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"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Développez la suite du texte :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.
"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Générer la suite du texte :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.
"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Génère la suite du texte :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.
"C'est sur la mairie d'une autre commune que les messages adressés au maire de Thal-Marmoutier (Bas-Rhin) ont été découverts. Ce vendredi 22 juin, Emmanuel Macron et l'élu local, Jean-Claude Distel, ont été visés par des insultes antisémites et racistes inscrites sur la façade arrière de la mairie de Schirroffen, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.Ces tags attaquent Jean-Claude Distel sur sa politique migratoire locale tournée vers l'accueil et l'insertion des migrants. L'édile organise en effet l'hébergement de réfugiés originaires d'Afrique Subsaharienne par 800 habitants de Thar-Marmoutier, depuis fin 2017. Ces inscriptions comparent Jean-Claude Distel à Watler Lübcke, un élu local allemande engagé en faveur de l'accueil des réfugiés, assassiné le 2 juin dernier, d'après le média local. Il y a quelques mois, plusieurs inscriptions racistes ainsi que des croix gammées avaient déjà été retrouvées sur le murs de la mairie de Thar-Marmoutier, mais aussi sur les façades des logemen" Générez la suite du texte :
ts de certains élus, devant une école primaire et sur une ancienne synagogue.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Rédiger la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Rédige la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Rédigez la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Imaginer la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Imagine la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Imaginez la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Ecrire la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Ecris la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Ecriver la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Développer la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Développe la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Développez la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Générer la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Génère la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"La cour d'appel de Paris a alourdi la peine de l'ancien maire, condamné en outre pour "prise illégale d'intérêt", jugeant qu'il avait bénéficié "d'avantages personnels" en nature dans le cadre d'un gros contrat immobilier de la ville. Le couple se voit aussi infliger dix ans d'inéligibilité et chacun des époux une amende de 100.000 euros.La confiscation de leurs biens est confirmée, avec une disposition particulière pour leur résidence du moulin de Giverny (Eure) dont une quote-part devra être restituée à leurs enfants, nus-propriétaires.La cour d'appel a également confirmé que les Balkany auraient à payer, solidairement avec les autres acteurs de ce dossier de blanchiment - et qui n'avaient pas fait appel -, la somme d'un million de dommages et intérêts à l'Etat, partie civile au procès.Venu seul assister au délibéré, l'ancien flamboyant maire, libéré mi-février pour raisons de santé après cinq mois en détention, a à peine cillé à l'énoncé de la sentence. Costume rouge brique et visag" Générez la suite du texte :
e creusé, il n'a fait aucune déclaration, laissant le soin à son avocat Romain Dieudonné d'expliquer qu'il avait cinq jours pour "réfléchir sereinement" à un éventuel pourvoi en cassation. L'avocat d'Isabelle Balkany, Pierre-Olivier Sur, a de son côté dénoncé une décision "disproportionnée".La cour d'appel est allée au-delà des réquisitions du parquet général pour sanctionner "une fraude persistante", "un système parfaitement ancré dans le couple" et dont il a retiré au fil des années des "avantages substantiels". Les Balkany sont soupçonnés d'avoir dissimulé 13 millions d'euros d'avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech, masquées par un chapelet de sociétés offshore.S'ils ont reconnu la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n'avoir jamais détourné "un centime d'argent public". Et surtout, le couple continue de nier la possession d'un riad à Marrakech en dépit des peignoirs brodés aux initiales "PB", des livres dédicacés et des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa marocaine.Le 4 mars, la cour d'appel de Paris avait par ailleurs condamné les époux Balkany pour fraude fiscale, respectivement à quatre ans de prison dont un avec sursis pour lui et à trois ans ferme pour elle.
