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Vingt-quatre départements socialistes ont demandé samedi 5 décembre, dans une lettre ouverte aux parlementaires, une "généralisation dès aujourd'hui" du revenu de base alors que l'Assemblée nationale s'est prononcée jeudi pour ouvrir un débat sur un mécanisme de revenu minimum universel. "Nous pourrions dès aujourd’hui envisager une généralisation afin de répondre à la crise inédite que nous traversons, plutôt que d’engager un débat national", écrivent les signataires, sous l'égide du président (PS) de la Gironde Jean-Luc Gleyze. Jeudi, les députés ont adopté par 106 voix contre 11 une résolution qui "invite le gouvernement à ouvrir un débat national et citoyen sur la création, l'expérimentation, le financement, la mise en œuvre et l'évaluation" d'un tel mécanisme. La résolution était soumise par la députée du Nord Valérie Petit dans le cadre d'une "niche" réservée à son groupe Agir, allié de la majorité. >> A lire aussi - Le généreux don du patron de Twitter pour tester le revenu universel aux Etats-Unis "Deux ans pour que la majorité parlementaire de l’Assemblée nationale, qui refusait tout débat sur un revenu de base, se décide enfin à ouvrir la réflexion que nous demandions", dénoncent les signataires qui rappellent que le projet avait été initié en 2016 par la Gironde suivie de 18 départements volontaires. "Ces deux ans écoulés nous auraient permis d’évaluer les effets d’un revenu de base sur les publics visés et de l’ajuster au mieux à leurs besoins. Rattrapons ce temps perdu !", ajoutent-ils assurant avoir déjà consulté un "jury citoyen et récolté 15.000 contributions via une plateforme numérique". Ils annoncent également une contribution à la consultation "sur l’aide à l’émancipation individuelle (AILES), initiée par les députés socialistes Boris Vallaud et Hervé Saulignac". >> A lire aussi - Revenu universel d’activité : une certitude et beaucoup de questions L'idée d'un revenu universel avait notamment constitué la proposition phare du candidat socialiste Benoît Hamon lors de la présidentielle de 2017. La lettre ouverte est signée des présidentes et présidents de départements des Alpes-de-Haute-Provence, d'Ardèche, d'Ariège, de l'Aude, de Dordogne, du Finistère, de Haute-Garonne, du Gers,de Gironde, de l'Hérault, d'Ille-et-Vilaine, des Landes, de Loire-Atlantique, du Lot, du Lot-et- Garonne, de Lozère, de Meurthe-et-Moselle, de la Nièvre, du Pas-de-Calais, des Pyrénées- Orientales, du Tarn, de Haute-Vienne, de Seine-Saint-Denis et de Guadeloupe.
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La rivalité entre Savoyards et Haut-Savoyards ne prendra donc jamais fin. Avec sa 134e place du classement réalisé sur le site “www.ville-ideale.fr”, Annecy se positionne bien loin de la rivale savoyarde : Aix-les-Bains. A LIRE AUSSI : MATCH ANNECY VS ANNECY La ville bordée par le lac du Bourget se classe en effet à la première place du site avec une note magistrale de 8,45 (plus de deux points d’écarts par rapport à Annecy). Peu importe la catégorie, Aix-les-Bains se distingue par une bonne voire une excellente note : Environnement (8,99/10), Transports (6,81), Sécurité (8,01), Santé (7,84), Sports et loisirs (8,91), Culture (7,93), Enseignement (7,50), Commerces (7,89) ou Qualité de vie (8,91). Un Annécien commente sur le site : « Aix est la ville parfaite, la beauté du paysage et de la ville est magnifique. Habitant Annecy, je regrette cette qualité de vie, la propreté et la sécurité. »
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Soupçonné d’avoir dérobé des bijoux dans deux habitations, un homme d’origine géorgienne a été incarcéré, ce samedi après-midi, 11 août. Les vols remontent au mois de juillet 2017, à Lanmeur et à janvier dernier, à Plouigneau. À chaque fois, les préjudices avaient été conséquents. Les prélèvements d’ADN effectués lors de ces deux cambriolages ont permis de mettre les gendarmes de la communauté de brigades de Plourin-lès-Morlaix sur la piste d’un homme de 36 ans, déjà connu de la justice française. La collaboration avec les services de police géorgiens a permis aux enquêteurs de démontrer que l’auteur présumé des faits, qui se définit comme spécialiste de l’export de véhicules entre la France, les États-Unis, l’Allemagne et la Géorgie, possède une double identité. Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 3 h, le trentenaire a été contrôlé dans les rues de Saint-Brieuc. Retenu par la police briochine, il a été transféré dans les locaux de la gendarmerie de Plourin-lès-Morlaix, dans la matinée. Placé en garde à vue, il a été présenté dans l’après-midi devant le procureur de la République de Brest, qui l’a placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Brest. Avant sa comparution devant le tribunal correctionnel, mardi, à 13 h 30.
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La décision a été rendue publique lundi. La chambre disciplinaire de première instance de Bourgogne a retenu tous les griefs contre les quatre anciens praticiens de Dentexia et les sanctionne de six mois d’interdiction d’exercer, dont trois avec sursis pour les deux hommes et cinq mois avec sursis pour les deux femmes. Plus de détails dans nos éditions de mardi ou en cliquant ici (abonnés web).
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Maltraité par les socialistes depuis six mois, Pierre Moscovici a annoncé qu’il renonçait à une candidature « pour conduire la famille socialiste ... Partager
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Le 14 août 2018, le grand jury de l’État de Pennsylvanie a publié le rapport qui, dans sa dernière rédaction, comptait presque 900 pages et dévoilait l’envergure de la pédophilie dans l’Eglise catholique des Etats-Unis. Plus de 300 prêtres sont accusés de viols, d’attouchements et d’autres actes sexuels sur un millier d’enfants de différents âges et sexe pendant une cinquantaine d’années, mais seulement deux pourraient être poursuivis à cause du délai de prescription. L’enquête qui a duré 24 mois, a aussi dévoilé la complicité de l’Eglise dans ces crimes et ces accusations, et même la promotion des prêtres « qui se sont écartés du chemin de la foi » pour mettre sous silence les scandales possibles. Quelques jours après, l’évêque de Pittsburgh demande pardon aux victimes. Le Saint-Siège a aussi exprimé sa honte et ses regrets « Deux mots peuvent exprimer ce que l’on ressent devant ces crimes horribles : honte et douleur. Le Saint-Siège condamne sans équivoque les abus sexuels sur des mineurs. Les victimes doivent savoir que le pape est de leur côté. Ceux qui ont souffert sont sa priorité et l’Église veut les écouter pour éradiquer cette tragique horreur qui détruit la vie des innocents. Il faut dénoncer aux autorités civiles tout nouveau cas et continuer les efforts pour assurer la sécurité des enfants dans l’Église et dans la société », a déclaré le 16 août Greg Burke, chef de service de presse du Saint-Siège. Mais est-ce que cela change vraiment quelque chose pour les victimes et il y en a combien ? Comment peut-on expliquer cette aliénation mentale parmi ceux qui servent Dieu ? Le premier fondement, on peut dire, c’est le célibat, mais d’après le prêtre et psychothérapeute Stéphane Joulain, la grande majorité des abus sexuels sur mineur ont lieu dans le cadre privé de la famille. L'archevêque de Marseille, Mgr Pontier dans son article nomme aussi : Le contact avec la jeunesse très étroit et pas contrôlé Pour empêcher ce comportement délictuel, il faut tout d’abord : « ne jamais s'enfermer dans une pièce avec un seul jeune. Il ne faut pas qu'il y ait un jeune, il faut qu'il y en ait plusieurs. Et ne jamais se mettre dans une situation occulte, fermée, pour parler avec un seul jeune. Il faut le faire en public, porte ouverte. Il ne faut jamais s'isoler avec un jeune ou un enfant tout seul. » La protection du côté de l’Eglise Le rapport ci-dessous dénonce la méthode employée par la hiérarchie de l'Eglise pour étouffer les scandales et même les investigations de la police. La surestimation du « pardon » L’Eglise est sûre que le « pardon » devant le public donne l’absolution et diminue la cupabilité, mais on voit le contraire et, en tout cas, cela ne change rien pour les victimes… A vrai dire, chaque religion peut être confrontée à des prêtres pédophiles mais grâce au grand public et à un journalisme très pointu, l’Eglise catholique revient au centre des scandales beaucoup plus souvent. En 2013, Vatican a créé une commission pour lutter contre cette activité au sein de l’Eglise et j’espère que cela aidera à restituer la confiance en l’Eglise. Il ne faut pas oublier bien sûr, que les pédophiles auraient pu être les victimes des crime analogues pendant leur enfance même aux séminaires. Encore un signe de la nécessité des changements profonds.
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un wee-kend de juillet a disneyland paris avec mon epouse et nos petits enfants ,une promesse pour mon depart a la retraite
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Dakar, 23 juin (APS) - USS Hershel Woody Williams, un bâtiment de la marine américaine de 70 mille tonnes, en patrouille au large des côtes africaines depuis juillet dernier, est arrivé au port autonome de Dakar dans le cadre de la coopération militaire entre les deux pays, a constaté l’APS, ce mercredi. Mis en service en mars 2020, ce bateau militaire qui porte le nom d’un héros de la Seconde Guerre mondiale reçoit à bord quelque 110 soldats. Long de 220 mètres, il est équipé de différentes sortes d’engins d’intervention, d’un bloc médical autonome, ainsi que d’une piste d’atterrissage sur le pont supérieur culminant à 80 mètres. Il a principalement pour mission de "fournir de l’aide humanitaire, porter assistance aux Etats en cas de catastrophe naturelle, participer à la lutte contre les pirates de mer, le terrorisme ainsi que de soutenir les partenaires en cas de besoin", a fait savoir le commandant du navire, le capitaine Michael Concannon. Selon lui, l’objet de cette patrouille est de prendre contact avec les autorités sénégalaises et discuter avec elles sur les enjeux et problèmes communs, afin de trouver des opportunités de travail pour une meilleure coopération. Le capitaine et son équipe comptent ainsi faire de même avec tous les autres pays africains qui ont une frontière maritime. Le capitaine de vaisseau Ibrahima Sow, chef de la division des opérations de la marine nationale a salué cet appui militaire qui selon lui "vient à son heure". "Nous sommes déjà en partenariat avec vous et d’autres pays dans le cadre de la sécurisation de nos frontières et le renforcement de nos capacités, et nous restons à votre disposition, ouverts pour nouer davantage de collaboration allant dans le sens de la formation, de l’intervention et d’autres domaines spécifiques à décider ensemble", a-t-il déclaré. Le capitaine de vaisseau s’adressait ainsi à une partie de l’équipage, à l’issue d’une visite guidée du navire.
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La revanche des JO de Tokyo La défense des Russes ne trouvait pas de solutions pour contenir l'attaque des Norvégiennes, portée par Nora Mork, Sanna Solberg-Isaksen et Kari Dale. La Russie a cru entrevoir un possible retour en début de seconde période mais les Norvégiennes ont rapidement repris leurs distances pour s'imposer avec maîtrise. Elles ont pris par la même occasion leur revanche de la demi-finale du tournoi olympique de Tokyo, remportée par la Russie 27-26. En demi-finale, la Norvège sera opposée à l'Espagne vendredi.
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Foot - Mercato - Barcelone Mercato - Barcelone : Entre Newcastle et le Barça, Xavi Hernandez aurait tranché ! Publié le 22 octobre 2021 à 0h30 par Th.B. Régulièrement annoncé du côté du FC Barcelone pour y prendre la succession de Ronald Koeman, Xavi Hernandez ne serait pas enclin à l’idée de revenir au Barça dans l’immédiat. Et l’option Newcastle lui plairait particulièrement. « Mon avenir ? Toute offre sera évaluée et ensuite nous déciderons. Je ne sais pas où mon avenir me mènera, mais je suis ouvert à toutes les possibilités » . Voici le témoignage que Xavi Hernandez livrait à la TVE le 9 octobre dernier. Depuis quelque temps, le nom de la légende du FC Barcelone, qui tient les rênes de l’effectif d’Al-Sadd où son contrat n’expirera qu’à la fin de l’année 2022, revient avec insistance du côté du FC Barcelone dans le cadre de la succession de Ronald Koeman. Cependant, il se pourrait que le Barça ne puisse pas s’attacher les services de son ancien numéro 6 pour le remplacement de Koeman. Xavi pas emballé par le Barça actuel, l’option Newcastle prise en considération !
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Vous ne regarderez plus jamais de la même façon les épisodes des Simpsons une fois que vous aurez visionné ces quelques photos reprenant les personnages principaux de la série tels que Mr Burns, Milouze ou encore Ned Flanders et Homer. La ressemblance est frappante mais est-ce pour autant un compliment pour les personnes en question ?
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Le préfet d'Izmir a affirmé jeudi que les autorités soupçonnaient les rebelles kurdes du PKK d'être responsables de l'attentat à la voiture piégée qui a fait deux morts dans la ville. "Les premiers éléments indiquent que le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) est derrière cette attaque", a déclaré Erol Ayyildiz à la presse. Il a également précisé que "six, sept personnes" étaient blessées.
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Agriculture | Haute-Vienne : Les producteurs de marrons châtaignes alertent le préfet 28/10/2020 | Après dix ans de relance des plantations, la surface de la châtaigneraie a été multipliée par dix en Haute-Vienne passant de 50 à 500 hectares. Cependant, des enjeux majeurs sont à relever par les castanéiculteurs, que ce soit la transformation de la production, la lutte contre le cynips et le chancre de l‘écorce ainsi que la relance de la consommation sous toutes ses formes. Des messages que le syndicat des producteurs marrons-châtaignes et petits fruits du Limousin ont passé, hier, au préfet du département. C’est au cœur de l’exploitation d’Emmanuel Rabaud, président du syndicat des producteurs de marrons et châtaignes, que le préfet du département Seymour Morsy, le président du Conseil départemental Jean-Claude Leblois et le député Pierre Venteau ont écouté les doléances de toute une profession. Installé à La Roche L’Abeille, il a commencé à planter son verger de châtaigniers en 2008 sur 4,5 ha. Aujourd’hui, il s’étend sur 20 ha complétés par 10 ha de noisetiers, le tout en agriculture bio. « Notre filière est modeste mais elle ne manque pas de dynamisme et de potentiel si toutefois un certain nombre de freins notamment sanitaires et de sujets inquiétants sont résolus dans un délai rapide a-t-il déclaré. Lorsque j’ai commencé à planter on m’avait dit que tous les problèmes seraient résolus grâce à la recherche mais, dix ans après, les problèmes persistent et de nouveaux sont apparus d’où l’importance d’alerter les élus et les représentant de l’État. » Des variétés hybrides performantes La châtaigne reste le fruit emblématique du département et de l’ex région Limousin, l’arbre à pain a nourri des générations d’habitants. Au XVIIIème siècle, la châtaigneraie occupait un tiers des surfaces, le déclin a débuté au siècle suivant avec l’introduction de la pomme de terre, la maladie de l’encre et l’abatage des vergers pour les besoins en tanins des papeteries locales. De nouvelles variétés hybrides résistantes à l’encre, produites par la station expérimentale INRA de Migoule près de Brive-la-Gaillarde, ont été plantées au début du XXème siècle. Le verger du Sud-Ouest a pu renaître avec des variétés toujours cultivées comme la Précoce Migoule, la Marigoule et la Bouche de Bétizac. Un premier syndicat de producteurs a vu le jour en 1970 pour la plantation de vergers en Marigoule. La création de la coopérative Limdor à Saint-Yrieix, à l’initiative des castanéiculteurs, a renforcé la filière de même que le lancement de sa station de collecte en 2009 avant la relance du syndicat l’année d’après. Au cours de la dernière décennie, la dynamique de plantation a repris, le verger limousin est passé de 50 ha à 500 ha. Aujourd’hui, 2.000 ha de châtaigniers sont cultivés dans le Sud-Ouest dont la moitié en agriculture bio avec une progression de 31 % en cinq ans en Nouvelle-Aquitaine. Certes, la relance de la filière châtaigne en Haute-Vienne et du syndicat ont créé une dynamique mais aujourd’hui, l’objectif premier est la professionnalisation des vergers et la mécanisation de la récolte. Grâce au salon biennal Tech-Châtaigne, lancé en 2014 à Saint-Yrieix-la-Perche, les producteurs découvrent de nouveaux équipements mécanisés. Actuellement, 80% de la récolte est assurée par seulement 20 % des castanéiculteurs. La menace du cynips Un autre enjeu majeur et immédiat préoccupe les professionnels à savoir, la question sanitaire en lien avec le réchauffement climatique. « Nous avons besoin de sécuriser notre production et la qualité de nos fruits mis en marché a martelé le président, pour cela, la mobilisation des programmes d’innovation recherche développement est indispensable bien qu’à la peine et difficiles d’accès pour cette filière modeste. » Afin de lutter contre le cynips, une guêpe arrivée de Chine qui a fortement contaminé le secteur de Saint-Yrieix, le syndicat national puis l’Union interprofessionnelle châtaigne Sud-Ouest ont favorisé l’introduction d’un prédateur, à savoir le torymus sinensis dont les larves s’en nourrissent. « Environ 70 % des vergers du Limousin sont en Marigoule et cette variété est très sensible au cynips précise Emmanuel Rabaud, malgré cette lutte bio-intégrée mi curative, mi-préventive, l’avenir est très inquiétant. » Les arbres sont aussi attaqués par le chancre de l’écorce, un moyen de lutte existe mais il ne dispose pas d’autorisation de mise sur le marché. Quant aux fruits, 30 à 40 % de la récolte 2018 a pourri à cause du gnomoniopis castanea, sans moyen de lutte actuellement, du carpocapse malgré des auxiliaires de lutte biologique peu développés et du balanin, responsables des châtaignes véreuses. Enfin, les changements climatiques récents sont également préjudiciables pour les vergers avec des périodes de gels tardifs au printemps et des étés caniculaires et très secs qui fragilisent les arbres avec des conséquences sur la qualité lors de la récolte des fruits lorsque la température grimpe à 30°. « Le choc est devant nous et on s’attend à une baisse de production dans les prochaines années prévient le président, il faut que le Ministère de l’Agriculture dégage des enveloppes dédiées à la recherche. De plus, la question de l’irrigation va se poser et il nous faudra des leviers financiers importants. » Développer la transformation En dépit d’un contexte sanitaire et climatique préoccupant, le syndicat compte sur la relance de la consommation pour développer la filière et conforter la rémunération des producteurs. Le marché français est estimé à 5 000 tonnes de châtaignes fraîches consommées en automne, essentiellement des gros calibres, 3 000 tonnes sont exportées et 6 700 importées, avec de plus en plus de fruits de petits et moyens calibres valorisés en conserves, confitures, confiseries et farine. En Haute-Vienne, le syndicat mise sur le GIEE Chastanha, un collectif de sept castanéiculteurs du Sud du département qui veut développer et sécuriser les vergers en s’appuyant sur l’agroforesterie, afin d’accélérer la montée en compétences des producteurs, de professionnaliser la conduite des vergers, de travailler sur l’irrigation et d’initier un débat sur la transformation des châtaignes par les producteurs. Le syndicat fonde aussi des espoirs dans la prochaine édition du salon professionnel Tech-Châtaigne en 2021 (celui de 2020 étant annulé) qui doit accueillir 50 exposants avec des démonstrations d’équipements et des conférences techniques ainsi que sur le congrès européen technique Eurocastanea qui aura lieu entre Saint-Yrieix et Uzerche. Ce rendez-vous créé voilà dix ans à l’initiative des producteurs français permet d’éditer un livre blanc pour développer un programme commun de relance de la filière en Europe. De plus, l’Union interprofessionnelle Sud-Ouest a initié plusieurs projets notamment la défense du Label rouge « marron », le développement de vergers avec la variété Bellefer, idéale pour le marché de la transformation, la coordination de projets sur les problématiques sanitaires ou encore une étude sur le positionnement AB de la châtaigne en collaboration avec Interbio Nouvelle-Aquitaine. Son président Bertrand Guérin a alerté le représentant de l’État sur la ressource en eau et la nécessité de développer ce marché de niche. « Alors que la production en France s’est effondrée, la consommation de châtaignes est stable et elle progresse en les transformant. Nous avons une fenêtre de tir intéressante mais il nous manque deux choses, pour faire face aux changements climatiques, il nous faut la maîtrise de l’eau, créer des ressources en stockant quand il pleut. Par ailleurs, le retour sur production et investissement est lent, il faut compter plusieurs années. Dans le cadre du Plan France Relance, je demande s’il serait possible d’inclure un dispositif d’accompagnement des nouvelles plantations. Il y avait bien des aides de France-Agrimer, l’enveloppe s’est étiolée, les critères d’obtention étant de plus en plus rigoureux, plus personne n’accède à ce dispositif. C’est donc l’occasion de remettre des moyens financiers. » Interpellé sur ces deux points, le préfet Seymour Morsy a apporté des éléments de réponse. « Nous avons commencé à travailler avec les acteurs concernés sur la question de l‘eau et dès que nous aurons un plan stratégique cohérent, nous pourrons être soutenus par le gouvernement pour aller de l’avant que ce soit pour l’eau qu’on ira chercher ou celle que l’on gardera. Tous les partenaires sauront à ce moment là parler d’une seule et même voix. » Il souhaiterait également organiser une rencontre avec l’INRA pour faire le point sur les questions qui préoccupent les professionnels. Quant au Plan France Relance, le Ministre de l’agriculture devrait annoncer un dispositif d’aides plus avantageux. Pour sa part, le Département a rappelé qu’une convention a été signée dernièrement avec le comité de bassin Loire-Bretagne pour établir un diagnostic sur la ressource en eau « l’un des premiers problèmes à régler » a souligné Jean-Claude Leblois, son président. Par Corinne Mérigaud Crédit Photo : Corinne Mérigaud
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Norberto Murara Neto pourrait rejoindre l'Angleterre. En effet, d'après les informations du Plaza Deportivo, le gardien du Valence CF, sous contrat avec le club espagnol jusqu'en juin 2021, serait courtisé par Arsenal, qui aimerait trouver un remplaçant à Petr Cech qui, lui, prendra sa retraite sportive en fin de saison. Les Gunners auraient même déjà pris contact avec les représentants du portier mais l'offre qui a été proposée à ces derniers n'a pas été validée par Neto. Néanmoins, toujours d'après les informations du quotidien espagnol, le choix du principal intéressé pourrait être influencé par la possible non-présence d'Arsenal en Ligue des champions la saison prochaine, si le club londonien ne remporte pas la finale de la Ligue Europa face à Chelsea le 29 mai (21h), synonyme de ticket pour la C1. Au contraire, les Valencians, eux, sont assurés de disputer la compétition.
