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Une spectatrice décède d'une crise cardiaque lors du match Denain-Evreux
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Le communiqué du club :\n\n\La vie est parfois aussi cruelle qu’injuste, hier soir Audrey, 27 ans, jeune supportrice du Saint-Quentin Basketball venue supporter les Dragons a perdu la vie dans accident cardiaque foudroyant au bord du parquet.\n\nLes équipes du club et quelques supporters ont effectué avec beaucoup de courage les premiers secours en attendant les pompiers. Nous salons leur courage et leur détermination ainsi que celle des pompiers et du SMUR qui ont tenté jusqu’au bout de ramener Audrey à la vie.\n\nNous souhaitons saluer l’exemplarité du commissaire de la rencontre, des officiels, des dirigeants des 2 clubs et des supporters sur place. Personne n’est préparé à vivre ce genre de situation et il n’existe pas de vérité sur le protocole à suivre et sur les décisions à prendre.\n\nLe club souhaite exprimer une nouvelle fois ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches d’Audrey ainsi qu’au SQBB, à son groupe de supporter des renards blancs et aux supporters de Denain dont elle était désormais et dont elle sera éternellement.\n\nAujourd’hui, le basket est en deuil. À jamais dans nos cœurs Audrey.\\n\nBasketEurope s'associe à la douleur de la famille et des proches d'Audrey.\n\nLa LNB a pris la décision de lui rendre hommage ce soir avant le coup d’envoi du match du Championnat de France de Betclic ELITE entre Saint-Quentin et Dijon.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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Qui est l’arbitre française pré-sélectionnée pour les Jeux Olympiques de Paris?\n\nLa Nîmoise Amel Dahra, 35 ans, est montée en flèche dans la hiérarchie nationale et internationale des arbitres, au point d’être pré-sélectionnée - avec comme autre Français Yohan Rosso - pour siffler aux Jeux Olympiques de Paris 2024.\n\nComment avez-vous appris que vous étiez retenu parmi les 40 arbitres pré-sélectionnés pour les Jeux Olympiques?\n\J’ai reçu un mail de la FFBB. J’en ai pris connaissance après mon service puisque je travaille en boulangerie, mais je précise que je ne suis pas boulangère de formation, je suis plutôt dans la partie snacking et pâtisserie. A 13h, j’ai récupéré mon téléphone et j’ai été surprise car j’ai reçu un certain nombre de messages importants par rapport à ce que je reçois d’habitude. Je me suis doutée qu’il y avait quelque chose qui se passait. J’ai ouvert ma boîte mail et c’est là que j’ai découvert que je faisais partie de la short list des arbitres susceptibles d’être aux Jeux Olympiques.\n\nC’est une drôle de sensation d’apprendre ça par un simple mail? A une époque cela devait être par courrier ou par téléphone?\nC’est une très bonne question, je serais ravie de savoir comment on procédait avant pour ce type d’information. Nous, on est habitué pour tous les désignations à recevoir des mails. C’est un canal qui permet d’avoir la traçabilité, à la personne de le consulter à n’importe quel moment. Aujourd’hui, l’appel téléphonique reste plutôt rare.\n\nComment se fait cette pré-sélection? Il y a des points, des notes attribuées à chaque match international ou est-ce un jury ou une seule personne qui décide ?\n\nQui est l’arbitre française pré-sélectionnée pour les Jeux Olympiques de Paris?La Nîmoise Amel Dahra, 35 ans, est montée en flèche dans la hiérarchie nationale et internationale des arbitres, au point d’être pré-sélectionnée - avec comme autre Français Yohan Rosso - pour siffler aux Jeux Olympiques de Paris 2024.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nCholet s'effondre face à Blois\n\nLes Choletais ont complètement perdu les pédales dans le dernier quart-temps. L'ADA Blois leur a infligé un 0-19 et a ramassé la mise. 71-80.\n\nJusque là, sans être dominateur, Cholet Basket a mené le match au train. Il avait ainsi 9 points de marge (62-53) à la 30e minute. Et tout d'un coup, la nuit noire. 7'57 sans marquer le moindre point en raison d'une suite de cagades. Il a fallu attendre que Tidjane Salaün réussisse deux lancers-francs pour mettre fin à la pénitence. Mais pendant ce temps-là, Blois s'était envolé. 62-72.\n\nD'ailleurs, CB a encore patienté jusqu'à la dernière minutes pour ajouter 7 points supplémentaires. C'est ainsi que l'ADA a remporté le dernier quart-temps 9-27. Surréaliste. Les Blésois doivent beaucoup à Armel Traoré auteur d'un double double (10 points et 10 rebonds) plus 3 interceptions, et aux 14 points et 6 points de Rashard Kelly, et surtout à leur rage de... condamnés. Cette 9e victoire, qui met fin à une série de 8 défaites, leur offre une dernière chance de salut.\n\nCholet s’effondre face à BloisLes Choletais ont complètement perdu les pédales dans le dernier quart-temps. L’ADA Blois leur a infligé un 0-19 et a ramassé la mise. 71-80.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nGrèce : Trevor Thompson (Peristeri) recherché par la police\n\nLe pivot américain de Peristeri,Trevor Thompson (2,13 m, 29 ans), n'a pas joué vendredi soir le match du championnat grec contre le Panathinaikos. Il était officiellement malade. En fait son absence était due à une toute autre raison.\n\nGrèce : Trevor Thompson (Peristeri) recherché par la policeLe pivot américain de Peristeri,Trevor Thompson (2,13 m, 29 ans), n’a pas joué vendredi soir le match du championnat grec contre le Panathinaikos. Il était officiellement malade. En fait son absence était due à une toute autre raison.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDJ Cooper avant Gravelines-Roanne : \Ce n'est pas do or die\\n\nC'est un match ultra important que Gravelines et Roanne vont se livrer ce soir (18h30) à Dunkerque. DJ Cooper est l'un des atouts majeurs de la Chorale pour faire pencher la balance dans son sens.\n\nGravelines et Roanne sont actuellement à égalité avec dix victoires, seulement le BCM a un match en retard à jouer et a gagné dans la Loire (69-78). DJ Cooper est non seulement un incroyable passeur (11,7 de moyenne) mais il a prouvé face à Monaco (18 points) qu'il peut scorer avec abondance si le besoin s'en fait sentir. Il donne son sentiment au Progrès avant l'heure H.\n\nDJ Cooper avant Gravelines-Roanne : “Ce n’est pas do or die”C’est un match ultra important que Gravelines et Roanne vont se livrer ce soir (18h30) à Dunkerque. DJ Cooper est l’un des atouts majeurs de la Chorale pour faire pencher la balance dans son sens.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nUne spectatrice décède d'une crise cardiaque lors du match Denain-Evreux\n\nLe club de Denain Voltaire a fait part d'une très triste nouvelle sur les réseaux sociaux : le décès d'une jeune spectatrice de 27 ans lors de son match face à Evreux.\n\n\La vie est parfois aussi cruelle qu’injuste, hier soir Audrey, 27 ans, jeune supportrice du Saint-Quentin Basketball venue supporter les Dragons a perdu la vie dans accident cardiaque foudroyant au bord du parquet.\n\nLes équipes du club et quelques supporters ont effectué avec beaucoup de courage les premiers secours en attendant les pompiers. Nous salons leur courage et leur détermination ainsi que celle des pompiers et du SMUR qui ont tenté jusqu’au bout de ramener Audrey à la vie.\n\nUne spectatrice décède d’une crise cardiaque lors du match Denain-EvreuxLe club de Denain Voltaire a fait part d’une très triste nouvelle sur les réseaux sociaux : le décès d’une jeune spectatrice de 27 ans lors de son match face à Evreux.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLuca Banchi et l'Euroleague : \Rester dans cette élite sera crucial\\n\nLa Virtus Bologne a raté la dernière marche vers les playoffs en s'inclinant face à Baskonia Vitoria (89-77), mais le coach Luca Banchi dresse un bilan positif sur la saison de son équipe.\n\n« Félicitations à Baskonia, aux joueurs, aux entraîneurs et au club : ils ont joué un grand match ce soir, a t-il commencé par dire. Je pense qu'il est important de féliciter également mes joueurs car nous sommes venus jouer ce match après une très longue saison, renforçant notre identité d'équipe match après match et démontrant que nous pouvons vraiment rivaliser avec tout le monde sur chaque terrain contre n'importe quel adversaire. Je laisse à chacun le soin de juger à quel point nous méritions d'être parmi les huit premiers, mais ce soir, Baskonia a fait un meilleur effort et une meilleure performance, notamment sur les rebonds offensifs et les tirs à 3-points, la plupart de ces tirs ont été générés par des possessions supplémentaires et c'est notre plus grand regret.\n\nLuca Banchi et l’Euroleague : “Rester dans cette élite sera crucial”La Virtus Bologne a raté la dernière marche vers les playoffs en s’inclinant face à Baskonia Vitoria (89-77), mais le coach Luca Banchi dresse un bilan positif sur la saison de son équipe.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEspagne : Endesa va continuer d'être le sponsor majeur du basket espagnol\n\nLe PDG d'Endesa, José Bogas, le président de l'Association des clubs de basket-ball, Antonio Martín, et la présidente de la Fédération, Elisa Aguilar, ont annoncé au siège de l'entreprise énergétique le renouvellement jusqu'en 2027 de leurs accords de sponsoring respectifs.\n\nCes accords confirment Endesa, leader dans le pays dans les secteurs du gaz et de l'électricité, comme le sponsor numéro un du basket-ball espagnol avec un investissement total au cours des 14 dernières années de plus de 100 millions d'euros, tant en termes de soutien financier qu'en actions d'activation et d'amplification.\n\nEspagne : Endesa va continuer d’être le sponsor majeur du basket espagnolLe PDG d’Endesa, José Bogas, le président de l’Association des clubs de basket-ball, Antonio Martín, et la présidente de la Fédération, Elisa Aguilar, ont annoncé au siège de l’entreprise énergétique le renouvellement jusqu’en 2027 de leurs accords de sponsoring respectifs.