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2 classes
film avec aucun intérêt d'un ennui total aucune peur ils disent film d'horreur mais c'est un thriller encore une fois je mets une étoile et demi juste pour l'action à la fin du film
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Imancable tout simplement!Super,trop bien ,excellent et beau combat! On revoit encore un film bleach de bonne qualité!
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Un film très lent , plutôt hermétique. C'est une oeuvre esthétique sur un rythme ralenti, il ne se passe rien , même si les cadrages sont très soignés . On est plus proche de la peinture que du cinéma. Le pire est peut être le conte de "la porte" , un homme tient sa porte sur le dos pendant une demie- heure , marchant dans le désert , ou il ne se passe rien : long , fatiguant.
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Malgré le bon jeu de Karin Viard et une BO qui nous fait rentrer dans le film très vite, il ne se passe pas grand chose et on finit par s'ennuyer..
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Voilà, 50 ans de la nouvelle vague à Cannes, rétrospective Doniol Valcroze : LE réalisateur de l'ombre, inconnu du public et pourtant si cher : il a fondé les cahiers du cinéma, il a créé la SRF, il a réalisé des films qui ont pourtant marché ... Bref, avec ce premier film, "L'eau à la bouche", il prend à contrepied les attentes de son entourage. Un vaudeville lascif, taxé à l'époque d'érotisme. Un scénario aujourd'hui classique sur les couples qui se forment et se défont, mais pourtant très élégant et très intelligent. Les acteurs (et surtout les actrices) sont savoureux, mention spéciale au duo Galabru/Lafont. Le film expérimente les premiers zooms, et les mouvements de caméra sont d'une grâce surprenante. Des trouvailles visuelles sidérantes, comme ce château qui tourne et une bande son signée Gainsbourg, autrement dit : courez voir ce bijou du cinéma français !
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Quel immense déception Que ce film. Pas d’humour et de la violence gratuite ce qui rend le tout parfaitement incompréhensible on est loin très loin de la promesse de l’affiche.
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Un direct-to-DVD du niveau d'un épisode de Xena la guerrière au mieux : acteurs, réalisation, scénario, tout est en-dessous de tout; rien à voir avec une "suite" du Roi Scorpion qui, lui, était un honnête divertissement même s'il était inférieur à la saga "La Momie" dont il était tiré.
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film vraiment bidon, aucun sens, je n'ai rien compris!!!
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Une idée de départ amusante qui finalement n'accouche que d'une énième comédie sentimentale simpliste et neuneu, juste bonne à glisser entre 2 lobotomisantes pages de publicités le dimanche soir sur TF1. Ex-fan des Nuls, que sont devenues tes idoles?
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Que ça fait du bien! Quand on voit comment certains se triturent l'esprit de nos jours, c'est pourtant simple le bonheur. Surtout quand il est partagé, comme c'est si bien le faire cet homme avec sa simplicité et son sourire. Inoubliable!
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photo léchée, acteur excellent, humour et horreur, superbe combinaison pour ce film gothique, avec une touche de romantisme et d'amour impossible, cette hammer production. perso j'adore.
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Gueule d'Ange de Vanessa Filho m'a noué la gorge. Et pas seulement pour son sujet déjà raconté dans les post précédents, mais aussi pour sa facture, et la qualité de sa réalisation. Pour son premier film, la réalisatrice investit le cinéma, et prouve que l'on peut parler de la vie ordinaire des gens, même si elle est dure, sans renoncer à une direction artistique solide. Combien de films français en raison de sujets tirés de la vie réelle limitent la réalisation à un souci de vérité crue, nue. Comme si une caméra "objective" prenant des airs de documentaires pouvait seule parler de la vraie vie des gens. Vanessa Filho prouve que l'on peut faire autrement (elle n'est pas la seule évidemment). Mais j'ai aimé être dans la salle, prendre ce film comme un coup de poing, tout en me disant : heureusement que je n'ai pas découvert ce film sur ma télévision. Une scène de boîte de nuit, où Marlène emmène sa fille, est pour moi, un pur moment de cinéma. Du mixage, au découpage des plans, le rythme du montage, le jeu des comédiens... tout s'imbrique dans une séquence en apesanteur. Scène dont le dénouement sera l'un des climax émotionnel et tournant du film où Marion Cotillard atteint un degré de justesse saisissant. Il faut vivre ce moment au cinéma pour plonger dans cette boîte de nuit vue à travers les yeux d'une petite fille qui ne peut comprendre cet étrange paradoxe de la vie : on peut être aimé et pourtant être seul. D'autres séquences de "Gueule d'Ange" sont de cette qualité, et nous rappellent en tant que spectateur que le cinéma, finalement, ça devrait toujours être ça... Quel que soit le sujet ou le genre, on devrait pouvoir se dire : ce film a été fait pour être vu dans cette salle, avec ce son, ces couleurs, cet écran immense. Ici, je peux vivre une expérience émotionnelle, visuelle et sonore. Ce n'est pas sur mon Iphone, mon pc, ou ma télévision mais là, parmi ces gens, parce que c'est du cinéma, du vrai. Gueule d'Ange est de ces films là...
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mon dieu comment cest possible de mettre à laffiche un film aussi naze ! jeu dacteurs bidons blagues lourds vu et revu, clichés a tout va et film plus que vulgaire (un vulgaire sale en plus) . je savais quil allait etre nul mais a ce point ! mal au coeur davoir jeter 12e (vu que cetait ma copine qui voulait le voir, inutile de vous dire quelle comprend rien au 7e art)
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C'est décidé, je vais me faire la filmographie intégrale de Richard Linklater ! Rock Academy est le quatrième long métrage que je vois de ce même Linklater pour autant de satisfaction. Super idée, le scénario de Mike White est concis et délicat et s'octroie une grande dose de dinguerie symbolisé par son acteur titre le facétieux Jack Black. Loufoque à souhait mais aussi très touchant et mélancolique, il est épatant dans ce film. Ses comparses Joan Cusack et Mike White ( encore lui ) sont sur la même base, géniaux ! Pareil pour les gosses d'ailleurs ! Cette comédie est franchement chouette et décalé, une réussite.