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Les résultats de la journée Montpellier Hérault SC 0 - 1 AS Saint-Étienne Olympique Lyonnais 2 - 0 FC Nantes Girondins de Bordeaux 3 - 1 Dijon FCO LOSC 3 - 1 FC Metz AS Monaco 0 - 0 Amiens SC RC Strasbourg Alsace 1 - 1 OGC Nice ESTAC Troyes 3 - 1 SM Caen Stade Rennais FC 2 - 1 Toulouse FC Angers SCO 1 - 1 Olympique de Marseille Paris Saint-Germain 2 - 2 EA Guingamp Le Classement en relief Les gestes Le but stéphanois contre Montpellier: Yann M'Vila ouvre pour Rémy Cabella qui s'appuie en une touche dans la surface sur Kévin Monnet-Paquet, qui lui remet du talon. L’ancien Montpellierain fait une belle conduite avant d'offrir de l'extérieur du droit un amour de passe décisive – qui élimine le défenseur et le gardien – à Romain Hamouma qui n'a plus qu'à pousser le ballon. La feinte de talonnade de Nicolas Pépé à l'entrée de la surface qui lui permet d'embarquer complètement Moussa Niakhaté et de s'ouvrir le but pour une belle frappe enroulée sans élan. La remise/offrande sans contrôle de l'excellent Wahbi Khazri pour l'égalisation face au but de James Léa-Siliki. Le match plein de Yohann Pelé, auteur de trois parades décisives. La reprise sans contrôle de Ludovic Blas, qui se fige dans le coin droit du but d’Alphonse Areola, impuissant. Memphis Depay qui se met le ballon sur son pied gauche d'un dribble derrière la jambe d'appui, avant de marquer d'une frappe puissante au ras du poteau. Les multiples parades de Ciprian Tatarusanu, insuffisantes pour éviter la défaite nantaise mais qui leur épargnent une fessée. La reprise de volée en reculant de Gaël Kakuta, qui échoue sur le poteau. La remise de l'exter’ de Karl Toko-Ekambi pour Prince Oniangué, dont la frappe est sauvée par Yohann Pelé. Naïm Sliti qui dribble, provoque un pénalty, exécute un corner direct... Il était partout. "Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d'en être l'organisateur." Les antigestes Le penalty de Giovanni Sio, plein axe, face à un des meilleurs gardiens de Ligue 1. OK, sur un très gros malentendu, il aurait pu conclure. La Rémy Vercoutre de Rémy Vercoutre qui lit mal la trajectoire du coup franc de Bryan Pelé, se fait lober avant de voir le ballon rebondir sur son poteau puis derrière sa tête et finir sa course dans les buts. L'intervention d'attaquant de Stéphane Bahoken, qui crochète Jean-Michaël Seri dans la surface sur un corner niçois joué à deux à l'origine sans grand danger pour la défense strasbourgeoise. Autre geste défensif malheureux d'un attaquant, le tacle en retard du Monégasque Adama Diakhaby, qui provoque une faute, une échauffourée et deux expulsions dont la sienne. La comedia dell'arte de Mario Balotelli, qui marque son penalty puis chauffe toute la défense strasbourgeoise avant de s'effondrer, victime d'une agression factice. On n'a pas vu aussi mauvais comédien depuis Pascal Dupraz. Les deux auto-dribbles réussis par Isaac M’Benza sur les deux balles de but reçues dans les trois minutes après son entrée. La défense niçoise qui laisse Idriss Saadi marquer tranquillement de la tête, lui qui était pourtant le seul Strasbourgeois dans la surface au moment du centre. Le monumental loupé de Wahbi Khazri, seul face au but vide. La défense caennaise sur corner, qui laisse Benjamin Nivet reprendre le ballon au premier poteau sans opposition. Vincent Koziello est passé faire coucou à ses anciens partenaires. Le coin fraîcheur D'après son président, Angers a reçu une offre énorme (plus de 50% du budget du club) pour Karl Toko Ekambi, en janvier. Celui-ci l'a balayée pour aider les Angevins, qui comptaient dix-huit points à l'époque, à se maintenir avant de partir. Un état d'esprit remarquable. Le championnat à l'envers Tirelipimpon sur le chihuahua, chantait Yvan-Chrysostome Dolto, plus connu sous le nom de Carlos, en 1989. Et autant vous le dire tout de suite, on ne voit vraiment pas quel rapport cela pourrait bien avoir avec cette trente-cinquième journée de championnat à l'envers. Mais il fallait bien commencer par quelque chose, alors... Certes, il y avait bien ce match au sommet entre le leader messin et son dauphin lillois, deux équipes séparées par seulement trois points. Trois points et demi en réalité, la différence de buts étant très largement à l'avantage de Metz, qui aurait donc conservé sa première place au terme de cette journée, même en cas de déconvenue. Mais déconvenue il n'y eut pas. Le leader a largement dominé son dauphin et avait même pris le soin de se prémunir, avant la pause, contre la saute de concentration hebdomadaire de Nolan Roux, l'erreur de casting de la saison. Sans lui, les Messins auraient pu être mathématiquement assurés du titre depuis longtemps... Lille ayant failli, sans grande surprise, on aurait pu imaginer que Troyes allait en profiter face à Caen, même si les Normands ont actuellement une réussite insolente. Mais non. Bien que parfaitement entrés dans leur match, les Troyens se déconcentraient et laissaient leur adversaire revenir sous l'impulsion de l'expérimenté Rémy Vercoutre. Certainement décontenancé, et commençant probablement à accuser un peu le poids des ans, Benjamin Nivet se mettait ensuite à la faute, donnant un avantage qui sera même amplifié en fin de match. Les Troyens concèdent finalement la victoire aux Caennais sur le même score que les Dogues aux Messins. Statu quo donc, tandis que l'inaltérable leader renforce son avance. Au pied du podium en revanche, Toulouse a profité de l'aubaine en déjouant parfaitement le piège tendu par des Rennais qui n'ont pourtant pas hésité à se marquer eux-mêmes le premier but du match. Une belle stratégie pour éviter le risque d'obtenir d'une place européenne. Mais les Toulousains savaient qu'ils pouvaient opérer un joli rapproché au classement en cas de bon résultat et Rennes en a été pour ses frais. Le TFC ne pointe plus qu'à deux points du podium avant d'affronter Lille dans un véritable match à six points lors de la prochaine journée. En attendant, comme l'aurait fort à propos dit Yvan-Chrysostome: "Touche mes castagnettes, moi je touche à tes ananas." Le championnat vu par Twitter .@OL ace @Memphis was in flying form in April, scoring 6 and assisting another 6, and is our Ligue 1 player of the month with a WhoScored rating of 9.12https://t.co/kBlM4unBnD pic.twitter.com/1JeePlzDrx — WhoScored.com (@WhoScored) 1 mai 2018 Sans surprise, ça descend assez facilement. pic.twitter.com/rNn4M4Mnf3 — Bobby Picasso (@docteursourire) 28 avril 2018 Une minute de silence sera respectée au Vélodrome en soutien à Walid Baaloul, intendant de l'OM toujours entre la vie et la mort. (OMTV) — Zénon Zadkine (@ZenonBedenik) 26 avril 2018 Merci à forezjohn, Lucho Gonzealaise, Mama, Rama & Papa Yade, Mik Mortsllak, Moravcik dans les prés, pipige, Tonton Danijel, Yul rit cramé pour leurs contributions. Le championnat à l'envers est de Portnaouac, la compilation de AKK rends tes sets et les lucarnes sont de Gouffran direct et de vertigo.
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Publicité Lire la suite Paris (AFP) L'Italien Valentino Rossi, qui passe de l'écurie officielle Yamaha à son satellite SRT pour la saison 2021 de MotoGP, se fixe pour objectif de recommencer à se "battre pour le podium et la victoire" après deux saisons frustrantes. "Je ne cours pas juste pour passer le temps", a clamé l'icône du MotoGP lors d'une visioconférence de presse mercredi. "C'est une saison très importante pour moi car je sors de deux saisons en-dessous de mes espérances, particulièrement concernant les résultats." "Je veux essayer d'être compétitif et plus fort que ces deux dernières années, de me battre pour les podiums et pour gagner des courses", dit celui dont le dernier succès remonte à 2017 et qui n'a signé que trois podiums en 2019 et 2020. "L'objectif est d'être solide, compétitif du début à la fin." Il lui faudra pour cela s'adapter à un nouvel environnement de travail, avec moins de moyens humains et matériels que dans les écuries d'usine auxquelles il est habitué. "De ce que je comprends, il y a moins de gens qui travaillent sur la moto, mais la façon de travailler d'une équipe satellite est aussi différente: tu penses plus à la performance du week-end de course qu'à développer la moto au fil de la saison, ce qui est une bonne chose", estime le pilote de 42 ans. "Nous avons vu ces dernières années des résultats solides des pilotes satellites (de Yamaha, ndlr) et, parfois, les pilotes officiels avaient plus de difficultés, donc c'est bon pour moi", ajoute-t-il. Enfin, "je suis heureux de ma situation car j'ai le soutien total de Yamaha et que cette équipe (SRT) a démontré qu'elle est capable de gagner, d'amener ses pilotes au sommet, donc je m'attends à un niveau très haut", continue le "Docteur" qui se sent "en bonne forme, prêt à commencer" les essais d'avant saison samedi et les Grands Prix le 28 mars au Qatar. Engagé pour un an avec Yamaha-SRT, quand Rossi décidera-t-il de continuer ou de prendre sa retraite ? "Pendant la trêve estivale, annonce-t-il. Je veux me laisser une demi-saison. Ma décision dépendra des mes résultats. Si je suis fort, que je me bats pour les podiums et les victoires, je pourrais continuer un an de plus. Sinon, non." "Enfin, c'est mon idée. Je n'en ai pas parlé avec l'équipe ni avec Yamaha. Peut-être qu'ils diront que ça n'est pas ma décision ? C'est possible", s'amuse-t-il. "Après 26 ans de cette vie, c'est sûr que ça changera beaucoup (d'arrêter de courir en MotoGP, ndlr) mais je ne suis pas inquiet, assure Rossi. J'ai eu une très, très longue carrière et j'en suis heureux. Et je veux continuer à piloter des voitures, donc ça changera peut-être mais pas beaucoup." © 2021 AFP
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Glasnost et Perostroika. Trente ans après ces deux termes qui ont caractérisé l'ère Mikhaïl Gorbatchev avant l'éclatement de l'URSS et le bloc de l'Est sont plus ou moins oubliés dans le glossaire usuel. Ils voulaient dire transparence, liberté de la presse et loi du marché. Ce fut un tournant dans l'histoire. Hier à Iavoloha, un miracle s'est produit. Le président de la République Andry Rajoelina s'est entretenu avec les représentants de la presse, toutes tendances confondues. Un énorme changement étant donné que, depuis la Transition, il s'est accommodé de vraies -fausses interviews où les journalistes se gardent bien de poser des questions qui fâchent. Le président à vraisemblablement constaté que cela n'avait pas fait trop avancer les choses, que les critiques peuvent être constructives et il l'a, d'ailleurs, reconnu, que cela manquait de crédibilité. Il a ainsi décidé de s'ouvrir à toutes les tendances, à tous les courants. C'est tout en son honneur. Hier, il n'y a pas eu, au préalable, une préparation des questions selon la convenance du président. Les vraies questions ont été posées sans la moindre gêne, sans une pinte d'insolence ni agressivité. Le président a répondu sans recourir à la langue de bois. Un échange droit, clair, des réponses claires et sans fioritures. Tout le monde trouve son compte. Le président soigne son image alors que la presse gagne en notoriété. Il faut savoir que c'est l'Ordre des journalistes de Madagascar qui a demandé à présenter ses vœux au Président et non pas le contraire. Une précision importante pour ne pas spéculer sur cette rencontre. D'aucuns seraient tentés de croire que le Président s'est arrangé pour s'offrir l'allégeance des patrons de presse et des directeurs de publication, comme on le chuchote sur les réseaux sociaux. Parmi la délégation de la presse figuraient des patrons de presse qui ne portent pas le pouvoir dans le cœur mais ont su distinguer le respect à la rébellion, la dignité à la soumission. Ce n'est pas pour un petit déjeuner qu'on va vendre son âme. La presse ne demand,e en tout cas, que l'ouverture et la disponibilité des dirigeants pour bien faire son travail. Le pouvoir est le premier gagnant dans cette relation. Jouer la transparence, c'est créer un climat de confiance avec la population et mettre sur orbite la bonne gouvernance. Il a fallu cette rencontre pour que le Président trouve l'occasion de mettre les points sur les I à propos des fameuses primes octroyées aux fonctionnaires. Il était temps.
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Les infirmières d’Aizenay ont mis sur pied un centre de diagnostic rapide, à la salle des Quatre-Rondes. (©Journal du Pays yonnais) Elles se sont retroussées les manches, les infirmières du cabinet médical d’Aizenay. En trois semaines, après moult démarches administratives, elles ont mis sur pied un centre de diagnostic rapide au Covid-19. « Il y a encore quelques jours, on commençait à avoir de plus en plus d’appels pour des demandes de tests PCR, au moment même où les laboratoires étaient débordés. On s’est dit qu’il fallait faire quelque chose pour répondre à la demande » Nadia Levilain, infirmière à Aizenay Dans la continuité du travail déjà réalisé lors du premier confinement, les infirmières du secteur ont de nouveau rassemblé leur force pour monter une structure rapide, qui permet désormais de faire un test Covid-19 très rapidement à Aizenay. Depuis mercredi dernier, le centre de diagnostic est opérationnel, dans le hall de la salle des Quatre-Rondes, mise à disposition par la municipalité d’Aizenay. Fléchage au sol, sens de circulation unique pour éviter les croisements, petites tables espacées les unes des autres : tout est prêt, « en cas de besoin ». Comment ça marche ? Concrètement, quel est le mode opératoire pour les patients ? « J’ai des symptômes (fièvre, toux, courbatures) ? J’en parle à mon professionnel de santé : médecin généraliste, infirmière, kiné, etc. En cas de besoin, c’est le professionnel de santé qui va contacter notre réseau d’infirmières, pour un éventuel test. Puis, on prend rendez-vous directement avec le patient, soit dans la journée, soit le lendemain. » Annie Milesi-Libaud, infirmière à Aizenay À lire aussi La Roche-sur-Yon : la maison de santé des Forges se prépare au dépistage avec des tests antigéniques Le résultat en 20 minutes L’intérêt de cette mise en place, c’est la rapidité. Pas besoin d’ordonnance. Les patients symptomatiques, à qui sont réservés ces tests rapides, ont la possibilité d’être testés dans les 24 heures. Le résultat est obtenu dans les 15 à 30 minutes. « Une fois le prélèvement effectué, on renvoie les patients dans leur véhicule sur le parking et ils reviennent nous voir une demi-heure plus tard pour connaître le résultat de leur test. S’il est positif, le patient peut s’isoler immédiatement, et éviter ainsi de contaminer d’autres personnes. » Briser la chaîne de contamination L’objectif est de réaliser un diagnostic rapide pour briser très rapidement la chaîne de contamination en isolant les patients positifs. Les résultats sont alors transmis par les infirmières, via un portail web, directement à la CPAM. La Caisse d’assurance maladie va ensuite faire son travail de tracing, pour rechercher les cas contacts et isoler les personnes concernées. Car derrière ce test rapide, nul besoin de confirmer le résultat par un test PCR. Les infirmières d’Aizenay disposent pour le moment d’environ 200 tests rapides. Le prélèvement s’effectue par la narine, tout comme les PCR. Gwenaëlle Derrien, médecin généraliste coordinatrice à la maison de santé d’Aizenay, insiste : « Ces tests rapides sont réservés aux personnes qui ont des symptômes depuis moins de quatre jours. Pour les non-symptomatiques, ce test ne sert à rien. » Ce nouveau centre de diagnostic est ouvert à la population du bassin d’Aizenay, et permet d’offrir un service rapide à la population, en cas de besoin. Les infirmières qui participent à ce réseau : Nadia Levilain, Emilie Massiot, Cindy Basseau, Annie Milesi-Libaud, Elsa Rinieri, Nadine Cailleteau, Aurélia Chauveau, Isabelle Toujeron, Estelle Pontoiseau et Julie Saupin (pharmacienne).
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Les dernières rumeurs ont créé la surprise générale ! Oublié Angelina Jolie, Brad Pitt aurait eu un crush pour une célèbre actrice qui n'est autre que Sandra Bullock. Autant dire que personne n'avait vu venir ce couple mais qu'en y pensant, ils formeraient vraiment un duo de rêve et glamour. De plus, ce serait une belle histoire puisque ce serait grâce à George Clooney, le meilleur ami de Brad Pitt qui a joué les entremetteurs. L'acteur pense qu'ils formeraient un couple idéal et il n'a pas tord ! Ils sont tous les deux beaux, sexy, glamours et ont des amis en commun. Autant dire qu'elle serait la partenaire parfaite pour l'acteur ! Un proche des deux acteurs avait récemment dévoilé à New Idea que Brad Pitt et Sandra Bullock "se tournaient autour depuis quelques années mais le timing n'avait jamais été bon. Soit Brad était avec quelqu'un soit c'était elle. Maintenant leur relation peut passer à l'étape supérieure." et c'est d'ailleurs tout ce que nous leur souhaitons. Le timing est enfin en leur faveur et l'acteur âgé de 53 ans et l'actrice de 52 ans ont tous les deux une vie et une carrière assez similaires. De plus, toujours d'après les rumeurs, Sandra Bullock aurait quitté Bryan Randall pour les beaux yeux de Brad Pitt. Si ce bruit s'annonce être véridique, Brad Pitt qui a trouvé une nouvelle passion et Sandra Bullock formeraient le couple le plus glamour d'Hollywood ! Et vous, que pensez-vous de ce couple ?
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Comme de nombreux moines évangélisateurs, saint Tugdual a dû neutraliser le dragon. C’est en référence à cette légende que figure sur le drapeau du Trégor un dragon rouge. Sa statue dans la Vallée des Saints à Carnoët est l’œuvre d’Olivier Lévêque. (Photo Le Télégramme / Claude Prigent) On dénombre environ 800 saints dans la région. Parmi eux, saint Tugdual, fondateur de l’évêché de Tréguier, est considéré comme l’un des sept saints fondateurs de la Bretagne. Né au pays de Galles au Ve siècle, il a contribué au vaste mouvement d’émigration et d’évangélisation de l’Armorique. Son culte est resté vivace jusqu’à nos jours. Dès le Vsiècle s’ouvre, entre le sud de l’actuelle Grande-Bretagne et l’Armorique, un important courant migratoire via la Manche, qui va s’étaler sur trois siècles. De nouvelles populations viennent peupler progressivement la péninsule armoricaine : probablement plus chrétiennes que les autochtones, elles sont accompagnées d’ermites et de moines. Parmi eux : saint Tugdual, aussi dénommé Tual, Tudual, Pabu ou Paban. D’après son hagiographie, c’est-à-dire le texte qui relate sa vie, écrit quelques siècles plus tard, saint Tugdual naît vers 490, dans l’actuel Devonshire, au sud de l’Angleterre. Il est le fils de Hywal Mawr Hoël et d’Alma Pompaca Coupaia. Neveu de saint Brieuc, il serait aussi le cousin de saint Rivoal et petit-fils du roi breton Conan Mériadec. Comme la plupart des autres saints, Tugdual est d’origine aristocratique : « Ce ne sont pas des fils du peuple, ce sont des enfants de rois et de princes qui choisissent la voie spirituelle plutôt que la voie temporelle », décrypte Bernard Rio, qui a consacré un ouvrage d’envergure sur les saints bretons. La seule vitae de saint Tugdual conservée aujourd’hui date du IXsiècle. Elle est l’œuvre de l’abbé Gurdisten, qui a aussi composé celle de saint Guénolé (en breton Gwenole), le fondateur de l’abbaye de Landévennec. Ce type de textes se plie aux usages latins des Vies classiques, avec calendrier liturgique et martyrologie, mais ils s’inspirent aussi de contes et de légendes. Un singulier syncrétisme : « Ces productions hagiographiques sont demeurées sans vergogne « préchrétiennes » dans leur thématique et surtout dans leur dramatis personae qui seraient à 90 % d’origine païenne », écrit Nathalie Stalmans, romancière et historienne. Si l’on en croit son hagiographe, Tugdual entre au monastère de Llanitud au pays de Galles, puis émigre en Armorique vers 520, avec soixante-douze disciples dont sa mère et sa sœur, sainte Sève. Débarquement à Porz Pabu « Ces migrants introduisent les noms des contrées de départ : la Domnonée britannique, qui deviendra le Devon, se retrouve pour désigner le nord de la péninsule, lieu d’arrivée de la plupart des migrants, et le peuple des Cornovii donnera, dans l’île comme sur le continent, la Cornouaille », rappelle Alain Croix, historien spécialiste de la Bretagne. Saint Tugdual débarque quant à lui sur l’actuelle côte du Nord-Finistère, à Porz Pabu, et fonde un premier ermitage à Ploumoguer. « Ces ecclésiastiques sont des moines et des ermites, ils représentent le clergé régulier et s’installent à la campagne, en dehors de la vie profane », relate Bernard Rio.Dans son hagiographie, Gurdisten raconte que Tugdual fut l’un des quatre piliers qui firent la grandeur de la Cornouaille avec Gradlon, Corentin et Guénolé. « Il est le premier et le plus grand : il fut un exemple pour les moines », assure Gurdisten. Saint Tugdual semble donc avoir été l’un des grands évangélisateurs du pays bigouden, du Cap Sizun et de la région quimpéroise. Plus tard, il fonde Lan Treger, le monastère de Tréguier. Une démarche de christianisation originale : alors qu’en Gaule, la christianisation s’étend à partir de ville-évêchés dont le territoire se subdivise ensuite en paroisses, chez ces ecclésiastiques immigrés en revanche, chaque communauté s’organise de manière autonome autour de son saint personnage, souvent un ancien ermite, parfois le futur abbé d’un monastère, qui donne son patronyme aux paroisses : elles sont constituées par des noms en Plou- (issu du latin Plebs, peuple), comme par exemple Plouarzel (saint Armel), des noms en Lan - qui se rattachent à des fondations monastiques comme Landelo (saint Thélo), ou en Loc - comme Locqueltas (saint Gweltaz). Vers la fin du Vsiècle, l’ancienne Armorique commence à être dénommée Brittannia et ses habitants les Brittani ou Brittones. Saint Tugdual devient évêque en 532 et meurt à Tréguier le 30 novembre de l’année 564. Les vertus magiques du saint Comme la plupart des saints bretons, le merveilleux l’emporte toujours sur la martyrologie chrétienne classique : saint Tugdual fait partie des saints sauroctones, qui combattent le dragon, symbole de la vieille religion, et revêt alors une sorte de pouvoir magique. Son culte est attesté dès 993, date de la première canonisation papale, mais la dévotion des Bretons se prolonge jusqu’à nos jours : il est aujourd’hui invoqué contre l’épilepsie et les fièvres, à Combrit ou à Pabu. À Tréguidel, les personnes souffrant de rhumatismes s’assoient sur une pierre où l’on raconte que saint Tugdual y a laissé les traces de ses genoux, de son coude et d’un petit doigt. Symbole de ce lien avec la terre de sa naissance au Vsiècle, saint Tugdual est également toujours honoré au pays de Galles, à Tudweiliog dans le Gwynedd. Alain Croix, « La Bretagne entre histoire et identité », Découvertes Gallimard, 2008. Bernard Rio, « Le livre des saints bretons », éditions Ouest-France, 2016. Nathalie Stalsmans, « Saints d’Irlande. Analyse critique des sources hagiographiques, VII-IXsiècles », PUR, 2003.
