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Moi qui pensait tomber sur une bonne opérette viennoise, j'ai vite déchanté (c'est le cas de le dire) car difficile de faire plus nul que cette niaiserie dans laquelle les personnages sont exécrables, (y compris Romy Schneider niaise et inintéressante) le scénario d'une stupidité affligeante et la musique digne d'un cirque de sous-préfecture. Bref ça ne vaut pas un clou.
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Du déjà vu! Combien de fois on a déjà vu ce scénario de complot politique?! La différence c'est que ce film reprend toutes les recettes des précédents films mais en le faisant mal. Un film tout juste bon à faire un téléfilm.
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Mogambo est un très bon film. Métrage réalisé par l'un des maîtres du genre du western qui ici réalise non pas en Amérique mais en Afrique, un film d'aventures avec pour trame principale un drame amoureux sur le triangle amoureux qui se fera entre les trois personnages. Un film qui pour moi est superbement maîtrisé qui fait une part d'originalité bienvenue dans la filmographie du réalisateur John Ford. Il nous sert une magnifique réalisation en plein cœur de l'Afrique dans la jungle kenyane avec de très beaux plans, de beaux paysages. Étonnement, le cinéaste a refusé que son film soit accompagné de musiques hormis des chants de troupes africaines, et je trouve que le choix n'est pas si mauvais pour une fois car l'on ne ressent pas de réel manque de musiques car le bruit de la nature tels que les cascades, les bruits et rugissements des différents animaux ainsi que les chants africains suffisent et donne une ambiance qui ne nécessite pas forcément une bande son supplémentaire. En plus de cela le casting choisi est extra avec : Clark Gable au top de sa forme, vraiment très bon dans son rôle de chasseur de fauves, qui dirige des safaris et qui séduit beaucoup par son charme, la jolie Ava Gardner est excellente, la superbe Grace Kelly y est juste et excellente également, Donald Sinden et Philip Stainton bons. Un film qui pour moi n'a pas pris une ride et bien qu'il soit un peu à part dans la filmographie du cinéaste reste un classique à voir. Ma note : 8/10 !
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Excellent film. C'est super bien interprété et on ne s'ennuie pas une seconde.
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Un film magnifique et vraiment très émouvant sur la puissance du pardon. Un hymne à l'amour et à la paix, porté par un casting exceptionnel, Forest Whitaker et Eric Bana. A voir d'urgence !
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Merveilleuse réalisation de Sergio Castellitto qui nous révèle un sujet poignant au milieu d'un récit historique. Tout commence avec un amour idyllique. Des amitiés extraordinaires. Mais des problèmes réalistes. On suit l'histoire d'un couple faisant face aux péripéties de la vie, mais aussi de la guerre. Penélope Cruz et Emile Hirsch forme un magnifique duo qui nous emporte dès le début du film. La BO est poignante et ne peut nous empêcher de verser une larme. Voilà un excellent film, passé trop inaperçu à mon goût. Cependant, un petit bémol persiste (ce qui explique mon 4/5). Bien que le déroulement du film permet de résoudre les questions que fusent dans notre cerveau, une seule persiste au moment du générique :Diego n'aimait-il vraiment plus Gemma ou s'est-il senti redevable envers Aska ? Cette question parait pertinente puisqu'on se demande comment Diego peut laisser partir l'amour de sa vie (auquel il s'est tant dévoué pendant des années). De plus, ce drame expliquerait surement sa mort, puisque le manque de son amour l'aurait replongé dans le malheur de la drogue. Au final, Diego était-il vraiment amoureux de Aska ou était-il devenu son ange gardien, dévoué a elle pour le reste de sa vie ?
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La curiosité de ce film britannique : la présence de la belle française Michèle Mercier ; autrement un film qui rappelle par son sujet et ses décors "Le Fascinant Capitaine Clegg", une des meilleures productions de la Hammer avec aussi dans son casting Peter Cushing, mais qui est à mille lieues de la densité et de l'intensité de ce dernier. Déjà gros problème pour la caractérisation des personnages qui laissent grandement à désirer, ensuite intrigue confuse qui n'arrive pas à jouer sur ses enjeux, et pour finir absence totale de souffle ce qui est con pour un film d'aventures surtout quand celui-ci se déroule sur les côtes anglaises où il y a souvent des rafales de vent à plus 100 Km/h. Bref, le mieux c'est d'aller prendre l'air du large ailleurs.
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Almodovar est un excellent conteur d'histoire. On se laisse mener sans jamais se demander où on va ou quand est-ce qu'on arrive car la ballade est magnifique. Une fois la vision du film terminée, on a qu'une seule envie : le revoir.
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Un drôle de zèbre, ce Matsumoto Hitochi ! Il forme, depuis plus de deux décennies, avec son acolyte Masatoshi Hamada, un duo comique de la télévision japonaise, adulé par les amateurs de pop culture. Et en plus, il tourne ! Saya Zamuraï est son troisième film, très, très compliqué à caractériser, un peu comme si Gilliam, Kitano, Tarantino et Kurosawa s'étaient incarnés en un seul cinéaste. Comprenez qu'on y trouve un enchevêtrement de styles, avec une dominante burlesque, tendance tragique. Tenu de faire (sou)rire un enfant prince, qui vient de perdre sa mère, le héros de l'histoire, samouraï déclassé et pathétique, doit inventer chaque jour un sketch, avant de devoir se soumettre au seppuku traditionnel, si jamais il échoue au bout d'un mois. Ses tentatives sont déplorables, cela va sans dire, malgré l'aide de ses deux gardes et de son adorable petite fille, bien plus adulte que lui et qui est la vraie vedette du film. Matsumoto joue sur le comique de répétition, tout en respectant les codes du film féodal, avec un sens de l'image ébouriffant. Déjà séduit par l'entreprise, malgré ou grâce à son traitement absurde, on est littéralement cueilli par un épilogue saisissant, qui tire les larmes. Ludique, tendre, cruel, et d'une originalité folle, Saya Zamuraï est sans conteste le film le plus frappé de 2012. Et l'un des plus jouissifs.
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Le pire film de toute mon existence. Je me suis levé avant la fin, j'ai tenu pourtant longtemps; il ne devait rester plus que quelques minutes. Je sais c'est dommage. Je crois n'avoir jamais fait ça. Mais c'était insupportable. Un film dyslexique. C'est le premier mot qui me vient à l'esprit. Exemple : tu voitures armes quadilatères guns. Vous ne comprenez pas ? Ouf Merci.
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Etonnée par elephant et conquise par harvey milk, j'étais de prime abord emballé par ce film du meme réalisateur, j'ai vite déchanté, il ne se passe RIEN c'est lent mou ennuyant déprimant si c'était vraiment comme ça les derniers instants de Cobain eh ben le pauvre !
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Sous le pseudo de Robert Hampton se cache Riccardo Freda, un des précurseurs du fantastique italien avec L'Effroyable secret du Docteur Hichcock on retrouve tous les codes du genre du cinéma gothique de cette époque pourtant il manque l'essentiel ici : l'atmosphère. L'Effroyable secret du Docteur Hichcock en est tout simplement dépourvu et il se passe aussi peu de choses, l'impression que l'histoire n'avance jamais.