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLes matches de Betclic Elite sont diffusés sur l'app Betclic\n\nDans un communiqué, le société de jeu en ligne et de paris sportifs, Betclic, qui est le naming de la division d'élite de la Ligue Nationale de Basket, rappelle que les matches de la Betclic Elite sont diffusés sur son application via le système Keemotion.\n\nLa retransmission des matchs est réservée aux joueurs disposant d'un compte sur l'app Betclic... C'est un retour à un procédé que l'on pensait démodé mais cela peut être utile si les matches ne sont plus diffusés sur la plateforme Skweek.\n\n\Depuis 3 saisons, la Ligue Nationale de Basket et un des leaders européens des paris sportifs Betclic ont conclu un partenariat de naming pour le Championnat de France masculin de 1ère division, devenu la Betclic Elite. Betclic s’engage depuis pour faire vivre le basket plus fort. Et Betclic tient sa promesse !\n\nLes matches de Betclic Elite sont diffusés sur l’app BetclicDans un communiqué, le société de jeu en ligne et de paris sportifs, Betclic, qui est le naming de la division d’élite de la Ligue Nationale de Basket, rappelle que les matches de la Betclic Elite sont diffusés sur son application via le système Keemotion.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : La Rochelle ne peut plus être rejoint\n\nEn battant son dauphin Vichy (87-74), La Rochelle (27 victoires et 4 défaites) ne peut plus être rejoint en tête de la saison régulière d'ici la fin du championnat.\n\nA ceux qui en doutaient encore, le Stade Rochelais a définitivement démontré qu'il est le numéro 1 de la saison de Pro B. La Rochelle, c'est de la hargne, une force collective avec six joueurs à 12 et davantage à l'évaluation et Jubrile Belo comme meilleur marqueur avec 15 points. A Vichy, c'est Ilias Kamardine (15 points) qui a été le meilleur marqueur. Seule ombre au tableau pour La Rochelle, l'entorse à la cheville de Mathéo Leray.\n\nPro B : La Rochelle ne peut plus être rejointEn battant son dauphin Vichy (87-74), La Rochelle (27 victoires et 4 défaites) ne peut plus être rejoint en tête de la saison régulière d’ici la fin du championnat.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPlayoffs LFB : Villeneuve d'Ascq et Lattes-Montpellier prennent une sérieuse option\n\nLes Guerrières se sont imposées à Angers (73-82) alors que les Gazelles ont fait de même à Charnay (62-77).\n\nIl y avait déjà une belle différence au bout de dix minutes (10-19) en faveur de Lattes-Montpellier, et malgré un sursaut des Bourguignonnes (10-0), le BLMA a repris les commandes pour s'éloigner définitivement (35-50, 44-61). Cinq joueuses héraultaises (20 points pour Ameryst Alston) se retrouvent en double figure contre trois dans le camp adverse.\n\nPlayoffs LFB : Villeneuve d’Ascq et Lattes-Montpellier prennent une sérieuse optionLes Guerrières se sont imposées à Angers (73-82) alors que les Gazelles ont fait de même à Charnay (62-77).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nAleksandar Petrovic de retour à la tête du Brésil\n\nAleksandar \Aco\ Petrovic, 65 ans, sera le coach de l'équipe nationale brésilienne lors des qualifications pour les Jeux Olympiques de 2024, a annoncé la Fédération du Brésil.\n\nAco Petrovic, deux fois vainqueur de la C1 et multimédaillé avec la Yougoslavie, a déjà été le head coach du Brésil de 2017 à 2021. Au cours de cette période, il a enregistré 26 victoires en 33 matchs. Il va être accompagné de l'ancien joueur brésilien qui est actuellement entraîneur adjoint des Houston Rockets, Tiago Spliter.\n\nAco Peytrovic, qui est le frère aîné de feu l'ancienne star yougoslave et croate, Drazen Petrovic, succède à Gustavo De Conti, qui a entraîné le Brésil lors de la Coupe du monde 2023. L'équipe a été éliminée au deuxième tour, se classant quatrième dans un groupe qui comprenait également le Canada, la Lettonie et l'Espagne.\n\nAleksandar Petrovic de retour à la tête du BrésilAleksandar “Aco” Petrovic, 65 ans, sera le coach de l’équipe nationale brésilienne lors des qualifications pour les Jeux Olympiques de 2024, a annoncé la Fédération du Brésil.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJO de Paris - Satou Sabally (Allemagne) : \Gagner une médaille !\\n\nL'Allemagne sera l'un des petits poucets lors du tournoi olympique féminin. Cela n'empêche pas Satou Sabally d'être très ambitieuse.\n\nNée à New York d'un père gambien et d'une mère allemande, Satou Sabally (1,93 m, 25 ans) est davantage connue pour ses performances en WNBA qu'avec l'équipe nationale mais elle est venue renforcer celle-ci à l'occasion du TQO et cela s'est avéré décisif pour renverser le Brésil à domicile (71-73). Elle a fonctionné au rythme d'un double double sur le tournoi (19 points et 10 rebonds) plus 4,5 passes. Le jeune femme ne manque pas de confiance en elle.\n\n\Je suis l'une des meilleures joueuses du monde, déclare t-elle tout de go au Redaktions Netzwerk Deutschland. Bien sûr, cela peut faire la différence. Je sais que j'aborderai le tournoi à 100 pour cent. Et je n'ai pas besoin de me mettre la pression pour être plus que 100 pour cent\.\n\nJO de Paris - Satou Sabally (Allemagne) : “Gagner une médaille !”L’Allemagne sera l’un des petits poucets lors du tournoi olympique féminin. Cela n’empêche pas Satou Sabally d’être très ambitieuse.BasketEurope.comLa rédaction
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Kyle Guy, un Américain naturalisé de plus avec la Pologne
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La Pologne fait partie des pays européens qui n'hésitent pas à naturaliser des joueurs pour améliorer le rendement de leur équipe nationale. AJ Slaughter a rendu ainsi de bons et loyaux services à son pays d'adoption, mais l'ancien joueur de Pro A file sur ses 37 ans.\n\nKyle Guy a l'avantage d'être plus jeune. Il a un passé en NBA, en G-League, à Badalone, au Panathinaikos -jusqu'en janvier de cette année- et évidemment pas en Pologne. Il est actuellement localisé à Tenerife et il y performe : 20,6 points et 2,7 passes décisives en neuf apparitions en BCL, ainsi que 14,0 points et 2,2 passes décisives en 14 matchs de l'ACB.\n\nChema de Lucas et Eurohoops affirment qu'il devrait obtenir le précieux passeport pour le TQO qui va se tenir à Valence. La Pologne y affrontera la Finlande et les Bahamas en phase de groupes et, si elle se qualifie, le Liban, l'Angola et l'Espagne en demi-finale. Seul le vainqueur du tournoi obtiendra une place aux Jeux olympiques.
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Vincent Poirier: «Le Real Madrid c'est quelque chose de dingue»
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Champion d’Europe en titre, le Real Madrid a dominé la saison régulière d’Euroleague. Il est aussi en tête du championnat d’Espagne, à égalité avec Unicaja Malaga. Vincent Poirier s’est épanoui au sein du club de la capitale espagnole formant avec le Capverdien Walter Taveres une sacrée paire de big men. Tout baigne, mais... des changements en profondeur sont à prévoir dans l’effectif comme le souligne l’international dans une interview à la revue fédérale Basketball:\n\n«Rudy Fernandez devrait prendre sa retraite. Sergio Llull à 35 ans. Sergio Rodriguez parle aussi de retraite. Les cadres historiques vont sans doute partir et il faudra renouveler l'équipe. Je crois qu'on a 9 joueurs en fin de contrat ce qui va changer la dynamique parce que le club aime conserver les joueurs longtemps. Mais le GM est assez intelligent pour gérer ça et je suis sûr qu'ils ont déjà leur idée sur la question.»\n\nJouer pour le Real est forcément un privilège que ce soit en football et au basket. Et Vincent Poirier en a pleinement conscience.\n\n«On en parle beaucoup. C'est dur de partir. La ville est très agréable. Les installations sont top. Et il y a le mythe Real Madrid. J'ai été élevé dans le football donc le Real Madrid c'est quelque chose de dingue. Tu es avec de grands joueurs. Bien sûr quand tu perds 2-3 matches, on te regarde bizarre mais c'est pour ça qu'on joue au basket. Quand tu discutes avec d'autres gars dans les d'autres équipes, j'aurais du mal à revenir à certains détails d'organisation. Partir c'est compliqué. Et le Real le sait parfaitement. C'est ma dernière année de contrat. J'ai un enfant, je ne pourrais pas faire un an ici, un an là-bas. La stabilité c'est important dans une carrière. Et tu te rends compte que le temps passe vite. Le but c'est d'arriver à la fin et d'avoir laissé une marque. Donc tu comptes les trophées et les médailles. C'est cool. »
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Grèce : Trevor Thompson (Peristeri) recherché par la police
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La petite amie de Trevor Thompson, également Américaine, est allée au commissariat pour déposer plainte pour coups et blessures, et ce vendredi soir, la police s'est déplacée à l'OAKA, où Peristeri affrontait le Panathinaikos pour le conduire au poste. Mais L'Américain était donc absent et depuis la police est à sa recherche.\n\nSelon la disposition de la jeune femme, elle se serait disputée avec le joueur qui l'aurait attrapée par le cou, giflée au visage et aussi mordue dans le dos. Selon BasketNews, La police grecque a découvert que l'application Panic Button, nécessaire dans les cas de violence domestique, n'avait pas été installée sur son téléphone portable. La jeune femme a également refusé d’être transférée et hébergée temporairement dans un endroit sûr.\n\nTrevor Thompson est un joueur majeur de Peristeri avec en moyenne 11,4 points et 8,4 rebonds sur 17 matchs de Basketball Champions League. L'équipe grecque s'est qualifiée pour le Final Four de la compétition, qui se déroulera à Belgrade du 26 au 28 avril, où elle affrontera Lenovo Tenerife en demi-finale.
