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https://www.strategie.gouv.fr/publications/politiques-publiques-faveur-vehicules-tres-faibles-emissions | Market Impact | Avec pour objectif ambitieux la neutralité carbone à l’horizon 2050, le Plan Climat prévoit de mettre fin à la vente des voitures émettant des gaz à effet de serre, c'est-à-dire les voitures thermiques, d’ici 2040. Une petite révolution pour la filière automobile qui représente près de 5 000 entreprises, 500 000 salariés et 2,3 millions d’emplois induits en France. Bonne nouvelle : le développement du véhicule électrique est une réelle opportunité industrielle… à condition de l’accompagner dans la durée par des politiques publiques volontaristes. C’est une des conclusions du rapport que France Stratégie vient de remettre au ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire et à la ministre chargée des transports, suite à la mission d’étude des politiques publiques engagées à l’international en faveur du véhicule "propre". Un rapport qui tombe à point nommé : le contrat stratégique de la filière automobile signé mardi 22 mai 2018 avec le gouvernement vise une multiplication par cinq des ventes de véhicules 100 % électriques et la mise en place de 100 000 bornes de recharge d'ici 2022. Dominique Auverlot, Nicolas Meilhan, Bérengère Mesqui et Aude Pommeret nous livrent une synthèse des principaux résultats. Le véhicule électrique est à coup sûr une opportunité industrielle qu’il s’agit de ne pas laisser passer. Et ce, pour au moins trois raisons. D’abord parce qu’il s’agit d’un marché d’avenir très concurrentiel : avec des ventes annuelles, en progression de 60 % par rapport à 2016, le parc automobile électrique représentera des dizaines de millions de véhicules en 2030 et un marché de plusieurs dizaines de milliards de dollars chaque année. Or la Chine représente déjà 50 % des ventes mondiales pour un marché concentré dans huit pays – Chine, États-Unis, Japon, Norvège, Royaume-Uni, France, Allemagne et Suède. Ensuite parce que nous sommes à un tournant : « nous entrons dans une nouvelle phase de la mobilité électrique qui va nous permettre de parcourir de plus longues distances », explique Dominique Auverlot. Fini le temps où voiture électrique rimait avec petits trajets du quotidien. Les progrès récents des batteries au lithium ont non seulement divisé leur coût par deux mais également augmenté leur autonomie pour des parcours qui devraient atteindre 400 km à partir de 2020, avec une recharge de 80 % de la capacité en vingt-cinq minutes. Enfin, parce que le développement de la voiture électrique relève d’une grappe d’innovations simultanées. Il recèle donc des effets d’entraînement potentiellement puissants. « Les batteries [par exemple] ne seront plus cet objet passif que constituait le réservoir à essence », expliquent les auteurs du rapport, « elles pourront rendre des services au réseau électrique », en fournissant à terme de l’énergie dans la maison ou au réseau en cas de pic de consommation. Autrement dit, la massification du véhicule électrique oblige à repenser l’articulation entre automobile et approvisionnement en énergie, à penser « système ». Mais comment orienter et stimuler l’investissement dans cette direction ? Pour répondre à cette question, les auteurs ont passé en revue les stratégies de huit pays engagés dans des politiques volontaristes en faveur du véhicule "propre" : l’Allemagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l’Espagne, la Norvège, les États-Unis, l’Inde et la Chine. Objectif : identifier les politiques publiques et les incitations en faveur du véhicule "propre" qui marchent. Bilan ? Trois zones dans le monde sont parvenues à ce que les véhicules électriques dépassent les 10 % des ventes de voitures neuves : la Norvège, les villes chinoises de Pékin, Shanghai et Shenzhen, et une trentaine de villes californiennes. Un chiffre à comparer aux 3 % enregistrés dans les villes françaises ou allemandes. Dans ces trois zones, le développement du véhicule électrique résulte de politiques publiques reposant non seulement sur des incitations financières élevées compensant le surcoût du véhicule électrique et maintenues dans la durée, mais également sur des avantages indirects - gratuité des péages autoroutiers pour les véhicules électriques, accès gratuit aux parkings munis de bornes de recharge, tarifs de stationnement différenciés entre véhicules thermiques et électriques… Dans deux zones, des quotas de vente de véhicules électriques sont de surcroît imposés aux constructeurs. Partant de ces observations, le rapport recommande que la France poursuive sa politique de bonus-malus et d’incitations en faveur du véhicule électrique, tant que son coût sera supérieur à celui du véhicule thermique. Ces aides pourraient être modulées en fonction de l’autonomie réelle du véhicule électrique, voire des revenus. Nicolas Meilhan insiste en l’espèce sur la nécessité d’équiper les véhicules hybrides rechargeables d’une autonomie électrique d’au-moins 60 km pour pouvoir effectuer les trajets du quotidien et ne pas rouler majoritairement en mode thermique. Le rapport préconise également de soutenir fortement la R&D : « l’essor de la filière automobile et de ses emplois passe par des mesures de politique industrielle en faveur du véhicule électrique », souligne Aude Pommeret. L’effort devrait porter prioritairement sur les prochaines générations de batteries, dans le cadre du programme Horizon 2020 notamment, mais aussi sur des domaines plus transversaux : nouveaux moteurs et matériaux, recyclage, mécatronique, numérique et intelligence artificielle. Autant de « savoir-faire clés » dans lesquels investir signifie anticiper l’avenir. Autre préconisation centrale : poursuivre le déploiement des bornes de recharge. Dans la perspective – ambitieuse – d’un parc de véhicules électriques de 3 à 4 millions d’unités d’ici une quinzaine d’années, on conçoit bien en effet qu’il s’agit de doter massivement de bornes les autoroutes, la voirie et les parkings publics mais aussi les garages et les parkings des immeubles collectifs. Des projets d’équipement qui doivent être entrepris « en bonne intelligence entre le public et les différents acteurs privés concernés », recommande le rapport, et ce, sans oublier le nécessaire développement des autres modes de transport pour favoriser le report modal et l’intermodalité, rappelle Bérengère Mesqui. Enfin, parce que le véhicule électrique ne prendra son plein essor que lorsqu’il sera accessible aux ménages aux plus faibles revenus, le rapport préconise de soutenir le développement de véhicules low cost, la création d’un marché de l’occasion – ce qui implique une garantie de la batterie sur une durée de vie suffisante – et l’équipement en bornes de recharge du parc de logements sociaux. On l’aura compris, si la France veut passer à la vitesse supérieure sur le véhicule "propre", c’est maintenant qu’il faut agir. Les politiques publiques en faveur des véhicules à très faibles émissions, par fcausse France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/fintech-qwil-leve-244-millions-de-dollars-pour-accorder-des-prets-aux-freelances-et-aux-petites-entreprises/386884 | Financing | lorsque que on est à la tête une petite entreprise ou bien que on est à son compte en tant que freelance un qui ne paie pa en temp et en heure s factures peut rapidement aboutir à une situation difficile sur le plan financier ayant lui même vécu une telle expérience johnny reinsch décidé de changer la donne en lançant en 2015 la start up qwil avec s associés paul tiplady et trevor branon avec sa société entrepreneur américain propose ainsi une solution pour accorder de prêts aux petite entreprises et aux indépendants idée est ainsi de leur permettre de ne plus se retrouver à court argent à cause de paiements tardifs de leurs client plutôt que de appuyer sur le cote de crédit traditionnelles habituellement utilisées dans le cadre de la souscription un prêt qwil utilise de son côté autres information comme le données de paiement de entreprise ou du freelance de manière à réduire le coûts pour se rémunérer la start up basée à san francisco facture un montant forfaire de 20 pour avance de paiement fournie à s client face au nombre croissant de freelance et de start up qwil veut passer à la vitesse supérieure nécessitant beaucoup de capitaux pour se développer dans la mesure où elle doit pouvoir continuer de prêts à s client la fintech américaine vient de boucler un tour de table de 24 4 million de dollar mené par peakspan mosaik partner reciprocal venture silicon valley bank canto sam hodges et ron suber ont également participé à opération dans le même temp la société également reçu 200 million de dollar en dette notamment auprès de la banque investissement américaine jefferies avec ce fonds supplémentaires qwil prévoit accélérer son développement en renforçant s effectifs le financement doit en effet permettre à la fintech californienne élargir son champ action pour fournir de prêts à davantage indépendants et de petite entreprises de cette manière la société veut se positionner en alternative durable aux banques qui refusent octroyer de prêts faute de garanties financières suffisantes ou quand elles acceptent accorder un prêt le font avec un taux intérêt très élevé selon une étude de deloitte le emplois alternatifs qui comprennent aussi bien le équipes externalisées le freelance le travailleurs indépendants et le mission ponctuelles devraient concerner 42 million de personnes rien qu aux états unis ici 2020 soit le triple de ce que représentait ce marché en 2017 upwork et le syndicat freelancer union estiment même que le statut de freelance deviendra majoritaire au sein de la population active américaine ici 2027 fondateurs johnny reinsch paul tiplady et trevor branon création 2015 siège social san francisco secteur fintech activité solution pour accorder de prêts aux petite entreprises et aux indépendants financement 24 4 million de dollar en décembre 2019 rejoignez la promo 2020 du club decode fintech pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 12society
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https://www.frenchweb.fr/blockchain-gerard-pique-investit-dans-la-startup-francaise-sorare/412102 | Financing | réputé pour être l’un de meilleurs défenseurs du monde avec le fc barcelone, club dans lequel il tout gagné, et l’équipe d’espagne, avec laquelle il est devenu champion du monde en et champion d’europe en , gerard piqué est aussi un homme d’affaires accompli. c’est avec cette casquette qu’il s’était attaqué au tennis de manière spectaculaire en avec son groupe kosmos pour transformer le format historique de la coupe davis, à raison d’un investissement de , milliard d’euros sur ans. le défenseur catalan n’en oublie pa cependant le football, comme en témoigne aujourd’hui son intérêt pour la start-up française sorare. fondée en octobre par adrien montfort et nicolas julia, la société développe une plateforme permettant à s utilisateurs d’acheter et de vendre le carte numériques de leurs joueurs de football préférés. partir de s cartes, le deux associés ont créé un jeu de «fantasy football» basé sur la blockchain. sur celui-ci, le utilisateurs doivent passer par un système d’enchères pour obtenir de carte numériques de joueurs, mais chaque carte obtenue est unique car elle est associée à un token non-fongible créé sur le réseau ethereum qui ne peut être copié. une carte d’un joueur est ainsi disponible en plusieurs exemplaires (unique, super-rare et rare), mais à chaque fois avec de caractéristiques propres qu’on ne peut retrouver sur une autre carte. avec leurs carte numériques, le joueurs peuvent s’affronter dans un championnat mondial, mais la société cherche à développer de championnats nationaux et continentaux. cette approche vis-à-vis du football au travers de la blockchain séduit gerard piqué ainsi qu’emmanuel seugé, ex-cadre à la direction marketing monde de coca-cola, via son fonds cassius family (brut, mwm…), qui ont décidé d’investir million d’euros dans sorare. ce financement vient compléter le tour de table de , million d’euros annoncé cet été par la société, soutenue notamment par ubisoft, xavier niel (kima ventures) et andré schürrle, vainqueur de la coupe du monde avec l’allemagne en . «je vois un énorme potentiel dans le développement de jeux de football en ligne dans une économie numérique où l’attention de l’audience est l’unité monétaire la plus importante. je me réjouis d’aider sorare à développer s partenariats avec le ligues de football, le club et le joueurs du monde entier afin de créer la meilleure expérience de fantasy football qui soit», indique gérard piqué, président de kosmos. l’occasion de cet investissement, le joueur espagnol va rejoindre le conseil d’administration de la start-up française en qualité de conseiller stratégique. il pourra ainsi distiller quelques conseils aux fondateurs pour leur permettre de s’imposer rapidement sur le marché naissant du «fantasy football licensing» alors que le club du monde entier, qui souffrent de voir leurs stades vides à cause de la pandémie de covid- , sont à la recherche de nouvelles source de revenus dans un contexte difficile. «gerard est non seulement l’un de meilleurs défenseurs du monde, mais il est aussi un entrepreneur actif qui redéfinit l’industrie du sport et du divertissement. le conseils stratégiques et le sen de affaire que gérard apporte à notre conseil d’administration sont inestimables. je suis heureux qu’il rejoigne notre équipe pour débloquer le passion que peut générer le fantasy football en ligne avec sorare», se réjouit nicolas julia, co-fondateur et ceo de sorare. lancé l’an passé, le jeu revendique à ce jour plus de utilisateurs et en prévoit le triple en . depuis son lancement, une centaine de club ont rejoint la plateforme, à l’image du paris saint-germain, de l’olympique de marseille, de l’olympique lyonnais, du bayern munich, du losc, de la juventus de turin, du fc porto ou encore de l’atlético madrid, et de ligues, comme la mls, afin d’émettre de carte sou licence officielle. de cette manière, le utilisateurs de sorare peuvent le collectionner pour jouer avec leurs joueurs préférés. pour le clubs, qui reçoivent une partie de mi déboursées par le utilisateurs pour obtenir de cartes, cela génère de revenus supplémentaires et une exposition accrue auprès d’une audience mondiale. un coup de pouce bienvenu à l’heure de la crise du coronavirus. gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto, entreprise référente sur l’achat média digital et le tracking. fondateurs : adrien montfort et nicolas julia création : siège social : paris secteur : blockchain activité : jeu de «fantasy football» basé sur la blockchain financement : million d’euros en décembre , , million d’euros en juillet … pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux (richard@decode.media)nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - 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https://www.strategie.gouv.fr/publications/faire-de-politique-agricole-commune-un-levier-de-transition-agroecologique | Market Impact | Sujet éminemment complexe, la politique agricole commune (PAC) ne saurait pour autant se résumer à une question technique ou budgétaire. Au regard des enjeux d’alimentation, de santé et de bien-être animal, c’est également une question de société. Avec une ambition environnementale renforcée à l'échelle européenne et nationale, la politique agricole porte en elle la possibilité d’une transition vers des systèmes agricoles moins préjudiciables à l’environnement et plus résilients. Une agroécologie capable de répondre aux attentes sociétales et de garantir un revenu décent aux agriculteurs. À l’heure où la Commission européenne rouvre les débats sur la future PAC, le rapport de France Stratégie examine comment en faire un véritable levier de la transition agroécologique. Mise en œuvre à partir de 1962, la PAC avait pour première ambition d’augmenter la productivité et les revenus du secteur agricole européen, en s’appuyant sur trois grands principes : un marché unique, une protection aux frontières, et une solidarité financière entre États membres par la constitution d’un budget commun. Et de fait, la PAC a permis à l’Europe d’accroître sa production agricole, d’assurer son autosuffisance alimentaire relative et de faire évoluer positivement sa balance commerciale agroalimentaire. Avec 55 milliards d’euros annuels, la PAC représente aujourd’hui 43 % du budget total de l’Union européenne. La France en bénéficie à hauteur de 16 %, ce qui équivaut à sa contribution au budget total de l’Union européenne. Les aides agricoles soutiennent la rentabilité des exploitations et jouent un rôle important d’amortisseur économique. Elles représentent en moyenne 100 % du revenu courant avant impôt des agriculteurs français. Pourtant, telle que mise en œuvre aujourd’hui, elle fait l’objet de critiques. Les agriculteurs peinent à vivre décemment de leur travail malgré les aides – un quart d’entre eux vivait sous le seuil de pauvreté en 2017, selon l’Insee. Quant aux citoyens, ils reprochent à la PAC de ne pas soutenir en premier lieu les modes de production les plus bénéfiques à l’environnement et à la santé. Or l’agriculture représente 20 % des émissions de gaz à effet de serre en France dont 71 % des émissions de méthane. À l’heure actuelle, les aides directes de la PAC sont liées à la taille des exploitations et à des références historiques de production. Ces aides tiennent compte de l’enjeu environnemental via « le paiement vert » (30 % des aides directes) et « la conditionnalité ». Mais l’utilisation d’outils de type quotas, seuils, prescriptions et dérogations limite l’efficacité du système sur le plan environnemental. D’autres outils existent qui permettraient pourtant de simplifier la PAC et de renforcer son ambition environnementale, à budget inchangé. Les rotations de cultures préservent la fertilité des sols, réduisent les risques phytosanitaires et limitent l’usage d’intrants chimiques. La diversification des cultures pourrait, dans cette perspective, être encouragée via un bonus financé par une taxe sur les engrais, sur les pesticides et les antibiotiques rémanents dans l’environnement. De même, les prairies (permanentes ou naturelles) contribuent à l’alimentation des animaux, à la préservation des sols et à la séquestration du carbone. Pour ces raisons, leur maintien pourrait être assorti d’un bonus (et à l’inverse d’un malus en cas de labourage) financé par une taxe sur les gaz à effet de serre proportionnelle aux nombre d’animaux élevés. Pour encourager la préservation des écosystèmes, un bonus pourrait également être versé aux agriculteurs qui entretiennent les surfaces d’intérêt écologique (haies, alignement d’arbres, mares...), les zones Natura 2000 ou les espaces agricoles à haute valeur naturelle de la Trame verte et bleue . Et comme s’engager dans ce type de pratiques agroécologiques a un coût, des contrats longs pour l’innovation agroécologique (CIAE) pourraient prévoir une prise en charge. Ces trois bonus et le CIAE seraient financés par une réorientation des « autres » aides actuelles de la PAC (celles qui ne relèvent ni des droits à paiement de base ni du paiement vert). Enfin, repenser les aides directes pour qu’elles soient proportionnelles au travail agricole plutôt qu’à la taille des exploitations permettrait, d’une part, d’assurer à tous les agriculteurs un paiement minimal déconnecté du niveau de la production agricole, et d’autre part, de tenir compte de l’augmentation de la charge de travail lors du passage à des pratiques agroécologiques. Ce « paiement de base par unité de travail » serait versé sous condition du respect des pratiques environnementales exigées aujourd’hui dans le cadre du paiement vert, et financé par le budget consacré actuellement aux « droits à paiement de base » et au paiement vert. La mise en œuvre de ces instruments implique donc une réorganisation du budget de la PAC. À partir des données observées en 2018, et à budget de la PAC inchangé, il est possible de réaliser une estimation de la structure de cette nouvelle PAC suivant un « scénario-cible » de long terme. Ce scénario n’a pas vocation à fournir « une solution clé en main » mais à offrir un cadre cohérent pour une aide à la décision opérationnelle, au niveau européen et/ou national. L’hypothèse centrale du scénario-cible est que le montant des taxes perçu couvre celui des bonus distribués, sans nécessiter de hausse de budget. À titre d’exemple, le bonus pour la diversification des cultures dont le coût est estimé à 2,4 milliards d’euros pourrait être financé par une montée en charge progressive de la taxe sur les engrais et les pesticides en partant d’un taux de 20 % du prix, et de la taxe sur les antibiotiques en partant d’un taux de 15 %, ces taux correspondant aux seuils minimum pour engendrer un changement de pratiques. L’intérêt d’une progressivité des taxes est de se donner le temps de suivre les indicateurs environnementaux sur lesquels elles doivent influer, et de permettre aux agriculteurs d’adapter leurs pratiques. Quels en seraient les effets sur la répartition des aides ? Cette simulation montre sans surprise que le bonus pour la diversification des cultures bénéficierait aux exploitations bio et en polycultures-élevages déjà diversifiées. Les bonus-malus pour les prairies permanentes, pour les zones Natura 2000 et à haute valeur naturelle bénéficieraient aux élevages extensifs. Quant aux taxes sur les pesticides et les engrais, elles profiteraient d’abord aux exploitations agroécologiques et bio, tandis que les taxes sur les émissions de gaz à effet de serre impacteraient les cultures conventionnelles et les élevages intensifs. La simulation montre par exemple que, pour ne pas perdre de subventions par rapport à la situation actuelle, les grandes cultures « à faible ou moyen potentiel agronomique » auraient à réduire leur utilisation d’engrais et de produits phytosanitaires de 20 %. Enfin, le versement d’un paiement de base par unité de travail permettrait de consolider les productions intensives en main-d’œuvre, notamment les exploitations arboricoles, maraîchères et agroécologiques. L’enveloppe actuellement allouée aux droits à paiement de base permettrait de verser aux agriculteurs environ 8 000 euros par emploi équivalent temps plein et par an. Au final, cet exercice prospectif montre qu’il est possible de renforcer l’ambition environnementale de la PAC, quitte à la compléter par un système additionnel de bonus autofinancés au niveau national, s’il n’était pas possible de dégager un consensus européen. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 0agronomy
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/cette-start-up-a-peut-etre-la-solution-face-a-l-explosion-des-delais-d-attente-medicaux_460798 | Uniqueness | Challenges. Mesdocteurs, Doctolib, Mondocteur Difficile de différencier les start-up de l’e-santé ! Séverine Grégoire. Doctolib et Mondocteur proposent la prise de rendez-vous en ligne chez un médecin. Notre plateforme digitale Mesdocteurs permet de lui poser des questions directement. Face à un problème de santé, les gens se précipitent sur Internet, mais les informations n’y sont pas fiables, et souvent anxiogènes. Sur Mesdocteurs, plus de 270 médecins sont joignables sept jours sur sept, 24 heures sur 24. Vous échangez avec eux par écrit, avec la possibilité d’envoyer des photos, ou en visioconférence. A quel prix ? Une seule question coûte 5,90 euros pour une réponse en moins de 15 minutes, 3,90 euros pour une réponse en quarante-huit heures. Pour échanger en temps réel avec le médecin, c’est 1,90 euro la minute. Quelles sont les questions les plus fréquentes ? Sur les 150 demandes quotidiennes, 90 % portent sur des spécialités, surtout en gynécologie, pédiatrie, dermatologie et ORL, car les délais de rendez-vous chez les spécialistes s’allongent. Vous avez trouvé le remède aux déserts médicaux ? C’est une solution, mais nous ne répondons pas uniquement à ce problème. Nous offrons aussi un accès facile à la santé, à l’heure où les jeunes vont de moins en moins chez le médecin. Et nous pouvons intervenir beaucoup plus tôt dans la prise en charge de certaines pathologies pour remettre le patient dans le parcours de santé. Encore faut-il le convaincre d’utiliser Mesdocteurs ! Nous ne travaillons qu’avec des médecins, tous inscrits au Conseil de l’ordre. Ce sont des jeunes qui s’installent, des femmes à mi-temps. Ils répondent quand ils veulent, comme dans leur cabinet où ils sont de plus en plus sollicités par mail ou SMS par leur patientèle. La différence, c’est que sur notre plateforme hébergée chez un spécialiste des données de santé, les échanges sont sécurisés. Mais vous ne délivrez pas d’ordonnance Pas sur cette activité de téléconseil médical. Mais après avoir obtenu un agrément fin 2016, nous lançons ce mois-ci un autre service de téléconsultation, qui permet de délivrer des ordonnances. Nous avons noué des partenariats avec cinq assureurs et mutuelles qui prendront en charge financièrement ce service pour l’offrir à leurs assurés ou adhérents. A terme, avec ces deux activités, nous serons rentables. Mais c’est le tout début. Pour évangéliser le marché, nous investissons beaucoup. Quel est votre dernier succès ? Monshowroom, ma première entreprise lancée en 2006. Nous n’avions aucune expérience entrepreneuriale avec Chloé Ramade, qui est aussi cofondatrice de Mesdocteurs. Nous avons levé de l’argent auprès de business angels, puis de fonds d’investissement, et nous avons vendu la société à Casino. Nous avons connu tout le cycle d’investissement d’une start-up, et ça, c’était génial ! \n\n \n \n Start-up\n Doctolib\n \n | 6medical
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https://www.frenchweb.fr/2-millions-deuros-pour-la-startup-libeo-afin-de-faciliter-les-paiements-entre-entreprises/382819 | Financing | libeo fintech spécialisée dans la gestion de paiements entre entreprises lève 2 million euro en seed auprès de breega de bpi france et de business angel lancé en 2019 par jérémy attuil pierre dutaret et pierre antoine glandier libeo développe une plateforme saas de gestion de paiements de entreprises permettant à celles ci de dématérialiser leurs factures de fournisseurs de le centraliser et de le régler sans avoir à saisir iban la startup fournit également de prévisions financières établies via sa solution basée sur intelligence artificielle libeo revendique 50 entreprises clientes comme kisskissbankbank innovorder ou encore monoprix quand nous étions nous même chef entreprise la gestion et le règlement de fournisseurs étaient notre pire cauchemar commente pierre dutaret ceo de libeo le paiement de factures doit évoluer pour devenir simple efficace et cesser de faire perdre du temp aux équipes financières cette première levée de fonds doit permettre à la startup parisienne accélérer sa croissance de recruter davantage de collaborateurs ainsi que améliorer s fonctionnalités technique en matière de prévisions financières financement 2 million euro en seed en novembre 2019 auprès de breega de bpi france et de business angel pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/candice-colin-beautylitic-rend-l-offre-cosmetique-plus-transparente_781494 | Needs | Challenges - Cet été, vous avez lancé une nouvelle offre. De quoi s'agit-il? Candice Colin - Avec Clear Formula, nous présentons un service spécialement conçu pour les sites d'e-commerce. Il décrypte toutes les listes d'ingrédients présents dans leur catalogue de cosmétiques en ligne. Nous leur proposons un abonnement qui commence à partir de 500 euros par an. Quelle est la valeur ajoutée de Beautylitic? Cette plateforme analyse des milliers de références dans la composition des produits de beauté ou d'hygiène à destination des entreprises. Nous sommes les seuls sur le marché. Elle permet de piloter par les datas la transformation de l'offre cosmétique pour répondre aux grands enjeux en matière de durabilité: la santé, l'écoconception et la biodiversité. Cela rejoint les attentes du consommateur qui réclame une transparence totale sur les produits qu'il achète. A terme, nous souhaitons la déployer dans l'univers des produits ménagers. En quoi cet outil est-il différent de votre application Clean Beauty? Nous l'avons lancée il y a quatre ans et demi, en même temps que Yuka. Aujourd'hui, elle a atteint plus d'1 million de téléchargements. Il s'agit de la première application de décryptage des cosmétiques. Elle s'adresse uniquement aux consommateurs, contrairement à Beautylitic qui est un outil professionnel, dont le modèle économique repose sur l'abonnement. Lire aussi Comment Lamazuna a ouvert le marché des cosmétiques solides en France Comment est financé cet outil? Nous sommes entièrement autofinancés. Beautylitic est né d'une demande d'Auchan qui l'a préacheté, avant même sa finalisation en juin 2019. Tout s'est enchaîné par la suite. Nous avons signé avec Carrefour, les Galeries Lafayette ou encore le BHV. A date, nous n'avons pas encore réalisé de levée de fonds, mais nous comptons une dizaine de grands comptes en France et en Europe. Vous êtes donc rentable? La rentabilité a été immédiate. Nos deux premiers exercices clos ont d'ailleurs été bénéficiaires. Pour 2021, nous visons 1 million d'euros de chiffre d'affaires. Pourquoi avoir modifié votre offre avec le Covid-19? Jusqu'en mars 2020, notre offre s'adressait exclusivement aux distributeurs. Mais avec leur fermeture au moment du confinement, nous avons cherché d'autres clients, en visant les services des R&D au sein des entreprises. Nous n'avons donc pas pivoté, mais nous avons ajouté des briques. Cette stratégie a payé. En septembre 2020, nous avons signé avec Anjac, l'un des plus gros façonniers européens. Lire aussi Social selling: comment Jolimoi revisite la vente de cosmétiques à domicile L'industrie cosmétique est-elle vraiment prête à se transformer? Les portefeuilles sont en train d'être nettoyés de manière très importante au sein de cette industrie. Après le prix, l'ingrédient est le deuxième critère d'achat de produits cosmétiques. Sous la pression du consommateur, l'industrie est donc dans la nécessité de transformer son offre. Quel est votre rêve de croissance? Nous développer sur la zone Amérique: Canada et Etats-Unis. Notre plateforme a été conçue pour l'international. \n\n \n \n Auchan\n \n | 4environment
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https://www.lavoix.eu/fr/news/48/october-2012-review-carefully-the-text-proposed-for-grant | Securing | In its latest decision, G1/10, the Enlarged Board of Appeals of the EPO dealt with the issue of the correction of mistakes by the patentee after grant. Sometimes a mistake in a patent document – description, claims or drawings – is discovered only after the end of the examination proceedings. If the mistake affects the claims, this may have serious consequences for the patent if it introduces an amendment that does not have basis in the application as filed. Indeed, such amendment is a ground for revocation that can - and normally will - be raised during opposition. The patentee has only very limited options to correct such a mistake, as a request for correction requires that both the mistake and its correction be obvious for the skilled person. Further, claim amendment during opposition is possible only insofar as it does not extend the protection conferred by the patent. As a consequence, the patentee may be in a position where a feature cannot remain in the claim because it does not have basis in the application as filed, but cannot be cancelled as this would extend the protection conferred by the claim. Unless the feature can be replaced by another feature having basis in the application as filed, so as not to extend claim scope, the patent will be revoked. In the present case, the patentee had amended claim 1 during prosecution by introducing a feature comprising the term “position” which was not disclosed in the application as filed. According to the patentee, the term should have in fact read “portion”, but was inadvertently changed to ‘position’ due to a typing error. After grant, an opposition was filed based on the grounds that the above amendment was inadmissible as the feature introduced did not have basis in the application as filed. In response, the patentee requested correction under Rule 139 EPC, which allows correction of errors in documents filed at the EPO. However, such a request requires that both the mistake and its correction are obvious to the skilled person. The patentee thus also requested correction instead under Rule 140 EPC, which allows the correction of errors in decisions of the EPO and which does not explicitly require the correction of the mistake to be obvious. As Rule 140 does not explicitly specify to whom such a request is open, nor the applicable time limit, the question was submitted to the Enlarged Board of Appeal, who held that Rule 140 EPC is not available for correction of the description, claims or drawings at the request of the patentee, including after initiation of opposition proceedings. Access: here. The decision illustrates the possible fatal consequences of the strict EPO policy with regard to amendments. Any amendment of the claims of a granted patent which does not have basis in the application as filed may lead to revocation of the patent in opposition proceedings, even if it is simply the result of a typing mistake. This is why amendments made during examination are the object of special scrutiny by Opponents. It is thus most important for Applicants to carefully review amendments filed during examination, and in particular the text proposed for grant annexed to the communication under Rule 71(3) EPC. Writer : Simone Kling | 11security
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/chez-safran-clara-moriconi-planche-sur-la-fabrication-additive-une-techno-qui-doit-rendre-laviation-plus-propre-1285018 | Market Impact | « L'écologie est une valeur qui m'anime au quotidien, depuis longtemps », explique Clara Moriconi, trente-trois ans. Cette Strasbourgeoise d'origine, fille d'une médecin et d'un cadre dans l'industrie pharmaceutique, travaille sur une technologie qui pourrait participer à rendre l'aviation plus verte : la fabrication additive. Egalement appelée impression 3D, elle permet de fabriquer des pièces par fusion de couches successives d'un matériau métallique. Clara Moriconi planche sur ce projet depuis 2016, année où elle a intégré le centre de recherche et technologie de Safran , à Saclay, en région parisienne. Sa mission : mettre au point les outils numériques nécessaires pour concevoir et fabriquer les pièces selon cette technique. « Ce qui me motive intrinsèquement, c'est d'optimiser les systèmes mécaniques de haute technologie, dont les moteurs d'hélicoptère et d'avion, pour faire plus léger ou plus petit, avec moins de pièces, et plus durable dans le temps », détaille-t-elle. Un objectif plus important qu'il n'y paraît. « Ce gain de masse peut participer à alléger le moteur des avions. Donc à consommer moins de carburant », avance cette passionnée de moyens de transport. Parmi les autres intérêts de cette technologie, les économies de ressources qu'elle permet : « On ne vient pas usiner un bloc de matière pour avoir une pièce finale. Résultat, on perd moins de matière. » Clara Moriconi a rejoint le groupe français d'aéronautique et de défense en 2013, en tant qu'ingénieure méthodes et outils numériques chez Safran Helicopter Engines, près de Pau (Pyrénées-Atlantiques). Elle venait de soutenir sa thèse à l'Ecole nationale supérieure de mécanique et d'aérotechnique, dans la Vienne, et souhaitait rejoindre un grand groupe industriel. « J'avais envie d'appliquer mes compétences dans un contexte industriel, avec des produits à sortir. Ca me semblait plus concret », indique-t-elle. Désormais, elle manage une équipe de sept personnes spécialisée dans les technologies du numérique pour la fabrication additive. Cette année s'annonce particulièrement chargée avec le transfert des activités au Haillan, près de Bordeaux, où le groupe crée une « usine campus » dévolue à cette technologie prometteuse. Un pari d'avenir pour Safran, secoué par la crise sanitaire. Le chiffre d'affaires du groupe était en chute de 33 % sur les neuf premiers mois de 2020, pour s'établir à 12,2 milliards d'euros. A 27 ans, la chercheuse Elyne Dugény devient « ambassadrice » de l'océan Dounia Belghiti, l'entrepreneuse qui fait matcher doctorants et entreprises Avec Adiós Corona, la neuroscientifique Claire Wyart lutte contre les « fake news » sur le Covid | 9resource
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/sauter-sur-loccasion-pour-habiller-ses-rejetons/ | Market Impact | Les enfants grandissent toujours trop vite. Mais pas leurs habits. ? Pour éviter aux parents de se ruiner à chaque fois que leur bambin·e prend 1 cm, le site québécois de e-commerce Mini-Cycle a recyclé intelligemment une bonne vieille pratique de famille nombreuse : habiller les enfants avec des vêtements de seconde main. Le site propose des produits de plusieurs marques engagées dans la mode durable. Sa spécificité : vous pouvez y acheter des vêtements neufs (gamme “Pré-Cycle”) ou d’occasion (gamme “Re-Cycle”). Vous pouvez donc commander, à un prix très avantageux, des habits reconditionnés – exactement comme pour un ordinateur ou un smartphone. Mini-Cycle s’engage à vous racheter tous les articles commandés sur son site, à un pourcentage honnête de leur prix d’achat, en fonction de leur usure bien évidemment. L’équipe de Mini-Cycle récupère ces vêtements, les nettoie, les raccommode ou les transforme, afin de les remettre en vente. L’état de chaque article est alors explicitement présenté par des labels allant de « neuf avec étiquette » à « légèrement usé ». Ainsi vous réduisez le gaspillage et la production superflue, grâce à un système d’économie circulaire, basé sur la transparence, qui profite à votre portefeuille et à votre planète. Et pour compléter le cycle de l’information, voici une mini-vidéo de présentation : | 4environment
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https://www.frenchweb.fr/truelayer-nouvelle-licorne-britannique-de-lopen-banking-leve-110-millions-deuros/428063 | Financing | 90 de grandes banques envisagent de fournir de service open banking à leurs client professionnels et plus de la moitié 54 de grandes banques espère que open banking le aidera à augmenter leurs revenus jusqu à 10 voire jusqu à 20 pour un autre tier 35 entre elles selon une étude réalisée par accenture en 2019 depuis adoption par le parlement européen en novembre 2015 de la deuxième directive européenne sur le service de paiement dsp2 open banking se démocratise sur le vieux continent truelayer une startup britannique qui développe une plateforme open banking ainsi enregistré une croissance de 400 du volume de paiements mensuels depuis le début de année notamment grâce à son expansion en europe elle lève aujourd hui 130 million de dollar soit environ 110 9 million euro pour concrétiser s ambition en europe opération menée par tiger global management avec la participation du géant américain de paiements stripe porte la valorisation de la fintech londonienne à plus un milliard de dollar lui conférant le statut de licorne lancé en 2016 par francesco simoneschi et luca martinetti truelayer est une plateforme facilitant accès aux api bancaires est à dire qu elle permet le regroupement et le partage information financières la startup britannique adresse notamment aux fintech dont la demande se fait de plus en plus importante elle compte notamment parmi s client freetrade revolut et cazoo truelayer propose ainsi de service de paiements sans carte bancaire et de vérifications de comptes utilisateurs ce nouveau réseau financier que nous construisons au dessus architecture ouvertes de effets massif sur le long terme pour ensemble de écosystème fintech et nous ne compromettrons en aucun ca notre vision avait déclaré luca martinetti directeur technique de truelayer lors de sa dernière levée de fonds en effet la startup avait déjà levé 35 million de dollar auprès du géant chinois tencent et du fonds investissement singapourien temasek en juin 2019 avant de récolter 70 million de dollar en avril 2021 présent dans 14 pay européens truelayer ambitionne désormais de lancer s service en australie dans le prochains mois tout en renforçant sa position en europe le marché est en effet investi par de nombreuses startup depuis entrée en vigueur en janvier 2018 de la dsp2 qui vise à moderniser le service de paiement en obligeant le banques à rendre accessibles le données de leurs client via de api sou réserve de leur consentement à de entreprises tierce sur ce créneau on retrouve la célèbre fintech française lydia spécialisée dans le remboursement entre particuliers ou encore le suédois tink racheté par visa en juin dernier pour 1 8 milliard euro ce nouveau financement nous permettra de proposer de service open banking à de nouvelles entreprises en accélérant son adoption par le grand public dans de secteurs tels que le commerce et le abonnement ajoute francesco simoneschi gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise référente sur achat média digital et le tracking fondateurs francesco simoneschi et luca martinetti création 2016 siège social londres royaume uni secteur fintech activité plateforme open banking financement 130 million de dollar auprès de tiger global management et le géant américain de paiements stripe pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/un-prix-mondial-unique-carbone-une-fausse-bonne-idee | Market Impact | Des économistes[1] ont récemment défendu l’idée qu’il était impératif de faire émerger un prix mondial unique du carbone qui s’imposerait à tous les pays. Pour y parvenir, Christian de Perthuis et Pierre-André Jouvet considèrent nécessaire que les différents marchés du carbone existant à travers le monde fusionnent en un unique marché mondial[2]. Ils proposent également d’ajouter un dispositif de bonus-malus pivotant autour du taux moyen mondial d’émission de gaz à effet de serre par habitant, faisant de l’égalité des droits d’émission de chaque individu à travers le monde une norme éthique. Ces idées s’inscrivent en apparence dans une « bonne » logique économique et un « bon » sens éthique. Lancées à quelques semaines de la tenue de la COP 21 à Paris, elles me pariassent pourtant fausses et ne sauraient constituer le fondement de la coopération internationale espérée à propos du dérèglement climatique. Reprenons l’une après l’autre les trois idées-leurre : l’objectif du prix mondial unique du carbone, l’intégration des différents marchés du carbone et l’assimilation de la justice à l’égalité des droits individuels d’émission. L’idée d’un prix mondial unique du carbone est supposée s’enraciner dans la recherche de l’efficacité des incitations économiques. Le spectre de risques de dommages potentiellement associés à l’émission d’une tonne de gaz à effet de serre et tout particulièrement de CO2 étant le même quel que soit le lieu de son émission, un prix unique donnerait le signal nécessaire à la bonne répartition internationale des efforts. Ce raisonnement classique dans un cadre national et acceptable sous des prémisses définies, pèche ici par l’ignorance de certains traits particuliers du problème international de l’effet de serre additionnel d’origine anthropique. L’émission de CO2 n’intéresse personne en elle-même. Ce qui intéresse chacun, c’est le climat dont bénéficient ses activités. Le climat est un bien collectif, mais un bien collectif particulier : ses manifestations sont différenciées géographiquement et il n’est pas produit par une entreprise ou par une entreprise publique mais fait l’objet d’une production décentralisée par les 7 milliards d’être humains, à travers leurs interactions avec les systèmes naturels et tout particulièrement l’émission de gaz à effet de serre. Comme pour tout bien collectif, il faut donc s’interroger sur la valeur que chaque individu est raisonnablement prêt à payer pour contribuer à la production de ce bien collectif à travers la modulation de ses émissions de gaz à effet de serre. Ce consentement à payer doit être en proportion de la valeur, pour le payeur, des services que le bien en question pourra lui apporter, comparativement aux autres biens privatifs (alimentation, etc.) et collectifs (éducation, sécurité, etc.) permettant à chacun de vivre et de se développer. Cette valeur n’a aucune raison d’être égale entre les 7 milliards d'êtres humains, compte tenu des énormes différences de situations et en particulier de revenu, c’est- à dire d’accès aux moyens de satisfaire les besoins essentiels de chacun. Chaque pays est censé représenter les préférences collectives de sa population à cet égard. Il est donc naturel de considérer que les différences importantes, d’un pays à l’autre, de consentement à payer pour le climat sont légitimes et peuvent représenter une façon efficace, du point de vue bien-être des différentes populations, d’assurer la production de ce bien collectif. Imposer dans ce cas une tarification unique à l’émission de gaz à effet de serre provoquerait alors des inefficacités et des injustices majeures du point de vue de la maximisation du bien-être mondial. Sauf, bien entendu, dans le cas très hypothétique où la communauté internationale organiserait des transferts de revenus si importants qu’ils permettraient d’égaliser l’utilité à la marge que retirerait chaque pays de l’évitement d’une tonne de GES. En d’autres termes, la condition pour qu’un prix mondial unique du carbone maximise le bien-être mondial est l’effacement complet des inégalités économiques de développement. Ce n’est pas à l’ordre du jour de la COP 21. En l'état du monde, vouloir le couplage de marchés du carbone entre des pays aux conditions très hétérogènes quant aux niveaux de vie, à l'exposition au risque climat et aux choix moraux, n’est pas une bonne idée. Au mieux pourrait-elle être réservée aux entreprises et secteurs « modernes » de chaque pays, par exemple pour la sidérurgie ou la production de ciment, si les niveaux d’ambition climatique poursuivis sont de même ampleur. Étendue plus largement, elle serait en porte-à faux avec l’approche bottom-up choisie par la communauté internationale, qui reconnaît à chaque État le droit d’élaborer souverainement ses objectifs de maîtrise des émissions de GES dans le cadre de sa stratégie de développement. Dans ce contexte, le marché local ou régional du carbone, s’il existe, doit être considéré comme l’un des moyens choisis par un gouvernement pour mener à bien la transition de son économie vers les objectifs qu’il s’est donnés. Le niveau du prix qui en émane doit être celui qui pilote la transition vers l’objectif à moyen et long terme retenu par chaque pays. Cela n’a alors pas de sens de vouloir imposer un prix unique émanant d’un marché mondial, puisque les différents pays n'ont pas les mêmes circonstances objectives, ni les mêmes priorités. En effet, différent des prix émanant de marchés locaux non couplés, un prix de marché mondial ne permettra pas à chaque pays de se mettre sur la bonne trajectoire de maîtrise des émissions, pourtant voulue politiquement. L’instauration d’un prix mondial unique reviendrait à forcer certains pays à faire ce qu'ils ne veulent pas faire (pour ceux à préférence modérée pour la lutte contre le dérèglement climatique) et à empêcher d'autres, ayant des préférences plus fortes pour ce bien collectif, d'aller de l'avant, donc de faire ce qu'ils veulent, puisque le signal prix qui s'imposera via les échanges internationaux sera trop élevé pour les premiers et trop faible pour induire les changements que les seconds veulent introduire dans leur économie. Ce serait inefficace, en portant atteinte au signal-prix dont chaque pays a besoin, et en plus ce serait anti-démocratique, puisque cela reviendrait à bafouer le processus national par lequel le pays s’est donné des objectifs et une stratégie. Ainsi l'Union européenne voudra peut-être aller jusqu'aux 100 euros la tonne de CO2 en 2030 (on en est loin), mais certainement pas les pays d'Afrique ou l'Inde. L'argument de la minimisation des coûts permise par un marché mondial est ici inopérant, puisque les différences apparentes de coûts entre pays reflètent des différences d’objectifs touchant au bien-être et aux préférences nationales. Par ailleurs, pour que les échanges de quotas entre entreprises relevant de régions différentes aillent dans le sens d'une réduction des coûts collectifs, et pas seulement des coûts privés TTC, il faudrait que la taxation des intrants énergétiques complémentaires des émissions de CO2 soit similaire dans les différents pays concernés. Sinon, les échanges intéressants du point de vue privé vont aboutir à promouvoir les réductions d'émissions techniquement les plus coûteuses dans les régions à faible taxation des intrants énergétiques, au détriment de l'efficacité économique d'ensemble et des finances publiques des pays qui taxent le plus les intrants énergétiques. Ce serait en particulier un problème pour la France. L’harmonisation fiscale internationale sur la fiscalité des intrants énergétiques se présente donc comme un préalable pour que le couplage des marchés de quotas puisse engendrer un réel progrès économique. La proposition est également étonnante du point de vue politique. S'il est un minimum rationnel, le gouvernement d’un pays ne peut pas se battre pour voir reconnaître son droit à déterminer lui-même son niveau d'ambition et ses priorités, en refusant pour cela les approches internationales top-down, et ensuite coupler son marché du carbone avec celui de pays faisant des choix différents ! Troisième point : postuler un droit individuel égal et universel d’émission de GES reprend certes une idée largement présente dans les positions de certaines ONG et de certains gouvernements mais elle est tout aussi discutable que les deux précédentes si l’on vise réellement un progrès dans la justice climatique. Dans le contexte de la proposition émise par De Perthuis et Jouvet, l'égalité individuelle mise en avant ne serait qu’un trompe-l’œil puisqu’elle viendrait en appui de l’introduction d’un marché international du carbone qui serait l’affaire des États et des entreprises : les individus-alibis ne verraient jamais la couleur de ces « droits égaux ». Sur le fond, émettre du CO2 n'est pas une liberté fondamentale, statut qui aurait imposé l’égalité stricte. Les besoins connexes, comme les besoins en énergie, sont très différents selon les pays, les régions et les situations. En fait l'émission de GES n'est pas une émanation directe des individus, mais le résultat d'une géographie industrielle mondiale, de l’étendue des territoires et d'un état des infrastructures et du capital productif de chaque pays. Le critère le plus « juste », c'est-à-dire approprié à la nature des émissions de GES selon une logique des besoins économiques courants serait une répartition des quotas d’émissions en proportion de la composante « production de biens » du PIB de chaque pays. Il s’agirait en effet de ne pas donner de primes aux pays ayant développé, plus que d’autres, des services dématérialisés, ou aux pays frappés par une importante spéculation immobilière. Une telle allocation serait naturellement périodiquement révisée en fonction de l'évolution respective des PIB. Cette discussion conduit à s’interroger sur le degré de finesse à atteindre pour la description d’une réalité empirique sur laquelle des économistes font des propositions d’action ou de réformes. Chacun sait que le modèle n’est pas la réalité ; en revanche, lorsqu’elles sont écoutées, les propositions sont confrontées à la pâte de la réalité, dans toutes ses dimensions. Cette confrontation peut mener à remettre en cause certaines idées reçues, devenues croyances, auxquelles, semble-t-il, certains économistes ont cédé avec trop d’empressement dans l’affaire climatique. [1] À l’initiative de la Chaire économie du climat de l’université Paris Dauphine (Christian de Perthuis et Pierre-André Jouvet) et de la Toulouse school of economics (Christian Gollier et Jean Tirole), un appel d’économistes a été lancé pour souligner le rôle essentiel que devraient avoir les instruments économiques dans tout accord international sur le climat. Cet appel affirme la nécessité d’introduire un prix mondial unique du carbone pour tous les pays. https://sites.google.com/a/chaireeconomieduclimat.org/tse-cec-joint-initiative/call [2] C. de Perthuis et P.