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https://www.frenchweb.fr/multi-cloud-koyeb-leve-14-million-deuros-aupres-disai-et-kima-ventures/407161
Financing
koyeb qui fournit aux développeurs de service multi cloud lève 1 4 million euro auprès isai kima venture et de business angel de industrie du cloud dont le fondateurs de packet com datadog et priceminister avec la participation de bpi et wilco il agit pour la startup parisienne de sa première levée de fonds qui ambitionne désormais de poursuivre le développement de sa communauté utilisateurs lancé en 2019 par trois spécialistes du cloud computing édouard bonlieu bastien chatelard et yann léger koyeb se définit comme un fournisseur de service multi cloud la startup propose aux développeurs une plateforme serverless sans serveur nouvelle génération qui simplifie le déploiement application serverless elle permet également analyser transformer et optimiser le données de entreprises informatique sans serveur ou serverless computing est démocratisé en 2014 sou impulsion aws avec son service baptisé lambda qui permet aux développeurs de fournir leur code et de créer de routine tout en laissant le service du fournisseur cloud maintenir le serveurs hormis aws on peut citer parmi le fournisseurs microsoft azure google cloud alibaba cloud ou encore ibm la technologie de koyeb permet donc aux développeurs et aux entreprises accélérer le déploiement de nouvelles fonctionnalités et de réduire le temp passé sur de infrastructure cloud complex en combinant simplicité et rapidité de déploiement koyeb permet aux développeurs exploiter tout le potentiel de application cloud sans se soucier de infrastructure nous somme ravis accompagner ce trio de fondateurs aguerris dans son développement commente jean david chamboredon managing partner et co fondateur isai par ailleurs la startup parisienne donne à s utilisateurs le choix de travailler avec le fournisseur cloud et le apis qu il souhaitent notre mission est de simplifier le déploiement et exploitation application dans le cloud tout en donnant aux entreprises la possibilité de choisir librement leur fournisseur infrastructure explique yann léger ceo de koyeb signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature fondateurs édouard bonlieu bastien chatelard et yann léger création 2019 siège social paris île de france secteur cloud computing activité fournisseur de service multi cloud financement 1 4 million euro en octobre 2020 auprès isai kima venture et de business angel de industrie du cloud dont le fondateurs de packet com datadog et priceminister avec la participation de bpi et wilco pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
[ 13, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/reconnaissance-dimages-ltu-leve-45-millions-deuros-pour-lutter-contre-la-contrefacon-en-ligne/399609
Financing
ltu spécialisé dans la reconnaissance visuelle de produits lève 4 5 million euro en série auprès de fonds alliance entreprendre natixis la caisse de crédit agricole de pyrénées gascogne grand sud ouest innovation et le fond mywind avec la participation de investisseurs historiques olivier gravet et gilles pingeot digital packaging lancé en 2018 ltu est né de la fusion de trois startup à savoir onprint mypack et jastec france la startup développe une plateforme saas permettant aux marque de contrôler la présence en ligne de leurs produits et de lutter contre la contrefaçon en fournissant une sorte de carte identité aux produits concrètement la solution de ltu génère une signature unique basée sur le caractéristiques visuelles une image ou un objet qui optimise le temp identification de produits ltu propose également sa solution sou forme de licence déployable en local pour le grand comptes et dénombre parmi s client hp rexor ou encore inapa la startup parisienne adresse à de nombreux secteurs notamment la santé ou encore la maintenance industrielle et veut répondre présente face aux enjeux qu ont provoqués la pandémie de covid 19 en effet la crise sanitaire révélé de problèmes de contrefaçons de matériel médical comme le masque ou de médicaments ltu est la technologie de reconnaissance image la plus aboutie et la plus compétitive au niveau européen s concurrents sont essentiellement israéliens et américains émergence une technologie de reconnaissance image souveraine européenne trouve une résonnance exacerbée dans cette période très particulière et nous somme ravis de participer à son développement commente antoine bodet alliance entreprendre ltu ambitionne désormais de développer son pôle d pour étendre la reconnaissance visuelle image et objets notamment pour de pièces industrielles la startup souhaite également renforcer son équipe de vente fondateur olivier gravet création 2018 siège social paris france secteur reconnaissance image activité génère une signature unique basée sur de caractéristiques visuelles une image financement 4 5 million euro en série en mai 2020 auprès de fonds alliance entreprendre natixis la caisse de crédit agricole de pyrénées gascogne grand sud ouest innovation et le fond mywind avec la participation de investisseurs historiques olivier gravet et gilles pingeot digital packaging pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
6medical
[ 6, 8, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/ponicode-leve-3-millions-deuros-pour-optimiser-le-developpement-de-code/403245
Financing
ponicode une solution pour accompagner le développeurs dans la production de code lève 3 million euro en seed auprès de breega avec la participation de kima et plug play venture ainsi que une vingtaine de business angel la startup parisienne annonce également arrivée un prêt de bpifrance un million euro lancé en juin 2019 par entrepreneur récidiviste patrick joubert avec benedetta dal canton simon guilliams et edmond aouad ponicode développe une plateforme basée sur intelligence artificielle et le machine learning à destination de développeurs la solution génère de test unitaires et propose de améliorations aux développeurs pour leur éviter de erreurs lorsqu il codent elle le décharge ainsi de certaines tâches chronophages en mai 2020 la solution de ponicode été intégrée au programme de microsoft ai factory à station dont un de objectifs est de former de champion européens de ia après avoir vendu beamap cabinet de conseil spécialiste du cloud à sopra steria en 2014 patrick joubert avait fondé dès année suivante recast ai plateforme de création de chatbots celle ci avait éveillé intérêt du géant allemand du logiciel entreprise sap qui fini par racheter la startup française en janvier 2018 la qualité du code est devenue un enjeu clé pour le entreprises dans un monde où le numérique transformé tous le pan de la société au coeur du numérique se trouvent le logiciels développés grâce à de million de ligne de code commente patrick joubert le code doit faire sa transition vers une qualité irréprochable nous voulons élever le standard et devenir un acteur majeur de évolution de pratiques de développement ponicode ambitionne désormais étoffer son équipe d et de doubler la taille de équipe ici année prochaine la startup prévoit également de étendre à international notamment aux états unis nous somme très heureux accompagner ponicode et leur permettre de faire rayonner leur solution ia de par le monde depuis un an équipe ne cesse innover pour proposer un produit complet et adapté au besoin actuel de développeurs nous leur faisons confiance pour poursuivre ce développement et internationaliser ajoute alexis robert partner chez kima venture fondateurs benedetta dal canton simon guilliams edmond aouad et patrick joubert création 2019 siège social paris secteur ia activité intelligence artificielle pour aider le développeurs effectifs 11 financement 3 million euro en juillet 2020 en seed auprès de breega avec la participation de kima et plug play venture ainsi que une vingtaine de business angel pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
5learning
[ 8, 12, 3 ]
https://www.maddyness.com/2018/04/25/tilkee-leve-3-5-millions-euros/
Financing
et de deux ! la startup lyonnaise tilkee annonce ce mercredi avoir bouclé son second tour de table, d’un montant de , million d’euros. sa solution de tracking de document convaincu omnes capital, evolem start et crédit agricole création tandis que le deux investisseurs historiques, axeleo capital et kreaxi, renouvellent également leur confiance à la jeune pousse. elle avait déjà levé euro en .« le fait qu’en trois an tilkee n’a levé que euro mais déjà atteint l’équilibre financier été un atout, explique sylvain tillon, cofondateur de tilkee. notre stratégie de croissance raisonnée, couplée à la pénétration du marché réussie, ont rassuré no partenaires sur le sérieux du projet, au moment où nous cherchons à accélérer notre expansion en dehors de la france. » la startup revendique un chiffre d’affaires récurrent mensuel de près de euros.un premier pied en allemagnecette opération doit permettre à tilkee d’étoffer s équipes et d’accélérer commercialement sur s marchés cibles (télécoms, énergie, banque et assurance, transport et logistique), tout en élargissant le fonctionnalités de sa plateforme. la startup débute également son internationalisation avec la constitution d’une équipe commerciale en allemagne.tilkee développé une plateforme permettant aux entreprises, et plus particulièrement aux équipes commerciales et marketing, d’obtenir une analyse de la lecture de document qu’ils envoient. temp de lecture global, temp passé sur chaque page, téléchargement de documents… différents critères sont compilés pour que l’utilisateur obtienne un taux d’intérêt de son prospect, lui indiquant s’il est pertinent de le relancer. la suite logicielle de tilkee se compose de quatre solutions, pour le commerciaux, le équipes marketing, la gestion d’événements et la recherche d’emploi. cette dernière est d’ailleurs mise gratuitement à disposition de demandeurs d’emploi.
13transport
[ 13, 11, 8, 12 ]
https://www.lavoix.eu/fr/news/374/Extension-du-programme-PPH-avec-l-office-australien-des-brevets
Securing
1.  L'Office européen des brevets a prolongé le programme PPH avec l'Office australien des brevets. La période d'essai de ce programme, initialement prévue pour trois ans à compter du 1er juillet 2016, a été prolongée de trois ans jusqu'au 30 juin 2022.   2. Dans le cadre de ce programme, l'examen peut être accéléré devant l'OEB sur la base de : Le programme permet également d'accélérer le traitement des demandes de brevet en instance devant l'Office australien des brevets sur la base d'une demande PCT pour laquelle un avis écrit favorable ou un IPRP a été émis par l'OEB ou sur la base d'un produit de travail national établi pour une demande EP ou une demande PCT étant entrée en phase régionale avant l'OEB.   3. Pour pouvoir participer au PPH auprès à l’OEB, les conditions suivantes doivent être remplies : Les exigences formelles à l'OEB peuvent inclure la fourniture des documents pertinents de la procédure d'examen concernant la demande correspondante, éventuellement accompagnés d'une traduction dans l'une des langues officielles de l'OEB, à savoir le français, l'allemand ou l'anglais.   Ces informations sont données à titre indicatif et ne constituent pas un avis juridique.  
3digital
[ 13, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/seeqc-leve-5-millions-de-dollars-pour-commercialiser-des-systemes-dinformatique-quantique/398179
Financing
seeqc spécialisé dans informatique quantique lève 5 million de dollar en série auprès de venture le fonds du géant allemand merck kgaa la startup basée dans état de new york avait déjà levé 6 8 million de dollar en 2019 ce qui porte le montant total de financement de entreprise à 11 8 million de dollar lancé en 2018 par john levy matthew hutchings et oleg mukhanov seeqc est une filiale du groupe américain hypres spécialisé dans dans le développement de électronique supraconductrice la startup seeqc superconducting energy efficient quantum computing conçoit de supraconducteurs prêts pour informatique quantique en effet elle développe une plateforme informatique quantique numérique et fabrique de puce multicouches supraconductrices à commercialiser seeqc pour ambition optimiser utilisation de informatique classique pour gérer le processeurs quantiques avec approche hybride de seeqc nous utilisons la puissance de ordinateurs quantiques dans un environnement de système numérique sur puce offrant un meilleur contrôle une réduction de coûts et avec une réduction massive de énergie introduisant une voie plus viable vers extensibilité commerciale commente john levy co directeur général de seeqc pour la startup la meilleure façon de rendre informatique quantique commercialement viable est de assurer que engagement précoce avec le client est ultra focalisé et spécifique à chaque problème dans le but de résoudre de défis jusqu alors insurmontables avec une solution matérielle et logicielle spécifique à chaque application poursuivi john levy dans le cadre de cette levée de fonds la startup ambitionne de développer s effort de d pour mettre au point de systèmes informatique quantique commercialisables répondant à de problèmes application spécifiques dans le domaine de informatique quantique nous voyons un énorme potentiel pour faire progresser de party importantes de no activités existantes déclare john langan directeur de la technologie chez entreprise pharmaceutique merck kgaa fondateurs john levy matthew hutchings et oleg mukhanov création 2018 siège social elmsford new york secteur quantique activité conçoit de supraconducteurs prêts pour informatique quantique financement 5 million de dollar en avril 2020 en série auprès de venture le fonds du géant allemand merck la startup basée dans état de new york avait déjà levé 6 8 million de dollar en 2019 ce qui porte le montant total de financement de entreprise à 11 8 million de dollar pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
[ 13, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/herve-legros-l-entrepreneur-qui-veut-redorer-l-image-du-logement-social_768283
Needs
Challenges - Comment vous êtes-vous intéressé au logement? Hervé Legros - J’ai arrêté l’école à 16 ans après un CAP plomberie, et mon père était conducteur de travaux. Enfant, je rêvais de travailler dans l’immobilier et d’être patron. C’est réussi! Nous nous occupons d’une tranche délaissée par les promoteurs, celle des gens de condition modeste. Plus de 70% des Français sont éligibles au logement social. En ajoutant le logement intermédiaire, le chiffre grimpe à 83%. Quel est l’état des lieux en matière de logement social? Un peu plus de 2,5 millions de personnes attendent un logement social en France. Dans les grandes métropoles, il faut compter quatre à huit ans de délai. Notre pays subit une grave crise du logement, car depuis des décennies, on ne construit pas assez. En pleine crise économique, les prix de l’immobilier ont augmenté de 6 à 8%, car la demande est trop forte. A l’aube de la présidentielle, ce sujet doit être porté au plus haut niveau de l’Etat. Pourquoi ce segment est-il délaissé par les promoteurs? Beaucoup disent qu’ils ne gagnent pas d’argent avec le logement social. Nous avons su trouver un modèle rentable. Le logement social est notre spécialité. Il pèse plus de 60% de notre chiffre d’affaires –en croissance de 23% l’an dernier, à 754 millions d’euros. Et le locatif intermédiaire, plus de 20%. Quelle est la force de votre modèle? Le métier de promoteur s’est trop financiarisé. Nous sommes revenus aux fondamentaux. Nous achetons les terrains, faisons construire en maîtrisant nos coûts et en travaillant avec 250 partenaires de qualité. Nous n’avons aucune dépense marketing et commerciale. Notre structure, de 115 collaborateurs, est très agile. Cela nous permet de vendre des logements de qualité, à prix maîtrisé, aux acteurs du HLM: Action Logement, Vilogia, les offices publics… Est-ce un modèle low-cost? J’aime me comparer à Free, pour son agilité. Mais je ne veux pas être associé au low-cost car nous fabriquons des produits haut de gamme. Quand on regarde le hall d’entrée, les boîtes aux lettres, les espaces extérieurs, les matériaux, on ne dirait pas que c’est du logement social. Nous sommes aujourd’hui un électron libre du secteur et nous faisons peur! En effet, votre personnage ne passe pas inaperçu… Je le cultive. Je mesure 1,98 mètre: quand je rentre dans une pièce on me voit! Ensuite, je suis un garçon passionné, qui vient de nulle part. Je dis ce que les autres n’osent pas dire. Je détonne beaucoup mais ça ne me dérange pas! Je reste simple. Je travaille énormément pour mon groupe, que je possède à 95%. Le BTP est l’un des secteurs qui polluent le plus. Que proposez-vous? Vu le manque de logements, il va falloir en créer. Le projet de non-artificialisation des sols doit être compensé par une densification. Ce mot effraie, mais il faut bâtir le peu de terrains restant en hauteur, pour servir les zones tendues. Votre rêve de croissance? Un milliard d’euros de chiffre d’affaires et devenir le leader du logement pour tous en France. Lire LE DERNIER CLUB ENTREPRENEURS Ornikar lance une assurance auto pour tous les conducteurs \n\n \n \n Immobilier\n entrepreneur\n \n
12society
[ 1 ]
https://www.influencia.net/etude-attaques-aux-logiciels-rancon-vont-doubler-2021/
Securing
souvenez vous au début du mois de mai dernier alors que le 1er confinement vivait s derniers jours et que le français reprenaient tranquillement de couleurs estivales le ignorants sont bénis de opérateurs du rançongiciel sodinokibi infiltraient le système informatique du cabinet avocat de star brubman shire meiselas sack après avoir publié de dossier liés à lady gaga peut être pour éteindre le doutes éventuels le hackeurs étaient ensuite focalisés sur un plus gros poisson en la personne du 45ème président de etats unis donald trump ce dernier devait se résoudre à régler une rançon astronomique de 42 million de dollar ou bien laisser le malfrats divulguer une tonne de linge sale sur sa personne voire pire vendre le données au plus offrant une menace qui à quelques mois de élection étasunienne avait tous le ingrédients pour faire plier le cabinet et par extension son illustre client mais qui ne fera finalement effet que un pétard mouillé après plusieurs jours intimidation entre le fbi et le pirate informatiques le prétendu piratage de la décennie ne est avéré être finalement que du bluff s auteur voulant uniquement desservir le camp du président sortant dans la dernière ligne électorale et aux vues du résultat final il auraient jamais pu mieux joueur leur main span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span si cette tentative escroquerie numérique était finalement montée de toute pièces elle quand même le mérite avoir braqué la lumière sur une pratique bien réelle et de plus en plus répandue pour rappel le rançongiciels sont de logiciels malveillants qui bloquent accès à ordinateur ou à de fichiers en le chiffrant et qui réclament à la victime le paiement une rançon pour en obtenir de nouveau accès selon une étude annuelle de la société de sécurité informatique emsisoft publiée ce mardi 19 janvier 113 collectivités publiques ou institution gouvernementales ont subi de demandes de rançons similaires en 2020 exactement comme en 2019 de comtés en pennsylvanie ou dans oregon ont dû par exemple régler de centaines de milliers de dollar pour récupérer leurs données le fait que le gouvernement ait pa amélioré sa sécurité et reste aussi vulnérable est très inquiétant inquiètent le auteur de étude qui évaluent à 913 million de dollar le coût de ce attaques sur le agences publiques seules du côté du secteur de la santé 560 établissements ont été ciblés au cours de 80 attaques année dernière attaque la plus étendue touché le système universal health service qui gère 400 hôpitaux dans le pay impact de attaques été alarmant de ambulance étaient détournées de traitements de patient cancéreux ont été retardés de dossier médicaux ont été temporairement inaccessibles et dans certains ca définitivement perdus tandis que de centaines de membres du personnel ont été mi au chômage technique en raison de perturbation rappelle emsisoft dans certains ca de information sensibles ont été volées et publiées sur internet près de 1 700 universités et écoles ont aussi fait le frais de ce piratages au cours de 84 attaques année passée parmi elles ucsf université de californie san francisco dû acquitter une rançon de 1 4 million de dollar pour récupérer le contrôle de s données dans le secteur privé ce sont 1 300 entreprises qui ont été visées en 2021 le attaques au rançongiciel vont se multiplier craint emsisoft à moins que de mesures importantes ne soient prises bien que le service public sache qu il est dans la ligne de mire de groupes de ransomware le statistiques indiquent que peu de progrès voire aucun ont été réalisés dans amélioration de la sécurité du secteur regrette encore la société de sécurité informatique nous prévoyons qu il aura davantage de ca de vols de données en 2021 probablement au moins deux fois plus assure le groupe span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span montagut sacha
6medical
[ 6, 12 ]
https://www.strategie.gouv.fr/publications/consommation-de-metaux-numerique-un-secteur-loin-detre-dematerialise
Market Impact
Les réseaux sont ainsi de grands consommateurs de cuivre, alors que l’ensemble de nos équipements nécessite pour leurs fonctions technologiques une quantité de petits métaux (tantale, gallium, germanium) et métaux précieux (or, platine). Bien que consommés en très faibles quantités, ces métaux sont vite devenus indispensables, par leurs caractéristiques exceptionnelles, pour amplifier les performances de nos équipements. Cette consommation s’inscrit dans un contexte de forte hausse de la demande mondiale de métaux, aussi bien en volume qu’en diversité des métaux consommés. S’il n’y a pas à moyen terme de risque d’un épuisement des ressources métalliques, cette forte croissance de la demande peut engendrer des tensions d’approvisionnement, liées notamment à l’interdépendance économique entre métaux, qui contraint structurellement la disponibilité de certains petits métaux, ou à la compétition entre les usages. L’extraction et le raffinage de ces métaux nécessitent de l’énergie, le plus souvent carbonée, et de grandes quantités d’eau, et contribuent à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, ainsi qu’à l’amplification du stress hydrique dans les pays producteurs. À l’autre bout de la chaîne, la croissance de la consommation de matière se retrouve dans la croissance des déchets : depuis le début des années 2000, du fait de la croissance de la consommation et de l’accélération du rythme de remplacement des équipements, la quantité de déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) générée annuellement à l’échelle mondiale ne cesse de progresser. Elle devrait ainsi atteindre 52 millions de tonnes en 2021 (contre 45 millions de tonnes en 2016), dont un quart de déchets du numérique. La plupart de ces déchets sont mis en décharge, brûlés ou ont fait l'objet d'un commerce illégal et d'un traitement non conforme aux normes. Cette absence de gestion de la fin de vie est d’autant plus inquiétante que les DEEE sont des déchets dangereux et polluants. La réponse traditionnelle aux problèmes liés à la consommation croissante en métaux nécessaires pour alimenter notre modèle de consommation numérique et aux déchets qu’elle produit a été et reste encore très largement limitée aux politiques de recyclage. Néanmoins, si les grands métaux (cuivre, fer, etc.) et les métaux précieux (or, platine) sont relativement bien recyclés, la majorité l’est très peu. En particulier, la quasi-totalité des petits métaux utilisés pour les fonctions high-tech dans le secteur numérique n’est quasiment pas recyclée. Plusieurs raisons techniques ou économiques limitent le développement du recyclage de ces métaux : Par ailleurs, du fait de la croissance de notre consommation et du décalage temporel et spatial entre production et recyclage, le recyclage de nos équipements ne permettra jamais de couvrir l’ensemble de nos besoins. Face aux enjeux environnementaux, le recyclage des métaux contenus dans les équipements numériques ne peut donc pas constituer l’unique réponse et doit s’accompagner de politiques visant à réduire notre consommation de matière primaire. Ce document de travail, premier d’une série de trois documents, s’appuie sur les travaux présentés lors d’un cycle de séminaires sur l’impact environnemental du numérique qui s’est tenu à France Stratégie en 2018-2019. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
9resource
[ 10, 0, 8, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/sport-15-million-deuros-pour-oly-be-lapp-de-reservation-de-cours-de-yoga/403324
Financing
oly be spécialisé dans la réservation de séances sportives et dans le cours en ligne lève 1 5 million euro en série auprès eutopia lancé en 2015 par gaëlle frizon de lamotte oly be est une plateforme disponible sur application de réservation de cours de yoga et autres exercices de bien être la startup organise et dispense elle nous somme persuadés que la crise actuelle va renforcer le besoin de chacun de prendre soin de son corp et de son esprit même ce cours confinement oblige oly be revu son modèle et transformé s cours en présentiel en cours en ligne la startup revendique 30 000 réservations de cours enregistrées en 3 mois qu il agisse de yoga pilate sophrologie ou encore fitness nous somme persuadés que la crise actuelle va renforcer le besoin de chacun de prendre soin de son corp et de son esprit nous avon été convaincus par la vision oly be et par son modèle omnicanal qui nous semble être le plus pertinent pour rendre la pratique du yoga accessible au plus grand nombre commente camille kriebitzsch investment director et co fondatrice eutopia au total oly be revendique plus de 20 000 élèves inscrits et 600 professeurs indépendants la startup parisienne ambitionne désormais de recruter une vingtaine de personnes et de étendre dans de nouvelles villes en france notamment à lille et toulouse cette levée va nous permettre de renforcer le équipes tech marketing et sale et de développer à la fois notre offre et notre présence sur ensemble du territoire français commente gaëlle frizon de lamotte fondateur gaëlle frizon de lamotte création 2015 siège social paris secteur sportech activité plateforme de réservation de cours de yoga financement 1 5 million euro en série auprès eutopia pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
6medical
[ 1, 6, 8 ]
https://www.influencia.net/quelle-ordonnance-pour-relation-clients-heure-covid-19/
Storytelling
huit semaines à ne plus pouvoir consommer comme auparavant auront laissé de trace mais aussi de enseignements rich pour optimiser une relation client visant à plus de personnalisation et de fidélisation le consommateurs ont modifié leurs habitude tandis que le marque ont dû faire preuve agilité pour maintenir le lien état de lieux dans la revue 5 influencia kiss the bride data émotion le monde changé il est déplacé quelques vertèbres fredonne le chanteur julien doré dans son dernier opus musical à quelques variantes près ce parole peuvent fort bien appliquer aux enjeux actuels de la relation client sans être aussi radicale que certains où il aurait un monde avant covid et un monde après covid la crise sanitaire en revanche indéniablement fait bouger de ligne dans le relation qu entretiennent le client avec le marque avec une période de confinement qui notamment accéléré certaines évolutions déjà en gestation une consommation plus parcimonieuse une enquête post confinement effectuée en mai dernier par altavia et opinionway esquissé de manière précise le nouvelles attentes de français en matière de consommation première observation astreinte à domicile entraîné une réduction significative de la consommation pour 58 de français avec une tendance encore plus accrue pour le jeunes 69 et le csp 71 cette expérience inédite de confinement ensuite bousculé le habitude ou le certitude de client la très grande majorité entre eux ne témoignent pa une envie achats de rattrapage même si le médias se sont fait écho de longues file attente devant le magasins habillement ou dans la restauration rapide une fois le déconfinement annoncé beaucoup entre eux déclarent vouloir décaler de achats dans le temp 65 voire carrément le abandonner 28 toujours dans cette même étude 41 de français sont convaincus qu il leur faudra du temp pour retrouver leurs habitude tandis que 69 envisagent de consommer différemment institut britannique de étude de opinion censuswide et éditeur mood medium se sont précisément penchés sur cette transformation au cours une vaste enquête dévoilée en septembre 2020 plus de 8 000 consommateurs sur quatre grand marchés etats unis chine royaume uni et france ont été auscultés concernant hexagone un constat impose le consommateurs tricolores dépensent effectivement moins et dans une proportion plus élevée que leurs homologues de trois autres pay 36 ont réduit leur budget achats et 51 ont maintenu à niveau égal le sanitaire nouvel acteur du parcours client assez logiquement ce sont le magasins physique qui encaissent le plus le choc de la crise du coronavirus compris depuis la réouverture autorisée par le gouvernement le 11 mai dernier lors du premier déconfinement étude indique notamment que 63 de shopper français consacrent moins de temp en boutique contre 30 qui ont repris leurs habitude avant la pandémie le motif économiques figurent évidemment parmi le premier argument cités pour expliquer cette désaffection qui frappé la quasi intégralité de point de vente excepté le petits commerce alimentaires indépendants 39 passent le même temp le grandes surface 39 également et le surface alimentaires de proximité et le supérettes 31 entre temp la dimension sanitaire est invitée dans la relation client dans le magasins étude censuswide mood medium souligne notamment que 49 de consommateurs pensent qu il pourraient être contaminés par le virus en fréquentant une boutique même si dans le même temp institut et son partenaire soulignent que 80 se sentent à aise avec le mesures appliquées comme le port du masque obligatoire le lavage de main au gel hydroalcoolique à entrée ou encore la distanciation un mètre au comptoir ou en caisse et pour le enseignes qui vendent de produits nécessitant un essayage ou une manipulation la dimension sanitaire est encore plus prégnante et elle est pa prête de estomper autant que le autorités martèlent de plus en plus qu il va falloir apprendre à vivre avec le virus dans attente un traitement ou un vaccin qui avère efficace sur le lieux physique de vente la sécurité sanitaire est dorénavant immiscée dans expérience client néanmoins il convient de ne pa dramatiser excessivement certes le point de vente pu être affecté dans son fonctionnement pour autant le consommateurs ne le jugent pa anxiogène dans la même étude 71 entre eux déclarent être confiants à idée de fréquenter à nouveau le magasins expérience sensorielle la possibilité de toucher et essayer un produit mais aussi avoir un conseil humain tout cela reste pour 47 de personnes interrogées un atout préférentiel que le commerce en ligne ne peut pleinement satisfaire 46 plébiscitent aussi la capacité à jouir du produit immédiatement et de le ramener à domicile là où il faut patienter quelque temp pour un achat électronique paiement sans contact le nouveau geste barrière en revanche il est un changement engendré par la crise sanitaire et appelé à perdurer est bien celui du mode de paiement en magasin avant apparition de la covid 19 et malgré un engouement avéré pour le paiement sans contact 3 5 milliard de transaction dans le monde en 2019 le règlement en espèces demeurait une habitude bien ancrée chez le français la pandémie clairement redistribué le carte est même confirmé par françois villeroy de galhau le gouverneur de la banque de france en présentant le dernier rapport de observatoire de la sécurité de moyens de paiement 1 le confinement été un accélérateur de tendances qui préexistaient dans le changement de habitude de paiement de français illustration flagrante 3 million de transaction sans contact ont été effectuées entre le 11 mai jour du déconfinement et le 14 mai en france pour de montants compris entre 30 et 50 pour le carte de fidélité il agit véritablement là une petite révolution positive avant la covid 19 le groupe up spécialisé dans le solution de paiement dématérialisé avait noté que le français possédaient en moyenne 9 carte de fidélité dans leur portefeuille mais qu il étaient que 66 à profiter pleinement de avantages associés or la dématérialisation du paiement également entraîné celle de carte de fidélité toujours dans idée de minimiser le contact physique ainsi le 18 24 an plébiscitent à 72 utilisation de systèmes dématérialisés comme le wallet mobile 2 qui permettent de conserver au même endroit sur son smartphone le carte de fidélité le offres promos le coupon de réduction le billet et réservations etc autant dire qu il agit là pour la relation client une véritable opportunité affiner encore plus la personnalisation et la fidélisation de consommateurs une digitalisation accrue autre grand bouleversement induit par la crise sanitaire est accélération de la digitalisation de expérience client et une prise de conscience accrue au sein de entreprises qu il faut désormais mettre le bouchées double dans ce domaine confinement oblige le consommateurs se sont reportés massivement sur le commerce en ligne fin juillet 2020 un expert de études de marché chez kantar relevait ce index proprement hallucinants 3 le cybercommerce augmenté de 41 en seulement trois mois contre une croissance de 22 en 2020 en france au royaume uni en espagne et en chine la part de marché moyenne est passée de 8 8 à 12 4 avant que la covid 19 impacte économie mondiale le commerce électronique grignotait déjà inexorablement le part de marché en termes de vente face aux point de vente physique la fermeture brutale de commerce non alimentaires ajoutée au recours massif à la commande en ligne ou au click collect de consommateurs achevé la conviction que la digitalisation de la relation client était plus une option mais une obligation est ailleurs en substance ce qui ressort comme mot ordre de la grande enquête du salon stratégies client auprès de professionnels de la relation client celle ci été réalisée en deux temp avant la crise en février 2020 et durant le déconfinement progressif en juin et juillet constat global la crise semble avoir eu un effet sur la maturité digitale de client et poussé le entreprises à accélérer leur mutation vers la digitalisation de relation développer la proximité client trois enjeux majeurs ont été identifiés après état de lieux dressé par le salon la proximité client la simplification du parcours et la personnalisation de la relation client en ce qui concerne le premier axe la nécessité de maintenir le contact mais aussi écoute du client est fait immédiatement ressentir dès le début du confinement nombreux étaient le acteurs à se demander comment rester proches alors que le magasins étaient clos et le mobilités physique extrêmement contraintes la jeune marque de mode féminine roseanna par exemple fait preuve une belle agilité née en 2007 et disposant aujourd hui de 7 boutique en propre un réseau de 150 revendeurs et un shop enseigne est aussitôt mobilisée en instaurant à la mi mar un service de personal shopping par téléphone pendant une heure et gratuitement la responsable de la boutique du marais conseille et guide le clientes dans la découverte en ligne de collection de la marque directrice générale de la marque barbara quaranta se félicite du résultat 4 est un succès le taux de conversion est de 70 et le panier moyen est bien plus élevé qu à ordinaire ce séances de conseil représentent un poids considérable dans no ventes commerce de la semaine passée simplifier expérience client dans son analyse barbara quaranta soulève le deuxième axe fondamental que la crise mi en lumière le parcours client et sa simplification elle ajoute 5 expérience est conçue pour être la plus simple possible en offrant un rapport humanisé durant le parcours achat en ligne et une parenthèse plaisir dans cette période de confinement le client est de moins en moins disposé à suivre de parcours en ligne compliqués rebutants ou trop longs si la marque ne veut pa perdre son client elle se doit épurer et éviter le point de friction cette simplification vaut également pour le magasins avec le mesures sanitaires appelées à perdurer en boutique se forment parfois de file attente qui peuvent décourager ou agacer de consommateurs là le idées ont foisonné ainsi la chaîne anglaise de supermarchés morrison mi à disposition une application spéciale file attente pour respecter la jauge sanitaire imposée au client de choisir entre la file speedy shopping avec un panier et un nombre limité article ou la file normale avec un chariot selon un ratio précis 3 personnes avec un panier peuvent rentrer à la fois contre une seule avec le chariot autres enseignes ont mi en place de systèmes de réservation en ligne pour choisir son créneau de visite avoir un rendez vous personnalisé avec un vendeur et ne pa devoir piétiner inutilement devant la vitrine personnaliser la relation client omnicanale étroitement imbriqué avec le deux précédents le troisième axe tourne autour de la personnalisation de la relation client grâce au bond observé pour le commerce électronique tout au long de cette période de crise sanitaire le marque ont collecté de volume importants de données supplémentaires celles ci peuvent dorénavant aider annonceur à privilégier de action digitales mieux centrées sur le client plutôt que de campagnes plus génériques massif en revanche cela suppose être en capacité de compiler et croiser ce mêmes données acquises par diver canaux numériques pour déboucher sur une exploitation mieux segmentée par groupes de profils client en découlera alors la possibilité par exemple de proposer de page accueil et de contenus et de offres personnalisés pour chaque persona garantissant ainsi une communication percutante et le sentiment chez le client être valorisé et compris dans s attentes toutes ce initiative et bien autres encore permettent non seulement de consolider la relation avec le client mais aussi de le connaître davantage avec le données récoltées objectif ultime ne change pa totalement mais il est intensifié et accéléré aller vers une personnalisation plus poussée souvent proclamée mais pa toujours mise en œuvre concrètement ou maîtrisée totalement la crise sanitaire passant par là le marque ont maintenant pris conscience que de chantiers comme le renforcement du programme écoute et de valorisation de client investissement dans de base de données client et de processus de traitement adéquats optimisation de parcours client de nouvelles offres de service sont de enjeux cruciaux de la relation client ce est qu à cette condition ou plutôt ce condition qu une marque peut viser une plus grande personnalisation de la relation avec s client et in fine une fidélisation renforcée pour retrouver intégralité du rapport 5 data emotion influencia kiss the bride est ici 1 www latribune fr economie france avec la crise du covid 19 le francais deplus en plus adeptes de paiements dematerialises 857856 html 2 www blogdumoderateur com pourquoi integrer wallet mobile strategiemarketing 3 www lapresse ca affaire techno 2020 08 27 commerce en ligne covid 19 legrand accelerateur php 4 lehub laposte fr tendances comment relation client se reinvente surnouveaux canaux 5 ibid cimelière olivier
5learning
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https://www.lavoix.eu/fr/news/341/preuve-de-lusage-de-marque-dans-le-cadre-des-procedures-dopposition-de-marques-de-lunion-europeenne
Securing
En défense, le déposant peut, lorsque la marque antérieure a été enregistrée depuis plus de cinq années, demander à ce que l’opposant prouve que cette marque a fait l’objet d’un usage sérieux pour les produits et/ou services couverts par son enregistrement pendant une période ininterrompue de cinq ans. A défaut de prouver un tel usage pour les produits et/ou services invoqués par l’opposant, l’opposition sera rejetée et une demande en déchéance de la marque opposée risque d’être intentée.En vue du dépôt d’une opposition, il est donc recommandé de préparer des preuves d’usage en tenant compte des impératifs édictés par le règlement sur la marque de l’Union Européenne et la jurisprudence des instances communautaires.La preuve de l’usage de la marque doit reposer sur des éléments concrets et objectifs qui montrent de manière non équivoque une utilisation objective et suffisante de la marque par son titulaire - ou avec le consentement de celui-ci - sur le marché pendant la période pertinente au regard des produits et/ou services couverts par son enregistrement.A cet égard, L’EUIPO et les Tribunaux vérifient la vraisemblance et la véracité des informations en tenant compte de l’origine des documents fournis, des circonstances de leur élaboration et de leurs destinataires. A ce titre, une preuve peut être réfutée en cas de divergence entre les éléments de preuve.  Il est donc primordial d’attacher un soin particulier à la préparation d’un dossier de preuves d’usage.      1. Usage du signe déposé à titre de marque        1.1. Le signe déposé doit être utilisé à titre de marque   Si la marque est enregistrée pour désigner des produits, elle doit figurer sur les produits eux-mêmes, leurs emballages ou les catalogues et étiquettes de produits. En revanche, un usage à titre d’enseigne de magasin ou de nom commercial sur le papier à entête de la société titulaire n’est pas acceptable.    Si la marque couvre des services, l’usage à titre de nom commercial et d’enseigne ne se distingue pas d’un usage de marque de service.       1.2. Le signe doit être utilisé auprès du public et dans la vie des affaires    Un usage à titre privé ou interne au sein d’une entreprise ne constitue pas un usage sérieux. L’usage doit être effectué dans le cadre d’une activité commerciale en vue d’obtenir un avantage économique du fait de la vente, directe ou indirecte, des produits ou services. De simples préparatifs (impression d’étiquettes, de catalogues) ne constituent pas un usage dans la vie des affaires.      1.3. La marque doit être utilisée telle qu’elle a été enregistrée ou sous une forme qui n’altère pas son caractère distinctif   L’usage modifié est accepté quand la marque utilisée diffère de la marque enregistrée uniquement par des éléments négligeables de sorte que les deux signes peuvent être considérés comme globalement équivalents.   Il faut pouvoir reconnaitre la marque (reprise de ses éléments verbaux, figuratifs et de sa structure), et il ne faut pas que l’apparence visuelle et phonétique de la marque ait changé de manière substantielle.   Une comparaison systématique entre les documents montrant le signe utilisé et la marque enregistrée doit être opérée pour déterminer la preuve d’un usage sérieux.    Plus en amont, cela revient à limiter l’usage de la marque à la seule représentation de celle-ci telle qu’elle figure dans son enregistrement ou à ne tolérer que des modifications mineures, ou à déposer toute marque utilisée qui serait différente du dépôt d’origine.       2. Usage pour les produits et services couverts par l’enregistrement   Dans le cadre d’une procédure d’opposition, la marque est réputée enregistrée uniquement pour les produits et services pour lesquels un usage a été démontré. Ainsi, plusieurs situations peuvent apparaître :     Lorsque la marque désigne une catégorie générale de produits ou services et qu’un usage est démontré uniquement pour une des sous-catégories de celle-ci, l’opposition ne sera examinée qu’au regard de la sous-catégorie dont relèvent les produits ou services pour lesquels la marque a été effectivement utilisée.   Pour illustration, une marque désignant les « produits pharmaceutiques » a pu être limitée aux  « produits pharmaceutiques pour les voies respiratoires » selon l’usage démontré par le titulaire.   Il est donc recommandé de vérifier régulièrement, pour chaque territoire, si les produits ou services pour lesquels votre marque est utilisée sont visés spécifiquement dans le dépôt, ou à tout le moins, s’ils relèvent d’une catégorie générale de produits ou services visée par celui-ci.           3. Usage par le titulaire ou avec son consentement         3.1. Pour être acceptés à titre de preuve non équivoque, les documents destinés à prouver un usage sérieux pendant la période pertinente doivent comporter le nom et l’adresse du titulaire de la marque enregistrée ou de son licencié.   Il est donc recommandé d’inscrire auprès des registres des marques tout changement de nom et d’adresse et tout contrat de licence afin de faciliter la preuve de l’usage de la marque, ou à tout le moins, de présenter pendant la procédure d’opposition un dossier montrant ces différents changements.          3.2. Si l’usage a été réalisé avec le consentement du titulaire, il est nécessaire de prouver que :     La preuve de l’usage de la marque pour la période pertinente doit être établie de manière non équivoque.   La preuve de l’octroi d’un consentement peut être réalisée par la fourniture de copies des contrats de licence ou de distribution, ou de listes des sociétés autorisées à utiliser la marque, lesquelles devront être mises à jour régulièrement afin que les éléments de preuve coïncident les uns avec les autres.         4. Usage sur le territoire où la marque est enregistrée      Le territoire à prendre en considération peut être :   4.1. Celui d’un seul pays membre lorsque la marque invoquée est une marque nationale enregistrée dans ce pays ou une marque internationale désignant ce pays.   4.2. L’ensemble du territoire de l’Union Européenne lorsque la marque invoquée est une marque de l’Union Européenne.   L’un des principaux indices pour établir la provenance de l’usage de la marque sera la langue du pays dans laquelle les documents sont rédigés, les noms et adresses des entreprises figurant dans les factures, bons de livraison et catalogues, et l’indication du lieu sur les courriers et factures.   Pour apprécier l’existence d’un usage sérieux d’une marque de l’Union Européenne il doit être fait abstraction des frontières des Etats membres de l’Union Européenne.    L’usage d’une marque de l’UE doit être réalisé sur un territoire plus vaste que celui d’un seul Etat membre pour qu’il puisse être qualifié d’usage sérieux.   Toutefois, il n’est pas exclu que, dans certaines circonstances, le marché des produits ou services pour lesquels la marque de l’UE a été enregistrée soit cantonné au territoire d’un seul Etat membre, lorsque par exemple, les produits présentent une spécificité territoriale justifiant que leur usage soit limité à un seul territoire national.   Il sera tenu compte lors de l’examen de preuves d’usage, de la langue des documents, des adresses postales et internet mentionnées sur celles-ci (un site internet en .it est interprété comme prouvant un usage sur le seul territoire italien), et de la nature des produits et services.   La simple présence d’un drapeau anglais sur la page d’accueil d’un site web ne saurait suffire à lui seul pour prouver que le contenu est en anglais. Il est nécessaire de produire des copies d’autres pages du site coïncidant avec d’autres documents afin de prouver un usage dans un pays anglophone de l’UE.   De même, la simple accessibilité du site en anglais ne permet pas d’apprécier si la marque a fait l’objet d’un usage sérieux ou purement symbolique pour l’ensemble de l’UE ; des preuves concrètes et objectives sont demandées.   Ne constitue pas non plus une preuve de l’usage pour l’ensemble de l’UE la participation à une foire internationale en l’absence d’autres éléments de preuve de l’usage à un public ressortissant de plusieurs pays de l’UE.           5. La période de référence (5 ans)   Dans le cadre d’une procédure d’opposition, il sera nécessaire d’apporter la preuve de l’usage de la marque durant les cinq années qui précèdent le dépôt ou la date de priorité de la demande d’enregistrement de marque à l’encontre de laquelle l’opposition est formée.    Dans le cadre d’une action en déchéance, il sera nécessaire d’apporter la preuve de l’usage de la marque durant les cinq années précédant la demande de preuve d’usage.          6. L’importance de l’usage   Il n’est pas possible de déterminer un seuil exact à atteindre pour que l’usage sérieux de la marque soit reconnu. Il convient de tenir compte de la durée de la période pendant laquelle des actes d’usage ont été accomplis ainsi que de la fréquence de ces actes. L’usage peut varier notamment en fonction des produits ou services désignés par la marque et des conditions du marché dans le secteur spécifique concerné.   L’appréciation de l’usage effectif de la marque implique également une certaine interdépendance entre les facteurs pris en considération. Ainsi, un faible volume de produits commercialisés sous ladite marque peut être compensé par une forte intensité ou une grande constance dans le temps de l’usage de cette marque et inversement.   Compte tenu de la période de cinq années, l’usage ne doit pas nécessairement avoir été continu, il peut suffire qu’il soit démontré un usage au tout début ou à la fin de la période de référence.    Illustration d’usages insuffisants :     Illustration d’usages suffisants :           7. Justification du non-usage   L’absence d’exploitation d’une marque pendant la période de référence peut éviter la déchéance des droits sur la marque si elle est justifiée par des circonstances indépendantes de la volonté du titulaire qui constituent un obstacle à l’usage de celle-ci. Ces justifications peuvent être fondées sur des risques liés à l’activité du titulaire, une intervention des pouvoirs publics ou de la justice et plus généralement sur un cas de force majeure.   Le non-usage au cours de cette période a simplement pour effet de suspendre le délai de cinq ans. En outre, la durée d’existence des justes motifs peut être un facteur important. Lorsque les motifs justifiant le non-usage n’ont existé qu’au cours d’une partie de la période de cinq ans concernée, il n’est pas toujours légitime d’écarter l’exigence de la preuve de l’usage. Dans ce cas, la période pendant laquelle ces motifs étaient valables ainsi que le délai écoulé depuis qu’ils ne le sont plus, revêtent une importance particulière.         8. Délai   L’Office impartit au titulaire un délai de deux mois pour apporter la preuve de l’usage aussi bien dans le cadre d’une procédure d’opposition que dans celui d’une action en déchéance.   Une prorogation de ce délai pourra être accordée par l’Office sur demande motivée du titulaire à condition que celle-ci soit présentée avant l’expiration du délai en question. L’Office peut, en outre, subordonner cette extension de délai à l’accord des autres parties.   En cas de non-respect de ce délai pour fournir la preuve de l’usage, l’Office soit rejettera la procédure d’opposition initialement engagée par le titulaire, soit prononcera la déchéance des droits du titulaire sur le signe dans le cadre d’une action en déchéance.        9. Langue de procédure   Lorsque les documents soumis ne sont pas dans cette langue, il est indispensable de traduire au minima les parties significatives des documents dans la langue de la procédure.   Conclusion   En conséquence, face aux risques encourus par le titulaire d’une marque aussi bien lors d’une procédure d’opposition que d’une action en déchéance, nous ne pouvons que recommander aux titulaires de marques d’anticiper ces risques et de constituer au fur et à mesure des dossiers regroupant les preuves d’usage datées et triées avec des mises à jour régulières.    A ce titre, il convient de rassembler des documents représentant la marque en relation avec les produits, ayant une date certaine et comportant une indication quant au pays d’exploitation tels que catalogues, emballages de produits, photographies de produits, pages internet représentant les produits de la marque mis en vente, factures, signes à l’intérieur du point de vente, prospectus, étiquettes.   A ce titre, il vous est possible de transférer à LAVOIX ces documents par le biais de l'outil IP Data².                
