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Éric Dupont (homonymie)
Éric Dupont est un patronyme notamment porté par : Éric Dupont (1970-), écrivain canadien ; Éric Dupont (galeriste) (1958-), galeriste français ; (1973-), producteur français de film ; Éric Dupond-Moretti (1961-), avocat pénaliste français Voir aussi
1532 en littérature
Événements Essais Le Prince parait pour la première fois, cinq ans après la mort de Nicolas Machiavel édition parisienne du De Orbe Novo Decades (1516) de Pierre Martyr d'Anghiera. Romans L'écrivain français François Rabelais commence à publier Pantagruel et Gargantua (1534) Théâtre Poésie Première édition commentée des œuvres de François Villon par Clément Marot. L’Adolescence clémentine, recueil de poésies de Clément Marot. Publication de la version définitive du Roland furieux, épopée de l’Arioste. Principales naissances 19 février : Jean-Antoine de Baïf, poète français († 1589). Étienne Jodelle, poète et dramaturge français († 1573). Principaux décès Voir aussi Articles connexes Chronologie de la littérature XVIe siècle en littérature
Viktor Pasichnyk
Viktor Viktorovitch Pasichnyk (en ) est un coureur ukrainien du combiné nordique, né le à Kremenets. Carrière Pasichnyk qui a fréquenté l'école de ski de Kremenets, fait ses débuts internationaux au Festival olympique de la jeunesse européenne en 2009. Il commence en Coupe du monde en à Almaty. Il obtient son meilleur résultat en février 2018 lorsqu'il termine à Hakuba. Il se place au au classement général de la Coupe du monde 2013-2014, s'y classant dix-neuvième d'une épreuve à Tchaïkovski notamment. Son meilleur résultat international est cinquième à la Coupe continentale en 2013 aussi à Tchaïkovski. Il compte quatre participations aux championnats du monde en 2013, 2015, 2017, où il est au Gundersen grand tremplin et 2019. Il a aussi pris part aux Jeux olympiques de Sotchi 2014 où il est au petit tremplin et au grand tremplin et aux Jeux de Pyeongchang en 2018, où il est au petit tremplin et au grand tremplin, pour signer son meilleur résultat en grand championnat. Pasichnyk prend part ausis à des compétitions internationales mineures en saut à ski (Coupe FIS). Palmarès Jeux olympiques d'hiver Championnats du monde Coupe du monde Meilleur classement général : en 2018. Meilleur résultat individuel : . Différents classements en Coupe du monde Références Liens externes Naissance en décembre 1992 Coureur du combiné nordique aux Jeux olympiques d'hiver de 2014 Coureur ukrainien du combiné nordique Naissance dans l'oblast de Ternopil Coureur du combiné nordique aux Jeux olympiques d'hiver de 2018
Membranelle
Une membranelle est un organite que l'on trouve chez les Ciliés. Elle résulte de la fusion de plusieurs cils. La plupart des ciliés ont une série de membranelles sur le côté gauche de la bouche vers laquelle elles entraînent la nourriture. Les membranelles sont particulièrement importantes chez les Heterotrichea et les Spirotrichea. Biologie cellulaire
Aziz Mekouar
Aziz Mekouar (né le 13 novembre 1950 à Fès) est un diplomate marocain, qui a été ambassadeur aux États-Unis d'Amérique, en Italie, au Portugal et en Angola. Il a également été président indépendant du Conseil de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), conseiller spécial de la présidence à la Banque marocaine du commerce extérieur (BMCE) et membre du conseil d'administration de la Bank of Africa. En 2016, Il est nommé au Comité de Pilotage en tant qu'ambassadeur aux Négociations Multilatérales de la COP22. Le 21 juin 2018, il présente ses lettres de créance au Président chinois Xi Jinping. Vie privée Aziz Mekouar est membre de la très aristocratique famille Mekouar de Fès qui comprend des personnages historiques tels que Haj Taoudi Mekouar (1189), Hajj Mohamed Mekouar (1263) et Haj Haddou Mekouar (1232) qui ont fondé une riche lignée de personnalités éminentes du gouvernement et des affaires à travers l'histoire du pays, et qui ont obtenu des privilèges « Dahir » de plusieurs dynasties de sultans. Aziz Mekouar est le petit-fils du nationaliste marocain Haj Ahmed Mekouar (1892-1988), qui est surtout connu pour être le premier signataire de la Proclamation d'indépendance des Français, une cérémonie qui s'est déroulée au Palais Mekouar à Fès. Il est l'arrière-arrière-petit-fils de Haj Ahmed Mekouar (1819-1886), consul honoraire de Grande-Bretagne et propriétaire d'un conglomérat commercial de sucre et de textile avec la France et le Royaume-Uni, et l'arrière-petit-neveu du ministre des Affaires étrangères Haj Mohammed Mekouar. Aziz est le fils de Haj Tahar Mekouar, qui a servi comme ambassadeur à Lisbonne et à Rome puis comme chef du protocole auprès du roi Hassan II, et de Aïcha Benjelloun. Par sa mère, il est le petit-fils de l'ancien ministre des Finances et ministre de la Justice Abdelkader Benjelloun et le neveu du magnat des affaires Othman Benjelloun. Sa grand-mère maternelle est issue de la lignée Khrifia des descendants du prophète Mahomet. Il est marié à l'aristocrate italienne Marquise Maria Felice Cittadini Cesi et a un fils. Aziz Mekouar est membre de plusieurs clubs, tels que le Metropolitan Club à Washington DC et le Chevy Chase Club à Bethesda MD. Éducation Aziz Mekouar a fréquenté le Lycée Français Chateaubriand à Rome, le Lycée Français Charles Lepierre à Lisbonne, et a suivi les classes préparatoires au Lycée Louis le Grand, et a obtenu un diplôme d'études supérieures de HEC Paris en 1974. Il parle couramment l'arabe, l'anglais, le français, l'italien, le portugais et l'espagnol. Carrière Aziz Mekouar a été ambassadeur du Maroc en Angola (1986-1993) et au Portugal (1993-1999). M. Mekouar a été ambassadeur en Italie, à Malte, en Albanie et dans l'Ordre souverain de Malte (1999-2002). Il a été élu président indépendant du Conseil de l'organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) en novembre 2001 et réélu en 2003. Il avait auparavant été nommé ambassadeur aux États-Unis du 19 juin 2002 à 2011. Il a participé à la négociation de l'accord de libre-échange entre les États-Unis et le Maroc et du Millennium Challenge Account dans lequel les États-Unis ont accordé 697 millions de dollars américains pour des projets de développement marocains. Depuis 20 avril 2018, il occupe le poste d'ambassadeur du Maroc en Chine. Aujourd'hui, il est conseiller indépendant et consultant pour un certain nombre d'entreprises différentes. Activités interreligieuses En tant qu'ambassadeur Mekouar a fait de la sensibilisation des juifs et chrétiens évangéliques l'une de ses priorités, il a aidé à organiser de nombreux événements favorisant la compréhension entre chrétiens et musulmans. Autres fonctions Au cours de sa carrière, M. Mekouar a également occupé d'autres postes à responsabilité, notamment: Ministre plénipotentiaire au Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération au Maroc (1985-1986). Représentant permanent du Maroc auprès du Bureau international des technologies de l'information (1978-1985). Premier conseiller et chef de mission adjoint à l'ambassade du Maroc à Rome (1977-1985). Président du comité financier de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) Membre et chef des délégations marocaines à plusieurs conférences internationales (1999 – 2005). Président du Groupe africain des organisations des Nations unies à Rome (2000-2005). En 2008, Mekouar a été nommé membre du conseil d'administration d'Amorfix Life Sciences, une société de théranostique développant des produits thérapeutiques et des dispositifs de diagnostic ciblant les maladies à protéines mal repliées, notamment la SLA, le cancer et la maladie d'Alzheimer. Publications Thèse sur les pêcheries et leur contribution au développement de l'Argentine (1973). Etudes sur "Asia-Dollar" et son impact futur sur le développement de l'Asie du Sud-Est (1974). 30 ans de politique intérieure italienne (1983). 30 ans de politique étrangère italienne (1983). Décorations Grand-croix de l'Ordre du Mérite du Portugal. Grand Croix de l'Ordre Militaire du Christ (Portugal). Grand-Croix de l'Ordre du Mérite d'Italie. Notes et références Naissance en novembre 1950 Naissance à Fès Ambassadeur du Maroc en Chine Ambassadeur du Maroc aux États-Unis Ambassadeur du Maroc en Italie Ambassadeur en Angola Ambassadeur au Portugal
Centre technique du livre de l'enseignement supérieur
Le Centre technique du livre de l'enseignement supérieur (CTLes) est un établissement public national à caractère administratif situé à Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne). Créé en 1994 par le Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, il est principalement chargé de la conservation de documents imprimés faiblement consultés pour le compte des bibliothèques des établissements d'enseignement supérieur d'Île-de-France. Histoire En raison de la situation immobilière locale (Paris est une des villes les plus denses au monde), les bibliothèques universitaires parisiennes, parmi les plus riches en documents et les plus prestigieuses de France, et dont les locaux sont souvent anciens, étroits et devenus très mal adaptés à l'accueil du public, disposent de très peu d'espace pour conserver leurs collections en accroissement constant. En s'appuyant sur des expériences déjà menées dans d'autres pays (notamment aux Etats-Unis avec le Harvard depository, Southborough, Massachusetts), le ministère chargé de l'enseignement supérieur a créé, à l'extérieur de Paris, une vaste bibliothèque de dépôt régionale (un magasin commun pour les partenaires intéressés) pour y délocaliser progressivement les collections les moins utilisées (dites à "faible taux de rotation") et offrir un service de livraison par navettes quotidiennes des documents demandés par les usagers des bibliothèques partenaires à Paris. Le CTLes est créé par le décret 94-922 du . La construction du bâtiment s'est terminée en 1996. Au , le CTLes conservait un ensemble de plus de 75 km linéaires de collections. Missions Historiquement, le centre assure la collecte, la gestion, la conservation et la communication des documents imprimés (livres, thèses et revues) d'intérêt scientifique et patrimonial qui lui sont confiés par les établissements publics relevant du ministre chargé de l'enseignement supérieur et en particulier par ceux qui sont situés dans les académies de Paris, Créteil et Versailles. Les conditions et modalités de dépôt ou cession définitive sont déterminées par une convention passée entre le centre et les établissements partenaires. Aux termes du décret n° 2014-320, les missions du CTLes ont légèrement évolué à partir de 2014. Il peut désormais intervenir en dehors de l'Île-de-France, dans le cadre de dispositifs nationaux de mutualisation de la conservation des documents imprimés, principalement à travers les plans thématiques de conservation partagée des périodiques de l'enseignement supérieur. En 2017, le CTLes est membre fondateur du groupement d'intérêt scientifique CollEx-Persée qui vise à développer les services aux chercheurs autour de collections d'excellence conservées par les grandes bibliothèques d'étude et de recherche françaises. Organisation L'établissement public dépend du ministère chargé de l'enseignement supérieur. Il possède un conseil d'administration de treize membres : trois membres de droit (le directeur de l'enseignement supérieur au ministère, le recteur de l'Académie de Paris et le président de la Bibliothèque nationale de France), quatre représentants des établissements utilisateurs, quatre personnalités du monde des bibliothèques ou de l'enseignement supérieur choisies en fonction de leur compétence et deux représentants du personnel. S'y ajoutent les administrateurs du CTLes qui ont voix consultative et des invités ponctuels selon les sujets évoqués au cours des séances. Le centre est dirigé par un conservateur des bibliothèques nommé par arrêté ministériel. Bâtiments Le CTLes partage le site de Bussy-Saint-Georges avec le Centre technique de la Bibliothèque nationale de France (CTBnF). Les administrations de l'enseignement supérieur et de la culture mutualisent ainsi les frais de gestion. Le bâtiment, conçu par l'architecte Dominique Perrault en complément de la construction de la Bibliothèque François Mitterrand à Paris, a ouvert en 1996. La construction d'un second bâtiment, mis en service en 2016, a fait l’objet d’un contrat de projet État - Région Île-de-France. L'opportunité de cette extension a été soulignée dans le rapport Larrouturou sur l'immobilier universitaire parisien, remis en à la ministre de l’enseignement supérieur, qui stipulait : « il s’agit d’accroître les capacités de stockage du CTLes de 100 kilomètres linéaires et de développer son offre aux bibliothèques parisiennes pour leur permettre de délocaliser une part substantielle de leurs magasins leur garantissant un bon accès aux ressources stockées à distance…» Pour une raison de phasage financier, seule une moitié du bâtiment a été équipée de rayonnages apportant ainsi une capacité supplémentaire de 55 km linéaires. Notes et références Notes Sources Pascal Sanz, « De la fourniture à distance de documents à la conservation partagée : L’engagement du CTLes », BBF, 2003, n° 4, p. 33-37. Consultable en ligne Jean-Louis Baraggioli, "Le Centre technique du livre de l'enseignement supérieur", Bibliothèque(s), 2006, N°30, pp. 15-16. Consultable en ligne Jean-Louis Baraggioli, "Au plus près des usagers - les services autour des collections", Ar(abes)ques, 2015, N°80, pp. 8-9. Consultable en ligne Site internet du CTLes Liens externes Établissement public à caractère administratif en France Organisme fondé en 1994 Enseignement supérieur en France Sciences de l'information et des bibliothèques
Commanderie de Lavaudieu
Les vestiges de la commanderie de Lavaudieu sont situés à Saint-Hilaire-sur-Benaize, en France. Localisation La commanderie est située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Benaize, dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire. Description Il reste actuellement un bâtiment de l'ancienne commanderie de Lavaudieu, le porche de l'église et une niche avec une petite statue de saint Jean en bois à l'origine (puis volée) qui traitait les enfants qui ont peur ou qui ont des maladies. Une belle porte gothique signale un bâtiment de l’ancien prieuré. Historique Lavaudieu est un ancien chef-lieu de commune réuni à Saint-Hilaire en 1819. Une commanderie de Saint-Jean-de-Jérusalem puis de l'ordre de Malte, annexe de celle de commanderie de Plaincourault et dépendant du Blizon était installée à Lavaudieu. Elle avait des propriétés à Charneuil (Bélâbre) et tous les chemins qui menaient de Lavaudieu à Charneuil étaient marqués d'une croix de Malte. Il y avait une chapelle et une maison d'habitation pour le commandeur. Notes et références Annexes Bibliographie Articles connexes Saint-Hilaire-sur-Benaize Liste des châteaux de l'Indre Liste des châteaux en France Château dans l'Indre Commanderie templière Commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
Julien Denisse
Julien Jean Baptiste Denisse, né à Bordeaux en 1866 et mort à Antibes en 1943, est un peintre français. Biographie Fils d'un photographe bordelais, il entre à l'Académie Julian en 1888 et expose pour la première fois au Salon des artistes français en 1895. Il enseigne les Beaux Arts à Saint Quentin et présente à la Rétrospective du Salon des indépendants de 1926 les toiles Fleurs fanées, Œillets roses (automne) et Camélias rouges puis expose au Salon des indépendants de 1929 des fleurs et un paysage. Bibliographie René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, Bénézit, 1955, 1999 Notes et références Liens externes Site officiel Voir ses œuvres sur Artnet Peintre français du XXe siècle Naissance en juin 1866 Naissance à Bordeaux Décès en 1943 Décès à Antibes
100 mètres féminin aux championnats du monde d'athlétisme 1991
L'épreuve du 100 mètres féminin des championnats du monde d'athlétisme 1991 s'est déroulée les 26 et dans le Stade olympique national de Tokyo, au Japon. Elle est remportée par l'Allemande Katrin Krabbe, en 10 s 99. En demi-finale, la favorite Merlene Ottey invaincue en 56 finales depuis quatre ans, prend le meilleur sur Gwen Torrence et Irina Privalova en 10 s 78 avec un vent trop favorable. L'autre demi-finale est remportée par Katrin Krabbe. En finale, Krabbe et Torrence prennent le meilleur départ et ne sont plus rejointes, Ottey prenant la troisième place. L'Allemande réussit un temps sous les 11 s malgré un très fort vent de face. Résultats Finale Demi-finales Légende Notes et références Liens externes Résultats par épreuve des Championnats du monde de 1991 sur le site de l'IAAF Championnats du monde d'athlétisme 1991 Femmes 1991
Ibrahim (cheval)
Ibrahim (né en 1952, mort en 1973) est un étalon bai de demi-sang, théoriquement Anglo-normand, mais enregistré comme Selle français. Particulièrement prolifique, ses descendants se sont illustrés au plus haut niveau en saut d'obstacles. Ibrahim devient célèbre après sa mort. Histoire Ibrahim naît chez René Haize, le . Il est acheté pour par le marchand de chevaux Alfred Lefevre, sur une foire locale. En 1956, ce jeune cheval est champion de sa classe d'âge. Il est vendu au Haras national de Saint-Lô, devenant étalon public de 1956 à 1973, à la station de monte de Sartilly, près de St-Lô. Il n'a que peu de succès à ses débuts, les étalons choisis par ce haras public n'étant pas testés pour leurs performances sportives. Ibrahim reste assez peu connu de son vivant. Description Ibrahim toise , porte une robe baie cerise et a un quart d'origines Pur-sang. L'éleveur Germain Levallois le décrit comme un étalon , avec un dos . Il cite aussi l'élégance de sa tête, , et son allure . Origines Descendance Ibrahim a 315 poulains enregistrés. Il devient l'un des reproducteurs les plus employés dans les années 1960 et 1970. Son succès comme reproducteur est tardif, Ibrahim couvrant surtout des juments de trait normandes pendant ses premières années au haras. En 1957, il donne naissance à la jument Norvale : elle devient poulinière quelques années, avant de concourir au niveau international en saut d'obstacles avec Jean-Michael Gaud. D'autres descendants d'Ibrahim, tels que Petit Prince C et Quo Vadis, rencontrent le succès. Il faut toutefois attendre que Tango C effectue une carrière fructueuse en saut d'obstacles pour qu'Ibrahim devienne un étalon très recherché. Alors qu'il ne reproduisait que quelques fois par an jusqu'en 1966, il couvre désormais en moyenne 25 juments par an, avec un record de 54 juments en 1969. D'après l'éleveur Germain Levallois, il n'était pas rare que les 15 premiers poulains primés en concours d'élevage à cette époque soient tous des fils et filles d'Ibrahim. Almé, le père de Jalisco B, est son plus célèbre fils. La qualité de sa progéniture est particulièrement remarquée pendant la grande semaine de Fontainebleau en 1970, où Alcazar D, Aurore C, Azimut, Arteban et Almé dominent tous les autres concurrents lors de la finale, tandis que la jument de cinq ans Val de Loire B remporte la compétition de sa classe d'âge. Un croisement fructueux est celui d'Ibrahim avec les filles d'Ultimate, un Pur-sang. Ibrahim a toujours une grande influence sur l'élevage actuel du cheval de sport. Notes et références Cheval enregistré Selle français Anglo-normand Étalon de sport influent Animal né en 1952 Animal mort en 1973 Monde équestre en Normandie
Archidiocèse d'Évora
L'archidiocèse d'Evora est un siège métropolitain de l'Église catholique romaine du Portugal. Il a été érigé comme diocèse au et élevé au rang d'archidiocèse le . Le siège archiépiscopal se trouve à cathédrale de Évora. Notes et références Voir aussi Articles connexes Église catholique au Portugal Liens externes Évora Evora
District de Gwalior
Le district de Gwalior ()est un district de l'état du Madhya Pradesh, en Inde Géographie Au recensement de 2011, sa population compte habitants pour une superficie de . Son chef-lieu est la ville de Gwalior. Liens externes Site officiel Liens internes Liste des districts du Madhya Pradesh Références District au Madhya Pradesh District
Bastion
Le bastion est un ouvrage en fortification bastionnée qui fait partie de l’enceinte du corps d’une place ou des remparts d'une ville, présentant en saillie deux faces et deux flancs. Il est relié à l’enceinte par ces derniers. Il remplace, dans les fortifications classiques, la tour pour fournir les feux de flanquement sur la courtine et défendre les angles du corps de place. Il est constitué par un talus de terre appuyé sur le mur intérieur du fossé, l'escarpe. Le talus constitue une plate-forme, la banquette, où est disposé le plus gros de l'artillerie de la place forte. Histoire Origine L'apparition et la démocratisation de l'artillerie au rendent caduque la fortification médiévale et pousse à une évolution par l'apparition d'ouvrages dits de transition entre l'époque médiévale et la fortification bastionnée comme les boulevards et tours d'artillerie. Évolution Son invention au début du est une réponse au développement de l'artillerie (perfectionnement du canon coulé d'une pièce en fonte puis en bronze, suspendu à l'affût par deux tourillons, mise au point du mortier, du boulet métallique…) et de l'emploi des mines. On attribue les premiers essais de construction de fortifications bastionnée à Francesco di Giorgio Martini. Les premières applications en France peuvent se voir à Navarrenx, alors en Navarre, à Saint-Paul-de-Vence et à Montreuil-sur-Mer dont les remparts ont été construits, le premier, à partir de 1540 sur les plans de Fabricio Siciliano et le second, en 1544, sur ceux de Jean de Renaud de Saint-Rémy. En 1585, l'ingénieur italien Aurelio Pasini fit ériger des fortifications à Vitry-le-François. Sa forme est pentagonale, avec deux faces vers l'ennemi, deux flancs fournissant les feux de flanquement sur la courtine (canons que l'assiégé charge à mitraille, ferraille et clous pour abattre les assiégeants parvenus au pied du bastion sans abîmer ses propres remparts) et la gorge vers le corps de place. Les flancs étaient de deux types, droits ou courbes avec des orillons. Le bastion pouvait être plein et coiffé d'un cavalier, une plateforme surélevée, elle aussi pentagonale, où se positionnait l'artillerie à longue portée. Les bastions alternaient avec des ouvrages avancés, les demi-lunes et tenailles qui croisaient leur feux avec ceux des bastions, dessinant un plan général en étoile. Les angles des bastions étaient souvent équipés d'une échauguette pour les sentinelles du fort. À son origine, le bastion était lié au corps de la fortification principale et la chute de l'un d'entre eux signifiait le plus souvent la chute du fort. Vauban innova en le transformant en ouvrage détaché, qu'il nomma « contre-garde ». La tour bastionnée qui le remplaçait sur le corps de place permettait alors de tirer avec de l'artillerie, sur l'arrière du bastion, après sa capture, ce qui rendait la tâche de l'assaillant encore plus compliquée. Notes et sources Bibliographie Traductions Références Voir aussi Articles connexes Fortification Fortin militaire Glossaire de l'architecture Glossaire de la fortification bastionnée Muraille Rempart Tenailles Tracé à l'italienne Lien externe « Du système bastionné au système polygonal », www.fortifications.fr (consulté le ). Fortification bastionnée Bâtiment militaire Édifice-type Vauban
