grands terrains. Activité exercée à titre secondaire. A l'exclusion des pratiques compétitives. A l'exclusion de la délivrance de niveaux, de ceintures ou de grades. Sous réserve de la présentation du certificat d'aptitude à l'exercice de la fonction d'animateur de loisirs sportifs en cours de validité. CQP assistant moniteur de tennis . Initiation au tennis en cours collectif, des jeunes âgés de 18 ans au maximum. L'assistant moniteur de tennis bénéficie du suivi pédagogique d'un référent titulaire d'un diplôme d'Etat de niveau IV ou supérieur. Activité exercée le mercredi et le samedi, excepté dans le cas où la structure ne dispose pas d'équipement permanent. A l'exclusion du temps scolaire contraint. A l'exclusion des cours individuels. CQP éducateur de grimpe d'arbres . Animation et encadrement en autonomie de la grimpe dans les arbres. Dans la limite de 8 pratiquants. F. - Diplômes délivrés par le ministère chargé de la santé INTITULÉ DU DIPLÔME CONDITIONS D'EXERCICE LIMITES DES CONDITIONS D'EXERCICE Diplôme de masseur- kinésithérapeute. Encadrement de la pratique de la gymnastique hygiénique d'entretien ou préventive dans les établissements d'activités physiques et sportives déclarés. "Dans le respect de la législation et de la déontologie de la kinésithérapie".
Pour le transport par route de personnes au moyen de véhicules n'excédant pas neuf places, y compris le conducteur, en application de l'article R. 3113-40 du code des transports, les titulaires du baccalauréat professionnel transport " Exploitation des transports " et du baccalauréat professionnel " Transport " peuvent obtenir l'attestation de capacité professionnelle correspondante, sous réserve de réussir l'examen écrit prévu au deuxième alinéa de l'article R. 3113-39 du même code. Pour le transport léger de marchandises, en application du troisième alinéa de l'article R. 3211-40 du même code, les titulaires du baccalauréat professionnel transport " Exploitation des transports " et du baccalauréat professionnel " Transport " peuvent obtenir l'attestation de capacité professionnelle correspondante en étant dispensés du passage de l'examen écrit prévu au deuxième alinéa du même article.
Le deuxième alinéa de l'article 2 de l'arrêté du 31 janvier 2012 susvisé est ainsi modifié : 1. Après les mots : « Exploitation des transports », le mot : « et » est remplacé par la ponctuation : «, » ; 2. Après les mots : « baccalauréat professionnel “ transport ” », les mots suivants sont insérés : « et du titre professionnel du ministère chargé de l'emploi “ Exploitant en transport routier de marchandises ” ».
Pour le transport par route de personnes au moyen de véhicules n'excédant pas neuf places, y compris le conducteur, en application de l'article R. 3113-40 du code des transports, les titulaires du baccalauréat professionnel transport " Exploitation des transports " et du baccalauréat professionnel " Transport " peuvent obtenir l'attestation de capacité professionnelle correspondante, sous réserve de réussir l'examen écrit prévu au deuxième alinéa de l'article R. 3113-39 du même code. Pour le transport léger de marchandises, en application du troisième alinéa de l'article R. 3211-40 du même code, les titulaires du baccalauréat professionnel transport " Exploitation des transports ", du baccalauréat professionnel " Transport " et du titre professionnel du ministère chargé de l'emploi “ Exploitant en transport routier de marchandises ”peuvent obtenir l'attestation de capacité professionnelle correspondante en étant dispensés du passage de l'examen écrit prévu au deuxième alinéa du même article.
Il est institué auprès de l'établissement une commission des rémunérations chargée de donner un avis sur les recrutements de tout personnel au- delà d'une rémunération brute annuelle fixée dans le règlement intérieur de cette commission. Elle est aussi consultée sur les montants des indemnités de licenciement et ceux des indemnités spécifiques de rupture conventionnelle de contrat au- delà d'un seuil également fixé dans son règlement intérieur. Ce règlement intérieur est adopté par le conseil de surveillance, sur proposition du directoire. Il fixe en particulier la composition et le fonctionnement de cette commission, les conditions et les modalités de sa saisine. Les membres de la commission sont nommés par le conseil de surveillance sur proposition du directoire. Le contrôleur budgétaire assiste de droit aux réunions de cette commission, avec voix consultative.
Au troisième alinéa de l'article 33, les mots : « Le contrôleur budgétaire » sont remplacés par les mots : « Le préfet de la région Hauts- de- France ou son représentant ».
Il est institué auprès de l'établissement une commission des rémunérations chargée de donner un avis sur les recrutements de tout personnel au- delà d'une rémunération brute annuelle fixée dans le règlement intérieur de cette commission. Elle est aussi consultée sur les montants des indemnités de licenciement et ceux des indemnités spécifiques de rupture conventionnelle de contrat au- delà d'un seuil également fixé dans son règlement intérieur. Ce règlement intérieur est adopté par le conseil de surveillance, sur proposition du directoire. Il fixe en particulier la composition et le fonctionnement de cette commission, les conditions et les modalités de sa saisine. Les membres de la commission sont nommés par le conseil de surveillance sur proposition du directoire. Le préfet de la région Hauts- de- France ou son représentant assiste de droit aux réunions de cette commission, avec voix consultative.
Définition des épreuves E1 - Épreuve scientifique - U11, U12 - Coefficient : 3 Sous- épreuve E11 : mathématiques et Sciences physiques - U11 - Coefficient : 2 Finalités et objectifs de l'épreuve En mathématiques, les finalités et objectifs sont : - d'apprécier la solidité des connaissances des candidats et leur capacité à les mobiliser dans des situations liées à la profession ; - de vérifier leur aptitude au raisonnement et leur capacité à analyser correctement un problème, à justifier les résultats obtenus et à apprécier leur portée ; - d'apprécier leurs qualités dans le domaine de l'expression écrite et de l'exécution de tâches diverses (tracés graphiques, calculs à la main ou sur machine). En sciences physiques, les finalités et objectifs sont : - d'apprécier la solidité des connaissances des candidats et de s'assurer de leur aptitude au raisonnement et à l'analyse correcte d'un problème en rapport avec des activités professionnelles ; - de vérifier leur connaissance du matériel scientifique et des conditions de son utilisation ; - de vérifier leur capacité à s'informer et à s'exprimer par écrit sur un sujet scientifique. Contenus Les contenus sont définis en annexe I, tableau des unités constitutives du référentiel de certification (unité U11) Formes de l'épreuve Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures L'épreuve est notée sur 20 points : 15 points sont attribués aux mathématiques et 5 aux sciences physiques. Le formulaire officiel des mathématiques est intégré au sujet de l'épreuve. Les formules de sciences physiques qui sont nécessaires pour répondre aux questions posées mais dont la connaissance n'est pas exigée par le programme sont fournies dans le sujet. L'utilisation des calculatrices pendant l'épreuve est autorisée dans les conditions prévues par la réglementation en vigueur. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation comporte trois situations d'évaluation. Deux situations d'évaluation, situées respectivement dans la seconde partie et en fin de formation, respectent les points suivants : (a) Ces évaluations sont écrites ; chacune a une durée de deux heures et est notée sur vingt points. (b) Les situations comportent des exercices de mathématiques recouvrant une part très large du programme de mathématiques et de sciences physiques. Le nombre de points affectés à chaque exercice est indiqué aux candidats pour qu'ils puissent gérer leurs travaux. Pour chacune des deux situations d'évaluation, le total des points affectés aux exercices de mathématiques est de 14 points et celui des sciences physiques est de 6 points. Pour l'évaluation en mathématiques, lorsque les situations s'appuient sur d'autres disciplines, aucune connaissance relative à ces disciplines n'est exigible des candidats et toutes les explications et indications utiles doivent être fournies dans l'énoncé. (c) Il convient d'éviter toute difficulté théorique et toute technicité excessive en mathématiques et en sciences physiques. La longueur et ampleur du sujet doivent permettre à un candidat moyen de traiter le sujet et de le rédiger posément dans le temps imparti. d) L'utilisation des calculatrices pendant chaque situation d'évaluation est définie par la réglementation en vigueur aux examens et concours relevant de l'Éducation Nationale. Pour les exercices de mathématiques, l'usage du formulaire officiel de mathématiques est autorisé. e) On rappellera aux candidats que la clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront dans l'appréciation des copies. Une situation d'évaluation notée, sur dix points, ne concerne que les mathématiques. Elle consiste en la réalisation écrite (individuelle ou en groupe restreint) et la présentation orale (individuelle) d'un dossier comportant la mise en œuvre de savoir- faire mathématiques en liaison directe avec la spécialité de chaque baccalauréat professionnel. Ce dossier peut prendre appui sur le travail effectué au cours des périodes de formation en milieu professionnel. Au cours de l'oral dont la durée maximale est de vingt minutes, le candidat sera amené à répondre à des questions en liaison avec le contenu mathématique du dossier. La note finale sur vingt proposée au jury pour cette sous- épreuve est obtenue en divisant par 2,5 le total des notes relatives aux trois évaluations. Sous- épreuve E12 : travaux pratiques de sciences physiques - U12 - Coefficient : 1 Finalités et objectifs de l'épreuve Les finalités et objectifs de la sous- épreuve sont : - de vérifier l'aptitude des candidats à choisir et à utiliser du matériel scientifique pour la mise en œuvre d'un protocole expérimental fourni, dans le respect des règles de sécurité, - d'apprécier leurs savoir- faire expérimentaux, l'organisation de leur travail, la valeur des initiatives qu'ils sont amenés à prendre, - de vérifier leur capacité à rendre compte par oral ou par écrit des travaux réalisés. Contenus Les contenus sont définis en annexe I, tableau des unités constitutives du référentiel de certification (unité U12). Formes de l'épreuve Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 45 minutes. L'évaluation, notée sur 20 points, concerne les compétences expérimentales liées à la formation méthodologique de base. Le matériel que le candidat sera amené à utiliser est celui fixé par la note de service n° 96-070 du 8 mars 1996 (BOEN n° 12 du 21 mars 1996). Les candidats formés dans l'enseignement public ou dans l'enseignement privé sous contrat passent l'évaluation dans leur établissement. Des mesures particulières d'accueil sont prises pour les autres candidats. Ces derniers seront affectés dans les établissements par le recteur. L'évaluation est assurée par des professeurs de la discipline exerçant de préférence dans l'établissement. Le chef de centre s'assure qu'un professeur n'évalue pas ses propres élèves. Les sujets sont élaborés au niveau académique, inter académique ou national. Le recteur arrête annuellement les sujets proposés aux établissements, fixe le nombre de sujets qui seront mis en place dans chaque établissement et le calendrier de l'évaluation expérimentale de sciences physiques en cohérence avec le calendrier de l'examen établi au plan national. Chaque établissement met en place le nombre de sujets qui lui a été fixé et qu'il choisit dans l'ensemble des sujets proposés. Le procès verbal du déroulement de l'évaluation, les travaux remis par les candidats et les grilles d'évaluation remplies par les professeurs sont transmis au jury. L'inspecteur de l'éducation nationale chargé des sciences physiques s'assure que les conditions nécessaires au bon déroulement sont bien remplies. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation repose sur deux situations d'évaluation qui ont pour support une activité expérimentale. La durée de chacune est voisine de 1 h. Elles sont mises en place dans la seconde partie de la formation. Lors de chaque situation expérimentale, le candidat est évalué à partir d'une ou plusieurs expériences choisies dans les champs de la physique et de la chimie définis par l'unité U13 (annexe I du référentiel de certification). L'évaluation porte nécessairement sur les savoir- faire expérimentaux du candidat observés durant la ou les manipulations qu'il réalise et, suivant la nature du sujet, sur la valeur des mesures réalisées et sur leur exploitation. Lors de l'évaluation, il est demandé au candidat : - d'utiliser correctement le matériel mis à sa disposition et dont la liste est fixée par note de service n° 96-070 du 8 mars 1996 (BOEN n° 12 du 21 mars 1996), - de mettre en œuvre un protocole expérimental, - de rendre compte par écrit des résultats des travaux réalisés. En pratique, le candidat porte sur une fiche qu'il complète en cours de manipulation les résultats de ses observations, de ces mesures et, le cas échéant, de leur exploitation. L'évaluateur élabore un guide d'observation qui lui permet d'évaluer les savoir- faire expérimentaux du candidat lors de ses manipulations. Chaque situation est notée sur 20 points ; 13 points au moins sont attribués aux savoir- faire expérimentaux et à la valeur des mesures. Les deux situations d'évaluation doivent porter sur des champs différents de la physique et de la chimie. La note sur 20 attribuée au candidat pour l'unité est la moyenne, arrondie au demi point, des deux notes sur 20 obtenues lors des deux situations d'évaluation. E2 - Étude d'un ouvrage - U2 - Coefficient : 5 Finalités et objectifs de l'épreuve : Cette épreuve doit permettre, a partir du dossier technique d'un ouvrage relatif à la distribution et aux applications terminales ("habitat/tertiaire" et/ou "industrielle") de vérifier les compétences du candidat à : - Proposer, justifier des solutions techniques et technologiques, - Modifier des schémas, - Justifier des dimensionnements de composants à partir des lois d'électrotechnique, Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences C1-3, C1-5, C2-1, C2-2, C3-1, C5-1, C5-2, C5­5 du référentiel de certification et des savoirs technologiques qui leur sont associés. La mise en œuvre des lois de l'électrotechnique est faite à l'occasion de la proposition ou de la justification de solutions techniques et technologiques. Contenu de l'épreuve : L'épreuve est composée de 2 parties : - Première partie traitant du tronc commun de connaissances notée sur 14 points. - Deuxième partie traitant des connaissances relatives au champ d'application ("habitat/tertiaire" ou "industriel") notée sur 6 points. Le candidat ne traite dans cette deuxième partie que les questions relatives au champ d'application "habitat/tertiaire" ou "industriel" qu'il a choisi. La note finale sur 20 résulte de la somme des notes obtenues à la première et deuxième partie. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation indiquées dans le référentiel de certification, l'évaluation porte principalement sur : - La pertinence des solutions proposées, - La précision et la clarté des documents établis, - L'utilisation appropriée des lois de l'électrotechnique. Forme de l'épreuve : Ponctuelle : Épreuve d'une durée de cinq heures qui aborde : - Le dimensionnement de constituants et de canalisation électrique. - Les propositions et modifications de schémas ou plan d'implantation. - Les choix ou justification de solutions technologiques. Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation écrite organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve" et est équivalent à celui requis dans le cadre de l'épreuve ponctuelle. La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. Sa durée est fixée à 5 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - les documents rédigés par le candidat pendant le temps imparti à la situation d'évaluation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Sur cette fiche est également consignée une synthèse notée de l'évaluation du travail réalisé par le candidat. Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. E3 - Épreuve pratique prenant en compte l'activité professionnelle - U31, U32, U33, U34 - Coefficient : 8 L'objectif de cette épreuve est de valider les compétences acquises au cours de la formation en établissement de formation ainsi que celles acquises en entreprise. Sous- épreuve E31 : situations de travail spécifiées et réalisées en milieu professionnel - U31 - Coefficient : 3 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous- épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification : C1-1 C1-4 C1-6 C1-7 C1-8 C1-9 C2-3 C2-4 C2-5 C2-6 C2-17 C2-18 C3-2 C3-3 C3-4 C4-2 C4-4 C4-5 C4-6 C5-4 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Elle doit permettre de: - valider les compétences mises en œuvre lors des situations de travail effectuées par le candidat en entreprise. - vérifier sa capacité à argumenter et à justifier par écrit et oralement une résolution de problème rencontré lors de sa pratique du métier. Elle contribue également à évaluer les compétences du candidat dans le domaine de l'économie gestion conformément au référentiel défini à l'annexe V de l'arrêté du 17 août 1987 relatif au programme des classes préparant au baccalauréat professionnel. Contenu de la sous - épreuve : L'épreuve vise à valider : - les compétences acquises en entreprise, - l'aptitude à analyser et à présenter oralement des situations professionnelles à partir d'un dossier de synthèse rédigé et constitué par le candidat. Le dossier de synthèse consigne en particulier : - quatre compte- rendus de situations de travail effectuées en entreprise et choisies par le candidat. Elles sont significatives et représentatives du métier. - une des quatre situations de travail qui est approfondie et présentée sous forme d'une étude de cas. L' étude de cas : - développe un thème relatif à une situation professionnelle en correspondance avec les compétences inscrites au référentiel de certification. - a comme origine une activité professionnelle choisie par le candidat ou un axe d'étude proposé par le tuteur de l'entreprise en relation avec le formateur concerné et le candidat. - repose sur une problématique à résoudre et analysée en termes d'exécution, d'amélioration ou de modification d'ouvrage. Celle- ci doit être en relation avec la technologie, les techniques professionnelles, la sécurité ainsi que les normes et règlements. Elle prend source à partir d'une activité liées à la construction électrique et ne doit pas reposer uniquement sur la fonction étude. L'étude de cas doit également prendre en compte les aspects relatifs à l'économie - gestion. Évaluation L'évaluation prend appui sur le dossier de synthèse élaboré par le candidat et sur les diverses activités qui lui ont été confiées (autonomie totale ou partielle) en entreprise. Elle prend en compte les trois parties concernant : 1°) les compétences développées en situation de travail en entreprise. Cette partie vise plus particulièrement l'évaluation des compétences : C1-1, C1-4, C2-3,C2-4,C2-5, C2-6,C4-5, C4-6, C5-4 2°) l'élaboration du dossier de synthèse constitué par le candidat. Cette partie vise plus particulièrement l'évaluation des compétences : C1-6, C1-7, C1-8, C2-17, C2-18, C3-3, C3-4, C4-4. L'objectif est de vérifier l'aptitude du candidat à : - décrire quatre activités particulières - résoudre un problème technique simple à partir de l'étude de cas comportant des contraintes technologiques, réglementaires et sécuritaires, - replacer son activité professionnelle dans le cadre générale de l'entreprise et de son fonctionnement (statut juridique de l'entreprise, gestion, organisation matérielle et humaine)1, - exploiter une documentation simple pour déterminer ses droits et obligations dans le cadre de l'exercice de la profession (1). - communiquer par écrit le résultat de ses recherches et des actions qu'il a engagées. L'évaluation doit prendre plus particulièrement en compte : - la description du cadre général de l'entreprise, son organisation et son statut, - le choix et la pertinence de l'étude de cas, - l'analyse technique de la problématique à résoudre, - la description des quatre situations de travail, - les aspects relatifs à l'organisation du travail, l'animation d'équipe, la relation commerciale, - les aspects technologiques, normatifs et réglementaires, sécuritaires, - la qualité de la rédaction du dossier et sa lisibilité. 3°) Une présentation orale des différents travaux engagés au cours des situations de travail réalisées en entreprises ainsi que l'étude de cas. Cette partie vise plus particulièrement l'évaluation des compétences : C1-9, C3-2, C4-2 La présentation orale est effectuée devant une commission d'évaluateurs composée, d'un professeur chargé des enseignements professionnels, d'un professeur d'économie et gestion et d'un professionnel. L'absence de ce dernier ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. L'objectif est de vérifier l'aptitude du candidat à présenter le contenu du dossier. L'évaluation doit prendre plus particulièrement en compte pour la présentation orale et l'entretien : - la présentation orale synthétique des quatre situations significatives de travail réalisées, - l'argumentation pour résoudre le problème technique, les résultats obtenus, la pertinence de la solution choisie parmi plusieurs possibles, - la qualité de l'expression du candidat, - l'aptitude au dialogue, Forme de l'évaluation : Ponctuelle orale (durée 40 min) : Les trois parties définies dans le chapitre évaluation sont prises en compte. Il s'agit d'un oral comportant un exposé du candidat d'une durée de 20 minutes suivi d'un entretien avec la commission d'évaluateurs d'une durée de 20 minutes. Le contenu du dossier, la présentation orale et l'entretien permettent d'évaluer les activités en entreprise. Le dossier de synthèse, constitué par le candidat, est mis à la disposition de la commission d'évaluateurs huit jours avant l'épreuve ponctuelle. La commission d'évaluateurs détermine l'appréciation et la note qui sera proposée au jury. Contrôle en cours de formation : Les trois parties définies dans le chapitre évaluation sont prises en compte. 1ère partie de l'évaluation (coef. 1,5) : Situations de travail effectuées en entreprise. Cette partie concerne l'évaluation des compétences mises en œuvre lors de la réalisation d'activités découlant de la contractualisation établissement de formation et entreprise. L'évaluation s'effectue au cours des périodes de formation en entreprise et porte sur la totalité des situations de travail réalisées par le candidat. Les professeurs concernés et les tuteurs de l'entreprise déterminent conjointement, l'appréciation et la note pour cette partie. 2ème partie de l'évaluation (coef. 1) : dossier de synthèse constitué par le candidat. Elle concerne l'évaluation des parties constitutives du dossier de synthèse. La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. Les évaluateurs (et/ou professionnels) proposent une note pour cette partie. 3ème partie de l'évaluation (coef. 0,5) : Oral de présentation des travaux réalisés. Cette partie concerne l'évaluation des compétences mises en œuvre lors de la présentation orale du candidat des quatre activités significatives de travail réalisée et de l'étude de cas devant la commission d'évaluateurs et en prenant appui sur le dossier de synthèse. La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. La présentation orale du candidat (durée conseillée, 10 minutes) est suivie d'un entretien avec l'équipe d'évaluateurs (durée conseillée, 10 minutes). La note finale proposée au jury résulte de la moyenne des notes obtenues aux trois parties affectées de leur coefficient. Sous- épreuve E32 : mise en service d'un ouvrage - U32 - Coefficient : 1,5 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous- épreuve doit permettre de vérifier les compétences du candidat à exécuter la mise en service d'un ouvrage en respectant les règles d'intervention imposées par l'ouvrage et son environnement. Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification : C2-8 C2-10 C2-11 C2-19 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Seuls les savoirs technologiques, correspondant aux niveaux taxonomiques du tronc commun de connaissances, sont mobilisés lors de cette sous - épreuve. Contenu de la sous - épreuve : La situation proposée est aussi proche que possible d'une situation réelle. L'ouvrage doit être suffisamment significatif pour que la mise en service puisse s'effectuer depuis les circuits de distribution jusqu'aux applications terminales. Les applications terminales de conversion de l'énergie couvrent les deux champs d'application, "habitat/tertiaire" d'une part et "industriel" d'autre part. A partir : - du cahier des charges de l'ouvrage, - des normes et règlements, - des schémas et plans, - des documents constructeurs, - des consignes particulières, - de la liste du matériel, - des instructions qualités - des notices techniques. - des mesureurs. Le candidat en vue de la mise en service de l'ouvrage doit : - Vérifier visuellement la conformité de l'installation. - Vérifier la qualité d'exécution de l'ouvrage : connexions... - Choisir les mesureurs, équipements et outillages adaptés aux mesures préalables à la mise sous tension. - Effectuer les mesures et les réglages préalables à la mise sous tension. - Mettre sous tension en toute sécurité l'ouvrage. - Mesurer les grandeurs électriques pertinentes. - Vérifier le fonctionnement de l'ouvrage dans le respect des contraintes imposées par le cahier des charges. - Livrer l'ouvrage au client. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation et des compétences indiquées par le référentiel de certification, l'évaluation porte sur : - L'organisation et l'aménagement du poste de travail, - La logique du mode opératoire, - La précision et la clarté des documents établis, - Le respect des consignes et des procédures - Le respect des règles liées à l'habilitation - La conformité avec le travail demandé, - La prise en compte des contraintes techniques, - L'utilisation pertinente, rigoureuse des différents outillages et appareillages de mesure et de contrôle, - La prise en compte des règles de sécurité et de protection de l'environnement. - La rédaction d'un compte rendu détaillé faisant état de la réception de l'ouvrage. Forme de l'évaluation : Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 3h. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Des professionnels sont associés à cette évaluation. L'absence de ces derniers ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile précédant la session d'examen. Sa durée est fixée à 3 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - la description sommaire des conditions techniques de réalisation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. Sous- épreuve E33 : maintenance d'un ouvrage - U33 - Coefficient : 1,5 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous- épreuve doit permettre de vérifier les compétences du candidat à : - Exécuter une opération de maintenance en respectant les règles d'intervention imposées par l'ouvrage et son environnement. - Compléter des documents de maintenance. Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification C1-2, C2-13, C2-14, C2-15, C2-16, C4-7, C5-3 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Seuls les savoirs technologiques, correspondant aux niveaux taxonomiques du tronc commun de connaissances, sont mobilisés lors de cette sous - épreuve. Contenu de la sous - épreuve : La situation proposée est aussi proche que possible d'une situation réelle. L'ouvrage est suffisamment significatif pour que les opérations de maintenance puissent s'effectuer depuis les circuits de distribution jusqu'aux applications terminales. Les applications terminales de conversion de l'énergie couvrent les deux champs d'application, "habitat/tertiaire" d'une part et "industriel" d'autre part. A partir : - du cahier des charges de l'ouvrage, - des normes et règlements, - des schémas et plans, - des documents constructeurs, - des consignes particulières, - de la liste du matériel, - des instructions qualités - des notices techniques. - des mesureurs. Le candidat doit en vue de remettre l'ouvrage en état de fonctionnement : - Constater le dysfonctionnement. - Émettre les hypothèses relatives au dysfonctionnement. - Vérifier les hypothèses émises. - Effectuer la remise en état de l'ouvrage. - Remettre l'ouvrage en fonctionnement et vérifier son bon fonctionnement. - Rédiger un compte- rendu d'intervention. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation et des compétences indiquées par le référentiel de certification, l'évaluation porte sur : - L'organisation et l'aménagement du poste de travail. - La logique du mode opératoire. - La précision et la clarté des documents établis. - Le respect des consignes et des procédures. - Le respect des règles liées à l'habilitation. - La conformité avec le travail demandé. - L'utilisation pertinente, rigoureuse des différents outillages et appareillages de mesure et de contrôle. - La prise en compte des règles de sécurité et de protection de l'environnement. - La rédaction d'un compte rendu détaillé faisant état de l'intervention de maintenance sur l'ouvrage. Forme de l'évaluation : - Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 3h. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". - Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Des professionnels sont associés à cette évaluation. L'absence de ces derniers ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants. Elle est située au cours du premier trimestre de l'année civile de la session d'examen. Sa durée est fixée à 3 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - la description sommaire des conditions techniques de réalisation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. Sous- épreuve E34 : réglage, paramétrage, contrôle, modification liés au champ d'application - U34 - Coefficient : 2 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous - épreuve doit permettre de vérifier les compétences du candidat à : - Proposer une solution de modification(s) d'une application terminale à la suite du changement partiel du cahier des charges. - Réaliser la (les) modification(s) de l'application terminale. - Exécuter les réglages et paramétrage de l'application terminale. - Mettre à jour les documents en prenant en compte la (les) modification(s) effectuée(s). - Communiquer les informations nécessaires à l'exploitation de l'ouvrage par l'utilisateur. Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification : C2-7 C2-9 C2-12 C3-5 C4-1 C4-3 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Les savoirs technologiques se rapportant au champ d'application "habitat/tertiaire" ou "industriel" choisi par le candidat lors de son inscription à l'examen sont plus particulièrement mobilisés lors de cette sous - épreuve. Contenu de la sous - épreuve : La situation proposée est aussi proche que possible d'une situation réelle. Le candidat intervient sur l'ouvrage mais majoritairement sur l'application terminale se rapportant au champ d'application "habitat/Tertiaire" ou "industriel "qu'il a choisi. Dans le cadre de cette intervention, une partie étude peut utilement compléter les activités de réalisation imposées. A partir : - du cahier des charges de l'ouvrage, - des normes et règlements, - des schémas et plans, - des documents constructeurs, - des consignes particulières, - de la liste du matériel, - des instructions qualités - des notices techniques. - des mesureurs. Le candidat doit en vue du réglage, du paramétrage et de la modification sur l'application terminale retenue : - Proposer une modification destinée à améliorer un ouvrage. - Réaliser la modification sur l'application terminale. - Choisir les mesureurs, équipements et outillages adaptés aux mesures préalables à la mise sous tension. - Mettre sous tension en toute sécurité l'ouvrage. - Mesurer les grandeurs électriques pertinentes et effectuer les réglages nécessaires au bon fonctionnement de l'ouvrage. - Vérifier le fonctionnement de l'ouvrage ou l'application terminale par rapport aux nouvelles contraintes du cahier des charges. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation et des compétences indiquées par le référentiel de certification, l'évaluation porte sur : - La description du fonctionnement de l'ouvrage ou de l'application terminale. - L'organisation et l'aménagement du poste de travail. - La logique du mode opératoire. - La précision et la clarté des documents établis. - Le respect des consignes et des procédures. - La conformité avec le travail demandé. - La prise en compte des contraintes techniques. - L'utilisation pertinente et rigoureuse des différents outillages et appareillages de mesure et de contrôle. - La prise en compte des règles de sécurité et de protection de l'environnement. - La rédaction d'un compte rendu détaillé faisant état des réglages, paramétrages et des modifications effectués sur l'ouvrage. Forme de l'évaluation : Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 4h. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Des professionnels sont associés à cette évaluation. L'absence de ces derniers ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants. Elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. Sa durée est fixée à 4 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - la description sommaire des conditions techniques de réalisation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. E4 Épreuve de langue vivante - U4 - Coefficient : 2 Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures (Arrêté du 6 avril 1994 B.O. n° 21 du 26 mai 1994). Cette épreuve vise à apprécier la compréhension de la langue étrangère et l'expression dans cette langue. Elle porte sur des thèmes liés à la vie socioprofessionnelle en général ou à un aspect de la civilisation du pays. Elle comprend deux parties notées respectivement sur 12 points et 8 points. 1ère partie : Compréhension A partir d'un document en langue étrangère, le candidat doit répondre en français à des questions en français révélant sa compréhension du texte en langue étrangère. Il pourra être invité à justifier ses réponses par une citation extraite du document et à fournir la traduction de quelques passages choisis. 2ème partie : Expression Cette partie de l'épreuve consiste en : - d'une part des exercices visant à tester en situation les compétences linguistiques (4 points) - d'autre part une production semi- guidée qui pourra être liée au document proposé pour l'évaluation de la compréhension (4 points). L'utilisation du dictionnaire bilingue est autorisée. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation est constitué de quatre situations d'évaluation correspondant aux quatre capacités : A - compréhension écrite B - compréhension de l'oral C - expression écrite D - expression orale A - compréhension écrite A partir d'un ou deux supports en langue vivante étrangère la compréhension de la langue considérée sera évaluée par le biais de : - réponses en français à des questions, - résumé en français du document, - compte rendu du document, - traduction. Le candidat devra faire la preuve des compétences suivantes : - repérage/identification - mise en relation des éléments identifiés - inférence Critères : intelligibilité et pertinence de la réponse. B - compréhension de l'oral A partir d'un support audio- oral ou audio- visuel, l'aptitude à comprendre le message auditif en langue vivante étrangère sera évaluée par le biais de : - réponses à des questions factuelles simples sur ce support, - QCM, - reproduction des éléments essentiels d'information compris dans le document. Le candidat devra faire la preuve des compétences suivantes : - anticipation - repérage/identification - association des éléments identifiés - inférence C - Production écrite La capacité à s'exprimer par écrit en langue vivante étrangère sera évaluée par le biais d'une production guidée d'un paragraphe de 10 à 15 lignes. Le message portera sur l'expérience professionnelle ou personnelle du candidat ou bien sur un aspect de civilisation (questions pouvant prendre appui sur un court document écrit ou une image). Le candidat devra faire la preuve des compétences suivantes : - mémorisation - mobilisation des acquis - aptitude à la reformulation - aptitude à combiner les éléments acquis en énoncés pertinents et intelligibles - utilisation correcte et précise des éléments linguistiques contenus dans le programme de consolidation de seconde : éléments grammaticaux : déterminants, temps, formes auxiliées, modalité, connecteurs ... Eléments lexicaux : Cf. liste contenue dans le référentiel BEP ou programme de BEP Construction de phrases simples, composées, complexes D - Production orale La capacité à s'exprimer oralement en langue vivante étrangère de façon pertinente et intelligible sera évaluée. Le support proposé par le formateur permettra d'évaluer l'aptitude à : - dialoguer en langue vivante étrangère à l'aide de constructions simples, composées, dans une situation simple de la vie courante. Ce dialogue pourra porter sur des faits à caractère personnel, de société ou de civilisation. Le candidat devra faire preuve des compétences suivantes : - mobilisation des acquis - aptitude à la reformulation - aptitude à combiner les éléments acquis en énoncés pertinents et intelligibles Exigences lexicales et grammaticales : cf. programme de consolidation de seconde et référentiel BEP ou programme BEP E5 Épreuve de français histoire géographie - U51 - U52 - Coefficient : 5 Sous- épreuve E51 : Français - U51 - Coefficient : 3 Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2h30 L'évaluation comporte deux parties : - une première partie, notée sur 8 à 12 points, évalue les capacités de compréhension, - une deuxième partie, notée sur 8 à 12 points, évalue les capacités d'expression. L'évaluation s'appuie sur un ou plusieurs textes ou documents (textes littéraires, textes argumentatifs, textes d'information, essais, articles de presse, documents iconographiques). Dans la première partie, deux ou trois questions permettent de vérifier la capacité du candidat de comprendre le sens global des documents, d'en dégager la construction, d'en caractériser la visée, le ton, l'écriture ... La seconde partie permet d'évaluer la capacité du candidat d'exposer un point de vue ou d'argumenter une opinion. Le type d'écrit attendu s'inscrit dans une situation de communication précisée par l'énoncé (lettre, synthèse rédigée, article ...). Le sujet précise la longueur du texte à rédiger. Le nombre de points attribués à chacune des parties de l'épreuve est indiqué dans le sujet. Dans tous les cas, la note globale est attribuée sur 20 points. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation est constitué de quatre situations d'évaluation permettant de tester les capacités de compréhension et d'expression du candidat. Elles sont de poids équivalent. Elles reposent à la fois sur des supports fonctionnels et sur des supports fictionnels ou littéraires. On précisera chaque fois que nécessaire la situation de communication : destinataire, auditoire, etc. Situation A a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat d'analyser ou de synthétiser. b) Exemples de situation : - supports fonctionnels : fiche d'analyse de tâches ; prises de notes - supports fictionnels/littéraires : fiche de lecture ; synthèse d'une activité de lecture Situation B a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat de rendre compte ou transposer ou développer. b) Exemples de situation : - supports fonctionnels: rapport d'intervention en milieu professionnel; fiche de présentation d'un produit, rédaction d'un texte publicitaire à partir de documents; lettre, articles; argumentation à partir d'un dossier ; - supports fictions/littéraires: commentaire de lettre, d'images; argumentation à partir d'une lecture. Situation C a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat à exposer ou transmettre un message oral b) Exemples de situation : - présentation d'un dossier disciplinaire ou interdisciplinaire - compte rendu de lecture, de visite, de stage... - rapports des travaux d'un groupe. Situation D a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat à participer ou animer b) Exemples de situation : - participation à un entretien (embauche ...) - participation à un débat - participation à une réunion - animation d'un groupe, d'une équipe (entreprise). Sous- épreuve E52 : Histoire, géographie - U52 - Coefficient : 2 Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures Cette sous- épreuve porte sur le programme de la classe terminale du baccalauréat professionnel, sur un thème précis et les notions qui lui sont associées. Le candidat a le choix entre deux sujets. Il doit faire la preuve de ses capacités de comprendre et d'analyser une situation historique ou géographique en s'appuyant sur l'étude d'un dossier de trois à cinq documents de nature variée. Il répond à une série de questions qui visent à évaluer ses compétences à : - repérer et relever des informations dans une documentation, - établir des relations entre les documents, - utiliser des connaissances sur le programme. Ces questions, qui ne peuvent se réduire à une demande de définitions, permettant au candidat de faire la preuve qu'il maîtrise les méthodes d'analyse des documents et qu'il sait en tirer parti pour comprendre une situation historique ou géographique. Il élabore ensuite une courte synthèse intégrant les éléments apportés par le dossier et ses connaissances. Les documents constituent un ensemble cohérent qui permet une véritable mise en relation. La cohérence réside dans la situation envisagée et la (ou les) notion(s) qui s'y rapporte(nt). La synthèse consiste en un texte rédigé qui peut être accompagné par une carte, un croquis ou un schéma à l'initiative du candidat ou en réponse à une question expressément formulée. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation est constitué de quatre situations d'évaluation : deux situations d'évaluation en histoire fondées sur un sujet accompagné de documents et deux situations d'évaluation en géographie. Objectifs Les différentes situations d'évaluation visent à évaluer les compétences du candidat à : - repérer et relever des informations dans un ensemble de trois à cinq documents, - établir des relations entre les documents, - utiliser des connaissances sur le programme, - élaborer une courte synthèse intégrant les informations apportées par les documents proposés et ses connaissances. Modalités Les quatre situations d'évaluation portent chacune sur des sujets d'étude différents, se rapportant au programme de terminale du baccalauréat professionnel. Chaque situation est écrite et dure (environ) deux heures. Les documents servant de supports aux différentes situations d'évaluation constituent des ensembles cohérents permettant une mise en relation. La cohérence réside dans la situation historique ou géographique envisagée et la (ou les) notion(s) qui s'y rapporte(nt). Deux des quatre situations d'évaluation doivent donner lieu à la réalisation d'un croquis ou d'un schéma. La synthèse demandée comporte une vingtaine de lignes : elle est guidée par un plan indicatif ou un questionnement. E6 Épreuve d'éducation artistique - arts appliqués - U6 - Coefficient : 1 Finalités et objectifs dé l'évaluation L'évaluation a pour objet de vérifier que le candidat sait utiliser des méthodes d'analyse et sait communiquer en utilisant le vocabulaire plastique et graphique. Elle permet également de s'assurer que le candidat sait mobiliser ses connaissances relatives à l'esthétique du produit, à la production artistique et son implication dans l'environnement contemporain et historique. Évaluation L'évaluation porte sur les compétences définies par le programme- référentiel, en relation directe ou indirecte avec le champ professionnel concerné. Formes de l'évaluation Ponctuelle : évaluation écrite et graphique, d'une durée de 3 heures Cette épreuve comporte une analyse formelle et stylistique des éléments présentés dans un dossier comportant quelques planches documentaires (images/textes). Elle se complète d'une recherche personnelle effectuée par le candidat à partir de l'analyse du dossier documentaire, en fonction d'une demande précise et/ou d'un cahier des charges. L'analyse implique un relevé documentaire sélectif assorti d'annotations. Le contenu de l'analyse peut porter sur la comparaison entre l'organisation plastique et l'organisation fonctionnelle d'un ou plusieurs objets (ou supports), ou sur la mise en relation des éléments représentés avec leur contexte historique et artistique. La recherche porte sur un problème appartenant à l'un des domaines des arts appliqués. Elle doit être présentée sous forme d'esquisse(s) graphique(s) et/ou colorée(s) assortie(s) d'un commentaire écrit, justifiant les choix effectués par le candidat. Un jury académique composé de professeurs de la discipline procède à la correction et la notation de l'épreuve. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation comporte trois situations d'évaluation organisées au cours de la formation. Les trois situations comportent 1 à 2 séances de 2 heures et sont affectées chacune d'un coefficient particulier : - première situation d'évaluation : coefficient 1 - deuxième situation d'évaluation : coefficient 2 - troisième situation d'évaluation : coefficient 2 La note finale sur vingt proposée au jury pour cette épreuve est obtenue en divisant par 5 le total des notes relatives aux trois évaluations. Première situation d'évaluation L'évaluation de cette première situation porte sur la mise en œuvre des compétences suivantes : - analyser les relations entre les constituants plastiques et les éléments fonctionnels d'un produit d'art appliqué (relations formes, matière, couleurs/fonctions) - mettre en œuvre des principes d'organisation - mettre en œuvre et maîtriser des outils et des techniques imposées Les éléments et les données sont imposées. Deuxième situation d'évaluation L'évaluation de cette deuxième situation porte sur la mise en œuvre des compétences suivantes : - traduire plastiquement les observations concernant les données du réel - analyser des produits d'art appliqué à l'industrie et à l'artisanat - rendre compte plastiquement des relations entre les constituants plastiques et les éléments fonctionnels d'un produit d'art appliqué (relations formes, matière, couleurs/fonctions) - sélectionner, transférer et adapter des éléments pour répondre à un problème d'art appliqué dans le respect d'un cahier des charges ou des contraintes imposées. - maîtriser des techniques appropriées à la traduction des réponses données au problème d'art appliqué imposé. Un dossier documentaire et un cahier des charges sont imposés. Néanmoins, le candidat doit sélectionner des documents et/ou des éléments dans les sources documentaires proposées. Il doit également faire un choix en ce qui concerne la mise en œuvre d'outils et de techniques pour communiquer sont projet. Troisième situation d'évaluation L'évaluation de cette troisième situation porte sur la mise en œuvre des compétences suivantes : - identifier une production artistique et repérer son implication dans son environnement culturel, spécialement dans celui du cadre de vie, de la fabrication industrielle ou artisanale ou de la communication visuelle - situer un produit, un support de communication, un espace construit dans un environnement artistique et culturel de son époque - évaluer la qualité esthétique d'un produit. Le problème est imposé ainsi que l'objet d'étude, en revanche, les références (images et textes) sont proposées, le candidat sélectionne des documents ou des éléments documentaires en fonction de son analyse personnelle et de son argumentaire. E7 Épreuve d'éducation physique et sportive - U7 - Coefficient : 1 Forme ponctuelle et Forme contrôle en cours de formation Les modalités de l'épreuve d'éducation physique et sportive sont définies par l'arrêté du 22 novembre 1995 relatif aux modalités d'organisation du contrôle en cours de formation et de l'examen terminal pour l'éducation physique et sportive au lycée (journal officiel du 30 novembre 1995, BOEN n° 46 du 14 décembre 1995) Épreuve facultative de langue vivante - UF1 Épreuve orale, durée 20 minutes L'épreuve a pour but de vérifier la capacité du candidat à comprendre une langue vivante parlée et la capacité à s'exprimer de manière intelligible pour un interlocuteur n'exigeant pas de particularités linguistiques excessives sur un sujet d'intérêt général. Épreuve facultative d'hygiène - prévention - secourisme - UF2 Formes de l'évaluation Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures A partir d'une (de) situation(s) professionnelle(s), accompagnée(s) éventuellement d'une documentation scientifique et technique, le candidat doit notamment : - exploiter et/ou mettre en œuvre des outils d'analyse de la situation donnée, - mobiliser ses connaissances scientifiques et réglementaires pour identifier le (ou les) problème(s) et argumenter des solutions d'amélioration en lien avec les mesures et structures de prévention, - expliquer la conduite à tenir face à une situation d'urgence. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation comporte trois situation d'évaluation. 1ère situation d'évaluation : évaluation écrite, d'une durée indicative de 1h30 à 2h, située au cours de la dernière année de formation, notée sur 7 points. A partir de documents présentant notamment une situation professionnelle d'entreprise, il est demandé : - une analyse de la situation donnée selon une méthode adaptée, - une justification scientifique des effets de la situation donnée ou des mesures de prévention, - une ou des questions relatives à la réglementation et/ou aux organismes de prévention. 2ème situation d'évaluation : réalisation d'un travail personnel écrit noté sur 7 points. A partir de données recueillies au cours de la période de formation en milieu professionnel et/ou d'un travail documentaire, le candidat rédige un document de 5 pages maximum sur : - un problème professionnel en lien avec le programme d'hygiène- prévention- secourisme et le secteur professionnel concerné, - la prévention mise en œuvre (moyens, acteurs, organisation ... ) ou les moyens d'amélioration qu'il propose dans leurs contextes respectifs. Le candidat précise sa démarche, justifie les effets possibles sur la santé ainsi que les solutions mises en œuvre ou possibles. 3ème situation d'évaluation : évaluation pratique consistant en une intervention de secourisme notée sur 6 points. Le comportement du candidat face à une situation d'urgence est évalué par des moniteurs de secourisme. Dans le cas où cette évaluation pratique ne peut être réalisée, une évaluation écrite d'environ 30 minutes est mise en place. Au cours de celle- ci le candidat précise la conduite à tenir pour une situation d'urgence relevant du secourisme. La note globale proposée au jury par le professeur de biotechnologies santé - environnement assurant l'enseignement d'hygiène- prévention- secourisme est calculée en faisant le total des notes obtenues à chacune des trois situation d'évaluation.