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https://www.influencia.net/charlotte-nizieux-zoom/
Needs
charlotte nizieux hybridation au travail devient la norme et le entreprises équipent de plus en plus pour pouvoir répondre à toutes le situation et permettre à leurs collaborateurs de travailler de importe quel endroit la visioconférence est entrée dans le quotidien de salariés an dernier notre chiffre affaire bondi de 336 à 2 6 milliard euro et cette année au premier trimestre no revenus ont progressé de 191 à 956 2 million euro même si nous ne publions pa de chiffres par pay je peux vous dire que nous enregistrons en france de taux de croissance équivalents à ceux du reste du monde nous ne cessons ailleurs de renforcer no équipes locale nous somme aujourd hui une petite quarantaine de salariés dans hexagone soit plus du double qu il a un an n la tendance actuelle tend sans aucun doute vers une certaine rationalisation le entreprises veulent profiter une gamme de service complet au meilleur prix et elles souhaitent que le produits qu elles utilisent soit parfaitement sécurisés il est donc très important pour une société comme la nôtre de ne pa proposer uniquement de vidéoconférences il est impératif de se diversifier et nous avon fait ce derniers mois en lançant zoom event zoom app et zoom phone le appels qui passent par no plateformes sont chiffrés et sécurisés de bout en bout et il sont une excellente qualité audio et vidéo nous allons continuer à travailler pour que toutes le solution que nous proposons soient parfaitement intégrées le unes aux autres nous allons aussi proposer de plus en plus de service nous avon ainsi récemment fait acquisition de la start up allemande kite qui développe de solution de traduction automatique en temp réel bientôt ia permettra à de interlocuteurs qui parlent de langues différentes de converser et de se comprendre lors de visioconférence notre objectif est de faciliter le interaction au travail et assurer la continuité du business dans ce monde nouveau où certains salariés seront présents au bureau alors que autres feront du télétravail n selon une étude de bcg le travail à distance durant la pandémie permis de sauver 250 000 emplois en france sans lui le pib du pay aurait reculé de 86 milliard de dollar chez zoom nous pensons que nous nous dirigeons vers un modèle hybride le rencontres en présentiel resteront irremplaçables le moment échanges humains et le réunions de brainstorming sont très précieux je travaille depuis presque vingt an pour de entreprises américaines le travail à distance je connais je ai encore jamais rencontré physiquement me collègues de mais même je sais qu il est possible de créer de relation avec s collaborateurs virtuellement je peux vous dire que nous somme tous très impatients de pouvoir trinquer ensemble autour un verre n le fixe va nous suivre partout sur no smartphones et no ordinateurs le gen pourront vous appeler sur votre numéro de fixe et vous leur répondrez de votre portable ou de votre pc ou mac en matière de téléphonie et de visioconférence la tendance actuelle est à la rationalisation pour de question de gestion administrative de sécurité et de coût le entreprises sont le premières à franchir ce pa le particuliers sont encore plus réticents à changer opérateurs est un problème avant tout culturel mais il ne fait aucun doute que la visio et le appels vocaux resteront très complémentaires au travail la visioconférence va continuer à se généraliser durant la crise sanitaire ce réunions en ligne étaient le seul moment où le collaborateurs pouvaient se voir aujourd hui même si la situation sanitaire améliore peu à peu et que la plupart de salariés peuvent retourner au bureau on constate que utilisation de la visioconférence ne cesse de progresser car ce service est entré dans le mœurs de travailleurs le sociétés continuent de équiper car elles ont constaté durant la crise que leurs employés étaient plus productifs lorsqu il se parlaient tout en se voyant à distance même le manager le plus réfractaires à ce nouvelles technology commencent à sauter le pa frédéric thérin
12society
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https://www.influencia.net/coca-cola-cherche-a-seduire-les-gamers/
Storytelling
la ficelle est grosse très grosse voilà de années pour ne pa dire de décennies que coca cola axe s campagnes de communication et de marketing autour de bons sentiment le dodu père noël à la barbe blanche qui vient livrer le petits assoiffés avec de poids lourds illuminés comme un sapin près de la cheminée de ours polaires en image de synthèse qui font de figure libres sur la glace pour ne pa renverser une goutte du précieux breuvage commercialisé pour la première fois en 1886 dans une pharmacie atlanta de distributeurs de canettes comparés à de fabriques du bonheur la stratégie de la marque américaine a pa beaucoup évolué au fil du temp sa nouvelle campagne dévoilée hier est censée représenter selon selman careaga le président de global coca cola trademark la toute nouvelle philosophie du groupe son slogan il suffit un coca cola pour nous rapprocher vise selon cet ancien consultant au cabinet booz allen hamilton à rapprocher le réel et le virtuel rien que ça son tout nouveau film publicitaire à gros budget qui va être diffusé à partir du 3 octobre à la télévision nous plongera dans univers fantastique du gaming lors une compétition e sport à laquelle assiste un public en feu une joueuse perd un combat orques après avoir bu une gorgée de la boisson que vous aurez aucun mal à deviner le monstre se réveille et fait copain avec s ennemis avant de regarder le ciel bleu et de saluer un hochement de tête la compétitrice that it en regardant ce image une expression vient vite en tête cucul la praline le géant basé en géorgie pense visiblement que le meilleures soupes se font toujours dans le vieux pot mais s dirigeants ne devraient il pa tenter de changer de casserole pour repartir de avant an dernier le revenus du groupe ont en effet tout juste atteint 33 milliard de dollar alors qu il dépassaient encore la barre de 48 milliard de dollar en 2012 idée de séduire le gamers qui passent leur temp à manger de pizza en buvant de boissons gazeuses devant leur écran ordinateur est pa dénuée de bon sen mais ce film aurait il pa dû suivre un scénario un peu plus malin pour faire mouche pour sa dernière production coca cola mi le petits plat dans le grand en faisant appel au dj alan walker dont le titre faded été visionné plus de 3 1 milliard de fois sur youtube moi qui vient de ce monde je aperçois à quel point le gaming est de plus en plus accepté au fil du temp explique ce compositeur et producteur britannico norvégien le groupe américain est également associé pour cette opération avec la plateforme twitch qui est utilisée chaque jour par 30 million de gamers espère que cette campagne va permettre de démystifier le gaming et le gamers résume sarah iooss la directrice de ventes sur le continent américain de twitch cet objectif pourrait être atteint mais ici à dire que ce film relancera le ventes de coca cola dans le monde la multinationale continue en effet de faire la sourde oreille à s détracteurs qui se battent contre la malbouffe et obésité infantile sa publicité imaginée par agence betc et son hug logo où la marque en arrondi semble faire un câlin à la canette ne devraient pa calmer le personnes qui montrent du doigt le 7 morceau de sucre contenus dans chacune de s canettes pa sûr dans ce climat qu un coca parvienne réellement à nous rapprocher le un de autres frédéric thérin
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https://www.frenchweb.fr/cybersecurite-crowdsec-leve-15-million-deuros-aupres-de-reflexion-capital/407063
Financing
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1business
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https://www.frenchweb.fr/fintech-alma-leve-125-millions-deuros-pour-surfer-sur-la-vague-du-paiement-en-plusieurs-fois/395605
Financing
début 2018 louis chatriot ancien cadre de chez stripe quitté la startup de frères collison pour co fonder alma une solution qui permet aux startup et pme de proposer à leurs client de payer en ligne en plusieurs fois après une première levée de 3 3 million en juillet 2019 la startup vient de réaliser un nouveau tour de série de 12 5 million euro auprès notamment de s investisseurs historiques isai et idinvest le marché du paiement fractionné aujourd hui est principalement adressé par le acteurs bancaires de organismes de crédit comme cofidis cetelem cofinoga est intéressant parce que est un marché qui est assez dissymétrique est à dire que le grand acteurs type la fnac decathlon etc proposent le paiement en plusieurs fois depuis très longtemps à leurs client qui sont très demandeurs et un autre côté on de entreprises créées plus récemment parfois plus petite qui elles sont en train de commencer à y mettre et vont se tourner vers de acteurs comme alma décrit louis chatriot via la solution alma le retailer peuvent proposer le paiement en 3 ou 4 fois en magasin et en ligne ce derniers sont payés directement tandis que le client rembourse alma est donc sur un secteur prometteur un tel service permet attirer et de fidéliser le client mais également complexe notamment au niveau réglementaire qu évolue la startup cette levée doit lui permettre de poursuivre sa croissance tout en respectant le différentes exigences entreprise qui été fondée en 2018 compte autour de 1000 entreprises clientes comment alma gère le risque lié aux défauts de paiement quelles sont le perspective évolution du marché retrouvez interview complète de louis chatriot co fondateur alma listen to fintech alma lève 12 5 million euro pour surfer sur la vague du paiement en plusieurs fois on spreaker fondateurs louis chatriot guillaume desloges création 2018 effectifs 17 secteur fintech activité paiement fractionné financement 16 million euro au total 3 3 million en juillet 2019 série de 12 5 million en mar 2020 découvrez le autres émissions de decode medium pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/immobilier-comment-bureaux-a-partager-s-est-impose-dans-les-espaces-de-coworking_456183
Uniqueness
Vous êtes installé sur le marché très en vogue des espaces de coworking. En quoi votre positionnement est-il original? Ce marché se développe vite avec des acteurs, anciens ou nouveaux, comme WeWork, Station F, Deskopolitan, Bouygues… Bureauxàpartager.com permet aux offreurs, possédant des bureaux libres, et aux demandeurs, cherchant des bureaux flexibles, de se rencontrer. Nous prenons en -gestion les espaces vacants de foncières ou de propriétaires, de façon éphémère, jusqu’à deux ans. Nous -gérons 30.000 mètres carrés dans -quatorze lieux à Paris, comme une école désaffectée de 7.000 mètres carrés changée en espace de coworking. Nous gérons l’endroit, les travaux, occupons les lieux et, si besoin, en trois mois, nous partons. Comment fonctionne votre modèle économique? Nous reversons à l’offreur un loyer fixe, ainsi que 20 à 70% du chiffre d’affaires réalisé grâce à la location. Nous proposons un logiciel de gestion de l’espace à partager: Link. En 2016, nous avons dépassé 5 millions d’euros et visons un peu plus de 10 millions en 2017. Notre rentabilité atteint 5 à 10%. Comment le projet a-t-il pris forme? En 2007, chez FaberNovel, nous avions 200 mètres carrés en trop. Nous avons cherché des entrepreneurs pour les partager, mais il n’y avait pas de site de colocation de bureaux. Avec trois francs six sous, nous avons créé Bureaux à partager avec des développeurs de l’école Epitech. Pendant cinq ans, je m’en occupais sur mon temps libre. En 2011, j’ai réalisé le spin-off. Quels sont vos objectifs à l’étranger? Nous avons levé 2 millions d’euros auprès de la Caisse des dépôts pour consolider l’entreprise et préparer la croissance. En 2017, nous allons réfléchir à la pertinence de nous internationaliser ou pas, et, si oui, où et comment. L’Ile-de-France compte déjà 50 millions de mètres carrés de bureaux. Il y a de quoi faire! BAP est lancé en France et aux Etats-Unis. Avec quelle différence? Les Etats-Unis représentent un énorme marché, plus compétitif, qui nécessite beaucoup plus de moyens pour se faire connaître. Il faut au moins 1 million d’euros pour lancer un produit. Pour l’instant, notre business est dormant. Dans dix ans, à quoi ressemblera la société ? A un groupe porté sur les nouvelles technologies dans l’immobilier. Notre ambition est d’épouser la révolution numérique qui a touché tous les secteurs et arrive enfin sur le nôtre. La pierre coûte cher, les enjeux sont gros, les acteurs poussiéreux, les modèles anciens. Le bail 3-6-9 date de plus de soixante-trois ans. Il régit toute l’ingénierie financière d’un secteur qui pèse des centaines de milliards d’euros ! Avez-vous l’impression d’avoir réussi? Il y a ceux qui entreprennent pour le plaisir, et ceux qui le font pour devenir riches, par opportunisme. J’ai toujours eu dans le sang de créer, d’innover, d’avoir des idées un peu farfelues. J’ai l’impression de réussir ma vie parce que je m’éclate !   \n\n \n \n Immobilier\n coworking\n \n
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https://www.frenchweb.fr/pennylane-leve-4-millions-deuros-pour-sa-plateforme-dexpertise-comptable/400233
Financing
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/reconnaissance-dune-sociale-carbone-laccord-climat
Market Impact
Les économistes s’accordent en général à penser qu’affecter un prix unique aux émissions de carbone à travers un accord international, que ce soit par un prix contraignant (taxe carbone), ou par un marché de permis reposant sur des engagements contraignants, serait en théorie le moyen le plus efficient au plan mondial, pour inciter à la réduction des émissions vers le niveau souhaitable, quitte à ajouter des canaux de redistribution vers les pays en développement pour régler les questions d’équité (voir par exemple Gollier, Tirole, 2015). Mais, compte tenu des réalités de la politique internationale (refus de contraintes et de pénalités par de grands pays émetteurs, obstacles à des transferts financiers Nord-Sud considérables en guise de compensations redistributives, etc.), compte tenu aussi des obstacles théoriques émanant des incertitudes sur les coûts des options bas carbone que chaque pays rencontrera pour qu’il s’engage, il n’est pas crédible qu’un accord se dégage sur des engagements contraignants ou sur une taxation uniforme. Ceci explique la mise à l’écart d’un prix uniforme du carbone dans le processus de négociations internationales. Ceci dit, affirmer la nécessité d’une reconnaissance d’un prix de référence du carbone dans l’accord-Climat ne serait pas vain, puisqu’il guiderait les décisions d’investissement et permettrait d’assoir de nouveaux modes de financement en reconnaissant une valeur à l’évitement d’émissions de carbone. En aucun cas il ne s’agirait de revenir à l’objectif poursuivi lors des négociations antérieures de faire émerger un prix du carbone sur la base de contraintes, ce dernier a fait perdre trop de temps. Il s’agit de donner de façon pragmatique un guide pour les décisions d’investir et de financer, qui ne concerne que les équipements futurs, non les externalités négatives des équipements en place. A ce titre, il semble très acceptable pour être introduit utilement dans la négociation du traité. L’accord Climat pourrait inclure un article du type suivant :  "The social and economic value of mitigation actions and their co-benefits to adaptation, health and sustainable development should be recognized and formalized as such. It will help to orient the investment of firms towards low carbon options, to mobilize public funding and to develop financial vehicles to allow scaling up of private investments to support development of low carbon projects and countries’ transitions to low-carbon economies. This reference of carbon value will be established by consensus between parties: it should be referred to abatement action costs to reach a global emissions cap as well as the co-benefits of the actions. It will be regularly revised “. Les décisions de long terme en matière d’équipements bas carbone, de programmes d’infrastructures (bâtiments, mode de transport,  urbanisme) ou de réformes de l’usage des sols qui ont un surcoût par rapport aux options ordinaires auraient besoin de se baser sur un signal-prix du carbone crédible pour se déclencher. Elles ont besoin de se référer à la rentabilité sociale de l’investissement et non pas seulement à la rentabilité privée. Faute d’une valeur du carbone crédible, l’alternative qui est assez largement utilisée est le recours à des modes de subventions particuliers pour les énergies bas carbone, aux normes d’émissions et à des mesures de command and control (limites d’émissions par secteur, fermeture d’équipements anciens, appel d’offres pour attribution de contrats de long terme à prix fixé avec l’Etat, etc.), à de programmes d’investissements publics en infrastructures privilégiant les options qui limitent les émissions, avec l’inconvénient de présenter des coûts de la tonne évitée différents. C’est la raison pour laquelle, en absence de monétarisation significativement crédible du carbone par une taxe élevée ou un système de permis (emissions trading system ou ETS), la définition d’une valeur de référence du carbone dans les pays engagés –et mieux, définie au plan mondial– serait nécessaire pour donner un repère aux investisseurs privés et publics, mettre en cohérence les politiques et mesures, voire susciter l’émergence de mécanismes de carbon pricing (taxes, ETS) envoyant un signal prix de long terme crédible. Les entreprises appellent de leurs vœux la mise en place d’un signal-prix du carbone crédible dans les pays n’ayant pas de taxation carbone ou un système de permis d’émissions crédibles pour orienter leurs choix de long terme. Faute de mieux, les plus actives s’autorégulent en se donnant un prix interne du carbone comme incitation dans le choix de leurs investissements. Une telle valeur de référence présenterait aussi l’avantage de répondre aux besoins des administrations, comme c’est déjà le cas dans un certain nombre de pays pour définir des mesures de politiques publiques (normes sur les véhicules, etc.), et permettrait d’orienter les investissements publics vers des options qui entraînent des économies de carbone et de mener une évaluation coût-bénéfice de ces politiques. Ainsi une telle valeur de référence du carbone définie localement est utilisée aux Etats-Unis, au Canada, le Mexique et en Europe, en Allemagne, au Royaume Uni, en Norvège et en France (depuis 2009). Pour donner corps aux investissements bas carbone des entreprises et des pouvoirs publics sur des bases autres que le volontariat et l’auto-régulation, il serait nécessaire aussi que soit internalisée leur valeur sociale supplémentaire par rapport aux options d’investissement émettrices dans les pays sans taxe ou prix d’ETS significatif et crédible. Ce serait sous forme d’un actif financier reconnu par le système financier et bancaire et adossé à une garantie de l’Etat sur sa valeur alignée sur la valeur de référence du carbone. En comblant le fossé entre valeur privée et valeur sociale du carbone, il supprimerait un des obstacles à investir dans des équipements et infrastructures bas carbone qui se heurtent par ailleurs aux difficultés de gestion de risque. Ces investissements sont en effet intensifs en capital alors même que leur environnement économique (prix des combustibles fossiles notamment) est déjà incertain, et auquel s’ajoute les incertitudes du carbon pricing (acceptabilité des taxes, marchés de permis). Une valeur carbone de référence justifierait déjà la mise en place des dispositifs de partage de risque, comme de garanties publiques de revenus (voir ceux proposés dans le rapport Canfin-Grandjean « Mobiliser les financements pour le climat » du 18 juin 2015). Il s’agirait aussi de valoriser les économies de carbone faites sur chaque projet et de garantir la valeur unitaire par tonne de CO2 équivalent évitée par des canaux de financement innovants qui concerneraient tous les pays, pays développés et émergents. Pour ce faire, des certificats carbones doivent être émis en échange de chaque tonne de CO2 équivalent évitée par projet, certificats qui doivent pouvoir être reconnus comme nouvel actif financier, dont la valeur unitaire devrait être garantie par les Etats et les banques centrales. Ils constitueraient un nouveau véhicule d’intermédiation entre les banques prêteuses, les fonds de retraite, d’assurance, les fonds souverains qui prêteraient des fonds à des projets d’un côté et les banques centrales ou le FMI de l’autre, qui garantiraient la part « réduction d’émissions » des prêts. La valeur de référence du carbone devrait être mise en place en même temps que d’autres institutions : un système crédible de validation et de suivi des économies de carbone des projets financés par les banques sous forme de certificat carbone, de nouvelles règles prudentielles qui reconnaîtraient ces certificats comme actifs, un refinancement possible des emprunts accordés par les banques auprès des banques centrales en échange de ces certificats carbone qui seraient un nouveau mode d’intermédiation financière (Aglietta, Espagne, Perrissin-Fabert, 2015 ; Hourcade, 2015 ; Hourcade, Perrissin-Fabert, Rozenberg, 2013). Pour définir une valeur du carbone, deux écoles s’opposent, celles focalisées sur le coût social du carbone dans une démarche coût-avantage à l’échelle planétaire et celle plus réaliste qui se réfère au coût des actions marginales pour se situer sur la bonne trajectoire d’émissions en 2030-2050, soit au plan mondial, soit au plan national. La première approche du social cost of carbon est celle retenue par les administrations américaines depuis 2005, et est celle que proposait de suivre le rapport de Nicolas Stern publié en 2006 (Stern, 2006). Elle conduit à choisir la valeur de la tonne de carbone qui permet d’atteindre le niveau optimal de concentration de GES dans l’atmosphère, où s’égaliserait le niveau auquel le dommage marginal infligé à la planète par l’émission d’une unité supplémentaire de GES et le coût de réduction des émissions pour atteindre cette quantité. Sa principale faiblesse réside dans le fait qu’elle suppose que l’on puisse correctement mesurer le coût de l’ensemble des dommages consécutifs au réchauffement climatique associé à la tonne marginale émise à un moment donné. Or il y a et il y aura toujours de nombreuses incertitudes, notamment dans la relation entre températures et dommages, au fait de la difficulté d’atteindre une bonne pertinence dans son estimation avec l’aide de modèles intégrés d’évaluation des dommages, et de celle de la prise en compte de la localisation de ceux-ci, avec des estimations différenciées de la valeur d’un dommage en relation avec le niveau de revenus du pays concerné (peut-on supposer la même désutilité selon les pays ?). Les autres difficultés concernent l’étalement dans le temps des effets d’une tonne marginale émise à une date précise, et le taux d’actualisation retenu. C’est sur ce point que le débat sur le social cost du carbon  a tendu à se cristalliser depuis 15 ans, avec ceux prônant l’usage d’un taux très bas –par exemple à 0,001% comme Stern 2006– et ceux prônant des taux normaux de 4-5% mettant en valeur l’effort des générations actuelles : la première position conduit à un résultat 100 à 150 fois supérieur à celui obtenue avec la seconde approche, les estimations variant de 60 $/t de carbone à 1 025 $/t en prenant le taux d’actualisation  très bas du rapport Stern (pour une synthèse des controverses, voir Grubb, Hourcade et Neuhoff, 2015, section 1.3, chapitre 1). De plus, la valeur des dommages  marginaux dépendra aussi des politiques menées par les différents pays et de leur efficacité, ce qui est difficile à anticiper. La seconde approche « coûts-efficacité », qui est celle retenue en France depuis le rapport Quinet (2009) et au Royaume Uni depuis le rapport du DECC de 2009, prend comme une donnée les objectifs affichés de réduction des émissions. La valeur de référence du carbone est alors égale au shadow price (prix fictif) de la contrainte fixée de réduction d’émissions. Elle se réfère aux engagements nationaux et internationaux de réduction des émissions pour atteindre l’objectif de stabilisation de la teneur à 450 ppm (+2° C). Cette approche nécessite de faire des hypothèses précises sur les politiques mises en œuvre qui peuvent varier dans le temps, et sur le développement des nouvelles technologies plus sobres en carbone, ce qui constitue deux sources d’incertitudes. Cependant un accord est plus facile à trouver avec cette approche fondée sur le prix de l’action marginale car le coût marginal de la contrainte carbone est plus facilement repérable. On évite la difficulté de devoir se mettre d’accord sur le coût social du carbone. De plus, les pays pourraient accepter des valeurs de référence du carbone similaires dans une perspective globale, malgré les différences de points de vue sur la répartition du fardeau pour atteindre le plafond des émissions au niveau mondial, ou, si l’on s’en tient à la logique des objectifs nationaux émanant des engagements volontaires (INDCs), malgré les différences de coûts pour atteindre les plafonds d’émissions respectifs que chacun s’est assigné à long terme. Le choix entre les approches doit être guidé par le pragmatisme. La seconde approche a le mérite de la cohérence et est moins exposé aux désaccords. Choisir d’aligner la valeur du carbone sur le coût marginal d’évitement, c’est chercher une valorisation cohérente avec les objectifs de limitation de la croissance ou de réduction d’émissions de court terme et de long terme choisis par le pays. Quand il s’agit d’un club de pays engagés en commun pour une réduction de leurs émissions sur le long terme, le périmètre pertinent serait celui des émissions de leur club, voire celui des émissions mondiales s’ils considèrent importants les échanges de certificats-carbone entre les pays pour minimiser le coût mondial de l’atténuation. Un débat s’engagera probablement sur l’inclusion des co-bénéfices des actions d’évitement dans la valeur de référence du carbone qui contribuera à l’augmenter, pour deux raisons. D’une part, depuis Rio 1992 et de façon amplifiée depuis Cancun 2010, la lutte contre la changement climatique se situe dans la perspective du développement des pays émergents et en développement réconciliée avec les contraintes du développement durable. Se situer dans cette perspective invite à identifier les mesures et les politiques de limitation des émissions qui sont porteuses de co-bénéfices importants, en termes d’externalités environnementales et d’externalités dynamiques sur le développement. D’autre part, les pays émergents et en développement se sentent doublement concernés par l’intérêt de ce prix de référence incluant la valeur des co-bénéfices pour bénéficier de financements plus élevés fondés sur une valorisation supérieure des actifs-carbone associés aux investissements bas carbone pour lesquels ils rechercheront des financements privés et étrangers. Une telle intégration  serait cohérente avec la démarche coût-efficacité qui ne considère que les coûts pour atteindre un objectif donné d’émissions, parce que l’économie des pays n’est pas sur la “surface d’efficacité sociale”, étant donné la présence d’externalités négatives non internalisées et aussi l’existence d’effets potentiels d’efficience dynamique. Ajouter les co-bénéfices des actions bas carbone au prix fictif de la contrainte carbone s’inscrit strictement dans la tendance générale à reconnaître la place des effets des mesures de réduction d’émissions sur la santé via la réduction de la pollution de l’air (baisse de la mortalité et des maladies respiratoires), dans le domaine du transport (diminution des congestions, etc.), de l’agriculture, des bâtiments, de la production d’électricité, de la sécurité énergétique, comme le dernier rapport du Working Group III de l’IPCC a pu le faire. De plus, des approches plus ascendantes se sont affirmées dans les pays émergents et en développement: elles ne placent plus au sommet des priorités politiques la réduction des émissions, mais intègrent simplement les enjeux climatiques dans les politiques de développement, ce qui conduit à prendre en compte conjointement les bénéfices de la réduction de leurs  émissions avec les bénéfices de ces actions en termes de développement  (voir par exemple Shukla et Dhar, 2011) . Aussi, si les pays engagés sont vraiment décidés à faciliter les décisions, on devrait s’entendre facilement sur la référence de la valeur du carbone ainsi que sur sa trajectoire de croissance rapide. Dans un contexte de volontés d’engagement marquées, rien n’empêcherait alors une fixation de la valeur de référence du carbone et de sa trajectoire à un niveau élevé dès le départ: par exemple 50 $/tCO2 dès 2020, 100-150 $/tCO2 en 2030, etc.   L’avantage d’une valeur de référence du carbone sur une tarification explicite du carbone qui ne pourrait émaner que de règles contraignantes pour aboutir à un accord est quadruple. Le besoin de disposer d’une telle valeur de référence pour l’organisation des nouveaux canaux de financement privé Nord-Sud pourrait être un facteur déterminant de l’inscription du principe d’élaboration d’une telle valeur de référence dans l’accord de Paris. Mais, même sans l’établissement de tels canaux innovants de financement, une valeur de référence du carbone sera utile pour les choix d’investissement des entreprises et des administrations dans chaque pays sans tarification du carbone ou avec des mécanismes de « carbon pricing » inefficaces.   Aglietta, M., Espagne, E., Perrissin-Fabert, B., 2015. A proposal to finance low-carbon transition in Europe. Etudes&Documents, n°121. Commissariat Général au Développement Durable et France Stratégie. DECC (Department of Energy and Climate Change), 2009. Carbon Valuation in UK Policy Appraisal: A Revised Approach. July 2009. Shukla, P. R., Dhar, S. (2011). Climate agreements and India: aligning options and opportunities, on a new track.International Environmental Agreements: Politics, Law and Economics, pp 229-243 Gollier C., Tirole J. 2015, « Negotiating Effective Institutions Against Climate Change »,  Energy and Environmental Economic and Policy, Vol. 4 (2), p.5-27. Grubb M. avec Hourcade JC et Neuhoff K., 2015, Planetary Economics, London, Earthcan (chapitre 1, section 1.3) Hourcade J.C., Perrissin-Fabert B., Rozenberg J. (2012). Venturing into Uncharted Financial Waters: an Essay on Climate-Friendly Finance. International Environmental Agreement: Politics, Law, and Economics. Vol. 12, N. 2, pp. 165-186. Hourcade JC, 2015, Financer la transition carbone dans une économie mondiale fragilisée. Annales des Mines - Responsabilité et environnement, n° 77, p. 86 à 89. Interagency working group on social costs of carbon (2013). Technical Update of the Social Cost of Carbon for Regulatory Impact Analysis. US government Quinet A. , 2009.La valeur de référence du carbone. Rapport de la commission présidée par Alain Quinet au Centre d’Analyse Stratégique. Stern N. 2006, The economics of climate change, Cambridge : Cambridge University Press finon.jpg, par mmadeira Dominique Finon, directeur de Recherche CNRS émérite, chercheur au CIRED (ENPC & CNRS) , directeur scientifique adjoint de la Chaire European Electricity Markets  (Paris-Dauphine),  conseiller spécial du Secrétaire général du Conseil Français de l’Energie (WEC-France), ancien président de l’Association française des économistes de l’énergie de 2004 à 2007, ancien directeur du Laboratoire d’analyse économique des réseaux et des systèmes énergétiques (Groupement d’intérêt scientifique (GIS) financé par EDF, le CNRS, et l’Univ. Paris sud),  de 2006 à 2010, directeur adjoint du Programme interdisciplinaire Energie du CNRS en charge des sciences sociales (de 2002 à 2006), ancien directeur de l’Institut d’économie et de politique de l’énergie (UMR du CNRS et de l’Université Grenoble II) de 1991 à 2003), Médaillé de bronze du CNRS en 1988. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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Financing
wingly une plateforme de transport aérien collaboratif lève 3 million euro auprès innovacom avec la participation de business angel historiques à instar de thibaud elzière annie combelles felix haas et charles cabillic la startup parisienne avait déjà levé 2 million euro en mar 2018 lancé en 2015 par emeric de waziers bertrand joab cornu et lars klein wingly est une plateforme de réservation avions privés à partager concrètement la startup transpose le modèle du covoiturage aux avions ce qui permet aux utilisateurs de bénéficier un vol privé en divisant le coûts avec le autres passagers essentiellement basé sur de vols liés aux loisirs wingly veut désormais diversifier son offre en proposant un service axé sur le voyage professionnels baptisé wingly pro avec la montée en puissance de offre pro cet été nous allons pouvoir répondre à de demandes orientées transport pour effectuer notamment de transversales mal desservies comme grenoble clermont ferrand auxquelles no pilotes privés ne peuvent pa répondre efficacement notre objectif est de connecter le 450 aérodromes au sein du territoire nous allons aussi pouvoir ajouter de nombreux vols en hélicoptère explique emeric de waziers co fondateur et ceo de wingly dans le cadre de cette levée de fonds la startup ambitionne accélérer son développement sur le vols en partage de frais sur s marchés historiques à savoir la france allemagne et le royaume uni ainsi que la mise en place de wingly pro en france wingly ne compte que peu de concurrents sur son secteur hormis coavmi lancé en 2014 avec le bouleversements que connaît actuellement le monde pouvoir se déplacer de façon efficace et responsable nécessite un changement fondamental approche et de outils numériques bien adaptés commente jérôme faul président innovacom fondateur emeric de waziers bertrand joab cornu et lars klein création 2015 siège social paris secteur aviation coavionnage activité plateforme de réservation avions privés à partager concurrents coavmi financement 3 million euro en juin 2020 auprès innovacom pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
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Securing
La société Golden Balls Ltd dépose la demande de marque communautaire GOLDEN BALLS, pour des produits en classes 16, 21 et 24.La société Intra-Presse forme opposition contre cette demande de marque, sur le fondement de sa marque communautaire antérieure BALLON D’OR, enregistrée pour des produits et services relevant des classes 9, 14, 16, 18, 25, 28, 38 et 41.La division d’opposition de l’OHMI rejette cette opposition en considérant que les signes sont globalement différents.La chambre de recours de l’OHMI confirme que les signes GOLDEN BALLS et BALLON D’OR sont visuellement et phonétiquement différents. Elle conclut néanmoins à une identité ou à une forte similitude conceptuelle entre les signes et annule la décision de la division d’opposition, en considérant qu’il existe un risque de confusion entre les marques.Saisi d’un recours, le Tribunal de l’Union Européenne (TUE) considère notamment que :   En effet, même en admettant, […] que les mots « golden » et « ball » fassent partie du vocabulaire élémentaire de la langue anglaise et qu’ils soient, dès lors, en tant que tels, compréhensibles pour le consommateur moyen, y inclus le consommateur moyen francophone, cela ne signifie pas que ce consommateur, qui dispose généralement, […] d’une connaissance faible de la langue anglaise, comprendra ces termes dans leur combinaison spécifique « golden balls » spontanément comme une traduction en anglais de l’expression française « ballon d’or » constituant la marque antérieure ».   Le TUE considère qu’il n’existe aucune confusion possible entre les marques GOLDEN BALLS et BALLON D’OR et annule par conséquent la décision de la chambre de recours de l’OHMI.Il convient de relever que les produits revendiqués par les marques en cause étaient des produits de consommation courante destinés au grand public (articles de papeterie, ustensiles pour le ménage ou la cuisine, tissus, …) et que la solution retenue par le tribunal aurait sans doute été différente s’il eut s’agit de produits destinés à des consommateurs ayant habituellement une très bonne connaissance de la langue anglaise (par exemple des produits destinés à des professionnels de l’informatique).   Contact :Gwénaël TOUSSAINT
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Uniqueness
Challenges - Vous représentez la quatrième génération Decitre. Quand avez-vous intégré l’entreprise? Guillaume Decitre - Mon père m’a rapidement introduit au conseil d’administration de Decitre. Pour autant, j’ai commencé ma carrière dans la Silicon Valley où je suis resté dix ans. En 2005, j’ai réalisé un rêve, un demi-tour du monde à la voile avec ma femme et mes trois enfants. A notre retour, mon père est tombé gravement malade. J’ai effectué l’intérim à la tête de Decitre et, de fil en aiguille, j’en ai pris la direction. Quelles ont été vos décisions clés? J’ai refusé la sinistrose et le déclin, alors que Virgin et France Loisirs faisaient faillite. En douze ans, nous avons transformé l’entreprise en ouvrant des magasins plus modernes, en développant le digital et en créant l’activité numérique Vivlio. En janvier 2019, j’ai cédé les librairies Decitre au Furet du Nord pour en faire le premier groupe de librairies en France. Qu’avez-vous ressenti en cédant cette entreprise de 111 ans? J’y suis attaché. C’est ma vie depuis que je suis né. La logique du cœur voulait qu’il y ait une cinquième génération. Dans un contexte difficile, il m’a semblé préférable de privilégier la logique de l’entreprise. Pour investir en formation, en numérique, en qualité de service, il faut une taille critique. Et mes enfants ne voulaient pas reprendre la société. Mais vous avez conservé Vivlio… Je l’ai créé en 2011 quand je cherchais une solution de livre numérique. David Dupré en est devenu le directeur général. Tout le monde nous a pris pour des fous. Mais, dix ans plus tard, nous sommes le meilleur choix français face à la Kindle d’Amazon ou à la Kobo de Rakuten. Nous offrons une solution de qualité, ouverte. Nous payons nos impôts en France, n’espionnons pas nos clients, ne vendons pas leurs données. Notre chiffre d’affaires atteint presque 11 millions d’euros et, pour la deuxième année, notre résultat sera positif. Quel est votre modèle? Près de 40% de nos revenus proviennent de la vente de liseuses. Fabriquées par PocketBook, elles coûtent de 109 à 170 euros et sont vendues dans 1.000 points de vente et sur Internet. Les 40% suivants viennent de la vente de contenus, et les 20% restants de la formation proposée à nos clients. Nous sommes en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse et en Allemagne. Nous avons levé 1 million d’euros auprès d’EKZ, le leader allemand du prêt numérique aux bibliothèques, ce qui nous permet d’être valorisés 14 millions. Vous avez aussi lancé le fonds Decitre. Pourquoi? Son objectif est de faciliter l’accès à la culture. Nous sommes le premier installateur en France de boîtes à livres. Nous avons fourni des liseuses et des livres numériques aux Ehpad durant le confinement. Depuis deux ans, je passe aussi la moitié de mon temps sur les sujets de réchauffement climatique. Et le fonds Decitre a intégré la Coalition française des fondations pour le climat. Quel est votre rêve de croissance? Devenir le leader européen du livre numérique, face à Kindle et Kobo. \n\n \n \n Kindle\n Amazon\n \n
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le spécialiste suédois du paiement en ligne klarna dépassé le 10 milliard de dollar de valorisation au terme de sa dernière levée de fonds annoncé mardi entreprise qui revendique le titre de plus grosse fintech europe depuis 2019 klarna créée en 2005 par trois jeunes étudiants en école de commerce levé 650 million de dollar 547 million euro ndlr lors un tour de table financier à une valorisation de 10 65 milliard de dollar qui place klarna comme la fintech privée ayant la valeur la plus élevée en europe et la quatrième dans le monde indique la société basée à stockholm dans un communiqué présente actuellement dans 17 pay elle compte désormais 3 500 employés son modèle repose sur la gestion de paiements de s utilisateurs plus de 200 000 boutique et site marchands à heure actuelle le client peuvent également bénéficier de facilités de paiement via klarna et son application mobile désormais plus de 12 million utilisateurs mensuels dans le monde entreprise dirigée par son cofondateur sebastian siemiatkowski explique dans son communiqué avoir bénéficié du contexte de basculement accéléré vers le shopping en ligne provoqué par la crise du covid 19 avec 35 000 nouveaux vendeurs utilisant s service engrangés lors du premier semestre parmi le nouveaux investisseurs de la dernière levée de fonds figurent le fonds investissement silver lake blackrock et hmi capital ainsi que le fonds souverain de singapour gic il rejoignent investisseur historique sequoia capital ou encore le géant de carte bancaires visa et le rappeur snoop dogg entreprise qui envisage entrer en bourse à moyen terme avait pour la première fois perdu de argent en 2019 en raison investissements coûteux pour se développer aux etats unis pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
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https://www.influencia.net/damien-viel-dg-twitter/
Storytelling