Athletic Club
L'Athletic Club, couramment appelé Athletic (ou Athletic de Bilbao), est un club de football espagnol de Bilbao fondé en 1898. Il a pour spécificité de ne compter dans son effectif que des joueurs nés au Pays basque (communauté autonome du Pays basque, Navarre ou Pays basque français), ou ayant une ascendance basque ou formés dans un club basque. Le club a une origine anglaise, comme l'illustre le terme de son appellation. Il est présidé depuis décembre 2018 par Aitor Elizegi, était résident du stade San Mamés depuis son inauguration en 1913. D'une capacité de , il a été remplacé par le nouveau stade, San Mamés Barria, plus grand, dont l'inauguration s'est effectuée en 2013. L'Athletic Club évolue en Primera División (dont il a remporté huit éditions) depuis sa création en 1928, il est aussi le seul club avec le Real Madrid et le FC Barcelone à n'avoir jamais été relégué en 2e division. Le club a remporté la Coupe d'Espagne à vingt-trois reprises, et est resté détenteur du record de victoires de 1910 à 2009, année au cours de laquelle il a été dépassé par le FC Barcelone. Repères historiques Bilbao FC, Athletic Club et la Team Bizkaia Comme dans de nombreux ports d'Europe, Bilbao doit l'apparition du football aux anglais ; en l'occurrence, à deux groupes distincts : les travailleurs anglais des chantiers navals basques et les étudiants revenant de l'école en Grande-Bretagne. À la fin du , Bilbao est un port industriel important, qui attire notamment des travailleurs du nord-est de l'Angleterre, et particulièrement de Sunderland. Ces ouvriers fondent au début des années 1890 le Bilbao Football Club. Ils affrontent alors régulièrement des jeunes gens issus de la bourgeoisie basque, ayant découvert le football au Royaume-Uni au cours de leurs études. En 1898, ces derniers fondent l’Athletic Club. En 1902, les deux clubs de Bilbao créent une équipe unique, dénommée Club Vizcaya, pour participer à la première coupe d'Espagne (la copa del Rey). Ils remportent la compétition en disposant du FC Barcelone en finale. À la même période, des étudiants basques fondent l’Athletic Club de Madrid, nommé en hommage à l'équipe de leur enfance, l’Athletic Club de Bilbao. Les succès en coupe des premières années L’Athletic Club est fondé en 1903 par la fusion du Bilbao Football Club et de l'Athletic Club. Le nouveau club remporte de nouveau la coupe d'Espagne en 1903, puis en 1904, à la suite du forfait du Club Español de Madrid. En 1905 et 1906, les Basques s'inclinent en finale face au Real Madrid, avant de fusionner avec l’Union Vizcaino en tant que Club Vizcaya le temps d'une compétition sans plus de succès. En 1910, deux coupes d'Espagne sont organisées du fait de désaccords entre lUnión Española de Clubs de Fútbol et la fédération espagnole de football. L’Athetic remporte la coupe organisée par l'UECF. En 1911, puis entre 1914 et 1916 et enfin en 1921, les Basques remportent de nouveau la compétition. La star de cette équipe est le buteur Rafael Moreno Aranzadi, dont le surnom Pichichi a été repris pour nommer le trophée décerné chaque année au meilleur buteur du championnat d'Espagne. En 1921, l'entraîneur anglais du Racing Santander Fred Pentland est recruté. Il révolutionne le jeu de l'équipe, en favorisant les passes courtes, et la mène à une nouvelle victoire en coupe en 1923. Il quitte le club en 1927. La domination de la Liga En 1928, le championnat d'Espagne est créé. Il compte dix équipes, dont quatre clubs basques : le Real Unión, l'Arenas Club de Getxo, la Real Sociedad et l'Athletic Club. En 1929, l'entraîneur Pentland est de retour et mène l'Athletic au doublé coupe-championnat en 1930 et 1931. Le club remporte encore la coupe en 1932 et 1933, tout en terminant à la deuxième place en championnat, derrière le Real Madrid. En 1941, le club devient Atlético Bilbao, en application d'un décret du général Francisco Franco bannissant l'usage d'autres langues que le castillan en Espagne. Sur le terrain, le club réalise en 1943 un nouveau doublé coupe-championnat (son cinquième titre de champion), puis remporte la coupe, devenue Copa del Generalisimo, en 1944 et 1945. À cette époque, le club aligne une attaque réputée, composée de Telmo Zarraonaindía (auteur de 294 buts en 13 saisons, dont 38 buts lors de la saison 1950-1951, record qui ne sera battu que 60 ans plus tard par l'argentin Lionel Messi et le portugais Cristiano Ronaldo), José Luis Panizo, Rafa Iriondo, Venancio et Agustín Gaínza. Une nouvelle coupe d'Espagne est gagnée en 1950. En 1954, l'entraîneur slovaque du FC Barcelone Ferdinand Daučík est recruté. Il mène le club à une nouvelle victoire en coupe dès sa première saison, puis à un quatrième doublé coupe-championnat la saison suivante, avant de remporter une nouvelle coupe d'Espagne en 1958. En 1956, l'Atlético découvre la coupe d'Europe, élimine le FC Porto et le Budapest Honvéd de Ferenc Puskás et Sándor Kocsis avant d'être éliminé par Manchester United en quart de finale. La politique de la Cantera Alors que les autres grands clubs espagnols font appel à des stars étrangères, parfois naturalisées (Alfredo Di Stéfano, Ferenc Puskás, José Santamaría, Ladislao Kubala), l’Athletic poursuit sa politique sportive basée avant tout sur son centre de formation (ou ). Le club s'applique alors la règle des grands-parents, qui lui permet de recruter des descendants de Basques, comme . Le club basque remporte une vingtième coupe d'Espagne en 1969, puis une nouvelle en 1973, mais n'affiche alors plus la domination d'antan. En décembre 1975, le drapeau basque (Ikurriña) est déployé par les capitaines José Ángel Iribar et Ignacio Kortabarria au centre du terrain avant le match opposant Bilbao à la Real Sociedad, pour ce qui est sa première apparition depuis la mort de Franco quelques jours plus tôt. En 1977 le club atteint la finale de la coupe UEFA mais s'y incline, à la différence de buts, face à la Juventus. Le club retrouve par la suite son nom original : Athletic Club. Les exploits de Javier Clemente En 1981, le club confie son équipe première à un ancien joueur, devenu entraîneur de la réserve : Javier Clemente. Grâce aux anciens Dani et Andoni Goikoetxea et à la jeune génération des Santiago Urkiaga, Miguel de Andrés, Ismael Urtubi, Estanislao Argote et Andoni Zubizarreta, Clemente permet au club de retrouver pendant plusieurs saisons le haut du tableau, et surtout de remporter le championnat en 1983 et le doublé coupe-championnat en 1984. C'est le dernier titre de champion du club. Clemente part en 1986, et ses successeurs (José Ángel Iribar, Howard Kendall, Jupp Heynckes et Javier Irureta) ne parviennent pas à réitérer l'exploit. L'assouplissement de la Cantera Au cours des années 1990, le club décide d'un certain assouplissement des règles de la cantera. L'Athletic accepte dorénavant des joueurs basques, c'est-à-dire ayant au moins un des deux parents pur basque, à condition qu'ils aient une partie de leurs origines dans la province de Bilbao ainsi que les joueurs (espagnol ou non) formés dans cette région. Cette règle permet ainsi de recruter dans les canteras des autres clubs basques. En 1995 notamment, l'Athletic fait signer le jeune de la Real Sociedad Joseba Etxeberria, ce qui tend considérablement les relations entre les deux clubs. L'entraîneur français Luis Fernandez est recruté en 1996. Il fait appel à Bixente Lizarazu, premier joueur français à joindre le club, Ismael Urzáiz ou José Mari. En 1998, il mène le club à la deuxième place en championnat et à la Ligue des champions. Rafael Alkorta, Julen Guerrero et Patxi Ferreira brillent au sein de cette équipe. Saisons récentes Depuis le début des années 2000, l'équipe basque était vouée au milieu de tableau ou à lutter pour son maintien comme lors des saisons 2005-2006 et 2006-2007. Ainsi en 2007, l'Athletic assure sa place en Liga lors de la dernière journée en battant Levante UD 2 à 0 à San Mamés. Malgré les mauvais résultats, les supporters continuent d'appuyer les dirigeants et la politique de recrutement particulière au club. Ainsi, un sondage commandé par le journal El Mundo et paru au cours des années 1990 montre que 76 % des fans du club accepteraient mieux une relégation de leur équipe plutôt que de voir des joueurs "étrangers au Pays basque" porter le maillot rouge et blanc. Depuis l'arrivée de Joaquín Caparrós (en 2007) puis de Marcelo Bielsa (en 2011) au poste d'entraîneur, l'Athletic a haussé son niveau de jeu et fait partie des concurrents réguliers à la Ligue Europa, tant grâce à la Coupe du Roi (finale contre le FC Barcelone durant les saisons 2008-2009, 2011-2012 et 2014-2015) que par son classement dans la Liga BBVA espagnole ( æquo avec le FC Séville et l'Atlético Madrid en 2010-2011) et renoue avec la partie haute du tableau grâce à une nouvelle génération très prometteuse de joueurs issus de la Cantera et une tactique plus offensive que celle voulue par les précédents entraîneurs. Ces dernières années, l'Athletic a intégré dans son effectif le premier joueur non-blanc de son histoire, Jonás Ramalho. Né à Barakaldo, dans la banlieue de Bilbao, ce joueur de père angolais a fait ses classes au centre de formation, et devient à l'âge de 14 ans et 8 mois le joueur le plus jeune à porter le maillot de la première équipe du club basque lors d'un match amical contre le SD Amorebieta. Puis un autre joueur non-blanc intègre l'équipe première, Iñaki Williams, joueur d'origine ghanéenne né au Pays Basque. Il deviendra même le premier joueur noir à marquer dans un match officiel face au Torino FC en février 2015 lors des 16èmes de finale aller de la Ligue Europa. Lors de la saison 2011-2012 de la Ligue Europa, les Rojiblancos réussissent à accéder en finale après avoir éliminé Manchester United 3-2 à l'aller et 2-1 au retour, Schalke 04 et le Sporting Portugal, mais ils perdront la finale 3-0 face à l'Atlético de Madrid de Radamel Falcao. Le 4 mars 2020, à l'issue d'une défaite 2-1 contre le Granada CF, en demi-finale retour de Coupe du Roi, l'Athletic atteint la finale grâce à sa victoire 1-0 lors de l'aller, à San Mamés, le 12 février dernier. Les Basques se hissent en finale en raison de leur but à l'extérieur, lors du retour, qui prime dans la double confrontation. À Séville, où l'ultime match du tournoi s'est déroulé, les Leones retrouvent leur rival de la Real Sociedad, pour une rencontre historique et inédite à ce stade de la compétition.Ils finissent par s'incliner au bout de 90 minutes de suspens, par 1 à 0. Résultats sportifs et palmarès Palmarès Bilan Saisons au sein du Championnat d'Espagne de football : 90 (toutes) Plus large victoire obtenue dans la ligue, en tant que local : Athletic Club 12 - FC Barcelone 1 (1930-31) Plus large victoire obtenue dans la ligue en tant qu'invité : Osasuna 1 - Athletic Club 8 (1958-59) Plus large victoire dans la compétition européenne atteinte: Standard Liège 1 - Athletic Club 7 (2004-05) Plus de buts en une saison : 88 buts en 30 matches (1950-51). Participations à la Ligue des champions: 5 (1956-57, 1983-84, 1984-85, 1998-99, 2014-2015) Participations à la Ligue Europa : 18 (1971/72, 1976/77, 1977/78, 1978/79, 1982/83, 1985/86, 1986/87, 1988/89, 1994/95, 1997/98, 2004/05, 2009/10, 2011/12, 2012/13, 2014/15, 2015/16, 2016/17, 2017/18) Participations à d'autres compétitions européennes : 8. Équipe réserve Le Bilbao Athletic est le nom de l'équipe réserve de l'Athletic Club. Elle évolue en Segunda División B, ce qui correspond à la troisième division dans la hiérarchie espagnole. Équipe féminine Le club possède une section féminine depuis 2002, qui a remporté 4 titres de championnes d'Espagne. Couleurs et logos Historique des couleurs Alors que les premiers maillots du club sont rayés de bleu et blanc, le club opte en 1910 pour des rayures verticales rouges et blanches. Plusieurs raisons sont citées pour expliquer ce changement, la plus courante étant un hommage rendu aux clubs anglais de Sunderland AFC et Southampton FC, d'où venaient les fondateurs du club, ouvriers anglais de l'industrie navale. Historique du logo Le club a changé relativement souvent de logo au cours de son histoire, notamment lors de ses premières années. Sponsors L'Athletic Club a longtemps fait office d'exception dans la sphère du football européen, en étant une des dernières formations professionnelles à ne pas afficher de sponsor sur son maillot. Lors de la saison 2004-2005, le club affiche en coupe d'Europe et coupe d'Espagne le mot , dans une action de sponsoring du gouvernement basque. En 2008, le président du club Fernando Garcia Macua conclut un contrat de sponsoring maillot de trois ans avec la compagnie pétrolière basque Petronor. Mais depuis le début de la saison 2015-2016, le club basque a conclu un accord de sponsoring maillot de trois ans avec le groupe bancaire Kutxabank. L'équipe féminine est sponsorisée par Euskaltel. Structures du club Stade San Mamés Le club évolue depuis 1913 au stade San Mamés, situé à Bilbao. D'une capacité de , il est régulièrement complet et affiche au cours des années 2000 une moyenne de plus de . Un projet de construction d'un nouveau stade, le San Mamés Barria, doté de et classé 5 étoiles UEFA, a été lancé à la fin des années 2000. La mise en service est effectuée au début de la saison 2013-2014. Les coûts des travaux se montent à 160 millions d'euros. Installations de Lezama Le complexe de Lezama est le centre d'entraînement des différentes équipes du club depuis son ouverture en 1971. Il compte notamment cinq terrains et le centre de formation du club. Personnalités du club Présidents Entraîneurs Effectif professionnel actuel Le premier tableau liste l'effectif professionnel de l'Athletic Club pour la saison 2020-2021. Le second recense les prêts effectués par le club lors de cette même saison. |- |- |- Joueurs prêtés pour la saison 2020-2021 Adversaires européens Les équipes en italique n'ont été rencontrées que dans le cadre de la Coupe Intertoto. Notes et références Notes Références Liens externes Sport à Bilbao
Base aérienne de Szolnok
La base aérienne "Lieutenant József Kiss d'Ittebei" de Szolnok (hongrois : Ittebei Kiss József hadnagy Helikopter Bázis) est une base aérienne de l'Armée de l'air hongroise située près de Szolnok dans le comitat de Jász-Nagykun-Szolnok en Hongrie. Elle a été renommée en mai 2005 en l'honneur du pilote de chasse hongrois le plus performant de la Première Guerre mondiale, le lieutenant József Kiss d'Ittebei. Le près de Törökszentmiklós, un hélicoptère de type Mil Mi-8 provenant de la base s'est écrasé tuant un soldat et blessant gravement deux personnes et légèrement une autre. Références Voir aussi Liste des aéroports de Hongrie Szolnok Armée hongroise Forces armées hongroises Liens externes Szolnok
2e soirée des prix Jutra
La des prix Jutra, récompensant les films québécois sortis en 1999, a lieu le et est diffusée sur les ondes de TVA en direct du Monument-National à Montréal. Déroulement Le gala est co-animé par Yves Jacques et Élise Guilbault. Palmarès Les lauréats sont indiqués ci-dessous en premier de chaque catégorie et en gras. Meilleur film Post mortem Le Dernier Souffle Emporte-moi Souvenirs intimes Meilleure réalisation Louis Bélanger pour Post mortem François Bouvier pour Histoires d'hiver Jean-Philippe Duval pour Matroni et moi Léa Pool pour Emporte-moi Meilleur acteur Gabriel Arcand pour Post mortem Sébastien Huberdeau pour L'Île de sable Pierre Lebeau pour Matroni et moi Luc Picard pour Le Dernier Souffle Meilleure actrice Karine Vanasse pour Emporte-moi Ginette Reno pour Laura Cadieux... la suite Pierrette Robitaille pour Laura Cadieux... la suite Guylaine Tremblay pour Matroni et moi Meilleur acteur de soutien Julien Poulin pour Le Dernier Souffle Jean Pierre Bergeron pour Le Grand Serpent du monde Gary Boudreault pour Matroni et moi Yves Jacques pour Souvenirs intimes Meilleure actrice de soutien Pascale Bussières pour Emporte-moi Maude Guérin pour Matroni et moi Louise Portal pour Le Grand Serpent du monde Linda Singer pour Le Dernier Souffle Meilleur scénario Louis Bélanger pour Post mortem François Bouvier et Marc Robitaille pour Histoires d'hiver Jean-Philippe Duval et Alexis Martin pour Matroni et moi Léa Pool pour Emporte-moi Meilleure direction artistique Serge Bureau et Michèle Hamel pour Emporte-moi Claude Paré et Renée April pour Grey Owl Raymond Dupuis et Suzanne Harel pour Laura Cadieux... la suite Michel Marsolais et Hélène Schneider pour Pin-Pon, le film Meilleure direction de la photographie Pierre Gill pour Souvenirs intimes Éric Cayla pour Babel Guy Dufaux pour Nguol thùa André Turpin pour Matroni et moi Meilleur montage Lorraine Dufour pour Post mortem Michel Arcand pour Emporte-moi André Corriveau pour Histoires d'hiver José Heppell pour Pin-Pon, le film Meilleur son Louis Hone, Normand Mercier, Claude Beaugrand et Hans Peter Strobl pour Histoires d'hiver Bobby O'Malley, Dominique Delguste et Réjean Juteau pour Four Days Michel Charron, Jo Caron, Bruno Ruffolo, Louis Dupire, Michel Descombes et Gavin Fernandes pour Le Dernier Souffle Serge Beauchemin, Louis Dupire, Hans Peter Strobl et Jo Caron pour Souvenirs intimes Meilleure musique originale Benoît Jutras pour Alegría Guy Bélanger et Steve Hill pour Post mortem Gaëtan Gravel et Serge Laforest pour Le Grand Serpent du monde Richard Grégoire pour Souvenirs intimes Meilleur documentaire Patricio Henriquez pour Images d’une dictature Lucie Lambert pour Avant le jour Magnus Isacsson pour Enfants de chœurs ! Jean-Philippe Duval pour Lumière des oiseaux Serge Giguère pour Le Réel du mégaphone Meilleur court métrage de fiction Louise Archambault pour Atomic Saké Stéphane Morissette pour 2000 pieds carrés Jean-François Asselin pour La Petite Histoire d’un homme sans histoire Guy Bonneau et Martine Fortin pour Maman, y'a un monstre dans mon lit Meilleur film d'animation Alexandre Konstantinovitch Petrov pour Le Vieil Homme et la Mer Pierre M. Trudeau pour Torill Kove pour Ma grand-mère repassait les chemises du roi pour When the Day Breaks Prix spéciaux Jutra-Hommage Frédéric Back Film s'étant le plus illustré à l'extérieur du Québec Emporte-moi Billet d'or Les Boys II Notes et références Voir aussi Liens externes Résultats sur IMDB 2 Jutra Jutra
La Face cachée d'Adolf Hitler
La Face cachée d'Adolf Hitler ou Nazis dans le rétro est un film français réalisé par Richard Balducci et sorti en 1977. Synopsis Fiche technique Titre : La Face cachée d'Adolf Hitler Autre titre : Nazis dans le rétro Réalisation : Richard Balducci Scénario : d'après une histoire de Claude Briac Photographie : Jean-Paul Pradier Son : Jean-Pierre Delorme Montage : Geneviève Letellier Société de production : Concorde Productions Distribution : Inter Écran Pays d'origine : Durée : Date de sortie : Distribution Billy Frick Albert Médina Pierre Desproges Madeleine Bouchez Liens externes Film français sorti en 1977 Comédie française Film réalisé par Richard Balducci Adolf Hitler dans la fiction
1694 en droit
Événements Japon : dix guildes d’Edo reçoivent une approbation officielle du shogounat. 27 juillet : Tonnage Act bill. le Parlement anglais permet l’ouverture de la Banque d'Angleterre à Londres, dans le Mercer's Hall (Cheapside). C’est une société anonyme par action au capital de 1,2 million de livres fondée en vue d’opération financières ; dépôts, gestion de comptes, virements de compte à compte, escompte des effets de commerce, émission de billets de banque. Elle est destinée à financer la guerre à coups d’emprunts. 22 décembre : nouveau Triennal Act fixant à trois ans le mandat parlementaire en Angleterre. Institution d’une liste civile annuelle pour résoudre la question des finances royales. Les besoins spécifiques seront couverts par des lois de finances (Money Bills) votées au coup par coup. Naissances 23 mars : Charles-Louis Caissotti, juriste et homme politique italien, chargé de réviser la partie concernant les lois civiles des Regie Costituzioni du royaume de Sardaigne († .) Décès Notes et références XVIIe siècle en droit 1694 en droit
Battle for the Sun
Battle for the Sun est le sixième album de Placebo, sorti le , et le premier enregistré avec Steve Forrest. Historique Premier album de Placebo enregistré avec Steve Forrest en tant que batteur, Battle for the Sun () est d'abord le fruit du travail personnel de Brian Molko et Stefan Olsdal qui ont travaillé séparément pendant la tournée Meds et la période de suspense concernant l'avenir du groupe qui lui a succédé. . Sous la direction du producteur David Bottrill aux Metalworks Studio de Toronto, Placebo donne naissance à un sixième album qui apparaît comme une véritable réaction au précédent, Meds, et aux troubles que Brian Molko et Stefan Olsdal ont traversés avec le précédent batteur Steve Hewitt : . De ce fait, Battle for the Sun s'avère plus coloré et optimiste que son prédécesseur, impressions véhiculées par la présence de nouveaux instruments pour Placebo comme les cuivres et le son lourd et pesant des guitares donnant une unité thématique à l'album autour de l'espoir, sous des accents épiques. . Battle for the Sun fut présenté à la presse lors d'un concert secret donné à Londres le 17 mars 2009 alors qu'un premier extrait était diffusé le soir même à la BBC et sur d'autres radios européennes puis offert en téléchargement gratuit sur le site officiel. Il s'agissait du titre éponyme Battle for the Sun qui ne devint pas un single mais qui apparaissait au groupe comme le morceau le plus ambitieux. L'album sortit le 8 juin 2009 (Europe) après trois jours (du 29 mai au 31 mai 2009) d'écoute complète gratuite sur le site officiel. Liste des titres Certifications Singles extraits For what it's Worth Ashtray Heart The Never-Ending Why Bright Lights Éditions Édition numérique Cette édition contient l'album décrit précédemment ainsi qu'un DVD documentaire sur la conception de l'album et un livret de textes et photos. Édition deluxe Cette édition comprend l'édition numérique ainsi que deux titres inédits (Unisex et The Movie On Your Eyelids), un second DVD consacré au concert de Placebo au Cambodge en décembre 2008, un cd vierge donnant droit à des téléchargements depuis le site officiel, deux disques vinyles et un second livret de paroles manuscrites. Édition Redux Cette édition sortie en septembre 2010 reprend l'édition simple de l'album et inclut entre autres un disque de 10 titres contenant cinq inédits dont Trigger Happy Hands joué sur scène dès l'automne 2009. Notes et références Battle for the Sun Album de Placebo Album numéro un en Allemagne Album numéro un en Autriche Album numéro un en Belgique Album numéro un en France Album numéro un en Suisse Album certifié disque d'or en Allemagne Album certifié disque d'or en Belgique Album certifié disque d'argent au Royaume-Uni Album produit par David Bottrill
Green Line (homonymie)
Musique Green Line, nom d'une gamme d'instruments à vent développée par Buffet Crampon sur la base d'un matériau composite. Transport Green Line (Luas), ligne du réseau de tramway de Dublin. Green Line (Londres), compagnie de bus de la région de Londres fondée en 1930.