Les dispositions de l'annexe IV de l'arrêté du 8 juillet 2003 modifié susvisé sont remplacées par les dispositions figurant en annexe II du présent arrêté.
Définition des épreuves E1 - Épreuve scientifique - U11, U12 - Coefficient : 3 Sous- épreuve E11 : mathématiques et Sciences physiques - U11 - Coefficient : 2 Finalités et objectifs de l'épreuve En mathématiques, les finalités et objectifs sont : - d'apprécier la solidité des connaissances des candidats et leur capacité à les mobiliser dans des situations liées à la profession ; - de vérifier leur aptitude au raisonnement et leur capacité à analyser correctement un problème, à justifier les résultats obtenus et à apprécier leur portée ; - d'apprécier leurs qualités dans le domaine de l'expression écrite et de l'exécution de tâches diverses (tracés graphiques, calculs à la main ou sur machine). En sciences physiques, les finalités et objectifs sont : - d'apprécier la solidité des connaissances des candidats et de s'assurer de leur aptitude au raisonnement et à l'analyse correcte d'un problème en rapport avec des activités professionnelles ; - de vérifier leur connaissance du matériel scientifique et des conditions de son utilisation ; - de vérifier leur capacité à s'informer et à s'exprimer par écrit sur un sujet scientifique. Contenus Les contenus sont définis en annexe I, tableau des unités constitutives du référentiel de certification (unité U11) Formes de l'épreuve Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures L'épreuve est notée sur 20 points : 15 points sont attribués aux mathématiques et 5 aux sciences physiques. Le formulaire officiel des mathématiques est intégré au sujet de l'épreuve. Les formules de sciences physiques qui sont nécessaires pour répondre aux questions posées mais dont la connaissance n'est pas exigée par le programme sont fournies dans le sujet. L'utilisation des calculatrices pendant l'épreuve est autorisée dans les conditions prévues par la réglementation en vigueur. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation comporte trois situations d'évaluation. Deux situations d'évaluation, situées respectivement dans la seconde partie et en fin de formation, respectent les points suivants : (a) Ces évaluations sont écrites ; chacune a une durée de deux heures et est notée sur vingt points. (b) Les situations comportent des exercices de mathématiques recouvrant une part très large du programme de mathématiques et de sciences physiques. Le nombre de points affectés à chaque exercice est indiqué aux candidats pour qu'ils puissent gérer leurs travaux. Pour chacune des deux situations d'évaluation, le total des points affectés aux exercices de mathématiques est de 14 points et celui des sciences physiques est de 6 points. Pour l'évaluation en mathématiques, lorsque les situations s'appuient sur d'autres disciplines, aucune connaissance relative à ces disciplines n'est exigible des candidats et toutes les explications et indications utiles doivent être fournies dans l'énoncé. (c) Il convient d'éviter toute difficulté théorique et toute technicité excessive en mathématiques et en sciences physiques. La longueur et ampleur du sujet doivent permettre à un candidat moyen de traiter le sujet et de le rédiger posément dans le temps imparti. d) L'utilisation des calculatrices pendant chaque situation d'évaluation est définie par la réglementation en vigueur aux examens et concours relevant de l'Éducation Nationale. Pour les exercices de mathématiques, l'usage du formulaire officiel de mathématiques est autorisé. e) On rappellera aux candidats que la clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront dans l'appréciation des copies. Une situation d'évaluation notée, sur dix points, ne concerne que les mathématiques. Elle consiste en la réalisation écrite (individuelle ou en groupe restreint) et la présentation orale (individuelle) d'un dossier comportant la mise en œuvre de savoir- faire mathématiques en liaison directe avec la spécialité de chaque baccalauréat professionnel. Ce dossier peut prendre appui sur le travail effectué au cours des périodes de formation en milieu professionnel. Au cours de l'oral dont la durée maximale est de vingt minutes, le candidat sera amené à répondre à des questions en liaison avec le contenu mathématique du dossier. La note finale sur vingt proposée au jury pour cette sous- épreuve est obtenue en divisant par 2,5 le total des notes relatives aux trois évaluations. Sous- épreuve E12 : travaux pratiques de sciences physiques - U12 - Coefficient : 1 Finalités et objectifs de l'épreuve Les finalités et objectifs de la sous- épreuve sont : - de vérifier l'aptitude des candidats à choisir et à utiliser du matériel scientifique pour la mise en œuvre d'un protocole expérimental fourni, dans le respect des règles de sécurité, - d'apprécier leurs savoir- faire expérimentaux, l'organisation de leur travail, la valeur des initiatives qu'ils sont amenés à prendre, - de vérifier leur capacité à rendre compte par oral ou par écrit des travaux réalisés. Contenus Les contenus sont définis en annexe I, tableau des unités constitutives du référentiel de certification (unité U12). Formes de l'épreuve Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 45 minutes. L'évaluation, notée sur 20 points, concerne les compétences expérimentales liées à la formation méthodologique de base. Le matériel que le candidat sera amené à utiliser est celui fixé par la note de service n° 96-070 du 8 mars 1996 (BOEN n° 12 du 21 mars 1996). Les candidats formés dans l'enseignement public ou dans l'enseignement privé sous contrat passent l'évaluation dans leur établissement. Des mesures particulières d'accueil sont prises pour les autres candidats. Ces derniers seront affectés dans les établissements par le recteur. L'évaluation est assurée par des professeurs de la discipline exerçant de préférence dans l'établissement. Le chef de centre s'assure qu'un professeur n'évalue pas ses propres élèves. Les sujets sont élaborés au niveau académique, inter académique ou national. Le recteur arrête annuellement les sujets proposés aux établissements, fixe le nombre de sujets qui seront mis en place dans chaque établissement et le calendrier de l'évaluation expérimentale de sciences physiques en cohérence avec le calendrier de l'examen établi au plan national. Chaque établissement met en place le nombre de sujets qui lui a été fixé et qu'il choisit dans l'ensemble des sujets proposés. Le procès verbal du déroulement de l'évaluation, les travaux remis par les candidats et les grilles d'évaluation remplies par les professeurs sont transmis au jury. L'inspecteur de l'éducation nationale chargé des sciences physiques s'assure que les conditions nécessaires au bon déroulement sont bien remplies. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation repose sur deux situations d'évaluation qui ont pour support une activité expérimentale. La durée de chacune est voisine de 1 h. Elles sont mises en place dans la seconde partie de la formation. Lors de chaque situation expérimentale, le candidat est évalué à partir d'une ou plusieurs expériences choisies dans les champs de la physique et de la chimie définis par l'unité U13 (annexe I du référentiel de certification). L'évaluation porte nécessairement sur les savoir- faire expérimentaux du candidat observés durant la ou les manipulations qu'il réalise et, suivant la nature du sujet, sur la valeur des mesures réalisées et sur leur exploitation. Lors de l'évaluation, il est demandé au candidat : - d'utiliser correctement le matériel mis à sa disposition et dont la liste est fixée par note de service n° 96-070 du 8 mars 1996 (BOEN n° 12 du 21 mars 1996), - de mettre en œuvre un protocole expérimental, - de rendre compte par écrit des résultats des travaux réalisés. En pratique, le candidat porte sur une fiche qu'il complète en cours de manipulation les résultats de ses observations, de ces mesures et, le cas échéant, de leur exploitation. L'évaluateur élabore un guide d'observation qui lui permet d'évaluer les savoir- faire expérimentaux du candidat lors de ses manipulations. Chaque situation est notée sur 20 points ; 13 points au moins sont attribués aux savoir- faire expérimentaux et à la valeur des mesures. Les deux situations d'évaluation doivent porter sur des champs différents de la physique et de la chimie. La note sur 20 attribuée au candidat pour l'unité est la moyenne, arrondie au demi point, des deux notes sur 20 obtenues lors des deux situations d'évaluation. E2 - Étude d'un ouvrage - U2 - Coefficient : 5 Finalités et objectifs de l'épreuve : Cette épreuve doit permettre, a partir du dossier technique d'un ouvrage relatif à la distribution et aux applications terminales ("habitat/tertiaire" et/ou "industrielle") de vérifier les compétences du candidat à : - Proposer, justifier des solutions techniques et technologiques, - Modifier des schémas, - Justifier des dimensionnements de composants à partir des lois d'électrotechnique, Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences C1-3, C1-5, C2-1, C2-2, C3-1, C5-1, C5-2, C5­5 du référentiel de certification et des savoirs technologiques qui leur sont associés. La mise en œuvre des lois de l'électrotechnique est faite à l'occasion de la proposition ou de la justification de solutions techniques et technologiques. Contenu de l'épreuve : L'épreuve est composée de 2 parties : - Première partie traitant du tronc commun de connaissances notée sur 14 points. - Deuxième partie traitant des connaissances relatives au champ d'application ("habitat/tertiaire" ou "industriel") notée sur 6 points. Le candidat ne traite dans cette deuxième partie que les questions relatives au champ d'application "habitat/tertiaire" ou "industriel" qu'il a choisi. La note finale sur 20 résulte de la somme des notes obtenues à la première et deuxième partie. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation indiquées dans le référentiel de certification, l'évaluation porte principalement sur : - La pertinence des solutions proposées, - La précision et la clarté des documents établis, - L'utilisation appropriée des lois de l'électrotechnique. Forme de l'épreuve : Ponctuelle : Épreuve d'une durée de cinq heures qui aborde : - Le dimensionnement de constituants et de canalisation électrique. - Les propositions et modifications de schémas ou plan d'implantation. - Les choix ou justification de solutions technologiques. Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation écrite organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve" et est équivalent à celui requis dans le cadre de l'épreuve ponctuelle. La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. Sa durée est fixée à 5 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - les documents rédigés par le candidat pendant le temps imparti à la situation d'évaluation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Sur cette fiche est également consignée une synthèse notée de l'évaluation du travail réalisé par le candidat. Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. E3 - Épreuve pratique prenant en compte l'activité professionnelle - U31, U32, U33, U34 - Coefficient : 8 L'objectif de cette épreuve est de valider les compétences acquises au cours de la formation en établissement de formation ainsi que celles acquises en entreprise. Sous- épreuve E31 : situations de travail spécifiées et réalisées en milieu professionnel - U31 - Coefficient : 3 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous- épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification : C1-1 C1-4 C1-6 C1-7 C1-8 C1-9 C2-3 C2-4 C2-5 C2-6 C2-17 C2-18 C3-2 C3-3 C3-4 C4-2 C4-4 C4-5 C4-6 C5-4 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Elle doit permettre de: - valider les compétences mises en œuvre lors des situations de travail effectuées par le candidat en entreprise. - vérifier sa capacité à argumenter et à justifier par écrit et oralement une résolution de problème rencontré lors de sa pratique du métier. Elle contribue également à évaluer les compétences du candidat dans le domaine de l'économie gestion conformément au référentiel défini à l'annexe V de l'arrêté du 17 août 1987 relatif au programme des classes préparant au baccalauréat professionnel. Contenu de la sous - épreuve : L'épreuve vise à valider : - les compétences acquises en entreprise, - l'aptitude à analyser et à présenter oralement des situations professionnelles à partir d'un dossier de synthèse rédigé et constitué par le candidat. Le dossier de synthèse consigne en particulier : - quatre compte- rendus de situations de travail effectuées en entreprise et choisies par le candidat. Elles sont significatives et représentatives du métier. - une des quatre situations de travail qui est approfondie et présentée sous forme d'une étude de cas. L' étude de cas : - développe un thème relatif à une situation professionnelle en correspondance avec les compétences inscrites au référentiel de certification. - a comme origine une activité professionnelle choisie par le candidat ou un axe d'étude proposé par le tuteur de l'entreprise en relation avec le formateur concerné et le candidat. - repose sur une problématique à résoudre et analysée en termes d'exécution, d'amélioration ou de modification d'ouvrage. Celle- ci doit être en relation avec la technologie, les techniques professionnelles, la sécurité ainsi que les normes et règlements. Elle prend source à partir d'une activité liées à la construction électrique et ne doit pas reposer uniquement sur la fonction étude. L'étude de cas doit également prendre en compte les aspects relatifs à l'économie - gestion. Évaluation L'évaluation prend appui sur le dossier de synthèse élaboré par le candidat et sur les diverses activités qui lui ont été confiées (autonomie totale ou partielle) en entreprise. Elle prend en compte les trois parties concernant : 1°) les compétences développées en situation de travail en entreprise. Cette partie vise plus particulièrement l'évaluation des compétences : C1-1, C1-4, C2-3,C2-4,C2-5, C2-6,C4-5, C4-6, C5-4 2°) l'élaboration du dossier de synthèse constitué par le candidat. Cette partie vise plus particulièrement l'évaluation des compétences : C1-6, C1-7, C1-8, C2-17, C2-18, C3-3, C3-4, C4-4. L'objectif est de vérifier l'aptitude du candidat à : - décrire quatre activités particulières - résoudre un problème technique simple à partir de l'étude de cas comportant des contraintes technologiques, réglementaires et sécuritaires, - replacer son activité professionnelle dans le cadre générale de l'entreprise et de son fonctionnement (statut juridique de l'entreprise, gestion, organisation matérielle et humaine)1, - exploiter une documentation simple pour déterminer ses droits et obligations dans le cadre de l'exercice de la profession (1). - communiquer par écrit le résultat de ses recherches et des actions qu'il a engagées. L'évaluation doit prendre plus particulièrement en compte : - la description du cadre général de l'entreprise, son organisation et son statut, - le choix et la pertinence de l'étude de cas, - l'analyse technique de la problématique à résoudre, - la description des quatre situations de travail, - les aspects relatifs à l'organisation du travail, l'animation d'équipe, la relation commerciale, - les aspects technologiques, normatifs et réglementaires, sécuritaires, - la qualité de la rédaction du dossier et sa lisibilité. 3°) Une présentation orale des différents travaux engagés au cours des situations de travail réalisées en entreprises ainsi que l'étude de cas. Cette partie vise plus particulièrement l'évaluation des compétences : C1-9, C3-2, C4-2 La présentation orale est effectuée devant une commission d'évaluateurs composée, d'un professeur chargé des enseignements professionnels, d'un professeur d'économie et gestion et d'un professionnel. L'absence de ce dernier ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. L'objectif est de vérifier l'aptitude du candidat à présenter le contenu du dossier. L'évaluation doit prendre plus particulièrement en compte pour la présentation orale et l'entretien : - la présentation orale synthétique des quatre situations significatives de travail réalisées, - l'argumentation pour résoudre le problème technique, les résultats obtenus, la pertinence de la solution choisie parmi plusieurs possibles, - la qualité de l'expression du candidat, - l'aptitude au dialogue, Forme de l'évaluation : Ponctuelle orale (durée 40 min) : Les trois parties définies dans le chapitre évaluation sont prises en compte. Il s'agit d'un oral comportant un exposé du candidat d'une durée de 20 minutes suivi d'un entretien avec la commission d'évaluateurs d'une durée de 20 minutes. Le contenu du dossier, la présentation orale et l'entretien permettent d'évaluer les activités en entreprise. Le dossier de synthèse, constitué par le candidat, est mis à la disposition de la commission d'évaluateurs huit jours avant l'épreuve ponctuelle. La commission d'évaluateurs détermine l'appréciation et la note qui sera proposée au jury. Contrôle en cours de formation : Les trois parties définies dans le chapitre évaluation sont prises en compte. 1ère partie de l'évaluation (coef. 1,5) : Situations de travail effectuées en entreprise. Cette partie concerne l'évaluation des compétences mises en œuvre lors de la réalisation d'activités découlant de la contractualisation établissement de formation et entreprise. L'évaluation s'effectue au cours des périodes de formation en entreprise et porte sur la totalité des situations de travail réalisées par le candidat. Les professeurs concernés et les tuteurs de l'entreprise déterminent conjointement, l'appréciation et la note pour cette partie. 2ème partie de l'évaluation (coef. 1) : dossier de synthèse constitué par le candidat. Elle concerne l'évaluation des parties constitutives du dossier de synthèse. La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. Les évaluateurs (et/ou professionnels) proposent une note pour cette partie. 3ème partie de l'évaluation (coef. 0,5) : Oral de présentation des travaux réalisés. Cette partie concerne l'évaluation des compétences mises en œuvre lors de la présentation orale du candidat des quatre activités significatives de travail réalisée et de l'étude de cas devant la commission d'évaluateurs et en prenant appui sur le dossier de synthèse. La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. La présentation orale du candidat (durée conseillée, 10 minutes) est suivie d'un entretien avec l'équipe d'évaluateurs (durée conseillée, 10 minutes). La note finale proposée au jury résulte de la moyenne des notes obtenues aux trois parties affectées de leur coefficient. Sous- épreuve E32 : mise en service d'un ouvrage - U32 - Coefficient : 1,5 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous- épreuve doit permettre de vérifier les compétences du candidat à exécuter la mise en service d'un ouvrage en respectant les règles d'intervention imposées par l'ouvrage et son environnement. Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification : C2-8 C2-10 C2-11 C2-19 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Seuls les savoirs technologiques, correspondant aux niveaux taxonomiques du tronc commun de connaissances, sont mobilisés lors de cette sous - épreuve. Contenu de la sous - épreuve : La situation proposée est aussi proche que possible d'une situation réelle. L'ouvrage doit être suffisamment significatif pour que la mise en service puisse s'effectuer depuis les circuits de distribution jusqu'aux applications terminales. Les applications terminales de conversion de l'énergie couvrent les deux champs d'application, "habitat/tertiaire" d'une part et "industriel" d'autre part. A partir : - du cahier des charges de l'ouvrage, - des normes et règlements, - des schémas et plans, - des documents constructeurs, - des consignes particulières, - de la liste du matériel, - des instructions qualités - des notices techniques. - des mesureurs. Le candidat en vue de la mise en service de l'ouvrage doit : - Vérifier visuellement la conformité de l'installation. - Vérifier la qualité d'exécution de l'ouvrage : connexions... - Choisir les mesureurs, équipements et outillages adaptés aux mesures préalables à la mise sous tension. - Effectuer les mesures et les réglages préalables à la mise sous tension. - Mettre sous tension en toute sécurité l'ouvrage. - Mesurer les grandeurs électriques pertinentes. - Vérifier le fonctionnement de l'ouvrage dans le respect des contraintes imposées par le cahier des charges. - Livrer l'ouvrage au client. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation et des compétences indiquées par le référentiel de certification, l'évaluation porte sur : - L'organisation et l'aménagement du poste de travail, - La logique du mode opératoire, - La précision et la clarté des documents établis, - Le respect des consignes et des procédures - Le respect des règles liées à l'habilitation - La conformité avec le travail demandé, - La prise en compte des contraintes techniques, - L'utilisation pertinente, rigoureuse des différents outillages et appareillages de mesure et de contrôle, - La prise en compte des règles de sécurité et de protection de l'environnement. - La rédaction d'un compte rendu détaillé faisant état de la réception de l'ouvrage. Forme de l'évaluation : Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 3h. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Des professionnels sont associés à cette évaluation. L'absence de ces derniers ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants ; elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile précédant la session d'examen. Sa durée est fixée à 3 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - la description sommaire des conditions techniques de réalisation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. Sous- épreuve E33 : maintenance d'un ouvrage - U33 - Coefficient : 1,5 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous- épreuve doit permettre de vérifier les compétences du candidat à : - Exécuter une opération de maintenance en respectant les règles d'intervention imposées par l'ouvrage et son environnement. - Compléter des documents de maintenance. Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification C1-2, C2-13, C2-14, C2-15, C2-16, C4-7, C5-3 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Seuls les savoirs technologiques, correspondant aux niveaux taxonomiques du tronc commun de connaissances, sont mobilisés lors de cette sous - épreuve. Contenu de la sous - épreuve : La situation proposée est aussi proche que possible d'une situation réelle. L'ouvrage est suffisamment significatif pour que les opérations de maintenance puissent s'effectuer depuis les circuits de distribution jusqu'aux applications terminales. Les applications terminales de conversion de l'énergie couvrent les deux champs d'application, "habitat/tertiaire" d'une part et "industriel" d'autre part. A partir : - du cahier des charges de l'ouvrage, - des normes et règlements, - des schémas et plans, - des documents constructeurs, - des consignes particulières, - de la liste du matériel, - des instructions qualités - des notices techniques. - des mesureurs. Le candidat doit en vue de remettre l'ouvrage en état de fonctionnement : - Constater le dysfonctionnement. - Émettre les hypothèses relatives au dysfonctionnement. - Vérifier les hypothèses émises. - Effectuer la remise en état de l'ouvrage. - Remettre l'ouvrage en fonctionnement et vérifier son bon fonctionnement. - Rédiger un compte- rendu d'intervention. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation et des compétences indiquées par le référentiel de certification, l'évaluation porte sur : - L'organisation et l'aménagement du poste de travail. - La logique du mode opératoire. - La précision et la clarté des documents établis. - Le respect des consignes et des procédures. - Le respect des règles liées à l'habilitation. - La conformité avec le travail demandé. - L'utilisation pertinente, rigoureuse des différents outillages et appareillages de mesure et de contrôle. - La prise en compte des règles de sécurité et de protection de l'environnement. - La rédaction d'un compte rendu détaillé faisant état de l'intervention de maintenance sur l'ouvrage. Forme de l'évaluation : - Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 3h. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". - Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Des professionnels sont associés à cette évaluation. L'absence de ces derniers ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants. Elle est située au cours du premier trimestre de l'année civile de la session d'examen. Sa durée est fixée à 3 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - la description sommaire des conditions techniques de réalisation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. Sous- épreuve E34 : réglage, paramétrage, contrôle, modification liés au champ d'application - U34 - Coefficient : 2 Finalités et objectifs de la sous - épreuve : Cette sous - épreuve doit permettre de vérifier les compétences du candidat à : - Proposer une solution de modification(s) d'une application terminale à la suite du changement partiel du cahier des charges. - Réaliser la (les) modification(s) de l'application terminale. - Exécuter les réglages et paramétrage de l'application terminale. - Mettre à jour les documents en prenant en compte la (les) modification(s) effectuée(s). - Communiquer les informations nécessaires à l'exploitation de l'ouvrage par l'utilisateur. Cette épreuve a pour but de valider tout ou partie des compétences du référentiel de certification : C2-7 C2-9 C2-12 C3-5 C4-1 C4-3 et des savoirs technologiques qui leur sont associés. Les savoirs technologiques se rapportant au champ d'application "habitat/tertiaire" ou "industriel" choisi par le candidat lors de son inscription à l'examen sont plus particulièrement mobilisés lors de cette sous - épreuve. Contenu de la sous - épreuve : La situation proposée est aussi proche que possible d'une situation réelle. Le candidat intervient sur l'ouvrage mais majoritairement sur l'application terminale se rapportant au champ d'application "habitat/Tertiaire" ou "industriel "qu'il a choisi. Dans le cadre de cette intervention, une partie étude peut utilement compléter les activités de réalisation imposées. A partir : - du cahier des charges de l'ouvrage, - des normes et règlements, - des schémas et plans, - des documents constructeurs, - des consignes particulières, - de la liste du matériel, - des instructions qualités - des notices techniques. - des mesureurs. Le candidat doit en vue du réglage, du paramétrage et de la modification sur l'application terminale retenue : - Proposer une modification destinée à améliorer un ouvrage. - Réaliser la modification sur l'application terminale. - Choisir les mesureurs, équipements et outillages adaptés aux mesures préalables à la mise sous tension. - Mettre sous tension en toute sécurité l'ouvrage. - Mesurer les grandeurs électriques pertinentes et effectuer les réglages nécessaires au bon fonctionnement de l'ouvrage. - Vérifier le fonctionnement de l'ouvrage ou l'application terminale par rapport aux nouvelles contraintes du cahier des charges. Évaluation : En tenant compte des critères d'évaluation et des compétences indiquées par le référentiel de certification, l'évaluation porte sur : - La description du fonctionnement de l'ouvrage ou de l'application terminale. - L'organisation et l'aménagement du poste de travail. - La logique du mode opératoire. - La précision et la clarté des documents établis. - Le respect des consignes et des procédures. - La conformité avec le travail demandé. - La prise en compte des contraintes techniques. - L'utilisation pertinente et rigoureuse des différents outillages et appareillages de mesure et de contrôle. - La prise en compte des règles de sécurité et de protection de l'environnement. - La rédaction d'un compte rendu détaillé faisant état des réglages, paramétrages et des modifications effectués sur l'ouvrage. Forme de l'évaluation : Ponctuelle : évaluation pratique d'une durée de 4h. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". Contrôle en cours de formation : Le contrôle des acquis des candidats s'effectue sur la base d'une situation d'évaluation organisée par les professeurs chargés des enseignements professionnels durant le temps de formation. Des professionnels sont associés à cette évaluation. L'absence de ces derniers ne peut en aucun cas invalider le déroulement de la sous épreuve. Le degré d'exigence est défini dans le chapitre "Contenu de la sous - épreuve". La période choisie pour l'évaluation pouvant être différente pour chacun des candidats, son choix relève de la responsabilité des enseignants. Elle est située au cours du deuxième trimestre de l'année civile de la session d'examen. Sa durée est fixée à 4 h. A l'issue de la situation d'évaluation, l'équipe pédagogique de l'établissement de formation constitue pour chaque candidat un dossier comprenant : - l'ensemble des documents remis au candidat pour conduire le travail demandé pendant la situation, - la description sommaire des conditions techniques de réalisation, - une fiche d'analyse du travail effectué par le candidat, rédigée par l'équipe pédagogique en terme de comparaison entre ce qui a été réalisé par le candidat et ce qui était attendu avec la fiche d'évaluation (barèmes détaillés, critères d'évaluation...). Seule cette fiche d'analyse est transmise au jury, accompagnée de la proposition de note. Les autres éléments du dossier décrits ci- dessus sont mis à la disposition du jury, qui peut demander à en avoir communication et de l'autorité rectorale pour la session considérée et jusqu'à la session suivante. Après examen attentif des documents fournis, le cas échéant, le jury formule toute remarque et observation qu'il juge utile et arrête la note. Une commission académique de suivi, pilotée par l'Inspecteur de l'Éducation Nationale en charge de la filière, se réunit une fois dans l'année au cours d'une session, pour veiller à une harmonisation académique du niveau de difficulté des situations proposées aux différentes catégories de candidats concernés. E4 Épreuve de langue vivante - U4 - Coefficient : 2 Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures (Arrêté du 6 avril 1994 B.O. n° 21 du 26 mai 1994). Cette épreuve vise à apprécier la compréhension de la langue étrangère et l'expression dans cette langue. Elle porte sur des thèmes liés à la vie socioprofessionnelle en général ou à un aspect de la civilisation du pays. Elle comprend deux parties notées respectivement sur 12 points et 8 points. 1ère partie : Compréhension A partir d'un document en langue étrangère, le candidat doit répondre en français à des questions en français révélant sa compréhension du texte en langue étrangère. Il pourra être invité à justifier ses réponses par une citation extraite du document et à fournir la traduction de quelques passages choisis. 2ème partie : Expression Cette partie de l'épreuve consiste en : - d'une part des exercices visant à tester en situation les compétences linguistiques (4 points) - d'autre part une production semi- guidée qui pourra être liée au document proposé pour l'évaluation de la compréhension (4 points). L'utilisation du dictionnaire bilingue est autorisée. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation est constitué de quatre situations d'évaluation correspondant aux quatre capacités : A - compréhension écrite B - compréhension de l'oral C - expression écrite D - expression orale A - compréhension écrite A partir d'un ou deux supports en langue vivante étrangère la compréhension de la langue considérée sera évaluée par le biais de : - réponses en français à des questions, - résumé en français du document, - compte rendu du document, - traduction. Le candidat devra faire la preuve des compétences suivantes : - repérage/identification - mise en relation des éléments identifiés - inférence Critères : intelligibilité et pertinence de la réponse. B - compréhension de l'oral A partir d'un support audio- oral ou audio- visuel, l'aptitude à comprendre le message auditif en langue vivante étrangère sera évaluée par le biais de : - réponses à des questions factuelles simples sur ce support, - QCM, - reproduction des éléments essentiels d'information compris dans le document. Le candidat devra faire la preuve des compétences suivantes : - anticipation - repérage/identification - association des éléments identifiés - inférence C - Production écrite La capacité à s'exprimer par écrit en langue vivante étrangère sera évaluée par le biais d'une production guidée d'un paragraphe de 10 à 15 lignes. Le message portera sur l'expérience professionnelle ou personnelle du candidat ou bien sur un aspect de civilisation (questions pouvant prendre appui sur un court document écrit ou une image). Le candidat devra faire la preuve des compétences suivantes : - mémorisation - mobilisation des acquis - aptitude à la reformulation - aptitude à combiner les éléments acquis en énoncés pertinents et intelligibles - utilisation correcte et précise des éléments linguistiques contenus dans le programme de consolidation de seconde : éléments grammaticaux : déterminants, temps, formes auxiliées, modalité, connecteurs ... Eléments lexicaux : Cf. liste contenue dans le référentiel BEP ou programme de BEP Construction de phrases simples, composées, complexes D - Production orale La capacité à s'exprimer oralement en langue vivante étrangère de façon pertinente et intelligible sera évaluée. Le support proposé par le formateur permettra d'évaluer l'aptitude à : - dialoguer en langue vivante étrangère à l'aide de constructions simples, composées, dans une situation simple de la vie courante. Ce dialogue pourra porter sur des faits à caractère personnel, de société ou de civilisation. Le candidat devra faire preuve des compétences suivantes : - mobilisation des acquis - aptitude à la reformulation - aptitude à combiner les éléments acquis en énoncés pertinents et intelligibles Exigences lexicales et grammaticales : cf. programme de consolidation de seconde et référentiel BEP ou programme BEP E5 Épreuve de français histoire géographie - U51 - U52 - Coefficient : 5 Sous- épreuve E51 : Français - U51 - Coefficient : 3 Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2h30 L'évaluation comporte deux parties : - une première partie, notée sur 8 à 12 points, évalue les capacités de compréhension, - une deuxième partie, notée sur 8 à 12 points, évalue les capacités d'expression. L'évaluation s'appuie sur un ou plusieurs textes ou documents (textes littéraires, textes argumentatifs, textes d'information, essais, articles de presse, documents iconographiques). Dans la première partie, deux ou trois questions permettent de vérifier la capacité du candidat de comprendre le sens global des documents, d'en dégager la construction, d'en caractériser la visée, le ton, l'écriture ... La seconde partie permet d'évaluer la capacité du candidat d'exposer un point de vue ou d'argumenter une opinion. Le type d'écrit attendu s'inscrit dans une situation de communication précisée par l'énoncé (lettre, synthèse rédigée, article ...). Le sujet précise la longueur du texte à rédiger. Le nombre de points attribués à chacune des parties de l'épreuve est indiqué dans le sujet. Dans tous les cas, la note globale est attribuée sur 20 points. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation est constitué de quatre situations d'évaluation permettant de tester les capacités de compréhension et d'expression du candidat. Elles sont de poids équivalent. Elles reposent à la fois sur des supports fonctionnels et sur des supports fictionnels ou littéraires. On précisera chaque fois que nécessaire la situation de communication : destinataire, auditoire, etc. Situation A a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat d'analyser ou de synthétiser. b) Exemples de situation : - supports fonctionnels : fiche d'analyse de tâches ; prises de notes - supports fictionnels/littéraires : fiche de lecture ; synthèse d'une activité de lecture Situation B a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat de rendre compte ou transposer ou développer. b) Exemples de situation : - supports fonctionnels: rapport d'intervention en milieu professionnel; fiche de présentation d'un produit, rédaction d'un texte publicitaire à partir de documents; lettre, articles; argumentation à partir d'un dossier ; - supports fictions/littéraires: commentaire de lettre, d'images; argumentation à partir d'une lecture. Situation C a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat à exposer ou transmettre un message oral b) Exemples de situation : - présentation d'un dossier disciplinaire ou interdisciplinaire - compte rendu de lecture, de visite, de stage... - rapports des travaux d'un groupe. Situation D a) Objectif : évaluation de la capacité du candidat à participer ou animer b) Exemples de situation : - participation à un entretien (embauche ...) - participation à un débat - participation à une réunion - animation d'un groupe, d'une équipe (entreprise). Sous- épreuve E52 : Histoire, géographie - U52 - Coefficient : 2 Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures Cette sous- épreuve porte sur le programme de la classe terminale du baccalauréat professionnel, sur un thème précis et les notions qui lui sont associées. Le candidat a le choix entre deux sujets. Il doit faire la preuve de ses capacités de comprendre et d'analyser une situation historique ou géographique en s'appuyant sur l'étude d'un dossier de trois à cinq documents de nature variée. Il répond à une série de questions qui visent à évaluer ses compétences à : - repérer et relever des informations dans une documentation, - établir des relations entre les documents, - utiliser des connaissances sur le programme. Ces questions, qui ne peuvent se réduire à une demande de définitions, permettant au candidat de faire la preuve qu'il maîtrise les méthodes d'analyse des documents et qu'il sait en tirer parti pour comprendre une situation historique ou géographique. Il élabore ensuite une courte synthèse intégrant les éléments apportés par le dossier et ses connaissances. Les documents constituent un ensemble cohérent qui permet une véritable mise en relation. La cohérence réside dans la situation envisagée et la (ou les) notion(s) qui s'y rapporte(nt). La synthèse consiste en un texte rédigé qui peut être accompagné par une carte, un croquis ou un schéma à l'initiative du candidat ou en réponse à une question expressément formulée. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation est constitué de quatre situations d'évaluation : deux situations d'évaluation en histoire fondées sur un sujet accompagné de documents et deux situations d'évaluation en géographie. Objectifs Les différentes situations d'évaluation visent à évaluer les compétences du candidat à : - repérer et relever des informations dans un ensemble de trois à cinq documents, - établir des relations entre les documents, - utiliser des connaissances sur le programme, - élaborer une courte synthèse intégrant les informations apportées par les documents proposés et ses connaissances. Modalités Les quatre situations d'évaluation portent chacune sur des sujets d'étude différents, se rapportant au programme de terminale du baccalauréat professionnel. Chaque situation est écrite et dure (environ) deux heures. Les documents servant de supports aux différentes situations d'évaluation constituent des ensembles cohérents permettant une mise en relation. La cohérence réside dans la situation historique ou géographique envisagée et la (ou les) notion(s) qui s'y rapporte(nt). Deux des quatre situations d'évaluation doivent donner lieu à la réalisation d'un croquis ou d'un schéma. La synthèse demandée comporte une vingtaine de lignes : elle est guidée par un plan indicatif ou un questionnement. E6 Épreuve d'éducation artistique - arts appliqués - U6 - Coefficient : 1 Finalités et objectifs dé l'évaluation L'évaluation a pour objet de vérifier que le candidat sait utiliser des méthodes d'analyse et sait communiquer en utilisant le vocabulaire plastique et graphique. Elle permet également de s'assurer que le candidat sait mobiliser ses connaissances relatives à l'esthétique du produit, à la production artistique et son implication dans l'environnement contemporain et historique. Évaluation L'évaluation porte sur les compétences définies par le programme- référentiel, en relation directe ou indirecte avec le champ professionnel concerné. Formes de l'évaluation Ponctuelle : évaluation écrite et graphique, d'une durée de 3 heures Cette épreuve comporte une analyse formelle et stylistique des éléments présentés dans un dossier comportant quelques planches documentaires (images/textes). Elle se complète d'une recherche personnelle effectuée par le candidat à partir de l'analyse du dossier documentaire, en fonction d'une demande précise et/ou d'un cahier des charges. L'analyse implique un relevé documentaire sélectif assorti d'annotations. Le contenu de l'analyse peut porter sur la comparaison entre l'organisation plastique et l'organisation fonctionnelle d'un ou plusieurs objets (ou supports), ou sur la mise en relation des éléments représentés avec leur contexte historique et artistique. La recherche porte sur un problème appartenant à l'un des domaines des arts appliqués. Elle doit être présentée sous forme d'esquisse(s) graphique(s) et/ou colorée(s) assortie(s) d'un commentaire écrit, justifiant les choix effectués par le candidat. Un jury académique composé de professeurs de la discipline procède à la correction et la notation de l'épreuve. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation comporte trois situations d'évaluation organisées au cours de la formation. Les trois situations comportent 1 à 2 séances de 2 heures et sont affectées chacune d'un coefficient particulier : - première situation d'évaluation : coefficient 1 - deuxième situation d'évaluation : coefficient 2 - troisième situation d'évaluation : coefficient 2 La note finale sur vingt proposée au jury pour cette épreuve est obtenue en divisant par 5 le total des notes relatives aux trois évaluations. Première situation d'évaluation L'évaluation de cette première situation porte sur la mise en œuvre des compétences suivantes : - analyser les relations entre les constituants plastiques et les éléments fonctionnels d'un produit d'art appliqué (relations formes, matière, couleurs/fonctions) - mettre en œuvre des principes d'organisation - mettre en œuvre et maîtriser des outils et des techniques imposées Les éléments et les données sont imposées. Deuxième situation d'évaluation L'évaluation de cette deuxième situation porte sur la mise en œuvre des compétences suivantes : - traduire plastiquement les observations concernant les données du réel - analyser des produits d'art appliqué à l'industrie et à l'artisanat - rendre compte plastiquement des relations entre les constituants plastiques et les éléments fonctionnels d'un produit d'art appliqué (relations formes, matière, couleurs/fonctions) - sélectionner, transférer et adapter des éléments pour répondre à un problème d'art appliqué dans le respect d'un cahier des charges ou des contraintes imposées. - maîtriser des techniques appropriées à la traduction des réponses données au problème d'art appliqué imposé. Un dossier documentaire et un cahier des charges sont imposés. Néanmoins, le candidat doit sélectionner des documents et/ou des éléments dans les sources documentaires proposées. Il doit également faire un choix en ce qui concerne la mise en œuvre d'outils et de techniques pour communiquer sont projet. Troisième situation d'évaluation L'évaluation de cette troisième situation porte sur la mise en œuvre des compétences suivantes : - identifier une production artistique et repérer son implication dans son environnement culturel, spécialement dans celui du cadre de vie, de la fabrication industrielle ou artisanale ou de la communication visuelle - situer un produit, un support de communication, un espace construit dans un environnement artistique et culturel de son époque - évaluer la qualité esthétique d'un produit. Le problème est imposé ainsi que l'objet d'étude, en revanche, les références (images et textes) sont proposées, le candidat sélectionne des documents ou des éléments documentaires en fonction de son analyse personnelle et de son argumentaire. E7 Épreuve d'éducation physique et sportive - U7 - Coefficient : 1 Forme ponctuelle et Forme contrôle en cours de formation Les modalités de l'épreuve d'éducation physique et sportive sont définies par l'arrêté du 22 novembre 1995 relatif aux modalités d'organisation du contrôle en cours de formation et de l'examen terminal pour l'éducation physique et sportive au lycée (journal officiel du 30 novembre 1995, BOEN n° 46 du 14 décembre 1995) Épreuve facultative de langue vivante - UF1 Épreuve orale, durée 20 minutes L'épreuve a pour but de vérifier la capacité du candidat à comprendre une langue vivante parlée et la capacité à s'exprimer de manière intelligible pour un interlocuteur n'exigeant pas de particularités linguistiques excessives sur un sujet d'intérêt général. Épreuve facultative d'hygiène - prévention - secourisme - UF2 Formes de l'évaluation Ponctuelle : évaluation écrite d'une durée de 2 heures A partir d'une (de) situation(s) professionnelle(s), accompagnée(s) éventuellement d'une documentation scientifique et technique, le candidat doit notamment : - exploiter et/ou mettre en œuvre des outils d'analyse de la situation donnée, - mobiliser ses connaissances scientifiques et réglementaires pour identifier le (ou les) problème(s) et argumenter des solutions d'amélioration en lien avec les mesures et structures de prévention, - expliquer la conduite à tenir face à une situation d'urgence. Contrôle en cours de formation Le contrôle en cours de formation comporte trois situation d'évaluation. 1ère situation d'évaluation : évaluation écrite, d'une durée indicative de 1h30 à 2h, située au cours de la dernière année de formation, notée sur 7 points. A partir de documents présentant notamment une situation professionnelle d'entreprise, il est demandé : - une analyse de la situation donnée selon une méthode adaptée, - une justification scientifique des effets de la situation donnée ou des mesures de prévention, - une ou des questions relatives à la réglementation et/ou aux organismes de prévention. 2ème situation d'évaluation : réalisation d'un travail personnel écrit noté sur 7 points. A partir de données recueillies au cours de la période de formation en milieu professionnel et/ou d'un travail documentaire, le candidat rédige un document de 5 pages maximum sur : - un problème professionnel en lien avec le programme d'hygiène- prévention- secourisme et le secteur professionnel concerné, - la prévention mise en œuvre (moyens, acteurs, organisation ... ) ou les moyens d'amélioration qu'il propose dans leurs contextes respectifs. Le candidat précise sa démarche, justifie les effets possibles sur la santé ainsi que les solutions mises en œuvre ou possibles. 3ème situation d'évaluation : évaluation pratique consistant en une intervention de secourisme notée sur 6 points. Le comportement du candidat face à une situation d'urgence est évalué par des moniteurs de secourisme. Dans le cas où cette évaluation pratique ne peut être réalisée, une évaluation écrite d'environ 30 minutes est mise en place. Au cours de celle- ci le candidat précise la conduite à tenir pour une situation d'urgence relevant du secourisme. La note globale proposée au jury par le professeur de biotechnologies santé - environnement assurant l'enseignement d'hygiène- prévention- secourisme est calculée en faisant le total des notes obtenues à chacune des trois situation d'évaluation.
