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"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Rédiger la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Rédige la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Rédigez la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Imaginer la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Imagine la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Imaginez la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Ecrire la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Ecris la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Ecriver la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Développer la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Développe la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Développez la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Générer la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Génère la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Le lycéen n'a donc pas été incarcéré.Un élève du lycée Lavoisier de Méru a été condamné à dix mois de prison donc quatre avec sursis, a-t-on appris vendredi 14 décembre. En début de semaine, le jeune homme avait pris part à une mobilisation contre la réforme du baccalauréat et de l'entrée à l'université. Il avait été arrêté après un affrontement avec les gendarmes aux abords du lycée.L'adolescent, qui détenait une arme au moment de son interpellation, a été reconnu coupable de "participation avec arme à un attroupement en dissimulant son visage", "violence et outrage sur une personne dépositaire de l'autorité publique" et "détention de substance ou produit explosif". Malgré cette condamnation, aucun mandat de dépôt n'a été émis. Le jeune homme est donc reparti libre, mais a obligation de suivre un stage de citoyenneté et n'a pas le droit de se déplacer avec une arme. Deux autres personnes, soupçonnées d'avoir participé aux violences lors des manifestations, doivent comparaître devant l" Générez la suite du texte :
e tribunal correctionnel de Beauvais les 26 décembre et 11 janvier prochains. Depuis le début du mois, lycéens et étudiants se mobilisent à travers tout le pays pour réclamer le retrait de la réforme du bac. En marge de cette mobilisation, 150 jeunes, âgés de 12 à 21 ans, avaient été interpellés jeudi 6 décembre près d'un lycée de Mantes-la-Jolie (Yvelines) après des incidents. La vidéo de leur arrestation, genoux au sol et mains sur la tête, avait provoqué un tollé.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Rédiger la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Rédige la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Rédigez la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Imaginer la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Imagine la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Imaginez la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Ecrire la suite du texte :
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"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Ecris la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Ecriver la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Développer la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Développe la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Développez la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Générer la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Génère la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Plus des trois quarts des Français estiment que les mesures annoncées par Emmanuel Macron pour lutter contre le "séparatisme islamiste" sont nécessaires (77%) et utiles pour lutter contre la radicalisation (71%). À l'inverse, 39% seulement des sondés pensent que ces mesures vont stigmatiser les personnes de confessions musulmanes, contre 59% qui pensent le contraire.Les mesures annoncées par le président sont donc plutôt bien accueillies par les Français. Il faut souligner que ce soutien transcende les clivages même si les sympathisants de la gauche redoutent davantage une stigmatisation des musulmans (52%). • Réforme des retraites : les sondés ne veulent pas du "49.3"Près des trois quarts des Français - 72% - déclarent désapprouver l'éventuel recours à l'article 49.3 de la Constitution pour adopter la réforme des retraites, contre 28% seulement qui l'approuvent. L'approbation apparaît majoritaire chez les sympathisants de La République en marche (LREM) (74%).Elle apparaît aussi plus f" Générez la suite du texte :
orte - bien que minoritaire - au sein des catégories de la population qui se montrent plus favorables à la réforme des retraites : les 65 ans et plus (37% d'approbation), les cadres (37% également) ainsi que les sympathisants Les Républicains (LR) (39%). • La cote d'Édouard Philippe à la hausse Moins exposé sur la réforme des retraites, le Premier ministre Édouard Philippe voit sa cote de popularité remonter (40%; +3) tandis que celle d'Emmanuel Macron se stabilise (33%, comme en janvier). Le chef du gouvernement retrouve les points perdus le mois dernier. De manière très concrète, il regagne les 10 points perdus en janvier chez les sympathisants LR (54%; +10 points) qui lui reprochaient notamment le report de l'âge pivot.Emmanuel Macron voit sa cote de popularité se stabiliser : 33% des Français déclarent avoir une bonne opinion du chef de l'État, comme en janvier, contre 67% (+1 point) qui en ont une mauvaise opinion.• Agnès Buzyn de plus en plus populaire Dans un contexte pré-électoral et de campagne pour les élections municipales, la plupart des personnalités politiques testées dans notre baromètre voient leur cote d'influence progresser. Certaines hausses sont particulièrement intéressantes : Ainsi, la plus forte progression est enregistrée par Agnès Buzyn. La tête de liste LREM à Paris se hisse en 3e position ex-æquo chez les sympathisants LREM : 58% d'entre eux aimeraient qu'elle ait davantage d'influence dans la vie politique française. • Rachida Dati, plébiscitée à droite Rachida Dati, tête de liste LR à Paris, voit quant à elle sa cote d'influence progresser sensiblement chez les sympathisants de la droite (55%, +19 points), notamment les sympathisants LR (59%, +17 points). Auprès de ces derniers, elle se classe en 4e position et fait presque jeu égal avec Xavier Bertrand (3e avec 60%). Cédric Villani, enfin, progresse de 5 points chez l'ensemble des Français (20%) : il apparaît peu marqué politiquement. Seule Anne Hidalgo ne progresse pas (18% de cote d'influence) mais elle est aussi la personnalité "la plus installée" dans l'opinion publique. * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français interrogés par Internet du 19 au 20 février 2020. Échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