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Le fait que je n'ai pas accroché ce film comme j'aurais dû le faire n'est pas à cause du film en lui-même mais au fait que l'opéra filmé n'a jamais été ma tasse de thé. C'est pour cette raison que je ne met pas une note négative à ce film. De plus, le faire serait une injustice au vue du travail remarquable effectué sur les couleurs, les décors, les costumes, les chorégraphies et les effets visuels. Sans parler bien évidemment de la musique de Jacques Offenbach et de l'interprétation dont se distingue celle de la très gracieuse Moira Shearer. Donc c'est en toute objectivité que je met trois étoiles à cette oeuvre du duo Powell-Pressburger.
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Surprenant comme film! Une jolie et simple histoire, avec des personnages attachants. L'atmosphère est loufoque, on pourrait croire regarder un Tim Burton. Mais c'est Danny DeVito, ce n'est pas n'importe qui non plus... Bref, c'est un film très sympathique, mais attention, la directrice, par ailleurs très bien interprétée, est très méchante et les (petits) enfants peuvent en avoir peur!
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Magnifique et émouvante adaptation du célèbre roman de Hector Malot, une de mes plus belles et inoubliables lectures d'enfance. C'était très long mais si captivant que fascinée je suis restée à le regarder jusqu'au bout et suis allée me coucher "after hours"
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It felt like love…Une adolescente se fait « des films » au cours d’un été du côté de Brooklin. Son amie se tape mec sur mec et la rend envieuse, ce qui la pousse à fomenter un mini guet apens pervers pour se sentir « femme » un peu avant l’heure. Des films comme ça, on en a vu des dizaines, et des mieux faits. C’est long, c’est lent, c’est chiant comme un jour sans pain. Aucune indulgence quant à la vacuité du propos et de la mise en scène. J’ai voulu sortir au moins trois fois, mais comme dehors en ce moment il fait 35° à l’ombre, j’ai donc pris mon mal en patience en somnolant d’un œil. Je ne recommande pas du tout.
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Il est rare que l'envie de quitter la salle me prenne pendant une séance, mais là c'était limite! C'est dommage, car la bande-annonce était prometteuse. Je retiendrai la qualité des effets spéciaux, et deux ou trois répliques bien placées, mais la réalisation est mièvre, avec des séquences qui souvent s'enchaînent maladroitement, des dialogues sans saveur et des acteurs talentueux (Fleurot, Laroque, Astier...) qui ne semblent guère s'être amusés dans cette comédie qui tombe à plat!
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Un très bon téléfilm avec Lorie qui, maintenant, devrait continuer à faire du cinéma. Elle n'a plus tellement de succès dans le monde de la musique, et elle joue plutôt bien.
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Un Brian de Palma à l'ouverture mémorable. Ce plan séquence, simplement jubilatoire reste et restera. Pour le reste l'histoire quelque peu bateau et les protagonistes souvent caricaturaux achèvent le film qui se laisse toutefois regarder jusqu'à la fin, sûrement en grande partie, grace au casting.
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Allez le voir!!!! J'y suis allée à reculons pour être honnête. En fait, je me disais : "encore une parodie des Antilles!". Effectivement, je suis originaire de La Martinique et jusque là tous les films...euh...les téléfilms tentant de traiter des Antilles ne reflètaient pas l'âme, l'ambiance, l'humour antillais (A part "La rue Case Neg'film d'Euzanne Palcy). Ainsi, je ne pouvais pas m'identifier aux personnages. Durant ce film, j'ai rigolé comme j'ai l'habitude de le faire avec ma mère et ma soeur. Je pense que ce film est réussi justement parce qu'il a été réalisé et joué par des Antillais. J'espère que ce film ouvrira la porte aux talents antillais. J'espère également voir un 2ème volet tourné aux Antilles!!!!
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« Soudain, le 22 mai » est un film pour le moins déroutant, aride dans son propos comme dans sa forme, il met en scène une série de personnages reliés par un lieu : une galerie marchande de centre-ville et un évènement l’attentat commis par un jeune kamikaze. Si de prime abord le sujet peut paraître simple le réalisateur Koen Mortier se plait à compliquer les choses en faisant appel à de nombreuses séquences sans dialogue et par un traitement elliptique de l’histoire de chaque personnage qui nous est contée par le fantôme de chacun d’eux après l’explosion. On est pour le moins perdu au début du film pendant la bonne demi-heure où l’on suit avec perplexité le vigile de cette galerie qui court dans une ville déserte et au design industriel pour le moins déprimant, il y rencontre des victimes de cet attentat qui lui racontent leurs vies et lui reproche de n’avoir pas empêché le kamikaze de perpétrer son acte. Cette mise en scène dépouillée jusqu’à la sécheresse n’aide pas un propos pour le moins par lui-même anxiogène. On retire de ce film un ennui certain et une impression de vide quant aux intentions du réalisateur et aux buts qu’il visaient en filmant cette œuvre. Seul finalement la performance des acteurs et la beauté de la scène finale, où est montrée l’explosion, donnent un certain intérêt à un film qui ressemble plutôt à un exercice de style cinématographique stérile.
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Le réalisateur américain catholique Leo McCarey livre une œuvre pathétique et larmoyante, mais chargée de réflexion. Qu'en est-il de la dignité d'un homme qui se sent devenir inutile une fois arrivé le terme de sa vie ? Devenu un fardeau pour leurs enfants, un couple de personnes âgées est contraint de se séparer pour faciliter à l'égoïsme et la cruauté des personnes de leur entourage. Leo McCarey arrive à imprimer les émotions les plus fortes sur un écran de Cinéma, grande preuve de talent, et même de génie poétique.
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GENIAL! Un film qui me fait mourrir de rire a chaque fois, des scenes culte, le cocktail pour faire rire grands et petits! ! 5 étoiles!
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TRUE ROMANCE. Aprés Vienne, voici Paris. La visite des capitales du trio Linklater/ Hawke/ Delpy prend fin. Si l'Autriche m'avait captivé, les bords de la Seine beaucoup moins.
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Ma critique aurait pu tenir en un mot:"Navet", mais Allociné m'empêche de faire moins de 50 caractères.
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Dans une époque où l' Europe est souvent contestée, voilà un film qui dépeint un Pays de ce continent divisé. Il s'agit d'un grand drame que le peuple Polonais a vécu. Il s'agit d'un aspect de l'histoire peu connu qui met en évidence l'horreur du régime Soviétique. Par ailleurs, les systèmes totalitaires sont toujours inhumains et cruels et le stalinisme n'est pas moins dur que le nazisme. Le peuple Polonais a connu cette double occupation jusqu'à l'effondrement du nazisme, mais son drame continuait, puisque l'occupation Soviétique a duré jusque' à l'an 1990. Le metteur en scène, bien qu'il respecte la vérité historique, il ne fait pas un film de guerre ordinaire. En représentant plusieurs familles, son approche est humaine et la synthèse de ces petites histoires font un ensemble accablant pour le régime communiste. Ayant les mêmes distances avec les Nazis et les Communistes, il nous fait vivre ce drame en juxtaposant plusieurs thèmes: L'amour, la maternité, l'amitié, la patrie, la solidarité et la religion. Ce qui est formidable, bien qu'il s'agisse d'une histoire douloureuse de la Pologne, la violence est rare dans ce film. Le but de ce réalisateur consiste à nous faire sentir la douleur morale causée par cet invention barbare. Les évènement sont discrètement présentés grâce au journal intime d'un personnage qui a trouvé la mort atroce dans la forêt de Katyn. Par conséquent, ce film est idéal pour nous faire sentir l'histoire sans se heurter à la sensibilité du public. . Les images sont indépendantes du scénario. Parfois elles le complètent parfois elles donnent une nouvelle suggestion, parfois elles deviennent un langage implicite du réalisateur. Par exemple, vers la fin, avant l'exécution des officiers, on voit les machines qui préparent les charnières. Elles sont déformées, menaçantes avec des couleurs sombres qui évoquent le néant. Le Film Katyn est un chef d'œuvre avec une expression, discrétion rarement atteintes.