MATERIELS DE CONTROLE Dans la présente annexe, la "conformité à une norme" signifie la conformité à cette norme ou à des prescriptions reconnues équivalentes, en vigueur dans un autre Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen. Dans les installations de contrôle faisant l'objet d'un premier agrément, le matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 est conforme à la mise à jour la plus récente de la norme ou du cahier des charges concerné applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation. Dans les installations de contrôle faisant l'objet d'un nouvel agrément, le matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 est conforme à la mise à jour la plus récente de la norme ou du cahier des charges concerné applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation, dans les douze mois qui suivent le nouvel agrément. Dans les installations déjà agréées et dans le cadre du même agrément, un délai de vingt- quatre mois est accordé pour la mise en conformité du matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 quand une nouvelle version de norme ou de cahier des charges est applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation. En cas de remplacement d'un matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 dans une installation agréée, le nouveau matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 est conforme aux dispositions prévues par la mise à jour la plus récente de la norme ou du cahier des charges applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation. Les matériels visés aux points 1.1, 1.3.1, 1.4, 1.5 et 1.6 transmettent par liaison informatique à l'outil informatique de l'installation de contrôle les informations relatives aux essais réalisés. La liste des mesures transmises par liaison informatique est définie dans le protocole prévu au point c de l'article 27 du présent arrêté. Pour chaque matériel de contrôle visé au point 1.1, 1.2., 1.3, 1.5 et 1.6.3, les normes ou cahiers des charges concernés applicables ainsi que les dates de mise en application dans les installations de contrôle sont définis dans une liste approuvée par le ministre chargé des transports, tenue à jour par l'organisme technique central et disponible sur le site internet de l'organisme technique central. 1. Partie mécanique Les installations de contrôle doivent être équipées de la façon suivante : 1. 1. Dispositif de contrôle du réglage des feux d'éclairage. Les dispositifs de contrôle du réglage des feux d'éclairage sont conformes, à la norme NF- R-63-801, complétée par un cahier des charges défini par l'organisme technique central et approuvé par le ministre chargé des transports. La conformité du dispositif de contrôle du réglage des feux d'éclairage doit être démontrée dans le cadre d'un certificat de qualification de type délivré par l'Union technique de l'automobile, du motocycle et du cycle (UTAC), autodrome de Linas- Montlhéry, 91310 Linas- Montlhéry, ou par un laboratoire agréé par un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, offrant les mêmes garanties et satisfaisant notamment aux critères généraux concernant la compétence des laboratoires d'essais fixés par la norme NF EN ISO/CEI 17025. 1. 2. Dispositif de contrôle de la pression de gonflage des pneumatiques. Le dispositif doit être conforme soit à la norme NF- R-63-302 ou norme NF EN 12-6, soit à la directive 86 / 217 / CEE. 1. 3. Dispositifs pour le contrôle du freinage et la pesée. 1. 3. 1. Les freinomètres à rouleaux sont conformes à la norme NFR-63-701 (édition de 1990) complétée par un cahier des charges établi par l'OTC et approuvé par le ministre chargé des transports. Ce cahier des charges est disponible sur le site internet de l'OTC. 1. 3. 2. La conformité des bancs aux dispositions du point 1. 3. 1 doit être démontrée dans le cadre d'un certificat de qualification de type délivré par l'Union Technique de l'Automobile, du Motocycle et du Cycle (U.T.A.C.), autodrome de Linas- Montlhéry, 91310 Linas- Montlhéry, ou par un laboratoire agréé par un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, offrant les mêmes garanties et satisfaisant notamment aux critères généraux concernant la compétence des laboratoires d'essais fixés par la norme NF EN ISO/CEI 17025. Les certifications de type délivrées par d'autres organismes indépendants du fabricant du matériel avant le 31 décembre 1995 sont également admises. Tous les bancs de freinage doivent être livrés avec un certificat attestant de leur conformité à un type certifié. Ce certificat est présenté, à toute réquisition, par le titulaire de l'agrément de l'installation de contrôle. Une attestation de conformité établie par le fabricant est admise pour les bancs mis en service dans l'installation de contrôle avant le 31 décembre 1993. 1.3.3. Dans le cas où le contrôle du freinage est réalisé sur une piste d'essais, le décéléromètre utilisé est conforme au cahier des charges établi par l'OTC et approuvé par le ministre chargé des transports. Ce cahier des charges est disponible sur le site internet de l'OTC. 1. 4. Appareil de contrôle de la symétrie de la suspension à mise en oeuvre électromécanique. 1. 5. Dispositif pour le contrôle des angles de braquage ou dispositif de contrôle du roulement (plaques de ripage). Le dispositif de contrôle des angles de braquage doit être conforme à la norme NF- R-63-304. 1. 6. Dispositifs de mesure des émissions polluantes. 1. 6. 1. Dispositif d'analyse des gaz d'échappement. Les analyseurs utilisés pour le mesurage direct des concentrations des gaz d'échappement émis par les véhicules équipés de moteurs à allumage commandé doivent être conformes aux dispositions de l'arrêté du 22 novembre 1996 relatif à la construction et au contrôle des analyseurs des gaz d'échappement des moteurs, établies par le ministre en charge de l'industrie ou de l'arrêté ministériel du 28 avril 2006 fixant les modalités d'application du décret n° 2006-447 du 12 avril 2006 relatif à la mise sur le marché et à la mise en service de certains instruments de mesure. 1. 6. 2. Dispositif de mesure de l'opacité des fumées. Les opacimètres utilisés pour le mesurage direct de l'opacité des fumées émises par les véhicules équipés de moteurs à allumage par compression doivent être conformes aux dispositions de l'arrêté du 22 novembre 1996, relatif à la construction, au contrôle et à l'utilisation des opacimètres, établies par le ministre en charge de l'industrie. 1. 6. 3. Dispositif de diagnostic des systèmes embarqués de contrôle des émissions polluantes du véhicule Le dispositif de diagnostic des systèmes embarqués de contrôle des émissions polluantes du véhicule est conforme au cahier des charges défini par l'organisme technique central et approuvé par le ministre chargé des transports. La conformité dispositif de diagnostic des systèmes embarqués de contrôle des émissions polluantes du véhicule aux dispositions du point 1. 6. 3 doit être démontrée dans le cadre d'un certificat de qualification de type délivré par l'Union Technique de l'Automobile, du Motocycle et du Cycle (U.T.A.C.), autodrome de Linas- Montlhéry, 91310 Linas- Montlhéry, ou par un laboratoire agréé par un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, offrant les mêmes garanties et satisfaisant notamment aux critères généraux concernant la compétence des laboratoires d'essais fixés par la norme NF EN ISO/CEI 17025. 1. 7 Matériels auxiliaires. 1. 7. 1. Pour les contrôles visuels : - Soit une fosse ou une fosse semi- enterrée conforme à la législation du travail en vigueur. - soit un pont élévateur conforme aux réglementations en vigueur. - dispositif de contrôle de l'usure des pneumatiques. 1. 7. 2. Pour le levage des véhicules, des appareils conformes aux réglementations en vigueur : - soit un cric de garage roulant ; - soit un vérin de fosse ; - soit un vérin de levée auxiliaire sur pont. 1. 7. 3. Outillage spécifique gaz à détenir par les installations de contrôle lors de ce type de contrôle : - dispositif d'éclairage d'une capacité supérieure à 500 lux ; - miroir de contrôle angulaire ; - loupe ; - détecteur de fuite de gaz ; - solution moussante à pH neutre. 1.7.4. Un outil de mesure de la résistance électrique disposant au minimum d'un calibre de 200 ohms, avec une erreur maximale de justesse de ± 3 % sur l'étendue de mesure de ce calibre. 1.8. Spécifications générales : 1.8.1.L'ensemble des matériels fait l'objet de dispositions pour l'entretien courant (maintien permanent du bon état de propreté et du bon fonctionnement). 1.8.2.L'ensemble des matériels de mesure fait l'objet de dispositions pour le contrôle régulier de la chaîne de mesure. 1.8.3. Les notices techniques et les instructions d'emploi et de maintenance de chaque matériel utilisé sont disponibles dans toutes les installations de contrôle. 1.9. Spécifications particulières : 1.9.1. Toute installation d'un matériel ou toute modification conduisant à déplacer un matériel visé aux points 1.1,1.3.1 et 1.4 s'accompagne d'un étalonnage à la mise en service sur l'installation de contrôle. Cet étalonnage est réalisé par des personnels qualifiés, préalablement à la première opération de contrôle nécessitant l'utilisation dudit matériel. 1.9.2. Les matériels visés aux points 1.1,1.3.1,1.4,1.6.1 et 1.6.2 font l'objet : - d'un minimum de deux étalonnages par année civile (vérification et, si nécessaire, ajustage), par des personnels qualifiés.L'écart entre deux étalonnages successifs n'excède pas huit mois ; - d'un minimum de deux visites de maintenance préventive par année civile, par des personnels qualifiés.L'écart entre deux visites successives n'excède pas huit mois. Les opérations d'étalonnage et de maintenance préventive font l'objet d'un contrat avec un organisme habilité ou agréé pour les matériels concernés. Ces opérations peuvent, le cas échéant, être combinées entre elles. Le contrat comporte un engagement de respect des échéances réglementaires concernant les opérations concernées et un engagement à ne faire intervenir que des personnels qualifiés pour les matériels concernés. 1.9.3. Les matériels visés aux points 1.3.3 et 1.7.4 font l'objet d'un étalonnage tous les 24 mois. 1.9.4. Les matériels prévus aux points 1.1, 1.3.1, 1.4, 1.6.1, 1.6.2 et 1.6.3 font l'objet, lors des opérations de maintenances préventives, des mises à niveau de la partie logiciel de l'appareil concerné, dans le respect de l'approbation métrologique le cas échéant. Cette disposition est formalisée par un contrat de maintenance. 1.9.5. En cas de défaut : a) Les matériels sont remis en état ou remplacés dans les huit jours ouvrables suivant l'apparition du défaut par des personnels qualifiés dépendant d'un organisme habilité ou agréé pour les matériels concernés ; b) Des méthodes alternatives prévues dans les procédures du centre ou de l'installation auxiliaire peuvent être mises en œuvre dans l'attente de la remise en état ou du remplacement du matériel.L'utilisation de ces méthodes ne peut excéder huit jours ouvrables.A défaut de telles méthodes, l'activité de l'installation de contrôle est arrêtée immédiatement, à l'exception des contrôles techniques ne nécessitant pas l'usage du matériel défectueux, jusqu'à la remise en état ou le remplacement du matériel. 1.9.6. Des cahiers des charges établis par l'organisme technique central et approuvés par le ministre chargé des transports définissent les conditions d'habilitation des organismes et de qualification des intervenants mentionnés au présent point (partie mécanique). 1.9.7. Les opérations d'installation, d'étalonnage, de maintenance, de vérification de conformité en service des différents matériels sont réalisées conformément aux cahiers des charges définis par l'organisme technique central et approuvés par le ministre chargé des transports. 1.9.8. Toute installation/mise en service d'un matériel visé au point 1.1, 1.3.1, 1.4, 1.5, 1.6.1, 1.6.2 et 1.6.3 s'accompagne d'un contrôle de la liaison informatique entre l'appareil de contrôle et l'outil informatique conformément au cahier des charges établi par l'organisme technique central et approuvé par le ministre chargé des transports. 2. Partie informatique L'outil informatique des installations de contrôle est composé de produits logiciels et matériels répondant aux conditions ci- après : 2. 1. Spécifications générales. 2. 1. 1. Les produits matériels entrant dans la constitution d'un outil informatique doivent comprendre au minimum : - Un poste micro- ordinateur (unité centrale- écran- clavier) ; - Une imprimante. - Un terminal de saisie portable par contrôleur 2. 1. 2.L'outil informatique doit assurer à tous les niveaux l'intégrité et la confidentialité des données. 2. 1. 3. Les outils informatiques doivent présenter des garanties relatives à leur pérennité et leur évolution technique. 2.1.4. En cas d'incident, l'outil informatique est remis en état ou remplacé dans les deux jours ouvrables. En cas de panne de l'outil informatique empêchant la saisie ou l'archivage ou le traitement local des informations et, en particulier l'impression du procès- verbal de contrôle, l'activité de l'installation est interrompue.. 2. 2. Spécifications particulières. 2. 2. 1. Produit pour saisie des informations. 2. 2. 1. 1. Le produit pour saisie des informations doit être tel que l'enregistrement des résultats des contrôles puisse être effectué en temps réel. 2. 2. 1. 2. Le produit pour saisie des informations doit être constitué de matériels présentant des critères suffisants de robustesse, de fiabilité et de facilité de remplacement. En outre, ces matériels doivent être adaptés à l'environnement de type atelier et pouvoir être utilisés par du personnel ne possédant pas une qualification spéciale en informatique. 2. 2. 1. 3. Les informations saisies par ce produit doivent comporter au minimum : - La date du contrôle effectué sur le véhicule ; - La nature du contrôle (visite périodique, contre- visite, visite complémentaire, contre- visite complémentaire) ; - Un identificateur du contrôleur ; - Un identificateur du véhicule contrôlé ; - Pour chacun des points de contrôle définis à l'annexe I, l'indication des défauts constatés tels que définis à cette même annexe. 2. 2. 1. 4. Le produit de saisie des informations doit permettre la correction rapide d'éventuelles erreurs par l'opérateur lui- même et les corrections apportées ne doivent introduire aucune ambiguïté sur le résultat final. 2. 2. 1. 5. Dans le cas où le matériel mécanique utilisé pour effectuer les contrôles inclut des bancs de mesure informatisés permettant une transmission des informations vers le micro- ordinateur, le transfert des informations doit présenter les mêmes garanties de fonctionnement que celles citées aux paragraphes 2. 2. 1. 1. à 2. 2. 1. 4. ci- dessus et la modification des informations transmises par les bancs de mesures est impossible en dehors des dispositions prévues par le protocole visé au c de l'article 27 du présent arrêté. 2. 2. 2. Produit pour archivage et traitement local. 2. 2. 2. 1. Le mode de transmission entre le terminal de saisie portable et le micro- ordinateur doit être fiable, robuste et rapide. 2. 2. 2. 2. Le produit logiciel doit être facile d'emploi et être prévu pour protéger les informations et gérer les erreurs éventuelles. 2. 2. 2. 3. Outre les informations figurant au paragraphe 2. 2. 1. 3, ce produit doit pouvoir saisir des informations donnant d'une part un identificateur de l'installation de contrôle, d'autre part une description complète du véhicule contrôlé, à savoir : - marque ; - désignation commerciale ; - type ; - numéro de série ; - immatriculation ; - date d'établissement du certificat d'immatriculation ; - date de première mise en circulation ; - kilométrage ; - puissance administrative - Immatriculation précédente et date du précédent certificat. 2. 2. 2. 4. Le produit pour archivage et traitement local doit : -2. 2. 2. 4. 1. Correspondre aux standards du marché micro- informatique en matière de portabilité. -2. 2. 2. 4. 2. Permettre l'impression automatique du procès- verbal de contrôle. -2. 2. 2. 4. 3. Rendre impossible toutes modifications des informations enregistrées une fois le procès- verbal de contrôle imprimé et validé. -2. 2. 2. 4. 4. Pouvoir assurer l'intégrité des informations par des tests de cohérence internes au produit logiciel. -2. 2. 2. 4. 5. Fournir une procédure spécifique pour rendre possible une nouvelle création des fichiers de données en cas de destruction fortuite. -2. 2. 2. 4. 6. Assurer la traçabilité des modifications apportées aux données de contrôle après la transmission des informations par le terminal de saisie portable -2. 2. 2. 4. 7. Assurer que le mode de transmission entre les matériels de contrôle et l'outil informatique est fiable et garantit l'intégrité des données transmises. Il répond aux exigences des protocoles prévus au c de l'article 27 du présent arrêté. 2. 2. 3 Transfert des informations vers le réseau d'appartenance ou vers l'Organisme Technique Central pour les centres non rattachés. 2.2.3.1. Ces transferts se font suivant une procédure définie par l'exploitant de l'installation de contrôle, conformément aux dispositions minimales du protocole visé au b de l'article 27 du présent arrêté. 2. 2. 3. 2.L'installation de contrôle doit être pourvue de moyens de communications compatibles avec cette procédure. 2.2.3.3. Le logiciel utilisé par l'installation de contrôle crée automatiquement un fichier suivant un format défini dans le protocole visé au b de l'article 27 du présent arrêté. 2.2.3.4. Ce fichier comprend au minimum l'ensemble des informations prévues dans le protocole visé au b de l'article 27 du présent arrêté. 3. Bâtiment 3.1. L'installation de contrôle est implantée dans un bâtiment couvert, susceptible d'être maintenu hors gel et dont toute la zone de contrôle est accessible aux véhicules d'une hauteur de 3 mètres, d'une longueur de 7 mètres et d'une largeur de 2,50 mètres. L'ensemble des opérations de contrôle est réalisé sans occupation de la voie publique. Le bâtiment offre un espace suffisant (0,8 mètre au minimum) autour des véhicules pour permettre l'examen visuel et l'état de la surface de la zone de contrôle permet le déplacement du personnel en toute sécurité. 3.2. Pour les installations faisant l'objet d'un premier agrément, l'ensemble de la zone de contrôle respecte également a minima les dimensions suivantes : longueur de 7 mètres par poste de contrôle s'ils ne sont pas dans le même alignement, largeur de 4,10 mètres (seuls les obstacles ponctuels tels que poteaux ou outils de contrôle pouvant être tolérés dans cette zone sous réserve qu'ils ne remettent pas en cause la sécurité) et hauteur disponible de 5 mètres minimum entre le sol (ou le fond de fosse semi- enterrée) et le plafond au niveau du pont élévateur (s'il existe). Au premier poste de travail, seule une partie du véhicule peut se trouver à l'extérieur du bâtiment. Cette zone extérieure, n'excédant pas 3 mètres de long, est clairement délimitée et son accès réglementé. 3.3.L'implantation des locaux est telle que l'accès de l'installation de contrôle est aisé et que le parcage d'au moins deux véhicules par ligne de contrôle ou par contrôleur susceptibles de travailler concomitamment soit prévu. 3. 4. L'installation de contrôle dispose d'un local ou d'un équipement permettant de garantir la sécurité des procès- verbaux de contrôle, des timbres et vignettes. 3.5. Pour toute demande d'agrément déposée à compter du 1er octobre 2011, si une activité de contrôle technique de véhicules lourds est réalisée sur l'emprise de l'installation de contrôle de véhicules légers, les accès et les axes de circulation de chaque activité sont séparés. 3.6. Sur la façade du bâtiment et à la partie la plus visible du public est portée l'identification du centre de contrôle qui ne produit aucune confusion avec des entreprises de commerce ou de réparation automobile voisines. Les zones de contrôle et d'accueil de la clientèle, les places de stationnement, les entrées et sorties des personnes et des véhicules dans le bâtiment sont physiquement séparées de toute activité de commerce ou de réparation automobile.
Au 1.6.2 de l'annexe III, les mots : « ou à la norme NF R10-025-2 : 2016 »sont insérés après le mot : « industrie ».
MATERIELS DE CONTROLE Dans la présente annexe, la "conformité à une norme" signifie la conformité à cette norme ou à des prescriptions reconnues équivalentes, en vigueur dans un autre Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen. Dans les installations de contrôle faisant l'objet d'un premier agrément, le matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 est conforme à la mise à jour la plus récente de la norme ou du cahier des charges concerné applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation. Dans les installations de contrôle faisant l'objet d'un nouvel agrément, le matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 est conforme à la mise à jour la plus récente de la norme ou du cahier des charges concerné applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation, dans les douze mois qui suivent le nouvel agrément. Dans les installations déjà agréées et dans le cadre du même agrément, un délai de vingt- quatre mois est accordé pour la mise en conformité du matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 quand une nouvelle version de norme ou de cahier des charges est applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation. En cas de remplacement d'un matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 dans une installation agréée, le nouveau matériel visé aux points 1.1, 1.2, 1.3, 1.5 et 1.6.3 est conforme aux dispositions prévues par la mise à jour la plus récente de la norme ou du cahier des charges applicable, y compris en ce qui concerne les transmissions informatiques entre le matériel et l'informatique de l'installation. Les matériels visés aux points 1.1, 1.3.1, 1.4, 1.5 et 1.6 transmettent par liaison informatique à l'outil informatique de l'installation de contrôle les informations relatives aux essais réalisés. La liste des mesures transmises par liaison informatique est définie dans le protocole prévu au point c de l'article 27 du présent arrêté. Pour chaque matériel de contrôle visé au point 1.1, 1.2., 1.3, 1.5 et 1.6.3, les normes ou cahiers des charges concernés applicables ainsi que les dates de mise en application dans les installations de contrôle sont définis dans une liste approuvée par le ministre chargé des transports, tenue à jour par l'organisme technique central et disponible sur le site internet de l'organisme technique central. 1. Partie mécanique Les installations de contrôle doivent être équipées de la façon suivante : 1. 1. Dispositif de contrôle du réglage des feux d'éclairage. Les dispositifs de contrôle du réglage des feux d'éclairage sont conformes, à la norme NF- R-63-801, complétée par un cahier des charges défini par l'organisme technique central et approuvé par le ministre chargé des transports. La conformité du dispositif de contrôle du réglage des feux d'éclairage doit être démontrée dans le cadre d'un certificat de qualification de type délivré par l'Union technique de l'automobile, du motocycle et du cycle (UTAC), autodrome de Linas- Montlhéry, 91310 Linas- Montlhéry, ou par un laboratoire agréé par un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, offrant les mêmes garanties et satisfaisant notamment aux critères généraux concernant la compétence des laboratoires d'essais fixés par la norme NF EN ISO/CEI 17025. 1. 2. Dispositif de contrôle de la pression de gonflage des pneumatiques. Le dispositif doit être conforme soit à la norme NF- R-63-302 ou norme NF EN 12-6, soit à la directive 86 / 217 / CEE. 1. 3. Dispositifs pour le contrôle du freinage et la pesée. 1. 3. 1. Les freinomètres à rouleaux sont conformes à la norme NFR-63-701 (édition de 1990) complétée par un cahier des charges établi par l'OTC et approuvé par le ministre chargé des transports. Ce cahier des charges est disponible sur le site internet de l'OTC. 1. 3. 2. La conformité des bancs aux dispositions du point 1. 3. 1 doit être démontrée dans le cadre d'un certificat de qualification de type délivré par l'Union Technique de l'Automobile, du Motocycle et du Cycle (U.T.A.C.), autodrome de Linas- Montlhéry, 91310 Linas- Montlhéry, ou par un laboratoire agréé par un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, offrant les mêmes garanties et satisfaisant notamment aux critères généraux concernant la compétence des laboratoires d'essais fixés par la norme NF EN ISO/CEI 17025. Les certifications de type délivrées par d'autres organismes indépendants du fabricant du matériel avant le 31 décembre 1995 sont également admises. Tous les bancs de freinage doivent être livrés avec un certificat attestant de leur conformité à un type certifié. Ce certificat est présenté, à toute réquisition, par le titulaire de l'agrément de l'installation de contrôle. Une attestation de conformité établie par le fabricant est admise pour les bancs mis en service dans l'installation de contrôle avant le 31 décembre 1993. 1.3.3. Dans le cas où le contrôle du freinage est réalisé sur une piste d'essais, le décéléromètre utilisé est conforme au cahier des charges établi par l'OTC et approuvé par le ministre chargé des transports. Ce cahier des charges est disponible sur le site internet de l'OTC. 1. 4. Appareil de contrôle de la symétrie de la suspension à mise en oeuvre électromécanique. 1. 5. Dispositif pour le contrôle des angles de braquage ou dispositif de contrôle du roulement (plaques de ripage). Le dispositif de contrôle des angles de braquage doit être conforme à la norme NF- R-63-304. 1. 6. Dispositifs de mesure des émissions polluantes. 1. 6. 1. Dispositif d'analyse des gaz d'échappement. Les analyseurs utilisés pour le mesurage direct des concentrations des gaz d'échappement émis par les véhicules équipés de moteurs à allumage commandé doivent être conformes aux dispositions de l'arrêté du 22 novembre 1996 relatif à la construction et au contrôle des analyseurs des gaz d'échappement des moteurs, établies par le ministre en charge de l'industrie ou de l'arrêté ministériel du 28 avril 2006 fixant les modalités d'application du décret n° 2006-447 du 12 avril 2006 relatif à la mise sur le marché et à la mise en service de certains instruments de mesure. 1. 6. 2. Dispositif de mesure de l'opacité des fumées. Les opacimètres utilisés pour le mesurage direct de l'opacité des fumées émises par les véhicules équipés de moteurs à allumage par compression doivent être conformes aux dispositions de l'arrêté du 22 novembre 1996, relatif à la construction, au contrôle et à l'utilisation des opacimètres, établies par le ministre en charge de l'industrie ou à la norme NF R10-025-2 : 2016. 1. 6. 3. Dispositif de diagnostic des systèmes embarqués de contrôle des émissions polluantes du véhicule Le dispositif de diagnostic des systèmes embarqués de contrôle des émissions polluantes du véhicule est conforme au cahier des charges défini par l'organisme technique central et approuvé par le ministre chargé des transports. La conformité dispositif de diagnostic des systèmes embarqués de contrôle des émissions polluantes du véhicule aux dispositions du point 1. 6. 3 doit être démontrée dans le cadre d'un certificat de qualification de type délivré par l'Union Technique de l'Automobile, du Motocycle et du Cycle (U.T.A.C.), autodrome de Linas- Montlhéry, 91310 Linas- Montlhéry, ou par un laboratoire agréé par un Etat membre de l'Union européenne ou partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, offrant les mêmes garanties et satisfaisant notamment aux critères généraux concernant la compétence des laboratoires d'essais fixés par la norme NF EN ISO/CEI 17025. 1. 7 Matériels auxiliaires. 1. 7. 1. Pour les contrôles visuels : - Soit une fosse ou une fosse semi- enterrée conforme à la législation du travail en vigueur. - soit un pont élévateur conforme aux réglementations en vigueur. - dispositif de contrôle de l'usure des pneumatiques. 1. 7. 2. Pour le levage des véhicules, des appareils conformes aux réglementations en vigueur : - soit un cric de garage roulant ; - soit un vérin de fosse ; - soit un vérin de levée auxiliaire sur pont. 1. 7. 3. Outillage spécifique gaz à détenir par les installations de contrôle lors de ce type de contrôle : - dispositif d'éclairage d'une capacité supérieure à 500 lux ; - miroir de contrôle angulaire ; - loupe ; - détecteur de fuite de gaz ; - solution moussante à pH neutre. 1.7.4. Un outil de mesure de la résistance électrique disposant au minimum d'un calibre de 200 ohms, avec une erreur maximale de justesse de ± 3 % sur l'étendue de mesure de ce calibre. 1.8. Spécifications générales : 1.8.1.L'ensemble des matériels fait l'objet de dispositions pour l'entretien courant (maintien permanent du bon état de propreté et du bon fonctionnement). 1.8.2.L'ensemble des matériels de mesure fait l'objet de dispositions pour le contrôle régulier de la chaîne de mesure. 1.8.3. Les notices techniques et les instructions d'emploi et de maintenance de chaque matériel utilisé sont disponibles dans toutes les installations de contrôle. 1.9. Spécifications particulières : 1.9.1. Toute installation d'un matériel ou toute modification conduisant à déplacer un matériel visé aux points 1.1,1.3.1 et 1.4 s'accompagne d'un étalonnage à la mise en service sur l'installation de contrôle. Cet étalonnage est réalisé par des personnels qualifiés, préalablement à la première opération de contrôle nécessitant l'utilisation dudit matériel. 1.9.2. Les matériels visés aux points 1.1,1.3.1,1.4,1.6.1 et 1.6.2 font l'objet : - d'un minimum de deux étalonnages par année civile (vérification et, si nécessaire, ajustage), par des personnels qualifiés.L'écart entre deux étalonnages successifs n'excède pas huit mois ; - d'un minimum de deux visites de maintenance préventive par année civile, par des personnels qualifiés.L'écart entre deux visites successives n'excède pas huit mois. Les opérations d'étalonnage et de maintenance préventive font l'objet d'un contrat avec un organisme habilité ou agréé pour les matériels concernés. Ces opérations peuvent, le cas échéant, être combinées entre elles. Le contrat comporte un engagement de respect des échéances réglementaires concernant les opérations concernées et un engagement à ne faire intervenir que des personnels qualifiés pour les matériels concernés. 1.9.3. Les matériels visés aux points 1.3.3 et 1.7.4 font l'objet d'un étalonnage tous les 24 mois. 1.9.4. Les matériels prévus aux points 1.1, 1.3.1, 1.4, 1.6.1, 1.6.2 et 1.6.3 font l'objet, lors des opérations de maintenances préventives, des mises à niveau de la partie logiciel de l'appareil concerné, dans le respect de l'approbation métrologique le cas échéant. Cette disposition est formalisée par un contrat de maintenance. 1.9.5. En cas de défaut : a) Les matériels sont remis en état ou remplacés dans les huit jours ouvrables suivant l'apparition du défaut par des personnels qualifiés dépendant d'un organisme habilité ou agréé pour les matériels concernés ; b) Des méthodes alternatives prévues dans les procédures du centre ou de l'installation auxiliaire peuvent être mises en œuvre dans l'attente de la remise en état ou du remplacement du matériel.L'utilisation de ces méthodes ne peut excéder huit jours ouvrables.A défaut de telles méthodes, l'activité de l'installation de contrôle est arrêtée immédiatement, à l'exception des contrôles techniques ne nécessitant pas l'usage du matériel défectueux, jusqu'à la remise en état ou le remplacement du matériel. 1.9.6. Des cahiers des charges établis par l'organisme technique central et approuvés par le ministre chargé des transports définissent les conditions d'habilitation des organismes et de qualification des intervenants mentionnés au présent point (partie mécanique). 1.9.7. Les opérations d'installation, d'étalonnage, de maintenance, de vérification de conformité en service des différents matériels sont réalisées conformément aux cahiers des charges définis par l'organisme technique central et approuvés par le ministre chargé des transports. 1.9.8. Toute installation/mise en service d'un matériel visé au point 1.1, 1.3.1, 1.4, 1.5, 1.6.1, 1.6.2 et 1.6.3 s'accompagne d'un contrôle de la liaison informatique entre l'appareil de contrôle et l'outil informatique conformément au cahier des charges établi par l'organisme technique central et approuvé par le ministre chargé des transports. 2. Partie informatique L'outil informatique des installations de contrôle est composé de produits logiciels et matériels répondant aux conditions ci- après : 2. 1. Spécifications générales. 2. 1. 1. Les produits matériels entrant dans la constitution d'un outil informatique doivent comprendre au minimum : - Un poste micro- ordinateur (unité centrale- écran- clavier) ; - Une imprimante. - Un terminal de saisie portable par contrôleur 2. 1. 2.L'outil informatique doit assurer à tous les niveaux l'intégrité et la confidentialité des données. 2. 1. 3. Les outils informatiques doivent présenter des garanties relatives à leur pérennité et leur évolution technique. 2.1.4. En cas d'incident, l'outil informatique est remis en état ou remplacé dans les deux jours ouvrables. En cas de panne de l'outil informatique empêchant la saisie ou l'archivage ou le traitement local des informations et, en particulier l'impression du procès- verbal de contrôle, l'activité de l'installation est interrompue.. 2. 2. Spécifications particulières. 2. 2. 1. Produit pour saisie des informations. 2. 2. 1. 1. Le produit pour saisie des informations doit être tel que l'enregistrement des résultats des contrôles puisse être effectué en temps réel. 2. 2. 1. 2. Le produit pour saisie des informations doit être constitué de matériels présentant des critères suffisants de robustesse, de fiabilité et de facilité de remplacement. En outre, ces matériels doivent être adaptés à l'environnement de type atelier et pouvoir être utilisés par du personnel ne possédant pas une qualification spéciale en informatique. 2. 2. 1. 3. Les informations saisies par ce produit doivent comporter au minimum : - La date du contrôle effectué sur le véhicule ; - La nature du contrôle (visite périodique, contre- visite, visite complémentaire, contre- visite complémentaire) ; - Un identificateur du contrôleur ; - Un identificateur du véhicule contrôlé ; - Pour chacun des points de contrôle définis à l'annexe I, l'indication des défauts constatés tels que définis à cette même annexe. 2. 2. 1. 4. Le produit de saisie des informations doit permettre la correction rapide d'éventuelles erreurs par l'opérateur lui- même et les corrections apportées ne doivent introduire aucune ambiguïté sur le résultat final. 2. 2. 1. 5. Dans le cas où le matériel mécanique utilisé pour effectuer les contrôles inclut des bancs de mesure informatisés permettant une transmission des informations vers le micro- ordinateur, le transfert des informations doit présenter les mêmes garanties de fonctionnement que celles citées aux paragraphes 2. 2. 1. 1. à 2. 2. 1. 4. ci- dessus et la modification des informations transmises par les bancs de mesures est impossible en dehors des dispositions prévues par le protocole visé au c de l'article 27 du présent arrêté. 2. 2. 2. Produit pour archivage et traitement local. 2. 2. 2. 1. Le mode de transmission entre le terminal de saisie portable et le micro- ordinateur doit être fiable, robuste et rapide. 2. 2. 2. 2. Le produit logiciel doit être facile d'emploi et être prévu pour protéger les informations et gérer les erreurs éventuelles. 2. 2. 2. 3. Outre les informations figurant au paragraphe 2. 2. 1. 3, ce produit doit pouvoir saisir des informations donnant d'une part un identificateur de l'installation de contrôle, d'autre part une description complète du véhicule contrôlé, à savoir : - marque ; - désignation commerciale ; - type ; - numéro de série ; - immatriculation ; - date d'établissement du certificat d'immatriculation ; - date de première mise en circulation ; - kilométrage ; - puissance administrative - Immatriculation précédente et date du précédent certificat. 2. 2. 2. 4. Le produit pour archivage et traitement local doit : -2. 2. 2. 4. 1. Correspondre aux standards du marché micro- informatique en matière de portabilité. -2. 2. 2. 4. 2. Permettre l'impression automatique du procès- verbal de contrôle. -2. 2. 2. 4. 3. Rendre impossible toutes modifications des informations enregistrées une fois le procès- verbal de contrôle imprimé et validé. -2. 2. 2. 4. 4. Pouvoir assurer l'intégrité des informations par des tests de cohérence internes au produit logiciel. -2. 2. 2. 4. 5. Fournir une procédure spécifique pour rendre possible une nouvelle création des fichiers de données en cas de destruction fortuite. -2. 2. 2. 4. 6. Assurer la traçabilité des modifications apportées aux données de contrôle après la transmission des informations par le terminal de saisie portable -2. 2. 2. 4. 7. Assurer que le mode de transmission entre les matériels de contrôle et l'outil informatique est fiable et garantit l'intégrité des données transmises. Il répond aux exigences des protocoles prévus au c de l'article 27 du présent arrêté. 2. 2. 3 Transfert des informations vers le réseau d'appartenance ou vers l'Organisme Technique Central pour les centres non rattachés. 2.2.3.1. Ces transferts se font suivant une procédure définie par l'exploitant de l'installation de contrôle, conformément aux dispositions minimales du protocole visé au b de l'article 27 du présent arrêté. 2. 2. 3. 2.L'installation de contrôle doit être pourvue de moyens de communications compatibles avec cette procédure. 2.2.3.3. Le logiciel utilisé par l'installation de contrôle crée automatiquement un fichier suivant un format défini dans le protocole visé au b de l'article 27 du présent arrêté. 2.2.3.4. Ce fichier comprend au minimum l'ensemble des informations prévues dans le protocole visé au b de l'article 27 du présent arrêté. 3. Bâtiment 3.1. L'installation de contrôle est implantée dans un bâtiment couvert, susceptible d'être maintenu hors gel et dont toute la zone de contrôle est accessible aux véhicules d'une hauteur de 3 mètres, d'une longueur de 7 mètres et d'une largeur de 2,50 mètres. L'ensemble des opérations de contrôle est réalisé sans occupation de la voie publique. Le bâtiment offre un espace suffisant (0,8 mètre au minimum) autour des véhicules pour permettre l'examen visuel et l'état de la surface de la zone de contrôle permet le déplacement du personnel en toute sécurité. 3.2. Pour les installations faisant l'objet d'un premier agrément, l'ensemble de la zone de contrôle respecte également a minima les dimensions suivantes : longueur de 7 mètres par poste de contrôle s'ils ne sont pas dans le même alignement, largeur de 4,10 mètres (seuls les obstacles ponctuels tels que poteaux ou outils de contrôle pouvant être tolérés dans cette zone sous réserve qu'ils ne remettent pas en cause la sécurité) et hauteur disponible de 5 mètres minimum entre le sol (ou le fond de fosse semi- enterrée) et le plafond au niveau du pont élévateur (s'il existe). Au premier poste de travail, seule une partie du véhicule peut se trouver à l'extérieur du bâtiment. Cette zone extérieure, n'excédant pas 3 mètres de long, est clairement délimitée et son accès réglementé. 3.3.L'implantation des locaux est telle que l'accès de l'installation de contrôle est aisé et que le parcage d'au moins deux véhicules par ligne de contrôle ou par contrôleur susceptibles de travailler concomitamment soit prévu. 3. 4. L'installation de contrôle dispose d'un local ou d'un équipement permettant de garantir la sécurité des procès- verbaux de contrôle, des timbres et vignettes. 3.5. Pour toute demande d'agrément déposée à compter du 1er octobre 2011, si une activité de contrôle technique de véhicules lourds est réalisée sur l'emprise de l'installation de contrôle de véhicules légers, les accès et les axes de circulation de chaque activité sont séparés. 3.6. Sur la façade du bâtiment et à la partie la plus visible du public est portée l'identification du centre de contrôle qui ne produit aucune confusion avec des entreprises de commerce ou de réparation automobile voisines. Les zones de contrôle et d'accueil de la clientèle, les places de stationnement, les entrées et sorties des personnes et des véhicules dans le bâtiment sont physiquement séparées de toute activité de commerce ou de réparation automobile.
