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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris " Ecris la suite du texte :
pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris " Ecriver la suite du texte :
pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris " Développer la suite du texte :
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris " Développe la suite du texte :
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au to" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
tal, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au to" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
tal, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au to" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
tal, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au to" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au to" Ecriver la suite du texte :
tal, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au to" Développer la suite du texte :
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son départ" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ement, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son départ" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son départ" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
ement, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
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ement, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Rédiger la suite du texte :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Rédige la suite du texte :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Rédigez la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Imaginer la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Imagine la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Imaginez la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Ecrire la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Ecris la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Ecriver la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Développer la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Développe la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Développez la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Générer la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Génère la suite du texte :
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"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à ma" Générez la suite du texte :
intes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
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n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Développer la suite du texte :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Développe la suite du texte :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.