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L'album post­hume de Johnny Hally­day est au cœur de la polé­mique autour de son héri­tage. Ce n'est donc pas un hasard si les proches du défunt mais aussi ses fans attendent impa­tiem­ment la sortie de ce nouvel opus. Pierre Billon, le meilleur ami du rockeur, a eu la chance d'écou­ter l'ensemble des titres du projet. Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste ce lundi 16 avril sur C8, Pierre Billon est revenu sur la polé­mique autour de l'héri­tage de son ami Johnny Hally­day, sur les derniers instants du rockeur dans sa demeure de Marnes-la-Coquette mais aussi et surtout sur l'évolu­tion de l'album post­hume très attendu aussi bien par les fans que par les proches du défunt. Le célèbre compo­si­teur a eu la chance de pouvoir écou­ter l'ensemble du projet comme en témoignent ses confi­dences sur le plateau : « J'ai d'abord écouté deux titres chez Johnny, c'était en octobre. Il y avait une ballade et un rock'n'roll assez speed. Et après, j'ai écouté tous les titres avec Maxim (ndlr Maxim Nucci) au studio. » Au cours de l'émis­sion et face à Cyril Hanouna, Pierre Billon a égale­ment donné quelques détails au sujet des paroles. Il s'agit bel et bien de chan­sons roman­tiques : « C'est fran­che­ment des textes d'amour, a-t-il expliqué. Je sais qu'il y a trois jolies ballades et le reste c'est du rock'n'roll extrê­me­ment speed. » En revanche, si ce dernier album résonne comme un véri­table cadeau pour les fans, Pierre Billon a tenu à mettre en garde sur les rumeurs concer­nant la voix de Johnny Hally­day sur cet opus. Elle serait restée inchan­gée lors des enre­gis­tre­ments : « La voix, c'était celle de Johnny Hally­day, point. Ce n'était pas 'show must go on, au revoir les copains, les gars je m'en vais, je vous laisse mon testa­ment musi­cal', c'est un très beau disque de Johnny, cautionné par Johnny, chanté par Johnny. Ce n'est pas le disque de Bowie où il savait très bien qu'il partait, ou Queen, ça n'a rien à voir. »
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Le youtubeur Aurélien Enthoven, alias M-Gigantoraptor, est spécialisé dans les débunkings. Il en a surpris beaucoup en racontant au Parisien son engagement à l'UPR. Il y a des engagements politiques plus surprenants que d’autres. Celui d’Aurélien Enthoven à l’UPR, le parti souverainiste de François Asselineau, en fait partie. Le jeune vidéaste est en effet spécialisé dans le débunking de théories scientifiques erronées et de théories complotistes. Or François Asselineau comme d’autres membres du parti a déjà été pointé du doigt pour avoir donné du crédit à des idées tout aussi conspirationnistes. Une chaîne YouTube anti-scepticisme Le jeune homme — il n’a pas encore 18 ans — a raconté son engagement au Parisien dans un article publié ce mercredi 8 mai. C’est à l’automne 2017 que le fils du philosophe Raphaël Enthoven et de la chanteuse Carla Bruni a rejoint l’Union Populaire Républicaine (UPR). À l’époque, il était lycéen et se montrait de plus en plus critique envers l’Union européenne qui selon lui, ralentissait la prise de décision au niveau national. Il a retrouvé ce discours eurosceptique dans l’UPR. Si son engagement est étonnant, c’est parce qu’Aurélien Enthoven est réputé sur YouTube pour ses contenus anti-complotistes et ses débunkings. C’est d’ailleurs ces qualités qu’il met en avant sur la chaîne qu’il co-gère, M-Gigantoraptor. On lit dans la description de la chaîne : « [notre] chaîne porte principalement sur la théorie de l’évolution, la zoologie, la paléontologie et le scepticisme », puis, plus loin : « Un vrai combat contre l’anti-évolutionnisme, la désinformation et le complotisme. » La CIA est partout selon le chef de file de l’UPR Si l’UPR n’a pas de ligne conspirationniste dans ses programmes, certaines thèses partagées au sein du mouvement ou par sa tête d’affiche François Asselineau le sont assurément. Streetpress avait compilé en avril 2017 plusieurs de ces thèses. Le média racontait que François Asselineau avait une vidéo YouTube disant que les Femen étaient payées par quelqu’un et que bizarrement, « leurs slogans sont toujours écrits en américain ». Dans d’autres vidéos, il se posait des questions comme « Qui gouverne vraiment la France et l’Europe ? » aux accents complotistes. Il soupçonnait là encore les États-Unis — ou l’OTAN — de tirer les fils du gouvernement français. On l’entend aussi dire sur YouTube (sur la chaîne officielle de l’UPR) que le prix Nobel de la paix est « une imposture, (…) une opération de désinformation qui fait partie intégrante du dispositif hégémonique mondial des États-Unis d’Amérique » ou que les couleurs du logo de l’UMP « témoignent de la fascination pathologique et malsaine que les dirigeants de l’UMP éprouvent pour les États-Unis d’Amérique ». Sur Facebook, il a aussi publié des propos complotistes sur l’assassinat de la parlementaire Jo Cox par l’extrême droite britannique, qui serait une manœuvre anti-Brexit ou un discours indiquant que la CIA est partout. Comme le rapportait le Huffington Post, l’homme politique a également été invité au micro de RT pour exposer ses thèses, un média de propagande pro-russe. Plusieurs membres connus du parti UPR se sont illustrés par des propos similaires. Dans son interview, Aurélien Enthoven dit être conscient de cette problématique. Il raconte qu’au départ, il voyait le parti comme un parti « plutôt conspirationniste » et qu’il en avait une « mauvaise image ». Il se serait finalement laissé convaincre par François Asselineau. « J’ai fini par me dire qu’il avait peut-être raison, je suis devenu de plus en plus eurosceptique », dit-il au Parisien. Et si Asselineau dénonce souvent les médias français qu’il pense être à l’origine d’une censure de son discours, il a été pendant la campagne 2017 l’un des chouchous… de YouTube. Un joli coup de comm’ Pour l’UPR, il s’agit d’un joli coup de comm’. Recruter un jeune youtubeur qui compte près de 50 000 abonnés est une chose, mais recruter un youtubeur spécialisé dans le débunking lorsqu’on est un parti accusé de diffuser des idées complotistes en est une autre. Le vidéaste raconte d’ailleurs qu’en octobre 2018, alors qu’il s’était simplement enregistré à l’UPR en ligne, il a reçu un coup de fil pour participer à l’université d’automne du parti. Il se réjouit d’avoir pu apporter un peu de « médiatisation » à l’événement. Celui qui a offert à son beau-père Nicolas Sarkozy une cravate de l’UPR raconte qu’il peine parfois à trouver sa place entre les anti-vaccins et ceux qui ont flirté avec l’extrême droite. Il dit malgré tout être très « attaché » au parti, qui se présente aux Européennes à la fin du mois de mai. Sur Twitter, plusieurs internautes l’ont pris à parti, parlant de « crise d’adolescence » qu’Aurélien Enthoven serait en train de subir. Merci de me priver une fois de plus de mon libre arbitre en supposant une crise d’adolescence derrière mon engagement politique. C’est aussi en se comportant comme de parfaits cuistres hautains que de nombreux partisans du remain ont fait gagné le Brexit. Ne changez rien. https://t.co/piQBbQSidt — M.G (@MGigantoraptor) May 9, 2019 Si les réactions ont parfois été vives, c’est parce qu’il est très rare en France que les youtubeurs affichent aussi ouvertement des opinions politiques. Seuls les youtubeurs spécialisés dans ce domaine évoquent généralement ces questions. Nous avons contacté Aurélien Enthoven pour lui poser quelques questions, mais nous n’avons pour le moment pas eu de retour de sa part.
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Publié le 18.12.2021 à 07h18 par APA La directrice générale adjointe du Port autonome d’Abidjan (PAA), Mme Djénéba Gon Coulibaly épouse Okou, est décédée vendredi à Paris, selon une source interne de la société portuaire. Son décès intervient cinq mois après sa nomination au poste de directrice générale adjointe du Port d’Abidjan. Mme Djénéba Gon Okou, restée longtemps directrice commerciale et marketing en charge de la communication, a été promue DGA le 6 août 2021. Mme Djénéba Gon Coulibaly Okou est la sœur cadette de feu le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon.
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« Pastef Dakar » et « Frapp Dakar » prennent acte et renoncent à la manifestation d’aujourd’hui. Ce après que le préfet Alioune Badara Samb ait interdit leur manif de ce mercredi. Mais les camarades de Guy Marius Sagna ont déposé un autre avis de manifestation sur la table du préfet pour mardi prochain. Ils envisagent de marcher de la Place de l’Indépendance jusque devant les grilles du Palais en soutien à Ousmane Sonko. Ils ont fait savoir leur intention leur d’une conférence de presse, tenue ce mercredi. « Pastef Dakar » et « Frapp Dakar » se veulent, ainsi, clair, ils vont marcher vers le palais, avec ou sans l’accord des autorités.
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L’attaquant ne s’est pas agenouillé au coup d’envoi, au contraire des 21 autres joueurs. Une façon de soutenir un ex-équipier. Comme à Kazan contre la Biélorussie le mois passé, Michy Batshuayi fut le seul Diable à ne pas s’agenouiller juste avant le coup d’envoi contre l’Italie, en soutien au mouvement Black Lives Matter. Il soutient son ancien équipier à Crystal Palace Wilfried Zaha qui ne veut pas faire ce geste qu’il estime dégradant et insuffisant dans la lutte contre le racisme à travers le monde.
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Selon l’Ifop, 52% des Français considèrent que Nicolas Sarkozy “a l'étoffe d’un président de la République”, contre 62% en décembre 2013. Interrogés sur son image, les sondés sont 29% à le trouver “honnête” contre 39% à l’hiver dernier. De la même façon, l’"ensemble de ses traits d’image” et la “sympathie” qu’il inspire sont en recul. L’institut de sondage révèle aussi que seulement 33% des Français estiment que Nicolas Sarkozy “comprend les problèmes” des gens et sont 36% à penser qu’il “tient ses engagements”. Pour 45% des sondés, il “veut vraiment changer les choses” mais “inquiète” 51% des interrogés et en “met en colère” 50%. Parmi les sympathisants, la cote de Nicolas Sarkozy est aussi en baisse. 71% d’entre eux l’estiment “honnête” contre 85% en décembre dernier. En synthèse, l’Ifop estime que l’image de l’ancien président s’est dégradée depuis un an. “Ce bilan en demi-teinte de l’image de Nicolas Sarkozy intervient après une année 2014 chargée en actualités défavorables : les multiples affaires dans lesquelles l’ex-président a pu être cité, le scandale Bygmalion à l’UMP, etc”, constate l’institut. Ces événements “expliquent la baisse constatée sur presque l’ensemble des traits d’image” de l’ex-leader de la droite. Cette enquête a été menée avant l’annonce officielle du retour de Nicolas Sarkozy en politique, entre le 16 et le 18 septembre, auprès de 1 282 personnes. 6Medias
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Statu quo pour l’AstraZeneca. Ce lundi matin, sur LCI, le ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué que la campagne de vaccination avec ce sérum ne sera « probablement » pas élargie aux moins de 55 ans en France, comme il en avait récemment émis le souhait. La Haute autorité de santé (HAS) a décidé mi-mars de restreindre l’utilisation du vaccin aux plus de 55 ans à cause de rares cas de thromboses atypiques et de troubles de la coagulation. Interrogé sur le fait de savoir si le gouvernement envisageait d’élargir l’utilisation du vaccin aux moins de 55 ans, le ministre a répondu : « Probablement non à l’heure actuelle ». Il avait saisi la HAS fin avril pour étudier la possibilité de permettre à tous les volontaires, quel que soit leur âge, de se faire vacciner à l’AstraZeneca en signant une décharge. À lire aussi Vacciner des moins de 55 ans avec AstraZeneca ? 5 minutes pour comprendre un débat brûlant Il a indiqué ce lundi attendre une réponse de la HAS, tout en rappelant que le président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, Alain Fischer, n’était « pour sa part pas favorable » à cette option. Olivier Véran a aussi apporté une explication aux propos d’Emmanuel Macron, qui a déclaré dimanche en marge d’un sommet européen que « pour répondre aux variants, on voit que d’autres vaccins (qu’AstraZeneca) sont aujourd’hui plus efficaces ». 61 000 doses d’AstraZeneca en une journée Selon le ministre de la Santé, le chef de l’Etat répondait « à une question sur l’horizon à l’année prochaine, si de nouveaux variants devaient émerger nécessitant des rappels de vaccination ». Dans ce cas, « nous considérons au niveau international que d’autres mécanismes que celui d’AstraZeneca pourraient être plus efficaces plus rapidement ». Olivier Véran a affirmé que pour autant, ce produit restait un « bon vaccin », et indiqué que pour la seule journée de vendredi « les (médecins, infirmiers…) libéraux ont fait 61 000 (doses d’) AstraZeneca en une journée ».
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Même sous haute tension climatique, on vous donne tous les secrets pour que votre sex- appeal ne baisse jamais d’un degré comme celui de Barbara Palvin. Si je rougis Sous l’effet de la chaleur, les capillaires sanguins se dilatent. Si votre peau n’est ni épaisse, ni suffisamment bronzée, pas de chance, ce coup de chaud ne passera pas inaperçu. L’idée, c’est de faire redescendre la température pour que les capillaires se resserrent. Eaux thermales et brumes de soin à effets frais sont tout indiquées. A pschitter autant de fois que nécessaire durant la journée. Le soir, place aux masques apaisants. © sp Brume. Sorbet Hydra Life, 35,50 €, Dior. Eau. Eau Thermale, 3,40 €, Uriage. Masque. Mousse apaisant, 7,90 €, Yves Rocher. Si mes cheveux sont cuits Trop de soleil, trop de baignades ? Ah bah, voilà des pointes et des longueurs cramées qui ne donnent pas franchement envie de passer la main dans vos cheveux. Pour qu’ils retrouvent leur attractivité avec un max de souplesse, seuls des masques un peu costauds peuvent les sauver. On les laisse poser sous une charlotte, c’est tendance ! Et chaque jour, on utilise un soin hydratant sans rinçage avec protection solaire. © sp Masque. Nutrition & Réparation, 18,90 €, Klorane. Potion. Nourrissante Argan & Carthame, Botanicals, 8,90 €, L’Oréal Paris. Hydratant. Fluide Protecteur, 13,90 €, René Furterer. Si les frisottis me stressent Rien de plus contrariants que ces petits cheveux fous vrillés autour du visage ! Il ne faut pas plus qu’une atmosphère chaude et humide pour les réactiver et faire plonger le quotient séduction. Pour vous en libérer, soit vous plaquez votre chevelure en arrière avec de l’huile dans un esprit Riviera très chic. Soit vous gainez vos cheveux avec un soin anti-frizz et disciplinant. © sp Elixir. Ultime Huile Originale, 38,90 €, Kérastase. Crème. Phyto 7, 14,90 €, Phyto. Huile. Soin Quotidien, 20 €, Shaeri. Si mon make-up file On a vu plus classe que le fard à paupières qui dégringole, le lipstick qui fuit dans les ridules ou le fond de teint qui surchauffe. Sachez que tous les fards à tendance crémeuse vivent mal les hausses de températures. A l’inverse, les liquides mats et fusionnels pour les lèvres et les yeux restent bien en place. Pour le teint, visez les fluides oil-free. Et si cela ne suffit pas, verrouillez votre make-up avec un voile de brume fixatrice. © sp Spray. Fixateur de Maquillage Set, 13,99 €, Sephora. Rouge. Lip Magnet Intense, 37,40 €, Giorgio Armani. Ombre. Première Laque, 32 €, Chanel. Si mon visage luit C’est la faute au sébum qui se liquéfie avec les hautes températures et nappe le visage d’un voile brillant peu reluisant. Malheureusement, il passe difficilement pour un glow sexy. Pour rester attractive, cumulez les stratégies. En base, appliquez un sérum matifiant, éventuellement uniquement sur la zone médiane. Ensuite, choisissez une crème solaire non grasse très légère. Et soyez toujours prête à dégainer des papiers matifiants. © sp Solaire. Sun Secure Fluide SPF50+, 14,50 €, SVR. Papier. Matifiant, 8,50 €, Fenty Beauty. Base. Instant Poreless, 33 €, Clarins. Le soin cryosauna C’EST QUOI ? Un caisson refroidi à - 196 °C par de l’azote liquide, dans lequel on s’enferme pendant trois minutes. Inspiré de la cryothérapie corps entier utilisée par les sportifs, le cryosauna aide à la récupération musculaire mais aussi à lutter contre la fatigue et le stress. Ce froid qui saisit l’organisme et provoque une vasoconstriction des vaisseaux fait aussi du bien lorsqu’on gonfle avec la chaleur. ON A TESTÉ : En sous-vêtements et équipée de gants et de chaussons, je me glisse, debout, dans une sorte de caisson dont seule ma tête dépasse. La température baisse progressivement jusqu’à atteindre - 196 °C ! A la sortie, l’effet drainant est assez radical et je me sens incroyablement requinquée. LE BONUS : Bon pour le moral, ce froid intense déclenche la production d’endorphines par le cerveau. L’INFO VÉRITÉ : Le froid est sec, ce qui est bien plus supportable qu’un froid humide, mais trois minutes ça paraît quand même long. EN PRATIQUE : 45 € la séance chez polerecup.com à Paris. Il existe des centres de cryo partout en France. Retrouvez-nous sur Instagram : @voici_style
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L'entrée de Thiago Alcantara (73e), qui n'avait plus joué depuis sa blessure à un genou à Everton (2-2) le 17 octobre, a fait du bien à des Reds plus pressants après la pause. Mais, quand ils n'ont pas buté sur Karl Darlow (voir ci-dessous), ils se sont montrés trop maladroits pour prétendre à la victoire : une tête au premier poteau de Mané a échoué dans le petit filet (54e), puis Salah, idéalement lancé par Firmino, n'a pas suffisamment enroulé sa frappe du gauche (66e), avant que Schär ne sauve sur sa ligne devant Sané, retenu par Darlow sans que le VAR ne bronche (81e).
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«Nous sommes en attente de la décision de la justice. Nous faisons confiance au parquet pour que le droit soit dit », ont indiqué les avocats de Mory Diabaté qui serait victime d'une tentative d'expropriation. Cependant, ils ont tenu à faire remarquer que dans les couloirs du Temple de Thémis, ils entendent beaucoup de bruit. « Nous entendons beaucoup de chose. C'est pourquoi nous prenons l'opinion nationale et internationale à témoins », ont-ils fait savoir. Avant d'insister : « Ce terrain appartient à M. Diabagaté et toute tentative de confiscation ou de spoliation ne passera pas! » Le 19 novembre 2018, à son cabinet à Koumassi, face à la presse, M. Diabagaté a relaté son histoire. Le 14 février 2016, il est approché par les nommés Jean Philippe Touré et Charles Fiberssima. Ceux-ci souhaitent signer un partenariat avec lui portant sur la mise en valeur de son terrain en bordure du boulevard Valéry Giscard d'Estaing (VGE) situé face au carrefour du camp commando de Koumassi. Selon M. Diabagaté, les tractations pour la signature du partenariat vont prendre deux mois. Le 14 avril 2016, un pacte d'associés est signé dans lequel Mory Diabagaté détient 51%. Dans le principe, les associés devaient faire venir des partenaires français pour la mise en valeur du terrain dans les six prochains mois. Ce, à compter de la date de signature du pacte. D'avril jusqu'à novembre 2016, point de partenaires français. M. Diabagaté accorde six mois supplémentaires à ses associés dans l'espoir de voir le projet prendre forme. Sentant qu'il y a anguille sous roche, il décide de dénoncer le pacte. Le notaire avec lequel il s'engage est du même avis. Finalement il décide de récupérer son terrain. Il le met en location en attendant d'entreprendre un autre projet. Les associés font même intervenir un ministre de la République. « Le ministre m'a appelé. J'étais surpris mais je n'ai rien dit », soutient M. Diabagaté. L'un de ses avocats indique que face à « une volonté perfide » des associés de s'accaparer le terrain, son client a décidé de porter l'affaire en justice. D'autant plus que les associés, sans en informer M. Diabagaté, expulse le locataire du terrain. Quant à Mory Diabagaté, il dit qu'il ira plus loin si les manœuvres ne cessent pas. « Je dévoilerai des noms. Je dirai tout. Le ministre qui m'a appelé, les commanditaires », a prévenu l'opérateur économique.