"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ssez marrant."Le TGV obligé de faire une marche arrièreL'heure n'était sûrement pas à la détente pour le conducteur. Ce dernier a dû descendre du train pour passer de la motrice avant à la motrice arrière et rebrousser chemin, dans une manœuvre qui a pris 40 minutes. D'après France Bleu, qui s'est renseigné auprès d'un conducteur, l'arrêt dans cette gare est particulièrement difficile car il n'existe pas de point de repère de freinage comme c'est le cas habituellement. À Lyon, le TGV est finalement arrivé avec 30 minutes de retard. "On nous a précisé qu'on pouvait demander une partie du remboursement sur le site de la SNCF", a confié Théo. "Franchement, tout a été bien géré. Ça rappelle aussi que tout n'est pas automatique et qu'il y a encore des gens qui conduisent des trains et c'est une bonne nouvelle ! "
"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Imaginez la suite du texte :
ssez marrant."Le TGV obligé de faire une marche arrièreL'heure n'était sûrement pas à la détente pour le conducteur. Ce dernier a dû descendre du train pour passer de la motrice avant à la motrice arrière et rebrousser chemin, dans une manœuvre qui a pris 40 minutes. D'après France Bleu, qui s'est renseigné auprès d'un conducteur, l'arrêt dans cette gare est particulièrement difficile car il n'existe pas de point de repère de freinage comme c'est le cas habituellement. À Lyon, le TGV est finalement arrivé avec 30 minutes de retard. "On nous a précisé qu'on pouvait demander une partie du remboursement sur le site de la SNCF", a confié Théo. "Franchement, tout a été bien géré. Ça rappelle aussi que tout n'est pas automatique et qu'il y a encore des gens qui conduisent des trains et c'est une bonne nouvelle ! "
"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Ecrire la suite du texte :
ssez marrant."Le TGV obligé de faire une marche arrièreL'heure n'était sûrement pas à la détente pour le conducteur. Ce dernier a dû descendre du train pour passer de la motrice avant à la motrice arrière et rebrousser chemin, dans une manœuvre qui a pris 40 minutes. D'après France Bleu, qui s'est renseigné auprès d'un conducteur, l'arrêt dans cette gare est particulièrement difficile car il n'existe pas de point de repère de freinage comme c'est le cas habituellement. À Lyon, le TGV est finalement arrivé avec 30 minutes de retard. "On nous a précisé qu'on pouvait demander une partie du remboursement sur le site de la SNCF", a confié Théo. "Franchement, tout a été bien géré. Ça rappelle aussi que tout n'est pas automatique et qu'il y a encore des gens qui conduisent des trains et c'est une bonne nouvelle ! "
"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Ecris la suite du texte :
ssez marrant."Le TGV obligé de faire une marche arrièreL'heure n'était sûrement pas à la détente pour le conducteur. Ce dernier a dû descendre du train pour passer de la motrice avant à la motrice arrière et rebrousser chemin, dans une manœuvre qui a pris 40 minutes. D'après France Bleu, qui s'est renseigné auprès d'un conducteur, l'arrêt dans cette gare est particulièrement difficile car il n'existe pas de point de repère de freinage comme c'est le cas habituellement. À Lyon, le TGV est finalement arrivé avec 30 minutes de retard. "On nous a précisé qu'on pouvait demander une partie du remboursement sur le site de la SNCF", a confié Théo. "Franchement, tout a été bien géré. Ça rappelle aussi que tout n'est pas automatique et qu'il y a encore des gens qui conduisent des trains et c'est une bonne nouvelle ! "
"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Ecriver la suite du texte :
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"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Développez la suite du texte :
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"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Génère la suite du texte :
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"Les passagers ont dû halluciner. Comme le rapporte France Bleu Gard Lozère ce jeudi 27 août, le conducteur d'un TGV circulant entre Toulouse et Lyon a manqué un arrêt qui était prévu à la gare de Nîmes (Gard). Dans un tweet partagé plus de 2 500 fois jeudi soir, Théo a résumé la situation avec humour. "Grâce à la SNCF, je vais vivre ma première fois. Première fois qu'un train dans lequel je suis va devoir faire marche arrière. La raison ? 'Madame, Monsieur, la gare de Nîmes a été ... (PAUSE) loupée par notre conducteur'", s'est-il amusé. Le véhicule s'est finalement arrêté plusieurs dizaines de mètres plus loin, laissant la cheffe de bord annoncer une information peu banale aux usagers. "On sentait bien qu'elle était décontenancée", a témoigné Théo auprès de nos confrères de France Bleu Gard Lozère. Face à cette situation insolite, la surprise a très vite laissé place à l'amusement. "Ça a été positif parce que les gens ont commencé à rigoler et à discuter ensemble. Ça a été un moment a" Générez la suite du texte :
ssez marrant."Le TGV obligé de faire une marche arrièreL'heure n'était sûrement pas à la détente pour le conducteur. Ce dernier a dû descendre du train pour passer de la motrice avant à la motrice arrière et rebrousser chemin, dans une manœuvre qui a pris 40 minutes. D'après France Bleu, qui s'est renseigné auprès d'un conducteur, l'arrêt dans cette gare est particulièrement difficile car il n'existe pas de point de repère de freinage comme c'est le cas habituellement. À Lyon, le TGV est finalement arrivé avec 30 minutes de retard. "On nous a précisé qu'on pouvait demander une partie du remboursement sur le site de la SNCF", a confié Théo. "Franchement, tout a été bien géré. Ça rappelle aussi que tout n'est pas automatique et qu'il y a encore des gens qui conduisent des trains et c'est une bonne nouvelle ! "
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