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ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Imaginer la suite du texte :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Imagine la suite du texte :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Imaginez la suite du texte :
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"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Ecrire la suite du texte :
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"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Ecris la suite du texte :
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"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Ecriver la suite du texte :
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"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Développer la suite du texte :
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ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Générer la suite du texte :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Génère la suite du texte :
ées, la plupart pour participation à un rassemblement illégal.Une femme accusée d'avoir scandé des slogans en faveur de l'indépendance a été placée en détention, en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale imposée à Hong Kong par Pékin, selon la police.Des vidéos retransmises en direct ont montré que trois figures de proue du mouvement pro-démocratie, Leung Kwok-hung, Figo Chan et Raphael Wong, ont été interpellées.Ces manifestations sont intervenues après l'arrestation dimanche matin d'un militant pro-démocratie par l'unité de police en charge de la sécurité nationale. Tam Tak-chi, un animateur de radio, est accusé d'avoir "tenu des propos séditieux", mais la police n'a pas précisé quelle était la nature de ces propos. Le Bureau de liaison chinois à Hong Kong a jugé dimanche soir les manifestants "sans coeur". Un porte-parole a ajouté : "Il n'y aura aucune tolérance envers tout acte qui viole la loi de sécurité nationale".Dans un communiqué, le gouvernment de Hong Kong a condamné "les actes illégaux et égoïstes" des manifestants. "La priorité pour Hong Kong actuellement est de s'unir et de combattre ensemble le virus", a affirmé un porte-parole gouvernemental.Pékin a lancé une vaste campagne de répression à l'encontre de la dissidence hongkongais, après sept mois consécutifs de manifestations massives et souvent violentes contre la loi de sécurité nationale qui ont secoué le centre financier l'an passé. Les rassemblements ont été pratiquement tous interdits cette année, les autorités invoquant à la fois des problèmes de sécurité et les mesures destinées à lutter contre le coronavirus.Depuis l'entrée en vigueur fin juin de cette nouvelle loi, au moins 22 personnes, parmi lesquelles le patron de presse Jimmy Lai et la célèbre militante Agnes Chow, ont été arrêtées.Vendredi, des rapporteurs spéciaux de l'ONU ont averti que cette loi controversée constituait un risque pour les libertés et le droit de manifester dans l'ancienne colonie britannique.Les autorités hongkongaises affirment que cette nouvelle législation n'a pas affecté les libertés d'expression et de réunion, garanties en vertu du principe "Un pays, deux systèmes" établi lors de la rétrocession de Hong Kong, ancienne colonie britannique, à la Chine en 1997. Les militants pour la démocratie dénoncent pour leur part un texte liberticide.
"Ce scrutin devait se tenir dimanche et permettre de renouveler le Conseil législatif (Legco, le Parlement), l'un des rares qui permet aux Hongkongais de voter.La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, nommée par Pékin, avait annoncé le 31 juillet le report d'un an de ces élections, le justifiant par la pandémie de coronavirus. Cette décision a suscité la colère de l'opposition, qui entendait capitaliser dans les urnes le ressentiment anti-gouvernemental.Des centaines de policiers anti-émeute ont été déployés dimanche dans le quartier de Kowloon afin de contrecarrer les appels à manifester lancés sur internet. Tout au long de l'après-midi, la police a été prise à partie par manifestants qui scandaient "Rendez-moi mon vote!" et "Flics corrompus!", tandis que les policiers procédaient à de multiples interpellations et des fouilles et ordonnaient à la foule de se disperser.- Répression -Dans un communiqué publié sur Facebook, la police a déclaré qu'au moins 289 personnes avaient été arrêt" Générez la suite du texte :
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"Elle passait une soirée pourtant tranquille. Mais cette Bretonne de 86 ans a eu une belle frayeur samedi 21 juillet vers 22h, raconte Ouest France. Alors qu'elle regardait la télévision, Louisette Lemoine voit des guêpes sur son bras et se fait même piquer au cou. L'octogénaire est apeurée et ne trouve qu'une solution : se replier dans sa chambre pour appeler de l'aide, à commencer par sa fille qui vient l'évacuer.2 000 guêpes sous le toitQuand l'entreprise Farago, spécialisée dans la lutte contre les guêpes et frelons, arrive sur place, elle découvre que les insectes arrivent en fait de l'extérieur avant de rentrer dans la maison par un trou, placé au-dessus du réfrigérateur de Madame Lemoine. "Les guêpes ont utilisé le plâtre et le placoplâtre pour faire leur nid, il y avait plus de 2 000 guêpes. Cela devait faire au moins trois à quatre mois qu'elles avaient commencé leur nid", explique l'entreprise dans Ouest France.La vieille dame a pu regagner son domicile une heure après l'opéra" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
tion, avec une grosse frayeur dans ses bagages.
