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"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Imaginer la suite du texte :
ique, une autre marque très populaire, "Aunt Jemima" (tante Jemima, qui fabrique des préparations pour crêpes et du sirop d'érable), va abandonner, d'ici la fin de l'année, son logo, une femme noire au grand sourire. Selon Quaker Oats Company (filiale de PepsiCo), qui possède la marque, ce personnage apparu il y a plus de 130 ans perpétue "des stéréotypes raciaux". L'entreprise va donc faire disparaître le visuel de la marque puis en changer le nom. "Tante Jemima" évoque les servantes noires du Sud et, par association, le passé d'abord esclavagiste, puis ségrégationniste de ces États, où les Noirs restent les victimes de nombreuses discriminations. Examen de conscience dans le sillage de "Black Lives Matter"Depuis plus d'un mois, les États-Unis connaissent des manifestations massives dénonçant la violence policière à l'encontre des Afro-Américains et, plus largement le racisme et l'héritage de centaines d'années d'esclavagisme. Face à la pression de la rue et des réseaux, le pays s'est plongé dans une vaste introspection sur la place faite à la population noire dans la société, ainsi que le racisme systémique qui la frappe et perpétue les inégalités. Tous les indicateurs montrent que les noirs américains sont défavorisés par rapport à la population blanche : accès à l'éducation, aux soins, à l'emploi, au logement, au système bancaire, etc. Avant Quaker Oats et Mars, de nombreuses marques ont embrassé le slogan "Black Lives Matter" et promis d'amender leurs méthodes de recrutement, pour faciliter l'embauche des minorités visibles, ou de verser de l'argent pour améliorer leur intégration. Des prises de position parfois jugées hypocrites, qui ont inspiré l'expression "BLM washing" - comme le "green washing" désigne les stratégies d'entreprises qui prétendent protéger l'environnement pour se faire bien voir. En France, Banania et Bamboula ont dû s'adapterAinsi, la marque Aunt Jemima va verser 5 millions de dollars (4,47 millions d'euros) en faveur d'initiatives pour la minorité Afro-Américaine. Sa maison mère PepsiCo a annoncé un plan de 400 millions de dollars (357 millions d'euros) sur 5 ans "pour soutenir les communautés noires et augmenter la représentation des personnes noires" au sein du groupe.En France, d'autres marques ont déjà été confrontées aux accusations de racisme. En 1994, la Biscuiterie Saint-Michel a retiré de la vente les biscuits au chocolat Bamboula. En 2014, le slogan "Y'a bon Banania" a dû être abandonné par la société Nutrimaine après des années de bataille judiciaire avec des associations antiracistes.
"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Imagine la suite du texte :
ique, une autre marque très populaire, "Aunt Jemima" (tante Jemima, qui fabrique des préparations pour crêpes et du sirop d'érable), va abandonner, d'ici la fin de l'année, son logo, une femme noire au grand sourire. Selon Quaker Oats Company (filiale de PepsiCo), qui possède la marque, ce personnage apparu il y a plus de 130 ans perpétue "des stéréotypes raciaux". L'entreprise va donc faire disparaître le visuel de la marque puis en changer le nom. "Tante Jemima" évoque les servantes noires du Sud et, par association, le passé d'abord esclavagiste, puis ségrégationniste de ces États, où les Noirs restent les victimes de nombreuses discriminations. Examen de conscience dans le sillage de "Black Lives Matter"Depuis plus d'un mois, les États-Unis connaissent des manifestations massives dénonçant la violence policière à l'encontre des Afro-Américains et, plus largement le racisme et l'héritage de centaines d'années d'esclavagisme. Face à la pression de la rue et des réseaux, le pays s'est plongé dans une vaste introspection sur la place faite à la population noire dans la société, ainsi que le racisme systémique qui la frappe et perpétue les inégalités. Tous les indicateurs montrent que les noirs américains sont défavorisés par rapport à la population blanche : accès à l'éducation, aux soins, à l'emploi, au logement, au système bancaire, etc. Avant Quaker Oats et Mars, de nombreuses marques ont embrassé le slogan "Black Lives Matter" et promis d'amender leurs méthodes de recrutement, pour faciliter l'embauche des minorités visibles, ou de verser de l'argent pour améliorer leur intégration. Des prises de position parfois jugées hypocrites, qui ont inspiré l'expression "BLM washing" - comme le "green washing" désigne les stratégies d'entreprises qui prétendent protéger l'environnement pour se faire bien voir. En France, Banania et Bamboula ont dû s'adapterAinsi, la marque Aunt Jemima va verser 5 millions de dollars (4,47 millions d'euros) en faveur d'initiatives pour la minorité Afro-Américaine. Sa maison mère PepsiCo a annoncé un plan de 400 millions de dollars (357 millions d'euros) sur 5 ans "pour soutenir les communautés noires et augmenter la représentation des personnes noires" au sein du groupe.En France, d'autres marques ont déjà été confrontées aux accusations de racisme. En 1994, la Biscuiterie Saint-Michel a retiré de la vente les biscuits au chocolat Bamboula. En 2014, le slogan "Y'a bon Banania" a dû être abandonné par la société Nutrimaine après des années de bataille judiciaire avec des associations antiracistes.