Saint-Frajou
Saint-Frajou est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Géographie Localisation La commune de Saint-Frajou se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Elle se situe à à vol d'oiseau de Toulouse, préfecture du département, à de Saint-Gaudens, sous-préfecture, et à de Cazères, bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune fait en outre partie du bassin de vie de L'Isle-en-Dodon. Les communes les plus proches sont : Coueilles (), Anan (), Saint-Laurent (), Fabas (), Salerm (), Castelgaillard (), Agassac (), L'Isle-en-Dodon (). Sur le plan historique et culturel, Saint-Frajou fait partie des collines gasconnes du Savès, délimitées au sud et à l'est par les reliefs plus marqués des collines du Comminges, annonciatrices de la chaîne des Pyrénées, qui se dévoile pleinement depuis les coteaux ou les vallées. Ce territoire s'organise autour de la large vallée de la Save, dont la confluence avec les autres vallées majeures que sont la Gesse et l’Aussoue, s'opère au nord. Saint-Frajou est limitrophe de six autres communes. Géologie et relief La superficie de la commune est de ; son altitude varie de . Hydrographie La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par l'Aussoue, l'Espienne, le ruisseau de la Gouarce, le ruisseau de Massagat, le ruisseau du Grand Bois et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de de longueur totale. L'Aussoue, d'une longueur totale de , prend sa source dans la commune de Lilhac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans La Save à Labastide-Savès (32), après avoir traversé . L'Espienne, d'une longueur totale de , prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aussoue à Samatan (32), après avoir traversé . Climat Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après. Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986 et qui se trouve à à vol d'oiseau, où la température moyenne annuelle est de et la hauteur de précipitations de pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, dans le département du Gers, mise en service en 1985 et à , la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010 à pour 1991-2020. Milieux naturels et biodiversité L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de est recensée sur la commune : la « forêt et lac de Fabas » (), couvrant du département. Urbanisme Typologie Saint-Frajou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. La commune est en outre hors attraction des villes. Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,1 %), terres arables (32,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,6 %), forêts (5,6 %), eaux continentales (2,8 %), zones urbanisées (1,5 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Voies de communication et transports Accès avec la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT). Toponymie Le village tire son nom de saint Fragulphe, personnage légendaire qui combattit contre les envahisseurs sarrasins et fut décapité. Sa tête, en roulant au sol, laissa trois taches de sang qui sont encore visibles, à la fontaine de Saint-Frajou. Il ramassa ensuite sa tête et marcha jusqu'au lieu où on fit son tombeau. Ledit personnage entre dans la catégorie des saints céphalophores (en grec, cela signifie : porteur de tête). La fontaine aux multiples vertus attira longtemps les pèlerins. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Belle-Serre. Ses habitants sont appelés les Fragulphiens. Histoire En 1859, Édouard Lartet décrivit en détail des restes attribués à l'espèce Mastodon pyrencicus, dans une monographie consacrée à la denture des proboscidiens fossiles, découverte à Saint-Frajou. Ces restes se réduisent à quatre molaires, deux molaires inférieures (M2 et M3) et deux molaires supérieures (M3 dr. et g.), appartenant au même individu. Les molaires se trouvent actuellement au Muséum de Toulouse. L'espèce a été reclassée dans le genre Zygolophodon par le paléontologue Lucien Mayet en 1908. Politique et administration Administration municipale Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze. Rattachements administratifs et électoraux Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Frajou faisait partie de l'ex-canton de L'Isle-en-Dodon) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes des Portes du Comminges. Tendances politiques et résultats Liste des maires Population et société Démographie Enseignement Saint-Frajou fait partie de l'académie de Toulouse. Économie Revenus En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte fiscaux, regroupant . La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de ( dans le département). Emploi En 2018, la population âgée de s'élève à , parmi lesquelles on compte 76,2 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 23,8 % d'inactifs. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des est supérieur à celui de la France et du département. La commune est hors attraction des villes. Elle compte en 2018, contre 43 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 54 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53 %. Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants. Pour se rendre au travail, 77,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile). Activités hors agriculture 25 établissements sont implantés à Saint-Frajou au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 25 entreprises implantées à Saint-Frajou), contre 5,7 % au niveau départemental. Agriculture La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande. Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988 à 24 en 2000 puis à 21 en 2010 et enfin à 16 en 2020, soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de en 1988 à en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à . Culture locale et patrimoine Lieux et monuments Le village domine le val de l'Aussoue et de son promontoire fait face à la chaîne des Pyrénées. La fontaine de Saint-Frajou se situe en contrebas du village près du lac artificiel de Saint-Frajou, on lui confère des vertus curatives. Ce dernier a été créé grâce à un barrage sur l'Aussoue. L'église de Saint-Frajou date des , , et s. Musée de Peinture de Saint-Frajou situé à l'emplacement de l'ancienne école communale, au centre du village, tout proche de la place principale et de la mairie. La Chapelle Saint-Frajou. Personnalités liées à la commune Jacque Daran, (1701-1784), médecin de Louis XV, la légende raconte qu'il est à l'origine de l'expression « prendre des vessies pour des lanternes ». René Souriac, universitaire qui fait référence pour l'histoire du Comminges Ksenia Milicevic, artiste peintre. Jean Saint-Raymond, colonel de la Révolution et de l’Empire. Héraldique Pour approfondir Bibliographie Articles connexes Liste des communes de la Haute-Garonne Anciennes communes de la Haute-Garonne Liens externes Saint-Frajou sur le site de l'Institut géographique national Musée de Peinture de Saint-Frajou 1980 : Vivre la solitude quand on est agriculteur au village de Saint Frajou | Archive INA https://www.youtube.com/watch?v=BrFIhm1zkSo Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Site de l'Insee Autres sources Commune en Haute-Garonne Commune dans l'arrondissement de Saint-Gaudens Frajou Commune ayant porté un nom révolutionnaire en Haute-Garonne
Triangle de Hala'ib
Le triangle de Hala'ib ou de Halayeb ( en arabe, translitéré en Muthallath Halāyeb ou Muṯallaṯ Ḥalāʾib) est une région frontalière revendiquée par le Soudan, actuellement administrée par l'Égypte. Géographie Hala'ib est une région grossièrement triangulaire dont la base est située le long du , sur 290 km, et dont la superficie atteint . Elle est bordée à l'est par la mer Rouge. La pointe ouest jouxte le Bir Tawil. La principale ville de la région est Hala'ib ; Abu Ramad, à 30 km au nord-ouest sur la côte, est l'unique autre zone habitée. La ville égyptienne la plus proche est , sur la limite nord. La ville soudanaise la plus proche est Osief, à 25 km au sud du  parallèle. Origine La majeure partie de la frontière entre l'Égypte et le Soudan est située sur le  parallèle nord, telle que définie en 1899 par le Royaume-Uni pour délimiter la frontière nord du Soudan anglo-égyptien. Cette frontière est rectifiée en 1902 : le triangle de Hala'ib est alors placé sous administration soudanaise car les tribus de cette région sont alors basées au Soudan ; de façon similaire, le Bir Tawil passe sous administration égyptienne, étant un pâturage d'une tribu ababdeh basée à Assouan. Revendications L'Égypte revendique la frontière de 1899 correspondant au  parallèle ; cette interprétation place le triangle de Hala'ib sous contrôle égyptien et le Bir Tawil sous contrôle soudanais. Le Soudan revendique la frontière de 1902 : dans cette optique, le triangle de Hala'ib est situé au Soudan et le Bir Tawil en Égypte. En conséquence, les deux pays revendiquent le triangle de Hala'ib, mais aucun ne prétend à la souveraineté sur le Bir Tawil, qui est dix fois plus petit que le triangle et n'a aucun accès à la mer. L'Égypte envoie des troupes dans la région en , mais les retire le même mois. Bien que les deux pays la revendiquent, elle reste sous contrôle soudanais jusqu'en 1992, lorsque l'Égypte proteste contre l'autorisation donnée par le Soudan à une compagnie pétrolière canadienne dans les eaux situées au large de Hala'ib. Des négociations sont engagées, mais la compagnie se retire avant qu'un accord de souveraineté soit conclu. En , le Soudan retire ses troupes de la région, cédant de facto son contrôle à l'Égypte, qui l'occupe depuis. Carte Notes et références Voir aussi Bibliographie Paule Charles-Dominique, Voyageurs arabes (Paris, Gallimard, La Pléiade, 1995) Articles connexes Frontière entre l'Égypte et le Soudan Bir Tawil Wadi Halfa ‘Aydhab ou Aidhab, ancien port (pour le commerce avec l'Inde, pour l'esclavage et pour le pèlerinage musulman), évoqué par Ibn Jubair (1145-1217), à propos d'un document judiciaire (en gueniza) Liens externes . . Frontière de l'Égypte Frontière du Soudan Territoire contesté ou occupé en Afrique
Sky Road
Sky Road est une route touristique du Connemara, en Irlande, qui décrit une boucle d'environ 10 km à partir de la ville de Clifden. Elle se divise en trois : la Beach Road longe la baie de Clifden ; la Low Sky Road est un peu plus haute que la Beach Road mais un peu plus bas que la Sky Road ; La Sky Road proprement dite est au sommet des montagnes ; de là-haut, on a une très belle vue sur l'océan, Inishbofin et les autres îles alentour. Cette route mène aussi au Château de Clifden. Lien externe Clifden and the Sky Road sur Info Ireland Tourisme en Irlande (pays) Connemara
Démographie de Dammarie-sur-Loing
La démographie de Dammarie-sur-Loing, commune rurale du département du Loiret, en région Centre-Val de Loire, est caractérisée par une densité faible et une population faible en croissance modérée depuis les années 1980. En , Dammarie-sur-Loing comptait habitants, soit une évolution de % par rapport à 2006. La population est plus âgée que celle de la France métropolitaine. L'évolution démographique, les indicateurs démographiques, la pyramide des âges, l'état matrimonial, les caractéristiques de l'emploi et le niveau de formation sont détaillés ci-après. Évolution démographique L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués périodiquement dans la commune depuis 1793. Après avoir présenté un maximum en 1866 avec , la population de la commune diminue jusqu'en 1982 avec un minimum à puis croît modérément. Une réforme du mode de recensement permet à l'Insee de publier les populations légales des communes annuellement à partir de 2006. Pour les communes de moins de , les recensements ont lieu tous les cinq ans, les populations légales intermédiaires sont quant à elles estimées par calcul. Le premier recensement exhaustif de la commune entrant dans le cadre de ce nouveau dispositif a eu lieu en . En , Dammarie-sur-Loing comptait habitants, soit une évolution de % par rapport à 2006. Indicateurs démographiques Densité La densité de population de Dammarie-sur-Loing, mesurant le nombre de personnes par unité de surface, est passée de 22,1 habitants/km2 en 1968 à 25,3 en 2009. Elle est, en 2009, 3,8 fois plus faible que la densité moyenne du département du Loiret (96,5), 2,6 fois plus faible que celle de la région Centre (64,8) et 4,5 fois que celle de la France métropolitaine (114,8). Cet indicateur situe la commune au au niveau départemental (sur 334 communes) et au au niveau national (France métropolitaine), sur . Soldes naturels et migratoires La variation moyenne annuelle de la population a augmenté depuis les années 1970. De -1,9 % sur la période 1968-1975, elle est passée à 1,2 % sur la période 1999-2009, quand celle du département du Loiret a baissé de 1,9 % à 0,6 %. Le solde naturel annuel, qui est la différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès enregistrés au cours d'une même année, connaît une forte augmentation, puisque la variation annuelle due au solde naturel passe de -0,6 à 0. L'augmentation du taux de natalité, qui passe de 11,8 % à 13,1 %, est en fait relativement compensée par la baisse du taux de mortalité, qui parallèlement passe de 10,9 à 8,6. Le flux migratoire est en hausse, le taux annuel passant de -1,3 à 1,2 %, traduisant une hausse des implantations nouvelles dans la commune. Le taux de natalité est passé de 11,8 ‰ sur la période 1968-1975 à 13,1 ‰ sur la période 1999-2009. Celui du département était sur la période 1999-2009 de 13,1 ‰ et celui de la France métropolitaine de 12,8 ‰. Le taux de mortalité est quant à lui passé de 17,3 ‰ sur la période 1968-1975 à 12,7 ‰ sur la période 1999-2009. Celui du département était sur cette dernière période de 8,5 ‰ et celui de la France de 8,8 ‰. Evolution sur la période 1968-2009 <div style="float:left"> <center> Mouvements naturels sur la période 1999-2009 Naissances Décès Âge de la population Indice de jeunesse La population de Dammarie-sur-Loing présente en 2009 une structure par grands groupes d'âge plus âgée que celle de la France métropolitaine . Il existe en effet de moins de pour de plus de , alors que pour la France l'indice de jeunesse, qui est égal à la division de la part des moins de par la part des plus de , est de 1,06. L'indice de jeunesse de la commune est également inférieur à celui du département (1,1) et à celui de la région (0,95). La population s'est rajeunie entre 1999 et 2009, le taux des personnes de 60 ans et plus passant de 35 % à 32 %, alors que parallèlement les populations du département et de la France ont quant à elles vieilli, passant respectivement de 20 à 23 % pour le Département et de 20 à 23 % pour la France métropolitaine. <center> <center> 1999 2009 Pyramide des âges La pyramide des âges, à savoir la répartition par sexe et âge de la population, de la commune de Dammarie-sur-Loing en 2009 ainsi que, comparativement, celle du département du Loiret la même année, sont représentées avec les graphiques ci-dessous. La population de la commune comporte 48,5 % d'hommes et 51,5 % de femmes. Les tranches pour lesquelles le déséquilibre est le plus prononcé en faveur des femmes sont les tranches 75-90 ans (+18,6 % de femmes) et 90 ans et + (pas d'homme). Familles État matrimonial L'état matrimonial légal désigne, selon l'Insee, la situation conjugale d'une personne au regard de la loi : célibataire, mariée, veuve, divorcée.En 2009, la commune comptait 31,8 % de célibataires, 49,2 % de personnes mariées, 10,8 % de veufs ou veuves et 8,2 % de divorcé(e)s. Le taux de personnes mariées apparaît ainsi inférieur à celui du département (49,8 %) et supérieur à celui de la France (47,5 %). Taille des ménages Le nombre de ménages tend à croître plus vite que la population : + 1,72 % par an en moyenne en France métropolitaine pour le nombre de ménages entre 1968 et 2009, + 0,74 % pour la population (tableau ci-après). Le nombre moyen de personnes par ménage tend en effet à baisser : égal à 3,06 en 1968, il n’est plus que de 2,4 en 1999 et de 2,27 en 2009. La tendance est similaire pour la commune. Le nombre moyen de personnes par ménage tend également à baisser : égal à 2,9 en 1968, il n’est plus que de 2,23 en 1999 et de 2,24 en 2009. Emploi En 2009, les ouvriers représentaient, avec 82 emplois, la catégorie socioprofessionnelle la plus importante de la population active de la commune (19,8 % contre 17,3 au niveau départemental). En 1999, ils étaient 80 et représentaient 20,2 % de la population active. La commune comptait par ailleurs, en 2009, 119 retraités, soit 28,7 % de la population de la commune et 1,4 % de plus que le taux départemental. Cet écart s'est toutefois réduit par rapport à celui de 1999 puisqu'il était alors de 14 %. <center> 1999 2009 Parallèlement le taux de personnes titulaires d'un diplôme de l'enseignement supérieur long est passé de 3,4 % en 1999 à 4 % en 2009, un taux inférieur à celui du Loiret (10,5 %) et au taux national relatif à la France métropolitaine (12,7 %). Niveau de formation Le taux de personnes non scolarisées sans diplôme a augmenté entre 1999 (26,4 %) et 2009 (29,5 %). Il est supérieur à celui du Loiret (18,3 %) et à celui de la France métropolitaine (18,3 %). Parallèlement le taux de personnes titulaires d'un diplôme de l'enseignement supérieur long est passé de 3,9 % en 1999 à 4,8 % en 2009, un taux inférieur à celui du Loiret (10,5 %) et au taux national relatif à la France métropolitaine (12,7 %). <center> 1999 2009 Notes et références Notes Références Articles connexes Démographie de la France Démographie de la région Centre Démographie du Loiret Dammarie-sur-Loing
Moorhead (Iowa)
Moorhead est une ville du comté de Monona, en Iowa, aux États-Unis. Elle est fondée en 1872 et incorporée le . Références Articles connexes Liste des villes de l'Iowa Iowa Liens externes . Source de la traduction Ville en Iowa Comté de Monona
Jurijs Popkovs
Jurijs Popkovs (en ), né le à Kiev en Ukraine, est un footballeur international letton, devenu entraîneur à l'issue de sa carrière, qui évoluait au poste de milieu de terrain. Biographie Carrière de joueur Carrière internationale Jurijs Popkovs compte 18 sélections et un but avec l'équipe de Lettonie entre 1992 et 1994. Il est convoqué pour la première fois par le sélectionneur national Jānis Gilis pour un match amical contre la Roumanie le (défaite 2-0). Par la suite, le , il inscrit son seul but en sélection contre la Lituanie, lors d'un match de la Coupe baltique 1992 (défaite 3-2). Il reçoit sa dernière sélection le contre la Lituanie (défaite 1-0). Carrière d'entraîneur Statistiques En club Buts en sélection Le tableau suivant liste les résultats de tous les buts inscrits par Jurijs Popkovs avec l'équipe de Lettonie. Palmarès En tant que joueur Avec le VIF Gute Champion de Suède de D3 (D2 Östra Svealand) en 1993 En tant qu'entraîneur Avec le FK Jūrmala Champion de Lettonie de D2 en 2003 Notes et références Liens externes Footballeur international letton Footballeur soviétique Joueur du FK Dinamo Minsk Joueur du FK Daugava Riga Entraîneur letton de football Naissance en juillet 1962 Naissance à Kiev
NGC 4066
NGC 4066 est une galaxie elliptique située dans la constellation de la Chevelure de Bérénice à environ 335 millions d'années-lumière. NGC 4066 a été découvert par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1785. Une mesure non basée sur le décalage vers le rouge (redshift) donne une distance d' . L'incertitude sur cette valeur n'est pas donnée sur la base de données NED et elle est très légèrement à l'extérieur des distances calculées en employant la valeur du décalage . Groupe de NGC 4066 NGC 4066 est la galaxie la plus grosse et la plus brillante d'un groupe de galaxies qui porte son nom. Le groupe de NGC 4066 compte au moins quatre membres. Les trois autres galaxies du groupe sont NGC 4061, NGC 4070 et NGC 4098. Comme le montre l'image obtenue des données de l'étude SDSS, cette région de la constellation de la Chevelure de Bérénice est densément peuplée de galaxies. La distance moyenne du groupe de NGC 4066 séparant les quatre galaxies de la liste de Mahtessian de la Voie lactée est de 101,5 Mpc. Plusieurs galaxies de cette région auraient pu être incluses dans la liste de Mahtessian, mais elles figurent pas ni dans le groupe de NGC 4066 ni dans un autre groupe de cet article. Ces galaxies sont NGC 4056 (103,2 Mpc), NGC 4086 (99,1 Mpc), NGC 4089 (101,5 Mpc), NGC 4090 (102,4 Mpc), NGC 4093 (100,6 Mpc) et NGC 4095 (99,8 Mpc). Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des objets du New General Catalogue Liens externes NGC 4066 sur le site du professeur C. Seligman 4066 Constellation de la Chevelure de Bérénice Galaxie elliptique Objet céleste découvert en 1785 Objet céleste découvert par William Herschel
Top Volley Latina
Le Top Volley Latina (connu également sous les noms de différents sponsors principaux au cours de son existence) est un club de volley-ball basé à Latina qui a été fondé en 1972, et évolue au plus haut niveau national (Serie A1). Historique 1972 : fondation du Pallavolo Cori 1996 : accession à la Serie A2 1998 : le club est transféré à Latina et prend le nom de Latina Volley 2001 : accession à la Serie A1 2005 : le club se renomme en Top Volley 2009 : nouvelle promotion en série A1 et victoire en Coupe d'Italie A2 Sponsoring 1996-1997 : Icom Cori Latina 1997-1998 : ? 1998-2004 : Icom Latina 2004-2005 : Acqua&sapone Icom Latina 2005-2006 : Benacquista Assicurazioni Latina 2006-2007 : Maggiora Latina 2007-2014 : Andreoli Latina 2014-2015 : Top Volley Latina 2015-2016 : Ninfa Latina 2016-2017 : Top Volley Latina 2017- : Taiwan Excellence Latina Palmarès Joueurs et personnalités du club Entraîneurs Le tableau suivant présente la liste des entraîneurs du club depuis 1996. Effectif de la saison en cours Joueurs emblématiques Notes et références Liens externes Site officiel du club Notes Références Club de volley-ball en Italie Club sportif fondé en 1998 Sport dans le Latium Volley-ball
Tanay Chheda
Tanay Chheda est un jeune acteur indien, né le à Mumbai en Inde. Il est connu pour avoir interprété Rajan dans Taare Zameen Par (Des étoiles sur la terre) en 2007, aux côtés de Darsheel Safary (Ishaan) et Jamal Malik adolescent dans Slumdog Millionaire aux côtés d'Ashutosh Lobo Gajiwala (Salim) et de Tanvi Ganesh Lonkar (Latika). Filmographie Don - The Chase Begins Again (2006) rôle : Dipu Taare Zameen Par (2007) rôle : Rajan Damodaran Slumdog Millionaire (2008) rôle : Jamal Malik (adolescent) My Name Is Khan (2010) rôle : jeune Rizwan Khan Liens externes Acteur indien Acteur de Bollywood Naissance en juin 1996
Homalium ogoouense
Homalium ogoouense est une espèce de plantes de la famille des Salicaceae. Publication originale Bulletin de la Societe Botanique de France: Memoires 119. 1953. Notes et références Liens externes Salicaceae Espèce d'Angiospermes (nom scientifique)
Gustave Gailly
Gustave Gailly (, Charleville – , Charleville) est un industriel et un homme politique français. Biographie Jeunesse Gustave Gailly est né le à Charleville. Il est le premier enfant d’Auguste Ponce et de Florence de Taurines. Il commence ses études au collège de Charleville et, après son baccalauréat, part étudier le droit à Paris afin de rentrer dans la magistrature. Finalement, il abandonne ses études pour se lancer dans l’industrie. Il se marie le avec Clémentine Godelle. Ils auront cinq enfants : Charles, Gustave-Henri, Marie, Berthe et Jeanne. Carrière industrielle En 1848, à 23 ans, il crée une clouterie mécanique. Cinq ans plus tard, il fonde une société en nom collectif qui exploite un brevet de fabrication de clous à souliers. Cette société sera récompensée lors des Expositions universelles de Londres en 1862, de Paris en 1867, d'Amsterdam en 1869 et de Paris en 1878. En , en association avec Jean-Baptiste Maljean, il fait l'acquisition des usines de Flize et de Boutancourt, productrices de fer et de tôles, pour alimenter la clouterie mécanique et l'usine de Saint Charles. Carrière politique Tribunal du commerce Sa carrière politique commence à la Chambre de commerce des Ardennes, où il est nommé juge au tribunal de commerce de Charleville, par décret impérial du , puis président du tribunal le . Il en assurera la présidence jusqu'en 1870. Maire de Charleville Le , il rentre au conseil municipal, et devient maire de Charleville trois mois plus tard. Le , les Prussiens envahissent la ville. Face à la pression de l'occupant et à l'approche des élections législatives, il démissionne 15 jours plus tard. Son mandat n'aura finalement duré que 4 mois. Il est remplacé par son adjoint Jules Millart. Gustave gardera un poste de conseiller municipal. En 1871, il est également élu conseiller général des Ardennes dans le canton de Charleville. Député des Ardennes Il est élu député des Ardennes le . Il fait à l'assemblée plusieurs interventions remarquées. Il se rapproche d'Adolphe Thiers avec qui il entretient d'excellentes relations d'amitiés. Il est réélu le et le . Siégeant au centre gauche, lors de la crise du 16 mai 1877, il est l'un des signataires du manifeste des 363. Il occupera à l'assemblée nationale un poste de questeur. Sénateur des Ardennes Il est élu sénateur le et succède à Charles Cunin-Gridaine. Il garde ce poste jusqu'en 1903 où il met fin à sa carrière politique. Décorations En 1878, Gustave Gailly est fait chevalier de la Légion d'honneur à l'occasion de l'Exposition universelle de Paris En 1880, Gustave Gailly est nommé Chevalier de première Classe de l'ordre royal Norvégien de saint Olaf par sa majesté Oscar II Divers À Charleville dans le parc de la Gare, on trouve un buste de Gustave Gailly Gustave Gailly a fondé l'association des anciens élèves de Charleville en 1880 Sources Notes Liens externes Site sur la famille Gailly Site du Sénat Chevalier de la Légion d'honneur Sénateur des Ardennes Député des Ardennes (Troisième République) Député de la première législature de la Troisième République Député de la deuxième législature de la Troisième République Maire des Ardennes Naissance en janvier 1825 Naissance à Charleville-Mézières Décès en octobre 1910 Décès à 85 ans Député à l'Assemblée nationale (1871) Décès à Charleville-Mézières Maître de forges Chevalier de 1re classe de l'ordre de Saint-Olaf Conseiller général des Ardennes
