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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L811-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sans que s'y oppose un secret professionnel autre que le secret médical, les autorités ainsi que les personnes privées mentionnées aux 1° à 8° de l'article L. 811-4 transmettent à l'autorité administrative compétente, agissant dans le cadre de l'instruction d'une première demande de titre ou d'une demande de renouvellement de titre ou dans le cadre des contrôles prévus aux articles L. 432-2, L. 432-5 et L. 433-1, les documents et les informations nécessaires au contrôle de la sincérité et de l'exactitude des déclarations souscrites ou au contrôle de l'authenticité des pièces produites en vue de l'attribution d'un droit au séjour ou de sa vérification.
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L811-3
LEGIARTI000042774666
LEGIARTI000042773644
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
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Article
<p><br/>Sans que s'y oppose un secret professionnel autre que le secret médical, les autorités ainsi que les personnes privées mentionnées aux 1° à 8° de l'article L. 811-4 transmettent à l'autorité administrative compétente, agissant dans le cadre de l'instruction d'une première demande de titre ou d'une demande de renouvellement de titre ou dans le cadre des contrôles prévus aux articles L. 432-2, L. 432-5 et L. 433-1, les documents et les informations nécessaires au contrôle de la sincérité et de l'exactitude des déclarations souscrites ou au contrôle de l'authenticité des pièces produites en vue de l'attribution d'un droit au séjour ou de sa vérification.</p>
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LEGI
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LEGISCTA000042774668
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Section 3 : Droit de communication
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LEGISCTA000042773642
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre I : VÉRIFICATIONS PRÉALABLES À LA DÉLIVRANCE OU AU RETRAIT DES TITRES DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Droit de communication
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L811-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Le droit de communication prévu à l'article L. 811-3 s'exerce sur demande de l'autorité administrative compétente, de manière ponctuelle et à titre gratuit, quel que soit le support utilisé pour la conservation des documents, auprès : 1° Des autorités dépositaires des actes d'état civil ; 2° Des administrations chargées du travail et de l'emploi ; 3° Des organismes de sécurité sociale et de l'institution mentionnée à l'article L. 5312-1 du code du travail ; 4° Des établissements scolaires et des établissements d'enseignement supérieur ; 5° Des fournisseurs d'énergie et des services de communications électroniques ; 6° Des établissements de santé publics et privés ; 7° Des établissements bancaires et des organismes financiers ; 8° Des greffes des tribunaux de commerce. Pour l'application du 5°, le droit de communication ne peut porter sur les données techniques définies à l'article L. 34-1 du code des postes et des communications électroniques.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L811-4
LEGIARTI000042774664
LEGIARTI000042773646
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
858,993,458
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Article
<p><br/>Le droit de communication prévu à l'article L. 811-3 s'exerce sur demande de l'autorité administrative compétente, de manière ponctuelle et à titre gratuit, quel que soit le support utilisé pour la conservation des documents, auprès :<br/>1° Des autorités dépositaires des actes d'état civil ;<br/>2° Des administrations chargées du travail et de l'emploi ;<br/>3° Des organismes de sécurité sociale et de l'institution mentionnée à l'article L. 5312-1 du code du travail ;<br/>4° Des établissements scolaires et des établissements d'enseignement supérieur ;<br/>5° Des fournisseurs d'énergie et des services de communications électroniques ;<br/>6° Des établissements de santé publics et privés ;<br/>7° Des établissements bancaires et des organismes financiers ;<br/>8° Des greffes des tribunaux de commerce.<br/>Pour l'application du 5°, le droit de communication ne peut porter sur les données techniques définies à l'article L. 34-1 du code des postes et des communications électroniques.</p>
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LEGI
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LEGISCTA000042774668
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Section 3 : Droit de communication
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LEGISCTA000042773642
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre I : VÉRIFICATIONS PRÉALABLES À LA DÉLIVRANCE OU AU RETRAIT DES TITRES DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Droit de communication
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L811-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'autorité administrative compétente est tenue d'informer la personne dont elle s'apprête à retirer la carte de séjour sur le fondement d'informations ou de documents recueillis auprès des autorités ou des personnes privées mentionnées aux 1° à 8° de l'article L. 811-4 de la teneur et de l'origine des informations et documents ainsi obtenus. Elle communique une copie des documents susmentionnés à l'intéressé s'il en fait la demande. La conservation des données à caractère personnel concernant l'étranger ne peut excéder la durée cumulée du titre de séjour dont il est titulaire et, le cas échéant, de la procédure de renouvellement dudit titre. La durée de conservation est prolongée jusqu'à l'épuisement des voies et délais de recours contre les décisions administratives édictées sur le fondement d'informations transmises en application de l'article L. 811-3 et, si un recours a été déposé, jusqu'à ce que la juridiction compétente ait statué. A la demande de l'étranger, les données à caractère personnel le concernant sont, selon le cas, rectifiées, complétées, mises à jour ou effacées si elles sont inexactes, incomplètes ou périmées ou si leur collecte, leur utilisation, leur communication ou leur conservation n'est pas compatible avec les finalités déterminées à l'article L. 811-3.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L811-5
LEGIARTI000042774662
LEGIARTI000042773648
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,288,490,187
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Article
<p><br/>L'autorité administrative compétente est tenue d'informer la personne dont elle s'apprête à retirer la carte de séjour sur le fondement d'informations ou de documents recueillis auprès des autorités ou des personnes privées mentionnées aux 1° à 8° de l'article L. 811-4 de la teneur et de l'origine des informations et documents ainsi obtenus. Elle communique une copie des documents susmentionnés à l'intéressé s'il en fait la demande.<br/>La conservation des données à caractère personnel concernant l'étranger ne peut excéder la durée cumulée du titre de séjour dont il est titulaire et, le cas échéant, de la procédure de renouvellement dudit titre. La durée de conservation est prolongée jusqu'à l'épuisement des voies et délais de recours contre les décisions administratives édictées sur le fondement d'informations transmises en application de l'article L. 811-3 et, si un recours a été déposé, jusqu'à ce que la juridiction compétente ait statué.<br/>A la demande de l'étranger, les données à caractère personnel le concernant sont, selon le cas, rectifiées, complétées, mises à jour ou effacées si elles sont inexactes, incomplètes ou périmées ou si leur collecte, leur utilisation, leur communication ou leur conservation n'est pas compatible avec les finalités déterminées à l'article L. 811-3.</p>
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LEGISCTA000042774668
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Section 3 : Droit de communication
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LEGISCTA000042773642
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre I : VÉRIFICATIONS PRÉALABLES À LA DÉLIVRANCE OU AU RETRAIT DES TITRES DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Droit de communication
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L811-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les modalités d'application de la présente section sont déterminées par décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés. Ce décret définit notamment la nature des documents et des informations susceptibles d'être communiqués à l'autorité administrative compétente par chacune des autorités ou des personnes privées mentionnées aux 1° à 8° de l'article L. 811-4.
1,619,827,200,000
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L811-6
LEGIARTI000042774660
LEGIARTI000042773650
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,717,986,916
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null
null
Article
<p><br/>Les modalités d'application de la présente section sont déterminées par décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés. Ce décret définit notamment la nature des documents et des informations susceptibles d'être communiqués à l'autorité administrative compétente par chacune des autorités ou des personnes privées mentionnées aux 1° à 8° de l'article L. 811-4.</p>
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Section 3 : Droit de communication
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LEGISCTA000042773642
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre I : VÉRIFICATIONS PRÉALABLES À LA DÉLIVRANCE OU AU RETRAIT DES TITRES DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Droit de communication
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L812-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Tout étranger doit être en mesure de présenter les pièces ou documents sous le couvert desquels il est autorisé à circuler ou à séjourner en France à toute réquisition d'un officier de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale et, sur l'ordre et sous la responsabilité de celui-ci, des agents de police judiciaire et agents de police judiciaire adjoints mentionnés à l'article 20 et au 1° de l'article 21 du code de procédure pénale , dans les conditions prévues à la présente section.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L812-1
LEGIARTI000042774654
LEGIARTI000042773656
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
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Article
<p><br/>Tout étranger doit être en mesure de présenter les pièces ou documents sous le couvert desquels il est autorisé à circuler ou à séjourner en France à toute réquisition d'un officier de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale et, sur l'ordre et sous la responsabilité de celui-ci, des agents de police judiciaire et agents de police judiciaire adjoints mentionnés à l'article 20 et au <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006574886&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de procédure pénale - art. 21 (M)'>1° de l'article 21 du code de procédure pénale</a>, dans les conditions prévues à la présente section.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774656
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Section 1 : Contrôle des obligations de détention, de port et de présentation des pièces et documents autorisant à circuler ou séjourner en France
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LEGISCTA000042773654
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre II : CONTRÔLE DE LA DÉTENTION DES TITRES &gt; Section 1 : Contrôle des obligations de détention, de port et de présentation des pièces et documents autorisant à circuler ou séjourner en France
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L812-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les contrôles des obligations de détention, de port et de présentation des pièces et documents prévus à l'article L. 812-1 peuvent être effectués dans les situations suivantes : 1° En dehors de tout contrôle d'identité, si des éléments objectifs déduits de circonstances extérieures à la personne même de l'intéressé sont de nature à faire apparaître sa qualité d'étranger ; ces contrôles ne peuvent être pratiqués que pour une durée n'excédant pas six heures consécutives dans un même lieu et ne peuvent consister en un contrôle systématique des personnes présentes ou circulant dans ce lieu ; 2° A la suite d'un contrôle d'identité effectué en application des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale, selon les modalités prévues à ces articles, si des éléments objectifs déduits de circonstances extérieures à la personne même de l'intéressé sont de nature à faire apparaître sa qualité d'étranger ; 3° En application de l'article 67 quater du code des douanes, selon les modalités prévues à cet article.
1,619,827,200,000
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L812-2
LEGIARTI000042774652
LEGIARTI000042773658
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
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null
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Article
<p><br/>Les contrôles des obligations de détention, de port et de présentation des pièces et documents prévus à l'article L. 812-1 peuvent être effectués dans les situations suivantes :<br/>1° En dehors de tout contrôle d'identité, si des éléments objectifs déduits de circonstances extérieures à la personne même de l'intéressé sont de nature à faire apparaître sa qualité d'étranger ; ces contrôles ne peuvent être pratiqués que pour une durée n'excédant pas six heures consécutives dans un même lieu et ne peuvent consister en un contrôle systématique des personnes présentes ou circulant dans ce lieu ;<br/>2° A la suite d'un contrôle d'identité effectué en application des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale, selon les modalités prévues à ces articles, si des éléments objectifs déduits de circonstances extérieures à la personne même de l'intéressé sont de nature à faire apparaître sa qualité d'étranger ;<br/>3° En application de l'article 67 quater du code des douanes, selon les modalités prévues à cet article.</p>
32,472,144,000,000
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LEGI
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LEGISCTA000042774656
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Section 1 : Contrôle des obligations de détention, de port et de présentation des pièces et documents autorisant à circuler ou séjourner en France
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LEGISCTA000042773654
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre II : CONTRÔLE DE LA DÉTENTION DES TITRES &gt; Section 1 : Contrôle des obligations de détention, de port et de présentation des pièces et documents autorisant à circuler ou séjourner en France
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L812-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En vue de vérifier le respect des obligations de détention, de port et de présentation des pièces ou documents prévus à l'article L. 812-1 ou de rechercher et constater les infractions relatives à l'entrée et au séjour des étrangers en France, les officiers de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale peuvent procéder à la visite sommaire des véhicules circulant sur la voie publique : 1° Dans une zone comprise entre la frontière terrestre de la France avec les États parties à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 et une ligne tracée à vingt kilomètres en deçà ; 1° bis Dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à vingt kilomètres en deçà, dans les départements désignés par arrêté ministériel en raison de la pression migratoire particulière qui s'y exerce ; 1° ter Dans un rayon maximal de dix kilomètres autour des ports et aéroports constituant des points de passage frontaliers au sens de l'article 2 du règlement (UE) 2016/399 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes (code frontières Schengen), désignés par arrêté du ministre de l'intérieur en raison de l'importance de leur fréquentation et de leur vulnérabilité ; 2° Sur les aires de stationnement des sections autoroutières commençant dans les zones mentionnées aux 1° à 1° ter jusqu'au premier péage lorsqu'il se situe au-delà des limites de cette zone, ainsi que sur le lieu de ce péage et les aires de stationnement attenantes. L'officier de police judiciaire peut être assisté des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnés à l'article 20 et au 1° de l'article 21 du code de procédure pénale.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L812-3
LEGIARTI000049051143
LEGIARTI000042773662
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p>En vue de vérifier le respect des obligations de détention, de port et de présentation des pièces ou documents prévus à l'article L. 812-1 ou de rechercher et constater les infractions relatives à l'entrée et au séjour des étrangers en France, les officiers de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale peuvent procéder à la visite sommaire des véhicules circulant sur la voie publique :</p><p>1° Dans une zone comprise entre la frontière terrestre de la France avec les États parties à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 et une ligne tracée à vingt kilomètres en deçà ;</p><p>1° bis Dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à vingt kilomètres en deçà, dans les départements désignés par arrêté ministériel en raison de la pression migratoire particulière qui s'y exerce ;</p><p>1° ter Dans un rayon maximal de dix kilomètres autour des ports et aéroports constituant des points de passage frontaliers au sens de l'article 2 du règlement (UE) 2016/399 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes (code frontières Schengen), désignés par arrêté du ministre de l'intérieur en raison de l'importance de leur fréquentation et de leur vulnérabilité ;</p><p>2° Sur les aires de stationnement des sections autoroutières commençant dans les zones mentionnées aux 1° à 1° ter jusqu'au premier péage lorsqu'il se situe au-delà des limites de cette zone, ainsi que sur le lieu de ce péage et les aires de stationnement attenantes.</p><p>L'officier de police judiciaire peut être assisté des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnés à l'article 20 et au 1° de l'article 21 du code de procédure pénale.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774648
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Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre II : CONTRÔLE DE LA DÉTENTION DES TITRES &gt; Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L812-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Il ne peut être procédé à la visite sommaire du véhicule prévue à l'article L. 812-3 qu'avec l'accord du conducteur ou, à défaut, sur instructions du procureur de la République. Dans l'attente des instructions du procureur de la République, le véhicule peut être immobilisé pour une durée qui ne peut excéder quatre heures. La visite, dont la durée est limitée au temps strictement nécessaire, se déroule en présence du conducteur et donne lieu à l'établissement d'un procès-verbal mentionnant les dates et heures du début et de la fin des opérations. Un exemplaire de ce procès-verbal est remis au conducteur et un autre transmis sans délai au procureur de la République.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L812-4
LEGIARTI000042774646
LEGIARTI000042773664
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
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null
Article
<p><br/>Il ne peut être procédé à la visite sommaire du véhicule prévue à l'article L. 812-3 qu'avec l'accord du conducteur ou, à défaut, sur instructions du procureur de la République. Dans l'attente des instructions du procureur de la République, le véhicule peut être immobilisé pour une durée qui ne peut excéder quatre heures.<br/>La visite, dont la durée est limitée au temps strictement nécessaire, se déroule en présence du conducteur et donne lieu à l'établissement d'un procès-verbal mentionnant les dates et heures du début et de la fin des opérations. Un exemplaire de ce procès-verbal est remis au conducteur et un autre transmis sans délai au procureur de la République.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774646
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774650
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Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
null
null
LEGISCTA000042773660
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre II : CONTRÔLE DE LA DÉTENTION DES TITRES &gt; Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L812-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En vue de vérifier le respect des obligations de détention, de port et de présentation des pièces ou documents prévus à l' article L. 812-1 ou de rechercher et de constater les infractions relatives à l'entrée et au séjour des étrangers en France, les officiers de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale peuvent procéder à la visite sommaire de tout navire ou de tout autre engin flottant dans les eaux intérieures, dans la mer territoriale et dans la zone contiguë. L'officier de police judiciaire peut être assisté des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnés à l' article 20 et au 1° de l' article 21 du code de procédure pénale .