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Une presque absence de bande-son alliée à de longs moments sans dialogues nous poussent à ressentir le désespoir du personnage principal : une technique déjà-vue efficace dans d'autres films mais qui ne marche pas vraiment dans For Ellen car tout repose sur ce personnage antipathique et mou qui prend enfin une sage décision dans sa vie. Interprété par un Paul Dano convainquant dans ses trois mimiques à répétition, on ne peut pas dire que Joby manque de profondeur mais juste qu'il nous offre à peu près tout le temps les mêmes facettes. On ressent clairement la grande tristesse de son petit coeur torturé mais ce sera à peu près tout. A ce personnage déjà assez inexpressif vient s'ajouter Ellen, sa fille, juste dix fois plus forte au jeu du visage de pierre. Et là, le film devient vraiment dur à supporter. Quand enfin le générique montre le bout de son nez, plus personne dans la salle n'a l’énergie de le huer ou de partir en courant. Un film pourtant pas si mauvais mais dont on sort complètement vidé. A oublier.
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circulez y a rien à voir...
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Malgré la présence d'acteurs compétents tel que Roger Moore et David Niven, le film reste vide, ennuyeux, long. L'intrigue est longue à démarrer, certains personnages ne servent à rien, l'humour laisse à désirer. Film inintéressant. En bref...une daube
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Moralisateur, culpabilisateur, caricatural. Pour faire passer l'impôt du radar, des stages de récup de points. Mensonger concernant l'Allemagne...
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Pierre Richard s'essaye à la comédie grave : un ratage. Certes quelques gags font parfois sourire, la présence de Smaïn dans un rôle chaleureux réserve quelques moments sympathiques et l'audace d'un changement de registre de la part de notre Distrait national demeure respectable. Mais On peut Toujours Rêver joue constamment sur deux tonalités - le lyrique et le burlesque - de manière totalement maladroite, avec un manque de cohérence assez déconcertant. De grosses réserves, notamment, sur le personnage du détective privé, complètement ridicule et inutile au scénario... Une ou deux séquences sortent du lot ( principalement une interprétation de La Bohème de Charles Aznavour par Pierre Richard, mais aussi la fameuse scène de La Joconde ) mais l'ensemble manque de rythme et ne fonctionne que trop rarement. A voir une fois, On peut Toujours Rêver plaira peut-être aux adeptes de Pierre Richard, mais laissera les autres sur la touche... Un divertissement sans envergure, et relativement décevant.
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je m'attendais un voir un truc sympa avec des moments de flippes, des sursauts... au final film nul avec un scénario qui l'est aussi
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Trevor, l'enfant révolté de l'Angleterre des années 1980. Trevor a un problème avec l'autorité. Ou bien est-ce l'autorité et l'environnement social qui l'entoure qui a un problème avec Trevor ? Alan Clarke nous plonge dans l'Angleterre dépressive dans laquelle les jeunes ne se retrouvent pas et tombent dès le plus jeune âge dans la délinquance. Pendant 80 minutes, on suit à la trace le parcours de Trevor (Tim Roth) à travers différents établissements sensés l'aider à retrouver la bonne voix et le bon comportement afin de se réinsérer dans la vie. Mais le jeune skinhead n'est pas du tout sur la même longueur d'onde que ses ainés. Le jeune homme est intelligent mais on ne lui donne pas les moyens de s'exprimer. Toute cette envie doit alors sortir de son corps et c'est en brisant des vitrines, défonçant des portes et volant des voitures que cela s'exprime. Grâce à une série de travellings et de plans rapprochés, Clarke met en scène un Tim Roth qui crève l'écran et nous montre toute sa haine de l'Angleterre, de son système éducatif, de son système social et de son manque de franchise envers son peuple. La musique du groupe The Exploited, groupe punk du début des années 80 colle parfaitement à l'ambiance punk et révoltée du jeune Trevor. Lui qui affirme haut et fort que la voix qu'on veut absolument lui faire prendre n'est pas la seule voix possible pour trouver le bonheur. CBTR : http://comebackfrommovietoreality.blogspot.com/2012/01/critique-made-in-britain-alan-clarke.html
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Elie Semoun et Smain dans le meme film!!! je n'est qu'un mot qui me vient à la bouche : GENIAL!!! On s'amuse du début à la fin des pitreries dez nos deux malicieux compères.
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Adaptation du célèbre roman d’Ernest Hemingway que je n’ai hélas jamais lu, ce long-métrage de Sam Wood est en tous les cas une œuvre bien passionnante notamment en ce qui concerne la magnifique histoire d’amour qu’il y a entre les personnages de Gary Cooper et d’Ingrid Bergman, ces deux mythiques stars s’avèrent par ailleurs lumineux dans leurs interprétations. Mais il serait dommage d’occulter la superbe mise en scène de Sam Wood qui nous gratifie de quelques séquences marquantes (notamment la destruction du pont à la fin du film) tout comme la belle BO de Victor Young. Un grand film qui ne possède aucune longueur malgré sa durée assez conséquente.
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Tout Cronenberg qu'il était déjà, le jeune David devait bien payer les factures. C'est en bonne partie pour cela, j'imagine, qu'il a accepté de tourner cette série B proche de l'amateurisme. Les guitares un peu trop pleines d'entrain des eighties à venir sont déjà là, les styles capillaires douteux au possible eux-aussi, et l'absence d'inventivité va plus loin que jamais, mais on a franchement vu bien pire, puisque le film déroule ses clichés avec retenue. Il y a même quelque chose d'assez attendrissant, tout à fait propre au genre, à voir Fast Company rendre hommage à la virilité (qui n'est rien autant que la persistance de l'homme dans l'image de maîtrise qu'il se fixe) avec une telle maladresse. Et puis, c'est un plaisir inégalable d'entendre les doubleurs français de l'époque s'écharper tout du long à prononcer correctement "Fast Co". Mais n'empêche, même si je charrie et que je note 1, parce que cinématographiquement le film ne vaut rien de plus, on peut passer (pour les curieux intéressés par David Cronenberg) un moment plutôt drôle et jamais trop barbant.
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Film étrange qui commençait plutôt bien, avec un edouard bear convaincant en père autoritaire et battant. Le petit joue bien et le scénario se prêtait à une belle démonstration mais plus on avance dans l'histoire, plus les invraisemblances se succèdent. Au final, le film n'a aucune saveur, il n'y a aucun second rôle, le coup de théâtre final ( s'il en est un ) ne sauve rien. Deux, trois bonnes scènes, le reste est véritablement incohérent et malencontreusement inutile. Dommage, car la mise en scène y est pour beaucoup dans le ratage.