-A. Jouvet, « L’accord sur le climat devra étendre le marché carbone à l’échelle mondiale », le Monde Économie du 16 septembre 2015. godard.jpg, par mmadeira Olivier Godard est directeur de recherche honoraire au CNRS, chercheur associé au département d’économie de l’école Polytechnique, Université Paris-Saclay. Il a co-dirigé avec J.-P. Ponssard Économie du climat : pistes pour l’après-Kyoto. Éd. de l’École polytechnique, 2011. Il a récemment publié : Environnement et développement durable – une approche méta-économique, De Boeck, 2015. Son dernier livre, La justice climatique mondiale, La Découverte, « Repères 651 » est sorti le 8 octobre 2015. Olivier Godard is honorary research director at CNRS, associate researcher at the economics department of Polytechnique School, University Paris-Saclay. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.makery.info/2015/09/28/fashion-tech-sous-les-froufrous-les-leds/ | Market Impact | Difficile pour la robe proto lumineuse Ocean Dress de passer inaperçue lors du défilé de clôture du Fashion Tech Showroom, le salon de la mode éthique et tech organisé au lab parisien la Paillasse le 26 septembre. Dans un bruissement de sacs plastiques de récup’, son jupon s’anime de variations lumineuses multicolores impulsées par un réseau de diodes patiemment fixées par ses trois créatrices. « La robe est, pour ainsi dire, née ici », explique Alice Giordani, fan d’électronique textile et co-conceptrice de cette pièce unique. Avec la modéliste Fang Yang et la styliste Valérie Marsaudon, elles se sont rencontrées il y a un peu plus d’un an pendant les rendez-vous du Textilab, ces ateliers de bidouille hackeuse et couturière organisés les jeudis soirs dans les locaux de Hall Couture, au sous-sol de La Paillasse. «L’Ocean Dress est un projet assez spontané et pluridisciplinaire qui s’empare bien des questions environnementales et technologiques.» Constitué d’une veste et d’une robe en toile de patronage neutre, l’ensemble est animé par un jupon froufroutant fait de lanières de sachets en plastique usagés, tissées sur un filet de pêche. D’où le nom Ocean Dress, ses créatrices ayant choisi de décliner la « thématique de préservation des océans en récupérant les déchets et une mode plus éthique ». Sous le filet, 42 LEDs programmables sont contrôlées par une carte Lilypad Arduino USB. Et pour piloter l’effet lumineux du jupon, un panneau solaire flexible fixé au dos de la veste fournit l’énergie de charge nécessaire. « Selon la batterie en lithium polymère que l’on utilise, la robe tient 8-12 h », précise Alice Giordani. L’astuce : le haut est pensé pour être totalement amovible, transformant la tenue en robe de soirée qui ne manquera pas d’attirer l’attention dans la pénombre. Pour l’heure, la pièce a pour vocation de rester unique. Mais Alice Giordani n’exclut pas de produire la veste en petite série. « On peut très bien s’en servir pour recharger un smartphone, par exemple. » En attendant, l’Ocean Dress voyage en Chine. Dès le lendemain du défilé, Alice Gras et Claire Eliot, vice-présidente de la toute nouvelle Fédération Fashion Tech, l’accompagnent à la Design Week de Pékin pour témoigner du savoir-faire à la française en matière de mode hi-tech. « Notre but est aussi de promouvoir ces créations à l’international, ajoute Claire Eliot, et de montrer en un seul vêtement toutes les valeurs auxquelles nous sommes attachées, l’éthique, l’esprit collaboratif, la technologie créative, l’environnement. » Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/energy-union-21st-century | Market Impact | If the European project is about anything, it is about putting the common good before the individual interests of nation states and pooling resources to secure that good. Given the urgency posed by rising global temperatures and climate change, it is clear the common good for all EU citizens increasingly hinges on how the 28 member states supply and use energy. ENERGY DEPENDENCY In case there is any doubt, the EU as a whole imports more energy than any other country in the world. According to Eurostat, it imported 53.2% of its gross energy consumption in 2013, mainly in the form of crude oil and natural gas, totalling about EUR 400 billion. It imported some 34% of its crude oil and 39% of its natural gas from Russia alone in 2013. Reducing this energy dependency is what drove former Polish prime minister and current European Council president Donald Tusk to propose an energy union in April 2014. The climate crisis and the cheap price of energy in the US compared to the rising cost of electricity across Europe brought things to a head. EU member states, the EU Commission, the energy industry and civil society have decided the time has come to revamp and reshape European energy policy. And so in February of this year the European Commission launched its Energy Union, a strategy to achieve the twin goals of energy security and a low carbon economy while preserving consumer purchasing power and market competitiveness. The government policy institute France Stratégie is no stranger to the energy challenges facing Europe. In 2014, it published an in-depth analysis on the EU and energy issues, Europe’s Power System in Crisis. It has built on this work in The Energy Union, a detailed report it published mid-September\nlooking at the hurdles this ambitious energy policy faces and setting forth several possible solutions to overcoming them. The European Council (i.e. the heads of state of the EU member nations) decided to build the Energy Union on five central pillars: 1) energy security, solidarity and trust; 2) a fully integrated European energy market; 3) reducing the level of CO2 emissions in the economy; 4) energy eciency as a means of moderating demand; and 5) research, innovation and competitiveness. Underpinning the Energy Union is the 2020 climate and energy package the EU adopted in 2008, which calls for a 20% cut from 1990 levels in greenhouse gas emissions, 20% of EU energy from renewables and a 20% improvement in energy eciency. [...] France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 13transport
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https://www.influencia.net/valneva-pepite-garder-bien-chaud-france/ | Financing | cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span nul est prophète en son pay valneva le vérifie chaque mois un peu plus mais s soucis ne empêchent pa de voir sa popularité auprès de investiseurs grandir de jour en jour la biotech basée à saint herblain dans la banlieue nantaise est la toute dernière licorne française en un an son cours en bourse bondi de plus de 260 sa valorisation dépasse aujourd hui le cap symbolique du milliard euro née en 2013 de la fusion du laboratoire nantais vivalis et de la société intercell cette start up développé un candidat vaccin contre le covid 19 son traitement inactivé et adjuvanté unique en europe contient de agent infectieux du virus qui rendus inoffensifs sont capables de déclencher une réponse du système immunitaire la jeune pousse nantaise qui emploie 600 collaborateurs dans six pay déjà éprouvé cette technologie lors de élaboration un vaccin contre encéphalite japonaise qui assure un taux de protection de 98 lorsque la pandémie commencé à se développer dans le monde entier s dirigeants ont tenté de trouver de financements en france pour poursuivre leurs recherches vite déçus il ont dû traverser la manche pour obtenir le fonds qui leur manquaient durant été 2020 le ministère britannique de la santé accepté de payer avance une commande ferme de 60 million de dos livrables à la fin de 2021 et de financer la construction une nouvelle unité de production à livingston en ecosse qui devrait être opérationnelle au mois de juin londres depuis acheté 40 million de dos supplémentaires et une option pour une autre livraison de 90 million de dos ici à 2025 été déposée le royaume uni pourrait ainsi verser 1 4 milliard euro à la biotech française cette confiance est impressionnante quand on sait que essai clinique de phase 3 de ce remède ne doit débuter qu à la fin du mois avril mais aujourd hui dans la lutte contre la pandémie le plus téméraires sont souvent le mieux récompensés le succès de campagnes de vaccination aux etats unis et en israël le prouve mais union européenne continue elle de faire la fine bouche la commission ainsi estimé le 22 avril que valneva ne respectait pa toutes le condition imposées par son épais cahier de charge pour que son vaccin soit intégré dans son portefeuille de traitements ue avait pourtant bouclé au mois de janvier avec la biotech de pourparlers préliminaires pour la fourniture un maximum de 60 million de dos mais après un an de pourparlers bruxelles finalement jugé que la compagnie française avait pa répondu à toutes s exigences suite à ce refus valneva annoncé qu il allait entamer de discussion séparées avec chacun de etats membres s dirigeants vont aussi tenter de se tourner vers le marché américain et pour cause la france ne compte que deux licornes de la biotech alors qu il en 30 en europe et 150 aux etats unis le manque de liquidités disponibles explique ce gouffre le 60 plus grand fonds américains spécialisés dans le biotech gèrent 136 milliard de dollar actifs alors qu en europe il existe aucun fonds dans ce secteur stéphane bancel le créateur de arn messager dû traverser atlantique pour trouver argent nécessaire à sa start up moderna qui fournit aujourd hui de million de dos de vaccins contre le covid 19 le patron de valneva ne semblent pa avoir pour instant intention de partir sur de terres plus accueillantes la france devrait toutefois prendre garde de ne pa perdre cette pépite dont le chiffre affaire atteint 110 million euro an dernier son portefeuille comprend en effet plusieurs vaccins en développement dont de traitements uniques contre la maladie de lyme le chikungunya et le covid 19 coté à la bourse de paris depuis 2007 la biotech vient de déposer auprès de la security and exchange commission sec le régulateur boursier américain le document enregistrement form f1 en vue de son projet introduction aux etats unis peine créée la toute nouvelle licorne française pourrait profiter de s ailes pour voler vers de cieux plus cléments bien éloignés du bocage nantais therin frédéric | 6medical
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https://www.makery.info/2014/11/18/protei-une-armada-de-voiliers-autonomes-pour-nettoyer-les-oceans/ | Market Impact | Le projet Protei a remporté le 11 novembre dernier le StartMeUp HK, un prix hong-kongais pour jeunes entrepreneurs internationaux qui offre visibilité, reconnaissance et opportunités à l’élu (parmi 550 concurrents cette année). Une bonne nouvelle pour ce projet écologique imaginé par César Harada et une commaunauté open source et hardware réunie sous le nom de Scoutbots. Avril 2010, la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon explose et déverse plusieurs milliers de barils de pétrole chaque jour dans le golfe du Mexique. César Harada, jeune trentenaire mi-français, mi-japonais dirige alors un projet de recherche au MIT ayant pour objectif de décontaminer les océans. Il prend conscience des limites de la recherche traditionnelle : le prix élevé, la lenteur du développement et la propriété intellectuelle, qui ne garantit pas un accès aisé à la technologie. Il décide alors de quitter son « job de rêve » pour lancer Protei, une armada de voiliers autonomes pour nettoyer les océans en cas de marée noire. Et le fait en mode open hardware et open source. « J’ai choisi l’open source parce qu’il n’y a pas de bonne raison justifiant un monopole industriel. Je suis un activiste environnemental, et je ne vois pas pourquoi une bonne technologie resterait secrète. » César Harada (par Skype) Les petits voiliers autonomes pilotés par un Arduino disposent d’une coque articulée, capable notamment de minimiser l’impact des vagues et d’optimiser les virages. L’idée initiale est de sillonner les océans à l’aide de ces drones marins pilotés à distance, perpendiculairement à la dérive des nappes de pétrole, en y faisant des lacets. La longue queue à l’arrière des bateaux ramasse alors le pétrole qui s’y engouffre. César Harada présente son projet sur TED en 2012 : Protei rassemble une foule de contributeurs aux profils, aux compétences et aux participations variés : étudiants, chercheurs, mères au foyer travaillent de manière ponctuelle ou permanente. Des ingénieurs salariés, dont le nombre fluctue, sont également investis dans l’aventure. L’essentiel du travail pratique se fait à présent via l’atelier qu’Harada a récemment construit à Hong-Kong. Une autre partie se fait en ligne : modélisations, calculs scientifiques, dessin 3D, programmation Arduino, avec des collaborateurs du monde entier. Après une campagne Kickstarter fructueuse en 2011, puis une bourse en 2012 (100.000€ de la fondation Savannah Ocean Exchange), c’est au tour d’Ahti Heinla, un des développeurs de Skype, d’investir dans le projet à hauteur de 100.000 $. Malgré les divers investissements reçus, le projet n’est pas encore arrivé à maturité, et si le modèle Protei 011 “Optimist” est disponible à la vente au détail, dans le cadre d’une petite production artisanale, il n’est pas encore suffisamment abouti pour une production de masse. Les défis physiques et technologiques demandent une énergie considérable, même si ces bateaux ont déjà été testés sur tous les océans, sauf l’Arctique, jusqu’à des conditions de vent atteignant 5 beaufort. A travers de nombreux aléas financiers et logistiques et la défection de certains membres de l’équipe, le projet Protei tient le cap et voit déjà plus loin. En effet, d’autres applications sont déjà en cours d’élaboration : mesurer et cartographier les taux de radioactivité dans les océans, détecter les quantités de plastique dans l’eau. L’investissement de César Harada pour la protection de l’environnement l’a mené partout autour du monde, à travers des projets divers touchant principalement à la radioactivité, à la pollution plastique et au pétrole. En 2012, il avait parcouru à vélo 700km de côtes japonaises pour mesurer et cartographier les taux de radioactivité suite à la catastrophe de Fukushima. « J’espère bien voir les bateaux Protei collecter des données dans les océans d’ici deux à trois ans », et effectuer des opérations de nettoyage deux ans plus tard. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.influencia.net/sites-rencontre-sont-pas-epargnes-par-second-confinement/ | Desirability | l amour au temp de la covid une étude de stat rencontres fr confirme impact de la crise sanitaire sur notre vie amoureuse la baisse est très nette mais moins brutale que la précédente le confinement imposés par le gouvernement pour limiter la propagation du covid 19 ne simplifient pa la vie de célibataires à la recherche de âme sœur comment trouver amour de sa vie le compagnon de s derniers jours ou aventure un soir quand le gouvernement nous contraint de ne pa nous éloigner de notre domicile le site de rencontre sont un baromètre parfait pour comprendre impact que la pandémie eu sur le quotidien de cœurs à prendre durant le premier confinement 20 de duo amoureux se sont formés sur le site de rencontres près un français sur trois 31 est inscrit sur un site de rencontre en ligne selon une étude de institut ifop pour facebook publiée le 2 décembre ce chiffre progressé de 5 en deux an en 2019 un quart de couple se sont découverts sur ce plateformes selon une étude de stat rencontres fr qui étudie le données publiées sur le 118 site de rencontres en france cette proportion encore progressé depuis arrivée de la crise sanitaire durant le premier confinement 20 de duo amoureux se sont formés grâce de service de rencontre en ligne contre à peine 14 lors de soirées privées ce chiffre qui est en hausse de 9 point par rapport au mois de janvier peut toutefois prêter à confusion car si la proportion de couple qui se forment sur la toile a jamais été aussi élevée le nombre de célibataires qui trouvent âme sœur est en chute libre le plus âgés font preuve de prudence lors du premier confinement la fréquentation de site de rencontres est en effet effondrée de 60 après stat rencontres fr le recul enregistré lors de la seconde mise sou cloche de notre pay été un peu plus faible 40 car le règles isolement imposées par le gouvernement étaient moins restrictives été 2020 en revanche été particulièrement propice aux site de dating avec une croissance de 20 du nombre de visites sur leurs page ce sont le plateformes libertine qui ont le moins souffert de la crise le plateformes de rencontres généralistes et libertins sont celles qui ont le moins souffert de impact du second confinement avec de bai respectives de 20 et 15 contre 45 et 20 pendant le premier confinement le application de rencontres géolocalisées telles tinder happn et once ont quant à elles vu leur fréquentation reculer de 35 depuis le 16 mar 2020 le site dédiés aux plus de 60 an comme www disonsdemain fr et www nosbellesannees fr ont été encore plus boudés par le internautes 50 car le senior qui ont conscience appartenir à une population à risque ont préféré mettre leur vie amoureuse entre parenthèses pour ne pa risquer être contaminé par le coronavirus sans surprise le page dédiées à organisation de sortie entre célibataires comme www onvasortir com sont celles qui pâtissent le plus de la crise sanitaire avec une baisse de leur fréquentation de 65 contre 70 en mar 2020 un modèle à réinventer ce plateformes sont souvent critiquées le commentaires blessants laissés sur le réseaux sociaux sont ressentis par beaucoup comme de véritables micro agressions de plus en plus de site tendent de redorer leur image en communiquant de manière soft voire même complice mais une chose semble certaine qu il se soient confinés seuls avec leur rencontre pré confinement qu il aient vécu une corona romance ou pa pendant le confinement le célibataires savent déjà depuis deux mois que la crise de covid 19 annonce un bouleversement de taille on ne se rencontrera plus pareil dans le monde après expliquait dans la quotidienne influencia clémentine lalande la ceo de once dating la fin de la date jetable serait pour bientôt après certains expert plus question de se rencontrer au bout de deux message plus question de se rencontrer au bout de deux message de emballer à la fin de la première pinte et de juger si autre mérite une vraie place dans notre vie en quelques heures juge judith duportail autrice de amour sou algorithme ce qui peut nous pousser à enfin pouvoir faire quelque chose qui manque cruellement dans le dating apprendre à connaître le gen doucement tranquillement avant de le foutre dans une case plan cul boyfriend material pa assez bien pour moi le applis spécialisées doivent donc se réinventer ou à minimum modifier leurs modèles la pandémie risque décidément de transformer notre quotidien à tout jamais therin frédéric | 10science
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https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/aide-exceptionnelle-cipav-coronavirus-covid19/ | Financing | La CIPAV a mis en place un dispositif exceptionnel de prise en charge partiel des cotisations de retraite complémentaire pour l’année 2020. Ses adhérents peuvent dores et déjà demander à bénéficier de cette aide. Cette dernière, qui a vocation à aider à surmonter les difficultés rencontrées avec la crise du covid-19 (Coronavirus), est toutefois octroyée sur demande, après étude de chaque dossier. Voici ce qu’il faut savoir sur l’aide exceptionnelle versée par la CIPAV en 2020. Dans un communiqué du 26 juin 2020, la Caisse interprofessionnelle de prévoyance et d’assurance vieillesse des professions libérales (CIPAV) précise que la prise en charge concerne les professionnels libéraux « en difficulté », quel que soit leur niveau de revenu. Tous les adhérents peuvent, en théorie, profiter de cette aide. Toutefois, les affiliés à la CIPAV doivent remplir d’autres conditions pour y prétendre. Ils doivent être en activité au 1er avril 2020, avoir été afiliés à la CIPAV avant le 1er janvier 2020, être à jour du paiement de leurs cotisations antérieures à 2019 et ne pas exercer leur activité sous forme de « cumul emploi-retraite ». L’aide de la CIPAV prend la forme d’une prise en charge des cotisations retraite. Mais pas toutes. Il s’agit, en effet, des cotisations au régime de retraite complémentaire. La prise en charge concerne les cotisations versées au régime de retraite complémentaire au cours de l’année 2020 et calculées sur les revenus de l’année 2019. Il ne peut toutefois dépasser : La CIPAV précise, qu’en cas de prise en charge, le dispositif préserve tout de même les futurs droits à la retraite complémentaire. Elle a développé un simulateur accessible au public depuis son site Internet. Le coût pour l’organisme est estimé à environ 500 millions d’euros. En pratique, les affiliés à la CIPAV doivent d’abord déclarer leurs revenus de l’année 2019 via la déclaration sociale des indépendants (DSI et ex-DCR). A compter de cet instant, la CIPAV calcule les cotisations définitives 2019 et les cotisations provisoires 2020. Elle les recouvre dans un appel unique de cotisations, disponible sous 3 semaines. Dès réception de l’appel de cotisations 2020, chaque adhérent doit se connecter à son compte puis déposer sa demande de prise en charge. Il convient d’utiliser la messagerie de l’espace client : Ma message – Nouveau message – Thème (« Dispositif d’aide exceptionnelle PL ») – Objet (« Je sollicite une aide pour le paiement de mes cotisations Covid-19 »). Le dépôt de la demande d’aide doit intervenir avant le 18 septembre 2020 pour les micro-entrepreneurs et avant le 15 octobre 2020 pour les autres professionnels libéraux ne relevant pas du régime micro-social. La CIPAV indique qu’elle traite les demandes de prise en charge des cotisations au régime de retraite complémentaire sous 15 jours maximum. En attendant, il ne faut pas payer le montant appelé dans l’appel unique de cotisations, car il ne tient pas compte de l’aide exceptionnelle. A lire également sur le thème de la CIPAV : | 12society
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https://www.influencia.net/epic-games-veut-mettre-terme-monopole-apple/ | Securing | loin de avouer vaincu dans la bataille juridique qui oppose à apple epic game le studio géniteur du jeu vidéo fortnite vient annoncer ce mercredi avoir déposé une nouvelle plainte auprès de la commission européenne pour non respect du droit de la concurrence après toute une série de procédures judiciaires initiées auprès de autorité étatsuniennes australiennes et britanniques cette dernière d ailleurs été rejetée par le autorités britanniques le jeudi 25 février dernier signe une première défaite pour epic game est à la plus haute autorité législative européenne que éditeur réclame à présent justice il est donc hautement probable que le dossier soit joint à enquête antitrust ouverte au printemps 2020 par la même commission européenne suite à de plaintes déposées par entreprise suédoise spotify concrètement institution dirigée par ursula von der leyen va devoir déterminer si le règles imposées par entreprise concernant la distribution application sur app store violent le règles de la concurrence européenne le feuilleton numérique de cet été et le calvaire judiciaire apple redémarrent de plus belle petit rappel de faits le 13 août dernier epic game dévoilait une mise à jour de son jeu permettant aux joueurs acheter à prix réduit de buck est à dire la monnaie in game à condition de ne pa passer par app store un véritable coup de trafalgar pour critiquer la taxe de 30 imposée à tous le développeurs mais totalement interdit dans le condition utilisation de la boutique qui va contraindre apple à supprimer dans le heures qui suivent le jeu à succès de sa plateforme si on pouvait craindre une prise de risque inconsidérée epic game qui devait déjà en mordre le doigts cette annonce était en réalité que le 1er acte un plan savamment orchestré à peine fortnite retiré epic game dépose une plainte une soixantaine de page et organise un grand tournoi en ligne à destination de s joueurs le appelant à la révolte le studio dévoile également un film qui vient parodier iconique spot publicitaire 1984 apple qui affiche le message suivant epic game défié le monopole de app store en représailles apple bloqué fortnite sur un milliard appareils rejoignez le combat pour empêcher 2020 de devenir 1984 le tout est accompagné du hashtag freefortnite un parti pris osé mais ultra cohérent puisque le spot originel permettait à la jeune entreprise dirigée par steve job de contester la pensée unique permise par le monopole un autre géant de informatique en occurrence ibm span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span depuis la bataille au pénal fait rage entre le deux entreprises de laquelle epic game semblait jusqu à présent ressortir perdante la juge yvonne gonzalez rogers en charge de affaire aux états unis avait interdit à éditeur le 25 août dernier le retour du jeu vidéo sur app store sur le motif qu epic game stratégiquement choisi de rompre s accord avec apple et ainsi de perturber le statu quo récemment le studio contre attaqué en proposant à état du dakota du nord par intermédiaire un lobbyiste engagé par s soins un nouveau projet de loi qui pourrait contraindre la pomme à autoriser le paiements et le téléchargements en dehors de app store grâce à ce texte epic game espère se mettre le dakota du nord dans la poche et faire ensuite jouer la jurisprudence pour conquérir le reste du pay en plus epic game le lobbyiste lacee bjork anderson également confirmé qu il avait été contacté par organisme coalition for app fairness qui rassemble de nombreuses entreprises désireuses de baisser le commission parfois exorbitantes appliquées par le grand noms du web pour peu qu apple perde autres application à succès dans la foulée il se pourrait bien que le monopole de app store soit réellement remis en question span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span montagut sacha | 12society
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https://www.influencia.net/isabelle-rouhan-publie-emploi-0-4/ | Magic Team | pourquoi 4 0 vous interrogez vous parce que humanité traversé quatre révolutions successives de métiers et de emploi explique isabelle rouhan dont ouvrage est aujourd hui en librairie celle de la mécanisation fondée sur extraction massive du charbon et invention de la machine à vapeur au xviiième siècle celle de la production de masse au début de années 1900 bâtie sur électrification et le travail à la chaine celle de informatisation entre 1970 et 2000 où arrivée du micro ordinateur et internet transformé le moyens de communication et accéléré la tertiarisation de économie enfin la quatrième celle de intelligence artificielle qui se nourrit algorithmes apprenant de no données collectées toujours plus massivement à partir de no usage mobile cette dernière mutation est à origine de modification profondes du monde du travail engendrant ce qu isabelle rouhan appelle le emplois 4 0 une étude de mckinsey d ailleurs révélé que la moitié de heures travaillées en france seraient automatisables ici 2022 du fait de la transformation digitale et 15 de emplois seraient remplaçables par intelligence artificielle à horizon 2030 dans hexagone la question de acceptation sociale de automatisation et de ia se pose donc fortement une tâche que on automatise est toujours répétitive et souvent pénible automatisation galopante premier facteur de transformation du travail 1 est aussi un levier pour dégager du temp afin que chaque collaborateur puisse se former et enrichir s compétences et surtout automatisation et le taux emploi ne sont pa directement liés en effet le deux pay le plus robotisés au monde sont le japon et allemagne et leurs taux de chômage respectifs sont parmi le plus ba autour de 3 par ailleurs la france ne dispose que de 19 robot pour 1000 salariés il a donc une importante marge de progression versus italie 20 robot 1000 salariés allemagne 34 robot 1000 salariés ou encore la corée du sud 77 robot pour 1000 salariés la réflexion du livre emploi 4 0 est résolument positive le but isabelle rouhan est inspirer aux dirigeants et aux manager de changements sensés sur le travail et le organisation pour qu il se saisissent de toutes le opportunités amenées par intelligence artificielle la construction de notre vision du futur doit en effet accompagner un débat plus large sur le sen la valeur et organisation du travail dans un monde toujours plus technologique ce livre est une rencontre avec de femmes et de hommes chef entreprises chercheurs enseignants drh médecins militaires présidents association tous ont en commun une vision humaniste du futur du travail collaboration avec le robot finalité de accélération de automatisation diversité de profils impact du télétravail sont en effet de sujets que documente auteure sur la base de s propres travaux et une solide enquête menée sur le terrain illustré par 10 fiches métiers le livre imagine de futurs stratèges de automatisation de anticipateurs trice de scenario de crise de animateurs trice de tier lieu ou bien encore de animateurs trice de market place 1 automatisation est la première cause de transformation de métiers pour 44 de personnes interrogées suivi par le changement de habitude de consommation 16 source observatoire de métiers du futur propos isabelle rouhan entrepreneure isabelle dirige colibri talent cabinet de recrutement de dirigeants et outplacement qui accompagne la transformation digitale de entreprises depuis 2017 elle intervient principalement dans le domaines de la tech de la data science et de systèmes information elle également cofondé et préside observatoire de métiers du futur think tank qui vise à développer employabilité en france afin de sensibiliser et impacter positivement le acteurs économiques et le débat public sa parfaite connaissance de univers de la tech acquise notamment au sein de facebook amène aujourd hui à siéger au conseil administration de la villa numéris think tank digital européen et de acsel association de économie numérique elle est également réserviste citoyenne dans armée de terre au sein de la direction de ressources humaines elle publié le métiers du futur aux éditions first en avril 2019 et est hôtesse du podcast éponyme depuis 2021 emploi 4 0 publié aux éditions atlande est son second livre cristina alonso | 5learning
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https://www.lavoix.eu/fr/news/360/working-requirement-en-inde | Securing | I) Exigences liées au working requirement La section 146 du Patent Act prévoit que : A ce jour, les directives quant à l’application de cette disposition n’ont pas encore été publiées par l’Office des brevets, mais cela ne devrait pas tarder. Toutefois, au vu de la législation applicable et des informations jusqu’alors communiqués par l’Office, il convient pour les titulaires de brevets et concessionnaires de licences (exclusives ou non) de déclarer (déclaration de principe) si leur brevet a été exploité ou non, grâce au formulaire 27. Le cas échéant ces derniers doivent apporter des précisions sur l’étendue de l’exploitation commerciale du brevet en Inde. Conformément aux dispositions légales, chaque année une déclaration distincte doit être déposé pour chaque brevet délivré dans les 3 mois suivant la fin de l’année civile, c’est-à-dire avant le 31 mars de l’année suivante. Le non-respect de cette obligation déclarative est puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 20 000 dollars américain. Par ailleurs, en cas de fausse déclaration le contrevenant s’expose à une amende et/ou une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 6 mois. II) Actualité récente sur le working requirement En 2015, le gouvernement indien a été attrait en justice au motif qu’il était défaillant dans le traitement des obligations déclaratives précitées. A cet effet, il a été demandé au tribunal d’enjoindre les pouvoirs publics à faire respecter lesdites obligations. Les arguments soulevés à l’appui de ce recours sont que le non-respect par les titulaires de brevet ou les licenciés des obligations déclaratives va à l’encontre de l’esprit de la loi et de l’intérêt général, car le public, en particulier les industriels, n’a pas d’information sur l’exploitation des brevets en vigueur en Inde. Il a été indiqué à la Cour qu’au cours de la période 2012-2013, sur les 43 920 brevets en vigueur, l’Office avait reçu le formulaire 27 portant sur la déclaration d’exploitation des brevets seulement pour 27 946 brevets : 36 % des titulaires de brevets ne satisfaisaient donc pas aux obligations leur incombant. Avant cette année l’Office indien des brevets n’avait pas veillé à ce que les titulaires de brevets ou les licenciés satisfassent à leurs obligations. | 11security
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https://www.frenchweb.fr/proptech-la-startup-illicopro-leve-10-millions-deuros-et-devient-matera/389300 | Financing | nouvelle année nouvelle identité pour illicopro pour préparer son développement à international notamment en espagne et en italie la start up parisienne qui développe une plateforme collaborative dédiée à la gestion de copropriétés en effet décidé de changer de nom pour devenir matera du nom de la ville italienne réputée pour s habitation creusées dans la roche ce déploiement au delà de frontières de hexagone serum rendu possible par un nouveau tour de table de 10 million euro réalisé auprès index venture et du fonds espagnol samaipata cette opération intervient tout juste un an après un tour de table de 1 5 million euro pour étoffer la plateforme avec de nouvelles fonctionnalités l occasion de cette nouvelle levée de fonds nous avon reçu raphaël di meglio co fondateur et ceo de matera pour faire le point sur le ambition de son entreprise et le défis à relever dans un secteur complexe fondée en 2017 par raphaël di meglio ceo victor prigent cpo et jérémy krebs cto matera illicopro veut aider le conseils syndicaux à reprendre le contrôle sur leur immeuble et ainsi à affranchir de syndic professionnels ce derniers pâtissent en effet une image altérée et preuve en est 53 de copropriétaires reprochent à leur syndic un manque de réactivité et de transparence selon association consommation logement cadre de vie dans ce contexte le copropriétés en autogestion sont actuellement en plein essor dans hexagone profitant de la défiance à égard de syndic traditionnels matera mi sur orbite il a deux an une plateforme collaborative qui permet au conseil syndical de gérer son immeuble à un coût réduit avec ce service tous le copropriétaires disposent un accès pour consulter leur solde et le document de la copropriété quant à assistance elle est fournie par de juristes et de expert comptables via le chat et par téléphone pour répondre aux interrogation et résoudre le problèmes de copropriétaires bien que cette approche permette de simplifier la vie de copropriétaires et alléger le charge allouées au fonctionnement du syndic elle nécessite cependant une implication de chacun de membres du conseil syndical un impératif pour éviter un fonctionnement chaotique ce jour matera revendique plus de 800 copropriétés dans son portefeuille représentant plus de 25 000 copropriétaires la société indique que le copropriétés présentes sur la plateforme observent en moyenne une réduction de 20 à 50 de charge sur leur immeuble sur son segment activité la start up française doit faire face à de acteurs comme meilleurecopro qui levé 3 million euro en octobre dernier et chouttecopro porté par le numérique ce mouvement devrait être amplifié au printemps prochain avec entrée en vigueur au 1er juin 2020 de la réforme de la copropriété pour conférer davantage de pouvoirs aux conseils syndicaux et ce est pa matera qui en plaindra fondateurs raphaël di meglio victor prigent et jérémy krebs création 2017 siège social paris secteur proptech activité plateforme collaborative dédiée à la gestion de copropriétés financement 1 5 million euro en janvier 2019 10 million euro en janvier 2020 2 000 par an ah ah ah la blague il faut trouver de copropriétés très rich ou très mal informées parce que je propose de logiciels entre 69 et 249 en mode desktop pour window mais sans abonnement et on trouve autres solution cloud pour 2 ou 3 fois moins chers coprolib vilogi evidemment au niveau réseau et média le concurrents communiquent moins bien en france le syndic est obligatoire il peut être pro ou non professionnel et dans certains ca il est confondu avec le président du conseil syndical est la forme coopérative je défends pour ma part le principe de indemnité pour le syndic non pro si on fait de économies en virant un syndic professionnel il vaut mieux rémunéré le syndic qui fait le boulot et prend le responsabilités plutôt qu une plateforme et une startup aussi motivée et ambitieuse soit elle pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/cumul-io-leve-35-millions-deuros-aupres-daxeleo-capital-lrm-et-smartfin/410545 | Financing | passer de ère du big data à celle du smart data est le défi que doivent relever le entreprises du monde entier pour le épauler dans ce cadre la start up belge cumul io développe une plateforme pour simplifier la visualisation de données basée à louvain en belgique la société vient de boucler un tour de table de 3 5 million euro mené par axeleo capital lrm et smartfin son investisseur historique fondée en 2015 par karel callens haroen vermylen et thomas de clerck cumul io conçu une plateforme low code permettant de créer de tableau de bord et de fonctionnalités analytics que le éditeurs de logiciels peuvent intégrer à leurs propres application pour avoir une meilleure visibilité sur leurs données adressant aux cto et cpo éditeurs application saas la plateforme de la société belge est aujourd hui utilisée par plus de 190 sociétés saas dans 29 pay positionnée sur le marché florissant de analyse de données la start up belge entend appuyer sur ce financement pour accélérer son développement à heure où le télétravail qui devient la norme à cause de la crise du coronavirus amplifie le besoin de entreprises en matière analyse et de visualisation de données cumul io une opportunité majeure à relever sur ce nouveau marché qui croise data cloud et business intelligence estime eric burdier co fondateur et président axeleo capital avec ce tour de table cumul io veut se renforcer en europe ainsi qu aux états unis où provient 25 de son chiffre affaire nous prenons une position de leader en europe depuis notre siège à louvain et no relais en cours de mise en place aux royaume uni et en france pour accélérer notre plan de développement notre implantation à new york serum clé dans notre expansion aux états unis nous prévoyons de doubler rapidement no effectifs et de recruter de nouveaux talent sale marketing et customer service tant en europe qu aux états unis déclare karel callens co fondateur et ceo de cumul io gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise de référence sur achat média digital et le tracking fondateurs karel callens haroen vermylen et thomas de clerck création 2015 siège social louvain secteur visualisation de données activité plateforme low code pour analyse de données financement 3 5 million euro auprès axeleo capital lrm et smartfin en novembre 2020 pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.makery.info/2014/10/17/sam-des-modules-pour-developper-chez-soi-linternet-des-objets/ | Needs | SAM fera-t-il mieux qu’Arduino ou LittleBits ? Le Belge Joachim Horn, fondateur de la start-up basée à Londres qui propose ce kit de développement pour l’Internet des objets (IDO), se réjouit du succès de la campagne Kickstarter (plus de 90.000 livres sterling promises sur 50.000 demandés, à 10 jours de l’échéance) : « La demande est grande, explique-t-il à Makery (par Skype). Beaucoup de gens veulent savoir mais n’ont pas les moyens d’accéder à ce niveau de connaissance. C’est vraiment ça, je crois, qui a poussé la campagne. » La promesse de SAM, c’est de pouvoir très simplement imaginer et concevoir des objets connectés qui réagiront à la lumière, qui bougeront ou vibreront selon des commandes pré-établies par l’utilisateur, sans que celui-ci ait besoin de mettre les mains dans le code. Ce qui distingue SAM d’autres kits de développement (très en vogue sur les sites de financement participatif), c’est son interface qui délivre les utilisateurs de la nécessité d’apprendre à coder, ainsi que le mode de communication des modules sans fil (Bluetooth). Il est possible de relier entre eux et à Internet ces modules (interrupteur, lampe, moteur, thermomètre, capteur de luminosité, module cloud…) sans écrire une ligne de code ni trifouiller le moindre circuit électronique. Leurs interactions peuvent être configurées via une application très simple qui traduit en code les liens créés à l’écran entre les différents modules, par glisser-déposer. Mais les familiers du cambouis binaire ne sont pas oubliés, puisque le langage Javascript est transparent et éditable. L’ensemble peut se connecter aux réseaux sociaux et à différents services en ligne, pour par exemple planifier des actions lors de la réception d’un e-mail ou d’un nouveau « like » sur une page Facebook. Pour montrer le caractère intuitif des kits, l’équipe de SAM, qui mélange des designers du Royal College of Arts et des ingénieurs de l’Imperial College London, a organisé de multiples workshops dans son lab, ouvert pour l’occasion à des étudiants universitaires et à des enfants. Voiture télécommandée, machine à faire des bulles, petits robots… les possibilités offertes par la combinaison de ces modules semblent vastes. Présentation du projet SAM pour Kickstarter: Côté hardware, les schémas de construction sont publics. Ce n’est pas le cas du logiciel qui reste propriétaire pour le moment. A terme, SAM réfléchit à l’éventualité de proposer un logiciel « premium ». La gamme SAM se décline pour l’instant en 4 kits, du plus simple comprenant 3 modules (45£, soit 57€) au plus complet en comptant 12 (200£, soit 254€). Quelque 200 kits ont été préfabriqués, mais la campagne Kickstarter devrait permettre à la start-up de passer à la production de masse. Dans leur lab de Londres mis à disposition par Microsoft Ventures Accelerator, Joachim et son équipe préparent la suite. Un support pour les smartphones Android, iOS et Windows, un étui pour les modules ainsi qu’un accéléromètre, une caméra et un écran LCD font partie des développements à venir. Premières livraisons des kits en mars 2015. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 2design
