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  - lincoln/newsquadfr
  - pragnakalp/squad_v2_french_translated
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  - text: >-
      Dans le cas d'un décès d'un salarié, comment peuvent être vessées les
      allocations ?
    context: >-
      En cas de décès d'un salarié, quelle qu'en soit la cause, après un an
      d'ancienneté et avant son départ en retraite, la totalité des allocations
      auxquelles pourront prétendre les ayants droit, ou à défaut les
      bénéficiaires désignés par celui-ci, est au minimum de : - 50 p. 100 du
      salaire annuel pour les salariés célibataires, veufs ou divorcés sans
      personne à charge ; - 90 p. 100 du salaire annuel pour les salariés mariés
      sans personne à charge ou pour les salariés célibataires, veufs ou
      divorcés ayant une personne à charge ; - 110 p. 100 du salaire annuel pour
      les salariés mariés ayant une personne à charge ou pour les salariés
      célibataires, veufs ou divorcés ayant deux personnes à charge ; -
      supplément par enfant à charge, 20 p. 100 du traitement annuel. Ces
      allocations pourront être versées soit en capital, soit sous forme d'une
      rente équivalente. Les personnes à charge sont celles reconnues comme
      telles au point de vue fiscal. Le salaire annuel s'entend comme le total
      des rémunérations salariales brutes acquises au cours des douze mois ayant
      précédé l'événement générateur de droits, à l'exclusion des primes et
      gratifications, des majorations pour heures supplémentaires au-delà de
      l'horaire normal, des majorations de salaires ou indemnités liées à un
      déplacement ou à un détachement. Les allocations ainsi prévues, qui
      s'ajouteront à celles perçues de la sécurité sociale, seront garanties par
      tout moyen au choix des entreprises (systèmes de prévoyance classiques des
      caisses complémentaires de cadres ou de non-cadres, assurances privées,
      etc.)
  - text: Quel est le coefficient d'un agent de maitrise ?
    context: >-
      La représentation des salariés est définie par les dispositions légales en
      vigueur. A titre indicatif, en vue de la composition des collèges
      électoraux élisant la délégation du personnel au Comité Social et
      Economique (CSE) conformément aux dispositions légales, les salariés
      employés, techniciens et agents de maîtrise (ETAM) peuvent être définis
      comme suit : Les ouvriers et employés : coefficient 240 au coefficient 250
      de la grille de classifications des ETAM. Les techniciens : coefficient
      275 au coefficient 355 de la grille de classifications des ETAM. Les
      agents de maîtrise : coefficient 400 au coefficient 500 de la grille de
      classifications des ETAM. La contribution versée chaque année par
      l’employeur pour financer les institutions sociales du CSE est fixée par
      accord d’entreprise. À défaut d’accord, le rapport de cette contribution à
      la masse salariale brute ne peut être inférieur au même rapport existant
      pour l’année précédente.
  - text: >-
      Combien de jour à l'avance le salarié doit faire la demande pour
      participer aux réunions des organisations syndicales ?
    context: >-
      Des absences non rémunérées sont accordées aux salariés mandatés par leurs
      organisations syndicales pour participer, d’une part, à leurs réunions
      statutaires et, d’autre part, à une réunion préparatoire pour chaque
      réunion de la commission paritaire permanente de négociation et
      d’interprétation (CPPNI). Ils devront en faire la demande au moins huit
      (8) jours à l’avance et produire un document desdites organisations.
      Conformément aux dispositions légales, chaque délégué syndical peut
      également utiliser des heures de délégation, hormis celles mentionnées à
      l’article L. 2143-16 du Code du travail, pour participer, au titre de son
      organisation, à des négociations ou à des concertations à un autre niveau
      que celui de l’entreprise ou aux réunions d’instances organisées dans
      l’intérêt des salariés de l’entreprise ou de la branche. Conformément aux
      dispositions légales, les salariés membres des commissions paritaires de
      branche bénéficient du statut protecteur. Leur protection est celle des
      délégués syndicaux. Cette protection leur est due quelle que soit la date
      de création de la commission. Lorsque les salariés seront appelés à
      participer aux réunions paritaires décidées entre les employeurs et les
      organisations syndicales représentatives au niveau national, des
      autorisations d’absence seront accordées, les heures correspondantes
      rémunérées et non décomptées sur les congés payés dans la limite d’un
      nombre de salariés fixés d’un commun accord par les employeurs et les
      organisations syndicales représentatives au niveau national. Le nombre de
      salariés d’une même entreprise autorisés à s’absenter simultanément sera
      fixé d’un commun accord par les employeurs et les organisations syndicales
      représentatives au niveau national. Les employeurs et les organisations
      syndicales représentatives au niveau national en cause s’efforceront, dans
      les cas visés aux alinéas 1 et 4 ci-dessus, de faire en sorte que ces
      absences n’apportent pas de gêne appréciable à la marche générale de
      l’entreprise ou au libre exercice du droit syndical.
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Question-Answer CCN Syntec 1486