damien viel analyse de plusieurs milliard de tweet dans huit pay révélé deux tendances qui me semblent extrêmement importantes tout abord nous avon constaté la diversité incroyable de sujets de conversation liés autour de la créativité et de la découverte twitter est devenue une plateforme sur laquelle on discute de tout nous somme aujourd hui présents sur ensemble du territoire français et nous touchons une cible qui est plus exclusivement jeune la pandémie également eu un effet accélérateur pour le marque qui parlent chaque fois plus de sujets liés à engagement et à la transparence leurs message sont souvent centrés autour de sujets éthiques et sociétaux 86 de no utilisateurs estiment que leurs conviction impactent leurs choix quand il doivent décider une marque plutôt que une autre v elles ont pris conscience il a bien longtemps déjà de attentes de consommateurs est visible tout particulièrement en france où le entreprises sont incarnées à la fois par leurs dirigeants mais aussi par leurs collaborateurs il a quelques années seuls quelques patron un peu militant twittaient désormais la moitié de pdg du cac 40 publient régulièrement de tweet la plateforme est devenue la plus utilisée au sein de entreprises de plus de 100 salariés dans notre pay aujourd hui toutes le sociétés même celles qui sont présentes dans de secteurs sensibles comme énergie ou le transport engagent et jouent la carte de la sincérité et de honnêteté sur notre réseau le consommateurs attendent de no jours que le marque engagent sur de sujets qui sont éloignés de leur sphère directe activité et qu elles prennent de engagement citoyens et sociétaux beaucoup de dirigeants ont compris comme stéphane richard le pdg orange ou alexandre bompard qui parlent désormais aussi de géopolitique sur leurs comptes sans oublier ampleur du phénomène black life matter qui forcé le entreprises à se positionner v je ne le pense pa le silo de communication sont définitivement morts aujourd hui la prise de position une marque qu elle soit sociétale ou liée au marketing et à la communication se retrouvent sur la même plateforme la communication corporate la communication commerciale la communication du service clientèle tout passe par le même canal cette tendance permet élargir considérablement notre audience le derniers résultats financier de total ont été suivis en live par 1 million de no utilisateurs un tel événement aurait jamais reçu une telle attention dans le passé le défilé de mode pour homme de louis vuitton au mois de juillet été vu par 36 million de personnes sur twitter v la plupart sont liées aux question de brand safety nous avon souhaité nous assurer que le marque pouvaient engager un dialogue serein avec no utilisateurs en masquant de réponses publiées sur leur timeline et garder ainsi le contrôle éditorial de leur compte nous utilisons pa non plus approche programmatique pour le publicités qui sont diffusées sur notre plateforme car nous voulons que le marque sélectionnent elles mêmes leurs cibles le contextes et centre intérêt auxquels elles sont rattachées nous mettons en place par ailleurs de outils qui permettent aux entreprises de communiquer par intermédiaire de la voix le succès de twitterspaces sur lequel il est possible avoir de conversation audio en direct sur twitter me rappelle la réussite de périscope 2021 est une année accélération en matière innovation v nous avon entamé une réflexion concernant le financement de créateurs nous testons actuellement auprès de 200 créateurs aux etats unis le service super follows qui leur permet de faire payer leurs contenus aux personnes qui le consultent nous avon aussi lancé au début du mois de juillet tipping pour encourager no utilisateurs de donner un pourboire tip en anglais aux créateurs afin de le récompenser de leur travail ce service est une alternative aux modèles payants qui devrait intéresser la génération qui ne sait pa trop où se situer entre le formules gratuites et premium frédéric thérin
12society
[ 1, 8, 12 ]
https://www.influencia.net/quel-avenir-pour-le-point-de-vente-physique/
Market Impact
pour vous projeter vers le futur le cahier de tendances du salon été construit autour de 7 retailfictions imaginées par équipe du salon et la prospectiviste monique large de agence pollen trendconsulting ce fiction sont formulées sou forme de what if et si on remplaçait le plastique par du végétal en point de vente et si on logeait de jeunes dans le centre commerciaux et si on fabriquait tous no produits dans le point de vente et si la pub estompait avant de saturer le cerveau et si le consommateurs exigeaient une transparence totale et si tout était livré et si tout était loué prêté échangé chacune de ce fiction soulève de enjeux majeurs auxquels le marque et le enseignes seront confrontées dans un futur pa si lointain au cours de derniers mois le bouleversements causés par la crise sanitaire ont rendu certaines retailfictions moins fictives et si tout était livré la fermeture pendant plusieurs mois de point de vente jugés non essentiels donné beaucoup trop de réalisme à cette fiction et engouement de français à retourner dans leurs magasins après chaque confinement prouve à quel point il sont attachés à leurs commerce pour le enseignes la livraison qu elle se fasse à domicile dans un point relais voir dans le point de vente via le click and collect pose question comment améliorer expérience de s client comment immerger dans univers de son enseigne quand le client reste dans son canapé ou encore comment humaniser cette relation à distance autre retailfiction qui ancre dans la réalité et si tout était loué prêté échangé aujourd hui le acteurs du retail sont conscients de la nécessité de réduire leur impact environnemental et doivent également répondre aux attentes une clientèle plus responsable recyclage de matières deuxième vie de produits après reconditionnement ou encore service de location le initiative se multiplient et soulèvent de enjeux stratégiques pour le magasins comment communiquer sur sa démarche environnementale sans green washing ou encore comment gérer le retours de location en préservant la qualité de expérience client au delà de question soulevées par le retailfictions ce sont de réponses concrètes que le visiteurs du salon mpv découvriront prochainement ainsi pour chaque fiction une réponse qui invite au débat été imaginée et challengée par un panel expert tels que le designer végétal alexis tricoire et clémence cornet directrice de marque chez bocage et pour aller encore plus loin une retailfiction serum illustrée sur le salon le parfumeur intérieur maison berger paris et agence keemia vous dévoileront comment ré enchanter expérience de la livraison sur un espace designé par agence cent degrés toutes le réponses et solution au retail de demain sont sur mpv visitez mpv du 5 au 7 octobre 2021 bénéficiez un badge gratuit en vous inscrivant ici tribune externe
5learning
[ 12, 7, 1, 3, 8, 0 ]
https://www.frenchweb.fr/proptech-garantme-leve-4-millions-deuros-pour-etre-le-garant-des-particuliers-et-des-entreprises/404004
Financing
que on soit un étudiant un jeune actif un étranger un travailleur indépendant ou encore un salarié avec de revenus modestes trouver un logement en france peut vite apparenter à un parcours du combattant dans ce contexte alors que la demande est largement supérieure à offre dans le métropoles de start up ont vu le jour ce dernières années pour donner un coup de pouce aux candidats locataires ayant pa de garants suffisamment convaincants aux yeux de propriétaires est le ca notamment de garantme qui déployé en 2017 une solution de caution locative à destination de candidats locataires la société annonce aujourd hui un tour de table en série de 4 million euro cette occasion elle accueille à son capital le fonds axeleo capital qui lancé son fonds dédié à la proptech en juin et newalpha bpifrance via le fonds ambition amorçage f3a remet également au pot dans le cadre de cette opération elle va nous permettre accélérer notre développement technologique afin de pouvoir structurer et proposer à tous no partenaires professionnels de immobilier de solution de cautionnement fluides efficaces et intégrées indique thomas reynaud co fondateur de garantme fondée par emile karam et thomas reynaud tous deux diplômés hec avec appui de mylène romano une spécialiste de immobilier la jeune pousse attèle à consolider le dossier de location de candidats au travers une garantie locative permettant de protéger le bailleur contre le risques impayés la société se rémunère en prélevant une commission de 3 5 sur le prix du loyer pour se porter caution auprès de propriétaires garantme appuie sur de assureurs partenaires à image de mma galian et seyna ce jour la start up indique avoir permis à plus de 15 000 candidats locataires accéder à la location ce qui représente plus de 150 million euro de loyers annuels garantme répond à un besoin de liquidité de actifs immobiliers dans un contexte où la demande déménage de plus en plus fréquemment ce qui nécessite plus de flexibilité dans le résidentiel comme dans le tertiaire estime mathias flattin directeur associé chez axeleo capital toutefois garantme entend pa se limiter aux particuliers en mar dernier la société en effet élargi son offre aux entreprises avec le lancement de garantme pro sa caution qui adresse aux tpe et pme en recherche de nouveaux locaux un besoin amplifié par la crise du coronavirus qui fait fondre la trésorerie de entreprises avec ce service la start up prévoit de garantir plus de 500 entreprises en 2020 puis 3 000 en 2021 avant atteindre la barre de 10 000 sociétés cautionnées à horizon 2022 après avoir réalisé un chiffre affaire de 2 2 million euro en 2019 garantme vise le 20 million euro de revenus ici 2022 pour atteindre cet objectif la société va quadrupler s effectifs pour passer de 20 à 80 collaborateurs cette montée en puissance doit permettre accompagner 40 000 client particuliers et professionnels et de nouer un réseau de 3 000 partenaires agences immobilières et résidences étudiantes à qui entreprise propose s outils de dépôt et analyse de dossier locatifs via de api de quoi permettre à garantme de gagner du terrain sur un marché occupé notamment par la start up unkle signez avec yousign fondateurs emile karam et thomas reynaud création 2017 siège social paris secteur proptech activité garantie de loyers financement 4 million euro en septembre 2020 lira aussi proptech comment immobilier se réinvente pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
12society
[ 13, 1, 8 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/start-up-cette-association-qui-aide-les-scientifiques-a-monter-leur-business_432747
Financing
Challenges. Hello Tomorrow organise ces 13 et 14 octobre un sommet international à Paris. Avec quel objectif ? Xavier Duportet. Le but est d’identifier, d’aider et de donner de la visibilité aux jeunes entrepreneurs scientifiques. Plus de 2.000 innovateurs originaires de 105 pays seront présents aux côtés de 150 investisseurs nationaux et directeurs exécutifs de grands groupes. Sur scène se succéderont des entrepreneurs chevronnés, comme Michael Bloomberg ou Dan Goldin, ex-directeur de la Nasa et fondateur de KnuEdge, qui développe des processeurs neuronaux. Vous organisez une compétition, Hello Tomorrow Challenge. Quels projets ont une chance de gagner ? Il y a des start-up dans tous les secteurs, de la santé aux transports en passant par l’intelligence artificielle, qui concourent pour remporter le prix de 100.000 euros. L’une d’elles produit des plaquettes sanguines de façon très rapide à partir de cellules souches. Une autre développe un ordinateur à partir de neurones humains. >> Retrouvez l'interview complète en vidéo: Quel est le plus grand défi à relever pour une entreprise scientifique ? C’est la mise sur le marché du produit, qui a lieu bien plus tard que pour une start-up du digital. Les barrières à l’entrée sont plus lourdes en termes de moyens financiers ou d’infrastructures. Il faut penser à la mise sur le marché dès le début, mais se préparer à pivoter, car la technologie change entre-temps. Vous avez monté Eligo Bioscience, le « sniper des antibiotiques ». En quoi cela consiste-t-il ? Nous développons des antibiotiques intelligents. Le nom vient d’« eligo », qui veut dire choisir en latin. Les antibiotiques classiques tuent les bonnes et les mauvaises bactéries présentes dans notre corps ; les nôtres ne sélectionnent que les mauvaises. Nous développons des sortes de petits ciseaux à injecter dans nos bactéries, qui scannent les génomes, ciblent et découpent celles qui sont porteuses de gênes résistants. Est-ce facile de mobiliser des fonds ? Nous avons réalisé une première levée de fonds de 2,4 millions d’euros en 2015, mais ce n’est pas suffisant. Pour mettre un médicament sur le marché, il faut de 300 millions à 2 milliards. Nous nous apprêtons à en faire une autre début 2017, mais il faut trouver des investisseurs qui n’ont pas peur. Ce sont des capitaux-risqueurs d’abord, français, chinois ou américains, les laboratoires prendront ensuite le relais. Avez-vous des concurrents ? Il n’y en avait pas quand nous avons débuté, des projets apparaissent. Dans les biotechs, de nombreux brevets protègent les technologies. Si nous construisons une stratégie sur la propriété intellectuelle, nous pouvons l’emporter à la fin. Quels sont vos critères de réussite ? Pour Eligo Bioscience, nous aurons réussi quand nous aurons un médicament sur le marché qui aura sauvé la vie d’au moins une personne. Hel-lo Tomorrow s’en sort déjà bien en créant des vocations, mais nous aurons réussi notre pari quand les pays en développement auront développé leurs propres technologies de rupture pour répondre aux problèmes locaux. \n\n \n \n Start-up\n Sciences\n \n
10science
[ 13, 5, 8, 3 ]
https://www.strategie.gouv.fr/publications/zero-artificialisation-nette-leviers-proteger-sols
Market Impact
L’étalement urbain et le grignotage progressif des sols par des constructions, des infrastructures routières ou des parkings est en effet à l’origine de la destruction d’habitats naturels et de continuités écologiques permettant à la faune sauvage de circuler. C’est pourquoi le plan biodiversité présenté par le gouvernement le 4 juillet 2018 prévoit d’atteindre à terme l’objectif de « zéro artificialisation nette » (ZAN). C’est dans ce contexte que le ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire, la ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales et le ministre chargé de la Ville et du Logement ont demandé à France Stratégie d’éclairer cet enjeu. Comment définir l’artificialisation des sols ? Quelles sont les principales causes de ce phénomène ? Peut-on réduire la consommation des espaces non artificialisés jusqu’à atteindre le ZAN et, si oui, à quelle échéance ? Pour répondre à ces questions, il est d’abord essentiel de cerner précisément la notion d’artificialisation. Sur la base d’une analyse de la littérature existante, nous en proposons une définition et en analysons l’évolution en France métropolitaine. La caractérisation des déterminants de l’artificialisation des sols nous permet d’identifier les leviers permettant d’influer sur le phénomène. Nous avons en outre recensé les techniques permettant de renaturer les sols artificialisés, c’est-à-dire de favoriser le retour des sols transformés par l’homme à un état proche de leur état initial. Cette renaturation permet d’entrevoir les moyens de « réparer » l’artificialisation. L’atteinte du ZAN nécessite ainsi de combiner réduction de l’artificialisation et renaturation des terres artificialisées. L’utilisation d’un modèle économétrique développé par le Commissariat général au développement durable permet d’esquisser plusieurs trajectoires d’évolution des stocks de terres artificialisées cadastrées en fonction de la densification des logements existants et de l’importance de la rénovation urbaine. Cet exercice de modélisation permet d’évaluer le rythme de réduction souhaitable du flux de terres artificialisées pour tendre vers le ZAN, l’intensité des efforts à fournir pour atteindre cet objectif en considérant la possibilité de renaturer le reliquat de terres artificialisées. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
[ 0, 1, 7 ]
https://www.strategie.gouv.fr/publications/politique-europeenne-transports-enjeux-nouvelle-mandature
Market Impact
La mobilité des passagers et des marchandises est un pilier historique de la construction européenne. En 2011, un livre blanc de la Commission européenne prévoyait des trafics fortement en hausse à l’horizon 2050, jusqu’à 50 % pour les voyageurs et 80 % pour le fret. Si les données récentes indiquent un fléchissement du secteur, dû pour l’essentiel à la crise économique, il n’en demeure pas moins que la qualité des infrastructures de transports est un atout compétitif capital pour l’Europe, qui doit être préservé dans toutes ses dimensions - technologiques, sociales, environnementales, énergétiques, sécuritaires, etc. Dès lors, quatre enjeux pourraient guider l’action de la nouvelle mandature de la Commission européenne sur la période 2014-2019. Sommaire de la Note d'analyse - La politique européenne des transports : quels enjeux pour la nouvelle mandature ?   cgsp-poleuroptransports.png, par "France Stratégie, SpinTank"     France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
9resource
[ 10, 0, 1, 11 ]
https://www.frenchweb.fr/pourquoi-1password-boucle-une-premiere-levee-de-200-millions-de-dollars-apres-14-ans-dexistence/383761
Financing
le gestionnaire canadien de mot de passe 1password développé par agilebits avait jusqu ici jamais levé de fonds préférant la méthode presque vieille école du bootstrapping mais 14 an après son lancement par dave teare et roustem karimov entreprise bouclé son premier financement et pa de moindres une série de 200 million de dollar menée par accel il agit ni plus ni moins du plus grand investissement unique du fonds qui également soutenu facebook slack dropbox crowdstrike flipkart qualtrics atlassian ou spotify le slack fund wndrco le fondateurs atlassian scott farquhar et mike cannon brooke ex chief information security officer de gerhard eschelbeck ainsi que autres business angel ont également participé au tour de table fondé à toronto en 2005 1password qui affirme avoir toujours été rentable d abord développé une solution de création et de gestion de mot de passe haute sécurité à destination de particuliers nous essayions de trouver une solution à un problème basique nous développions de nombreux site et nous perdions du temp à remplir de formulaires pour le tester nous nous somme lancés dans un projet un mois dans le but de faire notre travail plus rapidement expliqué dave teare au sujet de débuts de 1password nous nous somme dit que autres aimeraient peut être en profiter en 2012 dave teare et roustem karimov recrutent jeff shiner et son bagage btob entreprise développe alors une offre à destination de entreprises offre qui serum lancée en 2016 et fera grimper sa base utilisateurs à 1 million de personnes dont 50 000 utilisent offre btob en 2019 offre professionnelle qui compte parmi s client ibm slack pagerduty dropbox ou encore gitlab progressé de 300 en trois an elle comprend aussi de service de coffre fort numériques qui permettent de stocker et échanger de document et données sensibles ainsi que de outils de reporting et de management le gestionnaire fonctionne avec toutes le plateformes professionnelles et personnelles le partner accel arun mathew qui rejoint le board de 1password à occasion de la levée comparé dans un communiqué entreprise à atlassian et qualtrics deux investissements accel axés sur la rentabilité nous ne tombons pa sur de entreprises comme 1password très souvent surtout dans une ère de croissance à tout prix souligné arun mathew stimulé par un nombre croissant attaques informatiques visant notamment le entreprises le marché de la cybersécurité pourrait connaître une croissance annuelle de près de 15 ici 2024 selon mordor intelligence le marché global de la gestion de mot de passe poussé aussi par un nombre croissant de smartphones dans le monde devrait lui connaître une croissance de 19 sur la même période après research and market après 14 an de croissance organique 1password prévoit utiliser cette levée pour croître de manière agressive via la mise sur le marché de nouveaux produits et service pour faire grandir sa base utilisateurs ainsi que de nouveaux recrutements entreprise forte aujourd hui de 174 employés le double de effectifs il a 18 mois ambitionne aussi de développer son outil de gestion de performance de entreprises point crucial de sa stratégie de développement dans le années à venir fondateurs dave teare et roustem karimov création 2005 siège social toronto secteur cybersécurité marché plateforme de gestion de mot de passe financement 200 million de dollar en novembre 2019 auprès accel slack fund wndrco le fondateurs atlassian scott farquhar et mike cannon brooke ex chief information security officer de gerhard eschelbeck ainsi que autres business angel pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
[ 13, 12 ]
https://www.influencia.net/enchanter-e-commerce-clients/
Storytelling
le live commerce consiste à réaliser de retransmissions ou de vidéos en direct afin de promouvoir de produits ou une marque ce phénomène est popularisé en chine lors de la crise sanitaire il en existe plus de 200 application en chine en france aliexpress officiellement lancé la tendance du live streaming en mai 2020 et depuis diffusé plus de 3 000 life et travaillé avec plus de 100 livestreamers locaux pour appuyer cette stratégie sur le plan local le site de vente en ligne recrute en france de vendeurs de boutique physique pour le former à devenir de live seller à échelle mondiale depuis juillet 2019 date à laquelle la filiale alibaba lancé la nouvelle version de sa fonction live streaming sur application le life élèvent à plus de 44 000 diffusion dans treize langues différentes attirant un public de près de 92 million de personnes du monde entier avec plus de 84 million interaction commentaires et autres 524 million de chinois bénéficieront cette année une expérience de live stream shoppable et plus de 100 000 marque ont utilisé en chine dont ralph lauren clinique tommy hilfiger lancôme levi louis vuitton oréal burberry et bien autres contrairement aux s et à europe où le streaming est utilisé principalement pour le jeux et le loisirs en chine le live streaming est la solution privilégiée par le consommateurs chinois quand il veulent découvrir de nouveaux produits et le acheter immédiatement une étude forrester révèle intérêt croissant de consommateurs européens pour cette nouvelle tendance le marchands français sont de plus en plus nombreux à intéresser au live shopping selon une étude altavia shoppermind opinionway près une personne sur quatre en entendu parler et ce télé achat un nouveau genre semble séduire le jeunes générations puisque plus une jeune femme de moins de 25 an sur deux se déclare intéressée le live stream shopping se présente comme une alternative efficace à absence de visite en magasin ce format vidéo et interactif permet de rendre le client plus fidèles et en faire de ambassadeurs de la marque il agit un vrai canal achats mesurable et qui dans le réalisations le plus abouties peut être une source de revenus supplémentaires aux créateurs en ligne et aux vendeurs magasin qui jusqu à présent exerçaient leurs talent qu entre quatre murs un vrai dialogue le personnes qui regardent peuvent interagir via une chat room et lorsque la marque le permet parler avec animateur un sen de la communauté de personnes qui ne se connaissent pa peuvent échanger donner leurs avis et se conseiller mutuellement un achat instantané côté production avec la bonne plateforme un live stream se fait de partout très facilement gros consommateur de bande passante ce nouveau canal de vente digital devrait prendre son envol avec arrivée de la 5g en europe la 5g qui multiplie le débit actuel par cent va renforcer le usage liés au mobile et à tous le type appareils connectés en particulier le casque vr qui pourrait bien faire son retour autre tendance qui voit sa popularité grandir le commerce ou commerce immersif disponible sur tout type de support pc ou mobile ce modèle offre un contenu multimédia en 3d ou photo 360 accessible à tous plébiscité par le marque de luxe ou pour de usage b2b il est de plus en plus présent dans le boutique et le showroom virtuels à instar un site classique le client peut effectuer s achats mais il surtout la possibilité de contextualiser achat en particulier si le fonctions produit sont complex ou tout simplement interagir avec ce dernier la facilité à ajouter du contenu vidéo et photo dans un showroom 3d ou à inverse insérer du contenu 3d dans un showroom 360 permet augmenter encore expérience autre innovation la boutique technologique et immersive ou social store le concept consiste à retranscrire expérience un réseau social directement en magasin grâce à la technologie de tencent multinationale chinoise à origine de wechat le client peuvent débloquer du contenu exclusif et de expériences personnalisées à partager sur application dédiée avec son avatar et sa monnaie en ligne pour lira la tendance précédente réinventer le magasin physique cliquez ici et pour précommander le baromètre retail insight de s4m disponible à la rentrée cliquez ici sandrine préfautdirectrice générale de s4m
2design
[ 7, 1, 8, 12 ]
https://www.influencia.net/entreprises-ont-plus-plus-tete-dans-nuage/
Needs
beaucoup ont fait certaines hésitent encore et le plus petits ne savent pa trop comment y prendre la bascule vers le cloud est pa toujours une mince affaire pour le entreprises de nombreux dirigeants se demandent il doivent sauter le pa ou il est urgent attendre selon une étude de gartner le marché mondial de technology cloud atteint 214 3 milliard de dollar fin 2019 soit une hausse de 17 5 en un an et il devrait approcher le 331 2 milliard de dollar 54 5 ici la fin de année prochaine amazon web service aws la filiale amazon spécialisée dans le service de cloud à la demande affiché au troisième trimestre de revenus en hausse de 29 en un an à 11 6 milliard de dollar son grand rival microsoft azure fait encore mieux avec une progression de 48 de s revenus sur le premier trimestre de son exercice décalé 2020 2021 en france environ 60 de 1500 plus grandes sociétés ont déjà basculé leurs données sur le cloud et le groupes le plus importants ont souvent fait appel aux principaux prestataires de service américains souligne stephan durey associate partner chez magellan partner un cabinet de conseil en organisation et système information spécialisé dans le technology et la data il est en revanche beaucoup plus compliqué de connaître le nombre total de sociétés hexagonales qui sont passées sur le cloud un signe montre toutefois que ce marché prend de ampleur s acteurs se consolident année en année le vingt principaux prestataires en france ont ainsi vu leurs part de marché gagner plus de quatre point depuis 2015 pour atteindre 47 aujourd hui vouloir placer s données dans le nuage nécessite néanmoins une bonne dose de réflexion et une préparation certaine le modèle économique du cloud pour le toutes petite entreprises est plus difficile à trouver reconnaît stephan durey quelques ordinateurs et de disques dures annex pour éviter toutes pertes imprévues de données peuvent suffire au bonheur de indépendants et de tpe le plus grandes sociétés peuvent négocier agressivement avec de prestataires informatiques et dépenser moins argent dans la maintenance de leurs serveurs que dans le basculement vers le cloud le énormes multinationales et le compagnies qui sont trop grandes pour tout gérer seules mais trop modestes pour négocier de tarifs avantageux devraient elles penser à mettre leurs données dans le ciel virtuel de data une société qui ne travaille pa dans informatique à tout intérêt à transférer s données vers le cloud résume stephan durey pourquoi gérer un domaine que vous ne maîtrisez pa totalement le tarifs proposés par le spécialistes du nuage ne cessent de surcroît de baisser année en année quant aux question liées à la sécurisation de données associé de magellan partner qui compte plus de 1 200 consultant et réalisé en 2019 un chiffre affaire de 145 million euro le balaie un revers de la main de législations de plus en plus strictes encadrent ce secteur explique il vous pouvez également privilégier de prestataires basés dans de pay dans lesquels le lois sont plus restrictives savez vous par exemple qu il est interdit de mettre sur le cloud le données salariales de employés allemands si vous ne passez pa par un prestataire local et puis ce préoccupations liées à la sécurité doivent être mi dans leur contexte le entreprises utilisent depuis de années de opérateurs télécoms pour transférer leurs données sans se faire aucun souci pourquoi faire plus confiance à un fournisseur accès à internet qu à une entreprise spécialisée dans le cloud la question mérite être posée therin frédéric
8production
[ 13, 8, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/e-sport-zwift-leve-450-millions-de-dollars-pour-son-application-de-cyclisme-et-passe-au-rang-de-licorne/404809
Financing
zwift une plateforme e sport à destination de amateur de cyclisme et de course à pied lève 450 million de dollar en série à occasion un tour de table auprès de kkr avec la participation de permira de enseigne specialized bicycle et de zone 5 ainsi que de investisseurs historique true highland europe novator et causeway medium le fonds américain kkr obtient une participation minoritaire dans la startup ce tour de table porte le montant total de entreprise à 620 million de dollar zwift est désormais évalué à plus un milliard de dollar lancé en 2015 par eric min et jon mayfield zwift est une plateforme e sport principalement connue pour son application de simulation de course cycliste à mi chemin entre le jeu vidéo et le sport la licorne basée en californie revendique ouverture de plus de 2 5 million de comptes sur sa plateforme depuis sa création présent dans 190 pay zwift connu un développement notoire lors de la période de confinement liée à la crise sanitaire mondiale et entend bien poursuivre son expansion la startup également accueilli de évènements professionnels sur sa plateforme notamment avec la création un tour de france virtuel en juillet 2020 la course ouverte aux hommes et aux femmes compté 117 000 participant et est déroulée en six étapes sur une vingtaine de kilomètres dans un décor de jeu vidéo passant par nice le mont ventoux et le champ elysées en décembre zwift prévoit accueillir le premier championnats du monde uci de cyclisme virtuel nous compton concrétiser notre ambition de proposer du fitness par le biais de jeux grâce à de logiciels mais également du matériel adaptés à tous ceux qui veulent amuser en entraînant chez eux explique eric min nous allons accélérer notre investissement dans notre activité principale améliorer expérience globale du produit et proposer de nouvelles fonctionnalités plus de contenu et du matériel dont nous assurerons la conception la participation du magasin équipement pour cyclistes specialized à ce tour de table annonce le début un partenariat important pour la startup qui veut produire son propre matériel notre objectif est de faire avancer la planète en incitant davantage de cyclistes à rouler et nous somme plus qu enthousiastes à idée de nous associer à zwift pour faire tomber le barrières qui empêchent de rouler à intérieur commente chris yu directeur de produits et de innovation chez specialized si le contexte favorisé essor de la plateforme s concurrents en ont aussi bénéficié à instar de peloton la startup new yorkaise spécialisée dans le équipements sportifs intérieur connectés en effet vu son chiffre affaire presque triplé au deuxième trimestre signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature fondateurs eric min et jon mayfield création 2015 siège social californie activité plateforme e sport à destination de amateur de cyclisme et de course à pied financement 450 million de dollar en série à occasion un tour de table auprès de kkr avec la participation de permira de enseigne specialized bicycle et de zone 5 ainsi que de investisseurs historique true highland europe novator et causeway medium pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
12society
[ 13, 1, 8, 12 ]
https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/les-8-francaises-de-moins-de-30-ans-a-suivre-dans-la-tech-en-2020-1174664
Magic Team
Ce sont les benjamines de notre sélection. Amies et associées, Madeleine Morley, 26 ans et Paola Teulières, 25 ans se sont rencontrées à l’âge de 9 ans. Le bac en poche, chacune trace sa route : la première intègre un bachelor d’économie à Londres, quand la seconde opte pour un bachelor en sciences politiques et économiques, au Canada, en 2012. Après ce premier cycle, les deux amies se retrouvent toutes les deux à l’Imperial College Business school de Londres, en 2015.  Après ses études, Paola Teulières devient consultante chez KLB group, un cabinet de conseil français et Madeleine rejoint un cabinet d’investissement engagé en faveur de l’environnement, en 2017.  Un an plus tard, les deux amies se retrouvent à nouveau et se lancent dans l’entrepreneuriat, en participant à Ticket For Change, une école pour les acteurs du changement. Très vite, naît l’idée de Tomojo, une startup qui propose des croquettes écologiques et responsables, fabriquées à partir de poudre d’insectes. Accueillies chez Willa, un incubateur qui encourage la mixité dans la tech, elles commercialisent des gammes pour les chiens et chats. En 2018, les deux amies ont vendu 3 tonnes de croquettes, puis 11 tonnes en 2019. Cette année, elles prévoient de quintupler ce résultat, notamment en distribuant directement aux vétérinaires.  Elle, c’est Lucie Basch, la cofondatrice de Too Good To Go, une startup lancée, en 2015 au Danemark. Le concept de cette jeune pousse qui lutte contre le gaspillage : permettre à des particuliers d'acheter à petit prix des paniers surprises de produits invendus. En près de trois ans d'existence, sa startup a sauvé 23 millions de repas. Aujourd’hui, la To Good To Go est implantée dans 14 pays et grandit très vite avec 50 salariés en France et 270 à l’international. Près de 9 millions d’utilisateurs ont téléchargé son application mobile et 18.000 commerçants sont devenus partenaires.  Passée par l’école Centrale en 2014, Lucie Basch est une touche-à-tout. En 2019, elle publie son premier livre, Anti-gaspi, pour aider les consommateurs à moins gaspiller au quotidien. Un projet réalisé avec Rose Boursier-Wyler, responsable des affaires publiques chez Too Good To Go, et préfacé par le chef Thierry Marx. Elles entendent faciliter le quotidien de beaucoup de familles. Clémence Coursimault et Clémentine Guyon ont lancé l’année dernière Karmel, une application qui met en relation des parents avec des professionnels des activités pour enfants. Encore en phase de test, les entrepreneure travaillent actuellement avec une centaine de parents et proposent un millier d’activités. Présente seulement en région parisienne, Karamel devrait s’étendre aussi à Bordeaux, Montpellier, Marseille et Lyon. Après une levée de fonds de 400.000 euros l’année dernière, la jeune pousse revendique 300 professionnels inscrits sur sa plateforme et ambitionne de franchir la barre des 10.000 cette année.  Les deux cofondatrices connaissent bien le le secteur des applications. Après un master en administration publique à Sciences Po en 2014, Clémence débute sa carrière chez Ohbibi, un éditeur de jeux mobiles. Diplômée d’un master en comptabilité à la Sorbonne, Clémentine fait ses premiers pas dans l’audit, en 2014. Deux ans plus tard, elle enchaîne avec une formation de développeur au Wagon et développe deux applications dans le tourisme et la culture.  Tétraplégique de naissance, Charlotte de Vilmorin, peine à se déplacer en fauteuil roulant. Après des études au Celsa, une école de communication, elle débute sa carrière à Ogilvy Paris, une agence de publicité. En parallèle, elle lance un blog humoristique, Wheelcome, pour raconter ses galères quotidiennes.  Un an plus tard, la jeune femme publie “Ne dites pas à ma mère que je suis handicapée, elle me croit trapéziste dans un cirque”, aux éditions Grasset. Entrepreneure le jour, autrice la nuit, la même année, elle crée Wheeliz, une plateforme de location de véhicules aménagés entre particuliers. Cinq ans plus tard, sa startup a levé 1,7 million d'euros au total, fait travailler 6 personnes, et reçoit 7.000 demandes par mois, pour un parc de 1.500 véhicules. "Il y a un vrai sentiment d’entraide et de solidarité entre nos utilisateurs”, nous avait indiqué Charlotte de Vilmorin dans notre sélection des 6 startups qui révolutionnent le quotidien des personnes avec un handicap, fin 2018.  Originaire du Liban, Joanne Kanaan, 28 ans est docteure en biochimie. Après un doctorat à l’école Normale supérieure, elle bifurque vers l’entrepreneuriat. Seul bémol : elle n’a pas d’idées. Et alors ? Grâce à Entrepreneur First, un programme qui met en relation les jeunes talents, elle rencontre Anna Shirinskaya, 32 ans, polytechnicienne. Toutes deux issues de la recherche, elles décident de s’associer et lancent Omini Labs en 2019. Leur technologie ? Mettre à disposition des professionnels un dispositif capable de fournir des analyses de sang immédiates.  Diplômée d’IMT Atlantique en 2013, une école d’ingénieurs, la jeune femme débute sa carrière chez BNP Paribas et au fil des années, devient data scientist dans l’entreprise. En 2017, elle rejoint Inventiv-it,une entreprise spécialisée dans les données. Deux ans plus tard, elle prend un tournant entrepreneurial et lance CodistAI, une jeune pousse pour faciliter la vie des développeurs en les aidant à explorer et à naviguer au sein de leur code source.
6medical
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/pourquoi-la-foodtech-la-belle-vie-signe-un-partenariat-avec-systeme-u_716337
Storytelling
Challenges - Quel est votre parcours? \n\nPaul Lê - J’ai grandi dans une cité, à Evry, en Essonne. Mon père a fui la guerre du Vietnam. Internet me passionnait. J’ai intégré la licence marketing e-commerce de la fac d’Evry, puis le master marketing Internet d’UCLA, aux Etats-Unis. J’ai travaillé en start-up avant de lancer des applis drive-to-store. Et puis Alban Wienkoop m’a suggéré une idée...\n\nLaquelle? Remettre les gens en cuisine. En 2015, les sites de recettes comme Marmiton ou 750g explosaient. Mais c’était impossible de se faire livrer les ingrédients. L’e-commerce alimentaire était décevant, avec peu de produits frais, artisanaux. Avec Alban Wienkoop, nous avons voulu créer le trait d’union entre la recette et l’assiette en livrant les ingrédients dans l’heure.     Où en êtes-vous aujourd’hui ? La Belle Vie est sans doute leader de cette génération de foodtechs nées en 2015, comme Frichti ou Popchef, avec un chiffre d’affaires de 4 millions par mois depuis le confinement. Nous ne faisons aucun marketing. Nous sommes des besogneux, focalisés sur le service client. Grâce au bouche-à-oreille, nous sommes notés 4,9/5 avec 3.000 avis sur l’Appstore. Sur nos 40.000 clients, 8.000 ont acheté au moins trois fois ces trois derniers mois.\n\nVos avantages comparatifs? Nous livrons en moins d’une heure à Paris, en 1 heure 30 dans la petite couronne et 3 heures dans la grande couronne. La livraison rapide Prime Now d’Amazon nous ressemble, mais ils n’ont pas notre sensibilité au produit. Nous travaillons avec les meilleurs primeurs de Rungis, des fromagers, bouchers... Environ 30% de nos achats sont au rayon primeur, dont la moitié en bio. Notre catalogue affiche plus de 6.500 produits, alors que les partenariats entre Carrefour et Uber Eats, ou Franprix et Monoprix et Deliveroo n’en comportent qu’une centaine. Quel est votre modèle? C’est du dark grocery. Nous rapprochons les petits entrepôts des clients et optimisons la rentabilité au mètre carré. Les étagères montent haut, les produits sont serrés. Notre logiciel commande en temps réel aux fournisseurs et gère l’emploi du temps des 100 pickers. Une commande de 26 articles est préparée en quatre minutes. Après l’entrepôt d’Ivry, et celui ouvert en juin à Clichy, deux suivront à Boulogne, et Lille ou Lyon d’ici à janvier 2021. Pourquoi lever des fonds? Nous avons levé fin décembre 11,6 millions auprès de Capagro, FJ Labs, A Plus Finance et Celeste Management, pour accélérer l’intelligence de notre logiciel, embaucher, ouvrir des villes tests et lancer le marketing. Alban Wienkoop et moi conservons la moitié du capital. L’entreprise n’est pas rentable, nous investissons beaucoup. Et pourquoi signer avec Système U? Nos clients voulaient aussi des produits du quotidien. Nous avons d’abord rejoint la centrale d’achats Segurel (Cocci Market, G20), qui coûte cher. Nous venons de rejoindre celle de U pour les marques nationales, avant, peut-être de vendre aussi des produits U. Votre rêve de croissance? Devenir l’Amazon européen! \n\n \n \n Start-up\n \n
0agronomy
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https://www.lavoix.eu/fr/news/324/Statistiques-de-l-OEB-et-de-l-Office-allemand-des-brevets-et-des-marques
Securing
Office européen des brevets   Procédures devant l'OEB (procédures de première instance) Le nombre de dépôts de brevets auprès de l'OEB a augmenté de 4,4 % au cours de l'année dernière, pour atteindre un total de 310 784. 78% de ces dépôts étaient des demandes PCT. Les autres dépôts étaient des demandes PE. Le nombre de demandes EP a augmenté de 3,9% pour atteindre un nombre total de 165 590. Le nombre de brevets délivrés a augmenté de 10,1% pour atteindre un nombre total de 105 635 brevets. Le nombre d'examens européens effectués a été de 153 858. Le nombre de recherches effectuées a été de 247 503.   Le nombre d'oppositions a légèrement diminué pour atteindre 4072. Ainsi, 3,7 % des brevets ont fait l'objet d'une opposition. Dans les procédures d'opposition, dans 27% des cas, le brevet a été révoqué, 42% ont été maintenus sous forme modifiée et dans 31% des cas, les oppositions ont été rejetées.   Procédures devant les chambres de recours En 2017, 2798 recours techniques ont été introduits. 2284 des affaires techniques ont été réglées. Fin 2017, 8896 recours techniques étaient en instance, soit 515 cas de plus que l'année précédente. 61,4 % des nouveaux cas étaient des cas inter partes (procédures d'opposition) et 38,6 % des cas ex parte.   Dans 59,9 % des cas ex parte, l'appel a été rejeté et dans 20,5 % des cas, un brevet a été délivré. Dans les 19,6 % de cas ex parte restants, la procédure d'examen a été reprise. Les procédures ex parte ont une durée moyenne d'environ 42 mois. En 2016, cette valeur était de 40 mois.   Dans 41,8 % des cas d'opposition, le recours a été rejeté, dans 2,8 % des cas, le brevet tel que délivré a été maintenu, dans 21,8 % des cas, le brevet a été maintenu sous une forme modifiée et dans 22,1 % des cas, le brevet a été révoqué. Les 11,4 % restants des cas d'opposition ont été renvoyés à la division d'opposition pour une reprise de la procédure d'opposition en première instance. Les affaires d'opposition ont pris en 2017 en moyenne 35 mois devant les chambres de recours.   Procédures devant l'Office allemand des brevets et des marques Procédures d'examen Le nombre de demandes de brevet en Allemagne a été de 67 707 (67 907 en 2016), y compris l'entrée en phase nationale PCT. 36 768 examens ont été achevés, tandis que 15 689 brevets ont été délivrés, ce qui représente un taux de délivrance d'environ 43 % des demandes de brevet examinées. En outre, 13 299 demandes de modèles d'utilité ont été déposées, ce qui représente une diminution de 5,2 % par rapport à 2015.   Procédures d'opposition En 2017, 375 oppositions ont été déposées contre 416 en 2015. Sur 430 cas finalisés, 140 (33%) brevets ont été révoqués et dans 229 (53%) cas, l'opposition a été rejetée ou le brevet a été maintenu sous une forme modifiée. Les brevets restants ont été abandonnés ou réputés abandonnés en raison du non-paiement de la taxe annuelle.   Procédure de radiation (modèle d'utilité) La procédure de radiation est une procédure visant à déclarer la nullité d'un modèle d'utilité. En 2017, 104 demandes de radiation d'un modèle d'utilité ont été déposées.  