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Un très bon film de la saga X-Men. Le passé de Wolverine nous est dévoilé, quand il était petit ... Des séquences d'actions épatante, des effets spéciaux époustouflants, et une mise en scène impeccable. Gavin Hood réalise un film rythmé, sans une seconde répis. 4/5 ****
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C'est que l'affiche du film, n'a rien à voir avec son histoire, je ne sais pas à quoi pensait cet ignorant en mettant une affiche de guerre et feu. N'en reste pas moins que j'ai adoré l'histoire du bien contre le mal, du bon musulman contre les damnés de l'extrémisme musulman, le Coran prône la paix et la sagesse et renie toute forme de violence. Un film à voir pour son action et sa philosophie de la tolérance du grand islam modéré et d'un Coran compatissant mais accusateur des infidèles extrémistes de l'islam. Ah oui, j'oubliais de vous dire que je ne suis pas un musulman, mais un simple athée.= 5 étoiles
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Top !!! Pour un film d'exorcisme on fait pas mieux !!! Et la scène avec la mère à l'asile est terrifiante de réalisme... Vraiment à voir pour les amateurs...
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Cette suite ne surprendra pas : elle est dans la droite lignée de l'épisode précédent. Une fois encore, Stephen Fung, obsédé par le fun, plombe son récit en en faisant trop, que ce soit en matière d'humour ou d'effet de style. Pourtant, il y avait des idées et des grandes choses à faire : le contexte historique est intéressant (l'occidentalisation de la société chinoise) et abordé avec plus de nuance que dans le premier.
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Frankenheimer à la recherche de nouveauté s'essaye à un mélange de style franco, anglais sur le thème de la crise du couple en y ajoutant une dose d'imagination d'écrivain. Le partie française n'est vraiment pas une réussite avec des acteurs qui récitent leurs textes et le coté imaginaire n'est pas d'un grand intérêt. Le réalisateur propose tout de même une scène un peu technique avec une barque pris dans les vagues avec pas mal de jus.
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Je l'avais regardé quand j'étais petite mais je m'en souviens encore c'est dire. Les chansons sont devenus aujourd'hui de véritable tubes qui représente les pensées de Spirit quand celui-ci ne trouve pas les "mots", la partie instrumentale colle bien a cette aventure épique. Un regard sur les humains et la Conquête de l'Ouest a travers le point de vue des chevaux qui sont les héros de ce film. D'ailleurs je trouve audacieux le choix du réalisateur d'avoir fait du cheval principal un être dénué de parole humaine qui exprime ses sentiments et pensées uniquement par voif-off . Les décors sont sublimes, rien a dire l'animation des paysages et des animaux est super fluide. Spirit s'inscrit dans les classiques et chefs-d'oeuvre de Dreamworks !
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"Deepwater" est la traduction littérale de "Eau profonde". Ben voilà, ça résume tout en fait. Car si l’intrigue est en apparence plutôt intéressante, elle coule à pic dans les bas-fonds d’un mystère aménagé sans maîtrise. Lucas Black, héros de "Tokyo drift ("Fast and furious 3") est confronté à Peter Coyote, et on peut dire que le niveau d’acteur n’est pas le même, tout du moins sur ce film-là : net avantage à Peter Coyote, qu’on a connu pourtant plus inspiré. Le début est pourtant bon, en nous présentant le jeune Nat Banyon (Lucas Black) en plein désir de vivre son rêve américain. Mais un tel vœu se mérite, passant par des embûches qui vont le retarder dans sa quête, sans que ce soit toutefois très gênant. C’est ainsi qu’il va sauver la vie de Herman Finch (Peter Coyote), troublant propriétaire d’un motel douteux, et marié à une très désirable femme en la personne de Iris (Mia Maestro). C’est à partir de ce moment-là que tout déraille, y compris pour le spectateur. D’abord on pense qu’un peu de surnaturel est intégré, ce qui peut paraître une bonne idée, mais une fois cette petite surprise passée, on se rend vite compte que ça ne colle pas vraiment. Du coup, on part sur une autre piste qui se révèle être la bonne et on devine du même coup la chute de l’histoire, à la condition toutefois d’être attentif aux détails parsemés ici ou là. Au final, et avec un peu de recul, l’ensemble se révèle être assez brouillon. Et puisque le twist final est sensé expliquer tout le film, peut-être aurait-il fallu traiter le scénario à la façon de "Old boy", le long métrage sud-coréen de 2003, ou encore de "Sept vies" (2008) avec Will Smith.
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Une interprétation parfaite de Joseph Fouché et charles Maurice Talleyrand, deux personnage qui ont marqué la période napoléonienne, successivement en tant que ministre de la police et ministre des relations extérieurs. On observe durant ce huit clos un magnifique combat où s'affronte le cynisme, la perfidie et l'hypocrisie de ces deux grands tribuns qui ont pour devoir lors de ce souper de donner à la France, et eux-mêmes, un avenir après la défaite de Waterloo. Le vice au bras du crime (Chateaubriand) allaient donc donner une légitimité à la France occupée par les anglais.
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Dommage que l'on ne puisse pas donner zéro étoile. Ce film est honteux : pas de dialogue, pas de scénario, pas de suspense, pas d'intérêt... Et c'est super raciste en plus. À éviter absolument !
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En résumé : jolie mais vide. Belle réalisation, très esthétique, avec une belle photo et un casting généreux. A côté de ça : mise en place longue et soporifique, scénario ultra prévisible, aucun rebondissement, personnages caricaturaux, ... Sitôt sortie, sitôt oublié (enfin juste le temps d'écrire la critique).