"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Imaginez la suite du texte :
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"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Ecris la suite du texte :
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ique, une autre marque très populaire, "Aunt Jemima" (tante Jemima, qui fabrique des préparations pour crêpes et du sirop d'érable), va abandonner, d'ici la fin de l'année, son logo, une femme noire au grand sourire. Selon Quaker Oats Company (filiale de PepsiCo), qui possède la marque, ce personnage apparu il y a plus de 130 ans perpétue "des stéréotypes raciaux". L'entreprise va donc faire disparaître le visuel de la marque puis en changer le nom. "Tante Jemima" évoque les servantes noires du Sud et, par association, le passé d'abord esclavagiste, puis ségrégationniste de ces États, où les Noirs restent les victimes de nombreuses discriminations. Examen de conscience dans le sillage de "Black Lives Matter"Depuis plus d'un mois, les États-Unis connaissent des manifestations massives dénonçant la violence policière à l'encontre des Afro-Américains et, plus largement le racisme et l'héritage de centaines d'années d'esclavagisme. Face à la pression de la rue et des réseaux, le pays s'est plongé dans une vaste introspection sur la place faite à la population noire dans la société, ainsi que le racisme systémique qui la frappe et perpétue les inégalités. Tous les indicateurs montrent que les noirs américains sont défavorisés par rapport à la population blanche : accès à l'éducation, aux soins, à l'emploi, au logement, au système bancaire, etc. Avant Quaker Oats et Mars, de nombreuses marques ont embrassé le slogan "Black Lives Matter" et promis d'amender leurs méthodes de recrutement, pour faciliter l'embauche des minorités visibles, ou de verser de l'argent pour améliorer leur intégration. Des prises de position parfois jugées hypocrites, qui ont inspiré l'expression "BLM washing" - comme le "green washing" désigne les stratégies d'entreprises qui prétendent protéger l'environnement pour se faire bien voir. En France, Banania et Bamboula ont dû s'adapterAinsi, la marque Aunt Jemima va verser 5 millions de dollars (4,47 millions d'euros) en faveur d'initiatives pour la minorité Afro-Américaine. Sa maison mère PepsiCo a annoncé un plan de 400 millions de dollars (357 millions d'euros) sur 5 ans "pour soutenir les communautés noires et augmenter la représentation des personnes noires" au sein du groupe.En France, d'autres marques ont déjà été confrontées aux accusations de racisme. En 1994, la Biscuiterie Saint-Michel a retiré de la vente les biscuits au chocolat Bamboula. En 2014, le slogan "Y'a bon Banania" a dû être abandonné par la société Nutrimaine après des années de bataille judiciaire avec des associations antiracistes.
