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"Alors que La Réunion termine sa deuxième semaine de blocage, un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" menace l'île, a annoncé dimanche 2 décembre la préfecture. DEs barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime depuis plusieurs jours."En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale", peut-on lire dans le communiqué.Des mesures déjà annoncées par le gouvernement"Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.Pour éviter la pén" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
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urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
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urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
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"Alors que La Réunion termine sa deuxième semaine de blocage, un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" menace l'île, a annoncé dimanche 2 décembre la préfecture. DEs barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime depuis plusieurs jours."En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale", peut-on lire dans le communiqué.Des mesures déjà annoncées par le gouvernement"Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.Pour éviter la pén" Générez la suite du texte :
urie, le préfet de l'île "appelle à la responsabilité de chacun pour que les livraisons puissent s'effectuer". Annick Girardin doit de nouveau échanger dimanche depuis Paris par visio-conférence avec "une délégation représentant les gilets jaunes de l'île". La ministre a déjà annoncé sur place des mesures sociales, des mesures d'accompagnement pour les entreprises impactées par le mouvement et des mesures pour améliorer le pouvoir d'achat.
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Rédiger la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Rédige la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Rédigez la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Imaginer la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Imagine la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Imaginez la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Ecrire la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Ecris la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Ecriver la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Développer la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Développe la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Développez la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Générer la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Génère la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Ses fonctions vitales sont "parfaites et son état stabilisé, selon les médecins", indique Anthony Delon. "Mon père a fait un accident cardio vasculaire et une légère hémorragie cérébrale", souligne-t-il dans un texte. "Il a été opéré à la Pitié-Salpétriere (hôpital parisien, ndlr), où il est resté trois semaines en soins intensifs. Toute la famille s'est relayée à son chevet, mon frère, ma soeur et ma mère Nathalie", poursuit-il. "Ses fonctions vitales étant parfaites et son état stabilisé, selon les médecins, il est reparti en Suisse et se repose tranquillement dans une clinique". "Ma soeur qui réside maintenant en Suisse suit son rétablissement de près et nous tient au courant de ses progrès quotidiens", conclut le texte.Ces dernières semaines, plusieurs magazines people dont Closer et Voici avaient affirmé que l'acteur avait été victime d'un AVC et d'une hémorragie cérébrale. Mi-juin, l'entourage professionnel d'Alain Delon avait indiqué à l'AFP que l'acteur avait été admis à l'Hôpi" Générez la suite du texte :
tal américain de Neuilly "pour des vertiges et des maux de tête apparemment sans gravité". "Des symptômes vraisemblablement dus à une arythmie cardiaque dont souffre l'acteur", avait-on précisé de même source. "Il a seulement fait objet d'examens de précaution et devrait sortir sous peu", avait-on ajouté.Monstre sacré du cinéma, Alain Delon a reçu il y a quelques semaines à Cannes une Palme d'or d'honneur des mains de sa fille Anouchka. Très ému, il avait prononcé un discours aux accents testamentaires, parlant d'"un hommage posthume, mais de (son) vivant".