Peuvent être placés en position de détachement dans un emploi de conseiller principal d'éducation dans la limite de 5 % de l'effectif budgétaire du corps des conseillers principaux d'éducation les fonctionnaires titulaires de l'Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics qui en dépendent, appartenant à un corps de catégorie A et justifiant d'un des titres ou diplômes requis pour la nomination des lauréats du concours externe.
L'article 13 du même décret est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 13.- Pour l'application de l'article 13 bis de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, les candidats au détachement dans le corps des conseillers principaux d'éducation doivent justifier de l'un des titres ou diplômes requis pour la nomination des lauréats du concours externe. »
Pour l'application de l'article 13 bis de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, les candidats au détachement dans le corps des conseillers principaux d'éducation doivent justifier de l'un des titres ou diplômes requis pour la nomination des lauréats du concours externe.
Le ministre chargé de l'énergie désigne auprès d'Electricité de France un commissaire du Gouvernement. Le commissaire du Gouvernement assiste, avec voix consultative, aux séances du conseil d'administration de la société et de ses comités. Il a accès aux informations communiquées aux membres du conseil d'administration, dans les mêmes conditions que ces derniers. Il peut présenter des observations à l'assemblée générale. Il s'assure que les délibérations du conseil d'administration sont conformes aux orientations fixées par le Gouvernement et aux stipulations du contrat mentionné à l'article L. 121-46 du code de l'énergie. Il signale aux membres du conseil d'administration les dispositions des projets de délibérations qui lui paraissent contraires à ces orientations et stipulations. En cas d'adoption de ces dispositions par le conseil d'administration, il en informe le ministre en charge de l'énergie.
Après la deuxième phrase du premier alinéa de l'article 3 du décret du 17 novembre 2004 susvisé, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « En cas d'empêchement, il peut être remplacé aux séances des comités par un représentant nommément désigné. »
Le ministre chargé de l'énergie désigne auprès d'Electricité de France un commissaire du Gouvernement. Le commissaire du Gouvernement assiste, avec voix consultative, aux séances du conseil d'administration de la société et de ses comités. En cas d'empêchement, il peut être remplacé aux séances des comités par un représentant nommément désigné. Il a accès aux informations communiquées aux membres du conseil d'administration, dans les mêmes conditions que ces derniers. Il peut présenter des observations à l'assemblée générale. Il s'assure que les délibérations du conseil d'administration sont conformes aux orientations fixées par le Gouvernement et aux stipulations du contrat mentionné à l'article L. 121-46 du code de l'énergie. Il signale aux membres du conseil d'administration les dispositions des projets de délibérations qui lui paraissent contraires à ces orientations et stipulations. En cas d'adoption de ces dispositions par le conseil d'administration, il en informe le ministre en charge de l'énergie.
Avant le 1er octobre de chaque année, les services du ministère chargé des sports invitent à déposer leur demande les sportifs de haut niveau inscrits sur la liste mentionnée au premier alinéa de l'article L. 221-2 du code du sport au cours de l'année civile précédente et qui sont susceptibles d'obtenir la validation d'au moins un trimestre au titre de cette même année civile en application des dispositions du 9° de l'article R. 351-12 du présent code. La demande de l'intéressé est accompagnée de pièces justificatives dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale et du ministre chargé des sports. Les services du ministère chargé des sports communiquent avant le 31 décembre de la même année à la Caisse nationale d'assurance vieillesse l'ensemble des demandes déposées, accompagnées des pièces justificatives. La Caisse nationale d'assurance vieillesse procède à l'instruction des demandes et informe les intéressés de sa décision avant le 30 avril de l'année suivante.
L'article R. 351-14 du code de la sécurité socialeest ainsi modifié : 1° La première phrase est remplacée par une phrase ainsi rédigée : « Entre le 1er octobre et le 31 décembre de chaque année, les sportifs de haut niveau inscrits sur la liste mentionnée au premier alinéa de l'article L. 221-2 du code du sport au cours de l'année civile précédente et qui sont susceptibles d'obtenir la validation d'au moins un trimestre au titre de cette même année civile en application des dispositions du 9° de l'article R. 351-12 du présent code déposent une demande auprès de la Caisse nationale d'assurance vieillesse. » ; 2° La troisième phrase est supprimée.
Entre le 1er octobre et le 31 décembre de chaque année, les sportifs de haut niveau inscrits sur la liste mentionnée au premier alinéa de l'article L. 221-2 du code du sport au cours de l'année civile précédente et qui sont susceptibles d'obtenir la validation d'au moins un trimestre au titre de cette même année civile en application des dispositions du 9° de l'article R. 351-12 du présent code déposent une demande auprès de la Caisse nationale d'assurance vieillesse. La demande de l'intéressé est accompagnée de pièces justificatives dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale et du ministre chargé des sports. La Caisse nationale d'assurance vieillesse procède à l'instruction des demandes et informe les intéressés de sa décision avant le 30 avril de l'année suivante.
Le corps d'infirmiers civils de soins généraux comprend le grade d'infirmier de classe normale comptant huit échelons et le grade d'infirmier de classe supérieure comptant six échelons.
L'article 2 du même décretest ainsi rédigé : « Art. 2.- Le corps d'infirmiers civils de soins généraux comprend le grade d'infirmier de classe normale comptant neuf échelons et le grade d'infirmier de classe supérieure comptant sept échelons. »
Le corps d'infirmiers civils de soins généraux comprend le grade d'infirmier de classe normale comptant neuf échelons et le grade d'infirmier de classe supérieure comptant sept échelons.
Le collège des représentants des usagers comprend : 1° Cinq représentants des chambres d'agriculture ; 2° Huit représentants des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique, dont le président de la Fédération nationale pour la pêche et la protection du milieu aquatique et un représentant des associations agréées de pêcheurs amateurs aux engins et aux filets sur les eaux du domaine public ; 3° Un représentant des pisciculteurs en eau douce et un représentant de l'aquaculture en eau de mer ; 4° Quatre représentants d'associations de consommateurs ; 5° Six représentants d'associations de protection de l'environnement ; 6° Un représentant des sports nautiques ; 7° Deux représentants des associations de navigation intérieure ; 8° Un représentant des associations de tourisme ; 9° Deux représentants des entreprises d'assainissement et de distribution d'eau ; 10° Un représentant des distributeurs d'eau en régie ; 11° Deux représentants des associations de riverains ; 12° Un représentant de la pêche professionnelle en eau douce ; 13° Un représentant de la conchyliculture ; 14° Un représentant de la pêche maritime ; 15° Un représentant des transports maritimes ; 16° Deux représentants des chambres de commerce et d'industrie territoriales ; 17° Trois représentants des riverains industriels ; 18° Deux représentants des industries de la production d'électricité ; 19° Un représentant de chacune des catégories suivantes d'usagers : a) Industries agricoles et alimentaires ; b) Industries chimiques ; c) Industries des papiers, cartons et cellulose ; d) Industries du pétrole ; e) Industries métallurgiques ; f) Industries extractives.
L'article D. 213-3 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. D. 213-3.- Le collège des représentants des usagers comprend des représentants des usagers non professionnels, des représentants des usagers professionnels “ Agriculture, pêche, aquaculture, batellerie et tourisme ” et des représentants des usagers professionnels “ Entreprises à caractère industriel et artisanat ” ainsi répartis : 1° Au titre des usagers non professionnels : a) Quatre représentants d'associations de consommateurs ; b) Six représentants d'associations de protection de l'environnement ; c) Un représentant d'associations d'éducation à l'environnement ; d) Un représentant des sports nautiques ; e) Huit représentants des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique, dont le président de la Fédération nationale pour la pêche et la protection du milieu aquatique et un représentant des associations agréées de pêcheurs amateurs aux engins et aux filets sur les eaux du domaine public ; f) Deux représentants des associations de riverains ; 2° Au titre des usagers professionnels “ Agriculture, pêche, aquaculture, batellerie et tourisme ” : a) Cinq représentants des chambres d'agriculture ; b) Un représentant de la Fédération nationale de l'agriculture biologique ; c) Un représentant des pisciculteurs en eau douce et un représentant de l'aquaculture en eau de mer ; d) Un représentant de la pêche professionnelle en eau douce ; e) Un représentant de la conchyliculture ; f) Un représentant de la pêche maritime ; g) Deux représentants des associations de navigation intérieure ; h) Un représentant des associations de tourisme ; i) Un représentant des transports maritimes. 3° Au titre des usagers professionnels “ Entreprises à caractère industriel et artisanat ” : a) Deux représentants des entreprises d'assainissement et de distribution d'eau ; b) Un représentant des distributeurs d'eau en régie ; c) Deux représentants des chambres de commerce et d'industrie territoriales ; d) Trois représentants des riverains industriels ; e) Deux représentants des industries de la production d'électricité ; f) Un représentant de chacune des catégories suivantes d'usagers : - industries agricoles et alimentaires ; - industries chimiques ; - industries des papiers, cartons et cellulose ; - industries du pétrole ; - industries métallurgiques ; - industries extractives ; g) Un représentant de la Fédération nationale des travaux publics. »
Le collège des représentants des usagers comprend des représentants des usagers non professionnels, des représentants des usagers professionnels " Agriculture, pêche, aquaculture, batellerie et tourisme " et des représentants des usagers professionnels " Entreprises à caractère industriel et artisanat " ainsi répartis : 1° Au titre des usagers non professionnels : a) Quatre représentants d'associations de consommateurs ; b) Six représentants d'associations de protection de l'environnement ; c) Un représentant d'associations d'éducation à l'environnement ; d) Un représentant des sports nautiques ; e) Huit représentants des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique, dont le président de la Fédération nationale pour la pêche et la protection du milieu aquatique et un représentant des associations agréées de pêcheurs amateurs aux engins et aux filets sur les eaux du domaine public ; f) Deux représentants des associations de riverains ; 2° Au titre des usagers professionnels " Agriculture, pêche, aquaculture, batellerie et tourisme " : a) Cinq représentants des chambres d'agriculture ; b) Un représentant de la Fédération nationale de l'agriculture biologique ; c) Un représentant des pisciculteurs en eau douce et un représentant de l'aquaculture en eau de mer ; d) Un représentant de la pêche professionnelle en eau douce ; e) Un représentant de la conchyliculture ; f) Un représentant de la pêche maritime ; g) Deux représentants des associations de navigation intérieure ; h) Un représentant des associations de tourisme ; i) Un représentant des transports maritimes. 3° Au titre des usagers professionnels " Entreprises à caractère industriel et artisanat " : a) Deux représentants des entreprises d'assainissement et de distribution d'eau ; b) Un représentant des distributeurs d'eau en régie ; c) Deux représentants des chambres de commerce et d'industrie territoriales ; d) Trois représentants des riverains industriels ; e) Deux représentants des industries de la production d'électricité ; f) Un représentant de chacune des catégories suivantes d'usagers : - industries agricoles et alimentaires ; - industries chimiques ; - industries des papiers, cartons et cellulose ; - industries du pétrole ; - industries métallurgiques ; - industries extractives ; g) Un représentant de la Fédération nationale des travaux publics.
Les personnels de direction directeurs chefs d'établissement perçoivent une indemnité forfaitaire mensuelle lorsqu'ils assurent une direction commune instituée à l'article 1er du présent décret, conformément aux dispositions de l'article 29 du décret n° 2005-921 du 2 août 2005 susvisé. Les personnels de direction qui assurent la responsabilité d'un syndicat interhospitalier selon les dispositions de l'article 26 du décret n° 2005-921 du 2 août 2005 susvisé perçoivent également cette indemnité.
Au deuxième alinéa de l'article 6 du même décret, les mots : « article 26 » sont complétés par les mots : « et 28 ».
Les personnels de direction directeurs chefs d'établissement perçoivent une indemnité forfaitaire mensuelle lorsqu'ils assurent une direction commune instituée à l'article 1er du présent décret, conformément aux dispositions de l'article 29 du décret n° 2005-921 du 2 août 2005 susvisé. Les personnels de direction qui assurent la responsabilité d'un syndicat interhospitalier selon les dispositions de l'article 26 et 28 du décret n° 2005-921 du 2 août 2005 susvisé perçoivent également cette indemnité.
Les antennes du RAID, prévues à l'article 2-1 de l'arrêté du 5 janvier 2011 susvisé, sont les suivantes : - antenne du RAID de Nice ; - antenne du RAID de Marseille ; - antenne du RAID de Bordeaux ; - antenne du RAID de Rennes ; - antenne du RAID de Lille ; - antenne du RAID de Strasbourg ; - antenne du RAID de Lyon ; - antenne du RAID de Montpellier ; (1) - antenne du RAID de Toulouse ; (2) - antenne du RAID de Nancy ; (3) - antenne de Nouméa ; (4) - antenne de Pointe- à- Pitre ; (5) - antenne de Saint- Denis. (5)
Le 12e alinéa de l'article 1er de l'arrêté du 21 mai 2015 susvisé est supprimé.
Les antennes du RAID, prévues à l'article 2-1 de l'arrêté du 5 janvier 2011 susvisé, sont les suivantes : - antenne du RAID de Nice ; - antenne du RAID de Marseille ; - antenne du RAID de Bordeaux ; - antenne du RAID de Rennes ; - antenne du RAID de Lille ; - antenne du RAID de Strasbourg ; - antenne du RAID de Lyon ; - antenne du RAID de Montpellier ; (1) - antenne du RAID de Toulouse ; (2) - antenne du RAID de Nancy ; (3) - antenne de Pointe- à- Pitre ; (5) - antenne de Saint- Denis. (5)
A l'exception des agents recrutés pour une durée inférieure à six mois, sont électeurs tous les agents non titulaires en fonctions dans les services mentionnés à l'article 1er de l'arrêté du 17 janvier 1986 susvisé à la date du scrutin. Les agents recrutés pour exercer des fonctions qui, correspondant à un besoin permanent, impliquent un service à temps incomplet ainsi que les fonctionnaires relevant d'autres administrations détachés dans les services du Premier ministre sur des emplois d'agent contractuel sont électeurs pour la consultation visée à l'article précédent.
L'article 2 de l'arrêté du 26 février 1986 susvisé est ainsi modifié : 1° Le premier alinéa est ainsi complété : « et les agents non titulaires placés en congé sans rémunération en application de l'article 9 du décret n° 2012-631 du 3 mai 2012 susvisé. » ; 2° Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les agents affectés à la date du scrutin dans un des services énumérés à l'article 2 de l'arrêté du 17 janvier 1986 susvisé sont électeurs pour la commission consultative paritaire compétente selon les dispositions du même article. »
A l'exception des agents recrutés pour une durée inférieure à six mois, sont électeurs tous les agents non titulaires en fonctions dans les services mentionnés à l'article 1er de l'arrêté du 17 janvier 1986 susvisé à la date du scrutin et les agents non titulaires placés en congé sans rémunération en application de l'article 9 du décret n° 2012-631 du 3 mai 2012 susvisé. Les agents affectés à la date du scrutin dans un des services énumérés à l'article 2 de l'arrêté du 17 janvier 1986 susvisé sont électeurs pour la commission consultative paritaire compétente selon les dispositions du même article. Les agents recrutés pour exercer des fonctions qui, correspondant à un besoin permanent, impliquent un service à temps incomplet ainsi que les fonctionnaires relevant d'autres administrations détachés dans les services du Premier ministre sur des emplois d'agent contractuel sont électeurs pour la consultation visée à l'article précédent.
PRESCRIPTIONS GÉNÉRALES APPLICABLES AUX INSTALLATIONS CLASSÉES POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT SOUMISES À ENREGISTREMENT SOUS LA RUBRIQUE N° 1435 1. Dispositions générales Définitions Au sens du présent arrêté, on entend par : Station- service : toute installation où les carburants sont transférés de réservoirs de stockage fixes dans les réservoirs à carburant de véhicules à moteur, de bateaux ou d'aéronefs. Les stations- service peuvent être ouvertes ou non au public. Distribution ou ravitaillement : transfert d'un réservoir de stockage fixe dans un réservoir à carburant d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef. Dépotage : approvisionnement des réservoirs fixes de stockage de la station- service. Aire de dépotage : surface d'arrêt des véhicules- citernes dédiée aux opérations d'approvisionnement des réservoirs fixes de stockage. Cette surface englobe les zones situées entre les bouches de réception en produit des réservoirs fixes et les vannes des réservoirs mobiles ainsi que le cheminement des flexibles. Cette surface est au minimum un rectangle de 3 mètres de large et de 4 mètres de longueur. Aire de distribution : surface accessible à la circulation des véhicules englobant les zones situées à moins de 3 mètres de la paroi des appareils de distribution. Décanteur- séparateur d'hydrocarbures : dispositif vers lequel les effluents susceptibles de contenir des hydrocarbures sont orientés avant rejet. Ce dispositif permet de séparer les matières en suspension et les hydrocarbures des eaux collectées. Le décanteur- séparateur d'hydrocarbures est muni d'un dispositif d'obturation automatique, en sortie de séparateur, empêchant tout déversement d'hydrocarbures dans le réseau en cas d'afflux d'hydrocarbures. Il est couplé de façon optionnelle à une cuve de rétention. Ilot : ouvrage permettant l'implantation des appareils de distribution par rapport au niveau de l'aire de roulage des véhicules et d'aéronefs, ou de la voie navigable. Libre service surveillé : une station- service peut être considérée comme étant en libre service surveillé lorsque le transfert du produit est effectué sous la surveillance d'un personnel d'exploitation de permanence connaissant le fonctionnement des installations et capable de mettre en œuvre les moyens de première intervention en matière d'incendie et de protection de l'environnement. La surveillance est assurée par un personnel d'exploitation présent sur le site. Ne sont pas considérées comme étant en libre service les installations de remplissage et d'avitaillement dont l'accès et l'usage des installations sont strictement réservés à un personnel spécialement formé à cet effet et aux risques des produits manipulés. Libre service sans surveillance : installations en libre service autres que celles considérées comme surveillées. Superéthanol : carburant composé d'un minimum de 65 % d'éthanol d'origine agricole et d'un minimum de 15 % de supercarburant sans plomb. E10 : carburant ayant une teneur strictement supérieure à 5 % et inférieure ou égale à 10 % en éthanol. 1.1. Conformité de l'installation au dossier d'enregistrement L'installation est implantée, réalisée et exploitée conformément aux plans et autres documents joints au dossier d'enregistrement. L'exploitant énumère et justifie en tant que de besoin toutes les dispositions prises pour la conception, la construction et l'exploitation des installations afin de respecter les prescriptions du présent arrêté. 1.2. Dossier installation classée L'exploitant établit et tient à jour un dossier comportant les documents suivants : - une copie de la demande d'enregistrement et du dossier qui l'accompagne ; - le dossier d'enregistrement tenu à jour et daté en fonction des modifications apportées à l'installation ; - l'arrêté d'enregistrement délivré par le préfet ainsi que tout arrêté préfectoral relatif à l'installation ; - les différents documents prévus par le présent arrêté. Ce dossier est tenu à la disposition de l'inspection des installations classées. 1.3. Envol des poussières Sans préjudice des règlements d'urbanisme, l'exploitant adopte les dispositions suivantes, nécessaires pour prévenir les envols de poussières et matières diverses : - les voies de circulation et aires de stationnement des véhicules sont aménagées (formes de pente, revêtement, etc.) et convenablement nettoyées ; 1.4. Intégration dans le paysage L'ensemble des installations est maintenu propre et entretenu en permanence. Les abords de l'installation, placés sous le contrôle de l'exploitant, sont aménagés et maintenus en bon état de propreté. Les surfaces où cela est possible sont engazonnées. écrans de végétation sont mis en place, si cela est possible. Pour l'entretien des surfaces extérieures de son site (parkings, espaces verts, voies de circulation...), l'exploitant met en œuvre des bonnes pratiques, notamment en ce qui concerne le désherbage. 2. Risques 2.1. Règles d'implantation A. - L'implantation de nouvelles stations- service visées par le présent arrêté est interdite en rez- de- chaussée d'un immeuble habité ou occupé par des tiers ou en sous- sol, c'est- à- dire en dessous du niveau dit de référence. Le niveau de référence est celui de la voirie publique située à l'air libre et desservant la construction utilisable par les engins des services d'incendie et de secours. S'il y a deux accès par des voies situées à des niveaux différents, le niveau de référence est déterminé par la voie la plus basse. Par ailleurs, aucune bouche de dépotage ne débouche en sous- sol ou en rez- de- chaussée d'un immeuble occupé par des tiers. Cette disposition est applicable : - à partir du lendemain de la date de publication du présent arrêté, aux nouvelles installations ; - à partir du lendemain de la date de publication du présent arrêté, aux installations existantes dont le dossier de demande d'autorisation au titre de la rubrique 1434 a été déposé depuis le 1er juillet 2009 ; - à partir du lendemain de la date de publication du présent arrêté, aux installations régulièrement déclarées au titre de la rubrique 1434 à compter du 1er juillet 2009 ; - à compter du 1er janvier 2015 pour les installations existantes et régulièrement déclarées ou autorisées avant le 1er juillet 2009. La distribution en station- service de carburants de la catégorie B de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées en rez- de- chaussée d'un immeuble habité ou occupé par des tiers ou en sous- sol n'est autorisée que sous réserve que l'installation soit équipée : - d'un système de détection des vapeurs d'hydrocarbures, d'une installation de ventilation d'urgence dont le déclenchement est asservi au système de détection et d'un arrêt d'urgence automatique des appareils de distribution asservi à ces mêmes détecteurs ; - de systèmes de récupération des vapeurs au dépotage des installations de stockage et au ravitaillement en carburant de la catégorie B des véhicules à moteur respectant les prescriptions du point 2.6.3.1 de l'annexe I du présent arrêté et d'un système de régulation électronique en boucle fermée respectant les prescriptions de l'article du point 2.6.3.2 de l'annexe I du présent arrêté quel que soit le volume distribué par an. Cette disposition s'applique à compter du 1er janvier 2020 pour les installations régulièrement déclarées ou autorisées au titre de la rubrique 1434 avant la date de publication du présent arrêté et immédiatement en cas de modification substantielle de l'installation nécessitant un nouvel enregistrement en application de l'article R. 512-46-12 du code de l'environnement. B. - Les distances minimales d'implantation (en mètres) à respecter vis- à- vis des issues d'un établissement recevant du public de 1re, 2e, 3e ou 4e catégorie, d'un immeuble habité ou occupé par des tiers, extérieur à l'établissement ou d'une installation extérieure à l'établissement présentant des risques d'incendie ou d'explosion suivantes sont : CATÉGORIE B y compris E10 et hors superéthanol CATÉGORIE C SUPERÉTHANOL Dépotage 19 17 14 Dépotage sécurisé 13 (auvent) 16 (extinction automatique) 14 11 Distribution 17 14, 18, 21, 23 (*) 11 Distribution sécurisée 13 11, 15, 17, 19 (*) 8 (*) Ces distances s'entendent respectivement pour : - la distribution voiture ; - la distribution poids- lourds limitée à 2,5 mètres cubes par heure ; - la distribution poids- lourds supérieure à 2,5 mètres cubes par heure et inférieure à 8 mètres cubes par heure ; - la distribution poids- lourds supérieure ou égale à 8 mètres cubes par heure. On entend par distance pour le dépotage les distances mesurées à partir du centre de l'aire de dépotage la plus proche de l'établissement concerné. On entend par dépotage sécurisé un dépotage réalisé dans une installation comportant un ou plusieurs des équipements suivants : - un auvent en acier ou en béton couvrant au moins la totalité de la surface de rétention de la zone de dépotage d'une hauteur inférieure ou égale à 5 mètres ; - un système d'extinction automatique. On entend par distance pour la distribution les distances d'implantation, mesurées horizontalement à partir des parois de l'appareil de distribution le plus proche des établissements visés. On entend par distribution sécurisée une distribution réalisée dans une installation comportant un ou plusieurs des équipements suivants : - un auvent en acier ou en béton couvrant au moins la totalité de la surface de rétention de la distribution d'une hauteur inférieure ou égale à 5 mètres ; - un système d'extinction automatique ; - un système de détection de vapeurs avec coupure automatique de la distribution en cas de détection. Ces distances peuvent être diminuées de 30 % en cas d'interposition d'un mur RE 120 d'une hauteur de 2,50 mètres et situé à 5 mètres au moins de l'appareil de distribution le plus proche de l'établissement concerné. Par ailleurs, une distance d'éloignement de 5 mètres est observée entre les parois des appareils de distribution et les issues des locaux susceptibles d'accueillir le public au sein de l'installation. Cette distance est également observée entre les limites de l'aire de dépotage et ces mêmes issues. La distance de 5 mètres est également observée aux limites de la voie publique et aux limites de l'établissement, cette distance pouvant être ramenée à 1,5 mètre sur un seul côté, lorsque la limite est constituée par un mur REI 120 de 2,5 mètres de haut ou lorsque les liquides inflammables distribués sont de catégorie C au titre de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées. Pour les installations régulièrement autorisées ou déclarées à la date de publication du présent arrêté, les distances à prendre en compte au titre du présent point B sont celles prévues dans l'arrêté d'autorisation ou à la date de la preuve de dépôt de la déclaration. C. - Les stockages de bouteilles de gaz combustibles liquéfiés respectent les conditions minimales d'éloignement suivantes des parois des appareils de distribution : 6 mètres, si la capacité du dépôt de bouteilles est au plus de 15 000 kilogrammes ; 7,5 mètres pour une capacité de dépôt supérieure à 15 000 kilogrammes. D. - Dans tous les cas, une distance minimale d'éloignement de 4 mètres, mesurée horizontalement, est observée entre l'évent d'un réservoir d'hydrocarbures et les parois d'appareils de distribution. Cette disposition est applicable aux installations existantes précédemment déclarées ou autorisées à compter du 1er juillet 2009 au titre de la rubrique 1434 de la nomenclature des installations classées. 2.2. Construction. - Accessibilité 2.2.1. Accessibilité au site La station- service dispose en permanence d'un accès pour permettre l'intervention des services d'incendie et de secours. On entend par accès à la station- service une ouverture reliant la voie publique et l'intérieur du site, suffisamment dimensionnée pour permettre l'entrée des engins de secours. Les véhicules dont la présence est liée à l'exploitation de la station- service stationnent sans occasionner de gêne pour l'accessibilité des engins des services d'incendie et de secours depuis les voies de circulation externes à l'installation, même en dehors des heures d'exploitation et d'ouverture de l'installation. Pour les installations de distribution de liquides inflammables situées dans un local partiellement ou totalement clos, et possédant au moins un plancher situé à une hauteur supérieure à 8 mètres par rapport au niveau d'accès des secours, sur au moins deux façades, une voie échelle permet d'accéder à des ouvertures. La voie échelle est facilement accessible depuis l'extérieur de la station- service. Depuis cette voie, une échelle accédant à au moins toute la hauteur du bâtiment peut être disposée. La voie échelle respecte par ailleurs les caractéristiques suivantes : - la largeur utile est au minimum de 4 mètres, la longueur de l'aire de stationnement au minimum de 10 mètres, la pente au maximum de 10 % ; - dans les virages de rayon intérieur inférieur à 50 mètres, un rayon intérieur R minimal de 11 mètres est maintenu et une surlargeur de S = 15/R mètres est ajoutée ; - aucun obstacle aérien ne gêne la manœuvre de ces échelles à la verticale de l'ensemble de la voie ; - la distance par rapport à la façade est de 1 mètre minimum et 8 mètres maximum pour un stationnement parallèle au bâtiment et inférieur à 1 mètre pour un stationnement perpendiculaire au bâtiment ; - la voie résiste à la force portante calculée pour un véhicule de 160 KN avec un maximum de 90 KN par essieu, ceux- ci étant distants de 3,6 mètres au minimum et présente une résistance minimale au poinçonnement de 80 N/cm². Les ouvertures prévues à l'alinéa 4 du présent point permettent au moins un accès par étage pour chacune des façades disposant de voie échelle et présentent une hauteur minimale de 1,8 mètre et une largeur minimale de 0,9 mètre. Les panneaux d'obturation ou les châssis composant ces accès s'ouvrent et demeurent toujours accessibles de l'extérieur et de l'intérieur. Ils sont aisément repérables de l'extérieur par les services d'incendie et de secours. 2.2.2. Construction 2.2.2.1. Cas des installations sous immeuble habité ou occupé par des tiers Les installations implantées sous immeuble habité ou occupé par des tiers sont équipées d'un détecteur automatique d'incendie avec asservissement de la commande d'arrêt de distribution, du déclenchement des alarmes ainsi que du déclenchement du dispositif d'extinction automatique. Ces installations ne commandent pas l'issue ou le dégagement de locaux occupés ou habités par des tiers et comportent au moins une issue directe sur l'extérieur. Dans les installations implantées sous un immeuble habité ou occupé par des tiers, les parois, les planchers hauts présentent les caractéristiques suivantes : - murs et planchers hauts REI 120 ; - couverture A1s1d0 ; - portes intérieures EI2 30 C et munies d'un ferme- porte ou d'un dispositif assurant leur fermeture automatique ; - porte donnant vers l'extérieur EI2 120 C ; - matériaux de classe A1. Les locaux sont équipés en partie haute de dispositifs permettant l'évacuation des fumées et gaz de combustion dégagés en cas d'incendie (lanterneaux en toiture, ouvrants en façade ou tout autre dispositif équivalent). Les commandes d'ouverture manuelle sont placées à proximité des accès. Le système de désenfumage est adapté aux risques particuliers de l'installation. 2.2.2.2. Cas des installations situées dans un local totalement ou partiellement clos Les installations situées dans un local partiellement ou totalement clos présentent des murs et planchers hauts REI 120 et sont équipées d'au moins deux portes EI2 120 C satisfaisant une classe de durabilité C2 et à fermeture permanente ou comprenant un dispositif ferme- porte automatique assurant un degré de résistance au feu équivalent à celui exigé pour les murs ; ces portes visant à éviter la propagation des effets du sinistre éventuel sont munies d'un système d'ouverture antipanique visant à assurer l'évacuation rapide des personnes. Ces portes d'une largeur minimale de 0,80 mètre sont situées en des endroits tels que leur efficacité et leur accessibilité soient maximales au regard des risques potentiels ; leur accès est maintenu dégagé sur une largeur minimale de 5 mètres de part et d'autre de l'axe médian des portes. 2.2.3. Ventilation Pour les installations situées dans un local partiellement ou totalement clos, et sans préjudice des dispositions du code du travail, les locaux sont convenablement ventilés pour éviter tout risque d'atmosphère explosive ou toxique. Le débouché à l'atmosphère de la ventilation est placé, dans l'enceinte de l'installation, aussi loin que possible des habitations voisines et locaux occupés par des tiers et des bouches d'aspiration d'air extérieur, et à une hauteur suffisante compte tenu de la hauteur des bâtiments environnants afin de favoriser la dispersion des gaz rejetés. 2.2.4. Installations électriques et mise à la terre L'exploitant tient à la disposition de l'inspection des installations classées les éléments justifiant que ses installations électriques sont réalisées conformément aux règles en vigueur, entretenues en bon état et vérifiées. Les équipements métalliques (réservoirs, cuves, canalisations) sont mis à la terre conformément à la norme NF C15-100, version décembre 2002, compte tenu notamment de la nature explosive ou inflammable des produits. L'installation électrique comporte un dispositif de coupure générale permettant d'interrompre, en cas de fausse manœuvre, d'incident ou d'inobservation des consignes de sécurité, l'ensemble du circuit électrique à l'exception des systèmes d'éclairage de secours non susceptibles de provoquer une explosion, et permettant d'obtenir l'arrêt total de la distribution de carburant. Un essai du bon fonctionnement du dispositif de coupure générale est réalisé au moins une fois par an. La commande de ce dispositif est placée en un endroit facilement accessible à tout moment au responsable de l'exploitation de l'installation. Lorsque l'installation est exploitée en libre service sans surveillance, le dispositif de coupure générale ci- dessus prescrit est manœuvrable à proximité de la commande manuelle doublant le dispositif de déclenchement automatique de lutte fixe contre l'incendie. Sous réserve des impératifs techniques qui peuvent résulter de la mise en place de dispositifs de protection cathodique, les installations fixes de transfert de liquides inflammables ainsi que les charpentes et enveloppes métalliques sont reliées électriquement entre elles ainsi qu'à une prise de terre unique. La continuité des liaisons présente une résistance inférieure à 1 ohm et la résistance de la prise de terre sera inférieure à 10 ohms. Dans le cas d'une installation en libre service sans surveillance, le déclenchement des alarmes et systèmes de détection précités, la mise en service du dispositif automatique d'extinction ainsi que la manœuvre du dispositif de coupure générale sont retransmis afin d'aviser un responsable nommément désigné. Dans les parties de l'installation se trouvant dans des zones susceptibles d'être à l'origine d'explosions, les installations électriques sont réduites à ce qui est strictement nécessaire aux besoins de l'exploitation et sont entièrement constituées de matériels utilisables en atmosphère explosive. Les gainages électriques et autres canalisations ne sont pas une cause possible d'inflammation ou de propagation de fuite et sont convenablement protégés contre les chocs, contre la propagation des flammes et contre l'action des produits présents dans la partie de l'installation en cause. 2.2.5. Protection contre la foudre L'installation respecte les dispositions de l'arrêté du 15 janvier 2008 susvisé. 2.2.6. Rétention des aires et locaux de travail et isolement du réseau de collecte Sauf pour la boutique et le local de réserve annexe, le sol des aires et des locaux de stockage ou de manipulation des matières dangereuses pour l'homme ou susceptibles de créer une pollution de l'eau ou du sol est étanche, incombustible et équipé de façon à pouvoir recueillir les eaux de lavage et les matières répandues accidentellement. Un dispositif, empêchant la diffusion des matières répandues à l'extérieur ou dans d'autres aires ou locaux est prévu. Les matières recueillies sont de préférence récupérées et recyclées, ou en cas d'impossibilité, traitées conformément aux dispositions du présent arrêté. 2.2.7. Compatibilité des matériaux Pour le stockage et la distribution de carburants éthanolés, tous les matériaux en contact sont adaptés aux spécificités de ces carburants. En particulier, pour toute nouvelle installation, le zinc brut, le laiton brut et le cuivre brut sont interdits en contact avec l'E10 et le superéthanol en phase liquide dans les parties enterrées de l'installation. 2.2.8. Appareils de distribution Les pistes, lorsqu'elles existent, et les aires de stationnement des véhicules en attente de distribution sont disposées de telle façon que les véhicules puissent évoluer en marche avant et puissent évacuer en marche avant desdits appareils de distribution. Les pistes et les voies d'accès ne sont pas en impasse. Les appareils de distribution sont ancrés et protégés contre les heurts de véhicules, par exemple au moyen d'îlots de 0,15 mètre de hauteur, de bornes ou de butoirs de roues. Dans le cas de paiement par billets, toutes dispositions sont prises pour que les actes de malveillance éventuels n'aient pas de conséquences sur les appareils de distribution. L'habillage des parties de l'appareil de distribution où interviennent les liquides inflammables (unités de filtration, de pompage, de dégazage, etc.) est en matériaux de catégorie A1. Les parties intérieures de la carrosserie de l'appareil de distribution sont ventilées de manière à éviter toute accumulation des vapeurs des liquides distribués. La partie de l'appareil de distribution où peuvent être implantés des matériels électriques ou électroniques non de sûreté, constitue un compartiment distinct de la partie où interviennent les liquides inflammables. Ce compartiment est séparé de la partie où les liquides inflammables sont présents par une cloison étanche aux vapeurs d'hydrocarbures, ou par un espace ventilé assurant une dilution continue, de manière à le rendre inaccessible aux vapeurs d'hydrocarbure ou empêcher leur accumulation. Les appareils de distribution sont installés et équipés de dispositifs adaptés de telle sorte que tout risque de siphonnage soit écarté. Toutes dispositions sont prises pour que les égouttures sous les appareils de distribution n'entraînent pas de pollution du sol ou de l'eau. Lorsque l'appareil est alimenté par une canalisation fonctionnant en refoulement, l'installation est équipée d'un dispositif de sécurité arrêtant automatiquement l'arrivée de produit en cas d'incendie ou de renversement accidentel du distributeur. Pour les installations en libre service sans surveillance, le volume en liquide inflammable délivré par opération par les appareils de distribution en libre service sans surveillance est limité à 120 litres de liquides inflammables de la catégorie de référence (coefficient 1) et à l'équivalent pour les autres catégories, exception faite toutefois des installations dont l'accès est réservé aux personnes formées à cet effet. 