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Cholet s'effondre face à Blois
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Jusque là, sans être dominateur, Cholet Basket a mené le match au train. Il avait ainsi 9 points de marge (62-53) à la 30e minute. Et tout d'un coup, la nuit noire. 7'57 sans marquer le moindre point en raison d'une suite de cagades. Il a fallu attendre que Tidjane Salaün réussisse deux lancers-francs pour mettre fin à la pénitence. Mais pendant ce temps-là, Blois s'était envolé. 62-72.\n\nD'ailleurs, CB a encore patienté jusqu'à la dernière minutes pour ajouter 7 points supplémentaires. C'est ainsi que l'ADA a remporté le dernier quart-temps 9-27. Surréaliste. Les Blésois doivent beaucoup à Armel Traoré auteur d'un double double (10 points et 10 rebonds) plus 3 interceptions, et aux 14 points et 6 points de Rashard Kelly, et surtout à leur rage de... condamnés. Cette 9e victoire, qui met fin à une série de 8 défaites, leur offre une dernière chance de salut.\n\nAprès Gravelines et Roanne, il s'agit de la troisième défaite de suite de Cholet Basket contre des équipes de fond de classement. Quelque chose ne tourne plus rond dans les Mauges.\n\n«Je crois que ce qui nous arrive, à partir du moment où on perd deux trois ballons sur zone presse, on s’est mis à paniquer, a commenté le coach Laurent Vila rapporte Ouest France. Même un petit peu avant par rapport à notre agressivité, on a eu des décisions pas bonnes. On s’est mis à paniquer vraiment, il y a eu ce sentiment de panique générale. J’aurais pu peut-être sortir ces deux joueurs qui ont joué très peu finalement, mais je pense que le mal était fait. On n’a plus joué presque à ce moment-là. Ce n’est pas normal. Il faut se resolidariser, reprendre nos bases et jouer autrement. On les a laissés totalement dominer le match. On est inconstants, on a toujours des joueurs qui se cherchent. Peut-être qu’il ne faut pas les mettre sur le terrain. J’ai la confiance de tout le monde. Sauf que force est de constater que l’efficacité n’est pas là.On s’est laissé pousser, prendre le ballon dans les mains. Ce que je regrette, c’est ça, ce manque de combativité.Un nouveau pigiste ? On a acté un joueur qui arrivera probablement en début de semaine. »
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Après 7 mois d'arrêt, le Letton Arturs Zagars est revenu à la compétition
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Arturs Zagars a du patienter jusqu'à la fin de la saison régulière de la LKL lituanienne pour revenir à la compétition et participer à une victoire 111-79 contre Pineo Zvaigzdes. Il a joué un peu plus de 11 minutes pour 5 points avec un seul panier sur cinq shoots à plus de 6,75m.\n\nLe Letton avait été impressionnant à la Coupe du monde établissant notamment un nouveau record dans la compétition du plus grand nombre de passes décisives en un seul match avec 17 lors du match pour la cinquième place contre la Lituanie. Il avait été élu dans la deuxième équipe du tournoi avec des stats de 12,4 points (41,7 % à trois-points) et 7,4 passes. Il avait alors signé un contrat de trois ans avec Fenerbahçe qui l'avait immédiatement prêté aux Wolves pour un an.
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Roanne et Blois sont-ils déjà en Pro B ?
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Il existe des combinaisons possibles pour que Roanne et Blois échappent à la sentence mais dans les deux camps ont évoque un \miracle\.\n\nLa Chorale a perdu très gros en s'inclinant lourdement à Gravelines (82-67), le match, le point average particulier, et sans doute ses dernières illusions. DJ Cooper a été remarquable (19 points, 12 rebonds) mais le banc a été bien faiblard, notamment la paire d'Américains Cyril Langevine-Wayne Selden (16 minutes de jeu à deux pour un point minuscule).\n\n«Il ne faut pas être devin pour se dire que c’est compliqué pour le maintien avec deux victoires d’avance pour le BCM. Avec trois matchs à jouer, ce sera très compliqué. On ne s’est pas assez reposé sur le collectif à la fin. On a trop joué de “un contre un”. C’est la construction offensive qui nous a manqué les cinq dernières minutes. Maintenant, il faut faire le travail, on a une attitude à avoir et on verra bien ce que cela donne, » a lâché le coach de la Chorale Marc Berjoan au Progrès.\n\nEvidemment, après le succès à Cholet (71-80) au prix d'un superbe quatrième quart-temps, l'état d'esprit était différent à Blois. Rashard Kelly s'est exprimé sur le sujet pour La Nouvelle République:\n\n«Les mecs sont super heureux. On a eu une saison difficile mais on a continué à travailler dur. Cela prouve qu’on est un groupe qui ne lâche jamais rien, malgré le tableau d’affichage. On a continué à se battre et c’est une victoire méritée aujourd’hui. C’est notre identité, tout le monde nous dit de ne jamais abandonner,»\n\nSeulement à quatre journées de la fin l'ADA compte deux victoires de moins que Gravelines et un point-average défavorable... à un point de différentiel près. Le BCM qui en est à 11 succès sur ses 20 derniers matches et qui va notamment recevoir Boulogne-Levallois.\n\n«Mathématiquement, ce n’est pas fini mais on a fait un grand pas vers le maintien, a d'ailleurs savouré le coach Jean-Christophe Prat. Laisser Roanne à 67 points, bravo à mes joueurs. On voulait limiter l’influence de Cooper sur l’équipe, défense sur leur “pick” d’une façon et les faire jouer sur demi-terrain. J’avais demandé aussi de faire travailler sur jeu “posté”. Ils ont mis du temps à craquer malgré tout même si cette équipe n’aime pas défendre.»\n\nIl faudrait un miracle, on vous dit.
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Yuta Watanabe de retour au Japon après cinq ans de NBA
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L'ailier des Grizzlies a publié un message sur les réseaux sociaux pour annoncer qu’il jouera en B-League, le championnat japonais, la prochaine saison. Passé en février de Phoenix à Memphis, en proie à des problèmes de santé mentale, il ne s'est pas contenté visiblement des 16 minutes de moyenne sur cinq matchs qui lui ont été données aux Grizzlies.\n\n«Je veux tout simplement jouer au basket. Je veux entrer en jeu, et faire ce que je travaille à l’entraînement.Je me suis accroché pendant que j’avais la vingtaine mais désormais, j’espère jouer au basket comme je le souhaite. Le niveau du basket japonais augmente et je veux jouer des matches où il y a une grosse intensité».\n\nLe Japon comptera tout spécialement sur lui et Rui Hachimura pour jouer les trouble-fête à Villeneuve d'Ascq dans un groupe qui compte la France, l'Allemagne et le vainqueur du TQO en Lettonie.\n\n
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Julien Mahé (Saint-Quentin) : \David Holston, quel joueur, quelle carrière !\
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Avec ses neuf saisons à la JDA et ses états de service, David Holston (1,67 m) est un monument de la Ligue Nationale de Basket et alors qu'il est un quadragénaire en puissance (il a eu 38 ans en janvier), il est capable de sortir des matches de derrière les fagots, comme ce fut le cas ce samedi soir face à SQBB (19 points dont 5/10 à trois-points, 5 passes et 3 rebonds). D'où les commentaires louangeurs de Julien Mahé que rapporte Le Bien Public.\n\n«C’est vraiment une très belle victoire. J’ai beaucoup de respect pour Dijon, une équipe bien coachée et qui joue très bien au basket, avec un David Holston... quel joueur, quelle carrière! Chapeau à lui. C’est la première fois de la saison qu'on arrive à renverser un match aussi mal embarqué, surtout défensivement. D’abord dû à la qualité de jeu de Dijon, et on avait aussi trop peu d'intensité.On a été obligé de faire des changements à la mi-temps. Il fallait arrêter de donner des paniers faciles sans faire de fautes. On s’est adapté sur Holston et seulement sur Holston, car il nous a fait la leçon. Il a ensuite dû contourner davantage, il a mis des trois points, mais il s’est usé. Cette adaptation qui nous a fait du bien.Défensivement, on a été remarquable. Avec six points encaissés en 9 minutes dans le dernier quart, on ne donnait plus rien. Je suis très fier des garçons. On a joué pendant 30 minutes dans un rythme qui n’était pas le nôtre et on a su remporter le match.»