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Une jeune adolescente part faire soigner son agoraphobie, mais se fait attaquer sur la route avec sa mère par deux truands. Hazel va donc devoir battre à la fois sa phobie et ceux qui leur veulent du mal. Le pitch de départ est vraiment pas mal par contre l'exécution laisse vraiment à désirer. Jorge Michel Grau est un bon réalisateur part contre, il est bien meilleur quand il s'agit de mettre en scène son propre scénario parce que là, c'est un grand n'importe quoi avec notamment des éléments incompréhensibles ou qui restent sans réponse. Je pense qu'ils ont voulu construire l'histoire autour de la maladie et montrer qu'elle est complètement déboussolée avec un sens de la réalité inexistant seulement, il n'y a jamais de "retour sur terre" jusqu'au final qui arrive trop brutalement. Il y avait tout pour faire un bon petit survival divertissant seulement à la place, on a un film brouillon et vraiment ennuyeux puisqu'il ne se passe rien du tout.
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Avant de signer de nombreux bijoux de la série B à la fin des années 60 avec comme acteur principal Randolph Scott, le réalisateur Budd Boetticher s’est déjà illustré dans le genre, sans y montrer d’éclat particulier comme le démontre ce film assez rare et parfaitement dispensable. Prenant comme prétexte la révolution mexicaine qu’il n’aborde jamais frontalement, le film n’est qu’un prétexte à une vague histoire de trafic d’armes, compliquée par des luttes internes dans chaque faction. Bien que la durée soit ramassée le plus possible par un cinéaste qui n’aime déjà pas les fioritures, le temps semble long, la faute à des personnages peu intéressants. Van Heflin semble là uniquement pour toucher son chèque et les donzelles qui l’entourent n’ont pas grand-chose d’autre à offrir que leur plastique irréprochable (Julie Adams nous a séduit à jamais dans l’Etrange créature du lac noir). Bref, un western banal qui pâtit en plus d’une édition DVD Sidonis qui fait partie des pires prestations de cet éditeur pourtant passionnant. L’image y est vraiment pourrie comme c’est pas permis. Un massacre.
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Très moyen. Le début laissait présager un film meilleur et même plutôt original. Mais les acteurs ne sont pas bons, les personnalités sont mauvaises et, bien qu'elles ne soient pas stéréotypées, ne sont pas crédibles et se contredisent même. Bref, l'ensemble est plutôt lent, la bande son n'est pas adéquatement choisie et les décors ne sont pas si intéressants. Le twist final est assez original mais l'on a parfois l'impression que le scénariste a voulu par mille fois le justifier, il nous en montre donc bien trop, alors que l'on aurait mieux fait de le deviner par nous-mêmes. Un film plutôt brouillon en somme, c'est dommage, 1,5/5.
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Gordon Chan, un habitué des films de Kung Fu, n'en est pas à son premier essai; c'est probablement pour cela qu'il s'est rapidement fait vivement critiquer lors de la sortie direct to DVD de The King Of Fighters, un film relativement surprenant. Sans parler de navet, ce dernier n'est pas glorieux et s'appuie sur un jeu d'acteur qui laisse à désirer; là est son problème. Si les scènes d'actions ne s'avèrent pas être spécialement ridicule, elles ne suffisent pas à rattraper la donne.
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Excellent documentaire pour mieux comprendre l'origine d'un groupe qui a marqué la musique à tout jamais.. Le seul reproche qu'on peut faire à ce doc serait peut-être de trop s'attarder sur Ian Curtis, mais après tout, peut-être le mérite-t-il.
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Alyah (2011), premier long-métrage d’Elie Wajeman est un drame sociétal traitant de "l'Alyah" (lorsqu’un juif de la diaspora souhaite retourner en Israël pour fuir ses problèmes rencontrés dans son pays d’origine). C’est exactement ce qui arrive à Alex, 27ans, dealer à temps plein et qui, entre ses histoires d’amour perdus et un frère loser à qui il paie les dettes, ce dernier souhaite se reconvertir dans la restauration en Israël, se serait alors pour lui, le signe d’un nouveau départ. Ce qui lui semblait être une bonne idée ne l'est pas pour son entourage qui ne comprend pas comment il pourrait se "refaire" dans un pays instable (d’autant plus que ce dernier n’est pas pratiquant). "Trop bon trop con", voilà comment on pourrait décrire Alex qui vient sans cesse dépanner son frère, ce qui a d’ailleurs le don de nous agacer car il s’enfonce encore plus qu’il ne l’était auparavant. Flirtant entre le polar et le drame, Elie Wajeman était parvenu à nous tenir en haleine durant la première partie du film, mais tel un château de cartes, tous les espoirs que l’on y avaient placés se sont écroulés, le film ne parvenant plus à créer une alchimie durable entre ses interprètes et le spectateur, on fini en fin de compte par se désintéresser des mésaventures que peuvent vivre les protagonistes. Reste au final les interprétations des acteurs qui s’avèrent sans reproche dans l’ensemble.
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"La Bourse ou la Vie" est du très très bon Mocky. Même si parfois le scénario manque de solidité, ce qui est l'apanage de toute façon des films du réalisateur, il est difficile de résister à cette course-poursuite folle jamais trop répétitive mais constamment drôle et très bien rythmée avec en prime un brin de loufoquerie. Quelques bonnes idées ponctuent le déroulement de l'action comme les paris sur les plaques d'immatriculation. Le casting est véritablement à la hauteur à l'image de Fernandel qui trouve un partenaire à sa mesure avec l'allemand Heinz Rühmann, et Jean Poiret qui fait joyeusement et admirablement le con tout au long du film. Un des meilleurs Mocky.
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L'acteur Michael Paré est sacré espoir du cinéma américain, et sa carrière devait s'envoler, ce qui fut pas le cas, passons. Moon 44 est le Roland Emmerich souvent mis de coté, alors que c'est un des meilleurs qu'il la pu faire. Son film de SF le plus proche de la réalité, de l'anticipation bien mener sous un casting pas désagréable, Malcolm McDowell et Brian Thompson (X-Files).
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Faux reportage, Beyond clueless est davantage une anthologie de fan qu'un documentaire. Primo, le spectateur n'apprend rien. La faute à une absence totale de contexte. Deuxio, le choix de films est surprenant, avec des éclipses incompréhensibles. Tertio, la voix off horripilante. Reste une succession de scènes qu'on aime voir ou revoir.