2.2.9. Les flexibles Les flexibles de distribution sont conformes à la norme NF EN 1360 de novembre 2005 (pour l'aviation, les flexibles sont conformes aux dispositions prévues dans la norme spécifique en vigueur). Les flexibles sont entretenus en bon état de fonctionnement et remplacés au plus tard six ans après leur date de fabrication. Dans le cas des installations exploitées en libre service, les flexibles autres que ceux présentant une grande longueur et destinés au transvasement de gazole et de carburants aviation sont équipés de dispositifs de manière à ce qu'ils ne traînent pas sur l'aire de distribution. Les rapports d'entretien et de vérification sont tenus à la disposition de l'inspection des installations classées. Un dispositif approprié empêche que le flexible ne subisse une usure due à un contact répété avec le sol. Le flexible est changé après toute dégradation. Les appareils de distribution d'un débit inférieur à 4,8 mètres cubes par heure sont équipés d'un dispositif anti- arrachement du flexible de type raccord- cassant. 2.2.10. Dispositifs de sécurité Dans le cas des installations en libre service, l'ouverture du clapet du robinet et son maintien en position ouverte ne peuvent s'effectuer sans intervention manuelle. Toute opération de distribution est contrôlée par un dispositif de sécurité qui interrompt automatiquement le remplissage du réservoir quand le niveau maximal d'utilisation est atteint. Pour les cas d'une exploitation en libre service sans surveillance, l'installation de distribution est équipée : - d'un dispositif d'arrêt d'urgence situé à proximité de l'appareil permettant de provoquer la coupure de l'ensemble des installations destinées à la distribution ; - d'un dispositif de communication permettant d'alerter immédiatement la personne désignée en charge de la surveillance de l'installation. Dans les installations exploitées en libre service surveillé, l'agent d'exploitation peut commander à tout moment, depuis un point de contrôle de la station, le fonctionnement de l'appareil de distribution ou de remplissage. Pour la distribution et le stockage du superéthanol, des arrête- flammes sont systématiquement prévus en tous points où une transmission d'explosion vers les réservoirs est possible. Tous les arrête- flammes du circuit de récupération des vapeurs pour la distribution et le stockage de superéthanol respectent la norme NF EN 12874 de janvier 2001 ou toute norme équivalente en vigueur dans la Communauté européenne ou l'Espace économique européen. Les opérations de dépotage de liquides inflammables ne peuvent être effectuées qu'après mise à la terre des camions citernes et connexion le cas échéant des systèmes de récupération de vapeurs entre le véhicule et les bouches de dépotage. 2.2.11. Stockages aériens de liquides inflammables L'utilisation, à titre permanent, de réservoirs mobiles à des fins de stockage fixe est interdite. Tout stockage aérien de liquides inflammables susceptible de créer une pollution de l'eau ou du sol doit être associé à une capacité de rétention dont le volume doit être au moins égal à la plus grande des deux valeurs suivantes : 100 % de la capacité du plus grand réservoir ; 50 % de la capacité globale des réservoirs associés. Lorsque le stockage est constitué exclusivement de récipients de capacité unitaire inférieure ou égale à 250 litres, admis au transport, le volume minimal de la rétention est au moins égal à : 50 % de la capacité totale des récipients dans le cas de liquides inflammables, à l'exception des lubrifiants ; 20 % de la capacité totale des récipients dans les autres cas. Dans tous les cas égal au minimum à 800 litres, ou égal à la capacité totale lorsque celle- ci est inférieure à 800 litres. La capacité de rétention est étanche aux produits qu'elle pourrait contenir et résister à l'action physique et chimique des fluides. Il en est de même pour le dispositif d'obturation qui doit être maintenu fermé en conditions normales. La capacité de rétention et le dispositif d'obturation sont vérifiés périodiquement. Des réservoirs ou récipients contenant des produits susceptibles de réagir dangereusement ensemble ne sont pas associés à la même cuvette de rétention. Cette disposition ne s'applique pas aux bassins de traitement des eaux résiduaires. Les réservoirs fixes sont munis de jauges de niveau. Les rapports de contrôles d'étanchéité des réservoirs sont tenus à la disposition de l'inspection des installations classées et de l'organisme de contrôles périodiques. Sauf dans le cas des installations d'avitaillement des aéronefs, les canalisations de liaison entre l'appareil de distribution et le réservoir à partir duquel il est alimenté sont enterrées de façon à les protéger des chocs. Les liaisons des canalisations avec l'appareil de distribution s'effectuent sous l'appareil. D'autre part, elles comportent un point faible (fragment cassant) destiné à se rompre en cas d'arrachement accidentel de l'appareil. Des dispositifs automatiques, placés de part et d'autre de ce point faible, interrompent tout débit liquide ou gazeux en cas de rupture. En amont ces dispositifs sont doublés par des vannes, placées sous le niveau du sol, qui peuvent être confondues avec les dispositifs d'arrêt d'urgence. Elles peuvent également être commandées manuellement. Ces canalisations sont implantées dans des tranchées dont le fond constitue un support suffisant. Le fond de ces tranchées et les remblais sont constitués d'une terre saine ou d'un sol granuleux (sable, gravillon, pierres ou agrégats n'excédant pas 25 millimètres de diamètre). 2.2.12. Moyens de lutte contre l'incendie D'une façon générale, l'installation est dotée de moyens de lutte contre l'incendie appropriés aux risques et au moins protégée comme suit : - de deux appareils d'incendie (bouches ou poteaux d'incendie) d'un diamètre nominal DN 100 situés à moins de 100 mètres de la station- service (les distances sont mesurées par les voies praticables aux engins de secours). Ces appareils sont alimentés par un réseau public ou privé qui est en mesure de fournir un débit minimum de 60 mètres cubes par heure pendant au moins deux heures ; la pression dynamique minimale des appareils d'incendie est de 1 bar sans dépasser 8 bars. Le complément éventuel peut être apporté par une ou plusieurs réserves d'eau propre au site, accessible en permanence aux services d'incendie et de secours. Ces réserves ont une capacité minimale réellement utilisable de 120 mètres cubes. Elles sont dotées de plates- formes d'aspiration par tranche de 120 mètres cubes de capacité ; - d'un système d'alarme incendie (ou tout moyen permettant d'alerter les services d'incendie et de secours dans le cas des installations sans surveillance) ; - sur chaque îlot de distribution, d'un système manuel commandant en cas d'incident une alarme optique ou sonore ; - d'un dispositif permettant de rappeler à tout instant aux tiers les consignes de sécurité et les conduites à tenir en cas de danger ou d'incident, au besoin par l'intermédiaire d'un ou de plusieurs haut- parleurs ; - pour chaque îlot de distribution, d'un extincteur homologué 233 B ; pour l'aviation l'extincteur est conforme aux dispositions de l'arrêté du 23 janvier 1980 susvisé ; - pour l'aire de distribution des stations- service et à proximité des bouches d'emplissage de réservoirs des stations délivrant des liquides inflammables, d'une réserve de produit absorbant incombustible en quantité adaptée au risque, sans être inférieure à 100 litres, des moyens nécessaires à sa mise en œuvre ; la réserve de produit absorbant est protégée par couvercle ou par tout dispositif permettant d'abriter le produit absorbant des intempéries ; - pour chaque local technique, d'un extincteur homologué 233 B ; - pour le stockage des marchandises et le sous- sol, d'un extincteur homologué 21 A-144 B 1 ou un extincteur homologué 21 A-233 B et C ; - pour le tableau électrique, d'un extincteur à gaz carbonique (2 kilogrammes) ; - sur l'installation, d'au moins une couverture spéciale antifeu. Par ailleurs, à l'exception des stations- service en plein air, l'installation est dotée : - d'extincteurs répartis à l'intérieur des locaux, sur les aires extérieures et les lieux présentant des risques spécifiques, à proximité des dégagements, bien visibles et facilement accessibles. Les agents d'extinction sont appropriés aux risques à combattre et compatibles avec les produits stockés ; - de plans des locaux facilitant l'intervention des services d'incendie et de secours avec une description des dangers pour chaque local. Les dispositifs cités ci- dessus sont en nombre suffisant et correctement répartis et, dans tous les cas, les agents d'extinction sont compatibles avec les carburants distribués y compris éthanolés. Pour les installations de distribution, les moyens de lutte contre l'incendie prescrits dans les paragraphes précédents peuvent être remplacés par des dispositifs automatiques d'extinction présentant une efficacité au moins équivalente. Ce type de dispositifs est obligatoire pour les installations fonctionnant en libre service sans surveillance et pour les installations implantées sous immeuble habité ou occupé par des tiers. Une commande de mise en œuvre manuelle d'accès facile double le dispositif de déclenchement automatique de défense fixe contre l'incendie. Cette commande est installée en dehors de l'aire de distribution en un endroit accessible au préposé éventuel à l'exploitation ainsi qu'à tout autre personne. Conformément aux référentiels en vigueur et au moins une fois par an, tous les dispositifs sont entretenus par un technicien compétent et leur bon fonctionnement vérifié. Les rapports d'entretien et de vérification sont tenus à la disposition de l'inspection des installations classées. 2.3. Recensement des potentiels de dangers 2.3.1. Connaissance des produits. - Etiquetage Sans préjudice des dispositions du code du travail, l'exploitant dispose des documents lui permettant de connaître la nature et les risques des produits dangereux présents dans l'installation, en particulier les fiches de données de sécurité. Les fûts, réservoirs et autres emballages portent en caractères lisibles le nom des produits et, s'il y a lieu, les symboles de danger conformément à la législation relative à l'étiquetage des substances, préparations et mélanges dangereux. 2.3.2. Etat des stocks de liquides inflammables L'exploitant est en mesure de fournir une estimation des stocks ainsi qu'un bilan quantités réceptionnées - quantités délivrées pour chaque catégorie de liquides inflammables détenus, auxquels est annexé un plan général des stockages. Cette information est tenue à la disposition des services d'incendie et de secours et de l'inspection des installations classées. 2.3.3. Localisation des risques L'exploitant recense et signale par un panneau conventionnel, sous sa responsabilité, les parties de l'installation qui, en raison des caractéristiques qualitatives et quantitatives des matières mises en œuvre, stockées, utilisées ou produites, sont susceptibles d'être à l'origine d'un sinistre pouvant avoir des conséquences directes ou indirectes sur l'environnement, la sécurité publique ou le maintien en sécurité de l'installation. Exploitation 2.4.1. Surveillance de l'exploitation L'exploitation se fait sous la surveillance, directe ou indirecte, de personnes désignées par l'exploitant et ayant une connaissance de la conduite de l'installation et des dangers et inconvénients des produits utilisés ou stockés dans l'installation. 2.4.2. Contrôle de l'utilisation des appareils de distribution Sauf dans le cas d'une exploitation en libre service, l'utilisation des appareils de distribution est assurée par un agent d'exploitation, nommément désigné par l'exploitant et ayant une connaissance de la conduite de l'installation et des dangers et inconvénients des produits utilisés ou stockés dans l'installation. Dans le cas d'une exploitation en libre service, un agent d'exploitation (ou une société spécialisée) est en mesure d'intervenir rapidement en cas d'alarme. 2.4.3. Propreté de l'installation L'ensemble du site est maintenu propre et régulièrement nettoyé, notamment de manière à éviter les amas de matières dangereuses ou polluantes et de poussières. Le matériel de nettoyage est adapté aux risques. 2.4.4. Vérification périodique des installations électriques Toutes les installations électriques sont entretenues en bon état et sont contrôlées, après leur installation ou leur modification par une personne compétente. La périodicité, l'objet et l'étendue des vérifications des installations électriques ainsi que le contenu des rapports relatifs auxdites vérifications sont fixés par l'arrêté du 10 octobre 2000 susvisé. 2.4.5. Interdiction des feux Dans les parties de l'installation présentant des risques d'incendie ou d'explosion, il est interdit d'apporter du feu sous une forme quelconque, sauf pour la réalisation de travaux ayant fait l'objet d'un permis de feu . Cette interdiction est affichée en caractères apparents. Les prescriptions que doit observer l'usager sont affichées soit en caractères lisibles soit au moyen de pictogrammes et ce au niveau de chaque appareil de distribution. Elles concernent notamment l'interdiction de fumer, d'utiliser un téléphone portable (le téléphone doit être éteint), d'approcher un appareil pouvant provoquer un feu nu ainsi que l'obligation d'arrêt du moteur. Pour l'aviation, l'obligation d'arrêt du moteur ne s'applique pas lorsqu'il s'agit d'assurer l'avitaillement de services d'urgence. 2.4.6. Plan de prévention . - Permis de feu Tous les travaux de réparation ou d'aménagement effectués par une entreprise extérieure présentant des risques spécifiques (emploi d'une flamme ou d'une source chaude, purge des circuits...) ne peuvent être effectués qu'après établissement d'un plan de prévention et éventuellement la délivrance d'un permis de feu et en respectant une consigne particulière. Ces permis sont délivrés après analyse des risques liés aux travaux et définition des mesures appropriées. 2.4.7. Consignes de sécurité Sans préjudice des dispositions du code du travail, des consignes précisant les modalités d'application des dispositions du présent arrêté sont établies, tenues à jour et portées à la connaissance du personnel dans les lieux fréquentés par le personnel. Ces consignes indiquent notamment : - l'interdiction d'apporter du feu sous une forme quelconque, dans les parties de l'installation visées au point 2.3.2 ; - l'obligation du plan de prévention pour les parties de l'installation visées au point 2.4.5 ; - les procédures d'arrêt d'urgence et de mise en sécurité de l'installation ; - les mesures à prendre en cas de fuite sur un récipient ou une canalisation contenant des substances dangereuses ; - les précautions à prendre avec l'emploi et le stockage de produits incompatibles ; - les moyens d'extinction à utiliser en cas d'incendie ; - la procédure d'alerte avec les numéros de téléphone du responsable d'intervention de l'établissement, des services d'incendie et de secours. Une formation du personnel lui permet : - d'être sensibilisé aux risques inhérents à ce type d'installation ; - de vérifier régulièrement le bon fonctionnement des divers équipements pour la prévention des risques ; - de prendre les dispositions nécessaires sur le plan préventif et à mettre en œuvre, en cas de besoin, les actions les plus appropriées. Le préposé à l'exploitation est en mesure de rappeler à tout moment aux usagers les consignes de sécurité. 2.4.8. Consignes d'exploitation Les opérations comportant des manipulations dangereuses et la conduite des installations font l'objet de consignes d'exploitation écrites. Ces consignes prévoient notamment : - les modes opératoires, ceux- ci devant être présents à chaque poste de chargement et distribution ; en particulier, une procédure est mise en place, visant à s'assurer systématiquement que le tuyau est effectivement raccordé avant que ne commence le chargement du réservoir de stockage. - la fréquence de vérification des dispositifs de sécurité et de traitement des pollutions et nuisances générées ; - les instructions de maintenance et de nettoyage ; - les conditions de conservation et de stockage des produits. 2.5. Eau Dans le cas où les aires de dépotage et de distribution définies au point 1 de la présente annexe sont confondues, la surface de la plus grande aire est retenue. Les aires de dépotage, de remplissage et de distribution de liquides inflammables sont étanches aux produits susceptibles d'y être répandus et conçues de manière à permettre le drainage de ceux- ci. Dans le cas du ravitaillement bateau, l'étanchéité de l'aire de distribution se limite à la zone terrestre. Les liquides ainsi collectés sont traités au moyen d'un décanteur- séparateur d'hydrocarbures muni d'un dispositif d'obturation automatique. Ce décanteur- séparateur est conçu et dimensionné de façon à évacuer un débit minimal de 45 litres par heure, par mètre carré de l'aire considérée, sans entraînement de liquides inflammables. Le séparateur- décanteur est conforme à la norme NF EN 858-1, version novembre 2002. Le décanteur- séparateur est nettoyé par une entité habilitée aussi souvent que cela est nécessaire, et dans tous les cas au moins une fois par an. Ce nettoyage consiste en la vidange des hydrocarbures et des boues ainsi qu'en la vérification du bon fonctionnement de l'obturateur. L'entité habilitée fournit la preuve de la destruction ou du retraitement des déchets rejetés. Les fiches de suivi de nettoyage du séparateur- décanteur d'hydrocarbures sont tenues à disposition de l'inspecteur des installations classées. Dans le cas du ravitaillement bateau, certains cas spécifiques peuvent ne pas permettre la mise en place d'un décanteur- séparateur d'hydrocarbures. Cette impossibilité est alors démontrée par une étude technico- économique tenue à la disposition de l'inspecteur des installations classées. Cette étude précise les mesures compensatoires mises en place. La partie de l'aire de distribution qui est protégée des intempéries par un auvent pourra être affectée du coefficient 0,5 pour déterminer la surface réelle à protéger prise en compte dans le calcul du dispositif décanteur- séparateur. Sans préjudice de l'autorisation de déversement dans le réseau public (art. L. 1331-10 du code de la santé publique), les rejets d'eaux résiduaires font l'objet en tant que de besoin d'un traitement permettant de respecter les valeurs limites suivantes, contrôlées, sauf stipulation contraire de la norme en vigueur, sur effluent brut non décanté et non filtré, sans dilution préalable ou mélange avec d'autres effluents : a) Dans tous les cas, avant rejet au milieu naturel ou dans un réseau d'assainissement collectif : pH : 5,5 - 8,5 ; b) Polluants spécifiques : avant rejet dans le milieu naturel ou dans un réseau d'assainissement collectif urbain : Hydrocarbures totaux : 10 mg/l. Ces valeurs limites sont respectées en moyenne quotidienne. Aucune valeur instantanée ne dépasse le double des valeurs limites de concentration. L'installation est pourvue en produits fixants ou en produits absorbants appropriés permettant de retenir ou neutraliser les liquides accidentellement répandus. Ces produits sont stockés en des endroits visibles, facilement accessibles et proches des postes de distribution avec les moyens nécessaires à leur mise en œuvre (pelle,...). 2.6. Air 2.6.1. Récupération des vapeurs. - Dispositions générales Toutes dispositions sont prises pour que les percements effectués, par exemple pour le passage de gaines électriques, ne permettent pas la transmission de vapeurs depuis les canalisations, réservoirs et matériels jusqu'aux locaux de l'installation. 2.6.2. Récupération des vapeurs au remplissage des installations de stockage Le présent point est applicable à la distribution de carburant de la catégorie B de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées à l'exception des carburants destinés l'aviation et des stations- service d'un débit inférieur à 100 mètres cubes par an. Lors du dépotage de carburant d'une citerne de transport dans les installations de stockage, les vapeurs générées par le déplacement de carburant sont renvoyées dans la citerne de transport au moyen d'un tuyau de raccordement étanche aux vapeurs. Lors de cette opération, un dispositif est mis en place afin que ces vapeurs ne s'évacuent pas par l'évent du réservoir de stockage de la station- service. Les opérations de remplissage des réservoirs des stations- service ne sont pas effectuées avant que ces dispositifs ne soient en place et fonctionnent correctement. 2.6.3. Récupération des vapeurs liées au ravitaillement des véhicules à moteur Le présent point est applicable à la distribution de carburant de la catégorie B de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées. Les carburants pour l'aviation ne sont pas concernés. Les débits considérés au titre du présent point sont relatifs aux carburants de la catégorie B de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées. 2.6.3.1. Récupération des vapeurs Les stations- service dont le volume distribué est supérieur à 500 mètres cubes par an sont équipées de systèmes actifs de récupération des vapeurs afin de permettre le retour d'au moins 80 % des vapeurs dans les réservoirs fixes des stations- service. Cette disposition est applicable : - à partir du lendemain de la date de publication du présent arrêté pour les stations- service nouvelles ; - à partir du lendemain de la date de publication du présent arrêté pour les stations existantes d'un débit supérieur à 3 000 mètres cubes par an ainsi que pour les stations dont le débit a dépassé pour la première fois 500 mètres cubes par an postérieurement au 4 juillet 2001 ; - le 30 septembre de l'année suivant l'année civile durant laquelle le débit a dépassé 500 mètres cubes pour les installations dont le débit a été inférieur à 500 mètres cubes par an depuis le 4 juillet 2001 jusqu'au lendemain de la date de publication du présent arrêté ; - au plus tard le 1er janvier 2016 pour les autres stations- service. Ce taux de récupération est porté à 90 % : - à partir du lendemain de la date de publication du présent arrêté pour les nouvelles stations- service et les stations- service régulièrement autorisées ou déclarées à partir du 1er juillet 2009 et les installations en rez- de- chaussée d'un immeuble habité ou occupé par des tiers ou en sous- sol faisant l'objet d'une modification substantielle nécessitant un nouvel enregistrement au titre de l'article R. 512-46-12 du code de l'environnement ; - au 1er janvier 2016 pour les stations- service existantes régulièrement autorisées ou déclarées avant le 1er juillet 2009 et dont le débit est supérieur à 3 000 mètres cubes par an ; - au 1er janvier 2020 pour les stations- service existantes dont le débit est supérieur à 1 000 mètres cubes par an. Les systèmes de récupération des vapeurs de carburant sont constitués de quatre types d'équipements : - un pistolet de remplissage dont le système de dépression est ouvert à l'atmosphère ; - un flexible de type coaxial ou présentant des garanties équivalentes afin de véhiculer à la fois le carburant et les vapeurs ; - un organe déprimogène permettant d'assister l'aspiration des vapeurs du réservoir du véhicule pour les transférer vers le réservoir de la station- service ; - un dispositif de régulation permettant de contrôler le rapport entre le débit de vapeur aspirée et le débit de carburant distribué. 2.6.3.2. Dispositif de régulation Le dispositif de régulation cité au point 2.6.3.1 est en boucle fermée. Le signal de mauvais fonctionnement du système de récupération des vapeurs entraîne l'arrêt de la distribution de carburant dès lors que la réparation n'est pas réalisée sous 72 heures. Ces dispositions sont applicables : - au lendemain de la date de publication du présent arrêté, aux stations- service nouvelles ; - au lendemain de la date de publication du présent arrêté, aux stations- service autorisées à compter du 1er juillet 2009 ; - à compter du 1er janvier 2014, aux autres stations- service existantes dont le débit est supérieur à 3 000 mètres cubes par an ; - à compter du 1er janvier 2016, aux autres stations- service existantes dont le débit est supérieur à 1 000 mètres cubes par an. 2.6.3.3. Retour des vapeurs Le retour des vapeurs dans les réservoirs fixes des stations- service s'effectue dans des canalisations de diamètre suffisant pour permettre l'écoulement des vapeurs de carburant. 2.6.3.4. Dispositifs arrête- flamme Le système de récupération de vapeurs nécessite la mise en place de dispositifs anti- retour de flamme de part et d'autre de tout élément susceptible de générer une ignition du mélange gazeux. Les dispositifs arrête- flamme (aussi appelés anti- retour de flamme) sont conformes à la norme NF EN 12874, version juillet 2001, ou aux normes ou spécifications techniques ou aux procédés de fabrication prévus dans les réglementations d'un Etat membre de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, assurant un niveau de sécurité équivalent. Le système de dépression et la connexion entre la sortie des vapeurs et le raccordement de l'équipement à la canalisation de retour des vapeurs de carburant vers le réservoir, notamment, sont considérés comme des éléments susceptibles de générer une ignition du mélange gazeux. En outre, la ligne de dépotage et les lignes de récupération des vapeurs sont également considérées comme des éléments susceptibles de générer une ignition lorsque le carburant contient plus de 10 % d'éthanol. Un organe de coupure est mis en place entre le distributeur de carburant et la canalisation de retour des vapeurs en vue de permettre que les opérations de maintenance sur le système de récupération des vapeurs se déroulent dans des conditions de sécurité. 2.6.3.5. Conception des systèmes de récupération Les systèmes de récupération des vapeurs sont conformes aux dispositions de l'annexe IV. Cette conformité est attestée, contrôlée et maintenue par un laboratoire compétent et indépendant. Tout système de récupération de vapeurs en provenance de la Communauté européenne ou originaire des pays AELE parties contractantes de l'accord EEE, qui est conforme à une réglementation, norme nationale ou procédé de fabrication dont l'application est permise dans l'un de ces Etats est également reconnu, pour autant que soit assuré un niveau de sécurité et d'efficacité équivalent à celui recherché dans l'annexe II du présent arrêté. 2.6.3.6. Maintenance du système de récupération L'exploitant s'assure du bon fonctionnement de son installation et fait réaliser avant la mise en service du système de récupération de vapeurs, après toute réparation du système et ensuite au moins une fois tous les six mois, pour les installations ne disposant pas d'un système de régulation électronique en boucle fermée et tous les trois ans pour les installations disposant d'un système de régulation électronique en boucle fermée, un contrôle sur site par un organisme compétent et indépendant, conformément aux dispositions de l'annexe III. Les résultats de ces mesures sont tenus à disposition de l'inspecteur des installations classées pendant un délai d'au moins six ans. 2.6.3.7. Affichage A compter du 1er janvier 2012, un panneau ou autocollant indique la présence d'un système de récupération de vapeur sur chaque distributeur de carburant de catégorie B de la nomenclature des installations classées ou à proximité équipé d'un tel dispositif. 2.7. Odeurs Lors de la distribution de carburant, le débit d'odeur des vapeurs émises à l'atmosphère par l'ensemble des sources odorantes canalisées, canalisables et diffuses, ne dépasse pas les valeurs suivantes : HAUTEUR D'ÉMISSION (en m) DÉBIT D'ODEUR (en m³/h) 0 1 000 x 103 5 3 600 x 103 10 et plus 21 000 x 103 Le niveau d'une odeur ou concentration d'un mélange odorant est défini conventionnellement comme étant le facteur de dilution qu'il faut appliquer à un effluent pour qu'il ne soit plus ressenti comme odorant par 50 % des personnes constituant un échantillon de population. Le débit d'odeur est défini conventionnellement comme étant le produit du débit d'air rejeté, exprimé en m³/h, par le facteur de dilution au seuil de perception. La mesure du débit d'odeur peut être effectuée, notamment à la demande du préfet ou de l'inspection des installations classées, selon les méthodes normalisées en vigueur si l'installation fait l'objet de plaintes relatives aux nuisances olfactives. Ces mesures sont réalisées au frais de l'exploitant. 2.8. Déchets 2.8.1. Généralités L'exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception et l'exploitation de ses installations pour assurer une bonne gestion des déchets de son entreprise, notamment : - limiter à la source la quantité et la toxicité de ses déchets en adoptant des technologies propres ; - trier, recycler, valoriser ses sous- produits de fabrication ; - s'assurer du traitement et, le cas échéant, du prétraitement de ses déchets, notamment par voie physicochimique, biologique ou thermique ; - s'assurer, pour les déchets ultimes dont le volume doit être strictement limité, d'un stockage dans les meilleures conditions possibles. 2.8.2. Stockage des déchets Les déchets et résidus produits sont stockés, avant leur revalorisation ou leur élimination, dans des conditions ne présentant pas de risques de pollution (prévention d'un lessivage par les eaux météoriques, d'une pollution des eaux superficielles et souterraines, des envols et des odeurs) pour les populations avoisinantes et l'environnement. Les stockages temporaires, avant recyclage ou élimination des déchets spéciaux, sont réalisés sur des cuvettes de rétention étanches et si possible protégés des eaux météoriques. 2.8.3. Elimination des déchets Les déchets qui ne peuvent pas être valorisés sont éliminés dans des installations réglementées conformément au code de l'environnement. L'exploitant est en mesure d'en justifier l'élimination sur demande de l'inspection des installations classées. Il met en place un registre caractérisant et quantifiant tous les déchets spéciaux générés par ses activités. Tout brûlage à l'air libre est interdit. 2.9. Bruit et vibrations 2.9.1. Valeurs limites de bruit Au sens du présent arrêté, on appelle : - émergence : la différence entre les niveaux de pression continus équivalents pondérés A du bruit ambiant (installation en fonctionnement) et du bruit résiduel (en l'absence du bruit généré par l'installation) ; - zones à émergence réglementée : - l'intérieur des immeubles habités ou occupés par des tiers, existant à la date du dépôt de dossier d'enregistrement, et leurs parties extérieures éventuelles les plus proches (cour, jardin, terrasse) à l'exclusion de celles des immeubles implantés dans les zones destinées à recevoir des activités artisanales ou industrielles ; - les zones constructibles définies par des documents d'urbanisme opposables aux tiers et publiés à la date du dépôt de dossier d'enregistrement ; - l'intérieur des immeubles habités ou occupés par des tiers qui ont été implantés après la date du dépôt de dossier d'enregistrement dans les zones constructibles définies ci- dessus, et leurs parties extérieures éventuelles les plus proches (cour, jardin, terrasse), à l'exclusion de celles des immeubles implantés dans les zones destinées à recevoir des activités artisanales ou industrielles. Les émissions sonores de l'installation ne sont pas à l'origine, dans les zones à émergence réglementée, d'une émergence supérieure aux valeurs admissibles définies dans le tableau suivant : NIVEAU DE BRUIT AMBIANT existant dans les zones à émergence réglementée (incluant le bruit de l'installation) ÉMERGENCE ADMISSIBLE pour la période allant de 7 heures à 22 heures sauf dimances et jours fériés ÉMERGENCE ADMISSIBLE pour la période allant de 22 heures à 7 heures ainsi que les dimances et jours fériés Supérieur à 35 et inférieur ou égal à 45 dB (A) 6 dB (A) 4 dB (A) Supérieur à 45 dB (A) 5 dB (A) 3 dB (A) De plus, le niveau de bruit en limite de propriété de l'installation ne dépasse pas, lorsqu'elle est en fonctionnement, 70 dB (A) pour la période de jour et 60 dB (A) pour la période de nuit, sauf si le bruit résiduel pour la période considérée est supérieur à cette limite. Dans le cas où le bruit particulier de l'établissement est à tonalité marquée au sens du point 1.9 de l'annexe de l'arrêté du 23 janvier 1997 susvisé, de manière établie ou cyclique, sa durée d'apparition n'excède pas 30 % de la durée de fonctionnement de l'établissement dans chacune des périodes diurne ou nocturne définies dans le tableau ci- dessus. 2.9.2. Véhicules. - Engins de chantier Les véhicules de transport, les matériels de manutention et les engins de chantier utilisés à l'intérieur de l'installation sont conformes aux dispositions en vigueur en matière de limitation de leurs émissions sonores. L'usage de tous appareils de communication par voie acoustique (sirènes, avertisseurs, haut- parleurs, etc.), gênant pour le voisinage, est interdit, sauf si leur emploi est exceptionnel et réservé à la prévention et au signalement d'incidents graves ou d'accidents. 2.9.3. Vibrations Les vibrations émises sont conformes aux dispositions fixées à l'annexe V. 2.9.4. Surveillance par l'exploitant des émissions sonores L'exploitant met en place une surveillance des émissions sonores de l'installation permettant d'estimer la valeur de l'émergence générée dans les zones à émergence réglementée. Les mesures sont effectuées selon la méthode définie en annexe de l'arrêté du 23 janvier 1997 susvisé. Ces mesures sont effectuées dans des conditions représentatives du fonctionnement de l'installation sur une durée d'une demi- heure au moins. Une mesure du niveau de bruit et de l'émergence est effectuée au moins tous les trois ans par une personne ou un organisme qualifié. 2.10. Remise en état en fin d'exploitation L'exploitant met en sécurité et remet en état le site de sorte qu'il ne s'y manifeste plus aucun danger et inconvénient. En particulier : - tous les produits dangereux ainsi que tous les déchets sont valorisés ou évacués vers des installations dûment autorisées ; - les cuves ayant contenu des produits susceptibles de polluer les eaux ou de provoquer un incendie ou une explosion sont vidées, nettoyées, dégazées et, le cas échéant, décontaminées. Elles sont enlevées, sauf en cas d'impossibilité technique justifiée, auquel cas elles sont neutralisées par remplissage avec un solide inerte. Le produit utilisé pour la neutralisation recouvre toute la surface de la paroi interne et possède une résistance à terme suffisante pour empêcher l'affaissement du sol en surface.
L'annexe I relative aux prescriptions générales applicables aux installations classées pour la protection de l'environnement soumises à enregistrement sous la rubrique n° 1435 de l'arrêté du 15 avril 2010 susvisé est modifiée ainsi qu'il suit : 1° Après l'alinéa 6 du point 1, sont insérés quatre alinéas ainsi rédigés : « Catégorie A : catégorie relative à l'oxyde d'éthyle, et à tout liquide dont le point éclair est inférieur à 0 °C et dont la pression de vapeur à 35 °C est supérieure à 105 pascal. « Catégorie B : catégorie relative à tout liquide dont le point éclair est inférieur à 55 °C et qui ne répond pas à la définition des liquides de catégorie A. « Catégorie C : catégorie relative à tout liquide dont le point éclair est supérieur ou égal à 55 °C et inférieur à 93 °C, sauf les fiouls lourds. « Catégorie D : catégorie relative aux fiouls (ou mazout) lourds tels qu'ils sont définis par les spécifications administratives. » ; 2° Après le dernier alinéa du point 1, est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Volume (ou débit) équivalent : volume (ou débit) calculé avec la formule suivante : 10A + B + C/5 + D/15, où A, B, C, D représentent respectivement le volume (ou débit) de liquide de catégorie A, B, C, D. » ; 3° Au point 1.4, le mot : « Des » est inséré entre le mot : « . » et le mot : « écrans » ; 4° A l'alinéa 3 du point 2.1.A, les mots : « Cette disposition est applicable : » sont supprimés ; 5° Les alinéas 4 à 7 du point 2.1.A sont supprimés ; 6° A l'alinéa 8 du point 2.1.A, les mots : « de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées » sont supprimés ; 7° Le dernier alinéa du point 2.1.A est supprimé ; 8° A l'avant- dernier alinéa du point 2.1.B, les mots : « au titre de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées » sont supprimés ; 9° Le dernier alinéa du point 2.1.B est supprimé ; 10° Au point 2.1.D, les mots : « Cette disposition est applicable aux installations existantes précédemment déclarées ou autorisées à compter du 1er juillet 2009 au titre de la rubrique 1434 de la nomenclature des installations classées. » sont supprimés ; 11° Au point 2.2.5, les mots : « de l'arrêté du 15 janvier 2008 susvisé » sont remplacés par les mots : « de la section 3 de l'arrêté du 4 octobre 2010 relatif à la prévention des risques accidentels au sein des installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation » ; 12° Au dernier alinéa du point 2.2.8, les mots : « en liquide inflammable » sont supprimés et les mots : « la catégorie de référence (coefficient 1) » sont remplacés par les mots : « la catégorie B » ; 13° A l'alinéa 3 du point 2.2.12, le mot : « ; » est remplacé par le mot : « . » ; 14° Au point 2.2.12, l'alinéa : « Les appareils d'incendie (bouches ou poteaux d'incendie) et les réserves d'eau complémentaires sont implantés en respectant les distances minimales d'implantation fixées au point B de l'article 2.1. Cette disposition est applicable pour les installations enregistrées à partir du 1er juillet 2016 ; » est inséré après l'alinéa 3 ; 15° Au deuxième alinéa du 2.4.7, les mots : « 2.3.2 » sont remplacés par les mots : « 2.3.3 » ; 16° Au premier alinéa du point 2.6.2, les mots : « de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées » sont supprimés ; 17° Au point 2.6.3, les mots : « de la rubrique 1430 de la nomenclature des installations classées » sont supprimés ; 18° Au premier alinéa du point 2.6.3.1, les mots : « d'au moins 80 % » sont remplacés par les mots : « d'au moins 90 % » ; 19° Les alinéas 2 à 10 du point 2.6.3.1 sont supprimés ; 20° A l'alinéa 2 du point 2.6.3.2, les mots : « Ces dispositions sont applicables : » sont supprimés ; 21° Les alinéas 3 à 6 du point 2.6.3.2 sont supprimés ; 22° Au point 2.6.3.5, les mots : « annexe IV » et « annexe II » sont remplacés par les mots : « annexe III » ; 23° Au point 2.6.3.6, les mots : « annexe III » sont remplacés par les mots : « annexe IV » ; 24° Au point 2.6.3.7, les mots : « de la nomenclature des installations classées » sont supprimés.
