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"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Rédiger la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Rédige la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Rédigez la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Imaginer la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Imagine la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Imaginez la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Ecrire la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Ecris la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Ecriver la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Développer la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Développe la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Développez la suite du texte :
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"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Générer la suite du texte :
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"La directrice du registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Emmanuelle Amar, a reçu sa lettre de licenciement vendredi dernier, avec effet au 31 décembre, a rapporté Le Journal du dimanche 28 octobre. Cette épidémiologiste avait donné l'alerte après une recrudescence de naissances d'enfants sans bras ou sans main, entre 2009 et 2014, dans un rayon de 17 km. Les cinq autres personnes travaillant avec elle vont également être licenciées."Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n'a plus les moyens de débourser les 250.000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer, a-t-elle déclaré au JDD. Je suis d'autant plus choquée qu'Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n'était pas menacé." En effet, le 21 octobre, la ministre de la Santé avait assuré qu'il était "hors de question d'arrêter la subvention des registres". Elle avait également annoncé son intention de "relancer une enquête" sur ces sept naissances dans l'Ain, pour déterminer " Générez la suite du texte :
si elles sont bien dues au hasard, comme le soutient Santé publique France. L'enquête de l'agence sanitaire a conclut début octobre que le nombre de cas dans l'Ain n'était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. Cependant, elle a également relevé des cas trop nombreux en Loire-Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (quatre cas entre 2011 et 2013), sans en identifier la cause.Emmanuelle Amar a mis en cause l'agence sanitaire, lors d'une audition, mardi, par les députés du groupe d'étude santé environnementale de l'Assemblée nationale. De son côté, Santé publique France, a récemment annoncé qu'elle pourrait continuer à financer les registres, mais seulement si l'équipe changeait.
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Rédiger la suite du texte :
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"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Rédige la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Rédigez la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Imaginer la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Imagine la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Imaginez la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Ecrire la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Ecris la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Ecriver la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Développer la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Développe la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Développez la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Générer la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Génère la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Ce vendredi 23 novembre, en début de soirée, un homme vêtu d'un gilet jaune est retranché dans une station de lavage du centre commercial Espace Anjou d'Angers (Maine-et-Loire). Il prétend détenir des explosifs et réclame que les "gilets jaunes" soient reçus à l'Élysée.L'alerte a été donnée à 16h45. Un périmètre de sécurité a été établi par la police. "Les forces de l'ordre, immédiatement prévenues se sont rendues sur place et ont activé un périmètre de sécurité. Toutes les personnes présentes ont pu être écartées et sont hors de la menace de l'individu", a précisé la préfecture du Maine-et-Loire dans un communiqué.Une information confirmée par la suite par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui a également affirmé que le Raid et une équipe de déminage de Nantes (Loire-Atlantique) avaient été envoyés sur place. "Il est tout seul et a dans les mains un objet qui ressemble à une grenade lacrymogène. Le directeur départemental de la sécurité publique négocie avec lui", a décl" Générez la suite du texte :
aré à l'AFP le procureur de la République d'Angers Yves Gambert. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années et connu des services de police, "parle d'explosifs" et détient "des sacs", selon la police.Les "gilets jaunes" se sont désolidarisés du forcené, selon la préfecture, qui évoque des "revendications floues".