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L812-5
LEGIARTI000049044317
LEGIARTI000049044317
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,789,569,705
null
null
null
Article
<p>En vue de vérifier le respect des obligations de détention, de port et de présentation des pièces ou documents prévus à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773656&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 812-1 </a>ou de rechercher et de constater les infractions relatives à l'entrée et au séjour des étrangers en France, les officiers de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale peuvent procéder à la visite sommaire de tout navire ou de tout autre engin flottant dans les eaux intérieures, dans la mer territoriale et dans la zone contiguë. </p><p>L'officier de police judiciaire peut être assisté des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnés à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006574880&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 20</a> et au 1° de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006574886&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 21 du code de procédure pénale</a>.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049044317
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774650
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Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
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LEGISCTA000042773660
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre II : CONTRÔLE DE LA DÉTENTION DES TITRES &gt; Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L812-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Il ne peut être procédé à la visite sommaire prévue à l' article L. 812-5 qu'avec l'accord du capitaine du navire ou de son représentant ou, à défaut, sur instructions du procureur de la République. Le représentant de l'Etat en mer est informé de la visite avant la montée à bord des officiers de police judiciaire. Dans l'attente des instructions du procureur de la République, le navire peut être immobilisé, lorsqu'il est situé dans les limites administratives des ports maritimes, pour une durée qui ne peut excéder quatre heures et, à défaut ou lorsque l'accès à bord est matériellement impossible, dérouté vers une position ou un port approprié. La visite, dont la durée est limitée au temps strictement nécessaire, se déroule en présence du capitaine du navire ou de son représentant. Lorsque la visite concerne des locaux affectés à un usage privé ou d'habitation, la visite est effectuée en présence de l'occupant des lieux. En l'absence de l'occupant des lieux, il ne peut être procédé à la visite qu'en présence du capitaine du navire ou de son représentant. La visite donne lieu à l'établissement d'un procès-verbal mentionnant les dates et heures du début et de la fin des opérations. Un exemplaire de ce procès-verbal est remis au capitaine du navire ou à son représentant et un autre transmis sans délai au procureur de la République.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L812-6
LEGIARTI000049044319
LEGIARTI000049044319
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,968,526,676
null
null
null
Article
<p>Il ne peut être procédé à la visite sommaire prévue à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000049044317&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 812-5</a> qu'avec l'accord du capitaine du navire ou de son représentant ou, à défaut, sur instructions du procureur de la République. Le représentant de l'Etat en mer est informé de la visite avant la montée à bord des officiers de police judiciaire. Dans l'attente des instructions du procureur de la République, le navire peut être immobilisé, lorsqu'il est situé dans les limites administratives des ports maritimes, pour une durée qui ne peut excéder quatre heures et, à défaut ou lorsque l'accès à bord est matériellement impossible, dérouté vers une position ou un port approprié. </p><p>La visite, dont la durée est limitée au temps strictement nécessaire, se déroule en présence du capitaine du navire ou de son représentant. Lorsque la visite concerne des locaux affectés à un usage privé ou d'habitation, la visite est effectuée en présence de l'occupant des lieux. En l'absence de l'occupant des lieux, il ne peut être procédé à la visite qu'en présence du capitaine du navire ou de son représentant. </p><p>La visite donne lieu à l'établissement d'un procès-verbal mentionnant les dates et heures du début et de la fin des opérations. Un exemplaire de ce procès-verbal est remis au capitaine du navire ou à son représentant et un autre transmis sans délai au procureur de la République.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049044319
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774650
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Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
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LEGISCTA000042773660
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre II : CONTRÔLE DE LA DÉTENTION DES TITRES &gt; Section 2 : Visite sommaire des véhicules dans les zones frontalières
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Si, à l'occasion d'un contrôle mentionné à l'article L. 812-2, il apparaît qu'un étranger n'est pas en mesure de justifier de son droit de circuler ou de séjourner en France, il peut être retenu aux fins de vérification de son droit de circulation ou de séjour sur le territoire français. Dans ce cadre, l'étranger peut être conduit dans un local de police ou de gendarmerie et y être retenu par un officier de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-1
LEGIARTI000042774640
LEGIARTI000042773670
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
429,496,729
null
null
null
Article
<p><br/>Si, à l'occasion d'un contrôle mentionné à l'article L. 812-2, il apparaît qu'un étranger n'est pas en mesure de justifier de son droit de circuler ou de séjourner en France, il peut être retenu aux fins de vérification de son droit de circulation ou de séjour sur le territoire français. Dans ce cadre, l'étranger peut être conduit dans un local de police ou de gendarmerie et y être retenu par un officier de police judiciaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774640
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774642
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Section 1 : Placement en retenue
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null
LEGISCTA000042773668
null
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null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 1 : Placement en retenue
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Lorsqu'un étranger retenu aux fins de vérification de son identité en application de l'article 78-3 du code de procédure pénale n'est pas en mesure de justifier de son droit de circuler ou de séjourner en France, les dispositions de l'article L. 813-1 sont applicables.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-2
LEGIARTI000042774638
LEGIARTI000042773672
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
858,993,458
null
null
null
Article
<p><br/>Lorsqu'un étranger retenu aux fins de vérification de son identité en application de l'article 78-3 du code de procédure pénale n'est pas en mesure de justifier de son droit de circuler ou de séjourner en France, les dispositions de l'article L. 813-1 sont applicables.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774638
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774642
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Section 1 : Placement en retenue
null
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LEGISCTA000042773668
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 1 : Placement en retenue
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'étranger ne peut être retenu que pour le temps strictement exigé par l'examen de son droit de circulation ou de séjour et, le cas échéant, le prononcé et la notification des décisions administratives applicables. La retenue ne peut excéder vingt-quatre heures à compter du début du contrôle mentionné à l'article L. 812-2. Dans le cas prévu à l'article L. 813-2, la durée de la retenue effectuée aux fins de vérification d'identité en application de l'article 78-3 du code de procédure pénale s'impute sur celle de la retenue pour vérification du droit de circulation ou de séjour.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-3
LEGIARTI000042774636
LEGIARTI000042773674
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,288,490,187
null
null
null
Article
<p><br/>L'étranger ne peut être retenu que pour le temps strictement exigé par l'examen de son droit de circulation ou de séjour et, le cas échéant, le prononcé et la notification des décisions administratives applicables. La retenue ne peut excéder vingt-quatre heures à compter du début du contrôle mentionné à l'article L. 812-2.<br/>Dans le cas prévu à l'article L. 813-2, la durée de la retenue effectuée aux fins de vérification d'identité en application de l'article 78-3 du code de procédure pénale s'impute sur celle de la retenue pour vérification du droit de circulation ou de séjour.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774636
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774642
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Section 1 : Placement en retenue
null
null
LEGISCTA000042773668
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 1 : Placement en retenue
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Le procureur de la République est informé dès le début de la retenue et peut y mettre fin à tout moment.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-4
LEGIARTI000042774634
LEGIARTI000042773676
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,717,986,916
null
null
null
Article
<p><br/>Le procureur de la République est informé dès le début de la retenue et peut y mettre fin à tout moment.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774634
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774642
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Section 1 : Placement en retenue
null
null
LEGISCTA000042773668
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 1 : Placement en retenue
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'étranger auquel est notifié un placement en retenue en application de l'article L. 813-1 est aussitôt informé par l'officier de police judiciaire ou, sous le contrôle de celui-ci, par l'agent de police judiciaire, dans une langue qu'il comprend ou dont il est raisonnable de supposer qu'il la comprend, des motifs de son placement en retenue, de la durée maximale de la mesure et du fait qu'il bénéficie des droits suivants : 1° Etre assisté par un interprète ; 2° Etre assisté, dans les conditions prévues à l'article L. 813-6, par un avocat désigné par lui ou commis d'office par le bâtonnier, qui est alors informé de cette demande par tous moyens et sans délai ; 3° Etre examiné par un médecin désigné par l'officier de police judiciaire ; le médecin se prononce sur l'aptitude au maintien de la personne en retenue et procède à toutes constatations utiles ; 4° Prévenir à tout moment sa famille et toute personne de son choix et de prendre tout contact utile afin d'assurer l'information et, le cas échéant, la prise en charge des enfants dont il assure normalement la garde, qu'ils l'aient ou non accompagné lors de son placement en retenue, dans les conditions prévues à l'article L. 813-7 ; 5° Avertir ou de faire avertir les autorités consulaires de son pays. Lorsque l'étranger ne parle pas le français, il est fait application des dispositions de l'article L. 141-2.
1,674,691,200,000
32,472,144,000,000
L813-5
LEGIARTI000047053147
LEGIARTI000042773680
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
2.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p>L'étranger auquel est notifié un placement en retenue en application de l'article L. 813-1 est aussitôt informé par l'officier de police judiciaire ou, sous le contrôle de celui-ci, par l'agent de police judiciaire, dans une langue qu'il comprend ou dont il est raisonnable de supposer qu'il la comprend, des motifs de son placement en retenue, de la durée maximale de la mesure et du fait qu'il bénéficie des droits suivants :<br/> 1° Etre assisté par un interprète ;<br/> 2° Etre assisté, dans les conditions prévues à l'article L. 813-6, par un avocat désigné par lui ou commis d'office par le bâtonnier, qui est alors informé de cette demande par tous moyens et sans délai ;<br/> 3° Etre examiné par un médecin désigné par l'officier de police judiciaire ; le médecin se prononce sur l'aptitude au maintien de la personne en retenue et procède à toutes constatations utiles ;<br/> 4° Prévenir à tout moment sa famille et toute personne de son choix et de prendre tout contact utile afin d'assurer l'information et, le cas échéant, la prise en charge des enfants dont il assure normalement la garde, qu'ils l'aient ou non accompagné lors de son placement en retenue, dans les conditions prévues à l'article L. 813-7 ;<br/> 5° Avertir ou de faire avertir les autorités consulaires de son pays.<br/> Lorsque l'étranger ne parle pas le français, il est fait application des dispositions de l'article L. 141-2.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774630
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047053147
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774632
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Section 2 : Droits garantis à l'étranger retenu
null
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LEGISCTA000042773678
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 2 : Droits garantis à l'étranger retenu
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'avocat de l'étranger retenu peut, dès son arrivée au lieu de retenue, communiquer avec lui pendant trente minutes, dans des conditions qui garantissent la confidentialité de l'entretien. L'étranger peut demander que l'avocat assiste à ses auditions. Dans ce cas, la première audition, sauf si elle porte uniquement sur les éléments d'identité, ne peut débuter sans la présence de l'avocat avant l'expiration d'un délai d'une heure suivant l'information adressée à celui-ci. Toutefois, les opérations de vérification ne nécessitant pas la présence de l'étranger peuvent être effectuées dès le début de la retenue. Au cours des auditions, l'avocat peut prendre des notes. A la fin de la retenue, l'avocat peut, à sa demande, consulter le procès-verbal établi en application du premier alinéa de l'article L. 813-13 ainsi que le certificat médical y étant, le cas échéant, annexé. Il peut formuler des observations écrites qui sont annexées au procès-verbal.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-6
LEGIARTI000042774628
LEGIARTI000042773682
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>L'avocat de l'étranger retenu peut, dès son arrivée au lieu de retenue, communiquer avec lui pendant trente minutes, dans des conditions qui garantissent la confidentialité de l'entretien.<br/>L'étranger peut demander que l'avocat assiste à ses auditions. Dans ce cas, la première audition, sauf si elle porte uniquement sur les éléments d'identité, ne peut débuter sans la présence de l'avocat avant l'expiration d'un délai d'une heure suivant l'information adressée à celui-ci. Toutefois, les opérations de vérification ne nécessitant pas la présence de l'étranger peuvent être effectuées dès le début de la retenue. Au cours des auditions, l'avocat peut prendre des notes.<br/>A la fin de la retenue, l'avocat peut, à sa demande, consulter le procès-verbal établi en application du premier alinéa de l'article L. 813-13 ainsi que le certificat médical y étant, le cas échéant, annexé. Il peut formuler des observations écrites qui sont annexées au procès-verbal.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774628
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774632
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Section 2 : Droits garantis à l'étranger retenu
null
null
LEGISCTA000042773678
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 2 : Droits garantis à l'étranger retenu
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-7
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Si des circonstances particulières l'exigent, l'officier de police judiciaire prévient lui-même la famille de l'étranger et la personne choisie par ce dernier de son placement en retenue. En tant que de besoin, il informe le procureur de la République aux fins d'instruction dans l'intérêt des enfants.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-7
LEGIARTI000042774626
LEGIARTI000042773684
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p><br/>Si des circonstances particulières l'exigent, l'officier de police judiciaire prévient lui-même la famille de l'étranger et la personne choisie par ce dernier de son placement en retenue.<br/>En tant que de besoin, il informe le procureur de la République aux fins d'instruction dans l'intérêt des enfants.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774626
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774632
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false
Section 2 : Droits garantis à l'étranger retenu
null
null
LEGISCTA000042773678
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 2 : Droits garantis à l'étranger retenu
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-8
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'officier de police judiciaire ou, sous le contrôle de celui-ci, un agent de police judiciaire, procède aux auditions de l'étranger retenu. Sous le contrôle de l'officier de police judiciaire, l'étranger est mis en mesure de fournir par tout moyen les pièces et documents requis. Il est procédé, s'il y a lieu, aux opérations de vérification nécessaires.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-8
LEGIARTI000042774622
LEGIARTI000042773688
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
357,913,941
null
null
null
Article
<p><br/>L'officier de police judiciaire ou, sous le contrôle de celui-ci, un agent de police judiciaire, procède aux auditions de l'étranger retenu.<br/>Sous le contrôle de l'officier de police judiciaire, l'étranger est mis en mesure de fournir par tout moyen les pièces et documents requis. Il est procédé, s'il y a lieu, aux opérations de vérification nécessaires.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774622
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774624
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Section 3 : Déroulement de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773686
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Déroulement de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-9
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour les seules nécessités de la vérification du droit de circulation et de séjour, il peut être procédé, sous le contrôle de l'officier de police judiciaire et en présence de l'étranger, avec l'accord de ce dernier ou, à défaut, après avoir informé par tout moyen le procureur de la République, à l'inspection des bagages et effets personnels de l'étranger et à leur fouille. En cas de découverte d'une infraction, il est établi un procès-verbal distinct de celui prévu au premier alinéa de l'article L. 813-13, qui mentionne le lieu et les dates et heures de début et de fin de ces opérations et dont un exemplaire est transmis sans délai au procureur de la République.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-9
LEGIARTI000042774620
LEGIARTI000042773690
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Pour les seules nécessités de la vérification du droit de circulation et de séjour, il peut être procédé, sous le contrôle de l'officier de police judiciaire et en présence de l'étranger, avec l'accord de ce dernier ou, à défaut, après avoir informé par tout moyen le procureur de la République, à l'inspection des bagages et effets personnels de l'étranger et à leur fouille.<br/>En cas de découverte d'une infraction, il est établi un procès-verbal distinct de celui prévu au premier alinéa de l'article L. 813-13, qui mentionne le lieu et les dates et heures de début et de fin de ces opérations et dont un exemplaire est transmis sans délai au procureur de la République.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774620
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774624
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Section 3 : Déroulement de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773686
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Déroulement de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-10
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Si l'étranger ne fournit pas d'éléments permettant d'apprécier son droit de circulation ou de séjour, les opérations de vérification peuvent donner lieu, après information du procureur de la République, à la prise d'empreintes digitales ou de photographies pour établir la situation de cette personne. Les empreintes digitales et photographies sont collectées en vue de l'établissement du droit de circuler ou de séjourner de l'étranger et ne peuvent être mémorisées et faire l'objet d'un traitement automatisé en application du 3° de l'article L. 142-1 que s'il apparaît, à l'issue de la retenue, que l'étranger ne dispose pas d'un droit de circulation ou de séjour.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-10
LEGIARTI000042774618
LEGIARTI000042773692
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Si l'étranger ne fournit pas d'éléments permettant d'apprécier son droit de circulation ou de séjour, les opérations de vérification peuvent donner lieu, après information du procureur de la République, à la prise d'empreintes digitales ou de photographies pour établir la situation de cette personne. Les empreintes digitales et photographies sont collectées en vue de l'établissement du droit de circuler ou de séjourner de l'étranger et ne peuvent être mémorisées et faire l'objet d'un traitement automatisé en application du 3° de l'article L. 142-1 que s'il apparaît, à l'issue de la retenue, que l'étranger ne dispose pas d'un droit de circulation ou de séjour.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774618
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774624
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Section 3 : Déroulement de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773686
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Déroulement de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-11
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Durant la retenue, lorsque sa participation aux opérations de vérification n'est pas nécessaire, l'étranger ne peut être placé dans une pièce occupée simultanément par une ou plusieurs personnes gardées à vue.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-11
LEGIARTI000042774616
LEGIARTI000042773694
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Durant la retenue, lorsque sa participation aux opérations de vérification n'est pas nécessaire, l'étranger ne peut être placé dans une pièce occupée simultanément par une ou plusieurs personnes gardées à vue.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774616
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774624
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Section 3 : Déroulement de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773686
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Déroulement de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-12
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les mesures de contrainte exercées sur l'étranger retenu en application de l'article L. 813-1 sont strictement proportionnées à la nécessité des opérations de vérification et de son maintien à la disposition de l'officier de police judiciaire. L'étranger ne peut être soumis au port des menottes ou des entraves que s'il est considéré soit comme dangereux pour autrui ou pour lui-même, soit comme susceptible de tenter de prendre la fuite.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-12
LEGIARTI000042774614
LEGIARTI000042773696
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,789,569,705
null
null
null
Article
<p><br/>Les mesures de contrainte exercées sur l'étranger retenu en application de l'article L. 813-1 sont strictement proportionnées à la nécessité des opérations de vérification et de son maintien à la disposition de l'officier de police judiciaire.<br/>L'étranger ne peut être soumis au port des menottes ou des entraves que s'il est considéré soit comme dangereux pour autrui ou pour lui-même, soit comme susceptible de tenter de prendre la fuite.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774614
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774624
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Section 3 : Déroulement de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773686
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 3 : Déroulement de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-13
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'officier de police judiciaire ou, sous le contrôle de celui-ci, un agent de police judiciaire mentionne, dans un procès-verbal, les motifs qui ont justifié le contrôle, ainsi que la vérification du droit de circulation ou de séjour et les conditions dans lesquelles la personne a été présentée devant lui, informée de ses droits et mise en mesure de les exercer. Il précise le jour et l'heure du début et de la fin de la retenue et la durée de celle-ci et, le cas échéant, la prise d'empreintes digitales ou de photographies ainsi que l'inspection visuelle ou la fouille des bagages et effets personnels et les dates et heures de début et de fin de ces opérations. Il y annexe le certificat médical établi à l'issue de l'examen éventuellement pratiqué. Ce procès-verbal est présenté à la signature de l'étranger intéressé qui est informé de la possibilité de ne pas le signer. S'il refuse de le signer, mention est faite du refus et des motifs de celui-ci. Le procès-verbal est transmis au procureur de la République, copie en ayant été remise à la personne intéressée. Les mentions de chaque procès-verbal concernant l'identité de la personne, le jour et l'heure du début et de la fin de la retenue et la durée de celle-ci figurent également sur un registre spécial, tenu à cet effet dans le local de police ou de gendarmerie. Ce registre peut être tenu sous forme dématérialisée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-13
LEGIARTI000042774610
LEGIARTI000042773700
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021. Par une décision n°2024-1090 QPC du 28 mai 2024, le Conseil constitutionnel a déclaré contraire à la Constitution la deuxième phrase du premier alinéa de l’article L. 813-13 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, dans sa rédaction issue de l’ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020. L’abrogation de ces dispositions est toutefois reportée au 1 er juin 2025. En revanche, jusqu’à l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi ou jusqu’à la date de l’abrogation des dispositions déclarées inconstitutionnelles, l’officier de police judiciaire ou l’agent de police judiciaire qui dresse le procès-verbal de fin de retenue doit mentionner les conditions dans lesquelles l’étranger retenu a pu s’alimenter. Les mesures prises avant la publication de la présente décision ne peuvent être contestées sur le fondement de cette inconstitutionnalité.