10science
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https://www.frenchweb.fr/supply-chain-shippeo-leve-32-millions-de-dollars-aupres-de-battery-ventures/412773
Financing
le opérations s’enchaînent en ce début d’année dans le secteur de la digitalisation du fret routier. alors que le groupe allemand sennder vient de lever million de dollar après s’être emparé de la start-up française everoad et de activités européennes d’uber freight, la société shippeo, qui développe une plateforme de suivi en temp réel du transport routier de marchandises, annonce un tour de table de million de dollar co-dirigé par battery venture (n , coinbase, groupon, dataiku…). le investisseurs historiques, partech, ngp capital, etf partner et bpifrance digital venture, ont également remis au pot à l’occasion de cette opération. ce financement vient s’ajouter aux million de dollar levés par la société depuis sa création en . fondée par lucien besse, brice hua, jean-bastien dussart, david barré, thibaut morlot et pierre khoury, la start-up, française mi sur orbite un service de gestion de envois. la solution de la start-up permet aux chargeurs, transporteurs et chauffeur d’échanger en temp réel de information sur le suivi de livraisons de marchandises. pour rendre la chaîne logistique plus fluide, la plateforme est connectée à plus de source de données (tms, erp, informatiques embarquées, systèmes électroniques…) via une api qui permet ainsi d’avoir une vue d’ensemble sur l’ensemble de la supply chain. de cette manière, le entreprises expéditrices de marchandises ont une visibilité instantanée sur chaque livraison afin de communiquer de manière proactive avec le destinataires pour anticiper tout retard ou problème de livraison. «grâce à shippeo, le entreprises peuvent identifier et éliminer le point sensibles et le inefficacités sur l’ensemble de la chaîne logistique et agir pour optimiser leurs processus. ceci se traduit par de réductions de coûts de transport, une augmentation de la satisfaction client et de opérations plus efficaces», indique la société. aujourd’hui, shippeo assure le suivi de plus de million de flux de marchandises par an dans pays. pour se renforcer, l’entreprise, qui connecte plus de transporteurs via sa plateforme, mi la main l’an passé sur son concurrent français ophone, ce qui lui permis d’élargir son champ d’action dans le secteurs de la distribution et de l’industrie en récupérant de client comme casino, monoprix, système , e.leclerc ou encore panzani. shippeo compte aujourd’hui employés, dont % travaillent dans la r&d, et entend s’appuyer sur cette nouvelle levée de fonds pour tisser davantage sa toile logistique en europe, à l’heure où la crise du coronavirus n’a fait que renforcer la nécessité d’une supply chain parfaitement maîtrisée pour répondre aux besoins de consommateurs. «la crise de la covid- mi en lumière la question de la visibilité supply chain, le entreprises de tous le secteurs ayant plus que jamais besoin d’une plus grande transparence dans le suivi de flux. le pay confinés et le frontières fermées, ce sont le entreprises disposant de solution de visibilité avancées qui ont réussi à atténuer le inefficacités opérationnelles liées aux retard de transport», explique l’entreprise. la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateurs : lucien besse, brice hua, jean-bastien dussart, david barré, thibaut morlot et pierre khoury création : siège social : paris secteur : transport activité : plateforme de suivi en temp réel du transport routier de marchandises financement : million de dollar en janvier … pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux (richard@decode.media)nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris
13transport
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https://www.influencia.net/wojo-inspire-codes-hospitalite-hoteliere-pour-faire-revenir-salaries-bureau/
Storytelling
cliquer sur play pour ecouter la version audio wojo un de leader du coworking en france déploie avec the good company une campagne de communication digitale pour secouer immobilier entreprise et faire bouger le ligne occasion de revenir sur un sondage mené par opinionway pour la firme immobilière qui traitait de attentes de travailleurs quant au futur de leur lieu de travail le confinement et par extension la covid 19 ont pulvérisé la plupart de no représentations quant au rapport que nous entretenons avec le travail notamment apparente évidence qu une activité professionnelle nécessite un lieu exercice unique cette vision un brin réductrice héritée un temp ou le bureau appelaient atelier ou usine survécu à la tertiarisation de économie sans que on se demande véritablement si le lien consubstantiel entre travail et lieu de travail avait encore un sen une remise en question nécessaire mais trop longtemps laissée de côté force de habitude obligent qui est ensuite imposé à nous une fois assignation à demeure généralisée conséquence du home office imposé à marche forcée mais aussi de la difficulté à prévoir avenir utilité du bureau fait objet un questionnement inédit qui englobe de enjeux économiques de qualité de vie et de développement durable rassurer pour mieux revenir dans une campagne digitale conçue par the good company wojo se met à la disposition de entreprises qui souhaitent construire une organisation de travail dans laquelle le bureau adapte à leurs besoins et non inverse chaque visuel illustre une réflexion clef de entreprises telles que leur crainte un coût immobilier trop grand leur volonté de construire de lieux de travail adaptables à leurs besoins en temp réel ou encore le attentes de leurs collaborateurs qui ne cherchent plus seulement un espace pour travailler mais de lieux hybrides qui contribuent à leur épanouissement une vidéo est également diffusée sur le réseaux sociaux et un affichage été déployé au 27 rue de tolbiac à paris devant le futur nouvel espace de coworking de paris 13 qui ouvrira s porte en février 2021 sondage ou mode emploi après une étude opinionway pour wojo menée en octobre 2020 auprès de 1 210 personnes représentatives de la population active française âgée de 18 an et plus le lieux de travail doivent profondément changer et proposer de nouveaux espaces plus attrayants plus diversifiés mixant postes de travail individuels open space lieux où isoler pour se concentrer et autres plus conviviaux pour échanger se détendre bar restauration jardins terrasses salon salle de sieste salle de sport etc pour 26 de salariés de moins de 35 an le bureau devraient aussi être pourvus espaces propices aux échanges afin de recréer du lien social et compenser la solitude causée par le télétravail pour 19 de salariés il devra avoir plus de service dédiés au bien être et à la convivialité sur leur lieu de travail ce dernier évoluant vers un service de conciergerie à instar de ce qui se passe dans hôtellerie on considère un peu le salariés comme de sujets post traumatiques si bien qu aujourd hui le faire revenir au bureau dans un contexte sanitaire incertain oblige à repenser radicalement le lieu de travail on peut presque parler de cocooning du salarié tant idée est aujourd hui de le choyer de déployer de manière inédite de petite attention une profusion de service qui inspirent de code de hospitalité dans hôtellerie explique ronan chastellier sociologue 56 de salariés interrogés pensent que dans un futur proche il pourront choisir le lieu et le type espace bureau privatif open space salle de réunion où travailler ainsi le entreprises sont aujourd hui obligées de repenser leur modèle de travail et notamment le lieu physique de entreprise qu est le bureau du côté de entreprises wojo se met à la disposition de dirigeants qui souhaitent construire une organisation de travail dans laquelle le bureau adapte à leurs besoins et non inverse dans une logique de bureau a service face à la volatilité et à incertitude financière le entreprises souhaitent désormais se renouveler et réduire leurs coûts car elles ont moins de visibilité financière et ne souhaitent plus engager sur de baux de 3 6 9 an qui ne sont plus du tout adaptés à leurs besoins immobilier de bureau est en train de quitter ère du prêt à porter pour entrer dans celle du sur mesure afin de répondre aux attentes et nouveaux usage de s utilisateurs ce derniers explorent le champ de possible élargi grâce aux lieux de travail à la carte économies flexibilité productivité commente stéphane bensimon ceo chez wojo composé de bureau privatifs de coworkings et de salles de réunion wojo avec s 300 espaces partout en france opère le plus grand réseau de hexagone afin de faciliter la mise en place de ce nouvelles organisation de travail montagut sacha
12society
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/intensifier-reorienter-transferts-de-technologies-bas-carbone
Market Impact
Les transferts de technologies “bas carbone” sont cruciaux pour parvenir à modérer les émissions de gaz à effet de serre (GES), appelées à croître fortement, des pays en développement. Leur mise en œuvre conditionne la réussite d’un accord mondial sur le changement climatique en 2015 : c’est la mission du Mécanisme technologique, créé en 2010. La présente note expose les principaux résultats d’une étude commandée au Centre d'économie industrielle de MINES ParisTech (CERNA). Cette étude montre que, contrairement à la Chine, au Mexique, à l’Afrique du Sud et, dans une moindre mesure, au Brésil , l'Inde est aujourd’hui à l’écart des flux internationaux de transferts de technologies bas carbone : c’est donc une destination prioritaire, au même titre que le reste de l’Asie en développement, l’Afrique et l’Europe de l’Est. Pour intensifier ces transferts, il est nécessaire que soient mises en œuvre des politiques ambitieuses de réduction des émissions de gaz à effet de serre et que soient constituées des capacités d’absorption dans les pays d’accueil des technologies. Dans les pays émergents, qui disposent d’une réelle capacité à innover et qui sont intégrés dans les échanges internationaux, le renforcement des droits de propriété intellectuelle et l’abaissement des barrières au commerce et à l’investissement sont à recommander. En revanche, dans les pays les moins avancés, l’accent doit porter sur la constitution de capacités d’absorption des technologieset en particulier sur le développement d’une main-d’œuvre qualifiée. Sommaire de la Note d’analyse 06 – Intensifier et réorienter les transferts de technologies bas carbone pour lutter contre le changement climatique France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
9resource
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https://www.makery.info/2015/06/29/aernoudt-jacobs-fait-chanter-les-boites-en-fer-blanc/
Legitimacy
(Caen, envoyé spécial) A première vue déjà, l’œuvre est saisissante. Présentée dans l’arrière-salle du lieu alternatif La Fermeture Eclair, dans le cadre du festival d’art sonore Interstice à Caen en mai dernier, Induction Serie #4.1 se présente sous forme de plusieurs dizaines de boîtes de fer blanc en suspension, reliées entre elles par un jeu de ficelles et d’aimants puissants, qui s’articulent et s’encastrent dans une curieuse architecture chaotique, livrant en son milieu un étroit espace d’écoute. « Induction Series #4 », Aernoudt Jacobs, 2014 : Espace d’écoute, car en dépit de ses formes intenses et biscornues, incitant d’abord à faire jouer ses rétines pour en admirer les reliefs chromés, Induction Serie #4.1 s’écoute (l’installation est différente de celle montrée ci-dessus). Délicatement même, étant donné la fragilité de son dispositif auditif, procédant directement de la structure métallique par induction ou résonance magnétique. Grâce au contact d’une vingtaine de bobines électriques placées à proximité, les boîtes de fer entrent par instant en vibrations, créant ainsi les champs magnétiques qui, naturellement amplifiés, se traduisent par d’étranges mélopées ronflantes, qui grondent puis refluent, et intiment au spectateur de prêter attention. L’artiste sonore Aernoudt Jacobs, enseignant à l’Atelier Aaudio du RITS (département arts dramatiques et techniques audiovisuelles de l’Erasmushogeschool de Bruxelles), et membre fondateur du collectif Overtoon avec Christoph De Boeck, une plateforme d’aide à la production en art sonore basée elle aussi à Bruxelles, était parti pour « revisiter la technologie de l’enceinte ».  « Une enceinte traditionnelle se compose de trois éléments servant à amplifier les sons : un aimant, un électro-aimant et une membrane. Ces trois éléments mettent l’air en mouvement et produisent le son. D’une certaine manière, Induction Series reconfigure ce principe d’enceinte. En allant plus loin dans la déconstruction et l’analyse de ces composants et de ces principes, j’ai donc accumulé des matériaux, des idées, des formes et des objets qui produisent des sons. » Comme son nom l’indique, Induction Series présente plusieurs ready-made explorant ce thème de l’induction. « Chaque pièce de la série s’appuie sur le même principe de recherche et de matériaux basiques : électro-aimants, cuivre, bobines, aimants en néodymium, du son et des objets… », poursuit Aernoudt Jacobs. « Les autres objets utilisés sont de vieux instruments didactiques, des cordes, diverses cavités résonantes, des objets en verre, du carton ondulé. Une des prochaines pièces de la série fera directement référence à un travail emblématique de Marcel Duchamp. »  Pour Induction Series 4.x, le choix de configuration s’est donc porté sur un principe de boîtes en fer blanc empilées. « L’empilement est inspiré par des modèles de murs en briques. », dit Aernoudt Jacobs. « C’est une configuration flexible qui peut prendre différentes formes. Je la conçois différemment pour chaque travail in situ. L’espace de présentation est l’élément déclencheur de la forme choisie et chaque itération entend converser seulement avec l’espace qui lui est dédié. » Cette idée de conversation se prolonge évidemment dans sa dimension sonore. « C’est un travail en son multicanal », continue Aernoudt Jacobs. « Chaque bobine produit un son préenregistré que l’architecture des boîtes creuses amplifie et mixe naturellement. Cette amplification naturelle se produit car les boîtes fonctionnent comme un résonateur. Le grain du son est par ailleurs défini par les caractéristiques propres à chaque boîte. » Les intonations sonores les plus curieuses, comme ces pépiements que l’on jurerait provenants d’un oiseau caché dans la ferraille, se produisent donc sans aucun effet additionnel, en alternant étrangement montées sonores et silence. « J’essaie de trouver dans la pièce un juste équilibre entre l’immatériel et le matériel, entre le son et l’objet-sculpture », se justifie Aernoudt Jacobs. « Tout dépend de la façon dont je veux que l’installation se dévoile devant le public, de la dichotomie ou de la tension que je veux valoriser entre ce que vous entendez et ce que vous voyez. Dans notre société, la perception provient surtout de ce que l’on voit. »  Cette référence à la perception du public est essentielle. En dépit de sa pureté formelle, Induction Series 4.x ne peut se révéler que dans son expérience : une sorte de traduction de la complexité et de la stratification de  notre environnement immédiat qui peut être expérimentée simplement, par l’écoute. Faut-il alors voir dans cette architecture de fer blanc une réponse épurée à la frénésie de notre monde moderne ? « Toutes les interprétations sont plausibles », s’amuse Aernoudt Jacobs.  « Ma recherche se base sur l’expérimentation, le son, la science, la technologie, la connaissance, la perception, la phénoménologie. Et mes pièces entrent juste en résonance directe avec tout ça. » C’est en Norvège qu’on pourra suivre l’évolution d’Induction Series, programmé du 3 septembre au 25 octobre au Punktfestival. D’ici 2016, quatre des œuvres produites par le collectif Overtoon seront présentées au festival Maintenant au Bon Accueil à Rennes en octobre, et au festival Interstices à Caen. « Nous sommes très contents de ces partenariats à petite échelle », se réjouit l’artiste belge, comme pour mieux apprécier les courbes sonores discrètes mais prégnantes de ses curieux dispositifs.  Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
10science
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/une-politique-monetaire-service-de-linvestissement-europeen-climat-tribune
Financing
« Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve », écrivait le poète allemand Hölderlin dans son évocation célèbre de l’île grecque de « Patmos ». Un message porteur d’espoir pour l’Union européenne en 2015 ? Cette année s’annonce en effet périlleuse pour l’économie du continent mais aussi riche de nouvelles opportunités. Les dangers tout d’abord. La résurgence de la crise grecque dès le mois de janvier reflète une fois de plus les faiblesses de l’organisation institutionnelle de la zone euro. La stagnation prolongée (la zone euro n’a toujours pas retrouvé le niveau de PIB de 2007) et surtout la dépression catastrophique de la Grèce (une diminution d’un quart de son PIB depuis 2008) créent des situations sociales intolérables. L’espoir se trouve dans la capacité à reconnaître l’échec de la voie suivie depuis 2010 et de penser autrement. Penser autrement, c’est d’abord dénoncer le processus qui entretient le marasme en étouffant les projets d’avenir. L’investissement productif a baissé continuellement depuis 2007, particulièrement en Allemagne. C’est sur la question de la reprise soutenue de l’investissement que le débat s’est récemment réanimé. La préoccupation a gagné la Commission Européenne avec le plan Juncker. Plus récemment encore, l’annonce par la Banque centrale européenne de la mise en œuvre d’une politique d’accroissement de bilan destinée à racheter chaque mois pour 60 milliards d’euros de titres sur le marché secondaire, le fameux Quantitative Easing, tente de contrecarrer la tendance déflationniste engendrée par cette situation de faible demande intérieure. C’est bien sur le programme d’investissement qu’il faut que l’Europe renoue avec le plus haut niveau d’ambition.Le défi à relever est massif. Il doit répondre à un triple objectif. Choisir tout d’abord des secteurs dont les effets peuvent se faire sentir très rapidement sur la demande, tout en envoyant un signal aux agents économiques sur la qualité de la croissance à long terme. S’assurer ensuite que tous les pays membres en soient bénéficiaires. Inscrire enfin le programme dans une stratégie cohérente visant à améliorer la productivité, à nourrir l’innovation et ainsi à renforcer la compétitivité de l’économie européenne. Une politique de transition énergétique est à même de réaliserce triple objectif. En particulier les secteurs de l’offre d’énergie, des transports urbains, de la rénovation thermique des bâtiments, ou encore des réseaux de distribution d’électricité répondent à l’ensemble de ces critères. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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https://www.influencia.net/le-sans-contact-et-le-quick-and-go-pour-rassurer/
Needs
la pandémie entraîné la nécessité pour le magasins de se réorganiser sur le problématiques de nettoyage de distanciation et optimisation du parcours client il est agi de rassurer et assurer la sécurité de client en rendant le circulation le plus fluides possible en réduisant le taux occupation de site enfin en minimisant le point de contact via notamment le paiement sans contact et le caisses en libre service cette tendance amène le enseignes à proposer de nouveaux service adaptés le nouveaux mode de vie et usage demandent plus de facilité et de fluidité dans le parcours achat heure est à autonomie supprimer le file attente scan and go organiser la récupération de achats à extérieur du magasin avec notamment le consignes à colis automatisées au japon prendre directement rendez vous avec un conseiller en magasin ou demander une vidéo chat avec un expert grâce aux nouvelles technology et à intelligence artificielle de nouveaux service se créent depuis avril 2021 le client de domino pizza à houston au texas peuvent choisir le service de livraison de pizza autonome avec le robot r2 dynamisés par la pandémie le test de livraison par drone se multiplient en octobre 2020 par exemple la chaîne de supermarchés tesco est associée à la startup manna pour un essai de livraison à domicile à oranmore dans le comté de galway en irlande le question de réglementation freinent encore le projets commerciaux mais le drone sont déjà employés dans le cadre de la livraison de produits de santé et devraient à avenir se normaliser recevoir son colis à domicile grâce à un drone est donc en bonne voie pour lira la tendance précédente le social commerce cliquez ici et pour précommander le baromètre retail insight de s4m disponible à la rentrée cliquez ici sandrine préfautdirectrice générale de s4m
6medical
[ 6, 12, 1, 3, 5, 8, 11 ]
https://www.strategie.gouv.fr/english-articles/policy-brief-measuring-quality-growth-which-indicators
Market Impact
In line with the conclusions of the Stiglitz-Sen-Fitoussi Commission on measuring social progress, this paper proposes seven indicators that can complement GDP in a scoreboard on the quality of French growth: change over time in stocks of productive physical and intangible assets in relation to GDP; the percentage of adults aged 25-64 that have earned the equivalent of a high-school degree; the percentage of artificial land cover; the annual French carbon footprint, imports included; the ratio between income held by the wealthiest fifth of the population and income held by the poorest fifth; net public debt in relation to GDP; and net external debt in relation to GDP. Because they represent real societal choices, these seven indicators must be submitted to public discussion. Indicators of the quality of growth in 2014 tableau-anglais-na-indicateurs.jpg, par fcausse Summary: Measuring the quality of growth: which indicators? France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
[ 13, 0, 1, 3 ]
https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/la-startup-1083-fait-le-pari-que-le-made-in-france-sera-moins-cher-que-le-made-in-bangladesh-1184525
Market Impact
Made in France, écolo, une centaine d’euros : c’est l’histoire d’un jean qui ne veut avoir aucun défaut… Et qui vient tout juste de lever 1,083 millions d’euros. La promesse des pantalons “1083” est simple : ils ne feront jamais plus de 1.083 km entre les lieux de fabrication et de vente, soit la distance qui sépare Menton (Alpes-Maritimes), et Porspoder (Finistère), les deux villes les plus éloignées de France. Mais la marque, elle, en a fait, du chemin, depuis ses sept années d’existence. Le point de départ ? Romans-sur-Isère, dans la Drôme. En 2013, Thomas Huriez, ex informaticien, y est installé depuis quelques années déjà, à la tête d’un magasin de mode éco-responsable : Modetic. Lui vient alors l’idée de lancer sa propre fabrication de textile, ici même, à Romans. Sa croisade : montrer que oui, il est possible de rentabiliser une activité industrielle en France, sans passer par les usines du bout du monde, et émettre des tonnes de gaz à effet de serre. Il se donne un défi de taille : commercialiser des jeans, véritables cauchemars écologiques, dans le but d’en faire un produit local et propre, le tout… sans faire craquer le PEL de ses clients. Son concept phare est le “Jean Infini”, recyclé, consignable et recyclable à l’infini (et toujours, comme depuis le début, en coton biologique certifié). Au démarrage, le chiffre d’affaires s'élève à 200 000 euros. En 2019, il est de 8 millions d’euros. Rentable quasiment chaque année, 1083 Jeans a même repris un des ateliers de tissage avec lequel il travaillait, alors menacé par la faillite, en septembre 2018. Et pour former sa main d’oeuvre, la marque a ouvert sa propre école de couture: l’école du Jeans. Il n’aura fallu que douze heures pour capter l’investissement de 400 particuliers pour atteindre l’objectif de la campagne de crowdfunding, hébergée sur LITA.co. Il était “naturel”, pour Thomas Huriez d’avoir recours au financement participatif : l'entrepreneur tient à cultiver un lien fort avec ses clients. “On fait visiter nos usines, on communique sur notre quotidien via notre blog, j’ai écrit un bouquin sur les coulisses de nos choix stratégiques…”, raconte-t-il. La levée va permettre de financer le besoin en fonds de roulement de l’entreprise, qui a vendu près de 40.000 jeans l’an dernier. “Une goutte d’eau sur le marché français”, reconnaît Thomas Huriez. Star des vitrines de mode, le jean représente un marché colossal, avec toutes sortes de gammes et de prix possibles. Dans le monde, chaque année, il s’en vend près de deux milliards, soit 73 par seconde. Mais le marché du jean grossit moins vite ces dernières années, dans un contexte de ralentissement général du marché du textile. Il souffre aussi de sa mauvaise réputation de pollueur, désormais bien connue et épinglée par de nombreuses associations écolo, comme Greenpeace, qui dénonce régulièrement les marques peu vertueuses du monde de la mode. Selon l’ONG environnementaliste, environ 7.000 litres sont utilisées pour un seul pantalon. A cela s’ajoutent des produits toxiques utilisés pour délaver et vieillir la toile, ce qui donne ce fameux aspect usé au bleu denim. La technique du sablage, qui consiste à projeter du sable à forte pression sur le tissu exposant donc les ouvriers à la poussière toxique du silice, a été interdite par de nombreuses marques, alors qu’elle était massivement utilisée dans les années 1990 et 2000. Depuis 2016, dans son usine de Romans-sur-Isère, 1083 Jeans a écarté cette technique au profit du laser pour délaver les toiles sans impact sur l’environnement et “sans une seule goutte d’eau”. Le coton qui sert à la fabrication des jeans nécessite, lui aussi, beaucoup d’eau. Mais ce sujet aussi, Thomas Huriez dit l’avoir anticipé. Grâce à la levée de fonds, il compte financer l’industrialisation de “Moncoton”, une initiative d’économie circulaire pour extraire le coton de jeans usés, afin de fabriquer les jeans neufs. “On a des tonnes de coton dans nos poubelles. On peut mettre une part majoritaire de coton usé pour obtenir un fil correct” espère le fondateur de 1083, qui a inscrit dans les statuts de son entreprise son ambition de contribuer à l’économie circulaire. Avec “Moncoton”, Thomas Huriez aura relocalisé en France l’intégralité de la fabrication de ses jeans. Pour l’heure, le coton des jeans 1083 reste importé d’Afrique. Et la rentabilité, dans tout cela ? Comme beaucoup, Thomas Huriez a grandi bercé dans l’idée que le coût du travail était, en France, un “problème”. “Ce sont des stéréotypes que l’on se répète bêtement, comme celui selon lequel, par exemple, une voiture allemande est solide”. Un jour, il décide de comparer les étiquettes et s’aperçoit que les marques de fast-fashion comme celles de luxe ont délocalisé leur production dans les mêmes pays, là où le coût du travail est bas… “Il y a donc deux cas de figure. Soit le jean est acheté au bout du monde pour peu cher, et vendu dix fois son coût de revient par les marques de luxe, soit il est vendu deux, trois fois son coût par les marques de fast-fashion. Qui est le plus malhonnête?” L’entrepreneur fait le pari de tout produire en France. En moyenne, un Français dépense environ 27 euros par jean, et 70 euros à l’année, selon une étude de KantarWorld Panel menée sur l’année 2018.Pour un jean 1083, il faut compter entre 89 et 129 euros pièce... le "prix juste" pour de telles conditions de fabrication, soutient Thomas Huriez. Un tarif qui permet de faire des marges proches de celles de la fast fashion, puisqu’il est vendu deux ou trois fois son coût de revient. Le secret ? D’abord, limiter les coûts de publicité ou de marketing… en misant sur l’engagement de la communauté des clients soucieux de l’environnement. “Au lieu de payer Google et Facebook, on donne plein de raisons à nos clients de nous faire connaître. Si on avait fait un emprunt auprès d’un banquier, on aurait gagné un seul client engagé : le banquier. Là, on a 400 clients qui vont parler de nous, parce qu’ils ont confiance en nous et qu’ils participent directement à l’aventure.” Deuxième terme de l’équation : supprimer les intermédiaires. Pas de grossistes, d’agents commerciaux. “On ne fait pas de prospection : les commerçants nous appellent pour vendre nos produits.” Pas de soldes, ni de Black Friday : c’est le même prix toute l’année. Thomas Huriez a sa propre vision du capitalisme: “Je ne suis pas sûr que La France gagne à importer tout ce qu’elle consomme. Les émissions de gaz à effet de serre, tout cela a un coût pour la société, qui est beaucoup plus important. Un projet, quel qu’il soit, pour qu’il dure dans le temps, il faut le gérer financièrement, humainement et en termes de ressources. Les trois en même temps. Tout le reste, ce n’est pas sérieux”, analyse-t-il, avant d’ajouter, sûr de lui : “On verra à terme que le made in France est moins cher que le made in Bangladesh”.
4environment
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https://www.makery.info/2020/05/10/minimal-universal-respirator-un-respirateur-medical-en-ingenierie-frugale/
Engineering
A la fin mars, Makery reçoit un message du médialab thr34d5.org demandant si nous faisons quelque chose des servomoteurs que nous avons en stock à notre bureau fermé depuis déjà deux semaines. Un projet de respirateur open source et à bas coût en aurait besoin pour faire des tests. Nous sommes mis en relation avec Antoine Berr, designer du Club Sandwich Studio qui porte le projet. Le 28 mars, attestation en main, un rendez-vous est fixé et quelques servos sont transmis à l’équipe du projet M.U.R., Minimal Universal Respirator. Nous voulons en savoir plus, mais les designers ont la tête dans le guidon. En faisant quelques recherches nous comprenons qu’Antoine Berr est un designer passé par le département interfaces homme-machine de l’ENSCI – Les Ateliers et qu’après des aventures aux quatre coins du monde avec son projet La Cool Co il a cofondé l’an dernier le Club Sandwich Studio avec Paul Couderc, Arthur Siau, et Simon Juif. Antoine nous réoriente vers Solène Touzeau, qui s’occupe désormais de leur communication et qui est, comme lui, membre d’Objectif Sciences International, une ONG qui mène des actions de médiation scientifique, d’éducation populaire et de science participative et qui s’est d’emblée associée au projet. Un rendez-vous téléphonique est fixé début avril. Solène nous explique qu’Antoine est assez actif avec Objectif Sciences International et que c’est assez naturellement que l’ONG le soutient. A l’occasion de l’entretien elle nous présente également Jean Karinthi, de L’Hermitage, un grand tiers-lieu d’innovations rurales et citoyennes situé sur un domaine agricole dans l’Oise et qui soutient le projet M.U.R. Elle explique également qu’une autre importante ONG humanitaire, ACTED, a décidé de rejoindre le collectif M.U.R. Elle imagine notamment qu’à terme « les respirateurs M.U.R. pourraient être développés sur les sites d’interventions d’ACTED, comme par exemple dans leur 3Zero House de Manille », un incubateur de projets collaboratifs et solidaires qui s’appuie sur la collaboration franco-philippine pour favoriser les transformations locales. 3Zero vaut pour zéro exclusion, zéro carbone, zéro pauvreté. Jean Karinthi ajoute : « C’est une ONG qui est vraiment très implantée dans beaucoup de pays sur des questions de crise. Ils gèrent des camps de réfugiés et estiment qu’il y a aujourd’hui 100 millions de bénéficiaires potentiels qui seraient concernés dans des pays où il y a zéro respirateur. Dans les camps de réfugiés en Jordanie vous n’avez pas de respirateur artificiel. Au Mali, il n’y a qu’un seul respirateur pour tout le pays. Le souhait d’Antoine était donc de donner à ce projet une dimension non profit, open source, low tech, low cost et universelle. Parce qu’on sait que cette crise ne s’arrête pas aux frontières de Paris, du pays ou de l’Europe et qu’elle pourrait être beaucoup plus aiguë et dégradée pour des pays en développement. » Solène explique que le projet suscite l’intérêt de nombreuses personnes : « Via le site Internet du M.U.R., plusieurs personnes de différents hôpitaux en France commencent à entrer en contact avec nous et sont intéressées pour récupérer les plans et tenter de monter des prototypes aussi de leur côté pour essayer de les développer. » Plusieurs médecins et scientifiques souhaitent apporter leur contribution au projet, de Clermont-Ferrand, de Nantes, de Tours, de Grenoble. «  L’AP-HP accueille déjà M.U.R. pour faire des tests. Elle suit de très près toutes les initiatives, quelles qu’elles soient d’ailleurs, qu’elles émergent des entreprises ou des consortiums, Renault, Seb, Air Liquide, etc., ou des mobilisations citoyennes. C’est de la veille en crise dégradée. Le plus grand banc de test de respirateurs artificiels de l’AP-HP est à l’hôpital Henri Mondor, à Créteil. Tous les respirateurs en test sont là-bas. » explique Jean Karinthi. L’équipe M.U.R. teste et documente également leurs travaux dans leurs locaux. « Dans le labo, il y a des respirateurs qui sont mis en fonctionnement non-stop depuis plusieurs jours. Hier, on en était à un qui avait fonctionné plus de 48 heures non-stop sans que rien ne lâche, sans aucune anomalie et avec des courbes toujours stabilisées. » raconte Solène à propos de ces débuts prometteurs. « Tout est filmé et enregistré pour avoir un appui, afin de pouvoir dire ‘regardez, nos machines fonctionnent et c’est du solide’. Le message qu’on veut faire passer, c’est que, certes, c’est fait par des makers, certes, c’est un projet citoyen, mais derrière c’est un projet fiable. Et pour tout dire, on est même soutenus par le CNES maintenant », ajoute-elle. Nous sommes début avril et on ne voit pas encore le pic de l’épidémie au moment où nous avons cette conversation à chaud. Les makers sont extrêmement mobilisés pour produire des visières anti-projections et Makery, qui doit également consolider son avenir, ne sait plus où donner de la tête. Un mois a déjà passé lorsque nous reprenons contact avec Antoine Berr pour une visite photographique. D’emblée, Antoine confie humblement que ce qu’ils font là, « c’est rien de plus de ce que nous avons toujours fait : faire des trucs, les montrer, les partager. » Il raconte également que son expérience avec la Cool Co où ils installaient des boites de captation IoT dans des champs de cacao en Côte d’Ivoire sans internet ou électricité stables lui a en quelque sorte inspiré la philosophie du projet. « Notre objectif est d’avoir un dispositif extrêmement robuste et fiable, tout terrain, pour pouvoir l’utiliser en brousse. » Il donne un exemple révélateur des principes de l’ingénierie frugale qui guident leur action : « On a une expérience de Jugaad, en Afrique et ailleurs. Par exemple, une des problématiques du respirateur c’est la mesure du débit, de pouvoir extrapoler un volume injecté, et comme on veut rester low tech, on n’a pas choisi de prendre des capteurs industriels qui coûtent chers et qui ne sont pas forcément disponibles partout. On est revenu à une idée qui consiste à hacker un capteur de débit d’air qu’on trouve pratiquement dans toutes les voitures. Ce dispositif se trouve à partir de 5 euros et cela donne des courbes incroyablement précises et stables. Cela a avantage de se trouver sur n’importe quel territoire car à peu près toutes les voitures en ont. Et sachant qu’un capteur de pression différentielle NXP coûte déjà plusieurs dizaines d’euros le choix nous semblait évident. » Depuis l’échange que nous avons eu avec l’équipe début avril, une équipe d’ingénieurs de Grenoble les a rejoint pour travailler sur la régulation PID (pour proportionnel, intégral, dérivé), l’automatisation pour s’assurer que le dispositif effectue bien la commande qu’on lui a demandé. « Le régulateur PID permet d’améliorer les performances d’un asservissement, c’est-à-dire un système en boucle fermée. Cela fait que l’appareil est plus à même de comprendre les réactions du patient, s’il tousse, s’il essaye d’inspirer, etc. », explique Antoine. L’équipe à Grenoble a aussi travaillé sur un système de valves qui réduit les pièces techniques qu’ils doivent prochainement tester. Et de manière générale Antoine indique qu’ils sont beaucoup plus guidés par des médecins que lorsqu’ils ont commencé. « Nous travaillons depuis le départ avec Margot Smirdec, médecin anesthésiste-réanimatrice au CHU de Clermont-Ferrand, mais plus récemment on est entré en contact avec le docteur Marc Pleyber, anesthésiste au CH de Voiron dans l’Isère. Il a aujourd’hui le ‘lead’ médical avec le groupe des ingénieurs de Grenoble. L’intérêt aussi est qu’il a travaillé dans les pays du Sud et a une expérience du terrain d’urgence. C’est aussi pour cela qu’on s’est rencontré, à la fois humainement et sur les objectifs du projet. » L’équipe du MUR s’est également beaucoup intéressée au projet italien Milano Ventilatore Meccanico (MVM), un projet initié par le physicien Cristiano Galbiati qui a rassemblé un grand nombre de grands scientifiques de la physique nucléaire en Europe, jusqu’à collaborer avec le Canada sous la supervision du Prix Nobel Arthur Mc Donald et les Etats-Unis. « Des chercheurs en matière noire qui conçoivent un respirateur, c’est extraordinaire », commente Antoine. Au moment où nous discutons, la FDA américaine vient de certifier le MVM comme rentrant dans les critères de l’Emergency Use Authorisation. Antoine précise que leurs objectifs sont un peu différents : « Ils répondent à un manque d’équipement en chambre d’hôpital. Leur respirateur fonctionne avec de l’oxygène d’hôpital distribué en flux continu. On suit aussi de près le projet MakAir, qui eux ont réussi le projet de start up en association avec des industriels pour livrer un projet clé en main, répondant à une pénurie sur le territoire français. L’objectif de M.U.R. est d’avoir un dispositif qui fonctionne là où même il n’y a pas d’électricité stable, là où il n’y a pas un Farnell ou un Lextronic pour te commander tes pièces, et même si une imprimante 3D est trouvable, de toute façon l’image que je peux utiliser, c’est que cela devrait pouvoir être fabriqué avec un tourneur-fraiseur. Nous travaillons aussi sur une valise hermétique, de manière à ce que ce soit facilement transportable et déployable. » Lorsqu’on demande à Antoine si les choses ont évoluée depuis le début du projet, il répond qu’après deux mois ils n’ont pas dévié de leur objectif humanitaire, mais que la compréhension de la maladie a permit de mieux cerner les objectifs médicaux. « On est parti comme beaucoup, au début de la crise avec le cahier des charges techniques au 16 mars, sur les critères auxquels doit répondre un respirateur de classe équipement médical. C’est ce que MakAir, MVM ou nous avons suivi. Avec les semaines qui ont passé, la compréhension de la maladie Covid-19 amène à changer les diagnostics, et aujourd’hui on s’aperçoit que ce n’est pas qu’une maladie respiratoire mais qu’il s’agit également d’une maladie avec des atteintes vasculaires, que l’intubation n’est pas toujours la solution, que la VNI, la ventilation non-invasive très en amont de la maladie pourrait être une bonne chose, etc. C’est encourageant de voir que MakAir et MVM ont eu la certification. Mais si on imagine que ce n’est peut-être que la première vague ou crise, et que dans certains pays il n’y a absolument pas d’équipements de ce type-là, très vite ils auront un choix à faire : acheter aux industries étrangères ou s’approprier des technologies open source et les produire en local. Ce qu’on veut proposer c’est donc un dispositif avec le moins possible de contraintes techniques pour la production, qui demande beaucoup moins d’apprentissage technique pour le corps médical, mais qui, dans tous les cas, correspond à un respirateur à la capacité et aux fonctions pour la réanimation et l’anesthésie, tout en offrant aussi la possibilité d’être downgrader pour faire de la VNI, ce qui correspond à plus du tiers des besoins en assistance respiratoire. » L’équipe M.U.R. travaille parallèlement sur un argumentaire médical pour montrer l’intérêt d’un tel dispositif. « Avec les médecins on travaille sur le « droit à respirer » pour appuyer la déontologie et l’approche humanitaire », raconte Antoine. Pour eux, cela s’inscrit dans un esprit d’extension de la loi de 1996 sur le droit de respirer un air pur. « Margot Smridec, qui participe au Collectif inter associatif sur la santé (organisme qui représente les usagers du système de santé, ndlr), doit régulièrement répondre à des inquiétudes, et a voulu soulever cette question en regard de ce que la crise a révélé, la pénurie de matériel. » Et maintenant, comment voient-ils l’après 11 mai ? « Le projet s’est construit autour d’une équipe de bénévoles et avec le déconfinement, en terme de disponibilité ce ne sera plus comme au départ, nous-même on commence à reprendre le travail. Du coup, on met en place des objectifs de recherche, et avec Objectif Sciences International, on veut aussi créer du savoir et de la pédagogie. On ne veut pas simplement dire qu’on l’a mis en open source, mais que derrière personne ne soit capable de le reproduire. » Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
6medical
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/systeme-electrique-europeen-un-champ-de-ruines-reconstruire
Market Impact
En dix ans, les ménages allemands ont vu le prix de leur électricité plus que doubler, au point de devenir le problème majeur à résoudre par la nouvelle coalition qui dirige le pays. La facture d'électricité des ménages est également source de mécontentement au Royaume-Uni, où le gouvernement a récemment annoncé des mesures d'urgence réduisant les prélèvements environnementaux et sociaux. En Espagne, où le déficit tarifaire du système électrique dépasse les 25 milliards d'euros, le gouvernement a fait le choix de bloquer les prix du kilowattheure (kWh) pour ne pas entamer trop le pouvoir d'achat de la population. La France, elle, semble à l'écart de ces mouvements, même si des hausses sensibles du prix du kWh ont déjà commencé et sont prévues dans les années à venir. Dans le même temps, les émissions de CO2 repartent à la hausse. Dans les années 1990, elles avaient baissé en Allemagne, après la réunification et la remise à niveau industrielle des nouveaux Länder de l'Est, et au Royaume-Uni grâce à la substitution du charbon par le gaz de la mer du Nord. Cette baisse a été renforcée partout en Europe après 2008, en raison de la crise économique qui a induit une baisse de la demande d'électricité et qui a accéléré la désindustrialisation du continent. Mais, récemment, le charbon, redevenu plus économique notamment sous la poussée du gaz de schiste américain, a fait son grand retour sur la scène énergétique européenne. Enfin, un nouveau mot a fait son apparition dans le vocabulaire des spécialistes de l'énergie : « black-out ». La sécurité d'approvisionnement, dont on avait oublié qu'elle pouvait être un problème et qu'elle était à l'origine, après-guerre, de la mise sur pied de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), revient également sur le devant de la scène. [...] France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
13transport
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https://www.makery.info/2014/12/09/oliver-kreylos-le-savant-fou-de-la-realite-virtuelle/
Needs
Certains observateurs estiment que le casque de réalité virtuelle (VR) Oculus Rift est une fuite en avant dans l’écran, à contre-courant de la rematérialisation des contenus. Pourtant, on peut y voir une filiation avec les makers, notamment en ce qui concerne l’écosystème qui s’est développé autour des prototypes en circulation. Y sont désormais associées d’autres technologies pour expérimenter la réalité virtuelle comme un environnement à part entière, connexe à l’espace réel. C’est notamment la mission que s’est fixé Oliver Kreylos, un développeur californien, qui est le seul – à ma connaissance – à avoir pu ressentir son corps en mouvement dans un environnement simulé. Il s’agit certes d’une version tremblotante de lui-même, traduite par des Kinect… Mais il a pu décrire l’étrange sensation de compter ses abattis dans une simulation. Capture vidéo 3D avec 3 Kinect, Oliver Kreylos: Oliver Kreylos a placé trois capteurs Kinect autour de lui, disposés en triangle équilatéral à peu près à deux mètres du point central, en fonction de la taille du sujet. L’expérience était dirigée depuis un ordinateur sous Linux, recevant le flux des Kinect et diffusant pour l’Oculus Rift, plus un serveur externe pour le suivi de la position de la tête et celle du wand, un joystick pour manipuler l’environnement 3D et les menus. Auquel il a fallu ajouter une vue monoscopique secondaire pour filmer la vidéo. Ceci est mon corps (émulé) Oliver Kreylos dit avoir immédiatement accepté ses membres émulés comme les siens ; une sensation que les pros de la réalité virtuelle appellent la « présence ». Les sens isolés, le cerveau traiterait les informations délivrées par le masque de réalité virtuelle comme s’il s’agissait de la réalité. Le chercheur disait percevoir son environnement comme solide et trouvait presque « gênant » de pouvoir traverser les objets. Le reste de l’inconfort était induit par la latence ; ces ralentissements qui créent un décalage entre les mouvements de la tête et l’ajustement de l’environnement. Il en résulte une sorte de « mal des transports ». Ce chercheur dont le métier est de fabriquer des holodecks – dits cave – vient de mettre en ligne une nouvelle vidéo. Cette fois-ci, il a ajouté une nouvelle dimension à sa mise en abîme. «Watching Myself Building a Molecule», Oliver Kreylos: Le dispositif est le même mais il s’est filmé en train de fabriquer une molécule dans un espace virtuel, à l’aide de manettes Razer Hydra. Puis, il a relu la scène en playback pour s’insérer à nouveau dans l’espace. Il avait prévu des interactions qui donnent l’impression qu’il communique avec lui-même dans deux temporalités différentes. Espaces virtuels low-cost Au-delà de cette performance, Kreylos veut démontrer que l’on peut désormais créer des espaces de travail virtuels low cost. Le logiciel de construction de molécules – Nanotech Construction Kit – est basé sur Vrui VR toolkit, un logiciel open source. Les Razer Hydra coûtent environ 300 euros. Quant à l’Oculus Rift DK2 (350 euros), il devient presque une bonne affaire en regard d’un onéreux téléviseur – ou moniteur – 3D. Pour sa prochaine vidéo, Oliver Kreylos s’est engagé à concevoir une collaboration en immersion autour d’un même objet virtuel. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
10science
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https://www.lavoix.eu/fr/news/261/jurisprudence-bugui
Securing
L’enregistrement de marque de l’Union Européenne a été demandé par les sieurs Juan et Alberto Ferrer pour des produits et services relevant des classes 31, 35 et 39.   Monsieur Xavier Ferrer a formé opposition à l’encontre de cette demande de marque sur la base de ses marques antérieures figuratives:  et  pour lesquelles des preuves d’usage ont été demandées.   Les preuves apportées sont relatives aux signes suivants : , et .   S’agissant des deux derniers signes circulaires ci-dessus représentés, le Tribunal de l’Union Européenne considère qu’ils constituent un usage valable des marques antérieures invoquée dans la mesure où l’utilisation du signe verbal BUGUI distinctif et dominant doit être considéré comme un usage dans une variante acceptable de la marque, les autres éléments figuratifs et verbaux n’occupant qu’une place accessoire au sein de ces signes.   Contacts : Marion LAPERRIERE et Béatrice DAUBIN
11security
[ 8, 4 ]
https://www.lavoix.eu/fr/news/109/vers-la-modernisation-du-systeme-europeen-des-marques
Securing
Les propositions tendent à réviser :   Cette réforme a pour lignes directrices : la simplification et l’harmonisation des procédures d’enregistrement, ainsi que le renforcement des droits de propriété intellectuelle conférés par la marque.   À titre préliminaire, il convient de noter des modifications d’ordre terminologique. Le terme « marque communautaire » sera remplacé par « marque européenne » et l’OHMI sera rebaptisé « Agence de l’Union européenne pour les marques et les dessins et modèles ».1) La diminution des taxes   Le système proposé prévoit une diminution des taxes à acquitter lors des dépôts et renouvellements de marque. Actuellement, le dépôt d’une marque nationale ou d’une marque communautaire se fait automatiquement pour trois classes. Dans le système révisé, chaque Office national européen devra appliquer un système de « taxe par classe ». Il sera alors possible d’effectuer un dépôt dans une seule classe ou d’ajouter des classes supplémentaires, le cas échéant. Ce nouveau système « sur-mesure » sera plus adapté à vos besoins réels. La protection sera désormais plus accessible et moins chère.   2) La modernisation et la simplification des systèmes d’enregistrementEn vue de moderniser la législation actuelle, la Commission propose de supprimer l’exigence de « représentation graphique » du signe en cas de dépôt de marque. De ce fait, l’accès à la protection aux marques « atypiques », comme les marques sonores, sera favorisé. Une représentation non graphique par des moyens technologiques (par exemple un fichier son), si elle permet une identification plus précise de la marque, sera alors suffisante. La suppression de cette condition améliore la sécurité juridique et assouplit la procédure de dépôt.Par ailleurs, conjointement à la suppression du système de recherches actuel, il est prévu le développement d’outils plus performants pour les recherches d’antériorités. L’objectif poursuivi est d’accélérer les procédures de dépôt et de renforcer la sécurité juridique.3) Le Renforcement de la lutte anti-contrefaçonConcernant la lutte anti-contrefaçon, la Commission propose de revenir sur la jurisprudence actuelle de la Cour de Justice de l’Union européenne sur les marchandises en transit. Selon la jurisprudence de la Cour, les marchandises circulant sur le territoire de l’Union européenne mais non originaires de l’UE ne peuvent être considérées comme des contrefaçons (CJUE, 1er décembre 2011, Philips et Nokia). Dans le système révisé, les marchandises en transit sur le territoire de l’UE seront sujettes à la mise en œuvre d’une action en contrefaçon. De plus, ce droit d’agir à l’encontre des marchandises en circulation mais non commercialisées sur le territoire de l’UE s’étend à tous les actes préparatoires tels que, les conditionnements, les étiquettes ou éléments similaires. Il s’agit là d’une évolution majeure pour lutter contre les contrefacteurs hors UE.4) La consécration d’une Procédure administrative de déchéance et de nullitéLa proposition de Directive prévoit l’instauration dans tous les Etats membres d’une Procédure administrative permettant de contester la validité d’une marque. Ainsi, l’action en déchéance et l’action en nullité pourront désormais être introduites directement devant les Offices nationaux. Il s’agit là d’une innovation substantielle en France, puisque actuellement seuls les tribunaux judiciaires ont compétence pour ce type d’actions. Cette nouvelle procédure permettra de défendre plus efficacement, plus rapidement et à un prix bien moins élevé vos marques déposées ou en cours de dépôt. * * *   Ces propositions législatives devront être adoptées par le Parlement européen et le Conseil, conformément à la procédure de co-décision. Leur entrée en vigueur devrait intervenir courant 2014.   S’agissant du Règlement sur les taxes à payer, ce dernier doit être uniquement approuvé par la Commission sous forme d’acte d’exécution après l’approbation préalable du comité compétent pour les questions relatives aux taxes à payer à l’OHMI. Selon le site officiel de l’UE (Europa.eu), le Règlement révisé devrait être adopté avant la fin de l’année. Contact : Béatrice DAUBIN  
2design
[ 13, 7 ]
https://www.lavoix.eu/fr/news/436/new-referral-to-the-enlarged-board-of-appeal-of-the-epo-on-oral-proceedings-via-video-conference
Securing
According to the previously reported decision of the President of the EPO of 10 November 2020, which entered into force 1 January 2021, the agreement of the parties to hold oral proceedings in opposition proceedings by videoconference is no longer required. Oral proceedings before the opposition division are to be held mandatorily by videoconference, provided there are no serious reasons against holding the oral proceedings by videoconference.   Similarly, the boards of appeal may conduct oral proceedings by videoconference without the consent of all parties. The new practice has been laid down in new Article 15a of the Rules of Procedure of the Boards of Appeal as approved by the Administrative Council of the EO and which entered into force on 1 April 2021.   In the case T 1807/15, a request was filed to postpone the oral proceedings for COVID-19 related reasons and both parties submitted that oral proceedings were not suitable for a videoconference. Oral proceedings nevertheless took place before the Board of Appeal on 8 February 2021 without the parties’ consent.   During the oral proceedings, one of the parties requested to refer the question whether oral proceedings may be carried out by videoconference without the parties consenting to the Enlarged Board of Appeal.     The Enlarged Board of Appeal accepted this case (G1/21), and the oral proceedings before the Enlarged Board of Appeal are to take place on 28 May 2021 already and - via video conference.   It is noteworthy that video conferences scheduled before the EPO are not put on hold for the time G1/21 is pending. The President of the EPO has decided that in order to guarantee access to justice and ensure the functioning of the EPO, oral proceedings before examining and opposition divisions will continue to be held by videoconference in accordance with the applicable decision of the 10 November 2020 without requiring the parties’ agreement. More details on the G1/21 pending before the Enlarged Board of Appeal may be found under https://www.epo.org/law-practice/legal-texts/official-journal/information-epo/archive/20210324.html and https://www.epo.org/law-practice/case-law-appeals/eba/pending.html.