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Rédiger la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Rédige la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Rédigez la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Imaginer la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Imagine la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Imaginez la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Ecrire la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Ecris la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Ecriver la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Développer la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Développe la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Développez la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Générer la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Génère la suite du texte :
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"Marquant la fin de l'empire romain, la chute de la ville signifiait également la perte d'un joyau de l'architecture et d'un grand centre religieux chrétien : la basilique Sainte-Sophie. Après la conquête, elle fut convertie en mosquée et dotée de minarets, puis désaffectée et transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïc de Mustafa Kemal Ataturk, devenant un lieu de recueillement et de souvenir pour les peuples de toutes confessions. Aujourd'hui encore, elle est au centre de polémiques entre chrétiens, musulmans... et laïcs.Construite à l'entrée du détroit du Bosphore et de la Corne d'or, Sainte-Sophie est une merveille architecturale considérée comme l'un des monuments les plus emblématiques de la richesse de la civilisation humaine. Et depuis l'arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de l'actuel président Recep Tayyip Erdogan, les défenseurs de la laïcité s'inquiètent d'une éventuelle reconversion de Sainte-Sophie" Générez la suite du texte :
en lieu de culte musulman. Beaucoup redoutent de voir l'AKP tenter de transformer Sainte-Sophie en mosquée pour en faire le symbole d'une Turquie qui s'affirme en tant que nation musulmane.De fait, des récitations du Coran et des prières sont effectuées dans le musée cette année, à l'occasion du ramadan, redoublant l'inquiétude des laïcs. L'an dernier, un religieux avait récité des versets du Coran pour la première fois depuis que Sainte-Sophie était devenue musée, il y a 85 ans, à l'occasion de l'inauguration d'une exposition. Mais cette année, les autorités sont allées plus loin : la télévision publique Diyanet TV diffuse chaque jour en direct des récitations du Coran par un imam turc différent. Jamais Sainte-Sophie n'avait été utilisée de manière aussi intensive depuis qu'elle est devenue musée. Les prières ont lieu pour le suhûr, le repas de l'aube avant le jeûne de la journée, soit des heures avant que les hordes de touristes ne forment des files d'attente pour visiter Sainte-Sophie. LA GRÈCE SAISIT L'UNESCOCette initiative a déclenché une réaction furieuse en Grèce orthodoxe, qui s'inquiète depuis des années de voir une islamisation rampante de Sainte-Sophie. "Cette espèce d'obsession - qui confine à la bigoterie - pour la tenue de cérémonies musulmanes dans un monument appartenant au patrimoine de l'humanité est incompréhensible et montre un manque de respect et de contact avec la réalité", a fait savoir le ministère grec des Affaires étrangères dans un communiqué. "Des initiatives de ce genre ne sont pas compatibles avec les démocraties modernes et les sociétés laïques", a-t-il ajouté. Le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Kotzias a indiqué avoir saisi l'Unesco, l'agence de l'ONU veillant sur le patrimoine culturel mondial, pour se plaindre de l'usage qui est fait de Sainte-Sophie.Washington s'est aussi mêlé à la polémique, le porte-parole du Département d'État Mark Toner déclarant que les États-Unis "encouragent le gouvernement turc à préserver Sainte-Sophie d'une manière qui respecte ses traditions et la complexité de son histoire".Mais l'affaire a pris une tournure de brouille diplomatique quand le porte-parole de la diplomatie turque Tanju Bilgic a qualifié les déclarations grecques d'"inacceptables" et a conseillé à Athènes de balayer devant sa porte en matière de libertés religieuses. La Grèce, a-t-il accusé, n'a pas donné d'autorisation pour la construction de mosquée à Athènes depuis des années, et viole les libertés religieuses de sa minorité musulmane, qui compte quelque 100.000 membres.PRESSIONS DE RESPONSABLES TURCSMais la Turquie et la Grèce semblent soucieuses de ne pas laisser la polémique sur Sainte-Sophie faire dérailler des relations globalement satisfaisantes, surtout à l'heure où le gouvernement AKP et celui d'Alexis Tsipras doivent pleinement coopérer sur la crise des migrants, pour laquelle les deux pays sont en première ligne. Ankara a même fait un geste de bonne volonté à l'égard d'Athènes en autorisant la célébration de l'Épiphanie orthodoxe en janvier cette année dans la ville égéenne d'Izmir, pour la première fois depuis 1922.Plusieurs responsables turcs, tel un récent ministre de la Culture, ont exprimé le souhait de voir Sainte-Sophie redevenir une mosquée. Fin mai, des milliers de personnes avaient manifesté devant le bâtiments pour demander sa reconversion en mosquée. "Que les chaînes se brisent, que Sainte-Sophie s'ouvre", avaient scandé les milliers de manifestants massés sur l'esplanade devant le musée. "Au nom de centaines de milliers de nos frères, nous demandons à pouvoir prier à l'intérieur de la mosquée Sainte-Sophie", avait déclaré le président de l'Association de la jeunesse d'Anatolie, Salih Turhan, à l'origine de l'événement.