1.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p><br/>L'officier de police judiciaire ou, sous le contrôle de celui-ci, un agent de police judiciaire mentionne, dans un procès-verbal, les motifs qui ont justifié le contrôle, ainsi que la vérification du droit de circulation ou de séjour et les conditions dans lesquelles la personne a été présentée devant lui, informée de ses droits et mise en mesure de les exercer. Il précise le jour et l'heure du début et de la fin de la retenue et la durée de celle-ci et, le cas échéant, la prise d'empreintes digitales ou de photographies ainsi que l'inspection visuelle ou la fouille des bagages et effets personnels et les dates et heures de début et de fin de ces opérations. Il y annexe le certificat médical établi à l'issue de l'examen éventuellement pratiqué.<br/>Ce procès-verbal est présenté à la signature de l'étranger intéressé qui est informé de la possibilité de ne pas le signer. S'il refuse de le signer, mention est faite du refus et des motifs de celui-ci.<br/>Le procès-verbal est transmis au procureur de la République, copie en ayant été remise à la personne intéressée. Les mentions de chaque procès-verbal concernant l'identité de la personne, le jour et l'heure du début et de la fin de la retenue et la durée de celle-ci figurent également sur un registre spécial, tenu à cet effet dans le local de police ou de gendarmerie. Ce registre peut être tenu sous forme dématérialisée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774610
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774612
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Section 4 : Fin de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773698
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 4 : Fin de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p><p align='justify'>Par une décision n°2024-1090 QPC du 28 mai 2024, le Conseil constitutionnel a déclaré contraire à la Constitution la deuxième phrase du premier alinéa de l’article L. 813-13 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, dans sa rédaction issue de l’ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020.</p><p align='justify'>L’abrogation de ces dispositions est toutefois reportée au 1<sup>er</sup> juin 2025. En revanche, jusqu’à l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi ou jusqu’à la date de l’abrogation des dispositions déclarées inconstitutionnelles, l’officier de police judiciaire ou l’agent de police judiciaire qui dresse le procès-verbal de fin de retenue doit mentionner les conditions dans lesquelles l’étranger retenu a pu s’alimenter.</p><p align='justify'>Les mesures prises avant la publication de la présente décision ne peuvent être contestées sur le fondement de cette inconstitutionnalité.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-14
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Si elle n'est suivie à l'égard de l'étranger qui a été retenu d'aucune procédure d'enquête ou d'exécution adressée à l'autorité judiciaire ou n'a donné lieu à aucune décision administrative, la vérification du droit de circulation ou de séjour ne peut donner lieu à aucune mise en mémoire sur fichiers. Le procès-verbal et toutes les pièces se rapportant à la vérification sont détruits dans un délai de six mois à compter de la fin de la retenue, sous le contrôle du procureur de la République.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-14
LEGIARTI000042774608
LEGIARTI000042773702
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>Si elle n'est suivie à l'égard de l'étranger qui a été retenu d'aucune procédure d'enquête ou d'exécution adressée à l'autorité judiciaire ou n'a donné lieu à aucune décision administrative, la vérification du droit de circulation ou de séjour ne peut donner lieu à aucune mise en mémoire sur fichiers. Le procès-verbal et toutes les pièces se rapportant à la vérification sont détruits dans un délai de six mois à compter de la fin de la retenue, sous le contrôle du procureur de la République.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774608
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774612
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false
Section 4 : Fin de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773698
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 4 : Fin de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-15
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
S'il apparaît, au cours de la retenue de l'étranger, que celui-ci doit faire l'objet d'un placement en garde à vue conformément aux articles 62 et suivants du code de procédure pénale, la durée de la retenue s'impute sur celle de la garde à vue.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-15
LEGIARTI000042774606
LEGIARTI000042773704
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p><br/>S'il apparaît, au cours de la retenue de l'étranger, que celui-ci doit faire l'objet d'un placement en garde à vue conformément aux articles 62 et suivants du code de procédure pénale, la durée de la retenue s'impute sur celle de la garde à vue.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774606
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774612
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Section 4 : Fin de la procédure
null
null
LEGISCTA000042773698
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 4 : Fin de la procédure
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L813-16
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les prescriptions énumérées au présent chapitre sont imposées à peine de nullité, sous réserve des dispositions de l'article L. 743-12.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L813-16
LEGIARTI000042774602
LEGIARTI000042773708
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Les prescriptions énumérées au présent chapitre sont imposées à peine de nullité, sous réserve des dispositions de l'article L. 743-12.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774602
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774604
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Section 5 : Dispositions communes
null
null
LEGISCTA000042773706
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre III : VÉRIFICATION DU DROIT DE CIRCULATION ET DE SÉJOUR &gt; Section 5 : Dispositions communes
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L814-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'autorité administrative compétente, les services de police et les unités de gendarmerie sont habilités à retenir le passeport ou le document de voyage des personnes de nationalité étrangère en situation irrégulière. Ils leur remettent en échange un récépissé valant justification de leur identité et sur lequel sont mentionnées la date de retenue et les modalités de restitution du document retenu.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L814-1
LEGIARTI000042774596
LEGIARTI000042773714
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>L'autorité administrative compétente, les services de police et les unités de gendarmerie sont habilités à retenir le passeport ou le document de voyage des personnes de nationalité étrangère en situation irrégulière.<br/>Ils leur remettent en échange un récépissé valant justification de leur identité et sur lequel sont mentionnées la date de retenue et les modalités de restitution du document retenu.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774596
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774598
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Section unique : Retenue du passeport ou du document de voyage de l'étranger en situation irrégulière
null
null
LEGISCTA000042773712
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre Ier : CONTRÔLES &gt; Chapitre IV : MESURES DE SUIVI DES ÉTRANGERS &gt; Section unique : Retenue du passeport ou du document de voyage de l'étranger en situation irrégulière
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L820-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Conformément à l'article L. 270-1, les dispositions des articles L. 821-3 à L. 821-5, L. 822-1 à L. 822-6, L. 823-1 à L. 823-10, L. 823-11 à L. 823-17, L. 824-1 à L. 824-9 et L. 824-11 sont applicables à l'étranger dont la situation est régie par le livre II.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L820-1
LEGIARTI000042774592
LEGIARTI000042773718
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
357,913,941
null
null
null
Article
<p><br/>Conformément à l'article L. 270-1, les dispositions des articles L. 821-3 à L. 821-5, L. 822-1 à L. 822-6, L. 823-1 à L. 823-10, L. 823-11 à L. 823-17, L. 824-1 à L. 824-9 et L. 824-11 sont applicables à l'étranger dont la situation est régie par le livre II.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774592
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774594
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Titre II : SANCTIONS
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LEGISCTA000042773716
null
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende le fait, pour un étranger, de pénétrer sur le territoire métropolitain : 1° Sans remplir les conditions mentionnées aux points a, b ou c du paragraphe 1 de l'article 6 du règlement (UE) n° 2016/399 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes (code frontières Schengen) et sans avoir été admis sur le territoire en application des points a et c du paragraphe 5 de l'article 6 de ce même règlement ; 2° Alors qu'il faisait l'objet d'un signalement aux fins de non-admission en application d'une décision exécutoire prise par l'un des autres Etats parties à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français. Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-1
LEGIARTI000042774586
LEGIARTI000042773724
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende le fait, pour un étranger, de pénétrer sur le territoire métropolitain :<br/>1° Sans remplir les conditions mentionnées aux points a, b ou c du paragraphe 1 de l'article 6 du règlement (UE) n° 2016/399 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes (code frontières Schengen) et sans avoir été admis sur le territoire en application des points a et c du paragraphe 5 de l'article 6 de ce même règlement ;<br/>2° Alors qu'il faisait l'objet d'un signalement aux fins de non-admission en application d'une décision exécutoire prise par l'un des autres Etats parties à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.<br/>Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774586
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774588
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Section 1 : Manquements aux conditions d'entrée
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LEGISCTA000042773722
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 1 : Manquements aux conditions d'entrée
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français le fait, pour un étranger ayant été contrôlé à l'occasion du franchissement de la frontière en provenance d'un pays tiers aux Etats parties à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 sans remplir les conditions d'entrée prévues à l'article 6 du règlement (UE) 2016/399 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes (code frontières Schengen) ou à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-2
LEGIARTI000042774582
LEGIARTI000042773728
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français le fait, pour un étranger ayant été contrôlé à l'occasion du franchissement de la frontière en provenance d'un pays tiers aux Etats parties à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 sans remplir les conditions d'entrée prévues à l'article 6 du règlement (UE) 2016/399 du Parlement européen et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes (code frontières Schengen) ou à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774582
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774584
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Section 2 : Refus de se soumettre aux opérations de relevé d'empreintes digitales et de prise de photographie
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LEGISCTA000042773726
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 2 : Refus de se soumettre aux opérations de relevé d'empreintes digitales et de prise de photographie
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de ne pas présenter à l'autorité administrative compétente les documents de voyage permettant l'exécution d'une décision de refus d'entrée en France ou, à défaut de ceux-ci, de ne pas communiquer les renseignements permettant cette exécution ou de communiquer des renseignements inexacts sur son identité. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-3
LEGIARTI000042774578
LEGIARTI000042773732
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de ne pas présenter à l'autorité administrative compétente les documents de voyage permettant l'exécution d'une décision de refus d'entrée en France ou, à défaut de ceux-ci, de ne pas communiquer les renseignements permettant cette exécution ou de communiquer des renseignements inexacts sur son identité.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774578
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774580
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Section 3 : Méconnaissance d'une décision de refus d'entrée
null
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LEGISCTA000042773730
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 3 : Méconnaissance d'une décision de refus d'entrée
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger placé ou maintenu en zone d'attente, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à cette mesure de surveillance. Cette peine d'emprisonnement est portée à cinq ans lorsque les faits sont commis par violence, effraction ou corruption, et à sept ans lorsque les faits sont commis en réunion ou sous la menace d'une arme ou d'une substance explosive, incendiaire ou toxique. Est puni des mêmes peines le fait, pour toute personne, de faciliter sciemment, par aide ou par assistance, la préparation ou la commission des infractions prévues au présent article. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-4
LEGIARTI000042774576
LEGIARTI000042773734
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger placé ou maintenu en zone d'attente, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à cette mesure de surveillance.<br/>Cette peine d'emprisonnement est portée à cinq ans lorsque les faits sont commis par violence, effraction ou corruption, et à sept ans lorsque les faits sont commis en réunion ou sous la menace d'une arme ou d'une substance explosive, incendiaire ou toxique.<br/>Est puni des mêmes peines le fait, pour toute personne, de faciliter sciemment, par aide ou par assistance, la préparation ou la commission des infractions prévues au présent article.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774576
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774580
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Section 3 : Méconnaissance d'une décision de refus d'entrée
null
null
LEGISCTA000042773730
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 3 : Méconnaissance d'une décision de refus d'entrée
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à l'exécution d'une décision de refus d'entrée en France. Ces peines sont également applicables en cas de refus, par un étranger, de se soumettre aux modalités de transport qui lui sont désignées pour l'exécution d'office de la décision de refus d'entrée. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-5
LEGIARTI000042774574
LEGIARTI000042773736
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à l'exécution d'une décision de refus d'entrée en France.<br/>Ces peines sont également applicables en cas de refus, par un étranger, de se soumettre aux modalités de transport qui lui sont désignées pour l'exécution d'office de la décision de refus d'entrée.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774574
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774580
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Section 3 : Méconnaissance d'une décision de refus d'entrée
null
null
LEGISCTA000042773730
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 3 : Méconnaissance d'une décision de refus d'entrée
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est passible d'une amende administrative de 10 000 euros l'entreprise de transport aérien, maritime ou routier qui débarque sur le territoire français, en provenance d'un État qui n'est pas partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne, de la République d'Islande, de la Principauté du Liechtenstein, du Royaume de Norvège ou de la Confédération suisse démuni du document de voyage et, le cas échéant, du visa ou de l'autorisation de voyage requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable en raison de sa nationalité. Est passible de la même amende l'entreprise de transport aérien, maritime ou routier qui débarque, dans le cadre du transit, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne, de la République d'Islande, de la Principauté du Liechtenstein, du Royaume de Norvège ou de la Confédération suisse démuni du document de voyage ou du visa ou de l'autorisation de voyage requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable compte tenu de sa nationalité et de sa destination. Aux fins du respect des obligations qui leur incombent au titre de l'article 26, paragraphe 1, point b, de la convention signée à Schengen le 19 juin 1990, les transporteurs utilisent le service internet mentionné à l'article 13 du règlement (UE) 2017/2226 du Parlement européen et du Conseil du 30 novembre 2017 portant création d'un système d'entrée/ de sortie (EES) pour enregistrer les données relatives aux entrées, aux sorties et aux refus d'entrée concernant les ressortissants de pays tiers qui franchissent les frontières extérieures des Etats membres et portant détermination des conditions d'accès à l'EES à des fins répressives, et modifiant la convention d'application de l'accord de Schengen et les règlements (CE) n° 767/2008 et (UE) n° 1077/2011 et à l'article 45 du règlement (UE) 2018/1240 du Parlement européen et du Conseil du 12 septembre 2018 portant création d'un système européen d'information et d'autorisation concernant les voyages (ETIAS) et modifiant les règlements (UE) n° 1077/2011, (UE) n° 515/2014, (UE) 2016/399, (UE) 2016/1624 et (UE) 2017/2226, afin d'effectuer les vérifications nécessaires.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L821-6
LEGIARTI000049051088
LEGIARTI000042773742
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,496,729
null
null
null
Article
<p>Est passible d'une amende administrative de 10 000 euros l'entreprise de transport aérien, maritime ou routier qui débarque sur le territoire français, en provenance d'un État qui n'est pas partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne, de la République d'Islande, de la Principauté du Liechtenstein, du Royaume de Norvège ou de la Confédération suisse démuni du document de voyage et, le cas échéant, du visa ou de l'autorisation de voyage requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable en raison de sa nationalité.</p><p>Est passible de la même amende l'entreprise de transport aérien, maritime ou routier qui débarque, dans le cadre du transit, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne, de la République d'Islande, de la Principauté du Liechtenstein, du Royaume de Norvège ou de la Confédération suisse démuni du document de voyage ou du visa ou de l'autorisation de voyage requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable compte tenu de sa nationalité et de sa destination.</p><p>Aux fins du respect des obligations qui leur incombent au titre de l'article 26, paragraphe 1, point b, de la convention signée à Schengen le 19 juin 1990, les transporteurs utilisent le service internet mentionné à l'article 13 du règlement (UE) 2017/2226 du Parlement européen et du Conseil du 30 novembre 2017 portant création d'un système d'entrée/ de sortie (EES) pour enregistrer les données relatives aux entrées, aux sorties et aux refus d'entrée concernant les ressortissants de pays tiers qui franchissent les frontières extérieures des Etats membres et portant détermination des conditions d'accès à l'EES à des fins répressives, et modifiant la convention d'application de l'accord de Schengen et les règlements (CE) n° 767/2008 et (UE) n° 1077/2011 et à l'article 45 du règlement (UE) 2018/1240 du Parlement européen et du Conseil du 12 septembre 2018 portant création d'un système européen d'information et d'autorisation concernant les voyages (ETIAS) et modifiant les règlements (UE) n° 1077/2011, (UE) n° 515/2014, (UE) 2016/399, (UE) 2016/1624 et (UE) 2017/2226, afin d'effectuer les vérifications nécessaires.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774568