12society
[ 1, 12 ]
https://www.lavoix.eu/fr/news/369/Saisine-de-la-Grande-Chambre-de-recours-G-1-19 –Simulation-sur-ordinateur
Securing
I. L'affaire T 489/14 porte sur une méthode, un programme informatique et un appareil mis en œuvre par ordinateur pour simuler le mouvement d'une foule de piétons dans un environnement.   La description décrit un modèle mathématique de piétons individuels et un algorithme pour simuler leur mouvement à travers un environnement. Un système de conception réalisant la simulation permet à l'utilisateur de construire un modèle d'environnement en le créant ou en important un dessin à partir d'une source de conception assistée par ordinateur (CAO), afin de concevoir un lieu tel qu'une gare ferroviaire ou un stade.   La revendication 1 de la demande principale se lit comme suit :   "Un procédé mis en œuvre par ordinateur pour modéliser le mouvement de foule de piétons dans un environnement, le procédé comprenant : la simulation du mouvement d'une pluralité de piétons à travers l'environnement, dans lequel la simulation du mouvement de chaque piéton comprend :  fournir un chemin provisoire (9) à travers un modèle de l'environnement depuis un emplacement actuel (6) jusqu'à une destination prévue (7) ; fournir un profil pour ledit piéton ; déterminer une étape préférée (112'), jusqu'à une position préférée (123'), vers ladite destination prévue sur la base dudit profil et dudit chemin provisoire, dans lequel la détermination de ladite étape préférée comprend la détermination d'une fonction d'insatisfaction exprimant un coût de prise d'une étape comprenant une somme d'une fonction d'inconvénient exprimant un coût de déviation d'une direction donnée et d'une fonction de frustration exprimant un coût de déviation d'une vitesse donnée ; définir un quartier (29) autour de ladite position préférée (123') ; identifier les obstacles dans ledit quartier, lesdits obstacles comprenant d'autres piétons (21) et des obstacles fixes (25) ; déterminer un espace personnel (24) autour dudit piéton ; déterminer si ladite étape préférée (112') est réalisable en considérant si les obstacles (21, 25) empiètent sur ledit espace personnel au cours de l'étape préférée (112'). "   La chambre de recours a d'abord appliqué la décision G 2/07, motifs 6.4.2.1, qui stipule que "l'intervention humaine, pour obtenir un résultat en utilisant les forces de la nature, concerne le cœur de ce que l'on entend par une invention" et a conclu que l'objet de la revendication 1 manque effectivement d'activité inventive sur un ordinateur à usage général connu.   Toutefois, dans la décision T 1227/05, présentée par le requérant, une simulation numérique d'un circuit affecté par le bruit a été considérée comme étant technique, car elle permettait d'effectuer une simulation plus rapidement et soutenait ainsi le raisonnement des requérants.   Comme la chambre de recours avait l’intention de s'écarter de la décision T 1227/05, elle a estimé qu'elle devait renvoyer la question à la Grande Chambre de recours, afin qu'une application uniforme de la loi puisse être établie.   II. Par conséquent, la Chambre de recours a renvoyé la question suivante à la Grande Chambre de recours :  III. Suite à la saisine, le Président de l'Office européen des brevets a décidé que toutes les procédures devant les divisions d'examen et d'opposition de l'OEB dans lesquelles la décision dépend entièrement du résultat de la saisine susmentionnée, seront suspendues d'office jusqu'à ce que la Grande Chambre de recours rende sa décision. Les procédures de recherche ne sont pas suspendues. Si la procédure est suspendue, la division d'examen ou d'opposition concernée en informe les parties et retire toute communication fixant les délais de réponse et n'envoie plus de telles communications jusqu'à ce que la Grande Chambre de recours ait rendu sa décision. Dans ce cas, une communication sera émise concernant la reprise de la procédure.   La suspension de la procédure concerne les cas dans lesquels :   (a) l'évaluation de l'activité inventive exige de décider si une simulation mise en œuvre par ordinateur d'un système ou d'un processus technique, revendiquée en tant que telle ou dans le cadre d'un processus de conception, peut être considérée comme produisant un effet technique allant au-delà de la mise en œuvre de la simulation sur ordinateur (c'est-à-dire si la simulation réalisée peut elle-même être considérée comme un effet technique aux fins de l'évaluation de l'activité inventive) voir les directives pour l'examen dans l'OEB, G-VII, 5.4), et   (b) l'issue de la procédure dépend entièrement de la manière dont la Grande chambre répond aux points de droit qui lui sont soumis.   La condition (a) est également remplie lorsqu'une demande comporte des caractéristiques autres que la simulation mise en œuvre par ordinateur, mais que ces caractéristiques font partie de l'état de la technique, n'apportent aucune contribution technique ou sont évidentes pour l'homme du métier et n'interagissent pas avec la simulation.   Aux fins d'évaluer si les conditions ci-dessous sont remplies, le terme "simulation" doit être interprété comme signifiant une imitation approximative du fonctionnement d’un système basé sur un modèle de ce système (T 489/14, point 21 des motifs).   IV. Pour conclure, la décision de la Grande Chambre de recours aura une influence importante dans le domaine des méthodes mises en œuvre par ordinateur, qui dépendent de méthodes mathématiques.          
10science
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/c-est-qui-le-patron-passe-a-l-acte-ii-de-son-histoire-avec-une-appli-inedite_737992
Storytelling
Challenges - De quelle manière C’est qui le patron?! (CQLP) a-t-il changé les habitudes des consommateurs? \n\nNicolas Chabanne - Nous sommes nous-mêmes des consommateurs, qui avons découvert qu’il manquait seulement 8 centimes par brique de lait pour bien rémunérer son producteur. Nous avons créé un questionnaire qui permet aux citoyens de voter: est-ce qu’on ajoute 8 centimes pour la suppression des OGM, 2 centimes pour le pâturage des vaches, etc. Ils peuvent ensuite participer à des visites de contrôle du cahier des charges en le demandant directement aux producteurs. Avant CQLP, vous avez lancé deux idées similaires. Vous considérez-vous comme un entrepreneur? Au début, je me disais que lorsqu’on appartient à un collectif de consommateurs, on n’est pas dans une logique d’entrepreneur. J’aimais bien lancer les idées, mais je pensais: tant mieux si tout le monde s’en empare. Maintenant, je me dis que je dois accepter l’entrepreneur que je suis, avec sa dimension sociale. Quel a été l’élément déclencheur? Il y a un an, j’ai compris que le succès de CQLP était hors norme. C’est la nouvelle marque de produits alimentaires la plus vendue de l’histoire. En quatre ans, 37 références ont été lancées, 222 millions de produits ont été vendus à 16,2 millions d’acheteurs, 10.000 sociétaires ont rejoint l’aventure, dix pays ont été couverts. Je me suis dit que quelque chose était en train de se jouer, et qu’en tant qu’entrepreneur, j’avais une responsabilité: convaincre d’autres dirigeants qu’être transparent et mieux répartir la valeur était devenu clé. C’est l’acte II de CQLP, mais surtout, de l’agroalimentaire. En quoi consiste cet acte II? Nous lançons ces jours-ci "L’appli des consos", intitulée "C'est quoi ce produit ?!" qui va plus loin que Yuka. Son slogan: "Où va notre argent? Qui est transparent et qui partage?". Le citoyen va pouvoir noter sur 10 l’importance de sept critères comme l’équité, le bien-être animal, l’environnement ou le prix. Il pourra scanner les produits pour voir ceux qui lui correspondent et, surtout, choisir les marques qui se placent sous le regard des consommateurs, identifiées par un logo. Combien joueront le jeu? Une cinquantaine de fabricants nous ont sollicités. Et Berry Graines, Carrefour, la laiterie LSDH et Nestlé se sont déjà engagés: 30 rencontres et ateliers ont été organisés en présence de consommateurs. A sa sortie, l’appli s’appuiera sur de nombreuses données comme la base Open Food Facts. Mais nous nous donnons un an pour disposer d’informations vérifiées et contrôlées par nous, les consommateurs. Quelle est la suite pour CQLP? L’appli des consos est portée par Consommateur et Citoyen, une structure qui rassemble des consommateurs indépendants, les mêmes qui ont créé CQLP, décidés à ne faire aucune concession face au greenwashing. De son côté, CQLP a lancé une nouvelle version de son appli. Elle permet notamment de savoir où trouver les produits CQLP et, quand ils ne sont pas en rayons, de contacter le directeur du magasin. Votre rêve de croissance? Que nos valeurs de partage se diffusent chez tous les fabricants. \n\n \n \n Carrefour\n Nestlé\n \n
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/covid-withings-lance-une-nouvelle-montre-sante-multi-fonctions_725354
Financing
Challenges - D’où vient Withings? \n\nEric Carreel - Au départ, nous étions une entreprise d’objets connectés. Par chance, nous avons commencé par le pèse-personne. Petit à petit, nous sommes donc entrés dans la santé, en ajoutant des tensiomètres, des montres, des capteurs de sommeil… Avec toujours le même ADN, des objets séduisants, faciles à utiliser, et durables: plus de 50% des acquéreurs de pèse-personne en 2009 l’utilisent encore au quotidien. Cela crée de la valeur.\n\nPourquoi? \n\nCela nous permet de proposer aux patients et au corps médical des données de qualité clinique issues du quotidien, sur une longue durée, en très grand nombre: le poids, les pas, la vitesse d’onde de pouls… C’est une révolution. Nous sommes entrés dans l’ère du triptyque produit, service, data. Pour offrir un service, il faut des données ; et pour cela, un produit qui les génère. Plus vous avez de données, plus vous comprenez comment fournir un meilleur service et améliorer le produit, et donc avoir plus de données.\n\n Qui sont vos clients? \n\nNous en avons des millions. Nous vendons nos produits aux utilisateurs finaux, mais aussi de plus en plus aux professionnels de la santé, surtout outre-Atlantique. Ils ont généré 10% de notre chiffre d’affaires l’année dernière. Nous lançons un nouveau service aux Etats-Unis: les médecins généralistes équipent leurs patients de nos produits pour suivre à distance certaines maladies chroniques (hypertension, obésité). Ils seront rémunérés 54 dollars par mois et par patient pour ce suivi.\n\nLe Covid-19 a-t-il changé votre stratégie? \n\nIl l’a confortée. De nombreux médecins voulaient mesurer le stress respiratoire des patients à domicile. Nous lançons ce mois-ci la Scanwatch, qui mesure le taux de saturation d’oxygène dans le sang. C’est la montre la plus complète en termes d’indicateurs de santé. Elle détecte les apnées du sommeil, affiche un électrocardiogramme, mesure le nombre de pas, le vélo, la nage, le rythme cardiaque… Tout ça dans une vraie montre, avec des aiguilles, disponible à partir de 249,95 euros, en blanc et noir. Vous avez racheté Withings en 2018, deux ans après l’avoir vendu à Nokia. Pourquoi? \n\nElle était à vendre, ce qui n’était pas prévu. J’adore l’équipe, de 230 personnes, pleine d’énergie et de motivation, ici, à Boston et à Hong-kong. Et la transformation du monde de la santé arrive, pas ici, mais aux EtatsUnis. C’est pour cela que nous levons des fonds.\n\nCombien? \n\nNous levons 53 millions d’euros auprès du fonds spécialiste de la santé Gilde Healthcare, Idinvest Partners et Bpifrance, avec l’appui de BNP Paribas Développement, Oddo BHF et Adélie Capital. Nous voulons renforcer notre recherche, notre équipe commerciale aux Etats-Unis, et embaucher 100 personnes d’ici à la fin d’année. Les salariés, l’équipe dirigeante et moi restons majoritaires.\n\nVotre rêve de croissance? \n\nServir beaucoup plus profondément l’écosystème de la santé. \n\n \n \n Withings\n Covid-19\n \n
6medical
[ 13, 6, 12 ]
https://www.influencia.net/adobe-livre-tendances-digitales-2021-choix-empathie-teletravail-mission-marque-mops/
Storytelling
cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span de milliers de professionnels aguerris nous ont fait part de leçons tirées de la pandémie en donnant leur avis sur nombre de sujets nous en avon dégagé trois principe directeurs pour 2021 empathie est avenir de expérience la nouvelle ère est disruptive et la mission de marque revêt encore plus importance explique en introduction alvaro del pozo le vice président marketing international adobe qui réalise cette étude pour la onzième année consécutive avec la crise le entreprises ont en effet été confrontées à la fois à un changement de comportement de leurs client existants et pour le plus chanceuses à arrivée de nouveaux client sur leurs site et application chacun à sa manière ce deux groupes ont prouvé la valeur de expérience client en aidant certaines sociétés à prospérer et en mettant en difficulté celles qui peinaient à évoluer explique le rapport ce changements de comportement ont touché tous le secteurs en btoc 63 de professionnels interrogés ont observé une hausse inhabituelle du nombre de client digitaux et 49 de comportements achats inhabituels de la part de leurs client existants dans le biens de consommation courante ce chiffres bondissent à 72 et 69 respectivement dans le b2b et industrie ce évolutions sont moins prononcées mais restent significatives pour le satisfaire il aura encore du chemin et de investissements à faire 60 de répondants admettent que il étaient client de leur propre expérience digitale il seraient peut être ou sûrement déçus pour se différencier le marque doivent avant tout envisager leurs client comme de personnes et pa de jeux de données conseille adobe qui regrette que empathie reste un facteur de différenciation sou utilisé la prise en compte de état psychologique du client est importante en période de pandémie et le responsables marketing savent pertinemment que le parcours client toujours une dimension émotionnelle compris dans le b2b cette période de grand bouleversements toutefois eu un impact positif pour la fonction marketing au sein de organisation 80 de cadre dirigeants interrogés estiment ainsi que le marketing joué un plus grand rôle dans la définition de la stratégie de leur entreprise en 2020 autre point sur lequel se penche étude impact du télétravail pour le fonctions marketing là aussi le changement est brutal il serum aussi probablement durable en mar 2020 28 de responsables marketing disaient télétravailler au moins un ou deux jours par semaine lorsqu il ont été interrogés en septembre sur la manière dont il envisageaient le choses après la pandémie ce chiffre dépassait 80 il étaient par ailleurs 46 à estimer qu il travailleraient à distance au moins trois jours par semaine explique le rapport ce télétravail a qu un impact limité priori sur la productivité 70 de cadre dirigeants ont fait part de niveaux de productivité stable voire supérieurs et moins un répondant sur cinq signale une productivité personnelle inférieure à la normale à avenir environ deux tier de répondants affirment que leur entreprise prévoit de approches du travail de plus en plus hybrides associant présentiel et distanciel la situation représente néanmoins une menace pour certaines organisation comme le souligne le rapport pour attirer le talent digitaux le marque vont être confrontées à une nouvelle concurrence qui a pa de frontières géographiques et où le approches traditionnelles devront être modernisées sou peine échouer adobe est également intéressé aux fonctionnalités marketing émergentes qui aideront le responsables marketing à exceller dans leurs mission personnalisation recours à de robot pilotés par ia et utilisation de la vidéo pour susciter un intérêt croissant pour la marque figurent en tête de innovation citées le participant de étude ont aussi été interrogés sur importance de la mission de leur entreprise à leurs yeux 56 de salariés affirment que leur entreprise une mission de marque bien définie et 82 entre eux assurent que cette mission un effet positif sur eux à titre personnel pourtant seulement 27 de consommateurs arrivent à décrire la mission de leurs marque préférées définir une mission apparaît donc avant tout comme un élément de motivation pour interne plus que pour le client mais prudence toutefois le rapport regrette que malheureusement cette mission est souvent rien de plus qu un slogan ou une synthèse de la stratégie de commercialisation de entreprise et son impact est alors moindre enfin de façon plus anecdotique mop pour opérations marketing ensemble de technology qui permettent améliorer efficacité du marketing été désigné acronyme de année 2021 avec le passage au télétravail et la nécessité de repenser le processus le mop sont en passe de devenir indispensables justifie adobe étude complète est disponible ici zante benoit
12society
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https://www.influencia.net/etude-kantar-comment-les-shoppers-se-conduisent-ils/
Storytelling
le shopper est un être insaisissable et complexe prédire son comportement toujours été the big question pour le marque notamment celles de la grande consommation un challenge encore plus compliqué depuis la crise du covid 54 de no concitoyens ont en effet affirmé qu il souhaitaient changer leur comportement achat de produits de grande consommation pgc révèle une étude réalisée par kantar de comportements qui expliquent également par de nouvelles habitude de travail tel que le télétravail qui gagne 10 point en france de futurs changements qui pourraient avérer anxiogènes pour la plupart de industriels puisque pour le shopper français le mot futur ne rime pa vraiment avec optimisme 38 attendent à une baisse de leurs revenus dans le prochains 12 mois contre 25 au royaume uni et 28 en espagne précise lionel germain expert global chez kantar worldpanel à origine de cette étude tandis que moins un français sur 2 47 est optimiste sur le douze prochains mois la même proportion 49 déclare en effet ne pa être certaine que cela va arranger pour eux à la sortie de la crise sanitaire une situation qui pourrait paraître désespérée mais qui selon étude cache de états esprit et de comportements disparates qui vont dessiner le shopper post pandémie est la compréhension fine de ce différences mais également la prise en compte du poids de chacun de différents groupes de shopper dans la clientèle de marque ou de distributeurs qui permettra à ce derniers appréhender avenir et le changements qui vont se produire de façon sereine et réfléchie souligne lionel germain sur la base du comportement achat réel issu de panel et une interrogation commune auprès de 25000 shopper en france au royaume uni et en espagne kantar défini quatre profils type de shopper du plus préservé au plus exposé aux tension économiques deux groupes sont particulièrement importants en france puisqu il pèsent plus de 60 de dépenses pgc détaille lionel germain le pragmatiques et le vulnérables sur la base de ce quatre groupes kantar développé un indicateur score de risque qui permet appréhender le niveau de changement et le risque associé pour une marque ou une catégorie il est construit à partir de réponses au questionnaire du comportement achat issu du panel et de intention de dépenses en liaison avec le poids de ce groupes un point de vue business sur une base foyer de façon logique plus le profil est typé vulnérable plus le score de risque serum élevé cet indicateur aidera le industriels à se positionner face à leurs concurrents et à anticiper le action prioritaires face aux changement à venir explique lionel germain etude réalisée au printemps 2021 sur un échantillon de 25 000 shopper en france royaume uni et espagne échantillon est issu de panel kantar worldpanel la personne interrogée est le responsable de achats pgc au sein du foyer 4 groupes ayant chacun de attentes un état esprit et de comportements différents mais également une appétence au changement différente qui serum mesurée via un indicateur dédié le score de risque isabelle musnik
7people
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https://www.makery.info/2014/09/23/printalive-bioprinter-regenere-la-peau-en-imprimant-des-tissus-pansements/
Engineering
PrintAlive Bioprinter, une imprimante 3D biologique développée les Canadiennes Arianna McAllister et Lian Leng, étudiantes à l’université de Toronto, permet d’imprimer de la peau à une vitesse de fabrication et à une résolution sans précédents. L’imprimante a été pensée pour traiter les brûlures graves. En effet, les solutions utilisées couramment présentent une panoplie d’inconvénients : l’autogreffe nécessite de prélever des quantités importantes de peau sur le patient, ce qui n’est pas toujours possible selon l’étendue des dégâts, les allogreffes peuvent faire l’objet d’un rejet, les substituts synthétiques sont prohibitifs et la thérapie cellulaire est longue à mettre en œuvre. Les deux chercheuses ont appliqué une technologie d’impression biologique qu’elles avaient elles-mêmes développée. L’imprimante 3D fabrique des pansements faits de cellules qui reproduisent avec précision les principales caractéristiques de la peau humaine. Grâce à une cartouche de micro-fluides, l’imprimante peut produire en continu ces feuilles d’hydrogel contenant plusieurs types de cellules afin de contrôler l’épaisseur de la greffe, sa structure et sa composition. Vidéo de présentation du PrintAlive Bioprinter : PrintAlive Bioprinter a déjà été reconnu «Invention de l’année 2013» par l’Université de Toronto. Arianna McAllister et Lian Leng sont également en lice pour le prix international James Dyson (celui des aspirateurs) qui sera décerné le 6 novembre. L’ultime vainqueur de la compétition recevra la somme de 45.000 $, auxquels s’ajoutent 15.000 $ pour son université.   Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
6medical
[ 5, 7, 6, 8 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/pandacraft-accueillir-un-fonds-des-le-depart-a-accelere-notre-professionnalisation_435379
Storytelling
Challenges. Comment fonctionne votre service Pandacraft ? Edouard Trucy. C’est un média par abonnement pour les enfants de 3 à 7 ans. Chaque mois, pour 9,90 euros, l’enfant reçoit un kit dans sa boîte aux lettres avec un magazine et une expérience à réaliser à quatre mains, avec ses parents, pour découvrir le monde qui l’entoure par la manipulation. Tout au long du mois, nous l’accompagnons aussi via un contenu digital sur notre appli ou notre site, consulté chaque semaine par 150 000 familles. Combien de clients comptez-vous ? Trois ans après notre lancement, nous expédions 20 000 kits chaque mois, essentiellement en France. C’est une belle aventure. Et Pandacraft réalisera à la fin de l’année plus d’1,5 million d’euros de chiffre d’affaires. Des investisseurs vous ont-ils aidés dans cette aventure ? D’abord, nos premiers actionnaires, extérieurs aux trois fondateurs : le fonds d’investissement Elaia -Partners, des family offices  comme OTEO, et des business angels. Faire entrer un fonds dès le départ a été une superopportunité en accélérant la professionnalisation de notre entreprise. Et les business angels ? Ils sont autrement stratégiques, et pas seulement d’un point de vue financier. Margaret Milan, par exemple, la fondatrice d’Eveil et Jeux, a partagé son savoir-faire sur le marché de l’enfance et son expérience d’entrepreneur. Cela fait gagner beaucoup de temps et permet d’éviter des oublis. Bpifrance et le Réseau Entreprendre nous ont aussi bien aidés. Quelles sont vos ambitions ? Nous voulons faire rayonner Pandacraft plus largement. D’ici douze à dix-huit mois, Pandacraft sortira en langue anglaise, pour élargir notre empreinte géographique. Nous allons aussi développer une gamme pour les 7 à 12 ans, sachant que nous sommes convaincus de pouvoir toucher les 7 à 77 ans ! Du coup, la concurrence historique réagit. Elle nous évite ou nous poursuit, c’est amusant. Et c’est bon signe. Elle nous inspire aussi. A nous de comprendre comment des acteurs comme Bayard Presse en sont arrivés là. Quel est votre pire souvenir ? C’était à la fin de la première année de Pandacraft : nous avons dû pivoter, c’est-à-dire changer de modèle. Nous offrions trois activités pour 20 euros par mois. Hors marché. C’était ne pas comprendre ce qu’est une famille avec des enfants. Il nous a fallu redescendre dans notre cave, pendant six mois, cessant toute interaction avec le reste du monde. Et là, nous avons vraiment douté… Quels sont vos critères de réussite ? La première question que nous nous posons est de savoir si nous nous épanouissons dans nos vies. Nous cherchons à faire plus que de créer une boîte qui marche, nous avons créé un écosystème où les gens sont heureux : les clients, les salariés, les actionnaires, mes associés, et moi, évidemment. Et quand j’ouvre tous les matins notre page Facebook et que je vois les commentaires, les photos, les vidéos que les abonnés nous envoient, je le suis. Entretien réalisé par Alice Mérieux et Claire Bouleau \n\n \n \n Start-up\n \n
10science
[ 13, 5, 12, 3 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/start-up-a-qui-s-adresse-vraiment-the-family_36935
Financing
Challenges. Vous venez de lever 6 millions d'euros. Que comptez-vous en faire ? Alice Zagury. Nous avons récemment ouvert un bureau à Londres et un second à Barcelone. Cette somme collectée va nous permettre de nous déployer dans les principaux pays européens. The Family investit au capital des start-up qu'elle incube. N'y a-t-il pas conflit d'intérêts ? The Family n'est pas un incubateur, ni un accélérateur, nous sommes une société privée d'investissement qui propose des formations, des outils, et prend du capital dans les start-up que nous accompagnons. Notre objectif est de faire émerger des champions depuis la France ou, demain, l'Europe. Je ne vois pas où réside le conflit d'intérêts : nous nous voyons comme un associé, un actionnaire minoritaire stratégique et de long terme. >> Retrouvez l'entretien complet en vidéo : Quelles sont vos principales sources de revenus ? Nous avons réalisé 2 millions d'euros de chiffre d'affaires l'année dernière, dont 400 000 euros pour le seul mois de décembre. Nos revenus proviennent essentiellement de l'événementiel et de la formation des entrepreneurs, avec notamment notre plateforme Koudetat, disponible depuis peu en accès gratuit, à laquelle 16 000 personnes sont abonnées. Quel public visez-vous ? Notre offre ne cible pas seulement les start-up, mais aussi les grands groupes. Pour ceux-ci, nous avons lancé une nouvelle plateforme, MBA (Mastering Barbarian Administrations), et notre programme d'éducation, PathFinder. Nous leur disons : « Arrêtez de créer des incubateurs, des fonds corporate , c'est stérile. » L'enjeu est : comment créer une innovation ? C'est une autre source de revenus pour The Family. PathFinder a dopé notre croissance fin 2015 : il a touché de nouveaux publics, entre les grandes entreprises et les institutions. Quelles sont vos plus belles réussites ? Il y a Algolia, le moteur de recherche sur les bases de données des développeurs ; Save, spécialisé dans la réparation de téléphones mobiles et tablettes ; Menu Next Door, un service de commande de plats cuisinés à son voisin ; ou encore Afro-stream, le Netflix des contenus afro-caribéens… Quels sont vos critères de sélection ? Nous avons un seul impératif : si l'un des septpartners de The Family qui a reçu le fondateur de la start-up a un coup de cœur, l'ensemble du partnership s'aligne sur sa décision. C'est une manière d'éviter les lourdeurs administratives. Notre critère essentiel est l'humain. Pour vouloir se retrousser les manches, il faut que nous l'aimions ! Quelle est la principale erreur à éviter pour un start-upper ? J'en vois une première chez les primo-entrepreneurs : ils sont souvent très excités, veulent se consacrer pleinement à leur idée, et foncent parfois un peu trop vite. Il ne faut pas aimer les idées, il faut analyser le projet : est-il important et suffisamment excitant pour moi pour que j'y consacre l'ensemble de ma vie ? C'est alors un changement de perspective. Entretien réalisé au Victoria 1836 par Capucine Cousin et Jean-Baptiste Diebold \n\n \n \n Croissance\n Start-up\n \n
5learning
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https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/vehicule-utilitaire-entreprise/
Financing
Lorsqu’une entreprise a besoin d’un véhicule utilitaire, elle devra faire un choix entre plusieurs options pour en avoir la disposition. L’entreprise pourra devenir propriétaire du véhicule, en l’achetant cash ou en contractant un emprunt,  mais aussi être locataire du véhicule par le biais de la location financière ou du crédit-bail. Le moyen à utiliser pour prendre un véhicule utilitaire avec une entreprise est une question très fréquente. L’entreprise devra donc comparer ces différentes possibilités, qui présentent chacune des avantages et des inconvénients, et retenir la solution qui lui parait la plus avantageuse. Lorsqu’une entreprise décide de louer un véhicule utilitaire, elle n’en sera pas propriétaire mais bénéficiera simplement d’une mise à disposition du véhicule. La location utilitaire d’un véhicule est une solution couramment utilisée, avec le crédit-bail, par les entrepreneurs. Cela s’explique notamment par le fait que ce choix leur permet de concentrer leurs ressources sur la création et le développement de leur activité. Ce moyen permettra de préserver la trésorerie de l’entreprise, car les sorties d’argent correspondront aux loyers à verser qui sont étalés sur la période de location. De plus, les loyers permettront à l’entreprise de diminuer son bénéfice imposable car les loyers constituent des charges déductibles. Ce dernier argument est toutefois à prendre avec précaution car une entreprise qui achète un véhicule pourra déduire des amortissements de son bénéfice imposable. Cette solution est globalement semblable à la précédente mais une exception significative est à signaler lors de la fin du contrat : L’entreprise pourra décider de rendre le véhicule au crédit-bailleur ou alors d’acquérir le véhicule. Pour cela, tous les contrats de crédit-bail prévoient un prix résiduel qui correspondra au prix que l’entreprise devra verser en fin de contrat pour devenir propriétaire du véhicule. Lorsqu’une entreprise en a les moyens, l’acquisition d’un véhicule en utilisant sa trésorerie est bien entendu la solution la moins coûteuse à terme pour l’entreprise, car aucune charge supplémentaire, excepté celles liées à l’acquisition du véhicule, ne sera due. L’utilisation de cette solution peut toutefois être préjudiciable à l’entreprise si cette dernière a une trésorerie qui ne lui permet pas de tout financer ces projets. Dans certains cas, consacrer ses ressources sur l’acquisition d’un véhicule nécessitera de laisser de côté d’autres besoins qui sont plus importants pour l’activité de l’entreprise : Acquisition d’une machine, agencement des locaux… D’autre part, il ne faut que l’entreprise soit ensuite en danger à cause du décaissement pour acquérir le véhicule, comme par exemple être à découvert. Nous nous adressons ici à des entreprises qui disposent d’importantes ressources, pour lesquelles le règlement comptant n’a que peu d’impact que l’activité et la santé de l’entreprise. Enfin, il ne faut perdre de vue que l’entreprise peut faire travailler sa trésorerie, comme par exemple en effectuant des placements, et générer ainsi des intérêts qui peuvent dans certains cas être supérieur au coût de l’endettement. Dans ce cas, l’entreprise aurait plutôt intérêt à contracter un emprunt pour acquérir le véhicule utilitaire, et laisser sa trésorerie travailler, ce qui permettra de couvrir les frais supplémentaires liés à l’emprunt : Les intérêts et l’assurance. Cette solution est plutôt destinée aux entreprises ayant un faible niveau d’endettement et qui ont besoin de leur trésorerie pour financer leur activité ou qui ont d’autres préoccupations plus importantes pour utiliser leurs ressources. Il n’y a pas une solution qui soit constamment meilleure qu’une autre et c’est, dans beaucoup de cas d’ailleurs, à l’entrepreneur de peser le pour et le contre de chacune des possibilités, s’il en a le choix bien entendu. Il faut pour cela ne pas uniquement se concentrer sur la solution la moins coûteuse, mais aussi prendre en compte l’impact sur l’entreprise elle-même. A lire également sur le coin des entrepreneurs :
13transport
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/de-laction-climat
Market Impact
L’ambition française est d’éliminer les émissions de gaz à effet de serre sur le sol national à l’horizon 2050. C’est l’objectif « ZEN » : zéro émissions nettes de gaz à effet de serre liées aux activités humaines, les émissions brutes résiduelles ayant vocation à être absorbées par les puits de carbone que sont notamment les forêts, les prairies et à plus long terme les dispositifs techniques de capture et séquestration du carbone. Cette ambition doit s’incarner dans des changements de comportement, des investissements publics et privés, et plus généralement dans un ensemble d’actions publiques et privées. Il faut agir sur un front large, mais il faut aussi agir dans le bon ordre, fixer des priorités, concentrer les moyens sur les actions utiles, arbitrer entre le déploiement rapide de technologies matures et l’anticipation de nouvelles solutions permises par les innovations en cours, accompagner les transitions industrielles et sociales. Donner une valeur monétaire à l’action pour le climat, c’est reconnaître la valeur de l’action par rapport à la non-action, c’est signaler que les activités humaines doivent intégrer, «internaliser» les bénéfices collectifs que procure la réduction des émissions de gaz à effet de serre. C’est se donner une référence pour sélectionner et hiérarchiser les actions utiles à la collectivité. La valeur de l’action pour le climat s’inscrit dans une stratégie publique de long terme exprimant une vision partagée de la lutte contre le changement climatique – en l’occurrence l’Accord de Paris de 2015 et le Plan Climat de 2017. Dans le cas particulier de l’analyse socioéconomique des investissements publics, l’État décide de la valeur qu’il va retenir pour les évaluer : c’est le sens originel de l’expression de « valeur tutélaire », étendu ici à un cadre plus général. S’inscrivant dans une longue tradition française de calcul économique, et dans la démarche des précédentes commissions présidées par Marcel Boiteux (2001) et Alain Quinet (2008) [1], le présent rapport est le fruit du travail d’une commission composée d’une vingtaine d’experts et d’économistes de l’environnement issus de l’université, des centres de recherche et des organisations internationales, du monde économique et social, des organisations non gouvernementales et de l’administration [2]. La commission « Valeur de l’action pour le cllimat » a mobilisé pour élaborer ses propositions cinq équipes de modélisation, auditionné plusieurs personnalités et tenu de nombreux ateliers ouverts aux représentants des différents secteurs de l'économie [3]. Par l’Accord de Paris de 2015, les parties se sont fixé comme ambition collective de parvenir à la neutralité carbone au cours de la seconde moitié du XXIe siècle, l’Accord invitant les pays développés à atteindre cet objectif avant les pays en développement. Cet objectif s’appuie sur le diagnostic du Groupement d’experts internationaux sur le Climat (GIEC) d’un épuisement du budget carbone – c’est-à-dire des marges résiduelles disponibles pour émettre des gaz à effet de serre – si l’on veut contenir le réchauffement climatique en-deçà de 2 °C. Sur la base des tendances passées, nous n’avons devant nous que trois décennies d’émissions à notre disposition : au-delà, notre marge de manoeuvre sera épuisée, avec un risque élevé que se matérialisent des dommages graves et irréversibles. La lutte contre le changement climatique et les bénéfices qu’elle procure pour la collectivité ne sont pas spontanément pris en compte dans les calculs de rentabilité financière des acteurs publics et privés. La valeur de l’action pour le climat – ou valeur tutélaire du carbone – vient combler cette défaillance de marché : elle donne une mesure du chemin qui reste à parcourir – et exprime en conséquence la valeur que la société doit accorder aux actions publiques et privées de décarbonation permettant d’arriver au bout du chemin. Ce sont les deux faces d’une même pièce. [1] Commissariat général du Plan (2001), Transports : choix des investissements et coût des nuisances, rapport du groupe présidé par Marcel Boiteux, Paris, La Documentation française ; Centre d’analyse stratégique (2008), La Valeur tutélaire du carbone, rapport de la commission présidée par Alain Quinet, Paris, La Documentation française.\n[2] La liste des membres de la commission figure en annexe 2.\n[3] La liste des personnes auditionnées figure en annexe 3. La valeur de l'action pour le climat, c'est quoi ?, par fcausse     France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/lentrepreneuriat-social-plutot-dans-un-incubateur-que-dans-un-grand-groupe-1175018
Magic Team
“En 2010, motivée par l’envie de m’envoler du nid familial, mais aussi par l’expérience de vivre à l’étranger, j’ai fait le choix de partir faire mes études en Angleterre. J’ai intégré une licence en sciences politiques à York, petite ville pittoresque dans le nord du pays. La plupart des étudiants se posaient davantage de questions sur leur carrière professionnelle que sur les études à suivre. Ce qui m’allait bien, je m’y retrouvais. J’avais toujours été sensible aux enjeux de développement durable et j’avais la certitude de vouloir avant tout me consacrer à des projets avec du sens et un impact fort. Mon objectif était donc clair : découvrir ce secteur-là. J’ai eu plusieurs expériences en gestion de projet dans le développement durable, une première au sein du programme environnemental de l’ONU à Genève, puis une seconde à Commission européenne où le cœur de ma mission était d’identifier et de construire les indicateurs de performance environnementale en Europe. Puis, je me suis tournée vers le secteur privé, en faisant un stage dans le service RSE (Responsabilité sociale des entreprises) de Veolia. Ces expériences qui me faisaient tant rêver ont été très enrichissantes mais aussi un peu frustrantes… En effet, travailler dans de telles organisations m’ont mise face à des processus de décision très lents, avec très peu d’ancrage sur le terrain. En 2016, j’ai le déclic. Je participe, durant un an, au lancement de Too Good To Go à Londres. Une expérience pour le moins riche et stimulante ! Et pour cause : l’enjeu était de convaincre les commerces de proximité de valoriser, pour la première fois, leurs invendus. Le résultat : un succès franc, dont nous avons encore la preuve aujourd’hui. Cette expérience a été un véritable élément déclencheur dans mon parcours. Nourrissant mon engagement et mes convictions environnementales, elle m’a permis de réaliser qu’il était possible, en partant de zéro, de pouvoir impulser et développer un projet impactant et durable. C’est à mon retour en France, sonnant la fin de mes études, que tout s’est alors accéléré. J’ai intégré un master à l’Edhec en Innovation Sociale, animé en partie par La Ruche, le réseau d’incubateurs d’entreprises à impact. C’est en immersion dans la conduite d’un projet d’entrepreneuriat social, à travers une pédagogie concrète et ludique, que j’ai trouvé une véritable convergence des valeurs et une vision commune de la société à bâtir avec l’équipe de La Ruche. Résultat : cela fait désormais deux ans et demi que je travaille à La Ruche. J’ai vu dans cet incubateur la possibilité de participer activement à des projets à impact et transformateurs. Je travaille dans une petite structure avec des missions amenées à évoluer rapidement. Aujourd’hui, je suis responsable des Audacieuses, le programme historique d'incubation de La Ruche dédié à l’entrepreneuriat social féminin. Je cherche des partenariats, m'occupe de la coordination du parcours d’accompagnement des startuppeuses, je gère les phases d’appel à projet et de sélection, etc. Enfin, je m'assure de la pérennité du programme. Ce que je retiens aujourd’hui, c’est la faculté de cette petite structure à avoir poussé toujours plus loin mes compétences. J’ai appris à repousser mes limites pour faire éclore le potentiel de tous, à commencer par le mien.”