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Tanna est une toute petite île âgée de plus de trois millions d’années et située dans l’archipel du Vanuatu à l’Est de l’Australie. En 2004 et 2013, les cinéastes découvrent cette île et réalisent des documents audiovisuels sur l’histoire aborigène en Australie. Ils décidèrent alors de se lancer dans l’aventure de la fiction. Tanna est donc un long-métrage avec une histoire. Mais les acteurs vont être ici les vrais personnages du film et la tribu Yakel va jouer sa propre histoire. Le speech ? Une sorte de Romeo et Juliette version indigène. Mais au-delà du scénario, oui fort prenant, Tanna est surtout l’occasion pour nous de rencontrer une contrée, sa culture, ses pratiques, ses chants, ses danses, ses lois, son alimentation et son mode de vie. C’est aussi ça le cinéma, nous faire découvrir une partie du globe sans être trop explicatif comme le ferait un documentaire. Les cinéastes s’appuient d’ailleurs sur ce dilemme de l’amour pour nous montrer également les évolutions des traditions ancestrales grâce aux nouvelles générations. Alors oui, le jeu est parfois moyen, mais chacun est tellement sincère qu’il est impossible de ne pas les trouver touchants. Candidat aux Oscar pour l’Australie, Tanna est un film sur l’ouverture au monde dans une mise en scène remplie de vie et toujours modeste. Un magnifique papillon. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Une bonne bouse ! Les acteurs (hormis Krause pour qui lui ça passe) sont d'une nullité affligeante, en plus le doublage Fr est bien naze pour pourrir encore plus le tout ! Les effets spéciaux sont médiocres, la réal naze aussi: les personnages tirent n'importe comment sur le dino... Enfin bref vous l'aurez compris, seul le paysage du Bélize vaut le coup dans ce film ! 1/5
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Un grand film. Huis-clos qui se teinte de suspense. Le film monte en intensité dans la deuxième partie, les décors sont très beaux aussi avec la prédominance de la couleur rouge, quatres femmes sont soumises au désir d"un maitre qu' on ne verra qu' en plan large, dans une demeure qui est aussi leurs prison... leurs rapports seront faits de méfiance, de ruse, de ressentiments et de vrais moments d'humanité. Mais chacun doit porter des masque...la franchise est dangereuse. Voila c'est finement dépeint, ca pourrait s'accommoder avec pas mal de situations de notre quotidien, je trouve "Je préfère etre morte que vivre sans espoirs " dit aussi Gong Li, ça méritait d'être dit. Avec un final impressionnant.
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Après les claques des deux premiers opus Amour et Foi, le troisième volet de la trilogie d'Ulrich Seidl s'avère presque être une bleuette romantique. Enfin, presque. Nous sommes cette fois-ci dans un camp pour enfants obèses, et nous suivons le sentiment amoureux naître chez la jeune Mélanie (13 ans), avec pour cible le médecin du camp, qui a plus de 50 ans. La situation est donc, comme toujours chez Seidl, franchement tordue au départ, mais alors que dans les deux premières versions de la recherche du... la suite ici :
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Le film ne passe jamais la barre d'un court-métrage étendu à l'extrême. Il fait 82mn et paraît durer une éternité, tant à aucun moment, il ne retient l'attention du spectateur. L'ennui a commancé au bout de 5mn. Le scénario tient sur une feuille A4, le propos est vain, il faut attendre 70mn pour voir la scène clef. Tout ça pour ça. Le film est prétentieux, il confond non-dits et subtilité. je m'explique, il se veut subtil, mais ne raconte rien ou si peu, et laisse trop de place à interprétation. Mauricio López Fernández est un nom à retenir, pour ne jamais aller voir ses prochains films. Comment le film a-t-il pu retenir autant l'attention dans les festivals, il a tout simplement fait l'objet d'une immense mansuétude de la part de son public, je dirai.
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A regarder dans ça version long et en version original. La danse du lion de jackie chan est l'un de ces meilleurs film "sérieux" Avec des super scènes chorégraphiques.
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Dans le genre comédie, c'est très réussi, c'est même parfait, un formidable jeu d'acteurs, des dialogues qui font mouche, je me suis amusé du début à la fin, Une scène mémorable le séminaire ZEN !
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Désespérant. Loin très loin de notre monde. ......
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Les images splendides, décors naturels à couper le souffle et la musique aussi discrète qu'envoutante servent un propos efficace. Le recueillement supplante le sentiment bruyant et les quelques dialogues font sens dans ce film inattendu et rare.
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Une belle adaptation du célèbre livre des 70's ; - et donc - de l'histoire aux nombreuses significations " psy " de cette fille rêvant & fantasmant un peu + que de raison, et finissant par se retrouver dans le lit de son supposé géniteur...
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Un documentaire sur les déchets nucléaire. La mise en scène est limitée et le débat sur le futur des finlandais est trop lourd.
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L. Von Trier rend une histoire précisément datée (l'Allemagne du tout début de l'occupation alliée) intemporelle. En tant qu'européen il nous assène en quelque sorte que nous vivons toujours en ce temps et espace de compromissions et d'horreurs sous-jacentes, qu'ils sont désormais ineffaçables de la conscience du continent. Ca fait froid dans le dos. C'est d'une virtuosité inégalée dans les effets d'images (surimpressions, passages de la couleur au noir et blanc...). C'est un exercice de style dans la reconstitution de tout un cinéma des années quarante-cinquante ni kitsch ni gratuit, à la fois daté et étrangement actuel. A l’évidence un chef-d’œuvre à voir absolument.
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Lorsqu'Irène Foster arrive à Broadway, elle espère qu'une de ses connaissances, devenu producteur, l'aidera à monter sur les planches, malheureusement pour elle, et dans un premier temps, il ne la reconnaîtra pas... Comédie musicale typique des années de la grande dépression, Broadway Melody of 1936 permit aussi à la MGM de se maintenir à flot et nous immerge dans le monde de Broadway avec ses planches, sa gloire, ses danseurs et chanteurs. Alors que la série avait commencé en 1929, Roy Del Ruth lui fait vraiment prendre son envol ici et la fera même nommer pour les oscars de 1936. Si Hollywood produisait beaucoup de comédies musicales à l'arrivée du parlant, je ne suis pas un grand connaisseur de celle-ci (même pas du tout) et c'est une bien belle surprise que représente ce Broadway Melody of 1936. Frais, charmant, drôle, sympa et sans temps mort, on est immergé dans cet univers avec un bonheur contagieux et surtout d'excellentes chansons et chorégraphies. Roy Del Ruth maitrise son sujet et sait mettre en valeur ses comédiens et nous faire passer par tout un panel d'émotion, le tout sans manquer de malice et d'idées. La réussite tient bien évidemment sur les épaules des acteurs et notamment l'époustouflante Eleanor Powell (et merveilleuse à regarder !) dont les numéros sont aussi charmants qu'irrésistibles, et sans oublier Robert Taylor, notamment lorsqu'il entonne "I've got a feelin', you're foolin". Les scènes mémorables ne manquent pas, se finissant sur un éclatant final qui conclut en beauté un film qui ne manquera pas de transmettre toute sa joie. Merci à Limguela pour la découverte de cette oeuvre aussi enthousiasmante que rafraichissante où les numéros savoureux et particulièrement réussis se succèdent avec fluidité, le tout servis par d'excellents comédiens.