"Elle passait une soirée pourtant tranquille. Mais cette Bretonne de 86 ans a eu une belle frayeur samedi 21 juillet vers 22h, raconte Ouest France. Alors qu'elle regardait la télévision, Louisette Lemoine voit des guêpes sur son bras et se fait même piquer au cou. L'octogénaire est apeurée et ne trouve qu'une solution : se replier dans sa chambre pour appeler de l'aide, à commencer par sa fille qui vient l'évacuer.2 000 guêpes sous le toitQuand l'entreprise Farago, spécialisée dans la lutte contre les guêpes et frelons, arrive sur place, elle découvre que les insectes arrivent en fait de l'extérieur avant de rentrer dans la maison par un trou, placé au-dessus du réfrigérateur de Madame Lemoine. "Les guêpes ont utilisé le plâtre et le placoplâtre pour faire leur nid, il y avait plus de 2 000 guêpes. Cela devait faire au moins trois à quatre mois qu'elles avaient commencé leur nid", explique l'entreprise dans Ouest France.La vieille dame a pu regagner son domicile une heure après l'opéra" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Elle passait une soirée pourtant tranquille. Mais cette Bretonne de 86 ans a eu une belle frayeur samedi 21 juillet vers 22h, raconte Ouest France. Alors qu'elle regardait la télévision, Louisette Lemoine voit des guêpes sur son bras et se fait même piquer au cou. L'octogénaire est apeurée et ne trouve qu'une solution : se replier dans sa chambre pour appeler de l'aide, à commencer par sa fille qui vient l'évacuer.2 000 guêpes sous le toitQuand l'entreprise Farago, spécialisée dans la lutte contre les guêpes et frelons, arrive sur place, elle découvre que les insectes arrivent en fait de l'extérieur avant de rentrer dans la maison par un trou, placé au-dessus du réfrigérateur de Madame Lemoine. "Les guêpes ont utilisé le plâtre et le placoplâtre pour faire leur nid, il y avait plus de 2 000 guêpes. Cela devait faire au moins trois à quatre mois qu'elles avaient commencé leur nid", explique l'entreprise dans Ouest France.La vieille dame a pu regagner son domicile une heure après l'opéra" Ecriver la suite du texte :
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"Elle passait une soirée pourtant tranquille. Mais cette Bretonne de 86 ans a eu une belle frayeur samedi 21 juillet vers 22h, raconte Ouest France. Alors qu'elle regardait la télévision, Louisette Lemoine voit des guêpes sur son bras et se fait même piquer au cou. L'octogénaire est apeurée et ne trouve qu'une solution : se replier dans sa chambre pour appeler de l'aide, à commencer par sa fille qui vient l'évacuer.2 000 guêpes sous le toitQuand l'entreprise Farago, spécialisée dans la lutte contre les guêpes et frelons, arrive sur place, elle découvre que les insectes arrivent en fait de l'extérieur avant de rentrer dans la maison par un trou, placé au-dessus du réfrigérateur de Madame Lemoine. "Les guêpes ont utilisé le plâtre et le placoplâtre pour faire leur nid, il y avait plus de 2 000 guêpes. Cela devait faire au moins trois à quatre mois qu'elles avaient commencé leur nid", explique l'entreprise dans Ouest France.La vieille dame a pu regagner son domicile une heure après l'opéra" Développer la suite du texte :
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
ne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
ne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
ne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Rédiger la suite du texte :
ne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Rédige la suite du texte :
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaî" Rédigez la suite du texte :
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