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Ni meilleur ni moins bon qu'une comédie romantique lambda, "Polly et moi" réussit pourtant à se faire globalement assez agréable, et ce notamment grâce à un duo d'acteurs rudement efficace. Domage alors que le film (même si c'est au fond ce qui le distingue de la masse) se croit obligé de nous imposer des scènes lourdingues franchement pénibles ainsi que quelques facilités dont on se serait bien passé, mais la pilule n'est en définitive pas si difficile à avaler, et ce même si (évidemment) le film ne marquera pas (loin s'en faut) les esprits. Regardable, à défaut d'être indispensable.
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Ouais, ça passe bien au début comme film sauf peut-être pour ceux qui ont réellement fait de la taule:encore un film trop arrangé et pas dérangeant du tout comme l'a écrit au moins une critique.L'humour y est trop présent et là bien sûr, c'est de la faute à Jamel.Les américains ont de bien meilleurs films sur les prisons car plus réalistes.C'est le défaut premier des metteurs en scène(Français ou autres), le manque de réalisme.Les acteurs sont assez, voire carrément mauvais(même Jamel). Dialogues de daube par moments.Tout cela m'a donné envie de m'évader de ce film, mais par solidarité avec mes co-détenus critiques, j'ai décidé de purger ma peine jusqu'au bout.Pas crédible, assez risible, et ridicule parfois(la sodomie à la Harissa...). Ils ont certainement fait ce qu'ils pouvaient.Si on veut se faire une idée de la "zonzon", mieux vaut se rendre au parloir, coté détenu.
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Changement radical de style pour Eran Kolirin après La visite de la fanfare. The Exchange raconte la perte d'identité d'un type devenu devenu soudain étranger à lui-même et à sa propre vie. Une sorte de zombie dont on suit, aussi atterré que lui, les apathiques pérégrinations. Léthargie à tous les étages dans ce film désincarné qui semble aller nulle part, sinon dans le mur. L'aspect absurde de la chose aurait pu être rehaussé par une pincée d'humour mais si celui-ci existe, il est drôlement bien caché. Les expressions hébétés de son pauvre héros renforcent l'impression d'avoir affaire à un film sous Prozac. Paradoxe : l'attirance du vide a pour effet de susciter un début de fascination. On ne pense même plus à s'ennuyer, c'est à n'y rien comprendre. A moins que tout ceci ne nous renvoie à notre propre vacuité existentielle ? Oups !
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très bon film dommage que le coté film "ado" ressorte sur le scénario pas de surprise sur la fin belle performance Angelina Jolie (comme tjs !)
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Un film noir assez baroque qui ressemble à une série B américaine tournée avec des moyens d'une série B française. Ce n'est pas fameux mais il y a quelques moments intéressants, notamment une prestation tonitruante de Bill Duke.
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Un peu déçu... Je m'attendais à un film comiquo-fantastique... Le début est plein de promesse, avec mise en place des personnages, un bébé monstre et une ambiance noire... Justement trop noire car la comédie pure est vite oubliée. Les acteurs sont tous parfaits et semblent vraiment croire au film mais il ne s'agit pas que des personnages se cassent pour faire rire un spectateur ! Le scénario est basé sur le pouvoir de la Pleine Lune sur la personnalité mais alors que vient faire dans l'histoire le menhir ?! Quel lien entre les deux ?! Un bébé monstrueux oui mais en quoi ça sert l'histoire en elle-même ?! Beaucoup d'idées non approfondies et les gags basés essentiellement sur du pétages de plomb pas assez burlesques. Extrèmement dommage mais chapeau bas aux acteurs et surtot à Christophe Alévêque... En effet à la TV et dans ses sketchs je ne peux pas le bl.... Mais je dois avouer qu'ic ila été parfait... Pourvu que ça dure.
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le navé par excellence plus null que ce filme tes mort
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Rares sont ceux qui ont vu la version originale de 9 h (!!!). Stroheim rentré en conflit avec le patron de la MGM, Irving Thalberg, avait finalement accepté de raccourcir son film à 4h00 avant que le studio ne finisse par confier le métrage... à un monteur au rabais qui le réduisit encore à 140mns. En 1999, un restaurateur inspiré mit en circulation une nouvelle version de 4 heures reconstruite à l'aide de photos originales et du script de tournage. C'est cette version que j'ai eu le privilège de voir aujourd'hui et qui est la seule, à mon sens, qui permet de mesurer la radicalité et la noirceur de ce film unique, tellement en avance sur son temps qu'il ne pouvait que déplaire fortement à ses commanditaires. Von Stroheim n'y va en effet pas avec le dos de la cuillère... Son film est sans concessions, à la fois naturaliste et métaphorique. L'or et l'argent qui rendent fou et déforment les visages, qui pourissent et pervertissent jusqu'à l'aliénation, la cupidité et la folie qu'elle engendre, la vénalité comme un cancer. Et le pire dans tout cela, c'est que Von Stroheim ne semble en fin de compte vouloir décrire que des êtres ordinaires, ordinaires jusqu'au desespoir. Anatomie d'une déchéance de personnages pathétiques, "Les Rapaces" est un film incroyablement brillant, magnifié par une dernière partie époustouflante se déroulant au beau milieu de la Vallée de la Mort où, sous un soleil accablant et au cours d'un face à face tragique entre les deux personnages rivaux du film, explosera la vanité de leur médiocre existence. Ils crèveront au milieu du rien comme ils avaient vécu... Comme des chiens.
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Samuel L Jackson dans un film pendant sa période "je prends tout ce qui vient histoire de me faire des thunes et dire que je diversifie mon jeu" ça devait déjà mettre la puce à l'oreille, plus de Vin Diesel mais Ice Cube à la place ça devrait finir de convaincre, une fois le film vu si vous avez compris c'est l'euthanasie qu'il faut, plus l'asile ils pourront rien pour vous. Certes vu le rôle pas besoin de poses théâtrales, on est dans la superproduction hollywoodienne assumée, l'action à l'état pure sans scénario (le 1er opus en avait un au moins, mince certes mais présent), mais quand même, une trame et nue mise en scène un tantinet potable ça ferait du bien. Résultat on a droit aux poses de durs du rappeur, au commandant Jackson qui sort encore un méchant balaise trahi par le système pour sauver le monde (logique hein ?) de terroristes (les nouveaux Russes) toujours surarmés, et le bon atout charme avec une blondasse qui fait pute même en la voyant de la Lune. Vous avez l'impression d'avoir déjà vu un truc pareil dans un téléfilm ou un film pourri ? Un navet genre Van Damme ? Vous avez raison, et ajouter celui-c à votre collection n'est pas une obligation pour la culture cinématographique, d'ailleurs peut-on encore accepter ça comme film ?
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REVOLUTION. Les libertés de Mai 68 revolutionne le cinema. On decouvre une nouvelle Annie Girardot et que Gerard Pires n'as pas fait que Taxi. 40 ans plus tard, on ne regarde que les décors et les costumes. Erotissimo n'est pas si érotique que ça.
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Ce documentaire est une vraie trouvaille. Sans porter de jugement, les auteurs suivent une galerie de portraits des plus diversifiés, des familles aux après-midis "desperate housewifes" en passant par des adeptes de la soumission ou du fur... Vous ne verrez plus Second Life de la même manière !