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https://www.frenchweb.fr/moment-devient-dimpl-et-leve-4-millions-deuros-aupres-delaia-idinvest-et-bpifrance/407430 | Financing | en france un quart de faillites touchant de tpe et pme sont provoquées par de retard de paiement et de impayés et avec la crise du coronavirus ce retard de paiements et ce impayés risquent de se multiplier et de mettre en péril encore plus entreprises pour lutter contre ce fléau moment vu le jour en 2018 la société annonce aujourd hui un tour de table de 4 million auprès elaia idinvest et bpifrance pour élargir son offre et poursuivre son développement cette occasion elle change de nom pour devenir dimpl fondée par raphaël kakon et eric le barz la jeune pousse française mi sur orbite un service permettant aux entreprises de bénéficier une assurance à la facture de manière à ce qu elles soient payées en temp et en heure pour ne pa plomber leur trésorerie pour délivrer de police assurance couvrant le factures de entreprises clientes dimpl appuie sur euler hermes fililale du groupe allianz ainsi en ca un retard de paiement la société occupe de relances et du recouvrement et verse à entreprise cliente 90 du montant de la facture à la date de échéance puis le 10 restants quand la facture est réglée par le payeur si ce dernier ne paie pa entreprise conserve le 90 versés par dimpl la start up assure que sa solution permet de faire gagner en moyenne 27 jours de trésorerie à s client un gain qui peut avérer vital face à la crise du coronavirus puisque près de 100 000 entreprises françaises disposent actuellement de 30 jours de liquidités contre quatre à cinq mois de réserves avant la crise selon assureur crédit euler hermes le défaillances entreprises devraient bondir de 35 ici 2021 à travers le monde et de 25 en france année prochaine ce défaillances pourraient ainsi toucher plus de 64 000 entreprises dans hexagone le entreprises ont pa encore réellement pris la mesure de onde de choc de impayé qui a pourtant jamais été aussi forte estime raphaël kakon co fondateur et ceo de dimpl face à cette perspective angoissante dimpl va déployer une nouvelle solution par abonnement annuel avec un tarif dégressif en fonction du volume de factures assurées pour faire suite à la crise et s conséquences le entreprises devront faire face à de nouvelles charge qui existaient pa auparavant dans leur compte de résultat créant de facto un stress lié à la trésorerie cela aura sûrement une incidence sur leur développement dans le années à venir et en définitive sur le dynamisme de emploi cette levée de fonds va nous permettre accélérer et apporter une solution concrète et innovante aux entreprises pour leur permettre de traverser cette crise explique raphaël kakon pour accélérer son développement la société prévoit notamment de nouer de partenariats avec de néobanques et de logiciels de facturation une manière pour dimpl de gagner du terrain dans hexagone sur un marché occupé par de entreprises comme upflow plateforme de gestion de factures impayées issue du start up studio franco belge efounders cette dernière levé 2 5 million euro an passé auprès de kima venture le fonds de xavier niel dirigé par jean de la rochebrochard et efounders fondateurs raphaël kakon et eric le barz création 2018 siège social paris secteur fintech marché solution de gestion de retard de paiement et de impayés financement 4 million euro auprès elaia idinvest et bpifrance en octobre 2020 pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.makery.info/2015/04/01/il-a-invente-le-tippex-de-limprimante-3d/ | Engineering | « L’extrudeur, grâce à un système de détection à infrarouge, repère où est le filament qu’il ré-aspire jusqu’à retrouver le point initial correctement imprimé », explique Erb Sittep, un maker un peu fou qui vient de passer deux ans à réfléchir à la meilleure manière d’inverser le cours de l’impression 3D. Un délai qu’il a mis à profit pour inventer la gomme pour imprimante 3D. En exclusivité pour Makery, le maker et bidouilleur français dévoile son invention, qui fonctionne pour l’instant uniquement avec une MakerBot Replicator, avec vidéo à la clé (attention, activez le son pour tout comprendre) : La plupart des adeptes de l’impression 3D vous le diront : leurs étagères sont pleines de fails, ces erreurs d’impression qui garnissent abondamment également l’internet – on recommande d’ailleurs à ce sujet le Tumblr sobrement intitulé Epic 3D Printing Fail ou le collectif sur Flickr réunissant leurs photos sous le titre The Art of 3D Print Failure. Et quand bien même le maker de base n’aurait aucune conscience écolo (le plastique qui compose la majorité des impressions 3D n’a rien de vert…), le gaspillage d’objets 3D mal finis ou dégrossis est un problème sérieux, un frein au développement de l’impression 3D pour tous. Erb Sittep est maker depuis le tout début du mouvement, et même avant : tout petit, il désossait déjà le vieil ordi de sa cousine pour y introduire quelques petites surprises odorantes, mais c’est une autre histoire… Erb a testé tout un tas d’impression 3D, en chocolat, en métal, en beurre demi-sel et même en vapeur d’eau (!!). A force d’essais-erreurs, il a eu l’idée de stopper la buse de plastique qui sort de l’extrudeur, de changer le sens de rotation de l’engrenage (le fil de plastique chauffé qui sort de l’extrudeur passe entre un engrenage et un roulement à billes) pour tout simplement faire remonter le fil jusqu’à repartir au point de départ de l’erreur (dans un fichier pour imprimante 3D, le dessin en 3D permet à la buse de positionner le fil de plastique de point en point). Erb promet de bientôt mettre en ligne tous les détails en open source, esprit maker oblige et conclue en toute modestie : « Je vais peut-être devenir 3DEraserMan pour les makers du monde entier, ça me plairait assez ! » Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 3digital
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https://www.makery.info/2016/05/30/lart-de-la-pile-microbienne-aux-designers-days/ | Storytelling | Après la fée électricité, l’elfe «biotricité» ? A l’occasion des Designers’ Days, le rendez-vous du design parisien, Les Arts Codés à Pantin présentent ce 4 juin une rencontre d’artistes et de designers qui imaginent de nouvelles narrations pour promouvoir les potentialités des piles microbiennes, cette énergie électrique insoupçonnée produite à partir de déchets organiques, d’eaux sales ou d’autres substrats pollués ou riches en bactéries. Les artistes lettons Rasa Smite et Raitis Smits, accompagnés des designers français Francois Brument et Sonia Laugier du collectif In-Flexions, expliqueront comment ils se sont lancés dans ce projet de collaboration autour de l’énergie verte. Rasa Smite et Raitis Smits ont cofondé le RIXC, centre des nouveaux médias créé à Riga en Lettonie il y a près de 20 ans. Engagé ces dernières années dans la promotion des techno-écologies durables, le RIXC coordonne la plateforme de coopération européenne « Renewable Futures » (futurs renouvelables). « Pour pouvoir continuer d’innover et changer le rôle de l’art dans la société, les arts numériques ne peuvent aujourd’hui se contenter de mixer les médias, mais doivent également chercher des zones de contact avec d’autres domaines », défend le RIXC. Le duo d’artistes, dans le cadre de Renewable Futures, sera accueilli cette année par Ars Longa, autre association historique des nouveaux médias aujourd’hui impliquée dans la fabrique d’artisans d’art Les Arts Codés à Pantin. Rasa Smite et Raitis Smits développent depuis plusieurs années Biotricity, série d’expérimentations au carrefour de l’art et de la science « qui envisage des scénarios de développement durable pour les éco-systèmes locaux ». Avec ces travaux, le duo veut « reconsidérer nos relations avec la nature et les systèmes biologiques, sociaux et technologiques, le monde commun des humains et des micro-organismes ». En collaboration avec des scientifiques, Rasa Smite et Raitis Smits travaillent sur des piles microbiennes ou MFC (microbial fuel cells) de nouvelle génération. Ils construisent ces piles dans différents environnements, en intérieur dans des espaces comme des écoles ou des galeries, et organisent des installations de production d’électricité à petite échelle dans des marais ou des champs. «Pond Battery», six piles microbiennes installées pendant sept mois au Jardin botanique de l’université de Riga, 2014: Ils ont également conçu un système de mesure qui transmet en continu les niveaux d’activité des bactéries sur Internet. Les mesures sont transformées en visualisations et sonifications et les données collectées sont ensuite réinterprétées en graphiques cartographiant les fluctuations de production d’électricité des bactéries. Chaque pile produit en moyenne 0,6V d’électricité. Associés via Ars Longa au projet, François Brument, designer et commissaire de la première exposition sur l’impression 3D en France (actuellement au Lieu du design), et Sonia Laugier du collectif In-Flexions apportent leur patte de designer pour enrichir le projet de nouvelles narrations. Si leur collaboration est activée cette semaine, leurs propositions ne seront pas livrées avant début 2017 sous forme d’objets 2D (physique et/ou virtuel) et 3D (physique et/ou virtuel). Cette coopération organisée dans le cadre de « Renewable Futures » entre RIXC, Ars Longa et In-Flexions aura aussi pour objectif de proposer plus largement « des idées de protocoles de design par les datas dans/pour un monde complexe, celui du vivant ». Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 9resource
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/politique-energetique-climatique-europeenne-lheure-changement-dieter-helm | Market Impact | En 2014, la politique européenne relative à l'énergie et aux changements climatiques est revenue sur le devant de la scène. L'annexion de la Crimée et la déstabilisation de l'Est de l'Ukraine ont soulevé des tensions avec la Russie qui ont atteint des niveaux sans précédent depuis la guerre froide. L'Union européenne a riposté avec un plan de sécurité énergétique et des sanctions. Les événements survenus ailleurs ont encore davantage compliqué la situation. Au Moyen-Orient, la progression rapide d'EIIL (L"État Islamique en Irak et au Levant" désormais appelé l'État islamique), les conflits internes en Libye, la guerre à Gaza et la poursuite des négociations avec l'Iran sur les questions nucléaires laissent entendre que l'optimisme initialement engendré par le « printemps arabe » était pour le moins déplacé, et l'instabilité chronique est de retour. Aux États-Unis, la révolution énergétique continue de transformer la géopolitique du pétrole et du gaz l et le scepticisme initialement suscité par ces changements et l'annonce d’une possible 'indépendance énergétique nord-américaine cède la place à la reconnaissance de la pérennité et de l’ampleur de ces changements, qui concernent tout autant les marchés énergétiques internationaux que l'Europe. Les répercussions de la fin du supercycle des matières premières sont à la fois extrêmement profondes pour la politique énergétique européenne et très mal comprises. Les prix des matières premières se sont effondrés, notamment ceux du pétrole, qui sont tombés en dessous des 80 $ le baril[1]. Pour ce qui est du changement climatique, il est quasiment certain qu'il n'y aura pas de suite au cadre international de Kyoto après la conférence de Paris en décembre 2015. Les émissions chinoises par habitant ont désormais dépassé celles de l'Europe et il est enfin admis que c'est la Chine, et non l'Union européenne, qui est au coeur de la problématique du changement climatique. La Chine a annoncé qu'elle n'entend plafonner ses émissions de CO2 qu'après 2030, quand ces dernières auront quoi qu'il en soit probablement atteint leur plus haut niveau, avec une valeur bien plus importante après quinze nouvelles années d'augmentation. La conférence de Paris reposera sur une série de « pactes » et d'« engagements », très proches du modèle de l'Accord de Copenhague, et non pas sur les mesures exécutoires crédibles et légalement contraignantes qui avaient été envisagées par la Conférence des Parties de Durban en 2011. Les émissions mondiales augmentent désormais à près de 3 parties par million, le seuil de 440 ppm a été dépassé et, en Europe, l'Allemagne voit ses émissions augmenter alors que le charbon continue à dominer le bouquet énergétique de production d'électricité. L'objectif d'un réchauffement maximal de 2 degrés semble hors d'atteinte. Bien que de nombreux dirigeants européens soient désireux d'affirmer que ces évolutions extérieures en matière de sécurité et de changement climatique confirment la pertinence des politiques existantes, notamment du paquet de mesures sur le marché intérieur de l'énergie et le changement climatique, cette position est de plus en plus difficile à défendre. Un changement est nécessaire. Cet article présente une direction possible pour la politique énergétique et climatique européenne. La section 2 évoque les principes économiques et notamment les tendances concernant le prix des matières premières et les technologies. Dans ce contexte, la section 3 examine le cadre conceptuel et la façon de concevoir les instruments politiques de manière à atteindre les objectifs fixés. Cette partie s'appuie sur un article intitulé La situation actuelle et les perspectives à moyen terme des marchés européens de l'électricité paru en octobre 2014[2]. Les sections 4, 5 et 6 traitent respectivement de chaque élément clé de la politique : la sécurité, le climat et la viabilité financière. La section 7 envisage les prochaines étapes et les options politiques s'offrant à l'Europe. [1] A la date où a été rédigé ce rapport [2] Helm, D.R. (2013) La situation actuelle et les perspectives à moyen terme des marchés européens de l'électricité, octobre. Dans les dix priorités de la nouvelle Commission européenne, figure la volonté de donner un nouvel élan à la politique énergétique et climatique européenne: conformément aux souhaits de son président, Jean-Claude Juncker, celle-ci doit conduire à une « Union plus résiliante sur le plan de l’énergie et dotée d’une politique visionnaire en matière de changement climatique ». Si elle doit logiquement s’inscrire dans les nouvelles orientations de la Commission et en particulier dans le plan de relance annoncé par son président, elle doit également tenir compte des événements auxquels elle peut être confrontée, en particulier de l’évolution des négociations internationales sur le climat, des variations possibles des prix des hydrocarbures et du développement de la production d’hydrocarbures non conventionnels. Elle doit enfin s’insérer dans le cadre géopolitique dans lequel évolue l’Union européenne, en particulier vis-à-vis de la Russie. Dans cette perspective, France Stratégie a sollicité l’expertise de trois économistes européens : Marc Oliver Bettzüge, professeur d’économie, directeur général de l’Institut de l’économie de l’énergie à l’université de Cologne ; Dieter Helm, professeur de politique énergétique à l’université d’Oxford ; et Fabien Roques, professeur associé à l’université Paris-Dauphine et vice-président à Compass Lexecon. Un premier rapport paru en janvier 2014 établissait le diagnostic de la crise dans laquelle se trouve le système électrique européen. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/moodwork-leve-2-millions-deuros-pour-ameliorer-la-qualite-de-vie-au-travail/385410 | Financing | moodwork qui développe une solution pour améliorer la qualité de vie de collaborateurs au travail lève 2 million euro auprès de newfund et de business angel lancé en 2017 par benjamin brion et léopold denis moodwork développe une plateforme dédiée aux collaborateurs en entreprise visant à améliorer leur qualité de vie au travail disponible également sur application mobile moodwork propose à s utilisateurs de outils analyse action et accompagnement notamment avec de psychologues et coach en ligne ce outils doivent permettre aux collaborateurs de mesurer leur qualité de vie au sein de leur entreprise pour pouvoir améliorer ensuite à aide de tutoriels vidéos webinars ou encore accompagnements spécialisés au cours de deux dernières années nous avon obtenu la confirmation que pour le entreprises comme pour leurs salariés la qualité de vie au travail et accompagnement individuel au travail sont de sujets stratégiques qui nécessitent expertise de véritables professionnels commentent benjamin brion et léopold denis la startup parisienne affirme tenir compte de différents secteurs activité et adapter aux problèmes spécifiques de chaque métier moodwork compte parmi s client de grand groupes comme bnp paribas edf engie ou encore lvmh le domaine de la qualité de vie au travail est de plus en plus investi par le startup à instar du français workelo qui simplifie onboarding de collaborateurs ou encore de bleexo spécialisé dans analyse de engagement de salariés et le soutien de manager avec cette levée de fonds moodwork pour ambition de se développer davantage notamment en doublant s effectifs ici 2020 grâce à cette levée de fonds nous allons pouvoir renforcer cet accompagnement et en faire bénéficier toujours plus de salariés en france et europe ajoutent le fondateurs de entreprise fondateurs benjamin brion et léopold denis création 2017 siège social paris secteur rh marché solution pour améliorer la qualité de vie de collaborateurs au travail concurrents workelo bleexo financement 2 million euro en novembre 2019 auprès de newfund et de business angel pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 5learning
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/aroma-zone-ouvrira-debut-juillet-un-espace-hybride-a-aix-en-provence_715119 | Needs | Challenges - Comment avez-vous eu l’idée d’entreprendre en famille? \n\nAnne-Cécile Vausselin - Mon père, ma sœur et moi sommes passionnés par la science du végétal. En 1999, nous avons eu l’idée de créer un site Internet sur les huiles essentielles. Le but n’était pas mercantile, mais des producteurs de Madagascar et d’Espagne nous ont contactés pour vendre leurs produits. Je démarrais à L’Oréal, ma sœur étudiait, et mon père avait son entreprise. Nous avons acheté nos premiers kilogrammes d’huiles essentielles, et les avons mis en flacon dans une salle de réunion de mon père. Quels ont été vos moments clés? \n\nEn 2004-2005, ma sœur et moi avons quitté nos emplois et installé notre site de production dans un village du Vaucluse. Peu après, nous avons lancé le premier kit de cosmétique maison. Puis nous avons ouvert notre boutique à Paris. L’événement a été l’ouverture, en 2014, du flagship à Odéon. C’était risqué, mais cela a fait exploser notre notoriété.\n\n Où en êtes-vous vingt ans plus tard? \n\nNous proposons une boîte à outils naturelle. Nos ingrédients et recettes permettent de choisir et fabriquer ses solutions de beauté, santé, bien-être, cuisine. Le chiffre d’affaires a atteint 80 millions d’euros en 2019 avec 130 salariés. Notre rentabilité se trouve entre 15% et 20%. Mon père, mes deux sœurs et moi possédons chacun 25% du capital. Mais, à terme, nous aurons sans doute besoin d’un partenaire pour nous développer à l’international. Qui sont vos fournisseurs? Tous les extraits végétaux, huiles, sont sourcés là où les plantes poussent. Je ne suis pas favorable au tout local. Il vaut mieux acheter du karité en Afrique et faire ainsi vivre des communautés entières que le relocaliser! En revanche, la France cultivait avant les plantes aromatiques, laissées à d’autres pays européens. Pour revitaliser cette agriculture et proposer des produits bio d’origine France, nous avons financé des plantations. Comment avez-vous vécu la crise? Pendant le confinement, nos six boutiques, trois en propre et trois dans des Printemps, étaient fermées. Elles génèrent 25% du chiffre d’affaires. Mais les ventes de notre site ont doublé. Cela a compensé. La reprise est compliquée. Nos boutiques ne peuvent accueillir qu’un nombre limité de clients. Notre activité est 20% à 30% inférieure à une période normale et ce, malgré des paniers plus élevés. Quels sont vos projets? Nous ouvrons le 3 juillet un lieu à Aix-en-Provence, dans le bâtiment historique de l’hôtel particulier Boyer d’Eguilles. La boutique sera au rez-de-chaussée. Le premier étage, avec de magnifiques plafonds peints, accueillera des ateliers, expositions, espaces lecture. Le dernier niveau sera réservé au coworking. Nous ouvrirons aussi d’autres espaces avec le Printemps en 2021, à Paris et en province. Notre objectif, à terme, est de couvrir les dix principales villes françaises. Enfin, nous venons de trouver une alternative recyclable et compostable au plastique, utilisée dès cette année. Votre rêve de croissance? Une croissance harmonieuse avec ce que la Terre peut fournir. \n\n \n \n Aix-en-Provence\n \n | 0agronomy
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https://www.maddyness.com/2019/07/25/marketing-avengers-entrepreneurs/ | Storytelling | kevin feige est entré dans la légende le producteur de marvel studio réalisé le meilleur démarrage de tous le temp avec le film avenger endgame il récolté 350 million de dollar en un week end lors de la sortie aux états unis et au canada généré 1 2 milliard de dollar en cinq jours est le quatrième film marvel qui entre dans le top 10 de meilleurs démarrages de histoire et le week end dernier il est devenu le plus gros succès de tous le temp devant avatar et pourtant flashback entre 1996 et le début de années 2000 entreprise marvel frôle plusieurs fois la faillite elle est rachetée par toy biz un fabricant de jouets à cette époque le film de superhéros font naufrage au cinéma à exception notable de deux batman de tim burton marvel se cantonne à une communauté de fan fidèle mais réduite quelle stratégie sorti la franchise marvel de impasse et comment le entreprises peuvent inspirer du marketing de kevin feige leçon 1 construire patiemment un universavengers endgame été précédé par 21 film qui ont construit édifice un étage après autre est la plus grande aventure cinématographique jamais conçue avec patience kevin feige développé un univers dont ampleur était insoupçonnable lorsqu en 2008 sortait le premier iron man le marketeurs veulent souvent frapper un grand coup en déployant brusquement une grande campagne pour tout changer la saison après développer dans le temp univers de la marque en commençant petit vous mènera plus loin parce que vous finissez par susciter une attente au sein de votre audience de la séquence email aux succès de web séries le public souhaite désormais avoir une interaction plus riche et plus poussée avec le marque vous ne pouvez pa court circuiter le développement un vrai storytelling et vous devez offrir une grande vision comme apple nike louis vuitton chanel et plus récemment oasis ou michel augustin leçon 2 miser à fond sur la qualitéchaque film chaque élément de univers été travaillé avec soin lorsqu on regarde le casting de film marvel on voit défiler le grand noms du cinéma le scénarios sont travaillés chaque film même opus que on pourrait classer comme mineur ant man par exemple bénéficie du même traitement kevin feige ne se repose pa sur s lauriers il amuse même à placer de détails que seuls le fan vont remarquer ceux qui regardent le film plusieurs fois qui font de arrêts sur image pour savoir quel est ce truc qui apparaît une poignée de secondes derrière le héros est amour du détail qui va faire qu on va lira votre newsletter que votre audience aura envie de lira vos email ou aller voir ce qui se passe sur le compte instagram de votre marque parce que vous aurez soigné le émoticônes le hashtags le image ou le gif est comme cela que vous pouvez susciter un je ne sais quoi qui vous sort du lot leçon 3 segmenter son audience pour mieux bâtir sa communauté la stratégie adoptée été de réaliser de film sur chaque membre de avenger pour accroître leur popularité et être sûr que la réunion de tous ce héros dans un énorme blockbuster fédère un maximum de fan de la franchise marvel souligne auteur de ce billet sur gnitekram le studio marvel ont eu intelligence de toucher de communautés différentes chacune ayant un héros qui leur correspond black panther pour la communauté noire américaine captain marvel pour toucher un public féminin shang chi à venir dans la phase 4 de univers marvel pour un public asiatique le eternals à venir aussi portant à écran le premier super héros gay pour allier la communauté lgbtdu coup lorsque le héros sont réunis dans le film avenger il a beaucoup de gen au rendez vous il a en fait 2 leçons à en tirer abord segmenter son audience ce est pa seulement faire de message personnalisés pour tel âge et tel genre est ménager dans univers de la marque un espace pour cette communauté et placer de éléments auxquelles celle ci puisse identifier ensuite faites de membres de votre communauté de héros dans univers de votre marque une entreprise qui fait ça très bien est livementor elle met sans arrêt en avant le succès de s élèves elle développe son storytelling autour de histoires de livementoriens leçon 4 utiliser la rumeur comme stratégie de lancement de produitsles film marvel et en particulier le deux derniers avenger ont été produits dans le plus grand secret pour éviter le fuites certains acteurs ont eu que de bout de scénario voire de fausses scènes ainsi pa de gaffe commises par mark ruffalo ou tom holland sur le réseaux sociaux kevin feige aussi révolutionné la façon de faire de bandes annonces vous verrez dans le teaser de image qui ne sont pa dans le film et pour avenger endgame le image de la bande annonce ne montraient aucune image au delà de 15 premières minute du film la stratégie de lancement de marvel appuie sur le technique suivantes diffuser au compte goutte le information développer quelques fausses piste utiliser de influenceurs dont le acteurs eux mêmes cela ressemble beaucoup à la stratégie de lancement apple dont le innovation sont aussi conçues de façon très confidentielle cela tend à susciter de rumeurs mais est sans doute mikado qui réussi à utiliser le mieux ce type de stratégie conquérir une large communauté ça commence par connaître son audience le succès paraît toujours évident après coup il ne est pa il découle une stratégie mûrement pensée et un ensemble de test et apprentissages permettant isoler le bonnes pratiques alors par où commencer par le persona ou avatar client est là que nous devon investir du temp rassembler patiemment toutes le données que nous pouvons trouver sur notre cible interroger notre audience pour en avoir une image précise et juste kevin feige commencé à appuyer sur un persona précis le lecteurs de comic avant élargir son audience et il leur donné exactement ce qu il voulaient comme dans le comic diver épisodes de histoires individuelles de histoires collective du merveilleux et une dimension épique une fois cette audience conquise il pu élargir son spectre il développé autres persona | 3digital
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https://www.lavoix.eu/fr/news/158/nouvelles-extensions-icann-aout-2014 | Securing | En octobre dernier nous vous annoncions l’ouverture des toutes premières nouvelles extensions du programme de l’ICANN. Nous sommes ravis de vous annoncer l’ouverture de la période de Sunrise des nouvelles extensions suivantes : Cette période de Sunrise durera 60 jours à compter du 12 août 2014 jusqu’au 11 octobre 2014. Cette période de Sunrise durera 60 jours à compter du 27 août 2014 jusqu’au 24 octobre 2014. Cette période de Sunrise durera 60 jours à compter du 3 septembre 2014 jusqu’au 31 octobre 2014. Ces périodes de Sunrise permettront aux titulaires des marques d’enregistrer des noms de domaines correspondants à leurs marques de manières prioritaires. Toutefois, nous vous rappelons que pour bénéficier de cet enregistrement prioritaire il est indispensable d’avoir, au préalable, inscrit sa marque auprès de la Trademark Clearing House (TMCH). N’hésitez pas à contacter l’équipe LAVOIX. | 3digital
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https://www.frenchweb.fr/tourisme-oneragtime-mene-un-tour-de-table-de-16-million-deuros-pour-lapp-de-detaxe-woonivers/394469 | Financing | woonivers spécialisé dans le remboursement de la tva aux touristes lève 1 6 million euro auprès du fonds français oneragtime avec la participation du fonds espagnol encomenda de fonds privés mexicains et de capital publique il agit pour la startup madrilène de sa deuxième levée de fonds fondé en 2018 par antonio cantalapiedra et abel navajas woonivers développe une application gratuite spécialisée dans le remboursement de la tva aux touristes non ressortissants de union européenne approuvée par administration fiscale espagnole la startup pour objectif accompagner le touristes comme le commerçants au moment de traiter le factures en effet la solution permet aux touristes de réclamer le remboursement de la tva après avoir scanné leur ticket de caisse le commerçants peuvent eux aussi accéder à un espace dédié à la gestion de opérations dites hors taxe woonivers se rémunèrent en prenant un pourcentage de la tva remboursée au client final basé à paris et installé à barcelone depuis 2018 le fonds français oneragtime se donne pour mission de soutenir de startup technologiques innovantes dans toute europe nous somme convaincus du potentiel de woonivers et est pour cela que nous souhaitons le accompagner au delà de leurs frontières la startup démontré une croissance continue et de ambition claires dès sa première année commente stéphanie hospital fondatrice et ceo de oneragtime dans le cadre de cette levée de fonds woonivers ambitionne étendre sa solution à autres pay en particulier à paris en 2019 la capitale française était la sixième ville la plus visitée au monde selon le groupe de recherche euromonitor en phase avec notre philosophie et notre vision oneragtime nous apporte le connaissances opérationnelles et stratégiques nécessaires pour notre développement en europe et à international et notamment en france grâce à sa connaissance du marché commente antonio cantalapiedra co fondateur et président exécutif de woonivers fondateurs antonio cantalapiedra et abel navajas création 2018 siège social madrid espagne secteur tourisme activité application spécialisée dans le remboursement de la tva aux touristes non ressortissants de union européenne financement 1 6 million euro auprès du fonds français oneragtime avec la participation du fonds espagnol encomenda de fonds privés mexicains et de capital publique pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 12society
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https://www.academieduservice.com/2021/12/03/sortie-crise-sanitaire-constats-barometre-symetrie-attentions-2022/ | Magic Team | L’année 2021 a été l’année du rebond et de la reprise pour la population mondiale et française, l’espoir d’un retour à la normale grâce à la sortie de crise sanitaire. L’économie ne fait pas exception à la règle. En effet, la crise sanitaire s’est déclinée en crise économique que les entreprises ont dû gérer pour en minimiser les conséquences et retrouver une certaine stabilité. Nous avons le plaisir de partager avec vous les résultats du Baromètre 2022 de la Symétrie des Attentions. Une huitième édition qui reflète la gestion de la sortie de crise des entreprises françaises. Comme chaque année depuis huit ans maintenant, l’Académie du Service publie son Baromètre de la Symétrie des Attentions. Cette étude s’appuie sur la conviction suivante : la qualité de la relation entre une marque et ses clients est symétrique à la qualité des relations au sein de l’entreprise. Elle concerne les neuf secteurs habituels (Immobilier, Distribution spécialisée, Téléphonie-Fournisseurs d’Accès Internet, E-commerce, Restauration, Grande distribution, Banque, Assurance et Automobile.) auxquels nous avons ajouté les secteurs du transport de personnes et de l’énergie dont les fournisseurs d’eau et d’électricité. Dans cette étude nationale multisectorielle et particulièrement pour cette édition, nous avons mesuré l’alignement de la culture client sur onze dimensions, à l’aide d’un questionnaire soumis à un panel de collaborateurs et de clients. L’objectif ? Comprendre quelle perception ont les Français sur la culture de service dans les entreprises françaises. L’occasion d’analyser les lignes forces du jugement des clients et des collaborateurs à l’heure de la sortie de crise et de la projection dans l’avenir. Dans cet article, nous partageons avec vous les principaux enseignements de ce baromètre. Sommaire Le Baromètre de la Symétrie des Attentions 2022 permet de constater une progression de la satisfaction client globale qui, comme l’activité économique, retrouve son niveau d’avant crise. Une progression de deux points qui vient récompenser la mobilisation des entreprises et leurs équipes durant cette période délicate. D’ailleurs ce sont les secteurs qui ont le mieux accompagné les clients pendant la crise qui se sont vus récompensés par ces derniers. La crise sanitaire a bouleversé les habitudes : confinement, télétravail et instauration du passe sanitaire ont marqué cette période. Les secteurs de la “deuxième ligne” dont les collaborateurs sont restés à leurs postes pour maintenir le service malgré le risque d’exposition au virus sont les grands gagnants de ce baromètre 2022. La restauration, la grande distribution ainsi que l’e-commerce se retrouvent donc sur le podium grâce au bond de leur taux satisfaction client. Jugés présents et très réactifs, ces secteurs sont récompensés pour leurs actions mises en place durant la crise sanitaire. Nous citerons pour exemple, la dynamique et la créativité qui a permis de renforcer et multiplier les dispositifs de livraison à domicile, les points drive et les plateformes d’achat en ligne. Tous ces secteurs ont en commun d’avoir su démontrer leur capacité à faire face au changement et trouver des solutions et opportunités. À l’inverse, on peut noter que le secteur bancaire qui s’est mobilisé pour accompagner la mise en place nationalement et localement des dispositifs de “prêts garantis par l’Etat”, n’a pas vu son niveau de satisfaction client progresser. Alors que le secteur des assurances a lui bénéficié de cinq points supplémentaires (59%) de satisfaction client. Le Baromètre de la Symétrie des Attentions 2022 met en perspective pour chacune des dimensions le score des réponses clients avec celui des collaborateurs. 10 dimensions sur 11 sont en symétrie négative : autonomie et initiative, coopération, coopération et soutien,comportement et savoir-faire, considération, écoute et feedback, facilitation et adaptabilité, harmonie humain-digital, relation de confiance, (à l’exception donc des valeurs). Cela signifie à la fois que les perceptions clients et collaborateurs sont négatives (taux d’accord inférieur à 55%). On peut noter également sur ces 10 dimensions qu’il existe une surestimation des collaborateurs par rapport aux clients. Seule la dimension des valeurs enregistre un taux d’accord positif du côté des collaborateurs. Cependant, il est unilatéral, non partagé par les clients et c’est même la dimension qui enregistre l’écart de perception le plus important. En effet, les collaborateurs semblent en adéquation avec les valeurs de leurs entreprises en cette période de sortie de crise sanitaire. C’est le résultat d’un engagement important de ces entreprises pour donner du sens qui se traduit souvent dans l’expression de leurs raisons d’être et leurs missions. Le secteur de l’énergie montre l’exemple grâce à un taux d’adhésion très élevé puisque 73% des collaborateurs estiment qu’ils s’appuient sur les valeurs de l’entreprise pour agir. Une perception loin d’être partagée par les clients qui ne sont que 29% à le penser. De manière plus générale, les clients ne perçoivent pas (ou pas encore) les efforts fournis par les entreprises pour agir en adéquation avec leurs valeurs. Les clients, exigeants à ce propos, attendent plus de la part des entreprises. Alors que la crise sanitaire a bouleversé toutes les habitudes, nous aurions pu penser que la dimension “autonomie et initiative” verrait son taux grimper dans le Baromètre de la Symétrie des Attentions. Ce qui n’est finalement pas le cas… En effet, les collaborateurs considèrent, pour la moitié d’entre eux, être autonomes et avoir la confiance du management. Cela implique a contrario qu’un collaborateur sur deux pense ne pas avoir la confiance du management et l’autonomie nécessaire pour satisfaire les clients. Un sentiment perçu par les clients dont seulement un tiers tous secteurs confondus pense que leurs interlocuteurs en entreprise sont capables de s’affranchir des règles pour leur venir en aide. De plus, six clients sur dix pensent que les collaborateurs au contact du client n’ont pas l’autonomie pour rendre le meilleur service. Vous pouvez télécharger l’étude complète du Baromètre de la Symétrie des Attentions ici. De plus en plus d’entreprises font de l’engagement environnemental un enjeu clé de leur stratégie. Il reste encore beaucoup à faire si l’on croit les résultats de notre baromètre. Dans la globalité, le Baromètre de la Symétrie des Attentions relève un engagement environnemental des entreprises jugé insuffisant par les collaborateurs et surtout par les clients ! Nous noterons tout de même qu’il existe un écart significatif de l’ordre de 13 points entre la perception des collaborateurs et celle des clients à ce sujet. Les clients en général ont d’ailleurs une appréciation de l’engagement de l’entreprise en faveur de l’environnement bien plus faible, avec un taux d’accord à peine supérieur à 30 %. Côté collaborateurs,cette perception varie beaucoup plus. En effet, ce sont les secteurs dans lesquels les collaborateurs ont l’impression que les entreprises en font le plus que les écarts de perception sont les plus grands. On peut citer l’énergie, l’automobile mais aussi la banque et l’assurance. Un peu comme si dans ces secteurs, les efforts entrepris n’étaient pas encore visibles en externe ou n’étaient pas encore jugés suffisants et à la hauteur des enjeux. Les actions en faveur de l’environnement font partie intégrante de la démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Elles utilisent des indicateurs extra-financiers pour mesurer l’impact de ces actions nécessaires au développement durable des entreprises. Néanmoins, le critère “Social”, les notions de culture et de satisfaction client, d’engagement des collaborateurs, ou encore de qualité des pratiques managériales sont souvent absentes de ces reportings extra-financiers. L’Académie du Service a donc développé l’index ESG de la Symétrie des Attentions. C’est un outil innovant et complémentaire aux mesures existantes de l’engagement RSE qui couvre les dimensions essentielles que sont l’engagement des collaborateurs et la satisfaction des clients. L’objectif de l’Index ESG de la Symétrie des Attentions est de fournir aux entreprises un indicateur de mesure extra-financier proposant : Tout comme le Baromètre de la Symétrie des Attentions, les résultats et enseignement permettent de mettre en place et élaborer des actions et des dispositifs concrets pour mettre en œuvre réellement la Symétrie des Attentions auprès des clients, des collaborateurs, des managers et de la planète. | 7people
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https://www.maddyness.com/2015/06/23/crm-commercial-machine/ | Needs | activité commerciale est sans nul doute la pierre angulaire de toute aventure entrepreneuriale la prospection off ou online le rappel le déjeuners ou le réunions font partie du quotidien un business développeur mais quand la vente devient un art il faut également séduire la personne qui est en face de soi une poignée de main peut sceller une opération et importance de la présence physique ne semble pa se démentir malgré le dernières révolutions technologiques qui ont bouleversé ce métier quote maddyness en partenariat avec salesforce souhaité mettre en avant intérêt un crm à heure où le relation humaines ont tendance à se restructurer autour de la machine vous voulez en savoir plus sur le bénéfices un crm ce guide pratique est pour vous quote la transformation digitale un secteurle numérique cette troisième révolution industrielle bousculé ensemble de usage et de outils de travail en entreprise l heure de la mobilité le poste de travail fixe est en train de se réinventer grâce aux industry du cloud selon une étude menée par ericsson le trafic mensuel moyen sur smartphone passera ainsi de 2 4 go aujourd hui à 14 go en 2020 en amérique du nord et de 1 2 go à 6 5 go en europe fortement liée à la mobilité activité commerciale logiquement subit une transformation numérique avec arrivée de nouveaux outils dédiés à la performance et à organisation interne auparavant installés sur de postes de travail fix le crm customer relationship management deviennent accessibles depuis importe quel endroit et support et révolutionnent aussi un métier presque aussi vieux que le monde importance de la data et son optimisation dans le processus de venteentre le kpi et le roi exploitation de données est en train de bouleverser certains métiers dont ceux du marketing ce derniers collectent le information reliées à activité commerciale et tentent de construire de outils de décisions data driven une de force un crm est justement accompagner le fonctions support dans optimisation de données on parle alors de smart data cet engouement pour le big et smart data se retrouve actuellement dans toutes le entreprises pourtant dans la plupart de structure commerciales le information se retrouvent sur le tableau de bord dressés par la force de vente le crm devient alors un outil de pilotage pour ensemble de départements au sein de entreprise et apportent ainsi la valeur ajoutée tant attendue le commercial peut il être une machine même si elle est accompagnée indicateurs poussés par une machine la phase de prospection est pa encore au stade de la machine la méthode soncas sécurité orgueil nouveauté confort argent et sympathie largement utilisée par le force de vente permet de détecter de besoins qui ne sont pa liés à la raison ce argument commerciaux font appel à de sentiment qu une machine est pa encore en mesure de percevoir et qui semblent ne pa vouloir disparaître de relation commerciales toujours centrées sur humain dans le prises de décisions autant que dans attirance pour le produit le crm est aussi la garantie de construire une relation et une communication avec chaque client une relation human to machine qui mérite être préservée après tout le client non plus est pa près être une machine | 3digital