"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Générer la suite du texte :
ique, une autre marque très populaire, "Aunt Jemima" (tante Jemima, qui fabrique des préparations pour crêpes et du sirop d'érable), va abandonner, d'ici la fin de l'année, son logo, une femme noire au grand sourire. Selon Quaker Oats Company (filiale de PepsiCo), qui possède la marque, ce personnage apparu il y a plus de 130 ans perpétue "des stéréotypes raciaux". L'entreprise va donc faire disparaître le visuel de la marque puis en changer le nom. "Tante Jemima" évoque les servantes noires du Sud et, par association, le passé d'abord esclavagiste, puis ségrégationniste de ces États, où les Noirs restent les victimes de nombreuses discriminations. Examen de conscience dans le sillage de "Black Lives Matter"Depuis plus d'un mois, les États-Unis connaissent des manifestations massives dénonçant la violence policière à l'encontre des Afro-Américains et, plus largement le racisme et l'héritage de centaines d'années d'esclavagisme. Face à la pression de la rue et des réseaux, le pays s'est plongé dans une vaste introspection sur la place faite à la population noire dans la société, ainsi que le racisme systémique qui la frappe et perpétue les inégalités. Tous les indicateurs montrent que les noirs américains sont défavorisés par rapport à la population blanche : accès à l'éducation, aux soins, à l'emploi, au logement, au système bancaire, etc. Avant Quaker Oats et Mars, de nombreuses marques ont embrassé le slogan "Black Lives Matter" et promis d'amender leurs méthodes de recrutement, pour faciliter l'embauche des minorités visibles, ou de verser de l'argent pour améliorer leur intégration. Des prises de position parfois jugées hypocrites, qui ont inspiré l'expression "BLM washing" - comme le "green washing" désigne les stratégies d'entreprises qui prétendent protéger l'environnement pour se faire bien voir. En France, Banania et Bamboula ont dû s'adapterAinsi, la marque Aunt Jemima va verser 5 millions de dollars (4,47 millions d'euros) en faveur d'initiatives pour la minorité Afro-Américaine. Sa maison mère PepsiCo a annoncé un plan de 400 millions de dollars (357 millions d'euros) sur 5 ans "pour soutenir les communautés noires et augmenter la représentation des personnes noires" au sein du groupe.En France, d'autres marques ont déjà été confrontées aux accusations de racisme. En 1994, la Biscuiterie Saint-Michel a retiré de la vente les biscuits au chocolat Bamboula. En 2014, le slogan "Y'a bon Banania" a dû être abandonné par la société Nutrimaine après des années de bataille judiciaire avec des associations antiracistes.
"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Génère la suite du texte :
ique, une autre marque très populaire, "Aunt Jemima" (tante Jemima, qui fabrique des préparations pour crêpes et du sirop d'érable), va abandonner, d'ici la fin de l'année, son logo, une femme noire au grand sourire. Selon Quaker Oats Company (filiale de PepsiCo), qui possède la marque, ce personnage apparu il y a plus de 130 ans perpétue "des stéréotypes raciaux". L'entreprise va donc faire disparaître le visuel de la marque puis en changer le nom. "Tante Jemima" évoque les servantes noires du Sud et, par association, le passé d'abord esclavagiste, puis ségrégationniste de ces États, où les Noirs restent les victimes de nombreuses discriminations. Examen de conscience dans le sillage de "Black Lives Matter"Depuis plus d'un mois, les États-Unis connaissent des manifestations massives dénonçant la violence policière à l'encontre des Afro-Américains et, plus largement le racisme et l'héritage de centaines d'années d'esclavagisme. Face à la pression de la rue et des réseaux, le pays s'est plongé dans une vaste introspection sur la place faite à la population noire dans la société, ainsi que le racisme systémique qui la frappe et perpétue les inégalités. Tous les indicateurs montrent que les noirs américains sont défavorisés par rapport à la population blanche : accès à l'éducation, aux soins, à l'emploi, au logement, au système bancaire, etc. Avant Quaker Oats et Mars, de nombreuses marques ont embrassé le slogan "Black Lives Matter" et promis d'amender leurs méthodes de recrutement, pour faciliter l'embauche des minorités visibles, ou de verser de l'argent pour améliorer leur intégration. Des prises de position parfois jugées hypocrites, qui ont inspiré l'expression "BLM washing" - comme le "green washing" désigne les stratégies d'entreprises qui prétendent protéger l'environnement pour se faire bien voir. En France, Banania et Bamboula ont dû s'adapterAinsi, la marque Aunt Jemima va verser 5 millions de dollars (4,47 millions d'euros) en faveur d'initiatives pour la minorité Afro-Américaine. Sa maison mère PepsiCo a annoncé un plan de 400 millions de dollars (357 millions d'euros) sur 5 ans "pour soutenir les communautés noires et augmenter la représentation des personnes noires" au sein du groupe.En France, d'autres marques ont déjà été confrontées aux accusations de racisme. En 1994, la Biscuiterie Saint-Michel a retiré de la vente les biscuits au chocolat Bamboula. En 2014, le slogan "Y'a bon Banania" a dû être abandonné par la société Nutrimaine après des années de bataille judiciaire avec des associations antiracistes.