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Concurrent direct à Indiana Jones qui ne m'a vraiment pas convaincu à l'époque, malgré l'avoir vu enfant, alors j'imagine même pas maintenant. 1 étoile pour le thème musical. A vous de juger.
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Le dessin est nul et moche. Le tout est sombre et çà pisse le sang !!! Une horreur ! Mes enfants ne regarderont pas ce truc !!!
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Célèbre et beau film muet. La virtuosité n'est pas l'ennemi juré des grandes et belles oeuvres.
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Un Gus Van Sant qui parle de l'adolescence, rien de surprenant.Mais avec un personnage de vieil ermite désagréable, c'est déjà plus rare. Sean Connery est parfait. Cette histoire initiatique et sensible reste une oeuvre touchante et poignante.
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Bien, bien, bien... Tout d'abord, je tiens à préciser que je n'écris jamais de mauvaise critique considérant que l'absence de commentaire est la meilleur attitude à tenir face à un film sans intérêt. Deuxièmement, je me place dans le démenti de la critique précédente. Il est évoqué un symbolisme spécifiquement iranien : je ne crois pas. J'ai vu le rapport de pouvoir entre des villageois et leur chef : celui-ci est aimable et détestable à la fois. Dans un même temps, son implication est positive et négative à son entourage. Il les aide indéniablement en leur offrant un gîte et un travail, mais il les maintient sous sa coupe. Il n'a pas intérêt à les voir partir car ils font son pouvoir. Un peu comme le roi Saül, il a peur que s'échappe ses sujets et rapetisse son territoire. Le huit-clos, que Sartre a envisagé à trois, se déroule ici à trois cents. Il n'y a pas de loi venant du monde exterieur, non plus de représentant de la religion ou de l'état. Ce rapport de dominant à dominé, ce droit de vie et de mort sur ses sujets sont intemporels et universels. Reste le discour sur la liberté et il me vient à l'esprit une nouvelle de Lu Xun : L'idiot. Un esclave se plaint tour à tour à un age et à un ami que son logement n'a pas de fenêtre. Le sage l'écoute, et donne sa compassion. L'ami prend une masse et fait une ouverture dans le mur. Cependant, l'esclave, effrayé par la possibilité de prendre en main son futur, va attirer des ennuis sur celui qui l'a aidé. C'est pour avoir cru en la possibilité de changer radicalement le cour des choses que l'ami est appelé l'idiot.
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Un mélange de slasher et des liaisons dangereuses, affichant dès le début une fin plus que prévisible. Le réalisateur aurait d'ailleurs pu appeler son film "sexe intentions 4"... Les acteurs ne sont pas terribles ; le scénario est creux, et la bande son plus en accord avec un épisode des feux de l'amour qu'avec ce genre de production. A voir une fois, puis à oublier.
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Après "Gomorra" et la mafia napolitaine, c'est la mafia sicilienne qu'on retrouve dans ... "la sicilienne". Il s'agit là du 2ème long métrage de Marco Amenta qui avait déjà abordédans le documentaire "une fille contre la mafia" cette histoire vraie de jeune sicilienne, fille d'un parrain de la mafia assassiné par un autre clan, en arrivant à témoigner contre la mafia . Face au côté très brouillon de "Gomorra", j'avoue avoir une préférence très marquée pour "la sicilienne", au scénario beaucoup plus linéaire et à la mise en scène d'une très grande efficacité. Une coproduction franco-italienne a imposé la présence de Gérard Jugnot dans le rôle du juge anti-mafia : malgré le doublage, ce n'est pas gênant ! Veronica d'Agostino, qu'on avait découverte dans "Respiro", est très convaincante. Quant à la photo, elle est l'œuvre de Luca Bigazzi, le même qui était derrière la caméra dans "Il divo".
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Ouh alors la je suis tombé sur un noyau dur! L'oeil du cyclone. Un vide abyssale. Comment faire un film en ne racontant rien. Lila fait du solex, Lila se balade, Lila fait de la balançoire. Pompeux, ennuyeux, digne d'un téléfilm érotique. Aucun rythme, aucune surprise, même le jeux des acteurs est fade. Un film d'adolescent sans saveur. Reste la beauté de Vahina et les charmante rues de Marrakech ou d'Alger.
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La guerre contre les Japonais ..... Sans les Japonais.
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Le plus mauvais des films de Peckinpah. Ici, ni James Caan (pourtant un excellent acteur) ni le grand Sam ne montrent l'étendue de leurs talents. A fuir.
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A mourir de rire !!! Un véritable bijou d'humour, de fantaisie, de joie, de chaleur. Darmon est extraordinaire, extraordinaire ! Du début jusqu'à la fin, aucune baisse de régime, la mise en scène est super inventive, les dialogues savoureux sur une formidable idée scénaristique. Les acteurs sont remarquablement bien dirigés. Je ne connaissais pas Edmond Bensimon mais franchement, voilà un réalisateur bourré de talent. Jubilatoire!!!
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scénario et jeux d'acteurs nous donnent l'impression que le film a été tourné au début des années 80. PLV : beaucoup d'acteurs connus
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Beaucoup d'action, des gars insensibles donc des combats plus longs, une histoire d'amour, etc... Malheureusement quelques incohérences
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Super surprise ! Je ne m'attendais pas à ça ! Les comédiens (d'habitude ils m'énervent un peu…) sont juste formidables. C'est super drôle, on a une plongée dans les années 80, qui nous rappelle à tous des souvenirs, et on a envie de manger des Fizzy Pazzi en sortant !
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Un film excellent fidèle au jeux je le recommande fortement. En espérant qu'il y est une suite... ; )
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Petite découverte, je ne connaissais absolument pas ce film. Ce fut finalement une belle découverte. Au départ, nous suivons le quotidien d'un cirque commençant sa saison. Eblouis par les numéros et les magnifiques costumes. Puis ce greffe différentes problématiques qui semble un peu tiré par les cheveux mais finalement tout se rejoint. Une belle aventure, là où on ne l'attendait pas vraiment. Une sorte de "Show Must go on" sans fin. C'était également une institution fort différente dans les années 50, les parades en ville,... on se laisse facilement gagné par l'esprit du cirque et par notre attachement aux personnages. Alors certes, il y a une pseudo histoire d'amour, qui semble prendre beaucoup de place mais au final s'est bien plus. L'histoire est prenante et intéressante, la réalisation très belle en particulier les costumes et les décors. Charlton Heston est une fois de plus convaincant dans le rôle du grand patron du cirque, lui vouant sa vie mais pensant également à l'amour qu'il porte à Holly. Ce n'est pas un de ses plus grands rôle mais sa ne l'empêche pas d'être un grand acteur. Le casting forme une équipe attachante et dont on ne souhaite pas l'absence. Et le grand final est magnifique, même si une fois de plus l'industrie américaine privilégie les Happy end. En tout cas j'ai passé un très bon moment, et une belle découverte de plus dans ma filmographie. Je vous le conseil si vous avez l'occasion de le voir.
