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"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Développez la suite du texte :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Générer la suite du texte :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Génère la suite du texte :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France " Générez la suite du texte :
n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Rédiger la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Rédige la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Rédigez la suite du texte :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Imaginer la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Imagine la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Imaginez la suite du texte :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Ecrire la suite du texte :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Ecris la suite du texte :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Ecriver la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Développer la suite du texte :
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"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Développe la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Développez la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internat" Générer la suite du texte :
ionale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiqu" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiqu" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiqu" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
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es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiqu" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiqu" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiqu" Générez la suite du texte :
es et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électr" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
iques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électr" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électr" Ecriver la suite du texte :
iques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électr" Développer la suite du texte :
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""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
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seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Rédiger la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Rédige la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Rédigez la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Imaginer la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Imagine la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Imaginez la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Ecrire la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Ecris la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Ecriver la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Développer la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Développe la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Développez la suite du texte :
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""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Générer la suite du texte :
seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, " Génère la suite du texte :
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