PRESCRIPTIONS GÉNÉRALES APPLICABLES AUX INSTALLATIONS CLASSÉES POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT SOUMISES À ENREGISTREMENT SOUS LA RUBRIQUE N° 1435 1. Dispositions générales Définitions Au sens du présent arrêté, on entend par : Station- service : toute installation où les carburants sont transférés de réservoirs de stockage fixes dans les réservoirs à carburant de véhicules à moteur, de bateaux ou d'aéronefs. Les stations- service peuvent être ouvertes ou non au public. Distribution ou ravitaillement : transfert d'un réservoir de stockage fixe dans un réservoir à carburant d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef. Dépotage : approvisionnement des réservoirs fixes de stockage de la station- service. Aire de dépotage : surface d'arrêt des véhicules- citernes dédiée aux opérations d'approvisionnement des réservoirs fixes de stockage. Cette surface englobe les zones situées entre les bouches de réception en produit des réservoirs fixes et les vannes des réservoirs mobiles ainsi que le cheminement des flexibles. Cette surface est au minimum un rectangle de 3 mètres de large et de 4 mètres de longueur. Catégorie A : catégorie relative à l'oxyde d'éthyle, et à tout liquide dont le point éclair est inférieur à 0 °C et dont la pression de vapeur à 35 °C est supérieure à 105 pascal. Catégorie B : catégorie relative à tout liquide dont le point éclair est inférieur à 55 °C et qui ne répond pas à la définition des liquides de catégorie A. Catégorie C : catégorie relative à tout liquide dont le point éclair est supérieur ou égal à 55 °C et inférieur à 93 °C, sauf les fiouls lourds. Catégorie D : catégorie relative aux fiouls (ou mazout) lourds tels qu'ils sont définis par les spécifications administratives. Aire de distribution : surface accessible à la circulation des véhicules englobant les zones situées à moins de 3 mètres de la paroi des appareils de distribution. Décanteur- séparateur d'hydrocarbures : dispositif vers lequel les effluents susceptibles de contenir des hydrocarbures sont orientés avant rejet. Ce dispositif permet de séparer les matières en suspension et les hydrocarbures des eaux collectées. Le décanteur- séparateur d'hydrocarbures est muni d'un dispositif d'obturation automatique, en sortie de séparateur, empêchant tout déversement d'hydrocarbures dans le réseau en cas d'afflux d'hydrocarbures. Il est couplé de façon optionnelle à une cuve de rétention. Ilot : ouvrage permettant l'implantation des appareils de distribution par rapport au niveau de l'aire de roulage des véhicules et d'aéronefs, ou de la voie navigable. Libre service surveillé : une station- service peut être considérée comme étant en libre service surveillé lorsque le transfert du produit est effectué sous la surveillance d'un personnel d'exploitation de permanence connaissant le fonctionnement des installations et capable de mettre en œuvre les moyens de première intervention en matière d'incendie et de protection de l'environnement. La surveillance est assurée par un personnel d'exploitation présent sur le site. Ne sont pas considérées comme étant en libre service les installations de remplissage et d'avitaillement dont l'accès et l'usage des installations sont strictement réservés à un personnel spécialement formé à cet effet et aux risques des produits manipulés. Libre service sans surveillance : installations en libre service autres que celles considérées comme surveillées. Superéthanol : carburant composé d'un minimum de 65 % d'éthanol d'origine agricole et d'un minimum de 15 % de supercarburant sans plomb. E10 : carburant ayant une teneur strictement supérieure à 5 % et inférieure ou égale à 10 % en éthanol. Volume (ou débit) équivalent : volume (ou débit) calculé avec la formule suivante : 10A + B + C/5 + D/15, où A, B, C, D représentent respectivement le volume (ou débit) de liquide de catégorie A, B, C, D. 1.1. Conformité de l'installation au dossier d'enregistrement L'installation est implantée, réalisée et exploitée conformément aux plans et autres documents joints au dossier d'enregistrement. L'exploitant énumère et justifie en tant que de besoin toutes les dispositions prises pour la conception, la construction et l'exploitation des installations afin de respecter les prescriptions du présent arrêté. 1.2. Dossier installation classée L'exploitant établit et tient à jour un dossier comportant les documents suivants : - une copie de la demande d'enregistrement et du dossier qui l'accompagne ; - le dossier d'enregistrement tenu à jour et daté en fonction des modifications apportées à l'installation ; - l'arrêté d'enregistrement délivré par le préfet ainsi que tout arrêté préfectoral relatif à l'installation ; - les différents documents prévus par le présent arrêté. Ce dossier est tenu à la disposition de l'inspection des installations classées. 1.3. Envol des poussières Sans préjudice des règlements d'urbanisme, l'exploitant adopte les dispositions suivantes, nécessaires pour prévenir les envols de poussières et matières diverses : - les voies de circulation et aires de stationnement des véhicules sont aménagées (formes de pente, revêtement, etc.) et convenablement nettoyées ; 1.4. Intégration dans le paysage L'ensemble des installations est maintenu propre et entretenu en permanence. Les abords de l'installation, placés sous le contrôle de l'exploitant, sont aménagés et maintenus en bon état de propreté. Les surfaces où cela est possible sont engazonnées. Des écrans de végétation sont mis en place, si cela est possible. Pour l'entretien des surfaces extérieures de son site (parkings, espaces verts, voies de circulation...), l'exploitant met en œuvre des bonnes pratiques, notamment en ce qui concerne le désherbage. 2. Risques 2.1. Règles d'implantation A. - L'implantation de nouvelles stations- service visées par le présent arrêté est interdite en rez- de- chaussée d'un immeuble habité ou occupé par des tiers ou en sous- sol, c'est- à- dire en dessous du niveau dit de référence. Le niveau de référence est celui de la voirie publique située à l'air libre et desservant la construction utilisable par les engins des services d'incendie et de secours. S'il y a deux accès par des voies situées à des niveaux différents, le niveau de référence est déterminé par la voie la plus basse. Par ailleurs, aucune bouche de dépotage ne débouche en sous- sol ou en rez- de- chaussée d'un immeuble occupé par des tiers. La distribution en station- service de carburants de la catégorie B en rez- de- chaussée d'un immeuble habité ou occupé par des tiers ou en sous- sol n'est autorisée que sous réserve que l'installation soit équipée : - d'un système de détection des vapeurs d'hydrocarbures, d'une installation de ventilation d'urgence dont le déclenchement est asservi au système de détection et d'un arrêt d'urgence automatique des appareils de distribution asservi à ces mêmes détecteurs ; - de systèmes de récupération des vapeurs au dépotage des installations de stockage et au ravitaillement en carburant de la catégorie B des véhicules à moteur respectant les prescriptions du point 2.6.3.1 de l'annexe I du présent arrêté et d'un système de régulation électronique en boucle fermée respectant les prescriptions de l'article du point 2.6.3.2 de l'annexe I du présent arrêté quel que soit le volume distribué par an. B. - Les distances minimales d'implantation (en mètres) à respecter vis- à- vis des issues d'un établissement recevant du public de 1re, 2e, 3e ou 4e catégorie, d'un immeuble habité ou occupé par des tiers, extérieur à l'établissement ou d'une installation extérieure à l'établissement présentant des risques d'incendie ou d'explosion suivantes sont : CATÉGORIE B y compris E10 et hors superéthanol CATÉGORIE C SUPERÉTHANOL Dépotage 19 17 14 Dépotage sécurisé 13 (auvent) 16 (extinction automatique) 14 11 Distribution 17 14, 18, 21, 23 (*) 11 Distribution sécurisée 13 11, 15, 17, 19 (*) 8 (*) Ces distances s'entendent respectivement pour : - la distribution voiture ; - la distribution poids- lourds limitée à 2,5 mètres cubes par heure ; - la distribution poids- lourds supérieure à 2,5 mètres cubes par heure et inférieure à 8 mètres cubes par heure ; - la distribution poids- lourds supérieure ou égale à 8 mètres cubes par heure. On entend par distance pour le dépotage les distances mesurées à partir du centre de l'aire de dépotage la plus proche de l'établissement concerné. On entend par dépotage sécurisé un dépotage réalisé dans une installation comportant un ou plusieurs des équipements suivants : - un auvent en acier ou en béton couvrant au moins la totalité de la surface de rétention de la zone de dépotage d'une hauteur inférieure ou égale à 5 mètres ; - un système d'extinction automatique. On entend par distance pour la distribution les distances d'implantation, mesurées horizontalement à partir des parois de l'appareil de distribution le plus proche des établissements visés. On entend par distribution sécurisée une distribution réalisée dans une installation comportant un ou plusieurs des équipements suivants : - un auvent en acier ou en béton couvrant au moins la totalité de la surface de rétention de la distribution d'une hauteur inférieure ou égale à 5 mètres ; - un système d'extinction automatique ; - un système de détection de vapeurs avec coupure automatique de la distribution en cas de détection. Ces distances peuvent être diminuées de 30 % en cas d'interposition d'un mur RE 120 d'une hauteur de 2,50 mètres et situé à 5 mètres au moins de l'appareil de distribution le plus proche de l'établissement concerné. Par ailleurs, une distance d'éloignement de 5 mètres est observée entre les parois des appareils de distribution et les issues des locaux susceptibles d'accueillir le public au sein de l'installation. Cette distance est également observée entre les limites de l'aire de dépotage et ces mêmes issues. La distance de 5 mètres est également observée aux limites de la voie publique et aux limites de l'établissement, cette distance pouvant être ramenée à 1,5 mètre sur un seul côté, lorsque la limite est constituée par un mur REI 120 de 2,5 mètres de haut ou lorsque les liquides inflammables distribués sont de catégorie C. C. - Les stockages de bouteilles de gaz combustibles liquéfiés respectent les conditions minimales d'éloignement suivantes des parois des appareils de distribution : 6 mètres, si la capacité du dépôt de bouteilles est au plus de 15 000 kilogrammes ; 7,5 mètres pour une capacité de dépôt supérieure à 15 000 kilogrammes. D. - Dans tous les cas, une distance minimale d'éloignement de 4 mètres, mesurée horizontalement, est observée entre l'évent d'un réservoir d'hydrocarbures et les parois d'appareils de distribution. 2.2. Construction. - Accessibilité 2.2.1. Accessibilité au site La station- service dispose en permanence d'un accès pour permettre l'intervention des services d'incendie et de secours. On entend par accès à la station- service une ouverture reliant la voie publique et l'intérieur du site, suffisamment dimensionnée pour permettre l'entrée des engins de secours. Les véhicules dont la présence est liée à l'exploitation de la station- service stationnent sans occasionner de gêne pour l'accessibilité des engins des services d'incendie et de secours depuis les voies de circulation externes à l'installation, même en dehors des heures d'exploitation et d'ouverture de l'installation. Pour les installations de distribution de liquides inflammables situées dans un local partiellement ou totalement clos, et possédant au moins un plancher situé à une hauteur supérieure à 8 mètres par rapport au niveau d'accès des secours, sur au moins deux façades, une voie échelle permet d'accéder à des ouvertures. La voie échelle est facilement accessible depuis l'extérieur de la station- service. Depuis cette voie, une échelle accédant à au moins toute la hauteur du bâtiment peut être disposée. La voie échelle respecte par ailleurs les caractéristiques suivantes : - la largeur utile est au minimum de 4 mètres, la longueur de l'aire de stationnement au minimum de 10 mètres, la pente au maximum de 10 % ; - dans les virages de rayon intérieur inférieur à 50 mètres, un rayon intérieur R minimal de 11 mètres est maintenu et une surlargeur de S = 15/R mètres est ajoutée ; - aucun obstacle aérien ne gêne la manœuvre de ces échelles à la verticale de l'ensemble de la voie ; - la distance par rapport à la façade est de 1 mètre minimum et 8 mètres maximum pour un stationnement parallèle au bâtiment et inférieur à 1 mètre pour un stationnement perpendiculaire au bâtiment ; - la voie résiste à la force portante calculée pour un véhicule de 160 KN avec un maximum de 90 KN par essieu, ceux- ci étant distants de 3,6 mètres au minimum et présente une résistance minimale au poinçonnement de 80 N/cm². Les ouvertures prévues à l'alinéa 4 du présent point permettent au moins un accès par étage pour chacune des façades disposant de voie échelle et présentent une hauteur minimale de 1,8 mètre et une largeur minimale de 0,9 mètre. Les panneaux d'obturation ou les châssis composant ces accès s'ouvrent et demeurent toujours accessibles de l'extérieur et de l'intérieur. Ils sont aisément repérables de l'extérieur par les services d'incendie et de secours. 2.2.2. Construction 2.2.2.1. Cas des installations sous immeuble habité ou occupé par des tiers Les installations implantées sous immeuble habité ou occupé par des tiers sont équipées d'un détecteur automatique d'incendie avec asservissement de la commande d'arrêt de distribution, du déclenchement des alarmes ainsi que du déclenchement du dispositif d'extinction automatique. Ces installations ne commandent pas l'issue ou le dégagement de locaux occupés ou habités par des tiers et comportent au moins une issue directe sur l'extérieur. Dans les installations implantées sous un immeuble habité ou occupé par des tiers, les parois, les planchers hauts présentent les caractéristiques suivantes : - murs et planchers hauts REI 120 ; - couverture A1s1d0 ; - portes intérieures EI2 30 C et munies d'un ferme- porte ou d'un dispositif assurant leur fermeture automatique ; - porte donnant vers l'extérieur EI2 120 C ; - matériaux de classe A1. Les locaux sont équipés en partie haute de dispositifs permettant l'évacuation des fumées et gaz de combustion dégagés en cas d'incendie (lanterneaux en toiture, ouvrants en façade ou tout autre dispositif équivalent). Les commandes d'ouverture manuelle sont placées à proximité des accès. Le système de désenfumage est adapté aux risques particuliers de l'installation. 2.2.2.2. Cas des installations situées dans un local totalement ou partiellement clos Les installations situées dans un local partiellement ou totalement clos présentent des murs et planchers hauts REI 120 et sont équipées d'au moins deux portes EI2 120 C satisfaisant une classe de durabilité C2 et à fermeture permanente ou comprenant un dispositif ferme- porte automatique assurant un degré de résistance au feu équivalent à celui exigé pour les murs ; ces portes visant à éviter la propagation des effets du sinistre éventuel sont munies d'un système d'ouverture antipanique visant à assurer l'évacuation rapide des personnes. Ces portes d'une largeur minimale de 0,80 mètre sont situées en des endroits tels que leur efficacité et leur accessibilité soient maximales au regard des risques potentiels ; leur accès est maintenu dégagé sur une largeur minimale de 5 mètres de part et d'autre de l'axe médian des portes. 2.2.3. Ventilation Pour les installations situées dans un local partiellement ou totalement clos, et sans préjudice des dispositions du code du travail, les locaux sont convenablement ventilés pour éviter tout risque d'atmosphère explosive ou toxique. Le débouché à l'atmosphère de la ventilation est placé, dans l'enceinte de l'installation, aussi loin que possible des habitations voisines et locaux occupés par des tiers et des bouches d'aspiration d'air extérieur, et à une hauteur suffisante compte tenu de la hauteur des bâtiments environnants afin de favoriser la dispersion des gaz rejetés. 2.2.4. Installations électriques et mise à la terre L'exploitant tient à la disposition de l'inspection des installations classées les éléments justifiant que ses installations électriques sont réalisées conformément aux règles en vigueur, entretenues en bon état et vérifiées. Les équipements métalliques (réservoirs, cuves, canalisations) sont mis à la terre conformément à la norme NF C15-100, version décembre 2002, compte tenu notamment de la nature explosive ou inflammable des produits. L'installation électrique comporte un dispositif de coupure générale permettant d'interrompre, en cas de fausse manœuvre, d'incident ou d'inobservation des consignes de sécurité, l'ensemble du circuit électrique à l'exception des systèmes d'éclairage de secours non susceptibles de provoquer une explosion, et permettant d'obtenir l'arrêt total de la distribution de carburant. Un essai du bon fonctionnement du dispositif de coupure générale est réalisé au moins une fois par an. La commande de ce dispositif est placée en un endroit facilement accessible à tout moment au responsable de l'exploitation de l'installation. Lorsque l'installation est exploitée en libre service sans surveillance, le dispositif de coupure générale ci- dessus prescrit est manœuvrable à proximité de la commande manuelle doublant le dispositif de déclenchement automatique de lutte fixe contre l'incendie. Sous réserve des impératifs techniques qui peuvent résulter de la mise en place de dispositifs de protection cathodique, les installations fixes de transfert de liquides inflammables ainsi que les charpentes et enveloppes métalliques sont reliées électriquement entre elles ainsi qu'à une prise de terre unique. La continuité des liaisons présente une résistance inférieure à 1 ohm et la résistance de la prise de terre sera inférieure à 10 ohms. Dans le cas d'une installation en libre service sans surveillance, le déclenchement des alarmes et systèmes de détection précités, la mise en service du dispositif automatique d'extinction ainsi que la manœuvre du dispositif de coupure générale sont retransmis afin d'aviser un responsable nommément désigné. Dans les parties de l'installation se trouvant dans des zones susceptibles d'être à l'origine d'explosions, les installations électriques sont réduites à ce qui est strictement nécessaire aux besoins de l'exploitation et sont entièrement constituées de matériels utilisables en atmosphère explosive. Les gainages électriques et autres canalisations ne sont pas une cause possible d'inflammation ou de propagation de fuite et sont convenablement protégés contre les chocs, contre la propagation des flammes et contre l'action des produits présents dans la partie de l'installation en cause. 2.2.5. Protection contre la foudre L'installation respecte les dispositions de la section 3 de l'arrêté du 4 octobre 2010 relatif à la prévention des risques accidentels au sein des installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation. 2.2.6. Rétention des aires et locaux de travail et isolement du réseau de collecte Sauf pour la boutique et le local de réserve annexe, le sol des aires et des locaux de stockage ou de manipulation des matières dangereuses pour l'homme ou susceptibles de créer une pollution de l'eau ou du sol est étanche, incombustible et équipé de façon à pouvoir recueillir les eaux de lavage et les matières répandues accidentellement. Un dispositif, empêchant la diffusion des matières répandues à l'extérieur ou dans d'autres aires ou locaux est prévu. Les matières recueillies sont de préférence récupérées et recyclées, ou en cas d'impossibilité, traitées conformément aux dispositions du présent arrêté. 2.2.7. Compatibilité des matériaux Pour le stockage et la distribution de carburants éthanolés, tous les matériaux en contact sont adaptés aux spécificités de ces carburants. En particulier, pour toute nouvelle installation, le zinc brut, le laiton brut et le cuivre brut sont interdits en contact avec l'E10 et le superéthanol en phase liquide dans les parties enterrées de l'installation. 2.2.8. Appareils de distribution Les pistes, lorsqu'elles existent, et les aires de stationnement des véhicules en attente de distribution sont disposées de telle façon que les véhicules puissent évoluer en marche avant et puissent évacuer en marche avant desdits appareils de distribution. Les pistes et les voies d'accès ne sont pas en impasse. Les appareils de distribution sont ancrés et protégés contre les heurts de véhicules, par exemple au moyen d'îlots de 0,15 mètre de hauteur, de bornes ou de butoirs de roues. Dans le cas de paiement par billets, toutes dispositions sont prises pour que les actes de malveillance éventuels n'aient pas de conséquences sur les appareils de distribution. L'habillage des parties de l'appareil de distribution où interviennent les liquides inflammables (unités de filtration, de pompage, de dégazage, etc.) est en matériaux de catégorie A1. Les parties intérieures de la carrosserie de l'appareil de distribution sont ventilées de manière à éviter toute accumulation des vapeurs des liquides distribués. La partie de l'appareil de distribution où peuvent être implantés des matériels électriques ou électroniques non de sûreté, constitue un compartiment distinct de la partie où interviennent les liquides inflammables. Ce compartiment est séparé de la partie où les liquides inflammables sont présents par une cloison étanche aux vapeurs d'hydrocarbures, ou par un espace ventilé assurant une dilution continue, de manière à le rendre inaccessible aux vapeurs d'hydrocarbure ou empêcher leur accumulation. Les appareils de distribution sont installés et équipés de dispositifs adaptés de telle sorte que tout risque de siphonnage soit écarté. Toutes dispositions sont prises pour que les égouttures sous les appareils de distribution n'entraînent pas de pollution du sol ou de l'eau. Lorsque l'appareil est alimenté par une canalisation fonctionnant en refoulement, l'installation est équipée d'un dispositif de sécurité arrêtant automatiquement l'arrivée de produit en cas d'incendie ou de renversement accidentel du distributeur. Pour les installations en libre service sans surveillance, le volume délivré par opération par les appareils de distribution en libre service sans surveillance est limité à 120 litres de liquides inflammables de la catégorie B et à l'équivalent pour les autres catégories, exception faite toutefois des installations dont l'accès est réservé aux personnes formées à cet effet. 2.2.9. Les flexibles Les flexibles de distribution sont conformes à la norme NF EN 1360 de novembre 2005 (pour l'aviation, les flexibles sont conformes aux dispositions prévues dans la norme spécifique en vigueur). Les flexibles sont entretenus en bon état de fonctionnement et remplacés au plus tard six ans après leur date de fabrication. Dans le cas des installations exploitées en libre service, les flexibles autres que ceux présentant une grande longueur et destinés au transvasement de gazole et de carburants aviation sont équipés de dispositifs de manière à ce qu'ils ne traînent pas sur l'aire de distribution. Les rapports d'entretien et de vérification sont tenus à la disposition de l'inspection des installations classées. Un dispositif approprié empêche que le flexible ne subisse une usure due à un contact répété avec le sol. Le flexible est changé après toute dégradation. Les appareils de distribution d'un débit inférieur à 4,8 mètres cubes par heure sont équipés d'un dispositif anti- arrachement du flexible de type raccord- cassant. 2.2.10. Dispositifs de sécurité Dans le cas des installations en libre service, l'ouverture du clapet du robinet et son maintien en position ouverte ne peuvent s'effectuer sans intervention manuelle. Toute opération de distribution est contrôlée par un dispositif de sécurité qui interrompt automatiquement le remplissage du réservoir quand le niveau maximal d'utilisation est atteint. Pour les cas d'une exploitation en libre service sans surveillance, l'installation de distribution est équipée : - d'un dispositif d'arrêt d'urgence situé à proximité de l'appareil permettant de provoquer la coupure de l'ensemble des installations destinées à la distribution ; - d'un dispositif de communication permettant d'alerter immédiatement la personne désignée en charge de la surveillance de l'installation. Dans les installations exploitées en libre service surveillé, l'agent d'exploitation peut commander à tout moment, depuis un point de contrôle de la station, le fonctionnement de l'appareil de distribution ou de remplissage. Pour la distribution et le stockage du superéthanol, des arrête- flammes sont systématiquement prévus en tous points où une transmission d'explosion vers les réservoirs est possible. Tous les arrête- flammes du circuit de récupération des vapeurs pour la distribution et le stockage de superéthanol respectent la norme NF EN 12874 de janvier 2001 ou toute norme équivalente en vigueur dans la Communauté européenne ou l'Espace économique européen. Les opérations de dépotage de liquides inflammables ne peuvent être effectuées qu'après mise à la terre des camions citernes et connexion le cas échéant des systèmes de récupération de vapeurs entre le véhicule et les bouches de dépotage. 2.2.11. Stockages aériens de liquides inflammables L'utilisation, à titre permanent, de réservoirs mobiles à des fins de stockage fixe est interdite. Tout stockage aérien de liquides inflammables susceptible de créer une pollution de l'eau ou du sol doit être associé à une capacité de rétention dont le volume doit être au moins égal à la plus grande des deux valeurs suivantes : 100 % de la capacité du plus grand réservoir ; 50 % de la capacité globale des réservoirs associés. Lorsque le stockage est constitué exclusivement de récipients de capacité unitaire inférieure ou égale à 250 litres, admis au transport, le volume minimal de la rétention est au moins égal à : 50 % de la capacité totale des récipients dans le cas de liquides inflammables, à l'exception des lubrifiants ; 20 % de la capacité totale des récipients dans les autres cas. Dans tous les cas égal au minimum à 800 litres, ou égal à la capacité totale lorsque celle- ci est inférieure à 800 litres. La capacité de rétention est étanche aux produits qu'elle pourrait contenir et résister à l'action physique et chimique des fluides. Il en est de même pour le dispositif d'obturation qui doit être maintenu fermé en conditions normales. La capacité de rétention et le dispositif d'obturation sont vérifiés périodiquement. Des réservoirs ou récipients contenant des produits susceptibles de réagir dangereusement ensemble ne sont pas associés à la même cuvette de rétention. Cette disposition ne s'applique pas aux bassins de traitement des eaux résiduaires. Les réservoirs fixes sont munis de jauges de niveau. Les rapports de contrôles d'étanchéité des réservoirs sont tenus à la disposition de l'inspection des installations classées et de l'organisme de contrôles périodiques. Sauf dans le cas des installations d'avitaillement des aéronefs, les canalisations de liaison entre l'appareil de distribution et le réservoir à partir duquel il est alimenté sont enterrées de façon à les protéger des chocs. Les liaisons des canalisations avec l'appareil de distribution s'effectuent sous l'appareil. D'autre part, elles comportent un point faible (fragment cassant) destiné à se rompre en cas d'arrachement accidentel de l'appareil. Des dispositifs automatiques, placés de part et d'autre de ce point faible, interrompent tout débit liquide ou gazeux en cas de rupture. En amont ces dispositifs sont doublés par des vannes, placées sous le niveau du sol, qui peuvent être confondues avec les dispositifs d'arrêt d'urgence. Elles peuvent également être commandées manuellement. Ces canalisations sont implantées dans des tranchées dont le fond constitue un support suffisant. Le fond de ces tranchées et les remblais sont constitués d'une terre saine ou d'un sol granuleux (sable, gravillon, pierres ou agrégats n'excédant pas 25 millimètres de diamètre). 2.2.12. Moyens de lutte contre l'incendie D'une façon générale, l'installation est dotée de moyens de lutte contre l'incendie appropriés aux risques et au moins protégée comme suit : - de deux appareils d'incendie (bouches ou poteaux d'incendie) d'un diamètre nominal DN 100 situés à moins de 100 mètres de la station- service (les distances sont mesurées par les voies praticables aux engins de secours). Ces appareils sont alimentés par un réseau public ou privé qui est en mesure de fournir un débit minimum de 60 mètres cubes par heure pendant au moins deux heures ; la pression dynamique minimale des appareils d'incendie est de 1 bar sans dépasser 8 bars. Le complément éventuel peut être apporté par une ou plusieurs réserves d'eau propre au site, accessible en permanence aux services d'incendie et de secours. Ces réserves ont une capacité minimale réellement utilisable de 120 mètres cubes. Elles sont dotées de plates- formes d'aspiration par tranche de 120 mètres cubes de capacité. Les appareils d'incendie (bouches ou poteaux d'incendie) et les réserves d'eau complémentaires sont implantés en respectant les distances minimales d'implantation fixées au point B de l'article 2.1. Cette disposition est applicable pour les installations enregistrées à partir du 1er juillet 2016 ; - d'un système d'alarme incendie (ou tout moyen permettant d'alerter les services d'incendie et de secours dans le cas des installations sans surveillance) ; - sur chaque îlot de distribution, d'un système manuel commandant en cas d'incident une alarme optique ou sonore ; - d'un dispositif permettant de rappeler à tout instant aux tiers les consignes de sécurité et les conduites à tenir en cas de danger ou d'incident, au besoin par l'intermédiaire d'un ou de plusieurs haut- parleurs ; - pour chaque îlot de distribution, d'un extincteur homologué 233 B ; pour l'aviation l'extincteur est conforme aux dispositions de l'arrêté du 23 janvier 1980 susvisé ; - pour l'aire de distribution des stations- service et à proximité des bouches d'emplissage de réservoirs des stations délivrant des liquides inflammables, d'une réserve de produit absorbant incombustible en quantité adaptée au risque, sans être inférieure à 100 litres, des moyens nécessaires à sa mise en œuvre ; la réserve de produit absorbant est protégée par couvercle ou par tout dispositif permettant d'abriter le produit absorbant des intempéries ; - pour chaque local technique, d'un extincteur homologué 233 B ; - pour le stockage des marchandises et le sous- sol, d'un extincteur homologué 21 A-144 B 1 ou un extincteur homologué 21 A-233 B et C ; - pour le tableau électrique, d'un extincteur à gaz carbonique (2 kilogrammes) ; - sur l'installation, d'au moins une couverture spéciale antifeu. Par ailleurs, à l'exception des stations- service en plein air, l'installation est dotée : - d'extincteurs répartis à l'intérieur des locaux, sur les aires extérieures et les lieux présentant des risques spécifiques, à proximité des dégagements, bien visibles et facilement accessibles. Les agents d'extinction sont appropriés aux risques à combattre et compatibles avec les produits stockés ; - de plans des locaux facilitant l'intervention des services d'incendie et de secours avec une description des dangers pour chaque local. Les dispositifs cités ci- dessus sont en nombre suffisant et correctement répartis et, dans tous les cas, les agents d'extinction sont compatibles avec les carburants distribués y compris éthanolés. Pour les installations de distribution, les moyens de lutte contre l'incendie prescrits dans les paragraphes précédents peuvent être remplacés par des dispositifs automatiques d'extinction présentant une efficacité au moins équivalente. Ce type de dispositifs est obligatoire pour les installations fonctionnant en libre service sans surveillance et pour les installations implantées sous immeuble habité ou occupé par des tiers. Une commande de mise en œuvre manuelle d'accès facile double le dispositif de déclenchement automatique de défense fixe contre l'incendie. Cette commande est installée en dehors de l'aire de distribution en un endroit accessible au préposé éventuel à l'exploitation ainsi qu'à tout autre personne. Conformément aux référentiels en vigueur et au moins une fois par an, tous les dispositifs sont entretenus par un technicien compétent et leur bon fonctionnement vérifié. Les rapports d'entretien et de vérification sont tenus à la disposition de l'inspection des installations classées. 2.3. Recensement des potentiels de dangers 2.3.1. Connaissance des produits. - Etiquetage Sans préjudice des dispositions du code du travail, l'exploitant dispose des documents lui permettant de connaître la nature et les risques des produits dangereux présents dans l'installation, en particulier les fiches de données de sécurité. Les fûts, réservoirs et autres emballages portent en caractères lisibles le nom des produits et, s'il y a lieu, les symboles de danger conformément à la législation relative à l'étiquetage des substances, préparations et mélanges dangereux. 2.3.2. Etat des stocks de liquides inflammables L'exploitant est en mesure de fournir une estimation des stocks ainsi qu'un bilan quantités réceptionnées - quantités délivrées pour chaque catégorie de liquides inflammables détenus, auxquels est annexé un plan général des stockages. Cette information est tenue à la disposition des services d'incendie et de secours et de l'inspection des installations classées. 2.3.3. Localisation des risques L'exploitant recense et signale par un panneau conventionnel, sous sa responsabilité, les parties de l'installation qui, en raison des caractéristiques qualitatives et quantitatives des matières mises en œuvre, stockées, utilisées ou produites, sont susceptibles d'être à l'origine d'un sinistre pouvant avoir des conséquences directes ou indirectes sur l'environnement, la sécurité publique ou le maintien en sécurité de l'installation. Exploitation 2.4.1. Surveillance de l'exploitation L'exploitation se fait sous la surveillance, directe ou indirecte, de personnes désignées par l'exploitant et ayant une connaissance de la conduite de l'installation et des dangers et inconvénients des produits utilisés ou stockés dans l'installation. 2.4.2. Contrôle de l'utilisation des appareils de distribution Sauf dans le cas d'une exploitation en libre service, l'utilisation des appareils de distribution est assurée par un agent d'exploitation, nommément désigné par l'exploitant et ayant une connaissance de la conduite de l'installation et des dangers et inconvénients des produits utilisés ou stockés dans l'installation. Dans le cas d'une exploitation en libre service, un agent d'exploitation (ou une société spécialisée) est en mesure d'intervenir rapidement en cas d'alarme. 2.4.3. Propreté de l'installation L'ensemble du site est maintenu propre et régulièrement nettoyé, notamment de manière à éviter les amas de matières dangereuses ou polluantes et de poussières. Le matériel de nettoyage est adapté aux risques. 2.4.4. Vérification périodique des installations électriques Toutes les installations électriques sont entretenues en bon état et sont contrôlées, après leur installation ou leur modification par une personne compétente. La périodicité, l'objet et l'étendue des vérifications des installations électriques ainsi que le contenu des rapports relatifs auxdites vérifications sont fixés par l'arrêté du 10 octobre 2000 susvisé. 2.4.5. Interdiction des feux Dans les parties de l'installation présentant des risques d'incendie ou d'explosion, il est interdit d'apporter du feu sous une forme quelconque, sauf pour la réalisation de travaux ayant fait l'objet d'un permis de feu . Cette interdiction est affichée en caractères apparents. Les prescriptions que doit observer l'usager sont affichées soit en caractères lisibles soit au moyen de pictogrammes et ce au niveau de chaque appareil de distribution. Elles concernent notamment l'interdiction de fumer, d'utiliser un téléphone portable (le téléphone doit être éteint), d'approcher un appareil pouvant provoquer un feu nu ainsi que l'obligation d'arrêt du moteur. Pour l'aviation, l'obligation d'arrêt du moteur ne s'applique pas lorsqu'il s'agit d'assurer l'avitaillement de services d'urgence. 2.4.6. Plan de prévention . - Permis de feu Tous les travaux de réparation ou d'aménagement effectués par une entreprise extérieure présentant des risques spécifiques (emploi d'une flamme ou d'une source chaude, purge des circuits...) ne peuvent être effectués qu'après établissement d'un plan de prévention et éventuellement la délivrance d'un permis de feu et en respectant une consigne particulière. Ces permis sont délivrés après analyse des risques liés aux travaux et définition des mesures appropriées. 2.4.7. Consignes de sécurité Sans préjudice des dispositions du code du travail, des consignes précisant les modalités d'application des dispositions du présent arrêté sont établies, tenues à jour et portées à la connaissance du personnel dans les lieux fréquentés par le personnel. Ces consignes indiquent notamment : - l'interdiction d'apporter du feu sous une forme quelconque, dans les parties de l'installation visées au point 2.3.3 ; - l'obligation du plan de prévention pour les parties de l'installation visées au point 2.4.5 ; - les procédures d'arrêt d'urgence et de mise en sécurité de l'installation ; - les mesures à prendre en cas de fuite sur un récipient ou une canalisation contenant des substances dangereuses ; - les précautions à prendre avec l'emploi et le stockage de produits incompatibles ; - les moyens d'extinction à utiliser en cas d'incendie ; - la procédure d'alerte avec les numéros de téléphone du responsable d'intervention de l'établissement, des services d'incendie et de secours. Une formation du personnel lui permet : - d'être sensibilisé aux risques inhérents à ce type d'installation ; - de vérifier régulièrement le bon fonctionnement des divers équipements pour la prévention des risques ; - de prendre les dispositions nécessaires sur le plan préventif et à mettre en œuvre, en cas de besoin, les actions les plus appropriées. Le préposé à l'exploitation est en mesure de rappeler à tout moment aux usagers les consignes de sécurité. 2.4.8. Consignes d'exploitation Les opérations comportant des manipulations dangereuses et la conduite des installations font l'objet de consignes d'exploitation écrites. Ces consignes prévoient notamment : - les modes opératoires, ceux- ci devant être présents à chaque poste de chargement et distribution ; en particulier, une procédure est mise en place, visant à s'assurer systématiquement que le tuyau est effectivement raccordé avant que ne commence le chargement du réservoir de stockage. - la fréquence de vérification des dispositifs de sécurité et de traitement des pollutions et nuisances générées ; - les instructions de maintenance et de nettoyage ; - les conditions de conservation et de stockage des produits. 2.5. Eau Dans le cas où les aires de dépotage et de distribution définies au point 1 de la présente annexe sont confondues, la surface de la plus grande aire est retenue. Les aires de dépotage, de remplissage et de distribution de liquides inflammables sont étanches aux produits susceptibles d'y être répandus et conçues de manière à permettre le drainage de ceux- ci. Dans le cas du ravitaillement bateau, l'étanchéité de l'aire de distribution se limite à la zone terrestre. Les liquides ainsi collectés sont traités au moyen d'un décanteur- séparateur d'hydrocarbures muni d'un dispositif d'obturation automatique. Ce décanteur- séparateur est conçu et dimensionné de façon à évacuer un débit minimal de 45 litres par heure, par mètre carré de l'aire considérée, sans entraînement de liquides inflammables. Le séparateur- décanteur est conforme à la norme NF EN 858-1, version novembre 2002. Le décanteur- séparateur est nettoyé par une entité habilitée aussi souvent que cela est nécessaire, et dans tous les cas au moins une fois par an. Ce nettoyage consiste en la vidange des hydrocarbures et des boues ainsi qu'en la vérification du bon fonctionnement de l'obturateur. L'entité habilitée fournit la preuve de la destruction ou du retraitement des déchets rejetés. Les fiches de suivi de nettoyage du séparateur- décanteur d'hydrocarbures sont tenues à disposition de l'inspecteur des installations classées. Dans le cas du ravitaillement bateau, certains cas spécifiques peuvent ne pas permettre la mise en place d'un décanteur- séparateur d'hydrocarbures. Cette impossibilité est alors démontrée par une étude technico- économique tenue à la disposition de l'inspecteur des installations classées. Cette étude précise les mesures compensatoires mises en place. La partie de l'aire de distribution qui est protégée des intempéries par un auvent pourra être affectée du coefficient 0,5 pour déterminer la surface réelle à protéger prise en compte dans le calcul du dispositif décanteur- séparateur. Sans préjudice de l'autorisation de déversement dans le réseau public (art. L. 1331-10 du code de la santé publique), les rejets d'eaux résiduaires font l'objet en tant que de besoin d'un traitement permettant de respecter les valeurs limites suivantes, contrôlées, sauf stipulation contraire de la norme en vigueur, sur effluent brut non décanté et non filtré, sans dilution préalable ou mélange avec d'autres effluents : a) Dans tous les cas, avant rejet au milieu naturel ou dans un réseau d'assainissement collectif : pH : 5,5 - 8,5 ; b) Polluants spécifiques : avant rejet dans le milieu naturel ou dans un réseau d'assainissement collectif urbain : Hydrocarbures totaux : 10 mg/l. Ces valeurs limites sont respectées en moyenne quotidienne. Aucune valeur instantanée ne dépasse le double des valeurs limites de concentration. L'installation est pourvue en produits fixants ou en produits absorbants appropriés permettant de retenir ou neutraliser les liquides accidentellement répandus. Ces produits sont stockés en des endroits visibles, facilement accessibles et proches des postes de distribution avec les moyens nécessaires à leur mise en œuvre (pelle,...). 2.6. Air 2.6.1. Récupération des vapeurs. - Dispositions générales Toutes dispositions sont prises pour que les percements effectués, par exemple pour le passage de gaines électriques, ne permettent pas la transmission de vapeurs depuis les canalisations, réservoirs et matériels jusqu'aux locaux de l'installation. 2.6.2. Récupération des vapeurs au remplissage des installations de stockage Le présent point est applicable à la distribution de carburant de la catégorie B à l'exception des carburants destinés l'aviation et des stations- service d'un débit inférieur à 100 mètres cubes par an. Lors du dépotage de carburant d'une citerne de transport dans les installations de stockage, les vapeurs générées par le déplacement de carburant sont renvoyées dans la citerne de transport au moyen d'un tuyau de raccordement étanche aux vapeurs. Lors de cette opération, un dispositif est mis en place afin que ces vapeurs ne s'évacuent pas par l'évent du réservoir de stockage de la station- service. Les opérations de remplissage des réservoirs des stations- service ne sont pas effectuées avant que ces dispositifs ne soient en place et fonctionnent correctement. 2.6.3. Récupération des vapeurs liées au ravitaillement des véhicules à moteur Le présent point est applicable à la distribution de carburant de la catégorie B. Les carburants pour l'aviation ne sont pas concernés. Les débits considérés au titre du présent point sont relatifs aux carburants de la catégorie B. 2.6.3.1. Récupération des vapeurs Les stations- service dont le volume distribué est supérieur à 500 mètres cubes par an sont équipées de systèmes actifs de récupération des vapeurs afin de permettre le retour d'au moins 90 % des vapeurs dans les réservoirs fixes des stations- service. Les systèmes de récupération des vapeurs de carburant sont constitués de quatre types d'équipements : - un pistolet de remplissage dont le système de dépression est ouvert à l'atmosphère ; - un flexible de type coaxial ou présentant des garanties équivalentes afin de véhiculer à la fois le carburant et les vapeurs ; - un organe déprimogène permettant d'assister l'aspiration des vapeurs du réservoir du véhicule pour les transférer vers le réservoir de la station- service ; - un dispositif de régulation permettant de contrôler le rapport entre le débit de vapeur aspirée et le débit de carburant distribué. 2.6.3.2. Dispositif de régulation Le dispositif de régulation cité au point 2.6.3.1 est en boucle fermée. Le signal de mauvais fonctionnement du système de récupération des vapeurs entraîne l'arrêt de la distribution de carburant dès lors que la réparation n'est pas réalisée sous 72 heures. 2.6.3.3. Retour des vapeurs Le retour des vapeurs dans les réservoirs fixes des stations- service s'effectue dans des canalisations de diamètre suffisant pour permettre l'écoulement des vapeurs de carburant. 2.6.3.4. Dispositifs arrête- flamme Le système de récupération de vapeurs nécessite la mise en place de dispositifs anti- retour de flamme de part et d'autre de tout élément susceptible de générer une ignition du mélange gazeux. Les dispositifs arrête- flamme (aussi appelés anti- retour de flamme) sont conformes à la norme NF EN 12874, version juillet 2001, ou aux normes ou spécifications techniques ou aux procédés de fabrication prévus dans les réglementations d'un Etat membre de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord instituant l'Espace économique européen, assurant un niveau de sécurité équivalent. Le système de dépression et la connexion entre la sortie des vapeurs et le raccordement de l'équipement à la canalisation de retour des vapeurs de carburant vers le réservoir, notamment, sont considérés comme des éléments susceptibles de générer une ignition du mélange gazeux. En outre, la ligne de dépotage et les lignes de récupération des vapeurs sont également considérées comme des éléments susceptibles de générer une ignition lorsque le carburant contient plus de 10 % d'éthanol. Un organe de coupure est mis en place entre le distributeur de carburant et la canalisation de retour des vapeurs en vue de permettre que les opérations de maintenance sur le système de récupération des vapeurs se déroulent dans des conditions de sécurité. 2.6.3.5. Conception des systèmes de récupération Les systèmes de récupération des vapeurs sont conformes aux dispositions de l'annexe III. Cette conformité est attestée, contrôlée et maintenue par un laboratoire compétent et indépendant. Tout système de récupération de vapeurs en provenance de la Communauté européenne ou originaire des pays AELE parties contractantes de l'accord EEE, qui est conforme à une réglementation, norme nationale ou procédé de fabrication dont l'application est permise dans l'un de ces Etats est également reconnu, pour autant que soit assuré un niveau de sécurité et d'efficacité équivalent à celui recherché dans l'annexe III du présent arrêté. 2.6.3.6. Maintenance du système de récupération L'exploitant s'assure du bon fonctionnement de son installation et fait réaliser avant la mise en service du système de récupération de vapeurs, après toute réparation du système et ensuite au moins une fois tous les six mois, pour les installations ne disposant pas d'un système de régulation électronique en boucle fermée et tous les trois ans pour les installations disposant d'un système de régulation électronique en boucle fermée, un contrôle sur site par un organisme compétent et indépendant, conformément aux dispositions de l'annexe IV. Les résultats de ces mesures sont tenus à disposition de l'inspecteur des installations classées pendant un délai d'au moins six ans. 2.6.3.7. Affichage A compter du 1er janvier 2012, un panneau ou autocollant indique la présence d'un système de récupération de vapeur sur chaque distributeur de carburant de catégorie B ou à proximité équipé d'un tel dispositif. 2.7. Odeurs Lors de la distribution de carburant, le débit d'odeur des vapeurs émises à l'atmosphère par l'ensemble des sources odorantes canalisées, canalisables et diffuses, ne dépasse pas les valeurs suivantes : HAUTEUR D'ÉMISSION (en m) DÉBIT D'ODEUR (en m³/h) 0 1 000 x 103 5 3 600 x 103 10 et plus 21 000 x 103 Le niveau d'une odeur ou concentration d'un mélange odorant est défini conventionnellement comme étant le facteur de dilution qu'il faut appliquer à un effluent pour qu'il ne soit plus ressenti comme odorant par 50 % des personnes constituant un échantillon de population. Le débit d'odeur est défini conventionnellement comme étant le produit du débit d'air rejeté, exprimé en m³/h, par le facteur de dilution au seuil de perception. La mesure du débit d'odeur peut être effectuée, notamment à la demande du préfet ou de l'inspection des installations classées, selon les méthodes normalisées en vigueur si l'installation fait l'objet de plaintes relatives aux nuisances olfactives. Ces mesures sont réalisées au frais de l'exploitant. 2.8. Déchets 2.8.1. Généralités L'exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception et l'exploitation de ses installations pour assurer une bonne gestion des déchets de son entreprise, notamment : - limiter à la source la quantité et la toxicité de ses déchets en adoptant des technologies propres ; - trier, recycler, valoriser ses sous- produits de fabrication ; - s'assurer du traitement et, le cas échéant, du prétraitement de ses déchets, notamment par voie physicochimique, biologique ou thermique ; - s'assurer, pour les déchets ultimes dont le volume doit être strictement limité, d'un stockage dans les meilleures conditions possibles. 2.8.2. Stockage des déchets Les déchets et résidus produits sont stockés, avant leur revalorisation ou leur élimination, dans des conditions ne présentant pas de risques de pollution (prévention d'un lessivage par les eaux météoriques, d'une pollution des eaux superficielles et souterraines, des envols et des odeurs) pour les populations avoisinantes et l'environnement. Les stockages temporaires, avant recyclage ou élimination des déchets spéciaux, sont réalisés sur des cuvettes de rétention étanches et si possible protégés des eaux météoriques. 2.8.3. Elimination des déchets Les déchets qui ne peuvent pas être valorisés sont éliminés dans des installations réglementées conformément au code de l'environnement. L'exploitant est en mesure d'en justifier l'élimination sur demande de l'inspection des installations classées. Il met en place un registre caractérisant et quantifiant tous les déchets spéciaux générés par ses activités. Tout brûlage à l'air libre est interdit. 2.9. Bruit et vibrations 2.9.1. Valeurs limites de bruit Au sens du présent arrêté, on appelle : - émergence : la différence entre les niveaux de pression continus équivalents pondérés A du bruit ambiant (installation en fonctionnement) et du bruit résiduel (en l'absence du bruit généré par l'installation) ; - zones à émergence réglementée : - l'intérieur des immeubles habités ou occupés par des tiers, existant à la date du dépôt de dossier d'enregistrement, et leurs parties extérieures éventuelles les plus proches (cour, jardin, terrasse) à l'exclusion de celles des immeubles implantés dans les zones destinées à recevoir des activités artisanales ou industrielles ; - les zones constructibles définies par des documents d'urbanisme opposables aux tiers et publiés à la date du dépôt de dossier d'enregistrement ; - l'intérieur des immeubles habités ou occupés par des tiers qui ont été implantés après la date du dépôt de dossier d'enregistrement dans les zones constructibles définies ci- dessus, et leurs parties extérieures éventuelles les plus proches (cour, jardin, terrasse), à l'exclusion de celles des immeubles implantés dans les zones destinées à recevoir des activités artisanales ou industrielles. Les émissions sonores de l'installation ne sont pas à l'origine, dans les zones à émergence réglementée, d'une émergence supérieure aux valeurs admissibles définies dans le tableau suivant : NIVEAU DE BRUIT AMBIANT existant dans les zones à émergence réglementée (incluant le bruit de l'installation) ÉMERGENCE ADMISSIBLE pour la période allant de 7 heures à 22 heures sauf dimances et jours fériés ÉMERGENCE ADMISSIBLE pour la période allant de 22 heures à 7 heures ainsi que les dimances et jours fériés Supérieur à 35 et inférieur ou égal à 45 dB (A) 6 dB (A) 4 dB (A) Supérieur à 45 dB (A) 5 dB (A) 3 dB (A) De plus, le niveau de bruit en limite de propriété de l'installation ne dépasse pas, lorsqu'elle est en fonctionnement, 70 dB (A) pour la période de jour et 60 dB (A) pour la période de nuit, sauf si le bruit résiduel pour la période considérée est supérieur à cette limite. Dans le cas où le bruit particulier de l'établissement est à tonalité marquée au sens du point 1.9 de l'annexe de l'arrêté du 23 janvier 1997 susvisé, de manière établie ou cyclique, sa durée d'apparition n'excède pas 30 % de la durée de fonctionnement de l'établissement dans chacune des périodes diurne ou nocturne définies dans le tableau ci- dessus. 2.9.2. Véhicules. - Engins de chantier Les véhicules de transport, les matériels de manutention et les engins de chantier utilisés à l'intérieur de l'installation sont conformes aux dispositions en vigueur en matière de limitation de leurs émissions sonores. L'usage de tous appareils de communication par voie acoustique (sirènes, avertisseurs, haut- parleurs, etc.), gênant pour le voisinage, est interdit, sauf si leur emploi est exceptionnel et réservé à la prévention et au signalement d'incidents graves ou d'accidents. 2.9.3. Vibrations Les vibrations émises sont conformes aux dispositions fixées à l'annexe V. 2.9.4. Surveillance par l'exploitant des émissions sonores L'exploitant met en place une surveillance des émissions sonores de l'installation permettant d'estimer la valeur de l'émergence générée dans les zones à émergence réglementée. Les mesures sont effectuées selon la méthode définie en annexe de l'arrêté du 23 janvier 1997 susvisé. Ces mesures sont effectuées dans des conditions représentatives du fonctionnement de l'installation sur une durée d'une demi- heure au moins. Une mesure du niveau de bruit et de l'émergence est effectuée au moins tous les trois ans par une personne ou un organisme qualifié. 2.10. Remise en état en fin d'exploitation L'exploitant met en sécurité et remet en état le site de sorte qu'il ne s'y manifeste plus aucun danger et inconvénient. En particulier : - tous les produits dangereux ainsi que tous les déchets sont valorisés ou évacués vers des installations dûment autorisées ; - les cuves ayant contenu des produits susceptibles de polluer les eaux ou de provoquer un incendie ou une explosion sont vidées, nettoyées, dégazées et, le cas échéant, décontaminées. Elles sont enlevées, sauf en cas d'impossibilité technique justifiée, auquel cas elles sont neutralisées par remplissage avec un solide inerte. Le produit utilisé pour la neutralisation recouvre toute la surface de la paroi interne et possède une résistance à terme suffisante pour empêcher l'affaissement du sol en surface.
