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"C'est un nouveau coup dur pour le gouvernement. En pleine tourmente depuis la démission de Jean-Paul Delevoye, l'exécutif fait désormais face à une opposition de plus en plus importante. Un nouveau sondage Elabe publié par BFMTV fait état d'un nouveau constat marquant : 57% des Français interrogés se déclarent opposés à la future réforme des retraites. Une hausse de huit points depuis le 11 décembre. Ils ne sont plus que 43% à y être favorables, soit une baisse de sept points. Seules les personnes âgées de 65 ans ou plus représentent encore un soutien important au gouvernement, 53% d'entre eux défendent ce projet. Opposants majeurs à la réforme, les professions intermédiaires (61%) et les employés (60%) se disent prêts à continuer le mouvement de contestation. La grève nationale organisée par les syndicats est soutenue par 54% des Français et grimpe même dans certains secteurs professionnels comme dans le privé.Une volonté de mettre la grève en pause lors des fêtesSi les revendications" Ecris la suite du texte :
des syndicats trouvent un écho de plus en plus important auprès du peuple français, les nombreuses grèves qui touchent le pays posent question. Si la majorité des Français (54%) éprouve du soutien ou de la sympathie pour cette mobilisation contre la réforme des retraites, 63% d'entre eux aimeraient que le mouvement se mette en pause lors des vacances de Noël et du Nouvel An. Seuls 36% espèrent une prolongation de la grève, notamment chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon (62%).Le sondage Elabe relayé par BFMTV fait état des points de la mesure qui cristallisent les tensions entre le gouvernement et certains Français. 67% d'entre eux s'accordent sur la suppression des 42 régimes spéciaux, un score en baisse de trois points. La mise en place d'un système de retraite universel par points reste prônée à 52% mais ce camp perd six points pendant que celui des opposants en gagne sept (48%). Point majeur de la gronde populaire : le nouvel âge pivot est rejeté par 67% des Français interrogés, une hausse de treize points en une semaine.Le gouvernement d'Edouard Philippe va devoir répondre à cette opposition qui continue de grandir. 49% des Français souhaitent une « révision en profondeur » , 24% réclament le retrait pur et simple du projet tandis que 26% désirent son maintien.
"C'est un nouveau coup dur pour le gouvernement. En pleine tourmente depuis la démission de Jean-Paul Delevoye, l'exécutif fait désormais face à une opposition de plus en plus importante. Un nouveau sondage Elabe publié par BFMTV fait état d'un nouveau constat marquant : 57% des Français interrogés se déclarent opposés à la future réforme des retraites. Une hausse de huit points depuis le 11 décembre. Ils ne sont plus que 43% à y être favorables, soit une baisse de sept points. Seules les personnes âgées de 65 ans ou plus représentent encore un soutien important au gouvernement, 53% d'entre eux défendent ce projet. Opposants majeurs à la réforme, les professions intermédiaires (61%) et les employés (60%) se disent prêts à continuer le mouvement de contestation. La grève nationale organisée par les syndicats est soutenue par 54% des Français et grimpe même dans certains secteurs professionnels comme dans le privé.Une volonté de mettre la grève en pause lors des fêtesSi les revendications" Ecriver la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Rédiger la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Imaginer la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Imagine la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Imaginez la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Ecrire la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Ecris la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Ecriver la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Développez la suite du texte :
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"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Générer la suite du texte :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Génère la suite du texte :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Le récit fait froid dans le dos. Un journaliste américain ainsi qu'un spécialiste du terrorisme ont fait des révélations glaçantes concernant le plan déjoué qu'auraient planifié des terroristes lors de la Coupe du Monde 1998, qui a eu lieu en France. Adam Robinson (journaliste), a écrit dans un livre qu'Oussama Ben Laden et Al-Qaida voulaient frapper fort sur le sol français, relève Paris Match qui reprend le Daily Mail. Ainsi, un commando aurait été chargé de faire un carnage lors du match Angleterre - Tunisie programmé le 15 juin 1998 au stade Vélodrome de Marseille. Trois hommes devaient s'introduire dans le stade, raconte Paris Match. Le top départ de l'opération sanglante aurait dû être donné par un terroriste qui se serait fait exploser devant le gardien anglais David Seaman. Un deuxième aurait lancé des grenades dans le public, mais aussi sur le banc de touche sur les jeunes stars Michael Owen et David Beckham. Glen Hoddle, sélectionneur des Three Lions, aurait lui aussi été vis" Générez la suite du texte :
é. "L'un des pires actes terroristes de l'ère moderne"Enfin, le troisième homme aurait été censé tirer sur le buteur anglais Alan Shearer. Au même moment, le plan aurait pris une autre ampleur au sein du camp de base de l'équipe américaine. Des hommes, qui auraient intégré la sécurité de la délégation US, auraient attaqué les joueurs américains alors pendant qu'ils visionneraient la rencontre. Enfin, une dernière attaque contre l'ambassade américaine à Paris aurait clôturé "l'un des pires actes terroristes de l'ère moderne en Europe", relaye Paris Match. Le projet aurait été annihilé par les services de renseignement de l'époque, qui auraient choisi de taire la menace afin de ne pas créer la panique. Paris Match rappelle que le directeur de la communication de la fédération anglaise à l'époque avait été mis au courant de la menace, sans pour autant avoir eu des détails. "Je ne savais rien à l'époque, mais on m'a dit bien des années plus tard que des gens avaient voulu faire sauter le banc de touche anglais", avait déclaré le sélectionneur Glen Hoddle en 2009.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Rédiger la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Rédige la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Rédigez la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Imaginer la suite du texte :