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eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Rédiger la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Rédige la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Rédigez la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Imaginer la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Imagine la suite du texte :
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""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Imaginez la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Ecrire la suite du texte :
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""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Ecris la suite du texte :
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""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Ecriver la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Développer la suite du texte :
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""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Développe la suite du texte :
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""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Développez la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Générer la suite du texte :
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""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Génère la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
""Si nous connaissons tous l'opposition d'Agnès Thill à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, et nous respectons ses convictions, bien que nous ne les partagions pas, le débat politique ne doit en aucun cas être nourri d'insultes ni de théories complotistes". Telle est la teneur du courrier adressé au président de LREM et co-signé par une vingtaine de députés LREM, qui dénoncent la sortie de leur collègue Agnès Thill, à propos du rapport de la mission de l'Assemblée nationale sur la bioéthique. Cette dernière avait publiquement affiché son opposition à l'extension de la PMA, jugeant que ce rapport a franchi une "ligne rouge" dans certaines de ses recommandations, et affirmant notamment que "l'absence de genre dans le mot parent favorise l'éclosion d'écoles coraniques"."Délires islamophobes, homophobes et paranoïaques"Indiquant à Gilles Legendre qu'Agnès Thill avait déjà fait l'objet d'un avertissement "l'automne dernier", les signataires de la lettre interrogent l" Générez la suite du texte :
eur chef de file quant à "la réponse de fermeté" qui sera donnée à leur collègue. "Nous ne pouvons tolérer les délires islamophobes, homophobes et paranoïaques d'Agnès Thill", estiment-ils, réclamant selon le JDD l'exclusion de la députée de l'Oise. Cette dernière a répondu via Twitter, appelant à "débattre sur le fond" plutôt que "démolir sa collègue sur une phrase sans contexte".Une éventuelle exclusion d'un député En Marche ne serait pas une première. En décembre, le député Sébastien Nadot avait été le premier "marcheur" exclu du groupe LREM, après avoir voté contre le budget 2019. Il avait été convoqué au préalable pour s'expliquer. Le groupe LREM compte actuellement 307 membres.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Rédiger la suite du texte :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Rédigez la suite du texte :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Imaginer la suite du texte :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Imagine la suite du texte :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Imaginez la suite du texte :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Ecrire la suite du texte :
leurs appelé Pékin à fournir "un bilan complet" de la répression de la place Tiananmen, qui a fait des centaines, voire plus d'un millier, de morts. La veillée annuelle en son souvenir a été interdite cette année par les autorités chinoises, officiellement en raison du nouveau coronavirus.Le 30e anniversaire de la tuerie avait déjà donné lieu l'an dernier à une violente passe d'armes entre les Etats-Unis et la Chine, qui ont encore creusé leurs divisions depuis avec la crise du Covid-19. Actuellement accusé par l'opposition démocrate américaine de prendre un virage autocratique, Donald Trump avait déclaré en 1990 que les dirigeants chinois "avaient failli se planter" à Tiananmen avant de montrer "le pouvoir de la force".Ces commentaires avaient ressurgi en 2016 lors de la campagne présidentielle victorieuse du milliardaire républicain, qui est allé se faire prendre en photo lundi devant une église près de la Maison Blanche après l'intervention musclée des forces de l'ordre pour disperser des manifestants pacifiques.
"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Ecris la suite du texte :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Ecriver la suite du texte :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Développer la suite du texte :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Développe la suite du texte :
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"Washington se prête tous les ans à cet exercice diplomatique à l'occasion de l'anniversaire de l'écrasement par le régime communiste chinois du mouvement pro-démocratie de la célèbre place de Pékin. Mais les critiques américaines résonnent cette année d'un écho particulier alors que le président Donald Trump a menacé de faire appel à l'armée pour mettre un terme aux débordements observés à travers le pays en marge de manifestations contre le racisme et les violences policières. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a rencontré mercredi à Washington quatre figures du mouvement de la place Tiananmen, dont l'un des principaux leaders étudiants de l'époque, Wang Dan."Nous pleurons les victimes du 4 juin 1989 et nous élevons aux côtés des Chinois qui continuent d'aspirer à un gouvernement protégeant les droits humains, les libertés fondamentales et la dignité humaine", a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d'Etat américain Morgan Ortagus. Washington a par ail" Générer la suite du texte :
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