Korča
Korča (en cyrillique : ) est un village de Bosnie-Herzégovine. Il est situé dans la municipalité de Hadžići, dans le canton de Sarajevo et dans la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine. Selon les premiers résultats du recensement bosnien de 2013, il compte habitants. Géographie Histoire Démographie Évolution historique de la population Répartition de la population par nationalités (1991) Notes et références Voir aussi Articles connexes Villes de Bosnie-Herzégovine Municipalités de Bosnie-Herzégovine Liens externes Localité de Hadžići
Saison 2 de Miss Fisher enquête
Cet article présente le guide des épisodes de la deuxième saison de la série télévisée australienne Miss Fisher enquête (). Distribution Essie Davis (VF : Marie Chevalot) : Phryne Fisher Nathan Page (VF : Loïc Houdré) : Détective John "Jack" Robinson Hugo Johnstone-Burt : Brigadier Hugh Collins Ashleigh Cummings (VF : Bénédicte Bosc) : Dorothy "Dot" Williams Richard Bligh : Mr Butler Travis MacMahon : Bert Anthony Sharpe : Cec Ruby Rees Wemyss (VF : Marie Nonnenmacher) : Jane Miriam Margolyes (VF : Cathy Cerda) : Tante Prudence Nicholas Bell : Murdoch Foyle Tammy Macintosh : Docteur Mac Épisodes Épisode 1 : La Petite Mort Épisode 2 : Esprit es-tu là ? Épisode 3 : La Boisson du diable Épisode 4 : Poids léger, poids lourd, poids mort Épisode 5 : Prêt-à-tuer Épisode 6 : Le Bourreau assassiné Épisode 7 : Sortie de route Épisode 8 : Le Livre d'heures de Jeanne la folle Épisode 9 : Film noir Épisode 10 : Cuvée spéciale Épisode 11 : Fréquence meurtre Épisode 12 : L'habit ne fait pas la nonne Épisode 13 : Les Douze Jours de Noël Notes et références Saison de Miss Fisher enquête
(11770) Rudominkowski
(11770) Rudominkowski est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (11770) Rudominkowski est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à l'Observatoire Palomar par Cornelis Johannes van Houten, Ingrid van Houten-Groeneveld et Tom Gehrels. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 3,18 UA, une excentricité de 0,13 et une inclinaison de 3,5° par rapport à l'écliptique. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (11001-12000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1973 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par Tom Gehrels Objet céleste découvert par Ingrid van Houten-Groeneveld Objet céleste découvert par Cornelis Johannes van Houten
John Peverall
John Peverall est un assistant réalisateur et un producteur de cinéma britannique né en 1931 dans le quartier d'Islington et mort le , qui fait désormais partie du Grand Londres. Biographie Filmographie comme assistant réalisateur 1958 : The Supreme Secret de Norman Walker 1958 : Rx for Murder de Derek N. Twist 1958 : Up the Creek de Val Guest 1958 : Further Up the Creek de Val Guest 1959 : Le Chien des Baskerville de Terence Fisher 1959 : L'Homme qui trompait la mort de Terence Fisher 1959 : Section d'assaut sur le Sittang de Val Guest 1959 : La Malédiction des pharaons de Terence Fisher 1959 : Les Étrangleurs de Bombay de Terence Fisher 1960 : Never Take Sweets from a Stranger de Cyril Frankel 1960 : Les Maîtresses de Dracula de Terence Fisher 1960 : Les Deux Visages du Docteur Jekyll de Terence Fisher 1961 : L'Empreinte du dragon rouge d'Anthony Bushell 1961 : Le Spectre du chat de John Gilling 1961 : Cash on Demand de Quentin Lawrence 1961 : La Nuit du loup-garou de Terence Fisher 1962 : The Primitives d'Alfred Travers 1962 : Le Fantôme de l'Opéra de Terence Fisher 1962 : Le Fascinant Capitaine Clegg de Peter Graham Scott 1962 : L'Attaque de San Cristobal de John Gilling 1962 : The Traitors de Robert Tronson 1963 : Dr. Syn, Alias the Scarecrow de James Neilson 1963 : West 11 de Michael Winner 1963 : Les Damnés de Joseph Losey 1964 : La Baie aux émeraudes de James Neilson 1965 : Doubles masques et agents doubles de Basil Dearden 1966 : Khartoum de Basil Dearden et Eliot Elisofon 1967 : Le Grand Départ vers la Lune de Don Sharp 1967 : La Vengeance de Fu Manchu de Jeremy Summers 1968 : Trio d'escrocs de Basil Dearden 1969 : Assassinats en tous genres de Basil Dearden 1974 : Frissons d'outre-tombe de Kevin Connor comme producteur 1975 : Le Sixième Continent de Kevin Connor 1976 : L'Homme qui venait d'ailleurs de Nicolas Roeg 1978 : Voyage au bout de l'enfer de Michael Cimino 1979 : Quadrophenia de Franc Roddam 1980 : McVicar de Tom Clegg Télévision Distinctions Oscars 1979 : Oscar du meilleur film pour Voyage au bout de la nuit, conjointement avec Barry Spikings, Michael Deeley et Michael Cimino Liens externes Notes et références Réalisateur britannique Producteur britannique de cinéma Naissance en 1931 Naissance à Londres Décès en octobre 2009
Kalaw
Kalaw (birman : ကလောမြို့) est un village de Birmanie située dans l'État Shan. Ville en Birmanie Hill station
Collection de droit
La Collection de droit est une encyclopédie du droit québécois publiée par l'École du Barreau du Québec. Subdivisée en 13 volumes distincts, elle couvre la plupart des sujets du droit québécois. Elle est également disponible en ligne sur le site web du Centre d'accès à l'information juridique (CAIJ). Volumes Volume 1 - Éthique, déontologie et pratique professionnelle Volume 2 - Preuve et procédure Volume 3 - Personnes et successions Volume 4 - Droit de la famille Volume 5 - Responsabilité Volume 6 - Obligations et contrats Volume 7 - Contrats, sûretés, publicité des droits et droit international privé Volume 8 - Droit public et administratif Volume 9 - Droit du travail Volume 10 - Entreprises et sociétés Volume 11 - États financiers, fiscalité corporative, faillite et insolvabilité Volume 12 - Droit pénal : procédure et preuve Volume 13 - Droit pénal : infractions, moyens de défense et peine Références Droit au Québec Encyclopédie du droit Encyclopédie en français
Ha Ji-won
Jeon Hae-rim (hangeul: 전해림), plus connue sous son nom de scène Ha Ji-won (hangeul: 하지원) est une actrice sud-coréenne née le en Corée du Sud. Elle est l'une des actrices les plus recherchées en Corée du Sud, connue pour sa polyvalence dans ses rôles dans divers genres de films ou séries d'action, de comédie, dramatique et de sport. Elle est la première actrice sud-coréenne à avoir signé un contrat avec l'agence hollywoodienne United Talent Agency (UTA). Biographie Début de carrière Jeon Hae-rim est née dans une famille de trois enfants dont l'acteur Jun Tae-soo et Jun Yoo Gyung, propriétaire de la boutique de cosmétiques Chic and Chick. Elle a été repérée par une agence quand elle était encore lycéenne. Elle a été diplômée plus tard d'un baccalauréat en cinéma et en télévision à l'université Dankook. Depuis son enfance, elle rêvait de devenir actrice. Lorsqu'elle était au lycée, une agence l'a contactée après avoir vu sa photo dans un studio de photographie. Elle a passé une centaine d'auditions avant de faire ses débuts d'actrice. Elle a choisi Ha Ji-won comme nom de scène en référence au nom de naissance de son manager précédent qui était son premier amour. Carrière cinématographique Jeon Hae-rim commence sa carrière d'actrice en 1996 avec un petit rôle dans la série télévisée Adults Don't Know. Elle a continué à jouer des rôles secondaires avant ses débuts dans le cinéma avec le film Truth Game en 2000. Elle a continué à faire des rôles secondaires dans des séries télévisées Dragon's Tears et Dangerous Lullaby en 1998 et 1999. Ce n'est qu'en 1999, avec la série télévisée School 2 où elle a joué le rôle d'un adolescente en difficulté nommée Jang Se-jin, qu'elle a finalement été reconnue par le public. Le public asiatique la connaît comme la « reine de l'horreur » en raison de ses rôles dans les films d'horreur à succès, Nightmare et Phone. Ensuite, elle a joué dans le film Sex Is Zero, devenue la deuxième comédie ayant le plus gros succès en 2003 en Corée du Sud. Le film est basé sur la série de films de comédie américaine American Pie. La même année, elle joue dans le film Reversal of Fortune aux côtés de l'acteur Kim Seung-woo. Le film n'a pas eu de succès auprès du public. Sa popularité fait son abondance avec la série télévisée Damo. Elle a été félicitée pour ses efforts et a gagné le prix de la meilleure actrice lors des MBC Drama Awards 2003. La série s'est avérée être très populaire avec la communauté coréenne présente sur internet, communauté nommée les netizens (internet citizens), l'amenant à remporter le prix de popularité des internautes. En 2004, elle a joué dans la série télé mélodramatique Something Happened in Bali, où elle a joué le rôle de Lee Soo-jung qui est coincé dans une histoire d'amour compliquée avec Jo In-sung, So Ji-sub et Park Ye-jin. La série a été un énorme succès et est toujours la série télévisée de Ha Ji-won avec la plus haute audience à ce jour. Elle a aussi fait son chemin vers les grands écrans avec deux films, 100 Days with Mr. Arrogant avec Kim Jae-won et Love, So Divine avec Kwon Sang-woo. Ensuite, en 2005, elle incarne le rôle de Cha Young-mi dans le film romantique Daddy-Long-Legs, inspiré par le roman américain Papa-Longues-Jambes écrit par Jean Webster, aux côtés de l'acteur Yeon Jung-hoon et Hyun Bin. Elle a ensuite joué dans le film d'action Duelist où elle interprète le rôle d'une détective nommé Namsoon face à l'acteur Kang Dong-won. Le film a été acclamé en France lorsqu'il a été projeté à la édition du Festival du film asiatique de Deauville et a attiré l'attention des cinéastes européens sur l'actrice, la surnommant la « Perle d'Asie.» Ha Ji-won est réunie pour la troisième fois avec le réalisateur sud-coréen Yoon Je-kyoon pour le film dramatique The Last Day où elle joue en compagnie de Sol Kyung-gu, Park Joong-hoon et Uhm Jung-hwa. De nouveau, elle travaille avec le réalisateur Yoon Je-kyoon et l'acteur Ahn Sung-ki dans le film d'horreur Secteur 7 en 2011. L'actrice a révélé plus tard qu'elle avait suivi un traitement psychiatrique après le tournage du film. Elle a déclaré : « Je ne pouvais pas me détacher de mon personnage. Dans le film Secteur 7, le monstre meurt, et tous les gens que j'aime meurent et je suis la seule qui reste vivante. Je ne pouvais pas rompre avec la douleur de ce personnage depuis un certain temps. Après la conclusion de Secteur 7, je devais commencer à travailler sur le script de Secret Garden mais je ne pouvais pas me détacher de mon personnage de Secteur 7, de sorte que la totalité de la lecture du script a été un gâchis. Je savais que je ne pouvais pas le faire toute seule, donc je cherchais de l'aide professionnelle.» Après 4 ans d'absence à la télévision, elle fait un retour très réussi par la série télévisée fantastique et romantique Secret Garden face à Hyun Bin. Elle interprète le rôle d'une cascadeuse, Gil Ra-im. En 2012, on la retrouve dans le rôle de l'agent spécial nord-coréen Kim Hang-ah dans la série télévisée The King 2 Hearts. À cette occasion, elle a étudié le dialecte nord-coréen pour rendre son personnage plus réaliste. Elle interprète ensuite la joueuse de tennis de table sud-coréenne Hyun Jung-hwa, aux côtés de l'actrice Bae Doona qui incarne le rôle de la joueuse de tennis de table nord-coréenne Lee Bun-hui, dans le film dramatique As One, racontant l'histoire de la première équipe sportive de Corée unifiée qui a remporté la médaille d'or aux Championnats du monde de tennis de table de 1991 à Chiba, au Japon. La vraie Hyun Jung-hwa a déclaré que Ha Ji-won était son premier choix pour jouer son rôle. Elle suivit une formation très intensive comme elle aimait les défis physiques de l'apprentissage du sport avec un but de raconter une histoire vraie. Elle a également observé attentivement la parole et le langage corporel de Hyun Jung-hwa pendant sa formation, cherchant à incarner toutes ses habitudes et ses techniques de jeu. Ha Ji-won décide en 2013 de quitter son agence Wellmade STARM. Elle refuse les offres de contrat par d'autres agences et décide de créer à Gangnam sa propre agence, Haewadal Entertainment, dont elle a choisi elle-même le nom. La même année, elle est la première star féminine coréenne à signer un contrat avec l'agence hollywoodienne United Talent Agency, une des plus grandes agences de talents dans le monde. Elle incarne l'année suivante le rôle de Jin-ok aux côtés de Kang Ye-won et Song Ga-in dans le film d'action The Huntresses, inspiré en partie de la comédie Charlie's Angels. En 2015, elle est choisie par l'acteur-réalisateur sud-coréen Ha Jung-woo à jouer le rôle de Heo Sam-gwan dans le film Chronicle of a Blood Merchant, adapté du roman chinois éponyme écrit par Yu Hua. Entre 2013 et 2014 elle joue le rôle principal dans la série Empress Ki, une série inspiré de faits historiques. Écrivaine Ha Ji-won écrit un livre autobiographique dont le titre anglais est "This moment" en 2012. Ce livre n'a pas été traduit en anglais ni en français. Filmographie Cinéma Télévision Clips musicaux Distinctions Cette section récapitule les principales récompenses et nominations obtenues par Ha Ji-won. Pour une liste plus complète, se référer à l'Internet Movie Database. Pour Secret Garden, elle a eu 3 propositions de récompenses et en a remporté 5. Pour The Last Day, elle a eu 0 propositions de récompenses et en a remporté 3. Autres reconnaissances Notes et références Liens externes Actrice sud-coréenne Naissance en juin 1979 Étudiant de l'université Dankook Naissance à Boryeong
San Francisco (Be Sure to Wear Flowers in Your Hair)
est une chanson de Scott McKenzie, écrite par John Phillips, membre de The Mamas & the Papas, pour promouvoir le Festival international de musique pop de Monterey. Sortie en single en 1967, elle connut un succès foudroyant, se classant à la quatrième place du Billboard Hot 100 américain et en tête des charts de nombreux pays européens, dont le Royaume-Uni. Elle est devenue l'icône du Summer of Love et du mouvement hippie, dont l'épicentre se trouvait dans le quartier de Haight-Ashbury, à San Francisco. Reprises et adaptations Reprises San Francisco (Be Sure to Wear Flowers in Your Hair) est, notamment reprise par : Petula Clark sur l'album These Are My Songs en 1967. Me First and the Gimme Gimmes sur Blow in the Wind en 2001. Global Deejays sur l'album Network en 2005. Le DJ allemand PH Electro reprendra à son tour le titre en 2009. New Order reprend la chanson le lors d'un concert au Bill Graham Civic Auditorium de San Francisco. Adaptations Georges Aber adapte San Francisco en français pour Johnny Hallyday en 1967. Elle est le titre phare d'un Super 45 tours et est au programme du Palais des sports de Paris d'Hallyday à l'automne 1967 (Johnny au Palais des sports). Notes et références Chanson de 1967 Chanson sur San Francisco Single numéro un en Allemagne Single numéro un en Autriche Single numéro un en Irlande Single numéro un en Norvège Single numéro un au Royaume-Uni Single numéro un dans le Single Top 100 Single numéro un dans l'Ultratop 50 Singles flamand Single numéro un dans l'Ultratop 50 Singles wallon Chanson interprétée par Johnny Hallyday
Bureau de sécurité publique
Dans la République populaire de Chine, le bureau de sécurité public (PSB) () se réfère aux bureaux gouvernementaux qui contrôlent la police, la sécurité publique et l'ordre social, mais aussi les problèmes comme l'enregistrement de résidence, de même que l'immigration et les voyages des étrangers. Chaque province et chaque municipalité en Chine (excluant Hong Kong et Macao) a une branche de PSB. Voir aussi Articles connexes Ministère de la sécurité publique de la République populaire de Chine Liens externes Beijing Municipal Public Security Bureau official website Site web du gouvernement chinois Police en Chine
Palais Schönburg
Le Palais Schönburg (également : Palais Schönburg-Hartenstein et Palais Starhemberg-Schönburg) est un palais situé à Vienne dans le quartier de Wieden. Histoire L'expert financier Gundaker Thomas Starhemberg fit construire un palais baroque de 1705 à 1706 sur un terrain appartenant à la famille Starhemberg depuis 1450 dans ce qui était alors la banlieue de Wieden, sur des plans de Johann Lucas von Hildebrandt. En 1811, le palais devint la propriété de Joseph Nepomuk, comte Keglevich de Buzin, qui le fit reconstruire et agrandir. Vers 1841, la famille Schönburg-Hartstein acquit le palais et fit réaménager les salles - à l'exception de la bibliothèque. Dans les années 1970, deux héritiers sur trois ont vendu leurs parts à Conti-Bank. Après leur faillite, les entrepreneurs de commerce de machines Marian et Danek Gertner ont repris le palais et fait démissionner l'héritière restante de Schönburg en 1979 au moyen d'une action en division. Ensuite, ils ont essayé pendant des décennies d'utiliser la propriété à des fins commerciales comme un hôtel en agrandissant et en convertissant le bâtiment à rénover. Cela a finalement échoué en raison de la préservation des monuments et de la résistance massive des initiatives citoyennes et des voisins contre l'expansion prévue des ailes latérales. En conséquence, le bâtiment a continué de se détériorer. Après un changement de génération dans la famille propriétaire, au début du , le palais a été en grande partie restauré dans son état d'origine au et adapté à un «lieu événementiel». Les travaux de rénovation, au cours desquels la façade et le toit ont été restaurés et le parc environnant revitalisé, ont duré de 2007 à 2008 et ont été soutenus financièrement par l'Office fédéral des monuments et le Fonds de conservation de la vieille ville de Vienne. Le palais ou les chambres individuelles et le jardin peuvent être loués pour des événements depuis . Littérature Bruno Grimschitz : Le palais-jardin Starhemberg-Schönburg à Vienne. Dans : Bruno Grimschitz: Johann Lucas von Hildebrandt. Herold, Vienne 1959, pp. 57-59. Géza Hajós, Eckart Vancsa: Les bâtiments séculiers du quartier III, IV et V. Avec des introductions sur le développement topographique et historique de l'art des quartiers. Avec des contributions de Walter Brauneis et Ülküm Fürst. Schroll, Vienne 1980, , ( Österreichische Kunsttopographie 44, Die Kunstdenkmäler Wiens 2). Dieter Klein, Martin Kupf, Robert Schediwy : Stadtbildverluste Wien. Un regard en arrière sur cinq décennies. LIT-Verlag, Vienne 2004, , en particulier p. 66f. Liens web palais-schoenburg.at - Site Web de la gestion événementielle du Palais Schönburg Schönburgpalais Source de traduction Schönburg Schönburg Architecture au XVIIIe siècle
Col de Terramont
Le col de Terramont est un col alpin situé dans le massif du Chablais, dans le département français de la Haute-Savoie. Géographie Situation, topographie Le col de Terramont est ouvert dans le large plateau marécageux des Mouilles, entre la montagne d'Hirmentaz et les contreforts de la Turche. Il se trouve à l'entrée de la vallée Verte à d'altitude, aux limites communales de Bellevaux et Habère-Poche, près du hameau de Terramont qui donne son nom du col. Le col est emprunté par la départementale 22 reliant Habère-Poche à Vailly et relié par un réseau secondaire à Bellevaux. La route présente un passage sur son versant nord à 5,5 % et sur son versant sud à 6 %. Géologie Le col de Terramont et son plateau des Mouilles présentent les caractéristiques d’un ancien plateau glaciaire alimenté jadis par les massifs élevés des environs du roc d'Enfer et se déversant vers l’actuelle vallée Verte et celle de Lullin et Vailly. Histoire Le plateau des Mouilles est un lieu de peuplement clairsemé mais ancien avec le hameau de Terramont près du sommet, une chapelle du côté Bellevaux et une ferme construite en 1880 côté Habère-Poche où un café-restaurant ouvre en 1913 et ferme en 1990. Depuis, l'urbanisation s'est intensifiée avec : un ensemble immobilier côté Habère-Poche ; les accès de la majorité des installations de ski alpin de la station des Habères, dont celle qui assure la liaison directe avec Bellevaux-Hirmentaz, sur la montée au col au lieu-dit les Granges ; le foyer de ski de fond côté Bellevaux. Notes et références Col des Alpes françaises Col du massif du Chablais Col en Haute-Savoie Vallée Verte
James Kent (juriste)
James Kent (né le dans le comté de Dutchess et à New York) est un juriste américain. Son livre (« Commentaires sur le droit américain ») est un classique dans l'histoire et l'étude du droit américain. Liens externes Naissance dans le comté de Dutchess Naissance en juillet 1763 Décès à New York Décès en décembre 1847 Juriste américain Membre de l'Assemblée de l'État de New York
CSJ
CSJ, sigle composé des trois lettres C, S et J, peut faire référence à : Communauté Saint-Jean, les membres de cette congrégation religieuse (surnommés petits gris), apposent le sigle c.s.j. après leur signature ; , une organisation basée en Irlande du Nord qui fait campagne pour les droits civiques ; Campus de la faculté Saint-Jean, localement abrégé Campus Saint-Jean, un établissement universitaire canadien de l’Université d'Alberta ; Centre de soins de jour ; , un organisme créé en 2004 visant à faire progresser l'éducation en matière de justice sociale et de promouvoir le bénévolat ; , un dissident politique de Singapour ; Société chimique du Japon, une société japonaise créée en 1878 afin de faire progresser la recherche en chimie ; Chrëschtlech Sozial Jugend, un groupe jeune du Parti populaire chrétien social ; , un collège privé catholique à Rutland aux États-Unis ; Combustion Society of Japan ; Commission des services juridiques, un organisme gouvernemental québécois d'aide juridique créé en 1972 ; Congrégation des sœurs de Saint-Joseph, une congrégation religieuse fondée en 1650 par Jean-Pierre Médaille en France ; Conseil supérieur de la jeunesse, une institution en Algérie ; Conseil supérieur de la Justice, une instance belge créée en 1999 qui a pour mission de rapprocher la Justice du citoyen ; , une association ayant pour objectif l'adaptation sociale et la mise en avant de l'intérêt de tout individu ; ; Cour suprême de la République démocratique du Congo ; Haute Cour de justice en France ; , (en français, Journal des études sur les sectes), aujourd'hui , une revue rédigée par l'International Cultic Studies Association. CSJ est un code qui peut faire référence à : Cap Saint-Jacques, aujourd'hui Vũng Tàu au Viêt Nam, selon la liste des codes AITA des aéroports. Code
Hirondelle à gorge grise
L'hirondelle à gorge grise (Riparia chinensis) est une espèce d'oiseaux de la famille des Hirundinidae, autrefois considérée comme sous-espèce de l'Hirondelle paludicole (R. paludicola). Description Cet oiseau a les parties supérieures brun clair et les inférieures blanchâtres. Répartition Répartition et sous-espèces Selon le Congrès ornithologique international et Alan P. Peterson il existe deux sous-espèces : R. c. chinensis (J.E. Gray, 1830) : du Tadjikistan et le Nord de l'Afghanistan au Sud de la Chine, en Indochine et à Taïwan ; R. c. tantilla Riley, 1935 : île de Luçon (Philippines). Références taxinomiques Notes et références Hirundinidae Oiseau d'Asie du Sud Oiseau d'Indochine Oiseau d'Asie de l'Est
Hôpital des Partisans à Krčagovo
L'Hôpital des Partisans à Krčagovo (en serbe cyrillique : ; en serbe latin : ) est un lieu mémoriel situé dans le quartier de Krčagovo à Užice, dans l'ouest de la Serbie. Associé aux combats des Partisans communistes de Josip Broz Tito contre les nazis, il est inscrit sur la liste des monuments culturels d'importance exceptionnelle de la République de Serbie. Présentation Au cours de l'automne 1941, les Partisans communistes de Josip Broz Tito réussirent à libérer de vastes territoires de l'occupation nazie ; ce fut le temps de l'éphémère République d'Užice. Immédiatement après la libération de ville d'Užice, le , les Partisans installèrent leurs blessés dans l'hôpital municipal. L'hôpital reçut alors environ 300 blessés de guerre, assistés par une dizaine de médecins et chirurgiens. L'hôpital des Partisans fonctionna pendant un mois. Sur le bâtiment, une plaque commémorative a été apposée. Références Voir aussi Articles connexes Imprimerie des Partisans à Užice Musée de l'insurrection de 1941 Pépinière de Krčagovo Quartier général du Conseil principal de libération nationale pour la Serbie Histoire de la Serbie pendant la Seconde Guerre mondiale Monument culturel d'importance exceptionnelle en Serbie Histoire d'Užice
Fontaine du Pré-Saint-Gervais
La fontaine du Pré-Saint-Gervais, ou simplement fontaine du Pré, est une fontaine et un regard, situé au Pré-Saint-Gervais, en France. Localisation La fontaine est située dans le département français de la Seine-Saint-Denis, sur la commune du Pré-Saint-Gervais, place du Général-Leclerc, le long de la rue André-Joineau, en face de l'hôtel de ville. Description La fontaine du Pré-Saint-Gervais est un édifice en pierre, de plan rectangulaire et de de haut. Sur un de ses côtés, une niche abrite une fontaine. Une inscription figurait au-dessus de la niche de la fontaine surmontée d’une pomme de pin : Historique Le regard est construit dans le cadre des aménagements hydrauliques des Eaux du Pré-Saint-Gervais, permettant d'acheminer les sources de la colline vers le prieuré Saint-Lazare, à Paris. Il est remplacé au (vers 1640) par l'édifice actuel, lorsque l'exploitation des sources est confiée à la ville de Paris. Ce regard construit au-dessus de la Fontaine du Pré est reconstruit sous la forme d'un édicule rectangulaire à étage de 4,5 x 3,5 m et de 6 m de haut. Sur l'un des côtés, une niche en cul de four abrite une fontaine encore en service. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1899. Annexes Articles connexes Eaux du Pré-Saint-Gervais Regard du Trou-Morin Regard des Maussins Regard du Bernage Liste des monuments historiques de la Seine-Saint-Denis Références Pré-Saint-Gervais Pré-Saint-Gervais Monument historique dans la Seine-Saint-Denis Monument historique classé en 1899 Eaux du Pré-Saint-Gervais Fontaine du Pré-Saint-Gervais