5learning
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/covoiturage-la-start-up-klaxit-se-lance-a-metz-angers-rouen-et-monaco_727462
Needs
Challenges - Quand est né Klaxit? Julien Honnart - L’entreprise a été créée en 2012, à l’époque où le co­voiturage longue distance naissait. Nous étions convaincus qu’il y avait aussi un créneau pour la courte distance. De plus en plus de gens al­laient travailler dans les grandes villes, loin de leur domicile, générant des problèmes de coût du transport, de congestion, de pollution... Qu’avez-vous imaginé? Nous avons lancé une appli et créé des réseaux de covoiturage entre­ prise par entreprise, puis par zone d’activité. Aujourd’hui, nous avons 300 clients, dont 50% du CAC 40. En 2017, nous avons commencé à cou­vrir des villes complètes. Avec quel modèle?\n\nNous demandons aux collectivités de subventionner nos trajets. Le passager voyage pour 1 euro symboli­que environ. Le conducteur, lui, est rémunéré 2 euros jusqu’à une certaine distance, plus au­-delà. La pre­mière année de test, le budget n’ex­cède pas 100.000 euros pour une métropole. Nous nous lançons dans dix nouvelles villes, dont Rouen, Angers, Metz et Monaco. Au total, Klaxit est l’opérateur de covoiturage de 20 villes. Nous en visons une di­zaine d’autres d’ici six mois. Qu’est-ce qui incite ces villes à passer au covoiturage?\n\nLa loi d’orientation des mobilités (Lom) a pérennisé notre modèle et consacré le covoiturage courte dis­tance comme nouveau transport en commun. Elle a donné la possibilité aux collectivités de le subvention­ner. Elle a aussi créé le forfait mobi­lités durables, qui permet aux em­ployeurs de rembourser les frais de transport domicile-­travail de leurs salariés, y compris en covoiturage, jusqu’à 400 euros par an, exonérés de charges sociales.\n\nQu’est-ce qui vous différencie du leader BlaBlaLines?\n\nNous avons un modèle. BlaBlaLines est devant nous en volume, mais ils subventionnent les trajets. Par ail­leurs, notre appli, lancée bien avant, propose davantage d’options. Notre technologie minimise les détours du conducteur en le laissant choisir ses étapes. Côté passager, notre garan­tie retour avec la Maïf prend en charge le retour à domicile en Uber si le conducteur annule.\n\nEn mars, vous visiez 5 millions de chiffre d’affaires. Et maintenant? \n\nLe confinement a décalé notre im­plantation dans certaines villes et entreprises. Mais notre modèle est résilient: une très faible partie de nos revenus dépend des volumes. Le chiffre d’affaires triplera, à 3 mil­lions d’euros. C’est quand même une très belle année! Nous visons la rentabilité en 2021.\n\nMais les gens ont-ils envie de covoiturer dans le contexte actuel? \n\nDepuis la fin de la limitation à un passager par véhicule le 21 juin, nous avons retrouvé notre niveau de trajets de novembre 2019. La ren­trée se passe très bien. Faire du covoiturage domicile­-travail revient à côtoyer matin et soir une ou deux personnes, masquées, souvent les mêmes. Comparé au nombre de personnes dans les transports en commun, le calcul est vite fait!\n\nVotre rêve de croissance ?\n\nVoir la pollution et la congestion diminuer dans une ville grâce à Klaxit. \n\n \n \n Transport\n Blablacar\n \n
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https://www.maddyness.com/2017/02/01/martech-marketing-mobile-2017/
Storytelling
hélène queriault vp operation chez addict mobile supervisé en 2016 plus de 250 000 campagnes sur plus de 70 application mobile occasion de revenir avec experte du marketing mobile sur le évolutions qui attendent le marché en 2017 comment se porte le marché de application mobile en ce début 2017 presque 10 an après le lancement de appstore en 2008 le marché de apps et de la publicité mobile bénéficie toujours une croissance explosive à nouveau 64 au dernier trimestre 2016 le budget publicitaires basculent de medium traditionnels print tv digital vers le mobile en cohérence avec augmentation du temp passé par le consommateurs sur leurs smartphones et tablettes sur mobile la dépense publicitaire mobile est réalisée à 81 au sein de apps contre 19 sur le site web mobile le poids de application face au webmobile continue augmenter là aussi proportionnellement au temp passé par le mobinautes entre application et webmobile quels ont été pour vous le faits marquants de 2016 en marketing mobile en termes inventaire publicitaire 2016 nettement vu le poids du seo campagnes de search augmenter avec amélioration continuelle de outil de google une part et autre part avec le lancement de apple search ad aux états unis dont nous espérons le déploiement mondial en 2017 en termes de format publicitaires la tendance 2016 qui se confirmera certainement en 2017 témoigne une diversification vers davantage interaction et de dynamisme facebook propose plus de vidéo le format canvas le diaporama etc il a plus de vidéo globalement sur tous le canaux apparition de nouveaux format type playable ad ou format dynamiques type html5 même il ne représentent encore qu une part limitée de inventaires montrent la volonté du marché sur le sujetnous avon aussi vu en 2016 une forte croissance du retargeting no client ont désormais de apps matures avec un parc installé utilisateurs conséquents leurs enjeux résident désormais autant sur la fidélisation et le ré engagement de utilisateurs existants que sur la conquête de nouveaux utilisateurs nous somme passés une répartition de ordre de 90 10 entre acquisition retargeting fin 2015 à 70 30 en moyenne fin 2016 avec même certains projets allant jusqu à 80 de retargeting usage fin de la data permet afficher une publicité spécifique à un utilisateur ciblé en fonction de son profil utilisation de application le résultats de ce type de campagnes de ré engagement sont performants et enfin une tendance moins glorieuse mais également marquante de 2016 explosion de la fraude sur tous le canaux hors facebook surtout à partir du deuxième semestre cf notre article sur la fraude en sept la fraude recouvre une variété de ca faux trafic généré par de robot trafic en provenance du tier monde re routé fraude au trafic organique elle est endémique présente sur tous le canaux et peut représenter jusqu à 30 de la facture mensuelle de annonceur il est indispensable de se doter outils efficaces de prévention et de détection et quelles sont le perspective 2017 année du tout facebook certes facebook est acteur incontournable du marketing mobile cf notre article à ce sujet en moyenne nous dépensons jusqu à 50 de budget de no client sur facebook est une part très importante mais cela veut aussi dire qu il a 50 ailleurs en 2016 nous avon vu google revenir dans la course en matière de performance pour de campagnes acquisition app install google représente désormais environ 10 de no budget et serum pour nous un acteur majeur en 2017apple ouvert le publicités search ad dans appstore aux etats unis avec de résultats et de performance très encourageants apple serum aussi un acteur majeur en 2017 et il existe plus une centaine autres acteurs régies publicitaires affiliés dsp autres réseaux sociaux avec de performance et de volume intéressants dès lors qu on multiplie le source avec un outil de gestion automatisé comme la plateforme addict mobile 2017 serum année de la data dmp est le mot à la mode par excellence idée est être capable de bien comprendre le profil de s utilisateurs pour aller chercher en acquisition de utilisateurs comparables look alike et ré engager s utilisateurs avec de message dédiés selon leur profil la dmp addict mobile pour ambition de travailler à proposer le mêmes capacités de ciblage et audience look alike que facebook sur tous le autres canaux régies display et video affiliés dsp etc de la même façon en retargeting la donnée collectée sert à catégoriser vos utilisateurs avec le identifiants device id selon différents profils pour ensuite le re cibler avec de message dédiés sur ensemble de leviers régies affiliés dsp avec de très bonnes performance ailleurs est grâce à ce travail de ciblage retargeting que le performance sont enfin intéressantes sur inventaire programmatique en rtb en tant que professionnelle du marketing mobile si vous aviez trois voeux pour 2017 ce serait voici me trois vœux pour continuer améliorer le marché du marketing mobile en 2017 aimerais aider le marketeurs à dépasser la vision simpliste du coût par install cpi pour un pilotage de leur acquisition basé sur la rentabilité de son marketing pour cela il faut inclure le trafic organique additionnel acquisition un impact fort sur augmentation du trafic naturel qu il est souhaitable de mesurer pour un calcul de rentabilité complet la ltv est à dire le revenus par utilisateur sur ensemble de sa durée de vie 6 mois 1 an voire plus ce qui exige à la fois la construction hypothèses et un modèle de rentabilité et analyse de données historiques je souhaiterais voir émerger encore plus de plateformes à la performance le beta se multiplient le linkedin pinterest spotify snapchat periscope se lancent mais sont encore très orientés branding espère que le modèles à la performance se développeront en 2017 et enfin je rêverais un modèle attribution un peu plus sophistiqué que du last click 7 jours le outils attribution nous offriront peut être un jour de pouvoir rémunérer ensemble de impression une publicité en fonction de leur contribution respective 2017 promet être une année explosive en marketing mobile saisissez le opportunités et dotez vous outils performants pour le pilotage de votre acquisition
3digital
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/atelier-dexperts-lavenir-obligations-vertes
Legitimacy
Cet événement rassemblera des experts du marché des obligations vertes du secteur privé, des institutions publiques, des milieux universitaires et des ONG. L'objectif de l'événement est de lancer une discussion sur l'avenir du marché obligataire vert et les prochaines étapes pour les acteurs concernés. Le format des ateliers permettra des discussions de haut niveau entre les participants afin de partager leurs expertises et de concevoir des recommandations concrètes pour accélérer le développement du marché des obligations vertes tout en assurant son intégrité environnementale. Les conclusions de ces discussions alimenteront l'étude d’I4CE en cours financée par la Fondation Climate Works. L'objectif de ce projet de recherche est d'aider les décideurs publiques et les acteurs du marché à mettre en place des mesures visant à accroître la contribution du marché des obligations vertes au financement de la transition bas carbone tout en assurant son intégrité environnementale. Cette étude s'appuie sur le rapport d’I4CE “Beyond transparency: Unlocking the full potential of green bonds” publié en 2016. 9h00 – Accueil et café 9h30 – Introduction\nFabrice LENGLART, France Stratégie ; Hakan LUCIUS, EIB ; Benoît LEGUET, I4CE 9h45 – Présentation du contexte et questions\nMorgan DESPRES, Banque de France 10h15 – Présentation de l’étude d’I4CE et questions\nMorgane NICOL et Igor SHISHLOV, I4CE 10h45 – Pause café 11h00 – 1A. Titrisation verte\nAnimé par Sean KIDNEY, CBI 11h00 – 1B. Revue externe\nAnimé par Aldo ROMANI, EIB et Jochen KRIMPHOFF, WWF 13h00 – Déjeuner 14h00 – 2A. Reporting d’impact\nAnimé par Peter MUNRO, ICMA 14h00 – 2B. Le rôle du secteur public\nAnimé par Ian COCHRAN, I4CE 16h00 – Pause café 16h15 – Présentation des résultats des ateliers par les modérateurs 17h00 – Conclusions\nBenoît LEGUET, I4CE France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
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https://www.strategie.gouv.fr/english-articles/report-public-subsidies-harmful-biodiversity
Market Impact
For even though we are not always aware of it, mankind benefits from the immense services freely provided by ecosystems. This is the source from which we draw our food, as well as fuel and building materials. Apart from these “appropriable” goods, biodiversity enables the purification of water, climate stabilisation and moderation, and the regulation of floods, droughts and epidemics. In short, biodiversity is vital for us. Yet, throughout the world, an increasingly rapid rate of decline in biodiversity has been observed for several decades, giving rise to fears of serious upheavals in our environment. Responsibility for this decline falls, in the first place, to mankind, which is also a potential victim thereof. The principal factors of deterioration of natural habitats originate from human activity: the increasing sealing of soils, which roads, car parks and airports cover with waterproof surfaces; the fragmentation of terrestrial habitats caused by transport infrastructures and the intensification of agricultural practices; the overexploitation of renewable natural sources and, at the forefront, fishing stocks and freshwater; pollution by nitrates, pesticides and other heavy metals; the introduction of invasive exotic species and climate change etc. So many pressures that are progressively reducing biodiversity. All, or almost all, of the sectors of our economy are concerned: industry, agriculture, drilling and quarrying activities, transport, tourism, housing, local recreational activities, etc. Although all have already undertaken significant efforts to reduce greenhouse gas emissions, initiatives with regard to the preservation of biodiversity continue to lag behind. It is the duty of the authorities to contribute to bridging this gap. Moreover, they have a field of investigation at their disposal that is still little explored: with a view to both virtue and effectiveness, they are able to closely scrutinise all public subsidies which, due to their side-effects or pernicious results, may prove harmful to the maintenance of biodiversity. A change of this kind was judged to be a priority by the Convention on Biological Diversity held in Nagoya in 2010. In its communication of 20 September 2011, the European Commission also calls for the adoption of the “phasing-out”, by 2020, of “environmentally harmful subsidies”, “with due regard to the impact on people in need”. At the national level, this objective is included among the undertakings made at the time of the “Grenelle de l’environnement” (the French national consultation process on environment) and in the National Strategy for Biodiversity presented by the Minister of Ecology on 19 May 2011. This provides the context for the proceedings of the working group chaired by Guillaume Sainteny. The group of experts was assigned the task of listing subsidies for which a proven causal link with the decline of biodiversity can be shown to exist, and to propose possible courses of reform. I would like to extend my warm thanks to the Chairman and to all of the members of the mission who took up this vast and complex task. Firstly, because public incentives originate from many different sources – the State, regional authorities, Europe – and are also diverse in nature – they may involve subsidies, tax expenditure and extensions or partial application of regulations, etc. Secondly, and above all, because it is not always easy to prove their impact upon biodiversity, and still less to assess it. The working group has the merit of having opened up numerous possible courses of reform, with regard to both general guidelines and concrete, achievable short-term recommendations. Each of the latter oblige public decision-makers to change their outlook, and raise the question of the difficulty of reconciling the defence of biodiversity with economic and social imperatives. We may therefore be sure that this work, which follows on from the reference report of Bernard Chevassus-au-Louis on the value of biodiversity , will provide material for numerous debates and reforms in the coming years. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
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https://www.lavoix.eu/fr/news/245/depot-unique-chili
Securing
  Au Chili, il est désormais possible de déposer une marque pour des produits et des services via un formulaire unique.   En cas de conflit sur la base ou à l’encontre de votre marque, il ne sera pas obligatoire de procéder à la séparation des produits et des services, toutefois cette possibilité demeurera ouverte. Chaque demande divisionnaire conservera la date et la priorité de la demande de base, néanmoins, il sera nécessaire de payer à nouveau les frais inhérent au dépôt d’une nouvelle demande.   L’intérêt de cette faculté à procéder à des dépôts uniques pour les marques désignant des produits et des services est essentiellement d’ordre financier dans la mesure où il n’y aura qu’une seule taxe de dépôt et de renouvellement, sous réserve qu’aucune demande divisionnaire ne soit faite.   Contacts : Marion LAPERRIERE et Béatrice DAUBIN  
1business
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https://www.lavoix.eu/fr/news/451/intelligence-artificielle-et-secteur-medical
Legitimacy
Les dernières statistiques publiées par l’Office Européen des Brevets (OEB) en mars 2021 montrent l’évolution sur un an des dépôts de demandes de brevets à l’OEB secteur par secteur. Il est notable que les technologies médicales, les produits pharmaceutiques et la biotechnologie ont enregistré une croissance respective de +2,6%, +10,2% et +6,3%. Les technologies médicales deviennent ainsi le secteur avec le plus de dépôts européens en 2020.   Des technologies d’intelligence artificielle se retrouvent-elles dans certaines de ces inventions du domaine médical ?   La réponse est oui. A cet effet, nous avons identifié trois brevets de ce domaine ayant fait l’objet d’une délivrance récente et dont la revendication 1 porte sur l’utilisation d’un outil d’intelligence artificielle appliqué sur des données d’entrée pour obtenir une estimation de données de sortie souhaitées, comme illustré par le tableau suivant : Dans le tableau, les éléments en gras constituent les éléments justifiant la délivrance par l’OEB.   Les exemples précités mettent en évidence que tous les domaines du médical sont concernés par l’intelligence artificielle, et en particulier le diagnostic et l’imagerie.   Ces exemples montrent aussi que la brevetabilité provient de données d’entrée originales et/ou de l’emploi d’un outil d’intelligence artificiel spécifique.   Protéger un outil d’intelligence artificiel dans le domaine médical est donc tout à fait possible et pour cela, il suffit d’identifier un élément original parmi les données d’entrée/de sortie et/ou l’outil d’intelligence artificiel.   Nos experts LAVOIX sont à votre disposition pour vous aider à une telle identification.  
6medical
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https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/impact-covid19-creations-entreprises/
Financing
L’INSEE a publié, le 3 février 2021, son rapport annuel sur les créations d’entreprises en France. Il concerne l’année 2020, année marquée par l’apparition d’une crise sans précédent, due à la pandémie de COVID-19. Et… Surprise, l’institut de statistiques constate que le nombre de création d’entreprises a tout de même augmenté de 4% par rapport à 2019. Certains secteurs ont été porteurs et ont fortement contribué à cette hausse. Voici les principaux enseignements du rapport de l’INSEE portant sur les créations d’entreprises en 2020. L’analyse est accessible, dans son intégralité, ici. En matière de création d’entreprises, l’année 2020 témoigne d’un nouveau record. Tous statuts juridiques confondus (sociétés, entreprises individuelles et micro-entreprises) mais hors activités agricoles, 848 200 entreprises ont été créées en 2020, contre environ 815 300 en 2019. 32 900 entreprises supplémentaires ont donc vu le jour au cours de l’année écoulée. L’essor des micro-entreprises justifie, à lui seul, cette hausse. En effet, 45 900 créations supplémentaires de micro-entreprises ont eu lieu en 2020, en comparaison avec 2019. La micro-entreprise consolide sa place de statut préféré des créateurs d’entreprises français : elle représente près de 2 créations sur 3 en 2020… Pour le reste, les créations d’entreprises individuelles affichent un net recul : 82 000 en 2020 soit – 13 000 par rapport à 2019. Les sociétés se maintiennent à un niveau équivalent à celui de 2019 (218 000 créations). La société par actions simplifiée – SAS – et sa déclinaison unipersonnelle – la SASU – représentent désormais 2 créations de sociétés sur 3. Dans son rapport, l’INSEE affirme toutefois que les créations d’entreprises ont subi un effet de saisonnalité en 2020. Il est du au Covid-19 et justifié par les différentes mesures qui ont été prises pour freiner la propagation de l’épidémie. Ainsi, le nombre de créations d’entreprises s’est effondré lors du premier confinement, de mi-mars à mi-mai 2020. Un rattrapage a toutefois eu lieu tout au long de l’été. Et le rythme des créations d’entreprises, plutôt élevé, s’est maintenu jusqu’à la fin de l’année. Le secteur qui contribue le plus à la hausse de créations d’entreprises est celui des transports et de l’entreposage (+18 000 créations). Il comprend essentiellement la livraison à domicile, dont l’activité s’est fortement développé suite aux confinements/déconfinements successifs. Logiquement, l’activité de vente à distance a également permis de soutenir le rythme des créations d’entreprises. Elle a généré 11 000 créations supplémentaires par rapport à 2019. Enfin, l’immobilier a apporté sa pierre à l’édifice (+ 3 300 créations notamment d’agences immobilières). Sans surprise étant donné le contexte de crise sanitaire, le nombre de créations d’entreprises décroît de façon importante dans le domaine de l’enseignement (disciplines sportives et activités de loisirs), du coaching, des services aux ménages (coiffure, soins de beauté…). Soulignons que la plupart des créateurs issus des secteurs d’activité présentés ci-dessus ont choisi le statut de micro-entrepreneur. Parmi les autres enseignements que l’on peut tirer du rapport de l’INSEE, on apprend notamment que :
13transport
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/start-up-wetradelocal-le-futur-amazon-des-circuits-courts_753618
Market Impact
Challenges - D’où vient votre intérêt pour les fleurs? \n\nHortense Harang - Ma famille est très attachée à la nature. Ma tante a fondé Oenobiol. J’ai découvert qu’en France 90% des fleurs sont importées. Notre balance est déficitaire de 900 millions d’euros par an. En 1972, il y avait plus de 30.000 exploitations horticoles. Il n’en reste que 3.500. Or, selon l’étude Shopper Observer publiée en juin dernier par Havas, 92% des Français sont prêts à consommer plus local.\n\nQuelle solution avez-vous imaginée? \n\nGrâce à la technologie, nous centralisons l’information tout en décentralisant la production. Pour livrer un bouquet à votre grand-mère, partout en France, vous commandez sur le site Fleurs d’Ici. L’algorithme de matching, similaire à celui d’Uber, attribue la commande au fleuriste le plus près d’elle. Pour livrer, nous travaillons avec des transfuges des plateformes comme Deliveroo qui ont créé la coopérative CoopCycle. Ils sont rémunérés justement, à peu près 12 euros la course. Comment sélectionnez-vous les fleuristes? Nous travaillons avec 300 fleuristes qui s’engagent à se fournir localement, dans le respect des saisons. Nous n’avons donc pas de catalogue. Cela obligerait à proposer toute l’année les mêmes fleurs et à travailler avec des industriels. Comment les aidez-vous à se fournir localement? Nous avons créé une place de marché B to B, fermesflorales.fr, qui recrée les liens qui existaient entre les fleuristes et les producteurs locaux avant que les Hollandais n’industrialisent la filière. Et permet de consolider des ordres pour arriver à un système viable. Cette logistique du premier kilomètre repose sur la mutualisation des livraisons, et pas seulement de fleurs… C’est-à-dire? Nous allons appliquer notre technologie à d’autres filières. Cet été, Wetradelocal lancera une déclinaison pour la restauration collective, où les circuits courts ne pèsent que 5% des volumes. Nous ferons travailler les restaurateurs indépendants quand leur cuisine est inoccupée, de 14 heures à 17 heures, et les aiderons à se fournir localement. Comment financerez-vous ce projet? Déjà, nous avons un modèle économique, ce qui nous permet d’emprunter. Ensuite, nous allons lever prochainement plusieurs millions d’euros auprès de 2050, le nouveau fonds de Marie Ekeland, qui réalise ainsi son premier investissement dans l’agriculture, et d’autres acteurs de la finance durable. Nous voulons tripler nos effectifs, pour les porter à 60 personnes d’ici à la fin 2021. D’où viennent vos revenus? Nous réalisons 80% de notre chiffre d’affaires en B to B. Nous vendons des bouquets d’accueil à une centaine de grandes entreprises, comme LVMH ou Orange, ainsi qu’aux entreprises de facility management comme Sodexo ou Derichebourg. Ce sont des contrats d’abonnement. Après 6 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2020, nous avons déjà signé pour 30 millions en 2021. Votre rêve de croissance? Proposer une alternative durable et verte à Amazon, centrée sur les circuits courts. \n\n \n \n Amazon\n Deliveroo\n \n
0agronomy
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/comment-talentsoft-est-devenu-numero-un-en-europe_477280
Magic Team
A quoi sert Talentsoft? C'est un logiciel de gestion du capital humain qui enregistre sur une base de données les interactions avec chaque collaborateur (entretiens d'évaluation, augmentations, formations). C'est l'équivalent de Salesforce pour les ressources humaines : au lieu de tout savoir du client pour répondre à ses attentes, on présente au collaborateur des propositions en accord avec ses aspirations mais aussi avec les priorités de l'entreprise. Dix ans après sa création, où en est Talentsoft? Talentsoft représente plus de 50 millions d'euros de chiffre d'affaires, une croissance annuelle de 30%, 1.500 entreprises clientes et 8 millions d'utilisateurs dans 100 pays. Vous avez privilégié la croissance sur la rentabilité… C'est comme sur un échiquier, il faut prendre ses places. Dans le logiciel d'entreprise, il y a des vagues d'équipement. Il faut pousser les pions le plus loin possible pendant ces vagues de façon à être l'un des trois ou quatre acteurs qui comptent. Nous sommes aujourd'hui numéro un en Europe. Et, depuis douze mois, nous sommes implantés au Canada, au Brésil, en Israël et à Singapour. Pourquoi avoir levé 25 millions d'euros auprès de Goldman Sachs? Leur objectif est d'aider les entreprises à devenir plus globales. Ils ont modélisé la transformation d'un champion local en champion mondial. Leur portefeuille d'investissements et de relations fortes avec les dirigeants est un atout énorme. Ensuite, l'équipe franco-allemande qui s'occupe de Talentsoft nous apporte beaucoup. Mais elle n'entre pas dans l'opérationnel. Comment gérer ces actionnaires? Un board se travaille comme un client stratégique. Le PDG doit passer du temps avec chaque membre et trouver le point qui va aligner les actionnaires aux intérêts divergents. Moi, j'ai réussi à vendre la vision que nous pouvions faire mieux que leader européen. Le fait que la French Tech vise à créer des champions globaux et que l'écosystème français soit plus ambitieux m'a permis d'aligner les planètes. Cela n'aurait peut-être pas été le cas il y a cinq ans, quand on me disait que 50 % de croissance, c'était trop ! Conseillez-vous d'entreprendre en deuxième partie de carrière? Oui ! Je fais un appel aux quadras et quinquas : créez votre start-up, c'est le meilleur âge pour le faire ! D'abord, vous pouvez créer un mix de ce que vous avez connu et qui a bien fonctionné. Ensuite, si vous avez travaillé dans de grandes entreprises et géré des millions d'euros, vous avez des réflexes et de l'ambition. Souvent, les entrepreneurs sortant d'université ne savent pas exécuter et doivent recruter un directeur général. Un quadra peut être fondateur et directeur général. Enfin, au bout d'un moment, il faut manager des équipes. Avoir commis des erreurs chez d'autres permet de les éviter soi-même. Quel est votre dernier succès? J'ai une satisfaction : spontanément, des entrepreneurs, jeunes ou non, viennent me voir pour des conseils. Cela n'aurait pas pu se produire si je n'avais pas eu ce parcours. \n\n \n \n Talentsoft\n \n
5learning
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https://www.influencia.net/consommer-local-start-ups-veillent-sur-cette-tendance-remise-gout-jour-par-pandemie/
Storytelling
félix potin shopi champion et codec tiennent leur revanche ce enseignes de superettes aujourd hui disparues ont succombé aux assauts de hypermarchés mais le commerçants de proximité ont pa dit leur dernier mot depuis arrivée de la pandémie 4 consommateurs sur 10 affirment faire davantage leurs course dans de magasins proches de leur domicile selon une étude du leader européen du marketing digital sendinblue 57 de shopper veulent soutenir économie locale 52 se sentent plus en phase avec le commerce de taille plus modeste et 58 souhaitent continuer à faire leurs achats près de chez eux après le confinement plus un tier de sondés 36 sont même prêts à aller plus souvent cette appétence pour le commerce de proximité été renforcée par la crise sanitaire en achetant local le français témoignent de leur attachement aux petits producteurs aux artisan et à tous ce commerce du quotidien épiceries maraîchers boulangeries qui créent du lien social et dynamisent le centre villes le bourgs et le village indique application next4me marke cette dernière permet de trouver en quelques clics de produits artisanaux et fermiers en vente près de chez soi son fonctionnement est très simple agriculteur ou le commerçant ouvre un compte gratuitement sur app et met s références en ligne le client doit pour sa part définir sa localisation ou activer la géolocalisation avant de pouvoir sélectionner le boutique le plus proches passer commande et retirer s article sur place une fois s achats retirés le paiement est libéré en faveur du vendeur et le client peut évaluer son expérience cette application est pa la seule à profiter de notre amour retrouvé pour no commerçants de quartier lancée officiellement en france en mai 2020 flipnpik est un écosystème collaboratif qui vise à aider le distributeurs et le producteurs locaux à renforcer leur présence sur la toile cette start up canadienne aide s client à digitaliser leur commerce à booster leur visibilité à acquérir et à fidéliser leur clientèle pour la modique somme de 365 euro par an le petit commerçant peut disposer une application et un site vendeur personnalisé le lancement de ce forfait est toutefois pa prévu avant le mois de septembre la pandémie en effet ralenti le projets expansion de la jeune pousse nous avon décidé de ne pa facturer le commerçants jusqu à la rentrée afin de leur donner le temp de travailler dans de condition plus normales explique jessica nguyen la directrice europe de flipnpik cet imprévu a pa stoppé net le activités de la start up bien au contraire son application propose ainsi aux consommateurs de prendre en photo le magasins et le produits de leurs boutique de quartier afin de le publier sur le réseaux sociaux pour chaque cliché retenu par flipnpik qui dispose à londres une équipe de modérateurs chargée de filtrer le image malveillantes ou de mauvaise qualité le internautes se voient attribuer de point baptisés flip social qui leur permettront de profiter de cadeaux ou de bons de réduction dans leur boutique de proximité plus de 12 000 commerçants sont déjà impliqués dans cette initiative originale la pandémie catapulté notre volonté de consommer local se félicite jessica nguyen kwalead cherche lui aussi à surfer sur cette vague ce réseau social français permet aux distributeurs de poster leurs offres et leurs bons plan gratuitement à sa communauté qui comprend plus de 300 000 client potentiels le particuliers reçoivent de suggestion qui correspondent à leur profil et à leurs centre intérêt la grande originalité de kwalead repose sur le fait que la moitié de revenus publicitaires générés par utilisation de données personnelles est reversée aux internautes après être inscrit le membre participe à de sondages à de test ou à de enquêtes après avoir sélectionné le partenaire en fonction de la rémunération qui lui serum proposée internaute accepte de partager s données personnelles et sa rémunération qui varie de 1 à 70 euro lui serum versée dans sa cagnotte personnelle longtemps laissés pour compte et abandonnés à leur propre sort le petits commerçants sont aujourd hui appréciés par le consommateurs et choyés par le start ups de la toile le crisis parfois ont du bon et de revoir sans tarder arbre le maire et la médiathèque sans tarder film eric rohmer follement actualité sorti en salles en 1993 therin frédéric
7people
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https://www.influencia.net/mcdonald-inaugure-publicite-segmentee-made-france/
Storytelling
cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span une vague de fraicheur apprête à souffler sur le paysage télévisuel français après avoir été officiellement introduite en août dernier et lancée début 2021 avec un produit minimum viable pour tester ce levier en condition réelles la publicité segmentée débarque enfin sur vos écrans en gros que vous viviez dans le lot et garonne à lyon ou dans le val de marne vous ne verrez désormais plus tout à fait le mêmes spot publicitaires que vos voisins chaque diffusion un contenu publicitaire dépendra donc de votre lieu habitation mais également du nombre de personnes dans votre foyer ou encore de votre catégorie socio professionnelle toutes ce information auront été récoltées au préalable via le box de fournisseurs accès à internet qui équipent le deux tier de foyer jusqu à introduction de ce dispositif été dernier la publicité diffusée en télévision était encadrée par un décret datant du 27 mar 1992 un ensemble de règles qui avait dangereusement pris la poussière et dont le régies tv et le opérateurs télécoms voulaient affranchir ou tout du moins souhtaient le voir assouplir leur objectif principal étant ouvrir la publicité aux secteurs prohibés et bien sûr autoriser la personnalisation de message publicitaires en télévision après de mois de lobbying effréné de interprofessions concernées le gouvernement finalement accepté via un décret promulgué le 5 août 2020 de ré actualiser cette réglementation en dehors de la réforme de audiovisuel repoussée en raison de la crise sanitaire et économique le décret en question donc autorisé officiellement la modification du flux de la tv en différents endroits du territoire et ouvert par la même occasion la voie à la personnalisation de publicités sur le chaînes nationales en télévision linéaire le texte avait introduit également pour la première fois le ciblage publicitaire à la télévision linéaire dont le plan médias reposaient jusqu ici sur le cibles médiamétrie basées sur la consommation de programme industrie y préparait déjà depuis plusieurs mois à travers de test ou de accord commerciaux entre le régies tv et le opérateurs télécoms span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span rien de tel qu un de plus gros annonceurs hexagonaux pour éprouver le dispositif en collaboration avec son agence medium starcom filiale de publicis medium mcdonald diffuse sa première campagne nationale de publicité en tv segmentée mcdonald est bien le premier annonceur à activer sur la même période et sur 3 réseaux de chaînes cette innovation qui préfigure le future campagnes vidéo combinant qualité exposition de la tv grand écran 100 visible audible et précision du ciblage digital afin de renforcer la complémentarité avec la diffusion en tv linéaire jusqu au 6 juin 2021 tf1 france télévisions et m6 diffusent en direct sur leurs chaines historiques et chaines de complément un spot publicitaire auprès de téléspectateurs équipés tv appartenant à la cible qualifiée petits consommateurs tv ce segment audience correspond aux foyer allumant leur box moins une heure par jour ce dispositif permet à mcdonald d atteindre le foyer le moins exposés à la pub tv classique et optimiser sa couverture publicitaire en respect du cadre règlementaire seuls le foyer consentants à analyse de la consommation de leurs programme et au ciblage publicitaire tv sont ciblés la publicité segmentée apprête à faire couler beaucoup encre dans le mois à venir surtout pour le implication médiatiques qu elle soulève tout abord il faudra éviter de trop pénaliser le revenus publicitaires de autres médias notamment la presse et le radio locale dont le pertes potentielles avaient été évaluées à 576 million euro par france pub il faudra également réussir à faire converger la publicité vidéo linéaire et numérique le secteur se heurtant jusque là à impossibilité utilisation de données de téléspectateurs à la fois pour le ciblage publicitaire la personnalisation de message ou la mesure de efficacité de contenus dans leur consommation linéaire pour conclure il conviendra aux régies tv de rattraper leur retard sur la publicité en ligne qui avait pris énormes part de marché aux autres médias ce dernières années la condition sinéquanone pour que la télévision ne devienne pa pour la postérité ancêtre médiatique de youtube à mcdonald de lui ouvrir la voie montagut sacha
1business
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/dejeuner-au-restaurant-du-non-choix/
Desirability
Demain, vous n’aurez plus besoin de faire certains choix. Vos préférences seront connues et on vous proposera ce qui vous correspond le mieux. Finies les tergiversations et les frustrations. Renoncer à choisir sera un soulagement. Et le début de la surprise. Au restaurant, ce sera plat unique. Plus de menu de 50 pages et de plats aux multiples suppléments. Vous vous assoirez et serez servi sur le champ! Vous pourrez aussitôt penser à autre chose et engager la conversation avec votre invité. En attendant la surprise à déguster. Car chaque jour le plat changera en fonction de l’humeur du chef et des arrivages, il résultera d’un choix minutieux en fonction des produits du marchés et sera le fruit de la créativité du moment. On verra alors comme autrefois s’ouvrir des « ardoises » pour les habitués. En attendant demain, expérimentez pour déjeuner quelques-uns des rares restos à plat unique: à Paris, Issé Workshop (une épicerie japonaise) ou Spring; à Genève, testez Chez Ma Cousine où vous dégusterez un 1/2 poulet-bien-sous-tous-rapports; et à Barcelone faites un saut au resto-concept Epai Sucre, 100% desserts. Pas le choix.