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Non mais c'est une énorme bouse sans nom. De la grosse diarée cinématographie qui est à... à jeter aux ordures !! Rien à sauver ! Des effets spéciaux très très kitschs et des acteurs complètement pourris !! Rendez nous le zéro svp!
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Le patriotisme américain poussé à son paroxysme. A un tel point qu'on croirait à une parodie comme Leslie Nielsen savait les faire!! Un bon début avec une idée pas originale mais qui aurait pu tenir la route et puis, on pourrait presque deviner à quel instant a eu lieu la grève des scénaristes puisque le scénar par en couille à un instant bien précis!! Enfin bref, une bonne comédie pour ceux qui aime rire du patriotisme américaine exacerbé et un excellent film pour ceux qui n'aiment pas réfléchir pendant un film!! Pour les autres: à éviter absolument!!
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Nullissime.....un scénario mince comme une feuille de papier , , des clichés à la pelle.....un show sur la plastique certe très avantageuse de Madame Laroque....on pouvait s’attendre à un peu mieux tout de même.... Une toute petite étoile pour les quelques belles vues de Nice sous le soleil...
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Coma, n. m. : perte prolongée de conscience, de sensibilité, dans de graves états pathologiques. Le verre brisé ne se recolle jamais seul, et entraîne une perte de visibilité certaine.
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"Sunny et l'éléphant" est un film qui nous laisse indiscutablement un sentiment de frustration. Le scénario qui se devait pourtant d'être original et agréable se révèle plutôt primaire et quelconque. L'idée de mettre en avant un animal majestueux tel que l'éléphant était louable, mais il faut admettre que la façon de la traiter est plus que défaillante. En effet, l'intrigue est un peu lassante avec une multitude de clichés gentillets. Par exemple, cet "occidental" qui est omniprésent pour aider à préserver la faune et la flore : c'est très sympathique et respectable, mais cela fait un brin colonialiste... Bon, toutes les scènes sont visuellement irréprochables avec cet entremêlement de nature luxuriante et de musique chaleureuse. Mais, c'est tout ! Il n'y a pas de magie et aucune pure émotion n'est suscitée chez le spectateur. Quant aux personnages, ils ne sont pas suffisamment emblématiques pour être attachants. De plus, les méchants sont ridicules. Au final, ce long-métrage est malheureusement une déception. Dommage...
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A la fois film romantique et film historique de guerre, ce film est une incontestable réussite sur le plan visuel, émotionnel mais aussi en tant que film d’époque par les costumes, les décors, les lumières et bien sûr les avions. Là scène du grand combat est époustouflante, grandiose, lyrique, spectaculaire. Et puis il y a le toujours excellent Affleck et la belle, talentueuse et envoûtante Kate Beckinsale. Un très très grand film, un classique.
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mmmmouai, heureusement qu'il y christian clavier et que ça se termine bien , parce que dans le genre navet c'est pas mal.
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grosse deception film tre rate trop de spiritualite et tro de bla bla dommage
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Le meilleur film d'Elvis pour moi ! On pourrait croire que le film parait intéressant rien que grâce aux chansons d'Elvis . Bien sur les chansons sont superbes mais le scénario l'est aussi et un bon scénario et de belles chansons d'Elvis = Bon Film avec Elvis . Ce film nous montre aussi Las Vegas , une ville merveilleuse . Ann Margret joue très bien son rôle et forme le parfait couple avec Elvis Presley . Cette fois la , Elvis doit gagner un moteur et pour cela , il chante " Viva Las Vegas " a la fin du film .Conclusion : Elvis gagne la compétition face a Ann Margret et gagne le pactole requis pour s'acheter le moteur . Comme tous les visionneurs du film le souhaitent a ce moment la , Elvis gagne la course et épouse Ann MargretPrécision : La chanson C'mon Everybody est très entraînante et rythmée . Avec Viva Las Vegas , Trouble , Dixieland Rock , King Creole , Return To Sender , GI Blues , Treat Me Nice , Don't Leave Me Now et Jailhouse Rock ainsi que Wooden Heart , elle fait partie pour moi des meilleures chansons chantées par le King dans ses apparitions dans des films . Film Génial !!!
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Il manque du charisme et une moustache à Robert pour incarner le subversif Georges Duroy. En outre, l'univers est bien trop lisse et trop éloignée du livre qui reste une référence absolue.
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Une série B, qui fait du sur place, comme le sujet traité.........................................................1 étoile et demie.......!!!!!
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BOF BOF BOF!!! pas emballé du tout apres 10 mn de film... jolie scene de combat mais qui n'arriveront pas a me faire relever la note.. A passer.
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Un seul point positif : les images sont belles. Il est en même temps gênant de voir des scènes de rapports sexuels violents ou sordides traitées avec tant d'esthétisme. Car le film est un catalogue de déséquilibrés sexuels. On y trouve une fille qui subvient à ses besoin en se prostituant après avoir démissionné pour échapper au harcèlement son chef. Une autre qui allume les garçons, puis crie au viol sans vraiment se débattre, mais refuse les avances d'un gentil garçon (trop normal sans doute). Le message est clair : les gens normaux sont coincés. Alors on termine avec une étudiante qui se lâche et copule enduite de peinture sur une toile pour créer une œuvre. Tout cela permet d'émailler le film de scènes de sexe. Si vous aimez ça, allez voir un porno, c'est plus simple.
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Le début du film commence bien, il y a des bonnes blagues, une ambiance sympa, des personnages contradictoires qui se rencontrent, une histoire qui démarre etc .. Mais au bout d'une demi-heure, le film chute. Quand les deux personnes commencent à avoir des sentiments, on s'ennuie. L'histoire est niaise, les textes ne sont pas géniaux et surtout cet ennui profond qu'on a à les suivre en connaissant déjà la fin de cette histoire augmente. L'humour n'est plus présent, il n'y a que du romantico et les deux personnages finissent finalement par être identiques. Franchement c'est un film très très moyen, à regarder quand on a vraiment rien d'autre à faire et encore. Un film purement "frenchy".