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Pro B : Orléans honore ses anciens joueurs et se qualifie pour les playoffs
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Arrivé dans le Loiret pour suppléer Ludovic Beyhurst, le meneur américain Terrell Gomez (1,73 m, 26 ans) a eu un impact immédiat avec 18 points à 5/7 à trois-points et 8 passes. Mais si le coach Germain Castano était un peu critique, c'est pour une autre raison.\n\n\87 points concédés, c’est trop. Il n’y a d’ailleurs qu’un quart-temps, le premier, où l’on encaisse moins de 20 points... Si on veut être ambitieux, il faut faire mieux défensivement, » peut-on lire dans La République du Centre. Et dans la perspective de jouer Rouen mercredi avec comme enjeu la quatrième place, il a ajouté : « Rouen va nous rentrer dedans ! À nous de bien réagir. »\n\nAvant le coup d'envoi, l'OLB en a profité pour mettre à l'honneur plusieurs anciens joueurs champions de N3 avec Fleury en 1993, ou de N2 avec l’Entente orléanaise. Soit Marco Pellin, Laurent Bernard, Johan Blot, Nicolas Bayle, Sébastien Houdas, Aurélien Brisson, Stan Rollin. La Rep précise que la femme de Ludovic Vaty, décédé début septembre, était également présente avec leurs deux enfants.\n\n\Malela Mutuale, qui détient le record de matches disputés sous le maillot orléanais (213), a, lui, été mis en avant à la mi-temps.\
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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Pro B : Orléans honore ses anciens joueurs et se qualifie pour les playoffs\n\nDevant 6 125 spectateurs, l'OLB a célébré plusieurs anciens joueurs et grâce à sa victoire sur Lille (96-87), validé sa participations aux playoffs.\n\nArrivé dans le Loiret pour suppléer Ludovic Beyhurst, le meneur américain Terrell Gomez (1,73 m, 26 ans) a eu un impact immédiat avec 18 points à 5/7 à trois-points et 8 passes. Mais si le coach Germain Castano était un peu critique, c'est pour une autre raison.\n\n\87 points concédés, c’est trop. Il n’y a d’ailleurs qu’un quart-temps, le premier, où l’on encaisse moins de 20 points... Si on veut être ambitieux, il faut faire mieux défensivement, » peut-on lire dans La République du Centre. Et dans la perspective de jouer Rouen mercredi avec comme enjeu la quatrième place, il a ajouté : « Rouen va nous rentrer dedans ! À nous de bien réagir. »\n\nPro B : Orléans honore ses anciens joueurs et se qualifie pour les playoffsDevant 6 125 spectateurs, l’OLB a célébré plusieurs anciens joueurs et grâce à sa victoire sur Lille (96-87), validé sa participations aux playoffs.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nUn contrat à 28 millions de dollars avec Nike pour Caitlin Clark\n\nLe Wall Street Journal révèle que c'est un contrat à 28 millions de dollars (26,2M€) sur huit ans que la superstar Caitlin Clark vient de signer avec la firme Nike, soit 3,5M$ par an.\n\nOn vous avez dit qu'il ne fallait pas s'inquiéter pour l'ancien prodige d'Iowa et que si elle allait devoir se satisfaire d'un salaire annuel de 76 535 $ pour sa saison de rookieau Indiana Fever, l'apport du sponsoring allait lui permettre de gagner beaucoup d'argent.\n\nUn contrat à 28 millions de dollars avec Nike pour Caitlin ClarkLe Wall Street Journal révèle que c’est un contrat à 28 millions de dollars (26,2M€) sur huit ans que la superstar Caitlin Clark vient de signer avec la firme Nike, soit 3,5M$ par an.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nYuta Watanabe de retour au Japon après cinq ans de NBA\n\nL'un des moteurs de l'équipe du Japon, adversaire de la France aux Jeux Olympiques, Yuta Watanabe (2,06 m, 29 ans) a choisi de rentrer dans son pays après 213 matches en NBA.\n\nL'ailier des Grizzlies a publié un message sur les réseaux sociaux pour annoncer qu’il jouera en B-League, le championnat japonais, la prochaine saison. Passé en février de Phoenix à Memphis, en proie à des problèmes de santé mentale, il ne s'est pas contenté visiblement des 16 minutes de moyenne sur cinq matchs qui lui ont été données aux Grizzlies.\n\nYuta Watanabe de retour au Japon après cinq ans de NBAL’un des moteurs de l’équipe du Japon, adversaire de la France aux Jeux Olympiques, Yuta Watanabe (2,06 m, 29 ans) a choisi de rentrer dans son pays après 213 matches en NBA.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJulien Mahé (Saint-Quentin) : \David Holston, quel joueur, quelle carrière !\\n\nSaint-Quentin est venu à bout de Dijon (77-73) et son entraîneur, Julien Mahé, a rendu un hommage appuyé au meneur américain de la JDA, David Hoslton.\n\nAvec ses neuf saisons à la JDA et ses états de service, David Holston (1,67 m) est un monument de la Ligue Nationale de Basket et alors qu'il est un quadragénaire en puissance (il a eu 38 ans en janvier), il est capable de sortir des matches de derrière les fagots, comme ce fut le cas ce samedi soir face à SQBB (19 points dont 5/10 à trois-points, 5 passes et 3 rebonds). D'où les commentaires louangeurs de Julien Mahé que rapporteLe Bien Public.\n\n«C’est vraiment une très belle victoire. J’ai beaucoup de respect pour Dijon, une équipe bien coachée et qui joue très bien au basket, avec un David Holston... quel joueur, quelle carrière! Chapeau à lui. C’est la première fois de la saison qu'on arrive à renverser un match aussi mal embarqué, surtout défensivement.\n\nJulien Mahé (Saint-Quentin) : “David Holston, quel joueur, quelle carrière !”Saint-Quentin est venu à bout de Dijon (77-73) et son entraîneur, Julien Mahé, a rendu un hommage appuyé au meneur américain de la JDA, David Hoslton.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nRoanne et Blois sont-ils déjà en Pro B ?\n\nLa soirée de samedi pourrait avoir définitivement relégué Roanne et Blois en Pro B en compagnie de Boulogne-Levallois.\n\nIl existe des combinaisons possibles pour que Roanne et Blois échappent à la sentence mais dans les deux camps ont évoque un \miracle\.\n\nLa Chorale a perdu très gros en s'inclinant lourdement à Gravelines (82-67), le match, le point average particulier, et sans doute ses dernières illusions. DJ Cooper a été remarquable (19 points, 12 rebonds) mais le banc a été bien faiblard, notamment la paire d'Américains Cyril Langevine-Wayne Selden (16 minutes de jeu à deux pour un point minuscule).\n\nRoanne et Blois sont-ils déjà en Pro B ?La soirée de samedi pourrait avoir définitivement relégué Roanne et Blois en Pro B en compagnie de Boulogne-Levallois.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nVincent Poirier: «Le Real Madrid c'est quelque chose de dingue»\n\nVincent Poirier (2,13 m, 30 ans) arrive en fin de contrat au Real Madrid et visiblement il est prêt à rempiler.\n\nChampion d’Europe en titre, le Real Madrid a dominé la saison régulière d’Euroleague. Il est aussi en tête du championnat d’Espagne, à égalité avec Unicaja Malaga. Vincent Poirier s’est épanoui au sein du club de la capitale espagnole formant avec le Capverdien Walter Taveres une sacrée paire de big men. Tout baigne, mais... des changements en profondeur sont à prévoir dans l’effectif comme le souligne l’international dans une interview à la revue fédéraleBasketball:\n\nVincent Poirier: «Le Real Madrid c’est quelque chose de dingue»Vincent Poirier (2,13 m, 30 ans) arrive en fin de contrat au Real Madrid et visiblement il est prêt à rempiler.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nAprès 7 mois d'arrêt, le Letton Arturs Zagars est revenu à la compétition\n\nRévélation de la Coupe du Monde 2023, le combo guard letton Arturs Zagars (1,90 m, 24 ans le 21 avril) se remet d'une grave blessure au genou.\n\nArturs Zagars a du patienter jusqu'à la fin de la saison régulière de la LKL lituanienne pour revenir à la compétition et participer à une victoire 111-79 contre Pineo Zvaigzdes. Il a joué un peu plus de 11 minutes pour 5 points avec un seul panier sur cinq shoots à plus de 6,75m.\n\nAprès 7 mois d’arrêt, le Letton Arturs Zagars est revenu à la compétitionRévélation de la Coupe du Monde 2023, le combo guard letton Arturs Zagars (1,90 m, 24 ans le 21 avril) se remet d’une grave blessure au genou.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nKyle Guy, un Américain naturalisé de plus avec la Pologne\n\nLe combo guard américain Kyle Guy (1,85 m, 26 ans) serait en passe d'obtenir le passeport polonais et de jouer ainsi le TQO de Valence.\n\nLa Pologne fait partie des pays européens qui n'hésitent pas à naturaliser des joueurs pour améliorer le rendement de leur équipe nationale. AJ Slaughter a rendu ainsi de bons et loyaux services à son pays d'adoption, mais l'ancien joueur de Pro A file sur ses 37 ans.\n\nKyle Guy, un Américain naturalisé de plus avec la PologneLe combo guard américain Kyle Guy (1,85 m, 26 ans) serait en passe d’obtenir le passeport polonais et de jouer ainsi le TQO de Valence.BasketEurope.comLa rédaction
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La fille de Danny Strong et Allison Feaster est la numéro 1 des lycées aux Etats-Unis
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L'Equipe Magazine a enquêté sur le cas de Sarah Strong, fille de Danny, ancien joueur du Havre, de Gravelines et de GET Vosges, et de Allison, ancienne joueuse de WNBA, d'Aix-en-Provence, championne d'Europe avec Valenciennes en 2004, trois fois MVP étrangère du championnat de France, et actuellement vice-présidente des Boston Celtics.\n\nSarah est née en Espagne en 2006 et elle a débuté le basket à Madrid, et elle vient de réaliser une saison phénoménale au lycée : 30 succès en 30 matches, 21 points, 16,8 rebonds et 4,8 passes de moyenne. Plutôt que Duke et North Carolina, elle a choisi d'entrée à l'université à U-Conn du coach Geno Auriemma et par où sont passées notamment Bria Harley, Gabby Williams et Lou-Lopez Sénéchal. Trois Françaises tout comme Sarah qui possède aussi cette nationalité étant donné que ses parents ont été naturalisés en 2004. Mais...\n\n..Sarah Strong a déjà obtenu deux titres mondiaux de 3x3 en U18 avec les Etats-Unis, et elle appartient à l'équipe junior américaine de 5x5 ; elle a disputé ainsi le Nike Hoop Summit Team.\n\n« Je ne vous cache pas que son rêve c’est de jouer pour l’équipe nationale américaine. Mais elle a très envie de découvrir un jour le Championnat de France, comme sa mère, » averti Allison Feaster.