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Les films roumains récents distribués en France donnent tous la même vision de ce pays : triste, incapable de se réjouir de sa Révolution, et fatigué, très fatigué. Comme si le renversement du régime communiste n'avait servi à rien. La mort de Dante Lazarescu montrait le manque criant de solidarité, l'évaporation de la chaleur humaine. Comment j'ai fêté la fin du monde, dans un registre tout de même plus gai, présentait des personnages ayant beaucoup de mal à tourner la page, marqués par une sorte de fatalité. Celui ci est le plus drôle des trois, et pourtant terriblement mélancolique. Les trois personnages sont pitoyables et à force de se prendre au sérieux, deviennent des clowns lugubres et loufoques à la fois. Le présentateur tente d'élever le débat avec des allusions philosophiques, mais revient sans cesse à sa question complètement théorique : le soulèvement populaire dans la petite ville a-t-il eu lieu avant ou après la diffusion à la télévision nationale de la destitution de Ceausescu... Le petit grand-père, invité de dernière minute, ignoré du présentateur, passe son temps à fabriquer des bateaux en papier et lorsqu'on lui donne enfin la parole, il donne une vision tout à fait anecdotique de sa révolution. L'autre invité, professeur et alcoolique, prétend s'être révolté avant tout le monde, ce que les téléspectateurs contestent en téléphonant à l'émission. Avec un sens du cadrage très pointu, un montage parfaitement maîtrisé pour donner une impression de fausse lenteur, un refus du pathos, le réalisateur signe là une oeuvre très originale, subtile, politique et sociale à l'origine, et finalement poétique.
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J'ai découvert Fruit Chan par ce film ainsi qu'avec Durian Durian. Quelle belle surprise pour ma part. on bouge dans la réalité de Little Cheung constamment, non sans un humour délicieux. Rien de sirupeux ici, on reste dedans du début à la fin aussi simplement que le film a commencé. Que c'est agréable! Il me tarde le prochain film de Fruit Chan Génial!
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Assez ambitieux avec sa structure en actes et sa tragédie familiale sur fond de western post-apocalyptique, "Young Ones" reste malheureusement un objet froid et aride, où les sentiments ont bien du mal à s'exprimer.
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Beau à en pleurer. Mise en scène hallucinante, photographie magistrale , scénario envoutant , acteurs brillants , ... Un film énorme.
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Ce soir, j'avais envie de me regarder une comédie romantique... Ce DVD traînait depuis quelques semaines chez moi, alors je me suis lancé. Et j'avoue avoir été agréablement surpris. Rien de bien révolutionnaire dans ce film, mais somme toute j'ai passé un bon moment. Il faut dire que les acteurs (Streep et Thurman, en particulier) sont réellement attachants, bien que le scénario soit assez prédictible... Par ailleurs, la musique de la bande-originale comporte quelques morceaux agréables (Rufus Wainwright, Ray LaMontagne, entre autres). Enfin, les quelques scène de comédie pure (la scène de la grand-mère et de sa poêle, qui revient plusieurs fois au long du film, est hilarante) ou le rôle des personnages secondaires (Jon Abrahams, qui entarte les filles qui le plaquent dès le premier soir...) sont d'autant plus de bonnes raisons de regarder au moins une fois ce film...
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Mads Mikkelsen ... Tout ce qu'il touche est or, tout particulièrement dans ce rôle ou on retrouve avec grand plaisir ce qui fait le style danois :le rythme, l'image, la sobriété font indubitablement penser à Pusher, même si le theme en est à mille lieue. J'en veux encore, messieurs et mesdames les réalisateurs scandinave :)
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Pourquoi le dire ? (2010) se focalise sur une seule question, vieille comme le monde : "Qu'est ce qui pousse un homme d'âge mur à avoir une relation avec une jeune fille ?", et la première erreur aura été de ne pas en faire un documentaire "réel", au lieu de cela, Hélène Duchemin choisie d'en faire un documentaire fictionnel dramatique interprété par des comédiens (sacrilège !), car au final, on a du mal à se sentir concerné, on y croit beaucoup moins, d'autant plus que le film accumule des longs dialogues sans fin et qui souvent, ne mènent à rien. Au niveau de la mise en scène, c'est catastrophique, on a l'impression que le cadreur est atteint de la maladie de Parkinson, incapable de tenir la caméra, les plans sont ratés, voir inexploitables dans certains cas, bref, rien de très professionnel !
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Avec Cerise se trouvent cristallisés les malheurs de l’adolescence et ceux générés par une crise politique, de sorte à peindre la révolte intérieure sur fond de révolution. Le principal problème, c’est que la juxtaposition ne fonctionne jamais : les tensions politiques semblent accolées au récit sans véritablement le porter ou le dévier. Et du côté du récit, la vulgarité assène le spectateur. La jeune protagoniste centrale s’avère tellement antipathique et détestable qu’on suit ses mésaventures avec un désintérêt croissant. On ressort de Cerise avec l’impression d’une bouillie indigeste où seraient compilés Paulette – précédent film du réalisateur – et les pires clichés du 93 et de l’Ukraine, à la sauce Borat. Ces clichés, parlons-en d’ailleurs. Une gamine de banlieue forcément vulgaire, forcément habillée en prostituée, forcément idiote et vaine, qui retrouve le droit chemin après un séjour chez des Ukrainiens forcément mafieux, forcément entourés de prostituées, forcément dépourvus de tout sentiment. La démarche sonne aussitôt présomptueuse : faire évoluer des clichés qui, sans ces circonstances croisées, seraient restés au stade primitif de leur état. Car mettre en scène la vulgarité de manière si complaisante – cf. générique de début – revient à épouser cette même vulgarité. Un récit d’apprentissage nul.
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Quand la France des années 70 redécouvrait la campagne, la ruralité plus exactement. Il y a eu quantité de films qui se placent sur ce même point ("La gueule ouverte" sorti la même année, "Moi, Pierre Rivière..." un peu plus tard) par des cinéastes profondément ancrés dans la culture de ce pays. Pourtant Eustache ne place pas ce film sous le signe d'une franchouillarderie inique, il charge d'une poésie rare les endroits les plus triviaux, place ses jeunes acteurs sous le chaperon de la cruauté, de l'accession au verbe, de la connaissance de l'être social. Le film est cruel, forcément, mais jamais sans le vouloir, et jamais de manière continue. Au bout d'un moment il efface sa propre dimension temporelle, on ne sait plus si le film dure 2 heures ou 4, on voudrait qu'il ne s'arrête jamais.
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Après quelques films très noirs, Lucas Belvaux (Rapt, 38 témoins) se tourne vers la comédie romantique. Enfin, c'est ce que laisse entendre la bande-annonce. Le philosophe parisien rencontre la petite coiffeuse d'Arras. En grattant un petit peu, ce télescopage de deux mondes, ceux de Kant et de Jennifer Aniston, rencontre de deux êtres que tout oppose, va très rapidement s’avérer être presque aussi...
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Un gros navet. Affreux. Un vide sidéral. Failli partir en cours de route (à mi chemin j'avais ma dose de trop plein) mais je me suis mis à somnoler et finalement suis resté jusqu'au bout. Mais ce fut long (mais long !) d'une langueur monotone et d'un mortell ennui. Pire , je n'ai rien compris! Une succession insipide de plans à l'image médiocre (pour enfoncer le clou) du gros grain de camescope d'amateur. Rien compris : aucune cohérence , récit inexistant (hormis les 5 dernières minutes narratives pour y voir un peu plus clair et encore). Dommage si le sujet a maintes (et maintes) fois été abordé, l'idée , elle, était originale , mais pas la manière malheureusement (comme l'avait si bien montré crosswind notamment ) a noter tout de même (et à mettre dans mon livre d'or) la danse de l'intro : magnifique (genre Pina Bausch) , c'était pourtant de bon augure pour la suite, mais c'est vraiment tout ce qu'il y a de bon dans ce désastre. Apathique et soporifique. A jeter. (sauf la danse).