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Crédit Image : Marie Etchegoyen / M6 | Crédit Média : Isabelle Morini-Bosc | Durée : 03:22 | Date : 18/06/2018 publié le 18/06/2018 à 18:00 Au menu du programme télé de ce soir, les fans de fiction ont rendez-vous sur France 2 avec la série Major Crimes. Un excellent feuilleton policier, beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît, avec de bonnes intrigues qui ferait plus d'audience si la chaîne se donnait la peine de faire un résumé. En attendant on signale aussi sur M6 la finale du Meilleur pâtissier, les professionnels. Un programme moins suivi que le concours amateur parce que le grand public ne peut pas suivre. C'est aussi passionnant à suivre qu'une fiction, d'autant plus que mes favoris, les japonais et la brigade culinaire de France sont en finale. Au menu de cet épisode : les équipes doivent d'abord faire un dessert pour 150 personnes, avec un glaçage miroir où on peut se voir dedans. C'est un impératif et ils ne peuvent pas compter sur l'indulgence des juges comme la cheffe Audrey Gellet, Pierre Hermé ou encore Cyril Lignac. Frissonnez de plaisir avec la finale de #LMP les Professionnels ce soir à 21:00 pic.twitter.com/ZU2MynqHAz — M6 (@M6) 18 juin 2018
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JERUSALEM, 21 octobre (Reuters) - Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin a estimé dimanche qu'il était encore trop tôt pour évoquer des sanctions contre l'Arabie saoudite dans l'affaire Jamal Khashoggi tant que l'enquête ne sera pas terminée. Ryad a reconnu samedi matin la mort du journaliste et opposant saoudien début octobre au consulat saoudien d'Istanbul, tout en niant avoir ordonné son assassinat. Selon la dernière version en date des autorités saoudiennes, Jamal Khashoggi, qui vivait aux Etats-Unis depuis un an et critiquait la politique du prince héritier Mohamed ben Salman, est mort accidentellement, victime d'une prise d'étranglement, au cours d'une altercation avec des compatriotes venus au consulat pour le convaincre de rentrer au royaume. Ces explications sont jugées insuffisantes, voire peu crédibles par les pays occidentaux. Donald Trump a déclaré samedi soir qu'il allait s'entretenir de l'affaire avec le prince héritier et ajouté qu'il n'excluait pas des sanctions contre l'Arabie saoudite. Interrogé à ce propos lors d'une visite en Israël, Steven Mnuchin a déclaré que les informations données jusqu'ici par Ryad étaient "une bonne première étape mais ne suffisaient pas". "Ce serait prématuré d'évoquer des sanctions et prématuré de faire des commentaires sur toutes ces questions tant que nous ne serons pas allés au bout de l'enquête", a cependant ajouté le secrétaire au Trésor. Steven Mnuchin a confirmé qu'il ne se rendrait pas à la conférence internationale sur l'investissement organisée à partir de mardi à Ryad, mais il a ajouté qu'il irait tout de même dans la capitale saoudienne pour des entretiens consacrés à la lutte contre le financement du terrorisme et aux sanctions que Washington prévoit d'imposer au secteur pétrolier iranien à partir du 4 novembre. "Je crois qu'il est malvenu d'aller prononcer un discours à la conférence mais nous continuons d'avoir d'importants sujets à traiter avec l'Arabie saoudite. C'est pour cette raison que je me rends là-bas", a-t-il dit. Steven Mnuchin a ajouté qu'il ne pensait pas que l'Arabie saoudite reviendrait sur son engagement à accroître sa production de pétrole afin de compenser la baisse des exportations de brut iranien que devraient provoquer les mesures de rétorsion américaines. "Je n'ai aucune raison de croire qu'ils n'honoreront pas leurs engagements", a déclaré Mnuchin, qui rencontrera à Ryad le ministre saoudien de l'Energie, Khalid al Falih. (Lesley Wroughton Jean-Stéphane Brosse pour le service français)
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« L’Inde hors des sentiers battus » de Tim Mills, tel est le titre de cette superbe exposition de photographies, proposée par « La vallée des rocs », au profit de l’association N.E.L. Tim Mills, Anglais et Saint-Sozien d’adoption expose 70 photos et posters. Une sélection de photos d’Inde (vallée du Cachemire) et du Népal au profit de l’association N.E.L. Le choix de ces photos de reportage fut un moment très difficile, car Tim souhaitait que cette exposition reflète les différentes émotions qu’il avait ressenties lors de ce voyage. Il a parcouru tout le continent indien à l’ancienne, sac à dos, empruntant le train, les tuk-tuks, motions, camions…. toujours à la recherche de l’aventure. Dans les ruelles pour capturer des moments de vie. Et quand il entend « les touristes ne s’aventurent pas ici », il sait qu’il est au bon endroit. Au profit de l’association népalaise N.E.L. Cette exposition il l’espère, témoignera d’une Inde pas souvent décrite, que ce soit avec des graffitis politiques au Cachemire ou simplement dans des conditions de vie dans les ruelles de Calcutta. Les photos proposées donnent à voir un mélange de joie de tristesse, de couleurs et de l’infinie variété. Lors de sa dernière aventure, alors qu’il marchait le long des berges poussiéreuses du fleuve Bishnumati qui traverse Katmandou, il fut harcelé par une bande d’une quinzaine de jeunes des bidonvilles. Parmi eux, une fillette sortait du lot, Tim sentit que la jeune fille voulait être prise en photo ce qu’il réussit à faire malgré les circonstances difficiles. À cause de ce portrait, Tim prit la décision à ce moment-là de réaliser une exposition photo au profit de l’association népalaise,, N.E.L, (NEPAL, ENFANCE et LUMIERE) basée à Saint-Pantaléon-de-Larche. Marianne de Sacy en est la Présidente. Créée il y a plus de 15 ans, l’association à but non lucratif, est composée uniquement de bénévoles. Par un système de parrainage, elle prend en charge une cinquantaine de filles de 5 à 20 ans, de la maternelle aux études supérieures et s’efforce d’en faire des femmes responsables et indépendantes capables d’aider leurs concitoyens dans ce pays où tout reste à faire. Prochaine aventure est prévue au Pakistan La prochaine aventure est prévue au Pakistan, sur les traces du photographe irlandais John Burke. Pendant l’expédition militaire anglaise des « black mountains de 1888 » en suivant le fleuve Indus vers le nord jusqu’à la vallée de l’Hunza. Tim voudrait à cette occasion remercier les personnes qui se sont impliquées pour que cette exposition soit possible et particulièrement Andrew Saynor qui a édité les photos, la Vallée des Rocs et M. le maire de Saint-Sozy. Expo photo « L’Inde hors des sentiers battus » de Tim Mills : à la salle des fêtes de Saint-Sozy du 8 août au 17 août. Ouverture de 10 h à 12 h 30 et de 15 h à 19 h. Entrée gratuite
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Au réveil, le temps sera dégagé à Gréolières ce samedi 11 juillet 2020, et les températures seront en moyenne de 21 ° C sur la première partie de journée. Le vent sera presque inexistant à l'aube, et fraîchira entre 8 h et 11 h jusqu'à environ 10 km/h. Sa direction sera fluctuante durant cette période. À 7 h, le thermomètre indiquera 18 °C, et montera peu à peu sur l'ensemble de la matinée pour atteindre 24 °C. La force du vent évoluera aux environs de 10 km/h au cours de la deuxième moitié de journée, et il sera de secteur Sud. Le ciel sera encore dégagé vers midi, avant de devenir orageux en début d'après-midi et de se dégager un petit peu aux alentours de 15 h. Des orages vers le milieu de l'après-midi ainsi que des averses entre 15 h et 18 h vont se produire. Le mercure restera homogène à 25 °C. Le soir, le ciel sera toujours couvert aux alentours de 18 h, puis les nuages se dégageront partiellement en début de soirée et s'estomperont autour de 21 h. Il y aura des averses vers le début de la soirée. Le thermomètre diminuera progressivement jusqu'à 18 °C aux alentours de 23 h, tandis que le vent oscillera entre 5 et 10 km/h. Il soufflera depuis le Sud-Est, puis s'orientera à l'Est vers le milieu de la soirée. Durant la nuit, le ciel sera encore dégagé autour de minuit, puis deviendra nuageux en début de nuit et se découvrira entièrement autour de 3 h. La force du vent sera pratiquement nulle, tandis que le mercure restera constant à 18 °C. Le vent sera en provenance du Nord-Est, avant de se décaler au Nord-Ouest vers le début de la nuit. Lors de la journée de demain, le temps sera majoritairement couvert, avec des averses en après-midi et en soirée. La température de l'air sera élevée : elle sera comprise entre 17 et 25 °C.
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Le joueur de 25 ans est le troisième membre de l'équipe madrilène à contracter la maladie au cours des huit derniers jours, après que Karim Benzema et la nouvelle recrue David Alaba ont également renvoyé des tests positifs. Odriozola a joué les 90 minutes complètes de la défaite amicale 2-1 de Los Blancos contre les Rangers à Glasgow la semaine dernière, mais va désormais s'isoler. Le Real Madrid confirme un autre cas positif
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Mis au ban par les Etats-Unis, Huawei accuse Verizon d’avoir utilisé plus de 200 de ses brevets sans autorisation. Touché par un embargo de l’administration américaine, Huawei s’attaque à l’un des fleurons des télécommunications aux Etats-Unis : Verizon. L’équipementier chinois lui réclame un milliard de dollars pour avoir enfreint plus de 200 brevets déposés, alors même que l’opérateur américain n’est pas un client de Huawei. Une vingtaine de fournisseurs de Verizon sont concernés Reuters affirme que l’affaire concerne des activités aussi variés que les réseaux, les infrastructures filaires et l’internet des objets. Les deux parties se sont rencontrées il y a une semaine pour évoquer ce différend. Selon le Wall Street Journal, ce litige est sur le tapis depuis février, et les brevets couvrent l’équipement réseau d’une vingtaine de fournisseurs de Verizon qui eux paieraient des « royalties » à l’opérateur. Des indemnités et des accords de licence qui devraient, semble-t-il, être rétrocédés à Huawei si la paternité des brevets est avérée. «Ces problèmes ne concernent pas que Verizon. Compte tenu du contexte géopolitique plus large, toute question impliquant Huawei a des implications pour l’ensemble de notre secteur et soulève également des préoccupations nationales et internationales.» a indiqué le porte-parole de Verizon. Huawei est toujours sous le coup du moratoire de 90 jours décidé par l’administration Trump pour ouvrir des négociations avec les entreprises américaines, dont Google, qui ont mis fin à leur collaboration pour respecter la décision gouvernementale de « blacklister » l’équipementier. Concrètement, les Etats-Unis n’avaient pas forcément prévu les dégâts collatéraux liés à la rupture des relations avec Huawei.
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Vaccin: faut-il le rendre obligatoire pour les soignants? Les soignants, prioritaires pour la vaccination, ne sont pas tous enthousiastes à se faire vacciner. Faut-il la rendre obligatoire pour eux? On en débat avec nos invités
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BUDAPEST (Reuters) - La Hongrie a opposé son veto au projet de budget de l'Union européenne et au fonds de relance post épidémique parce qu'ils l'auraient contrainte à accepter l'immigration, a déclaré mercredi le Premier ministre Viktor Orban. Budapest, qui a opposé son veto lundi tout comme Varsovie, refuse la clause qui conditionne l'accès à ce fonds au respect de l'état de droit. La Hongrie et la Pologne font toutes deux l'objet de procédures d'infraction pour des atteintes à l'indépendance de la justice ou au droit d'asile. "Après l'adoption de la proposition actuelle, rien n'aurait empêché de lier le déblocage des fonds (...) au soutien de l'immigration et de faire chanter les pays qui s'y opposent avec des sanctions budgétaires", explique Viktor Orban dans un communiqué repris par l'agence de presse publique MTI. Le projet de budget de l'UE pour la période 2021-2027 approuvé en juillet par les "27", qui s'élève à 1.100 milliards d'euros, est assorti d'un fonds de relance de 750 milliards pour aider les Etats membres à faire face aux conséquences de la crise du coronavirus. (Marton Dunai, version française Jean-Philippe Lefief, édité par Blandine Hénault)
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La Commission européenne a assuré aujourd'hui avoir encouragé l'Italie à investir dans ses infrastructures, après les critiques du gouvernement populiste italien qui ont suivi l'effondrement meurtrier d'un pont à Gênes. "Nous pensons que le temps est venu de clarifier certaines choses", a déclaré un porte-parole de la Commission lors du point presse quotidien de l'institution. "Nous ne prendrons part à aucune accusation au niveau politique", a-t-il ajouté. » LIRE AUSSI : Italie : vives polémiques sur la viabilité du viaduc de Gênes "Pour mémoire, en vertu des règles fiscales (de l'UE, ndlr), les États membres sont libres de fixer des priorités politiques spécifiques, par exemple le développement et l'entretien des infrastructures", a expliqué ce porte-parole, Christian Spahr. L'UE a "encouragé" l'investissement en Italie, a-t-il rappelé en s'appuyant sur une recommandation publiée par les 28 Etats membres au printemps. Il a également souligné l'engagement financier de l'UE: sur la période 2014-2020, il est prévu que l'Italie reçoive environ 2,5 milliards d'euros pour des investissements notamment dans son réseau routier et dans le rail. Et en avril 2018, la Commission avait donné son feu vert pour un plan d'investissement en faveur des autoroutes italiennes, ouvrant la voie à des investissements d'environ 8,5 milliards d'euros y compris dans la région de Gênes, a-t-on encore observé au sein de l'exécutif européen. Le ministre de l'Intérieur italien Matteo Salvini, connu pour ses positions anti-européennes, a lancé plusieurs piques contre l'UE à la suite de l'accident qui a fait 39 morts et 16 blessés, selon un bilan communiqué jeudi. "S'il y a des engagements extérieurs qui nous empêchent de dépenser l'argent que nous devrons mettre pour la sécurité des écoles et des autoroutes, il faudra se poser la question de continuer à respecter ces engagements", avait-il ainsi affirmé dès mardi. » LIRE AUSSI : Catastrophe de Gênes : les pistes qui pourraient expliquer l'effondrement du pont Le lendemain, M. Salvini plaidait pour "exclure" les fonds pour la sécurité du Pacte de stabilité et de croissance européen. "Les investissements qui sauvent des vie, des emplois et le droit à la santé ne doivent pas faire l'objet des calculs rigides et des règles imposées par l'Europe", avait-il déclaré. Son collègue Luigi di Maio, vice premier ministre et chef de file du Mouvement 5 Etoiles (populiste), lui avait fait écho en affirmant que "l'Europe peut dire ce qu'elle veut mais nous ne demandons pas, nous exigeons sur ce point". "Il y aussi de la flexibilité dans le Pacte de stabilité et de croissance et l'Italie (en) a été l'un des principaux bénéficiaires", a répondu M. Spahr jeudi depuis Bruxelles. L'autoroute A10, sur laquelle se trouve le viaduc génois, fait partie du Réseau trans-européen de transport, programme de développement des infrastructures de transport qui doit répondre aux exigences de la directive européenne de 2008 sur la sécurité des routes, a précisé M. Spahr. Et ce sont les autorités nationales qui doivent s'assurer que les règles sont respectées, a-t-il souligné. » LIRE AUSSI : Gênes : les recherches se poursuivent pour retrouver des disparus
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L’IRM maintient un avertissement jaune pour les provinces de Liège et du Luxembourg jusqu’à 17h00 dimanche et jusqu’à 10h00 pour la province de Namur. Il fera d’abord très nuageux avec quelques averses de pluie ou temporairement encore quelques averses hivernales ce dimanche avec des bancs de brouillard locaux, selon les dernières prévisions de l’Institut royal météorologique (IRM). En cours de journée, il fera généralement sec sur la moitié ouest du pays avec parfois des éclaircies. Sur la partie est, le risque de quelques averses persistera toute la journée. Les températures comprises entre 0 et 6 degrés. Par ailleurs, il y aura encore des averses de neige sur les hauteurs de l’Ardenne ce dimanche, ce qui a amené l’IRM à maintenir un avertissement jaune pour les provinces de Liège et du Luxembourg jusqu’à 17h00 dimanche et jusqu’à 10h00 pour la province de Namur.
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EDITO Omniprésent dans les médias et habitué des prises de parole retentissantes, notamment lorsqu'il réclamait, en vain, un reconfinement début 2021, Jean-François Delfraissy est devenu un visage familier des Français au fur et à mesure de l'évolution de l'épidémie de coronavirus. Mais depuis quelques semaines, le président du Conseil scientifique se fait beaucoup plus rare. Sur Europe 1, notre éditorialiste Nicolas Beytout analyse les raisons de cette discrétion, et revient sur la relation de plus en plus fraîche entre le scientifique et Emmanuel Macron. "Le président du Conseil scientifique ne parle plus. Sa dernière intervention publique remonte au 24 mars, au Sénat, pour une audition publique à laquelle il ne pouvait pas se soustraire. Mais comment expliquer ce silence ? Lui a-t-il été imposé ? L’hypothèse mérite d’être formulée. Pour comprendre ce changement total d’attitude, il faut aller chercher du côté de sa relation avec Emmanuel Macron. Longtemps, elle a été forte, et longtemps, le chef de l’Etat s’est plu à mettre en avant la parole de Jean-François Delfraissy. Il y a un an, celui-ci avait plaidé, avec le Conseil scientifique et la plupart des médecins, pour quelque chose de terrible à assumer politiquement : l’enfermement de tout un pays. À l’évidence, la parole médicale a servi de caution, d’argument-choc pour passer cette première étape. Désavoué fin janvier C’est ensuite que la relation s’est dégradée. Le Conseil scientifique a continué à être très pro-confinement… mais pas le président. Déjà, le premier déconfinement est mal passé. À l’automne, le deuxième confinement, plus light, a provoqué pas mal de remous au sein même du Conseil scientifique. Et tout a basculé le 29 janvier dernier, lorsqu’Emmanuel Macron a décidé de passer outre tous les avis sanitaires et refusé le troisième confinement. La politique reprend alors au médical son pouvoir de décider, et fait savoir que ce ne sont pas les médecins qui gouvernent. Clairement, à ce moment-là, Jean-François Delfraissy est désavoué. Ni une, ni deux, il ferme ses canaux de communication. L’Elysée affirme que la communication n'a pas été rompue avec l'hôte de l'Elysée. Mais c’est sûr que donner des avis à quelqu’un dont l’entourage vante l’immense connaissance épidémiologique et qui préfère se forger un point de vue par lui-même plutôt que de suivre vos recommandations, cela peut vite devenir lassant. Résultat, le médiatique professeur Delfraissy a disparu. Et quand le Conseil scientifique qu’il préside est obligé d’émettre un avis, comme sur l’organisation des élections régionales au mois de juin, il répond : "C’est une décision qui revient au politique, ne vous abritez pas derrière nous". Le fonctionnement solitaire d'Emmanuel Macron En fait, Jean-François Delfraissy a botté en touche, ce qui devrait au moins poser la question de son utilité à l’avenir. Pour le reste, cette affaire est une formidable illustration du mode de décision d’Emmanuel Macron, qui tout voir, absorbe tout, et une fois informé, tranche seul, le plus souvent en fonction de son instinct et en cherchant une troisième voie. Ça lui a souvent servi, mais l’histoire du quinquennat peut aussi réserver quelques mauvaises surprises."
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La manifestation parisienne pour défendre le statut des fonctionnaires et les services publics, à l'appel de neuf organisations syndicales, a démarré juste après 14H00 dans une ambiance bon enfant et en musique, ont constaté des journalistes de l'AFP.Plusieurs milliers de personnes ont commencé à défiler sous le soleil, derrière un carré de tête où, fait exceptionnel, figuraient tous les grands leaders syndicaux, derrière une banderole proclamant: "Pour une fonction publique de progrès social, pour l'augmentation du pouvoir d'achat, pour l'emploi public".Les manifestants répondaient, comme dans plus d'une centaine d'autres villes de France à un appel commun des syndicats CGT, CFDT, FO, Unsa, FSU, Solidaires, CFTC, CFE-CGC et FA."À chaque fois que nous avons des propositions communes, des préoccupations communes, nous sommes ensemble, c'est le cas aujourd'hui, tant mieux", s'est réjoui Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT."Les agents publics sont malmenés aujourd'hui et ils méritent d'être respectés", a-t-il souligné, regrettant que les fonctionnaires soient "trop souvent vus comme un coût et pas comme une richesse" et réclamant "une revalorisation salariale, une augmentation de la valeur du point" d'indice.L'unité syndicale est "une très bonne chose", a insisté de son côté Philippe Martinez (CGT), estimant que "ça donne une autre image du syndicalisme que tous les syndicats défilent ensemble". Pour lui, "le message c'est la défense des services publics, c'est-à-dire une conception de la société française différente de celle du président de la République" et la défense de "l'égalité des citoyens sur l'ensemble du territoire".Pascal Pavageau (FO) a jugé "très bien qu'il y ait une mobilisation avec l'ensemble des secrétaires généraux" des organisations syndicales, "bien sûr pour soutenir les fonctionnaires mais d'une manière générale pour dire: maintenant ça s'arrête!". "Si le gouvernement n'entend pas (...), ca pourrait prendre une dimension interprofessionnelle", a-t-il prédit."L'unité syndicale est très satisfaisante et en même temps signe d'une gravité extrême de la situation de la fonction publique. Il faut unir nos forces pour avancer", a jugé de son côté Bernadette Groison (FSU)."On vient dire au gouvernement: vous allez contre l'intérêt général, contre l'intérêt des citoyens", a expliqué Denis Turbet-Delof (Solidaires fonction publique), tandis que Luc Farré (Unsa fonction publique) disait craindre "une remise en question touche après touche du service public à la française".Plusieurs centaines d'étudiants se sont joints à la manifestation, certains positionnés en avant du carré de tête, pour protester contre la loi Vidal, accusée d'instaurer un système de sélection à l'entrée de l'université. "Tolbiac en lutte", ou "même Macron, même combat", proclamaient des pancartes.Le pré-cortège était émaillé de banderoles "qui vivra ZADra", "premiers de cordée, premiers guillotinés", ainsi que de quelques slogans antifascistes et anticapitalistes ou d'appels "Paris debout, soulève-toi".la-sp-awa-sva/cel/lum/mm(©AFP / 22 mai 2018 15h01)
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On se souvient que l'an passé, le collectif gazier avait fluctué entre revers à domicile et succès en déplacement lors des six premières journées. Un calendrier déséquilibré avec la réception de Poitiers, Chaumont et Paris, conjugué à des sorties à Toulouse, Nice, Nantes en était la cause quand bien même, la question de savoir s'il était en mesure de rivaliser avec les grosses cylindrées, pouvait alors faire l'objet d'un débat. Aujourd'hui, si on détient déjà la réponse en ce qui concerne sa capacité à se sublimer dans les grands rendez-vous, on attend toujours celle concernant son aptitude à bien négocier les matches a priori, moins complexes à aborder. Ce sera le cas ce soir avec la réception de Toulouse, dont l'ensemble apparaît équilibré mais loin de présenter le talent individuel et surtout la force collective du TVB. « On a identifié une bonne qualité de service et aussi un block défense se déplaçant très bien. Après, on connaît très bien leur passeur et leur pointu. Il va de soi qu'on s'attend à ce qu'ils sortent un gros match face à leur ancien club. Pour le reste, Toulouse se déplacera sans aucune pression, avec la volonté de se battre et de nous surprendre si on lui en laisse l'occasion » remarquait hier le coach Frédéric, ayant mis en garde ses joueurs sur la nécessité d'afficher le même état d'esprit, que pour la première sortie face à Tours. Ne pas se mettre dans l'embarras Avec un ensemble annoncé au complet, puisque finalement Nicolas Menez sera intégré de manière à pouvoir le cas échéant, apporter du renfort sur la base arrière, il est clair que ce GFCA vexé par son revers à Rennes, semble en mesure d'aller au bout de ses idées. « Il y a toujours une part d'incertitude avant un match, mais je sens mes gars désireux de vivre et partager une autre belle soirée avec le public. Il faudra pour y parvenir afficher du sérieux et de la concentration sur chaque échange. Toulouse va se battre et ne rien lâcher. C'est le genre de débat où en définitive, il faut surtout pas se mettre dans l'embarras » confiait un technicien, se voulant rassurant par rapport à la douleur ressentie cette semaine à l'épaule par son capitaine Brett Dailey. Avant un déplacement à Nice vendredi prochain, les Diables rouges seraient donc bien inspirés de refaire surface en ce qui concerne notamment un bilan comptable pour l'heure déficitaire, après trois journées. « C'est un autre rendez-vous très important, dans ce début de saison. Il nous faut impérativement les trois points » glissait en conclusion Ferrandez. Tant que son équipe rentrera bredouille de ses déplacements, elle devra logiquement composer avec cette forme de pression.
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L’intervention des Forces armées royales à El Guerguerate a intensifié les communications politiques entre le Maroc et la Russie. Ce jeudi 3 décembre a connu un nouvel entretien téléphonique entre Nasser Bourita et Sergueï Lavrov. Les échanges ont porté sur l’ «aggravation de la situation au Sahara occidental», indique le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. «Sergueï Lavrov a appelé les parties concernées à faire preuve de retenue, à respecter le cessez-le-feu et à rétablir le processus de négociation sous les auspices de l'ONU.» Communiqué du MAE Russe Le 18 novembre, dans un autre appel téléphonique avec Bourita, Lavrov avait réitéré la «position de principe» de Moscou «en faveur d’un règlement de la question du Sahara occidental exclusivement par des moyens politiques et diplomatiques et sur la base du droit international en vigueur». Le 20 novembre, Lavrov a eu un appel téléphonique avec son homologue algérien, Sabri Boukadoum, sur la question du Sahara.