0agronomy
[ 9, 7, 12 ]
https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/financer-lattenuation-etablir-un-systeme-de-financement-mondial-equitable
Financing
Discours de Madame le Ministre auprès du Premier Ministre chargée de l’Economie et des Finances de la République de Côte d’Ivoire, au débat sur le thème « Financer l’atténuation : comment établir un système de financement mondial équitable ? », organisé le 7 décembre en marge de la 21ème Conférence Mondiale pour le Climat à Paris. La Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI), la Fondation Eni Enrico Mattéi (FEEM) et France Stratégie ont invité le Ministère de l’Economie et des Finances de Côte d’Ivoire à présenter sa vision sur les moyens financiers nécessaires pour soutenir une croissance plus verte, et ses attentes relativement à la Communauté internationale. Mesdames et Messieurs, C’est pour moi un réel plaisir de me trouver à cette tribune à l’occasion de la 21ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (COP 21). Avant d’aller plus loin dans mon propos, je tiens au nom de SEM. Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d’Ivoire, à remercier l’ensemble des organisateurs pour l’insigne honneur qui est fait à mon pays, la Côte d’Ivoire, en m’invitant à prendre la parole devant cette assemblée. Mon intervention portera sur deux points. Je partagerai tout d’abord avec vous l’expérience et les ambitions de la Côte d’Ivoire en matière de développement durable, et je présenterai ensuite quelques-unes de nos réflexions relativement au financement des actions de lutte contre le changement climatique dans les pays en développement en général, en Afrique en particulier. Ce faisant, nous espérons contribuer à rechercher une solution durable et équitable pour la lutte contre les changements climatiques dans le monde. La Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays, est consciente des effets du changement climatique dont elle subit les conséquences (sécheresses, inondations, érosion côtière...) et qui présentent de fait un risque pour le développement de notre population.\nInscrite dans le processus de RIO depuis 1992, la Côte d’Ivoire a, depuis, ratifié et adhéré aux conventions et mécanismes internationaux en matière de lutte contre le changement climatique. Elle a ajusté son cadre institutionnel par la mise en place de structures dédiées (Ministère, agence d’exécution, Programmes, etc.), d’un cadre réglementaire (dont un code de l’environnement) et elle procède au renforcement des capacités de ses acteurs publics et privés. Depuis 2012 un Programme National Changement Climatique (PNCC) a été adopté, qui a pour mission principale aujourd’hui de conduire la stratégie nationale de lutte contre les changements climatiques pour la période 2015-2020. Un juste équilibre est nécessaire à trouver entre les objectifs de développement et la lutte contre le réchauffement climatique. Le Gouvernement ivoirien doit améliorer significativement le niveau et la qualité de vie de sa population ; il ambitionne de ce fait de devenir un pays émergent à l’horizon 2020 ; et ce sentier de développement pourrait s’accompagner, toutes choses égales par ailleurs, notamment avec les technologies actuelles, d’une augmentation de la consommation en énergie fossile.Le Gouvernement peut s’engager dans un scénario bas carbone, qui équivaudra en 2030 à un effort de réduction estimée à 28% de nos émissions de gaz à effet de serre, par rapport au cours normal de notre développement sur une base 2012. La réalisation de cet objectif passe par plusieurs leviers d’actions, dont les principaux sont : (i) le développement des énergies renouvelables d’abord, dont la part dans le mix électrique pourrait fortement s’accroître et atteindre 26% pour l’hydroélectricité et 16% pour les autres sources d’énergie renouvelables. Si la Côte d’Ivoire obtient le soutien nécessaire de la communauté internationale, elle pourrait porter à 32% au lieu de 16% cette part des énergies renouvelables hors hydroélectricité dans son mix électrique, car le potentiel de ces énergies est encore largement sous-exploité (ii) l’intensification et la mécanisation de l’agriculture et de la production animale qui permettra également de (iii) limiter la déforestation et la dégradation des forêts, troisième vecteur important de la réduction des gaz à effet de serre ; (iv) enfin la gestion durable des déchets et leur valorisation. La Côte d’Ivoire entend mobiliser une large palette d’instruments financiers. Le financement par le secteur privé, international comme domestique, est une quasi-condition de la réussite de cette stratégie. Le Gouvernement prendra toute sa part, avec la mobilisation de ressources publiques directes ou indirectes, et en créant les conditions nécessaires pour accompagner le secteur privé. Mais l’appui de la communauté internationale et des pays industrialisés, s’avèrera primordial pour soutenir les investisseurs et le pays, l’Afrique d’une manière générale, dans ces stratégies de développement « éco-carbone », au regard de l’ampleur des coûts, des capacités d’épargne nationale et du contexte. Les pays industrialisés se sont fixés l'objectif de mobiliser 100 milliards de dollars par an d'ici à 2020 pour soutenir les activités d'atténuation et d'adaptation dans les pays en développement. Mais je souhaite rappeler néanmoins que la Directrice du Fonds vert pour le climat estimait en juillet 2015 lors de la Conférence sur le financement du développement à Addis Abeba, que 400 milliards de dollars par an étaient nécessaires pour rendre résilients et écologiques les investissements à long terme des pays en développement. Les mécanismes et modalités de gestion des fonds internationaux, comme le Fonds vert pour le climat devraient capitaliser les expériences des Fonds antérieurs en veillant à une affectation équitable des ressources. Ils doivent s’adapter aux réalités des pays en développement, et à l’Afrique en particulier. A cet effet, les facilités suivantes pourraient être recherchées : Voilà en quelques mots, les éléments que nous souhaitions mettre en avant et partager avec vous sur la question du financement de l’atténuation. Il s’agit d’une préoccupation majeure pour nos pays, et nous appelons la communauté internationale à concrétiser les engagements forts qui ont été pris, aux fins d’une réduction considérable des gaz à effet de serre, à l’issue de cette 21ème Conférence des Parties (Cop 21). Je vous remercie. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/la-plateforme-d-histoires-audio-sybel-signe-un-partenariat-avec-red-by-sfr_762328
Financing
Challenges - Comment êtes-vous devenue entrepreneure? Virginie Maire - J’ai découvert le monde des start-up en m’occupant du "media for equity" à M6. J’ai ensuite créé le premier Multi Channel Network, un réseau de youtubeurs, de M6. Puis j’ai rencontré Matthieu Viala, fondateur du groupe de production audiovisuelle Makever. Je l’ai rejoint pour y lancer Finder Studios. C’est devenu le deuxième MCN de France, que nous avons vendu en 2017 à TF1. Comment est ensuite né Sybel? Un jour, pour éviter de mettre mon fils devant les écrans, j’ai cherché Peter Pan en audio. J’ai mis beaucoup de temps à trouver l’enregistrement d’un vinyle sur YouTube. Je me suis rendu compte qu’il existait 300 millions d’abonnés à des chaînes YouTube audio, alors que ce n’est pas du tout l’outil adéquat. Nous avons alors eu l’idée d’une plateforme d’histoires audio. Sybel est-il réservé aux enfants? Les contenus jeunesse représentent 50% de la consommation sur Sybel, mais notre catalogue contient plus de 500 histoires, réparties selon le triptyque culture, éducation, divertissement. Nous proposons des fictions, des documentaires, écrits par des auteurs, des scénaristes, joués par des comédiens, réalisés par des professionnels, et agrémentés d’un travail de design sonore. Le résultat est aussi immersif qu’une série télé. En mai, nous dévoilerons Passion Commune, une fiction au cœur de l’histoire de La Commune, à l’occasion de son 150e anniversaire. Etes-vous producteurs? Non, nous ne produisons pas en interne. Nous sommes comme une plateforme de SVOD. Soit nous achetons du contenu déjà existant, des licences d’exploitation, soit nous commandons des créations originales, qui représentent plus de 20% du catalogue et permettent de travailler avec des producteurs variés. Nous avons déjà investi plus de 2,5 millions d’euros dans le contenu. Le coût d’une histoire audio est très variable, de 15.000 à 100.000 euros. Quel est votre modèle économique? C’est un abonnement de 3,99 euros par mois ou 39,99 euros par an, qui donne accès à notre catalogue en illimité, à la possibilité de créer jusqu’à cinq profils, d’activer un mode enfant… Nous démarrons le 4 mai un partenariat de distribution avec RED, filiale de SFR. Les abonnés RED auront accès à Sybel pour 1 euro par mois pendant trois mois, puis pour 3,99 euros. Nous avons déjà des partenariats avec SFR et le groupe Casino. Etes-vous rentable? Nous voulons d’abord nous développer fortement à l’international, sans doute via une levée de fonds cette année. Nous avons déjà récolté 5 millions d’euros en 2019 auprès du fonds luxembourgeois Mangrove et de business angels comme Eduardo Ronzano et Thibaud Elzière. Quid de l’international? Après nous être lancés en Espagne cet été, qui représente 15% des écoutes, nous allons dévoiler des contenus anglophones. Nous avons dépassé le cap du million d’euros de revenu annuel récurrent fin 2020 et les 100.000 abonnés payants. Votre rêve de croissance? Devenir le leader international des histoires audio. \n\n \n \n Start-up\n Médias\n M6\n \n
2design
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https://www.influencia.net/alan-la-super-app-de-sante/
Financing
l argent coule à flots pour alan son business model colle il est vrai parfaitement à époque et comme s performance correspondent à la virgule près à s prévisions s actionnaires hésitent pa à sortir leurs carnets de chèques pour financer sa croissance la jeune pousse spécialisée dans la santé via une assurance 100 digitale vient de lever 185 million euro permettant à sa valorisation atteindre 1 4 milliard euro index venture ribbit capital et le fonds souverain singapourien temasek qui étaient déjà présents lors du précédent tour de table ont participé à cette opération tout comme le fonds de san francisco dragoneer la société investissement de la famille agnelli exor et le fond new yorkais coatue management qui possède de part dans plusieurs pépites comme snap spotify ou bytedance après avoir levé 75 million euro il a tout juste deux an la licorne parisienne qui vend de contrats de couverture santé aux entreprises de toutes tailles et aux indépendants est parvenue à rassembler 260 million euro de financement depuis sa création en 2016 la première compagnie assurance indépendante à avoir obtenir un agrément assureur depuis 1986 est développée à un rythme extrêmement rapide an dernier son taux de croissance atteint 100 avec plus de 180 000 assurés 102 million euro de revenus annuels et 9 000 entreprises clientes la start up cherché à s début à séduire le sociétés avant étendre son offre aux indépendants en 2017 et deproposer deux an plus tard un service adapté aux métiers de hôtellerie restauration réassurés par cnp et swiss re soumis aux mêmes obligation que le compagnies traditionnelles et avec s 70 million euro de fonds propres qui lui permettent avoir 7 5x le capital de solvabilité requis quand la moyenne du secteur ne dépasse pa 2x la licorne française repose aujourd hui sur de fondations solides toute sa stratégie se résume dans son slogan assurance santé qui fait simple nous avon créé alan parce que nous constations que le système de santé était bloqué analyse jean charles samuelian le pdg et cofondateur de la jeune pousse qui étudié à école de ponts complexités pour trouver le bon médecin avoir un rendez vous dans de délais acceptables se faire rembourser en temp et en heure gérer toute la paperasse associée nous nous somme fixés pour objectif de briser cette logique abord en matière assurance et demain sur la santé en général en quelques clics un internaute peut aujourd hui obtenir une couverture santé au meilleur prix pour se faire rembourser de s frais médicaux via de virements instantanés le client doit seulement envoyer s factures depuis son smartphone son application tout en un permet également échanger gratuitement avec un généraliste depuis une messagerie sécurisée ou par consultation vidéo pour trouver un labo ou un docteur à proximité le patient peut utiliser option alan map en belgique la plateforme propose un service de chat médical et psychologique durant la pandémie la jeune entreprise est rapidement développée dans le conseil comme explique jean charles samuelian dans un podcast publié par la tribune depuis un an nous avon vu de tendances de fond sur lesquelles nous avions misé prendre plus ampleur expliquait entrepreneur au sommet de start up la santé est devenue un sujet prioritaire le entreprises ont dû en emparer et la digitalisation de service est accélérée sa dernière levée de fonds va permettre à entreprise de se développer à étranger et de attaquer à autres secteurs avec de produits assurance sur mesure comme le commerce de détail le commerce de gros et industrie la jeune pousse qui emploie déjà 350 personnes compte recruter 400 collaborateurs supplémentaires durant le deux prochaines années de commerciaux seront notamment embauchés afin de convaincre de grand comptes de faire appel à s service aujourd hui le plus gros client alan comptent 5000 employés mais la plateforme peut ore et déjà répondre aux besoins de groupes employant 30 000 personnes ici 2023 la licorne espère compter 1 million de client s objectifs ambitieux sont atteignables lorsqu on sait que sa part de marché en france ne dépasse pa actuellement 1 2 le compagnies traditionnelles ont du souci à se faire frédéric thérin
6medical
[ 6, 12, 7, 8, 13 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/comment-cityscoot-veut-imposer-un-autolib-version-2-roues-a-paris_50510
Needs
Cityscoot propose des scooters électriques en libre-service. Est-ce inspiré d’Autolib’ et Vélib’ ? Cela ressemble à Autolib’ et Vélib’, mais il n’y a pas de point de recharge donc l’utilisateur peut rendre le véhicule où il veut. Lors de sa campagne électorale, la maire de Paris Anne Hildalgo avait promis un service de scooters. Aurez-vous un concurrent ? Non, elle devrait miser sur le nôtre. Elle a annoncé que son projet, qu’elle aurait appelé Scootlib, sera peut-être Cityscoot, à condition que l’expérimentation se passe bien. >> Retrouvez l'intégralité de l'interview en vidéo : A quoi sert l’expérimentation ? Elle a commencé fin octobre. Nous avons besoin de tester si notre technologie fonctionne, si l’usage correspond vraiment au profil de notre clientèle et si Cityscoot est bien un mode de déplacement alternatif pour les Parisiens. En France, les scooters électriques ne représentent que 1% des ventes. Y a-t-il une demande ? Nos scooters sont des 50 cm3, accessibles sans permis à condition d’être né avant 1988. Ensuite, Paris est un cas particulier, avec 150.000 à 200.000 deux-roues. C’est une des villes les plus denses en Europe. Le Parisien est scootériste, et il est habitué aux services d’autopartage. Notre objectif est d’avoir 4.500 scooters à horizon 2020 dans la capitale et entre 100.000 et 120.000 utilisateurs réguliers. En 2013, 44% des Vélib’ ont été dégradés. Que prévoyez-vous contre le vandalisme et le vol ? Nos scooters sont assurés tous risques. Mais cela ne nous protège effectivement pas contre la dégradation et le vol. N’importe qui peut passer dans la rue et renverser le scooter. En ce qui concerne le vol, le scooter est géolocalisé, électrique, on peut l’empêcher de redémarrer à distance. Il n’y a aucun intérêt à le voler. Vous prévoyez une nouvelle levée de fonds. A quoi servira-t-elle ? Pour démarrer le projet, créer un prototype et développer la technologie, 2,5 millions d’euros ont déjà été levés auprès de business angels. La prochaine levée de 10 millions est destinée à financer l’opération "Paris 1.000 scooters" : 1.000 scooters à Paris à horizon 2016. Quel est votre modèle économique ? L’abonnement à notre service est gratuit, même s’il y aura une formule premium. L’essentiel de nos revenus viendra de la location – 3 euros pour quinze minutes. D’autres proviendront également des villes qui veulent le service City-scoot. Mais ce sera seulement à -partir de 2017, car en 2016 nous consacrons tous nos efforts à Paris. Vous avez 50 ans et déjà une première vie de trader dans la finance. Qu’est-ce que cela change pour vous de lancer une start-up ? L’âge crée une certaine maturité pour construire une entreprise. Mais quand on sort de la finance des marchés, on ne sait pas faire grand-chose d’utile dans la vraie vie ! Ce qui m’a servi, c’est d’avoir monté un centre de service de deux-roues il y a dix ans. Cette expérience m’a vraiment appris à manager.
13transport
[ 13, 11, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/publicite-sur-mobile-madvertise-cherche-la-martingale_446129
Storytelling
Quelle est aujourd’hui l’ampleur de la publicité sur mobile ? Le mobile représente 90 % des connexions de Facebook. Dans le monde, il y a davantage de connexions Internet sur mobile que sur ordinateur. A Madvertise, nous proposons de la publicité premium pour ce support. Notre métier, c’est de créer des applications, puis de les financer en faisant venir des annonceurs. Nous imaginons des formats publicitaires spécifiques, des bannières et des vidéos, adaptés à un contexte mobile dont la consommation est différente de celle d’un PC, d’une radio ou d’une télé. Quels sont les enjeux du secteur? Plusieurs facteurs compliquent la tâche: la taille de l’écran, la qualité du réseau Internet sur mobile, l’évitement des formats intrusifs, et la durée. Vous ne regardez pas une vidéo de plus de trente secondes sur votre mobile, il faut donc s’adapter pour aller à l’essentiel. Nous avons réalisé une opération pour Zadig & Voltaire grâce à la technologie de Shazam de reconnaissance visuelle. L’idée, c’était de « shazamer » des vêtements puis d’aller chercher le produit sur Internet. La programmatique s’est imposée comme la norme. Qu’est-ce que cela peut changer à votre métier? Cela donne la possibilité d’avoir des acheteurs publicitaires venus du monde entier pour acquérir un inventaire premium. Présents en France, Allemagne et Italie, nous agrégeons actuellement une cinquantaine de millions d’utilisateurs par mois. A partir de ces données, nous définissons des comportements et des profils : fans de musique, bricoleurs… C’est cette audience qualifiée qui est recherchée. Quels sont vos concurrents? Nos concurrents sont des start-up, mais une grosse partie de la valeur de ce marché est tirée par Google ou Facebook. Les opérateurs télécoms aussi essaient de monétiser les audiences sur leurs portails et applications. Votre société, cotée en Bourse, vaut 11,5 millions d’euros. Pourquoi faire encore appel à des fonds? Nous avons besoin de fonds comme Time for Growth ou Arbevel pour faire des acquisitions, comme l’achat de la start-up allemande Madvertise, dont nous avons repris le nom, ou Appsfire, spécialisé dans l’installation d’applications. Notre modèle de croissance est à la fois organique et par acquisition. Nous avons des bureaux à Berlin, à Düsseldorf et à Milan. Notre chiffre d’affaires – 17,5 millions d’euros en 2016 – a été multiplié par quatre à l’international. Tout ça, il faut le consolider. Cette année, la société gagne de l’argent, après seulement quatre ans d’activité. Vous avez dirigé un temps Nokia France. Qu’est-ce qu’un entrepreneur peut apporter à une grande boîte? Ils sont venus me chercher pour accélérer leur développement marketing et commercial, et mettre en place le partenariat avec Microsoft. Mon travail a consisté à ne pas changer mes pratiques. J’ai enlevé 80 % des réunions, je les ai raccourcies à une demi-heure. J’ai apporté du dynamisme, un peu d’agressivité commerciale. L’expérience a été riche pour nous tous. Entretien réalisé par Léa Lejeune et Jean-Baptiste Diebold \n\n \n \n Google\n Facebook\n \n
1business
[ 13, 12 ]
https://www.influencia.net/entre-difficultes-economiques-management-ultra-toxique-huawei-enfonce-dans-crise/
Uniqueness
depuis le mois de mai dernier la guerre fait rage entre huawei et le gouvernement trump une véritable croisade politique menée par washington à encontre du géant de télécoms que le fraichement intronisé joe biden devrait vraisemblablement reprendre soupçonnée initialement espionnage au profit du parti communiste chinois par le états unis le constructeur basé à shenzhen semble à présent englué dans une crise économique aux conséquences désastreuses selon un rapport publié par trendforce début janvier le groupe et s 170 million de mobile vendus en 2020 ne serait plus que le 3ème constructeur de smartphone à échelle mondiale derrière samsung 263 million unités écoulées et apple 199 million loin très loin de s chiffres record de 2019 qui avaient vu se rapprocher dangereusement de la première place du classement pire la situation devrait même aggraver ce prochains mois toujours selon trendforce huawei ne vendra que 45 million de terminaux 5g dans le monde en 2021 et devrait ainsi se contenter de 8 de part de marché dans ce condition trendforce affirme la firme chinoise serum reléguée dès année en cours à la 7ème place du classement derrière transsion oppo et vivo span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span acculé par le sanction américaines le groupe se devait de rassurer son monde et son gouvernement est désormais chose faite ren zhengfei pdg et fondateur du groupe vient annoncer toute une batterie de mesures sensées assurer la pérennité du groupe prononcé en juin dernier cet entretien a été rendu public que le 22 janvier 2021 allez savoir tout abord huawei renonce momentanément à s ambition à international ensuite le constructeur se voit contraint investir rapidement dans s propres ligne de production il a une grande inadéquation entre notre capacité et notre stratégie est notre maillon faible et nous somme obligés de recommencer dès le début comme de élèves du primaire regrette ren zhengfei ce dernier finit en beauté avec annonce du gel de salaires de tous le employés du groupe pour le trois à cinq prochaines années une mesure drastique qui ne devrait pa satisfaire et est un euphémisme de salariés déjà sou haute pression malgré sa débâcle électorale et sa retraite amorcée devant le camera du monde entier donald trump emporte avec lui une jolie victoire dans une bataille qui était loin être gagnée avance mais là où beaucoup espèrent assister à un simple baroud honneur avant la mise en bière politique définitive de ultra endetté 45ème président de états unis cette retraite amorcée par huawei ne devrait être que provisoire tant le ambition du géant de la tech semblent inchangées il vous plaît ne soyez pa contrarié par la pression temporaire de états unis et abandonnez pa notre stratégie de mondialisation il y pa avenir sans embrasser la mondialisation conclut son fondateur le mauvaises nouvelles et décisions arrivant jamais seules une vaste enquête menée par le consortium investigation the signal network qui regroupe notamment de journalistes du daily telegraph el mundo ou de republik révèle qu il règnerait chez huawei une culture managériale hautement toxique enracinée dans un esprit de corp quasi militaire premièrement il existerait une discrimination claire entre chinois et non chinois ce derniers auraient moins accès à information et seraient même exclus de décisions interne déterminantes lors de réunions le personnel de direction passe parfois au chinois aux moment cruciaux témoigne une source du rapport ainsi en europe le postes de direction sont outrageusement dominés par de salariés chinois lorsque vous traversez le couloirs il est évident que 99 9 de la direction est chinoise constate un ex salarié du siège européen de dusseldorf en allemagne le rares manager étrangers étant flanqués un directeur fantôme chinois qui se tient debout derrière lui illustre cette mème source de dires rapidement contestés par huawei selon laquelle seuls 59 de membres de la direction seraient en réalité de salariés déployés depuis la chine une gestion quasi protectionniste qui pousse une de personnes interrogées à comparer le siège européen de huawei à une petite ambassade de chine loin accommoder pour autant le expatriés chinois il est souvent décrit comme le bra technologique du régime chinois rappelait charles thibout chercheur associé à institut de relation internationale et stratégiques iris cité par la revue we demain selon la syndicaliste ulrike saaber ce derniers étant peu enclins à revendiquer le code du travail allemand dont il ne connaissent que trop peu le lois le syndicats en trouvent directement impactés de surcroît entreprise semble déterminée а empêcher le expatriés de enraciner en dehors de leur mère patrie si vous épousez une personne locale et obtenez de droits de citoyenneté cela est considéré comme une trahison révèle un ex employé londonien il vous plait ne dites а personne que apprends allemand aurait même demandé un employé chinois à un ancien collègue le source interrogées révèlent également de discrimination liées а âge et une ingérence massive dans la vie privée de salariés huawei punirait ainsi régulièrement s employés chinois pour leurs prétendus échecs en leur demandant de faire leur autocritique en public enfin et comme on pouvait y attendre le horaires légaux ne seraient pa respectés en vertu du principe 9 9 6 en vigueur en chine présence au bureau de 9 heures а 21 heures six jours par semaine un climat ambiant ultra délétère dont la direction du groupe devra répondre au plus vite qu on se le dise on est pa prêt de émouvoir de leur difficultés économiques span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span montagut sacha
12society
[ 13, 1, 8, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/artsper-une-market-place-pour-oeuvres-d-art-contemporain_483478
Storytelling
Comment convainquez-vous d'acheter de l'art en ligne? Nous avons lancé Artsper avec François-Xavier Trancart en 2013. Progressivement, nous avons convaincu les clients grâce à une forte communication, un site ergonomique et, surtout, du contenu. Nous demandons aux galeries de publier un maximum de photos et d'informations sur la provenance de l'œuvre, sa description, l'univers de l'artiste, car lorsqu'on achète une œuvre d'art, on veut acheter une histoire, un discours. Nous garantissons aussi l'authenticité, et le retour gratuit. Aujourd'hui, combien gagnez-vous? Nous avons près de 400.000 visites par mois sur le site. En 2016, nous avons atteint 3,5 millions d'euros de volume d'affaires, 3,5 fois plus qu'en 2015. Notre panier moyen est de 1 000 euros, mais la commande la plus chère a atteint 92.000 euros. Quels sont vos projets? Nous allons sortir une nouvelle version du site en septembre. Nous voulons véhiculer une image plus haut de gamme, afin d'attirer des galeries plus importantes. A la rentrée, entre cinq et dix nous rejoindront. Le business model va-t-il changer? Non. Les galeries paient une commission sur les ventes de 10 à 20 % et un abonnement de 0 à 99 euros par mois selon la visibilité et les fonctionnalités. Plus l'abonnement est cher, moins la commission est élevée. A terme, nous voulons accompagner les galeries dans leur digitalisation en proposant un logiciel de gestion pour l'e-mailing, la gestion des stocks, la facturation… Pourquoi avoir levé 2 millions d'euros auprès de Frédéric Jousset? Nous avions déjà levé 1,6 million d'euros en novembre 2015. Ce nouveau tour de table est né d'une opportunité plus que d'un besoin, après avoir rencontré Frédéric Jousset. A part l'apport en cash, l'intérêt réside dans l'expertise de Frédéric. Il a créé Webhelp en 2000, qui réalise aujourd'hui 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Il connaît très bien l'entrepreneuriat et l'internationalisation, pour laquelle il va nous accompagner. Et il va nous aider à mettre en place des synergies avec Beaux-Arts magazine qu'il a racheté. Ce média a une grande crédibilité dans le marché de l'art, mais débute sa digitalisation. A l'inverse, nous avons une forte visibilité en ligne, mais manquons de notoriété. Nous pourrons, par exemple, renvoyer du trafic Web vers leur site et, eux, véhiculer notre nouvelle image dans le magazine. Vous êtes le petit-fils du fondateur d'Auchan, Gérard Mulliez. A-t-il joué un rôle dans votre vocation? Trois raisons m'ont poussé à entreprendre. D'abord, c'est la forte culture entrepreneuriale de la famille Mulliez (quatrième fortune dans notre classement) . Mon grand-père, ses frères ou ses cousins, qui ont monté Auchan, Decathlon ou Leroy Merlin, sont toujours mis en avant dans des réunions familiales, et les jeunes sont accompagnés par un incubateur. Puis, quand j'étais analyste, j'ai rencontré des entrepreneurs qui m'ont fait rêver. Enfin, mon frère Alexandre, entrepreneur avant d'être directeur marketing d'Auchan Direct, a joué un grand rôle. \n\n \n \n Auchan\n \n
8production
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https://www.makery.info/2015/04/08/aker-fabriquer-votre-ferme-urbaine/
Engineering
AKER est un réseau international de makers qui s’est rassemblé ces deux dernières années autour du déclin des abeilles et des solutions à trouver pour l’apiculture et l’agriculture en ville. L’initiative a émergé à Denver au Colorado autour du projet Open Source Beehives. En 2013, Tristan Copley Smith et Aaron Makaruk, des makers et développeurs de technologie libre de Open Tech Collaborative, se décident à concevoir un projet de ruche fabriquée à la CNC et surveillable à distance. Ils lancent alors l’initiative sur Indiegogo en s’associant avec d’autres compétences apportées par le Fab Lab Barcelona et le Self Sufficient Lab Valldaura associé à l’IaaC de Barcelone. C’est un succès, le crowdfunding qui souhaitait récolter 20 000 dollars en rassemble 63 000. L’équipe prend la mesure des besoins et s’agrandit via les échanges sur forums. Un an après la campagne, des centaines de ruches sont parsemées autour du globe, de Nouvelle-Zélande jusqu’en Belgique. Et les capteurs permettant de surveiller les facteurs de santé d’une colonie d’abeilles et de mettre les données sur Internet sont presque prêts. AKER travaille avec le Smart Citizen Kit (SCK), une plate-forme open source développée au Fab Lab Barcelona et qui comprend trois couches technologiques : un dispositif matériel, un site et une API, ainsi qu’une application mobile. La carte compatible Arduino porte des capteurs qui mesurent la composition de l’air (CO et NO2), la température, l’intensité lumineuse, les niveaux sonores, et l’humidité. L’équipe d’Open Source Beehives s’est bien élargie en un an, d’autres designers au Portugal, en Espagne ou encore Gustavo Arriaga au Fab Lab El Paso au Texas ont rejoint le projet. Et comme l’apiculture reste un domaine spécifique, d’autres idées sont depuis venues à nos makers soucieux d’autonomie. Leur objectif : proposer un ensemble de kits open source à monter soi-même de différents outils permettant de produire sa propre nourriture. Le projet prend alors le nom de AKER. L’objectif de AKER est de combiner la créativité novatrice du mouvement maker et les besoins de centralisation et de relocalisation des systèmes de production alimentaire. AKER souhaite promouvoir la reprise de contrôle sur la nourriture que nous ingérons : selon eux, les multinationales de l’alimentaire n’agissent pas suffisamment de manière responsable en ce qui concerne la santé et l’environnement. AKER reconnaît que pour le citadin trop occupé, la culture prosommateur peut être intimidante. « Il y a beaucoup de choses à savoir sur la culture des plantes, sans oublier la partie bricolage pour créer vos propres lits surélevés ou votre poulailler. Et il y a aussi la question de l’espace — si quelqu’un vit dans un immeuble d’appartements, comment peuvent-ils participer de façon réaliste à la production alimentaire ? » reconnaît Tristan Copley Smith. AKER a conçu des kits accessibles aux personnes qui ne sont pas très bricoleuses, des kits qui s’emboîtent rapidement sans vis ou colle. « Si vous manquez d’espace, le système utilise autant de place verticale que possible afin de maximiser votre zone de culture. Le système intègre également la modularité, ce qui signifie que vous pouvez connecter plusieurs kits pour répondre à des espaces plus grands, un peu comme des Lego mais pour l’agriculture. » AKER est dans les derniers jours d’une nouvelle campagne Indiegogo. Pour Gustavo Arriaga, en charge du design de la boîte à compostage WormHaus, « cette campagne Indiegogo nous permet de prototyper le hardware (ce qui coûte cher) et de pouvoir continuer à développer les kits jusqu’à qu’ils atteignent un design réellement stable. » AKER propose aussi une mise en réseau online des prosommateurs AKER, aussi bien pour trouver les fournitures agricoles urbaines dans un quartier que pour démarrer des réseaux de partage de nourriture. Tristan Copley Smith pense qu’associée à Open Farm, un Wikipédia de l’agriculture ouverte, cette culture de fabrique de fermes urbaines pourrait à terme profondément changer nos modes de vie. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives)
0agronomy
[ 9, 12, 1, 8, 0 ]
https://www.frenchweb.fr/5-millions-deuros-pour-les-vitrines-digitales-devermaps/386571
Financing
evermaps ex bottin cartographes plateforme logicielle paramétrable autour de la génération de trafic en point de vente à destination de réseaux lève 5 million euro auprès du fonds entrepreneur venture il agit de la première levée de entreprise parisienne fondé en 2007 bottin cartographes devenu evermaps développé une plateforme visant à optimiser la visibilité de point de ventes sur internet la startup dispose un réseau de partenaires qui lui permet alimenter en direct le canaux google my business apple et le gps evermaps également lancé cette année une fonction destinée aux manager elle leur permet de gérer la visibilité de leur boutique sur internet notamment grâce à de analysis de statistiques entreprise compte parmi s client de enseignes telles que la société générale allianz leader price foncia franck provost tui bpce ou encore ixina dans le cadre de cette levée de fonds evermaps souhaite accélérer sa croissance en europe et recruter une vingtaine de collaborateurs le timing de cette levée de fonds est idéal nous avon su créer de la croissance rentable avec cette opération notre objectif est de capitaliser sur notre leadership en france pour investir encore plus en d et explorer autres territoires géographiques commente dorothée mani ceo evermaps la startup ambitionne également de réaliser de acquisition création 2007 siège social paris secteur commerce marché plateforme visant à optimiser la visibilité de point de ventes sur internet financement 5 million euro en décembre 2019 auprès du fonds entrepreneur venture pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
8production
[ 13, 8, 12 ]
https://www.influencia.net/futur-maison-tendance-comfy/
Storytelling
avec la limitation de activités extérieures et la généralisation du télétravail le domicile est devenu un hub pour tous le consommateurs essaient améliorer leur qualité de vie à la maison et investissent pour gagner en confort ainsi le look casual impose de plus en plus dans no garde robe en france 8 de femmes confinées ne portaient plus de soutien gorge pendant leur journée de travail contre 3 avant accouchement ifop 2020 fini le col de chemise amidonnés place aux tissus souples et matériaux respirables qui adaptent à la fois au télétravail à la détente chez soi et aux sortie hors du domicile la marque de vêtements de nuit lunya développé une collection de vêtements à partir un tissu souple et durable grâce à de fibre douces et naturelles qui améliorent la circulation sanguine et aident le corp à se recharger et se régénérer la marque américaine epoque evolution lancé une collection baptisée wfh pour work from home la promesse de pantalons aussi confortables qu une paire de legging mais qui ressemblent à de pantalons de tailleur wfh jammies de whatever ce vêtement malin venant du japon est scindé en deux party une chemise boutonnée en haut qui semble formelle et appropriée lors de visioconférences et un sweat shirt en ba non visible à la caméra pour se sentir confortable en travaillant chez soi every wear la nouvelle proposition de la collection mixte comfy de mango sortie en septembre 2020 propose de look polyvalents qui adaptent à la nouvelle routine au quotidien à tous type de situation aussi bien à la maison qu à extérieur le luxe est pa en reste dior annoncé en janvier 2021 ouverture une boutique éphémère à manhattan dédiée à sa ligne chez moi sa première collection de loungewear de ensemble de pyjama sou vêtements poncho ou encore peignoir pur luxe baché roxane
2design
[ 7, 1 ]
https://www.frenchweb.fr/manty-leve-24-millions-deuros-pour-optimiser-les-donnees-administratives-dans-les-collectivites/394400
Financing
manty qui développe une plateforme optimisation de données pour le collectivités lève 2 4 million euro auprès de la banque de territoires axeleo capital et du fonds de xavier niel kima venture lancé en janvier 2017 par mathieu nohet lucas gaillard et joseph marie valleix manty développe une plateforme permettant aux collectivités locale optimiser le fonctionnement de administration baptisée manty vision cette solution vocation à simplifier la gestion de politiques publiques et à favoriser la prise de décision de élus concrètement manty vision permet de mieux gérer le suivi financier et le ressources humaines via sa plateforme en répertoriant et analysant de données produites par le administration publiques manty part du principe que le le collectivités manquent outils pour analyser le données et que ce données ne sont pa assez valorisées jusqu à présent le secteur public été le parent pauvre de la digitalisation et beaucoup souffert un manque innovation de acteurs historiques du marché l ère du cloud et de solution orientées data manty souffle un vent sur le secteur avec de technology de dernière génération et une approche user centric qui en fera rapidement une référence parmi le govtech européennes commente eric burdier founding partner chez axeleo capital si manty vision recense de données elle permet également de prédire le besoins de service publiques par exemple la plateforme indique le nombre animateurs assignés à chaque centre aérés et permet de mieux le répartir selon le besoins et ainsi améliorer le service publique cette solution est utilisée dans plus de 50 collectivités à instar de rambouillet biarritz ou clermont ferrand dans le cadre de cette levée de fonds la startup parisienne ambitionne de développer sa plateforme sur une centaine de territoires en europe ici 2020 fondateurs mathieu nohet lucas gaillard et joseph marie valleix création 2017 siège social paris france secteur govtech effectifs 15 activité plateforme optimisation de données pour le collectivités financement 2 4 million euro auprès de la banque de territoires axeleo capital et le fonds de xavier nielkima venture pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
1business
[ 13, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/proxyclick-leve-135-millions-deuros-pour-digitaliser-le-registre-des-visiteurs-a-laccueil-des-entreprises/390240
Financing
dans nombre entreprises accueil de visiteurs se fait encore de manière artisanale avec un registre tenu avec un stylo une manière de procéder insuffisante pour garantir une sécurité élevée et un suivi optimal de personnes qui se rendent dans le locaux une entreprise à occasion une visite privée ou professionnelle pour digitaliser ce secteur la start up belge proxyclick développé une plateforme cloud de gestion de visiteurs en entreprise pour poursuivre le développement de cette solution et exporter davantage à international la société vient de boucler un tour de table de 13 5 million euro en série mené par five elm capital cette occasion join capital qui avait dirigé la levée de fonds de 3 million euro en série de entreprise bruxelloise en novembre 2017 remis au pot fondée en 2008 par grégory blondeau et laurent parmentier proxyclick permet de préparer le visites de personnes extérieures à une entreprise en amont notamment en ajoutant directement dans agenda électronique de la société le nom de personnes invitées pour un rendez vous et en envoyant de éléments clés à ce dernières comme le code wi fi et le qr code accès le jour de la venue de visiteurs ce derniers enregistrent sur une tablette tactile non seulement pour permettre à entreprise identifier le personnes qui viennent arriver pour assurer de vérifications de sécurité mais aussi pour signaler leur présence aux équipes concernées la société intéresse également à la gestion de salles de réunion et de place de parking ainsi qu à la manière de guider le visiteurs dans le locaux de entreprise avec ce nouveau financement de 13 5 million euro proxyclick veut élargir son champ action en portant principalement s effort sur la reconnaissance faciale pour renforcer la sécurité autour de identification de visiteurs en parallèle la société entend renforcer sa présence aux états unis son premier marché devant le royaume uni dans ce cadre grégory blondeau co fondateur et ceo de la start up belge va déménager à new york pour assurer le développement de activités outre atlantique nous avon ailleurs évoqué avec lui le enjeux autour du marché américain et le perpectives de développement du secteur et de son entreprise entreprise qui compte airbnb revolut oréal ou encore vodafone parmi s client se positionne sur un marché en plein essor qui devrait progresser fortement dans le prochaines années sou impulsion de la proptech et de la smart city ce deux marchés cherchent en effet à repenser la manière dont sont conçus et gérés le bâtiments une aubaine pour proxyclick dans optique de devenir le point entrée connecté de logements et bureau de demain fondateurs grégory blondeau et laurent parmentier création 2008 siège social bruxelles secteur smart building activité gestionnaire de visiteurs en entreprise financement 13 5 million euro en janvier 2020 3 million euro en novembre 2017 pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
13transport
[ 12, 7, 11, 8, 13 ]
https://www.influencia.net/charles-gastines-paylead-pour-banques-payment-marketing-est-bonne-maniere-contrer-gafa-sur-leurs-modeles-economiques/
Uniqueness
charles de gastines évolution de la législation avec la directive européenne dsp2 est une explication mais ce est pa la seule raison le banques sont de plus en plus challengées que ce soit par le néobanques ou le banques en ligne mais surtout par le big tech comme apple et google en europe qui entrent sur le marché avec le paiement mobile en outre pour le banques traditionnelles le agences représentent de moins en moins de atouts pour faire la différence et de plus en plus de coûts par contre la donnée une valeur colossale qu il va falloir exploiter rapidement alors que le big tech se montrent de plus en plus agressifs pour la capter ch de quand le web est arrivé il créé la donnée de navigation qui donné naissance au retargeting et au ciblage quand google est arrivé avec son moteur de recherche il créé la donnée de recherche et le search marketing puis le réseaux sociaux ont créé le social marketing avec la donnée de paiement on est en train de créer une nouvelle catégorie au sein du marketing à la performance le payment marketing notre métier est de collecter la donnée transactionnelle en opt in pour enrichir et en faire un levier de connaissance client cela permet ensuite à de banques et fintech de proposer de programme de fidélité personnalisés et simple pour utilisateur depuis un an nous observons une accélération très forte de intérêt de banques pour ce sujet du payment marketing pour un groupe bancaire il représente en effet deux opportunités créer un levier de fidélisation pour leurs client et répondre à la concurrence de gafa dont le modèle repose en bonne partie sur le marketing à la performance ch de avec paylead nous apportons une valeur sonnante et trébuchante aux consommateurs en échange de leurs données transactionnelles en termes expérience utilisateur est extrêmement différent de solution de cashback cookie based qui existent depuis longtemps sur le web ce terme de cashback est ailleurs un peu galvaudé il restitue mal la complexité de notre technologie qui permet une expérience extrêmement simple pour utilisateur avec de offres proposées de manière immédiate ch de une grande partie de notre métier est de prouver par analyse de la donnée bancaire qu on génère de achats incrémentaux pour le commerçants nous utilisons par exemple de groupes de contrôle qui permettent de comparer le comportements de client qui ont reçu le offres avec ceux qui ne le ont pa reçus cet aspect performance est important mais il a aussi un enjeu de volume nous devrions atteindre 3 million de consommateurs actifs sur notre plate forme ici à la fin de année du côté de banques le payment marketing est une bonne manière de inviter dans le budget de distributeurs et de contrer le gafa sur leurs propres modèles économiques zante benoit
8production
[ 13, 8, 12 ]
https://www.frenchweb.fr/rh-neocase-leve-6-millions-deuros-pour-etendre-ses-solutions-de-gestion-aux-eti/400070
Financing
neocase spécialisé dans le outils de gestion pour le rh lève 6 million euro auprès entrepreneur venture avec la participation de sofiouest et le investisseur historique iris capital lancé en 2001 par philippe gaillard et actuellement dirigé par didier moscatelli neocase software édite de plateformes de gestion à destination de rh la startup parisienne propose de service permettant de numériser et alléger le travail du personnel rh dans le grandes entreprises en numérisant le demandes classiques que reçoivent le rh tels que le décomptes de rtt ou encore de information relative aux ticket restaurant il ont plus de temp pour se focaliser sur la gestion de projets et de carrières ainsi que sur le recrutements le solution de neocase permettent aux manager et aux responsables de la gestion de rh de passer plus de temp sur le problématiques de développement de individus et de carrières et moins sur le sujets plus transactionnels nous somme heureux de pouvoir contribuer au développement de ce solution en france et à international commente patrice hutin directeur général délégué de sofiouest si la solution origine de neocase adresse aux structure de plus de 10 000 employés la startup récemment déployé une plateforme baptisée hr ready à destination de eti qui comptent au moins 1 500 collaborateurs en période de crise sanitaire et économique mondiale neocase réaffirme utilité de sa plateforme de numérisation de document de gestion du temp partiel et de employés qui pour beaucoup travaillent désormais à distance dans de situation personnelles spécifiques entreprise poursuit s objectifs en dépit du coronavirus et vise une croissance de plus de 20 en 2020 la startup parisienne revendique plus de 150 client opérant dans 180 pay à instar de la société générale air france cap gemini thales worldbank ou encore peugeot opel neocase ambitionne désormais de développer s programme en d pour attirer le eti et augmenter sa force de vente avec de bureau à paris londres amsterdam et boston aux etats unis neocase souhaite également se développer à international notamment en allemagne et en europe de est cette nouvelle levée de fonds nous permettra de répondre à une forte demande de entreprises de taille moyenne pour notre solution saas et accroître no effort de d et de vente vers de nouveaux marchés tels que la région dach le uk et le pay nordiques commente didier moscatelli ceo de neocase software fondateur philippe gaillard création 2001 siège social la garenne colombes ile de france secteur hr tech activité édite de plateformes de gestion à destination de rh financement 6 million euro en mai 2020 auprès entrepreneur venture avec la participation de sofiouest et le investisseur historique iris capital pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