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Un contrat à 28 millions de dollars avec Nike pour Caitlin Clark
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On vous avez dit qu'il ne fallait pas s'inquiéter pour l'ancien prodige d'Iowa et que si elle allait devoir se satisfaire d'un salaire annuel de 76 535 $ pour sa saison de rookie au Indiana Fever, l'apport du sponsoring allait lui permettre de gagner beaucoup d'argent.\n\nCaitlin Clark (1,83 m, 22 ans) a donc obtenu le jackpot de la part de Nike, qui était en concurrence avec Puma, Adidas et Under Armour, qui lui offrait 16 millions de dollars sur quatre ans. La firme de l'Oregon s'inscrit donc dans la durée et va lui créer une chaussure signature. D'autres sponsors sont ou vont tomber dans son escarcelle.
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Turquie : Nemanja Bjelica se reconvertit en directeur sportif à Bahçeşehir
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Nemanja Bjelica a connu une riche carrière de joueur, qui l'a mené notamment à l'Etoile Rouge de Belgrade, Vitoria et Fenerbahçe puis en NBA, où il a joué pour les Minnesota Timberwolves, les Sacramento Kings et les Golden State Warriors pendant 7 saisons. Le Serbe est revenu ensuite au Fener mais en raison de blessures, il avait perdu une bonne partie de ses moyens et c'est encore pour des raisons médicales qu'il n'a pas pu honorer son contrat cette saison avec l'Etoile Rouge.\n\nNemanja Bjelica a décidé d'arrêter le basket en mars dernier, et c'est une nouvelle aventure qui s'offre à lui au sein d'un club actuellement 11e (12-16) du championnat national.
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Massimo Cancellieri (Strasbourg) : \Je ne suis pas content, mais j’ai de l’espoir pour la suite!\
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«On a fait des matches sans être à la hauteur de l’adversaire, mais pas ce soir où nous avons joué. Nous avons perdu, mais en face c’est Bourg et on a été devant jusqu’à la 35èmeminute. Être à 64-64 à 5’ de la fin ici, face à cette équipe, il faut le dire. On n’avait jamais réussi ça avant. On ne parle pas de constance ce soir. On laisse ça derrière nous, c’est juste un match perdu à cause de mauvais épisodes.\n\nOn a joué un gros match durant lequel tout le monde s’est montré concerné et pour lequel tout le monde a répondu présent. A la fin on a essayé de faire le job... Mais quand ils prennent 7 rebonds offensifs en première mi-temps et 7 en deuxième, ce sont les 7 de la deuxième qui nous ont coûté cher. J’essayais de changer en jouant grand, petit, etc... Mais rien n’a changé. La bataille des rebonds c’est à la vie à la mort et nous n’avons pas été là. Ça me dérange. »\n\nSuite à cette défaite, et au match (re)perdu face à Monaco, la SIG est de nouveau hors la zone de playoffs (9e, 14-16). Prochain adversaire, Le Mans, au Rhénus.\n\n« On joue mercredi et on doit gagner en jouant 35’ comme face à Bourg ce soir puis 5’ comme la SIG Strasbourg à la maison. Après on va à Paris... il reste très peu de matchs. Il faut dès maintenant être concentré sur le futur. Le match d’aujourd’hui on l’a joué? Oui! On était mieux que toutes les autres sorties à l’extérieur? Bien sûr! Est-ce qu’on a été très excité à l’idée de jouer ce match? Oui! Est-ce qu’on a fait des bêtises? Oui!... Mais on a fait moins de bêtises que d’habitude, vraiment moins! Je ne suis pas content, mais j’ai de l’espoir pour la suite!»
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Paris : L'année de tous les records
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Le Paris Basketball a aligné 10 victoires de suite en Betclic Elite. Son dernier faux-pas remonte au 27 janvier face à Monaco. Il occupe la 2e place avec 22 victoires et 7 défaites.\n\nLe Paris Basketball a enchaîné 15 victoires de suite en Eurocup après son échec à Carpentier contre Besiktas le 21 novembre. Il a survolé la compétition.\n\nLe Paris Basketball a gagné ses trois matches à la Leaders Cup et il est reparti avec le trophée.\n\nSon seul raté, c'est en Coupe de France puisque le Paris Basketball fut éliminé par Lille, une équipe de Pro B, le 16 octobre. L'explication : il avait délégué dans le Nord essentiellement des espoirs. Ne pas courir quatre lièvres à la fois lui a été profitable.\n\nHier, le Paris Basketball a fait une démonstration de sa force à l'Astroballe face à l'ASVEL, une équipe d'Euroleague titulaire d'une Licence A, et qui luttait comme lui pour la 2e place. 66-86 !\n\n«Nous avons manqué notre rendez-vous et sommes sonnés» a avoué le coach de Villeurbanne Pierric Poupet en conférence de presse rapporte Le Progrès. «Leur intensité leur a fait faire beaucoup de fautes (18-8 à la pause, Hifi, Ward et Kratzer lestés de quatre fautes après trente minutes de jeu) et nous, nous n’en avons pas fait suffisamment. C’est révélateur d’une équipe qui en veut beaucoup. Nous nous sommes essoufflés parce qu’ils nous ont imposé leur intensité tout au long du match. Nous ne sommes pas habitués à ça. Personne ne joue comme Paris, qui est toujours à la limite, en Europe. Avec autant d’activité. C’est un challenge. Quand une équipe impose ce niveau-là d’intensité et d’agressivité, il faut être encore plus dur. Jouer peut-être de la même manière. Et ça, on n’a pas réussi à le faire.»\n\nTrois chiffres à retenir plus particulièrement :\n\n1) Le 9-25 dans le dernier quart-temps.\n\n2) Le 3/23 de l'ASVEL à trois-points... L'équipe la plus adroite du championnat dans ce domaine.\n\n3) 24 points à 11/17 aux tirs, 6 rebonds, 4 passes, 2 interceptions et même 1 contre pour 2 balles perdues pour TJ Shorts. 28 d'évaluation. Seul Mike James peut l'empêcher d'être le MVP de la saison de Betclic Elite après avoir été l'an dernier celui de la BCL et du championnat allemand et de l'Eurocup il y a quelques jours.
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NBA : Victor Wembanyama en lice pour les trophées de Rookie et de Défenseur l'Année
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Signe des temps, les trois finalistes pour le trophée de MVP ne sont pas Américains. Il y a un Slovène, un Canadien et un Serbe. Voir deux Français dans le trio des meilleurs défenseurs est également un fait remarquable. Victor Wembanyama est donc en course pour un doublé.\n\n\nMost Valuable Player\n\n\n\n\n * Luka Doncic,Dallas Mavericks\n * Shai Gilgeous-Alexander, Oklahoma City Thunder\n * Nikola Jokic,Denver Nuggets\n\n\nRookie of the Year\n\n * Chet Holmgren,Oklahoma City Thunder\n * Brandon Miller,Charlotte Hornets\n * Victor Wembanyama,San Antonio Spurs\n\n\nDefensive Player of the Year\n\n * Bam Adebayo,Miami Heat\n * Rudy Gobert,Minnesota Timberwolves\n * Victor Wembanyama,San Antonio Spurs\n\n\nSixth Man of the Year\n\n * Malik Monk, Sacramento Kings\n * Bobby Portis,Milwaukee Bucks\n * Naz Reid, Minnesota Timberwolves\n\n\nMost Improved Player\n\n * Tyrese Maxey, Philadelphia Sixers\n * Alperen Sengun, Houston Rockets\n * Coby White,Chicago Bulls\n\n\nClutch Player of the Year\n\n * StephenCurry,Golden State Warriors\n * DeMar DeRozen,Chicago Bulls\n * Shai Gilgeous-Alexander, Oklahoma State Thunder\n\n\nCoach of the Year\n\n * Mark Daigneault, Oklahoma City Thunder\n * Chris Finch, Minnesota Timberwolves\n * Jamahl Mosley,Orlando Magic
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LFB : Bourges doit renverser Tarbes d'au moins 19 points
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Les Tarbaises doivent s'attendre à ce que le Prado soit plein et gronde car le public berruyer n'imagine pas que ses joueuses puissent être éliminées dès les quarts-de-finale, et à l'issue d'une formule à l'ancienne puisque par simple match aller-retour.\n\nLes équipières de Kayla Alexander sont remontées comme des pendules comme l'affirme la Canadienne dans les colonnes du Berry.\n\n« On a clairement élevé notre niveau d’intensité dans les derniers entraînements qu’on a pu faire. Au match aller, l’équipe de Tarbes a montré qu’elle était prête. Elle a frappé en premier. Il faut qu’on réponde, ça passe par un niveau d’intensité très élevé dès le premier ballon. Cela passera aussi par la défense, de façon individuelle et collective. »\n\nTrois joueuses tarbaises vont être particulièrement ciblées : Carla Leite, Dominique Malonga et Marie-Paule Foppossi, qui ont apporté 61 des 87 points de leur équipe à l'aller. Bourges attend aussi une plus forte contribution de ses étrangères qui ont failli dans l'antre du TGB. Forfait ce soir-là, la Lituanienne Kamile Nacickaite sera ce soir dans ses rangs.\n\n« Même si on est passés à côté sur le premier match, on est capables de faire un bon match ce lundi, assure l’entraîneur Olivier Lafargue. On s’est préparés. On a analysé pourquoi on a été mis autant en difficultés, préparé la façon dont on pourra contrer ça, et on va repartir au combat. Beaucoup de gens peuvent ne pas croire en nous. Les toujours défaitistes pourront me dire ce qu’ils veulent ; moi, je pense qu’on peut le faire. Il reste quarante minutes, je crois en nous. »\n\nLes jeunes Tarbaises sont prévenues : ça ne va pas rigoler sur le coup de 20h50 au Prado.