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049051088
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774570
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Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
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null
LEGISCTA000042773740
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-7
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les entreprises de transport routier mentionnées à l'article L. 821-6 sont celles exploitant des liaisons internationales en provenance d'un Etat qui n'est pas partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 sous la forme de lignes régulières, de services occasionnels ou de navette, à l'exclusion des trafics frontaliers. Si une telle entreprise n'a pu procéder à la vérification du document de voyage et, le cas échéant, du visa ou de l'autorisation de voyage des passagers empruntant ses services, elle est exonérée de l'amende prévue à l'article L. 821-6, à condition d'avoir justifié d'un contrôle à l'entrée sur le territoire d'un des États parties à ladite convention ou, à défaut d'un tel contrôle, à condition d'y avoir fait procéder à l'entrée en France par les services compétents.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L821-7
LEGIARTI000049051094
LEGIARTI000042773744
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
858,993,458
null
null
null
Article
<p>Les entreprises de transport routier mentionnées à l'article L. 821-6 sont celles exploitant des liaisons internationales en provenance d'un Etat qui n'est pas partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 sous la forme de lignes régulières, de services occasionnels ou de navette, à l'exclusion des trafics frontaliers.</p><p>Si une telle entreprise n'a pu procéder à la vérification du document de voyage et, le cas échéant, du visa ou de l'autorisation de voyage des passagers empruntant ses services, elle est exonérée de l'amende prévue à l'article L. 821-6, à condition d'avoir justifié d'un contrôle à l'entrée sur le territoire d'un des États parties à ladite convention ou, à défaut d'un tel contrôle, à condition d'y avoir fait procéder à l'entrée en France par les services compétents.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774566
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049051094
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774570
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Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
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LEGISCTA000042773740
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-8
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'amende prévue à l'article L. 821-6 peut être prononcée autant de fois qu'il y a de passagers concernés. Elle n'est pas infligée : 1° Lorsque l'étranger a été admis sur le territoire français au titre d'une demande d'asile qui n'était pas manifestement infondée ; 2° Lorsque l'entreprise de transport établit que les documents requis lui ont été présentés au moment de l'embarquement et qu'ils ne comportaient pas d'élément d'irrégularité manifeste. Elle ne peut être infligée pour des faits remontant à plus d'un an.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-8
LEGIARTI000042774564
LEGIARTI000042773746
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,288,490,187
null
null
null
Article
<p><br/>L'amende prévue à l'article L. 821-6 peut être prononcée autant de fois qu'il y a de passagers concernés.<br/>Elle n'est pas infligée :<br/>1° Lorsque l'étranger a été admis sur le territoire français au titre d'une demande d'asile qui n'était pas manifestement infondée ;<br/>2° Lorsque l'entreprise de transport établit que les documents requis lui ont été présentés au moment de l'embarquement et qu'ils ne comportaient pas d'élément d'irrégularité manifeste.<br/>Elle ne peut être infligée pour des faits remontant à plus d'un an.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774564
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774570
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Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
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LEGISCTA000042773740
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-9
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Lorsque l'étranger débarqué en France est un mineur sans représentant légal, la somme de 10 000 euros doit être immédiatement consignée auprès de l'agent, mentionné au premier alinéa de l'article L. 821-12, ayant établi le procès-verbal constatant le manquement de l'entreprise de transport à ses obligations. Tout ou partie de cette somme est restituée à l'entreprise selon le montant de l'amende prononcée ultérieurement par l'autorité administrative. Si l'entreprise ne consigne pas la somme, le montant de l'amende est porté à 20 000 euros. Les conditions de cette consignation et de son éventuelle restitution, en particulier le délai maximal dans lequel cette restitution doit intervenir, sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-9
LEGIARTI000042774562
LEGIARTI000042773748
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,717,986,916
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'étranger débarqué en France est un mineur sans représentant légal, la somme de 10 000 euros doit être immédiatement consignée auprès de l'agent, mentionné au premier alinéa de l'article L. 821-12, ayant établi le procès-verbal constatant le manquement de l'entreprise de transport à ses obligations. Tout ou partie de cette somme est restituée à l'entreprise selon le montant de l'amende prononcée ultérieurement par l'autorité administrative.<br/> Si l'entreprise ne consigne pas la somme, le montant de l'amende est porté à 20 000 euros.<br/> Les conditions de cette consignation et de son éventuelle restitution, en particulier le délai maximal dans lequel cette restitution doit intervenir, sont fixées par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774562
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774570
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Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
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null
LEGISCTA000042773740
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 1 : Amendes aux entreprises ayant débarqué un étranger dépourvu des documents requis
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-10
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est passible d'une amende administrative de 30 000 euros l'entreprise de transport aérien, maritime, routier ou ferroviaire qui ne respecte pas les obligations de réacheminement et de prise en charge d'un étranger qui lui sont fixées aux articles L. 333-3, L. 333-4 et L. 333-5.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-10
LEGIARTI000042774558
LEGIARTI000042773752
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Est passible d'une amende administrative de 30 000 euros l'entreprise de transport aérien, maritime, routier ou ferroviaire qui ne respecte pas les obligations de réacheminement et de prise en charge d'un étranger qui lui sont fixées aux articles L. 333-3, L. 333-4 et L. 333-5.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774558
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774560
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Sous-section 2 : Amendes aux entreprises n'ayant pas respecté leurs obligations de réacheminement et de prise en charge d'un étranger
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LEGISCTA000042773750
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 2 : Amendes aux entreprises n'ayant pas respecté leurs obligations de réacheminement et de prise en charge d'un étranger
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-11
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'amende prévue à l'article L. 821-10 ne peut être infligée à raison d'un manquement aux obligations de réacheminement pour des faits remontant à plus de quatre ans.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-11
LEGIARTI000042774556
LEGIARTI000042773754
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>L'amende prévue à l'article L. 821-10 ne peut être infligée à raison d'un manquement aux obligations de réacheminement pour des faits remontant à plus de quatre ans.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774556
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774560
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Sous-section 2 : Amendes aux entreprises n'ayant pas respecté leurs obligations de réacheminement et de prise en charge d'un étranger
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LEGISCTA000042773750
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 2 : Amendes aux entreprises n'ayant pas respecté leurs obligations de réacheminement et de prise en charge d'un étranger
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-12
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Le manquement aux obligations de l'entreprise de transport est constaté par un procès-verbal établi par un agent relevant d'une catégorie fixée par décret en Conseil d'Etat. L'entreprise de transport se voit remettre copie du procès-verbal et a accès au dossier. Elle est mise à même de présenter, dans un délai d'un mois, ses observations écrites sur le projet de sanction de l'autorité administrative.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-12
LEGIARTI000042774552
LEGIARTI000042773758
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Le manquement aux obligations de l'entreprise de transport est constaté par un procès-verbal établi par un agent relevant d'une catégorie fixée par décret en Conseil d'Etat.<br/>L'entreprise de transport se voit remettre copie du procès-verbal et a accès au dossier. Elle est mise à même de présenter, dans un délai d'un mois, ses observations écrites sur le projet de sanction de l'autorité administrative.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774552
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774554
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Sous-section 3 : Dispositions communes
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LEGISCTA000042773756
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 3 : Dispositions communes
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L821-13
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Le montant de l'amende est versé au Trésor public par l'entreprise de transport.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L821-13
LEGIARTI000042774550
LEGIARTI000042773760
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Le montant de l'amende est versé au Trésor public par l'entreprise de transport.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774550
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774554
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Sous-section 3 : Dispositions communes
null
null
LEGISCTA000042773756
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre I : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES À L'ENTRÉE EN FRANCE &gt; Section 4 : Amendes aux entreprises de transport ayant méconnu la réglementation sur l'entrée &gt; Sous-section 3 : Dispositions communes
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L822-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français le fait, pour un étranger en situation irrégulière en France, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L822-1
LEGIARTI000042774544
LEGIARTI000042773766
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français le fait, pour un étranger en situation irrégulière en France, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774546
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Section 1 : Refus de se soumettre aux opérations de relevé d'empreintes digitales et de prise de photographie
null
null
LEGISCTA000042773764
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre II : MÉCONNAISSANCE DES OBLIGATIONS RELATIVES AU SÉJOUR EN FRANCE &gt; Section 1 : Refus de se soumettre aux opérations de relevé d'empreintes digitales et de prise de photographie
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des exemptions prévues à l'article L. 823-9, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende le fait, pour toute personne, de faciliter ou de tenter de faciliter, par aide directe ou indirecte, l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger en France. Les dispositions du présent article sont applicables y compris lorsque les faits sont commis par une personne se trouvant sur le territoire d'un autre État partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-1
LEGIARTI000042774521
LEGIARTI000042773786
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p><br/>Sous réserve des exemptions prévues à l'article L. 823-9, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende le fait, pour toute personne, de faciliter ou de tenter de faciliter, par aide directe ou indirecte, l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger en France.<br/>Les dispositions du présent article sont applicables y compris lorsque les faits sont commis par une personne se trouvant sur le territoire d'un autre État partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240726_185401_374_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774524
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Sous-section 1 : Peines principales
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LEGISCTA000042773784
null
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 1 : Peines principales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des exemptions prévues à l'article L. 823-9, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende le fait, pour toute personne, de faciliter ou de tenter de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger : 1° Sur le territoire d'un autre État partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 ; 2° Sur le territoire d'un autre État partie au protocole contre le trafic illicite de migrants par terre, air et mer, additionnel à la convention des Nations unies contre la criminalité transnationale organisée, signée à Palerme le 12 décembre 2000. Les dispositions du 2° sont applicables à compter de la date de publication de ce protocole au Journal officiel de la République française.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-2
LEGIARTI000042774519
LEGIARTI000042773788
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>Sous réserve des exemptions prévues à l'article L. 823-9, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende le fait, pour toute personne, de faciliter ou de tenter de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger :<br/>1° Sur le territoire d'un autre État partie à la convention signée à Schengen le 19 juin 1990 ;<br/>2° Sur le territoire d'un autre État partie au protocole contre le trafic illicite de migrants par terre, air et mer, additionnel à la convention des Nations unies contre la criminalité transnationale organisée, signée à Palerme le 12 décembre 2000.<br/>Les dispositions du 2° sont applicables à compter de la date de publication de ce protocole au Journal officiel de la République française.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240726_185401_374_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774519
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774524
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Sous-section 1 : Peines principales
null
null
LEGISCTA000042773784
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 1 : Peines principales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 750 000 euros d'amende les infractions définies aux articles L. 823-1 et L. 823-2 lorsque les faits : 1° Sont commis en bande organisée ; 2° Sont commis dans des circonstances qui exposent directement les étrangers à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente ; 3° Ont pour effet de soumettre les étrangers à des conditions de vie, de transport, de travail ou d'hébergement incompatibles avec la dignité de la personne humaine ; 4° Sont commis au moyen d'une habilitation ou d'un titre de circulation en zone réservée d'un aérodrome ou d'un port ; 5° Ont pour effet d'éloigner des mineurs étrangers de leur milieu familial ou de leur environnement traditionnel. Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et un million d'euros d'amende lorsque les infractions prévues aux mêmes articles L. 823-1 et L. 823-2 sont commises dans deux circonstances mentionnées au présent article, dont celle mentionnée au 1°.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L823-3
LEGIARTI000049051057
LEGIARTI000042773790
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p>Sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 750 000 euros d'amende les infractions définies aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773786&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 823-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773788&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 823-2</a> lorsque les faits : </p><p>1° Sont commis en bande organisée ; </p><p>2° Sont commis dans des circonstances qui exposent directement les étrangers à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente ; </p><p>3° Ont pour effet de soumettre les étrangers à des conditions de vie, de transport, de travail ou d'hébergement incompatibles avec la dignité de la personne humaine ; </p><p>4° Sont commis au moyen d'une habilitation ou d'un titre de circulation en zone réservée d'un aérodrome ou d'un port ; </p><p>5° Ont pour effet d'éloigner des mineurs étrangers de leur milieu familial ou de leur environnement traditionnel. </p><p>Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et un million d'euros d'amende lorsque les infractions prévues aux mêmes articles L. 823-1 et L. 823-2 sont commises dans deux circonstances mentionnées au présent article, dont celle mentionnée au 1°.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774517
MD-20240726_185357_601_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049051057
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774524
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Sous-section 1 : Peines principales
null
null
LEGISCTA000042773784
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 1 : Peines principales
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-3-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Le fait de diriger ou d'organiser un groupement ayant pour objet la commission des infractions définies aux articles L. 823-1 et L. 823-2 est puni de vingt ans de réclusion criminelle et de 1 500 000 euros d'amende.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L823-3-1
LEGIARTI000049043628
LEGIARTI000049043628
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,048,190
null
null
null
Article
<p>Le fait de diriger ou d'organiser un groupement ayant pour objet la commission des infractions définies aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773786&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 823-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773788&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 823-2</a> est puni de vingt ans de réclusion criminelle et de 1 500 000 euros d'amende.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240726_185357_601_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049043628
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774524
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Sous-section 1 : Peines principales
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LEGISCTA000042773784
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 1 : Peines principales
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les personnes physiques condamnées en application des articles L. 823-1, L. 823-2 ou L. 823-3 encourent les peines complémentaires suivantes : 1° L'interdiction de séjour pour une durée de cinq ans au plus ; 2° La suspension, pour une durée de cinq ans au plus, du permis de conduire ; cette durée peut être doublée en cas de récidive ; 3° Le retrait temporaire ou définitif de l'autorisation administrative d'exploiter soit des services occasionnels à la place ou collectifs, soit un service régulier, ou un service de navettes de transports internationaux ; 4° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction, notamment tout moyen de transport ou équipement terrestre, fluvial, maritime ou aérien, ou de la chose qui est le produit de cette infraction ; les frais résultant des mesures nécessaires à l'exécution de la confiscation sont à la charge du condamné et sont recouvrés comme frais de justice ; 5° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer l'activité professionnelle ou sociale à l'occasion de laquelle l'infraction a été commise, sous les réserves mentionnées à l'article 131-27 du code pénal ; toute violation de cette interdiction est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-4