"Oncle Ben a fait son temps. Son visage noir au sourire éclatant, un stéréotype afro-américain daté, pourrait bientôt disparaître des rayons des supermarchés, la marque réalisant, sous la pression de la rue, que l'époque a changé. Uncle Ben's évoque forcément les plantations de coton ou de riz, exploitées seulement grâce aux esclaves, qui ont fait la richesse des États du Sud aux États-Unis. Cette semaine, Mars, le géant de l'agro-alimentaire mondial qui possède la marque, a reconnu "que le temps est venu de faire évoluer la marque Uncle Ben's, y compris son identité visuelle, et c'est ce que nous allons faire". Mais le groupe est resté vague sur ce qu'il comptait faire de sa marque de riz et n'a pas promis d'abandonner l'image. "Nous ne savons pas pour le moment quels vont être exactement les changements apportés ni selon quel calendrier, mais nous évaluons toutes les possibilités", précise Mars. Aux États-Unis, "tante Jemima" va disparaître des bouteilles de sirop d'érableOutre-Atlant" Générez la suite du texte :
ique, une autre marque très populaire, "Aunt Jemima" (tante Jemima, qui fabrique des préparations pour crêpes et du sirop d'érable), va abandonner, d'ici la fin de l'année, son logo, une femme noire au grand sourire. Selon Quaker Oats Company (filiale de PepsiCo), qui possède la marque, ce personnage apparu il y a plus de 130 ans perpétue "des stéréotypes raciaux". L'entreprise va donc faire disparaître le visuel de la marque puis en changer le nom. "Tante Jemima" évoque les servantes noires du Sud et, par association, le passé d'abord esclavagiste, puis ségrégationniste de ces États, où les Noirs restent les victimes de nombreuses discriminations. Examen de conscience dans le sillage de "Black Lives Matter"Depuis plus d'un mois, les États-Unis connaissent des manifestations massives dénonçant la violence policière à l'encontre des Afro-Américains et, plus largement le racisme et l'héritage de centaines d'années d'esclavagisme. Face à la pression de la rue et des réseaux, le pays s'est plongé dans une vaste introspection sur la place faite à la population noire dans la société, ainsi que le racisme systémique qui la frappe et perpétue les inégalités. Tous les indicateurs montrent que les noirs américains sont défavorisés par rapport à la population blanche : accès à l'éducation, aux soins, à l'emploi, au logement, au système bancaire, etc. Avant Quaker Oats et Mars, de nombreuses marques ont embrassé le slogan "Black Lives Matter" et promis d'amender leurs méthodes de recrutement, pour faciliter l'embauche des minorités visibles, ou de verser de l'argent pour améliorer leur intégration. Des prises de position parfois jugées hypocrites, qui ont inspiré l'expression "BLM washing" - comme le "green washing" désigne les stratégies d'entreprises qui prétendent protéger l'environnement pour se faire bien voir. En France, Banania et Bamboula ont dû s'adapterAinsi, la marque Aunt Jemima va verser 5 millions de dollars (4,47 millions d'euros) en faveur d'initiatives pour la minorité Afro-Américaine. Sa maison mère PepsiCo a annoncé un plan de 400 millions de dollars (357 millions d'euros) sur 5 ans "pour soutenir les communautés noires et augmenter la représentation des personnes noires" au sein du groupe.En France, d'autres marques ont déjà été confrontées aux accusations de racisme. En 1994, la Biscuiterie Saint-Michel a retiré de la vente les biscuits au chocolat Bamboula. En 2014, le slogan "Y'a bon Banania" a dû être abandonné par la société Nutrimaine après des années de bataille judiciaire avec des associations antiracistes.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Rédiger la suite du texte :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Rédige la suite du texte :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Rédigez la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Imaginer la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Imagine la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Ecrire la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Ecriver la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Développer la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Générer la suite du texte :
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""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Génère la suite du texte :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
""S'il y a un problème, je vous le dirai", a-t-il lancé à Tulsa (Oklahoma), dans le sud des Etats-Unis, lors de son premier meeting de campagne depuis plus de trois mois."Il y a quelque chose qui ne va pas concernant (Joe) Biden, ça je peux vous le dire", a ajouté le président de 74 ans, évoquant son adversaire démocrate, âgé lui de 77 ans, pour l'élection présidentielle du 3 novembre.Les spéculations sur son état de santé avaient été alimentées lorsqu'il avait effectué en novembre une mystérieuse visite à un hôpital militaire près de Washington, en dehors du calendrier habituel. Le 13 juin, il avait tenu, malgré la pandémie, à venir saluer la promotion 2020 de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York. Invité à quitter la scène après s'être adressé aux futures élites de l'armée américaine, il avait semblé connaître quelques difficultés sur la rampe d'accès, descendue à petits pas précautionneux. Des médias avaient également relevé qu'il avait eu besoin de ses d" Générez la suite du texte :