Politique scolaire des Mines de Blanzy au XIXe siècle
En 1833, la loi Guizot impose aux communes de plus de d'ouvrir une école de garçons. Jules Chagot et Léonce Chagot, gérants des Mines de Blanzy, font appel aux congrégations pour assurer l'instruction morale, religieuse et pratique jugée nécessaire aux enfants des mineurs, destinés à devenir mineurs plus tard. Le contexte En 1833, Jules Chagot fonde la Société d'exploitation des Mines de Houilles de Blanzy, et celles-ci connaissent un fort développement sous sa direction, ainsi que sous celle de ses successeurs. Le bassin minier se situe dans une zone peu peuplée de la Saône-et-Loire, et les mineurs qui y affluent sont essentiellement des paysans des campagnes environnantes. Jules Chagot cherche à fixer ces populations en bâtissant des cités ouvrières et des bâtiments publics. Il mène une politique paternaliste en créant des caisses de secours et de retraite des mineurs. Son but est de contrôler les aspects de la vie de son personnel, afin que celui-ci se consacre exclusivement au travail. Historique Création et rôle des écoles de la Compagnie des Mines En vingt ans, l'effectif des mineurs fait plus que doubler. Jules Chagot les loge avec leur famille près des puits, au Montceau, simple hameau de , qui devient une commune à part entière en 1856 avec et sous le nom de Montceau-les-Mines. La population grimpe à en 1898. Il s'agit de familles d'origine rurale, regroupées sur un territoire vierge de toute structure urbaine, et qui doivent apprendre à vivre en collectivité. Pour cela, Jules Chagot leur construit des maisons entourées d'un jardin, et réparties en quartiers décentralisés, eux-mêmes équipés de fontaines, de lavoirs, d'écoles, de chapelles. Il faut que les nouveaux arrivants ne souffrent pas trop d'avoir quitté leur village. Dès la construction des cités, une école primaire, tenue par des religieuses, est ouverte. En 1850, la loi Falloux oblige les communes à entretenir une école pour les garçons, mais une école privée peut tenir lieu d'école publique. Catholique convaincu, Jules Chagot ne rencontre aucun obstacle pour développer une école dont il garde l'entier contrôle par l'intermédiaire du corps enseignant congréganiste. Ainsi, en plus d'apporter l'instruction aux enfants des ouvriers, l'école devient un instrument du pouvoir exercé sur les mineurs. L'enfant est scolarisé par les Mines dès son plus jeune âge, puis suit l'itinéraire tout tracé de mineur, logé par la Compagnie et bénéficiaire de la Caisse de Secours, et plus tard de la Caisse de Retraite. L'ouvrier acquiert la sécurité, qui l'incite à la fidélité à sa famille et à la Compagnie. Et la Compagnie bénéficie de la stabilité de la main-d'œuvre, sa disponibilité et de l'ordre social. L'enseignement Jules Chagot confie l'enseignement aux congrégations religieuses autant par conviction que par commodité. Le recrutement s'effectue par simple demande à la hiérarchie de la congrégation. Les enseignants, rétribués par les Mines, deviennent des employés de la Compagnie. L'enseignement chrétien va de pair avec l'instruction habituelle des classes primaires: savoir lire et écrire, des connaissances en grammaire, géographie, histoire et calcul, et en travaux manuels pour les filles. En outre, les Sœurs enseignantes sont également chargées des soins aux malades, et peuvent ainsi pénétrer au cœur des familles, jusqu'à devenir des agents de surveillance de la Compagnie. En vertu des lois Guizot et Falloux, l'État n'exerce pas de contrôle sur les écoles privées, et on connaît mal le détail de l'enseignement. Mais à partir de 1882, des inspecteurs sont envoyés dans les écoles, et rédigent des rapports sévères sur le caractère livresque de l'enseignement et l'absence d'explications pouvant éveiller l'intelligence des élèves. Sans mettre en cause leur dévouement, les inspecteurs pointent l'incompétence des enseignants. À la suite de ces inspections, la qualité de l'enseignement s'améliore nettement. L'enseignement s'arrête à l'âge de treize ans. Seules quelques classes accueillent les meilleurs élèves, destinés à travailler dans les bureaux de la Compagnie. Le travail dans les Mines demande surtout des manœuvres peu qualifiés, contrairement à ce que l'on voit dans les Usines Schneider au Creusot, où le savoir-faire réclame des techniciens qualifiés. Rôle des écoles publiques De 1856 à 1878, la ville de Montceau-les-Mines est dirigée par Léonce Chagot, l'adjoint de Jules Chagot et son successeur à la tête de la Mine. La Compagnie est pratiquement l'unique source financière de la ville et la politique scolaire des Chagot est imposée aux habitants, laissant peu de place à l'enseignement public. L'essentiel des élèves fréquente les écoles de la Compagnie, même quand une municipalité républicaine est élue. Seules trois classes, destinées aux enfants dont les parents ne travaillent pas à la Mine, sont ouvertes. Des écoles publiques existent dans les communes des alentours, financées par les municipalités. À Blanzy, le clergé va jusqu'à demander la fermeture de l'école publique et son remplacement par une école religieuse. Déclin En 1878, les républicains remportent les élections municipales, mettant fin provisoirement à la mainmise des Chagot sur la gestion municipale. Mais la Compagnie use de moyens mesquins. La ville de Montceau doit payer le loyer des terrains sur lesquels sont construits les bâtiments communaux, car la terre appartient toujours à la Mine. Les enfants des écoles communales ne peuvent plus utiliser les locaux sanitaires construits par la Compagnie. En 1882, un groupe anarchiste, la Bande Noire, provoque des explosions au domicile de plusieurs cadres de la Mine, aux édifices religieux et aux locaux abritant le personnel enseignant, au point que des religieuses sont provisoirement retirées de leur logement par leur hiérarchie. C'est bien la présence du clergé, la pénétration de toutes les institutions, qui sont visées par cette violence. C'est le signe d'une mentalité nouvelle dans une population jusque-là passivement soumise. En 1899, à la suite de la grande grève, les mineurs se mettent à enlever les enfants des écoles de la Mine pour les envoyer à l'école communale, malgré le nombre insuffisant d'établissements et leur éloignement des cités. La loi de 1901 contraint les congrégations à demander l'autorisation d'enseigner, autorisation qui leur est refusée. Les quinze écoles religieuses du bassin minier ferment en deux ans, dans l'indifférence générale, ce qui montre que la population locale n'éprouvait guère de gratitude envers les religieux. À la même période, de nouveaux dirigeants sont nommés à la tête de la Compagnie. Ils décident de se désengager de la politique d'intervention dans les affaires municipales et du paternalisme. C'est la fin du système scolaire patiemment structuré par les Chagot. Au début du vingtième siècle, Montceau n'est plus la ville des Chagot. Conclusion Les écoles se sont développées de façon exemplaire, offrant aux enfants du bassin minier une structure éducative d'une remarquable efficacité, et créant en même temps un instrument d'unification culturelle et d'intégration sociale. Le nombre de conscrits illettrés était, sous le Second Empire, quatre fois moins élevé à Montceau et au Creusot que dans les cantons ruraux voisins. Mais ces écoles ont préparé l'émancipation des mineurs, qui ont rejeté l'enseignement religieux dès que les circonstances l'ont permis. Notes et références Voir aussi Bibliographie . . . Enseignement en Bourgogne-Franche-Comté Histoire de l'éducation en France
Marcílio
Marcílio Alves da Silva (), plus connu sous le nom de Marcílio (né le à Rio de Janeiro au Brésil) est un joueur de football international libanais d'origine brésilienne, qui évoluait au poste de défenseur. Biographie Carrière en club Il joue au Brésil et au Liban. Carrière en sélection Il joue 14 matchs en équipe du Liban entre 2000 et 2003, inscrivant deux buts. Il participe avec l'équipe du Liban à la Coupe d'Asie des nations 2000 organisée dans son pays d'adoption. Palmarès Tripoli Coupe du Liban : Finaliste : 2004-05. Notes et références Liens externes Naissance à Rio de Janeiro Naissance en mai 1976 Footballeur international libanais Footballeur brésilien Joueur du Bangu Atlético Clube
Rendement
L'idée générale de rendement qualifie la manière dont une action, un procédé de transformation, un processus – dans lequel on a initialement entré quelque chose retourne le résultat prévu ou attendu, avec l'idée que ce rendu, retour, renvoi peut être plus ou moins performant du fait de l'existence d'imperfections, de gaspillage, de déchets, d'inertie : qui font que le rendement effectif obtenu diffère souvent du rendement prévu ; qui expliquent la variabilité de la performance qu'il s'agit alors de constater et de mesurer ; qui doivent être réduits par les opérateurs à la recherche d'une meilleure efficience. Ainsi, le terme de rendement – exprimé de façon concrète et générale sous la forme d'un ratio entre le résultat obtenu et le nombre d'outils nécessaires à son efficacité – va dans la pratique être décliné selon des formulations différentes pour correspondre le plus étroitement et le plus fidèlement possible aux paramètres réels de chaque activité. Aspects techniques En physique, le rendement désigne le rapport entre l'efficacité énergétique réelle d'une machine thermique et son efficacité théorique maximale. En mécanique, le rendement d'un moteur à explosion exprime le ratio de la puissance mécanique restituée par rapport à la puissance thermique fournie par le carburant. En mécanique toujours, le rendement d'un moyen de transport peut être représenté par le concept de finesse généralisée illustré par le diagramme de diagramme de Gabrielli – von Kármán. En chimie, le rendement chimique d'une réaction est le nombre de moles de produit formé divisé par le nombre de moles de réactif limitant présent au début de la réaction. Dans le domaine des énergies renouvelables, le rendement d'une cellule photovoltaïque est le rapport entre l'énergie électrique générée par effet photovoltaïque et l'énergie électromagnétique reçue sous forme de rayonnement solaire. En électronique, le rendement exprime le rapport entre la puissance consommée et la puissance fournie par un circuit. En électrotechnique, le rendement d'un moteur électrique est donné par le rapport entre la puissance mécanique fournie et la puissance électrique absorbée. En biologie : rendement d'une culture bactérienne par exemple. Dans l’industrie pétrolière, le rendement est le pourcentage en poids de chacun des produits pétroliers intermédiaires ou finis, après passage d'un brut ou d'une charge dans une ou plusieurs unités de traitement. On dit les rendements d'un brut, d'un reformage catalytique, d'un gaz plant, etc. Chez les Anglo-Saxons, ce pourcentage est exprimé en volume. En agriculture, le rendement agricole est la production (en masse produite) par surface de terrain cultivé (généralement en hectare), quantité de semence, temps de travail de labour, ou autre. Dans le rendement viticole, la production de raisin s'exprime en (hectolitres). Dans les travaux publics, le rendement d'une pelle s'exprime en m par heure. Aspects économiques Vision Production En microéconomie, l'étude du rendement suscite une réflexion permanente : l'étude des rendements factoriels en particulier examine les rendements procurés par la mise en œuvre de différentes combinaisons de facteurs de production (rendements croissants, non proportionnels ou constants) ; l'étude des rendements d'échelle examine les modalités et conditions dans lesquelles un accroissement de l'efficience (faire plus et/ou mieux avec moins de moyens) peut être obtenu à la suite de l'augmentation des volumes produits (rendements constants, croissants ou décroissants). Vision Finance Le retour sur investissement (RSI), ou rendement du capital investi, est un ratio qui permet de mesurer la rentabilité d'un investissement. Le taux de rentabilité interne (TRI), est le taux de rentabilité implicite anticipé pour un projet. Il est donné par la valeur du taux d'actualisation tel que la somme des revenus actualisés à ce taux, diminuée de la somme des couts actualisés à ce taux, soit égale à zéro. Dans le tableur Excel (logiciel Microsoft Office), une fonction « TRI » est disponible pour le calculer. Le taux actuariel est une notion proche, qui vise à déterminer le rendement d'un ensemble de flux financiers, comme un emprunt bancaire ou obligataire ou encore d'un placement, en déterminant un taux calculé selon le modèle actuariel. Le Price Earning Ratio, ou PER, désigne le rendement de l'action d'une entreprise. Il est exprimé sous la forme du rapport entre le cours de bourse de cette entreprise et son bénéfice après impôts (ramené à une action (bénéfice par action). Un bail de rendement est un contrat de location d'un bien d’équipement dans lequel le prix de location est indexé sur une définition contractuelle du rendement. Référence Voir aussi Détour de production Division du travail Organisation du travail Productivité Rentabilité
Tombe d'Aline
La tombe d'Aline est un tombeau de l'Égypte antique de l'époque de Tibère ou Hadrien, découvert et fouillé à Hawara en 1892. Conditions de la découverte, contenu, date Dans la seconde moitié du , l'intérêt croissant pour l'histoire, la culture et l'art égyptiens conduit à un véritable concours entre les différents pays européens, tous visant à s'assurer d'anciennes découvertes de la meilleure qualité possible (et en quantité) pour leurs musées nationaux respectifs. Dans ce contexte général, l'archéologue allemand entreprend une courte campagne de fouilles à Hawara en . Sa trouvaille la plus importante est ce qu'on appelle le « Tombeau d'Aline ». Un puits conduit à une simple fosse bordée de terre crue de contenant huit momies. Trois ne sont pas décorées, deux portent des masques en papier et trois sont ornées de portraits de momies. La tombe n'a pas de superstructure. Les trois momies avec des portraits peints se trouvent au fond; ce sont ceux de la femme nommée Aline et de deux enfants de sexe féminin. Les deux momies masquées reposent à angle droit au-dessus d'elles ; ce sont celles d'un homme et d'une jeune fille un peu plus âgée. Les deux momies non décorées sont situées sur le dessus, de nouveau à angle droit. Sur les momies de l'homme, de la femme et des trois filles, l'enroulement est en outre assuré avec différents joints d'argile. L'un représente Héraclès aux prises avec le Lion de Némée, les autres des têtes. Toutes les jointures sont conservées. Le mobilier funéraire comprend un pot d'argile avec une gerbe de fleurs, ce qui est typique de ces tombes. Il s'y trouve aussi une stèle grossièrement taillée portant l'inscription suivante en grec : ! scope=col width="50%" align="left" | Grec | scope=col width="50%" align="left" | Français |- | ΑΛΙΝΗΙ || Aline |- | Η ΚΑΙ ΤΈΝΩC || aussi appelée Tenos |- | ΗΡΩΔΟΥ ΧΡΉC || fille d'Hérode |- | ΤΗ ΧΑΙΡΕ ΠΟΛΛΑ || très aimée |- | ΕΤΟΥC Ι ΛΕ Λ || morte en l'an 10, âgée de 35 ans |- | ΜΕΣΟΡΉ Ζ|| le de Mésori |} La tombe est nommée d'après cette inscription. Les spécialistes supposent qu'Aline est la femme enterrée dans la tombe et dotée d'un portrait de momie. Ils pensent par ailleurs que l'homme était son mari et les filles ses enfants. Comme les âges et les sexes des momies non décorées ne sont pas connus, elles ne peuvent pas être distinguées de façon similaire. La séparation en deux parties de la date de l'inscription, résultant de l'insertion de l'âge d'Aline au milieu, est inhabituelle. Comme il est courant dans l'Égypte romaine de compter l'année à partir de l'accession au pouvoir du dirigeant contemporain, il est possible d'attribuer la tombe, en conjonction avec la coiffure de la portrait, en toute sécurité à l'une des deux dates possibles. Elle est généralement considérée comme datant de la dixième année du règne de Tibère, c'est-à-dire en l'an 24. Le même type de coiffure redevient populaire un siècle plus tard, de sorte que la du règne d'Hadrien (en 127) est également une possibilité, mais la plupart des spécialistes préfèrent la date antérieure. D'autres arguments en faveur de la date ultérieure comprennent le style de peinture raffinée et l'utilisation de l'éclosion (?}, tous deux typique du de notre ère, les tons de lilas des vêtements, la représentation de la femme comme plutôt bien nourrie, ainsi que les cheveux et la barbe de l'homme. On ne sait pas quand les momies ont été déposées et si tous les morts sont de la même génération. Aujourd'hui, les découvertes de la sépulture se trouvent au musée égyptien de Berlin. Une partie d'entre elles est exposée au Altes Museum. Portraits et masques de momies Aline Le portrait d'Aline est peint en tempera sur toile, comme le sont ceux des deux filles. Sa hauteur est de pour une largeur de . Sous la toile peinte, des morceaux de lin pressés sur le visage de la momie sont utilisés pour fournir une surface plane, de sorte que le portrait est presque plat. Certains des portraits ont été peints avant la mort de leur sujet, mais dans le cas d'Aline, où il est effectivement peint à l'extrémité de l'enveloppe de la momie, il semble avoir été produit après la mort, peut-être à partir d'un portrait préalablement préparé. Comme il est courant pour les portraits de momies, la peinture donne l'impression de profondeur en trois dimensions, caractéristique relativement récente dans l'art égyptien due à l'influence gréco-romaines. Les représentations frontales de visages humains sont également inhabituelles pendant la majeure partie de l'histoire de l'art égyptien. La coiffure ondulée avec une raie centrale est peinte tout simplement, mais avec soin. Les petites boucles au-dessus du front sont frappantes. Le visage apparaît plein mais sans graisse. Il donne l'impression que cette femme, qui appartenait aux niveaux intermédiaires ou supérieurs de la société égyptienne, a mené une bonne vie. Ses bijoux simple sont peints avec soin. La représentation du collier de plâtre doré, enrichit le portrait. Aline porte une tunique blanche ou chiton, les minces bandes lilas du laticlave courent sur son épaule. Les couleurs sont chaudes. Le regard triste et mélancolique est typique des portraits de momies. Au total, c'est un magistral portrait d'une femme d'âge moyen. Aline est l'un des cas extrêmement rares où nous connaissons le nom et l'apparence d'une personne de l'antiquité qui n'appartenait pas aux classes dirigeantes et n'est pas mentionnée dans la littérature. Enfants Les deux momies des jeunes filles n'ont pas encore été ouvertes à ce jour. Au début des années 1990, elles ont été examinées en utilisant des techniques modernes. Le portrait de la fille plus âgée, probablement celle du milieu entre les trois filles d'Aline et son mari, ressemble à celle de sa mère. Comme elle est encore attachée à sa maman, elle est moins visible à l'heure actuelle; en outre, elle a été fixée un peu trop à droite de l'ouverture en forme de fenêtre dans les bandelettes. Comme c'est le cas avec les autres enfants et l'homme, son nom est inconnu. Elle porte des bijoux de valeur, mais simples et arbore une coiffure en bouclettes. Pendant longtemps, les spécialistes ont considéré la plus jeune fille comme étant un garçon. Des recherches récentes prouvent définitivement que l'enfant joufflu avec des oreilles décollées est une fille. Autour de son cou pend une bande de cuir avec une lunule (amulette), une amulette apotropaïque couramment portée par les femmes ou les filles. Son chiton est de couleur violette, caractéristique exclusive aux femmes. En outre, il est partiellement tombé, exposant son épaule gauche, attribut de la déesse Aphrodite qui vise à souligner l'attraction érotique. Ce procédé est couramment utilisé sur les portraits de momies de femmes et même de jeunes filles. Ainsi, le sexe de l'enfant est-il indubitablement féminin. Masques en papier Contrairement aux portraits peints, les masques en papier sont moins préoccupés de la représentation des individus. Le masque de la momie de l'homme est doré. La découverte des masques et des portraits dans la tombe montre que les deux formes de traitement des défunts ne coexistent pas seulement simultanément, mais peuvent en effet être utilisées par la même famille dans une tombe unique. Bibliographie R. Germer/H. Kischkewitz/M. Lüning: Das Grab der Aline und die Untersuchung der darin gefundenen Kindermumien, in: Antike Welt 24 (1993), Hannelore Kischkewitz: Mumienporträt der Aline, in Das Ägyptische Museum Berlin, van Zabern, Mainz, Barbara Borg: "Der zierlichste Anblick der Welt …". Ägyptische Porträtmumien, Mainz 1998 (Zaberns Bildbände zur Archäologie) Rose-Marie Hagen/Rainer Hagen: Ägyptische Kunst, Taschen, Köln u.a. 2007, . Voir aussi Portraits du Fayoum Panneau (peinture) Art de la Rome antique Notes et références Liens externes Brève description sur le site du musée Images des portraits et du masque masculin Source de la traduction Index égyptologique Art de la Rome antique Antiquité égyptienne Art hellénistique Tombe
Claudia Lommatzsch
Claudia Lommatzsch est une coureuse cycliste allemande. Biographie Palmarès 1979 du championnat d'Allemagne de vitesse 1980 du championnat d'Allemagne de vitesse du championnat du monde de vitesse 1981 Championne d'Allemagne de vitesse du championnat du monde de vitesse 1982 Championne d'Allemagne de vitesse du championnat du monde de vitesse du Championnat d'Allemagne sur route 1983 Championne d'Allemagne de vitesse Grand Prix de Paris - vitesse du championnat du monde de vitesse du championnat d'Allemagne de poursuite Liens externes Coureuse cycliste allemande Coureuse cycliste sur piste Date de naissance non renseignée (XXe siècle)
Élections de l'assemblée de Londres en 2000
Les élections de l'assemblée de Londres en 2000 se sont tenues le . Il y a deux scrutins, le scrutin dans les circonscriptions et le scrutin régional. Ces élections se déroulent le même jour que les élections du maire de Londres. Il s'agit de la première élection de l'Assemblée de Londres. Composition de l'Assemblée élue Élus dans les circonscriptions Élus au scrutin régional Modification en cours de mandat Londres 2000 Londres 2000 en Angleterre Politique à Londres
Ratio d'information
Le ratio d'information est un ratio égal au rendement moyen d’un actif par rapport à la moyenne d'un point de référence, divisée par l'erreur de suivi de ce dernier. Il s’agit donc d’un indicateur synthétique de l’efficacité du couple rendement/risque associé à la gestion du portefeuille qui permet d'établir dans quelle mesure un actif obtient un rendement supérieur par rapport à un point de référence. Ainsi, un ratio d’information élevé signifie que l’actif dépasse régulièrement le point de référence. Ce ratio fait partie des indicateurs statistiques utilisés pour sélectionner les meilleurs OPCVM dans une catégorie. Mesure de la performance Le ratio d'information constitue un outil de mesures de performance très utilisé dans le cadre de la gestion de portefeuille ou d'OPCVM. La ratio d'information se situe dans le même cadre d’analyse de la performance que sont les ratios de Sharpe, Jensen et Treynor. Autrement dit, l’objectif poursuivi est de mesurer l’habileté du gestionnaire dans le cadre de la sélection d’actifs, et ce, à l’aide de mesures standardisées. Le ratio d’information est le représentant le plus connu de mesures axées sur le risque spécifique du portefeuille. Généralement, les mesures fondées sur une mesure de risque spécifique utilisée par les praticiens reposent sur une approche par comparaison. Le benchmark est dans ce cas un portefeuille existant ou qui peut être constitué sur base d’actifs existants. Définition Le ratio d'information est une mesure du rendement ajusté au risque d'un titre financier ou d'un portefeuille. Il est plus connu sous l'appellation anglaise "appraisal ratio". Il se définit comme le rendement supplémentaire par rapport à un benchmark divisé par le tracking error. Le tracking error correspond à l'écart-type du rendement supplémentaire. Formule Le ratio d'information= se calcule de la façon suivante : où est le rendement du portefeuille, est le rendement du benchmark ou indice de référence, est le rendement supplémentaire espéré par rapport au benchmark et est l'écart-type du rendement supplémentaire espéré Dans cet exemple, est défini comme l'excès de rendement. Usage Le ratio d'information est utilisé pour mesurer la capacité d'un gestionnaire de fonds ou de portefeuille à générer de la surperformance par rapport au risque. Dans ce cas il mesure la performance supplémentaire réalisée par rapport au benchmark divisé par le risque supplémentaire prix par rapport au benchmark. Plus le ratio d'information est élevé plus la gestion du portefeuille est performante. Plus de performance réalisée par rapport au benchmark avec moins de risque. Le dernier quartile des investisseurs et gestionnaire financier réalisent généralement un ratio d'information de 1,5. Généralement le ratio d'information compare le rendement d'un portefeuille par rapport un benchmark comme le rendement des Treasury Bills à trois mois ou un indice de type S&P 500. Finance de marché Indicateur financier
Giacomo Vrioni