LEGIARTI000042774511
LEGIARTI000042773796
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p><br/>Les personnes physiques condamnées en application des articles L. 823-1, L. 823-2 ou L. 823-3 encourent les peines complémentaires suivantes :<br/>1° L'interdiction de séjour pour une durée de cinq ans au plus ;<br/>2° La suspension, pour une durée de cinq ans au plus, du permis de conduire ; cette durée peut être doublée en cas de récidive ;<br/>3° Le retrait temporaire ou définitif de l'autorisation administrative d'exploiter soit des services occasionnels à la place ou collectifs, soit un service régulier, ou un service de navettes de transports internationaux ;<br/>4° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction, notamment tout moyen de transport ou équipement terrestre, fluvial, maritime ou aérien, ou de la chose qui est le produit de cette infraction ; les frais résultant des mesures nécessaires à l'exécution de la confiscation sont à la charge du condamné et sont recouvrés comme frais de justice ;<br/>5° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer l'activité professionnelle ou sociale à l'occasion de laquelle l'infraction a été commise, sous les réserves mentionnées à l'article 131-27 du code pénal ; toute violation de cette interdiction est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774511
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774513
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Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
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LEGISCTA000042773794
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Outre les peines complémentaires prévues à l'article L. 823-4, les personnes physiques condamnées en application de l'article L. 823-3 encourent la peine complémentaire de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-5
LEGIARTI000042774509
LEGIARTI000042773798
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>Outre les peines complémentaires prévues à l'article L. 823-4, les personnes physiques condamnées en application de l'article L. 823-3 encourent la peine complémentaire de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774509
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774513
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Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
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LEGISCTA000042773794
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les étrangers condamnés en application des articles L. 823-1, L. 823-2 ou L. 823-3 encourent l'interdiction du territoire français : 1° Pour une durée de dix ans au plus, en cas de condamnation en application des articles L. 823-1 ou L. 823-2 ; 2° A titre définitif, en cas de condamnation en application de l'article L. 823-3.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-6
LEGIARTI000042774507
LEGIARTI000042773800
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p><br/>Les étrangers condamnés en application des articles L. 823-1, L. 823-2 ou L. 823-3 encourent l'interdiction du territoire français :<br/>1° Pour une durée de dix ans au plus, en cas de condamnation en application des articles L. 823-1 ou L. 823-2 ;<br/>2° A titre définitif, en cas de condamnation en application de l'article L. 823-3.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774507
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774513
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Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
null
LEGISCTA000042773794
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-7
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l'article 121-2 du code pénal, des infractions définies aux articles L. 823-1, L. 823-2 et L. 823-3 du présent code encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues à l'article 131-38 du code pénal, les peines prévues aux 1° à 5°, 8° et 9° de l'article 131-39 du même code. L'interdiction visée au 2° de l'article 131-39 du code pénal porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-7
LEGIARTI000042774503
LEGIARTI000042773804
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l'article 121-2 du code pénal, des infractions définies aux articles L. 823-1, L. 823-2 et L. 823-3 du présent code encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues à l'article 131-38 du code pénal, les peines prévues aux 1° à 5°, 8° et 9° de l'article 131-39 du même code.<br/>L'interdiction visée au 2° de l'article 131-39 du code pénal porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774503
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774505
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Paragraphe 2 : Peines complémentaires applicables aux personnes morales
null
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LEGISCTA000042773802
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null
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 2 : Peines complémentaires applicables aux personnes morales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-8
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les personnes morales condamnées en application de l'article L. 823-3 encourent la peine complémentaire de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-8
LEGIARTI000042774501
LEGIARTI000042773806
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Les personnes morales condamnées en application de l'article L. 823-3 encourent la peine complémentaire de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774501
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774505
false
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Paragraphe 2 : Peines complémentaires applicables aux personnes morales
null
null
LEGISCTA000042773802
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 2 : Peines complémentaires applicables aux personnes morales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-9
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
L'aide à la circulation ou au séjour irréguliers d'un étranger ne peut donner lieu à des poursuites pénales sur le fondement des articles L. 823-1 ou L. 823-2 lorsqu'elle est le fait : 1° Des ascendants ou descendants de l'étranger, de leur conjoint, des frères et sœurs de l'étranger ou de leur conjoint ; 2° Du conjoint de l'étranger, de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui, ou des ascendants, descendants, frères et sœurs du conjoint de l'étranger ou de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui ; 3° De toute personne physique ou morale lorsque l'acte reproché n'a donné lieu à aucune contrepartie directe ou indirecte et a consisté à fournir des conseils ou accompagnements juridiques, linguistiques ou sociaux, ou toute autre aide apportée dans un but exclusivement humanitaire. Dans ce cas, des poursuites pénales sur le fondement de l' article L. 823-3-1 ne peuvent pas non plus être engagées. Les exemptions prévues aux 1° et 2° ne s'appliquent pas lorsque l'étranger bénéficiaire de l'aide à la circulation ou au séjour irréguliers vit en état de polygamie ou lorsque cet étranger est le conjoint d'une personne polygame résidant en France avec le premier conjoint. Les dispositions du présent article s'appliquent sans préjudice des articles L. 821-1 et L. 823-11 à L. 823-17 .
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L823-9
LEGIARTI000049051048
LEGIARTI000042773810
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p>L'aide à la circulation ou au séjour irréguliers d'un étranger ne peut donner lieu à des poursuites pénales sur le fondement des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773786&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 823-1 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773788&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 823-2 </a>lorsqu'elle est le fait : </p><p>1° Des ascendants ou descendants de l'étranger, de leur conjoint, des frères et sœurs de l'étranger ou de leur conjoint ; </p><p>2° Du conjoint de l'étranger, de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui, ou des ascendants, descendants, frères et sœurs du conjoint de l'étranger ou de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui ; </p><p>3° De toute personne physique ou morale lorsque l'acte reproché n'a donné lieu à aucune contrepartie directe ou indirecte et a consisté à fournir des conseils ou accompagnements juridiques, linguistiques ou sociaux, ou toute autre aide apportée dans un but exclusivement humanitaire. Dans ce cas, des poursuites pénales sur le fondement de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000049043628&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 823-3-1 </a>ne peuvent pas non plus être engagées. </p><p>Les exemptions prévues aux 1° et 2° ne s'appliquent pas lorsque l'étranger bénéficiaire de l'aide à la circulation ou au séjour irréguliers vit en état de polygamie ou lorsque cet étranger est le conjoint d'une personne polygame résidant en France avec le premier conjoint. </p><p>Les dispositions du présent article s'appliquent sans préjudice des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773724&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 821-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070158&idArticle=LEGIARTI000042773818&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 823-11 à L. 823-17</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774497
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049051048
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774499
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Sous-section 3 : Conditions d'exercice des poursuites pénales
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LEGISCTA000042773808
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 3 : Conditions d'exercice des poursuites pénales
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-10
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du second alinéa de l'article L. 823-1 et de l'article L. 823-2, la situation irrégulière de l'étranger est appréciée au regard de la législation de l'Etat partie intéressé. En outre, les poursuites ne peuvent être exercées à l'encontre de l'auteur de l'infraction que sur une dénonciation officielle ou sur une attestation des autorités compétentes de l'Etat partie intéressé. Aucune poursuite ne peut être exercée contre une personne justifiant qu'elle a été jugée définitivement à l'étranger pour les mêmes faits et, en cas de condamnation, que la peine a été subie ou prescrite.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-10
LEGIARTI000042774495
LEGIARTI000042773812
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du second alinéa de l'article L. 823-1 et de l'article L. 823-2, la situation irrégulière de l'étranger est appréciée au regard de la législation de l'Etat partie intéressé. En outre, les poursuites ne peuvent être exercées à l'encontre de l'auteur de l'infraction que sur une dénonciation officielle ou sur une attestation des autorités compétentes de l'Etat partie intéressé.<br/>Aucune poursuite ne peut être exercée contre une personne justifiant qu'elle a été jugée définitivement à l'étranger pour les mêmes faits et, en cas de condamnation, que la peine a été subie ou prescrite.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774499
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Sous-section 3 : Conditions d'exercice des poursuites pénales
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LEGISCTA000042773808
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 1 : Aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers &gt; Sous-section 3 : Conditions d'exercice des poursuites pénales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-11
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende le fait, pour toute personne, de contracter un mariage ou de reconnaître un enfant aux seules fins d'obtenir, ou de faire obtenir, un titre de séjour ou le bénéfice d'une protection contre l'éloignement, ou aux seules fins d'acquérir, ou de faire acquérir, la nationalité française. Ces peines sont également encourues lorsque l'étranger qui a contracté mariage a dissimulé ses intentions à son conjoint. Ces mêmes peines sont applicables en cas d'organisation ou de tentative d'organisation d'un mariage ou d'une reconnaissance d'enfant aux mêmes fins.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-11
LEGIARTI000042774489
LEGIARTI000042773818
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende le fait, pour toute personne, de contracter un mariage ou de reconnaître un enfant aux seules fins d'obtenir, ou de faire obtenir, un titre de séjour ou le bénéfice d'une protection contre l'éloignement, ou aux seules fins d'acquérir, ou de faire acquérir, la nationalité française. Ces peines sont également encourues lorsque l'étranger qui a contracté mariage a dissimulé ses intentions à son conjoint.<br/>Ces mêmes peines sont applicables en cas d'organisation ou de tentative d'organisation d'un mariage ou d'une reconnaissance d'enfant aux mêmes fins.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774489
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774491
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false
Sous-section 1 : Peines principales
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null
LEGISCTA000042773816
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null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 1 : Peines principales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-12
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est punie de dix ans d'emprisonnement et de 750 000 euros d'amende toute personne qui commet le délit défini à l'article L. 823-11 lorsque les faits sont commis en bande organisée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-12
LEGIARTI000042774487
LEGIARTI000042773820
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Est punie de dix ans d'emprisonnement et de 750 000 euros d'amende toute personne qui commet le délit défini à l'article L. 823-11 lorsque les faits sont commis en bande organisée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774487
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774491
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Sous-section 1 : Peines principales
null
null
LEGISCTA000042773816
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 1 : Peines principales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-13
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les personnes physiques condamnées en application des articles L. 823-11 ou L. 823-12 encourent les peines complémentaires suivantes : 1° L'interdiction de séjour pour une durée de cinq ans au plus ; 2° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer l'activité professionnelle ou sociale à l'occasion de laquelle l'infraction a été commise, sous les réserves mentionnées à l'article 131-27 du code pénal.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-13
LEGIARTI000042774481
LEGIARTI000042773826
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p><br/>Les personnes physiques condamnées en application des articles L. 823-11 ou L. 823-12 encourent les peines complémentaires suivantes :<br/>1° L'interdiction de séjour pour une durée de cinq ans au plus ;<br/>2° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer l'activité professionnelle ou sociale à l'occasion de laquelle l'infraction a été commise, sous les réserves mentionnées à l'article 131-27 du code pénal.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774481
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774483
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Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
null
LEGISCTA000042773824
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-14
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Outre les peines complémentaires prévues à l'article L. 823-13, les personnes physiques condamnées en application des articles L. 823-11 ou L. 823-12 encourent la peine complémentaire de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-14
LEGIARTI000042774479
LEGIARTI000042773828
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>Outre les peines complémentaires prévues à l'article L. 823-13, les personnes physiques condamnées en application des articles L. 823-11 ou L. 823-12 encourent la peine complémentaire de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774479
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774483
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Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
null
LEGISCTA000042773824
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-15
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les étrangers condamnés en application des articles L. 823-11 ou L. 823-12 encourent l'interdiction du territoire français : 1° Pour une durée de dix ans au plus, en cas de condamnation en application de l'article L. 823-11 ; 2° A titre définitif, en cas de condamnation en application de l'article L. 823-12.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-15
LEGIARTI000042774477
LEGIARTI000042773830
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p><br/>Les étrangers condamnés en application des articles L. 823-11 ou L. 823-12 encourent l'interdiction du territoire français :<br/>1° Pour une durée de dix ans au plus, en cas de condamnation en application de l'article L. 823-11 ;<br/>2° A titre définitif, en cas de condamnation en application de l'article L. 823-12.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774477
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774483
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Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
null
LEGISCTA000042773824
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 1 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-16
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l'article 121-2 du code pénal, des infractions définies au second alinéa de l'article L. 823-11 ou à l'article L. 823-12 du présent code encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues à l'article 131-38 du code pénal, les peines prévues aux 1° à 5° et 9° de l'article 131-39 du même code. L'interdiction visée au 2° de l'article 131-39 du code pénal porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-16
LEGIARTI000042774473
LEGIARTI000042773834
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l'article 121-2 du code pénal, des infractions définies au second alinéa de l'article L. 823-11 ou à l'article L. 823-12 du présent code encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues à l'article 131-38 du code pénal, les peines prévues aux 1° à 5° et 9° de l'article 131-39 du même code.<br/>L'interdiction visée au 2° de l'article 131-39 du code pénal porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774473
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774475
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Paragraphe 2 : Peines complémentaires et responsabilité des personnes morales
null
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LEGISCTA000042773832
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 2 : Peines complémentaires et responsabilité des personnes morales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L823-17
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les personnes morales condamnées en application de l'article L. 823-12 encourent la peine de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L823-17
LEGIARTI000042774471
LEGIARTI000042773836
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Les personnes morales condamnées en application de l'article L. 823-12 encourent la peine de confiscation de tout ou partie de leurs biens, quelle qu'en soit la nature, meubles ou immeubles, divis ou indivis.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774471
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774475
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Paragraphe 2 : Peines complémentaires et responsabilité des personnes morales
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LEGISCTA000042773832