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"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Imagine la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Imaginez la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Ecrire la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Ecris la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Ecriver la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Développer la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Développe la suite du texte :
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"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Développez la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Générer la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Génère la suite du texte :
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"Dans cette procédure au civil, le tribunal judiciaire de Montbéliard a rejeté la demande de la veuve de Jacky, Flora Boxberger, et de leur fils Jérémy, d'empêcher Ophélie Claude-Boxberger de porter le nom de son illustre père. Le tribunal a également condamné Flora Boxberger à verser 10.000 euros au titre du préjudice moral de l'athlète et 1.500 euros en dédommagement des frais d'avocat, selon le jugement en première instance daté du 10 juin consulté par l'AFP."Aucune usurpation du nom ne peut lui être reprochée", précise le jugement.Née d'une autre relation en 1988, la spécialiste du 3.000 m steeple avait été reconnue par son père, l'ancien champion Jacky Boxberger, sept jours après sa naissance mais n'avait pas grandi avec lui. Ophélie Claude, à l'état civil, avait ajouté à l'usage le nom de son père après sa mort en 2001.Ce droit lui était contesté par Flora Boxberger et son fils Jérémy, qui estimaient que le nom avait été ajouté à des fins commerciales et que l'attitude d'Ophélie a" Générez la suite du texte :
vait nui à la carrière sportive de Jérémy, ancien sportif de bon niveau dans les catégories jeunes et dans le même club que sa demi-soeur."Ca met fin à l'acharnement subi depuis des années, depuis le décès de mon papa", a réagi Ophélie Claude-Boxberger auprès de l'AFP.L'athlète se trouve par ailleurs au coeur d'une rocambolesque affaire de dopage. Après un contrôle positif à l'EPO de l'athlète en septembre 2018, son beau-père Alain Flaccus s'est accusé pendant plusieurs mois de l'avoir dopée à son insu par jalousie avant de brusquement faire volte-face la semaine dernière.Ophélie Claude-Boxberger, qui clame son innocence et rêve des Jeux de Tokyo en 2021, attend sa convocation par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) et risque quatre ans de suspension.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
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"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Développe la suite du texte :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Développez la suite du texte :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
"Fugues, enlèvements parentaux, disparitions inquiétantes... A l'occasion de la Journée internationale des enfants disparus, lundi 25 mai, le ministère de l'Intérieur a dévoilé de nouveaux chiffres sur les disparitions de mineurs. En 2019, 51.287 signalements de disparitions de mineurs ont ainsi été recensés par le ministère de l'Intérieur. Plus de 18.000 concernent des moins de 15 ans. Un enfant est signalé disparu toutes les dix minutes en France, soulignent les équipes du 116.000, le numéro d'urgence européen gratuit, réservé aux familles et proches d'enfants disparus, dans une nouvelle campagne de prévention. Selon les chiffres dévoilés par le ministère de l'Intérieur, 918 disparitions inquiétantes ont été signalées aux forces de l'ordre l'année dernière, 523 enlèvements parentaux et 49.846 fugues. Parmi les mineurs qui fuguent, "un tiers de ces jeunes revient ou est retrouvé dans les soixante-douze heures, un deuxième tiers dans le premier trimestre suivant la disparition, mais un " Générer la suite du texte :
dernier tiers reste en quelque sorte en errance", explique Laureen Burbau, directrice de la communication de Droit d'enfance, la fondation qui coordonne le 116.000, dans Le Parisien. Parmi les fugueurs qui ne réapparaissent pas, certains deviennent majeurs et sortent du fichier des personnes recherchées. D'autres sombrent dans la drogue, la prostitution ou d'autres formes de marginalité, indique Le Parisien. Les forces de l'ordre, qui n'ont pas les moyens de pister tous les fugueurs, "essayent de se concentrer sur les disparitions, mêmes volontaires, qui sont les plus inquiétantes, comme celles de très jeunes mineurs dont nous savons qu'ils sont très vite vulnérables", explique un officier de la brigade des mineurs à Paris, cité par le quotidien. "Il y a des disparitions volontaires qui se transforment en disparitions inquiétantes. Etre en errance quand on est ado, c'est être en danger et parfois faire de très mauvaises rencontres", souligne Laureen Burbau.
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"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.
"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Développer la suite du texte :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.
"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Développe la suite du texte :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.