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Un peu trop recherché, ce film manque de fluidité. A des moments il s'alourdit et perd de son mystère. Pourtant, l'ambiance louche attire le spectateur, mais ça ne dure pas longtemps, puisqu'il retombe directement dans l'ambiguité fatiguante et inutile.
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Film fondateur du sous-genre du film fantastique à sketchs, Au cœur de la nuit annonce la qualité et le défaut majeur d’une telle construction : Des histoires courtes, comparables à un assemblage de courts-métrages, dans lesquels on rentre rapidement et sans longueurs, mais une inégalité qualitative entre les différents segments. Ainsi, même s’ils ont en commun de réunir de grands cinéastes et acteurs de l’époque, parmi les cinq récits qui composent ce film, seuls ceux du miroir hanté et de la marionnette vont rester des modèles scénaristiques du cinéma horrifique. Mais, d’un point de vue stylistique, chacun des réalisateurs qui ont participé au projet fait preuve d’une maitrise de la mise en scène qui donne tout à la fois un modernisme impressionnant et une dimension horrifique forte dans cette interrogation sur la limite entre la folie et le surnaturel. Avec une conclusion surprenante qui donne sens à ce format sans précédent, ce grand classique du cinéma britannique d’après-guerre réussit aisément son pari de s’inscrire dans les références incontournables du genre et même à faire entamer un virage à la production nationale.
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Seul les bons combats sanglants sauvent ce film du naufrage.
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On se fait très chier, il y a des ellipses cheloux et c'est parfois non-sensique (les méchants qui veulent faire exploser une montagne sans raison).
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Ça le coup de grâce c'est sur, ça l'a bien donné à la franchise, du coup les légendes sont bien mourutes, mauvais sous titre. Après ça partait pas gagnant : une suite déjà, ouille, d'un film d'horreur (donc là où le méchant est censé être fini et ne pas revenir hein ?), avec un casting de looser, une histoire bâclée qui n'a pas lieu d'exister si on réfléchit un peu, une trame prévisible à souhait et rien de passionnant à côté. Le pire c'est que c'est pas drôle, pas assumé, et que ça se prend au sérieux (enfin ça essaie), donc on ne peut même pas les ranger sur l'armoire à nanars, trop naze.
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Sylvester Stallone s'offre la lourde tache de donne une suite au film de John Badham, je parle bien entendu de La fièvre du samedi soir. Après le carton populaire tout comme sa BO du fameux groupe Bee Gees sans oublier l'acteur John Travolta, voici Staying Alive. Bon ça craint cette suite n'a aucune valeur, John Travolta lui-même s'enlise ou vais-je dire plutôt qui se foule la cheville. Il perd toute force de sa première prestation qui était tout simplement accrocheuse et energisante, il y avait de l'impact venant de lui tout comme l'histoire. Ici oublier tout, c'est plat, au point de vous rappellez qu'il fut nominé au Razzie Awards comme pire acteur et il y a de quoi. La seule chose qui soit valable sont les deux dernières minutes de la fin ou l'on retrouve le panache tant oublier. En gros ce Fame de Stallone ne brillera pas.
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ce film je le catégorifierais dans le genre navet catastrophe-apocalyptique-sympathique. pas seulement parce qu'il annonce la fin du monde mais aussi a cause de la facon apocalyptique-catastrophique dont il a été fait. le scenario absolument peu crédible: un mechanisme dont le centre est stonehenge a été activé.. toutes les 10 heures un champs éléctromagnétique est envoyé a une pyramide ce qui produit une eruption titanesque jusqu'au grand boum final. les dialogues parfois surréalistes et hallucinés et les quelques scenes d'action ne sauve pas le film mais contribue a ce qu'on se marre plutot qu'on dorme bref, ne regardez ce film que si vous voulez vous moquer et que vous n'avez rien d'autre a faire.
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Sublime film. Scénario très bien écrit. L.Bekhti et E.Baer , elle avocate et lui musicien rebelle de gauche , couple improbable mais fusionnel. Dans notre époque troublée , tout le monde devrait voir ce film , pour avoir plus de tolérance et de l'amour. A visionner en groupe et famille.
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Le réalisateur Belge Benoît Mariage nous envoie un véritable OVNI cinématographique. Seul problème : Le réalisateur veut trop de diversifier dans multiples registres : passer de la comédie au drame en passant par le cinéma d'auteur. A force de vouloir multiplier les facettes d'un film, on finit vite par se casser la figure. C'est le cas de ce film dont les scènes sont plus longues qu'autres choses et les personnages insignifiants. Le seul point positif de cette comédie dramatique est peut-être les répliques de Benoît Poelvoorde qui a pour but de rentrer dans le livre des records à tout prix. Film très décevant et ennuyeux bien qu'il ne soit pas long (environ 1 heure 30).
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Un vrai galop d essai qui ne laisse rien présager à ce stade la carrière qui va suivre, mais ce film est la genèse de son créateur de son cinéma... Un brouillon mal fait maladroit mais pour autant on y ressent son énergie ses personnages sa passion de la musique ses thèmes le tout manque de finesse de continuité mais son New York a déjà une âme une odeur tous comme des références à son cinéma ses origines ... Avec l apparition de la mama Scorsese !! Le film reste quand même difficile à voir aujourd hui pour des non initiés il vieillit très mal.... Mais on ne peut pas voir ce film autrement que un court métrage fait et refait à plusieurs reprise avec toutes les erreurs de jeunesse de rythme et de scénario d un futur géant du cinéma !!!
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Ridley Scott est un réalisateur d'exception. Ce qui le démarque c'est son talent d'adaptation à tous les genres du cinéma. On voit par exemple Blade Runner, un classique des films de science fiction des années 80, American Gangster, film sur la mafia ou encore Black Hawk Down qui raconte une mission spéciale des forces armés américaines... Gladiator est son chef d'oeuvre. Le scénario est crédible, les acteurs sont très bons, même Russel Crowe qui est remarquable dans ce rôle, et on ne s'ennuie pas pendant ces 2h40, ce qui est essentiel. Les décors et les costumes sont géniaux, fidèles et réalistes, rendant cette expérience encore plus plaisante. N'en existant pas une masse, on peut dire que Gladiator est le meilleur film du genre Péplum. A VOIR sans hésiter!! Pour ceux qui auraient aimé ce film, la Série Spartacus est très semblable, et elle est tout aussi passionnante.
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Franchement ? Moyen. Devant tant d'unanimité, je me suis dit que cela ne pouvait être que génial, ou tout au moins très bon, allez, disons : bon. Mais bof... Le sujet est original, les acteurs crédibles, mais l'histoire ne m'a jamais "emporté", et j'y ai trouvé pas mal de longueurs, jusqu'à regarder combien de temps il reste. Je fais beaucoup confiance aux étoiles des spectateurs, considérant "qu'il n'y a pas de fumée sans feu". Et c'est souvent le cas, mais là, non : très moyen selon moi. Ah si !!! Belle musique... mais ça ne fait pas tout.