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre III : FACILITATION DE L'ENTRÉE, DE LA CIRCULATION ET DU SÉJOUR IRRÉGULIERS &gt; Section 2 : Mariage contracté ou enfant reconnu à seule fin d'obtenir ou de faire obtenir à un étranger un titre de séjour ou la nationalité française &gt; Sous-section 2 : Peines complémentaires &gt; Paragraphe 2 : Peines complémentaires et responsabilité des personnes morales
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de ne pas présenter à l'autorité administrative compétente les documents de voyage permettant l'exécution d'une interdiction administrative du territoire, d'une décision d'expulsion, d'une mesure de reconduite à la frontière ou d'une obligation de quitter le territoire français ou, à défaut de ceux-ci, de ne pas communiquer les renseignements permettant cette exécution ou de communiquer des renseignements inexacts sur son identité. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-1
LEGIARTI000042774465
LEGIARTI000042773842
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de ne pas présenter à l'autorité administrative compétente les documents de voyage permettant l'exécution d'une interdiction administrative du territoire, d'une décision d'expulsion, d'une mesure de reconduite à la frontière ou d'une obligation de quitter le territoire français ou, à défaut de ceux-ci, de ne pas communiquer les renseignements permettant cette exécution ou de communiquer des renseignements inexacts sur son identité.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774465
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774467
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Section 1 : Défaut de coopération et d'exécution de la décision d'éloignement par l'étranger
null
null
LEGISCTA000042773840
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 1 : Défaut de coopération et d'exécution de la décision d'éloignement par l'étranger
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni en application de l'article L. 822-1 le fait, pour un étranger faisant l'objet d'une décision d'éloignement du territoire français, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans les cas prévus aux 3° et 4° de l'article L. 142-1.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-2
LEGIARTI000042774463
LEGIARTI000042773844
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,822
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni en application de l'article L. 822-1 le fait, pour un étranger faisant l'objet d'une décision d'éloignement du territoire français, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans les cas prévus aux 3° et 4° de l'article L. 142-1.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774463
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774467
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Section 1 : Défaut de coopération et d'exécution de la décision d'éloignement par l'étranger
null
null
LEGISCTA000042773840
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 1 : Défaut de coopération et d'exécution de la décision d'éloignement par l'étranger
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende le fait, pour un étranger, de se maintenir irrégulièrement sur le territoire français sans motif légitime, après avoir fait l'objet d'une mesure régulière de placement en rétention ou d'assignation à résidence ayant pris fin sans qu'il ait pu être procédé à son éloignement en exécution d'une interdiction administrative du territoire français, d'une obligation de quitter le territoire français, d'une décision de mise en œuvre une décision prise par un autre État, d'une décision d'expulsion ou d'une peine d'interdiction du territoire français. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-3
LEGIARTI000042774461
LEGIARTI000042773846
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,610,612,733
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende le fait, pour un étranger, de se maintenir irrégulièrement sur le territoire français sans motif légitime, après avoir fait l'objet d'une mesure régulière de placement en rétention ou d'assignation à résidence ayant pris fin sans qu'il ait pu être procédé à son éloignement en exécution d'une interdiction administrative du territoire français, d'une obligation de quitter le territoire français, d'une décision de mise en œuvre une décision prise par un autre État, d'une décision d'expulsion ou d'une peine d'interdiction du territoire français.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774461
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774467
false
false
Section 1 : Défaut de coopération et d'exécution de la décision d'éloignement par l'étranger
null
null
LEGISCTA000042773840
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 1 : Défaut de coopération et d'exécution de la décision d'éloignement par l'étranger
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence en application des articles L. 731-1, L. 731-3, L. 731-4 ou L. 731-5, de ne pas rejoindre dans les délais prescrits la résidence qui lui est assignée ou de quitter cette résidence sans autorisation de l'autorité administrative.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L824-4
LEGIARTI000049050980
LEGIARTI000042773852
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,496,729
null
null
null
Article
<p>Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence en application des articles L. 731-1, L. 731-3, L. 731-4 ou L. 731-5, de ne pas rejoindre dans les délais prescrits la résidence qui lui est assignée ou de quitter cette résidence sans autorisation de l'autorité administrative.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774455
MD-20240826_184129_917_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049050980
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774457
false
false
Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
null
LEGISCTA000042773850
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence en application des 6° ou 7° de l'article L. 731-3 ou des articles L. 731-4 ou L. 731-5, de ne pas respecter les obligations de présentation aux services de police et aux unités de gendarmerie prévues à l'article L. 733-1.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L824-5
LEGIARTI000049050976
LEGIARTI000042773854
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
858,993,458
null
null
null
Article
<p>Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence en application des 6° ou 7° de l'article L. 731-3 ou des articles L. 731-4 ou L. 731-5, de ne pas respecter les obligations de présentation aux services de police et aux unités de gendarmerie prévues à l'article L. 733-1.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774448
MD-20240826_184132_463_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049050976
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774457
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false
Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
null
LEGISCTA000042773850
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence, de ne pas respecter les prescriptions liées au placement sous surveillance électronique mobile qui lui ont été fixées en application de l'article L. 733-14.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L824-6
LEGIARTI000049050972
LEGIARTI000042773856
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,288,490,187
null
null
null
Article
<p>Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence, de ne pas respecter les prescriptions liées au placement sous surveillance électronique mobile qui lui ont été fixées en application de l'article L. 733-14.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774446
MD-20240725_190348_104_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049050972
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774457
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Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
null
LEGISCTA000042773850
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-7
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence, de ne pas respecter l'interdiction de se trouver en relation, directement ou indirectement, avec certaines personnes nommément désignées dont le comportement est lié à des activités à caractère terroriste, qui lui est prescrite en application de l'article L. 733-15.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L824-7
LEGIARTI000049050968
LEGIARTI000042773858
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,717,986,916
null
null
null
Article
<p>Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende le fait, pour un étranger assigné à résidence, de ne pas respecter l'interdiction de se trouver en relation, directement ou indirectement, avec certaines personnes nommément désignées dont le comportement est lié à des activités à caractère terroriste, qui lui est prescrite en application de l'article L. 733-15.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774444
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049050968
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774457
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Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
null
LEGISCTA000042773850
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 1 : Méconnaissance des prescriptions liées à l'assignation à résidence
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-8
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger placé ou maintenu en rétention administrative, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à la mesure de surveillance dont il fait l'objet. Cette peine d'emprisonnement est portée à cinq ans lorsque les faits sont commis par violence, effraction ou corruption, et à sept ans lorsque les faits sont commis en réunion ou sous la menace d'une arme ou d'une substance explosive, incendiaire ou toxique. Est puni des mêmes peines le fait, pour toute personne, de faciliter sciemment, par aide ou par assistance, la préparation ou la commission des infractions prévues au présent article. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-8
LEGIARTI000042774440
LEGIARTI000042773862
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger placé ou maintenu en rétention administrative, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à la mesure de surveillance dont il fait l'objet.<br/>Cette peine d'emprisonnement est portée à cinq ans lorsque les faits sont commis par violence, effraction ou corruption, et à sept ans lorsque les faits sont commis en réunion ou sous la menace d'une arme ou d'une substance explosive, incendiaire ou toxique.<br/>Est puni des mêmes peines le fait, pour toute personne, de faciliter sciemment, par aide ou par assistance, la préparation ou la commission des infractions prévues au présent article.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774440
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774442
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Sous-section 2 : Soustraction au placement et au maintien en rétention administrative
null
null
LEGISCTA000042773860
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 2 : Soustraction au placement et au maintien en rétention administrative
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-9
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à l'exécution d'une interdiction administrative du territoire français, d'une obligation de quitter le territoire français ou d'une décision d'expulsion. Cette peine est également applicable en cas de refus, par un étranger, de se soumettre aux modalités de transport qui lui sont désignées pour l'exécution d'office de la mesure dont il fait l'objet. Cette peine est également applicable en cas de refus, par un étranger, de se soumettre aux obligations sanitaires nécessaires à l'exécution d'office de la mesure dont il fait l'objet. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,628,294,400,000
32,472,144,000,000
L824-9
LEGIARTI000043911515
LEGIARTI000042773866
AUTONOME
VIGUEUR
Par décision du Conseil constitutionnel n° 2021-824 DC du 5 août 2021, le troisième alinéa de l'article L. 824‑9 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, dans sa rédaction résultant de l'article 2 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire, a été déclaré conforme à la Constitution sous la réserve énoncée au paragraphe 95 aux termes de laquelle : " les dispositions contestées punissent de trois ans d'emprisonnement le refus par un étranger de se soumettre aux obligations sanitaires nécessaires à l'exécution d'office de la mesure d'éloignement dont il fait l'objet. L'expression obligations sanitaires , éclairée par les travaux parlementaires, doit s'entendre des tests de dépistage de la covid-19. Il appartient par ailleurs au juge pénal, saisi de poursuites ordonnées sur le fondement de ces dispositions, de vérifier la réalité du refus opposé par l'étranger poursuivi et l'intention de l'intéressé de se soustraire à l'exécution d'office de la mesure d'éloignement."
2.0
536,870,911
null
null
null
Article
<p></p><p><br/> Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à l'exécution d'une interdiction administrative du territoire français, d'une obligation de quitter le territoire français ou d'une décision d'expulsion.<br/><br/> Cette peine est également applicable en cas de refus, par un étranger, de se soumettre aux modalités de transport qui lui sont désignées pour l'exécution d'office de la mesure dont il fait l'objet.<br/><br/> Cette peine est également applicable en cas de refus, par un étranger, de se soumettre aux obligations sanitaires nécessaires à l'exécution d'office de la mesure dont il fait l'objet.<br/><br/> L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774436
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000043911515
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774438
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Sous-section 3 : Soustraction à l'exécution d'une décision d'éloignement
null
null
LEGISCTA000042773864
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 3 : Soustraction à l'exécution d'une décision d'éloignement
<p>Par décision du Conseil constitutionnel n° 2021-824 DC du 5 août 2021, le troisième alinéa de l'article L. 824‑9 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, dans sa rédaction résultant de l'article 2 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire, a été déclaré conforme à la Constitution sous la réserve énoncée au paragraphe 95 aux termes de laquelle : " les dispositions contestées punissent de trois ans d'emprisonnement le refus par un étranger de se soumettre aux obligations sanitaires nécessaires à l'exécution d'office de la mesure d'éloignement dont il fait l'objet. L'expression obligations sanitaires , éclairée par les travaux parlementaires, doit s'entendre des tests de dépistage de la covid-19. Il appartient par ailleurs au juge pénal, saisi de poursuites ordonnées sur le fondement de ces dispositions, de vérifier la réalité du refus opposé par l'étranger poursuivi et l'intention de l'intéressé de se soustraire à l'exécution d'office de la mesure d'éloignement."</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-10
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à l'exécution d'une décision de mise en œuvre d'une décision prise par un autre État, d'une décision de remise aux autorités d'un autre État ou d'une décision de transfert prévue à l'article L. 572-1. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-10
LEGIARTI000042774434
LEGIARTI000042773868
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de se soustraire ou de tenter de se soustraire à l'exécution d'une décision de mise en œuvre d'une décision prise par un autre État, d'une décision de remise aux autorités d'un autre État ou d'une décision de transfert prévue à l'article L. 572-1.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774434
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774438
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Sous-section 3 : Soustraction à l'exécution d'une décision d'éloignement
null
null
LEGISCTA000042773864
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 3 : Soustraction à l'exécution d'une décision d'éloignement
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-11
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger faisant l'objet d'une interdiction administrative du territoire, d'une interdiction de retour sur le territoire français, d'une décision d'expulsion ou d'une peine d'interdiction du territoire français, de pénétrer de nouveau sans autorisation en France. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-11
LEGIARTI000042774430
LEGIARTI000042773872
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger faisant l'objet d'une interdiction administrative du territoire, d'une interdiction de retour sur le territoire français, d'une décision d'expulsion ou d'une peine d'interdiction du territoire français, de pénétrer de nouveau sans autorisation en France.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de dix ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774430
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774432
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Sous-section 4 : Retour non autorisé sur le territoire français en méconnaissance d'une décision d'éloignement
null
null
LEGISCTA000042773870
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 4 : Retour non autorisé sur le territoire français en méconnaissance d'une décision d'éloignement
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L824-12
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de pénétrer de nouveau sans autorisation en France après avoir fait l'objet d'une décision de remise aux autorités d'un autre État, d'une interdiction de circulation sur le territoire français ou d'une décision de transfert prévue à l'article L. 572-1. L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L824-12
LEGIARTI000042774428
LEGIARTI000042773874
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Est puni de trois ans d'emprisonnement le fait, pour un étranger, de pénétrer de nouveau sans autorisation en France après avoir fait l'objet d'une décision de remise aux autorités d'un autre État, d'une interdiction de circulation sur le territoire français ou d'une décision de transfert prévue à l'article L. 572-1.<br/>L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774428
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774432
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Sous-section 4 : Retour non autorisé sur le territoire français en méconnaissance d'une décision d'éloignement
null
null
LEGISCTA000042773870
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre II : SANCTIONS &gt; Chapitre IV : MANQUEMENT À L'EXÉCUTION D'UNE DÉCISION D'ÉLOIGNEMENT &gt; Section 2 : Méconnaissance des mesures prises pour l'exécution d'office d'une décision d'éloignement &gt; Sous-section 4 : Retour non autorisé sur le territoire français en méconnaissance d'une décision d'éloignement
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les dispositions du présent livre sont applicables de plein droit en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon, sous réserve des adaptations prévues au présent chapitre.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-1
LEGIARTI000042774420
LEGIARTI000042773882
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Les dispositions du présent livre sont applicables de plein droit en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon, sous réserve des adaptations prévues au présent chapitre.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774420
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042774422
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Section 1 : Dispositions communes aux collectivités régies par l'article 73 de la Constitution et à Saint-Pierre-et-Miquelon
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null
LEGISCTA000042773880
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 1 : Dispositions communes aux collectivités régies par l'article 73 de la Constitution et à Saint-Pierre-et-Miquelon
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon : 1° A l'article L. 812-2, les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; 2° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte ou à Saint-Pierre-et-Miquelon sans se conformer aux dispositions de l'article L. 311-1 du présent code. " L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français. " Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale. " ; 3° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; 4° L'article L. 821-6 est ainsi modifié : a) Aux premier et deuxième alinéas, les mots : “ ou de l'autorisation de voyage ” sont supprimés ; b) Le dernier alinéa est supprimé ; 5° Au second alinéa de l'article L. 821-7, les mots : “ ou de l'autorisation de voyage ” sont supprimés.