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/cette-start-up-qui-permet-aux-recruteurs-de-sortir-des-profils-stereotypes_38893 | Magic Team | Challenges. Votre système analyse 100 millions de profils. Quelles données utilisez-vous ? Bénédicte de Raphélis Soissan. Nous récupérons les données des salariés disponibles dans les services de ressources humaines. En clair, les éléments de CV : les compétences, les formations et les filières, les différents postes occupés, le secteur d’activité… Nous classons ces données, repérons les points communs entre les profils. Ce système nous permet de conseiller de nouveaux parcours de carrière. Les RH s’appuient sur nos suggestions comme des preuves, plus seulement sur leur intuition. Comment l’idée vous est-elle venue ? Avant de créer ma start-up, j’ai travaillé pendant quatre ans dans un cabinet de conseil. Pour trouver vers quoi m’orienter ensuite, j’ai analysé, à la main, le profil de 500 personnes qui avaient une carrière proche de la mienne, et j’ai regardé ce qu’elles avaient fait comme métier par la suite. J’ai rapidement envisagé de proposer cette technique aux grandes entreprises. >> Retrouvez l'interview complète en vidéo : Les big data sont à la mode en ce moment, avez-vous des concurrents dans votre secteur ? Il y a les acteurs de process RH et ceux de la data, mais nous avons une approche très particulière. Nous sommes les seuls présents sur l’ensemble de la chaîne de valeur : collecter les données, les normaliser, construire les algorithmes, et proposer une réponse percutante. Notre business model est celui d’un logiciel en ligne, auquel on s’abonne pour trois ans avec un prix déterminé en fonction des modules choisis : rétention des cadres qui souhaitent partir, mobilité, recrutement en interne… Les investisseurs ont su repérer votre point fort. Vous avez levé 2,5 millions d’euros à l’automne. Que comptez-vous faire avec cette somme ? L’objectif de cette deuxième levée de fonds est de conforter notre position de référent sur le marché en France. Aujourd’hui, nous avons une dizaine de clients du CAC 40, comme Orange. Nous aimerions tous les convaincre et démarcher le SBF 250. Cela implique de doubler les effectifs de 22 salariés, ouvrir 12 postes à la fois techniques et commerciaux. Nous allons aussi préparer notre expansion à l’international en testant l’appétence du marché américain. Quel argument convainc le mieux les grands groupes ? C’est l’argument de la valorisation de la fonction RH. Clustree n’efface pas la partie « humaine » des ressources humaines, mais suggère l’action. C’est ensuite aux RH de la mener à bien. Nous les aidons à convaincre, avec un argument rationnel, les managers qui souvent cherchent un profil stéréotypé, un clonage des candidats. L’autre argument, c’est de pouvoir retenir les talents face au turnover et de faire diminuer les coûts de recrutement. Les salariés peuvent aussi utiliser notre solution pour gérer leur carrière. Dans la banque, par exemple, un analyste de marché a eu des suggestions pour devenir data scientist alors qu’il n’y aurait pas pensé. Souvent, les salariés se mettent des barrières eux-mêmes. Entretien réalisé au Victoria 1836 par Léa Lejeune et Jean-Baptiste Diebold \n\n \n | 5learning
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/85-des-emplois-sont-crees-par-des-entrepreneurs_38541 | Financing | Challenges. Après avoir levé 135 millions d’euros l’an passé, comment s’annonce 2016 ? Grégoire Sentilhes. Nous avons des objectifs aussi ambitieux, sinon plus, pour cette année. Car nous répondons aux besoins des grands investisseurs institutionnels et privés, qui veulent des perspectives de rendement supérieures à celles des obligations. Parmi eux, nous comptons notamment des investisseurs comme Artémis, le holding de François Pinault, et Amundi, première société de gestion d’actifs en Europe avec plus de 1.000 milliards d’euros sous gestion. Tous deux détiennent 25 % du capital de NextStage. Comment avez-vous réussi à convaincre ces grands investisseurs de vous confier des fonds ? Quelle est votre philosophie d’investissement ? Nous avons la chance d’avoir une approche d’entrepreneurs-investisseurs. Trois des quatre fondateurs de NextStage sont d’anciens entrepreneurs. Nous sélectionnons entre cinq et dix dossiers par an sur 400 reçus, et sur la base de quatre grandes tendances qui ne sont pas sectorielles, mais transversales. >> Retrouvez l'interview complète en vidéo : Quelles sont ces tendances ? La première, c’est le constat que l’économie est de plus en plus menée par la qualité des expériences clients. La deuxième, c’est la montée de l’économie « à la demande », où il y a moins l’enjeu d’acheter quelque chose que de payer pour son usage. La troisième tendance est celle de l’Internet industriel : l’industrie du xxie siècle n’est pas celle qui produit des objets mais celle qui intègre de l’intelligence. La quatrième tendance est celle de l’économie verte, quand la création de valeur passe par une moindre ou une meilleure consommation. Pouvez-vous nous donner des exemples d’entreprises dans lesquelles vous avez investi ? Nous avons récemment investi dans une entreprise typique de l’expérience client. Il s’agit d’une société de cosmétiques qui vend des parfums de très bonne qualité à 8 ou 9 euros. Elle s’appelle Adopt et compte déjà une centaine de magasins en France et dans le monde. Le low cost peut produire de la valeur : Ryanair vaut 18 milliards d’euros en Bourse, alors qu’Air France en vaut moins de 2 milliards ! Des particuliers investissent dans vos fonds et bénéficient aussi d’une réduction d’impôt. Quels sont les résultats ? Sur les 700 millions d’euros que nous administrons, seul un tiers est géré à travers des fonds ouverts aux particuliers. Par ailleurs, nous investissons dans des entreprises qui ont un profil de risque assez faible et des résultats peu volatils. Et sur nos 24 fonds destinés aux particuliers, seuls trois ne gagnent pas d’argent. Vous avez été à l’origine du G 20 des entrepreneurs, en 2010. En quoi cela consiste-t-il ? En 2010, avec l’aide de Christine Lagarde, nous avons mis sur orbite ce G 20 des entrepreneurs pour faire en sorte que leur voix soit entendue d’hommes politiques qui, paradoxalement, sont peu passés par la case entrepreneurs. Plus il y a d’entrepreneurs, mieux l’économie se porte. Sur les vingt dernières années, 85% des emplois ont été créés par des entrepreneurs. Entretien réalisé au Victoria 1836 par Eric Tréguier et Jean-Baptiste Diebold \n\n \n \n Start-up\n \n | 12society
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/webconference-impacts-de-alimentation-lenvironnement | Market Impact | Les États généraux de l’alimentation se sont achevés le 21 décembre 2017, après plus de cinq mois de discussions au sein de 14 ateliers thématiques, consacrés aux questions économiques, commerciales, sanitaires ou environnementales. Ce débat public a permis d’esquisser des perspectives d’évolution de l’agriculture française. Il a également fait émerger des interrogations concernant les impacts des systèmes alimentaires sur la santé et sur l’environnement. En effet, les consommateurs apparaissent de plus en plus soucieux des relations entre alimentation et environnement. Ils se déclarent prêts à manger durable et local ou à limiter le gaspillage alimentaire. Cette évolution se traduit par une diminution de la consommation de viande, une plus forte consommation de produits issus de l’agriculture biologique, ainsi que par l’émergence d’initiatives locales centrées sur la reterritorialisation des systèmes alimentaires. Ces tendances émergentes posent néanmoins un certain nombre de questions concernant l’organisation des filières agroalimentaires et l’évolution des métiers de l’agriculture. Quels sont les impacts de notre alimentation sur l’environnement ? Comment nos choix de consommation sont-ils susceptibles de faire évoluer les modes de production agricole ? Comment concilier attentes sociétales, juste rémunération des agriculteurs et amélioration de l’état de l’environnement ? Quels sont les enjeux liés à une mutation des politiques agricole et de l’alimentation ? C’est de ces questions dont Julien Fosse a débattu avec vous lors de la webconférence le lundi 5 février de 12h à 12h45. Sa présentation a été discutée par Céline Mareuge, journaliste web à France Stratégie. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 0agronomy
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/selectionnist-l-appli-mobile-qui-veut-changer-les-habitudes-des-lecteurs_26647 | Storytelling | Vous avez créé une application mobile, le Shazam des magazines. Cela suscite-t-il de nouveaux modes de lecture? Selectionnist permet d'acheter en une photo les produits présentés dans un magazine - mode, beauté, culture, ou enfants. Avant, la lectrice arrachait les pages, maintenant, elle prend des photos des produits avec son smartphone. L'appli permet d'ajouter cette brique de services. Qui sont vos clients? Les éditeurs de magazines ou les marques? Nous travaillons tant avec les éditeurs de magazines que des annonceurs : nous commençons à collaborer avec des marques sur leurs catalogues. L'éditeur fait la promotion de notre service, en échange, nous lui transmettons des données sur les comportements des lecteurs, leurs habitudes de lecture. Notre appli est mise en avant dans ses pages par un logo. Nous travaillons avec les magazines Elle, La Parisienne, Psychologies magazine, AD … Courant avril, nous avons intégré trois nouveaux titres féminins. Et nous discutons avec des groupes de presse étrangers, notamment en Allemagne. Comment vous positionnez-vous face à vos concurrents, tel Wishibam? Le modèle économique de Whishibam, c'est d'être une place de marché de vente de produits, notamment de créateurs. Les ventes ont lieu dans leur appli mobile. Notre modèle est de re diriger les utilisateurs vers un site marchand tiers, ce qui permet de présenter un catalogue exhaustif de ce qui est référencé dans les magazines. Est-ce que vous partagez vos revenus avec vos partenaires? Nous travaillons encore sur les modèles économiques, notamment avec les régies publicitaires : l'appli leur permet de digitaliser un plan presse, d'associer une brique digitale à un contenu statique print, et de proposer aux annonceurs notre technologie. Le média nous paie un forfait pour l'utilisation de notre solution. Notre chiffre d'affaires est encore peu significatif. Vous êtes aussi business angel de 50 Partners et de Partech Ventures. Est-ce facile de lancer sa start-up en France? Oui, c'est facile de poser les premières briques à l'édifice, les statuts, les premiers financements. Faire grossir une activité n'est jamais évident. La France fait de plus en plus pour accompagner les business angels. Mais s'il est facile de commencer avec PowerPoint devant soi et mille idées en tête, on est par la suite confronté à la réalité du marché. La France est un bon écosystème. Même s'il y a des choses à améliorer : les charges sociales sont lourdes, recruter n'est pas simple, tout comme se séparer des gens. Et l'activité peut être irrégulière. Qu'est-ce que, pour vous, la réussite? Est-ce que maintenant je réussis ? Oui et non. Je suis très fière du chemin parcouru depuis dix-huit mois par mes équipes. Mais la route est longue : nous voulons créer un usage, imposer une marque forte. Nous aurons réussi le jour où, partout dans le monde, quand vous aurez un support papier dans les mains, le réflexe sera d'utiliser l'appliSelectionnist. \n\n \n \n Start-up\n \n | 8production
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https://www.strategie.gouv.fr/infographies/electricity-distribution-networks-energy-transition | Market Impact | From the outset, electrical distribution networks have been belonged to the municipalities. Their management, entrusted to an operator, are part of a public service delegation. The 1946 nationalisation law completed the scheme with a national organisation around EDF. RTE – Transport network at very high voltage ENEDIS – Distribution network of medium and low voltage This organization of distribution around of a national operator has enabled France To these goals of security of supply and cost is added the imperative of reducing the emision of CO2. To achieve this an adaptation of networks is necessary. Renewable energies constitute fifteen percent of the total electrical power of the French fleet, and are connected in ninety-five percent of cases to the distribution network. However, until now, the network has played a rather « passive » role, consisting of transmitting electricity to the consumer. Because the energy generation is intermittent, decentralized renewable energy production is changing the model. Now the currents are bi-directional. The network must supercede wind and sun. Yet the non-consumed electricity must reach the higher voltage network. Ecological districts, local energy communities, smart energy buildings... the number of installations in self-consumption could reach 4 million in 2030, according to RTE. Electric vehicles, heat pumps, home automation... the transition to a low-carbon economy requires the increased use of electricity. The advent of millions of electric vehicles and "mobile" charging points to be connected to the network raises the question of charging infrastructures, and the management of power peaks if all vehicles were to be recharged at the same time. Smart grids can help meet this need for increased flexibility through the more efficient management of the balance between electricity supply and demand. But they also imply that the network collects large amounts of data, protects users against cybercrime, and provides such information to users. The distribution network will, therefore, evolve while continuing to guarantee solidarity among territories. Because electricity is "a long-range industry", we must evaluate this transformation as soon as possible to prevent the risk, often underestimated, of destabilizing the entires system. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/nouvelle-version-application-accompagnement-creation-entreprise-lcde/ | Needs | Forts de notre expérience dans le domaine de la création d’entreprise et des retours d’expérience de nos utilisateurs, nous avons développé une nouvelle version de notre application numérique d’accompagnement à la création d’entreprise que nous venons de mettre en ligne. L’objectif est très simple : vous proposer un accompagnement encore plus complet et une utilisation simplifiée. Dans ce dossier, vous découvrirez les évolutions majeures de cette nouvelle version de l’application du Coin des Entrepreneurs qui, nous espérons, vous plaira encore plus ! A cette question, nous avons envie de répondre « tout et rien à la fois ». « Rien » parce que nous avons pensé et développé cette nouvelle version toujours dans le même état d’esprit : vous simplifier la vie tout en restant complet. Elle demeure une application conçue par des entrepreneurs, pour des entrepreneurs. Également, la plateforme reste gratuite. Et, pas de panique pour les utilisateurs actifs sur l’ancienne version : toutes les données et informations ont été conservées et intégrées dans la nouvelle version. « Tout » parce que nous avons entièrement repensé l’application et nous l’avons considérablement enrichie et améliorée. Le principal changement est l’approche par parcours. Dorénavant, il vous suffit de sélectionner le parcours qui vous convient, compte tenu de vos besoins et notre application vous propose un parcours entièrement personnalisé. Vous n’aurez à remplir que le strict minimum, rien de superflu ! Les besoins des créateurs d’entreprises ne sont pas tous les mêmes. Nous nous sommes aperçus que certains d’entre vous avaient besoin d’un business plan complet, tandis que d’autres souhaitaient réaliser un prévisionnel financier ou simplement effectuer leurs choix de création. L’ancienne version de l’application ne prenait pas réellement en compte ces besoins, dans la mesure où le parcours qu’elle proposait était le même pour tout le monde. Dorénavant, vous suivez un parcours personnalisé et adapté à vos besoins. Pour l’instant, notre application en propose cinq : Cette liste est, bien évidemment, amenée à évoluer. Les parcours vont s’enrichir et leur nombre va augmenter progressivement au fil du temps. Nous en avons déjà de nombreux en cours de développement : « Préparer son projet », « Se former pour entreprendre », etc. Vous ne pouvez suivre qu’un seul parcours à la fois. Cela dit, vous avez la possibilité d’interrompre le parcours entamé pour en commencer un autre. Il est alors automatiquement mis en pause et vous pourrez revenir dessus quand vous le souhaitez. Voici un exemple de tableau de bord dans l’un des parcours de l’application (prévisionnel financier) : L’application comporte beaucoup d’autres nouveautés. Parmi elles, on retrouve notamment : Vous êtes plus de 12 000 entrepreneurs à vous être inscrits sur notre application et nous vous remercions pour votre confiance. Nous avons mis un certain temps à concevoir et à développer cette nouvelle version, nous espérons que vous l’apprécierez. N’hésitez pas à nous donner votre avis via le Chat en direct intégré dans tous les parcours. A très bientôt sur app.lecoindesentrepreneurs.fr ! | 3digital
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/webconference-role-de-finance-lutte-contre-rechauffement-climatique | Financing | Après l’échec de la conférence de Copenhague (2009) pour mettre en place un marché mondial du carbone, la « finance climat » a pris le relai de la « finance carbone » de par l’engagement des pays du Nord à transférer 100 milliards de dollars par an vers les pays du Sud. Néanmoins, la communauté financière est restée plutôt « indifférente » au climat jusqu’au tournant de la COP21, qui a été l’occasion d’une prise de conscience des risques que les dérèglements climatiques font peser sur l’activité du monde financier. En ce sens, la véritable nouveauté de l'Accord de Paris est la volonté de diriger les flux financiers vers un mode de développement bas carbone, donnant à la finance climat une dimension nouvelle. L’objectif est d’interpeler les grands groupes financiers mondiaux afin de les sensibiliser aux enjeux climatiques. Plus largement, il s’agit de mettre le système financier international au service du développement durable. Mais de quel type de finance s’agit-il exactement ? Quels sont les points clés de la COP21 et les conclusions de la COP22 à ce sujet ? Qu’en est-il de l’engagement français ? Baptiste Perrissin Fabert, économiste à France Stratégie, spécialiste du prix carbone et de la finance climat, a apporté des éléments de réponse. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.maddyness.com/2015/07/06/howtank/ | Financing | créé en 2012 par steven harel emeric teil et sébastien foret la startup howtank vient annoncer avoir bouclé une levée de fonds de 1 7 million euro auprès du fonds investissement kernel capital fondé par pierre kosciusko morizet et pierre krings plusieurs business angel participent également à ce tour de table qui pour objectif de financer le développement de nouvelles fonctionnalités et de renforcer le effort internationalisation issus de price minister le 3 co fondateurs ont souhaité faire confiance à leurs anciens patron pour cette opération financière au delà de hommes entreprise price minister été la première plateforme à installer cette solution de click to community en autres termes il agit une solution technique qui permet aux membres une plateforme web de répondre aux visiteurs qui ont de question ce jour il agit une pratique qui est considérée comme la relation membres client du futur et qui déjà séduit de entreprises comme blablacar voyage sncf com vinted maeva com allo resto auchan ou même la redoute quote relire consocollab pourquoi blablacar t il mi en place le tchat communautaire sur son site quote un secteur concurrentiel et tendance la startup howtank doit se confronter aujourd hui à de nouveaux arrivants qui aident également le marque à construire une relation client toujours plus poussée outre iadvize startup basée à nantes dont la relation client est le coeur de métier historique autres sont en train émerger comme toky toky une jeune entreprise accompagnée par 50 partner pourtant est chez howtank que nous avon trouvé le produit le plus abouti et le plus à même de faire interagir efficacement no membres expérimentés avec le nouveaux raconte frédéric mazzella co fondateur de blablacar quote howtank un potentiel mondial et consolide une vraie tendance de fond le développement de communautés de membres qui sont souvent le plus efficaces pour répondre aux attentes de client de service en fort développement ajoutons à cela une excellente équipe que nous connaissons très bien pour avoir travaillé avec elle de nombreuses années chez priceminister la décision investir été facile raconte pierre kosciusko morizet quote avec cette levée de fonds le effectifs actuellement de 20 salariés devraient être renforcés entre la france et le etats unis si 40 partenaires parmi le top 100 de site ecommerce font confiance à howtank il est probable que de nouvelles références rejoignent le porte feuille de client dans le prochains mois pour autant son principal concurrent iadvize revendique équiper plus de 1000 sociétés dans une quarantaine de pay et pour ensemble de s activités la bataille est donc lancée sur le créneau du click to community | 3digital
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https://www.frenchweb.fr/agtech-astanor-ventures-cloture-son-fonds-a-impact-a-275-millions-deuros/410146 | Financing | le fonds belge astanor venture annonce la clôture de son fonds investissement à 275 million euro pour financer innovation technologique de industrie agroalimentaire astanor déjà investi dans 20 startup européennes et américaines dans le secteur de agroalimentaire et la prévention de la santé humaine animale et de sol un marché qu il estime à 12 000 milliard euro le fonds vu le jour en 2017 sou impulsion eric archambeau et george coelho de anciens de balderton capital qui ont été à origine de son lancement en europe en investissant notamment dans spotify betfair ou encore freenow avec astanor venture il ont désormais ambition de révolutionner industrie alimentaire et agricole si la clôture du fonds intervient en pleine pandémie de covid 19 il affirme que loin avoir échaudée le lp la crise sanitaire et économique a fait que révéler la vulnérabilité de notre système alimentaire en france astanor venture mené un tour de table de 372 million de dollar dans la startup ÿnsect spécialisée dans la production insectes à de fin nutritionnelles ce financement avait pour objectif accompagner la startup dans la construction de la plus grande ferme insectes du monde à amiens et dans son expansion en amérique du nord astanor également financé la ruche qui dit oui cette entreprise française qui propose de produits frais et locaux en circuit court et pour qui le fonds dispose un réseau très solide et diversifié qui constitue un véritable pont entre europe et le états unis géré par une équipe internationale le fonds cible en majorité le entreprises européennes à instar de allemand infarm qui installe de fermes verticales dans de lieux urbains et récemment levé 170 million de dollar cependant astanor est également intéressé aux innovation outre atlantique avec la startup californienne apeel avec temasek et ifc astanor misé 30 million de dollar dans cette jeune pousse fondée en partenariat avec association bill and melinda gate qui aide le agriculteurs à conserver plus longtemps leurs culture et à étendre sur de nouveaux marchés le fonds belge poursuit donc une stratégie investissement à impact positifs guidé par de critères autres que financier environnementaux agroalimentaire est désormais une de industry le plus néfastes pour la planète et nous devon rapidement trouver de solution pour faire face à urgence climatique commente eric archambeau associé du fonds ampleur de problèmes auxquels nous somme confrontés exige que nous adoption une approche révolutionnaire et non évolutive pour rétablir le lien entre la nature alimentation et agriculture pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 0agronomy
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https://www.lavoix.eu/fr/news/314/L-Office-français-des-brevets-permet-la-correction-de-la date-d'expiration-des-CCP-déjà-délivrés-suite-à-la-délivrance-du-C-492-16 | Securing | 1. Dans l'affaire C-471/14 (Seattle Genetics, Inc.), la Cour de justice de l'Union européenne a estimé que "la date de la première autorisation de mise sur le marché dans l'Union" visée à l'article 13, paragraphe 1, du règlement (CE) n° 469/2009 est la date de notification de l'autorisation de mise sur le marché à son titulaire (et non sa date d'octroi). 2. Plus récemment (C-492/16, Incyte Corporation, publié le 20 décembre 2017), la Cour de justice a maintenant jugé que la date d'expiration correcte telle que clarifiée par Seattle devrait également s'appliquer aux CCP qui ont été accordés avant la date de la décision de Seattle. En conséquence, les titulaires de CCP devraient pouvoir obtenir une date d'expiration corrigée auprès de leur office des brevets. 3. En conséquence, l'Office français des brevets (INPI) a récemment publié sa pratique à cet égard (cliquez ici). Pour tous les CCP qui sont encore en vigueur et pour lesquels la date d'expiration a été calculée sur la base de la date de délivrance de l'autorisation de mise sur le marché de l'UE, il est désormais possible de rectifier la date d'expiration, en déposant une requête auprès de l'Office français des brevets, au nom du titulaire du CCP tel qu'il est inscrit au registre français des brevets. Cette demande doit être déposée avec une copie au Journal officiel indiquant la date de notification de l'autorisation de mise sur le marché de l'UE. Veuillez contacter votre contact habituel chez LAVOIX si vous avez besoin de plus d'informations et/ou si vous envisagez de corriger la date d'expiration de vos CCP. | 10science
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https://www.maddyness.com/2018/03/06/martech-armis-leve-6-millions-euros/ | Financing | armis, la startup qui digitalise la communication de proximité de enseignes physique pour générer du trafic en magasin via internet, annonce avoir bouclé un tour de table de million d’euros, mois seulement après son lancement. le fonds elaia partner entre au capital, aux côtés d’iris capital et de plusieurs business angels. le choses semblent aller au plus vite pour armis, la startup fondée par david baranes et dan gomplewicz, deux expert en publicité digitale et retail ! celle-ci, qui voyait le jour en juin , annonce aujourd’hui avoir bouclé une levée de série de million d’euros auprès de s investisseurs historiques iris capital, le family office sonorfi et le business angel brian o’kelley, cofondateur d’appnexus, michael rubenstein, président d’appnexus et philippe finkelstein, cofondateur d’altavia, mais aussi du fonds elaia partners.« nous avon franchi beaucoup d’étapes en peu de temp et le succès rencontré depuis le début de l’aventure nous rapidement conduit à une taille critique nécéssitant de nouveaux investissements pour grandir « david baranes et dan gomplewiczune opération cruciale pour la jeune pousse parisienne, qui intervient mois seulement après un premier tour de table en seed d’un million d’euros. celle-ci devrait ainsi lui permettre de développer et d’affiner sa technologie de publicité multilocale qui permet aux enseignes, grâce à la géolocalisation, le programmatique et l’intelligence artificielle, d’attirer de client en boutique en s’appuyant sur leurs opérations commerciales réalisées sur internet. son objectif : apporter plus d’autonomie à s clients, ainsi qu’un plus fort degré de personnalisation dans l’activation de campagnes de publicité multilocale. la startup, dont l’équipe est aujourd’hui composée de personnes, prévoit ainsi de doubler s effectifs en . celle-ci, qui compte parmi s client de grandes enseignes de la distribution comme carrefour, e.leclerc, intermarché, norauto, fnac darty, ou encore leroy merlin, envisage également de toucher de nouveaux secteurs d’ici la fin de l’année, à commencer par celui de la mode, du jouet ou du sport. | 3digital
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https://www.strategie.gouv.fr/actualites/vehicule-electrique-sauvera-t-climat | Market Impact | Une interview menée par Mathias Thépot. Pour éviter une hausse des températures synonyme de graves dérèglements climatiques, l’humanité doit fortement réduire ses émissions de gaz à effet de serre dans les prochaines décennies. L’Accord de Paris a récemment fixé des objectifs ambitieux en ce sens. La France, dont la production d’électricité est déjà largement décarbonée, doit concentrer ses efforts sur quelques secteurs d’activité, dont celui du transport, à commencer par la voiture particulière. Il lui faudra choisir entre deux scénarios. Consulter la note "Le véhicule propre au secours du climat" France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 13transport
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https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/creer-gratuitement-votre-site-avec-le-cms-webnode/ | Storytelling | Aujourd’hui, avec le marché actuel, il est obligatoire d’avoir son propre site internet. Un support multimédia est un avantage à ne pas négliger que vous soyez une entreprise de produits ou services. Je vois déjà le problème venir, nous ne sommes pas tous des Webmasters ou assez riche pour nous en payer un. C’est pour cela que les CMS sont une solution alternative, gratuite et facile à mettre en place. Premièrement, savez-vous ce qu’est un CMS ? Ce terme veut dire en anglais Content Management System alias en français, système de gestion de contenu.\nCe terme est utilisé pour les services qui permettent la conception et la création des sites web. Webnode est justement l’une des solutions CMS. Cet outil pour créer son site gratuit ravira les entrepreneurs voulant créer un site par eux-mêmes et le gérer seul par la suite. Ce service propose 3 types de sites internet gratuit : Pour commencer, c’est par ici => Webnode L’avantage de ce service est son caractère intuitif et sa simplicité. Tout est fait pour faciliter la vie aux utilisateurs. L’interface est vraiment claire et être à l’aise avec Webnode arrive très rapidement. Le système repose sur le « glisser, déposer » en temps réel. En un mot, vous avez juste à insérer dans votre site ce que vous voulez mettre dedans et ce sera immédiatement en ligne (si vous le souhaitez). De très nombreux outils sont là pour épauler les utilisateurs. Dans le sens où vous n’aurez rien à télécharger, rien à installer, tout est réalisé par le service. Il suffit de mettre les pieds sous le bureau et de commencer la création. De plus Webnode ne se repose pas sur ses lauriers, le service évolue en permanence. L’entreprise fait évoluer son système en lançant régulièrement de nouveaux services. Et oui, le monde change et il faut s’adapter. Les avantages pour votre entreprise : Avec webnode vous ne serez pas limité dans vos actions. Lorsque vous commencez à créer votre site internet gratuit, vous êtes le patron, personne ne peut vous interdire quoi que ce soit. La seule limite à la création, c’est vous-même. La version gratuite du site est un atout à ne pas négliger pour commencer sur internet, de plus rien ne vous oblige à passer en mode Premium. Si vous souhaitez lancer votre entreprise sur internet c’est le moment ! Démarrer avec Webnode Cette publication a été rédigée avec la participation de Matthieu Dzitko, Marketing et Community Management – Webnode. | 3digital
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/changement-climatique-secteur-financier-face-aux-trajectoires-2degc-pierre-moscovici | Market Impact | La Conférence sur le climat qui s'ouvre aujourd'hui à Paris est un moment charnière pour notre avenir. Nous devons prendre des décisions qui engageront la planète entière, les citoyens qu'elle portera demain, les conditions environnementales, geostratégiques et sociales dans lesquelles ils vivront. L'enjeu est véritablement d'écrire le destin des générations futures, bien au-delà de nos frontières. Une dynamique politique unique est à l'œuvre depuis des mois, qui doit trouver son point d'aboutissement dans les prochains jours. Il y a eu de vraies déclarations d'intention, fortes, claires, au plus haut niveau politique: il faut à présent les concrétiser dans cette dernière ligne droite des négociations. C'est une responsabilité importante, et collective. L'enjeu s'énonce clairement : il nous faut limiter le réchauffement climatique à moins de deux degrés avant la fin du siècle. Y parvenir n'est pas aussi simple. Cela nécessite de réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre d'au moins 50% d'ici à 2050 par rapport à 1990 et de s'approcher de zéro émission nette avant 2100. Pour cela, l'accord qui sera trouvé à Paris devra fixer un objectif opérationnel à long terme, comprendre des règles de transparence et de redevabilité, et permettre un examen régulier des efforts. L'approche ascendante, ou bottom-up comme on dit en bon français, qui a été adoptée semble porter ses fruits : 184 Etats ont transmis leur plan climat national, ce qui représente près de 95% des émissions mondiales. Cette implication collective est sans précédent. A titre comparatif, la deuxième période d'engagement du Protocole de Kyoto n'est parvenue à mobiliser que 35 pays, pour environ 12% des émissions mondiales. En mars dernier, l'Union européenne a été le premier grand émetteur à présenter sa contribution et à annoncer un objectif contraignant de réduction d'au moins 40% de ses émissions d'ici 2030, ainsi qu'une trajectoire d'au moins 80% de réduction d'ici 2050 si nos partenaires réalisent aussi leur part d'efforts. La pré-COP, qui s'est déroulée du 8 au 10 novembre derniers, a mis en lumière des convergences de vue et des potentialités d'accord, mais beaucoup reste encore à faire. Le texte de 55 pages qui sert de base à la négociation a été établi à l'issue d'une longue nuit de discussions acharnées. Il laisse toutes les options politiques encore ouvertes, ce qui rend la période qui s'ouvre aujourd'hui totalement décisive. La Commission européenne soutient pleinement la présidence française et espère comme elle que la COP 21 sera un grand succès mondial. * * * Dans ces négociations, la question du financement va jouer un rôle central. La transformation de nos sociétés face au risque climatique suppose de grands changements dans les modèles économiques et d'investissement. Pour aider les pays les plus pauvres à effectuer ces adaptations, les pays développés se sont engagés à augmenter le financement climatique pour atteindre 100 milliards d'ici 2020. L'UE et ses Etats-membres sont le premier contributeur de ce financement international. Comme nous l'avons annoncé très récemment, notre contribution pour le climat a atteint 14.5 milliards d'euros en 2014, au bénéfice des pays en développement. Nous n'allons pas nous arrêter là. Nous allons doubler les subventions du budget européen, et du Fonds européen de Développement, pour l'action climatique dans les pays en développement d'ici 2020. Elles seront en moyenne €2 milliards par an entre 2014 et 2020, tandis que la Banque Européenne d'Investissement fournira elle aussi €2 milliards par an. Nous intensifierons aussi le mixage, qui permet de combiner des subventions de l'UE avec des prêts ou des capitaux propres provenant de sources de financement publiques et privées. C'est un excellent moyen d'attirer des fonds supplémentaires pour financer la lutte contre le changement climatique. Mais l'UE ne peut pas agir seule. La mise en œuvre de l'accord de Paris requiert un ensemble d'actions au niveau international. C'est pourquoi tous les pays dont la situation le permet doivent accroitre leur coopération et contribuer pour leur juste part au financement climatique. Toutes les contributions financières doivent être dynamiques et adaptées à l'évolution des besoins et des capacités. Notre objectif est d'avoir un système bénéficiant à tous sur la base d'une contribution juste et responsable de chacun. C'est la seule route possible pour atteindre notre objectif commun. Elargir la base des contributeurs est important, mais encore faut-il être en mesure de calculer et de suivre ces flux de financements. Pour ce faire, l'accord qui sera trouvé dans les prochains jours devra ouvrir la voie à un cadre commun solide pour la mesure de ces flux de financements. Les pays donateurs ont présenté, les 5 et 6 septembre derniers, une méthodologie de traçage des fonds privés mobilisés en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique. C'est une étape importante qui sera suivie, je l'espère, par des dispositions concrètes en matière de transparence à l'issue de la conférence de Paris. Mobiliser ces 100 milliards est indispensable pour renforcer la confiance entre les pays développés et les pays en développement, sans laquelle il ne peut y avoir de véritable projet commun. Suivre l'utilisation de ces financements est également important, car la transparence est une condition de la confiance. * * * Néanmoins, l'ampleur des investissements nécessaires pour limiter le réchauffement climatique à moins de deux degrés dépasse très largement ce montant. C'est la raison pour laquelle nous avons besoin d'une réorientation substantielle des financements, publics et privés, vers des projets bas carbone et résilients, partout sur la planète. Pour ce faire, il y a un prérequis évident : il faut un environnement politique porteur, c'est-à-dire un cadre prévisible sur le long terme. Les marchés financiers ont déjà commencé à internaliser les risques climatiques pour les actifs tant physiques que financiers. L'accord de Paris devra envoyer un signal fort au secteur privé pour l'assurer que les investissements à faible intensité de carbone, résilients face aux changements climatiques, auront une valeur bien au-delà de l'horizon 2020. Des instruments financiers comme les obligations vertes et les partenariats public-privé doivent y aider. Les obligations vertes deviennent de plus en plus attractives, elles ont atteint un montant de 37 milliards de dollars l'année dernière. Dans ce domaine, l'Europe est à la pointe. Après avoir été la première à les lancer sur le marché en 2007, la Banque européenne d'investissement est aujourd'hui le plus important émetteur d'obligations vertes dans le monde (7,6 milliards d'euros en 2014). Les cadres réglementaires devraient également être adaptés afin de favoriser la réorientation des investissements. La Commission européenne envisage par exemple de modifier la directive Solvabilité II pour inciter le secteur financier à investir davantage dans les infrastructures. Une autre composante essentielle d'un environnement favorable est la tarification du carbone. A cet égard, la réforme du système d'échanges de quotas d'émissions de gaz à effet de serre engagée par la Commission européenne en 2015 est une étape très importante. Cette réforme vise à protéger les secteurs exposés à la compétition internationale et à envoyer les bons signaux-prix aux investisseurs. L'examen de cette réforme par le Parlement européen ne sera pas une partie de plaisir, car je gage que tous les groupes de pression se mobiliseront pour défendre leurs intérêts et démontrer la légitimité à conserver des émissions gratuites. Mais nous ne sauverons pas notre planète sans parvenir à dépasser les intérêts individuels. C'est tout l'enjeu des négociations qui se déroulent actuellement au Bourget, et je veux croire à la capacité de chacun à reconnaître que l'intérêt général mondial doit prévaloir. La Chine a annoncé qu'elle s'engageait à instaurer un marché du carbone national. Les Etats-Unis pourraient suivre la même voie. Ces nouvelles sont encourageantes et doivent nous garder du fatalisme ambiant qui, en matière climatique, serait tout simplement dramatique. * * * Comme l'a affirmé le Conseil ECOFIN dans ses conclusions du 10 novembre dernier, le renforcement des moyens financiers en faveur de la lutte contre le changement climatique est un processus itératif, allant de pair avec la mise en place par les gouvernements locaux de stratégies et de politiques publiques cohérentes, facilitant notamment l'intervention du secteur privé. C'est en effet une mobilisation complète de nos instruments qui est nécessaire. Décarboner le PIB ne peut pas être l'objet d'une note de bas de page dans nos documents d'orientation des politiques publiques. Je veux citer ici brièvement quelques exemples montrant comment, en Europe, la politique climatique est intégrée de manière horizontale dans nos autres domaines d'action. Par exemple, l'importance d'investissements pleinement compatibles avec nos objectifs en matière de climat a été clairement prise en compte dans le Plan d'Investissements pour l'Europe. Ce plan met l'accent sur les infrastructures, l'efficacité énergétique et les énergies renouvelables, identifiées comme priorités essentielles pour les investissements. C’est dans ce cadre que la Commission devra reposer au niveau européen la question de la fiscalité de l’énergie, notamment des carburants. Aujourd’hui, les fiscalités nationales favorisent largement les énergies fossiles au détriment des énergies renouvelables. La Commission a retiré sa proposition de directive visant à corriger ce non-sens économique du fait de l’opposition des Etats membres. Mais la question reste posée et il faudra en discuter politiquement, notamment après la COP21. Enfin, la Commission a lancé en février 2015 une stratégie européenne pour une union de l'énergie. Son enjeu est de garantir l'accès européen à une énergie sûre, soutenable, compétitive et abordable. Cette stratégie, lancée en février 2015, repose sur 5 dimensions complémentaires: la sécurité énergétique, un marché intérieur pleinement intégré, l'efficacité énergétique, la décarbonisation et la recherche et l'innovation. La mise en cohérence des politiques publiques est indispensable pour parvenir à cette réorientation des investissements vers l'économie bas carbone. * * * Mais nous ne pourrons enregistrer de réels progrès que si la communauté financière est elle aussi totalement mobilisée. Les banques, les gestionnaires de fonds, les assureurs doivent davantage prendre en compte le risque climatique dans leurs activités. A cet égard, je me réjouis des dernières initiatives du Conseil de Stabilité Financière pour améliorer l'information sur les risques climat. Sous l'impulsion de la nouvelle présidence chinoise, le G20 a quant à lui mis en place deux groupes de travail pour étudier les liens entre réchauffement climatique et stabilité financière. Cette prise de conscience généralisée est un excellent signal. Car il ne suffit pas que les dirigeants mondiaux tombent d'accord à Paris pour résoudre le problème du réchauffement climatique. Pour instaurer un régime international crédible pour lutter efficacement contre les changements climatiques, il faut que cet enjeu soit pris en compte dans tous les pans de notre économie, par tous les acteurs de notre société. Or le secteur financier, comme c'est souvent le cas, sera la pierre angulaire de ce régime. Il revient aux responsables publics de le convaincre de prendre en compte l'enjeu climatique tout autant qu'aux acteurs de ce secteur de faire preuve de responsabilité en épousant ce nouvel horizon mondialement partagé. Car la conférence de Paris n'est qu'un point de départ, en aucun cas un point d'arrivée. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 7people