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Si le film rencontre un tel succès en festivals et réjouit tant les spectateurs, ce n'est cependant pas seulement à cause de la vitalité et la ténacité de ces vieux routards, comme pouvaient l'être les musiciens du Buena Vista Social Club. Cela tient aussi au dispositif que le film met en place. (...) Voici donc un documentaire qui retourne aux sources : comme dans Nanook l'esquimau de Flaherty (1922), la construction ludique du réel permet de toucher à l'essentiel et de mieux ressentir les enjeux. (...) Ce sont ces permanents clins d'œil, cet ancrage dans l'Histoire, cet humour décapant, cette bonhomie face à l'adversité, cette joyeuse solidarité, cette impressionnante dignité et cette détermination sans faille qui font de ces vieux cinéastes et partant du film lui-même une scène politique autant qu'une extraordinaire métaphore de la force de l'art face à la barbarie. (lire l'intégralité de la critique sur le site d'Africultures)
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Très bonne surprise que ce nouveau film de Sam Raimi. Après la triologie Spider-man, on étais curieux de voir ce qu'il allait nous offrir. Et bien c'est un excellent film d'horreur qui est aussi une excellente comédie. En effet on rit et on a peur à peu près à quantité égale. Le scénario est bien écrit, et même s'il est classique il arrive à nous surprendre tout de même. Idem pour la mise en scène, classique pour ce genre de film mais agréable. Les acteurs sont tous convaincants. Les filles sont au dessus du lot. Alison Lohman excelle et avec elle on croit à la malédiction qui lui tombe dessus. Sa ressemblance avec Jessica Lange jeune est troublante, ce qui lui a valut de jouer celle-ci jeune dans le Big fish de Tim Burton. Lorna Rever, la vieille femme par qui le malheur arrive, est elle aussi très bien et terrifiante. Bref on a peur, on rit, il y a du suspens, Raimi s'auto-parodie lui même (Evil dead), plusieurs bonnes raisons d'aller voir ce très bon film qui est malgré tout, attention, interdit au moins de 12 ans...pour les autres courez-y...
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Une approche fine du problème et une leçon de cinéma , filmée en temps réel et où l'on glisse subtilement d'un personnage à l'autre . Dense et prenant .
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Excellent ! Un film dont je ne pensais pas si bon, la BA faisait penser a un film sympa a voir. Mais le film est bien plus que ça ! Adapté du livre L'épreuve de James Dashner qui a connu deux suites et la saga n'est pas encore finie a ce qui parait. L'intrigue est solide et très agréable a suivre, les acteurs sont vraiment très bons, les effets spéciaux très bons pour un petit budget comparé a d'autres films, une noirceur très bien utilisée et parfois quelques petites touches d'humour. Vraiment surprenant avec de très bons retournements de situation et quelques tensions dans le film. La fin donne vachement envie de voir la suite qui sortira en décembre 2015 dans nos écrans, nous n'avons plus qu'a attendre (ou lire la suite pour les impatients) !
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Cette suite aurait pu rendre le reste de la franchise intéressante, mais elle ne fait qu'amorcer la longue descente de la saga vers les abîmes du navet, même si "Hellbound" n'est pas un mauvais film. En effet, l'esprit du premier est conservé et le scénario en approfondit certains points (origine de Pinhead, décors de l'Enfer...), sans oublier les séquences gores qui raviront les amateurs. Cependant, la réalisation est tarabiscotée, les effets spéciaux n'arrangeant pas la situation, ce qui rend le tout moyen pour les non-amteurs de la saga. C'est dommage pour le dernier opus regardable de celle-ci.
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J ai vu le premier et je l avais déjà trouver médiocre.....alors pourquoi m infliger de voir la suite? Franchement je sais pas. Masochisme ou espoirs fou qu ils avaient pu tirer les leçons du premier. Hé ben non. C est aussi mal joué, les dialogues aussi navrant. Mais bon vu que je ne m attendais pas à grand chose, j ai pu en sourire voir même en rire.
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Que c'est mauvais , il se passe rien , bande annonce trompeuse qui laissait supposer de l'action et ben non , rien , une arnaque longue et ennuyeuse
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C'est l'un des meilleurs films asiatiques que j'ai vu. L'histoire est prenante. Les acteurs sont plutôt bons et ils n'en font pas trop. J'aime beaucoup les costumes et les décors bien que certaines fois cela fait un peu "studio" ou "carton pâte". Certaines scènes de combat peuvent paraître brouillon voire fouillis mais j'ai l'impression que cela est fait exprès. Le sang des scènes de "tueries" a été remplacé par des fumées pâles et colorées. Une technique du bichun ?! Autre chose : pourquoi faut-il que la plupart des films asiatiques aient une fin dramatique ?! Je suppose que cela doit faire "bien" ou "grand film". Je suis plutôt "happy end".
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Alternant scènes de batailles ultra-réalistes, retour au pays et séquences plus intimistes, Clint Eastwood signe une réflexion teintée d'amertume sur l'héroïsme et son exploitation politicienne.
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Ce film n'est peut-être pas un chef d'oeuvre mais à chaque fois que je le visionne il fait son effet. Tom Hanks est encore une fois exceptionnel dans ce film qui résonne comme un conte de fée dont la magie est présente tout au long du film.
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Grande déception pour ce film avec James Cagney. On ne reconnait pas l'acteur ici, pas d'intérêt pour le scénario...
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Tout n'est pas bon à voir dans l'animation Nippone, ce film en est un très bon exemple. Grotesque.
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Affligeant, du cliché et une vision de la middle class franchement effrayante ! C'est creux, mou, convenu, de la soupe...
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Quelle déception ! On s'attend à mieux ! Grotesque. Un film qui ne mérite pas d'être vu au ciné mais juste en TV !
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Je n'ai pas aimé ce film car il est beaucoup trop complexe et ce n'est pas du tout mon genre,le rythme du film est trop lent mais il ne mérite pas zéro.
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Ce film est vraiment un grand n'importe quoi... Le fait de tout désordonner devrait rendre le film spéciale, j'ai vu ça... Le fait que ça n'est aucun sens ne me gène pas, il y a certains films qui réussissent à faire des perles dans ce genre, mais au fond de cette soupe d'idées juxtaposées jusqu'à la nausée... Il n'y a pas de moralité, normal ce film veut se faire immoral... Mais après lecture totale, il n'y a pas d'immoralité... Il y a rien du tout... Je reste con... Je n'aime pas.