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Le présent rapport financier annuel est établi conformément aux dispositions de l'article L. 451-1- 2 du Code monétaire et financier et de l'article 222-3 du Règlement Général de l'AMF. LE MOT DES DIRIGEANTS En 2020, la croissance du groupe Advenis a été freinée par la crise sanitaire. Les différentes mesures de soutien de l'Etat ont permis à Advenis de traverser cette période tourmentée. D'un point de vue financier, cela s'est traduit par un recours aux dispositifs prévus par l'état (Prêt lié à l'obtention par le Groupe d'un prêt garanti par l'Etat « PGE » de 2,5 millions d'euros, décalage d'échéances fiscales et sociales, décalage d'échéances de loyers), ainsi qu'au soutien de son actionnaire majoritaire. Malgré ce contexte difficile, Advenis a remporté d'importants succès avec notamment une année record des investissements SCPI avec le déploiement de 325 millions d'euros de capital. L'impact négatif de la crise sanitaire se décline de façon différenciée au sein de chacune des unités économiques du groupe. Gestion d'actifs, gestion privée et distribution En 2020, la collecte d'Advenis REIM a connu une baisse de plus de 25% pour s'établir à 173 millions d'euros. Ce recul est lié à la baisse de collecte sur réseau salarié d'Advenis Gestion Privée, à la diminution de la collecte de plusieurs distributeurs partenaires, notamment des réseaux bancaires ainsi qu'au fléchissement de la collecte auprès d'investisseurs institutionnels. En termes d'investissement, Advenis REIM a investi 325 millions d'euros en Allemagne (Eurovalys), Espagne (Elialys) et en France (Renovalys n°7). Cette performance comprend une dimension « non récurrente » car Advenis REIM a pu profiter en 2020 de l'élan de collecte Eurovalys de 2019 et a investi en 2020 à la fois la majorité des collectes 2019 et 2020. Le réseau salarié d'Advenis Gestion Privée a été freiné dans sa dynamique en raison de l'inactivité partielle des équipes lors du confinement de mars-avril 2020 et de l'attentisme de nos clients privés face à leurs décisions d'investissements dans une période de fortes incertitudes. Nos équipes de distribution externe ont également vu leur activité diminuer auprès de ses partenaires distributeurs. Services immobiliers L'UGT Services Immobilier présente un chiffre d'affaires de 17,7 millions d'euros en forte diminution en lien avec la baisse d'activité structurelle d'Advenis Conseil qui dépend du cycle immobilier et à la présence d'un chiffre d'affaires exceptionnel comptabilisé en 2019 concernant des ventes d'immeubles appartenant à des sociétés du groupe Inovalis. En 2020, Advenis Property Management et Advenis Facility Management ont connu une baisse de chiffre d'affaires par rapport à 2019. Toutefois, L'engagement continu et la réactivité des équipes, dans des conditions rendues difficiles par les périodes de confinement et les incertitudes pesant sur l'occupation des sites gérés, ont été appréciés par nos clients. Par ailleurs, nos activités d'investissement et de gestion en Allemagne ont connu une forte croissance en 2020 en bénéficiant des synergies liées au succès d'Eurovalys. Production En 2020, Aupera, notre filiale de suivi de travaux s'est distinguée, par la livraison de trois chantiers représentant près de 60 logements pour d'eux d'entre eux ainsi qu'un immeuble de bureaux à Pantin et, en tant qu'Assistant Maitre d'Ouvrage, par la livraison en novembre 2020 du chantier de construction du siège de Danone à Rueil-Malmaison. 3
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/R E P R I S E -- Examen de conduite pratique - Une unité mobile sera bientôt à Chibougamau/ SAGUENAY, QC, le 10 déc. 2019 /CNW Telbec/ - La Société de l'assurance automobile du Québec informe la population de Chibougamau et des environs de la visite prochaine d'une unité mobile qui permettra aux personnes qui ont un rendez-vous de passer un examen pratique afin d'obtenir un permis de conduire. L'unité mobile sera sur place selon l'horaire suivant, si la demande le justifie : Date : Le mardi 7 janvier 2020 De 13 h à 16 h 30 Le mercredi 8 janvier 2020 De 8 h 30 à 12 h Lieu : Les Voix de la Vallée du cuivre de Chibougamau inc. Place Le Chaînon 466, 3e Rue Chibougamau (Québec) Afin d'assurer un meilleur service, la Société invite la population à prendre rendez-vous en composant sans frais le 1 888 667-8687, entre 8 h et 17 h du lundi au vendredi. Noter qu'il faut aviser la Société au moins 48 heures à l'avance d'une annulation de rendez-vous d'examen pratique, sinon des frais de 23,10 $ s'appliqueront. Par ailleurs, il est aussi possible d'obtenir, sur rendez-vous uniquement, les services liés à l'évaluation des conducteurs (examens théorique et pratique) au Centre de services de Roberval, situé au 1221, boulevard Marcotte. SOURCE Société de l'assurance automobile du Québec Communiqué envoyé le 3 janvier 2020 à 06:45 et diffusé par :
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Entre les ondes électromagnétiques, les produits cancérigènes, l'environnement direct, les gaz d'échappement, on pourrait croire qu'il est préférable de rester chez soi. C'est faux ! En effet, la pollution intérieure est 5 fois plus nocive qu'en extérieur. À un point tel qu'en cinquante ans, le nombre de maladies respiratoires et d'allergies a explosé. Ce problème est principalement dû à deux facteurs ; d'une part l'utilisation de plus en plus importante de produits nocifs, notamment le synthétique, et d'autre part l'ultra-isolation des habitations qui ne respirent plus parce qu'elles sont trop hermétiques (un comble). Alors, faut-il avoir peur ?
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Microsoft se devait d'envoyer du lourd lors de son Xbox Games Showcase et, sans surprise, le géant américain a misé sur certaines de ses franchises les plus renommées et attendues : entre autres, la talentueuse saga automobile de Turn 10 fait enfin son grand retour après plus de deux ans d'absence et il se nommera simplement... Forza Motorsport.Ce huitième épisode de la franchise débarquera donc sur Xbox Series X (et sans doute sur PC et Xbox One, comme à l'habitude du constructeur), sera présent dans le Xbox Game Pass dès son arrivée dans le marché et optera pour un rendu photoréaliste époustouflant, fraîchement aperçu dans ce trailer court mais définitivement intense. On attend désormais une véritable séquence de gameplay et, surtout, une date ou ne serait-ce qu'une année de sortie : d'ici là, nous vous laissons cette première bande-annonce en 4K... et nous vous souhaitons bon appétit. La réponse parfaite à Gran Turismo 7 ?
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ARCHÉOLOGIE - Attribuée à une guerrière de haut rang, la sépulture de Suontaka Vesitorninmäki serait en réalité celle d'un individu défiant la stricte séparation entre deux genres. Voilà une histoire d'un autre genre. Après la guerrière viking mégenrée de Birka et les chasseuses péruviennes préhistoriques de Wilamaya Patjxa, l'occupant d'une tombe princière finlandaise du Moyen Âge s'est à son tour vu réinterprété à la lumière d'une nouvelle enquête entre anthropologie et archéologie. Découverte en 1969 sur la commune finlandaise de Hattula, la sépulture de Suontaka Vesitorninmäki renfermait de fabuleux vestiges du XIe-XIIe siècle : deux épées de qualité, dont l'une dotée d'un magnifique manche de bronze, une précieuse paire de broches, de la bijouterie et diverses autres parures et objets de valeur. Généralement considérée comme la tombe d'une guerrière de haut rang, la sépulture a fait l'objet cet été d'une nouvelle étude qui, en se fondant sur une analyse génétique de l'individu inhumé, est arrivée à une conclusion inattendue : il ne serait ainsi ni vraiment une femme, ni tout à fait un homme, mais une personne non-binaire. À lire aussiLe trésor viking de Galloway pourrait avoir appartenu à des moines écossais À l'époque de sa découverte, déjà, la présence d'objets à la fois masculins et féminins avait paru troublante aux archéologues finlandais en raison de l'occupation de la tombe par un unique défunt. Cet individu était impossible à identifier à l'un ou l'autre sexe en raison du peu d'ossements préservés, deux fragments très dégradés d'un fémur. L'hypothèse d'un second corps disparu ne tenant pas, l'étude précise des parures - et en particulier des deux broches ovales retrouvées là où devaient être les épaules - avait permis d'attribuer la tombe à une femme, drapée comme l'étaient les Finnoises de son temps. Cependant, d'après une analyse génétique réalisée ces derniers mois, l'individu ne possédait pas des chromosomes XX, comme on pouvait s'y attendre, mais des chromosomes XXY, comme l'ont présenté des chercheurs des universités d'Helsinki, de Turku et de l'Institut Max-Planck dans une étude parue dans le European Journal of Archaeology . La tombe de Suontaka Vesitorninmäki a livré aux archéologues de nombreux objets de qualité, dont une très belle épée dotée d'une poignée en bronze ouvragé (en A), une seconde épée sans poignée (en B), ainsi qu'une paire de broches typiques de l'habillement féminin de l'époque (en C). Finnish Heritage Agency Une sépulture prestigieuse «Il semble probable que l'individu présentait une aneuploïdie chromosomique masculine XXY (syndrome de Klinefelter)», avancent les scientifiques dans leur étude. Concernant les hommes biologiques nés avec un chromosome X en plus, le syndrome de Klinefelter se caractérise notamment par un retard pubertaire, de la gynécomastie ou encore la stérilité. Des symptômes qui, à partir de l'adolescence, auraient dissocié l'individu de Suontaka Vesitorninmäki des jeunes hommes de son âge. Une hypothèse plausible, selon l'anthropologue Lisa Matisoo-Smith de l'université néo-zélandaise d'Otago. Interrogée par le média américain LiveScience , la spécialiste a affirmé que, malgré la persistance d'une certaine marge d'erreur concernant les analyses ADN, «l'interprétation proposée selon laquelle l'individu était atteint du syndrome de Klinefelter est raisonnablement bien étayée sur la base de ces données fragmentaires». À lire aussiUne femme régnait-elle sur ce palais du bronze ancien de la période El Argar ? L'individu inhumé entre le XIe et le XIIe siècle à Suontaka Vesitorninmäki pourrait ainsi avoir joui d'une place intermédiaire parmi les siens, en dehors du strict cadre binaire et genré traditionnel, et notamment hors du rôle masculin qu'on pouvait avoir attendu de lui à sa naissance. «Les rôles de genre ne sont pas nécessairement des choix personnels mais sont façonnés par la société, rappellent les chercheurs dans leur étude. Dans la Finlande du début de l'époque moderne, les rôles masculins dépendaient parfois de la capacité sexuelle, de la capacité à produire une progéniture. Un homme infertile, ce qu'un individu XXY était susceptible d'être, aurait pu perdre sa virilité aux yeux de la société.» En dépit de ce brouillage des genres qui pourrait avoir été, à l'époque, source d'opprobre, le luxe de la tombe raconte qu'au contraire, au moment de sa mort en tout cas, l'individu «semble avoir été un membre très respecté de sa communauté», a précisé pour The Guardian l'archéologue Ulla Moilanen, à l'origine de l'étude du European Journal of Archaeology. Une tolérance, au moins partielle, de la non-binarité pourrait ainsi avoir été imaginable dans sud de la Finlande, au XIe-XIIe siècle. «On pourrait voir en la sépulture de Suontaka la preuve que les identités de genre non binaires pouvaient se voir accorder une valeur et une visibilité importante dans la société du nord de l'Européenne, au début du Moyen Âge», argumente l'équipe de chercheurs, tout en admettant que le statut social et familial - indiqué par la richesse du mobilier funéraire - de la personne pourrait avoir joué un rôle décisif dans sa situation. Le statut singulier de la personne inhumée pourrait enfin s'être vu symbolisé dans le choix des épées enfouies avec elle dans la tombe. La mieux connue, celle dotée d'une splendide poignée de bronze, avait été déposée au-dessus de la tombe, dans la couche de remblai. Seule la seconde épée, sans poignée, avait été placée sur le corps. Cette arme-ci «ne porte pas de traces de combat, et la poignée a été retirée comme pour la rendre inutilisable, ou moins violente et non sexuée si l'on s'en tient à la lecture traditionnelle du symbolisme des épées», observent les chercheurs. Pacifique ou non, l'aristocrate non-binaire de Suontaka Vesitorninmäki ne présente pas moins un profil d'un genre étonnant. À VOIR AUSSI – En Espagne, tous les citoyens pourraient bientôt choisir leur genre dès seize ans
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(Belga) Le président tchèque Milos Zeman et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont exprimé mardi leur espoir de voir Prague transférer rapidement son ambassade en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, malgré les oppositions internationales et européennes à de tels transferts. MM. Zeman et Netanyahu ont participé à Jérusalem à l'inauguration de la "Maison tchèque", une institution dénuée de statut diplomatique destinée à représenter des agences gouvernementales et participer à des manifestations culturelles. M. Zeman présente volontiers cet établissement comme une étape de plus, après la réouverture en mai 2018 du consulat honoraire à Jérusalem, vers le transfert de l'ambassade tchèque, dont il est un fervent avocat. "Je crois fermement que ma quatrième visite en Israël sera pour l'ouverture de l'ambassade tchèque", a dit M. Zeman. Il n'y aura pas seulement l'ambassade tchèque à Jérusalem, mais aussi "une belle taverne tchèque avec de la bonne bière tchèque", a-t-il plaisanté. Prague romprait ainsi avec les positions européennes sur le statut de Jérusalem, l'une des questions les plus épineuses du conflit israélo-palestinien. Cependant, la décision appartient en principe au gouvernement, et non au président. Or le gouvernement tchèque a dit vouloir respecter une position européenne commune. Comme une grande partie de la communauté internationale, l'UE estime que le statut définitif de Jérusalem doit être réglée par la négociation. La querelle sur le statut de Jérusalem et la présence des ambassades étrangères a été ranimée en décembre 2017 quand le président Donald Trump a rompu avec des décennies de consensus international en reconnaissant Jérusalem comme la capitale d'Israël et en annonçant le transfert, réalisé en mai suivant, de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. L'annonce a comblé d'aise les Israéliens, qui la considèrent comme la reconnaissance d'une réalité historique, et ulcéré les Palestiniens, qui y voient la négation de leurs revendications sur Jérusalem-Est, partie palestinienne de la ville annexée et occupée par Israël. Depuis lors, le Guatemala et le Paraguay ont suivi l'exemple américain. Mais le Paraguay a ensuite fait marche arrière. M. Netanyahu a espéré assister l'année prochaine à l'inauguration de l'ambassade tchèque à Jérusalem. M. Netanyahu a dressé un parallèle voulu flatteur entre la République tchèque et les Etats-Unis, dont il répète volontiers qu'ils sont le meilleur ami qu'ait Israël. "Nous n'avons pas de plus grand ami que la République tchèque dans l'hémisphère oriental", a-t-il badiné. Les Etats-Unis se trouvent dans l'hémisphère occidental par rapport au méridien de Greenwich. (Belga)
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Personne n'aurait imaginé, la semaine dernière, que ce jeudi Ravi Yerrigadoo ne serait plus Attorney General. Le scandale Yerrigadoo, a été, pour «l'express», un véritable marathon couru à un rythme de sprint. Nous vous en révélons les coulisses. Vendredi. Husein Abdool Rahim essaie de contacter via Facebook un journaliste de l'express. Mais le journaliste n'étant pas «l'ami» du dénonciateur, le message atterrit dans la boîte «message request» et le journaliste ne le voit pas. Samedi. Husein Abdool Rahim réussit à contacter la responsable d'une des publications de La Sentinelle. Celle-ci lui accorde une heure au téléphone. Elle contacte alors un des responsables de la rédaction de l'express. Un rendez-vous téléphonique est pris pour dimanche matin. Dimanche matin. Le directeur des publications, Nad Sivaramen, et Husein Abdool Rahim discutent au téléphone. «Je me suis confié à plusieurs personnes. Mais personne ne veut me croire. Ma vie est en danger.» Sceptique, le directeur des publications le reçoit quand même dans les locaux de l'express en compagnie d'un journaliste. La rencontre dure environ deux heures. Il avoue qu'il est poursuivi pour swindling, une affaire dans laquelle il plaide coupable. Difficile d'être convaincant avec une telle casserole. Mais ses messages sur WhatsApp ne mentent pas. La lettre signée par Ravi Yerrigadoo, et tamponnée par son bureau, pour demander à qui de droit d'accepter les versements des gains de bet365 de Husein Abdool Rahim paraît incroyable, mais est bien réelle. À la mi-journée, nous lui demandons de se choisir un avocat. Nous contactons ce dernier qui est de l'opposition. Il reçoit Husein Abdool Rahim en compagnie d'un journaliste de l'express. Il écoute, regarde, lit, consulte, semble surpris, estime que c'est grave, mais au final refuse de prendre l'affaire. Tout est à refaire. Dimanche après-midi. Husein Abdool Rahim choisit alors un autre avocat : Roshi Bhadain. Nous arrivons à le joindre d'abord par téléphone. Celui-ci reçoit le journaliste, le directeur des publications et le journaliste. L'ancien ministre est évidemment sceptique. Il interroge le dénonciateur, le contre-interroge, tente de le confondre. Mais ce dernier tient bon. Quand il a «fané», il l'avoue. Quand il a été complice, il l'avoue. Tout semble coller. Mais on n'est qu'au début. S'il faut y aller, il faudra tout décortiquer de manière systématique et méthodique. L'idée : pousser Husein Abdool Rahim à jurer un affidavit dès lundi pour qu'il fasse ses allégations sous serment. Entre-temps, il faut rédiger le 1er article : celui qui est paru lundi, axé sur la lettre de Ravi Yerrigadoo. Dimanche soir. Il faut alors faire appel à un autre journaliste. Tandis que le duo qui était chez Roshi Bhadain retourne à la rédaction pour rédiger l'article de lundi matin, Husein Abdool Rahim est conduit au domicile de cet autre journaliste dans l'Ouest. Il a pour tâche de faciliter le travail de l'avoué en rédigeant la chronologie des événements tout en contre-vérifiant les faits. Mais le travail est titanesque. Il faut que toute l'équipe soit là. Au milieu de la nuit, ils partent alors rejoindre le duo de Port-Louis. Lundi 1 heure du matin. C'est dans l'appartement d'un des journalistes de Port-Louis que commence le véritable travail de fourmi. Il faut écouter, noter, vérifier les documents et les portables. Cela n'en finit pas. Lundi 5 heures du matin. L'équipe a un coup de mou. Difficile de tenir le rythme. Une heure de sommeil, petit-déjeuner acheté à Plaine-Verte. Puis on reprend. Lundi 8 heures. Ashley Hurhangee, qui avait aussi été contacté, est à l'heure. Il frappe à la porte. Il faut tout lui expliquer. Tirant sur sa cigarette, il se montre par moment convaincu, par moment incrédule. Roshi Bhadain arrive aussi. Les deux avocats estiment qu'il vaut mieux attendre mardi pour jurer l'affidavit. Les deux hommes repartent après quelques heures. Ils repasseront plus tard. Le duo de journalistes et Nad Sivaramen reprennent le travail. Il faut aussi travailler sur l'article de mardi, celui consacré à la lettre manuscrite, tout en continuant les vérifications et la rédaction des dires de Husein Abdool Rahim. La journée de lundi est aussi marquée par les déclarations de Pravind Jugnauth contre les journalistes «pa koné kot inn passé péna degré inn vinn zurnalis». Il y a aussi celle d'Etienne Sinatambou qui en commentant l'article de l'express affirme «fasil koz nimport», et Yogida Sawmynaden qui prétend que son collègue Yerrigadoo est serein. Ce qui fait bien marrer l'équipe de journalistes en songeant à la tête que feraient ces trois politiciens quand toute l'affaire aura éclaté. Lundi 19 heures. Roshi Bhadain et Ashley Hurhangee sont de retour. Tout est beaucoup plus calme car on approche la fin de la rédaction et la vérification de l'histoire. Chacun prend le soin d'examiner ce qui a été rédigé. On discute, on n'est pas d'accord, il y a des zones d'ombre. On contre-interroge encore Husein Abdool Rahim. Cette séance de travail va se terminer à minuit pile ! Chacun - sauf Husein Abdool Rahim à qui nous avons promis notre soutien et notre sécurité - rentre chez soi, pour enfin un peu de sommeil. Rendez-vous à 9 heures mardi au bureau d'Ashley Hurhangee pour tout repasser au peigne fin, finaliser la rédaction de l'affidavit et vérifier les annexes. Mardi. Alors que le pays est stupéfait par la note manuscrite, il n'y a pas de temps pour pavoiser. Le travail se poursuit au bureau de l'avoué. C'est à 13 heures que l'affidavit est finalement juré. Husein Abdool Rahim passe chez lui, rencontre ses proches un instant, mais pas question de le laisser là-bas. Il faut sauvegarder les preuves. (Cet exercice n'a finalement été complété que hier soir.) Il faut aussi qu'il accorde une interview à présent. Mardi 17 h 30. Le pays découvre le visage, l'accent, la locution et l'histoire de Husein Abdool Rahim en live sur Facebook. La vidéo sera vue 21 000 fois. Pendant ce temps, un couac. L'affidavit et ses 33 annexes n'entrent pas sur les deux pages prévues dans l'express de mercredi matin. Il faut donc trier, choisir et éliminer. Décision est prise de renvoyer l'intégralité de l'affidavit et ses annexes sur le site Web de lexpress.mu. Mercredi. Ravi Yerrigadoo démissionne après la publication par lexpress.mu des 33 annexes!
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(CercleFinance.com) - Avanquest, la division d'édition de logiciels de Claranova, annonce le lancement de la version 11.5 de son logiciel inPixio Photo Studio intégrant pour la première fois des fonctionnalités d'intelligence artificielle (IA) avancées pour automatiser et optimiser l'édition de photo. 'Avec inPixio Photo Studio 11.5, les amateurs de retouche photo peuvent désormais tirer parti d'une technologie de traitement d'image 100% automatisée, jusqu'à 15 fois plus rapide que les technologies précédemment disponibles', assure Claranova. Avanquest continuera de capitaliser sur ces nouvelles technologies d'intelligence artificielle dans les prochaines versions d'inPixio Photo Studio afin d'offrir la meilleure expérience de retouche photo à ses utilisateurs.