Giacomo Vrioni, né le à San Severino Marche, est un footballeur international albanais qui évolue au poste d'attaquant avec le WSG Tirol. Biographie En club Ayant grandi à Matelica, il effectue sa formation footballistique dans le club local, évoluant même un temps en Serie D, avant de passer à la Sampdoria en 2015. Figurant à plusieurs reprises dans le groupe professionnel du club de Serie A, c'est néanmoins dans les ligues inférieures italiennes que le jeune Giacomo s'agguerri. Avec le club de l'US Pistoiese, il inscrit huit buts en Serie C lors de la saison 2017-2018. Le 17 décembre 2017, il se met en évidence en marquant un triplé lors de la réception de l'US Gavorrano (victoire 3-1). Il est ensuite l'auteur d'un doublé le 11 février 2018, lors d'un déplacement sur le terrain de l'AC Cuneo (3-3). Il rejoint ensuite la Juventus en . En sélection Possédant la double nationalité italienne et albanaise, Vrioni joue d'abord avec les sélections de jeunes italiennes, jusqu'au moins de 19 ans. Avec cette sélection, il inscrit un but lors d'un match amical face à la Turquie, en septembre 2016. Il intègre ensuite l'équipe espoir d'Albanie, où il réalise ses débuts le contre, précisément, l'équipe d'Italie, où il marque un but malgré la défaite. Quelques mois plus tard, il effectue également ses débuts avec l'équipe senior albanaise en Ligue des nations, contre Israël, le . Références Liens externes Footballeur international albanais Footballeur italien Joueur du Venise FC Joueur de l'AS Cittadella Joueur de la Juventus FC Naissance en octobre 1998 Naissance à San Severino Marche
Sentier de grande randonnée 440
Le sentier de grande randonnée 440 (GR 440) décrit une boucle autour de la montagne limousine, principalement dans la Corrèze, avec une petite partie nord et nord-ouest dans la Creuse et la Haute-Vienne. Itinéraire principal Le sentier de grande randonnée 440 passe par les trois départements de l'ancienne région administrative Limousin. Il est intégralement situé à l'intérieur du parc naturel régional de Millevaches en Limousin, traversant le plateau de Millevaches et le massif des Monédières. Il passe à une ou plusieurs reprises sur les trois principaux cours d'eau de la région : la Corrèze, la Vézère et la Vienne. Pour des raisons pratiques, l'itinéraire indiqué ci-dessous est présenté par départements entiers, en sens antihoraire. Creuse Dans la Creuse, le sentier de grande randonnée 440 débute au barrage de Chammet (commune de Faux-la-Montagne), traverse le bourg de Faux-la-Montagne et passe sur le lac de Faux. Il en longe la rive nord-est avant de faire tronçon commun avec le sentier de grande randonnée 46. Il passe sur la Feuillade puis dans le petit bourg de La Villedieu et sur le ruisseau de la Villedieu. Haute-Vienne L'itinéraire entre ensuite en Haute-Vienne sur le territoire des communes de Nedde et de Rempnat, franchissant à nouveau le ruisseau de la Villedieu puis la Vienne. Corrèze En Corrèze, il passe par le bourg de Lacelle et franchit la Soudaine à l'étang de Saint-Hilaire (commune de Saint-Hilaire-les-Courbes). Avant d'arriver à Treignac, il est possible d'emprunter vers l'est la variante 440B vers Meymac. Le GR 440 franchit ensuite la Vézère au pont médiéval et traverse Treignac. Direction plein sud, il passe sur le ruisseau de Boulou à l'étang du Peuch puis sur la Madrange, avant d'arriver au village de Chauzeix (commune de Saint-Augustin). C'est au sortir de celui-ci que cesse le tronçon commun avec le sentier de grande randonnée 46. Il oblique alors vers le nord-est, passant à du Suc au May (et de sa table d'orientation) qui culmine à , dans le massif des Monédières. Il redescend plein sud puis se dirige vers l'est jusqu'à Chaumeil, franchissant la Douyge. Toujours vers l'est, il franchit la Corrèze au pont du Vialaneix et continue jusqu'à Saint-Yrieix-le-Déjalat. Il prend alors la direction du nord, passe sur la Dadalouze et arrive au bourg de Bonnefond. Il passe à une trentaine de mètres de la source de la Corrèze puis franchit le ruisseau de Saulière. Cinq kilomètres à l'ouest de Meymac, il est possible de s'y rendre en empruntant la variante 440B. L'itinéraire prend la direction du nord-ouest puis du nord. Il passe sur le ruisseau des Maisons puis sur le ruisseau de l'Étang du Diable (branche-mère de la rivière d'Ars) et arrive au lieu-dit les Rioux où il est possible d'emprunter vers l'ouest la variante 440B vers Treignac. L'itinéraire principal franchit la Vézère, traverse Saint-Merd-les-Oussines et passe à nouveau sur la Vézère. Il passe à proximité des petits bourgs de Chavanac et de Millevaches et traverse Saint-Setiers. Il franchit la Vienne à deux reprises et traverse Peyrelevade. La boucle s'achève au barrage du Chammet qui marque la limite départementale entre la Corrèze et la Creuse. Variante 440B Le sentier présente une variante 440B, découpée en deux tronçons. Quelques kilomètres au nord de Treignac, le premier tronçon passe juste en contrebas du barrage de Treignac et longe la rive orientale de sa retenue, le lac des Bariousses. Il passe ensuite sur les hauteurs du lac de Viam, traverse Pérols-sur-Vézère, franchit la rivière d'Ars au pont de Variéras, passe au niveau des ruines gallo-romaines des Cars et rejoint l'itinéraire principal au lieu-dit les Rioux (commune de Saint-Merd-les-Oussines). Au nord-est du lieu-dit Matrillat Haut (commune d'Ambrugeat), un deuxième tronçon long de cinq kilomètres relie l'itinéraire principal au bourg de Meymac. Photothèque Notes et références Voir aussi Liens externes GR440 Tour de la montagne Limousine (Creuse, Corrèze) 440 Limousin 440
Barger-Compascuum
Barger-Compascuum est un village néerlandais du sud-est de la province de Drenthe. Il est situé à environ au sud-est d'Emmen. Au , Barger-Compascuum compte habitants. Le village englobe également le hameau de Klazienaveen-Noord. Histoire Ce village fait partie des villages fondés dans les marais et tourbières exploités et défrichés de l'est de la province de Drenthe. Dans cette région était situé le marais de Bourtange, d'une superficie d'environ hectares, où la frontière entre l'Allemagne et les Pays-Bas était incertaine et souvent disputée. Le terme compascuum (du latin com - ensemble, en commun et pascere - paître) indique les terres communes pour y faire paître le bétail. Ce terme remonte à un différend entre les provinces de Drenthe et de Groningue sur le tracé de la frontière les séparant. Le stathouder Ernest-Casimir décida en 1615 que ces terres seraient communes aux deux provinces. Le nom de village voisin d'Emmer-Compascuum y réfère également. Ce n'est qu'en 1817, que ces terres sont définitivement attribuées à la province de Drenthe. À partir de 1861, les premiers colons s'établirent à Barger-Compascuum. En 1873, le village fut érigé en paroisse, après avoir appartenu à la paroisse catholique de Erica, et en 1874, une première église en bois fut construite. Cette église a été remplacée en 1924 par une église en briques, dessinée par Joseph Cuypers. Lien externe Barger-Compascuum sur le net Source Localité dans la province de Drenthe Emmen
Mazurowo
Mazurowo est un village polonais de la gmina d'Kalinowo, dans le powiat d'Ełk, voïvodie de Varmie-Mazurie, au nord-est du pays. Il est situé à environ à l'est d'Ełk et à à l'est de la capitale régionale Olsztyn. Village dans la voïvodie de Varmie-Mazurie Powiat d'Ełk
Nicolas Archambault
Nicolas Archambault (mieux connu sous le diminutif de ), né le à Montréal, au Québec, est un chorégraphe, danseur contemporain et acteur canadien. Consacré « danseur favori des Canadiens » lors de la compétition So You Think You Can Dance Canada en 2008, il a cofondé la compagnie de chorégraphie Street Parade et le groupe électro-pop The Pinup Saints, dont il est le directeur artistique. Archambault a dansé aux côtés de Janet Jackson lors de la cérémonie des et a participé au clip Make Me de la chanteuse. Il agit à présent comme juge pour l'émission Les Dieux de la danse, diffusée à ICI Radio-Canada. Biographie Aîné de quatre enfants, Nicolas Archambault fait ses premiers essais de danse à l'âge de 7 ans, à l'école chorégraphique Louise Lapierre que fréquentent également ses sœurs. Il est traumatisé par les railleries à son sujet, étant le seul garçon du groupe. C'est à l'école secondaire Antoine de Saint-Exupéry à Saint-Léonard que Nicolas Archambault s'inscrit au programme danse-étude, mais, encore une fois, il est ostracisé, taxé d'être homosexuel et il est victime d'intimidation. En plus d'avoir une poussée de croissance trop rapide, il est maigre, et souffre de la maladie d'Osgood-Schlatter. Il est également impopulaire à l'école et, pour ces raisons, il participe aujourd'hui à une campagne canadienne contre l'intimidation à l'école et a, dans ce cadre, dessiné un t-shirt pour la cause. Dès l'âge de 14 ans, Nicolas Archambault décroche ses premiers contrats. À 19 ans, alors qu'il étudie la danse à LADMII, l'école de danse contemporaine, on lui propose d'être le danseur de l'émission La Fureur, où il travaille pendant cinq ans. Durant cette période, il danse également dans de nombreuses revues musicales, dont celles d'Elvis Story, de Joe Dassin - La grande fête musicale, Night Fever, et dans la version lyrique de l'opéra-rock Starmania. Il a également été l'assistant du chorégraphe Brian Friedman. En 2008, il participe à la première compétition de , organisée à Toronto. Favori du public, des chorégraphes et du jury, il remporte la première position parmi danseurs, au terme de neuf semaines de compétition. Il est le seul des danseurs à ne pas avoir été mis en danger par le public ou les juges. Il devient par la suite le chorégraphe en résidence de l'émission. Quelques semaines après son succès dans So You Think You Can Dance Canada, il est approché par la chanteuse Janet Jackson pour être son danseur principal dans le clip de la chanson Make Me, puis il partage la scène de la chanteuse lors de la cérémonie des . La même année, il incarne le danseur russe Rudolf Noureev dans un téléfilm pour la chaîne canadienne Bravo!, dans laquelle il interprète un jeune issu d'un milieu pauvre qui rêve de gagner sa vie comme danseur et qui réalise son rêve grâce à un concours. La série Nureyev obtient six nominations au gala du , dont une pour Archambault : « Meilleure performance dans un programme des arts du spectacle ou de série (individuel ou ensemble) ». Malgré son immense succès aux États-Unis et au Canada anglais, Nicolas Archambault demeure largement inconnu du public québécois. C'est à la suite de la diffusion de l'émission du de Tout le monde en parle que le public fait enfin la rencontre du danseur. C'est d'ailleurs sur ce plateau qu'on apprend qu'il a refusé d'aller en tournée avec Michael Jackson parce qu'il avait d'autres projets et qu'il zézaie. Le réalisateur et chorégraphe du documentaire Michael Jackson's This Is It, Kenny Ortega, a dit que Nicolas Archambault était la raison pour laquelle les gars aiment : . Le , Nicolas Archambault épouse Wynn Holmes, sa fiancée depuis 3 ans, et danseuse de Vancouver. Elle est également la chanteuse principale du groupe Pinup Saints : on peut voir apparaître Nicolas Archambault en tant que danseur dans certains clips de ce groupe, tels que Mister et Halo. En 2010, aux côtés du metteur en scène Serge Denoncourt, Nicolas Archambault chorégraphie le spectacle musical Le Blues d'la métropole qui honore le groupe Beau Dommage au Théâtre Saint-Denis de Montréal. En 2011, Nicolas Archambault se lance dans le cinéma en tant qu'acteur et chorégraphe : il fait partie de la distribution du film Sur le rythme, produit par Charles-Olivier Michaud. Il se rend à Belgrade en Serbie avec Serge Denoncourt afin d'aider un groupe d'une trentaine d'adolescent Roms à monter des chorégraphies. est un projet mis sur pied pour soutenir les jeunes tziganes avec des projets éducatifs et artistiques. À l'été 2011, Nicolas Archambault et son groupe d'adolescents se produisent au Festival international de jazz de Montréal. À l'automne, il est à la barre d'une nouvelle émission à Radio-Canada, Ils dansent, mettant en vedette 10 danseurs choisis en audition. Tout au long de l'automne, les danseurs ont une chorégraphie basée sur un style de danse différent à chaque fois. En , il devient l'un des juges de You Can Dance, adaptation française de l'émission américaine So You Think You Can Dance sur NT1 (chaîne de la TNT appartenant à TF1). Depuis , il collabore à titre de juge à l'émission Les Dieux de la danse diffusée à ICI Radio-Canada. En 2017, Nicolas Archambault participera au spectacle musical Saturday Night Fever, adapté du film La fièvre du samedi soir au Palais des sports de Paris. Il est également annoncé comme nouveau jury pour la huitième saison de Danse avec les stars en France pour l'automne 2017. En 2020, il participe à l'émission documentaire Encré dans la peau sur les ondes d'Unis TV dans laquelle il parle de l'histoire et de la signification de ses tatouages. Carrière Danseur 2003 à 2008 : La Fureur : danseur freestyle 2005 : Dingue : clip de Humphrey 2006 : Joe Dassin - la grande fête musicale : danseur 2006-2007 : Night fever, Capitole de Québec 2008 : So You Think You Can Dance Canada : vainqueur de la compétition 2009 : Make Me : danseur principal dans le clip de Janet Jackson 2009 : American Music Awards : danseur de Janet Jackson 2009 : Starmania, en version lyrique 2017 : Saturday Night Fever : rôle principal de Tony Manero 2017 : Danse avec les stars (France) (saison 8) : juré Chorégraphe 2009-2010 : So You Think You Can Dance Canada : chorégraphe en résidence 2010 : Le Blues d'la métropole : chorégraphie de la comédie musicale 2011 : Festival international de jazz de Montréal : chorégraphe de la troupe GRUBB The Musical 2011 : Mixmania 2 : chorégraphe de Tant que l'on s'aime (partie de Tommy Tremblay et Emmy Langlais) Acteur 2005 : À corps perdus : clip de Grégory Lemarchal 2008 : C'est chelou : clip de Zaho 2008 : La roue tourne : clip de Zaho 2009 : Je te promets : clip de Zaho 2009 : Nureyev, téléfilm sur Rudolf Noureev (Bravo!) : Rudolf Noureev 2010 : Vacances avec Derek : Jesse 2011 : Sur le rythme : Marc Painchaud 2014 : Quart de vie : Beau Animateur 2011 : Ils dansent : télé-réalité de Radio-Canada Références Liens externes Lancement de la campagne canadienne contre l'intimidation à l'école Sur le Rythme - Bande annonce Joe Dassin, la grande fête musicale Danseur québécois Chorégraphe québécois Naissance en octobre 1984 Membre du jury de Danse avec les stars
Canton de Soissons-1
Le canton de Soissons-1 est une circonscription électorale française du département de l'Aisne, créée par le décret du et entrant en vigueur lors des élections départementales de 2015. Histoire Un nouveau découpage territorial de l'Aisne entre en vigueur en mars 2015, défini par le décret du , en application des lois du (loi organique 2013-402 et loi 2013-403). Les conseillers départementaux sont, à compter de ces élections, élus au scrutin majoritaire binominal mixte. Les électeurs de chaque canton élisent au Conseil départemental, nouvelle appellation du Conseil général, deux membres de sexe différent, qui se présentent en binôme de candidats. Les conseillers départementaux sont élus pour au scrutin binominal majoritaire à deux tours, l'accès au second tour nécessitant 12,5 % des inscrits au premier tour. En outre la totalité des conseillers départementaux est renouvelée. Ce nouveau mode de scrutin nécessite un redécoupage des cantons dont le nombre est divisé par deux avec arrondi à l'unité impaire supérieure. Le nombre total de cantons d'un départements doit obligatoirement être impair. Dans l'Aisne, le nombre de cantons passe ainsi de 42 à 21. Le canton de Soissons-1 fait partie des huit nouveaux cantons du département, les treize autres cantons portant la dénomination d'un ancien canton, mais avec des limites territoriales différentes. Le nouveau canton reprend l'ensemble des limites du canton de Soissons-Nord avec la fraction cantonale non-modifiée de la ville de Soissons. Bagneux, Cuisy-en-Almont, Osly-Courtil, communes faisant partie du canton de Vic-sur-Aisne, sont adjointes au nouveau canton ainsi que la commune de Vregny de l'ancien canton de Vailly-sur-Aisne. Le bureau centralisateur est fixé à Soissons. Administration Représentation Élections de mars 2015 À l'issue du premier tour des élections départementales de 2015, trois binômes sont en ballottage : Emmanuel Chassagnoux et Véronique Hallez (FN, 42,12 %), Françoise Champenois et Pascal Tordeux (Union de la Droite, 28,98 %) et Jean-Pierre Corneille et Stéphanie Lebee-Delattre (Union de la Gauche, 28,9 %). Le taux de participation est de 49,47 % ( sur ) contre 53,32 % au niveau départemental et 50,17 % au niveau national. Au second tour, Françoise Champenois et Pascal Tordeux (Union de la Droite) sont élus Conseillers départementaux de l'Aisne avec 55,11 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 50,83 % ( pour et ). Pascal Tordeux a quitté l'UDI. Il est à LREM. Élections de juin 2021 Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national). Dans le canton de Soissons-1, ce taux de participation est de 30,62 % ( sur ) contre 34,94 % au niveau départemental. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Françoise Champenois et Pascal Tordeux (Union au centre et à droite, 45,75 %) et José Foulon et Andrée Lesguillier (RN, 33,42 %). Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,3 % au niveau national, 34,65 % dans le département et 31,17 % dans le canton de Soissons-1. Françoise Champenois et Pascal Tordeux (Union au centre et à droite) sont élus avec 64,67 % des suffrages exprimés ( pour et ). Composition Le canton de Soissons-1 est composé de 14 communes entières et une fraction de la commune de Soissons. Le canton comprend en outre la partie de la commune de Soissons située au nord d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : depuis la limite territoriale de la commune de Pommiers, avenue de Compiègne, rue Saint-Christophe, rue du Collège, rue Saint-Quentin, cours de l'Aisne, jusqu'à la limite territoriale de la commune de Villeneuve-Saint-Germain. Démographie Notes et références Notes Références Voir aussi Aisne Arrondissements de l'Aisne Liste des cantons de l'Aisne Liste des communes de l'Aisne Liste des conseillers départementaux de l'Aisne Soissons-1
Johan Zacharias Blackstadius
Johan Zacharias Blackstadius (né le à Falkenberg – mort le à Stockholm) est un artiste peintre, graphiste et illustrateur suédois qui a été très actif en Finlande. Biographie Œuvre Parmi ses retables: Église d'Hämeenkyrö, Église de Kurikka, Église de Kuru, Église de Pöytyä. Références Annexes Article connexe Liste de peintres finlandais nés avant 1820 Liens externes Peintre suédois Peintre du XIXe siècle Lithographe suédois Lithographe du XIXe siècle Naissance à Falkenberg Naissance en mars 1816 Décès à Stockholm Décès en février 1898 Décès à 81 ans
Église Sainte-Marie-Madeleine de Beli Potok
L'église Sainte-Marie-Madeleine de Beli Potok (en serbe cyrillique : ; en serbe latin : ) est une église orthodoxe située à Beli Potok, en Serbie, sur le territoire de la Ville de Belgrade et dans la municipalité de Voždovac. Elle a été construite en 1883. Notes et références Articles connexes Architecture à Belgrade Liste des monastères orthodoxes serbes Sainte-Marie-Madeleine de Beli Potok Architecture à Belgrade Voždovac Beli Potok
Plestiodon anthracinus
Plestiodon anthracinus est une espèce de sauriens de la famille des Scincidae. Répartition Cette espèce est endémique des États-Unis. Elle se rencontre dans l'est de l'Oklahoma, dans l'est du Kansas, dans lu Sud du Missouri, dans l'ouest de l'Arkansas, en Louisiane, dans le Mississippi, dans le nord-ouest de la Floride, en Alabama, en Géorgie, dans le Nord-Ouest de la Caroline du Sud, dans l'Ouest de la Caroline du Nord, dans le Kentucky, en Virginie-Occidentale, en Virginie, en Pennsylvanie, dans l'État de New York et dans le Texas. Liste des sous-espèces Selon : Plestiodon anthracinus anthracinus (Baird, 1849) Plestiodon anthracinus pluvialis (Cope, 1880) Publications originales Baird, 1850 "1849" : Revision of the North American tailed-batrachia, with descriptions of new genera and species. Journal of the Academy of Natural Sciences of Philadelphia, , , (texte intégral). Cope, 1880 : On the zoological position of Texas. Bulletin of the United States National Museum, , (texte intégral). Liens externes Notes et références Saurien (nom scientifique) Scincinae Faune endémique des États-Unis
Ravi (rappeur)
Kim Won-sik (coréen : 김원식, né le ) mieux connu sous son nom de scène Ravi ou RAVI (coréen : 라비), est un rappeur, chanteur, danseur est un auteur-compositeur et réalisateur artistique sud-coréen. Il est membre du boys band sud-coréen VIXX, ainsi que de son sous-groupe, VIXX LR. En 2019, il fonde son propre label GROOVL1N et quitte Jellyfish Entertainment. Carrière VIXX GROOVL1N Le 27 juin 2019, RAVI révèle via son compte Twitter et Instagram le nom de son label de hip-hop : GROOVL1N (Korean: 그루블린). Le nom vient de la combinaison entre GROOVE et GOBLIN qui ensemble signifient "Le mec cool de l'orient (The cool folk of the orient)". Le label GROOVL1N comprend Cold Bay, Chillin Homie and Xydo (Park Chi Woong). Discographie Mixtape Singles En tant qu'artiste principal En collaboration En groupe Concert Tête d'affiche 2016: Ravi's 1st Live Party [R.EBIRTH] 2017: RAVI 1st REAL-LIVE [R.EAL1ZE] 2018: RAVI 2nd REAL-LIVE NIRVANA 2018: RAVI 1st SOLO EUROPE TOUR 2019: RAVI 3rd REAL-LIVE R.OOK BOOK Filmographie Shows TV Apparition dans des clips vidéos Références Liens externes Ravi sur Instagram Ravi sur Twitter Chanteur sud-coréen Chanteur de pop Auteur-compositeur sud-coréen Rappeur sud-coréen Danseur sud-coréen Naissance en février 1993 Réalisateur sud-coréen Naissance à Séoul Musicien de K-pop Nom de scène Artiste de Jellyfish Entertainment
Introversion Software
Introversion Software est une entreprise britannique de développement de jeux vidéo indépendants. Elle a été fondée fin 2001 par trois amis qui se sont rencontrés alors qu'ils étaient étudiants à l'Imperial College London : Chris Delay, Mark Morris et Thomas Arundel. Introversion est notamment connue pour ses titres Darwinia et Defcon mais aussi Prison Architect. Historique À ses débuts, l'entreprise n'a pas de bureaux : les développeurs travaillent chez eux ; c'est d'ailleurs à cette époque qu'ils se définissent comme « les derniers des programmeurs en chambre ». Ce n'est que lorsqu'ils travaillent sur leur quatrième titre, Multiwinia, qu'ils emménagent dans des bureaux. Leur premier jeu, Uplink, est conçu et programmé presque exclusivement par Delay, tandis que Morris et Arundel s'occupent de la partie matériel, business et marketing. L'investissement de départ, modeste, leur permet d'acheter des CD vierges et des cartouches d'encre pour imprimante. Ainsi, les premières copies du jeu sont produites à la main. L'entreprise arrive à rembourser son investissement en quelques heures grâce aux commandes. Une communauté importante se crée ; l'équipe engage un nouveau programmeur, Andy Bainbridge, et commence à travailler sur deux autres titres : Darwinia et Defcon. Darwinia sort en . Il est ensuite distribué sur Steam à partir du . Uplink l'a ensuite rejoint sur cette plate-forme de distribution de contenu en ligne durant l'été 2006. Le , Introversion Software publie son troisième jeu, Defcon, qui devient son plus gros succès. Multiwinia est publié le . Aujourd'hui, l'entreprise emploie douze personnes. Historique financier Malgré une sortie discrète due à un budget limité à lors de la création de l'entreprise en 2001, Uplink, leur premier titre, est non seulement bien accueilli par la critique, mais est aussi un succès commercial : les ventes génèrent £ les quatre premiers mois. Durant l'E3 2002, l'équipe dépense en une semaine £ « en hors-bord et en voitures de course », avant d'apprendre que « dans l'industrie du jeu vidéo, vous faites 75 % de vos revenus pendant les six premiers mois ». Grâce aux commandes, les fonds de l'entreprise se portent encore bien jusqu'à noël 2002. Les royalties dues par Strategy First pour la distribution aux États-Unis se font attendre (Strategy First sera bientôt poursuivi en recours collectif pour banqueroute aux États-Unis, avant d'être racheté par Silverstar Holdings en 2005), si bien que l'entreprise est au bord de la faillite à l'été 2003. Certains membres de son équipe sont obligés de vendre la plupart de leurs biens personnels, avec pour seul espoir le succès de Darwinia, alors en développement. Durant l'année 2004, les ventes de Uplink rapportent £ par mois, mais ils sont absorbés par les frais de gestion et la location du serveur web. Darwinia est finalement publié en , et malgré un très bon début des ventes et un score de 90 % attribué par PC Gamer, les ventes chutent rapidement (certainement en partie à cause du prix de vente élevé, fixé à ). Quelques mois plus tard, l'équipe contacte Valve pour étendre la distribution de leurs titres. La sortie de Darwinia sur Steam le permet à l'entreprise de continuer à développer leur troisième jeu, Def-Con. Le , à l'ouverture des précommandes de Def-Con, Introversion dépense ses derniers . Mais là encore, les ventes sont bonnes et la sécurité de l'entreprise est assurée pour plus d'un an. Selon Tom Arundel, « Steam a fait d'Introversion un succès commercial ». Communauté Uplink et Darwinia ont une communauté de modding importante. Ludographie Uplink (2001) Darwinia (2005) Defcon (2006) Multiwinia (2008) Darwinia+ (2010) Subversion (projet arrêté) Chronometer (NC) Prison Architect (2014) Scanner Sombre (2017) Notes et références Lien externe Entreprise de jeux vidéo ayant son siège en Angleterre Développeur de jeux vidéo Éditeur de jeux vidéo Entreprise fondée en 2001
(31381) 1998 XW86
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes de de diamètre découvert en 1998. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,04 et une inclinaison de 8,99° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 13,6 et un albédo estimé à 0,154, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2012 dans un article présentant les résultats concernant de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (31001-32000) Ceinture d'astéroïdes Liens externes Références Objet céleste découvert en 1998 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
Ah, c'était ça la vie !