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Un film sur l'hedonisme homosexuel qui a du mal à suciter l'intérêt tant le cliché est de mise. De plus la réalisation et l'image sont trés moyennes. 10/20
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Et oui même les meilleurs peuvent se planter. C est le cas selon moi d Eastwood avec son maître de guerre qui est raté sur toute la ligne. La seule chose intéressante dans ce film c est son héros, militaire de carrière que tout le monde jugé bon pour la casse et qui souhaite faire encore ses preuves. Mais cette interrogation sur la vieillesse est présente dans de nombreux autres films de sa carrière de metteur en scène et bien mieux traitée. Tout le reste du film est loupé selon moi , la troupe de militaire manque cruellement de crédibilité, tout les personnages sonnent faux. L histoire avec son ex compagne elle non plus ne tient pas debout, quand au final même si on s'y attend depuis le début du film, il semble tomber comme un cheveux sur la soupe et en plus je trouve les scènes d action mal fichues et manquant la aussi de crédibilité. Non, autant j adore ses films en général mais celui la je le met aux oubliettes.
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Petit film d'action, wesley snipes, on a vu mieux, on a vu pire. Attardez vous sur le mieux, dans le genre blade.
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"Hollywood Ending" est un exemple pas désagréable mais pas marquant non plus de la paresse dont a commencé à faire preuve Woody Allen dans la décennie 90 et qui ne fera que s'amplifier dans les années qui suivent... C'est d'autant plus regrettable qu'il part d'une très bonne idée de départ (même s'il faut attendre d'arriver au milieu du film pour la voir se pointer !!!) à savoir un réalisateur loser qui a la chance de pouvoir faire un magnifique comeback mais qui tombe aveugle la veille du tournage. Le problème, c'est que quand il ne refait dix fois le même gag, en particulier dans la seconde partie, Woody Allen étire inutilement les autres à l'instar de la séquence au restaurant où son personnage parle à son ex du film tout en lui reprochant de l'avoir quitté ; ça peut amuser deux minutes mais au bout de dix minutes... Reste quelques répliques qui font mouche et deux ou trois gags vraiment drôles, comme celui où il tombe dans le décor ou encore l'ironique chute finale ce qui fait regretter que le reste ne soit pas du même acabit...
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Ni plus ni moins un essais, Claude Miller signe un chassé-croisé assez bien ficelé d'une poignée de personnages qui se retrouvent dans des situations aussi déprimantes les unes que les autres. Un essais car le film comporte beaucoup d'effets de style hasardeux mais efficacs, comme le découpage (un peut raté) qui fait penser aux films à sketches. "Betty Fisher et autres histoires" comme son nom l'indique, est une sorte de foure-tout à idées dans lequel Miller s'amuse à mettre des éléments comiques et dramatiques. Ainsi il montre une vision de la vie, vraiment glauque, mais qui n'enfonce en rien ses personnages. Cependant la fin n'est pas assez abouti: la conclusion manque vraiment d'idées et on se demande quel message Miller veut nous délivrer vu la tournure que prennent les choses... En résumé je dirais que "Betty Fisher" est comme un soufflé qui s'effondrerait à la dernière minute, et que si Miller a raté un chef d'oeuvre, il a néanmoins réussi un essais, dont le sujet porte sur la maternité...
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Certains cineastes veulent faire du cinéma plus qu'un divertissement grand public. Soit. Certains font même des films qui ne seront reellement compris que par des petites elites au fait du sujet pointu ( caché derriere la facade du film : reflexion sur l'art, la philosophie, message politique ) abordé par le réalisateur. Passe encore. Dans ces cineastes ( qu'on classe dans la vaste categorie du cinema d'auteur ), certains arrivent à concilier leurs exigences artistiques avec le respect du spectateur : ils font alors des films à la fois divertissant, prenant, beau visuellement et au fond riche. Exemple : Kubrick. Mais d'autres s'enlisent dans leur pretention artistique et livrent un film qui ne plaira qu'à eux memes et parfois aux membres de l'elite se sentant concernés par le message. Malheureusement, Apichatpong Weerasethakul rentre avec Tropical Malady dans la 2eme categorie, et en bonne place. Un bon point toutefois : l'ambiance dans la jungle nocturne touche pendant 5 minutes au sublime. Trop peu pour justifier le deplacement d'un spectateur.
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Le réalisateur a beau être bon, que voulez-vous qu'il fasse avec un scénario absurde (mais qui se prend au sérieux) accumulant les ellipses(la mort de Delphine), les déficits d'explications (le camion qui explose au début), les invraisemblances (Caine, moribond qui courre comme un lapin), et les facilités narratives ? En fait plus on avance dans le film plus ça devient mauvais et cela jusqu'au final insipide. Que reste-t-il ? Même pas Michael Caine en service minimum, juste un bon Donald Pleasance et une affriolante Delphine Seyrig, mais ça fait loin de faire le compte.
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"Haute Couture" est un bon film, autant techniquement que scénaristiquement, que nous n’avons malheureusement pas eu la chance de voir dans nos salles de cinéma. Heureusement le dvd traverse les océans et répare cette erreur ! "Haute Couture" révèle une intrigue à laquelle on ne s’attend pas avec pareil titre ! L’histoire oscille entre thriller, malédiction et vengeance au sein d’une minuscule ville du bush australien. Surpiqué de rebondissements, le scénario révèle secrets, non-dits et rancœurs dans un film confectionné comme un western féminin en haute couture ! Tous les personnages sont truculents mais Kate Winslet a, comme toujours, une classe à la hauteur de son talent dans ce rôle taillé sur mesure. Alternant drame et humour, naviguant d’un genre à l’autre, "Haute Couture" est une agréable surprise plein de style et de classe. Retrouvez de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress.com
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Très loin des habituelles comédies romantiques, ce film reste constant dans la médiocrité. Du début à la fin, l'histoire ne parvient jamais à s'élever, à éviter les clichés habituels sur la France, à nous offrir des moments croustillants, drôles. Le duo ne semble pas fonctionner en plus et c'est l'un des points négatifs importants. Là où ce film fait preuve d'originalité (disons de logique) est dans le fait que les gens en France parlent français. La plupart du temps dans les films étrangers se passant en France, les français parlent anglais. Pour une fois, ce n'est pas le cas et tant mieux. Malheureusement, c'est loin d'être suffisant !!
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Drôle et méchant: l'humour francouillard atteint ici des sommets. Une comédie acide avec des moments de franche rigolade, des répliques cultes et des interprètes en pleine forme. A voir.
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je vais étre super honnéte, le cinéma allemand est dans l ensemble plutôt chiant et c est loin d étre les rois du suspens…. je n arrive pas a oublier l inspecteur derrick des années après " il ma traumatisé, lol la j avoue j ai beaucoup aimé ,action juste ce qu il faut ,histoire qui tient la route est plutôt inattendu,vraiment très bien..