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Marine Fauthoux (ASVEL) : \Les Jeux ne sont pas dans un coin de ma tête\
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C'est une équipe de l'ASVEL décimée qui va se présenter ce soir à Basket Landes et qui a 99% de chances de passer à la trappe ayant perdu le match aller dans le Rhône 67-89. La meneuse lyonnaise Marine Fauthoux fait partie des éclopées et elle est actuellement en rééducation à Capbreton. Quand Sud-Ouest lui demande si elle a une date de programmée pour son retour dans la perspective des Jeux Olympiques, elle répond :\n\n\Rien, je n’en ai aucune idée pour l’instant. Les Jeux ne sont pas dans un coin de ma tête, pour l’instant, je me concentre vraiment sur ma rééducation et on verra comment ça avance.\\n\nMarine Fauthoux a passé deux saisons à Basket Landes et elle conserve un oeil attentif sur son ancien club.\n\n\Franchement, j’ai suivi. Je ne vais pas mentir: j’ai regardé pratiquement tous les matchs. Après niveau résultats, j’étais plutôt concentrée sur ceux de l’ASVEL! Je n’étais pas à me demander «qu’est-ce que va faire Basket Landes». Non, je me demandais ce que nous, on allait faire, accomplir cette saison. On a eu beaucoup de catastrophes donc ça a été compliqué. Mais je pense qu’elles méritent là où elles sont. Encore une fois à Bercy... (sourire) c’est quand même énorme. Pareil avec ce quart de play-offs. Je pense qu’elles sont à leur place vu la saison qu’elles ont fait.\\n\nBercy... C'est la finale de la Coupe de France qui opposera samedi les Landaises à Bourges.\n\n\Un pronostic... Je ne sais pas, en tout cas je suis du côté Basket Landes! J’espère vraiment qu’elles vont gagner. Et pour Marie (Pardon, NDLR), ce serait son premier titre en pro, ce serait vraiment cool.\
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Le programme TV : Objectif Final Four de l'Euroleague pour Monaco contre le Fenerbahçe
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Lundi 22 avril :\n19h00 - Basket Landes / ASVEL F - LFB - Sport en France / Skweek\n20h00 - Bourges / Tarbes - LFB - Sport en France / Skweek\n\nMardi 23 avril :\n20h00 - Lattes-Montpellier / Charnay - LFB - Sport en France / Skweek\n20h00 - Villeneuve d'Ascq / Angers - LFB - Sport en France / Skweek\n20h00 - Blois / Chalon - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n20h00 - Limoges / Gravelines-Dunkerque - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n20h00 - Saint-Quentin / Nanterre - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n\nMercredi 24 avril :\n19h00 - Monaco / Fenerbahçe (Turquie) - Euroleague - Skweek\n20h00 - Boulogne-Levallois / Bourg - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n20h00 - Dijon / Le Portel - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n20h00 - Nancy / ASVEL - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n20h00 - Paris / Cholet - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n20h00 - Strasbourg / Le Mans - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n\nVendredi 26 avril :\n19h00 - Monaco / Fenerbahçe (Turquie) - Euroleague - Skweek / La Chaine L'Equipe (en différé à 21h)\n\nSamedi 27 avril :\n14h00 - Basket Landes / Bourges - Finale Coupe de France féminine - Skweek (sous réserve de diffusion) / La Chaine L'Equipe (en différé à 21h10)\n16h30 - Dijon / Strasbourg - Finale Coupe de France masculine - Skweek (sous réserve de diffusion) / La Chaine L'Equipe\n\nDimanche 28 avril :\n14h30 - Le Portel / Le Mans - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n16h30 - ASVEL / Saint-Quentin - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)\n19h00 - Paris / Bourg - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion) /La Chaîne L'Equipe\n\n\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAÎNE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible gratuitement sur le canal 21 de la TNT.\nFRANCE TÉLÉVISIONS\nFrance Télévisions est le diffuseur gratuit des Jeux Olympiques de Paris 2024 (Eurosport est le diffuseur payant). Le groupe retransmet également, sur les antennes régionales de France 3, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite Sport en France diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse la NBA. Ses chaînes sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nDAZN\nLa plateforme diffuse les matches de qualification des équipes de France masculine et féminine ainsi que ceux des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.
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ITW Kristen Mann (Bourges) : \J'aimerais m'installer définitivement en France\
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Après avoir gagné la Coupe de France avec Basket Landes en 2023, vous êtes de retour en finale contre votre ancienne équipe sous le maillot de Bourges. Qu'est-ce que cette rencontre représente pour vous ?\n\nEvidemment, je suis excitée à l'idée d'être de retour (en finale) ! La Coupe de France est l'un des titres qui me manquent avec Bourges. J'espère que tout va bien se passer et que nous allons gagner. Basket Landes est mon ancien club, mais en même temps, c'est une équipe complètement renouvelée, à l'exception de deux joueuses. Je ne suis pas vraiment \attachée\ à elle, dans un certain sens. Mais l'assistante-coach (Shona Thornburn) est ma meilleure amie, je connais très bien Julie (Barennes, la coach), Marie-Laure (Lafargue, la présidente)... De ce point de vue, et aussi par rapport au public, c'est un peu différent. Mais j'espère tout de même qu'on va prendre notre revanche d'il y a deux ans (défaite de Bourges 91-88 contre Basket Landes après deux prolongations).\n\nPour vous, que représenterait ce troisième titre dans la compétition ?\n\nÇa serait tout pour moi ! Honnêtement, je suis en fin de carrière et je veux juste gagner le plus possible ici. Remporter trois, peut-être quatre trophées avec Bourges. Ce serait une incroyable façon de finir, particulièrement avec l'équipe que nous avons là. Ces filles sont géniales, on s'entend très bien. Et c'est toujours mieux de jouer avec des amies.\n\nJusqu'ici, comment se passe votre saison ?\n\nAssez bien, je n'ai pas à me plaindre. Evidemment, on était très déçues d'avoir été éliminées de l'Eurocup (en 8e de finale contre Besiktas), mais ce sont des choses qui arrivent. Janvier a été un mois horrible pour nous, pour de nombreuses raisons. On a perdu beaucoup de matches, Tima (Pouye) s'est blessée... Depuis la trève de février, on a retrouvé notre rythme et l'arrivée de Shay (Colley) nous à aussi rendues meilleures.\n\n\J'ai toujours pensé que la France possédait l'un des championnats les plus compétitifs en Europe\\n\nVous avez joué de nombreuses saisons et êtes passée par beaucoup de club en France. Quel est votre rapport avec le pays ?\n\nC'est ma seconde maison, et j'aimerais d'ailleurs m'y installer définitivement. Je suis en train de faire les démarches pour obtenir le passeport français, j'attends d'ailleurs toujours des nouvelles de mon dossier. J'ai passé la moitié de ma vie en Europe et j'adore la façon de vivre ici par rapport à ce que je connais aux Etats-Unis. J'ai toujours aimé être ici, je m'y sens plus en sécurité. C'est l'une des raisons pour lesquels je suis en France depuis si longtemps. C'est vrai que j'ai pratiquement joué partout en LFB (NDLR : 9 clubs depuis 2007). Ici, je suis comme à la maison.\n\nQuel regard portez-vous sur le niveau de la Ligue Féminine ?\n\nJ'ai toujours pensé que la France possédait l'un des championnats les plus compétitifs en Europe, de la première équipe à la douzième. Dans beaucoup de pays en Europe, il y a trois équipe de très haut niveau. Ici, ce n'est pas le cas, c'est très concurrentiel, nous en sommes un très bon exemple cette année. On a terminé deuxièmes de la saison régulière et pourtant, on a perdu à domicile contre l'une des équipes de bas de tableau (Landerneau) en janvier. Tout peut arriver dans cette ligue, c'est sa force.