eux mains, au milieu du même discours, pour porter un verre d'eau à ses lèvres.Refaisant la scène, mimant sa démarche, buvant son verre d'un geste ferme devant ses milliers de partisans qui l'applaudissaient, le président des Etats-Unis s'est lancé samedi dans une curieuse parenthèse en plein milieu de son discours très attendu à Tulsa. "Parce que je portais des chaussures aux semelles en cuir", a justifié Donald Trump, en précisant, mi-plaisantin mi-indigné: "Ce qui est bien si on marche sur des surfaces plates. Ce n'est pas bon pour une rampe". "Il n'y avait pas de rampe pour les mains", a-t-il ajouté. "C'était comme une patinoire. J'ai dit +Général, j'ai un problème+".Expliquant qu'il venait juste de faire 600 saluts militaires devant la promotion de cadets, sous un soleil de plomb, il a poursuivi: "J'étais cuit. J'ai dit +Général, il n'y a pas moyen que je descende cette rampe sans tomber sur le cul". "Je ne peux pas tomber quand les +Fake News+ regardent", a ajouté Donald Turmp, provoquant les huées du public en direction des caméras.
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Imaginer la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Imagine la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Imaginez la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Ecrire la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Ecris la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Ecriver la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Développer la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Développe la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Développez la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Générer la suite du texte :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Génère la suite du texte :
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"Le procureur de Paris Rémy Heitz a annoncé mardi 11 février qu'un appel à témoins allait être lancé pour retrouver d'autres victimes dans le cadre de l'enquête ouverte pour viols sur mineur de moins de 15 ans visant l'écrivain Gabriel Matzneff. "Un appel à témoins sera lancé dès aujourd'hui (mardi, ndlr) par le service de police que nous avons missionné pour les investigations", l'Office central de répression des violences faites aux personnes (OCRVP), a annoncé Rémy Heitz sur Europe 1."Il faut voir s'il n'y a pas d'autres victimes", a expliqué le procureur, précisant rechercher "la vérité pour les victimes", "la vérité pour qu'il n'y ait pas de victimes oubliées, pour que toutes puissent se manifester". "Nous avons cette démarche à la fois pour les victimes connues, celles qui publient par exemple des ouvrages sur ce qu'elles ont vécu mais nous le faisons aussi pour l'ensemble des victimes, parfois plus anonymes", a-t-il insisté. L'affaire a débuté avec la publication du roman autobio" Générez la suite du texte :
graphique de Vanessa Springora. Dans "Le Consentement", elle décrit comment elle a été séduite par Gabriel Matzneff dans les années 1980, alors qu'elle n'avait pas encore 14 ans. Le 3 janvier, au lendemain de la parution du livre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "viols commis sur mineur" de moins de 15 ans."Au-delà des faits décrits par Vanessa Springora", manifestement prescrits la concernant, l'enquête doit s'attacher "à identifier toutes autres victimes éventuelles ayant pu subir des infractions de même nature sur le territoire national ou à l'étranger", avait indiqué le 3 janvier le procureur de Paris.Vanessa Springora est la première à témoigner parmi les adolescentes séduites par Gabriel Matzneff, dont le comportement, décrit dans ses propres livres, a longtemps été toléré dans le monde littéraire parisien. Dans une interview à BFMTV diffusée fin janvier, Gabriel Matzneff a affirmé "regretter" ses pratiques pédophiles passées en Asie, tout en faisant valoir qu'"à l'époque", "jamais personne ne parlait de crime".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Rédiger la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Rédige la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Rédigez la suite du texte :
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"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Imaginer la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Imagine la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Imaginez la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Ecrire la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Ecris la suite du texte :
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"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Ecriver la suite du texte :
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"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Développer la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Développe la suite du texte :