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By - The website Antiarnaques.org (which means Antiscams in French) allows anyone who wants to date a Russian, Ukrainian or Slav women to check the identity of a specific woman. Antiarnaques.org also offers the possibility to check the reliability of any marriage agency, and to consult the black list of Russian women known for fraud. Dating Russian, Ukrainian or Slav women: a thriving market with many risks There are nowadays millions of single men, and among those, many dream of meeting a woman from Eastern Europe. Indeed, these women are known to be extremely attractive, faithful, and ready to do anything to come to live in Europe. Many dating and marriage agencies have been created to cater for this niche, specializing in so-called international marriages. Unfortunately, many scams are hidden among these agencies. The websites use the faces of superb young women as bait. Once the vulnerable bachelor is hooked by some carefully worded emails, he is asked for money to cover the cost of a plane ticket as well as the visa fee. The sums involved can go up to 1,500 or 2,000 €, depending on the naivety of the man, and there is generally no way to fight it legally. Anti Arnaques, the First community dedicated to fight Eastern Europe romance scams That’s why Anti-Arnaques was created, in order to provide a reliable verification platform to any man who has doubts about the sincerity of the person he is speaking to. It includes: A unique identity verification system in 2 steps: the Express Background Verification , through the four major Russian social networks, and the Official Background Verification , through the public and private databases of Russian and Ukrainian citizens that are reserved to the official authorities. , through the four major Russian social networks, and the , through the public and private databases of Russian and Ukrainian citizens that are reserved to the official authorities. A black list containing names and pictures of women known to have practiced scams. Practical advice to identify risk scenarios. A forum to exchange ideas on potential risky encounter situations. Testimony of a scam victim “Hello, I am Rui, I live in Portugal and I was a victim of a scheme. Nastya or Anastasiya Vorozhnina, living at Lomonosova 97-64, 428000 Novopokrovskoe Russia, deceived me. By mere chance, I only lost 200 €, as well as 24 photos. This scheme lasted about 5 months, but I always resisted to send the full amount of money she requested, which was around 800 € to start with. I hope to my testimony will help someone, and prevent him to fall into such scheme. These women can be very sweet at the beginning: only after 2 or 3 months she started to ask money. She was an authentic professional, who already appears in your list with other names: if I had knew Antiarnaques.org back then, I would not have wasted so much time.” Rui, 48 years old, scammed by A.V. About Dimitri Berezniakov, the creator of Anti Arnaques Dimitri Berezniakov launched UKReine.com in 1998: it was the first dating site specializing in international marriages between men from France, Belgium, Switzerland and Canada, and Ukrainian women. This allowed him have a ringside seat to witness the rise of Russian romance scams: he used to receive emails from men victims of these scams almost daily. Because of the magnitude of the problem, he decided to create Anti Arnaques in 2010, in order to offer a reliable solution to individuals wishing to verify the identity of Russian and Ukrainian women. Supplemental- Top Social Networks in Russia. Anti Arnaques, le premier site francophone de lutte contre les escroqueries sur le marché de la rencontre russe Le site Antiarnaques.org permet à tout individu souhaitant trouver l’amour auprès d’une femme russe, ukrainienne ou slave de vérifier l’identité d’une femme spécifique. Antiarnaques.org offre également la possibilité de vérifier le sérieux de l’agence matrimoniale choisie, et de consulter la liste noire de femmes russes connues pour escroquerie. La rencontre de femmes russes, ukrainiennes et slaves : un marché florissant mais présentant de nombreux risques On compte aujourd’hui dans l’Hexagone de 16 millions à 18 millions de célibataires, divorcés et veufs, ce qui représente un marché attractif et porteur (CIDJ.com). Et ce nombre ne cesse d’augmenter : le nombre de seniors et de divorcés étant en hausse, de plus en plus d’individus se retrouvent à chercher l’âme sœur. Parmi ces millions de célibataires, de nombreux hommes rêvent de rencontrer une femme originaire d’Europe de l’Est. En effet, on leur promet des femmes fidèles au physique extrêmement attractif, prêtes à tout pour venir vivre en France. Une multitude d’agences matrimoniales s’est ainsi positionnée sur ce créneau, en se spécialisant dans les rencontres dites internationales. Malheureusement, de nombreuses arnaques se cachent parmi ces agences. Les sites utilisent les visages de superbes jeunes femmes comme appât. Une fois le célibataire vulnérable hameçonné par quelques emails soigneusement rédigés, on lui demande de l’argent pour couvrir le montant d’un billet d’avion ainsi que les frais de visa. Les sommes en jeu peuvent monter jusqu’à 1 500 ou 2 000 € selon la naïveté de l’interlocuteur, et il n’existe en général aucun recours devant la justice. Anti Arnaques, première communauté francophone luttant contre les arnaques sentimentales d’Europe de l’Est C’est pour cela qu’a été créé Anti Arnaques, dont l’objectif est de fournir une plateforme de vérification fiable à tout homme ayant des doutes sur la sincérité de son interlocutrice. On y trouve ainsi : Un système de vérification d’identité unique en deux temps : la Vérification Express , via des 4 principaux réseaux sociaux russes, et la Vérification Officielle , via les bases de données publiques et fermées des citoyennes russes et ukrainiennes qui sont réservées aux organismes officiels. Une liste noire répertoriant les noms comme les visages des femmes connues pour avoir pratiquées des escroqueries. Une liste noire des agences matrimoniales internationales connues pour pratiquer des escroqueries. Des conseils pratiques et concrets pour identifier les scénarios à risque. Un forum d’entraide pour échanger sur des situations de rencontres potentiellement à risques. Ils ont été victimes d’arnaques et témoignent « Tout a commencé par un mail, et des conversations dans lesquelles on parlait de tout et de rien. Je lui ai proposé de venir en France pour son anniversaire, et la cascade d’ennuis a débuté : pas d’argent pour payer le passeport, pas d’argent pour payer le visa…J’ai donc payé tous les frais. Une fois à l’aéroport, elle s’est soi-disant faiteî arrêter, on lui a interdit de quitter le pays à cause du crédit de son appartement. J’ai eu moult preuves de sa bonne foi, j’ai cru en elle, je me suis senti responsable, je me suis investi à fond. J’ai donné beaucoup beaucoup d’argent, et aujourd’hui j’ai tout perdu. Je souhaite simplement que d’autres ne répètent pas les mêmes erreurs : je l’ai donc signalé sur Anti Arnaques, s’il vous plaît allez-voir, et faites attention ! » Joël, 43 ans, arnaqué par E. T. “J’ai commencé une relation par email avec Anastasiya, elle m’a complétement séduit en quelques semaines. Elle était extrêmement douce au début, puis a commencé à réclamer de l’argent. Par chance, j’ai flairé quelque chose de louche et ne lui ai envoyé que 200 €. J’ai ensuite réalisé qu’elle était présente sur la liste noire d’Anti Arnaques ! » J’espère empêcher un autre homme de tomber dans le même piège ! » Pierre, 48 ans, arnaqué par A. V. A propos de Dimitri Berezniakov, le créateur du site Anti Arnaques Dimitri Berezniakov a lancé UKReine.com en 1998 : il s’agissait alors du premier site de rencontres spécialisé dans les mariages internationaux entre des hommes originaires de France, de Belgique, de Suisse et du Canada, et des femmes ukrainiennes. Cela lui a permis d’être aux premières loges pour assister à l’essor des arnaques sentimentales en provenance d’Europe de l’Est : il reçoit alors des emails provenant d’hommes victimes de ces escroqueries quasi-quotidiennement. Face à l’ampleur du problème, il décide de créer Anti Arnaques en 2010, afin d’offrir une solution fiable aux individus souhaitant vérifier l’identité de leurs interlocutrices.
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Photo diffusée par les Gardiens de la révolution iraniens du lancement de missiles sur l'est de la Syrie, le 1er octobre 2018 L’Iran a annoncé lundi avoir attaqué à coup de missiles des positions jihadistes dans l’est de la Syrie en représailles à l’attentat ayant endeuillé le 22 septembre la ville iranienne d’Ahvaz, en affirmant qu’il ne s’agissait là que d’un «petit coup» avant le «châtiment véritable». L’attaque, qui pourrait être perçue comme un nouveau signe de l’avancement des capacités balistiques iraniennes décriées par l’Occident, a visé la ville de Boukamal (sud-est), sur la rive droite de l’Euphrate, proche de la frontière irakienne, selon un communiqué des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique. L’opération «Frappe de Moharram» (le mois du deuil musulman, actuellement en cours et particulièrement célébré dans l’Iran chiite) a été menée par «la branche aérospatiale des Gardiens de la révolution», ajoute le communiqué. Selon les Gardiens, «six missiles balistiques de moyenne portée ont été tirés à partir» de l’ouest de l’Iran à 02H00 du matin (23H30 GMT dimanche) et l’attaque a porté un «coup fatal, à 570 km de distance». La télévision d’État iranienne a indiqué que les missiles avaient été tirés à partir de la province de Kermanshah, frontalière de l’Irak. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), «de fortes explosions ont eu lieu à l’aube dans la dernière poche sous le contrôle de l’EI (le groupe jihadiste État islamique, NDLR), près de la ville de Boukamal». Ce réduit fait l’objet d’une offensive des Forces démocratiques syriennes (FDS), coalition de combattants kurdes et arabes, depuis le 10 septembre. Les Gardiens de la Révolution ont déclaré que la frappe de missiles a été suivie d’un bombardement réalisé par «sept drones militaires» contre des installations «des terroristes mercenaires». L’Iran est, avec la Russie, l’un des principaux soutiens au pouvoir du président syrien Bachar al-Assad, qu’elle aide politiquement et militairement, et les Gardiens de la révolutions sont présents sur le sol syrien en tant que «conseillers militaires» des forces loyalistes. «De nombreux terroristes (jihadistes) et les chefs responsables du crime terroriste d’Ahvaz ont été tués ou blessés» dans l’attaque sur Boukamal, ont assuré les Gardiens, sans plus de détails. Le site internet des Gardiens de la révolutions a publié des photos de trainées de fumée et de points lumineux dans le ciel nocturne, au-dessus d’un relief montagneux désertique. Selon l’agence de presse iranienne Fars, proche des conservateurs, deux types de missiles ont été utilisés: des Zolfaghar (d’une portée de 750 km) et des Qiam (800 km). - «Vengeance inoubliable» - Le 22 septembre, 24 personnes ont été abattues par un commando de cinq personnes ayant ouvert le feu à l’arme automatique sur un défilé militaire à Ahvaz, capitale de la province du Khouzestan, à la population majoritairement arabe. L’attentat a été revendiqué par l’EI et un groupe séparatiste arabe. Le jour même de l’attaque, le président iranien Hassan Rohani avait promis une réponse «terrible», et les Gardiens de la révolution avaient annoncé une «vengeance inoubliable» dans un avenir proche. Les frappes «contre le quartier général des terroristes d’Ahvaz n’était qu’un petit coup contre ces criminels. Le véritable châtiment est encore à venir», a affirmé lundi sur Twitter, le général Mohsen Rezaï, ancien commandant en chef des Gardiens de la Révolution, aujourd’hui secrétaire du Conseil de discernement iranien, un des organismes de contrôle du système politique de la République islamique. Le 24 septembre, le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, avait établi un lien entre les auteurs de l’attentat d’Ahvaz et les groupes jihadistes opérant «en Syrie et en Irak». Selon l’EI, les cinq membres du commando étaient Iraniens, dont quatre originaires d’Ahvaz. M. Khamenei a accusé les assaillants d’avoir été «financés par les Saoudiens et les Émirats arabes unis». Ryad et Abou Dhabi ont démenti. Accusant les États-Unis, Israël et les «régimes réactionnaires» du Moyen-Orient de soutenir les «terroristes» basés dans l’est de la Syrie à l’origine de l’attentat d’Ahvaz, le communiqué des Gardiens de la Révolution clame que les forces armées iraniennes seront toujours prêtes à répondre de manière «décisive» à l’aventurisme des «ennemis» de la République islamique. En juin 2017, les Gardiens avaient annoncé avoir détruit des positions de l’EI dans l’est de la Syrie à l’aide de missiles tirés de la province de Kermanshah.
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Les observateurs internationaux accrédités pour la supervision des élections couplées ont échangé avec le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le vendredi 20 novembre 2020 à Ouagadougou, sur les préparatifs du scrutin. Dans le cadre de la supervision des élections couplées du 22 novembre, des missions d’observation internationales ont été accréditées au Burkina Faso afin de suivre le déroulement du processus. Dans l’optique de mieux s’imprégner du dispositif mis en place en vue de ces élections, les chefs des délégations des observateurs internationaux ont échangé avec le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le vendredi 20 novembre 2020, à Ouagadougou. Parmi ceux-ci, l’on note les représentants de l’Union africaine (UA), de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), de la Communauté des Etats sahélo- sahariens (CEN-SAD) et du Conseil de l’entente. Le président de la CENI, Newton Ahmed Barry, qui avait à ses côtés, le président du Conseil supérieur de la communication (CSC), Mathias Tankoano, est revenu sur l’ensemble des dispositifs mis en place pour la réussite du scrutin. Il a fait savoir que tout se déroule correctement. Sauf, a-t-il relevé, le contexte sécuritaire qui va contraindre 15 communes du pays à ne pas pouvoir exercer leur droit civique. Le chef de la délégation de la mission d’observation de l’Union africaine, Kabine Komara, s’est réjoui qu’à quelques jours des élections, aucun incident majeur n’ait encore été relevé de nature à remettre en cause le bon déroulement du processus. Toute chose qui, de son point de vue, est à l’actif de la classe politique. « Le consensus autour de la CENI, l’accord sur le fichier électoral et la signature du pacte de bonne conduite sont des éléments qu’il faut saluer, ici, au Burkina », a indiqué l’émissaire de l’UA. Ils ont tous émis le vœu que les élections se tiennent dans un climat apaisé afin de consolider les acquis démocratiques au Burkina. M.Barry a, du reste, traduit la disponibilité de la CENI à accompagner toutes les délégations d’observation présentes pour la réussite de leur mission. Soumaïla BONKOUNGOU
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Si les élections régionales avaient lieu ce dimanche, Laurent Wauquiez (Les Républicains), le président sortant de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, serait en ballotage favorable. Selon un sondage exclusif RégioTrack d‘OpinionWay pour Les Echos publié ce vendredi, sur un plan national, 22 % des électeurs voteraient pour les listes LR au premier tour. C’est autant que le Rassemblement National (22 %), mais plus que La République en Marche (18 %), le PS et les Verts sont donnés tous les deux à 12 %. La stabilité Autre enseignement, ce sondage laisse entrevoir une grande stabilité, avec une large prime au sortant. Cependant, OpinionWay tempère : personne n‘est assuré de décrocher une région. Une quadrangulaire est envisagée au second tour en Auvergne-Rhône-Alpes. Le candidat LR affronterait alors ceux du PS, de LRM et du RN. Laurent Wauquiez, le plus connu 50 % des Français ne savent pas qui est leur président de région selon le sondage. Ce n‘est pas le cas en Auvergne-Rhône-Alpes puisque Laurent Wauquiez est connu de 76 % de la population régionale. L‘institut a en aussi profité pour réaliser une enquête de satisfaction. Et là encore, le président LR récolte un joli score : 65 % des sondés se disent « satisfaits » de son action. Bémol, c’est un peu moins que la moyenne nationale qui s’élève à 67 %.
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Sous contrat jusqu'en juin 2022, le milieu de terrain de Manchester United Paul Pogba dispose d'un avenir incertain. Alors que l'agent Mino Raiola avait ouvertement évoqué un départ de l'international français des Red Devils en décembre dernier, l'actuel 2e de Premier League a encore un espoir sur ce dossier. En effet, d'après les informations du tabloïd britannique le Daily Express vendredi, les dirigeants mancuniens veulent absolument prolonger le bail du Tricolore. De retour à un bon niveau ces derniers mois, Pogba aura-t-il l'envie de poursuivre son aventure avec MU? Par le passé, le natif de Lagny-sur-Marne avait été régulièrement annoncé dans le viseur du Real Madrid.
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Foot - Mercato - PSG Mercato - PSG : Ça se complique pour l'avenir de Juan Bernat ? Publié le 19 février 2021 à 9h45 par La rédaction Blessé depuis septembre dernier, Juan Bernat n'espère pas un retour dans le groupe du Paris Saint-Germain avant la fin mars. De quoi rabattre les cartes concernant son avenir ? Arrivé en 2018 en provenance du Bayern Munich, Juan Bernat s'est rapidement imposé comme un indiscutable. Alors qu'il arrive en fin de contrat en juin prochain, le Paris Saint-Germain aurait déjà travailler, en début de saison, afin de trouver un accord pour une prolongation. Mais le dossier traîne en longueur, notamment en raison de la grave blessure qu'a connu Bernat en septembre dernier. En pleine convalescence après une rupture des ligaments croisés du genou gauche, l'international espagnol aimerait également prolonger mais sa situation attire les prétendants, qui ne manquent pas. Le FC Barcelone ou encore le Séville FC ont notamment été cités comme des clubs intéressés. La blessure de Juan Bernat est-elle vraiment un frein pour le PSG ? Un contrat renégocié en raison de sa blessure ?
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Ils sont boulanger, organisateur de spectacle et radiologue. Des Français qui disent avoir de la chance. Ils vivent en Allemagne, pays dans lequel l'épidémie de Covid-19 est mois sévère qu'en France. En banlieue de Berlin, on a l'impression de se retrouver dans un petit coin de Normandie. Se retrouver entre amis et faire une partie de pétanque sont des activités possibles. "Aucun malade dans l'entreprise" Didier a ouvert une boulangerie-salon de thé qui n'a jamais fermé. "Nous n'avons eu aucun malade dans l'entreprise, donc nous avons même un chiffre d'affaires en augmentation. Pour l'instant, ça se passe bien", explique ce Français expatrié. Si les ventes se maintiennent, c'est parce que les Berlinois, qui peuvent moins voyager qu'avant, sont ravis de trouver un peu d'évasion. "Je ne suis jamais allée en France, mais ici c'est un peu ma petite France", se réjouit une cliente. Le JT Les autres sujets du JT
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En 2020, OnePlus a plongé dans le marché des smartphones abordables avec les Nord N10 et N100. Ce n’était pas la nature de OnePlus de faire des smartphones bon marché, mais la société l’a néanmoins fait, et son pari a été payant. Aujourd’hui, il semble que OnePlus soit en train de préparer un successeur à au moins un de ces smartphones de la gamme Nord. Le OnePlus 9 n’a même pas encore été annoncé, ce qui devrait se produire dans quelques heures seulement, mais les rumeurs tourbillonnent déjà avec des nouvelles concernant les futurs smartphones de milieu de gamme de la société. En effet, ce n’est pas seulement le OnePlus Nord 2, mais également le OnePlus Nord N10 2 ou quel que soit le nom du smartphone de nouvelle génération. On ne sait pas encore grand-chose de ce dernier, mais si l’on en croit ces nouveaux rendus non officiels, le successeur du Nord N10 ne va pas émerveiller la foule autant que le premier. En effet, l’appareil porte apparemment le nom de code « Ebba » et ressemble beaucoup à son prédécesseur. Bien sûr, les apparences peuvent être trompeuses, mais la première impression est aussi la bonne. À moins que vous ne preniez en considération les détails de ce qui a effectivement changé, on peut difficilement percevoir les différences. En effet, au moins en termes d’apparence générale et même de dimensions, ce OnePlus Nord N10 2, faute d’un meilleur nom, semble étrangement familier. Les choses qui sont restées les mêmes comprennent la coque arrière en plastique brillante, et l’écran plat de 6,49 pouces avec une caméra frontale logée dans un trou de l’écran. Malheureusement, le menton épais (bord sous l’écran) est également le même. La seule bonne chose qui n’a pas changé est qu’il y a toujours une prise casque. Quelques ajustements bienvenus Bien sûr, il y a des changements notables, le plus important étant l’absence du capteur d’empreintes digitales à l’arrière. Celui-ci a été déplacé non pas sous l’écran, mais sur le bouton d’alimentation, sur le côté. Le bloc de la caméra, tout en conservant le même design, perd également un capteur. Bien sûr, il y aura quelques améliorations à l’intérieur, mais il vaut mieux ne pas trop en attendre, surtout à ce niveau de prix. Si les premières fuites pour le OnePlus Nord 2 sont une indication, OnePlus pourrait opter pour des processeurs MediaTek pour la gamme Nord à long terme.
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Les paiements électroniques progressent, mais le cash résiste. Voici les quatre règles pour retirer de l’argent ou régler ses dépenses aux moindres frais à l’étranger. La pandémie a favorisé les modes de paiement électronique – même pour les petits montants. Ainsi, l’an passé, un Européen sur quatre dit avoir privilégié les paiements sans contact au détriment des espèces. Mais le déclin du cash, s’il précédait l’apparition du covid, est très relatif. Et le recours à l’argent liquide varie d’un pays à l’autre – moindre aujourd’hui au nord de l’Europe, encore relativement important au sud. Ainsi, selon la dernière enquête sur les attitudes de paiement des consommateurs de la Banque centrale européenne portant sur 2019, l’argent liquide était utilisé pour régler à peine plus d’un tiers des paiements en points de vente en Finlande et aux Pays-Bas, contre huit paiements sur dix, généralement des petits montants, en Italie, en Espagne ou au Portugal.
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Une fillette de 17 mois a été enlevée vendredi matin à Wintzenheim, près de Colmar, par un couple susceptible d’être issu du milieu familial. La gendarmerie a lancé ce dimanche midi un appel à témoin pour tenter de la retrouver, selon nos confrères des Dernières nouvelles d'Alsace et de L'Alsace : "La petite Elisabeta, 17 mois, type caucasien, cheveux bruns noués en deux petites couettes sur le haut du crâne, yeux marron, vêtue d’un haut blanc avec dentelles, d’une jupe rose pâle, pieds nus, a été subtilisée par un couple susceptible d’être issu du milieu familial. Les individus ont ensuite pris la fuite à bord d’un véhicule. La femme, type caucasien, corpulente, est porteuse d’un foulard clair et d’une longue robe blanche à fleurs. L’homme est de type caucasien, brun, porteur d’un short bleu et d’un t-shirt jaune. Le véhicule utilisé par les auteurs est une Mercedes classe E Grise immatriculée CA-641-TA. Si vous avez des informations permettant la localisation de l’enfant, des protagonistes où du véhicule utilisé, veuillez prendre contact avec les enquêteurs au 03 89 21 51 99 (CORG GGD 68). N’intervenez pas vous-même".
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Koumac. La paroisse Eika de la tribu de Wanap a une actualité chargée. Après l’inauguration le week-end dernier de son temple rénové, elle a accueilli, jeudi, la deuxième Rue piétonne organisée par le service animation de la mairie. Plus d’une vingtaine d’exposants de Koumac ont proposé leurs produits à un public venu nombreux.