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Dans ce film Ray Harryhaussen, "le grand maître des SFX" n'est pas encore au top pour les mélanges entre ses animations impeccables avec les scènes réelles. Cela gâche un peu la magie de son monstre marin, mais le faible budget du film y est pour quelque chose sans doute. Le film reste un agréable spectacle et ne déçoit pas du tout les amoureux du cinéma. Heureusement la "Dynamation", qui n'est pas un terme markéting comme le prétend la légende urbaine, mais qui est bien une série de technique d'incrustation et d'animation, fluidifiée par l'adaptation image par image au scènes réelles, donnera par la suite, en couleur, des chefs-d’œuvre du genre.
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Ce n'est pas seulement l'été qui est magique, c'est le film tout entier qui est un moment rare de poésie dans ce monde de brutes ou la plupart des films n'existent pas sans effets spéciaux. Dans celui-ci et cela fait du bien on se laisse porter par les personnages tous plus attachant les uns que les autres, j'ai eu un peu de mal à y rentrer car nous ne sommes plus habitués dans ce monde ou tout va trop vite, de simplement prendre son temps de regarder les autres, d'échanger, de parler à ses voisins, et surtout de laisser son imagination vagabonder, une vraie leçon de vie, avec un Morgan Freeman épatant, admirez son sourire et son regard sur l'affiche du film....tout est dit ....sublime..
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Ce film d'horreur propose une ambiance intéressante certes mais un scénario manquant cruellement d'originalité n'apportant aucune nouveauté au genre, des jump-scares sans quasiment aucun effets, et des acteurs peu crédibles. Ne perdez pas votre temps avec ce navet.
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L’évasion est un téléfilm plutôt réussi de Laurence Katrian. L’histoire se déroulant durant la seconde guerre mondiale est plutôt originale et le scénario a été bien ficelé. Les acteurs sont convaincants on retrouve notamment François Berléand en colonel Allemand mais aussi Sara Giraudeau ou encore Thierry Neuvic. Le film est très agréable et divertissant même si il n’est pas non plus exceptionnel, 13 / 20.
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Belle réussite pour ce type de film. Je donne une note un peu trop bonne mais j'avoue avoir été réellement positivement surpris de ce film.
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« L’âme russe » Les Russes n’ont pas tardé à prendre le pire de ce qu’il y avait chez nous tout en conservant le pire de ce qu’il y avait chez eux. Pour leur salut il leur reste quelques grandes âmes pour s’en indigner. Andreï Kontchalovski en est une, ni immaculée, ni noire… Russe ! En Russie, l'anecdote révèle souvent son homme. À l'avant première parisienne de Gloss, Kontchalovski rapporta celle-ci. Comme un spectateur lui reprochait d'éprouver la « Nausée » après avoir vu le film, il lui répondit : - « Vomis ! ». Il nous annonça dans la foulée que 2 heures plus tard, nous serions triste et qu'il en serait heureux, car nous serions tristes avec lui. Alors, le film ? Si vous en doutiez encore, les plus belles filles du monde sont à Moscou et elles vous dévoileront leurs charmes pendant près de deux heures. Des coulisses des collections où s'exerce la tyrannie d'une copie de Karl Lagerfeld qui habillait « La truie du Kremlin » (dixit un de ses mignons) jusqu'aux yachts, suites et jets privés des oligarques tout se passe comme dans un rêve. Les hommes qui font l'économie, la politique et le malheur de leur pays et de leurs concitoyens s'achètent des êtres humains comme des animaux de compagnie. Des laquais serviles composent leurs pédigrées, les toilettent et les parent. La camera caresse les peaux satinées, les mains manucurées et les chevelures platines. Tant d'innocences sacrifiées au culte du veau d'or tournent au cauchemar ou à la tragédie. Happy ending ? Quand la prostituée incarnée par Julia Roberts dans Pretty Woman finit par épouser son milliardaire c'est un happy end. Quand Tarkovski scénariste écrit le dénouement de Gloss l'on comprend qu'il est revenu d'Hollywood et une bonne fois pour toute. Le sacrifice de toutes les valeurs au dieu dollar lui est aussi insupportable que le culte de la personnalité aux heures les plus sombres du stalinisme. Je ne vous dévoile pas la fin de Gloss car s'il n'y a qu'un film à voir cette saison c'est ce
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Ce film est vraiment très très bien, je me souviens qu'il y a quelques années, il passait tout le temps pdt la période de Noël, et à chaque fois, ça me ravissait de le re-re-re...voir ! Les acteurs sont vraiment touchants, et l'histoire vraiment bien trouvée ! Bref, c'est un mélange bien ficelé, qui ne peut laisser indifférent !
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C'est très bon et complètement loufoque. Ça commence par l'un des gags visuels les plus célèbres de l'histoire du cinéma (Harpo qui soutient le mur d'une maison...) Le film contient deux scènes d'un délire absolu, celle de la préparation des valises et celle de la poursuite avec l'avion. les Marx sont toujours bien dans leurs rôles respectifs,toujours aussi foldingues, et les morceaux de piano (Chico) et de Harpe (Harpo) sont toujours aussi bien. On notera la présence au générique de Lisette Verea dont on se demande pourquoi elle n'a pas fait carrière dans le cinéma, avec son physique à la Ava Gardner.
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inattendu et captivant.. bien que la réalisation ne soit pas parfaite, l'histoire vaut le détour et Sullivan s'impose par son charisme. un film à ne pas manquer..
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Je n'ai pas pu le voir en entier, mais le peu que j'ai vu été vraiment drôle. A recommender
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Qui a dit que les "vieux" films étaient lents et ennuyeux? Voici le tonitruant "Ces messieurs dames", au rythme effréné (on pense au "Fanfaron" de Dino Risi) et à la critique acerbe des petits notables de province. C'est de la comédie italienne, certes (un peu bavarde), mais "Signore & signori" vaut le détour puisqu'il ressort sur grand écran. Entre sauteries et coucheries, ces bourgeois-là sont à la fois sympathiques mais tellement grotesques, avares et immondes (lorsqu'ils draguent, ils ne distinguent même plus une gamine d'une femme). Les femmes, elles, ne sont pas en reste, puisque lorsqu'elles ne sont pas cul-bénies ou avares, elles sont nymphomanes... De ce tas-là, tentent de sortir Osvaldo et Miléna (la très belle Virna Lisi). Savoureux!
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