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https://www.makery.info/2015/09/15/imprimer-du-verre-en-3d-yes-she-can/ | Engineering | Quand le Media Lab, le Glass Lab et le département d’ingénierie mécanique du MIT (Massachusetts Institute of Technology) aux Etats-Unis se retrouvent autour d’une table, ce n’est pas pour jouer à la belote mais pour créer la toute première imprimante 3D pour le verre, rien que ça. Le fruit de leur collaboration est la G3DP (Glass 3D Printing), une machine constituée d’une double chambre : en haut, un four pour chauffer la matière à sa température de fusion (1037 °C) afin que le magma s’engouffre dans la buse en aluminium et s’en extirpe sous la forme d’un filament de 1 cm de diamètre maximum. En bas, les couches se superposent avec une grande précision, s’agglomèrent et se cristallisent au cours d’une recuisson. La G3DP mise au point par les chercheurs réunis dans le programme Mediated Matter du MIT, dirigé par l’Israélienne Neri Oxam, a la particularité de produire un verre parfaitement transparent, avec de très bonnes caractéristiques mécaniques. Une grande première annoncée cet été qui ouvre de nouvelles perspectives à tous les créateurs. Pourtant, la G3DP reste pour le moment une preuve de concept à échelle expérimentale limitée : elle produit des objets de petite taille plutôt décoratifs, qui n’ont pas à éprouver leurs qualités dans leurs usages. Avis aux collectionneurs de vases imprimés en 3D dans tous les matériaux possibles et imaginables… Le MIT annonce qu’une exposition en 2016 dans un musée américain du design le Cooper Hewitt Smithsonian, présentera quelques-uns des modèles réalisés par le groupe Mediated Matter. Pour l’instant, aucun projet où l’outil deviendrait techniquement avantageux n’a encore vu le jour. Cependant, l’ambition affichée par l’équipe de recherche s’oriente vers la fabrication d’éléments architecturaux, afin d’exploiter les possibilités de formes vertigineuses et de textures inédites de l’impression 3D en verre. Et ce autant à l’intérieur qu’à l’extérieur du volume, puisque la forme est parfaitement maîtrisable et libérée de contraintes techniques liées à son procédé de mise en œuvre. Qui sait si la G3DP n’est pas le prémice de la petite sœur du procédé Float ? Mis au point par Sir Alastair Pilkington en 1959, il avait révolutionné l’industrie mondiale du verre pour le plus grand bonheur des architectes de l’époque, grâce à sa technique permettant de fabriquer des plaques en verre résistantes d’une finesse record et d’une planéité remarquable. Trêve de mots, regardez plutôt le spectacle (vidéo du MIT): Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.strategie.gouv.fr/actualites/plan-climat-une-commission-lancee-reviser-carbone | Market Impact | Atteindre la neutralité carbone à horizon 2050, c’est l’objectif fixé par le Plan Climat, en déclinaison des engagements pris par la France dans le sillage de l’Accord de Paris. « Nous allons renforcer le prix du carbone pour donner un prix à la pollution » et donc « en creux, un avantage compétitif à l'économie verte », annonçait notamment Nicolas Hulot, ministre de la transition écologique et solidaire, lors de son discours de présentation du Plan Climat le 6 juillet 2017. Un objectif ambitieux qui appelle une révision de la valeur monétaire donnée aux émissions de gaz à effets de serre que le Premier ministre a lui-même qualifiée de « composante essentielle de la transition écologique ». De là, la mission confiée à Alain Quinet, inspecteur général des finances, de réunir, avec l’appui des équipes de France Stratégie, une nouvelle commission chargée de réviser la valeur tutélaire du carbone définie en 2008. Entretien. Cette expression est en effet un peu mystérieuse ! Pour la comprendre, il faut rappeler que l’émission de gaz à effet de serre, du dioxyde de carbone [CO2] essentiellement, a un coût pour la collectivité qui n’est pas spontanément intégré dans le prix des produits carbonés. Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, il faut au préalable leur donner une valeur en euros qui permette de chiffrer les dommages et/ou les efforts d’abattement. La valeur de cette externalité n’est par définition pas disponible sur un marché. On ne peut pas non plus s’en remettre à une simple enquête d’opinion s’agissant d’enjeux de long terme à multiples dimensions, environnementales économiques et sociales. D’où le recours à un travail d’expertise et de délibération spécifique pour refléter au mieux les choix collectifs de lutte contre le changement climatique. La valeur du carbone est dite « tutélaire » parce qu’elle est fixée, dans sa grande sagesse, par l’État, sur la base des recommandations d’une commission d’experts de tous horizons animée par France Stratégie, héritière du « Plan ». La valeur tutélaire du carbone c’est donc le prix de la tonne de carbone, et par suite de la tonne de CO2, permettant d’atteindre les objectifs français de lutte contre le réchauffement climatique, la référence étant désormais la neutralité carbone à horizon 2050. Concrètement à quoi sert cette valeur ? C’est une valeur, ou plutôt une trajectoire à l’horizon 2030 puis 2050, sur laquelle l’État et les collectivités territoriales vont se fonder pour effectuer les calculs socio-économiques permettant d’évaluer l’efficacité de leurs projets d’investissements publics, notamment pour les infrastructures de transport et d’énergie. La valeur tutélaire doit plus généralement servir pour l’évaluation des politiques publiques. Supposons, par exemple, que l’État veuille prendre une mesure pour encourager les énergies renouvelables. Si le coût à la tonne de CO2 évitée de cette mesure est durablement supérieur à la valeur tutélaire, alors il y a présomption d’inefficacité. Elle servira ensuite à définir le niveau des incitations fiscales (dont le coût est explicite), des réglementations (donc le coût est implicite). Ce qui est nouveau et encourageant, c’est l’usage de la valeur tutélaire par les entreprises privées dans leurs choix de R&D ou d’investissement parce que cela signifie qu’elles tiennent compte de l’impact potentiel en termes d’émissions de CO2 de leurs investissements. La valeur carbone commence aussi à irriguer la finance climat. Il y a eu beaucoup de travaux sur la valeur carbone depuis le début des années 2000, notamment le rapport Stern de 2006 qui proposait une valeur relevant d’une approche coût/avantage, c'est-à-dire qui répondait à la question : « quel est le coût « social », pour l’humanité, de l’émission d’une tonne de CO2 émise ? ». Peu de temps après, la France lançait ses propres travaux, complémentaires de ceux du rapport Stern, en traitant la question sous un angle différent « quelle est la valeur du carbone cohérente avec les objectifs français de réduction de gaz à effet de serre ? ». L’intérêt de ce calcul c’est de donner de la visibilité aux acteurs sur la valeur requise du carbone à moyen long terme. Il n’a donc pas vocation à être révisé tous les ans. En revanche il est sain de se reposer la question tous les dix ans parce que certains éléments structurants du calcul changent à cette échelle de temps. Depuis dix ans la France a relevé ses ambitions en matière de réduction de gaz à effet de serre, dans le sillage de l’Accord de Paris : on est passé, à l’horizon 2050, d’un objectif facteur 4 [diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre par rapport à celles de l’année 1990] à la neutralité carbone, c'est-à-dire un flux de « zéro émissions nettes » en France. Dans le même temps, les instruments d’incitation à la réduction des émissions de gaz à effet de serre ont eu tendance à « courir » après les objectifs ; le « budget carbone » à notre disposition a donc diminué en conséquence. Troisième élément : le champ des innovations est plus ouvert. Il y a dix ans, les grands sujets technologiques étaient cantonnés au déploiement des énergies renouvelables et du véhicule électrique. Aujourd'hui s’y ajoutent des questions nouvelles telles que le stockage de l’électricité, la capture et la séquestration du carbone. Aucune étude n’est venue démentir la valeur arrêtée en 2008, ce qui prouve que notre démarche était robuste. Pour autant, les trois éléments que je viens d’évoquer changent le paysage, ce qui amène légitimement à réviser la valeur. alain_quinet.jpg, par jmroulle La Commission prend comme données d’entrée deux éléments de cadrage importants : un élément de cadrage climatique – le diagnostic scientifique issu des travaux du GIEC – et un élément de cadrage politique – les objectifs français de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Elle mobilise pour définir la valeur carbone les études disponibles dans le champ de l’économie de l’environnement et des travaux de modélisation spécifiques. La commission a commandé à cinq laboratoires spécialisés en économie de l’environnement un jeu de simulations. C’est en combinant les résultats de ces différents modèles, en raisonnant sur ces résultats, avec leur robustesse mais aussi leurs limites, que la commission peut construire des trajectoires raisonnables. La valeur ajoutée de la Commission, c’est en effet le travail de délibération raisonné sur les résultats des modèles. Je me souviens qu’en 2008, les différents modèles donnaient des résultats très dispersés. Tout le travail de la commission avait justement été de mobiliser l’intelligence collective de ses membres pour se mettre d’accord sur une trajectoire. C’est pour cette raison que la commission se compose d’économistes spécialistes de l’environnement mais aussi de représentants du monde économique et social, des ONG, des administrations concernées, notamment la Direction générale Energie-Climat, et des organisations internationales présentes sur Paris (OCDE, AIE [Agence internationale de l’énergie]), soit, en tout, une trentaine de personnes. Nous fonctionnons par auditions, par ateliers spécialisés, par échanges avec les organisations internationales. Nous bénéficions bien sûr de l’appui de France Stratégie et de son nouveau Commissaire Gilles de Margerie. Nous travaillons sur deux horizons : l’été [2018] pour produire la trajectoire de valeur carbone stricto sensu qui a vocation à alimenter la stratégie nationale bas-carbone – c’est l’horizon des chiffres – et l’automne [2018] pour élaborer des recommandations sur les usages de cette valeur et pour travailler à la diffusion internationale de nos travaux auprès de nos grands partenaires européens et des organisations internationales. En 2008, nous avons initié un travail original puisque très peu de pays s’étaient lancés à leur échelle dans ce type d’exercice. Ce travail mobilisait les meilleures expertises disponibles mais assumait aussi son approche « artisanale » et « partenariale ». Chacun est entré dans cette commission avec ses convictions et peut-être aussi ses présupposés ; mais on est plus intelligent à plusieurs dans un domaine marqué par de nombreuses incertitudes et des enjeux importants de transition économique et sociale. La grande force des travaux de 2008, c’est le consensus qui s’est progressivement formé dans cette commission. C’est pourquoi, même s’il y a eu après un débat nourri sur la taxe carbone, le rapport est resté une référence légitime et non partisane. Tout l’enjeu aujourd’hui est de continuer à avancer avec une commission renouvelée, d’être non seulement pertinent mais aussi utile à la conception et à la réalisation de la stratégie nationale bas carbone. Propos recueillis par Céline Mareuge, journaliste web France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. 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https://www.lavoix.eu/fr/news/310/Directives-de-l-OEB-pour-l-examen -Citation-directe-à-la-procédure-orale-après-le-rapport-de-recherche | Securing | La version augmentée des directives de novembre 2017 peut être consultée ici. Alors que dans le passé, suite à la réponse au rapport de recherche, l'OEB devait émettre une communication officielle avant de programmer une procédure orale, cela a changé. Selon les lignes directrices C-II 5. Le demandeur peut être directement cité à la procédure orale après la réponse au rapport de recherche. Les détails sont les suivants : Après la réponse au rapport de recherche, lorsqu'aucune possibilité de délivrance ne peut être envisagée, la division d'examen peut émettre une citation à comparaître à une procédure orale comme première action en examen. La division d'examen ne peut décider de le faire que si : L'annexe à l'avis de recherche émis en tant que première action en examen doit traiter les demandes du demandeur dans leur intégralité. Elle ne doit pas contenir de nouvelles objections ni citer de nouveaux documents. En outre, la division d'examen doit indiquer les motifs de la convocation directe à la procédure orale. Bien que les lignes directrices précisent qu'il s'agit d'un cas exceptionnel, elles soulignent la nécessité de traiter les objections dans le rapport de recherche de manière complète. En particulier, il faut s'attendre à ce que cette mesure soit appliquée lorsque les revendications ne sont pas modifiées en réponse au rapport de recherche. Toute réponse au rapport de recherche sans modification substantielle doit donc être particulièrement bien motivée. Ces informations sont données à titre indicatif et ne constituent pas un avis juridique | 12society
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https://www.lavoix.eu/fr/news/93/synthese-de-jurisprudence-avril-2013-societe-fairwild-fondationc-ohmi | Securing | Tribunal de l'UE, 7 mars 2013: La société FairWild Fondation dépose une demande de marque internationale "FAIRWILD" désignant l'Union européenne pour des produits alimentaires et de grande consommation en classes 3, 5, 29 et 30. La société Rudolf Wild GmbH & Co forme opposition sur la base de sa marque communautaire antérieure "WILD" désignant les produits relevant des classes 3, 5, 29,30 et 32. Suite à la décision de la division d'opposition faisant partiellement droit à l'opposition formée par la société Rudolf Wild GmbH & Co, la société FairWild Fondation forme un recours devant la première chambre de recours de l'Office de l'harmonisation dans le marché intérieur (OHMI). La chambre des recours de l'OHMI considère que les produits en causes et les signes en conflits sont similaires, qu'il existe de ce fait un risque de confusion, renforcé notamment par le caractère distinctif moyen de la marque antérieure. En effet, le terme "WILD" n'a pas de signification pour le public ne parlant ni l'allemand ni l'anglais et pour le public anglophone ou germanophone la signification du terme "WILD" n'est pas descriptive par rapport aux produits couverts par la marque antérieure. De plus, l'élément additionnel "FAIR" est largement répandu à travers l'Union et ne peut être considéré comme dominant en association avec l'élément "WILD". Le risque de confusion est donc établi. La société FairWild forme alors un pourvoi devant le Tribunal de l'Union Européenne arguant que l'absence de position dominante de l'élément "WILD" dans la marque internationale exclut tout risque de confusion. Le Tribunal de l'UE rejette le pourvoi et confirme la décision de la Chambre de Recours considérant que pour des produits alimentaires et de grande consommation, la marque antérieure "WILD" possède un caractère distinctif moyen. Dans la marque verbale postérieure "FAIRWILD", l'élément "wild reste clairement perceptible en tant que tel".Comme le signe FAIRWILD n'a pas de signification et ne forme pas une unité logique dans laquelle l'élément WILD serait fusionné, WILD occupe une position distinctive autonome au sein de FAIRWILD. Le Tribunal rappelle que lorsqu'une marque est composée exclusivement de la marque antérieure à laquelle est accolé un autre mot, il y a une indication de similitude entre elles. Ceci crée, pour des produits identiques ou similaires, un risque de confusion. | 7people
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https://www.lavoix.eu/fr/news/43/synthese-de-jurisprudence-septembre-2012-seven-towns-ltd-c-ohmi | Securing | TPIUE, 14 juin 2012 : La société Seven Towns Limited, qui est titulaire des droits sur le célèbre Rubik’s Cube, dépose une demande de marque communautaire pour des « jeux, jouets et puzzles, puzzles en trois dimensions, jeux électroniques ; jeux électroniques portatifs », en classe 28. Elle indique qu’il s’agit d’une marque « de couleur en tant que telle » et fournit les informations suivantes sous l’intitulé « indication de couleur » : 1. Rouge (PMS200C) 2. Vert (PMS347C) 3. Bleu (PMS293C) 4. Orange (PMS021C) 5. Jaune (PMS012C) 6. Blanc (blanc) 7. Noir (noir) Elle fournit également la description suivante : « Six surfaces géométriquement agencées en trois paires de surfaces parallèles, chaque paire étant située perpendiculairement par rapport aux deux autres, le tout étant caractérisé par le fait que : i) les surfaces adjacentes ont des couleurs différentes et ii) chaque surface a une structure en grille formée par des bords noirs divisant la surface en neuf segments égaux ». L’OHMI remplace l’indication de « marque de couleur en tant que telle » par « marque figurative » en considérant qu’il s’agit en réalité d’une marque figurative en couleur. La société déposante conteste l’appréciation de l’OHMI. L’examinateur de l’OHMI maintient sa position en indiquant que le signe en cause ne représente pas une combinaison de couleurs en tant que telles, mais « une juxtaposition de carrés colorés, caractérisés par une dimension, une forme et un agencement particulier, et qu’à ce titre, il y a lieu de le considérer comme une marque figurative et non comme une marque de couleur ». Il indique également que « la représentation d’une couleur en tant que telle doit consister en une représentation de la ou des couleurs sans contour ni délimitation dans l’espace ». L’examinateur refuse la demande de marque sur le fondement de l’article 4 du Règlement sur la MarqueCommunautaire, qui dispose que : « Peuvent constituer des marques communautaires tous signes susceptibles d’une représentation graphique […] ». Cette décision est confirmée parla Chambre de Recours de l’OHMI et la société Seven Towns forme un recours devant le Tribunal de Première Instance de l’Union Européenne (TPIUE). Elle soutient notamment que la chambre de recours a défini un test inadéquat en estimant qu’il fallait « se demander si une personne raisonnablement attentive, ayant des niveaux de perception et d’intelligence normaux, serait capable, lors de la consultation du registre des marques communautaires, de comprendre précisément en quoi consiste la marque, sans devoir développer une très grande énergie intellectuelle et imagination ». Elle argue que « les critères relatifs aux « niveaux de perception et d’intelligence normaux » ou à une « très grande énergie intellectuelle et imagination » ne constituent pas des expressions juridiques, qu’ils n’ont pas de signification suffisamment précise et que leur résultat est imprévisible ». Elle ajoute que « toute personne ayant des notions de base de géométrie devrait comprendre qu’une surface à structure en grille formée par des bords de couleur noire divisant la surface en neuf segments égaux est une surface de trois carrés par trois carrés et que trois paires de surfaces carrées constituent six surfaces carrées. En outre, la manière dont la couleur noire se présente par rapport aux autres « vraies » couleurs est mentionnée clairement. Ainsi, la description serait complète par elle-même et cohérente au sens où elle est claire, précise et intelligible ». Le TPIUE estime cependant que c’est à bon droit que la Chambre de Recours a considéré qu’une « personne raisonnablement attentive et ayant des niveaux de perception et d’intelligence normaux ne serait pas capable lors de la consultation du registre des marques communautaires de comprendre précisément en quoi consiste la marque sans devoir développer une très grande énergie intellectuelle et imagination ». Il considère ainsi que le mode de représentation des carrés de couleur est « clairement incompatible avec les exigences réglementaires en ce qui concerne les marques de couleur en elles-mêmes en ce qu’ils ne consistent pas en des couleurs désignées de manière abstraite et sans contour ». Il en déduit pour rejeter le recours que le signe objet de la demande n’est pas une marque de couleur en tant que telle mais une marque figurative ou tridimensionnelle qui correspond à l’apparence extérieure d’un cube quadrillé avec une disposition spécifique des couleurs. | 2design
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/celine-lazorthes-de-leetchi-personne-ne-voulait-sassocier-avec-moi-1174965 | Financing | Il y a 11 ans, l'entrepreneure alors étudiante coordonne le week-end d’intégration de son école de commerce. De ce projet naît l’idée de remplacer la traditionnelle enveloppe de papier par une cagnotte en ligne. Leetchi était né. “Être une femme entrepreneure, c’est possible et c’est une vie très chouette et heureuse”, nous a confié Céline Lazorthes, très engagée en faveur de l’entreprenariat féminin. Sista, le nom du collectif qu’elle a co-fondé, milite activement pour accélérer le financement des entreprises montées par des femmes. Elle se rappelle de ses débuts difficiles : “Personne ne voulait s’associer avec moi”. Elle débute donc l’aventure seule, sans trop prêter attention à ce que l’on peut en penser. Un trait de caractère bien utile dans l’entrepreneuriat. Elle dit ne pas avoir vécu un échec, mais des milliers. Elle rit en évoquant le lancement laborieux de Leetchi.com. “J’ai pleuré deux fois, la première quand le site a été lancé, la deuxième quand je me suis rendue compte que je n’avais aucun client.” En 2015, Leetchi est racheté plus de 50 millions par le groupe Crédit Mutuel Arkéa. Céline Lazorthes demeure Présidente du Directoire du groupe Leetchi. D’après les chiffres communiqués, le groupe (Leetchi.com & MANGOPAY) a enregistré un volume d'affaires de 2,2 milliards d'euros en 2018, et devrait atteindre 4 milliards d'euros en 2019. Toutes les entrepreneures rêvent d’une trajectoire comparable. On a demandé à la principale intéressée ses conseils pour réussir son projet. La qualité principale d’un entrepreneur est de savoir bien s’entourer. On ne peut pas tout maîtriser et la seule façon d’y arriver est de trouver des personnes qui nous tirent vers le haut. Le conseil le plus précieux reçu par Céline lui a été donné par Catherine Barba, entrepreneure qui accompagne Leetchi : “Ne laisse pas de squelettes dans les placards. Ouvre-les et traite les problèmes. Sinon ils deviennent beaucoup plus gros.” Une publication partagée par Les Echos START (@lesechosstart) le 8 Oct. 2019 à 1 :41 PDT Un conseil de son papa : "trompe-toi, autant que possible - personne n’a la science infuse". “Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends” disait Nelson Mandela. Apprenez de vos erreurs, faites face à vos faiblesses et vos difficultés, adoptez une discipline pour ne pas les refaire. L’été parait déjà bien loin et les prochaines vacances s’apparentent à un mirage. “Je reviens de deux mois de “grandes vacances”. On s’en fait toute une montagne en se disant qu’on n’arrivera jamais à trouver le temps de partir. Et pourtant, parfois il faut oser !”. Céline est partie avec son conjoint et son fils de six mois dans un camping-car… en Norvège. Un road trip, une bulle d’air qui permet de prendre du recul sur les choses, pour mieux repartir. Ayez à l’esprit qu’il n’y a pas de bon timing. Surtout, on n’a jamais accumulé assez d’expérience et de préparation pour une vie d’aventure. Arrêtez d’intellectualiser un avenir hypothétique et testez vos idées. Démarrez petit et pragmatique en acceptant l’imperfection. Lancez-vous ! Une publication partagée par Les Echos START (@lesechosstart) le 8 Oct. 2019 à 1 :48 PDT Pour ne rien manquer à nos stories, suivez-nous sur Instagram. Vous voulez en savoir plus sur notre partenaire ? MADAMN, c'est par ici. Et enfin, pour prolonger la discussion, rendez-vous sur 52%, le groupe d’entraide pour les femmes, porté la rédaction des Echos START. | 8production
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https://www.frenchweb.fr/foodtech-zomato-recolte-250-millions-de-dollars-pour-dominer-le-marche-indien-de-la-livraison/404074 | Financing | huit mois après qu uber ait cédé son service de livraison de repas à zomato la startup indienne parvient à lever 250 million de dollar auprès de fonds américains tiger global et kora capital avec la participation de investisseur historique singapourien temasek qui injecté 62 million de dollar la valeur de la startup indienne étendrait désormais à 3 milliard de dollar la clôture de ce tour de table devait avoir lieu peu après qu ant financial filiale alibaba se soit engagé à investir 150 million de dollar dans zomato en janvier 2020 le pdg deepinder goyal espérait alors voir ce tour de table se clôturer rapidement et qu il atteindrait près de 600 million de dollar si la crise sanitaire mondiale déjà ralenti le processus investissements zomato doit également faire face à la nouvelle politique indienne concernant le investisseurs chinois en effet le fonds chinois doivent désormais obtenir approbation du gouvernement avant de financer le entreprises indiennes ant financial a de ce fait pa encore investi le deux tier de la somme convenue selon le source du média américain techcrunch lancé en 2008 à new delhi par deepinder goyal et pankaj chaddah zomato est une plateforme permettant de trouver de restaurant et de connaître le information détaillées comme le carte de menu qui sont scannées par le utilisateurs la startup présente dans 24 pay et à la tête de 5 000 employés propose également un service de livraison à domicile est ce service qui lui permet de concurrencer son principal rival dans le pay swiggy grâce à acquisition du service uber eats le utilisateurs de application phare sont redirigés vers ensemble de service de zomato son activité de livraison de repas à domicile lui été indispensable pendant le confinement et lui permis de maintenir s résultats financier bien que la startup ait dû se séparer de 13 de s effectifs signez avec yousign fondateurs deepinder goyal et pankaj chaddah création 2008 siège social new delhi secteur foodtech activité guide de restaurant et application de livraison financement 250 million de dollar auprès de fonds américains tiger global et kora capital ainsi que investisseur historique singapourien temasek qui injecté 62 million de dollar pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 0agronomy
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https://www.makery.info/2017/07/11/aquapioneers-le-kit-daquaponie-a-decouper-dans-son-fablab/ | Market Impact | Comme son nom le suggère, Aquapioneers veut vous compter parmi les pionniers de l’aquaponie, ce système circulaire et écologique né de la rencontre de l’aquaculture, élevage et culture en milieu aquatique, et de l’hydroponie, la culture de plantes hors sol. Soit un aquarium à poissons dont les déjections servent d’engrais naturels aux plantes, tandis que l’eau de l’aquarium sert à l’irrigation (il faut juste penser à nourrir les poissons). L’aquaponie, c’est aussi une production locale chère aux fablabs. Justement, le Français Guillaume Teyssié et le Luxembourgeois Loïc Le Goueff, cofondateurs d’Aquapioneers à Barcelone, veulent s’appuyer sur les fablabs pour essaimer le kit : « A Barcelone, on fait la promotion de l’aquaponie comme moyen durable pour produire de la nourriture et on veut faire passer le message à l’échelle mondiale en utilisant le pouvoir de l’open source. » Le kit du meuble qui va accueillir le système aquaponique est en effet prévu pour être fabriqué à la découpe numérique, tandis que la programmation de l’Arduino pour le pilotage est sur Github. Prévu pour une utilisation intérieure, un système de LEDs vient compléter le système. Le kit Aquapioneers défend la production locale et donc l’écologie : l’aquaponie est presque deux fois plus efficiente que la pousse en terre et peut économiser jusqu’à 95% d’eau. Il défend aussi une alimentation saine et constitue pour les fablabs un projet éducatif clé en main. Guillaume Teyssié, 28 ans, et Loïc Le Goueff, 29 ans, se sont rencontrés en janvier 2016 à Barcelone au Green Fab Lab de l’Iaac, l’Institut d’architecture avancée de Catalogne, alors que Guillaume, en stage à la Fab Academy, travaillait sur le kit et que Loïc faisait sa thèse de maîtrise en aquaponie à l’université autonome de Barcelone. Après plusieurs POC (Proof of concept), ils fondent Aquapioneers en juin 2016 et s’installent au centre de recherche pour l’habitat autosuffisant Valldaura (dont le Green Fab Lab fait partie). En septembre, le kit est adopté par un premier lab hors d’Espagne, le fablab de Montevideo en Uruguay. Le Green Lab faisant partie du réseau Fab City, le projet est soutenu par Tomás Diez, du Fab Lab Barcelona, dans la vidéo de présentation de la campagne de financement participatif Aquapioneers en cours sur Ulule. En guise de carte d’expansion pour le kit, la carte des fablabs adhérents à la charte de la Fab Foundation, qui soutient aussi le projet. Selon Guillaume Teyssié, « les contributeurs vont nous aider à trouver les ressources pour open sourcer les fichiers et la documentation pour tout le monde ». Quelques semaines après la fin de la campagne, les fichiers seront déposés dans le domaine public (CC-BY-NC 4.0). Et les contributeurs auront droit à des petits plus : participation à des workshops, aide à l’installation sur place, etc. Présentation du projet sur Ulule (en espagnol): Il reste moins d’une semaine pour la campagne mais le succès est déjà au rendez-vous, avec 26000€ au compteur, soit presque le double de la demande d’origine. C’est bienvenu, explique Guillaume : « Jusqu’à présent, nous avions autofinancé ce projet avec nos économies personnelles, à hauteur de 15000€. Le succès de la campagne nous donne de l’oxygène, du temps et des ressources pour mettre en place le modèle économique. Nous sommes proches du deuxième objectif pour open sourcer notre serre modulaire aquaponique autosuffisante en électricité, surveillée par une adaptation du kit de monitoring open source Smart Citizen. » Un projet de coopérative Aquapioneers, une association enregistrée en Espagne, ambitionne de devenir une coopérative. « On voudrait se monter en entreprise sociale type B-Corp mais ça n’existe pas en Espagne », explique Guillaume. « Dans les années à venir, notre modèle sera basé sur la mise en place de services d’éducation Steam avec les écoles “libres” qui utilisent notre kit. La campagne Ulule va d’ailleurs financer une première école et on vient de demander un subvention locale de 40000€ pour travailler avec dix écoles cette année. » Et puis, il y a l’entreprise, le team building, le bien-être. « Nous avons eu une première expérience réussie avec Schneider Electric, pour leurs bureaux à Barcelone », ajoute Guillaume. Loïc et Guillaume comptent aussi sur leur expertise pour accompagner de gros systèmes de fermes aquaponiques. « Une fois l’activité économique stabilisée, on gardera la partie open source et école sous l’ombrelle de l’association et on migrera la partie business sous une coopérative », conclut Guillaume. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 0agronomy
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https://www.frenchweb.fr/discord-leve-500-millions-de-dollars-et-double-sa-valorisation/427825 | Financing | propulsée en 2020 par le mesures de confinement application de messagerie discord poursuit sa montée en puissance elle lève désormais 500 million de dollar auprès de dragoneer investment group avec la participation de baillie gifford co coatue management fidelity management et franklin templeton selon un porte parole de entreprise la startup californienne qui compte parmi s investisseurs historiques benchmark greylock partner index venture et spark capital atteint une valorisation de 15 milliard de dollar selon une source citée par bloomberg il agit du double de la valorisation de discord évalué en décembre dernier à 7 milliard de dollar après avoir levé 100 million de dollar auprès de greenoaks capital en juin 2020 discord était valorisé qu à 3 5 milliard de dollar la startup ainsi vu sa valeur multipliée par quatre en espace une année lancé en 2012 par jason citron discord développe une application de messagerie qui est démocratisée chez le joueurs de jeux vidéo en multipliant s fonctionnalités chat chat vidéo livestream forum etc la plateforme séduit un public de plus en plus large et est rapprochée du réseau social atteignant autres communautés aujourd hui application compte 150 million utilisateurs actifs par mois il agit du double de ce que comptait discord en 2019 en effet la crise du covid 19 accéléré le développement de la plateforme accueillant même de professeurs et étudiants pour suivre de cours en ligne pendant le confinement en juin 2020 danny rimer partenaire index venture affirmait qu en france discord été adopté comme principale application pour enseignement à distance après échec du service officiel du gouvernement en conséquence discord atteint le top 10 de téléchargements application en france en mar et se trouve encore aujourd hui dans le top 50 aux états unis et au royaume uni entreprise basée à san francisco suscité un tel engouement que de sociétés ont approché pour négocier une acquisition à instar du géant microsoft ce dernier est dit prêt à mettre 12 milliard de dollar sur le tapis pour racheter discord une offre finalement rejetée par ce dernier discord aurait également été approché par epic game et amazon par le passé ainsi que par twitter selon de source citées par bloomberg autres entreprises ont convoité application évaluant à de somme atteignant le 15 à 18 milliard de dollar une valorisation bien loin de celle de discord en 2018 qui reçu de offres allant de 2 à 6 milliard de dollar pour une acquisition mais la startup californienne semble avoir autres projets en tête comme celui entrer en bourse selon le wall street journal elle a cependant pa souhaité confirmer ou détailler ce projet dans immédiat discord prévoit de se concentrer sur le développement de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux outils indique son directeur général jason citron gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise référente sur achat média digital et le tracking fondateur jason citron création 2012 siège social san francisco activité application de messagerie financement 500 million de dollar auprès de dragoneer investment group avec la participation de baillie gifford co coatue management fidelity management et franklin templeton pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/lutte-contre-les-violences-faites-aux-femmes-make-org-devoile-plusieurs-mesures_738623 | Storytelling | Challenges - Qu’est-ce qui vous a poussé à quitter Deezer?\n\nAlicia Combaz - Mes quatre ans à Deezer ont été une aventure incroyable. Mais j’étais arrivée au bout d’un cycle. A ce moment-là, j’ai croisé à nouveau l’ex-directeur général, Axel Dauchez. Il avait un projet: engager la société civile dans la transformation positive de la société. Ce flou complet m’a attirée. Je suis une très bonne organisatrice de chaos. Ensemble, qu’avez-vous inventé? Une plateforme de consultation, de concertation et d’action citoyenne. Nous remettons la parole des citoyens au cœur du débat public, en leur permettant de faire des propositions sur des sujets qui les touchent. Ensuite, grâce à la magie de la technologie, nous réussissons à ordonnancer les propositions récoltées, à les thématiser et à en extraire des priorités citoyennes. Comment faites-vous pour qu’ils participent massivement?\n\nLe risque avec la démocratie participative, c’est de croire qu’il suffit de mettre en ligne un site et que ça va être magique. Il faut aller chercher les citoyens où ils sont, leur poser la bonne question, proposer une expérience légère, ludique, avec un court questionnaire. Nous avons construit une machine de guerre pour que personne ne passe à côté de nos consultations. Nous les diffusons sur les réseaux sociaux, dans les médias. Chaque consultation nationale rassemble au moins 500.000 participants. Une révolution! On reproche souvent aux civictechs de ne pas être rentables. L’êtes-vous? \n\nNous avons fait le choix d’être une entreprise, rentable depuis mi-2018, avec un chiffre d’affaires entre 1 et 5 millions d’euros. Nous avons deux types de revenus. Nous accompagnons des villes, des ministères, des régions dans la conduite participative de leurs politiques. Par ailleurs, quand nous lançons une grande cause sur un sujet de société, nous demandons aux entreprises si elles veulent s’asseoir autour de la table, engager leurs salariés sur ces sujets, mettre en place des actions. En quatre ans, quelle a été la campagne la plus marquante?\n\nLa première, "Stop aux violences faites aux femmes", qui donne naissance à plusieurs actions dévoilées ce 23 novembre, portées par diverses organisations. Nous lançons ainsi Mémo de vie, une appli consacrée aux femmes victimes de violences, pour qu’elles y enregistrent, par exemple, des données sensibles. Nous allons aussi permettre à 10.000 victimes par an d’accéder en urgence à un hébergement grâce à la mobilisation de nuitées invendues par les hôtels. Et en janvier, nous sensibiliserons les 4-6 ans à la lutte contre le sexisme ordinaire grâce à un programme diffusé par les grandes chaînes de télévision. Quels sont les projets de Make.org? Nous sommes en train de lever des fonds pour améliorer l’expérience utilisateur et nous déployer à l’étranger. L’objectif est d’ouvrir en 2021 des bureaux à Berlin et à Londres, puis en Espagne. Du côté de notre fondation, Axel travaille sur le développement de modèles philanthropiques.\n\nVotre rêve de croissance? \n\nReproduire notre réussite en Europe et aux Etats-Unis. \n\n \n \n Start-up\n \n | 5learning
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/la-marque-de-lingerie-qui-epouse-vraiment-les-formes/ | Needs | Quelques années plus tard et un diplôme de styliste modéliste en poche, Noémie décide de créer sa première collection de bandeaux multi-usages pour les poitrines les plus menues. C’est donc en 2018, qu’elle lance Les Petits Saints, une marque de bandeaux en jersey stretch imaginés par et pour des petits seins. Une ode à toutes les femmes, pour les motiver au quotidien, à s’accepter et à être fières de leurs corps ! Avant de se lancer, Noémie a évidemment beaucoup réfléchi au produit, à sa forme, aux matières à utiliser mais aussi aux préjugés que les femmes peuvent avoir sur le bandeau : « pas très confortable », « il va forcément tomber », etc. Elle voulait vraiment offrir un produit facile à porter et dont les femmes aux petites poitrines ne pourraient plus se passer. Elle a donc travaillé pendant plusieurs mois sur la confection de ce produit, réalisé plusieurs prototypes avec différentes jersey et a fait tester ces différents modèles aux femmes de son entourage afin de créer LE bandeau qui épouse vraiment le corps des femmes. Tout ce processus a été un vrai challenge pour Noémie, mais un challenge qui lui a permis d’être pleinement satisfaite et fière de son premier produit dès le lancement de la marque. Inspirée par les Spice Girls mais surtout par l’empowerment qu’elles ont véhiculé à travers le monde, Noémie a décidé d’appeler les modèles de sa première collection, Mel B, Mel C, Geri, Posh et Emma. En 2020, grâce à une campagne KissKissBankBank réussie, Noémie va pouvoir lancer deux nouvelles collections : une pensée pour les adolescentes et une autre collection de bandeaux couleur chair pour matcher avec les différentes carnations de peau. Des modèles imaginés pour toutes les morphologies, à porter à la plage, à la maison, sous une chemise ou en superposition. Les bandeaux sont Made In France : ils sont imaginés et créés dans la région Loire-Atlantique, et produits dans une usine à la Forêt-sur-Sèvre, à côté de Cholet. Noémie a vraiment voulu s’inscrire dans une logique de circuit court, tout d’abord par conviction, mais aussi pour mettre en avant le savoir-faire de la région, berceau du textile en France. Et pour aller jusqu’au bout de sa démarche responsable, Noémie fait tous ses bandeaux à partir de tissus récupérés, de fins de rouleaux non vendables ou qui ont des petits défauts, etc. Elle récupère ensuite toutes les chutes de jersey de ses bandeaux pour les transformer en chouchous, en vente eux aussi sur le site. Les bandeaux sont vendus à des prix tout à fait raisonnables et la qualité du Made in France n’a pas obligé Noémie à les augmenter : 39€ pour un bandeau femme, 32€ pour un bandeau teenager (disponible courant mai) et 24€ pour un bandeau nude (disponible courant mai). Pour le moment, les bandeaux ne sont vendus qu’en ligne, mais Noémie espère pouvoir bientôt les vendre dans des concept-stores et grands magasins à Paris et dans le reste de la France. En attendant, la créatrice travaille sur de nombreux projets qui devraient voir le jour dans les prochains mois. Elle souhaite notamment se rapprocher des hôpitaux et centres de cancérologie, afin de mettre en place des ateliers pour les femmes atteintes ou ayant eu un cancer du sein, et de leur permettre de tester ses produits afin de l’adapter à leurs besoins et envies. Et le projet qu’on a hâte de découvrir en 2021 et qui nous fait du bien en ce moment, la plage, le soleil, l’été… : une collection de bandeaux-maillot de bain et fabriqués à partir de maillots de bain recyclés. Chaque modèle sera donc unique ! Pour découvrir les différents modèles, c’est par ici ! | 0agronomy
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https://www.lavoix.eu/fr/news/157/new-scheme-for-the-examination-of-patent-applications-at-the-european-patent-office | Securing | The EPO has introduced a new scheme for the examination of pending patent applications, called “Early Certainty from Search”.1. Patent prosecution at the EPO The EPO has a two-stage procedure until grant. In a first stage (search), a search for prior art is performed by the Search Division and a search report including a search opinion is drawn up. An applicant has then the possibility to proceed further with the patent application to a second stage (examination), which is performed by the Examining Division. The Examining Division examines the response to the search report and issues office action(s). The Examining Division is in charge of the patent application until a decision to grant or a rejection. It should be noted that the first stage (search) and second stage (examination) is usually performed by the same examiners, despite the different denomination of the acting body as “Search Division” and “Examining Division”.2. Content of the new scheme According to the new scheme, the EPO tries to issue all search reports and search opinions on patentability within six months of filing. The EPO will prioritise completing files for which examination already started over beginning new files and expedite grants after a positive search opinion has been issued. Further, the EPO tries to prioritise processing of patent applications for which substantiated observations are filed by third parties who identify themselves. Even if it does not concern patent applications as such, the EPO indicated that opposition, limitation and revocation procedures are also prioritized.3. Results of the new scheme The EPO will put most of its effort on the search and finishing already started examination cases. In the second stage (examination), new files, which are not prioritized, will be only treated if the assigned examiners have remaining time after the completion of their other prioritized tasks. This may lead to long prosecution of a patent application. In case the result of the examination of a specific patent application is important for you or your client, it is possible to expedite the examination procedure, provided the EPO has enough capacity, by : We are at your disposal to file the respective requests with the EPO. This is only a rough overview over the new scheme. For more details or any questions please do not hesitate to contact us. Contact: Mr. Jacob Klinkisch | 11security
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https://www.makery.info/2015/12/21/des-drones-canadiens-prefigurent-la-matiere-programmable/ | Engineering | Un vent de science-fiction a soufflé sur le Human Media Lab de l’université Queen’s en Ontario (Canada). Des chercheurs y ont fait la démonstration que des structures 3D numériques pouvaient trouver une manifestation physique à l’aide de drones. Le système, appelé Bitdrones, met en scène une nuée de petits quadricoptères, comme autant de pixels ou de Lego. Avec l’avantage d’être suspendus en vol stationnaire et de permettre à l’observant de tourner autour de la structure ainsi formée. Mais ce n’est pas tout, les drones reliés par un maillage numérique invisible répondent en essaim. Au moyen du suivi des mains de l’opérateur, en déplaçant l’un des drones, c’est toute la formation qui se meut ou se restructure en cohérence, comme on ferait tourner un modèle 3D sur une tablette. La démonstration du système Bitdrones par le Human Media Lab : Afin de multiplier les interactions, les chercheurs ont inventé plusieurs catégories de Bitdrones. Les Shapedrones sont des cubes fabriqués dans une maille extra-fine par souci de légèreté. Les Pixeldrones sont surmontés d’une LED et portent un petit écran tactile. Enfin, les Displaydrones sont équipés d’un écran flexible HD, d’une caméra vidéo et intègrent une carte de smartphone Android. Ces derniers permettent de donner une autonomie à la structure qui s’affranchit ainsi d’une unité centrale extérieure. Le système peut également être commandé à distance via Skype. Selon Roel Vertegaal, chercheur anglais au Human Media Lab, « Nous parlons d’interface de réalité – vraie plutôt que virtuelle. Ce qui nous distingue des technologies comme l’Hololens de Microsoft ou l’Oculus Rift, c’est que vous pouvez toucher ces pixels et les voir sans casque. » En effet, le système se réfère aux voxels, soit le pendant 3D du pixel. Avec une différence, le voxel ne se positionne pas par rapport à une grille mais vis-à-vis des autres voxels. C’est finalement une sorte d’atome à l’échelle macro. Ce qui nous mène à la fameuse matière programmable décrite par Chris Anderson dans son ouvrage Makers : la nouvelle révolution industrielle. Les chercheurs s’en réclament sans sourciller. «Le rêve ultime du maker est la matière programmable. La nature fonctionne déjà de cette manière.» Les applications visées par le système Bitdrones sont la modélisation 3D, l’imagerie médicale, l’ingénierie robotique et la visualisation de données. C’est ambitieux pour les drones actuels, qui mesurent encore entre 6 et 12 cm. Mais le Human Media Lab compte sur leur miniaturisation pour étendre l’échelle du système à un millier de nanocoptères de quelques centimètres chacun. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 6medical