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N'importe qui peut faire n'importe quoi à n'importe qui, que tout le monde est content. C'est un film agréable à regarder avec une Rachel McAdams toujours aussi plaisante mais vraiment déçu de la fin qui gâche tout le scénario pourtant intéressant! 2/5
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Film noir comme Hollywood savait si bien les faire, "Le Dahlia bleu" garde aujourd'hui encore un impact assez fascinant sur le spectateur. Que ce soit dans sa mise en scène stylisée et racés au pissible ou encore son ambiance assez unique, le film ne manque pas de captiver notre attention pendant les 90 minutes. Hélas, et c'est pourtant rare dans un genre aussi rigoreux que le film noir, le scénario, bien que joliment écrit et rendant de manière assez forte les relations entre les différents personnages, souffre d'incohérence et de longueur parfois, à l'image d'une fin bavarde et assez lassante. On pense d'ailleurs un peu au "Grand sommeil", un cran en dessous. Mais c'est finalement peut-être aussi cela qui renforce le charme de ce film, qui, malgré ces quelques défauts, n'en demeure pas moins un étonnant moment de cinéma, certaines scènes restant même dans les mémoires tant elles brillent par leur maitrise et leur brio. Bref, un film plus que recommandable, qui saura nous subjuguer du début à la fin. Envoutant.
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Ce film laisse songeur, car ce genre de situations existent, le film montre bien que il y a un âge où l'on est plus influençable et que c'est le moment où les requins passent à l'action, je ne sais pas si ce film fait de la prévention, tout ce que je sais c'est que j'ai été subjugué par les actrices, les rôles, la réalisation, ses personnages qui semblent tellement vrai qu'on croirait les connaître ! ce film fait peur car cette histoire peut arriver à n'importe qui, en tout cas, ce film est très très bon !
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Quelle surprise de cet automne ! Quelle agréable surprise que cette suite de l'histoire de Jean Christophe et de Winnie ! On y retrouve tous les personnages de l'histoire, un Tigrou plus bondissant que jamais, un Bourriquet dépressif à souhait et à mourir de rire et un Winnie d'une tendresse inouïe face à Jean Christophe devenu... grand. La corde émotionnelle est très forte, on ri bien sur de leurs mésaventures, mais on a aussi les larmes aux yeux de tant de douceur et de tendresse dans le rapport entre l'univers de Jean Christophe, Winnie et tous ses compagnons. A voir, a revoir mais à ne surtout pas manquer, un véritable délice qui dure 1h45 mais qu'on ne voit pas passer
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J'ai tourner dans ce film en tant que figurante .. j'etais petite dans le film on me voit taper au carreau de la boulangerie avec un vieil homme .. j'ai vraiment aimer mais malheuresement je n'est pu la video et g pas moyen de retrouver le film..
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Mon dieu !!!!!!! Ce film à sacrément vieilli, l'humour devient vite lourd, insupportable, Fernand Raynaud nous sort des tonnes de grimaces forcés, la mise en scène est inexistante, les gags sont dépassés, la musique est indigente, le scénario (il y en a un ???). A la limite du divertissant.
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OEdipe au féminin, "Petra" n’a pas fini d’interroger nos sphinx intérieurs. Le film est un bon thriller rempli d'émotions
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La première moitié du film est consacrée plus aux chevaux qu'aux humains. Le jeune acteur de 20 ans semble plus âgé que son âge, et j'ai eu du mal à m'imaginer que c'est un ado. La scène de la chanson de Perret au bord de l'eau est ridicule et prend 4 minutes qu'il aurait mieux fallu consacrer à une scène forte sur la relation entre cette mère et son fils. Nous avons des explications, des bribes de dialogues ci et là, mais malgré cela on ne comprend rien, car il n'y a pas de sensibilité, pas d'émotions, à part les colères du fils. Virginie Efira n'incarne absolument pas cette mère courageuse mais anxieuse et désireuse de réparations Il se trouve que j'ai lu le roman. Comment peut-on avoir envie d'adapter un roman et le vider entièrement de sa sève ? Il est pourtant basé sur la relation difficile entre cette femme et son fils, il y a une teneur affective et psychologique intense, une relation qui se renoue petit à petit et suffisemment de force pour en faire un film profond, à la place de ce films sur les chevaux et le talent vocal modeste de Virginie Efira......
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Expliquez-moi l'interet de poser sa caméra, et de traiter le temps de cette façon si c'est pour décrire un envirnnement froid et hostile, jamais beau graphiquement? Expliquez moi pourquoi filmer un foetus en gros plan pdt 1 ou 2 minutes? J'comprends tout à fait l'interet d'un "Los Bastardos" dans son traitement "temps réel" du temps qui appuie viscélarelement l'impact sur le spectateur de la cruauté du dénouement. Mais là, je ne vois pas, si ce n'est pour se faire acclamer pour un film d'auteur qui veut volontairement ennuyer son spectateur.
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Denis Lavant en fait des caisses. La réalisatrice s'est prise pour David Lynch, la musique est continuelle et vraiment gênante. Enfin je n'ai pas aimé du tout. Ça sonne faux et creux. On dirait un long clip avec de la fausse poésie plaquée non-stop. Un brouillon d'eraserhead, de jour de fête et de freaks tout ca mal mélangé, mal joué, passez donc votre chemin.
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Un rythme bien trop lent et un Ashton Kutcher bien trop nul!
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Monsieur Duchovny vous êtes aussi piètre acteur que réalisateur, ou tout du moins pour ce film. Une histoire déja vue et revue d'adolescence, avec une star dans le rôle de l'arriéré, et quelques sentiments pour faire passer le tout...si vous cherchez un film prêt à vous surprendre, passez votre chemin.
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Complètement différent des films de la série Conjuring, "La nonne" s'apparente beaucoup plus aux films d'horreur old school, façon Hammer: un prêtre et une apprentie religieuse, envoyés par l'église pour enquêter dans une lugubre abbaye perdue au fin fond de la Roumanie...J'ai adoré retrouver ce genre d'ambiance, digne des Dracula de mon enfance! Les décors sont somptueux, ténébreux et lugubres à souhait, et si on n'est pas dans l'atmosphère paranormale oppressante des deux premiers volets, et plus dans l'horreur graphique et gore, avec des visages putréfiés, du sang qui gicle, le film possède d'autres qualités appréciables, et spécialement une atmosphère immersive qui nous coupe totalement du monde moderne pour nous plonger dans un univers gothique à souhait. J'ai dejà envie de le revoir!
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Alors franchement pour le moment c'est le meilleur films de Noël pour moi, et les acteurs sont plutôt bon, et l'histoire et vraiment cool, je le conseil vraiment il est cool.
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Beur sur la ville réunit à lui même toutes les lacunes d'un film français médiocre. Les acteurs sont amateurs, nuls, moches, beurs et surement handicapés mentalement (voir plus pour certains). Le scénario est... où??? J'ai vu ce film cela fait trois semaines, la seule chose dont je me rappelle est de lui mettre 0/20. Une honte à nôtre pays! ----Novembre 2013----
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