5learning
[ 13, 12, 3 ]
https://www.strategie.gouv.fr/english-articles/report-cost-benefit-assessments-public-investments
Financing
Over the long term, sometimes on the scale of several centuries, these investments will shape the fundamental character of the country, the quality of its environment and its ability to meet future challenges. This underscores the importance of making decisions in the most informed manner possible, making the best evaluation of the benefits they will provide and the costs they will engender, especially since their funding is largely based on public funds, a scarce resource in general and even more so today. This explains why the State has long been concerned with developing and regularly revising the methods for carrying out these evaluations. The commission responsible for the work presented here is part of a long tradition, beginning with the first reports prepared by Marcel Boiteux in 1994 and 2001 . This collection of reports established the general doctrine and enabled progress on specific subjects, such as the discount rate, taking risks into account and the shadow price of carbon. That doctrine is based on simple principles that were conceived long ago (see box below). They consist of assessing the effects of each project for the nation as a whole, evaluating the gains in productivity or production capacity made available to enterprises, as well as increases in consumption of products and improvements in quality of life provided to citizens, and comparing these effects with the costs of investment. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
[ 13, 0, 1 ]
https://www.lavoix.eu/fr/news/94/mai2013-informations-sur-louverture-des-idns-en-be
Needs
L’ouverture de l’extension .be aux IDN vous offre désormais la possibilité d’enregistrer des noms de domaine accentués sous l’extension .be. IDN est l’acronyme de Internationalized Domain Name et désigne des noms de domaine composés d’au moins 1 caractère qui ne se trouve pas dans l’alphabet courant (a-z), qui n’est pas un chiffre (0-9) ou qui n’est pas un trait d’union (-).Exemple de nom de domaine accentué : masociété.beLe lancement de ces caractères aura lieu le 11 juin 2013 à partir de 10h. Les caractères disponibles seront notamment : ß, à, á, â, ã, ó, ô, þ, ü, æ, ú, ð, å, ï, ç, è, õ, ö, ÿ, ý, ò, ä, œ, ê, ë, ì, í, ø, ù, î, û, ñ, é.   La procédure d’enregistrement d’un tel nom de domaine reste la même que celle d’un nom de domaine non accentué.   Toutefois, nous attirons votre attention sur l’absence de Sunrise period pendant laquelle des titulaires de marques antérieures auraient pu faire valoir leurs droits pour obtenir des noms de domaine de manière prioritaire. Les réservations seront donc immédiates et la règle suivie sera celle du « premier arrivé, premier servi ».   LAVOIX vous propose de vous assister dans l’enregistrement de vos noms de domaine en Belgique. Nous restons à votre entière disposition pour tout complément d’information.   Contact : Béatrice Daubin
3digital
[ 8, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/optical-center-en-passe-de-devenir-leader-de-l-optique-en-france_748028
Uniqueness
Challenges - Quel est le bilan de 2020 pour Optical Center? \n\nLaurent Lévy - Magnifique! Nous sommes restés ouverts car nous étions considérés comme "essentiels". Nous avons recruté 720 personnes, pour arriver à 4.270, et nous en recruterons 1.000 autres cette année. Notre chiffre d’affaires a augmenté de 3,5%, à 754 millions d’euros, quand le secteur a chuté de 12%. En 2011, vous visiez la place de leader pour 2020. Pari gagné? Nous sommes l’enseigne qui vend le plus de lunettes et qui a le plus de clients en France, avec 591 magasins. Nous allons en ouvrir 40 autres, notamment à Paris, où nous n’en avons que 20. Nous venons d’ailleurs d’en inaugurer un, avenue Raymond Poincaré, dans le XVIe arrondissement. Et nous avons exporté notre concept dans six pays. Cette année, nous voulons dépasser le milliard d’euros de chiffre d’affaires, ouvrir des boutiques en Angleterre, et creuser l’écart avec le deuxième acteur du marché, Krys.\n  Comment expliquer cette réussite? Mon installation en Israël en 2005 m’a permis de prendre du recul sur l’activité, de profiter du dynamisme de ce pays et d’augmenter mon niveau de spiritualité. C’est ensuite que j’ai lancé l’audition, un logiciel intégré, nos camions mobiles qui apportent des lunettes dans les Ehpad, entreprises ou associations, notre clinique réfractive… Je n’aurais pas pris toutes ces décisions en France, le nez dans le guidon. Où en est votre clinique réfractive? Pour bien voir, il y a trois options: les lunettes, les lentilles ou l’opération. Nous sommes la seule enseigne à faire les trois. Nous avons appris un métier et opérons une cinquantaine de patients par mois. Mais je me donne encore un an pour savoir si nous conservons une seule clinique, si nous en développons d’autres ou si nous arrêtons. D’autres projets? Le ROF, le syndicat des enseignes d’opticiens, essaie d’obtenir l’autorisation de l’Etat pour pratiquer des examens de la vue. Les opticiens sont formés deux ans sur ce sujet, contre six mois pour les ophtalmologues. Et on manque d’ophtalmos… Nous travaillons sur un logiciel qui pré-validerait l’examen de la vue par l’intelligence artificielle. Celui-ci serait ensuite transmis à l’ophtalmo qui n’aurait qu’à valider et à envoyer l’ordonnance au client. Vous avez d’autres activités… J’ai créé la place de la musique à Jérusalem avec des restaurants et un musée. Je consacre 80% de mon temps à Optical Center et 20% à l’immobilier, l’hôtellerie, la culture, le sport. J’ai aussi créé une fondation car, à Jérusalem, de nombreux enfants sont en échec scolaire faute de lunettes. Nous avons notamment organisé des visites d’optométristes en écoles et construit le temple de la vision et de l’audition, où nous donnons chaque mois 2.000 paires de lunettes et une centaine d’appareils auditifs. Combien de temps resterez-vous à la tête de votre groupe? Dans les Maximes de Nos Pères, il est écrit que 70 ans est l’âge de la transmission. J’ai encore une vingtaine d’années à développer l’entreprise et ensuite je la transmettrai à l’un de mes sept enfants. Votre rêve de croissance? Avoir une croissance à deux chiffres chaque année. \n\n \n \n Santé\n \n
6medical
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/performances-economiques-environnementales-de-lagroecologie
Market Impact
L’’agriculture française se trouve à la croisée des chemins. Bien que contribuant à notre sécurité alimentaire, le modèle agricole « conventionnel » porte atteinte à l’environnement sans assurer à tous les producteurs des revenus suffisants. L’agriculture représente 20 % des émissions de gaz à effet de serre en France, sans parler de son concours à l’érosion de la biodiversité comme à la pollution de l’eau et des sols. Et malgré les aides, un quart des agriculteurs vivent sous le seuil de pauvreté, selon l’Insee. Il est donc urgent de changer de modèle. L’agroécologie constitue en l’espèce une alternative durable, portée par les pouvoirs publics. Mais est-elle rentable ? Oui pour le référentiel agriculture biologique dans la majorité des cas, pas toujours pour les autres. C’est le résultat auquel parviennent Alice Gremillet et Julien Fosse après avoir évalué les performances environnementale et économique d’exploitations agroécologiques. Une évaluation basée sur l’analyse des données économiques issues de la littérature scientifique disponible, et d’une modélisation à l’échelle d’une exploitation céréalière type. L’agroécologie s’appuie sur un principe fondamental : utiliser de manière optimale les ressources apportées par la nature pour développer une agriculture utilisant le minimum d’intrants de synthèse (engrais, pesticides ou antibiotiques) et accroître la résilience et l’autonomie des exploitations. Concrètement, Alice Gremillet et Julien Fosse identifient vingt-trois cahiers des charges ou référentiels qui se revendiquent des grands principes de l’agroécologie, publics et privés, certains bénéficiant de soutiens financiers publics, d’autres non. Mais que recouvrent-ils vraiment ? Pour répondre à cette question, les auteurs ont calculé, pour chacun, « un score d’exigence environnementale », c’est-à-dire un indicateur tenant compte de la réduction d’utilisation d’engrais et de pesticides, et de l’importance des pratiques favorables à la préservation de la biodiversité, des sols et des ressources en eau. Bilan : suivant ce score, deux grandes familles d’exploitations agroécologiques se distinguent. Dans la première, on trouve les exploitations à haut niveau d’exigences environnementales pour lesquelles l’ensemble du système de production a été repensé, suivant un cahier des charges bénéficiant d’une reconnaissance du consommateur grâce à des labels publics. C’est notamment le cas de l’agriculture biologique (AB). Certification européenne et nationale, l’AB est soutenue par des aides à la conversion de la PAC. Fin 2018, 7,5 % de la surface agricole utile française et environ 41 600 exploitations agricoles nationales (soit 9,5 % du total) étaient cultivées en bio. La permaculture et trois référentiels privés (Demeter, Nature et Progrès et Bio Cohérence) ajoutent des contraintes supplémentaires aux exigences de l’AB. La certification Haute Valeur environnementale (HVE) tombe aussi dans cette première famille et concerne 5 399 exploitations au 1er janvier 2020. La seconde famille rassemble, elle, les exploitations dont le système de production, malgré des engagements supplémentaires, reste fondé sur les principes de l’agriculture conventionnelle. Appartiennent à cette famille : les exploitations engagées dans les mesures agroenvironnementales et climatiques système de la PAC (MAEC système) qui bénéficient d’aides, les 3 000 fermes économes en intrants du réseau DEPHY, et les chartes privées telles que Lu’Harmony ou AgriCO2 qui certifient respectivement 1 700 et 2 800 agriculteurs. Premier moyen utilisé par les auteurs pour évaluer la rentabilité (hors aides) des référentiels étudiés : l’analyse des données économiques publiées dans la littérature scientifique (INRA, Insee, CERFRANCE…). Bien que les indicateurs varient (marge brute ou directe, excédent brut d’exploitation…), de même que les échelles de temps et les filières (viticulture, maraîchage, céréales…), leur revue de littérature montre clairement que les exploitations agroécologiques, l’AB en particulier, sont en général plus rentables que les exploitations conventionnelles, alors que leurs exigences environnementales sont élevées. Pourquoi ? Parce que les exploitations bio réalisent des économies sur les charges en intrants (engrais, produits phytosanitaires) et que les prix des produits bio sont plus élevés. À quoi s’ajoutent des prix moins volatils et une plus grande diversité de productions, assurant dans leur ensemble des rendements plus stables sur le temps long. Or ces bénéfices font plus que compenser les coûts induits par des rendements plus faibles et par les charges supplémentaires liées à la mécanisation du désherbage ou au recours à davantage de main-d’œuvre. Un exemple pour s’en convaincre : en 2016 l’excédent brut d’exploitation (EBE) des exploitations conventionnelles en viande bovine était de 3 euros par hectare contre 180 euros en bio. Plus généralement la littérature scientifique montre que le gain de marge directe en AB, quoique très variable selon les productions, est en moyenne de 103 %. Pour généraliser ces résultats, Alice Gremillet et Julien Fosse ont ensuite modélisé (avec le logiciel GAMS) une exploitation en grandes cultures de 100 hectares, en fonctionnement conventionnel d’abord puis avec les contraintes supplémentaires de cinq cahiers des charges : AB, DEPHY économe et DEPHY très économe en intrants, HVE B et Lu’Harmony. Grâce à quoi ils ont pu estimer et comparer les marges directes globales de cette exploitation type, en conventionnel et sous référentiel. Une manière donc de simuler sa transition agroécologique pour en tester la rentabilité. Résultat : l’AB est le seul référentiel (parmi ceux testés) à apporter des bénéfices à moyen terme à l’exploitant, avec un gain de marge directe de l’ordre de 25 % au terme de la transition (hors aides de la PAC toujours). L’agriculture biologique apparaît donc comme la plus performante d’un point de vue économique et environnemental. Les aides de la politique agricole commune (PAC) assurent la rentabilité des exploitations européennes de manière générale. Certaines subventions spécifiques sont de plus dédiées aux référentiels agroécologiques. L’AB par exemple bénéficie d’aides à la conversion. Hiatus : ces aides ne sont pas proportionnées au service environnemental rendu par les exploitations, ni même toujours au manque à gagner effectif lié à leur transition agroécologique. Pour le montrer, les auteurs de l’étude ont confronté le montant des aides attribuées aux exploitations à leur « score d’exigence environnementale »… et constaté leur décorrélation. En grandes cultures par exemple, les montants totaux d’aides à l’hectare sont plus importants pour les référentiels MAEC systèmes que pour le référentiel AB. Autrement dit : c’est la production moins exigeante du point de vue environnemental qui reçoit plus. Mieux aider la transition écologique de notre agriculture passe donc par un réel ajustement des aides publiques versées aux efforts financiers consentis par les agriculteurs pour réduire leurs impacts sur l’environnement ou par un changement d’approche permettant de mieux rémunérer le service environnemental rendu. Une approche qui pourrait consister en un système de bonus-malus, le produit des malus sur l’usage de pesticides et d’engrais venant financer les bonus aux pratiques agroécologiques par exemple. Concernant les référentiels étudiés, Alice Gremillet et Julien Fosse formulent trois propositions. Pour les référentiels « à haut score d’exigence environnementale », il apparaitrait nécessaire de renforcer leur reconnaissance par le consommateur pour permettre un consentement à payer rémunérant justement l’agriculteur ; c’est le cas des référentiels HVE. Pour les référentiels « à haut score d’exigence environnementale» qui présentent, eux, des bénéfices économiques pour les exploitants, il serait souhaitable de mieux tenir compte de la plus grande intensité en main d’œuvre, à l'origine de surcoûts, dans le paramétrage des dispositifs d'aides publiques qui leur sont attribués. Enfin, pour les référentiels « à faible score d’exigence environnementale » mais à coût faible ou nul, il s’agirait de diffuser et de généraliser les bonnes pratiques, notamment en termes de réduction d’usage de pesticides. Ajuster les aides et mieux soutenir les référentiels à forte exigence environnementale sont des leviers nécessaires pour développer l’agroécologie. Mais ils ne seront pas suffisants. Pour assurer la transition de notre système alimentaire vers la durabilité, les pratiques des consommateurs doivent aussi évoluer, notamment vers un régime moins et mieux carné. C’est à cette double condition que le système agricole français pourra changer au profit d’un modèle plus soutenable permettant de nourrir la population, de faire vivre les producteurs dignement, de réduire notre dépendance aux intrants de synthèse et d’améliorer la protection des sols et la qualité de l’eau. France Stratégie · Les performances économiques et environnementales de l’agroécologie France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
0agronomy
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https://www.maddyness.com/2018/03/21/chatbots-en-route-vers-lindustrialisation/
Value Chain
bien que démocratisés par facebook, le chatbots ont surtout été portés par l’essor de application de messagerie – milliard d’utilisateurs quotidiens – et du canal de chat pour la relation client, et la façon de communiquer plus immédiate et naturelle qu’ils apportent. pour bénéficier de cet engouement initial, de nombreuses marque se sont lancées dans de projets autour du conversationnel. elles ont souvent cru qu’il suffirait d’investir rapidement dans ce nouveaux canaux pour attirer de million d’utilisateurs, et que l’intelligence artificielle, dont on considéré un peu vite que le chatbots étaient la face visible, allait résoudre tous le problèmes liés à la relation client – parcours, rétention, fidélisation. le design conversationnel, encore nouveau et peu pratiqué, n’a pa non plus fait l’objet d’une réflexion poussée.résultat : de nombreuses équipes ont élaboré de preuves de concept, ou poc (proof of concept) de chatbots sans affecter le ressources financières et humaines suffisantes ni penser en amont le usage en fonction de la réalité. si le poc ont pour but de définir le besoins en compétences et en technologie, il est vital de nourrir une réflexion approfondie sur leur audience et leur utilité pour le clients. au demeurant, parmi le chatbots annoncés sur messenger, rares sont ceux qui ont trouvé leur cible.l’avènement de chatbots de deuxième génération en abordant le chatbots uniquement par le canal, on prenait ainsi le risque de laisser de côté l’atout principal de chabots : l’interface conversationnelle. la première génération de chatbots repris le code qui prévalaient dans le application mobile : parcours guidés, interface non conversationnelles – boutons, images, etc.., capacité limitée ou inexistante à reconnaître le besoins de l’utilisateur exprimés en langage naturel. à lira aussi règles à suivre pour créer un chatbot réussiau contraire, le chatbots de génération mettent l’accent sur ce aspects. il comprennent plusieurs centaines d’intentions de l’utilisateur (et non plus seulement quelques unes), sont capables d’exploiter le contexte de conversation pour fournir une réponse adaptée (au lieu de répondre toujours la même chose), et permettent de conversation flexibles autorisant le digressions, le changements d’avis, le intention multiple exprimées par un utilisateur dans un même message. ce chatbots sont bien sûrs beaucoup plus prometteurs – % de entreprises utiliseront le chatbots pour le interaction client d’ici à et généreront milliard d’économies pour le service client d’ici – mais aussi plus complex à mettre en œuvre.vers l’industrialisationde très nombreux grand groupes français l’ont compris et ont ainsi tiré profit de leurs premières expériences pour investir plus résolument dans l’interface conversationnelle. le ca d’usage sont désormais beaucoup mieux orientés vers de service conversationnels à valeur ajoutée et du support, avec de objectifs de retour sur investissement. le budget sont beaucoup plus conséquents et le appels d’offres de plus en plus informés et exigeants. de centre de compétences sont créés autour de chatbots – qui regroupent designers, chef de projets, développeurs, spécialistes du support et de l’expérience client. à lira aussi pourquoi % de entreprises prévoient d’investir dans un chatbotdans certaines entreprises apparaissent même de « usines à chatbots », qui visent à développer de dizaines de projets, interne et externes, avec une même exigence de qualité. le projets de chatbot sont poussés par le métiers, mais supervisés et validés par le dsi. le choix de bonnes technology devient central, pour peu que l’on s’inscrive dans une logique de plateforme et non plus d’expérimentations isolées.miser sur de solution interopérables et évolutivespour réussir la phase d’industrialisation, il faut donc davantage privilégier le technology de développement de chatbot ouvertes et versatiles, adaptables aux logiques métier de chaque entreprise. leur potentiel se mesure également à l’interopérabilité naturelle avec le architecture existantes, afin que le chatbots soient connectés aux solution crm, aux back-offices et aux plateformes de support ou de ticketing. le technology doivent également répondre aux contraintes croissantes de sécurité et de confidentialité de données. à lira aussi comment concevoir un vrai bon chatbotenfin, il faut aussi viser l’évolutivité car la technologie conversationnelle est amenée à évoluer rapidement. au sein de entreprises ou de esn (entreprises de service du numérique), il est temp que le équipes s’approprient la modélisation de conversations, le données d’entraînement et le traitement du langage naturel, plutôt que de confier ce tâches essentielles à de solution dites « boîte noire » dont on ignore le fonctionnement.les entreprises se tournent donc déjà vers de solution de développement de chatbots plus ouvertes – voire parfois open-source – et modulaires. le plus ambitieuses, déjà nombreuses, sont désormais en train d’adopter une logique de plateforme pour le développement de chatbots, en se dotant de moyens humains, financier et technique conséquents. elles se préparent résolument à entrer dans l’ère de la conversation.________javier gonzalez helly est diplômé d’hec et de lettres modernes. après avoir fait une partie de sa carrière dans la banque d’affaires et le fusions-acquisitions chez bnp paribas, il se lance dans l’entrepreneuriat. il fonde plusieurs startup dans la tech et la fintech avant de fonder botfuel, startup au croisement de domaines qui le passionnent : l’intelligence artificielle et la linguistique. depuis le début de l’année , il est co-dirigeant et se consacre au développement de technology conversationnelles chez botfuel, qui propose une plateforme de développement de chatbots de ème génération. il anime également chatbots paris, la plus importante communauté française dédiée aux chatbots.
2design
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/comment-le-site-les-grappes-veut-chambouler-l-economie-du-vin_448983
Uniqueness
Vous annoncez vouloir chambouler l’économie du vin. Comment comptez-vous y parvenir? Notre plateforme permet aux consommateurs d’acheter du vin directement auprès des -vignerons. C’est direct parce qu’ils peuvent interagir avec le producteur. On y parle aussi du vin sans chichis, loin de tous les sites qui ont une approche trop complexe du vin. Vous apportez une nouvelle offre, car seulement 7% des producteurs sont dotés d’un site d’e-commerce. Qui sont vos concurrents? Ce sont les cavistes et les gros sites. Le marché est très atomisé, le secteur n’a pas encore connu sa transformation digitale. Les traditionnels sites d’e-commerce de vin présentent les bouteilles comme on vend des barils de lessive. Ils offrent une expérience désincarnée, nous souhaitions y remédier. Beaucoup d’acteurs se sont lancés depuis trois ans, comme Winewoo ou Le petit ballon. Certains se positionnent sur l’abonnement, d’autres sur l’achat en direct… Nous proposons une offre globale autour de l’achat en direct et des avis de la communauté. Quelle est la prochaine étape de votre développement? Nous lançons cette semaine la plateforme Les Grappes Pro.com, deux ans après notre site principal. Elle va permettre aux professionnels français de la restauration d’acheter les bouteilles en direct auprès de 400 vignerons récoltants. Actuellement, c’est une offre unique. Les frais de port sont coûteux. Comment faites-vous pour que le consommateur s’y retrouve? Nous avons cherché un modèle -tarifaire qui casse la difficulté pour les consommateurs d’acheter de petites quantités de vin. Nous avons trouvé un modèle logistique pour livrer à partir de trois bouteilles. Pas d’entrepôt, les expéditions partent directement des domaines, auxquels nous avons préalablement livré des cartons. Ainsi, nos prix sont 20 % moins chers que ceux des cavistes. Quel investissement représente une plateforme comme la vôtre? Nous avons levé 700 000 euros, en janvier 2015, auprès de business angels, la plus grosse levée de fonds en amorçage dans le vin depuis dix ans. Il y avait Webedia, le patron d’Acticall, Rue du Commerce, VideDressing, Pecheur.com. Cette somme nous sert, notamment, à développer notre communauté. Votre démarche de circuits courts est-elle aussi écologique? Nous y prêtons attention, car le bio est un marché en croissance de 20 % par an, d’autant plus intéressant que 40 % des producteurs de vins bio font de la vente directe, exactement dans notre modèle. Mais c’est difficile de concilier notre engagement « zéro casse » à la livraison avec un emballage écologique des bouteilles. Vous avez travaillé dans une autre start-up auparavant, pourquoi avez-vous changé? De 2010 à 2013, j’ai œuvré à Fort Royal, une entreprise d’artisanat d’art, un modèle plus traditionnel. J’ai quitté la société pour être plus libre, j’avais envie de monter mon propre projet. Je voulais une entreprise qui rassemble deux de mes passions : le vin et le digital.           Entretien réalisé par Claire Bouleau et Léa Lejeune \n\n \n
4environment
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https://www.lavoix.eu/fr/news/146/protection-visuels-ihm
Securing
1. Qu'est ce qu'une IHM ?   Définition : Interface Homme MachineEn pratique, ce sont les icones (1), les apparences visuelles des écrans (2), les différents éléments visibles et actifs qui apparaissent sur un écran d’ordinateur, un téléphone portable (3), une tablette (4) etc. qui servent à interagir avec la machine.   (1) (2) (3) (4)   2 - Quel type de protection ?2.1 - La protection par le droit d'auteur En France, cette protection peut être acquise sans formalité de dépôt sous réserve d’originalité.Compte tenu des difficultés à prouver l'originalité (exigence croissante des Tribunaux dans le domaine du "design industriel"), il est recommandé de privilégier la protection par Dessin et Modèle et/ou Marque. 2.2 - La protection par dessins et modèles   Cette protection est acquise par le dépôt sous réserve de nouveauté et de caractère propre / individuel (modèle qui produit une impression visuelle d’ensemble différente de l’art antérieur).     Tous les éléments graphiques d'une IHM (tels que des icônes, tableaux, décors, disposition des éléments de l'interface... etc).     Le principe : seul ce qui est vu sur les représentations est protégé. → Il faut donc attacher un soin particulier à la préparation et à la sélection des vues.Exemple : Protection de la rosace seule   Protection de la rosace au sein d'un écran dont les éléments sont déja connus   Exemple : Protection d'une IHM animée ou en mouvement : il faut représenter les différentes étapes du mouvement.     → Utilisation des Disclaimers (renonciation de droits représentée en pointillés) pour délimiter l'effet de la protection au sein d'un ensemble lorsque :- les autres éléments ne peuvent pas prétendre à une protection,- ils constituent des éléments secondaires selon lesquels une protection n'est pas recherchée.   Exemple :       2.3 - La protection à titre de marques   Cette protection est acquise par le dépôt sous réserve de caractère distinctif : le signe doit être un indicateur de l’origine du produit.   Que déposer ?     Privilégier ce type de protection aux éléments distinctifs tels que les icônes.   Marque acceptée - exemple : Marque rejetée - exemple :   Comment déposer ? → Icônes fixes :Une vue par icône, chaque icône déposée séparément. → Icônes en mouvement : De même que pour les modèles, une animation peut faire l’objet d’une protection à titre de marque (marque de mouvement).   Exemple :   3 - Avantages et cumul de protection3.1 - Avantages De la protection à titre de modèle- Possibilité d'obtenir une protection dans les 28 pays de l'UE sans examen au fond : Dessin et Modèle communautaire,- Possibilité de grouper plusieurs modèles dans un seul dépôt (à la condition qu'ils relèvent de la même classe),- Le dépôt constitue une preuve de la date d'acqisition des droits.- Une protection pour 25 ans. De la protection à titre de marque - Protection pour une durée indéfinie sous réserve de renouveler la marque à son échéance (10 ans renouvelable indéfiniment) dans l’UE (28 pays), - Pas de condition de nouveauté ni d’originalité : dépôt à tout moment sous réserve qu’au jour du dépôt la marque soit distinctive et disponible,- Protection possible pour les icônes et les autres éléments utilisés sur l’interface tels que dénominations, logos, marques de mouvement, musique d’ouverture d’une application. 3.2 - Cumul de protection Dessins & Modèles / Marques Superposition des droits de marques, de dessins et modèles et de brevets permise par les deux Règlements et la Directive (art 3 RDMC, Art 4 RMC ; Art 16 et 17 Directive 98/71 D&M) et confirmée par la jurisprudence « il est constant que le fait que la marque enregistrée ait fait l’objet d’un brevet, ne constitue pas en soi un obstacle à son enregistrement en tant que marque communautaire ».Exemple d'icône bénéficiant d'une double protection :     Recommandation : Le modèle et la marque doivent être déposés avant toute divulgation, afin d’éviter la destruction de la nouveauté du modèle d’une part et que le signe ne devienne pas usuel d’autre part. Dessins & Modèles et Marques / Brevets Cumul possible de la protection avec brevets pour l’aspect technique et marques et/ou dessins et modèles pour l’aspect esthétique.Afin de ne pas détruire la nouveauté du brevet par la publication de la marque ou du dessin & modèle (laquelle intervient rapidement après le dépôt), il convient de déposer en premier le brevet.   Nécessité de respecter la chronologie suivante pour les dépôts :       Nous restons à votre disposition pour tout complément d'information.Contacts : Valérie SAMSON / Philippe LODS
2design
[ 7, 8, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/les-professionnels-anticipent-une-vague-de-procedures-collectives-a-l-automne_724165
Legitimacy
Challenges - D’où vient votre passion pour le redressement d’entreprises? Mylène Boché-Robinet - En 2008, j’ai rejoint la nouvelle équipe restructuring du cabinet Clifford Chance. Je suis restée dix ans et me suis spécialisée en restructuring transfrontalier, notamment franco-allemand. J’ai beaucoup travaillé sur la faillite colossale de Nortel, avec des contentieux aux Etats-Unis, au Canada, à Londres. Puis j’ai rejoint le cabinet français August Debouzy. Comment est né votre cabinet?\n\nEn 2019, j’ai cofondé DFBD avec Véronique Dobelle et deux associés, partis depuis. C’est un cabinet boutique, très spécialisé. En cas de crise dans une entreprise, nous montons dans le bateau, prenons en main la gestion, construisons une équipe avec d’autres conseils. Dès 2019, nous avons été classés "excellents" par Leaders League, puis "incontournables" en 2020. Quelles sont vos autres activités?\n\nEn 2013, j’ai créé Diriger en temps de crise (ex-Trident), une entité avec laquelle je fais de la formation, de l’information et du conseil aux dirigeants. Il y a un vrai besoin de les informer sur le restructuring et les outils de prévention des difficultés, très mal connus. On associe le tribunal de commerce à un organe de sanction et aux "3D": dépôt de bilan, divorce, déprime. Les dirigeants ne s’y confrontent qu’une fois en difficulté, souvent trop tard. Pourtant, le droit français est extrêmement bienveillant à l’égard du débiteur, s’il s’y prend en amont. Quels outils conseillez-vous dans cette période de crise?\n\nLes procédures amiables (mandat ad hoc, conciliation). Elles sont très différentes des procédures collectives (sauvegarde, liquidation judiciaire) en ce qu’elles sont confidentielles et volontaires, purement amiables. Le dirigeant reste aux manettes. Le président du tribunal se contente de désigner un tiers, le mandataire ad hoc ou le conciliateur, qui a pour mission de l’assister dans la mise en place de solutions. Quel est l’impact de la crise sur le recours aux procédures collectives? A juin, la situation n’avait pas explosé. Avec la crise du Covid, le législateur a gelé l’obligation pour le dirigeant de déposer son bilan jusqu’au 23 août. Cela veut dire que de nombreuses entreprises en cessation de paiements n’ont pas déposé leur bilan. L’espoir du législateur, c’est d’éviter les faillites. Mais la grande majorité des professionnels anticipent une vague de procédures collectives à compter de l’automne. Les femmes sont-elles nombreuses dans ce secteur? C’est un monde qui se féminise, chez les avocats, les administrateurs, les experts financiers. Cela nous a permis de créer l’association des femmes du restructuring, WiR, qui permet de faire des rencontres, se former, s’informer, trouver une bulle pour souffler, et défendre certaines valeurs. Nous pensons avoir en général une façon différente d’appréhender les dossiers, dans la bienveillance, l’écoute. Votre rêve de croissance? Avant, je pensais que la croissance passerait par l’intégration d’autres spécialités au cabinet. Mais je suis de plus en plus convaincue par le modèle boutique. \n\n \n \n Redressement judiciaire\n \n
5learning
[ 13, 1, 3 ]
https://www.frenchweb.fr/industrie-asystom-leve-15-million-deuros-pour-sa-solution-de-maintenance-predictive/402000
Financing
asystom spécialisé dans la maintenance prédictive pour industrie lève 1 5 million euro auprès holnest avec la participation de trois family office de la bpi et de la région occitanie lancé en 2016 par pierre naccache stéphane lhuisset bernard feurer et sébastien lopez asystom développe une solution clé en main permettant aux industriels de surveiller tous le composants un système être alerté en temp réel de état de chaque appareil surveillé et de prédire le éventuelles défaillances via intelligence artificielle la startup adresse à de nombreux secteurs activité tels que celui de aciérie automobile aéronautique laboratoires pharmaceutiques traitement de eau et de déchets ou encore de agro alimentaire asystom commercialise sa solution en france et à international et revendique à ce jour plus de 50 client pendant la crise sanitaire liée au covid 19 et le mesures de confinement qui en sont suivies asystom pu apporter sa solution iot optimisation de outils de production adaptable pour une surveillance à distance la force de innovation asystompredict réside dans intelligence embarquée et la capacité de prise en main à distance de outils de surveillance pour diagnostiquer paramétrer et faire évoluer le outils analyse souligne pierre naccache président et fondateur asystom dans le cadre de cette levée de fonds asystom ambitionne accélérer la commercialisation de sa solution à international et de développer son pôle d nous somme très heureux investir dans asystom qui représente pour nous le futur de iot industriel tant en termes de simplicité de multiplicité de usage que adaptabilité explique alexandre aulas directeur général holnest fondateurs pierre naccache stéphane lhuisset bernard feurer et sébastien lopez création 2016 siège social castelnaudary occitanie secteur maintenance predictive maintenance activité solution clé en main permettant aux industriels de surveiller tous le composants un système financement 1 5 million euro auprès holnest avec la participation de trois family office de la bpi et de la région occitanie pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
8production
[ 8, 12 ]
https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/sinvestir-dans-la-micromobilite/
Desirability
Malheureusement ces trottinettes en libre-service sont victimes de nombreux actes de vandalisme… Pony, startup française de micromobilité, a lancé un modèle intéressant qui pourrait permettre d’éviter ces problèmes récurrents. La startup a été lancée en 2017 à Oxford par deux français, Paul-Adrien et Clara, qui se sont ensuite installés à Angers pour développer leur projet. Leur objectif ? Responsabiliser les utilisateurs afin d’éviter le vandalisme. En effet, en France et notamment à Paris, de nombreux actes de vandalisme visent les biens collectifs tels que les véhicules en free-floating. Typiquement, en ce qui concerne les Vélibs, 60% des réparations sont liées à des actes de vandalisme. Pony, qui semble être une marque de trottinettes et vélos électriques comme une autre, a en fait un business model surprenant : la startup propose de louer un modèle électrique… mais aussi d’en acheter un, en devenant un Pony Angel ! L’utilisateur peut ensuite décider s’il préfère un usage personnel du véhicule ou le laisser en libre-service. Dans ce cas, il récupérera 50% du prix de chaque course. L’autre moitié sera reversée à la startup.  La startup a déployé une flotte à Oxford, à Angers puis à Bordeaux en juin 2019, après une levée de fonds de 2,2 millions d’euros. Ces opérations se sont avérées fructueuses. La raison de son succès repose également sur le dialogue instauré avec les communes : Pony discute en amont de nombreux problèmes potentiels tel que celui du stationnement. Pour ce qui est du vandalisme, la plupart des dommages sont effectués par des consommateurs peu soucieux de prendre soin du produit, celui-ci ne leur appartenant pas. Une fois utilisé, ils s’en débarrassent et “jettent” le produit sans scrupules. Ainsi, la possibilité de devenir propriétaire d’un véhicule responsabilise nettement les utilisateurs. Pony assure être trois fois moins victime de vandalisme que ses concurrents ! Pour rassurer ses futurs propriétaires, la startup leur offre une garantie de six mois, et assure la recharge et la maintenance de leur véhicule.  Côté coût, il faut compter 720 euros pour une trottinette électrique et 220 euros pour un vélo. Ceux-ci seront vite rentabilisés si l’acheteur décide de laisser son véhicule en libre-service. L’application Pony Bikes permet aux propriétaires de suivre en temps réel l’activité de leur véhicule. Du déverrouillage au trajet jusqu’au parkage, tout est contrôlable via l’app !  Début 2020, la startup a commercialisé un nouveau modèle de véhicule, du jamais vu dans le marché du free floating : le Double-Pony, un vélo deux places. Appartenant à la catégorie du longtail, ou vélo rallongé, il permet à ses utilisateurs d’avoir un passager à l’arrière, un enfant, voir même tout simplement un sac de courses… Son prix à l’achat ? 1550 euros. Paul-Adrien, le co-fondateur, voit le Double-Pony comme une alternative à la voiture individuelle, permettant sur le long terme une diminution du nombre de voitures en ville. Son lancement permet également d’augmenter les interactions sociales au sein de la micromobilité, peu mises en avant aujourd’hui dans ce secteur.  Pony prévoit de se déployer dans d’autres villes, mais sans précipitation : dialogue avec les communautés et écoute des attentes des utilisateurs sont au programme… Lyon et Paris sont les prochaines villes sur la liste.  Concept original et bien imaginé, on espère qu’il permettra sur le long terme de réduire conséquemment les actes de vandalisme !
13transport
[ 10, 1, 8, 11, 0 ]
https://www.strategie.gouv.fr/debats/systeme-financier-transition-energetique-strategie-finance-verte
Legitimacy
La cible des 2 degrés adoptée à la COP21 (et encore davantage l’objectif du 1,5 degré) nécessite une transformation profonde des incitations et des régulations du secteur financier. Toutefois, les travaux des économistes et experts pour examiner les répercussions macroéconomiques et financières de la transition n’en sont qu’à leur tout début. Or le lien entre politique climatique et régulation financière sera un thème clef de l’agenda climatique : dépréciations des réserves de combustibles fossiles ou d’infrastructures, brusques changements de valeur d’actifs financiers, implications systémiques…, les sujets à étudier sont nombreux. L’agenda international de la fin de l’année 2017 offre l’opportunité de prendre de nouveaux engagements. Entre la COP23 à Bonn (6-17 novembre), les conclusions que rendra le Green Finance Study Group fin novembre en Allemagne dans le cadre du G20, et le Sommet de Paris du 12 décembre, l’ambition est de se coordonner sur un nombre restreint de sujets clés liés à la construction d’un système financier durable : l’information sur le contenu carbone des portefeuilles, les obligations vertes, la régulation financière climatique. Cette table-ronde organisée le 11 octobre permettra aux acteurs clés de l’industrie financière, du régulateur financier, du monde académique et de l’administration d’exposer leurs positions. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies
4environment
[ 13, 0 ]
https://www.frenchweb.fr/la-startup-api-video-leve-55-millions-de-dollars-pour-democratiser-lutilisation-de-la-video-comme-outil-dengagement/402376
Financing
profitant de essor du format vidéo la paas api video vient de réaliser un tour de table en seed de 5 5 million de dollar mené par blossom capital et auquel ont également participé kima venture le fonds de xavier niel et de business angel basée à bordeaux la startup été lancée en 2019 par cédric montet également à origine de la création de la plateforme hébergement vidéo pour le entreprises et organisation libcast avec api video ambition de entrepreneur est de permettre à toutes le entreprises dont ce est pa activité principale de proposer facilement la possibilité à leurs utilisateurs de partager du contenu vidéo et cela également en live dans leur application logiciel ou plateforme retrouvez interview de cédric montet fondateur api video listen to api video lève 5 5 million de dollar pour démocratiser utilisation de la vidéo comme outil engagement on spreaker pour cela api de la startup permet de transcoder héberger et de diffuser le vidéos le développeurs ont également accès à de données analytiques le but est que la solution soit facile à prendre en main pour ce derniers afin de réduire le coûts qu impliqueraient normalement la mise en place une telle solution le usage cités par la startup sont par exemple de permettre à de entreprises de facilement proposer à leurs équipes de partager du contenu vidéo sur leur intranet à de universités de proposer la diffusion de contenu en live ou encore à de plateformes commerce de se saisir de ce format connu pour être un facilitateur engagement avec ce tour de table api video souhaite étoffer son équipe se développer à international et continuer à développer son produit fondateur cédric montet création 2019 siège social bordeaux effectifs 12 collobarateurs secteur vidéo financement 5 million de dollar en seed en juin 2020 investisseurs blossom capital kima venture business angel octave klaba eduardo ronzano thibaud elzière nicolas steegmann julien romanetto frédéric montagnon florian douetteau michaël benabou dominique romano pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris
8production
[ 13, 8, 12 ]
https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/laurent-taieb-veut-faire-de-l-hotel-la-poste-du-louvre-un-lieu-de-vie_761135
Magic Team
Challenges - Vous avez un parcours étonnant. Racontez-nous! Laurent Taïeb - Je suis arrivé en France en 1974, dans une situation compliquée. J'ai fait plein de petits métiers. En 1992, j'ai ouvert le Café du Trésor, un succès immédiat. Puis j'ai créé les productions du Trésor avec Alain Attal, le restaurant Bon avec Philippe Starck, et Lô Sushi avec Andrée Putman. Et en 2003, grâce à Yves Carcelle, alors PDG de Louis Vuitton, j'ai ouvert le restaurant Kong, à la Samaritaine. Comment avez-vous décroché l'hôtel de La Poste du Louvre? Je me suis associé à 50% avec Novaxia. Ce qui a fait la différence, c'est d'avoir proposé un ensemble d'hôtellerie-restauration, sans dissocier les deux. Et nous avons investi plus de 32 millions d'euros au total, dont 16 millions que nous avons empruntés. J'ai mis les trois quarts de ce que j'ai gagné en vingt-cinq ans dans la restauration et l'immobilier. L'hôtel 5 étoiles ouvrira fin 2021 ou tout début 2022, avec des chambres à partir de 380 euros la nuit. Quid de l'hôtel des tours Duo? Il sera livré au printemps 2022, dans le XIIIe arrondissement, avec des chambres offrant chacune une vue exceptionnelle sur tout Paris, à partir de 220 euros. J'ai grandi dans une tour HLM qui s'arrêtait au 16e étage. Cet hôtel, qui démarre au 17e étage, réalise un rêve. Ces projets se ressemblent-ils? Ce sont deux très gros projets qui mettent la restauration à l'honneur. La pandémie a rappelé l'importance du lien. Ce seront des lieux de vie, entièrement écologiques, avec restaurants, rooftops, skybars. On viendra y dormir, prendre un café, faire du sport, mais aussi travailler, grâce à un Wi-Fi surpuissant. Selon vous, quand les touristes reviendront-ils? Je pense que les clients fortunés de l'hôtellerie de loisirs, venus des Etats-Unis, d'Asie ou du Brésil, attendront la fin de la pandémie. Mais les touristes à trois ou quatre heures de Paris, d'Europe ou d'Israël, peuvent revenir vite. Si les vaccins réduisent drastiquement les contaminations, cela peut redémarrer très fort, dès septembre. Ce qui représente une vraie problématique. Pourquoi? Le secteur de l'hôtellerie et de la restauration manque cruellement de main-d'oeuvre. Avant la pandémie, on recensait 200.000 postes vacants. Or, à cause de la crise, 20 à 25% des collaborateurs sont partis, ont changé de métier. De nombreux étudiants ont dû trouver autre chose pour vivre. Quand les restaurants vont rouvrir du jour au lendemain, on manquera de personnel. Nous avons déjà du mal à recruter pour nos hôtels. Combien pèse votre groupe? Il compte une centaine de salariés et réalise une dizaine de millions d'euros de chiffre d'affaires. En 2023, il devrait atteindre les 60 millions, avec 500 collaborateurs. Nous avons toujours gagné de l'argent mais, avec ces projets, nous allons en perdre. Je possède 100% de la société. A un moment ou un autre, il faudra ouvrir le capital. Votre rêve de croissance? Je me donne entre sept et dix ans pour tripler la taille de cette société. J'aimerais prendre une part de marché conséquente dans l'hôtellerie de luxe accessible. \n\n \n \n Louis Vuitton\n \n
4environment
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