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Déterminant dans l’acte d’achat immobilier, l’adresse du bien est évidemment le critère principal des acheteurs. Pour Sefri-Cime, l’emplacement est donc essentiel pour décider de créer un projet, qu’il envisage de façon qualitative plus que quantitative. Outre une sélection haut de gamme de ses adresses, historiquement implantées à Paris et dans sa banlieue Ouest, le promoteur considère l’environnement direct de ses résidences, à savoir une vue arborée, le calme, les équipements à proximité et l’accessibilité réunis. Cette vision implique la construction d’éco-systèmes résidentiels avec moins d’appartements, mais plus de surface pour chaque ménage, et la plupart du temps dotée d’un espace extérieur privatif, en sus des aménagements paysagers communs. Un parti pris qui ne date pas de la crise sanitaire mais qui est avant-gardiste, puisque depuis les confinements successifs, un français sur cinq souhaiterait bénéficier d’un logement plus grand et 36 % d’entre eux font de l’espace extérieur leur critère n°1*. Des réalisations architecturales uniques Ce goût pour une architecture pérenne et vivante se ressent dans la qualité esthétique des réalisations de Sefri-Cime. Imaginé en parfaite adéquation avec l’environnement, chaque projet est dessiné de façon unique et adaptée, en faisant intervenir de concert architectes, décorateurs, paysagistes et designers de renoms. L’objectif ? Démontrer avec cette signature architecturale que l’art de construire ne se limite pas aux surfaces habitables, mais s’apparente au contraire à un tout, essentiel au sentiment de bien-être quotidien. Des appartements spacieux et ouverts sur l’extérieur, sans condition de surface A l’intérieur, les appartements des résidences Sefri-Cime font là encore la part belle aux matériaux de qualité et aux prestations fournies, conciliant exigence de qualité et adaptabilité aux nouveaux usages. D’une surface moyenne supérieure au marché du neuf, ces lieux de vie contemporains sont toujours envisagés avec des volumes généreux et des espaces de vie modulables, à même d’anticiper les évolutions de nos habitudes de vie. Côté outdoor, le promoteur fait le choix de doter tous ses logements, sans condition de surface, d’un balcon, d’une terrasse, d’une loggia ou d’un jardin privatif. Une décision qui s’intègre dans sa vision globale de l’architecture, et qui prône la nécessité de juxtaposer tous les aspects de l’habitat (esthétisme, surface intérieure confortable, extérieur privatif, jardins collectifs paysagers, parties communes ciselées) pour créer des lieux de vie agréables au quotidien et pérennes dans le temps, en adéquation avec les valeurs de son Manifeste. * Analyse marché Sefri-Cime : Habitat : quelles sont les attentes des Français ? * Ce contenu publi-éditorial vous est proposé par Sefri-Cime. La rédaction du Figaro n’a pas participé à sa conception.
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[VIDÉO] Quelles sont les formalités administratives à remplir pour louer en location saisonnière ? Combien ça rapporte ? Quelles astuces pour attirer le plus de locataire ? On vous dit tout.
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Dix jours après le Brexit, des effets déjà visibles et des commerces à l'arrêt Victimes d'échanges trans-Manche réduits à leur minimum, les magasins Marks&Spencer, tant en France qu'au Royaume-Uni − AFP SLOWDOWN - Des supermarchés aux rayons sous-approvisionnés, des pêcheurs qui n'exportent plus, mais surtout des échanges commerciaux réduits à la portion congrue : dix jours après la sortie du Royaume-Uni de l'UE, les conséquences immédiates du Brexit sont déjà visibles. Au vu de la précipitation dans laquelle se sont négociés les derniers détails de l'accord commercial qui a évité un no deal aux deux parties, il était à craindre que les premières semaines de janvier soient un peu chahutées. Si l'accord prévoit des échanges commerciaux sans nouvelles taxes, le Royaume-Uni n'est plus un voisin comme les autres. Et le commerce semble déjà souffrir des contraintes administratives qu'implique la sortie de l'UE. Avec un accord tombé pendant les fêtes de fin d'année, et sur fond d'une pandémie au plus haut outre-Manche, l'ambiance est tout sauf au business as usual. Toute l'info sur Brexit : goodbye United Kingdom Blocages et rayons vides... des deux côtés de la Manche Le weekend dernier, les consommateurs britanniques ont ainsi pu découvrir des hypermarchés aux rayons souvent clairsemés, surtout du côté des produits frais, des fruits et légumes particulièrement. En cause : des importations en baisse, venant de grossistes qui ont hésité à affréter des camions vers le Royaume-Uni, de peur de les voir bloqués ou retardés par les nouvelles procédures... ou par de possibles embouteillages de poids-lourds. Des bouchons qui ne se sont pour l'instant pas matérialisés : dans les premiers jours de 2021, on comptait ainsi 800 camions à l'arrivée des ferries de Douvres... contre plus de 10.000 par jour en moyenne d'ordinaire. Un ralentissement qui a aussi un retentissement chez nous, particulièrement pour des enseignes qui distribuent des produits britanniques, et en particulier la chaînes de magasins Marks&Spencer, déjà mal en point et la plus touchée par le ralentissement des échanges. Dans les rayons des magasins parisiens de M&S, on ne trouve plus les sandwiches triangulaires habituels, mais aussi toutes sortes de produits 100% British qui font d'ordinaire le succès de l'épicerie. Une situation qui n'empêche pas les Anglais de garder leur sens de l'humour. Sur Twitter, notre confrère John Lichfield, correspondant à Paris du quotidien The Independent, s'amuse ainsi de la "grande famine des sandwiches post-Brexit" qu'affichent les rayons vides de Marks&Spencer chez nous. La pêche britannique sans débouchés Sur la pêche, dossier le plus brûlant - malgré son importance économique toute relative - de l'accord avec l'UE, si la diplomatie l'a emporté, la nouvelle donne peine à s'organiser. Si côté UE, les pêcheurs attendent souvent des précisions sur les zones de pêche qui leur seront ouvertes, et les permis qui vont avec, c'est côté britannique que les difficultés sont les plus visibles, du fait d'une machine administrative qui peine à se mettre en route. "D'abord on nous dit que c'est un problème informatique, puis que ce sont les formulaires, et puis on nous dit qu'on ne sait plus", déplore un pêcheur. Conséquence : des clients européens dont les commandes sont en chute libre... tout comme les prix de poissons qui ne trouvent plus preneur. À la criée de Peterhead, en Écosse, on constatait ce matin des cours dévissant de 60 à 80% pour certaines espèces. Idem dans le sud-Ouest du pays, où des poissons destinés à la France ne trouvent plus preneur. En Irlande du Nord, un commerce "au bord de l'effondrement" En Irlande du Nord aussi, les conséquences immédiates du Brexit sont sévères, avec là encore des supermarchés qui peinent à remplir leurs rayons. Ici aussi, ce n'est pas la demande qui est en cause, mais l'adaptation difficile à une nouvelle règle du jeu, où l'Irlande du Nord a de plus un statut particulier. Pour ne pas avoir à réinstaurer une frontière entre l'Irlande du Nord et la République d'Irlande - ce qui aurait contrevenu aux accords de paix du Good Friday - le territoire est demeuré dans l'union douanière, ce qui en revanche nécessite de nouveaux contrôles sur les marchandises arrivant depuis la Grande-Bretagne. De nouvelles procédures qui, pour l'instant, ont ralenti les échanges, qui ne seraient qu'à 30 à 40% de leurs volumes habituels, selon la Road Haulage Association (RHA), premier syndicat de transporteurs routiers du pays. "Certaines entreprises ont décidé de cesser d'approvisionner l'Irlande du Nord en raison de l'incertitude ou des retards", explique un porte-parole du syndicat, pour qui le système d'approvisionnement "est littéralement à quelques jours de l'effondrement". Constat partagé par la compagnie de ferries Stena Line a annoncé l'annulation de plusieurs traversées entre le pays de Galles et Dublin, pour cause de trafic fret en baisse notable. En vidéo les commerces calaisiens : les premières victimes du Brexit Encore trop tôt pour mesurer les effets réels du Brexit Une chose est sûre : l'économie britannique - et nombre d'entreprises de l'UE - ne tiendront pas longtemps si le ralentissement des échanges devait se poursuivre. Si l'alimentation en voit les signes les plus criants, le commerce au point mort pourrait rapidement frapper l'industrie, avec des réseaux d'approvisionnements qui sont depuis longtemps interdépendants. Des entreprises qui compulsent depuis le début du mois l'accord complet conclu entre l'UE et le Royaume-Uni, pour en comprendre les impacts immédiats, les nouvelles procédures administratives et les frais éventuels auxquels leurs produits pourraient être soumis. De quoi ralentir là encore les échanges trans-Manche, pour celles qui n'ont pas simplement choisi de changer de fournisseurs pour rester dans l'UE. Cet impact là mettra plusieurs mois à se faire sentir.
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Le Resurrection Fest partage des concerts de ses éditions passées sur sa chaîne YouTube. Tu trouveras par ici celui de Bullet For My Valentine en 2016 ou encore celui de Trivium de l'an dernier. [plus d'infos]
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Les femmes en Suisse sont appelées vendredi à faire grève ou délaisser les tâches ménagères pour défiler vêtues de mauve en faveur de l'égalité salariale, mais l'ampleur du mouvement reste incertaine tant les débrayages sont rares dans le pays. Parades de poussettes, concerts de sifflets, pauses déjeuner prolongées, pique-nique géants... les manifestations prévues sont multiples. Le point d'orgue de cette mobilisation est un défilé en fin de journée dans plusieurs villes, dont Berne, devant le Palais fédéral. Dans certaines villes, des crèches sont fermées, tandis que les écoles assurent un service minimum. Les députés ont décidé de marquer leur soutien à l'initiative en faisant une pause de 15 minutes. Le ministre de l'Intérieur, en charge des affaires sociales, Alain Berset, a pour sa part publié une vidéo sur twitter pour dénoncer les violences conjugales, le harcèlement et le "fossé" existant entre hommes et femmes en matière de salaires et de retraite. La manifestation, jugée "illicite" par l'Union patronale, est placée sous la devise: "plus de temps, plus d'argent et du respect". Elle fait écho à la dernière grande grève féministe qui avait réuni dans tout le pays un demi-million de femmes le 14 juin 1991, dix ans jour pour jour après l'introduction du principe d'égalité entre genres dans la Constitution. Les femmes avaient alors dénoncé l'absence de mesures concrètes et l'inégalité salariale. Cette mobilisation avait abouti à l'entrée en vigueur en 1996 de la loi sur l'égalité au travail. Portées désormais par la vague #Metoo, la nouvelle génération de femmes veut poursuivre le combat initié par leurs aînées il y a presque 30 ans alors que l'égalité salariale n'est toujours pas atteinte. Elles touchent en moyenne environ 20% de moins que les hommes. Et à conditions égales, notamment formation et ancienneté, l'écart salarial est encore de près de 8%, selon le gouvernement. - Débrayage à 15h24 - Egalité des salaires, introduction d'un salaire minimum, tolérance zéro face à la violence sexiste... les revendications sont multiples. Celles qui ne peuvent pas faire grève toute la journée sont invitées à débrayer à 15h24, heure à partir de laquelle les femmes travaillent gratuitement si l'on prend en compte l'inégalité salariale moyenne de 20%. A Genève, un groupe de "marraines" a même été lancé pour manifester à la place de celles qui renoncent à défiler par peur de perdre leur emploi. En 1991, une femme sur sept s'était mobilisée, un chiffre d'autant plus exceptionnel que les arrêts de travail sont très rares depuis l'instauration en 1937 de la "paix du travail", une convention signée entre patronats et syndicats excluant le recours à la grève au profit de la négociation. L'idée de refaire grève est née sous l'impulsion des syndicats, ces derniers n'étant pas parvenus à introduire, lors de la révision de la loi sur l'égalité en 2018, le principe de sanctions contre les entreprises violant l'égalité salariale. Un contrôle des salaires a été mis en place, mais limité aux entreprises d'au moins 100 employés. Les femmes des partis de la droite traditionnelle et du centre n'ont pas appelé à faire grève mais ont demandé la semaine dernière que ce contrôle des salaires soit étendu aux sociétés d'au moins 50 employés. Elles réclament aussi plus de femmes dans les instances dirigeantes. Près de deux tiers de la population suisse, soit 63,5%, soutiennent la grève, selon un sondage publié début juin par le groupe de presse Tamedia. En Suisse, la reconnaissance des droits des femmes est le résultat d'un long chemin. Ces dernières années, des avancées ont été obtenues, comme la dépénalisation de l'avortement en 2002 et un congé maternité payé de 14 semaines en 2005. Mais le congé paternité n'existe pas et les places en crèche, limitées et coûteuses, s'avèrent être un handicap majeur à la participation à la vie active des femmes. Et ce n'est qu'en 1971 qu'elles ont obtenu le droit de vote.
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Un fourgon de transport de fonds braqué à Lyon, un butin record de 9 millions d'euros Un fourgon de transport de fonds Loomis a été braqué au matin du 28 août dans le 7e arrondissement de Lyon, à Gerland. Le butin serait de 9 millions d'euros. Plusieurs malfaiteurs lourdement armés ont bloqué le fourgon peu avant 9 heures rue Pierre-Sémard, alors qu'il sortait d'une succursale de la Banque de France, située dans le 7e arrondissement de Lyon. Ils ont ensuite incendié le fourgon et pris la fuite à bord de deux véhicules. Ces derniers ont été retrouvés brûlés au sud de Lyon, vers Solaize. Un braquage record, l'un des plus gros depuis le "casse du siècle" de Toni Musulin. Les braqueurs sont toujours en fuite. >> Lire l'article en entier ici Drame sur l'A7: 5 enfants de Vénissieux tués dans un accident Cinq enfants de 3 à 14 ans ont perdu la vie le 20 juillet au soir lors d'un accident et quatre autres passagers ont été gravement blessés. Tous se trouvaient dans le même véhicule qui a quitté la chaussée de l'A7, à Albon, avant de s'enflammer. Les victimes sont originaires de Vénissieux. Un problème mécanique serait à l'origine de l'accident. Une information judiciaire a été ouverte pour homicides et blessures involontaires. >> Lire l'article en entier ici Une fillette se noie à Caluire L'été a été marqué par plusieurs noyades, dans le Rhône et la Saône. Celle d'une petite fille, à la Feyssine, a été particulièrement marquante. Emportée par l'eau le samedi 15 août vers 20 heures au niveau de la rive droite du Rhône, en face du parc de la Feyssine (Caluire/Villeurbanne), la fillette a été retrouvée, inanimée, le lendemain à 16 heures. La jeune Villeurbannaise avait une dizaine d’années. Elle a été emportée par le courant. >> Lire l'article en entier ici Laurent Gerra, Papa pour la première fois L'humoriste Laurent Gerra, aussi Lyonnais que Bressan (il a racheté le restaurant Léon de Lyon) est devenu papa pour la première fois à 52 ans. Sa compagne, Christelle Bardet, Lyonnaise, a donné naissance à une petite Célestine, le 24 août. >> Lire l'article en entier ici Ils trouvent un serpent d'un mètre dans la chambre de leur petite fille Le 14 août, une famille de Grigny, dans le sud lyonnais, a eu la frayeur de sa vie en trouvant, dans la chambre de sa petite fille, un serpent d'un mètre. Elle a cru à une dangereuse vipère, mais il s'agirait vraisemblablement d'une inoffensive couleuvre. N'empêche, l'angoisse a été bien réelle. >> Lire l'article en entier ici Augustin, un jeune de 17 ans, tabassé pour défendre des jeunes filles à Lyon Les faits se sont déroulés dans la nuit du 21 août, mais l'affaire a été médiatisée quelques jours plus tard et le hashtag "#JusticepourAugustin" le plus utilisé sur Twitter. Augustin, un jeune homme de 17 ans originaire du Val de Saône, aurait pris la défense de jeunes filles place Bellecour, et s'est fait tabasser. Une plainte a été déposée. >> Lire l'article en entier ici Covid: les hospitalisations remontent à Lyon et dans le Rhône Alors que les restaurants and co ont rouvert, les chiffres du Covid-19 pointés par l'Agence régionale de santé (ARS) remontent. On enregistre une nouvelle remontée du nombre d’hospitalisations pour infection au Covid-19 dans le Rhône avec 166 patients hospitalisés le mardi 30 juin (+2 en 24 heures), selon les données de Santé publique France (SpF). Le nombre de patients en soins intensifs/réanimation est à la hausse également pour le second jour consécutif avec 14 patients dans ces services ce mardi contre 13 la veille, parmi lesquels une nouvelle admission. >>Lire l'article en entier ici Le centre-ville de Meyzieu bloqué par un mariage fait du bruit En début de soirée le vendredi 28 août, une cinquantaine de voitures de fortes cylindrées, ont bloqué le centre-ville. Klaxons et vrombissements "fêtaient" un mariage. Les riverains n'en revenaient pas et la police a été dépêchée sur place. >> Lire l'article en entier ici Qui était Axelle Dorier, tuée par un automobiliste à Lyon 5e C'est le drame qui a secoué Lyon à la mi-juillet. Dans la nuit du 18 au 19 juillet, Axelle, une jeune femme de 23 ans, a été traînée par une voiture sur 800 mètres, rue de l'Antiquaille, à Lyon (5e), à la suite d'une altercation au sujet d'un chien écrasé. Elle est décédée des suites de ses blessures. Le conducteur et le passager du véhicule en cause se sont présentés à l'hôtel de police le lendemain matin et ont été placés en garde à vue. Le conducteur a ensuite été placé en détention provisoire. >> Lire le papier en entier ici. Port du foulard: Alliance citoyenne fait plier une salle de sport à Lyon Le 26 juillet, la salle de sport Interval, située dans le 3e arrondissement de Lyon, annonçait qu'elle autorisait désormais les hijabs de sport. Une modification du règlement intérieur faisant suite au combat de l'association Alliance Citoyenne, qui s'était mobilisée pour obtenir que les femmes aient le droit de revêtir ce foulard islamique. Après avoir échangé avec l’avocat de l’entreprise, les activistes ont obtenu gain de cause. >> Lire l'article en entier ici. Quelques infos feel-good Elles ne sont pas dans le top des plus lues, mais ont le mérite d'être insolites ou joyeuses et ont aussi retenu votre attention Encore une pêche miraculeuse dans l'Est lyonnais ! Le 8 juillet, Le Progrès relatait la prise d'exception de Daniel, un pêcheur du Canal de Jonage, trois jours plus tôt. Les dimensions du silure ont de quoi impressionner : 2,28 m ! >> Lire l'article en entier ici Un feu d'artifice géant sur 50 km tiré depuis le sud lyonnais Le sujet a fait le buzz. Privés de feu d'artifice du 14-Juillet, les Rhodaniens ont à tout prix voulu voir celui, solidaire, d'un artificier de Mornant, samedi 29 août. Une première en France, sur 35 km, visible à 50 km à la ronde, tiré dans 9 communes du Pays mornantais. Le spectacle a été à la hauteur comme en témoignent les photos envoyés par nos lecteurs. >> Lire l'article en entier ici Insolite: 8 chiots font le show rue de la République à Lyon Instant mignonnitude le 1er août, rue de la République à Lyon. Une chienne croisée berger appartenant à Cédric, un sans-abri, a donné naissance à huit chiots. En pleine canicule, le propriétaire de cette petite troupe a pris soin de les baigner régulièrement pour les rafraîchir. Les passants étaient sous le charme. >> Lire l'article en entier ici Virginie Grossat, influenceuse taille XXL Virginie Grossat, Lyonnaise de 32 ans, arbore des tenues colorées, moulantes, parfois kitsch. Particularité : elle taille du 54. Une rondeur qu'elle se plaît à afficher avec fierté sur les réseaux sociaux. Avec ses 24 000 abonnés sur Instagram et 280 000 sur TikTok, celle qui refuse de "se poser en victime" et conseille à ses fans "d'oser" veut renverser l'image portée sur les mannequins rondes, malgré les railleries et menaces dont elle fait l'objet. >> Lire l'article en entier ici
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Dans le Var, première destination de la plaisance en France, le nom des Di Martino est réputé. Installés depuis 1972 à Bandol, le père Vincent puis ses enfants Muriel, Marilyn et Camillo proposent à la location comme à la vente des bateaux de grandes marques, voiliers et à moteur (et même semi-rigides), qui font le bonheur des amoureux de la mer. Et pas seulement de la région ou de l’hexagone puisque les habitués viennent de loin, d’Angleterre, d’Allemagne, de Suisse, de Belgique, du Luxembourg ou d’Italie. Les réservations sont d’ailleurs souvent complètes, bien à l’avance. Meilleur loueur français de bateaux Ce qui a fait la renommée de cette entreprise familiale, c’est son professionnalisme car les loueurs de bateaux sont légion dans notre région. Mais Vincent Di Martino, à l’origine ébéniste décorateur, passionné de voile et de régate, a de suite fixé son cap pour se différencier de la concurrence en offrant à ses clients l’assurance de trouver des bateaux neufs ou récents, toujours bien équipés, propres et disponibles à l’heure. Un défi que ses filles ont su relever puisque la société a été longtemps numéro un des ventes de voiliers en France et a décroché le titre de «Meilleur loueur français de l’année» au Nautic de Paris en 2017. Concessionnaire Jeanneau dès 1978 Tout a commencé en 1972 lorsque Vincent Di Martino, originaire de Marseille, décide de s’installer à Bandol. «Il n’y avait pas grand-chose à l’époque. Il a commencé avec quelques bateaux», raconte sa fille Marilyn. L’activité de location de voiliers porte alors le nom de Di Martino Yachting, vite rebaptisée Locasail en 1975. Mais l’entreprise prend un tournant lorsqu’elle devient concessionnaire Jeanneau en 1978, la marque phare de Beneteau, leader et fleuron de l’industrie française. Di Martino devient ainsi l’un des plus gros concessionnaires en France de la célébrissime marque tricolore. À la location s’ajoute ainsi la vente de bateaux. En 1985, la société amorce là encore un sacré virage en ouvrant sa marina privée dans le port de Bandol, capable d’accueillir aujourd’hui jusqu’à quarante bateaux. Puis les enfants rejoignent le père. Muriel en 2009, Marilyn en 2015 et Camillo en 2017. La société ouvre un magasin d’accastillage à Toulon, puis à Bandol, et, en 2016, Locasail devient revendeur exclusif des semi-rigides Capelli Tempest. Des sirènes aux petits soins 24h/24 et 7jrs/7 Depuis, Vincent a pris sa retraite (aujourd’hui âgé de 81 ans) et ce sont ses filles qui tiennent la barre. Muriel, 48 ans, et Marilyn, 41 ans, codirectrices, aidées de leur frère Camillo, 34 ans. Des navigatrices aux petits soins pour leurs clients qui ont su reprendre le flambeau comme de vraies sirènes. Car si les habitués reviennent, c’est surtout parce qu’ils savent qu’ils peuvent leur faire confiance. «On accompagne nos clients dans leurs démarches, leurs places au port, leur premier achat... C’est une histoire de famille aussi avec nos clients. J’en ai qui en sont à leur quatrième achat de bateau chez nous», confie Marilyn. Psychologue du travail et consultante en ressources humaines de métier, la jeune quadragénaire a su mettre à profit ses talents pour assurer la partie location. «On les arrange toujours. Nos clients peuvent partir en toute sécurité, nous sommes toujours joignables. Si la météo est mauvaise, je les préviens par texto pour qu’ils reviennent au port. Le bouche-à-oreille est notre plus gros apporteur d’affaires», assure-t-elle. Magasin d’accastillage à portée de main Shipchandler, l’entreprise a l’avantage aussi de proposer, dans son magasin situé juste en face de la marina et près de ses bureaux, tous les produits nécessaires à la vie à bord ainsi que les pièces détachées. «On a du stock. On fonctionne quasiment en vase clos.» Un atout à Bandol où il est toujours difficile de circuler et encore plus de stationner. Mais là encore, pas de souci, Muriel et Marilyn s’occupent de tout, prêtes à simplifier la vie de leurs clients. «Nos clients nous font confiance. Nous avons tous les trois trouvé notre place. Nous sommes une référence de qualité et de sérieux avec une flotte récente et une équipe de techniciens très pointus», analyse Marilyn. Quoi qu’il en soit, malgré la pandémie de Covid-19, Locasail a gardé le cap. En 2019, la société a réalisé 4,9 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte une dizaine de collaborateurs. Outre les ventes, la société propose 20 voiliers en location et 7 bateaux à moteur dont des semi-rigides. De quoi faire profiter des beaux jours et de la liberté.