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"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Générer la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Génère la suite du texte :
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"Invitée du Grand Jury LCI/RTL/ Le Figaro dimanche 9 juin, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a clarifié sa position après avoir annoncé cette semaine son départ du parti Les Républicains. Elle a quitté LR, mais assure rester dans l'opposition. "Je joue collectif, avec le centre droit, à côté des LR, dans le cadre de l'initiative de Gérard Larcher". Le président du Sénat a annoncé, pour reconstruire la droite, la tenue d'une grande convention nationale. Cela doit se faire avec "trois piliers": un "pilier de droite conservatrice" qu'est LR, "un pilier centriste" et "la droite moderne", a développé Valérie Pécresse. Invitée à commenter la tribune des 72 maires de la droite et du centre publiée dans le journal du dimanche, elle a affirmée "ne pas du tout partager leur appel" : "Soyons très clairs : moi je quitte le LR mais je reste de droite et je reste dans l'opposition". Elle reste dans l'opposition et assure qu'elle n'a pas l'intention de créer un groupe à l'Assem" Générez la suite du texte :
blée nationale. "Ma démarche n'est pas de briser l'unité de la droite. Je ne veux pas créer de sécession, de division", a-t-elle affirmé. "Cette droite moderne, je souhaite la construire" Valérie Pécresse souligne toutefois "que l'appel de 72 maires de la droite et du centre montre encore plus s'il en était l'urgence de construire une droite moderne. Une droite qui corresponde à la sensibilité de ses maires de droite et du centre qui ont toujours été dans notre famille politique". L'ex-ministre entend se positionner comme la personnalité qui incarnera cette "droite moderne". "Cette droite moderne, il faut l'incarner, je souhaite la construire. Il y a urgence." La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse croit qu'il y a une place à prendre sur ce créneau car non, "Emmanuel Macron n'est pas de droite, c'est une mystification". Et d'assurer : "Depuis que j'ai décidé d'incarner la droite moderne, je reçois des dizaines de textos et de mails". Interrogée à plusieurs reprises sur ses ambitions présidentielles éventuelles pour 2022, Valérie Pécresse a botté en touche, jugeant "très indécent" d'évoquer cette échéance. Enfin, la présidente de région a rapporté s'être entretenue avec le président du Sénat et Nicolas Sarkozy avant d'annoncer son départ. L'ex-chef de l'Etat a été a-t-elle dit, "un peu surpris". Mais il a compris "que je n'arrivais plus à faire vivre les valeurs de droite telles que je souhaite les exprimer dans Les Républicains".
"C'est un nouveau coup dur pour le gouvernement. En pleine tourmente depuis la démission de Jean-Paul Delevoye, l'exécutif fait désormais face à une opposition de plus en plus importante. Un nouveau sondage Elabe publié par BFMTV fait état d'un nouveau constat marquant : 57% des Français interrogés se déclarent opposés à la future réforme des retraites. Une hausse de huit points depuis le 11 décembre. Ils ne sont plus que 43% à y être favorables, soit une baisse de sept points. Seules les personnes âgées de 65 ans ou plus représentent encore un soutien important au gouvernement, 53% d'entre eux défendent ce projet. Opposants majeurs à la réforme, les professions intermédiaires (61%) et les employés (60%) se disent prêts à continuer le mouvement de contestation. La grève nationale organisée par les syndicats est soutenue par 54% des Français et grimpe même dans certains secteurs professionnels comme dans le privé.Une volonté de mettre la grève en pause lors des fêtesSi les revendications" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
des syndicats trouvent un écho de plus en plus important auprès du peuple français, les nombreuses grèves qui touchent le pays posent question. Si la majorité des Français (54%) éprouve du soutien ou de la sympathie pour cette mobilisation contre la réforme des retraites, 63% d'entre eux aimeraient que le mouvement se mette en pause lors des vacances de Noël et du Nouvel An. Seuls 36% espèrent une prolongation de la grève, notamment chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon (62%).Le sondage Elabe relayé par BFMTV fait état des points de la mesure qui cristallisent les tensions entre le gouvernement et certains Français. 67% d'entre eux s'accordent sur la suppression des 42 régimes spéciaux, un score en baisse de trois points. La mise en place d'un système de retraite universel par points reste prônée à 52% mais ce camp perd six points pendant que celui des opposants en gagne sept (48%). Point majeur de la gronde populaire : le nouvel âge pivot est rejeté par 67% des Français interrogés, une hausse de treize points en une semaine.Le gouvernement d'Edouard Philippe va devoir répondre à cette opposition qui continue de grandir. 49% des Français souhaitent une « révision en profondeur » , 24% réclament le retrait pur et simple du projet tandis que 26% désirent son maintien.