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https://www.makery.info/2016/04/12/apres-linternet-des-objets-inupathy-invente-linternet-des-chiens/ | Desirability | Tokyo, de notre correspondante (texte et photos) Aujourd’hui, il existe des colliers connectés pour surveiller, mesurer et communiquer avec son chien (ou chat). Certains sont équipés de GPS, d’autres de caméra, haut-parleur, capteurs, comme ces colliers mesurant le rythme cardiaque du type Petpace et Voyce, qui focalisent sur la santé de l’animal. Avec quelques menus inconvénients : les mesures de rythme cardiaque captent aussi des bruits parasites, l’utilisation de l’accéléromètre limite leur précision à l’état de repos (ou de rêve), et enfin, les informations ne sont visibles que sur un appareil associé (PC, smartphone, etc.). Le collier Inupathy (« chien » + « empathie »), avec ses capteurs acoustiques mesurant exclusivement le rythme cardiaque du chien, et qui affiche couleurs et motifs codés selon son état mental en temps réel, privilégie le bien-être de son porteur. Et selon Joji Yamaguchi, son créateur, celui-ci dépend directement de la bonne entente avec son partenaire humain. Inupathy affiche l’état mental du chien (démo): Simpliste, dites-vous ? « Beaucoup de personnes me disent qu’elles savent tout sur leur chien, remarque Joji. Mais quand je leur demande si elles savent tout sur leur enfant, elles disent non. Quelle est la différence entre un enfant et un chien ? Le chien est une toute autre espèce, c’est impossible de tout savoir sur lui. C’est important d’admettre qu’il y a des choses qu’on ne sait pas sur son chien et de faire l’effort de le comprendre. Son expression est importante, mais il y a des choses qu’on ne peut pas voir. Beaucoup de gens pensent que les chiens remuent la queue quand ils sont heureux, mais ce n’est pas toujours le cas. Les chiens peuvent aussi remuer la queue quand ils veulent faire plaisir à leur maître. » Il y a quelques années, Joji, biologiste de formation et ingénieur informatique de profession, s’est mis a développer un collier à LEDs pour essayer de mieux comprendre son corgi Akane en analysant la variabilité de fréquence cardiaque (VFC). Il a notamment identifié des motifs particuliers correspondant aux états de bonheur et de concentration, qui se traduisent par des affichages multicolore et clignotant. Le reste du temps, le collier affiche une couleur correspondant au nombre de battements de cœur par minute, allant du bleu foncé (le plus calme) au rouge vif (le plus excité). Le résultat hyper-réactif ressemble à un détecteur de mensonges aux couleurs de l’arc-en-ciel. Akane se concentre pour trouver ses gâteaux, son collier Inupathy clignote: La première découverte qu’a faite Joji lorsqu’Akane portait le collier était que sa voix ne suffisait pas à calmer son chien après un tremblement de terre, par exemple. Il lui fallait le caresser pour voir la différence sur le collier revenu au bleu tranquille, alors qu’Akane avait la même expression. Joji a également vu la différence de rythme cardiaque lorsqu’Akane aboyait sur un chat (rouge : agressif) ou sur d’autres chiens (vert : désir de jouer), alors même que les aboiements se ressemblent. « C’est comme avec un enfant. Quand votre enfant essaie de vous dire quelque chose mais que vous ne comprenez pas, il se décourage. Mais si vous montrez que vous comprenez, il essaie de vous dire plus. » « Depuis qu’il porte le collier, Akane est devenu plus expressif, plus audacieux, explique Joji. Il sait que j’apprends des choses sur lui, que je fais plus attention à lui. C’est un signe qu’on peut commencer à jouer ensemble. » Soit la découverte canine pour une relation humaine augmentée à long terme. On imagine les services que pourrait rendre le collier Inupathy pour les chiens guide, d’assistance ou de secours, les vétérinaires et les entraîneurs. Et ce n’est qu’un début pour les objets connectés canins. Pour l’instant, Inupathy envoie ses informations via bluetooth à un ordinateur à proximité, (ou smartphone, tablette…) afin de rester chargé plus longtemps. Mais d’autres applications sont possibles : des jouets qui s’activent selon le taux d’excitation de l’animal, un distributeur de nourriture qui donne un gâteau lorsque le chien se concentre, une cuvette pour analyser l’urine ou les fèces… Joji a déjà imaginé tout un réseau Internet des objets (IoT) domestique centré autour du chien. Alors que la campagne Indiegogo d’Inupathy arrive à son terme (avec un tiers seulement de promesses de don), Joji continue à chercher des sources de financement pour créer un moule en acier qui permettrait la production en série de colliers souples et résistants à l’eau. En attendant, Joji a promis à ses contributeurs (une quarantaine de colliers en pré-achat) de livrer des Inupathy imprimés en 3D et fonction de la taille du chien à partir de fin 2016. L’assemblage étant encore trop compliqué, Joji ne prévoit pas de le fournir en kit. Mais se réjouit des futures inventions rendues possibles grâce au kit de développement Inupathy qu’il mettra bientôt en ligne : « Les gens pourront y ajouter de nouvelles fonctions… C’est excitant de rejoindre le mouvement maker. » Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/alexia-duchene-lentrepreneuse-qui-dit-les-choses-franchement-1174660 | Magic Team | “Moi, je dis les choses comme je le pense, c’est tout”. Quand on discute avec elle, Alexia, la plus médiatisée de nos jeunes chefs est surprenante de franchise. C’est pourtant la plus jeune, 24 ans et déjà 9 ans en cuisine. Elle commence une école hôtelière un peu par hasard. “C’était à côté de chez mes parents”. Mais très vite, elle est catapultée dans les cuisines de grands chefs à Londres, New York et Copenhague avant d’entrer chez Giovanni Passerini, meilleur chef de l’année selon le Fooding, à Paris. C’est là-bas qu’elle se hisse presque aussitôt à la place de sous-cheffe. Comment ? “Tous ces Italiens super machos, ça m’a vite saoulée. J’ai voulu partir mais Passerini, m’a dit reste. Et il m’a promue sous-cheffe”. Cette anecdote est à l’image du parcours d’Alexia, fait de témérité et d’un sacré aplomb. Elle fait l’émission Top Chef en mai 2019, finit avec une place de demi-finaliste et même un compte Instagram de mèmes à son effigie (la consécration). En juillet, elle dénonce devant les caméras de Melty le sexisme en cuisine, qui la propulse égérie du féminisme en cuisine, sauce balance ton porc de cuistot. “Il y a des mecs en cuisine qui disent des choses et ne se rendent même pas compte que ce n’est pas correct. Ils peuvent dire des trucs débiles du genre ‘matez le cul de la serveuse’. Ou envoyer des messages ‘viens chez moi ce soir’. Alors moi, je me pose pas trop de questions, féministe ou pas. Je dis ce que j’ai à dire”. En décembre dernier, Alexia a lancé son propre restaurant à Paris, le Datsha dans le marais. Sous ses ordres, une équipe de six personnes, la plupart plus âgées. Mais “si on se dit que l’âge, c’est un frein alors ça le devient. Moi je m’en fiche de diriger des gens de dix ans de plus”. | 5learning
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/donner-un-prix-carbone-ne-suffira | Market Impact | Certaines discussions sur la transition écologique et énergétique et la COP21 traitent de la monétarisation du carbone, et plus largement celle des processus environnementaux. Pour certains, un prix unique mondial du carbone est un modèle de tarification incitative efficace pour toute « externalité », et constitue une condition nécessaire voire suffisante, ainsi que la meilleure voie pour faire basculer nos sociétés vers la soutenabilité. Cette apparente simplicité paraît devoir être nuancée. Bien sûr, le principe pollueur-payeur a une réalité : le bonus-malus automobile en 2008 a bien déplacé l’offre des constructeurs vers des véhicules de moins en moins émetteurs de CO2 ; le différentiel de coût des carburants entre France et Etats-Unis a suscité des parcs de véhicules et des formes urbaines plus consommatrices de l’autre côté de l’Atlantique que sur la rive européenne. Faut-il pour autant conclure que la fixation de prix constitue le moyen idéal préalable pour atteindre tout objectif environnemental (ou social) ? F.A. Hayek, peu amène à l’égard des politiques publiques, soulignait que les marchés étaient incapables de répondre à deux besoins qu’il jugeait incontournables : la résilience de la société (selon lui l’Etat doit prélever de quoi fournir un salaire minimum pour tous) et la gestion des biens communs (dont la nature)[1]. Prenons le carbone : son « vrai » prix sera-t-il le coût de l’atténuation ou le coût des dommages à éviter, et coûts et dommages pour qui ? Si la référence à l’atténuation fut privilégiée, ce fut pour des raisons pratiques[2] et diplomatiques[3]. L’écroulement du marché européen de quotas (ETS), alors que la sévérité des dégâts climatiques actuels et attendus ne faisait que croître, ne rend pas optimiste sur la capacité « spontanée » d’un prix à refléter la réalité des enjeux. D’ailleurs, l’UE vient d’adopter une réserve de stabilité pour ce marché, et France Stratégie recommande qu’un régulateur y impose un prix plafond, un prix plancher et une évolution prévisible dans la durée... Roger Guesnerie explique en outre qu’une condition sine qua non d’un marché mondial acceptable est un « dictateur bienveillant » capable de répartir équitablement les quotas initiaux avant tout échange, et qu’en son absence il vaut mieux « multiplier les petits ruisseaux »[4]. Notons que la répartition initiale équitable des richesses par un « dictateur bienveillant » au sein de la société était déjà une condition sine qua non de la faisabilité de la fonction de bien-être social.[5] L’ETS dans son périmètre d’industrie lourde s’adressait à des secteurs aux temporalités assez similaires[6]. Mais une économie entière est hétérogène : quel prix sera incitatif et praticable d’emblée pour l’aérien, la chimie, l’agriculture, les ménages, a fortiori sur le globe ? Par conséquent, se fixer comme objectif d’entrée une même valeur monétaire du carbone pour tous les secteurs la condamnerait soit à être insignifiante (et donc inefficace sauf comme ressource financière), soit à sélectionner des activités non pas en fonction de substitutions fonctionnelles (par exemple en faisant croître l’usage de bois « soutenable » dans la construction au détriment de matériaux plus émetteurs, de bois illégal ou de plantations ravageuses), mais en fonction du poids du coût du carbone dans le chiffre d’affaires ou dans les investissements à consentir. Or un avion n’est pas un substitut de l’aspirine, ni l’inverse. Bien sûr une progression peut être programmée, ce qui est important, mais les hétérogénéités demeurent et à un moment ou un autre doivent être traitées. Ce qui est constaté pour le carbone l’est davantage pour d’autres enjeux, moins fongibles et plus territoriaux. Ainsi, dans la vallée de Copiaco, au Chili, un marché de l’eau intersectoriel fut instauré en 2005 pour gérer une ressource souterraine où puisaient des vergers, des ménages et des mines métalliques. Les activités minières pouvaient supporter un prix de l’eau décuple de celui des arboriculteurs ; ceux-ci commencèrent donc à revendre leurs droits. Mais l’économie du Chili a aussi besoin de vergers ! La situation a donc requis tout un ensemble de mesures techniques et juridiques, et pas seulement un prix ; le contexte de la « mise à prix » est ainsi au moins aussi important que la tarification elle-même. Autre exemple : en France, la taxation des phytosanitaires n’a pas réduit leur usage, certes parce que le secteur agrochimique a pu l’absorber dans ses marges, mais surtout parce que produire sans ou avec beaucoup moins de pesticides suppose de changer les pratiques culturales, les savoirs enseignés, les conseils des coopératives, les habitudes des Chambres d’agriculture ou encore les critères des prêts bancaires, voire certains mépris[7] . Autant dire qu’un prix est loin de suffire. Cette discussion paraît provenir d’une confusion entre la situation finale souhaitée et la transition vers celle-ci, car la vie n’est pas « à l’équilibre »[8]. Dire qu’un prix constitue la meilleure manière (certains disent la seule) de faire basculer un modèle de développement revient à supposer que ce dernier s’adapterait aussitôt sur cette seule base, et à négliger l’indispensable contexte d’apprentissage et de diffusion des alternatives, la coordination des acteurs et la réalisation des investissements. Les versions extrêmes de cette vision correspondent à un monde dans lequel les informations nécessaires seraient acquises par le seul prix et les décisions prises « maintenant pour l’avenir tout entier »[9], comme le distille Keynes avec un humour féroce : «Cette manière d’envisager les choses dans un long espace de temps est une mauvaise méthode d’étudier les événements actuels. A la longue nous serons tous morts. Les économistes se donnent une tâche trop facile et trop inutile si dans une période orageuse, ils se contentent de nous dire que lorsque la tempête est passée l’océan redevient calme. »[10] Utiliser des prix de marché comme outil est encore plus douteux pour les écosystèmes, sources de régulations vitales pour nous. Si des tonnes de gaz à effet de serre peuvent s’additionner ou se retrancher sur l’ensemble du globe avec un résultat physique concret, la destruction d’une forêt équatoriale n’est pas biologiquement compensée par l’extension d’une forêt boréale, a fortiori par une plantation d’eucalyptus pour pâte à papier[11]. Quel prix donner alors à des processus dont les fonctions ne sont substituables ni entre eux, ni par des artefacts? Les rôles vitaux de la mer ne seront jamais remplis par des piscines et des aquacultures. En outre, le prix d’un bien vital en raréfaction va théoriquement vers l’infini. Or plus le prix monte, plus l’appropriation est tentante, plus trafics et surexploitation se développent : poissons, espèces protégées, ivoire, zones de pêche, forêts… Les « biobanques », qui depuis 1991 proposent des titres associés à telle ou telle espèce, ne font souvent que spéculer sur la hausse du titre, c’est-à-dire en fait sur la destruction finale du « sous-jacent ». La mesure monétaire induit donc une substituabilité trompeuse et parfois perverse[12] : il n’existe pas de « QE environnemental », et les processus vivants ne sont pas substituables par du capital. Mark Kurlansky, dans « Cod », décrit comment la pêche, jusqu’à leur effondrement, des gigantesques populations de morue atlantique forgea pendant des siècles le destin de nations européennes, et comment elle inspira aux Etats-Unis une conception économique fondée sur l’exploitation sans frein de ressources naturelles gratuites et sur le commerce non taxé. Il décrit également quel événement impensable, pourtant annoncé trente ans auparavant par les pêcheurs côtiers , fut le moratoire de 1992, pour la grosse pêche et l’industrie en aval. L’imminence de la finitude est une véritable révolution mentale : des prix ne pourront pas déclencher la réorientation des économies et sociétés vers le ménagement de la terre, ils pourront dans certains cas l’accompagner ou la renforcer. Un univers cohérent de signaux et de moyens convergents, de différentes natures, doit être instauré. Il y a besoin de prix, certes, mais sûrement pas pour tout, et quand des tarifications sont décidées, c’est que d’autres éléments ont auparavant progressé au sein des sociétés, et les ont rendus possibles. Nous sommes en quête de relance économique. Nous devons aussi renouveler nos infrastructures, procédés, produits et façons de vivre pour ne pas perdre nos conditions biophysiques vitales. Les marchés et soutiens publics comme les financements privés peuvent servir ces objectifs, par exemple avec des repères sociaux et environnementaux comme le proposent le Livre Blanc françaisou le German Sustainability Code. L’ISR a crû de 31% en 2014 en France selon Novethic. L’affichage environnemental expérimenté en 2011-2012 suite au Grenelle a montré que petites et grandes entreprises pouvaient bâtir et suivre des spécifications environnementales pour leurs produits. La loi sur la transition énergétique de juillet 2015 a étendu aux investisseurs institutionnels le reporting écologique, de grands investisseurs se retirent peu à peu des actifs fossiles, les banques de développement ont décidé de tracer le carbone de toutes leurs opérations ... Si les prix sont souvent utiles et parfois indispensables pour faire évoluer le monde, ils ne peuvent déclencher le mouvement parce qu’un prix est trop pauvre en information, ni toujours l’orienter à bon escient parce que la substituabilité par le capital est très limitée en matière de processus vivants ou de climat. Le sens de l’histoire demande un suivi physique, non monétaire, des impacts des activités humaines et les outils de comptabilité, de spécification et de régulation correspondants. [1] Rapporté par René Passet (2010), Les grandes représentations du monde et de l’économie à travers l’histoire,, Les liens qui libèrent, 950 pages., p832, 842 et s. [2] Les mesures sont plus faciles à décrire que les dommages. [3] Jean-Charles Hourcade avait ainsi rapporté l’impossibilité d’un accord sur le prix de la vie humaine au niveau mondial : égal pour tous ou proportionnel au PIB ? [4]Roger Guesnerie, Le « dictateur bienveillant » et le climat, dans Le Monde du 24 juin 2015. [5] Steve Keen (2014), L’imposture économique, Ed. L’Atelier,p.91. [6] A l’exception de l’aérien, assez différent et de sensibilité au prix du carbone également différente. C’est d’ailleurs à ce titre que le fait de l’inclure ou non dans le même marché que les industries antérieures a été controversé. [7] INRA (2013), Freins et leviers à la diversification des cultures, étude au niveau des exploitations et des filières, janvier. [8] Antonin Pottier (2014), L’économie dans l’impasse climatique, thèse soutenue le 28 mai. [9] Steve Keen, op.cit.. p. 450 citant Debreu. [10] ibid p.224. La citation prend toute sa saveur lorsqu’on la confronte à son utilisation tronquée habituelle (« A long terme nous serons tous morts »), invoquée pour minorer les effets différés, notamment environnementaux, des décisions. [11] Voir par exemple M. de Lara et D. Dron, « Economie et environnement dans les décisions publiques », Documentation française, rapports officiels, 1998 [12] Dominique Dron (2015), « Pour une régulation écosystémique de la finance ? », , Annales des Mines, Réalités Industrielles, février 2015 dron.jpg, par mmadeira Dominique Dron est Ingénieure Générale des Mines. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/lunion-de-lenergie | Legitimacy | Ce constat a été détaillé dans un premier rapport de France Stratégie paru en janvier 2014, qui regroupait les analyses de trois économistes européens : Marc Oliver Bettzüge, directeur de l’Institut de l’économie de l’énergie à l’université de Cologne ; Dieter Helm, professeur de politique énergétique à Oxford ; et Fabien Roques, professeur associé à l’université Paris-Dauphine et vice-président de Compass Lexecon. Cette nouvelle étude, qui inclut les contributions des mêmes experts, propose un certain nombre d’actions pour corriger les défaillances du système actuel et pour construire une nouvelle politique européenne de l’énergie. Il part des constats suivants, désormais largement partagés : La création d’une véritable Union de l’énergie est donc plus que jamais à l’ordre du jour. Dans sa séance de mars 2015, le Conseil européen a choisi de la faire reposer sur cinq piliers, hérités des politiques qui ont façonné l’Europe de l’énergie depuis une vingtaine d’années : la pleine intégration du marché européen de l’énergie, avec pour corollaire la construction de réseaux gaziers et électriques transfrontaliers ; la décarbonisation de l’économie ; l’efficacité énergétique comme moyen de modérer la demande ; la sécurité énergétique ; et enfin la recherche, l’innovation et la compétitivité. L’Union européenne cherche ainsi à se positionner en bon élève de la lutte contre le changement climatique à l’approche de la COP21, à développer la solidarité entre ses membres en matière d’approvisionnement en gaz et à relancer son industrie. On ne peut qu’approuver de telles orientations. On peut douter cependant qu’elles donnent l’impulsion suffisante à la renaissance de cette Union. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/kwit-recolte-13-million-deuros-aupres-de-kima-ventures-pour-son-app-anti-tabac/413110 | Financing | en france, trois personnes de à an sur dix se déclarent fumeurs, soit % de la population selon santé publique france. en , % de fumeurs affirmaient vouloir arrêter de fumer. pour accompagner ce personnes dans leur sevrage tabagique, kwit développe une application ludique et basée sur de méthodes scientifiques. la startup basée à strasbourg annonce aujourd’hui une levée de fonds de , million d’euros auprès de kima ventures, d’investisseurs privés, de s actionnaires historiques yeast et alsace business angels, ainsi que bpi france, wai de bnp, cic et la caisse d’epargne. lancé en par geoffrey kretz, françois kraemer et christophe dehlinger, kwit est une application construite autour de la gamification, c’est-à-dire qu’elle propose de méthodes ludiques qui stimulent la motivation de utilisateurs pendant leur sevrage. la startup revendique à ce jour plus de , million d’utilisateurs. avec ce financement, kwit ambitionne d’aider de population spécifiques, notamment le femmes enceintes, pour qui l’arrêt du tabac est une nécessité. la startup strasbourgeoise souhaite également travailler directement avec le hôpitaux et cliniques dans le parcours anti-tabac de femmes enceintes. « notre engagement aux côtés de kwit est double », explique jean de la rochebrochard, (partner) de kima ventures. « la startup largement montré l’efficacité de sa méthode auprès de fumeurs, et c’est pour nous un engagement particulier d’accompagner une entreprise qui participe à résoudre un grave problème de santé public. la lutte contre le tabagisme est essentielle, et le fait que kwit parvienne sans culpabiliser s utilisateurs grâce une méthode bienveillante et ludique qui très vite fait s preuves et s’applique de manière universelle dans le monde entier, nous entièrement convaincus. » sur le long terme, kwit se rêve en application de santé incontournable qui aiderait également le personnes atteintes de trouble du comportement, en luttant contre le addiction à l’alcool et au sucre notamment. « nous nous somme jusqu’alors consacrés exclusivement aux fumeurs, mais notre méthode peut aussi résoudre d’autres addiction comme la dépendance à l’alcool et au sucre », commente geoffrey kretz. « l’année tristement renforcé toutes le addictions. on estime que le effets de la covid- et du confinement ont entraîné de trouble psychiques, à de degrés différents, chez million de français ». la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateurs: geoffrey kretz, françois kraemer et christophe dehlinger création: siège social: strasbourg secteur: e-santé activité: application de lutte contre le tabac financement: , million d’euros en janvier auprès de kima ventures, d’investisseurs privés, de s actionnaires historiques yeast et alsace business angels, ainsi que bpi france, wai de bnp, cic et la caisse d’epargne. pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux (richard@decode.media)nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris | 6medical
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https://www.lavoix.eu/fr/news/102/juillet2013-l-inde-adhere-au-protocole-de-madrid | Securing | A partir de cette date, il vous sera possible de revendiquer la protection en Inde sans passer par la voie nationale en désignant simplement ce pays dans votre dépôt international. LAVOIX peut vous assister dans vos démarches en vue de : L’ensemble de notre équipe se tient à votre disposition pour toute question.Contact : Béatrice DAUBIN | 11security
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/comment-reseau-entreprendre-paris-permet-aux-start-up-de-decoller_457832 | Financing | Quelle est la capitale de l’entrepreneuriat: Paris ou Londres? L’écosystème londonien est riche. Mais Paris possède aussi des atouts incroyables ! Depuis cinq ans, toutes les écoles et universités se sont dotées d’un incubateur et d’une formation entrepreneuriale. Côté grands groupes, la vision évolue. Il faut passer d’une logique d’acquisition à une logique d’accompagnement pour faire émerger, comme en Allemagne, un tissu de start-up et de PME. Enfin, les levées conséquentes augmentent grâce à la structuration de fonds comme Daphni ou Partech. Et les vocations entrepreneuriales? En 2016 à Paris, nous avons reçu 2.000 sollicitations de porteurs de projets souhaitant bénéficier de l’accompagnement de nos chefs d’entreprise et de notre financement par prêt d’honneur. Depuis 2010, elles ne cessent de croître. Les candidats sont de plus en plus jeunes, formés, qualifiés, et 30% sont des femmes. Cette vague d’entrepreneuriat est une tendance de fond. Est-ce parce que l’entrepreneuriat a gagné en visibilité? Il y a une époque où les entrepreneurs trouvaient qu’on ne parlait pas assez d’eux. Aujourd’hui, on en parle presque trop. Cette visibilité rend exemplaires des parcours qui donnent envie à d’autres. Une autre génération que celle des patrons du CAC 40 est sur le devant de la scène, celle de Xavier Niel et de Marc Simoncini. Et elle-même est secondée par la génération de Fany Péchiodat, de My Little Paris ou de Frédéric Mazzella, de BlaBlaCar. Quel est votre business model? D’un côté, nous avons été financés, au départ, par les collectivités locales. Leur soutien ayant baissé, aujourd’hui 96 % du financement est privé. Ce budget de 600.000 euros par an paye mon salaire, notre fonctionnement. De l’autre côté, notre fonds de prêt d’honneur permet d’attribuer chaque année 1,5 million d’euros. Doté à l’origine à 100 % par les collectivités, aujourd’hui il est alimenté à 90% par les remboursements d’entrepreneurs que nous avons soutenus. L’argent prêté à Michel et Augustin a ensuite aidé My Little Paris et aujourd’hui Welcome to the jungle! Vous souhaitez aller plus loin? Nous venons de nous doter d’un nouvel outil, le programme Ambition, pour accompagner les entreprises qui ont dépassé le million d’euros de chiffre d’affaires, sont à l’équilibre, ont un projet ambitieux, et ne sont pas encore dotées d’une gouvernance. Nous mettons à leur disposition jusqu’à 300.000 euros et un conseil collectif composé de membres du Réseau Entreprendre. Pendant deux ans, celui-ci va aider l’entrepreneur à passer de 1 à 10 millions d’euros de chiffre d’affaires, et structurer sa gouvernance. La première promotion nationale de 70 entreprises, pas forcément membres de notre Réseau, a été lancée en 2016. En quoi avez-vous réussi aujourd’hui? Ma fierté, c’est d’appartenir à un réseau national de 6.000 chefs d’entreprise dont l’action est unique dans le monde! Propos recueillis par Claire Bouleau \n\n \n \n Blablacar\n \n | 5learning
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/aude-guo-innovafeed-leleveuse-dinsectes-1291303 | Uniqueness | Quand la pandémie est arrivée, Aude Guo s'est dit : « Et si on faisait des masques ? » Non par opportunisme, ou parce que son entreprise faisait grise mine. Mais, « pour la première fois depuis quatre ans, j'avais l'impression de ne pas être sur la ligne de front, ni d'avoir d'impact », avoue la jeune femme. L'idée ne fera que traverser l'esprit. Innovafeed, sa start-up de culture de protéines d'insectes, continue de croître au printemps et l'entrepreneuse élude la reconversion dans le textile. Son aventure entrepreneuriale commence à la table d'un bar, entre la charcuterie et la mozzarella, un peu sur le ton de la blague avec ses acolytes. Dans la foulée, elle prend quatre mois sabbatiques pour apprendre à connaître ses associés. « Je ne pense pas être l'entrepreneuse typique que rien n'arrête et qui fonce. Sans mon équipe, je n'aurais pas forcément franchi le pas », confie-t-elle. L'année d'après, en 2017, les entrepreneurs lancent leur première usine d'insectes à Gouzeaucourt, dans le Nord. « Lorsque le premier sac à gravats de l'usine est parti, on s'est rendu compte à quel point le projet était réel et qu'il n'allait pas seulement rester enfermé dans un bureau sympa de start-up », se souvient-elle, l'un des moments les plus marquants de son parcours professionnel. Son histoire, personnelle cette fois, démarre en Chine, plus précisément à Pékin où elle naît de parents ingénieurs. La future cheffe d'entreprise atterrit à Paris à l'âge de 11 ans et embrasse quelques années plus tard des études d'ingénieur aux Ponts et Chaussées. « C'est l'école qui m'a fait découvrir la France et qui a eu un rôle clé dans mon intégration », glisse-t-elle. Ce n'est qu'après un passage dans l'aéronautique chez Safran et quelques années dans le cabinet de conseil McKinsey, qu'elle s'intéresse à l'alimentation. Ce sera donc la nourriture pour animaux d'élevage : truites, volailles et depuis peu, porcs. Et de manière durable, grâce aux protéines « Hermetia illucens », la mouche soldat noire, réduites en farine, en huile et en engrais. Aude Guo navigue entre la capitale et les Hauts-de-France, où la moitié de ses équipes est installée. Innovafeed a inauguré fin 2020 sa deuxième usine, la plus grande d'Europe, à Nesle dans la Somme, implantée à proximité d'une amidonnerie du sucrier français Tereos pour valoriser ses déchets et les utiliser en énergie. Capacité de production : 100.000 tonnes de nutriments par an. Economie de CO2 : 60.000 tonnes, soit l'équivalent de ce que produit une ville de 6.000 habitants, assure l'entreprise. Investissement : 50 millions d'euros. « Quand on parle de tech, on pense souvent au numérique et à l'esprit à la cool des start-up, associées à des milieux très parisiens. Mais la French Tech, c'est aussi des entreprises industrielles au service des défis environnementaux. » Objectif : avoir de « l'impact », un terme plus qu'à la mode pour les start-up. Mais chez elle, aucune esbroufe, c'est bien là ce qui l'anime : répondre aux besoins nutritionnels d'une population croissante qui dispose de moins en moins de ressources. Le site industriel de Nesle, dans la Somme (Hauts-de-France)DR Dans la foulée de l'inauguration, l'entreprise lève 140 millions d'euros . Début 2021, la machine continue, avec l'arrivée d'Innovafeed dans l'Illinois aux Etats-Unis, pour construire une usine « quatre fois plus grande », en partenariat avec ADM, un géant de l'agro-industrie. Et tout récemment, la start-up a rejoint les rangs du French Tech 120, qui rassemble les futurs champions de la tech tricolore. A 34 ans, Aude Guo fait partie des - très - rares femmes (7 pour 120 start-up) présentes dans le classement. Elle vient d'ailleurs d'être nommée au « board impact » du Next 40/French Tech 120, qui regroupe des associations, des investisseurs et des entrepreneurs à impact chargés d'avancer sur les questions de diversité et de mixité dans la tech. « Elle est heureuse d'être reconnue comme dirigeante, mais cela lui déplaît d'être mise en avant en tant que femme », estime Clément Ray, son associé rencontré chez McKinsey. Et d'ajouter : « Elle a une vision naturellement idéaliste, pour elle, le genre ne devrait pas être un sujet. » Mais la réalité de la tech française est tout autre, et la question de la parité est plus que jamais sur la table. Aude Guo joue le jeu et endosse le costume de « rôle modèle » pour aider à une tech plus mixte. Et ça marche. A son échelle, sa société, qui salarie 150 personnes, a enregistré 40 % de femmes candidates - dont 25 % pour les métiers techniques - sur plus de 15.000 candidatures reçues l'an dernier. De gauche à droite : Clément Ray, Aude Guo et Bastien Oggeri, les cofondateurs d'Innovafeed.DR Aujourd'hui, la complémentarité de l'équipe dirigeante semble faire la force de la start-up. « On peut avoir une approche très déductive, là où Aude sera beaucoup plus inductive. De ce fait, on a parfois des chocs d'approches qui sont créateurs de valeur », souligne Bastien Oggeri, son autre associé. Et dernier exemple en date : l'entrepreneuse a impulsé un nouveau partenariat cet été avec le World Mousquito Program pour co-construire une usine pilote d'élevage de moustiques afin de lutter contre la dengue. « Au début, j'avais peur de démobiliser les équipes de notre corps business », explique l'entrepreneur. Et Clément Ray d'ajouter : « Mais elle savait qu'il fallait qu'on étudie aussi d'autres types de marchés prometteurs sur lesquels on peut avoir de l'impact. Elle a cette capacité à se projeter sur le moyen-long terme, plus que nous. » Lire aussi : NextProtein, la start-up qui produit des aliments à base d'insectes, lève 10 millions d'euros Classe préparatoire, école d'ingénieurs, Safran, McKinsey puis Innovafeed, Aude Guo n'a pas chômé ces quinze dernières années. Il reste encore du chemin pour continuer le changement d'échelle de l'entreprise, qui prévoit de doubler ses effectifs cette année, et continuer de faire face à son principal concurrent (français lui aussi) Ÿnsect, qui a récolté depuis 2011, 425 millions de dollars de financements. Mais un heureux événement, il y a dix-huit mois, a permis contre toute attente à la jeune mère de trouver un brin d'équilibre . « J'aime beaucoup être parent et je m'impose le soir de faire une vraie coupure pour m'occuper de mon bébé ». Et une fois le petit dans les bras de Morphée, de se remettre à travailler… | 0agronomy
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/greenflex-aide-les-entreprises-a-creer-de-la-valeur-grace-a-l-ecologie_472522 | Market Impact | Challenges. Comment avez-vous eu l'idée de GreenFlex, société de conseil, dont le chiffre d'affaires a approché 200 millions d'euros l'an dernier ? Frédéric Rodriguez. Après avoir fondé une première entreprise dans l'informatique, je souhaitais m'impliquer de manière sociétale, notamment pour l'environnement. J'ai constaté que l'écologie était généralement vue de manière punitive, loin des réalités économiques. Avec GreenFlex, j'ai voulu aider les entreprises à créer de la valeur grâce à l'écologie. Vous dites que vous êtes un category maker aux yeux des investisseurs. Qu'est-ce que cela signifie ? Nous nous définissons comme « designers de solutions durables » avec nos trois métiers : service de conseil avec des experts aussi bien chimistes, agronomes, data-scientistes, financiers, un service d'intelligence des données et un service financier pour aider nos clients à investir dans de nouvelles solutions. Un exemple ? La question de l'énergie est un domaine de croissance pour nous. En reliant les équipements de nos clients, par exemple de la grande distribution, nous analysons l'ensemble des données et cela permet par exemple d'anticiper des pannes d'équipements, ce qui fait baisser les incendies et du coup les assurances, ou de noter les fournisseurs qui font la maintenance. Sur ces sujets, vous avez beaucoup de concurrents, non ? Certes, Engie, Schneider et EDF ont des services de conseil, les « Big Four » du conseil Deloitte, EY, KPMG et PwC ont un département développement durable aussi, mais nous sommes plus agiles et notre spécificité est d'être très global. Que représente votre activité hors de France ? Un peu moins de 10 % de notre chiffre d'affaires et nous visons 30 % d'ici cinq ans. Nous sommes présents en Espagne, au Portugal, en Italie, en Belgique et en Pologne. Nous allons prioritairement dans les pays où nos clients nous demandent de les accompagner et nous le faisons sur des offres déjà bien industrialisées. Vous avez aussi créé une culture interne forte. Comment travaille-t-on à GreenFlex ? Nous sommes 200 salariés et prévoyons de recruter 30 % d'effectifs en plus cette année ! Nous avons, dès l'origine, fait en sorte que Green-Flex soit un projet sociétal. Nous avons un programme Feel Good, qui inclut aussi bien des massages que des mesures du « bonheur intérieur brut ». Cette idée a été apportée par des salariés via notre laboratoire interne d'innovation. Comment financez-vous votre croissance et vos acquisitions, douze depuis votre création ? Nous avons en effet racheté de petites entreprises très expertes. Nous sommes rentables depuis la première année et nous réinvestissons 100 % de ces bénéfices dans les fonds propres. Nous avons eu besoin de faire appel, il y a quatre ans, au fonds Nextstage, qui possède 25 % du capital. \n\n \n \n Start-up\n \n | 4environment
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https://www.lavoix.eu/fr/news/121/nouvelles-extensions-icann | Securing | L’ouverture de la période de Sunrise devrait prochainement débuter pour 9 nouvelles extensions : Cette période de Sunrise durera 60 jours et permettra aux titulaires de marques d’enregistrer des noms de domaine correspondant à leurs marques, de manière prioritaire. Nous rappelons que pour bénéficier de cet enregistrement prioritaire, il est indispensable d’avoir au préalable inscrit sa marque auprès de la Trademark Clearing House (TMCH). En parallèle, et afin d’éviter les risques de « cybersquatting », le registre Donuts a mis en place un système de liste de marques bloquées (Domain Protected Marks List (DPML) pour toutes les extensions dont il aura la gestion. L’inscription sur cette liste, payante et accessible uniquement aux titulaires de marques ayant été inscrites auprès de la TMCH, aura pour effet de bloquer toute demande de réservation d’un nom de domaine reprenant la marque à l’identique, pour l’ensemble des extensions gérées par Donuts. Il sera également possible de demander un blocage pour une marque associée à un mot clé. Le blocage sera effectué pour 5 ans minimum, jusqu’à une durée maximum de 10 ans. Des renouvellements sont prévus pour des durées de 1 à 10 ans. Il sera toutefois possible pour un titulaire de marque identique éligible à la Sunrise d’une extension, de passer outre ce blocage et d’enregistrer le nom de domaine correspondant. Notre service juridique est à votre disposition pour vous assister dans le cadre de l’inscription de vos marques auprès de la Trademark Clearing House et, le cas échéant, pour inscrire vos marques sur la liste des marques bloquées du registre Donuts. N’hésitez pas à nous contacter pour toute information complémentaire. Contact : Béatrice DAUBIN | 1business
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/la-marque-createur-livy-va-ouvrir-un-atelier-de-lingerie-a-paris_712980 | Financing | Challenges - La lingerie, c’est une passion de toujours?\n\nLisa Chavy - Oui! J’ai travaillé cinq ans pour la Société internationale de lingerie, qui exploitait les licences de marques de luxe (Galliano, Lacroix, Dior). J’étais l’une des premières stylistes lingerie qui a adapté la mode, les imprimés, à ce secteur longtemps resté traditionnel, fonctionnel. A 25 ans, j’ai rejoint Etam, où nous avons lancé Undiz en mode start-up. A 30 ans, j’ai créé l’Atelier 31, où j’ai continué à opérer et opère encore la direction artistique d’Undiz. Puis, j’ai eu envie d’un autre projet personnel. Pourquoi Livy? Jusqu’à présent, la lingerie se segmentait entre les marques entrée de gamme (Undiz, Etam), très haut de gamme (La Perla, Agent provocateur) et les historiques (Chantelle, Aubade). Il manquait des marques créateurs, à l’image de ba&sh ou AMI dans le textile. Livy accompagne la femme au quotidien grâce à trois gammes: Paris (sexy), New York (innovante) et Los Angeles (détendue). Quel rôle a joué Etam ? Dès le début, Laurent Milchior, co-gérant d’Etam, m’a accompagnée. Nous nous sommes associés à Dan Arrouas, fondateur de ba&sh, expert du segment premium, habitué à investir dans des start-up. J’ai 40% du capital, Etam, 40 % et Vog, la maison mère de ba&sh, 20%. J’ai pu me concentrer sur la marque, tout en bénéficiant des structures d’Etam: Salesforce, SAP, le système de livraison dans le monde, de gestion des stocks, des retours... J’ai un moteur de Porsche dans une 2 CV! Des projets de financement? En septembre, nous avions lancé une levée de fonds avec Rothschild. Nous visions des investisseurs privés ou un fonds d’investissement. Avec le Covid, nous avons privilégié les premiers, qui viennent de signer. Dans un second temps, nous ferons entrer un fonds. Nous revoyons le business plan. Pendant deux mois, le digital a pesé 40% des ventes, contre 20% d’habitude. Nous pensons diminuer les ouvertures de magasins et cherchons désormais entre 10 et 15 millions d’euros, contre 17 millions auparavant. A quoi serviront-ils? A déployer la marque dans le monde, sur le digital, recruter et monter un atelier à Paris. J’en ai déjà un de prototypage, mais nous produisons en Asie, Tunisie et Maroc. L’ADN de Livy n’est pas d’être 100% français. Mais j’ai envie de ramener en France un savoir-faire perdu, et les technologies asiatiques innovantes, pour les montrer à travers un showroom. Je serai aussi plus proche de la production. En 2017, vous visiez 60 millions de ventes en 2022. Et aujourd’hui? \n\nEn 2019, le chiffre d’affaires était de près de 8 millions d’euros. Nous avions déjà pris du retard avant le Covid, et en avons pris davantage avec les deux mois de fermeture. Nous visons maintenant 66 millions en 2024. Nous avons neuf boutiques en France et Belgique, et nous sommes chez Victoria’s Secret à New York et Londres, au Bon Marché, aux Galeries Lafayette, au Printemps, au Japon, en Australie...\n\nVotre rêve de croissance? \n\nConquérir le monde! \n\n \n \n Etam Lingerie\n Covid-19\n \n | 2design
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https://www.influencia.net/pourquoi-new-york-est-toujours-the-place-retail/ | Storytelling | cliquer sur play pour ecouter la version audio bertrand leseigneur car malgré la pandémie ny encore connu son lot de nouveaux magasins dans un contexte très difficile sans touristes et avec beaucoup habitant partis vivre loin de la ville new york tout de même réussi à stabiliser le nombre de ca covid et à innover pour attirer le client en magasins grâce à un renforcement de mesures hygiène bien sûr mais aussi à la proposition de nouveaux moyens de paiements un design de magasin différent permettant de conserver le distance sociales et de nouveaux service liés à la livraison ou au retour produit ainsi on peut citer une vingtaine ouvertures de magasins ou de lancement de service innovants durant la pandémie qui prennent en compte le nouvelles contraintes liées au covid l le américains aiment tout abord consommer est un fait le stimulus check ont pa été la seule raison de cette embellie il a eu aussi un réel besoin de soutenir le commerçants on peut citer exemple de la librairie strand à new york qui après avoir lancé un appel à s client pour lui permettre de ne pa fermer s porte reçu 25000 commandes en 1 journée contre 300 par jour en moyenne le magasins ont développé de nouvelles règles hygiène pour rassurer le client il ont aussi offert de nombreuses option de livraison pour conserver un niveau de consommation élevé tout en restant chez soi on peut aussi citer le fait que de nombreux américains ont dû travailler de chez eux mais il étaient habitués à commander leur repas au bureau il ont donc dû se remettre en cuisine ou commander auprès de leurs restaurant locaux ce qui entraîné une hausse du commerce alimentaire l un de principaux changements cette année en magasin est augmentation de offres de moyen de paiement avec ou sans carte avec son smartphone sa montre ou par un qr code tous le moyens sont bons pour permettre aux client de payer de la manière la plus sûre et en évitant au maximum le contact est ce transposable en france oui si la réglementation le permet et si le startup et fintechs réussissent à exprimer l bien que de mouvements sociaux se soient organisés cette année le employés ont été mi en avant pour leur rôle durant la pandémie et se sont vus récompensés par de prime cependant on ne peut citer que peu exemples marquants dans lesquels le employés ont été au cœur du dispositif de relance une manière autre que celle liée à leur emploi certaines marque ont voulu transformer leurs employés en influenceurs sur tiktok autres ont offert leur temp dans de action bénévoles et enfin on peut parler du rôle important de entreprises cette année dans accès aux bureau de vote de leurs employés certains employés ont pu être bénévoles sur le bureau de vote tout en étant payés par leur entreprise ce qui était pa le ca auparavant l comme on peut imaginer le covid eu un effet négatif sur le ouvertures de magasin cependant il a eu quelques belle surprise comme naked retail la curation de marque avait connu un bel essor au temp du magasin this is story et elle devient à nouveau rapidement une stratégie commerciale majeure car de plus en plus de consommateurs apprécient le option de produits sélectionnées pour échapper au nombre écrasant de choix qui leur sont offerts avantages pour le marque gain de temp et argent et plus de possibilités de créativité la curation en magasin un grand avenir et naked retail en est le parfait exemple elle exploite deux magasins à new york remplis de toutes sortes de marque dtc branchées comme pangaia et lele sadoughi pour en savoir plus sur what up retail est ici musnik isabelle | 0agronomy