Les classes des digues de protection contre les inondations et submersions et des digues de rivières canalisées, ci- après désignées "digues", sont définies dans le tableau ci- dessous : CLASSE CARACTÉRISTIQUES DE L'OUVRAGE et populations protégées A Ouvrage pour lequel H ≥ 1 et P ≥ 50 000 B Ouvrage non classé en A et pour lequel : H ≥ 1 et 1 000 ≤ P < 50 000 C Ouvrage non classé en A ou B et pour lequel : H ≥ 1 et 10 ≤ P < 1 000 D Ouvrage pour lequel soit H < 1, soit P < 10 Au sens du présent article, on entend par : "H", la hauteur de l'ouvrage exprimée en mètres et définie comme la plus grande hauteur mesurée verticalement entre le sommet de l'ouvrage et le terrain naturel du côté de la zone protégée à l'aplomb de ce sommet ; "P", la population maximale exprimée en nombre d'habitants résidant dans la zone protégée, en incluant notamment les populations saisonnières.
L'article R. 214-113 est remplacé par les dispositions suivantes : Art. R. 214-113.- I.- La classe d'un système d'endiguement au sens de l'article R. 562-13 ou celle d'un aménagement hydraulique au sens de l'article R. 562-18 est déterminée conformément au tableau ci- dessous : CLASSE POPULATION PROTÉGÉE par le système d'endiguement ou par l'aménagement hydraulique A Population > 30 000 personnes B 3 000 personnes < population ≤ 30 000 personnes C 30 personnes ≤ population ≤ 3 000 personnes La population protégée correspond à la population maximale exprimée en nombre d'habitants qui résident et travaillent dans la zone protégée, en incluant notamment les populations saisonnières. II.- La classe d'une digue est celle du système d'endiguement dans lequel elle est comprise. N'est toutefois pas classée la digue dont la hauteur, mesurée verticalement entre le sommet de l'ouvrage et le terrain naturel du côté de la zone protégée à l'aplomb de ce sommet, est inférieure à 1,5 mètre, à moins que la commune ou l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre compétent pour la prévention des inondations le demande.
I.- La classe d'un système d'endiguement au sens de l'article R. 562-13 ou celle d'un aménagement hydraulique au sens de l'article R. 562-18 est déterminée conformément au tableau ci- dessous : CLASSE POPULATION PROTÉGÉE par le système d'endiguement ou par l'aménagement hydraulique A Population > 30 000 personnes B 3 000 personnes population 30 000 personnes C 30 personnes population 3 000 personnes La population protégée correspond à la population maximale exprimée en nombre d'habitants qui résident et travaillent dans la zone protégée, en incluant notamment les populations saisonnières. II.- La classe d'une digue est celle du système d'endiguement dans lequel elle est comprise. N'est toutefois pas classée la digue dont la hauteur, mesurée verticalement entre le sommet de l'ouvrage et le terrain naturel du côté de la zone protégée à l'aplomb de ce sommet, est inférieure à 1,5 mètre, à moins que la commune ou l'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre compétent pour la prévention des inondations le demande.
Sont nommés avec leur ancienneté de grade dans le grade de capitaine ou dans le grade de commandant, selon le cas, les officiers recrutés parmi les officiers sous contrat au titre du 3° de l'article 17.
A l'article 23 du même décret, les mots : « 3° de l'article 17 » sont remplacés par les mots : « 2° de l'article 17 ».
Sont nommés avec leur ancienneté de grade dans le grade de capitaine ou dans le grade de commandant, selon le cas, les officiers recrutés parmi les officiers sous contrat au titre du 2° de l'article 17.
Le bénéficiaire de l'autorisation mentionnée à l'article L. 612-9 ne peut être autorisé à acquérir et à détenir que les armes de la catégorie B mentionnées au 1° du II et, le cas échéant, au III de l'article R. 613-3, ainsi que leurs éléments et munitions. Une copie de cette autorisation est transmise au directeur du Conseil national des activités privées de sécurité. Le nombre d'armes pouvant être acquises et détenues sur le fondement du présent article ne peut être, pour chacun des types d'armes mentionnées au II de l'article R. 613-3, supérieur de plus de vingt pour cent au nombre d'agents employés bénéficiaires de la carte professionnelle autorisant l'exercice de l'activité mentionnée au 1° bis de l'article L. 611-1. Lorsque l'entreprise ne dispose d'aucune autorisation mentionnée à l'article L. 613-7-1 durant une période de dix- huit mois ou ne dispose plus de l'autorisation mentionnée à l'article L. 612-9, elle se dessaisit des armes de la catégorie B dans un délai de trois mois dans les conditions fixées aux articles R. 312-74 et R. 312-75.
L'article R. 613-23-5 est ainsi modifié : 1° Au premier alinéa, les mots : « au III de l'article R. 613-3, ainsi que leurs éléments et munitions » sont remplacés par les mots : « les armes de la catégorie A1 et de la catégorie B mentionnées au III de l'article R. 613-3, leurs éléments et munitions ainsi que les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1 » ; 2° Au dernier alinéa, les mots : « de la catégorie B » sont remplacés par les mots : « de la catégorie A1 et de la catégorie B mentionnées à l'article R. 613-3 et, le cas échéant, de leurs éléments et munitions ainsi que des systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1 ».
Le bénéficiaire de l'autorisation mentionnée à l'article L. 612-9 ne peut être autorisé à acquérir et à détenir que les armes de la catégorie B mentionnées au 1° du II et, le cas échéant, les armes de la catégorie A1 et de la catégorie B mentionnées au III de l'article R. 613-3, leurs éléments et munitions ainsi que les systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1. Une copie de cette autorisation est transmise au directeur du Conseil national des activités privées de sécurité. Le nombre d'armes pouvant être acquises et détenues sur le fondement du présent article ne peut être, pour chacun des types d'armes mentionnées au II de l'article R. 613-3, supérieur de plus de vingt pour cent au nombre d'agents employés bénéficiaires de la carte professionnelle autorisant l'exercice de l'activité mentionnée au 1° bis de l'article L. 611-1. Lorsque l'entreprise ne dispose d'aucune autorisation mentionnée à l'article L. 613-7-1 durant une période de dix- huit mois ou ne dispose plus de l'autorisation mentionnée à l'article L. 612-9, elle se dessaisit des armes de la catégorie A1 et de la catégorie B mentionnées à l'article R. 613-3 et, le cas échéant, de leurs éléments et munitions ainsi que des systèmes d'alimentation mentionnés à l'article R. 613-3-1 dans un délai de trois mois dans les conditions fixées aux articles R. 312-74 et R. 312-75.
Les peines disciplinaires prévues au présent chapitre peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l'honneur.
A l'article R. 96, le mot : « légionnaire » est remplacé par les mots : « membre de l'ordre ».
Les peines disciplinaires prévues au présent chapitre peuvent être prises contre tout membre de l'ordre qui aura commis un acte contraire à l'honneur.
I. ― Les pensions militaires d'invalidité, les pensions civiles et militaires de retraite et les retraites du combattant servies aux ressortissants des pays ou territoires ayant appartenu à l'Union française ou à la Communauté ou ayant été placés sous le protectorat ou sous la tutelle de la France sont calculées dans les conditions prévues aux paragraphes suivants. II. - La valeur du point de pension des pensions militaires d'invalidité et des retraites du combattant et du point d'indice des pensions civiles et militaires de retraite visées au I est égale à la valeur du point applicable aux pensions et retraites de même nature servies, en application du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et du code des pensions civiles et militaires de retraite, aux ressortissants français. III. - Les indices servant au calcul des pensions militaires d'invalidité, des pensions civiles et militaires de retraite et des retraites du combattant concédées au titre du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et du code des pensions civiles et militaires de retraite et visées au I sont égaux aux indices des pensions et retraites de même nature servies aux ressortissants français tels qu'ils résultent de l'application des articles L. 9 et L. 256 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et des articles L. 15 et L. 16 du code des pensions civiles et militaires de retraite. Les pensions en paiement mentionnées au précédent alinéa sont révisées à compter de la demande des intéressés, présentée dans un délai de trois ans à compter de la publication du décret mentionné au VIII et auprès de l'administration qui a instruit leurs droits à pension. IV. - Les indices servant au calcul des pensions servies aux conjoints survivants et aux orphelins des pensionnés militaires d'invalidité et des titulaires d'une pension civile ou militaire de retraite visés au I sont égaux aux indices des pensions des conjoints survivants et des orphelins servies aux ressortissants français, tels qu'ils sont définis en application du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et du code des pensions civiles et militaires de retraite. Les pensions en paiement mentionnées au précédent alinéa sont révisées à compter de la demande des intéressés, présentée dans un délai de trois ans à compter de la publication du décret mentionné au VIII et auprès de l'administration qui a instruit leurs droits à pension. V. - Les demandes de pensions présentées en application du présent article sont instruites dans les conditions prévues par le code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et par le code des pensions civiles et militaires de retraite. VI. - Le présent article est applicable aux instances en cours à la date du 28 mai 2010, la révision des pensions prenant effet à compter de la date de réception par l'administration de la demande qui est à l'origine de ces instances. VII. - Avant la concession des nouvelles pensions résultant de la révision prévue aux seconds alinéas du III et du IV, les indices ayant servi au calcul des pensions concédées et liquidées jusqu'à cette date sont maintenus. VIII. - Un décret fixe les modalités d'application du présent article, notamment les mesures d'information des bénéficiaires ainsi que les modalités de présentation et d'instruction des demandes mentionnées aux III, IV et V. IX. - Le rapport sur les pensions de retraite, annexé au projet de loi de finances de l'année en application du II de l'article 113 de la loi n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 de finances pour 2007, présente chaque année un bilan de la mise en œuvre du présent article. X. - 1. L'article 170 de l'ordonnance n° 58-1374 du 30 décembre 1958 portant loi de finances pour 1959, l'article 71 de la loi de finances pour 1960 (n° 59-1454 du 26 décembre 1959) et l'article 14 de la loi de finances rectificative pour 1979 (n° 79-1102 du 21 décembre 1979) sont abrogés. 2. L'abrogation de l'article 100 de la loi n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 de finances pour 2007 résultant de la décision du Conseil constitutionnel n° 2010-1 QPC du 28 mai 2010 ne peut avoir pour effet de placer les intéressés, à compter du 1er janvier 2011, dans une situation moins favorable que celle qui serait résultée de l'application des dispositions abrogées. XI. - Le présent article entre en vigueur au 1er janvier 2011.
Au second alinéa des III et IV de l'article 211 de la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011, le mot : « trois » est remplacé par le mot : « quatre ».
I. ― Les pensions militaires d'invalidité, les pensions civiles et militaires de retraite et les retraites du combattant servies aux ressortissants des pays ou territoires ayant appartenu à l'Union française ou à la Communauté ou ayant été placés sous le protectorat ou sous la tutelle de la France sont calculées dans les conditions prévues aux paragraphes suivants. II. - La valeur du point de pension des pensions militaires d'invalidité et des retraites du combattant et du point d'indice des pensions civiles et militaires de retraite visées au I est égale à la valeur du point applicable aux pensions et retraites de même nature servies, en application du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et du code des pensions civiles et militaires de retraite, aux ressortissants français. III. - Les indices servant au calcul des pensions militaires d'invalidité, des pensions civiles et militaires de retraite et des retraites du combattant concédées au titre du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et du code des pensions civiles et militaires de retraite et visées au I sont égaux aux indices des pensions et retraites de même nature servies aux ressortissants français tels qu'ils résultent de l'application des articles L. 9 et L. 256 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et des articles L. 15 et L. 16 du code des pensions civiles et militaires de retraite. Les pensions en paiement mentionnées au précédent alinéa sont révisées à compter de la demande des intéressés, présentée dans un délai de quatre ans à compter de la publication du décret mentionné au VIII et auprès de l'administration qui a instruit leurs droits à pension. IV. - Les indices servant au calcul des pensions servies aux conjoints survivants et aux orphelins des pensionnés militaires d'invalidité et des titulaires d'une pension civile ou militaire de retraite visés au I sont égaux aux indices des pensions des conjoints survivants et des orphelins servies aux ressortissants français, tels qu'ils sont définis en application du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et du code des pensions civiles et militaires de retraite. Les pensions en paiement mentionnées au précédent alinéa sont révisées à compter de la demande des intéressés, présentée dans un délai de quatre ans à compter de la publication du décret mentionné au VIII et auprès de l'administration qui a instruit leurs droits à pension. V. - Les demandes de pensions présentées en application du présent article sont instruites dans les conditions prévues par le code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre et par le code des pensions civiles et militaires de retraite. VI. - Le présent article est applicable aux instances en cours à la date du 28 mai 2010, la révision des pensions prenant effet à compter de la date de réception par l'administration de la demande qui est à l'origine de ces instances. VII. - Avant la concession des nouvelles pensions résultant de la révision prévue aux seconds alinéas du III et du IV, les indices ayant servi au calcul des pensions concédées et liquidées jusqu'à cette date sont maintenus. VIII. - Un décret fixe les modalités d'application du présent article, notamment les mesures d'information des bénéficiaires ainsi que les modalités de présentation et d'instruction des demandes mentionnées aux III, IV et V. IX. - Le rapport sur les pensions de retraite, annexé au projet de loi de finances de l'année en application du II de l'article 113 de la loi n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 de finances pour 2007, présente chaque année un bilan de la mise en œuvre du présent article. X. - 1. L'article 170 de l'ordonnance n° 58-1374 du 30 décembre 1958 portant loi de finances pour 1959, l'article 71 de la loi de finances pour 1960 (n° 59-1454 du 26 décembre 1959) et l'article 14 de la loi de finances rectificative pour 1979 (n° 79-1102 du 21 décembre 1979) sont abrogés. 2. L'abrogation de l'article 100 de la loi n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 de finances pour 2007 résultant de la décision du Conseil constitutionnel n° 2010-1 QPC du 28 mai 2010 ne peut avoir pour effet de placer les intéressés, à compter du 1er janvier 2011, dans une situation moins favorable que celle qui serait résultée de l'application des dispositions abrogées. XI. - Le présent article entre en vigueur au 1er janvier 2011.
I.- Les personnes mentionnées au 13° de l'article L. 561-2 sont soumises aux dispositions du présent chapitre lorsque, dans le cadre de leur activité professionnelle : 1° Elles participent au nom et pour le compte de leur client à toute transaction financière ou immobilière ou agissent en qualité de fiduciaire ; 2° Elles assistent leur client dans la préparation ou la réalisation des transactions concernant : a) L'achat et la vente de biens immeubles ou de fonds de commerce ; b) La gestion de fonds, titres ou autres actifs appartenant au client ; c) L'ouverture de comptes bancaires, d'épargne ou de titres ou de contrats d'assurance ; d) L'organisation des apports nécessaires à la création des sociétés ; e) La constitution, la gestion ou la direction des sociétés ; f) La constitution, la gestion ou la direction de fiducies, régies par les articles 2011 à 2031 du code civil ou de droit étranger, ou de toute autre structure similaire ; g) La constitution ou la gestion de fonds de dotation. II.- Les avocats au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation, les avocats et les avoués près les cours d'appel, dans l'exercice d'une activité relative aux transactions mentionnées au I, ne sont pas soumis aux dispositions du présent chapitre lorsque l'activité se rattache à une procédure juridictionnelle, que les informations dont ils disposent soient reçues ou obtenues avant, pendant ou après cette procédure, y compris dans le cadre de conseils relatifs à la manière d'engager ou d'éviter une telle procédure, non plus que lorsqu'ils donnent des consultations juridiques, à moins qu'elles n'aient été fournies à des fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ou en sachant que le client les demande aux fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme. III.- Les autres personnes mentionnées au 13° de l'article L. 561-2, dans l'exercice d'une activité relative aux transactions mentionnées au I, ne sont pas soumises aux dispositions de la section 4 du présent chapitre lorsqu'elles donnent des consultations juridiques, à moins qu'elles n'aient été fournies à des fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ou en sachant que le client les demande aux fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme. IV.- Les experts- comptables ainsi que les salariés autorisés à exercer la profession d'expert- comptable en application des articles 83 ter et 83 quater de l'ordonnance n° 45-2138 du 19 septembre 1945 portant institution de l'ordre des experts- comptables et réglementant le titre et la profession d'expert- comptable ne sont pas soumis à la section 4 du présent chapitre lorsqu'ils donnent des consultations juridiques conformément à l'article 22 de l'ordonnance précitée, à moins que ces consultations n'aient été fournies à des fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ou en sachant que le client les demande aux fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme.
L'article L. 561-3 du code monétaire et financier est complété par un V ainsi rédigé : « V. ― Dans l'exercice des missions dont ils sont chargés par décision de justice, les administrateurs judiciaires, les mandataires judiciaires et les commissaires- priseurs judiciaires sont soumis aux dispositions du présent chapitre, sous réserve que celles- ci soient compatibles avec leur mandat. Le client s'entend alors de la personne visée par la procédure et, le cas échéant, de la personne qui se porte acquéreur du bien offert à la vente ou qui dépose une offre de reprise partielle ou totale de l'entreprise. »
I.- Les personnes mentionnées au 13° de l'article L. 561-2 sont soumises aux dispositions du présent chapitre lorsque, dans le cadre de leur activité professionnelle : 1° Elles participent au nom et pour le compte de leur client à toute transaction financière ou immobilière ou agissent en qualité de fiduciaire ; 2° Elles assistent leur client dans la préparation ou la réalisation des transactions concernant : a) L'achat et la vente de biens immeubles ou de fonds de commerce ; b) La gestion de fonds, titres ou autres actifs appartenant au client ; c) L'ouverture de comptes bancaires, d'épargne ou de titres ou de contrats d'assurance ; d) L'organisation des apports nécessaires à la création des sociétés ; e) La constitution, la gestion ou la direction des sociétés ; f) La constitution, la gestion ou la direction de fiducies, régies par les articles 2011 à 2031 du code civil ou de droit étranger, ou de toute autre structure similaire ; g) La constitution ou la gestion de fonds de dotation. II.- Les avocats au Conseil d'Etat et à la Cour de cassation, les avocats et les avoués près les cours d'appel, dans l'exercice d'une activité relative aux transactions mentionnées au I, ne sont pas soumis aux dispositions du présent chapitre lorsque l'activité se rattache à une procédure juridictionnelle, que les informations dont ils disposent soient reçues ou obtenues avant, pendant ou après cette procédure, y compris dans le cadre de conseils relatifs à la manière d'engager ou d'éviter une telle procédure, non plus que lorsqu'ils donnent des consultations juridiques, à moins qu'elles n'aient été fournies à des fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ou en sachant que le client les demande aux fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme. III.- Les autres personnes mentionnées au 13° de l'article L. 561-2, dans l'exercice d'une activité relative aux transactions mentionnées au I, ne sont pas soumises aux dispositions de la section 4 du présent chapitre lorsqu'elles donnent des consultations juridiques, à moins qu'elles n'aient été fournies à des fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ou en sachant que le client les demande aux fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme. IV.- Les experts- comptables ainsi que les salariés autorisés à exercer la profession d'expert- comptable en application des articles 83 ter et 83 quater de l'ordonnance n° 45-2138 du 19 septembre 1945 portant institution de l'ordre des experts- comptables et réglementant le titre et la profession d'expert- comptable ne sont pas soumis à la section 4 du présent chapitre lorsqu'ils donnent des consultations juridiques conformément à l'article 22 de l'ordonnance précitée, à moins que ces consultations n'aient été fournies à des fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ou en sachant que le client les demande aux fins de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme. V. - Dans l'exercice des missions dont ils sont chargés par décision de justice, les administrateurs judiciaires, les mandataires judiciaires et les commissaires- priseurs judiciaires sont soumis aux dispositions du présent chapitre, sous réserve que celles- ci soient compatibles avec leur mandat. Le client s'entend alors de la personne visée par la procédure et, le cas échéant, de la personne qui se porte acquéreur du bien offert à la vente ou qui dépose une offre de reprise partielle ou totale de l'entreprise.
Le jury de chacun des concours définis à l'article 1er du présent arrêté est composé d'au moins huit membres proposés à parts égales par les secrétaires généraux des ministères chargés respectivement de l'agriculture et du développement durable. Le président et les membres de jury sont désignés pour chaque session de concours, par arrêté conjoint des ministres chargés respectivement de l'agriculture et du développement durable. Le jury comprend au moins : ― quatre membres du corps des ingénieurs des ponts, des eaux et des forêts dont au moins un membre du Conseil général de l'environnement et du développement durable et un membre du Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux ; ― le directeur de l'Ecole nationale des ponts et chaussées ou son représentant pour les concours prévus aux chapitres II et III du présent arrêté ; ― le directeur de l'Institut des sciences et industrie du vivant et de l'environnement (Agro Paris Tech) ou son représentant au sein de l'Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts pour les concours prévus aux chapitres II et III du présent arrêté ; ― plusieurs personnes désignées en raison de leurs compétences. Les décisions sont prises à la majorité. En cas de partage égal des voix, le président du jury a voix prépondérante. Le jury peut se faire assister d'examinateurs qualifiés pour la correction des épreuves écrites et des épreuves orales de langues. Chacune des épreuves écrites fait l'objet d'une double correction. Les examinateurs qualifiés n'ont pas voix délibérative.
L'article 3 de l'arrêté du 3 décembre 2009 susvisé est modifié ainsi qu'il suit : 1° Au cinquième alinéa, les mots : « le directeur de l'Ecole nationale des ponts et chaussées » sont remplacés par les mots : « le secrétaire général du ministère chargé du développement durable » ; 2° Le sixième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : «- le secrétaire général du ministère chargé de l'agriculture ou son représentant pour les concours prévus aux chapitres II et III du présent arrêté ; » ; 3° Au neuvième alinéa, les mots : « et des épreuves orales de langues » sont supprimés.
Le jury de chacun des concours définis à l'article 1er du présent arrêté est composé d'au moins huit membres proposés à parts égales par les secrétaires généraux des ministères chargés respectivement de l'agriculture et du développement durable. Le président et les membres de jury sont désignés pour chaque session de concours, par arrêté conjoint des ministres chargés respectivement de l'agriculture et du développement durable. Le jury comprend au moins : ― quatre membres du corps des ingénieurs des ponts, des eaux et des forêts dont au moins un membre du Conseil général de l'environnement et du développement durable et un membre du Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux ; ― le secrétaire général du ministère chargé du développement durable ou son représentant pour les concours prévus aux chapitres II et III du présent arrêté ; ― le secrétaire général du ministère chargé de l'agriculture ou son représentant pour les concours prévus aux chapitres II et III du présent arrêté ; ― plusieurs personnes désignées en raison de leurs compétences. Les décisions sont prises à la majorité. En cas de partage égal des voix, le président du jury a voix prépondérante. Le jury peut se faire assister d'examinateurs qualifiés pour la correction des épreuves écrites. Chacune des épreuves écrites fait l'objet d'une double correction. Les examinateurs qualifiés n'ont pas voix délibérative.
Les catégories d'informations enregistrées concernant les jeunes soumis à la journée défense et citoyenneté portent sur : - le lieu et le mode de recensement ; - l'identité ; - la situation familiale, scolaire ou professionnelle ; - le service national : identifiant défense, position administrative au regard des obligations du code du service national, suivi de l'illettrisme, suivi du décrochage scolaire, suivi des intentions de volontariats (sur accord) ; - le mode de déplacement des personnes et le remboursement effectué ; - la situation militaire (forme, lien, armée d'appartenance, exemption). Les informations enregistrées sont conservées sur support informatique jusqu'à ce que l'intéressé ait atteint l'âge de vingt- cinq ans, sauf les informations relatives au suivi de l'illettrisme, au suivi des décrochés scolaires et au suivi des intentions qui sont détruites 120 jours après avoir été collectées. Au- delà du 25e anniversaire et cela jusqu'au 50e anniversaire des personnes ayant été assujetties aux obligations du code du service national en vue d'attester de leurs services effectués ou de leur situation au regard du code du service national, sont conservées les informations nécessaires à leur identification : à l'état civil, à l'adresse, à l'identifiant défense, à la situation et à l'activité de la personne.
L'article 2 de l'arrêté du 5 août 2004 susvisé est modifié ainsi qu'il suit : Le huitième et le neuvième alinéa sont remplacés par les dispositions suivantes : « Les informations enregistrées sont conservées sur support informatique jusqu'à ce que l'intéressé ait atteint l'âge de vingt- cinq ans. Au- delà du 25e anniversaire et cela jusqu'au 50e anniversaire des personnes ayant été assujetties aux obligations du code du service national en vue d'attester de leurs services effectués, de leur situation au regard du code du service national, ou d'aider au traitement de la solde des militaires, sont conservées les informations nécessaires à leur identification : à l'état civil, à l'adresse, à l'identifiant défense, à la situation et à l'activité de la personne. Au- delà du 50e anniversaire et jusqu'au 90e anniversaire, seules sont conservées les informations relatives à l'état civil et à l'identifiant défense. »
Les catégories d'informations enregistrées concernant les jeunes soumis à la journée défense et citoyenneté portent sur : - le lieu et le mode de recensement ; - l'identité ; - la situation familiale, scolaire ou professionnelle ; - le service national : identifiant défense, position administrative au regard des obligations du code du service national, suivi de l'illettrisme, suivi du décrochage scolaire, suivi des intentions de volontariats (sur accord) ; - le mode de déplacement des personnes et le remboursement effectué ; - la situation militaire (forme, lien, armée d'appartenance, exemption). Les informations enregistrées sont conservées sur support informatique jusqu'à ce que l'intéressé ait atteint l'âge de vingt- cinq ans. Au- delà du 25e anniversaire et cela jusqu'au 50e anniversaire des personnes ayant été assujetties aux obligations du code du service national en vue d'attester de leurs services effectués, de leur situation au regard du code du service national, ou d'aider au traitement de la solde des militaires, sont conservées les informations nécessaires à leur identification : à l'état civil, à l'adresse, à l'identifiant défense, à la situation et à l'activité de la personne. Au- delà du 50e anniversaire et jusqu'au 90e anniversaire, seules sont conservées les informations relatives à l'état civil et à l'identifiant défense.
L'évaluation de la formation initiale est établie conformément à la grille de notation figurant en annexe. Elle porte sur les connaissances théoriques fondamentales, les savoir- faire professionnels en situation et les capacités techniques et physiques. Les différents domaines de formation peuvent être évalués par des contrôles écrits, des simulations, des mises en situation pratiques et des interrogations orales. Ces évaluations sont organisées de la façon suivante : a) Trois contrôles nationaux écrits portant sur le domaine général et le domaine judiciaire ; b) Un contrôle national de simulation d'une situation professionnelle ; c) Des contrôles dans les domaines des techniques et de la sécurité en intervention ainsi que dans ceux du développement de la condition physique opérationnelle ; d) Des évaluations portant, d'une part, sur les fondamentaux, d'autre part, sur le domaine informatique.
L'article 3 est ainsi modifié : 1° Au cinquième alinéa, les mots : « Trois contrôles nationaux écrits » sont remplacés par les mots : « Un contrôle national écrit » ; 2° Au huitième alinéa, les mots : «, d'une part les fondamentaux, d'autre part, » sont abrogés ; 3° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « e) Un contrôle national d'armement. »
L'évaluation de la formation initiale est établie conformément à la grille de notation figurant en annexe. Elle porte sur les connaissances théoriques fondamentales, les savoir- faire professionnels en situation et les capacités techniques et physiques. Les différents domaines de formation peuvent être évalués par des contrôles écrits, des simulations, des mises en situation pratiques et des interrogations orales. Ces évaluations sont organisées de la façon suivante : a) Un contrôle national écrit portant sur le domaine général et le domaine judiciaire ; b) Un contrôle national de simulation d'une situation professionnelle ; c) Des contrôles dans les domaines des techniques et de la sécurité en intervention ainsi que dans ceux du développement de la condition physique opérationnelle ; d) Des évaluations portant sur le domaine informatique ; e) Un contrôle national d'armement.
La commission peut décider que les échanges intervenant au cours de l'instruction entre, d'une part, la juridiction et, d'autre part, le requérant, sauf s'il s'y oppose, la commune, l'établissement public de coopération intercommunale ou le syndicat mixte sont effectués par voie électronique. Le dispositif permettant ces échanges devra garantir la fiabilité de l'identification des parties ou de leurs mandataires, l'intégrité des documents adressés ainsi que la sécurité et la confidentialité des échanges et permettre d'établir de manière certaine la date et l'heure de la mise à disposition d'un document ainsi que celles de sa première consultation par son destinataire.
L'article R. 2333-120-42 est remplacé par l'article suivant : « Art. R. 2333-120-42.- Dans le cadre de la communication électronique, les parties ou leurs mandataires sont réputés avoir reçu la communication ou la notification à la date de première consultation du document qui leur a été ainsi adressé, certifiée par l'accusé de réception délivré par le portail ou le dispositif de télétransmission, ou, à défaut de consultation dans un délai de huit jours à compter de la date de mise à disposition du document dans le portail ou de sa télétransmission, à l'issue de ce délai. Les parties ou leurs mandataires sont alertés de toute nouvelle communication ou notification sur le portail par un message envoyé à leur adresse électronique ou en cas de télétransmission par leur propre système d'information. »
Dans le cadre de la communication électronique, les parties ou leurs mandataires sont réputés avoir reçu la communication ou la notification à la date de première consultation du document qui leur a été ainsi adressé, certifiée par l'accusé de réception délivré par le portail ou le dispositif de télétransmission, ou, à défaut de consultation dans un délai de huit jours à compter de la date de mise à disposition du document dans le portail ou de sa télétransmission, à l'issue de ce délai. Les parties ou leurs mandataires sont alertés de toute nouvelle communication ou notification sur le portail par un message envoyé à leur adresse électronique ou en cas de télétransmission par leur propre système d'information.
Conformément à l'article 1er du décret n° 77-190 du 3 mars 1977, ne sont toutefois pas tenues de recourir à un architecte les personnes physiques ou les exploitations agricoles à responsabilité limitée à associé unique qui déclarent vouloir édifier ou modifier pour elles- mêmes : a) Une construction à usage autre qu'agricole dont la surface de plancher hors oeuvre nette n'excède pas cent soixante- dix mètres carrés ; b) Une construction à usage agricole dont la surface de plancher hors oeuvre brute n'excède pas huit cents mètres carrés ; c) Des serres de production dont le pied- droit a une hauteur inférieure à quatre mètres et dont la surface de plancher hors oeuvre brute n'excède pas deux mille mètres carrés. La demande précise que le demandeur et, le cas échéant, l'architecte, ont connaissance de l'existence de règles générales de construction prévues par le chapitre Ier du titre Ier du livre Ier du code de la construction et de l'habitation et notamment, lorsque la construction y est soumise, des règles d'accessibilité fixées en application de l'article L. 111-7 de ce code et de l'obligation de respecter ces règles.
L'article R.* 431-2 du code de l'urbanisme est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Les demandeurs d'un permis de construire sont tenus de recourir à un architecte pour les projets de travaux sur construction existante conduisant la surface de plancher de l'ensemble à dépasser l'un des plafonds fixés par le présent article. »
Conformément à l'article 1er du décret n° 77-190 du 3 mars 1977, ne sont toutefois pas tenues de recourir à un architecte les personnes physiques ou les exploitations agricoles à responsabilité limitée à associé unique qui déclarent vouloir édifier ou modifier pour elles- mêmes : a) Une construction à usage autre qu'agricole dont la surface de plancher hors oeuvre nette n'excède pas cent soixante- dix mètres carrés ; b) Une construction à usage agricole dont la surface de plancher hors oeuvre brute n'excède pas huit cents mètres carrés ; c) Des serres de production dont le pied- droit a une hauteur inférieure à quatre mètres et dont la surface de plancher hors oeuvre brute n'excède pas deux mille mètres carrés. La demande précise que le demandeur et, le cas échéant, l'architecte, ont connaissance de l'existence de règles générales de construction prévues par le chapitre Ier du titre Ier du livre Ier du code de la construction et de l'habitation et notamment, lorsque la construction y est soumise, des règles d'accessibilité fixées en application de l'article L. 111-7 de ce code et de l'obligation de respecter ces règles. Les demandeurs d'un permis de construire sont tenus de recourir à un architecte pour les projets de travaux sur construction existante conduisant la surface de plancher de l'ensemble à dépasser l'un des plafonds fixés par le présent article.