Ah, c'était ça la vie est un téléfilm français réalisé en 2008 par Franck Apprederis, diffusé en Espagne le et en France les 3 et sur France 2. Synopsis Début des années 1950 : c'est l'époque du Tabou, les caves de Saint-Germain-des-Prés où l'on joue Charlie Parker, Dizzy Gillespie et Thelonius Monk, où les personnages côtoient Boris Vian qui va les aider à lancer leur orchestre, Juliette Gréco qui, tout de noir vêtue, chante Si tu t'imagines ou Samuel Beckett qui présente En attendant Godot. Saint-Germain, c'est un brassage de populations, un mélange où se retrouvent les enfants « de », les républicains espagnols, les communistes surtout qui ont engagé la lutte clandestine, les militants du PCF, les noctambules ou les amateurs de jazz. La guerre entre dans les souvenirs mais le canon tonne en Indochine où Jean-Jacques, l'aîné des fils de Reuilly-Nonancourt est lieutenant. Le cadet entre en révolte contre le père, conflit de générations mais aussi vision différente de l'avenir entre le père grand-bourgeois réactionnaire et antisémite, et ce fils rebelle qui ne veut plus porter les valeurs de la bourgeoisie. Le communisme tient une grande place dans la vie de ces jeunes. Des parents écœurés par le procès des blouses blanches décident d'émigrer en Israël, désespérés de ne pouvoir être à la fois communistes et juifs. Jean-Jacques est tué en Indochine à Diên Biên Phu et son frère François, mobilisé en Algérie, revoit sa maîtresse Neus Razola, pendant une permission. Julie revient d'Israël, où elle était allée voir ses parents, pour travailler avec un groupe de jazz et Éduardo repart en Espagne comme clandestin du PCE. C'est un chassé-croisé entre la guerre d'Algérie avec la désertion de François, les « voyages » dangereux d'Éduardo en Espagne et une histoire d'amour qui apporte une note romantique dans ces histoires personnelles emportées dans le tourbillon de la Grande Histoire Fiche technique Réalisateur : Franck Apprederis Scénario et dialogues : Jorge Semprún et Franck Apprederis Musique : Jean Musy Dates de diffusion : Espagne, France : et sur France 2, sur la chaine Histoire Durée : 180 minutes (en deux parties) Distribution Déborah François : Julie Raphaël Personnaz : François de Reuilly-Nonancourt Julie Judd : Laurence de Reuilly-Nonancourt, la sœur de François : Eduardo Arnaud Apprederis : Jean Silberstein Laura Mana : Neus Razola, la mère d'Eduardo Claude Brasseur : le Colonel comte de Reuilly-Nonancourt, le père Ludmila Mikaël : de Reuilly-Nonancourt, la mère Anne Canovas : Myriam Siberstein, la mère de Jean Gérard Rinaldi : le docteur David Silberstein, père de Jean Loïc Corbery : Jean-Jacques de Reuilly-Nonancourt, frère de Laurence et François Julien Tortora : Alain Niels Dubost : Markovitch Thierry Desroses : John Luc Bernard : le colonel du ministère Jean-Paul Zehnacker : le professeur Henri-Irénée Marrou Anne Loiret : Colette Hernandez Oriol Tarrasón : Antonio Hernandez Philippe Siboulet : l'officier de gendarmerie Références Liens externes Téléfilm français des années 2010 Téléfilm diffusé en 2010 Téléfilm se déroulant dans les années 1950 Téléfilm de France Télévisions Jorge Semprún Téléfilm dramatique
Smólska
Smólska (prononciation : ) est un village polonais de la gmina de Załuski dans le powiat de Płońsk de la voïvodie de Mazovie dans le centre-est de la Pologne. Histoire De 1975 à 1998, le village appartenait administrativement à la voïvodie de Ciechanów. Références Village dans la voïvodie de Mazovie Powiat de Płońsk
Bronisław Malinowski (athlétisme)
Bronisław Malinowski (né le et décédé le ) est un athlète polonais, champion olympique sur 3 000 m steeple aux Jeux olympiques d'été de 1980 à Moscou. Il mourut l'année suivante dans un accident de voiture, âgé de trente ans. Palmarès Jeux olympiques d'été Jeux olympiques d'été de 1972 à Munich (Allemagne de l'Ouest) sur 3 000 m steeple Jeux olympiques d'été de 1976 à Montréal (Canada) Médaille d'argent sur 3 000 m steeple Jeux olympiques d'été de 1980 à Moscou (Union soviétique) Médaille d'or sur 3 000 m steeple Championnats d'Europe d'athlétisme Championnats d'Europe d'athlétisme de 1974 à Rome (Italie) Médaille d'or sur 3 000 m steeple Championnats d'Europe d'athlétisme de 1978 à Prague (Tchécoslovaquie) Médaille d'or sur 3 000 m steeple Liens externes Coureur de demi-fond polonais Coureur de 3 000 mètres steeple Naissance en juin 1951 Naissance en Pologne Décès en septembre 1981 Décès en Pologne Champion olympique polonais Champion olympique d'athlétisme Champion d'Europe d'athlétisme Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1972 Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1976 Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1980 Mort dans un accident de la route en Pologne Médaillé d'argent olympique polonais Décès à 30 ans
Cap Peirce (Alaska)
Le cap Peirce est un cap de l'Alaska situé au sud-est de la mer de Béring. Faune Le cap Peirce est connu pour héberger des colonies de morses et de phoques (phoque commun, phoque tacheté) ainsi que pour servir de site de nidification de certaines espèces d'oiseaux de mer (Mouette tridactyle, Guillemot de Troïl). On y trouve également la marmotte des Rocheuses (), le renard roux () ou encore le renne (). Notes et références Pierce Pierce
Communes de la wilaya de Mostaganem
Pour les autres communes, voir Liste des communes d'Algérie. Liste des communes de la Wilaya algérienne de Mostaganem par ordre alphabétique : Abdelmalek Ramdane Achaacha Aïn Boudinar Aïn Nouissy Aïn Sidi Cherif Aïn Tedles Blad Touahria Bouguirat El Hassiane Fornaka Hadjadj Hassi Mameche Khadra Kheireddine Mansourah Mesra Mazagran Mostaganem Nekmaria Oued El Kheir Ouled Boughalem Ouled Maallah Safsaf Sayada Sidi Ali Sidi Belattar Sidi Lakhdar Sirat Souaflia Sour Stidia Tazgait Liens externes La loi n° 84-09 du 4 février 1984 relative à l’organisation territoriale de l'Algérie sur le site du Ministère de l’intérieur algérien. Mostaganem
Longshan (homonymie)
La culture de Longshan (龍山) est une culture chinoise du Néolithique tardif (3000-2000 av. J.-C.) ; Le xian de Longshan (龙山) est une subdivision administrative de la province du Hunan en Chine ; Le district de Longshan (龙山) est une subdivision administrative de la province du Jilin en Chine. Homonymie de toponyme
Friedrich Gulda
Friedrich Gulda, né le à Vienne et mort le à Weißenbach am Attersee dans la commune de Steinbach am Attersee en Autriche, est un musicien autrichien, pianiste classique, clavicordiste et compositeur de jazz. Biographie Lauréat en 1946 du premier prix du Concours international d'exécution musicale de Genève, Gulda est considéré comme l'un des interprètes classiques importants du , en raison du caractère jamais routinier, toujours audacieux et novateur, mais jamais facile, de ses exécutions. Spécialiste du répertoire classique et romantique, son nom est surtout associé à celui de Ludwig van Beethoven, dont il a enregistré à trois reprises le corpus des 32 sonates et également le Concerto dit « L'Empereur » (avec l'Orchestre philharmonique de Munich), ainsi qu'à celui de Wolfgang Amadeus Mozart, dont il était un admirateur sans limites. Il a aussi beaucoup joué Jean-Sébastien Bach au clavicorde et au piano. Mais Gulda était aussi une personnalité étrange et controversée en dehors de ses récitals de musique classique. De fait, ses concerts proposaient des mélanges incongrus, où un nocturne de Frédéric Chopin et un impromptu de Franz Schubert étaient entrecoupés de morceaux de jazz de sa composition, ou de longues improvisations sur un thème de Thelonious Monk. Cet aspect de sa personnalité musicale n'a cependant, à sa grande fureur, jamais touché ni le grand public, ni les amateurs de musique classique, désorientés, ni les amateurs de jazz, pour lesquels sa touche et son sens du rythme n'étaient pas assez affranchis des contraintes du métronome. Friedrich Gulda est mort le jour anniversaire de la naissance de Mozart, ce qu'il souhaitait ; demeurant comme l'un des plus grands interprètes de son siècle. Références Liens externes Biographie Compositeur autrichien Compositeur de jazz Pianiste classique autrichien Pianiste de jazz Étudiant de l'académie de musique et des arts du spectacle de Vienne Récipiendaire de la croix d'honneur autrichienne pour la science et l'art Naissance en mai 1930 Naissance à Vienne (Autriche) Décès en janvier 2000 Décès en Haute-Autriche Décès à 69 ans
Caluromys lanatus
Caluromys lanatus est une espèce de mammifères marsupiaux de la famille des (les opossums d'Amérique). Cet Opossum laineux, identifié à la fin du par Olfers, est un animal omnivore relativement peu commun et discret (animal nocturne). Diverses épithètes spécifiques ont été attribuées à cette espèce, dont : antioquiae, bartletti, cahyensis, cicur, jivaro, juninensis, lanigera, meridensis, modesta, nattereri, ochropus, ornata et vitalina. En anglais, il est appelé ou . Description Répartition : Il vit dans la jungle en Argentine (Nord- Misiones Province), en Bolivie (Est), Brésil (Sud-est, Sud-Est et Ouest), Colombie (Nord et centre), Équateur (Est), Guyana, Pérou (Est), Paraguay (Est et Sud, Caazapá) et Venezuela (Nord-ouest et Sud). Alimentation Il se nourrit principalement de fruits d'invertébrés et de petits vertébrés. Il se nourrit aussi de nectar et peut manger d'autres parties des fleurs, comme le pollen. Menaces Sans être aujourd'hui en danger de disparition, il est considéré comme vulnérable, et a disparu d'une partie de son aire de répartition en raison de la déforestation. Notes et références Voir aussi Article connexe Opossum Liens externes taxinomiques Marsupial (nom scientifique) Didelphidae
Scott Duvall
Scott Duvall (né le à Hamilton) est un homme politique canadien. Membre du Nouveau Parti démocratique, il représente la circonscription de Hamilton Mountain de 2015 à 2021. Biographie Avant sa carrière en politique, Duvall travaille dans l'acier puis est représentant syndical. Par la suite, il devient conseiller de ville pour le septième district d'Hamilton. Il est réélu jusqu'en 2015, alors qu'il décide de ce présenter à la succéssion de Chris Charlton dans Hamilton Mountain. Cette décision attire l'ire de certain de ses constituants puiqu'il avait été réélu quelque mois plus tôt à son poste municipal. Le député néodémocrate sortant est aussi critique puisqu'il supporte la nomination de Ben Adamczyk pour sa succéssion. Il remporte la primaire puis l'élection générale. Réélu en 2019, il n'est pas candidat durant les élections anticipées de 2021 citant la désir de passer plus de temps avec sa famille. Résultats électoraux Références Voir aussi Hamilton Mountain Naissance en juillet 1956 Naissance à Hamilton (Ontario) Député du Nouveau Parti démocratique Député fédéral canadien provenant de l'Ontario Syndicaliste canadien
Théodora de Saxe-Meiningen (1890-1972)
Théodora de Saxe-Meiningen ( – ) est l'aînée des enfants de Frédéric-Jean de Saxe-Meiningen et d'Adélaïde de Lippe-Biesterfeld. Par son mariage, elle est grande-duchesse de Saxe-Weimar-Eisenach. Biographie Mariage Lors d'une visite au palais de Wilhelmshöhe, Théodora est poussée par son parent l'empereur Guillaume II à se marier avec Guillaume-Ernest de Saxe-Weimar-Eisenach, qui est au service de la Prusse. En dépit de son rôle dans leur engagement, l'empereur Guillaume refuse d'assister au mariage. Cela cause beaucoup de spéculation, car lui et sa femme sont très proches du grand-duc. Ceci est vu par beaucoup comme le résultat de la mauvaise volonté du grand-père de Théodora, Georges II de Saxe-Meiningen-Hildburghausen, dont le mariage morganatique avec Ellen Franz a fortement déplu à Guillaume II. Par ailleurs, Georges est le seul membre d'une maison souveraine allemande à ne pas avoir été reçu par l'empereur à son arrivée au pouvoir en 1888, et à ne pas avoir reçu le couple impérial dans sa propre cour. La désapprobation de Guillaume II est encore plus surprenante car il avait récemment autorisé le mariage entre un prince de Hohenzollern (le prince Frédéric-Guillaume de Prusse, fils du prince Albert de Prusse) avec une personne de rang moins élevé. Le boycott de la cérémonie de mariage par l'empereur est si fortement ressentie en Saxe-Meiningen que lorsque les journaux annoncent que Guillaume n'assisterait pas au mariage, la communication officielle du palais royal déclare qu'il n'avait jamais été invité. Théodora se marie donc à Guillaume-Ernest de Saxe-Weimar-Eisenach (1876-1923) le à Meiningen. Elle est sa deuxième épouse, sa première épouse Caroline de Reuss-Greiz étant morte sans enfant, après dix-huit mois de mariage en 1905. Ce premier mariage a été malheureux, car Caroline n'aimait pas la cour de Weimar décidant même de fuir vers la Suisse. Elle revient et meurt peu après, beaucoup évoquant un suicide. Le couple a quatre enfants : Sophie ( – ), épouse en 1938 le prince Frédéric-Günther de Schwarzbourg (1901-1971) et divorce la même année ; Charles-Auguste ( – ), grand-duc héréditaire de Saxe-Weimar-Eisenach, épouse en 1944 Elisabeth von Wangenheim-Winterstein (1912-2010) ; Bernard-Frédéric ( – ), épouse en 1943 Félicité de Salm-Hortsmar (née en 1920) et divorce en 1956 (d'où postérité) ; Georges-Guillaume ( – ), épouse en 1953 Gisèle Janisch (née en 1930), prend le nom de Jörg Brena la même année et renonce à ses droits de succession (d'où postérité) ; Vie de cour Le mariage de Théodora est malheureux ; la cour de Weimar et son étiquette étaient considérées comme parmi les des plus étouffantes d'Allemagne. Théodora est malheureuse dans un tel environnement ; à l'âge de 23 ans, elle veut fuir alors qu'elle séjourne dans un sanatorium pour sa santé. Elle est frappée par une grave crise de rougeole et de scarlatine qu'elle a contractée lors de la visite d'un asile qu'elle a fondé. Sa grande attention à cet asile est attribuée à son malheur à la cour, et vu comme une évasion. L'extrême rigueur de l'étiquette a également causé une distance entre elle-même et le grand-duc, ainsi qu'avec leurs jeunes enfants. Théodora est très populaire auprès des classes moyennes et inférieures de Weimar ; c'est en grande partie attribuable à son charme et à sa gentillesse envers les pauvres et les souffrants. Après l'abdication Le , Guillaume Ernest, avec le reste des souverains allemands, est contraint d'abdiquer à la suite de la défaite de l'Allemagne à la fin de Première Guerre mondiale. Son trône et toutes ses terres sont abandonnés et il se réfugie dans son domaine familial, en Silésie, où il meurt quatre ans plus tard. Théodora, quant à elle, meurt le à Fribourg-en-Brisgau, en Allemagne. Liens externes Princesse de Saxe-Meiningen Naissance en mai 1890 Naissance à Hanovre Naissance en province de Hanovre Décès en mars 1972 Décès à Fribourg-en-Brisgau Décès à 81 ans Grande-duchesse de Saxe-Weimar-Eisenach Récipiendaire de l'ordre de Louise
Pont de Laukko
Le pont de Laukko () est un pont pour la circulation douce reliant les quartiers Ratina et Nalkala au centre de Tampere en Finlande Présentation Le pont traverse les rapides Tammerkoski entre Ratina et Laukontori. L'ouvrage est un pont à haubans en béton précontraint. Le tablier du pont est horizontal et est incliné dans les directions transversale et longitudinale. Le tablier est soutenu par des cordes en acier soutenues par un seul pylône incliné en acier. Le haut du pylône est à environ 46,5 mètres de la surface de l'eau et à environ 38,5 mètres du tablier du pont. La largeur utile du pont est de 5 mètres et la longueur totale est de 150 mètres. Références Galerie Liens externes Articles connexes Attractions touristiques de Tampere Liste de ponts de Finlande Laukko Ratina (Tampere) Nalkala Passerelle en Finlande
Danso
Le danso (, hanja : , littéralement : xiao court, romanisation révisée : danso, romanisation McCune-Reischauer : tanso) est une flûte coréenne courte, à encoche, réalisée en bambou et munie d'une embouchure de type quena et de 5 trous. Ce type de flûte est généralement en bambou, on en fait toutefois en matière plastique aujourd'hui. C'est la version coréenne du duanxiao (), arrivé en Corée au . Bien que son apprentissage ne soit pas aisé en raison de la difficulté à pouvoir en sortir un premier son, c'est l'instrument généralement utilisé en Corée du Sud pour l'apprentissage de la musique à l'école, au même titre que la flûte à bec en Europe. Utilisation Le joueur tient la flûte verticalement, avec un angle de 45° ou plus, des deux mains. La main gauche est au dessus de la flûte, son pouce opérant le trou du pouce et les deux premiers doigts les trous les plus hauts. Les deux trous restants sont manipulés par la main droite. Annexes Notes et références Bibliographie Instrument de la musique coréenne Instrument à vent de la famille des bois Instrument de musique en bambou
Veľké Ozorovce
Veľké Ozorovce est un village de Slovaquie situé dans la région de Košice. Histoire Première mention écrite du village en 1304. Notes et références Village en Slovaquie Commune dans le district de Trebišov
Compagnie des agents de change
La compagnie des agents de change (la CAC) regroupe les agents de change, dirigée par un syndic. D'abord présente dans plusieurs villes de France, cette profession aussi ancienne que l'histoire boursière se regroupe ensuite au niveau national. Elle devient en 1988 la Société des bourses françaises (SBF), depuis fusionnée dans Paris Bourse SA puis Euronext puis NYSE Euronext. Historique Les agents de change redeviennent officiers ministériels (après l'avoir été de 1572 à 1720 puis de 1774 à 1791) par un décret du 19 mars 1801, et s'organisent en Compagnie des agents de change dans les grandes villes de France possédant des bourses (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nancy, Nantes, Paris, Toulouse). Ces agents détiennent également le monopole de la négociation des valeurs mobilières. La compagnie présente les nouveaux agents de change à la nomination du pouvoir exécutif et réglemente la profession. C'est elle qui autorise les poursuites entamées par les agents contre les tiers. Elle gère une caisse commune qui a été créée en 1818 quand, lors d'une grave crise financière, la compagnie s'est vue obligée d'emprunter pour soutenir plusieurs de ses membres. Ces compagnies des agents de change, par une loi datant du 28 décembre 1966 fusionnent dans la Compagnie nationale des agents de change dépendante du Trésor public. Le 31 décembre 1987, la compagnie des agents de change crée le CAC 40, acronyme qui reprend son nom ( la CAC) et désigne bientôt le type d'organisation du marché dirigé par les ordres et sa vocation, la « Cotation Assistée en Continu ». Les différentes réglementations, de l'histoire boursière, dont celle concernant les agents de change, vise à protéger les entreprises, leurs investisseurs et leurs créanciers contre leurs dirigeants et contre les abus de marché. La réglementation visait aussi à assurer un bon fonctionnement de la Bourse, pour permettre aux entreprises de s'y financer quelle que soit leur taille. Initié dans les années 1980, un mouvement inverse de déréglementation s'est accélérée dans les années 2000 avec la Directive concernant les marchés d'instruments financiers prise par Bruxelles pour autoriser les Systèmes multilatéraux de négociation des structures boursières entièrement privées, non seulement par leurs capitaux, mais par leurs missions, sans plus d'obligations de transparence. Dans le secteur financier Dissolution Le 22 janvier 1988, une loi () réforme radicalement le système boursier en France. La Compagnie des Agents de Change est dissoute par Xavier Dupont, dernier président de la chambre syndicale de la Compagnie lors de la dernière assemblée générale de la CAC qui a lieu dans le salon d'honneur au 2éme étage du palais Brongniart et laisse place à la Société des Bourses Françaises (SBF) prenant la forme d'une société anonyme. Les sociétés de bourses sont désormais les seules chargées de négocier les valeurs mobilières admises aux négociations par le conseil des bourses de valeurs. Les biens et les obligations de la Compagnie nationale des agents de change sont transférés à une institution financière constituée entre les sociétés de bourses, et qui remet à chacun des membres de la Compagnie nationale ses propres actions au prorata des droits qu’ils ont acquis dans les réserves de celle-ci. En 2004, la SBF devenu Paris Bourse SA. entre temps devient une filiale française de la société de bourse de Paris (Euronext Paris), puis de NYSE Euronext le 4 avril 2007 à la suite de la fusion avec le New York Stock Exchange. Voir aussi Articles connexes Histoire des bourses de valeurs Agents de change en France Liens externes La compagnie des agents de change, sur www.economie.gouv.fr La compagnie des agents de change, sur Archives nationales La Compagnie des agents de change et le marché officiel à la Bourse de Paris (1908) Notes et références Bourse
Mongolosaurus
Mongolosaurus est un genre de dinosaures sauropodes du Crétacé inférieur retrouvé en Asie. L'espèce-type, M. haplodon, a été décrite par Charles W. Gilmore en 1933. Le nom générique renvoie à la Mongolie, où les fossiles ont été retrouvés. Le nom spécifique est tiré du grec haploos (« unique ») et de odon (« dent »), en référence à l'holotype AMNH 6710 sur lequel l'espèce-type est basée et qui est composé d'une seule dent. Certains auteurs considèrent Mongolosaurus comme nomen dubium. Il est généralement associé au Neosauropoda, membre des Nemegtosauridae, mais a été associé dans le passé aux Diplodocidae, Titanosauridae et Euhelopodinae. Découverte En 1928, une équipe du Muséum américain d'histoire naturelle menée par Roy Chapman Andrews découvre une dent de sauropode dans la formation géologique de , près de Hukongwulong, en Mongolie-Intérieure. En 1933, Charles W. Gilmore décrit l'espèce-type à partir de ce simple échantillon. D'autres fossiles ont été rattachés au genre avec les années dont une demi-douzaine de dents, une partie arrière du crâne et des fragments des trois premières vertèbres cervicales. D'autres dents similaires retrouvées ailleurs en Asie ont également été associées au genre. Notes et références Voir aussi Nomen dubium Genre de dinosaures non aviens (nom scientifique) Titanosauria Dinosaure du Crétacé inférieur Dinosaure d'Asie Taxon fossile décrit en 1933
Macaire III d'Antioche
Macaire III fut patriarche orthodoxe d'Antioche du à sa mort le . Origine et carrière Né à Alep d'une famille sacerdotale, il s'appelait à l'origine Yûsif, fils du prêtre Bûluṣ (Paul), fils du prêtre 'Abd al-Masîḥ, dit al-Brûṭus (« le Prôtos »), de la famille Bayt al-Za'îmî (ou Za'îm). Dès sa jeunesse, il fut disciple d'Abd el-Karim Karma (moine à Jérusalem, puis métropolite d'Alep de 1612 à 1634, puis patriarche d'Antioche sous le nom d'Euthyme II de mai 1634 à janvier 1635) ; celui-ci l'ordonna diacre, puis prêtre, puis le recommanda pour lui succéder comme métropolite d'Alep. Il fut d'abord marié, eut un fils, Paul (1627- † ), qui fut diacre et devint son secrétaire et biographe, et il exerça la profession de tisserand. Après son veuvage précoce, il séjourna un temps au monastère Saint-Saba ; il adopta alors en religion le nom de Yuhanna (Jean). Le , il fut élu métropolite d'Alep, et consacré à Damas le par le patriarche Euthyme III (l'ancien moine de Saint-Saba et peintre d'icônes Mélèce de Chio). Il adopta comme métropolite le nom de Mîlâtiyûs (Mélèce). En juillet 1638, le sultan Mourad IV, en route pour Bagdad dont il allait s'emparer en décembre, séjourna à Alep pendant seize jours. En 1642, le métropolite Mélèce (avec son fils Paul) fit un pèlerinage à Jérusalem, y rencontra Maxime Machutasdzé, catholicos d'Abkhazie, et fit le voyage de retour avec lui. Ce fut l'occasion de renouer des contacts perdus. Euthyme III nomma Mélèce exarque des régions d'Amid et d'Antioche. Pendant sa dernière maladie, il le recommanda pour être son successeur. Les émissaires du patriarcat eurent du mal à le joindre, car du fait des abus du gouverneur ottoman Qara Hassan Pacha, il avait dû fuir Alep et se réfugier à Killiz, à cinquante kilomètres au nord-ouest. Euthyme III mourut le , et Mélèce fut consacré patriarche, sous le nom de Makâriyûs (Macaire), le , par les métropolites Mélèce de Hama, Philothée de Homs, Joseph de Qara et Grégoire de Hauran. Il choisit son fils Paul comme archidiacre. Il réunit peu après un synode, et on trouva qu'il y avait une énorme dette de treize mille piastres. Comme les intérêts ne cessaient d'augmenter, il fut décidé que le patriarche devait aller chercher de l'aide dans les États chrétiens. Basile le Loup, voïvode de Moldavie, lui adressa un message où il l'invitait à venir à sa cour et lui promettait une aide financière. Il en avait déjà accordé une aux trois autres patriarcats orthodoxes d'Orient. Le patriarche Macaire prit donc des dispositions pour se faire remplacer et partit pour l'Europe accompagné de toute une suite, dont son fils Paul qui tint le journal de ce voyage. Le en Europe orientale (1652-1659) Ils quittèrent Damas le jeudi , puis Antioche le , passèrent à Bor le septembre, et après avoir traversé l'Asie Mineure arrivèrent à Constantinople le . Le , ils prirent le bateau pour Constanța, où ils arrivèrent le 9. Le , ils étaient à Iaşi, capitale de la principauté de Moldavie, où le patriarche logea au couvent Saint-Saba et fut reçu par le voïvode Basile le Loup le et le . Ils restèrent en Moldavie jusqu'en septembre. Après la chute de Basile le Loup, le patriarche demanda et obtint de son successeur Gheorghe Ştefan la permission de partir pour la Russie. Mais les troubles qui agitaient alors le sud de ce pays l'obligèrent à différer son projet, et le il passait en Valachie. Il arriva le à Târgoviște, capitale de cette principauté, où il fut très bien reçu par le voïvode Matthieu Basarab et Ignace, le métropolite d'Ungro-Valachie. Ils repartirent pour la Moldavie le . Le , ils quittaient Iași, et le franchissaient le Dniestr, frontière avec le pays des Cosaques. De Raşcov à Kiev, ils furent escortés par les soldats de l'hetman Bohdan Khmelnytsky, qu'ils rencontrèrent avant d'arriver à destination, car il préparait une campagne contre la Pologne. Le , ils visitèrent la laure des Grottes, et le 30 furent reçus dans la cathédrale Sainte-Sophie par le haut clergé ukrainien. Ayant quitté Kiev le , ils atteignirent Korop, ville frontière avec la Moscovie, le . Le 20, ils se rendirent à Poutyvl à l'invitation du gouverneur. Le , ils étaient à Kalouga, et de là, le 11, ils prirent le bateau pour descendre l'Oka. Le 17, ils arrivaient à Kolomna où ils firent un séjour prolongé. L'arrivée à Moscou eut lieu le . Macaire fut reçu par le tsar Alexis, et tous les membres de la famille impériale lui firent des cadeaux. Le patriarche Nicon, qui était en conflit avec le tsar, rentra à Moscou le , et Macaire lui fit une visite peu après. Le patriarche serbe Gabriel de Peć se trouvait aussi à Moscou pour la même raison que Macaire (collecter des fonds pour son Église). Le séjour à Moscou dura jusqu'au , date à laquelle les deux patriarches Macaire et Gabriel partirent pour Novgorod où ils furent magnifiquement reçus. On était de retour à Moscou le . Le patriarche et sa suite quittèrent Moscou une première fois le , mais à Bolkhov, le , il fut rejoint par un messager du tsar qui le rappelait dans la capitale : c'était à propos de ses rapports difficiles avec Nicon. Macaire retourna donc, et ne quitta définitivement la capitale russe que le . Le , il était à Kiev, où il rencontra le métropolite Sylvestre Kossov, qu'il