"Six jours après le fiasco, le procureur de Nantes Pierre Sennès annoncé jeudi 17 octobre avoir ouvert une enquête sur les fuites policières intervenues lors de l'annonce de la fausse arrestation de Xavier Dupont de Ligonnès. L'inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie.Vendredi 11 octobre, tous les médias français s'étaient emparés avec ferveur de l'information : l'homme soupçonné d'avoir tué sa femme et ses quatre enfants à Nantes en avril 2011, avait été arrêté à l'aéroport de Glasgow, en Écosse. Après quelques heures de spéculation, il s'avèrera que le Français arrêté est un septuagénaire d'origine portugaise qui passe sa vie entre l'Écosse et les Yvelines. Le Parisien, a l'origine de l'information, et l'AFP, qui a confirmé par la suite, avaient pourtant plusieurs sources très fiables. "Nous avons contacté cinq sources judiciaires françaises, à différentes strates de hiérarchie et autant centrales que régionales. On ne parle pas ici de cinq personnes assises dans" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
un même bureau", s'est justifié Stéphane Albouy, directeur des rédactions du Parisien. L'agence de presse disposait quant à elle de quatre sources policières françaises différentes avec lesquelles les journalistes ont l'habitude de travailler en confiance. De leur côté, les polices françaises et écossaises se renvoient la responsabilité. La police écossaise a assuré lundi n'avoir "jamais confirmé, ni en public ni en privé" que l'homme interpellé à l'aéroport de Glasgow était Xavier Dupont de Ligonnès. Une source française proche de l'enquête a elle assuré que la police écossaise avait affirmé "à quatre reprises" à ses homologues français ainsi qu'au "magistrat de liaison" avoir arrêté Xavier Dupont de Ligonnès.Xavier Dupont de Ligonnès, qui a disparu depuis le quintuple meurtre, est activement recherché depuis cette date. Il a été aperçu pour la dernière fois en avril 2011 : le 14 avril, il a été filmé par la caméra d'un distributeur de billets, et, le 15, il a quitté à pied un hôtel de Roquebrune-sur-Argens (dans le Var, sud-est de la France) avec, sur le dos, un étui pouvant contenir une carabine. Six jours plus tard, les corps de sa femme et de ses quatre enfants étaient découverts, enterrés sous la terrasse de la maison familiale, enroulés dans des draps et de la chaux.
"Six jours après le fiasco, le procureur de Nantes Pierre Sennès annoncé jeudi 17 octobre avoir ouvert une enquête sur les fuites policières intervenues lors de l'annonce de la fausse arrestation de Xavier Dupont de Ligonnès. L'inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie.Vendredi 11 octobre, tous les médias français s'étaient emparés avec ferveur de l'information : l'homme soupçonné d'avoir tué sa femme et ses quatre enfants à Nantes en avril 2011, avait été arrêté à l'aéroport de Glasgow, en Écosse. Après quelques heures de spéculation, il s'avèrera que le Français arrêté est un septuagénaire d'origine portugaise qui passe sa vie entre l'Écosse et les Yvelines. Le Parisien, a l'origine de l'information, et l'AFP, qui a confirmé par la suite, avaient pourtant plusieurs sources très fiables. "Nous avons contacté cinq sources judiciaires françaises, à différentes strates de hiérarchie et autant centrales que régionales. On ne parle pas ici de cinq personnes assises dans" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Six jours après le fiasco, le procureur de Nantes Pierre Sennès annoncé jeudi 17 octobre avoir ouvert une enquête sur les fuites policières intervenues lors de l'annonce de la fausse arrestation de Xavier Dupont de Ligonnès. L'inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie.Vendredi 11 octobre, tous les médias français s'étaient emparés avec ferveur de l'information : l'homme soupçonné d'avoir tué sa femme et ses quatre enfants à Nantes en avril 2011, avait été arrêté à l'aéroport de Glasgow, en Écosse. Après quelques heures de spéculation, il s'avèrera que le Français arrêté est un septuagénaire d'origine portugaise qui passe sa vie entre l'Écosse et les Yvelines. Le Parisien, a l'origine de l'information, et l'AFP, qui a confirmé par la suite, avaient pourtant plusieurs sources très fiables. "Nous avons contacté cinq sources judiciaires françaises, à différentes strates de hiérarchie et autant centrales que régionales. On ne parle pas ici de cinq personnes assises dans" Imaginer la suite du texte :
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"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
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"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
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