La direction centrale du service de santé des armées élabore l'arrêté prévu à l'article 47 du décret du 29 mars 2012 susvisé, fixant les modalités de nomination des médecins de prévention ainsi que l'organisation et les conditions de fonctionnement du service de médecine de prévention en liaison avec la direction des ressources humaines du ministère de la défense.
L'article 5est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 5.- La direction centrale du service de santé des armées élabore, en liaison avec la direction des ressources humaines du ministère de la défense, les arrêtés prévus à l'article 47 du décret du 29 mars 2012 susvisé, définissant les modalités de nomination des médecins en charge de la médecine de prévention ainsi que les modalités d'organisation et de fonctionnement de l'exercice de la médecine de prévention au profit du personnel civil et du personnel militaire. »
La direction centrale du service de santé des armées élabore, en liaison avec la direction des ressources humaines du ministère de la défense, les arrêtés prévus à l'article 47 du décret du 29 mars 2012 susvisé, définissant les modalités de nomination des médecins en charge de la médecine de prévention ainsi que les modalités d'organisation et de fonctionnement de l'exercice de la médecine de prévention au profit du personnel civil et du personnel militaire.
L'exigibilité de la taxe sur la valeur ajoutée intervient lors de l'encaissement des acomptes ou du prix en ce qui concerne les ventes des publications désignées à l'article 298 septies ainsi que les ventes de papier réalisées par la société professionnelle des papiers de presse. En ce qui concerne les acquisitions intracommunautaires portant sur ces produits, l'exigibilité de la taxe sur la valeur ajoutée intervient dans les conditions fixées au d du 2 de l'article 269.
I. ― A la première phrase de l'article 298 nonies du code général des impôts, les mots : « la société professionnelle des papiers de presse » sont remplacés par les mots : « les sociétés participant à la constitution, au maintien et au financement d'un stock de précaution de papier de presse équivalant à trois mois de consommation de papier des éditeurs de presse qu'elles fournissent ». II. ― Le I est applicable aux opérations pour lesquelles le fait générateur est intervenu à compter du 1er janvier 2010.
L'exigibilité de la taxe sur la valeur ajoutée intervient lors de l'encaissement des acomptes ou du prix en ce qui concerne les ventes des publications désignées à l'article 298 septies ainsi que les ventes de papier réalisées par les sociétés participant à la constitution, au maintien et au financement d'un stock de précaution de papier de presse équivalant à trois mois de consommation de papier des éditeurs de presse qu'elles fournissent. En ce qui concerne les acquisitions intracommunautaires portant sur ces produits, l'exigibilité de la taxe sur la valeur ajoutée intervient dans les conditions fixées au d du 2 de l'article 269.
Peuvent être recrutés au choix dans l'un des deux corps régis par le présent décret, sur leur demande et sur proposition de la commission prévue à l'article 30 : 1° Les officiers sous contrat du grade d'enseigne de vaisseau de 1re classe : a) Ayant accompli au moins deux ans de service militaire effectif en qualité d'aspirant ou d'officier ; b) (alinéa supprimé) c) Les intéressés doivent : i) soit avoir suivi avec succès le cursus de formation d'une école navale étrangère figurant sur une liste fixée par arrêté du ministre de la défense ; ii) soit être titulaires d'un diplôme ou d'un titre conférant le grade de master ou d'un diplôme ou d'un titre étranger reconnu équivalent à un master ; 2° Avec leur grade, les officiers sous contrat des grades de lieutenant de vaisseau et de capitaine de corvette qui comptent au moins huit ans de service, en qualité d'aspirant ou d'officier.
A l'article 16, il est ajouté un dernier alinéa ainsi rédigé : « Les périodes de formation réalisées dans une école navale étrangère sont prises en compte en tant que service militaire effectif, demandé aux alinéas précédents, dès lors que le cursus de formation de ces écoles a été suivi avec succès. »
Peuvent être recrutés au choix dans l'un des deux corps régis par le présent décret, sur leur demande et sur proposition de la commission prévue à l'article 30 : 1° Les officiers sous contrat du grade d'enseigne de vaisseau de 1re classe : a) Ayant accompli au moins deux ans de service militaire effectif en qualité d'aspirant ou d'officier ; b) (alinéa supprimé) c) Les intéressés doivent : i) soit avoir suivi avec succès le cursus de formation d'une école navale étrangère figurant sur une liste fixée par arrêté du ministre de la défense ; ii) soit être titulaires d'un diplôme ou d'un titre conférant le grade de master ou d'un diplôme ou d'un titre étranger reconnu équivalent à un master ; 2° Avec leur grade, les officiers sous contrat des grades de lieutenant de vaisseau et de capitaine de corvette qui comptent au moins huit ans de service, en qualité d'aspirant ou d'officier. Les périodes de formation réalisées dans une école navale étrangère sont prises en compte en tant que service militaire effectif, demandé aux alinéas précédents, dès lors que le cursus de formation de ces écoles a été suivi avec succès.
Les dispositions du présent chapitre sont applicables aux territoires d'outre- mer et à Mayotte.
L'article 13-5 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 13-5. - Sans préjudice des dispositions du chapitre IV du présent décret, il est mis fin au volontariat renouvelé des stagiaires du service militaire adapté dès lors qu'ils ont réussi les épreuves sanctionnant la fin de leur formation professionnelle ou qu'ils ont obtenu une attestation de formation professionnelle délivrée par les unités du service militaire adapté. Toutefois, afin de faciliter leur insertion sociale et professionnelle, les stagiaires peuvent, sur demande agréée par le commandant de formation administrative, poursuivre leur volontariat. Ils peuvent dans les mêmes conditions demander qu'il soit mis fin au contrat de volontariat ainsi prolongé. »
Sans préjudice des dispositions du chapitre IV du présent décret, il est mis fin au volontariat renouvelé des stagiaires du service militaire adapté dès lors qu'ils ont réussi les épreuves sanctionnant la fin de leur formation professionnelle ou qu'ils ont obtenu une attestation de formation professionnelle délivrée par les unités du service militaire adapté. Toutefois, afin de faciliter leur insertion sociale et professionnelle, les stagiaires peuvent, sur demande agréée par le commandant de formation administrative, poursuivre leur volontariat. Ils peuvent dans les mêmes conditions demander qu'il soit mis fin au contrat de volontariat ainsi prolongé.
Le titre professionnel de ferronnier est composé des trois unités constitutives dont la liste suit : 1. Fabriquer des ouvrages plans courants de métallerie ; 2. Fabriquer des ouvrages de ferronnerie ; 3. Réaliser du mobilier et des objets décoratifs en ferronnerie. Elles peuvent être sanctionnées par des certificats de compétences professionnelles (CCP) dans les conditions prévues par l'arrêté du 9 mars 2006 susvisé.
Les dispositions de l'article 3 de l'arrêté du 13 mai 2004 susvisé sont remplacées par : « Le titre professionnel de ferronnier est composé des deux unités constitutives suivantes : 1. Réaliser des ouvrages de métallerie- ferronnerie. 2. Façonner des ouvrages de style en ferronnerie. Elles peuvent être sanctionnées par des certificats de compétences professionnelles (CCP) dans les conditions prévues par l'arrêté du 9 mars 2006 susvisé. »
Le titre professionnel de ferronnier est composé des deux unités constitutives suivantes : 1. Réaliser des ouvrages de métallerie- ferronnerie. 2. Façonner des ouvrages de style en ferronnerie. Elles peuvent être sanctionnées par des certificats de compétences professionnelles (CCP) dans les conditions prévues par l'arrêté du 9 mars 2006 susvisé.
1. Les montants nationaux de référence par hectare, à l'exception des départements d'outre- mer, sont les suivants : ZONES DÉFAVORISÉES Haute montagne Montagne Piémont Défavorisée simple Montants en euros par hectare Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche De surface fourragère 223 221 183 136 89 55 80 49 De surface cultivée 172 172 L'arrêté annuel du préfet de département ou, pour la Corse, du président du Conseil exécutif visé à l'article 2, paragraphe 2, fixe les montants par hectare par zone et sous- zone pour les surfaces fourragères et les surfaces cultivées. Certains montants peuvent être fixés au- dessus des montants nationaux de référence, à condition que la moyenne départementale des montants pondérés par hectare soit inférieure ou égale au montant national de référence. Cette moyenne est établie distinctement par type de zone défavorisée. Pour les départements d'outre- mer, les montants de base sont fixés par arrêté préfectoral sur la base des dispositions prévues dans les plans de développement rural régionaux. Ils doivent être inférieurs à 250 €/ha pour les zones de montagne et haute- montagne et à 150 €/ha pour les autres zones ; toutefois, des paiements d'un montant supérieur peuvent être accordés dans des cas dûment justifiés. Si la surface agricole de l'exploitation est répartie sur plusieurs zones défavorisées ou sous- zones départementales délimitées dans l'arrêté du préfet de département ou, pour la Corse, du président du Conseil exécutif relatif au zonage visé au deuxième alinéa de l'article 2, la prime à l'hectare de surface fourragère est calculée proportionnellement à la représentation de chaque zone ou sous- zone défavorisée au sein de la surface agricole utilisée. 2. Une majoration du montant par hectare est appliquée aux élevages dont plus de la moitié du cheptel, compté en nombre d'UGB, est constitué d'ovins et de caprins, si ces animaux pratiquent la transhumance entre le 15 juin et le 15 septembre. Cette majoration est respectivement de 10 % pour les zones de haute montagne et de montagne et de 30 % pour les zones de piémont et défavorisée simple. 3. Une majoration de 50 % des montants par hectare est appliquée pour les 25 premiers hectares de surfaces fourragères ou cultivées. Dans les cas où sont déclarées à la fois des surfaces éligibles en fourrage et en cultures, les surfaces cultivées sont majorées en priorité. Dans les départements d'outre- mer, le préfet arrête le nombre de premiers hectares de surfaces fourragères faisant l'objet d'une majoration dans la limite de 25 hectares ; pour les surfaces cultivées, il arrête les différentes conditions de majoration dans la limite de 25 hectares et d'un taux majoré de 100 %. 4. Pour les prairies situées dans la zone du marais poitevin, les montants nationaux de référence par hectare sont majorés de 60 € dans le marais desséché et de 121 € dans le marais mouillé. 5. Dans les communes de Haute- Corse classées en zone affectée de handicaps spécifiques, les montants unitaires maxima sont fixés à 128 €/ha pour les surfaces fourragères et à 120 €/ha pour les surfaces cultivées. 6. Pour les surfaces en productions de châtaigniers et de chênes valorisées par des porcs charcutiers destinés à la commercialisation et situées dans les zones de haute montagne et de montagne de Corse, les montants de référence par hectare sont fixés par le président du Conseil exécutif de Corse, dans la limite des montants précisés au paragraphe 1. 7. Les surfaces fourragères situées en zone non défavorisée qui sont pâturées en transhumance inverse et engagées au titre des mesures agroenvironnementales territorialisées dans des opérations de défense de la forêt contre l'incendie (DFCI) n'entrent pas dans le calcul du montant moyen à l'hectare.
L'article 5 de l'arrêté du 30 juillet 2010 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 5.-1. Les montants nationaux de référence par hectare, à l'exception des départements d'outre- mer, sont les suivants : MONTANTS en euros par hectare ZONES DÉFAVORISÉES Haute montagne Montagne Piémont Défavorisée simple Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche De surface fourragère 257 255 211 157 103 64 92 57 De surface cultivée 198 198 L'arrêté annuel du préfet de département ou, pour la Corse, du président du conseil exécutif visé à l'article 2, paragraphe 2, fixe les montants par hectare par zone et sous- zone pour les surfaces fourragères et les surfaces cultivées. Certains montants peuvent être fixés au- dessus des montants nationaux de référence, à condition que la moyenne départementale des montants pondérés par hectare soit inférieure ou égale au montant national de référence. Cette moyenne est établie distinctement par type de zone défavorisée. Pour les départements d'outre- mer, les montants de base sont fixés par arrêté préfectoral sur la base des dispositions prévues dans les plans de développement rural régionaux. Ils doivent être inférieurs à 250 €/ ha pour les zones de montagne et de haute montagne et à 150 €/ ha pour les autres zones ; toutefois, des paiements d'un montant supérieur peuvent être accordés dans des cas dûment justifiés. Si la surface agricole de l'exploitation est répartie sur plusieurs zones défavorisées ou sous- zones départementales délimitées dans l'arrêté du préfet de département ou, pour la Corse, du président du Conseil exécutif relatif au zonage visé au deuxième alinéa de l'article 2, la prime à l'hectare de surface fourragère est calculée proportionnellement à la représentation de chaque zone ou sous- zone défavorisée au sein de la surface agricole utilisée. 2. Une majoration du montant par hectare est appliquée aux élevages dont plus de la moitié du cheptel, compté en nombre d'UGB, est constitué d'ovins et de caprins. Cette majoration est respectivement de 10 % pour les zones de haute montagne et de montagne et de 30 % pour les zones de piémont et défavorisée simple. 3. Une majoration de 50 % des montants par hectare est appliquée pour les 25 premiers hectares de surfaces fourragères ou cultivées. Dans les cas où sont déclarées à la fois des surfaces éligibles en fourrage et en cultures, les surfaces cultivées sont majorées en priorité. Dans les départements d'outre- mer, le préfet arrête le nombre de premiers hectares de surfaces fourragères faisant l'objet d'une majoration dans la limite de 50 hectares ; pour les surfaces cultivées, il arrête les différentes conditions de majoration dans la limite de 25 hectares et d'un taux majoré de 130 %. 4. Pour les prairies situées dans la zone du marais poitevin, les montants nationaux de référence par hectare sont majorés de 69 € dans le marais desséché et de 140 € dans le marais mouillé. 5. Dans les communes de Haute- Corse classées en zone affectée de handicaps spécifiques, les montants unitaires maxima sont fixés à 128 €/ hectare pour les surfaces fourragères et à 120 €/ hectare pour les surfaces cultivées. 6. Pour les surfaces en productions de châtaigniers et de chênes valorisées par des porcs charcutiers destinés à la commercialisation et situées dans les zones de haute montagne et de montagne de Corse, les montants de référence par hectare sont fixés par le président du conseil exécutif de Corse, dans la limite des montants précisés au paragraphe 1. 7. Les surfaces fourragères situées en zone non défavorisée qui sont pâturées en transhumance inverse et engagées au titre des mesures agroenvironnementales territorialisées dans des opérations de défense de la forêt contre l'incendie (DFCI) n'entrent pas dans le calcul du montant moyen à l'hectare. »
1. Les montants nationaux de référence par hectare, à l'exception des départements d'outre- mer, sont les suivants : MONTANTS en euros par hectare ZONES DÉFAVORISÉES Haute montagne Montagne Piémont Défavorisée simple Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche Sèche Hors sèche De surface fourragère 257 255 211 157 103 64 92 57 De surface cultivée 198 198 L'arrêté annuel du préfet de département ou, pour la Corse, du président du conseil exécutif visé à l'article 2, paragraphe 2, fixe les montants par hectare par zone et sous- zone pour les surfaces fourragères et les surfaces cultivées. Certains montants peuvent être fixés au- dessus des montants nationaux de référence, à condition que la moyenne départementale des montants pondérés par hectare soit inférieure ou égale au montant national de référence. Cette moyenne est établie distinctement par type de zone défavorisée. Pour les départements d'outre- mer, les montants de base sont fixés par arrêté préfectoral sur la base des dispositions prévues dans les plans de développement rural régionaux. Ils doivent être inférieurs à 250 €/ ha pour les zones de montagne et de haute montagne et à 150 €/ ha pour les autres zones ; toutefois, des paiements d'un montant supérieur peuvent être accordés dans des cas dûment justifiés. Si la surface agricole de l'exploitation est répartie sur plusieurs zones défavorisées ou sous- zones départementales délimitées dans l'arrêté du préfet de département ou, pour la Corse, du président du Conseil exécutif relatif au zonage visé au deuxième alinéa de l'article 2, la prime à l'hectare de surface fourragère est calculée proportionnellement à la représentation de chaque zone ou sous- zone défavorisée au sein de la surface agricole utilisée. 2. Une majoration du montant par hectare est appliquée aux élevages dont plus de la moitié du cheptel, compté en nombre d'UGB, est constitué d'ovins et de caprins. Cette majoration est respectivement de 10 % pour les zones de haute montagne et de montagne et de 30 % pour les zones de piémont et défavorisée simple. 3. Une majoration de 50 % des montants par hectare est appliquée pour les 25 premiers hectares de surfaces fourragères ou cultivées. Dans les cas où sont déclarées à la fois des surfaces éligibles en fourrage et en cultures, les surfaces cultivées sont majorées en priorité. Dans les départements d'outre- mer, le préfet arrête le nombre de premiers hectares de surfaces fourragères faisant l'objet d'une majoration dans la limite de 50 hectares ; pour les surfaces cultivées, il arrête les différentes conditions de majoration dans la limite de 25 hectares et d'un taux majoré de 130 %. 4. Pour les prairies situées dans la zone du marais poitevin, les montants nationaux de référence par hectare sont majorés de 69 € dans le marais desséché et de 140 € dans le marais mouillé. 5. Dans les communes de Haute- Corse classées en zone affectée de handicaps spécifiques, les montants unitaires maxima sont fixés à 128 €/ hectare pour les surfaces fourragères et à 120 €/ hectare pour les surfaces cultivées. 6. Pour les surfaces en productions de châtaigniers et de chênes valorisées par des porcs charcutiers destinés à la commercialisation et situées dans les zones de haute montagne et de montagne de Corse, les montants de référence par hectare sont fixés par le président du conseil exécutif de Corse, dans la limite des montants précisés au paragraphe 1. 7. Les surfaces fourragères situées en zone non défavorisée qui sont pâturées en transhumance inverse et engagées au titre des mesures agroenvironnementales territorialisées dans des opérations de défense de la forêt contre l'incendie (DFCI) n'entrent pas dans le calcul du montant moyen à l'hectare.
Mesures particulières relatives au transport et au lâcher de gibiers à plumes. 1. Lorsque le niveau de risque est "modéré" dans une ou des zones à risque particulier correspondant soit au lieu d'origine du gibier soit au lieu du lâcher, le transport et le lâcher du gibier à plumes sont interdits dans ces zones. Toutefois le transit par les grands axes routiers et sans rupture de charge est autorisé lorsque des mesures de biosécurité sont mises en œuvre. Par dérogation le transport et le lâcher du gibier à plumes peuvent être autorisés selon des modalités précisées par instruction des ministres en charge de la chasse et de l'agriculture. 2. Lorsque le niveau de risque est "élevé" soit dans le lieu d'origine du gibier soit dans le lieu du lâcher, le transport et le lâcher du gibier à plumes sont interdits dans ces zones, y compris hors des zones à risque particulier. Par dérogation, le transport et le lâcher de gibiers à plumes galliformes peuvent être autorisés selon des modalités précisées par instruction des ministres en charge de la chasse et de l'agriculture.
Au point 2 de l'article 10 de l'arrêté du 16 mars 2016 susvisé, après les mots : « Par dérogation, le transport et le lâcher de gibiers à plumes galliformes », sont insérés les mots : « , et le transport de gibiers à plumes palmipèdes d'un élevage à un autre élevage de gibier à plumes, ». Le point 2 de l'article 10 de l'arrêté du 16 mars 2016 susvisé est complété par les mots : « Les détenteurs d'origine et de destination du mouvement en zone à risque élevé s'engagent à subvenir aux besoins de leurs animaux quelles que soient les dispositions réglementaires en vigueur relatives au lâcher, et au respect de mesures de biosécurité renforcées lors du transport. »
Mesures particulières relatives au transport et au lâcher de gibiers à plumes. 1. Lorsque le niveau de risque est "modéré" dans une ou des zones à risque particulier correspondant soit au lieu d'origine du gibier soit au lieu du lâcher, le transport et le lâcher du gibier à plumes sont interdits dans ces zones. Toutefois le transit par les grands axes routiers et sans rupture de charge est autorisé lorsque des mesures de biosécurité sont mises en œuvre. Par dérogation le transport et le lâcher du gibier à plumes peuvent être autorisés selon des modalités précisées par instruction des ministres en charge de la chasse et de l'agriculture. 2. Lorsque le niveau de risque est "élevé" soit dans le lieu d'origine du gibier soit dans le lieu du lâcher, le transport et le lâcher du gibier à plumes sont interdits dans ces zones, y compris hors des zones à risque particulier. Par dérogation, le transport et le lâcher de gibiers à plumes galliformes, et le transport de gibiers à plumes palmipèdes d'un élevage à un autre élevage de gibier à plumes, peuvent être autorisés selon des modalités précisées par instruction des ministres en charge de la chasse et de l'agriculture. Les détenteurs d'origine et de destination du mouvement en zone à risque élevé s'engagent à subvenir aux besoins de leurs animaux quelles que soient les dispositions réglementaires en vigueur relatives au lâcher, et au respect de mesures de biosécurité renforcées lors du transport.
I. - Outre les pièces mentionnées aux articles R. 311-2-2 et R. 313-1, l'étranger qui sollicite la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle portant la mention “ passeport talent ” doit présenter, à l'appui de sa demande, selon les cas, les pièces justifiant qu'il remplit les conditions de la carte de séjour demandée et qui sont énumérées aux articles R. 313-45 à R. 313-71. II. - Pour l'application de l'article L. 313-21, l'étranger dont l'un des parents ou le conjoint est titulaire de la carte de séjour délivrée sur le fondement de l'article L. 313-20 doit présenter à l'appui de sa demande, outre les pièces mentionnées aux articles R. 311-2-2 et R. 313-1, la carte de séjour accordée à son parent ou conjoint. Lorsque la carte de séjour “ passeport talent ” a été délivrée sur le fondement du 2° de l'article L. 313-20 sur justification d'un séjour d'au moins dix- huit mois dans un autre Etat membre sous couvert d'une carte bleue européenne délivrée par cet Etat, l'étranger présente en outre son titre de séjour délivré par ce même Etat membre et un document de voyage en cours de validité ou des copies certifiées conformes de ceux- ci ainsi que, le cas échéant, un visa. Cette carte est délivrée au plus tard dans les six mois suivant le dépôt de la demande. Lorsque la carte de séjour “ passeport talent ” a été délivrée sur le fondement du 3° de l'article L. 313-20, l'étranger présente en outre le contrat de travail justifiant que son parent ou son conjoint a vocation à résider de manière ininterrompue plus de six mois en France.
L'article R. 313-44 est modifié comme suit : 1° Au deuxième alinéa, après les mots : « carte de séjour délivrée sur le fondement de l'article L. 313-20 », sont insérés les mots : « ou de celle délivrée sur le fondement du 2° du I de l'article L. 313-8 » ; 2° Il est créé un III ainsi rédigé : « III. - Pour l'application du 1° du II de l'article L. 313-8, l'étranger qui sollicite la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle portant la mention “passeport talent” mentionnée au 1°, 2°, 4° ou 9° de l'article L. 313-20 présente en outre, à l'appui de sa demande, la carte de séjour temporaire “recherche d'emploi ou création d'entreprise”. « Pour l'application du 2° du II de l'article L. 313-8, l'étranger qui sollicite la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle portant la mention “passeport talent” mentionnée au 5° de l'article L. 313-20 présente en outre, à l'appui de sa demande, la carte de séjour temporaire “recherche d'emploi ou création d'entreprise”. »
I.- Outre les pièces mentionnées aux articles R. 311-2-2 et R. 313-1, l'étranger qui sollicite la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle portant la mention “ passeport talent ” doit présenter, à l'appui de sa demande, selon les cas, les pièces justifiant qu'il remplit les conditions de la carte de séjour demandée et qui sont énumérées aux articles R. 313-45 à R. 313-71. II.- Pour l'application de l'article L. 313-21, l'étranger dont l'un des parents ou le conjoint est titulaire de la carte de séjour délivrée sur le fondement de l'article L. 313-20 ou de celle délivrée sur le fondement du 2° du I de l'article L. 313-8 doit présenter à l'appui de sa demande, outre les pièces mentionnées aux articles R. 311-2-2 et R. 313-1, la carte de séjour accordée à son parent ou conjoint. Lorsque la carte de séjour “ passeport talent ” a été délivrée sur le fondement du 2° de l'article L. 313-20 sur justification d'un séjour d'au moins dix- huit mois dans un autre Etat membre sous couvert d'une carte bleue européenne délivrée par cet Etat, l'étranger présente en outre son titre de séjour délivré par ce même Etat membre et un document de voyage en cours de validité ou des copies certifiées conformes de ceux- ci ainsi que, le cas échéant, un visa. Cette carte est délivrée au plus tard dans les six mois suivant le dépôt de la demande. Lorsque la carte de séjour “ passeport talent ” a été délivrée sur le fondement du 3° de l'article L. 313-20, l'étranger présente en outre le contrat de travail justifiant que son parent ou son conjoint a vocation à résider de manière ininterrompue plus de six mois en France. III.- Pour l'application du 1° du II de l'article L. 313-8, l'étranger qui sollicite la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle portant la mention “ passeport talent ” mentionnée au 1°, 2°, 4° ou 9° de l'article L. 313-20 présente en outre, à l'appui de sa demande, la carte de séjour temporaire “ recherche d'emploi ou création d'entreprise ”. Pour l'application du 2° du II de l'article L. 313-8, l'étranger qui sollicite la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle portant la mention “ passeport talent ” mentionnée au 5° de l'article L. 313-20 présente en outre, à l'appui de sa demande, la carte de séjour temporaire “ recherche d'emploi ou création d'entreprise ”.
Les eaux mentionnées à l'article L. 435-1 sont divisées en lots. Dans chaque lot, sans préjudice des décisions de mise en réserve, le droit de pêche aux lignes et le droit de pêche aux engins et aux filets font l'objet d'exploitations distinctes.
Le deuxième alinéa de l'article R.* 235-2 est remplacé par les dispositions suivantes : « Dans chaque lot, sans préjudice des décisions de mise en réserve, le droit de pêche exercé par les pêcheurs amateurs aux lignes, par les pêcheurs amateurs aux engins et aux filets dans les eaux du domaine public et par les pêcheurs professionnels en eau douce fait l'objet d'exploitations distinctes. »
Les eaux mentionnées à l'article L. 435-1 sont divisées en lots. Dans chaque lot, sans préjudice des décisions de mise en réserve, le droit de pêche exercé par les pêcheurs amateurs aux lignes, par les pêcheurs amateurs aux engins et aux filets dans les eaux du domaine public et par les pêcheurs professionnels en eau douce fait l'objet d'exploitations distinctes.
1. Le bordereau destiné à être conservé au bureau des hypothèques, pour opérer l'inscription d'un privilège ou d'une hypothèque, est seul obligatoirement rédigé sur une formule spéciale fournie par l'Administration ou sur un formulaire reproduit selon des normes fixées par instruction publiée au Bulletin officiel des impôts. 2. Les bordereaux commencent obligatoirement par la réquisition suivante, portée en lettres majuscules d'imprimerie et précisant la nature de la sûreté : "INSCRIPTION DE PRIVILEGE (OU D'HYPOTHEQUE) ... AYANT EFFET JUSQU'AU ... EST REQUISE ...". Ils indiquent, en outre, dans un cadre spécialement ménagé, si le principal de l'obligation garantie doit ou non être acquitté à une ou plusieurs dates déterminés postérieures à celle de la formalité. Indépendamment de ces réquisitions et indication, de la mention de certification de l'identité des parties, exigée par les articles 5 et 6 du décret du 4 janvier 1955, du certificat de conformité et des précisions qui seraient imposées par des dispositions législatives ou réglementaires particulières, les bordereaux ne peuvent contenir, sous peine de rejet de la formalité, que les énonciations prévues au troisième alinéa de l'article 2428 du Code civil. 3. Si le signataire ne s'est servi, pour la rédaction d'aucun des deux bordereaux, du modèle fourni par l'administration ou d'un formulaire reproduit selon des normes fixées par instruction publiée au Bulletin officiel des impôts, le conservateur doit néanmoins classer provisoirement l'un de ceux- ci à la place assignée par l'inscription au registre de dépôts. Mais, dans le mois au plus tard à compter de la date du dépôt, il invite le signataire, dans la forme prévue à l'article 34, 3, du présent décret, à substituer au document irrégulier un bordereau réglementaire, dans le délai d'un mois à compter de la notification et sous peine du rejet prévu au premier alinéa de l'article 2148 du Code civil. Après régularisation, le bordereau réglementaire prend la place du document irrégulier qui est retenu par le conservateur. La substitution est constatée par un enregistrement pour ordre au registre de dépôts. 4. *Paragraphe abrogé*.
Au deuxième alinéa du 2 de l'article 55 du décret du 14 octobre 1955, les mots : « que les énonciations prévues au troisième alinéa de l'article 2428 du code civil » sont remplacés par les mots et alinéas suivants : « que : « 1° La désignation du créancier, du débiteur ou du propriétaire, si le débiteur n'est pas le propriétaire de l'immeuble grevé, conformément au premier alinéa de l'article 5 et aux premier à cinquième alinéas de l'article 6 du décret du 4 janvier 1955 ; « 2° L'élection de domicile, par le créancier, dans un lieu quelconque situé en France métropolitaine, dans les départements d'outre- mer ou dans la collectivité territoriale de Saint- Pierre- et- Miquelon ; « 3° L'indication de la date et de la nature du titre générateur de la sûreté ou de la créance ainsi que la cause de l'obligation garantie par le privilège ou l'hypothèque et, le cas échéant, la mention expresse du caractère rechargeable de l'hypothèque et de la somme en capital pour laquelle l'hypothèque pourra être affectée à la garantie d'autres créances. S'il s'agit d'un titre notarié, les nom et résidence du rédacteur sont précisés. Pour les inscriptions requises en application des dispositions de l'article 2383 du code civil et des 1° à 3° de l'article 2400 du même code, les bordereaux énoncent la cause et la nature de la créance ; « 4° L'indication du capital de la créance, de ses accessoires et de la date prévue pour son exigibilité. En toute hypothèse, le requérant doit évaluer les rentes, prestations et droits indéterminés, éventuels ou conditionnels, sans préjudice de l'application des articles 2444 et 2445 du code civil au profit du débiteur ; si les droits sont éventuels ou conditionnels, il doit indiquer sommairement l'événement ou la condition dont dépend l'existence de la créance. Dans le cas où la créance est assortie d'une clause de réévaluation, l'inscription doit mentionner le montant originaire de la créance ainsi que la clause de réévaluation. Lorsque le montant de la créance n'est pas libellé en euros, l'indication immédiate de sa contre- valeur en euros est déterminée selon le dernier cours de change connu à la date du titre générateur de la sûreté ou de la créance ; « 5° La désignation, conformément aux premier et troisième alinéas de l'article 7 du décret du 4 janvier 1955, de chacun des immeubles sur lesquels l'inscription est requise ; « 6° L'indication de la date, du volume et du numéro sous lequel a été publié le titre de propriété du débiteur ou du propriétaire si le débiteur n'est pas le propriétaire des immeubles grevés, lorsque ce titre est postérieur au 1er janvier 1956 ; « 7° La certification que les montants figurant sur le bordereau, celui du capital de la créance garantie et, le cas échéant, celui du capital pour lequel l'hypothèque peut être affectée en garantie d'autres créances ne sont pas supérieurs à ceux figurant dans le titre générateur de la sûreté ou de la créance. »
1. Le bordereau destiné à être conservé au bureau des hypothèques, pour opérer l'inscription d'un privilège ou d'une hypothèque, est seul obligatoirement rédigé sur une formule spéciale fournie par l'Administration ou sur un formulaire reproduit selon des normes fixées par instruction publiée au Bulletin officiel des impôts. 2. Les bordereaux commencent obligatoirement par la réquisition suivante, portée en lettres majuscules d'imprimerie et précisant la nature de la sûreté : "INSCRIPTION DE PRIVILEGE (OU D'HYPOTHEQUE) ... AYANT EFFET JUSQU'AU ... EST REQUISE ...". Ils indiquent, en outre, dans un cadre spécialement ménagé, si le principal de l'obligation garantie doit ou non être acquitté à une ou plusieurs dates déterminés postérieures à celle de la formalité. Indépendamment de ces réquisitions et indication, de la mention de certification de l'identité des parties, exigée par les articles 5 et 6 du décret du 4 janvier 1955, du certificat de conformité et des précisions qui seraient imposées par des dispositions législatives ou réglementaires particulières, les bordereaux ne peuvent contenir, sous peine de rejet de la formalité, que : 1° La désignation du créancier, du débiteur ou du propriétaire, si le débiteur n'est pas le propriétaire de l'immeuble grevé, conformément au premier alinéa de l'article 5 et aux premier à cinquième alinéas de l'article 6 du décret du 4 janvier 1955 ; 2° L'élection de domicile, par le créancier, dans un lieu quelconque situé en France métropolitaine, dans les départements d'outre- mer ou dans la collectivité territoriale de Saint- Pierre- et- Miquelon ; 3° L'indication de la date et de la nature du titre générateur de la sûreté ou de la créance ainsi que la cause de l'obligation garantie par le privilège ou l'hypothèque et, le cas échéant, la mention expresse du caractère rechargeable de l'hypothèque et de la somme en capital pour laquelle l'hypothèque pourra être affectée à la garantie d'autres créances. S'il s'agit d'un titre notarié, les nom et résidence du rédacteur sont précisés. Pour les inscriptions requises en application des dispositions de l'article 2383 du code civil et des 1° à 3° de l'article 2400 du même code, les bordereaux énoncent la cause et la nature de la créance ; 4° L'indication du capital de la créance, de ses accessoires et de la date prévue pour son exigibilité. En toute hypothèse, le requérant doit évaluer les rentes, prestations et droits indéterminés, éventuels ou conditionnels, sans préjudice de l'application des articles 2444 et 2445 du code civil au profit du débiteur ; si les droits sont éventuels ou conditionnels, il doit indiquer sommairement l'événement ou la condition dont dépend l'existence de la créance. Dans le cas où la créance est assortie d'une clause de réévaluation, l'inscription doit mentionner le montant originaire de la créance ainsi que la clause de réévaluation. Lorsque le montant de la créance n'est pas libellé en euros, l'indication immédiate de sa contre- valeur en euros est déterminée selon le dernier cours de change connu à la date du titre générateur de la sûreté ou de la créance ; 5° La désignation, conformément aux premier et troisième alinéas de l'article 7 du décret du 4 janvier 1955, de chacun des immeubles sur lesquels l'inscription est requise ; 6° L'indication de la date, du volume et du numéro sous lequel a été publié le titre de propriété du débiteur ou du propriétaire si le débiteur n'est pas le propriétaire des immeubles grevés, lorsque ce titre est postérieur au 1er janvier 1956 ; 7° La certification que les montants figurant sur le bordereau, celui du capital de la créance garantie et, le cas échéant, celui du capital pour lequel l'hypothèque peut être affectée en garantie d'autres créances ne sont pas supérieurs à ceux figurant dans le titre générateur de la sûreté ou de la créance. 3. Si le signataire ne s'est servi, pour la rédaction d'aucun des deux bordereaux, du modèle fourni par l'administration ou d'un formulaire reproduit selon des normes fixées par instruction publiée au Bulletin officiel des impôts, le conservateur doit néanmoins classer provisoirement l'un de ceux- ci à la place assignée par l'inscription au registre de dépôts. Mais, dans le mois au plus tard à compter de la date du dépôt, il invite le signataire, dans la forme prévue à l'article 34, 3, du présent décret, à substituer au document irrégulier un bordereau réglementaire, dans le délai d'un mois à compter de la notification et sous peine du rejet prévu au premier alinéa de l'article 2148 du Code civil. Après régularisation, le bordereau réglementaire prend la place du document irrégulier qui est retenu par le conservateur. La substitution est constatée par un enregistrement pour ordre au registre de dépôts. 4. *Paragraphe abrogé*.
Les appareils et matériels, employés pour les jeux, doivent être d'un modèle agréé par le ministre de l'intérieur. Le silence gardé pendant plus de quatre mois sur la demande d'agrément vaut décision de rejet.
Le premier alinéa de l'article 6 est ainsi rédigé : « A l'exception de ceux mentionnés à l'article 1er-1, les appareils et matériels utilisés pour les jeux doivent être un modèle préalablement agréé par le ministre de l'intérieur. »
A l'exception de ceux mentionnés à l'article 1er-1, les appareils et matériels utilisés pour les jeux doivent être un modèle préalablement agréé par le ministre de l'intérieur. Le silence gardé pendant plus de quatre mois sur la demande d'agrément vaut décision de rejet.
Outre le Conseil général de l'environnement et du développement durable, qui peut siéger en formation d'autorité environnementale, et l'inspection générale des affaires maritimes, l'administration centrale du ministère de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire comprend : ― le secrétariat général ; ― le Commissariat général au développement durable ; ― la direction générale de l'énergie et du climat ; ― la direction générale des infrastructures, des transports et de la mer ; ― la direction générale de l'aviation civile ; ― la direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature ; ― la direction générale de la prévention des risques ; ― la délégation à la sécurité et à la circulation routières.
Le décret n° 2008-680 du 9 juillet 2008 susvisé est ainsi modifié : 1° L'article 1er est complété par un alinéa ainsi rédigé : « ― la délégation à l'hébergement et à l'accès au logement. » ; 2° Il est inséré, après l'article 9, un article 9-1 ainsi rédigé : « Art. 9-1. - La délégation à l'hébergement et à l'accès au logement est chargée d'assurer la coordination et le suivi de la mise en œuvre des priorités en matière d'hébergement et d'accès au logement des personnes sans abri ou mal logées. Elle apporte son concours à l'action interministérielle dans ce domaine. »
Outre le Conseil général de l'environnement et du développement durable, qui peut siéger en formation d'autorité environnementale, et l'inspection générale des affaires maritimes, l'administration centrale du ministère de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire comprend : ― le secrétariat général ; ― le Commissariat général au développement durable ; ― la direction générale de l'énergie et du climat ; ― la direction générale des infrastructures, des transports et de la mer ; ― la direction générale de l'aviation civile ; ― la direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature ; ― la direction générale de la prévention des risques ; ― la délégation à la sécurité et à la circulation routières ; - la délégation à l'hébergement et à l'accès au logement.
Sous peine d'interruption du versement de sa rémunération, le bénéficiaire d'un congé de longue maladie ou de longue durée doit se soumettre, sous le contrôle du médecin agréé et, s'il y a lieu, du comité médical, aux prescriptions que son état requiert, et notamment à celles fixées par l'arrêté prévu à l'article 49 du décret du 14 mars 1986 susvisé. Le temps pendant lequel le versement de la rémunération a pu être interrompu compte dans la période de congé en cours.
L'article 28 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 28. - Le fonctionnaire en congé de longue maladie ou en congé de longue durée informe l'autorité investie du pouvoir de nomination de tout changement de domicile et, sauf en cas d'hospitalisation, de toute absence du domicile supérieure à deux semaines. Il informe l'autorité investie du pouvoir de nomination de ses dates et lieux de séjour. « A défaut, le versement de la rémunération du fonctionnaire peut être interrompu. « Le temps pendant lequel le versement de la rémunération a été suspendu compte dans la période de congé en cours. »
Le fonctionnaire en congé de longue maladie ou en congé de longue durée informe l'autorité investie du pouvoir de nomination de tout changement de domicile et, sauf en cas d'hospitalisation, de toute absence du domicile supérieure à deux semaines. Il informe l'autorité investie du pouvoir de nomination de ses dates et lieux de séjour. A défaut, le versement de la rémunération du fonctionnaire peut être interrompu. Le temps pendant lequel le versement de la rémunération a été suspendu compte dans la période de congé en cours.