n'avait pas vu lors de son premier séjour. Il quitta la ville le , était à Rașcov le et arrivait à Iaşi le . Il y resta jusqu'au . Le , il était de nouveau à Târgoviște. Il demeura ensuite pendant deux ans (jusqu'en octobre 1658) en Valachie où se déroulaient des événements dramatiques auxquels il fut mêlé (remplacement de Constantin Şerban Basarab par Mihnea III, incendie de la ville de Târgovişte). Il dut se réfugier un temps à Câmpulung, puis fit un long séjour à Bucarest. Le , il arriva à Galați, d'où il partit en bateau le , gagna Izmaïl, puis la Mer Noire, et via Constanța, Varna, etc., atteignit Sinope le . Il repartit de cette ville le , et traversant l'Asie Mineure, était de retour à Alep le , et à Damas le juillet. Le récit qu'a laissé de ce voyage l'archidiacre Paul, fils du patriarche, est d'une grande valeur historique : rencontres avec de nombreux personnages importants de l'époque, compte-rendu d'événements de l'histoire troublée des Balkans et de la Russie. Le récit qu'il en a laissé est précédé d'une introduction sur l'histoire des patriarches d'Antioche ayant résidé à Damas (depuis le ) et sur les débuts de la carrière ecclésiastique de son père, et la fin du texte évoque les actes du patriarche après son retour jusqu'au . Le manuscrit autographe n'est pas conservé, et la copie ancienne la plus complète du texte se trouve à la BnF : Ms. arabe 6016 (fin du ). Seconde moitié du patriarcat Juste après son retour, Macaire dut convoquer un synode pour juger le métropolite d'Homs, Athanase ibn Amish, qui s'était livré à des transgressions graves et fut excommunié. Ayant toujours été bienveillant envers les catholiques (il avait été soigné d'un maladie et guéri par un jésuite du temps où il était métropolite d'Alep), il se prononça de plus en plus clairement pour eux à partir de 1661 : ayant apprécié le dévouement des missionnaires occidentaux pendant une année de famine, il invita le consul de France François Picquet et les missionnaires à une messe et témoigna dans son prêche qu'il les considérait comme étant « dans le vrai chemin du salut ». Peu après, le consul Picquet devant regagner la France en passant par Rome (octobre 1661), il lui confia une lettre pour le pape Alexandre VII dans laquelle il le reconnaissait comme le chef de l'Église orthodoxe. Quand le catholique André Akhidjan se fit élire patriarche par le synode jacobite (le , avec l'appui du pacha ottoman), il participa aux cérémonies de son investiture en compagnie du catholicos arménien de Cilicie, Khatchatour, qui séjournait aussi à Alep. Quelques jours plus tard, lors d'un banquet offert par le successeur de François Picquet, François Baron, Macaire leva son verre « à la santé de Notre Saint-Père le Pape ». En septembre 1662, le Père Jérôme, supérieur des carmes d'Alep, partit pour Rome, et le patriarche lui confia de nouvelles lettres pour le pape et pour Louis XIV, charge à la diplomatie vaticane de remettre au roi celles qui lui étaient destinées. En février 1663, le consul Baron retournant en France, les trois patriarches d'Alep (le melkite Macaire, le syriaque André Akhidjan et l'Arménien Khatchatour) lui confièrent de nouvelles lettres pour le roi. Cependant, des trois, seul Akhidjan était clairement et ouvertement catholique, car les deux autres exigeaient de la discrétion sur leurs relations avec Rome. La position de Macaire était même en fait très ambiguë : quand le Père Jérôme revint de Rome avec un formulaire de profession de foi catholique à faire traduire et signer par les trois patriarches, il s'y prêta volontiers et envoya deux évêques à Rome porter son texte signé ; en même temps, le , il contresignait la profession de foi de Pierre Movilă, considérée comme un texte anti-catholique. En 1666, il fut rappelé à Moscou où le tsar Alexis avait décidé de convoquer un concile panorthodoxe (« Grand Synode de Moscou », novembre-décembre 1666) : le patriarche Nicon, totalement brouillé avec le souverain, s'était retiré depuis le en dehors de la capitale, dans le monastère de la Nouvelle Jérusalem qu'il avait fondé, et le métropolite Pitirim gérait depuis huit ans les affaires courantes du patriarcat ; d'autre part, une opposition traditionaliste aux réformes liturgiques imposées par Nicon, le Raskol, s'était cristallisé autour de l'archiprêtre Avvakoum. Participèrent à ce synode : le patriarche d'Alexandrie Païsios, qui le présida, le patriarche d'Antioche Macaire, et les métropolites Athanase d'Iconium, qui représentait le patriarche de Constantinople, et Ananias du Sinaï, qui représentait le patriarche de Jérusalem. Autre personnalité qui joua un rôle important dans cette assemblée : le Grec Païsios Ligaridès, qui portait le titre de métropolite de Gaza et qui, à Moscou depuis 1661, avait gagné la confiance du tsar Alexis. Le synode prononça à la fois la condamnation, la déposition et la réduction à l'état laïc de Nicon (), pour des actes de sa gestion considérés comme abusifs et non-canoniques, et l'approbation de ses réformes liturgiques, les raskolniki étant frappés d'anathème, privés de leurs dignités ecclésiastiques et condamnés à l'enfermement dans des monastères lointains. Au retour, Macaire passa par la Géorgie et y séjourna : il a laissé plusieurs opuscules sur ce pays. Il s'y trouvait en 1669 et c'est là que, le de cette année, mourut à quarante-deux ans son fils Paul, qui l'avait accompagné pour son second voyage en Europe orientale comme pour le premier. Cependant, on n'a pas conservé de journal de ce second voyage comme du premier. Macaire mourut à Damas peu après son retour. Il ne participa pas au synode réuni à Jérusalem en mars 1672 par son collègue le patriarche Dosithée. Œuvre littéraire Le manuscrit Vaticanus Arabicus 689 contient, du patriarche Macaire, un ensemble de textes intitulé en latin Symmicta ex sacris libris et chronicis ab eo excerpta, cum idem eleemosynas a fidelibus quæsiturus ab urbe Alepo in Colchidem (Georgiam) profectus est ut patriarcalem sedem ære alieno levaret : il s'agit en majorité de textes recueillis et traduits en arabe pendant ses séjours à Constantinople, en Moldavie et en Géorgie, mais aussi d'une douzaine de textes originaux. Le Vaticanus Arabicus 622 contient, du même Macaire, une compilation historique sur le patriarcat d'Antioche. Éditions Francis Cunningham Belfour (trad.), The Travels of Macarius patriarch of Antioch (traduction anglaise), Londres, 2 vol., 1829 et 1836. Basile Radu (éd., trad.), Riḥlat al-Baṭrak al-Antâkî Makâriyûs al-Ḥalabî / Voyage du patriarche Macaire d'Antioche (texte arabe et traduction française), Patrologia Orientalis, t. XXII, fasc. 1 (PO 107), 1930 ; t. XXIV, fasc. 4 (PO 119), 1933 ; t. XXVI, fasc. 5 (PO 129), 1949. Bibliographie Antoine Rabbath, Documents inédits pour servir à l'histoire du christianisme en Orient (), 2 vol., Paris, Leipzig et Londres, 1905 et 1910. Jean François Joseph Charon (alias Cyrille Korolevskij, ou Cyrille Charon), Histoire des patriarcats melkites (Alexandrie, Antioche, Jérusalem) depuis le schisme monophysite du jusqu'à nos jours (2 vol. parus), Rome, Fr. Pustet, et Paris, P. Geuthner, 1910-1911. Venance Grumel, « Macaire, patriarche d'Antioche (1647-1672) », Échos d'Orient, vol. 27, n° 149, 68-77. Lire en ligne Joseph Nasrallah, « L'œuvre historique du patriarche d'Antioche Macaire III Za'îm », Bulletin d'études orientales 25, 1972, 191-202. Juliette Rassi, « La première lettre du patriarche Macaire ibn al-Za'îm (1647-1672) au roi de France Louis XIV (datée du ) », Parole de l'Orient 27, 2002, 105-131. Ioana Feodorov (dir.), Relations entre les peuples de l'Europe orientale et les chrétiens arabes au : Macaire III Ibn al-Za'îm et Paul d'Alep. Actes du I colloque international, le , Bucarest, Editura Academiei Române, 2012. Patriarche orthodoxe d'Antioche Décès en juin 1672 Décès à Damas Évêque du XVIIe siècle Date de naissance non renseignée (XVIe siècle)
Mandana
La peinture Mandana s’exerce au Rajasthan et dans le Nord de Madhya Pradesh. Les femmes peignent les murs (le Bhitti Chitra) et les sols (le Bhumi Chitra) de leur maisons avec des images géométriques pour protéger la maison, pour les fêtes rituelles et surtout pour des raisons décoratives. Elles dessinent sur le seuil des diagrammes sacrés, les Mandana, sorte de langage incantatoire stylisé à l’extrême en l’honneur de la déesse Lakshmi, pourvoyeuse de prospérité et de richesses. Mandana est réalisé aux moments clés du cycle de la vie : naissance, fiançailles, mariages. Pour la fête hindi Holi et tous les ans au mois de Kartik (mi-octobre mi-novembre, à la fin de la récolte) à l’occasion du festival Dipavali, les maisons reçoivent les plus somptueuses décorations et l’on célèbre la déesse Lakshmi en allumant des lampes à l’huile. Articles connexes Rangoli Peinture en Inde Peinture tribale en Inde Thapa Peinture en Inde Art vernaculaire en Inde
Vincent Richards
Vincent "Vinnie" Richards, né le à Yonkers (État de New York) et mort le à New York, est un joueur de tennis américain amateur puis professionnel à partir de 1926. Biographie Vincent Richards est notamment double médaillé d'or lors des Jeux olympiques de Paris de 1924, remportant avec difficulté le simple en ayant disputé la moitié de ses matchs en cinq sets. Il bat Henri Cochet en finale (6-4, 6-4, 5-7, 4-6, 6-2). Il s'impose en double messieurs avec Francis Hunter contre Brugnon et Cochet (4-6, 6-2, 6-3, 2-6, 6-3). En double mixte, il s'incline en finale avec Marion Jessup contre Hazel Wightman et Richard Norris Williams. Il a fait ses études à la Fordham Preparatory School, puis à l'Université Fordham et enfin à la Columbia University Graduate School of Journalism. Grand ami et partenaire de double du champion Bill Tilden, il a été son principal concurrent aux États-Unis durant la première partie des années 1920. Jamais finaliste d'un tournoi du Grand Chelem en simple, il a connu plus de succès en double avec cinq titres aux États-Unis dont le premier en 1918 à seulement 15 ans, un titre à Wimbledon en 1924 et un autre aux Internationaux de France en 1926. Il a fait partie de l'équipe américaine de Coupe Davis vainqueur de la compétition entre 1922 et 1926. Il s'illustre notamment en 1924 en remportant ses deux simples contre les australiens Pat O'Hara Wood et Gerald Patterson. Les deux années suivantes, il remporte le double contre les français avec Richard Williams. Alors classé n°1 américain, il devient fin 1926 le premier joueur de tennis à signer un contrat professionnel, s'engageant avec le promoteur C. C. Pyle pour une tournée en Amérique du Nord où il affronte notamment Howard Kinsey et Paul Féret. En 1927, il devient l'organisateur de l'US Pro Championship qui s'impose rapidement comme le principal tournoi professionnel dans le monde. Palmarès En simple Internationaux de France demi-finaliste en 1926 US National Championships demi-finaliste en 1922, 1924, 1925 et 1926 US Pro Championship (Tournoi professionnel) Vainqueur en 1927, 1928, 1930 et 1933 Finaliste en 1929 et 1931 En double Internationaux de France : vainqueur en 1926 avec Howard Kinsey Wimbledon : vainqueur en 1924 avec Francis Hunter et finaliste en 1926 avec Howard Kinsey US National Championships : vainqueur en 1918, 1921 et 1922 avec Bill Tilden, 1925 et 1926 avec Richard Norris Williams; finaliste en 1919 avec Tilden En double mixte US National Championships : vainqueur en 1919 avec Marion Zinderstein et 1924 avec Helen Wills ; finaliste en 1925 avec Ermyntrude Harvey Notes et références Liens externes Joueur américain de tennis Joueur de tennis victorieux en Coupe Davis Champion olympique de tennis Champion olympique américain Joueur de tennis aux Jeux olympiques d'été de 1924 Champion de tennis titré en Grand Chelem (double messieurs) Champion de tennis titré en Grand Chelem (double mixte) Champion de tennis titré à Roland-Garros Champion de tennis titré à Wimbledon Champion de tennis titré à l'US Open Médaillé d'argent olympique américain Membre du International Tennis Hall of Fame Naissance en mars 1903 Naissance à Yonkers Décès en septembre 1959 Décès à New York Décès à 56 ans Personnalité inhumée au cimetière de Woodlawn
Tawatahi (fleuve)
Le fleuve Tawatahi (en ) est un court cours d’eau de la région de Waikato dans l’Île du Nord de la Nouvelle-Zélande. Géographie Il s’écoule au niveau de la berge nord du port de Raglan. La source est connue comme un site connu pour la préservation pour sa géologie - "New Katuku Trig / Pukewharangi Hill, localisation de fossiles de l’Oligocène " . Voir aussi la liste des cours d'eau de la Nouvelle-Zélande Notes et références Notes Références Liens Externes 1:50,000 map http://www.topomap.co.nz/NZTopoMap/nz53469/Tawatahi-River/Waikato most of the river is close to Mangiti Road, so some images are available in street scene on https://maps.google.com/ Cours d'eau de la région de Waikato en Nouvelle-Zélande
Équipe d'Algérie de football A'
L'équipe d'Algérie de football A' représente l'Algérie dans les compétitions de football contenant des joueurs locaux comme le Championnat d'Afrique des nations. La FIFA comptabilise ses matchs en tant que matchs internationaux A et ne distingue pas l'équipe première de l'équipe A'. Histoire L'équipe d'Algérie A' démarre son histoire officielle le à Alger, par un match nul face à l'équipe du Maroc A' (1-1) pour le compte des qualifications CHAN 2009. Palmarès Coupe arabe des nations (1) : Vainqueur : 2021. Championnat d'Afrique des nations : : 2011. Résultats Parcours en Championnat d'Afrique Sélectionneurs Effectif actuel |- !colspan=7 style="background: #FFFFFF fond=#008000" align=center| Gardiens |- |- !colspan=7 style="background: #FFFFFF fond=#008000" align=center| Défenseurs |- |- !colspan=7 style="background: #FFFFFF fond=#008000" align=center| Milieux |- |- !colspan=7 style="background: #FFFFFF fond=#008000" align=center| Attaquants |- Appelés récemment Les joueurs suivants ne font pas partie du dernier groupe appelé mais ont été retenus en équipe nationale lors des 12 derniers mois. Les joueurs qui comportent le signe : « », sont blessés ou malades au moment de la dernière convocation. Liste des buteurs de l’équipe Notes et références Voir aussi Équipe d'Algérie de football A'
Cabras
Cabras est une commune de la province d'Oristano dans la région Sardaigne en Italie. Géographie Les îles de Catalano et de Mal di Ventre (Maluentu) sont sur le territoire de la commune. Administration Hameaux Solanas Communes limitrophes Nurachi, Oristano, Riola Sardo Voir aussi Caogheddas Rocher du Catalan Évolution démographique Notes et références Commune dans la province d'Oristano
Conversation entre un homme et son chien
Conversation entre un homme et son chien (en russe : Rasgovor tcheloveka s sobakoï) est une nouvelle d’Anton Tchekhov, parue en 1885. Historique Conversation entre un homme et son chien est initialement publié dans la revue russe Les Éclats, , du , sous le pseudonyme de L’Homme sans rate. Résumé Alexis Romanov, sous-chef de bureau aigri, rentre de nuit ivre à son logis. Devant le chien qui gronde, il s’accuse de corruption, dénonciation calomnieuse et vol. L’animal le mord, il se laisse faire : c’est une punition pour tout le mal qu’il a causé. Le lendemain, il se réveille couvert de pansements. Notes et références Édition française Conversation entre un homme et son chien, traduit par Edouard Parayre, Les Éditeurs Français Réunis, 1955, numéro d’éditeur 431. Nouvelle d'Anton Tchekhov Nouvelle russe parue en 1885 Nouvelle publiée dans Les Éclats
Johann Christian Reich
Johann Christian Reich, né en 1730 ou en 1740 à Eisenberg en Thuringe, et mort le à Fürth, est un médailleur allemand. Biographie Selon le livre Künker Auktion 267, Johann Christian Reich est né le , quant au Bénézit, c'est le à Eisenberg, en Thuringe. Johann Christian Reich s'installe à partir de 1758 à Fürth où il s'établit à son compte. Il est médailliste de la cour. Son fils, Johann Matthias Reich, né à Fürth en 1768, est également médailliste, et les deux travaillent ensemble de 1789 à 1800. Ils gravent tous les deux des médailles commémoratives pour des événements importants de l'époque, tel que la . Johann Christian est mort le à Fürth. Références Décès en mars 1814 Décès à Fürth Artiste graveur en numismatique Naissance à Eisenberg
(38283) 1999 RK59
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes de de diamètre découvert en 1999. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,03 et une inclinaison de 6,78° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 14,8 et un albédo estimé à 0,073, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2011 dans un article présentant les premiers résultats concernant les astéroïdes de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (38001-39000) Ceinture d'astéroïdes Liens externes Références Objet céleste découvert en 1999 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
Liste des conseillers régionaux de l'Oise
La liste des conseillers régionaux de l'Oise est actuellement composé de 21 conseillers régionaux sur les 170 élus qui composent le Conseil régional des Hauts-de-France. Mandature 2021-2028 La liste des 21 conseillers régionaux de l'Oise : Références Oise Politique dans les Hauts-de-France Personnalité politique liée à l'Oise
TBC
TBC peut faire référence à : Tram et bus de la Cub, l'ancien nom du réseau de transport en commun de Bordeaux Métropole, rebaptisé Transports Bordeaux Métropole (TBM) ; ; TBC, un dessinateur de bandes dessinées ; TBC, une société de production cinématographique créditée des deux films L'ouragan vient de Navarone (1978) et Jackson County Jail (1976) ; TBC Corporation, une société de pièces automobile américaine achetée par Sumitomo Corporation en 2005 ; The Boring Company, une entreprise créée par le milliardaire Elon Musk qui vise à réduire les temps de trajet dans les grandes villes via un ensemble de tunnels automatisés. The Boeing Company, le nom officiel du constructeur aéronautique Boeing, cependant peu utilisé. Sport T.B.C, Total Body Conditioning (conditionnement total du corps), pratiqué le plus souvent en cours collectifs dans les salles de sport/Fitness ; Toulouse Basket Club, un club de basket-ball situé à Toulouse ; TBC, un club de Badminton (Tregunc Badminton Club) originaire de Tregunc, dans le Finistère sud de la Bretagne, en France ; Musique TBC, un titre de Xavier Cugat sur l'album Loves To Tango! ; T.B.C, un titre de Steve Roach tiré de l'album Now ; T.B.C., un titre de Chick Corea tiré de l'album Chick Corea Akoustic Band ; TBC, un album de Chavela Vargas ; To Be Continued Brass Band Autres langues TBC est une abréviation en anglais "to be confirmed" qui signifie à confirmer.
Glaphyrus oxypterus
Glaphyrus oxypterus est une espèce d'insectes coléoptères présent dans les régions paléarctiques (sud de la Russie, Sibérie, Turkestan, Kazakhstan). Notes et références Voir aussi Espèce de Coléoptères (nom scientifique) Glaphyridae
CRCF
Le sigle CRCF peut désigner : la Conférence des responsables de culte en France, le Centre Régional de Recherche et de Formation à la Prise en Charge Clinique de Fann (CRCF), du Centre hospitalier national universitaire de Fann (CHNU), à Dakar, Sénégal. Homonymie
Zapponeta
Zapponeta est une commune italienne de la province de Foggia dans la région Pouilles en Italie. Géographie Histoire Administration Hameaux Communes limitrophes Cerignola, Manfredonia, Margherita di Savoia, Trinitapoli Démographie Notes et références Commune dans la province de Foggia
Iztapalapa (métro de Mexico)
Iztapalapa est une station de la Ligne 8 du métro de Mexico, située dans la délégation Iztapalapa. La station La station ouverte en 1994, tient son nom de sa proximité avec l'administration de Iztapalapa. L'icône de la station représente le soleil, en rappel de la cérémonie du feu nouveau qui se tenait dans la délégation. Voir aussi Articles connexes Liste des stations du métro de Mexico Ligne 8 du métro de Mexico Station du métro de Mexico Station de métro mise en service en 1994
Intergroupe Tibet
L'intergroupe Tibet du Parlement européen organise régulièrement des réunions de députés européens pour discuter de l'évolution de la situation politique, économique et des droits de l'homme au Tibet. Des spécialistes du Tibet, d'anciens prisonniers politiques tibétains et des membres du Parlement tibétain en exil sont peuvent être invités à témoigner. Les membres de l'intergroupe Tibet ont eu l'occasion d'obtenir des audiences avec le dalaï-lama lors de ses visites en Europe ou lors de visites de délégations sur son lieu de résidence en exil en Inde à Dharamsala. Histoire L'intergroupe Tibet a été fondé en 1989 par Michel Hervé. L'intergroupe Tibet est à l'origine de nombre de résolutions votés par le Parlement européen. Une résolution adoptée le 6 juillet 2000 suggéra de reconnaître le gouvernement tibétain en exil. Elle demandait « au Conseil, à la Commission et aux États membres de tout mettre en œuvre afin que le gouvernement de la république populaire de Chine et le Dalaï Lama négocient un nouveau statut du Tibet qui garantisse une pleine autonomie des Tibétains dans tous les secteurs de la vie politique, économique, sociale et culturelle, avec les seules exceptions de la politique de défense et de la politique étrangère; invite les gouvernements des États membres à examiner sérieusement la possibilité de reconnaître le gouvernement tibétain en exil comme légitime représentant du peuple tibétain si, dans un délai de trois ans, les autorités de Pékin et le gouvernement tibétain en exil ne sont pas parvenus à un accord sur un nouveau statut pour le Tibet par le biais de négociations organisées sous l'égide du Secrétaire général des Nations unies » . Une autre résolution demande la nomination d'un représentant de l'Union Européenne pour le Tibet, à l'instar du coordinateur spécial pour le Tibet des États-Unis. Références et notes Parlement européen 1989 dans la Communauté économique européenne
Une vie en Nord
Une vie en Nord est un téléfilm français de Williams Crépin diffusé en 2014. Il s'agît d'un spin-off de la série Plus belle la vie centré sur les personnages de Rudy et Ninon. Synopsis Après avoir quitté Marseille, Rudy et Ninon se sont installés à Paris. Mais la carrière de médecin de Rudy et l'arrivée de leur fils Martin ont fragilisé leur couple. Pour se donner une nouvelle chance, ils décident de déménager à Mons-en-Pévèle, une petite commune du Nord. Rudy ouvre alors un petit cabinet et soigne des patients âgés pour la plupart. De son côté, Ninon soupçonne un trafic dans une usine de Lille et décide d'enquêter en espérant trouver un nouveau poste de journaliste... Fiche technique Réalisation : Williams Crépin Scénario : Véronique Lecharpy d'après une histoire de Véronique Lecharpy et Olivier Szulzynger Genre : Comédie dramatique Pays : Durée : 99 minutes () Date de diffusion : sur France 3 Distribution Ambroise Michel : Rudy Torres Aurélie Vaneck : Ninon Chaumette Émile Abossolo M'Bo : le père Damien Nicolas Cornille : Jordan Nicole Shirer : Paulette Julien Sabatié-Ancora : Henri Bertrand De Ruyver : Hans Charlotte Talpaert : Cindy Gaëlle Fraysse : Françoise Anne Decis : Luna Torres Serge Dupire : Vincent Chaumette Michel Cordes : Roland Marci Sylvie Flepp : Mirta Torres-Marci Élodie Varlet : Estelle Cantorel David Baiot : Djawad Sangha Commentaire Le téléfilm suit les aventures de Rudy et Ninon après leur départ de Plus belle la vie. Pour bien raccorder avec la série, des protagonistes font leurs apparitions : Roland, Mirta, Djawad, Estelle, Vincent et Luna. Mais ces personnages disparaissent lorsque l'action saute sur un mois de temps. Lien externe Téléfilm français des années 2010 Téléfilm diffusé en 2014
Portrait de Tommaso Inghirami
Le Portrait de Tommaso Inghirami ou Fedra Inghirami est une peinture à l'huile sur bois de , datant de l'an 1509, du peintre Raphaël. Il existe deux copies du tableau dont une conservée à la Galerie Palatine, à Florence et la seconde au musée Isabella Stewart Gardner à Boston. Histoire Le personnage représenté à son bureau est le prélat Tommaso Inghirami un humaniste né à Volterra en 1470 et qui était au service du pape Léon X. Très populaire orateur et acteur, il était un ami de Raphaël et était surnommé Phèdre. Comme on peut le voir sur son portrait, il souffrait de strabisme divergent. Le tableau du Palais Pitti, qui a été probablement commissionné à Raphaël dans les premières années du séjour romain de l'artiste (1509), faisait partie de la collection du cardinal Léopold de Médicis. Après sa mort, la peinture rejoignit le palais Pitti jusqu'en 1799, puis, à la suite du traité de Tolentino, elle fut emportée en France et rendue finalement au musée en 1816. Description Le personnage est représenté en buste assis à son bureau, tourné de trois-quarts vers la gauche dans ses habits rouges sur un fond sombre, le plumier à la main devant un cahier, le regard dirigé vers le plafond à la recherche de son inspiration. Son strabisme divergent est clairement visible. Analyse Connu pour son réalisme et son souci du détail, le tableau rappelle les œuvres de Hans Holbein l'Ancien, par lesquelles Raphaël peut avoir été influencé dans son exécution. Le style rappelle un autre tableau de Raphaël le Portrait d'Agnolo Doni (1506 environ), que Claudio Strinati décrivait en 1998 comme étant d'une « clarté impitoyable ». D'après le Cambridge Companion to Raphael de 2005, le tableau est « la première référence dans laquelle Raphaël a introduit la notion de mouvement », par une « torsion du corps », visible dans la composition. Au moyen de ce dispositif, Raphaël détourne l'attention du spectateur de la malformation physique du sujet représenté. Bibliographie L. Cirlot, Museo del Prado II, col. Museos del Mundo, Thome 7, 145, Espasa, 2007 L. Monreal, Grandes Museos, vol. 1, Planeta, 1975 M. Olivar, Cien obras maestras de la pintura, Biblioteca Básica Salvat, 1971 Pierluigi De Vecchi, Raffaello, Rizzoli, Milan, 1975. Paolo Franzese, Raffaello, Mondadori Arte, Milan 2008 Notes et références Sources Articles connexes Liste d'œuvres de Raphaël Liens externes Portrait of Fedra Inghirami sur le site Jstor.org Tommaso Inghirami Portrait par Raphaël Tableau des années 1500 Œuvre conservée au Palais Pitti Œuvre conservée au musée Isabella Stewart Gardner
Friedrich Pinter
Friedrich Pinter, dit Fritz Pinter, né le à Villach, est un biathlète autrichien, qui a été aussi fondeur. Carrière Après avoir commencé le biathlon au niveau international en 2000, il obtient ses trois podiums en Coupe du monde durant la saison 2007/2008 dont deux à Holmenkollen où il signe son meilleur résultat en carrière, une deuxième place. En 2005, il est médaillé de bronze aux Championnats du monde d'Hochfilzen en relais avec Daniel Mesotitsch, Wolfgang Rottmann et Christoph Sumann. Il prend part aux Jeux olympiques d'hiver de 2006, où il est de l'individuel et du relais et aux Jeux olympiques d'hiver de 2014, où il est du relais mixte. Vie personnelle Il est le frère du fondeur Jürgen Pinter. Palmarès Jeux olympiques Championnats du monde Légende : — : pas de participation à l'épreuve. Coupe du monde Meilleur classement général : en 2008. 3 podiums individuels : 1 deuxième place et 2 troisièmes places. 7 podiums en relais dont 2 victoires. Différents classements en Coupe du monde Références Liens externes Biathlète autrichien Biathlète (homme) aux Jeux olympiques d'hiver de 2006 Biathlète (homme) aux Jeux olympiques d'hiver de 2014 Naissance en février 1978 Naissance à Villach Fondeur autrichien