\n\nVous avez évoqué votre fort lien avec la France. Parlez-vous un petit peu le français ?\n\nUn petit peu, oui. J'essaye de le parler avec des personnes que je ne connais pas, ou avec qui je n'ai pas établi un lien en anglais. Parce que quand je sais qu'on peut me répondre en anglais, je triche ! (rire)\n\nUn mot que vous appréciez particulièrement en français ?\n\nLaissez-moi réfléchir... Il n'y a que des gros mots qui viennent à mon esprit... Je sais que quand on apprend une langue, dans un nouveau pays, ce sont souvent les premier mots que l'on retient (rire). Mais je dis souvent \punaise\. Sinon, il y a aussi les mots du quotidien comme \s'il vous plait\, \merci\, bonjour\...\n\n\Moi tu m'parles pas d'âge\ 😝\n\nKristen Mann (@dreamingtree44) a toujours la flamme et la grinta sur le terrain 🤩\n\n12 PTS / 5 RBDS / 3 PDS / 2 INT / 20 EVAL contre @ASVEL_Feminin en demi-finale de la #CDFBasket\n\n🎥 @skweektv | @ffbasketball | @BourgesBasket pic.twitter.com/gU0eIgtchi\n\n— LFB (@basketlfb) March 13, 2024\n\n\nEn parallèle du basket, vous avez également une passion pour la musique. Quels sont vos projets et vos ambitions dans ce domaine ?\n\nDans un monde parfait, j'adorerais pouvoir vivre de la musique, que cela soit mon travail à temps plein. Mais je ne sais pas si ça sera possible. Sortir des chansons, c'est devenu accessible avec les différents réseaux sociaux et les choses comme ça. Je pourrais faire des choses, sortir de la musique, mais le plus difficile est d'amener les gens à écouter. J'aimerais en sortir plus et cet été, j'espère pouvoir le faire. Et je n’ai aucune idée de ce que je ferai la saison prochaine, si je continuerai à jouer ou si je prendrai ma retraite. Si j’ai plus de temps. J’aimerais m’y consacrer davantage pour être en mesure de sortir plus de musique, peut-être aller en tournée, des choses comme ça. Je viens de jouer dans un café local à Bourges, samedi (13 avril). Ensuite, je vais passer à l'impression (d'affiches) à Bourges. C'est un projet au long cours.\n\nSelon vous, existe-t-il des similarités entre le basket et la musique ?\n\nEn termes de pratique et de répétition, je pense que oui, c'est évident. Faire les mêmes exercices sur le terrain, encore et encore, ça ressemble au fait de chanter les mêmes chansons, de répéter en musique. Il y a effectivement des aspects similaires. Mais quand je suis sur scène, les gens essayent toujours de comparer avec le terrain. Je joue devant des milliers de personnes, mais je suis avec coéquipières et d’autres personnes. Ce n’est pas la même chose. Jouer en concert, c'est certainement plus stressant, mais j’ai toujours la même montée d’adrénaline que lorsque je joue. Par exemple, après les matchs, je dors très mal, que je gagne ou que je perde. Généralement, je reste debout pendant des heures. Samedi soir aussi, je n'ai pas pu m’endormir avant trois heures du matin, simplement à cause de l’adrénaline de mon concert. Ce n'est bon ni pour ma peau, ni pour mon processus de vieillissement (rire).\n\nAvez vous d'autres passions \secrètes\ ?\n\nPas vraiment. Je dirais que le basket, la musique et mon chien sont les trois choses qui m'occupent. Chez moi, j'ai deux chiens et ils me manquent beaucoup. Si je ne les vois pas rapidement, je vais peut être en prendre un troisième. Il me faut vraiment un chien dans ma vie.\n\n\J'aimerais jouer une année de plus, ce qui me permettrait d'atteindre les 20 ans de carrière professionnelle\\n\nVous êtes aussi réputée pour votre goût des tatouages... combien en avez-vous ?\n\nJe crois que j'en ai neuf. Ils ont tous une signification particulière, avec une petite histoire derrière. Ils sont le moyen de créer quelque chose. Le dernier que j'ai fait représente le symbole du chanteur Prince. Je me le suis fait tatouer avec ma mère et ma soeur parce qu'on adore toutes les trois cet artiste.\n\nPour en revenir au terrain, vous continuez de jouer au plus haut niveau à plus de 40 ans. Quel est votre ressenti par rapport à cela ?\n\nJe ne vais pas vous mentir, c'est quelque chose dont je suis très fière. Ce n’est pas tous les jours que l'on voit quelqu'un jouer jusqu'à 40 ans, surtout pour les femmes. Je sais que quelques-unes d’entre nous l’ont fait en LFB. Personnellement, je me sens bien. J’aimerais jouer une année de plus si je le peux, ce qui me permettrait d'atteindre les 20 ans de carrière professionnelle. C’est un petit objectif dans ma tête. Mais en même temps, je ne veux pas forcer. Je ne veux pas le faire simplement pour le faire. Je veux toujours être passionnée par le jeu, sans \tuer mon corps\ non plus. Pour l'instant, je me sens bien, je touche du bois. Mais on verra bien comment cela se passera cet été.\n\nÀ quel stade de votre réflexion vous trouvez-vous au sujet d'une éventuelle retraite ?\n\nJ’y ai plus pensé cette année que par le passé. Je sais que l’année dernière, par exemple, à Basket Landes, c’était une saison horrible pour moi parce que je ne me sentais pas bien physiquement. J’avais des problèmes avec mon tendon d'Achille, mon dos. Je me demandais ce qu'il se passait parce que l'année précédente, tout allait très bien. Et puis on n’a pas connu une belle saison, en dehors de la victoire en finale de la Coupe de France. Cette année, j'ai pensé beaucoup plus à la retraite en essayant de me préparer mentalement. Mais je sais qu’au bout du compte, rien ne me préparera vraiment à cela, ce n'est pas facile du tout mentalement et sur le plan émotionnel. Mais c'est quelque chose d'inévitable. Si cela arrive à la fin de la saison, il faudra s'y faire. Si c’est l’année prochaine, ça sera très bien.\n\nAvez-vous déjà des projets pour l'après-basket ?\n\nPas vraiment. Bien sûr que j'y ai déjà pensé, je pense que c'est la question qui m'a le plus été posée depuis que j'ai 20 ans. À 25 ans, je me disais que j'avais encore du temps, et puis boom ! J'en suis là aujourd'hui. Le temps est passé si vite... Honnêtement, je ne sais pas si je voudrais entrainer, les coaches ont un rythme de vie très difficile. Je sais que le développement des compétences n'a pas encore une place importante ici, surtout chez les féminines. Ça ne me dérangerait pas de faire quelque chose là-dedans. Je m'imagine quand même faire quelque chose dans le basket, mais je ne sais pas vraiment quoi. Peut-être agent. J'espère qu'une opportunité se présentera à moi. Et si ce n'est pas le cas, je devrai me bouger pour trouver quelque chose. Dans le pire des cas, je sais qu'il sera facile pour moi de trouver un poste dans le coaching aux Etats-Unis parce que nous avons la NCAA, la WNBA, où il y a des milliers de possibilités. Mais je ne veux pas vraiment retourner vivre là-bas pour le moment. C'est là que les choses se compliquent.\n\nQuels sont vos prochains objectifs sur les parquets ?\n\nPour le moment, je sais qu'il ne reste que quelques matches à jouer. Je veux tous les gagner. Pour l'instant, le but est de battre Tarbes. Ensuite, il y aura la finale de la Coupe de France. Le principal est de prendre les matches les uns après les autres. Mais évidemment, dans un monde parfait, ma volonté est de tous les remporter.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n
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All Euroleague Team : Le vote des fans est ouvert
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Le vote des fans pour les première et deuxième équipes de l'Euroleague 2023-24 est désormais ouvert et se déroulera en continu jusqu'au jeudi 9 mai à midi, le lendemain de la fin des playoffs.\n\nLes bulletins de vote des supporters compteront pour 25 % du total utilisé pour déterminer les sélections All-Euroleague. Les 75 % restants proviendront du vote des entraîneurs, des capitaines d'équipe et des membres des médias.\n\nLorsque les chiffres finaux seront comptés, celui qui aura obtenu le plus de votes deviendra le MVP de l'Euroleague 2023-24, les cinq premiers seront nommés dans la première équipe de la All-Euroleague et les cinq suivants constitueront la deuxième équipe de la All-Euroleague.\n\nPour voter c'est ICI.