1,706,400,000,000
32,472,144,000,000
L831-2
LEGIARTI000049050001
LEGIARTI000042773884
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p>Pour l'application du présent livre en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte et à Saint-Pierre-et-Miquelon :<br/><br/> 1° A l'article L. 812-2, les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ;<br/><br/> 2° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé :</p><p><br/> " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Mayotte ou à Saint-Pierre-et-Miquelon sans se conformer aux dispositions de l'article L. 311-1 du présent code.<br/><br/> " L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français.<br/><br/> " Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale. " ;</p><p><br/> 3° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé :</p><p><br/> " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ;</p><p>4° L'article L. 821-6 est ainsi modifié :<br/><br/> a) Aux premier et deuxième alinéas, les mots : “ ou de l'autorisation de voyage ” sont supprimés ;<br/><br/> b) Le dernier alinéa est supprimé ;<br/><br/> 5° Au second alinéa de l'article L. 821-7, les mots : “ ou de l'autorisation de voyage ” sont supprimés.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774418
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049050001
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774422
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Section 1 : Dispositions communes aux collectivités régies par l'article 73 de la Constitution et à Saint-Pierre-et-Miquelon
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LEGISCTA000042773880
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 1 : Dispositions communes aux collectivités régies par l'article 73 de la Constitution et à Saint-Pierre-et-Miquelon
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En Guadeloupe, les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà, ainsi que sur les routes nationales 1 et 4.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-3
LEGIARTI000042774414
LEGIARTI000042773888
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>En Guadeloupe, les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà, ainsi que sur les routes nationales 1 et 4.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774414
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774416
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Section 2 : Dispositions particulières à la Guadeloupe
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LEGISCTA000042773886
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 2 : Dispositions particulières à la Guadeloupe
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En Guadeloupe, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal. Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées. Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause. Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale. Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-4
LEGIARTI000042774412
LEGIARTI000042773890
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>En Guadeloupe, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal.<br/>Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées.<br/>Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause.<br/>Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale.<br/>Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774412
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774416
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Section 2 : Dispositions particulières à la Guadeloupe
null
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LEGISCTA000042773886
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 2 : Dispositions particulières à la Guadeloupe
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-5
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En Guyane, les dispositions des articles L. 812-3 et L. 812-4 sont applicables dans une zone comprise entre les frontières terrestres et une ligne tracée à vingt kilomètres en deçà ainsi que sur la route nationale 2 sur le territoire des communes de Saint-Georges et de Régina et sur la route départementale 6 et la route nationale 2 sur la commune de Roura.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-5
LEGIARTI000042774408
LEGIARTI000042773894
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>En Guyane, les dispositions des articles L. 812-3 et L. 812-4 sont applicables dans une zone comprise entre les frontières terrestres et une ligne tracée à vingt kilomètres en deçà ainsi que sur la route nationale 2 sur le territoire des communes de Saint-Georges et de Régina et sur la route départementale 6 et la route nationale 2 sur la commune de Roura.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774408
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774410
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Section 3 : Dispositions particulières à la Guyane
null
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LEGISCTA000042773892
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null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 3 : Dispositions particulières à la Guyane
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-6
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En Guyane, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal. Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées. Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause. Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale. Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-6
LEGIARTI000042774406
LEGIARTI000042773896
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>En Guyane, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal.<br/>Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées.<br/>Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause.<br/>Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale.<br/>Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774410
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Section 3 : Dispositions particulières à la Guyane
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LEGISCTA000042773892
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null
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 3 : Dispositions particulières à la Guyane
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-7
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En Martinique, les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà, ainsi que sur les routes nationales 1, 2, 3, 5 et 6 et sur la route départementale 1.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-7
LEGIARTI000042774402
LEGIARTI000042773900
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>En Martinique, les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà, ainsi que sur les routes nationales 1, 2, 3, 5 et 6 et sur la route départementale 1.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774404
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Section 4 : Dispositions particulières à la Martinique
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LEGISCTA000042773898
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null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 4 : Dispositions particulières à la Martinique
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-8
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
En Martinique, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal. Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées. Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause. Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale. Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-8
LEGIARTI000042774400
LEGIARTI000042773902
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>En Martinique, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal.<br/>Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées.<br/>Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause.<br/>Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale.<br/>Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774404
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Section 4 : Dispositions particulières à la Martinique
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LEGISCTA000042773898
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 4 : Dispositions particulières à la Martinique
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-9
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées sur l'ensemble du territoire de Mayotte.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-9
LEGIARTI000042774396
LEGIARTI000042773906
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p><br/>Les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées sur l'ensemble du territoire de Mayotte.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774396
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774398
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Section 5 : Dispositions particulières à Mayotte
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LEGISCTA000042773904
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 5 : Dispositions particulières à Mayotte
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L831-10
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
A Mayotte, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal. Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées. Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause. Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale. Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L831-10
LEGIARTI000042774394
LEGIARTI000042773908
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>A Mayotte, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal.<br/>Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées.<br/>Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause.<br/>Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale.<br/>Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774394
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774398
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Section 5 : Dispositions particulières à Mayotte
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LEGISCTA000042773904
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre I : DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX COLLECTIVITÉS RÉGIES PAR L'ARTICLE 73 DE LA CONSTITUTION ET À SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON &gt; Section 5 : Dispositions particulières à Mayotte
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L832-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables à Saint-Barthélemy dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous. Articles applicables Dans leur rédaction résultant de Au titre I L. 810-1 à L. 812-2 L. 813-1 à L. 813-4 L. 813-5 La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur L. 813-6 à L. 814-1 Au titre II L. 820-1 à L. 824-12
1,674,691,200,000
32,472,144,000,000
L832-1
LEGIARTI000047054086
LEGIARTI000042773912
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,496,729
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Article
<p>Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables à Saint-Barthélemy dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous.</p><p></p><center><table border='1'><tbody><tr><th>Articles applicables</th><th>Dans leur rédaction résultant de</th></tr><tr><td align='justify'>Au titre I</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 810-1 à L. 812-2</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-1 à L. 813-4</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-5</td><td align='left'>La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur</td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-6 à L. 814-1</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>Au titre II</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 820-1 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr></tbody></table></center><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774390
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774392
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Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
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LEGISCTA000042773910
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L832-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre à Saint-Barthélemy : 1° A l'article L. 812-2, les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " et les mots : " l'article 67 quater du code des douanes " sont remplacés par les dispositions applicables localement ayant le même objet ; 2° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer à Saint-Barthélemy, sans se conformer aux dispositions de l'article L. 311-1 du présent code. " L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français. " Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale. " ; 3° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ;
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L832-2
LEGIARTI000042774388
LEGIARTI000042773914
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
858,993,458
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du présent livre à Saint-Barthélemy : <br/>1° A l'article L. 812-2, les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " et les mots : " l'article 67 quater du code des douanes " sont remplacés par les dispositions applicables localement ayant le même objet ; <br/>2° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer à Saint-Barthélemy, sans se conformer aux dispositions de l'article L. 311-1 du présent code. <br/>" L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français. <br/>" Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale. " ; </p><p><br/>3° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-2.-Est puni d'un an emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ;</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774392
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Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
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LEGISCTA000042773910
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L832-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées à Saint-Barthélemy dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L832-3
LEGIARTI000042774386
LEGIARTI000042773916
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,288,490,187
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Article
<p><br/>Les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées à Saint-Barthélemy dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774386
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774392
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Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
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LEGISCTA000042773910
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L832-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
A Saint-Barthélemy, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal. Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées. Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause. Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale. Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L832-4
LEGIARTI000042774384
LEGIARTI000042773918
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,717,986,916
null
null
null
Article
<p><br/>A Saint-Barthélemy, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal.<br/>Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées.<br/>Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause.<br/>Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale.<br/>Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774384
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774392
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Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
null
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LEGISCTA000042773910
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre II : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-BARTHÉLEMY
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L833-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables à Saint-Martin dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous. Articles applicables Dans leur rédaction résultant de Au titre I L. 810-1 à L. 812-2 L. 813-1 à L. 813-4 L. 813-5 La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur L. 813-6 à L. 814-1 Au titre II L. 820-1 à L. 824-12
1,674,691,200,000
32,472,144,000,000
L833-1
LEGIARTI000047054079
LEGIARTI000042773922
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,496,729
null
null
null
Article
<p>Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables à Saint-Martin dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous.</p><center><table border='1'><tbody><tr><th>Articles applicables</th><th>Dans leur rédaction résultant de</th></tr><tr><td align='justify'>Au titre I</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 810-1 à L. 812-2</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-1 à L. 813-4</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-5</td><td align='left'>La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur</td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-6 à L. 814-1</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>Au titre II</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 820-1 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr></tbody></table></center><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774380
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047054079
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774382
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Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
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LEGISCTA000042773920
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L833-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre à Saint-Martin : 1° A l'article L. 812-2, les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " et les mots : " l'article 67 quater du code des douanes " sont remplacés par les dispositions applicables localement ayant le même objet ; 2° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer à Saint-Martin, sans se conformer aux dispositions de l'article L. 311-1 du présent code. " L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français. " Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale. " ; 3° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ;
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L833-2
LEGIARTI000042774378
LEGIARTI000042773924
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
858,993,458
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du présent livre à Saint-Martin : <br/>1° A l'article L. 812-2, les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " et les mots : " l'article 67 quater du code des douanes " sont remplacés par les dispositions applicables localement ayant le même objet ; <br/>2° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer à Saint-Martin, sans se conformer aux dispositions de l'article L. 311-1 du présent code. <br/>" L'étranger condamné en application du présent article encourt la peine complémentaire de trois ans d'interdiction du territoire français. <br/>" Pour l'application du présent article, l'action publique ne peut être mise en mouvement que lorsque les faits ont été constatés dans les circonstances prévues à l'article 53 du code de procédure pénale. " ; </p><p><br/>3° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-2.-Est puni d'un an emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ;</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774378
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774382
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Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
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LEGISCTA000042773920
null
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L833-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées à Saint-Martin dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L833-3
LEGIARTI000042774376
LEGIARTI000042773926
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,288,490,187
null
null
null
Article
<p><br/>Les visites sommaires prévues aux articles L. 812-3 et L. 812-4 peuvent être effectuées à Saint-Martin dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracée à un kilomètre en deçà.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774376
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000042774382
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Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
null
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LEGISCTA000042773920
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L833-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
A Saint-Martin, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal. Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées. Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause. Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale. Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L833-4
LEGIARTI000042774374
LEGIARTI000042773928
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,717,986,916
null
null
null
Article
<p><br/>A Saint-Martin, le procureur de la République peut, au cours de l'enquête ou si aucune juridiction n'a été saisie ou lorsque la juridiction saisie a épuisé sa compétence sans avoir statué sur le sort des scellés, ordonner la destruction ou l'immobilisation, par la neutralisation de tout moyen indispensable à leur fonctionnement, des embarcations, des véhicules terrestres et des aéronefs qui ont servi à commettre les infractions mentionnées aux articles L. 823-1 et L. 823-2, constatées par procès-verbal.<br/>Les décisions du procureur de la République prises en application du présent article sont motivées.<br/>Elles sont notifiées par tout moyen aux personnes ayant des droits sur le bien, si celles-ci sont connues, et aux personnes mises en cause.<br/>Les décisions d'immobilisation d'un bien peuvent être contestées selon les règles prévues à l'article 41-4 du code de procédure pénale.<br/>Les décisions de destruction d'un bien prises par le procureur de la République peuvent être contestées par les personnes mentionnées au troisième alinéa du présent article, dans un délai de quarante-huit heures à compter de la notification de la décision, par voie de requête, devant le président de la chambre de l'instruction, qui se prononce dans un délai de quinze jours. Le recours contre la décision de destruction est suspensif. La personne mise en cause et les personnes ayant des droits sur le bien peuvent adresser toutes observations écrites ou être entendues par le président de la chambre de l'instruction. Lorsque la personne mise en cause n'a pas fait connaître son opposition et que, au terme d'un délai de quinze jours à compter de la date de la décision de destruction, le propriétaire ou l'ayant droit supposé n'a pu être identifié ou averti et ne s'est pas manifesté, la procédure est réputée contradictoire et la décision du procureur de la République peut être exécutée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774374
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774382
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Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
null
null
LEGISCTA000042773920
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À SAINT-MARTIN
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L834-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables dans les îles Wallis et Futuna dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous. Articles applicables Dans leur rédaction résultant de Au titre I L. 810-1 à L. 812-2 L. 813-1 à L. 813-4 L. 813-5 La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur L. 813-6 à L. 814-1 Au titre II L. 820-1 à L. 824-12 L. 821-8 à L. 822-3 L. 822-5 à L. 824-12
1,674,691,200,000
32,472,144,000,000
L834-1
LEGIARTI000047054073
LEGIARTI000042773932
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
715,827,882
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null
Article
<p>Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables dans les îles Wallis et Futuna dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous.</p><p></p><center><table border='1'><tbody><tr><th>Articles applicables</th><th>Dans leur rédaction résultant de</th></tr><tr><td align='justify'>Au titre I</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 810-1 à L. 812-2</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-1 à L. 813-4</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-5</td><td align='left'>La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur</td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-6 à L. 814-1</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>Au titre II</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 820-1 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 821-8 à L. 822-3</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 822-5 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr></tbody></table></center>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774370
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047054073
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774372
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Chapitre IV : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES ÎLES WALLIS ET FUTUNA
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LEGISCTA000042773930
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre IV : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES ÎLES WALLIS ET FUTUNA
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L834-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre dans les îles Wallis et Futuna : 1° Au titre Ier, les mots : " en France " sont remplacés par les mots : " dans les îles Wallis et Futuna " ; 2° Les valeurs monétaires exprimées en euros sont remplacées par leur contre-valeur en francs CFP ; 3° A l'article L. 812-2, les dispositions du 3° ne sont pas applicables et les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; 4° A l'article L. 820-1, les références aux articles L. 822-4, L. 822-5 et L. 823-1 à L. 823-7 sont supprimées ; 5° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer ou de séjourner dans les îles Wallis et Futuna sans se conformer aux dispositions des articles L. 311-1 et L. 411-1 ou de s'y maintenir au-delà de la durée autorisée par son visa. " La juridiction pourra en outre, à titre de peine complémentaire, interdire au condamné, pendant une durée qui ne peut excéder trois ans, de pénétrer ou de séjourner sur le territoire des îles Wallis et Futuna. " ; 6° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; 7° A l'article L. 822-2, les mots : " et de la contribution spéciale prévue à l'article L. 8253-1 du code du travail " sont supprimés ; 8° L'article L. 822-3 est ainsi rédigé : " Art. L. 822-3.-Le montant total des sanctions pécuniaires pour l'emploi d'un étranger en situation de séjour irrégulier ne peut excéder le montant des sanctions pénales prévues par les dispositions applicables localement relatives à l'emploi de la main-d'œuvre étrangère ou, si l'employeur entre dans le champ d'application de ces articles, le montant des sanctions pénales prévues aux articles L. 823-1 à L. 823-10 du présent code. " ; 9° A l'article L. 822-5, après les mots : " A ce titre, il ", sont insérés les mots : " constate, fixe le montant de la contribution, ".
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L834-2
LEGIARTI000042774368
LEGIARTI000042773934
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du présent livre dans les îles Wallis et Futuna : <br/>1° Au titre Ier, les mots : " en France " sont remplacés par les mots : " dans les îles Wallis et Futuna " ; <br/>2° Les valeurs monétaires exprimées en euros sont remplacées par leur contre-valeur en francs CFP ; <br/>3° A l'article L. 812-2, les dispositions du 3° ne sont pas applicables et les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; <br/>4° A l'article L. 820-1, les références aux articles L. 822-4, L. 822-5 et L. 823-1 à L. 823-7 sont supprimées ; <br/>5° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer ou de séjourner dans les îles Wallis et Futuna sans se conformer aux dispositions des articles L. 311-1 et L. 411-1 ou de s'y maintenir au-delà de la durée autorisée par son visa. <br/>" La juridiction pourra en outre, à titre de peine complémentaire, interdire au condamné, pendant une durée qui ne peut excéder trois ans, de pénétrer ou de séjourner sur le territoire des îles Wallis et Futuna. " ; </p><p><br/>6° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-2.-Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; </p><p><br/>7° A l'article L. 822-2, les mots : " et de la contribution spéciale prévue à l'article L. 8253-1 du code du travail " sont supprimés ; <br/>8° L'article L. 822-3 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 822-3.-Le montant total des sanctions pécuniaires pour l'emploi d'un étranger en situation de séjour irrégulier ne peut excéder le montant des sanctions pénales prévues par les dispositions applicables localement relatives à l'emploi de la main-d'œuvre étrangère ou, si l'employeur entre dans le champ d'application de ces articles, le montant des sanctions pénales prévues aux articles L. 823-1 à L. 823-10 du présent code. " ; </p><p><br/>9° A l'article L. 822-5, après les mots : " A ce titre, il ", sont insérés les mots : " constate, fixe le montant de la contribution, ".</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774368
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000042774372
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Chapitre IV : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES ÎLES WALLIS ET FUTUNA
null
null
LEGISCTA000042773930
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre IV : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES ÎLES WALLIS ET FUTUNA
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L835-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables en Polynésie française dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous. Articles applicables Dans leur rédaction résultant de Au titre I L. 810-1 à L. 812-2 L. 813-1 à L. 813-4 L. 813-5 La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur L. 813-6 à L. 814-1 Au titre II L. 820-1 à L. 824-12 L. 821-8 à L. 822-3 L. 822-5 à L. 824-12
1,674,691,200,000
32,472,144,000,000
L835-1
LEGIARTI000047054065
LEGIARTI000042773938
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p>Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables en Polynésie française dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous.</p><p></p><center><table border='1'><tbody><tr><th>Articles applicables</th><th>Dans leur rédaction résultant de</th></tr><tr><td align='justify'>Au titre I</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 810-1 à L. 812-2</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-1 à L. 813-4</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-5</td><td align='left'>La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur</td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-6 à L. 814-1</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>Au titre II</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 820-1 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 821-8 à L. 822-3</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 822-5 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr></tbody></table></center>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774364
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047054065
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000042774366
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Chapitre V : DISPOSITIONS APPLICABLES EN POLYNÉSIE FRANÇAISE
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LEGISCTA000042773936
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre V : DISPOSITIONS APPLICABLES EN POLYNÉSIE FRANÇAISE
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L835-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre en Polynésie française : 1° Au titre Ier, le mot : " France " est remplacé par les mots : " Polynésie française " ; 2° Les valeurs monétaires exprimées en euros sont remplacées par leur contre-valeur en francs CFP ; 3° A l'article L. 812-2, les dispositions du 3° ne sont pas applicables et les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; 4° A l'article L. 820-1, les références aux articles L. 822-4, L. 822-5 et L. 823-1 à L. 823-7 sont supprimées ; 5° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer ou de séjourner en Polynésie française sans se conformer aux dispositions des articles L. 311-1 et L. 411-1 ou de s'y maintenir au-delà de la durée autorisée par son visa. " La juridiction pourra en outre, à titre de peine complémentaire, interdire au condamné, pendant une durée qui ne peut excéder trois ans, de pénétrer ou de séjourner sur le territoire de la Polynésie française. " ; 6° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; 7° A l'article L. 822-2, les mots : " et de la contribution spéciale prévue à l'article L. 8253-1 du code du travail " sont supprimés ; 8° L'article L. 822-3 est ainsi rédigé : " Art. L. 822-3.-Le montant total des sanctions pécuniaires pour l'emploi d'un étranger en situation de séjour irrégulier ne peut excéder le montant des sanctions pénales prévues par les dispositions applicables localement relatives à l'emploi de la main-d'œuvre étrangère ou, si l'employeur entre dans le champ d'application de ces articles, le montant des sanctions pénales prévues aux articles L. 823-1 à L. 823-10 du présent code. " ; 9° A l'article L. 822-5, après les mots : " A ce titre, il ", sont insérés les mots : " constate, fixe le montant de la contribution, ".