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Rédiger la suite du texte :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Rédige la suite du texte :
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"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Imaginer la suite du texte :
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"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Imagine la suite du texte :
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"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Ecris la suite du texte :
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"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Ecriver la suite du texte :
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il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Développez la suite du texte :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Générer la suite du texte :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Génère la suite du texte :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"Plusieurs centaines de personnes ont assisté, samedi 18 mai, aux obsèques d'Alain Bertoncello, l'un des deux militaires tués dans la libération des otages français au Burkina Faso le 10 mai. La cérémonie a eu lieu samedi matin, dans le petit village de Montagny-les-Lanches, en Haute-Savoie. Une trentaine de membres du commando Hubert de nageurs de combat auquel appartenait le militaire de 28 ans, en béret vert et visage masqué pour préserver leur anonymat, ont été applaudis à leur entrée dans l'église. Six d'entre eux ont porté à la sortie le cercueil recouvert du drapeau national. Il devait être incinéré ensuite dans l'intimité familiale.Quelques minutes avant le début de la cérémonie, deux hélicoptères de l'armée ont survolé le village de Montagny. C'est l'aumônier du commando Hubert qui a célébré l'office. Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant l'église, comme le rapporte le site de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes."Engagé et déterminé pour sa mission, ce soir-là, " Générez la suite du texte :
il était en tête pour sauver les otages. Ce qu'Alain a fait, ce qu'il était, il nous l'a donné comme un trésor. Et ce trésor, nous devons le transmettre. Aux côtés de Cédric, Alain est désormais un exemple pour nous" a notamment déclaré durant la cérémonie un militaire cité par France 3."Héros"Fils des deux enseignants, Danielle et Jean-Luc, Alain Bertoncello avait vécu 18 ans à Montagny-les-Lanches, 720 habitants. Un village montagnard où l'église, l'école et la mairie sont sur la même place et où les vaches laitières qui en constituent la principale ressource broutent jusque devant les maisons. Monique Pimonow, la maire de Montagny-les-Lanches, a ensuite pris la parole pour saluer "un héros pour nous tous". "La France vient de perdre deux héros", a-t-elle ajouté.Les Obsèques de Cédric de Pierrepont, l'autre militaire du commando tué au Burkina-Faso avaient été célébrées mercredi à Larmor-Plage, près de Lorient dans le Morbihan. Un hommage national avait été rendu mardi à Paris, aux Invalides, à Cédric de Pierrepont ainsi qu'à Alain Bertoncello. Le président Emmanuel Macron avait salué le sacrifice des deux "héros", auxquels il avait remis la Légion d'honneur à titre posthume.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
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"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Rédigez la suite du texte :
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"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Imaginer la suite du texte :
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"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Imagine la suite du texte :
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"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Imaginez la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Ecrire la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Ecris la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Ecriver la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Développer la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Développe la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Développez la suite du texte :
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"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Générer la suite du texte :
u suspect, ils l'ont violemment insulté lorsqu'il a été embarqué dans une voiture de police. C'est au son des cris mêlant "assassin !", "meurtrier !" et "connard !" qu'il a ensuite été placé en garde à vue. En début d'après-midi, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un quatrième suspect.
"La veille, peu après 17h, un homme a foncé sur la foule au volant d'une camionnette blanche sur la très touristique avenue Las Ramblas, à Barcelone. L'attaque, revendiquée par l'organisation État islamique, a fait au moins 13 morts et près d'une centaine de blessés. Quelques heures plus tard, une attaque similaire a eu lieu à Cambrils, à 120km au nord de Barcelone, faisant une victime et sept blessés. Dès lors, une enquête de police a été ouverte et a permis l'arrestation de deux suspects dès jeudi. Un Espagnol et un Marocain sont actuellement entendus par les forces de l'ordre. Les cinq personnes se trouvant à bord du véhicule qui a foncé sur des passants à Cambrils ont, elles, toutes été abattues. Ce vendredi matin, la police espagnole a procédé à l'arrestation d'un troisième suspect, dans la ville de Ripoll, près de la frontière française. Il est soupçonné d'être en lien avec les attaques de la veille. Son arrestation a attiré de nombreux citoyens. Réunis en masse devant la maison d" Génère la suite du texte :
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"Alors que La Réunion termine sa deuxième semaine de blocage, un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" menace l'île, a annoncé dimanche 2 décembre la préfecture. DEs barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime depuis plusieurs jours."En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale", peut-on lire dans le communiqué.Des mesures déjà annoncées par le gouvernement"Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.Pour éviter la pén" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
"Alors que La Réunion termine sa deuxième semaine de blocage, un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" menace l'île, a annoncé dimanche 2 décembre la préfecture. DEs barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime depuis plusieurs jours."En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale", peut-on lire dans le communiqué.Des mesures déjà annoncées par le gouvernement"Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.Pour éviter la pén" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
"Alors que La Réunion termine sa deuxième semaine de blocage, un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" menace l'île, a annoncé dimanche 2 décembre la préfecture. DEs barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime depuis plusieurs jours."En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale", peut-on lire dans le communiqué.Des mesures déjà annoncées par le gouvernement"Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.Pour éviter la pén" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
"Alors que La Réunion termine sa deuxième semaine de blocage, un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" menace l'île, a annoncé dimanche 2 décembre la préfecture. DEs barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime depuis plusieurs jours."En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale", peut-on lire dans le communiqué.Des mesures déjà annoncées par le gouvernement"Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.Pour éviter la pén" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.