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/pourquoi-le-fondateur-de-mon-quotidien-veut-creer-un-nouveau-type-de-college_51798 | R.O.I. | Comment avez-vous présenté les attentats du 13 novembre à votre jeune public ? Exceptionnellement, en raison de l’actualité, les journaux étaient disponibles gratuitement en ligne. Nous avons eu 500.000 téléchargements en trois jours. Les enfants viennent pour essayer de comprendre ce qui s’est passé. Nous sommes là pour expliquer. Comment peut-on aujourd’hui espérer vivre avec un modèle économique 100% papier ? Nous avons fait beaucoup de tests, et nous nous sommes rendu compte que les jeunes préféraient le papier. Dans la plupart des familles, les enfants ont un temps limité sur les tablettes et sur les écrans. Ils ne veulent pas que ce temps soit pris pour la lecture du journal. Ils préfèrent utiliser la tablette pour les jeux vidéo. Les parents, de leur côté, sont rassurés de voir leurs enfants avec du papier dans la main et pas une tablette, en se demandant s’ils sont en train de lire le journal ou de faire autre chose. >> Retrouvez l'intégralité de l'interview en vidéo : Et pour les livres et les jeux ? Là encore, les enfants préfèrent avoir du papier dans les mains, car nos jeux nécessitent des manipulations. Nous faisons appel à un diffuseur et à un distributeur dans les librairies. Tant que les librairies fonctionnent, nous sommes ravis d’y être. Et il n’y a aucune raison que cela s’arrête. A qui appartient PlayBac ? Le capital de l’entreprise n’a pas changé depuis trente ans : il est entre les mains des trois associés, François Dufour, Jérôme Saltet et moi-même. La partie édition, avec les livres et des jeux, réalise un chiffre d’affaires d’environ 10 millions d’euros avec 8% de résultat. Pour la presse, le chiffre d’affaires est plus important, puisque nous faisons nous-mêmes la distribution : autour de 16 millions d’euros, avec 6 ou 7% de rentabilité. Comment faites-vous pour rester bénéficiaire, quand la plupart des journaux sont aujourd’hui sous perfusion financière ? Le fait de détenir à trois le capital de l’entreprise nous permet d’avoir des projets et de les mener à bien. Il y a vingt ans, quand nous avons créé notre premier quotidien pour les jeunes, personne n’y croyait. Nous avons réussi parce que nous avons eu très rapidement un taux d’abonnement important, de l’ordre de 200.000 aujourd’hui, qui nous donne une assise financière suffisante. Par ailleurs, la publicité compte relativement peu dans notre modèle économique, si bien que nous sommes moins sensibles aux aléas de la conjoncture. Enfin, nous ne sommes pas vendus en kiosques mais sur abonnement, ce qui nous fait économiser la distribution. Vous avez également le projet de créer un collège PlayBac. De quoi s’agit-il exactement ? C’est un rêve que nous avons depuis de nombreuses années. Il s’agit de la création d’un collège avec la méthode PlayBac. L’Education nationale et le rectorat se sont mis d’accord. Cela va prendre encore trois ou quatre ans. Il faut le construire entièrement, car il aura une architecture bien particulière. Nous espérons redonner envie d’apprendre aux enfants. Entretien réalisé au Victoria 1836 par Paul Loubière et Jean-Baptiste Diebold \n\n \n | 5learning
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https://www.frenchweb.fr/fintech-pennylane-leve-15-millions-deuros-aupres-de-global-founders-capital-et-partech/412296 | Financing | la plateforme d’expertise comptable en ligne pennylane lève million d’euros en série auprès de s investisseurs historiques global founder capital et partech. la startup parisienne avait déjà levé million d’euros en amorçage auprès de global founder capital, partech et kima venture en mai . fondé fin en bêta et lancé officiellement en janvier , pennylane est une plateforme permettant aux dirigeants d’entreprise de gérer le données financières de l’entreprise en temp réel. elle centralise toutes le données financières (banque, achats, vente, caisse, service d’encaissement) pour proposer une vision globale aux entrepreneur client de la solution. depuis peu, la startup propose en effet sa plateforme en mode saas pour le dirigeants d’entreprise à partir de euro ht par mois. il ont également la possibilité de donner à leur expert-comptable un accès à la plateforme pour lui permettre d’y tenir la comptabilité. créée par le fondateurs de pricematch, la startup parisienne propose une alternative aux entrepreneur qui utilisent souvent excel avec une plateforme entièrement dédiée à la comptabilité. pennylane revendique un chiffre d’affaires de million d’euros et plus de clients, startup comme tpe et pme, en particulier de restaurateur et e-commerçants. « grâce à cette nouvelle levée de fonds, pennylane va pouvoir poursuivre pleinement sa mission d’accompagnement de dirigeants, dans ce contexte de crise et de transformation numérique à marche forcée », commente arthur waller, co-fondateur de pennylane. cette année, la startup également développé un service d’expertise-comptable, pennylane compta, se basant sur une plateforme partagée entre l’expert-comptable et l’entreprise. sur ce secteur, on retrouve de startup françaises aguerrie à l’instar de dougs ou encore compta clémentine. « en un an d’existence, pennylane prouvé sa capacité à répondre à un besoin croissant de entreprises : avoir accès à toutes s données financières au même endroit, constituant une valeur ajoutée stratégique en pleine crise économique », commente david sainteff, partner chez global founder capital. « nous soutenons l’idée que pennylane deviendra l’opération system financier de tpe-pme européennes dans le cinq an à venir. » la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateurs : arthur waller, alexandre roquoplo, felix blossier, edouard mascré création : siège social : paris, ile-de-france secteur : fintech activité : plateforme permettant aux dirigeants d’entreprise de gérer le données financières de l’entreprise en temp réel financement : million d’euros en série auprès de s investisseurs historiques global founder capital et partech. pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux (richard@decode.media)nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris | 8production
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/welcome-to-the-jungle-la-start-up-qui-reinvente-le-marche-de-l-emploi_494744 | Storytelling | Welcome to the Jungle, drôle de nom! A quoi sert ce site? Notre constat était double. A la trentaine, plusieurs de nos amis n'étaient pas heureux au travail. Ils voulaient découvrir de nouveaux métiers, mais l'expérience de recherche d'emploi en ligne était épouvantable. En face, je travaillais en capital-risque avec des entreprises qui se demandaient: "Comment recruter? Nous n'avons pas un gros budget, et il est très difficile de faire ressortir dans une offre d'emploi notre différence qui vient de la vision des fondateurs, de l'équipe." Quelles solutions proposez-vous? Sur notre site, chaque entreprise possède un profil enrichi au maximum, avec du contenu éditorial, des photos, des vidéos, des statistiques clés comme l'âge moyen, le nombre de salariés, le turnover ou la parité. Vous avez lancé plusieurs sites avant de faire marche arrière. Pourquoi? Nous avions fondé Welcome to the Jungle pour les entreprises de la tech, puis un site sur le luxe et un sur la finance. Pour chacun, nous avions créé du contenu sur mesure. Mais certaines entreprises sont transversales et certains candidats plus intéressés par un métier qu'un secteur. De plus, notre marque Welcome to the Jungle résume parfaitement notre discours: l'emploi, c'est la jungle, pour s'y retrouver, il faut donner des armes aux candidats. Nous ne voulions pas diluer ce message avec d'autres marques. Nous regroupons donc tous les sites sous Welcome to the Jungle. Pourquoi avoir levé 2 millions d'euros en début d'année? Nous voulons continuer à développer la plateforme et renforcer notre équipe. Au début, nous étions deux, et maintenant, une trentaine. Nous voulons aussi nous déployer dans un nouveau pays en fin d'année, sûrement l'Espagne ou l'Italie. À terme, quelle est votre vision? Remplacer Pôle emploi? Non. Plus de 80% de nos utilisateurs détiennent un bac +5 ou plus. Le sujet pour nous est de devenir un vrai média sur l'emploi, en proposant aussi du contenu global sur le recrutement, les métiers. A la rentrée, nous lançons des nouveaux formats vidéo avec une nouvelle identité. Le second point, c'est de construire un acteur européen. Un tiers des candidats sur notre site envisage de travailler à l'étranger et deux tiers de nos entreprises clientes ont au moins un bureau hors de France. Comment convaincre les start-up de payer votre service? Notre conviction initiale était d'offrir un prix incitatif aux start-up car aucune ne peut se payer une démarche de marque employeur classique. Le prix de notre abonnement annuel évolue en fonction de la taille de l'entreprise et de la quantité de contenu publié. Nous ne sommes pas encore rentables, mais l'objectif est de l'être l'an prochain. Nous avons déjà réalisé plusieurs milliers de recrutements. De quoi êtes-vous le plus fier? J'ai créé une entreprise avec un ami et nous sommes davantage amis maintenant! Le sujet c'est de ne pas avoir d'ego et d'avoir des rôles significativement différents. \n\n \n \n Pôle emploi\n Start-up\n \n | 12society
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https://www.lavoix.eu/fr/news/85/mars2013-attention-a-la-redaction-des-libelles-de-vos-marques | Securing | Il s’agissait pour la Cour de trancher plusieurs questions d’interprétation de la directive 2008/95CE du Parlement européen et du Conseil du 22 octobre 2008 sur le point de savoir si cette directive imposait que les produits et services désignés pour l’enregistrement d’une marque aient un certain degré de clarté et de précision.Dans l’affirmative, elle devait déterminer si cette même directive s’opposait à l’utilisation d’un intitulé de classe général, et, si une telle utilisation permettait ispo facto de revendiquer l’ensemble des produits et services de ladite classe.A ces questions, la Cour a répondu que la directive exigeait que les produits et services pour lesquels la protection de la marque est demandée soient suffisamment clairs et précis, non seulement pour harmoniser les méthodes de travail des autorités nationales compétentes, mais également pour assurer la sécurité juridique des différents opérateurs économiques intéressés.La Cour a également considéré que la directive 2008/95 ne s’opposait pas à l’utilisation d’un intitulé général de classe de produits ou services à partir du moment où le demandeur à l’enregistrement précisait si cette demande de protection portait sur la totalité des produits et services de la classe visée. Le communiqué émis par l’INPI le 15 janvier dernier est, sur ce point, en contradiction avec la décision de la Cour et en restreint la portée.En effet, contrairement à l’OHMI, l’INPI considère qu’il n’est pas possible de désigner l’ensemble des produits et services d’une classe en utilisant l’intitulé général suivi d’une mention revendiquant une protection pour la totalité des produits et services de la classe en cause. Le déposant doit reprendre dans le libellé de marque la liste alphabétique des produits ou services précis de la classe visée telle que répertoriée dans la classification de Nice, afin de répondre aux besoins de clarté et de précision.Les déposants qui décideraient de suivre la décision de la Cour de justice du 19 juin 2012 en utilisant la mention « la protection est revendiquée pour l’ensemble des produits et services de la classe » se verraient notifier une décision d’irrégularité demandant correction et, à défaut de mise en conformité, leur dépôt ferait l’objet d’un rejet partiel d’enregistrement et ne serait enregistré que pour les produits et services mentionnés au dépôt.L’INPI impose donc de préciser la liste des produits ou services de la classe dont la protection est revendiquée.LAVOIX peut bien entendu vous aider dans cette tâche.Rédacteur: Catherine Levalet | 3digital
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https://www.lavoix.eu/fr/news/294/L'OEB-clarifie-les-exceptions-à-la-brevetabilité-pour-les-produits-obtenus-par-des-procédés-biologiques | Securing | 1. Dans des décisions récentes (G2/12 ; G2/13), la Grande Chambre de recours a estimé que les végétaux et les animaux obtenus par des procédés essentiellement biologiques ne sont pas exclus de la brevetabilité, même si le procédé sous-jacent est exclu de la brevetabilité. Cette approche a été critiquée comme n'étant pas conforme à l'intention de la directive européenne sur les inventions biotechnologiques (98/44/CE), qui avait été transposée dans la CBE en 1999. 2. Afin de clarifier la CBE à cet égard, les règles 27 CBE et 28 CBE ont été modifiées. La règle 28 CBE est modifiée pour contenir un paragraphe 2 ajouté : "1. en vertu de l'article 53(a), les brevets européens ne sont pas délivrés pour les inventions biotechnologiques qui concernent notamment (a) les procédés de clonage d'êtres humains ; (b) les procédés de modification de l'identité génétique germinale de l'être humain ; (c) les utilisations d'embryons humains à des fins industrielles ou commerciales ; (d) les procédés de modification de l'identité génétique des animaux susceptibles de provoquer chez eux de souffrances sans bénéfice médical substantiel pour l'homme ou l'animal, ainsi que les animaux résultant de ces procédés. 2. En vertu de l'article 53 (b), le brevet européen ne peut être délivré pour des végétaux ou des animaux obtenus exclusivement au moyen d'un procédé essentiellement biologique". La règle 27 CBE (b) est modifiée en conséquence et devient "(b) sans préjudice de la règle 28, paragraphe 2, plantes ou animaux si la faisabilité technique de l'invention n'est pas limitée à une variété végétale ou animale particulière. Les nouvelles règles sont entrées en vigueur le 1er juillet 2017. Les procédures précédemment suspendues devant l'OEB concernant les affaires relatives aux végétaux ou aux animaux obtenus par des procédés biologiques seront reprises et les nouvelles règles seront appliquées aux affaires en cours. Ces informations sont données à titre indicatif et ne constituent pas un avis juridique. | 6medical
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/bricolage-comment-manomano-a-reussi-a-depasser-amazon-en-france_752514 | R.O.I. | Challenges - Vous publiez des résultats record. L’effet Covid-19? Christian Raisson - En 2020, notre volume d’affaires a atteint 1,2 milliard d’euros, en hausse de 100%. Pendant le confinement, notre activité a quadruplé: les gens se sont reportés sur Internet et ont davantage bricolé. Ensuite, l’activité est un peu retombée, mais en restant à un niveau très élevé. Notre marché s’est incroyablement digitalisé. Il y a un an, vous leviez 125 millions d’euros. Qu’en avez-vous fait? Nous avons accéléré à l’international, qui pèse désormais 40% des ventes (contre 30% fin 2019), déployé notre offre pour les professionnels (en hausse de 140%) et notre solution logistique ManoMano Fulfillment. Nous avons trois entrepôts, en France, Espagne et Italie. Nous avons recruté 200 personnes, et en embaucherons encore 350 cette année, pour atteindre la barre du millier. Pourquoi avoir attaqué le B to B? Pour doubler la taille de notre marché. Le segment B to B pèse autant que le B to C: 200 milliards en Europe. Avec d’un côté les consommateurs et de l’autre ceux qui peuvent réaliser les travaux, et nous pouvons les faire travailler ensemble. Allez-vous lancer des services? Oui. Nous avions déjà lancé une plateforme de mise en relation entre bricoleurs et clients, fermée il y a un an et demi. Elle plafonnait. Nous allons offrir des services pour les particuliers et les professionnels, peut-être en fin d’année. Mais nous le ferons différemment. En France, sur votre catégorie, vous avez dépassé Amazon. Comment? Nous apportons du prix, du choix, du conseil. Nous ne travaillons qu’avec 3.600 marchands, choisis pour leurs marques, leurs prix, la qualité de leurs opérations. Nous leur amenons de gros volumes, en échange d’une commission de 10 à 25%, et les conseillons. Nous proposons un choix énorme de 10 millions de produits techniques, semi-professionnels. On n’en retrouve qu’un faible pourcentage sur les plateformes comme Amazon. Pourriez-vous ouvrir un magasin? Je ne dis pas non. Certaines initiatives marchent très bien, comme les corners Screwfix en Angleterre. Tout est possible, chez nous. A nos débuts, nous ne pensions pas aller à l’étranger, et nous sommes présents désormais dans six pays! Comment expliquer cette réussite? La rencontre avec Philippe de Chanville a été cruciale. Sur le papier, nous sommes les mêmes, des mâles de 40 à 50 ans, avec 4 à 5 enfants, diplômés de l’Edhec, plutôt spécialisés en finance. En réalité, nos styles et approches sont différents. L’un s’occupe de l’offre, l’autre de la demande. Comment travaillez-vous ensemble? Avec nos tempéraments de feu, au début, nous nous sommes bien accrochés! Il a fallu quelques années pour se mettre au diapason. Aujourd’hui, nous passons beaucoup de temps ensemble et notre entente est plus importante que tout. Après avoir créé l’entreprise à 50-50, nous ne sommes plus majoritaires. ManoMano, c’est pour la vie? Oui, c’est l’histoire d’une vie. Ce n’est pas un coup… Votre rêve de croissance? Etre leader européen. \n\n \n | 5learning
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https://www.makery.info/2015/07/06/un-australien-fabrique-son-satellite-maison/ | Needs | Lorsque Stuart McAndrew a entrepris de construire son satellite dans son jardin australien, le fameux backyard anglo-saxon, il ne s’attendait pas à devenir une petite célébrité nationale. Un article dans une gazette locale a suffi à le propulser sur le célèbre site scientifique Phys.org. Stuart s’en amuse mais compte bien mettre à profit ce coup de projecteur pour mener son entreprise jusqu’aux étoiles. Son satellite, OzQube-1, de la taille d’un Rubik’s Cube, appartient à la catégorie des picosatellites, les Cubesats mis au point en 1999 par Bob Twiggs de l’université de Stanford et dont la conception est surtout associée à des programmes pédagogiques. Ces nano-satellites sont ensuite déployés dans l’espace pour les premiers de la classe par la Nasa, l’ESA ou encore le CNES (Janus) et sont détruits entre trois et seize semaines plus tard en rentrant dans l’atmosphère. Stuart McAndrew, lui, est juste un ingénieur système avec un rêve. Il voulait faire des photos de l’Australie depuis l’espace… Le site DiY Space Exploration explique comment les Cubesats peuvent servir à toutes sortes de tâches. A quoi servent les Cubesats ? DiY Space Exploration, 2014 : Stuart McAndrew découvre en 2013 l’aventure d’une entreprise écossaise qui vient d’obtenir les fonds pour son lancement sur Kickstarter. Pocketqube Shop propose une nouvelle classe de picosatellites, encore plus petits que les CubeSats existants: 5 cm au lieu de 10. L’entreprise les assortit d’un programme de lancement nettement moins coûteux que tout ce qui existe alors. «Les fablabs pourraient être le terreau pour la prochaine génération d’ingénieurs de satellites.» Cependant, l’Australien n’achète pas le kit, proposé à 3.000 euros. Il pense au contraire que « construire un satellite était la seule manière d’en acquérir les connaissances et de démontrer que c’était possible pour quelqu’un qui n’avait pas accès aux ressources universitaires ou gouvernementales. » Il se procure alors chacune des pièces et documente ses recherches. Stuart découvre que tous les composants sont disponibles sur le marché et que les connaissances requises sont assez proches, c’est à dire pas plus compliquées que celles dont on a besoin pour utiliser un microcontrôleur Arduino. Le cerveau du OzQube-1, appelé CDH (Command and Data Handling), est ainsi un microcontrôleur qui ressemble à l’Arduino Pro Mini 3.3V. «Les futurs satellites utiliseront peut-être une architecture différente mais je voulais que le OzQube-1 reste quelque chose avec lequel les gens étaient familiers.» The @OzQube1 Command and Data Handling (CDH) module contains an @Atmel ATmega328P microcontroller + more #pocketqube pic.twitter.com/MGWJ1PKjTo Le satellite intègre également une carte SD pour stocker les images de la caméra et des données télémétriques. Un capteur de mouvement 9 axes, trouvé chez Invensense, mesure l’orientation du satellite et la force du champ magnétique terrestre. If you were wondering why my circuit board has a hole in the middle, here's the camera lens that fits through it! pic.twitter.com/8HA5CMGRIs Stuart s’est également lancé dans la conception d’un radio transmetteur low cost à partir d’une carte Silicon Labs Si4463, qu’il a présenté à la plateforme Hackaday. #Satellite Week: QubeCast Max is a high powered radio communications board #PQ60 @ozqube1 http://t.co/9qMNdexKSf pic.twitter.com/AoJPLQUAu0 Une autre pièce importante est le RTC (Real Time Clock), une horloge plus précise que le microcontrôleur et qui utilise moins d’énergie. Enfin, justement, en matière d’alimentation, la carte EPS (Electrical Power System) contient 4 canaux pour panneaux solaires, une batterie Li-ion, une batterie séparée et des rails de 3,3 V. First proper solar panel for @OzQube1 done in a skillet! At least it's non-stick... pic.twitter.com/CuSKwkni4c Ce type de satellite a vocation à être déployé entre 150 km et 600 km d’altitude, la zone où se trouvent l’ISS et de nombreux satellites scientifiques. Si la conception du OzQube-1 a coûté moins de 1.000 euros à Stuart, auxquels il faudra ajouter quelques milliers d’euros pour les tests de résistance (vibration, température, etc.), la mise en orbite n’est pas dans ses moyens. Pour 15.000 euros, les Ecossais de PocketQube Shop lui trouveraient une petite place sur le satellite Unisat7. Et encore s’agit-il d’un prix d’ami, PocketQube Shop nous ayant indiqué un coût de 25.000 euros le vol. L’Australien compte faire appel au crowdfunding pour financer sa place sur Unisat7, qui doit être mis en orbite en 2016. En une dizaine d’années, la démocratisation des lancements satellitaires s’est accélérée. Un lancement coûtait alors le prix d’une maison, puis d’une voiture et approche celui d’une moto. Les Californiens d’InterOrbital proposent ainsi une alternative à 8.000 euros environ… sur une fusée encore en développement. Cette annonce a évidemment suscité de nouvelles vocations. L’autre piste pour faire baisser les coûts consiste à miniaturiser encore plus. C’est le but du projet Kicksat, des New-Yorkais qui proposent de lancer des satellites-puce à partir d’un Cubesat. Vous suivez ? La Nasa oui, puisqu’elle leur propose une place sur l’un de ses prochains lanceurs. Le DiY s’invite de plus en plus dans l’open espace. Les Texans d’Ardulab veulent « créer une communauté de hackers de hardware spatiaux » en proposant de construire de petits labos arduinesques pour mener des expériences de micro-gravité à bord de l’ISS. « Plus il y aura de projets, plus les prix baisseront », affirme logiquement Stuart McAndrew. Au final, les Arduinos ne sont pas les seuls du bestiaire des labs qui pourraient contribuer à réduire les coûts du lancement. Students Aim for Space with 3D-Printed Rocket Engine http://t.co/3ZvFzQ10DS pic.twitter.com/SUtkUoUejJ Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.lavoix.eu/fr/news/362/G3-19-Hiérarchie-des-dispositions-de-la-CBE-Suivi-de-la-décision-T1063-18-relative-à-la-règle-28-2-CBE | Securing | I. L'affaire T1063/18 (voir notre alerte IP de février 2019), porte sur la brevetabilité des végétaux et en particulier sur le conflit entre l'article 53(b) de la CBE et la règle 28(2) de la CBE. La Chambre de recours a décidé : "Puisque la règle 28(2) CBE exclut de la brevetabilité les végétaux ou les animaux exclusivement obtenus par un procédé essentiellement biologique, sa signification est en conflit avec la signification de l'article 53(b) CBE tel qu'interprété par l'ABE". La chambre déclare en outre que la règle 28(2) CBE renverse l'opinion de la Grande Chambre de recours sur l'article 53(b) CBE et ne peut donc pas être interprétée de manière à ce qu'aucune contradiction ne soit possible. De plus, comme la CBE prévaut sur les règlements d'exécution, l'interprétation de l'article 53(b) CBE par la Grande Chambre de recours est applicable. II. Afin de clarifier la portée de la décision, le Président de l'Office européen des brevets a renvoyé la question suivante à la Grande Chambre de recours : "1. eu égard à l'article 164(2) CBE, le sens et la portée de l'article 53 CBE peuvent-ils être clarifiés dans les règlements d'exécution de la CBE sans que cette clarification soit a priori limitée par l'interprétation dudit article donnée dans une décision antérieure des chambres de recours ou de la Grande Chambre de recours ? 2. Si la réponse à la question 1 est affirmative, l'exclusion de la brevetabilité des végétaux et des animaux exclusivement obtenus au moyen d'un procédé essentiellement biologique en vertu de la règle 28(2) CBE est-elle conforme à l'article 53(b) CBE qui n'exclut ni n'autorise explicitement ladite matière ? III. Suite à la saisine, le Président de l'Office européen des brevets a décidé que toutes les procédures devant les divisions d'examen et d'opposition de l'OEB dans lesquelles la décision dépend entièrement du résultat de la saisine susmentionnée, seront suspendues d'office jusqu'à ce que la Grande Chambre de recours rende sa décision. Les procédures de recherche ne sont pas suspendues. IV. Pour conclure, la question de savoir si les demandes de brevet peuvent être refusées par les divisions d'examen sur la base de la règle 28(2) CBE est désormais ouverte jusqu'à la décision de la Grande Chambre de recours. Ces informations sont données à titre indicatif et ne constituent pas un avis juridique. Publications | 10science
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https://www.academieduservice.com/2021/12/16/tendances-relation-client-2022-thierry-spencer/ | Desirability | Le 8 décembre 2021, Thierry Spencer auteur du blog Sens du Client et associé de l’Académie du Service a présenté les 6 grandes tendances de la relation client pour l’année 2022. Au premier étage de la mythique Tour Eiffel ou en webinar zoom, cette matinée a été aussi l’occasion de présenter son exercice de prospective annuel afin de prendre du recul, s’inspirer, imaginer et se préparer à la nouvelle année qui arrive. Cette année, Erdil (Solutions d’analyse sémantique de verbatim) et Talkdesk (Solutions d’automatisation basées sur l’intelligence artificielle pour optimiser les processus de service client) sont les partenaires de cette édition. Découvrez l’essentiel des 6 tendances de la relation client 2022 expliquées par Thierry Spencer. Sommaire Les entreprises essaient de répondre aux exigences de leurs clients. Cependant, les consommateurs témoignent d’un manque de confiance envers les marques. Une étude révèle que seulement 34% des consommateurs pensent que les entreprises sont de bonne foi quant à leurs engagements et à leurs promesses. Cette défiance n’est pas nouvelle car les clients ont toujours été très critiques. Mais elle est loin d’être écoutée par les entreprises. En effet près de la moitié des consommateurs (48%) considèrent que les contenus fournis par les marques sont jugés non utiles pour les consommateurs. Ces chiffres prouvent que l’attente de preuve est essentielle. La transparence est devenue non négociable. Si bien que 52% des clients sont prêts à payer plus si certaines informations sont fournies telle que le respect de l’environnement / caractère durable, l’origine des produits / le lieu de fabrication ou encore les certificats / label… Depuis quelques décennies, on observe pléthore de labels pour lutter contre la fraude, mettre en avant la qualité d’un produit notamment concernant le bio et le respect de l’environnement. Cependant, les consommateurs sont seulement 52% à avoir confiance dans les labels. Les applications de notation de produits alimentaires ou cosmétique telles que Yuka ont un succès phénoménal avec plus de 20 millions d’utilisateurs. Quant au Nutriscore, il a un réel impact sur la consommation : en moyenne +5% de CA pour les produits ayant un Nutriscore A. Les marques qui co-construisent leurs produits avec leurs clients telles que “C’est qui le patron ?!” rassemblent des communautés de millions de consommateurs. Ce n’est pas anodin. Il y a un vrai besoin d’engagement et de transparence dans tous les secteurs : cosmétiques, vêtements, alimentation… Les informations sur les produits sont essentielles pour guider et rassurer les Français, qui sont 82% à penser qu’il y a de moins en moins de repères et de valeurs dans notre société. Thierry Spencer a sélectionné plusieurs messages publicitaires qui, tous les jours, nous parlent de temps gagné, de secondes promises, de délais raccourcis… Pourquoi ? Car le bénéfice du temps est réel et les clients sont plus en plus sensibles à l’exactitude. Les marques promettent désormais un gain de temps, en plus de leur produit ou service. La dynamique qui vient appuyer cette tendance est l’avènement du quick commerce. La livraison dans les temps est le premier critère de livraison des clients (76%) suivi par le montant (73%) et une politique de retours simplifiée (49%). La nouvelle génération est en attente de délais toujours plus courts. 70% des consommateurs affirment qu’ils ne feront plus appel à une marque si elle n’informe plus sur un retard (Etude peak season 2021 ParcelLab). Une preuve que les consommateurs sont de plus en plus exigeants et jugent les marques selon le temps d’attente. Il est étonnant qu’un e-commerçant sur 3 ne communique pas ces délais, alors que rien qu’une approximation peut leur coûter cher . La relation client doit être à la seconde. Pour les clients, le plus important est de résoudre facilement un problème, gage d’une bonne expérience de service client. Et pourtant, les canaux synchrones sont trop lents. 15% des entreprises répondent en moins de 5 minutes par chat quand les leaders de la relation client ont des standards bien plus élevés. Les plus jeunes ne sont pas les plus patients ! 63% des jeunes internautes sondés déclarent perdre patience sur des sites lents ou présentant des difficultés de fonctionnement. Thierry Spencer conseille aux entreprises de prendre en compte cette dimension temps, cruciale et chère aux consommateurs. Les clients sont prêts à la rareté du contact. 79% d’entre eux sont prêts à s’adapter à moins de contact pour leurs courses et shopping en ligne. Thierry Spencer précise que tous les secteurs d’activité sont concernés. Cette baisse n’est pas nouvelle. D’après le Baromètre de la Symétrie des Attentions de l’Académie du Service, le canal physique perd 24 points en 7 ans. Depuis 8 ans les commerces ont enregistré une baisse de 30 à 40% de fréquentation. Les jeunes générations sont celles qui affectionnent particulièrement l’achat en ligne. Cependant, à la question “Où trouvez-vous les informations qui vous aident à prendre une décision pour un achat ?”, les Français affirment leur volonté d’aller en magasin. Les clients se plaignent du trop peu de joie dans l’expérience en magasin. Nous observons que seulement 2 clients sur 10 pensent que l’expérience en magasin est meilleure. Des plateformes en lignes ressortent grands leaders comme Etsy qui peut se targuer de vendre de l’extraordinaire et de préserver l’aspect humain du commerce. Aujourd’hui le challenge pour les marques est de casser les codes de l’expérience et de susciter le bonheur, le plaisir autant en physique qu’en digital. L’enseigne préférée des Français, Décathlon, cultive cette notion de plaisir dans ses magasins. La marque de vêtement Jennyfer décide de réinventer sa marque en se nommant désormais Don’t Call Me Jennyfer et repense toute l’expérience en magasin. Thierry Spencer rappelle l’importance des avis consommateurs pour les entreprises. L’avis spontané des clients n’est plus du tout anecdotique. L’avis du client est une chance pour le commerçant, ou encore le restaurateur pour un feedback permanent du client. C’est l’opportunité d’avoir sa perception tous les jours par flux. Témoigner est important pour 3/4 des Français qui estiment que les entreprises devraient objectiver l’efficacité de leurs produits ou services par le recueil et la publication systématique des avis de leurs clients. À la question “Si une marque à une mauvaise image sur le web, achetez-vous quand même ses produits ?”, les clients chercheront ailleurs à 73%. Thierry Spencer pointe du doigt que beaucoup d’entreprises sont majoritairement passives, soit parce qu’elles jugent les avis clients inutiles ou que ce n’est pas une priorité. Il est nécessaire de mettre en place une stratégie pour augmenter vos avis clients positifs insiste Thierry Spencer. La collecte de la perception n’est plus à négliger et devrait devenir l’obsession des leaders. Assurez-vous bien de l’alignement entre ce que le client perçoit et ce que vous proposez. La perception est l’obsession des leaders. La collecte de la voix du client le premier indicateur de mesure de la qualité d’une expérience client. Aujourd’hui, le schéma traditionnel qualité / expérience est différent de la réalité de la gestion de l’expérience : Contrairement aux idées reçues, les clients sont prêts à aider les marques à s’améliorer à 84%. Nous observons la volonté des consommateurs à s’exprimer, un défi pour les entreprises qui doivent mettre en place des outils pour recueillir leurs feedbacks. Le client était une personne fractionnée. Depuis ces dernières années, il fait face à une multiplication des propositions. Pour faire ses courses, le nombre d’enseignes a augmenté considérablement, lui donnant l’embarras du choix. Thierry Spencer évoque le succès des DNVB (Digital Native Value Brand), des entreprises qui se sont verticalisées et qui répondent à ce besoin de variété et de diversité dans les expériences. Le secret des DNVB réside dans l’expérience incomparable, créatrice de véritables relations avec leurs clients, en rendant accessibles des produits de qualité, au meilleur prix, accompagnés d’un service exceptionnel. Pour de nombreuses entreprises, le développement des places de marché est un réel défi pour l’année à venir. Plus de la moitié des Français interrogés (52%) déclareraient préférer faire l’ensemble de leurs achats en ligne sur un seul site, plutôt que de commander auprès de plusieurs e-commerçants ou marques indépendantes. On parle de réintermédiation comme nous l’explique Philippe Moati avec son très récent livre La plateformisation de la consommation. Comment ? Thierry Spencer cite deux exemples : Ne plus être sur internet mais dans Internet ? Thierry Spencer nous parle de Metavers et alerte sur l’émergence d’une nouvelle dimension qui nous touchera tous, dont les consommateurs. Il faut s’y intéresser maintenant pour se préparer à l’expérience virtuelle du futur. Les jeux tels qu’Animal Crossing (jeu le plus vendu en France), Fortnite (2 millions de joueurs actifs) ou Roblox (199 millions de joueurs mensuels qui peuvent assister à des concerts au sein du jeu) ont réussi leur pari en créant des espaces sociaux virtuels. Le métavers (monde virtuel fictif) est sans limite, immersif, social, continu, connecté et donc un vrai défi pour les entreprises qui doivent proposer des expériences virtuelles à leurs clients. Le metavers est une visualisation d’Internet en 3 dimensions où l’on se déplace d’un monde à un autre, où l’on peut jouer, travailler, communiquer et interagir avec d’autres personnes et avec des objets virtuels (avec les mots de Bertrand Wolff, CEO Antilogy). Ce nouveau monde repose sur trois technologies majeures : le casque de réalité virtuelle, le Cloud et l’Intelligence Artificielle. Quelques magasins virtuels sont déjà en expérimentation afin de faire vivre une toute nouvelle expérience. On observe avec l’émergence des NFT, de nombreuses cryptomonnaies et ainsi la possibilité de payer dans le nouveau monde. La présence digitale d’une marque devient aussi importante que sa physique à 81% pour les consommateurs. Le futur du commerce est très certainement hybride. Cet exercice de tendances est proposé aux entreprises désireuses de partager auprès de leurs équipes ces points de vue prospectifs, sous forme d’une conférence ou d’un webinar. Pour en savoir plus, rendez-vous sur la rubrique de notre site dédiée à ce sujet. Ces tendances de la relation client 2022 seront évoquées dans la parution d’un livre blanc à retrouver dans notre rubrique Publications et la publication de plusieurs billets sur le blog de Thierry Spencer, sensduclient.com. | 12society
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https://www.makery.info/2014/11/25/des-prototypes-de-jeux-video-pas-comme-les-autres/ | Desirability | Ils étaient 150 artistes, étudiants, développeurs ou designers de jeu vidéo réunis à la Plaine Images de Tourcoing début novembre pour une gamejam de 48 heures menée sous l’égide de Game IN (qui regroupe les entreprises de la filière jeu vidéo dans le Nord) et Pictanovo dans le cadre du festival Zoo Machines. Une session de création intensive en ateliers participatifs improvisés qui a permis la réalisation de douze jeux insolites, répondant autant à l’idée de créer des expériences de jeux inédites que de sortir de l’écran. Douze jeux que le public pourra tester le week-end prochain au Musée d’histoire naturelle et à L’Hybride de Lille. «Ce qui est particulièrement intéressant avec ces jeux, c’est qu’ils sont à la fois simples et qu’ils permettent de ramener du lien social dans la traditionnelle optique multijoueurs», explique Marc Lavigne, délégué général de Game IN. C’est le cas du Jeu de mains conçu par l’artiste Tatiana Vilela et son équipe. Le but du jeu est très simple : aller toucher la main de son partenaire à travers une forme de tissu noire en empêchant l’équipe adverse de faire de même. «Jeu de mains» au Zoo Machines Festival: Composée de matière cotonneuse, ouatée, accessible par une ouverture en forme de lèvres donnant sur un conduit tubulaire puis sur un espace vide en son centre, la box qui sert de plate-forme renforce à l’évidence la nature curieusement organique, sensuelle, voire intimiste d’un jeu particulièrement tactile. « C’était déjà le cas l’an dernier dans le jeu qu’avait conçu Tatiana », rappelle Marc Lavigne, en évoquant Ad Sono, où deux joueurs se faisant face devaient presser simultanément les cinq boutons sanglés sur leurs corps dans une chorégraphie musicale et lumineuse. « Il y a l’idée de créer une excitation du toucher, mais sans toucher à une manette ». Procédant d’un amusant principe de réalité diminuée – pour « aller à l’encontre de cette mode de la réalité augmentée », comme le souligne son principal concepteur, le développeur de jeu vidéo Kevin Bradshaw – The Infinite Viking transpose l’habituelle option de jeu à deux contre l’ordinateur à travers un dispositif où le joueur qui manipule le personnage à l’écran ne le voit pas, et doit ainsi suivre les consignes vocales de son coéquipier qui visualise seul la situation. Par ailleurs, le joueur « aveugle » n’utilise pas de manette de jeu, mais des figurines de papier reproduisant les personnages et le décor du jeu, et dont le simple mouvement manuel capté par une webcam est retranscrit en temps réel dans le jeu vidéo proprement dit. « Toute la difficulté et la richesse du jeu résident dans le temps de latence entre ce que le premier joueur voit et ce que le second joueur fait », explique Marc Lavigne. « Il ne faut aller ni trop vite, ni trop lentement, mais être parfaitement synchronisé. C’est ce principe d’interaction « diminuée » qui rend le jeu encore plus amusant. » «The infinite viking», de Kevin Bradshaw: L’expérience vous tente? Testez les douze jeux le vendredi 28 novembre (19h-23h30) et le samedi 29 novembre (12h-17h), au Musée d’histoire naturelle et à L’Hybride de Lille. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 2design
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https://www.frenchweb.fr/la-startup-francaise-alicebob-leve-3-millions-deuros-pour-se-lancer-dans-la-course-a-lordinateur-quantique/400583 | Financing | après intelligence artificielle qui est imposée comme une tendance majeure dans écosystème technologique une nouvelle notion commence à faire sérieusement parler elle depuis quelques mois informatique quantique derrière ce terme se cache un univers vaste et complexe qui doit permettre atteindre une puissance de calcul inédite et pour cause la brique de base de cette technologie ne repose pa sur le bit mais le qubits bit quantiques contrairement aux bit de ordinateurs classiques qui ne peuvent se trouver que dans deux états 0 ou 1 le qubits peuvent se trouver dans plusieurs états à la fois de ce fait avec cette superposition de états il est possible effectuer plusieurs calculs à la fois et ainsi de parvenir à de algorithmes capables de résoudre le problèmes le plus complex terme le but est de créer ordinateur quantique universel qui pourrait traiter de mass de données gigantesques et réaliser de opérations allant bien au delà de notre imagination cette technologie serait notamment très utile dans le cadre une crise sanitaire comme épidémie de covid 19 avec un développement de vaccins et de médicaments qui serait bien plus rapide qu à heure actuelle an passé ce sont principalement de mastodontes américains google et ibm en tête qui ont fait parler eux pour leurs ambition dans le secteur mais la france estime qu elle son mot à dire comme en témoigne la présentation en janvier 2020 du rapport quantique le virage technologique que la france ne ratera pa de la députée paula forteza qui doit servir de socle à la feuille de route du gouvernement dans ce domaine dans hexagone plusieurs start up sont entrées dans la course à ordinateur quantique à image alice bob qui travaille sur une nouvelle brique élémentaire de qubits capable de corriger le erreurs quantiques pour proposer une première machine universelle ici cinq an la start up française vient de boucler un premier tour de table de 3 million euro auprès elaia via le psl innovation fund et de breega lancée en début année par théau peronnin et raphaël lescanne la société travaille en collaboration avec six laboratoires académiques à savoir inria en psl le mine paristech en lyon le cnrs et le cea cette mutualisation de force vise à développer le qubit de chat de schrödinger étape décisive pour créer un ordinateur quantique universel sans erreur ordinateur quantique accélère drastiquement la résolution de certains problèmes trop complex voire inenvisageables compris pour le meilleurs supercalculateurs actuels comme par exemple optimiser un réseau électrique ou concevoir un médicament explique théau perronin co fondateur et ceo alice bob vous pouvez retrouver intégralité de interview ici la quête vers ordinateur quantique de référence connu une accélération spectaculaire en 2019 notamment sou impulsion de google qui annoncé avoir expérimenté la suprématie quantique avec un processeur capable de faire un calcul en trois minute là où un supercalculateur classique aurait mi près de 10 000 an une suprématie quantique contestée par ibm autre poids lourd du secteur qui développe également une machine quantique de 53 qubits soit équivalent en puissance de celle de google plus tôt cette année le groupe industriel américain honeywell est également entré dans la course en faisant part de son intention de lancer prochainement ordinateur quantique le plus puissant au monde selon le cabinet mckinsey informatique quantique représentera un marché pesant 1 000 milliard de dollar en 2035 fondateurs théau peronnin et raphaël lescanne création 2020 siège social paris activité informatique quantique effectifs 5 collaborateurs financement 3 million euro en mai 2020 auprès elaia et de breega lira aussi pour qu on puisse le considérer comme de concurrents sérieux il devraient déjà changer de nom parce que là on plutôt impression qu il vendent de la compote ou de bonbon et quand un grand compte devra choisir entre ibm et alice bob il se tournera sûrement vers ibm sans même réfléchir est con mais ça se passe comme ça http fr wikipedia org wiki alice_et_bob par contre coté seo ca va être plus dur du coup pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 6medical
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https://www.frenchweb.fr/truffle-capital-leve-400-millions-deuros-pour-investir-dans-la-biomedtech-et-la-fintech-insurtech/387504 | Financing | truffle capital le fonds de capital risque fondé par philippe pouletty et bernard louis roques en 2001 et dirigé par patrick kron levé 400 million euro auprès notamment obratori groupe occitane du groupe guerbet du groupe agrica de la cipav du groupe bpce ou encore de sopra steria 60 de fonds levés sont origine française et 40 internationale ce derniers sont répartis entre deux véhicules investissement 250 million euro sont dédiés au fonds truffle biomedtech et 140 million euro au truffle financial innovation fund le but du premier est investir principalement en france dans une douzaine entreprises qui développent de dispositifs médicaux et de médicaments avec ambition innover dans la médecine interventionnelle mini invasive et la santé tandis que le second été mi en place pour créer et financer entre 12 et 15 sociétés concevant de service et de produits innovants dans le secteurs de la banque et de assurance autour de technology intelligence artificielle et de la blockchain truffle capital également la particularité de participer à la création de certaines de startup fin 2017 le fonds de réserve pour le retraites frr lui confié un mandat dont le premier capitaux lui ont par exemple servi à fonder cinq startup en france qui appuient sur de accord de licence négociés avec de centre de recherches et universités à international on peut par exemple citer holistick medical pour traiter certaines pathology cardiaques sans intervention à cœur ouvert et basé sur une technologie de université de harvard et du mit dans la fintech le fonds également investi et ou co créé cinq startup dont moneytrack spécialisé dans le paiement dirigé remboursement assurance en appuyant sur de technology blockchain développées en partenariat avec inria et en truffle capital aussi investi dans monisnap qui permet de transférer de argent à international via son smartphone sur le 70 entreprises faisant party de son portefeuille 80 ont été co créées par truffle capital pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 6medical