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L835-2
LEGIARTI000042774362
LEGIARTI000042773940
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du présent livre en Polynésie française : <br/>1° Au titre Ier, le mot : " France " est remplacé par les mots : " Polynésie française " ; <br/>2° Les valeurs monétaires exprimées en euros sont remplacées par leur contre-valeur en francs CFP ; <br/>3° A l'article L. 812-2, les dispositions du 3° ne sont pas applicables et les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; <br/>4° A l'article L. 820-1, les références aux articles L. 822-4, L. 822-5 et L. 823-1 à L. 823-7 sont supprimées ; <br/>5° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer ou de séjourner en Polynésie française sans se conformer aux dispositions des articles L. 311-1 et L. 411-1 ou de s'y maintenir au-delà de la durée autorisée par son visa. <br/>" La juridiction pourra en outre, à titre de peine complémentaire, interdire au condamné, pendant une durée qui ne peut excéder trois ans, de pénétrer ou de séjourner sur le territoire de la Polynésie française. " ; </p><p><br/>6° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-2.-Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; </p><p><br/>7° A l'article L. 822-2, les mots : " et de la contribution spéciale prévue à l'article L. 8253-1 du code du travail " sont supprimés ; <br/>8° L'article L. 822-3 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 822-3.-Le montant total des sanctions pécuniaires pour l'emploi d'un étranger en situation de séjour irrégulier ne peut excéder le montant des sanctions pénales prévues par les dispositions applicables localement relatives à l'emploi de la main-d'œuvre étrangère ou, si l'employeur entre dans le champ d'application de ces articles, le montant des sanctions pénales prévues aux articles L. 823-1 à L. 823-10 du présent code. " ; </p><p><br/>9° A l'article L. 822-5, après les mots : " A ce titre, il ", sont insérés les mots : " constate, fixe le montant de la contribution, ".</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774362
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774366
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Chapitre V : DISPOSITIONS APPLICABLES EN POLYNÉSIE FRANÇAISE
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LEGISCTA000042773936
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre V : DISPOSITIONS APPLICABLES EN POLYNÉSIE FRANÇAISE
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L836-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables en Nouvelle-Calédonie dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous. Articles applicables Dans leur rédaction résultant de Au titre I L. 810-1 à L. 812-2 L. 813-1 à L. 813-4 L. 813-5 La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur L. 813-6 à L. 814-1 Au titre II L. 820-1 à L. 824-12 L. 821-8 à L. 822-3 L. 822-5 à L. 824-12
1,674,691,200,000
32,472,144,000,000
L836-1
LEGIARTI000047054057
LEGIARTI000042773944
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
715,827,882
null
null
null
Article
<p>Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables en Nouvelle-Calédonie dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire dans le tableau ci-dessous.</p><p><center><table border='1'><tbody><tr><th>Articles applicables</th><th>Dans leur rédaction résultant de</th></tr><tr><td align='justify'>Au titre I</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 810-1 à L. 812-2</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-1 à L. 813-4</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-5</td><td align='left'>La loi n° 2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur</td></tr><tr><td align='justify'>L. 813-6 à L. 814-1</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>Au titre II</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 820-1 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 821-8 à L. 822-3</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'>L. 822-5 à L. 824-12</td><td align='left'></td></tr></tbody></table></center></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042774358
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774360
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Chapitre VI : DISPOSITIONS APPLICABLES EN NOUVELLE-CALÉDONIE
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LEGISCTA000042773942
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre VI : DISPOSITIONS APPLICABLES EN NOUVELLE-CALÉDONIE
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L836-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre en Nouvelle-Calédonie : 1° Au titre Ier, le mot : " France " est remplacé par les mots : " Nouvelle-Calédonie " ; 2° Les valeurs monétaires exprimées en euros sont remplacées par leur contre-valeur en francs CFP ; 3° A l'article L. 812-2, les dispositions du 3° ne sont pas applicables et les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; 4° A l'article L. 820-1, les références aux articles L. 822-4, L. 822-5 et L. 823-1 à L. 823-7 sont supprimées ; 5° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer ou de séjourner en Nouvelle-Calédonie sans se conformer aux dispositions des articles L. 311-1 et L. 411-1 ou de s'y maintenir au-delà de la durée autorisée par son visa. " La juridiction pourra en outre, à titre de peine complémentaire, interdire au condamné, pendant une durée qui ne peut excéder trois ans, de pénétrer ou de séjourner sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie. " ; 6° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-2.-Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; 7° A l'article L. 822-2, les mots : " et de la contribution spéciale prévue à l'article L. 8253-1 du code du travail " sont supprimés ; 8° L'article L. 822-3 est ainsi rédigé : " Art. L. 822-3.-Le montant total des sanctions pécuniaires pour l'emploi d'un étranger en situation de séjour irrégulier ne peut excéder le montant des sanctions pénales prévues par les dispositions applicables localement relatives à l'emploi de la main-d'œuvre étrangère ou, si l'employeur entre dans le champ d'application de ces articles, le montant des sanctions pénales prévues aux articles L. 823-1 à L. 823-10 du présent code. " ; 9° A l'article L. 822-5, après les mots : " A ce titre, il ", sont insérés les mots : " constate, fixe le montant de la contribution, ".
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L836-2
LEGIARTI000042774356
LEGIARTI000042773946
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du présent livre en Nouvelle-Calédonie : <br/>1° Au titre Ier, le mot : " France " est remplacé par les mots : " Nouvelle-Calédonie " ; <br/>2° Les valeurs monétaires exprimées en euros sont remplacées par leur contre-valeur en francs CFP ; <br/>3° A l'article L. 812-2, les dispositions du 3° ne sont pas applicables et les mots : " des articles 78-1 à 78-2-2 du code de procédure pénale " sont remplacés par les mots : " de l'article 78-1, de l'article 78-2 à l'exception de ses neuvième et dixième alinéas et des articles 78-2-1 et 78-2-2 du code de procédure pénale " ; <br/>4° A l'article L. 820-1, les références aux articles L. 822-4, L. 822-5 et L. 823-1 à L. 823-7 sont supprimées ; <br/>5° L'article L. 821-1 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-1.-Est puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, le fait pour un étranger de pénétrer ou de séjourner en Nouvelle-Calédonie sans se conformer aux dispositions des articles L. 311-1 et L. 411-1 ou de s'y maintenir au-delà de la durée autorisée par son visa. <br/>" La juridiction pourra en outre, à titre de peine complémentaire, interdire au condamné, pendant une durée qui ne peut excéder trois ans, de pénétrer ou de séjourner sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie. " ; </p><p><br/>6° L'article L. 821-2 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-2.-Est puni d'un an d'emprisonnement, de 3 750 euros d'amende et de trois ans d'interdiction du territoire français, le fait pour un étranger qui ne remplit pas les conditions d'entrée prévues à l'article L. 311-1, de refuser de se soumettre aux opérations de relevé des empreintes digitales et de prise de photographie dans le cas prévu au 3° de l'article L. 142-1. " ; </p><p><br/>7° A l'article L. 822-2, les mots : " et de la contribution spéciale prévue à l'article L. 8253-1 du code du travail " sont supprimés ; <br/>8° L'article L. 822-3 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 822-3.-Le montant total des sanctions pécuniaires pour l'emploi d'un étranger en situation de séjour irrégulier ne peut excéder le montant des sanctions pénales prévues par les dispositions applicables localement relatives à l'emploi de la main-d'œuvre étrangère ou, si l'employeur entre dans le champ d'application de ces articles, le montant des sanctions pénales prévues aux articles L. 823-1 à L. 823-10 du présent code. " ; </p><p><br/>9° A l'article L. 822-5, après les mots : " A ce titre, il ", sont insérés les mots : " constate, fixe le montant de la contribution, ".</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042774356
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774360
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Chapitre VI : DISPOSITIONS APPLICABLES EN NOUVELLE-CALÉDONIE
null
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LEGISCTA000042773942
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre VI : DISPOSITIONS APPLICABLES EN NOUVELLE-CALÉDONIE
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
null
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L837-1
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables dans les Terres australes et antarctiques françaises dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire ou mention de leur application de plein droit dans le tableau ci-dessous. Articles applicables Dans leur rédaction résultant de Au titre II L. 821-6 L. 821-8 et L. 821-9 L. 821-12 à L. 821-13 L. 823-1 à L. 823-8 Application de plein droit L. 823-10 Application de plein droit
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L837-1
LEGIARTI000042774352
LEGIARTI000042773950
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
429,496,729
null
null
null
Article
<p><br/>Sous réserve des adaptations prévues par le présent chapitre, les dispositions suivantes sont applicables dans les Terres australes et antarctiques françaises dans leur rédaction résultant de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, sauf mention contraire ou mention de leur application de plein droit dans le tableau ci-dessous.</p><p><div align='center'><center><table border='1'><tr><th><br/>Articles applicables</th><th><br/>Dans leur rédaction résultant de</th></tr><tr><td align='justify'><br/>Au titre II</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'><br/>L. 821-6</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'><br/>L. 821-8 et L. 821-9</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'><br/>L. 821-12 à L. 821-13</td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'><br/>L. 823-1 à L. 823-8</td><td align='justify'><br/>Application de plein droit</td></tr><tr><td align='justify'><br/>L. 823-10</td><td align='justify'><br/>Application de plein droit</td></tr></table></center></div></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774354
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Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
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LEGISCTA000042773948
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L837-2
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Pour l'application du présent livre dans les Terres australes et antarctiques françaises : 1° Les mots : " en France " sont remplacés par les mots : " dans les Terres australes et antarctiques " ; 2° L'article L. 821-6 est ainsi rédigé : " Art. L. 821-6.-Est passible d'une amende administrative de 5 000 euros l'entreprise de transport aérien, maritime ou routier qui débarque sur le territoire français, en provenance d'un autre Etat, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne démuni du document de voyage et, le cas échéant, du visa requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable en raison de sa nationalité. " Est passible de la même amende l'entreprise de transport aérien ou maritime qui débarque, dans le cadre du transit, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne démuni du document de voyage ou du visa requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable compte tenu de sa nationalité et de sa destination. " L'amende prévue aux premier et deuxième alinéas est réduite à 3 000 euros par passager lorsque l'entreprise a mis en place et utilise, sur le lieu d'embarquement des passagers, un dispositif agréé de numérisation et de transmission, aux autorités françaises chargées du contrôle aux frontières, des documents de voyage et des visas " ; 3° A l'article L. 821-9, les mots : " 10 000 euros " et " 20 000 euros " sont respectivement remplacés par les mots : " 3 000 euros à 5 000 euros " et " 6 000 euros à 10 000 euros ".
1,619,827,200,000
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L837-2
LEGIARTI000042774350
LEGIARTI000042773952
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
858,993,458
null
null
null
Article
<p><br/>Pour l'application du présent livre dans les Terres australes et antarctiques françaises : <br/>1° Les mots : " en France " sont remplacés par les mots : " dans les Terres australes et antarctiques " ; <br/>2° L'article L. 821-6 est ainsi rédigé : </p><p><br/>" Art. L. 821-6.-Est passible d'une amende administrative de 5 000 euros l'entreprise de transport aérien, maritime ou routier qui débarque sur le territoire français, en provenance d'un autre Etat, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne démuni du document de voyage et, le cas échéant, du visa requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable en raison de sa nationalité. <br/>" Est passible de la même amende l'entreprise de transport aérien ou maritime qui débarque, dans le cadre du transit, un étranger non ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne démuni du document de voyage ou du visa requis par la loi ou l'accord international qui lui est applicable compte tenu de sa nationalité et de sa destination. <br/>" L'amende prévue aux premier et deuxième alinéas est réduite à 3 000 euros par passager lorsque l'entreprise a mis en place et utilise, sur le lieu d'embarquement des passagers, un dispositif agréé de numérisation et de transmission, aux autorités françaises chargées du contrôle aux frontières, des documents de voyage et des visas " ; </p><p><br/>3° A l'article L. 821-9, les mots : " 10 000 euros " et " 20 000 euros " sont respectivement remplacés par les mots : " 3 000 euros à 5 000 euros " et " 6 000 euros à 10 000 euros ".</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000042774354
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Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
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LEGISCTA000042773948
null
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L837-3
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, fixe les modalités d'application du troisième alinéa de l'article L. 821-6. Il précise la durée de conservation des données et les conditions de mise à jour des informations enregistrées, les catégories de personnes pouvant y accéder et les modalités d'habilitation de celles-ci ainsi que, le cas échéant, les conditions dans lesquelles les personnes intéressées peuvent exercer leur droit d'accès.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L837-3
LEGIARTI000042774348
LEGIARTI000042773954
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,288,490,187
null
null
null
Article
<p><br/>Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, fixe les modalités d'application du troisième alinéa de l'article L. 821-6. Il précise la durée de conservation des données et les conditions de mise à jour des informations enregistrées, les catégories de personnes pouvant y accéder et les modalités d'habilitation de celles-ci ainsi que, le cas échéant, les conditions dans lesquelles les personnes intéressées peuvent exercer leur droit d'accès.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000042774354
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Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
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LEGISCTA000042773948
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, art. L837-4
Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile
Des arrêtés conjoints du ministre de l'intérieur et du ministre chargé de l'outre-mer fixent, en tant que de besoin, les modalités d'application des dispositions du présent chapitre.
1,619,827,200,000
32,472,144,000,000
L837-4
LEGIARTI000042774346
LEGIARTI000042773956
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.
1.0
1,717,986,916
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Article
<p><br/>Des arrêtés conjoints du ministre de l'intérieur et du ministre chargé de l'outre-mer fixent, en tant que de besoin, les modalités d'application des dispositions du présent chapitre.</p>
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Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
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Partie législative &gt; Livre VIII : CONTRÔLES ET SANCTIONS &gt; Titre III : DISPOSITIONS APPLICABLES À L'OUTRE-MER &gt; Chapitre VII : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LES TERRES AUSTRALES ET ANTARCTIQUES FRANÇAISES
<p>Conformément à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.</p>
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