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(CercleFinance.com) - L'AMF annonce que l'offre publique d'achat simplifiée (OPAS) visant les actions Sodifrance, déposée par Bryan, Garnier & Co pour le compte de Sopra Steria Group, sera ouverte du 29 octobre au 12 novembre 2020 inclus. L'initiateur s'engage irrévocablement à acquérir, au prix de 18 euros par action, la totalité des 217.613 actions Sodifrance non détenues par lui, directement et indirectement, représentant 5,97% du capital et 3,13% des droits de vote de cette société. Il est précisé que Sopra Steria, qui remplit d'ores et déjà les conditions de détention relatives au retrait obligatoire, a demandé à l'AMF de procéder au retrait obligatoire à l'issue de la clôture de l'OPAS. Copyright (c) 2020 CercleFinance.com. Tous droits réservés. À lire aussi Créez et gérez votre portefeuille virtuel
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Publicité Lire la suite New York (AFP) La joueuse de tennis japonaise de 22 ans Naomi Osaka, vainqueure de deux tournois du Grand Chelem, est devenue la sportive la mieux payée de l'histoire en 2019 avec 37,4 millions de dollars (34,3 millions d'euros) de revenus, détrônant ainsi Serena Williams, a indiqué vendredi le magazine Forbes. Les deux athlètes font tomber le record de la Russe Maria Sharapova, quintuple vainqueure en Grand Chelem qui a pris sa retraite en février et avait empoché 29,7 millions de dollars en 2015. "Pour les personnes en-dehors du monde du tennis, Osaka est un visage assez nouveau avec une belle histoire", a déclaré pour Forbes David Carter, professeur en business du sport à l'Université de Caroline du Sud. "En plus de cela, elle est jeune et a une double culture (son père est né à Haïti et sa mère est Japonaise), des attributs qui permettent à un plus grand nombre de jeunes de s'identifier à elle. Le résultat est l'émergence d'une icône mondiale du marketing sportif", a estimé David Carter. Osaka pointe à la 29e place au classement des 100 athlètes les mieux payés établi par Forbes, quatre places devant l'Américaine Serena Williams et ses 23 titres en Grand Chelem, l'athlète féminine la mieux rémunérée ces quatre dernières années. Le magazine a par ailleurs indiqué que la liste, qui devrait être publiée entièrement la semaine prochaine, n'avait pas compté deux femmes depuis 2016. © 2020 AFP
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Même les grands détaillants ont enregistré une forte augmentation de leurs ventes malgré les résultats anémiques de Macy’s dévoilés mercredi. États-Unis : si l’industrie manufacturière déprime, le consommateur a le moral (Washington) D’un côté, le secteur industriel déprime, de l’autre, le consommateur a le moral : l’économie des États-Unis montre des signes ambivalents, mêlant inquiétude et vitalité vis-à-vis du ralentissement mondial. Virginie MONTET Agence France-Presse Les consommateurs américains ont dopé leurs dépenses en juillet, les ventes au détail ayant grimpé de 0,7 %, bien au-dessus des attentes des analystes. Magasins et distributeurs en ligne d’appareils électroniques, d’habillement et d’ameublement ont vu leurs ventes gonfler le mois dernier. Walmart, numéro un mondial de la distribution, qui annonçait ses résultats jeudi, a battu les prévisions de bénéfice au 2e trimestre et se montre optimiste pour le reste de l’année. Si les ventes au détail ne représentent environ qu’un gros quart de la consommation – car les Américains dépensent davantage dans les services – elles donnent une première idée de l’évolution des dépenses de consommation des ménages. La consommation est la locomotive de l’économie américaine, générant 75 % de la croissance du PIB. Alors que la croissance du Produit intérieur brut a atteint 2,1 % en rythme annuel au 2e trimestre, l’expansion du 3e trimestre devrait se tasser un peu, mais rester soutenue autour de 1,9 %, selon la dernière projection de la banque centrale régionale d’Atlanta. « Nous pensons que la solide confiance des consommateurs, les fortes créations d’emplois, la faible inflation et la croissance des salaires vont continuer à soutenir les dépenses de consommation au 3e trimestre, ce qui va contrebalancer le ralentissement de la croissance », a estimé Gregory Daco, économiste en chef pour les États-Unis d’Oxford economics. Car si l’optimisme semble de rigueur chez le consommateur, les industriels sont plus inquiets face à l’affaiblissement de l’économie à l’étranger et aux tensions commerciales. La production industrielle américaine s’est repliée en juillet (-0,2 %) pour la seconde fois en quatre mois, plombée par un recul encore plus important (-0,4 %) de la production manufacturière. Déclin manufacturier Sur un an, de juillet 2018 à juillet 2019, la production industrielle, secteur cher à l’administration Trump qui veut « rendre à l’Amérique sa grandeur », n’a progressé que de 0,7 %. « Ce secteur manufacturier est en récession, mais pas au point de menacer l’ensemble de l’économie », a commenté Ian Shepherdson, économiste en chef pour Pantheon Macroeconomics. Les faiblesses les plus importantes ont été enregistrées en juillet dans les produits du bois, les machineries, les métaux non-ferreux, le textile, l’impression et les plastiques. Il y a eu en revanche une augmentation de l’activité dans les transports et l’aérospatiale. Pour Andrew Hunter, économiste pour Capital Economics, « la récession manufacturière s’est poursuivie au début du 3e trimestre. Mais les derniers chiffres donnent des raisons d’être optimiste, de même que les chiffres des ventes de détail ». « Il y a peu de signes que le malaise s’étende plus largement à l’économie », estime-t-il aussi. Consciente des signes d’affaiblissement de l’activité, mais aussi de l’importance de la consommation pour la croissance, l’administration Trump a levé le pied dans l’escalade des tarifs douaniers avec la Chine. En début de semaine, le président américain a reporté à la mi-décembre l’imposition de taxes supplémentaires sur une partie des 300 milliards de dollars de marchandises chinoises importées qui devait entrer en vigueur dès le 1er septembre. De son propre aveu, Donald Trump a admis ne pas vouloir mettre en danger la saison des achats de fin d’année. Une hausse des tarifs douaniers sur les produits de grande consommation, allant des téléphones aux jouets, tous fabriqués en Chine, risquerait en effet d’être répercutée sur les prix à la vente aux États-Unis. « Les consommateurs sont dans la meilleure forme de tous les temps, avec plein d’argent », a lancé Donald Trump dans un tweet jeudi. Alors que sur le front international, la conjoncture s’affaiblit – l’activité en Allemagne et en Grande-Bretagne s’étant contractée au 2e trimestre – les investisseurs se sont rués sur les bons du Trésor américains, provoquant une forte volatilité boursière. Mercredi, un signe connu, avant-coureur de récession, a fait trembler les marchés lorsque la courbe des taux à long terme est passée en dessous de celle des taux à court terme. Cette inversion de la courbe des taux a toujours préfiguré une récession aux États-Unis au cours des 50 dernières années. Récemment, un modèle de prévisions utilisé par la Fed de New York a aussi tiré un signal d’alarme en indiquant la probabilité à hauteur de 33 % qu’une récession intervienne dans les 12 mois, son plus haut niveau de probabilité depuis 2009.
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Essonne : les enfants de Chamarande disent merci ! C’est un geste symbolique, mais il réchauffera le cœur de tous ceux qui sont mobilisés et continuent de travailler dans cette période de crise que connaît la France. Les jeunes Chamarandais ont réalisé une banderole disant en toute simplicité : « Merci aux professionnels mobilisés ». « Nous avons demandé aux enfants de l’école de Chamarande de dessiner les lettres permettant d’afficher ce message de soutien aux soignants et à tous ceux qui travaillent en ce moment sur la mairie », indique Marie-Hélène Jolivet, maire.
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Banlieues: "déçue", Pécresse promet un "plan alternatif", fustige l'expression "mâles blancs" © POOL/AFP/Archives / ludovic MARIN Valérie Pécresse, présidente LR de la région Ile-de-France, s'est déclarée dimanche "extraordinairement déçue" des annonces pour les banlieues d'Emmanuel Macron et "choquée" de sa phrase sur les "mâles blancs", promettant un "plan alternatif" d'élus locaux avant l'été. "J'avais énormément d'espoir dans le travail de Jean-Louis Borloo sur le plan banlieue et j'ai été extraordinairement déçue et frustrée", a-t-elle affirmé lors du "Grand rendez-vous" Europe1/Les Echos/CNEWS. Préconisant de combiner "autorité, moyens supplémentaires et mixité" et d'obtenir "un ascenseur social qui fonctionne", la présidente de région a appelé à "détruire les grands ensembles, reconstruire des quartiers entiers, avec un plafond antighetto". "Il ne peut pas y avoir de mixité sociale quand il y a plus de 30 % de logement social dans un quartier", selon Mme Pécresse. "Si l'Etat n'est pas au rendez-vous nous ferons sans l'Etat. Avec les moyens qui sont les nôtres, nous mettrons le paquet pour transformer nos ville et déghettoïser. Nous présenterons notre plan alternatif dans quelques semaines. On va le chiffrer, avant l'été, avec un fort volet économique" et entrepreneurial, a ajouté cette ancienne ministre du Budget. Elle a aussi critiqué les propos du président de la République, qui a ironisé mardi sur les "deux mâles blancs", - sous-entendu Jean-Louis Borloo et lui-même -, s'échangeant un "plan" sur les banlieues, une méthode qui "ne marche plus". "J'ai été profondément choquée par ses propos sur les mâles blancs qui ne peuvent pas parler des banlieues. Je suis une femelle blanche et je revendique d'avoir quelque chose à dire sur ces quartiers populaires. Il ne faut pas ouvrir la porte au communautarisme (...). Racialiser le propos politique est plus qu'une erreur, c'est dangereux pour l'avenir", a lancé la présidente LR de l'Ile-de-France. "Mettre en cause des personnes des maires, des présidents de région en raison de leur race, de leur sexe ce n'est pas ma vision et c'est une régression", a-t-elle insisté. Et de glisser que Jean-Louis Borloo, auquel elle a dit avoir parlé samedi, "n'a pas accepté d'être délégitimé". En revanche, "face à une dérive de délinquance, de communautarisme et radicalisation" selon elle dans les banlieues, Mme Pécresse a salué la proposition d'Emmanuel Macron que les maires puissent être informés des personnes fichées pour radicalisation islamiste dans leur commune. Pour les fichés S, elle a de nouveau appelé à expulser les étrangers - environ 10 % selon elle - et réclamé pour "les Français et binationaux" une "nouvelle incrimination pénale qui permette de traduire en justice" pour "intelligence avec l'ennemi" ceux "qui consultent de manière quotidienne les sites jihadistes, qui vont dans des mosquées ou entendent des prêches de haine". 27/05/2018 13:32:39 - Paris (AFP) - © 2018 AFP
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L'optimisme du printemps fait place au scepticisme en matière d'emploi aux Etats-Unis: le marché du travail se redresse lentement, toujours confronté à une multitudes de freins et menacé par le variant Delta. Le secteur privé a en effet créé 330.000 emplois seulement en juillet, selon l'enquête mensuelle de la firme de services aux entreprises ADP publiée mercredi, soit deux fois moins qu'en juin. C'est aussi deux fois moins qu'attendu. "La reprise du marché du travail affiche des progrès inégaux, mais avance néanmoins", souligne Nela Richardson, économiste en chef d'ADP tout en reconnaissant que les chiffres de juillet "montrent un ralentissement marqué par rapport au rythme de croissance de l'emploi au deuxième trimestre". Cette publication décevante est de mauvais augure pour le taux de chômage de juillet, qui sera publié vendredi. Pour l'heure, il est attendu en baisse de 0,3 point à 5,6% avec la création de près d'un million d'emplois secteurs privé et public confondus. Le secteur des services, qui avait été le plus touché par la crise, a créé presque tous les nouveaux emplois en juillet dans le secteur privé, avec 318.000 créations, dont plus de la moitié dans les loisirs et l'hôtellerie. Et l'activité dans ce secteur a enregistré en juillet une croissance plus forte que prévu, selon l'indice de la fédération professionnelle ISM également publié mercredi. - "Réparer les fondations brisées" - L'administration de Joe Biden promet emplois et croissance économique à long terme, à condition que le Congrès adopte ses plans d'investissements massifs. "Nous nous sommes habitués à l'Amérique en tant que première puissance économique mondiale. Nous ne sommes pas voués à le rester, mais avec ces investissements, je pense que ça sera le cas", devait ainsi vanter mercredi la secrétaire au Trésor Janet Yellen, depuis Atlanta, selon des extraits diffusés par le Trésor. "Nous avons maintenant une chance de réparer les fondations brisées de notre économie tout en construisant quelque chose de plus juste et plus fort qu'auparavant", devait-elle encore dire. Malgré le chômage élevé, beaucoup d'employeurs ont encore des difficultés à trouver de la main-d'oeuvre. Les problèmes de garde d'enfants, de transports, mais aussi la crainte de contracter le Covid-19, restent des freins au retour au travail pour de nombreux chômeurs, notamment ceux qui reçoivent les salaires les plus bas. La moitié des Etats du pays a diminué ou supprimé les allocations chômage exceptionnelles versées face à la pandémie, sans attendre leur expiration début septembre, estimant que ces aides incitent les chômeurs à rester chez eux plutôt qu'à chercher un emploi. Pourtant, "les premières données montrent un effet minime" de ces suppressions, notait Lydia Boussour, économiste pour Oxford Economics, mardi dans une note. - Réouverture des écoles - "À l'heure actuelle, il est difficile de distinguer les effets sur l'offre de main-d'oeuvre des responsabilités de garde (d'enfants notamment, NDLR) induites par la pandémie, des craintes de contracter le virus et de l'extension des allocations chômage", avait souligné vendredi Lael Brainard, l'une des gouverneurs de la Fed, la banque centrale américaine. Et le retour tant espéré à une situation plus normale pourrait être contrarié par la reprise de l'épidémie à cause du variant Delta. Les autorités pourraient être contraintes de prendre de nouvelles mesures de restriction de l'activité. Certaines entreprises ont d'ores et déjà annoncé que leurs employés auraient l'obligation d'être vaccinés, et à New York, clients et salariés devront avoir reçu au moins une dose pour accéder aux salles de restaurants, de sport ou de spectacle. La question de la réouverture des écoles pourrait aussi se poser. Une deuxième rentrée des classes virtuelle ralentirait encore le retour à l'emploi de nombreuses femmes. Le nombre de nouveaux inscrits au chômage a évolué en dents de scie tout au long du mois de juillet, et 13,2 millions de personnes touchaient encore le chômage début juillet, selon les données les plus récentes disponibles.
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Allemagne 3-1 Cameroun Chili 1-1 Australie Vous avez relevé une coquille ou une inexactitude dans ce papier ? Proposez une correction à nos secrétaires de rédaction Coup de cent.Alors que Joachim Löw dirigeait dimanche son 150match à la tête de la sélection allemande, laa bouclé sa phase de poules de la Coupe des Confédérations par une victoire plutôt tranquille face au Cameroun (3-1) à Sotchi et a offert au bol de Schönau im Schwarzwald la centième victoire de son mandat. L'Allemagne a dû attendre la deuxième période pour faire la différence grâce notamment au doublé de l'excellent Timo Werner. Titulaire pour la première fois de sa vie en sélection, Kerem Demirbay a également marqué. Côté Cameroun, on gardera la belle copie de Fabrice Ondoa mais aussi l'expulsion d'Ernest Mabouka.Dans le même temps, le Chili a été accroché par l'Australie (1-1) et termine donc deuxième du groupe B. Résultat, on aura bien de belles demi-finales : Portugal-Chili - mercredi, à 21h00 - et Allemagne-Mexique, jeudi soir.Sexy.
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L'Américaine Katie Ledecky (c) médaille d'or aux championnats du monde de natation à Gwangju le 27 juillet 2019Ed JONES L'Américaine Katie Ledecky n'oubliera pas son quatrième titre mondial consécutif sur 800 m, décroché samedi, alors que la maladie l'a handicapée toute la semaine, jusqu'à passer une nuit à l'hôpital, a-t-elle révélé aux Championnats du monde de natation, à Gwangju, en Corée du Sud. "Chaque course à sa propre histoire. Pour le coup, celle-ci en avait vraiment une que je vais pouvoir raconter longtemps", a-t-elle expliqué après sa victoire, révélant qu'elle avait passé 7 heures à l'hôpital mardi à cause de maux de tête, d'insomnies et d'un rythme cardiaque anormalement élevé. À 22 ans, Ledecky avait dû déclarer forfait mardi pour la finale du 1500 m, l'empêchant de défendre son titre, et pour les séries du 200 m. Et l'Américaine a bien cru devoir renoncer aussi pour le 800 m: "Je suis allée nager ce matin pour l'échauffement et j'avais un peu la nausée, ce n'était pas génial", a-t-elle expliqué. "J'ai eu un petit moment de doute mais je me suis ressaisi et j'ai fait en sorte que ça fonctionne aujourd'hui." "La nuit dernière, après avoir vu toutes les courses très rapides, j'ai dit (à mon entraîneur) que je voulais vraiment, vraiment bien nager demain (aujourd'hui, NDLR). Voir les records tomber... ça m'a mise en feu.", a-t-elle ajouté. Lors de la finale du 800 m, la quintuple championne olympique a pourtant pris peur quand elle a été rattrapée par la championne d'Europe Simona Quadarella, avant de finalement devancer l'Italienne pour remporter son 15e titre mondial en 8 min 13 sec 58. "C'est un bon sentiment. J'ai pris le départ sans savoir si ça allait le faire quand j'allais plonger, mais encore une fois, je voulais finir de la meilleure façon possible." Au point d'impressionner son compatriote Caeleb Dressel, qui s'est offert une pluie de médailles d'or lors de ces Mondiaux et a décrit le retour de Ledecky comme quelque chose de "phénoménal". "Je ne l'ai pas vue pendant plusieurs jours", a-t-il expliqué. "La connaissant, si elle dit qu'elle ne se sent pas au top, ça veut dire que ça ne va pas du tout." "Cette fille est vraiment coriace", a-t-il affirmé aux journalistes. "Comment nage-t-on un 800 m après avoir été complètement malade pendant des jours ? Elle est la meilleure du monde et elle l'a montré ce soir".
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Condat. Les pêcheurs attendus pour la Truite Area Cup. Guillaume Vernet, guide de pêche, ne manque pas d'idées pour développer et animer son site de pêche du lac des Moines. Ainsi, il organise la première manche de la Truite Area Cup ce week-end, samedi 19 au plan d'eau de Condat, en partenariat avec l'AAPPMA Rhue et Santoire, et dimanche 20 septembre au lac des Moines. « Nous avons accepté de fermer exceptionnellement le plan d'eau de Condat aux pêcheurs habituels samedi et le réserver aux compétiteurs de la Truite Area Cup car ce partenariat public\privé rendra tout le monde gagnant grâce au gros lâcher de truites qui sera fait avant l'événement », précise le président de l'AAPPMA, Yannick Tournadre. D'autant plus que les truites, attrapées à l'hameçon sans ardillon, ne seront même pas sorties de l'eau par les compétiteurs et seront entièrement « disponibles » pour les pêcheurs locaux habituels les jours suivants. Cette bonne entente se poursuivra d'ailleurs durant les vacances de Toussaint puisque le moniteur de pêche mettra son lac et ses compétences à disposition du prochain atelier pêche pour enfants et adolescents. De son côté, Guillaume Vernet se réjouit d'avance : « Les retombées directes et indirectes seront intéressantes et ça crée une dynamique autour de la pêche sur la commune en faisant venir de bons spécialistes du leurre parmi la quarantaine de participants, le tout en 100 % no kill ». À noter enfin que la pêche continue sur le plan d'eau des Védisses jusqu'au 4 octobre.
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Un incendie de voitures s'est déclaré la nuit de jeudi à vendredi à Charleroi, rue Bethléem. On ignore l'origine du feu. Aucune victime n'est à déplorer. Les habitants de la rue Bethléem à Charleroi, ont connu une nuit agitée. "On a été réveillés par des sortes de bruits d'explosion, raconte un témoin, après nous avoir écrit via notre bouton orange Alertez-nous. Je ne sais pas ce que c'était. On est allés voir et on a constaté la présence de la police. Il y avait beaucoup de fumée et le feu était impressionnant". Les faits se sont produits vers 3h du matin. D'après le témoin des riverains ont été brièvement évacués. Joints par notre rédaction, les pompiers de Charleroi confirment: "Nous avons été appelés pour plusieurs véhicules en feu, explique-t-on au dispatching. A notre arrivée, deux véhicules brûlaient, il y avait un début d'incendie dans un troisième véhicule ainsi que dans l'annexe d'un bâtiment". On ignore l'origine du feu et l'étendue des dégâts. Aucune victime n'est à déplorer.
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Joël Jaouen et Véronique Linares ont exposé le projet qui mobilisera l’ensemble de l’association durant les quatre années à venir. (Photo Eléonore Soliotopoulos Oppermann) Vendredi, à l’occasion de l’assemblée générale de l’antenne finistérienne de France Alzheimer, le président Joël Jaouen avait invité Véronique Linares, directrice de la communication de l’Union nationale, à exposer le projet qui mobilisera les 99 associations du réseau national durant les quatre prochaines années : l’inclusion des malades dans la société. La volonté de l’association est de changer le regard porté sur les malades pour aller vers l’inclusion de ceux-ci dans une société qu’ils effraient, faute de connaissances et qui les confine parfois, ainsi que leurs aidants, à l’isolement social. Le caractère anxiogène de la maladie fait oublier qu’elle se divise en quatre phases et que la plupart des malades conservent des moments de lucidité et d’activité mais surtout ne perdent rien de leur sensibilité. Déconstruire les préjugés passe par un programme de formation des acteurs de la vie sociale que sont les gendarmes, les pompiers, les maires et les pharmaciens dans un premier temps avant de proposer des formations adaptées aux commerçants ensuite. Un symbole fédérateur sera également dévoilé le 21 septembre prochain et France Alzheimer a émis une proposition en direction de l’association des maires de France, afin de créer un label pour les villes proposant des activités accessibles aux malades dans le but de les remettre dans l’espace public. Par ailleurs, lors de cette assemblée, Joël Jaouen président finistérien mais également national a fait part de son souhait d’un partage de compétences au niveau local.

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