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https://start.lesechos.fr/apprendre/mooc-formations/anna-stepanoff-lentrepreneuse-derriere-les-23-campus-de-la-wild-code-school-1262488 | Magic Team | Si les rues parisiennes restent bien remplies en ces temps de confinement, c'est une toute autre histoire dans les couloirs de la Wild Code School. Au milieu des grandes tables désertées, seuls Anna Stépanoff et ses yeux bleus, les uniques traits que nous verrons de son visage masqué, nous attendent. En 2013, cette femme de 38 ans a créé cette école d'un genre nouveau, avec une volonté : « Transformer l'éducation en profondeur. » Concrètement, elle propose des formations intensives aux métiers du numérique (développement, sécurité, data) de cinq mois, basées sur le « learning by doing », l'autonomie et la responsabilisation. Sept années plus tard, elle peut s'enorgueillir de compter 23 campus en France et en Europe, et depuis cette rentrée particulière, deux 100 % à distance - l'un en français, l'autre en anglais. Pour cette petite-fille d'institutrice, travailler dans l'éducation a toujours été une fin en soi. Avec un mantra : l'innovation. Il faut dire qu'elle a pu observer différents systèmes : biélorusse à l'université, français à Normale Sup'et américain à Harvard où elle est allée jusqu'au doctorat. Après un passage dans le conseil chez McKinsey, Anna Stépanoff décide à 31 ans de lancer sa start-up à La Loupe, une commune de 3.500 habitants dans l'Eure-et-Loir, où elle y possède une résidence secondaire. « Je me disais que si nous arrivions à faire fonctionner cette école dans une aussi petite ville, cela pouvait marcher avec plus d'envergure ailleurs », raconte-t-elle. Pari réussi. Aujourd'hui, La Loupe, qui reste le siège social de l'entreprise, forme une cinquantaine d'élèves par an. Un ancrage local qui lui a d'ailleurs valu d'être décorée de l'Ordre national du mérite en 2019. Son cheval de bataille ? La formation continue. « On investit énormément au début de la vie d'un individu et après, plus rien, observe-t-elle. Je pense qu'il faut raccourcir la formation initiale et démocratiser le fait de pouvoir se former plusieurs mois à chaque période de sa vie. » Pour elle, les dernières réformes sur le Compte personnel de formation (CPF), avec la monétisation, davantage de choix de formation, vont justement dans « le bon sens ». La Wild Code School accueille des adultes, pour la plupart âgés de 25 à 35 ans, en reconversion. La conjoncture a fait émerger de nouvelles candidatures, liées aux licenciements, notamment dans la restauration, le tourisme ou l'aviation. L'entrepreneuse prévoit un chiffre d'affaires de 8 millions d'euros, près du double de l'année précédente, malgré la crise sanitaire qui a ralenti la croissance et poussé l'école à tout passer en distanciel. A LIRE AUSSI : Entre travail et enfants, les jeunes trentenaires pris dans l'enfer de leur double vie Une période difficile pour beaucoup de ses élèves, parfois isolés ou parents et qui ont dû s'occuper de leur progéniture . Tout comme elle, avec ses trois enfants âgés de 2, 7 et 12 ans. « J'ai parfois dû jongler entre les réunions avec mes investisseurs et la dictée de ma fille », se souvient celle, un brin rieuse, qui a levé trois millions d'euros en 2018. Arrivée en France il y a près de vingt ans, cette Biélorusse d'origine, qui avait neuf ans lors de l'effondrement de l'Union soviétique renoue depuis cette année avec sa patrie de naissance. La raison ? La vague d'espoir apportée par Svetlana Tikhanovskaïa pour succéder au président Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994. Une contestation vivement réprimée depuis le mois d'août et vécue comme une douche froide pour l'entrepreneuse. « On a vu le vrai visage du pouvoir en place », confie-t-elle. A LIRE AUSSI : Anna Stépanoff fait école dans le numérique Investie avec la diaspora biélorusse, Anna Stépanoff a participé à des manifestations en France contre le régime. Tout récemment, elle a offert cinq bourses d'études à des compatriotes pour suivre les cours de la Wild Code School, à distance. « Je ne veux pas contribuer au départ massif des Biélorusses, mais plutôt aider ceux souhaitant changer les choses intelligemment », explique celle qui loue une notion plus que jamais en débat aujourd'hui, y compris dans son pays d'adoption : « La liberté d'expression. » | 7people
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https://www.frenchweb.fr/jeux-video-roblox-leve-150-millions-de-dollars-et-pese-desormais-4-milliards-de-dollars/394061 | Financing | roblox un jeu vidéo en ligne lève 150 million de dollar en série à occasion un tour de table mené par le fonds andreessen horowitz late stage venture avec la participation de temasek et tencent ainsi que de investisseurs historiques alto venture meritech capital et tiger global management la startup est désormais évaluée à 4 milliard de dollar selon the wall street journal roblox annonce également le lancement une offre publique achat pouvant atteindre jusqu à 350 million de dollar nous tenon beaucoup à permettre à no premier investisseurs à no anciens employés et à no employés actuels de participer à notre succès financier en cours de route explique michael guthrie directeur financier chez roblox fondé en 2006 par dave baszucki et erik cassel roblox est une plateforme de jeu vidéo en ligne qui permet de créer son propre mode de jeu et de le partager avec la communauté roblox il existe plusieurs type de jeux par exemple de simulation de tirs ou de course obstacle la plateforme est particulièrement prisée auprès de jeunes adolescent et peut apparenter à un réseau social en effet beaucoup utilisateurs utilisent roblox pour se retrouver entre amis dans un jeu il peuvent communiquer via un chat vocal ou sou forme de message roblox est disponible sur console comme sur pc et mobile nous somme restés fidèles à notre vision de la création un lieu sûr et civilisé où le gen se rassemblent pour créer apprendre et amuser et il est étonnant de voir ce que nous avon construit avec notre communauté mondiale de créateurs déclaré dave baszucki pdg et cofondateur de roblox en 2018 roblox publie une étude en partenariat avec comscore révélant que la moitié de jeunes américains âgés de 9 à 12 an jouent sur sa plateforme étude indique que le jeunes de moins de 13 an passeraient plus de temp sur roblox que sur autres plateformes en ligne à instar de youtube netflix facebook ou encore twitch avec 51 5 million heures par mois quant aux adolescent de 13 à 17 an il passeraient en moyenne 32 5 million heures par mois sur roblox soit plus que sur importe quelle autre plateforme excepté youtube qui compterait 59 4 million heures à son actif la société revendique à ce jour 115 million de joueurs par mois en août 2019 roblox dépassé minecraft son principal concurrent qui revendiquait alors 91 million de joueurs actifs si la plateforme de jeu est gratuite roblox tire la plupart de s revenus de achats de vêtements accessoires ou avatar via de robux la monnaie du jeu certaines sociétés utilisent la plateforme de jeu comme un moyen de promotion à instar du club de football de liverpool qui permis aux utilisateurs de roblox habiller gratuitement leurs avatar avec leur maillot dans le cadre de cette levée de fonds roblox ambitionne notamment de poursuivre le développement de s outils et de s technology cet investissement renforce encore notre bilan tandis que nous développons notre incroyable équipe ingénieurs et soutenons no créateurs dans le monde entier avec la technologie et infrastructure nécessaires pour construire de expériences plus immersives plus massif et plus collaboratives commente michael guthrie avec arrivée de tencent à son capital roblox pourrait désormais tenter de conquérir le marché chinois fondateurs dave baszucki et erik cassel création 2006 siège social californie etats unis secteur jeux vidéo activité plateforme de jeu vidéo en ligne concurrents minecraft financement 150 million de dollar en février 2020 en série à occasion un tour de table mené par le fonds andreessen horowitz late stage venture avec la participation de temasek et tencent ainsi que de investisseurs historiques alto venture meritech capital et tiger global management pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 10science
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https://www.makery.info/2017/01/17/sea-bubbles-itineraire-dun-proto-gate/ | Uniqueness | En juillet 2016, le ministre de l’économie Emmanuel Macron, en visite au salon hi-tech Vivatech, annonçait avoir commandé deux navettes futuristes pour Bercy. « Les douaniers m’ont dit que leur bateau faisait des vagues », se justifie-t-il, alors que les Sea Bubbles navigueraient en toute discrétion. Vitesse acquise, cet hydroptère électrique avec sa cabine quatre passagers se soulève de 70cm, laissant apparaître des patins (aussi appelés foils), qui fendent l’eau en silence. Ces quasi ailes immergées à 45° sont soulevées par l’eau, comme l’air porte un avion. Sur foils, la friction réduite de 40% requiert moins d’énergie pour la propulsion. Elaboré dès la fin du XIXème siècle, l’hydroptère est cher au skipper Alain Thébault, à l’origine des Sea Bubbles. Celui qu’il a conçu, l’Hydroptère, un trimaran monté sur des suspensions dérivées de l’avion Rafale, a même battu deux records du monde de vitesse à la voile en 2009, dont l’un au-delà des 100 km/h. En 2015, l’objectif d’Alain Thébault n’est plus la vitesse mais une alternative propre à la voiture par voie fluviale. Il s’associe avec le véliplanchiste Anders Bringdal pour fonder Sea Bubbles, un projet de taxis flottants zéro émission. Les « bulles des mers » parcourraient 100km avec une charge de batterie. Et des embarcadères équipés de panneaux solaires et d’hydroliennes assureraient une recharge 100% énergies renouvelables. Dès sa genèse en juin 2015, les Sea Bubbles ont été pensées pour « désengorger les villes ». Il n’y a pas que Macron à être tombé sous le charme. La maire de Paris, Anne Hidalgo, propose d’expérimenter le proto sur la Seine. Bingo ! Les images rétrofuturistes des petites navettes voguant en lévitation au cœur du Paris millénaire vont faire le tour du monde. Et Londres, Genève, New York, la Silicon Valley par la baie de San Francisco et même Phnom Penh, vont déclarer leur flamme aux Sea Bubbles. Les Parisiens pourront voir les 1ers #Seabubbles voler sur la Seine dès février! #Transports #Innovation @SeaBubbles https://t.co/Ygq4YxzKK9 — Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) January 12, 2017 Les Sea Bubbles n’existent même pas en proto que la start-up de Thébault lève 500 000€ auprès du capital-risque Partech, des fonds publics de la BPI et de Henri Seydoux, propriétaire de Parrot, qui vise la production des Bubbles françaises. Alain Thébault se sent pousser des foils, il contacte Tesla pour les batteries et rêve d’une version sans pilote. Très vite, la presse compare Sea Bubbles à Uber (qui envisage d’ailleurs de s’offrir une flotte). Alain Thébault espère vendre chaque bulle de mer 12 000€, pour peser sur le transport avec des commandes qui dépassent 1 000 véhicules. La start-up a beau être valorisée 10 millions d’euros, la fabrication des prototypes parisiens va quasiment épuiser la première collecte. Pour le skipper, c’est la routine, son Hydroptère a demandé 20 ans de recherche. Il confiait à Usine Nouvelle avoir débuté seul la conception des Sea Bubbles, avec le bon sens « d’un paysan de la high-tech », avant de rejoindre avec Anders Bringdal des ingénieurs dans le garage d’un sous-traitant d’Airbus. Ils y travaillent sur des maquettes imprimées à l’échelle 1/8ème. Ne pas couler les passagers a nécessité plus de 14 versions de prototypes ! En juillet 2016, Le Point diffusait la vidéo d’un essai réussi sur l’eau. En décembre dernier, le fonds MAIF Avenir fait une entrée fracassante au capital de Sea Bubbles, à 3 millions d’euros. Largement de quoi fabriquer les prototypes à l’échelle 1. La cause est-elle entendue ? Une communication bien ficelée, des appuis politiques et financiers qui ne laissent guère place au doute. Pourtant, il reste des défis à relever pour que Sea Bubbles ne se transforme pas en bulle… financière. En septembre, le concurrent slovène Quadrofoil, qui a déjà produit son petit hydroptère, se signalait au duo Thébault/Hidalgo : @pdezaret @Anne_Hidalgo @Alain_Thebault Hey, we're always open for new collaborations 🙂 — Quadrofoil (@Quadrofoil) September 29, 2016 Le Quadrofoil «vole» sur l’eau depuis 2014: Enfin, si les hydroptères ne font pas de vagues, rappelle Olivier Daniélo, ils les craignent, car cela compromet leur suspension. A moins qu’Anne Hidalgo invente une voie réservée aux taxis sur la Seine, Paris fait un peu office de cadeau empoisonné. Alain Thébault rêve sans doute déjà de San Francisco et sa vitesse de navigation à 40km/h pour concurrencer le transport terrestre. Le trafic routier parisien s’écoule péniblement à 15km/h mais le temps d’embarquer et de débarquer des bulles pourrait rétrograder les Sea Bubbles au rang de curiosité touristique. Alain Thébault pourra toujours jouer la carte tarifaire, qui promet une traversée de Paris pour 10€. Reste la solution sans pilote. Le temps d’obtenir les autorisations (et de faire le proto), ce sont peut-être toutes les voitures qui seront volantes. Enfin, côté docks, si les tests des hydroliennes ont été plus que performants, reste l’inconnue des importants écarts saisonniers du débit de la Seine. Le rendez-vous de février (les premiers tests) est anecdotique. C’est en juin prochain que 10 Sea Bubbles entreront en service à Paris. D’ici là, une levée de fonds de 15 millions d’euros devrait couvrir la phase d’industrialisation. De quoi conjurer le sort de l’Hydroptère ? Le trimaran qui a fait la réputation d’Alain Thébault a été vendu en avril 2016 pour éponger les dettes de son créateur… Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 13transport
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https://www.frenchweb.fr/teleconsultation-face-a-doctolib-le-suedois-kry-livi-leve-140-millions-deuros-pour-accelerer-en-europe/388534 | Financing | la plateforme de téléconsultations kry réalise sa plus importante levée de fonds avec près de 140 million euro à occasion un tour de table mené par un fonds de pension canadien le régime de retraite de enseignants de ontario le investisseurs historiques de kry index venture creandum et accel ont également participé à ce tour de table la startup suédoise avait déjà levé 53 million euro en 2018 et 20 million euro en 2017 lancé en 2014 par fredrik jung abbou joachim hedenius johannes schildt josefin landgård kry développé sou le nom de livi en france et en grande bretagne conçoit une application à destination de professionnels de la santé en proposant de consultation vidéo sur smartphone et tablette le marché de consultation en ligne est de plus en plus important et permet notamment de pallier le déserts médicaux kry qui revendique plus de 300 médecins et un demi million de rendez vous pris sur tous s marchés fait face à la concurrence de nombreuses startup sur ce marché à instar du britannique babylon health qui levé 550 million de dollar en août 2019 en france on retrouve qare qui recolté 20 million euro an passé visiomed ou encore doctolib qui est récemment lancé dans le téléconsultations en septembre dernier la startup française revendiquait déjà 40 000 téléconsultations réalisées via sa plateforme avec deux tier de téléconsultations remboursées par la sécurité sociale cela faisait de entreprise le service le plus utilisé dans hexagone la startup basée à stockholm est installée en france en septembre 2018 profitant du remboursement de téléconsultations médicales via assurance maladie kry également présent en norvège et en espagne ambitionne de renforcer sa présence en europe fondateurs fredrik jung abbou joachim hedenius johannes schildt josefin landgård création 2014 siège social stockholm secteur santé activité téléconsultation sur mobile et tablette concurrents babylon health qare visiomed doctolib financement 117 million de livres soit près de 140 million euro en janvier 2020 auprès du régime de retraite de enseignants de ontario index venture creandum et accel pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 6medical
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https://www.lavoix.eu/fr/news/233/barometre-de-la-pi-lavoix-edition-2016 | Legitimacy | Comme en 2015, LAVOIX a confié l’administration du questionnaire à la société EDFIELD, société spécialisée dans le « terrain d’études » (www.edfield.fr). Convaincus que le Baromètre de la PI constitue pour les professionnels de la PI un véritable outil pratique, nous serions très heureux que vous acceptiez d'y participer en y consacrant quelques minutes. Pour répondre au questionnaire 2016, il vous suffit de vous connecter au lien suivant : Accéder au questionnaire, en cliquant ici. Comme lors des précédentes éditions, vos réponses seront traitées de manière anonyme. A noter que la restitution des résultats se fera par la publication d’une synthèse du Baromètre de la PI, prévue pour fin Mai 2016. RAPPEL : C’est donc pour aider les responsables en charge de la PI à optimiser leur activité, que LAVOIX a décidé de créer, en 2011, ce Baromètre de la PI, qui a pour objectifs de : Pour plus d'informations, merci d'adresser un email en cliquant ici | 10science
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https://www.makery.info/2015/11/10/du-wifi-pour-voir-a-travers-les-murs/ | Needs | Des chercheurs du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont mis au point un routeur wifi qui voit à travers les murs : placé derrière une paroi, il permet de distinguer jusqu’à une quinzaine de silhouettes humaines. A l’aide d’algorithmes développés pour l’occasion, le système RF-Capture mis au point par le laboratoire de sciences informatiques et d’intelligence artificielle (CSAIL) du MIT rassemble des clichés pour construire des images 3D de corps en mouvement. RF-Capture vient d’être présenté à la version asiatique du Siggraph, le rendez-vous des innovations et programmations en infographie, à Kobé (Japon), du 2 au 5 novembre. Après la biométrie ou le scan 3D, ce nouveau système très indiscret a pour principal intérêt d’être totalement imparable pour la personne épiée. Nul capteur ni dispositif d’œil vidéo aux alentours, la surveillance devient invisible… Petit inconvénient cependant pour les adeptes de la surveillance totale, comme le système fonctionne à portée des ondes radio émises, la surveillance est de fait limitée par la puissance du routeur. Dès 2012, cette technologie avait fait l’objet d’une première publication par les mêmes chercheurs. La différence, c’est qu’aujourd’hui les algorithmes « boostés » peuvent distinguer dix silhouettes avec 95 % de succès et jusqu’à quinze avec une perte de précision de 5 %. Selon les chercheurs, on peut suivre l’écriture qu’une personne effectuerait à main levée dans la pièce voisine, et ce, de manière plus efficace qu’à la Kinect. Plus fort encore, RF-Capture est capable d’analyser des cycles cardiaques ou respiratoires pour déterminer la présence d’un individu en particulier. On pense à ces algorithmes qui permettent de déterminer dans une vidéo si un corps immobile respire ou pas. Bien que l’image reste rudimentaire dans son rendu, RF-Capture va bien au-delà de ce que l’œil humain est capable de saisir. A ceux qui verraient déjà les utilisations dévoyées de cette technologie, notamment en matière de violation de la vie privée, les chercheurs rétorquent qu’ils développent un système de bridage pour éviter que les personnes soient suivies… par leurs propres équipements. Chouette, notre box wifi restera notre amie… Ce qui n’empêchera pas que RF-Capture soit utilisé par les forces de l’ordre pour le contrôle des frontières ou dans le cadre d’une prise d’otage par exemple. Les ondes radio générées par le système sont 10 000 fois inférieures à celle d’un mobile. Une caractéristique qui ouvre un vaste champ d’applications au quotidien, tant en matière de domotique qu’en terme de surveillance médicale pour les personnes âgées. Sans oublier les industries culturelles, jeu vidéo en tête, cinéma dans la foulée, qui y trouveront une alternative à la motion capture. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.maddyness.com/2019/09/12/martech-akeneo-leve-41-millions-euros/ | Financing | et de cinq en à peine six an existence akeneo boucle déjà son cinquième tour de table une véritable pêche aux capitaux qui est cette fois conclue par une prise de 41 million euro le américains de summit partner entrent au capital tandis qu alven partech et salesforce venture ainsi que entrepreneur stephan dietrich remettent au pot en effet après trois levées de fonds bouclées en 2013 2014 et 2017 éditeur de logiciel et le fondateur de neolane étaient discrètement glissés en fin année dernière parmi le actionnaires de la pépite une levée dont le montant exact avait alors pa été dévoilé mais qui élevait à plusieurs million de dollar selon le information de no confrères de échos ainsi la jeune pousse rassemblé près de 60 million euro depuis sa création cette opération financière doit permettre à la startup de monter en puissance commercialement aux états unis où elle est implantée depuis plusieurs années pour cela akeneo mise sur s partenaires salesforce bien sûr qui intégré la solution de entreprise nantaise dans son logiciel salesforce commerce cloud mais aussi magento sans oublier de investissements en recherche et développement notamment dans le domaine de intelligence de données produits afin automatiser la gestion de information produits et améliorer le contrôle de la qualité de expérience produit précise akeneo enfin entreprise prévoit de recruter une centaine de collaborateurs durant le prochains mois la jeune pousse mise sur le données nouvel or noir de startup elle créé une plateforme saas open source qui permet aux marque de gérer ensemble de leurs information produits et de leurs catalogue pour le commerce omnicanal et ainsi unifier le information produits sur tous le canaux de vente un enjeu majeur pour le marque le consommateurs actuels interagissent en moyenne avec plus de cinq point de contact avant de prendre une décision achat explique fred de gombert pdg et cofondateur akeneo il est donc de plus en plus important pour le marque utiliser une plateforme offrant une expérience produit intégrée et cohérente la gestion de expérience produit est en train de devenir une application métier essentielle pour le marque et le retailer qui souhaitent imposer dans le commerce omnicanal | 3digital
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https://www.influencia.net/stop-funding-heat-denonce-facebook-pour-desinformation-climatique/ | Market Impact | cliquer sur play pour ecouter la version audio span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span le 18 février dernier après de mois et même de années de pression populaire facebook se donnait enfin le moyens de combattre la désinformation climatique qui pullulait jusqu alors librement sur sa plateforme une prise de conscience opérée par le gafam aussi soudaine que nécessaire qui fait écho à son repositionnement stratégique global concernant la publication de fake news sur son territoire numérique que nous pouvons créditer aux nombreux bad buzz dont il été victime s dernières années le réseau social annonçait ainsi intégration une nouvelle section au centre information sur le climat une page lancée par s soins en septembre dernier cette section servirait à regrouper de faits scientifiques indiscutables sur le climat concoctés avec de expert de université george mason du programme sur la communication en changement climatique de yale et de université de cambridge dont une explication du rapport entre réchauffement climatique et diminution du nombre ours polaires ainsi qu une description de la baisse du coût de énergies renouvelables disponible uniquement en allemagne aux états unis en france et au royaume uni cette plateforme allait être également ouverte en afrique du sud en belgique au brésil au canada en espagne en inde en indonésie en irlande au mexique au nigeria aux pay ba et à taïwan span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span suffisant pour calmer s détracteurs non bien évidemment auteure une pétition visant à mettre le réseau social face à s propres contradiction association britannique stop funding heat dérivée de la campagne à succès stop funding heat lancée en 2016 et qui cherche à combattre la propagation en ligne de la désinformation climatique dévoilait la semaine dernière un rapport accablant en la matière pour le groupe activiste facebook ne fait rien ou presque contre la désinformation climatique ayant même pa inscrit cette notion dans le règles officielles utilisation du réseau le rapport de 40 page chapeauté par stop funding heat démontre que le algorithmes censés contrôler la propagation de fake news ne détectent pa celles relative au changement climatique plus grave encore le gafam aurait été rémunéré à plusieurs reprises pour la publication de publicités climato sceptiques sur s page anglosaxonnes selon sean buchan un chercheur travaillant pour association dans le colonnes de the cube une filiale euronews ce dernier rappelle en effet que est grâce à cela que leur business fonctionne en publiant de contenus créés par de publicitaires au milieu de publication organiques facebook a pa tardé à répondre à ce accusation à euronews en affirmant que le publication de son centre information sur le climat sont lues par 100 000 personnes chaque jour le gafam rappelle aussi qu elle emploie de fact checker indépendants pour analyser et noter son contenu quand ce sociétés auxquelles nous faisons appel détectent une publication mensongère nous ajoutons un message avertissement et réduisons sa diffusion de plus nous engageons régulièrement de action contre de page de groupes ou même de comptes qui continuent à diffuser de fake news concernant le changement climatique déclarait un porte parole du réseau social mais pour stop funding heat le action menées par le centre information sont justement loin être suffisantes et pour cause le réseau publie en moyenne six information vérifiées sur la thématique climatique par mois alors que s utilisateurs partagent 4 75 milliard article chaque jour pour association il est temp que facebook active sur le sujet car la désinformation climatique de grandes chance de aggraver à approche de la cop 26 la vingt sixième conférence annuelle de onu sur le climat qui se tiendra en novembre prochain à glasgow span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span montagut sacha | 4environment
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/relation-client-handicall-emploie-75-de-salaries-en-situation-de-handicap_772394 | Magic Team | Challenges - Seize ans après la loi handicap, où en est-on? Anna Lévêque - Malgré l’imposition d’un quota de 6% de salariés en situation de handicap dans les entreprises, il y a toujours 500.000 chômeurs handicapés. Chez nous, 75% des salariés sont en situation de handicap (mucoviscidose, épilepsie…). Selon une étude de France Active, près de 97% vivent bien leur handicap chez nous, et plus de 80% retrouvent de la confiance en eux-mêmes, un sentiment d’utilité. Quand avez-vous repris Handicall? En 2006, mon père, qui a toujours racheté et revendu des entreprises, me dit: "On va reprendre un centre d’appels à Bordeaux, qui emploie des personnes en situation de handicap." En pleine affaire des suicides à France Télécom, les centres d’appels étaient décriés. Et nous ne connaissions rien au handicap. Mais il a toujours eu du flair. Nous avons repris Handicall à la barre du tribunal, avec une dizaine de collaborateurs, et un seul client, SFR. Comment l’avez-vous redressé? Nous avons investi 200.000 euros, amélioré la qualité de notre service et la satisfaction client, et noué de nouveaux partenariats. Cela a permis de développer notre site de Bordeaux, et d’en créer trois autres: un à Tours qui travaille beaucoup pour Harmonie Mutuelle, un à Chartres, spécialisé en bancassurance (groupe BPCE, Sogessur), et un à Lyon, multi-activités (Total). Comment vous êtes-vous retrouvée aux commandes? Au début, le capital était réparti entre le holding familial, mes parts, et celles d’un investisseur individuel, décédé depuis. En 2019, nous avons reçu une proposition de rachat. J’ai alors décidé de relever le défi. Mes parents m’ont fait donation de leurs parts et j’ai racheté celles de mon frère et de ma sœur. Aujourd’hui, j’ai 100% du capital. Quelles ont été vos décisions clés? En fin d’année, nous avons défini notre plan stratégique 2024. Nous voulons doubler notre taille en quatre ans, sachant qu’en 2020, notre chiffre d’affaires a atteint 6,8 millions d’euros, en hausse de 14%. Nous allons investir au moins 3 millions pour doubler le site de Chartres cette année et celui de Tours l’an prochain. Et nous voulons recruter 300 personnes supplémentaires. A part la relation client, que proposez-vous? L’externalisation des processus métiers, comme la conformité légale des fournisseurs, ou certaines compétences bancaires. Le centre d’appels est encore très majoritaire, mais nous voulons développer d’autres activités, qui s’adaptent mieux à certains handicaps comme la surdité. Face à des géants comme Webhelp, quels sont vos atouts? Nous proposons une offre 100% locale, sur mesure, avec un engagement sociétal. D’ailleurs, nous venons de décrocher un contrat pour la Maaf, en partenariat avec Webhelp. Nous sommes dans les prix de marché, grâce aux subventions de l’Etat. Nous facturons entre 35 et 40 euros l’heure, ce qui n’est pas très loin des centres d’appels au Maroc. Nous avons plus de 97% de clients satisfaits. Votre rêve de croissance? Que nous n’ayons plus besoin d’Handicall. Lire LE DERNIER CLUB ENTREPRENEURS Start-up: le spécialiste de la maintenance WeMaintain lève 30 millions d'euros \n\n \n \n PME\n \n | 5learning
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https://www.frenchweb.fr/deeptech-nextflow-software-leve-3-millions-deuros-aupres-de-go-capital/406390 | Financing | nextflow software spécialiste de la simulation numérique de fluides lève 3 million euro auprès de ouest venture iii et de litto invest tout deux gérés par go capital qui ont investi 2 million cette opération été réalisée avec la participation de bpifrance et de cic ouest qui ont ajouté 1 million euro lancé en 2015 par erwan jacquin ingénieur centralien de nantes et fondateur de la startup spécialisée dans la simulation numérique hydrocean nextflow software développe de outils de simulation numérique de fluides grâce à de nouvelles méthodes de computational fluid dynamic cfd le logiciels de la startup permettent aux industriels de faire de simulation qui étaient jusqu alors impossible par exemple pour le secteur automobile une simulation 3d de lubrification de boîte de vitesse et de pneu sur route mouillée est possible et permet ainsi optimiser le temp de travail de ingénieurs nextflow travaille avec de industriels français renommés à instar de renault michelin dassault aviation airbus ou encore edf grâce à s logiciels nextflow révolutionne le domaine de la simulation numérique appliquée à la dynamique de fluides nous apportons sur le marché de méthodes innovantes qui repoussent le limites de la simulation numérique et la rendent accessibles à la plupart de concepteurs de produits systèmes et équipements industriels commente vincent perrier ceo de nextflow software la startup française incubée au centrale nantes audencia ensa et centrale nantes avec qui elle collabore développé son offre à international notamment au japon et en corée du sud où elle obtenu un contrat de licence avec le groupe lg en septembre 2020 dans le cadre de cette levée de fonds nextflow ambitionne de conquérir de nouveaux marchés en europe et en amérique du nord tout en poursuivant son développement en asie nextflow développe depuis plusieurs années une technologie innovante qui est arrivée à maturité industrielle et rencontre de premier succès go capital est dans son rôle en accompagnant le entreprises de la deeptech dans leur croissance à international ajoute jérôme guéret directeur général de go capital nous somme fiers de soutenir excellente équipe de nextflow dans cette nouvelle étape de son développement nextflow qui regroupe une vingtaine de collaborateurs ingénieurs et docteurs dont de expert de méthodes cfd sans maillage poursuit également ambition accélérer la commercialisation de s logiciels de simulation numérique signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature fondateur erwan jacquin création 2015 siège social nantes secteur deeptech industrie financement 3 million euro auprès de ouest venture iii et de litto invest tout deux gérés par go capital qui ont investi 2 million avec la participation de bpifrance et de cic ouest qui ont ajouté 1 million euro pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/crise-systeme-electrique-europeen | Legitimacy | France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/prise-compte-externalites-environnementales-calcul-socioeconomique | Market Impact | Dans le cycle de colloques qu’ils ont initié sur l’évaluation socioéconomique des investissements publics, le Commissariat général à l’investissement, France Stratégie et le Conseil général de l’environnement et du développement durable ont sollicité la présidence de Roger Guesnerie, professeur au Collège de France et président de Paris School of Economics. Le premier colloque, qui s’est tenu le 16 septembre 2014, était consacré à l’évaluation socioéconomique des projets de transports. Le deuxième colloque se tiendra le jeudi 2 avril 2015, sur la prise en compte des externalités environnementales dans le calcul socioéconomique. Le colloque aura lieu à : Salle de conférences Business France (anciennement UBIFRANCE) – 77, boulevard Saint-Jacques, 75014 Paris Pour s’inscrire, il vous suffit d’envoyer un mail à evaluation-socio-economique@pm.gouv.fr. Une confirmation d’inscription vous sera adressée. 8h45 - Accueil 9h15 - Introduction\nJean Pisani-Ferry, commissaire général de France Stratégie 9h30 - Le rôle du calcul économique public\nRoger Guesnerie, professeur au Collège de France, président de Paris School of Economics 10h00 - La prise en compte des services écosystémiques et de la biodiversité . Où en est-on ?\nBernard Chevassus-au-Louis, inspecteur général de l'agriculture, président d'Humanités & Biodiversité 10h15 - Les valeurs de la biodiversité : l'état des lieux de la recherche en France et à l'étranger\nJean-Michel Salles, CNRS 10h30 - Réflexion critique sur la valorisation de la biodiversité et sur ses usages possibles, ainsi que sur l'intégration d'impacts monétarisés au processus de concertation et de décision\nMichel Dubromel, FNE 10h45 - Réparation du préjudice économique et calcul économique : deux approches incompatibles ou complémentaires ?\nDominique Bureau, CEDD 11h00 - Pause 11h15 - Table ronde\nParticipants : Roger Guesnerie, Luc Baumstark, Bernard Chevassus-au-Louis, Dominique Bureau, Michel Dubromel et Jean-Michel Salles 12h00 - Échanges avec la salle 12h30 - Déjeuner libre LA VALEUR TUTÉLAIRE DU CARBONE 14h15 - Pourquoi une valeur tutélaire du carbone ? Comment la calculer ?\nAlain Quinet, SNCF Réseau 14h45 - Qu’apporte la modélisation dans la détermination de la valeur tutélaire du carbone ?\nKatheline Schubert, université Paris-I Panthéon-Sorbonne 15h00 - L'évolution de la valeur tutélaire : comment intégrer la prime de risque ?\nLuc Baumstark, université de Lyon 15h15 - Valeur tutélaire et prix de marché\nAlain Grandjean, Carbone 4 15h30 - Conjoncture économique et loi sur la transition énergétique : faut-il revoir la valeur tutélaire du carbone ?\nDominique Bureau, CEDD 15h45 - Échanges avec la salle 16h15 - Table ronde - Les enjeux du prix du carbone pour la COP 21 Participants : Roger Guesnerie, Dominique Bureau, Jean-Michel Charpin, Alain Grandjean et Christian de Perthuis 17h15 - Conclusion et perspectives\nRoger Guesnerie, professeur au Collège de France, président de Paris School of Economics France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 13transport
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/restauration-pourquoi-alain-mikli-se-separe-d-hugo-desnoyer-le-boucher-star_447855 | Desirability | Après avoir créé des lunettes, comment êtes-vous arrivé dans les restaurants de viande? C’est le hasard. J’ai toujours été un adepte de la bonne chère, de la joie de vivre. Je ne suis pas un entrepreneur qui planifie. J’agis d’abord et je réfléchis après. Pourquoi vous séparez-vous de votre partenaire Hugo Desnoyer? Nous avons une divergence stratégique. Deux ans après notre association, j’ai décidé de continuer sans lui et d’enlever le nom Hugo Desnoyer de mon affaire afin qu’il puisse le récupérer et poursuivre son travail de boucher. Moi, je veux me concentrer sur une nouvelle approche de la viande, l’élevage de qualité, le bien-être animal, la mise en place d’une filière exemplaire. Où en est votre développement? Nous avons un restaurant à Tokyo, un à Paris à la nouvelle Halle Secrétan, nous en ouvrons un autre en ce début d’année au marché Saint-Germain sous le nom L’Etable. La viande a des détracteurs en raison de son bilan carbone, de la souffrance animale, de la diététique… Que leur répondez-vous? Ils ont raison. Nous devons manger moins de viande. Mais de qualité, -issue d’élevages durables où les animaux sont bien traités, et qui permet aux éleveurs de gagner leur vie. C’est nécessaire pour l’environnement, car il faut entretenir les prairies et les ressources en eau. Le CO2 n’est pas le seul souci, l’enjeu est plus global et l’élevage y a sa place. Bonne surprise pour vous, les consommateurs achètent leur viande en ligne. Notre boutique en ligne existe depuis deux ans. Elle a réalisé 240.000 euros de ventes la première année et 580.000 la deuxième année. La grande question, c’est de conserver une telle croissance en 2017. Vous avez moins de réussite dans la vente aux restaurants... En effet, cette activité est catastrophique, avec de nombreux impayés. C’est la crise, les restaurants sont vides. Hugo Desnoyer va continuer à fournir une vingtaine de restaurants avec ses boucheries, quant à nous, cette activité va être sérieusement diminuée. Imaginez-vous régler la séparation d’avec Hugo Desnoyer en justice? Non, je ne suis pas fâché avec lui. Je comprends son souhait d’utiliser son nom, nous allons trouver un accord. Vous connaissez bien le sujet. Vous avez cédé votre nom qui est une marque de lunettes, à Luxottica... Ce n’est pas une cession anodine, c’est un crève-cœur de céder son nom. Mais j’ai pris le soin de ne jamais vendre mon vrai patronyme, qui est Miklitarian. Est-ce terminé, pour vous, le business des lunettes? Non, je relance cette activité en mars. Je ferai du conseil en création, en marketing, en industrialisation. Bien entendu, je ne relancerai pas une marque personnelle. Quarante ans après votre première création d’entreprise, est-ce plus difficile de se lancer aujourd’hui? Oui, c’est très dur. Je ne parle pas de la fiscalité, car j’ai choisi de créer en France et j’accepte d’y payer des impôts. Tout est trop complexe, trop lourd, trop administré. Ici, la liberté d’entreprendre, sous le poids des règles, n’existe plus. Entretien réalisé par Jean-François Arnaud et Claire Bouleau \n\n \n | 0agronomy
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https://www.academieduservice.com/2021/10/04/gestion-relation-client-crise-resilience/ | Magic Team | Faire la différence. Un objectif qui ne cesse d’être étudié, repensé et réinventé au gré du contexte et des évolutions d’un marché toujours plus concurrentiel. Aujourd’hui, se démarquer ne tient plus seulement à la qualité d’un produit ou d’un service. Les indicateurs de performance se recentrent de plus en plus vers l’humain. Mettre le client au cœur de son ADN demeure l’une des clés pour satisfaire et fidéliser le client. Par ailleurs, la récolte, le traitement et l’analyse des données relatives aux clients sont devenus essentiels pour créer un lien fort et personnalisé. Ce sont de nouveaux critères d’une bonne gestion et d’un bon management de la relation client pour les entreprises. C’est le premier pas qui mène à une expérience client positive, singulière et réussie. En ces temps de crise sanitaire, ce besoin d’être compris et écouté n’a jamais été aussi fort pour le client. Entre situations difficiles, incivilités et nouvelles réglementations sanitaires, les entreprises doivent s’adapter pour gérer au mieux la relation client et faire de nouveau la différence. Sommaire Toutes les entreprises, quel que soit leur secteur d’activité, aspirent à atteindre la satisfaction de leur client, que ce soit en physique, en ligne ou sur les réseaux sociaux. La qualité de la relation et de l’expérience client est un indicateur déterminant quant à l’image de marque d’une structure. Elle peut notamment se mesurer par la collecte de toutes les données clients. L’objectif est alors de traiter et d’étudier cette data afin d’optimiser le parcours client , améliorer l’expérience client, accroître la performance relationnelle et in fine financière de l’entreprise. Une bonne gestion de la relation client peut reposer sur des principes fondamentaux simples : De plus en plus exigeant, le client attend de la réactivité, de la simplicité et de la considération. Cet enjeu s’inscrit pleinement et de plus en plus dans les stratégies relationnelles, marketing et décisionnelles de l’entreprise. Au-delà de la réponse, les équipes doivent être en capacité d’anticiper les besoins du client. Pour cela, il faut bien connaître et pérenniser un contact fort avec les clients. Et d’autant plus dans ce contexte de crise, où l’aspect émotionnel du client est au plus haut. Une sensibilité qui peut amener à des situations complexes à gérer dans les interactions avec vos clients. Qui dit gestion de la relation client, dit inéluctablement gestion de situations difficiles. Là est tout l’enjeu : dans la relation client, le zéro défaut n’existe pas ! Il est intéressant en revanche de tendre vers le 100% de clients satisfaits. C’est un objectif bien plus atteignable, quelque soit le parcours et la situation du client. C’est pourquoi, dans une situation difficile, il est important de soigner sa relation en interagissant intelligemment. L’objectif est de faire passer les clients d’une mauvaise à une expérience finalement réussie. Alors, comment aborder, anticiper et gérer ces moments clés de la relation ? La gestion des situations difficiles permet de détecter les déclencheurs de critiques, réclamations et autres incivilités. Intégrer et appliquer cette notion permet de prendre tout problème à sa source, avant même son éclosion. L’idée est ainsi de gérer et prévenir les situations qui mènent au conflit en amont. La mise en place d’un logiciel de gestion CRM (Customer Relationship Management) en interne peut être un atout essentiel pour créer, développer et entretenir une relation privilégiée avec ses clients. Cet outil de gestion de la relation client se veut la première arme pour collecter ladite donnée et mieux connaître son client. Cette connaissance est essentielle pour une performance à long terme. Enfin, l’émotion joue lui aussi un rôle prédominant. Il semble primordial de la prendre en compte dans le processus afin de bien comprendre les déclencheurs de situations critiques. Si les situations difficiles ont toujours fait partie de la relation client, elles sont décuplées par la crise sanitaire. La Covid-19 a accentué les émotions générées par les clients, mais aussi les collaborateurs. Il y a des incivilités nouvelles, expliquées par l’angoisse, l’inconnu et le besoin d’être soutenu. La relation client est constituée de rencontres, toujours positives, car elles permettent d’avancer et de se remettre constamment en question. Les équipes doivent ainsi garder leur sang-froid, mais aussi se protéger. Appréhender les incivilités n’est pas aisé, car l’émotionnel n’appartient pas seulement aux clients. Si la crise a augmenté la sensibilité des clients, elle a aussi positionné les collaborateurs en terrain fragile. Une obligation de respect mutuel doit être tenue par les deux parties prenantes. Dans ce contexte, les clients sont devenus de plus en plus exigeants et ont plus que jamais besoin d’être rassurés. Depuis le début de la crise, les situations difficiles se sont multipliées au sein des entreprises. Sauf que ces dernières ne sont pas toujours bien armées. Appréhender et gérer les situations de crise ne s’improvisent pas. L’Académie du Service a ainsi conçu une formation pour “transformer le pépin en pépite”, conviction forte de l’Association du Management et de la Réclamation Client (AMARC). Si nous devions retenir un mot de cette longue période de crise sanitaire, ce serait l’adaptation. En effet, la crise sanitaire n’a cessé d’évoluer : le Pass sanitaire étant la dernière mesure mise en place. Il faut dire que le contexte unique dans lequel nous naviguons depuis début 2020 ne donne pas d’autre choix que de s’adapter. Cette nouvelle contrainte pour les entreprises, mais aussi pour les clients, pousse à mettre en place de nouveaux modes de fonctionnement. Les contrôles obligatoires mettent les entreprises en position délicate : assurer la sécurité de tous n’est pas simple pour préserver une relation client positive. Et pourtant, force est de constater que le lien entre les clients et les collaborateurs semble résolument bienveillant. La crise sanitaire n’a certes pas enterré les incivilités et situations difficiles, mais elle a insufflé de l’indulgence. Les clients ont pris conscience que les entreprises font face à un environnement fluctuant et que les obstacles rencontrés sont nombreux. Résister à la crise, pérenniser sa croissance, et ce tout en préservant sa relation client fut le défi de bon nombre d’acteurs économiques. Des outils digitaux tels que notre application de management de l’expérience client (Lookey), furent des outils solides pour gérer et manager sa relation client. S’adapter, encore. Communiquer toujours plus. Résilience encore et encore. La crise a renforcé cette nécessité d’avancer en posture constructive et flexible. Photo by Claudio Schwarz on Unsplash | 12society
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