"C'est un nouveau coup dur pour le gouvernement. En pleine tourmente depuis la démission de Jean-Paul Delevoye, l'exécutif fait désormais face à une opposition de plus en plus importante. Un nouveau sondage Elabe publié par BFMTV fait état d'un nouveau constat marquant : 57% des Français interrogés se déclarent opposés à la future réforme des retraites. Une hausse de huit points depuis le 11 décembre. Ils ne sont plus que 43% à y être favorables, soit une baisse de sept points. Seules les personnes âgées de 65 ans ou plus représentent encore un soutien important au gouvernement, 53% d'entre eux défendent ce projet. Opposants majeurs à la réforme, les professions intermédiaires (61%) et les employés (60%) se disent prêts à continuer le mouvement de contestation. La grève nationale organisée par les syndicats est soutenue par 54% des Français et grimpe même dans certains secteurs professionnels comme dans le privé.Une volonté de mettre la grève en pause lors des fêtesSi les revendications" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
des syndicats trouvent un écho de plus en plus important auprès du peuple français, les nombreuses grèves qui touchent le pays posent question. Si la majorité des Français (54%) éprouve du soutien ou de la sympathie pour cette mobilisation contre la réforme des retraites, 63% d'entre eux aimeraient que le mouvement se mette en pause lors des vacances de Noël et du Nouvel An. Seuls 36% espèrent une prolongation de la grève, notamment chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon (62%).Le sondage Elabe relayé par BFMTV fait état des points de la mesure qui cristallisent les tensions entre le gouvernement et certains Français. 67% d'entre eux s'accordent sur la suppression des 42 régimes spéciaux, un score en baisse de trois points. La mise en place d'un système de retraite universel par points reste prônée à 52% mais ce camp perd six points pendant que celui des opposants en gagne sept (48%). Point majeur de la gronde populaire : le nouvel âge pivot est rejeté par 67% des Français interrogés, une hausse de treize points en une semaine.Le gouvernement d'Edouard Philippe va devoir répondre à cette opposition qui continue de grandir. 49% des Français souhaitent une « révision en profondeur » , 24% réclament le retrait pur et simple du projet tandis que 26% désirent son maintien.
"C'est un nouveau coup dur pour le gouvernement. En pleine tourmente depuis la démission de Jean-Paul Delevoye, l'exécutif fait désormais face à une opposition de plus en plus importante. Un nouveau sondage Elabe publié par BFMTV fait état d'un nouveau constat marquant : 57% des Français interrogés se déclarent opposés à la future réforme des retraites. Une hausse de huit points depuis le 11 décembre. Ils ne sont plus que 43% à y être favorables, soit une baisse de sept points. Seules les personnes âgées de 65 ans ou plus représentent encore un soutien important au gouvernement, 53% d'entre eux défendent ce projet. Opposants majeurs à la réforme, les professions intermédiaires (61%) et les employés (60%) se disent prêts à continuer le mouvement de contestation. La grève nationale organisée par les syndicats est soutenue par 54% des Français et grimpe même dans certains secteurs professionnels comme dans le privé.Une volonté de mettre la grève en pause lors des fêtesSi les revendications" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
des syndicats trouvent un écho de plus en plus important auprès du peuple français, les nombreuses grèves qui touchent le pays posent question. Si la majorité des Français (54%) éprouve du soutien ou de la sympathie pour cette mobilisation contre la réforme des retraites, 63% d'entre eux aimeraient que le mouvement se mette en pause lors des vacances de Noël et du Nouvel An. Seuls 36% espèrent une prolongation de la grève, notamment chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon (62%).Le sondage Elabe relayé par BFMTV fait état des points de la mesure qui cristallisent les tensions entre le gouvernement et certains Français. 67% d'entre eux s'accordent sur la suppression des 42 régimes spéciaux, un score en baisse de trois points. La mise en place d'un système de retraite universel par points reste prônée à 52% mais ce camp perd six points pendant que celui des opposants en gagne sept (48%). Point majeur de la gronde populaire : le nouvel âge pivot est rejeté par 67% des Français interrogés, une hausse de treize points en une semaine.Le gouvernement d'Edouard Philippe va devoir répondre à cette opposition qui continue de grandir. 49% des Français souhaitent une « révision en profondeur » , 24% réclament le retrait pur et simple du projet tandis que 26% désirent son maintien.
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