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Erik Stevenson débarque à Cholet pour le sprint final
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Après trois défaites d’affilée en Betclic Elite, Cholet Basket tente de réagir pour atteindre les playoffs. Le club des Mauges, toujours dans le top 8 après 30 journées, vient d’enregistrer l’arrivée d’Erik Stevenson en tant que pigiste médical de Nick Johnson, forfait pour le restant de la saison.\n\nLe meneur-arrière américain (1,93 m, 24 ans) va connaître sa première expérience en Europe. Après un long cursus universitaire entre Wichita State, Washington, South Carolina et West Virginia (15,4 points à 37,1 % à 3-points) entre 2018 et 2023, il n’a pas été drafté et vient de disputer sa première saison professionnelle en G-League avec les Austin Spurs puis les Texas Legends. Il tournait à 10,4 points, 3,3 rebonds et 2,9 passes pour 10 d’évaluation en 22 minutes en 46 rencontres dans l’antichambre de la NBA.\n\n“C'est un joueur très intéressant dans le sens où c'est vraiment un bon shooteur. Quand on shoote en G-League à 38 % de réussite avec la distance NBA, c’est quand même qu'il a vraiment cette qualité, commente son nouveau coach, Laurent Vila. Il peut tirer après dribble, en catch and shoot et ce que j'aime chez lui, c'est sa capacité à être altruiste dans le jeu. Il peut voir des passes, l'extra-passe, créer sur pick and roll. En plus de ça, il voit les secondes passes, il oriente le jeu en pointant du doigt la situation suivante par rapport à son action. Il a de la communication, de la vision du jeu, il fait la même chose en défense sur le positionnement. Son efficacité dépendra beaucoup de son adaptation par rapport à notre jeu européen, français, qui est différent de la G-League. Tout de suite quand on s'est parlé, il m'a demandé les matches. Je lui ai envoyé nos trois derniers pour qu'il voie comment on joue. Il est content car c'est une bonne opportunité pour lui, comme pour Samuta Avea, ce sont des joueurs qui ne sont pas vraiment connus en Europe et nous sommes quand même une équipe référencée. On va essayer de se qualifier pour les playoffs donc ils vont être vus, mais je pense que ce sont des joueurs qui ont aussi l'esprit d'équipe, qui veulent apporter à l'équipe plus que se montrer soi-même. On a besoin de ce style de joueur-là.”\n\nLe meneur-arrière de 24 ans sera de suite dans le bain. Après avoir participé ce lundi matin à son premier entraînement collectif, il devrait être qualifié pour affronter Paris, vainqueur de l'Eurocup et sur une série de 20 victoires de rang, ce mercredi dans la capitale (20h). Son dernier match remonte au 31 mars dernier.\n\n✍️ Erik Stevenson est Choletais !\n\nToutes les infos 👇https://t.co/giml8NOSum\n\nBienvenue dans la #CBFAMILY @ej_stevenson5 ! pic.twitter.com/T8dVoql8Y5\n\n— Cholet Basket (@CB_officiel) April 22, 2024\n
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Zaccharie Risacher (Bourg) s'est officiellement déclaré à la draft NBA
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\J'ai toujours rêvé d'accéder à la meilleure ligue du monde\, a déclaré Zaccharie Risacher à ESPN. \Je m'y consacre depuis que je suis enfant. La JL Bourg m'a donné une incroyable opportunité de montrer ce que je peux faire. C'est l'endroit idéal pour démarrer ma jeune carrière. Je suis vraiment reconnaissant d'avoir l'opportunité de jouer pour cette organisation. Je suis fier de faire partie de cette aventure avec mes coéquipiers et de ce que nous avons accompli en Eurocup. Nous voulons vraiment faire quelque chose de spécial pour le reste de la saison. Cela a été une longue saison et un long processus avec beaucoup de hauts et de bas.\\n\nZaccharie Risacher affiche une moyenne de 10,4 points (39% à trois-points) et 3,4 rebonds en 23 minutes par match.\n\n\Je me sens bien physiquement. Je fais toujours en sorte que mon corps se sente bien pour jouer des matchs au plus haut niveau. Il y a eu des moments dans la saison où je me suis senti un peu plus fatigué en raison du nombre de matchs, qui en incluent parfois deux ou trois par semaine, avec des déplacements difficiles. Et cela ne comprend pas le travail de développement supplémentaire que je fais en même temps. C'est compliqué pour un jeune corps. Mais cela n'a jamais été une excuse. \\n\nLa draft NBA se déroulera sur deux jours à New York, les 26 et 27 juin. Le premier tour se déroulera au Barclays Center de Brooklyn, suivi du deuxième tour le lendemain au studio d'ESPN dans le Lower Manhattan.\n\nRisacher is in the midst of a productive, winning season, averaging 10.4 points in 23 minutes shooting 39% for 3. At 6'10, he shows dynamic shot-making running off screens and shooting off the dribble, with defensive versatility and polished instincts on both ends of the floor. https://t.co/zhLCVtWbBD pic.twitter.com/gRKmSxgAC7\n\n— Jonathan Givony (@DraftExpress) April 22, 2024\n
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Vidéo : L'interview de Breanna Stewart
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L'égérie de Puma parle de son équipe, le New York Liberty, de son équipière Marine Johannes, de la WNBA, du phénomène Caitlin Clark, et bien sûr des Jeux Olympiques.\n\n[📺INTERVIEW] 🏀 #NBA\n🎙️ Les JO, le basket féminin, le New York Liberty, Caitlin Clark... La star de WNBA Breanna Stewart a répondu aux questions de @SoFrenchProd !#SNL #NBAextra pic.twitter.com/AGcDwHl9oq\n\n— beIN SPORTS (@beinsports_FR) April 21, 2024\n
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Toutes les villes qui vont accueillir les 30 ans de la Fête Nationale du MiniBasket
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Créée en 1994, la Fête Nationale du MiniBasket réunit chaque année des enfants de 6 à 11 ans, sur chaque département français tous les week-ends des mois de mai et juin.\n\nCette fête est organisée sur le plan national par la FFBB et relayée par ses Comités Départementaux sur une centaine de sites.Plus de 100 000 enfants disputent des tournois et révisent les fondamentaux du basket sur des ateliers. Ils sont encadrés par près de 5 000 bénévoles.Mots d’ordre de la Fête Nationale du MiniBasket : convivialité et amusement.En fin de journée, tous les enfants sont réunis pour la traditionnelle remise de récompenses. Ils reçoivent tous la même dotation offerte par les partenaires de la Fête.\n\nVoici les sites :
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Une cagnotte pour Audrey, la supportrice décédée à Denain
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\Audrey était une jeune fille de 27 ans la vie devant elle ! Supportrice du club de basket sa passion elle a suivi pour assister au match, malheureusement le destin en a décide autrement un arrêt cardiaque foudroyant l'a emporté pendant l'échauffement des joueurs vendredi soir a Denain.pour aider la famille a participer aux frais d'obsèques une cagnotte est a votre disposition..supporter amis merci de partager cette cagnotte pour Audrey qui avait le cœur sur la main la vie devant elle et va laisser un énorme vide dans le cœur de beaucoupDe personnes..😞 a jamais dans nos cœurs\, peut-on lire dans la présentation.\n\nIl reste 22 jours pour faire un don.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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ITW Kristen Mann (Bourges) : \J'aimerais m'installer définitivement en France\\n\nVictorieuse en Coupe de France avec Basket Landes en 2023, Kristen Mann est de retour à Bourges cette saison. À 40 ans, l'Américaine va jouer une nouvelle finale... contre son équipe précédente. Avant de se rendre à Bercy samedi, l'ailière se confie et évoque différents aspects de sa personnalité.\n\nITW Kristen Mann (Bourges) : “J’aimerais m’installer définitivement en France”Victorieuse en Coupe de France avec Basket Landes en 2023, Kristen Mann est de retour à Bourges cette saison. À 40 ans, l’Américaine va jouer une nouvelle finale... contre son équipe précédente. Avant de se rendre à Bercy samedi, l’ailière se confie et évoque différents aspects de sa personnalité.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nLe programme TV : Objectif Final Four de l'Euroleague pour Monaco contre le Fenerbahçe\n\nLa fin de saison approche, et le rythme s'élève cette semaine avec beaucoup de rencontre à fort enjeu dans les différentes compétitions : le quart de finale de Monaco contre le Fenerbahçe en Euroleague, la Betclic Elite, les playoffs de la Ligue féminine ou encore les finales de la Coupe de France.\n\nLe programme TV : Objectif Final Four de l’Euroleague pour Monaco contre le FenerbahçeLa fin de saison approche, et le rythme s’élève cette semaine avec beaucoup de rencontre à fort enjeu dans les différentes compétitions : le quart de finale de Monaco contre le Fenerbahçe en Euroleague, la Betclic Elite, les playoffs de la Ligue féminine ou encore les finales de la Coupe de France.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nL'année de tous les records pour le Paris Basketball\n\nLarge vainqueur de l'ASVEL à l'Astroballe ce dimanche (66-86), le Paris Basketball continue d'impressionner. Avec une série en cours de 10 victoires de suite en championnat ainsi que des titres en Leaders Cup et en Eurocup, les hommes de Tuomas Iisalo semblent irrésistibles. Ils occupent seuls la deuxième place de la Betclic Elite.\n\nParis : L’année de tous les recordsLe Paris Basketball réussit des séries de victoires impressionnantes et a fait tourner la tête à l’ASVEL.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nVictor Wembanyama parmi les trois prétendants aux titres de Rookie et de Défenseur de l'année en NBA\n\nLa première saison historique de Victor Wembanyama se traduit dans les nominations pour les différents trophées individuels de la saison 2023-24. Le phénomène tricolore a en effet été sélectionné parmi les trois finalistes pour les trophées de meilleur rookie et de meilleur défenseur de la saison. Si le premier titre devrait lui revenir, Wemby doit en revanche composer avec la concurrence de son compatriote Rudy Gobert pour le second.\n\nNBA : Victor Wembanyama en lice pour les trophées de Rookie et de Défenseur l’AnnéeVictor Wembanyama fait partie des trois finalistes pour les trophées de Rookie de l’Année et de Défenseur de l’Année de la saison 2023-24 de NBA avec comme rival Rudy Gobert.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLFB : Bourges doit renverser Tarbes d'au moins 19 points\n\nPourtant deuxième de la saison régulière 2023-24 de la Ligue Féminine, Bourges n'est plus très loin de l'élimination. Battues 87-69 à Tarbes, les Tango doivent remonter un écart de 18 points ce lundi pour se qualifier pour les demi-finales. Une mission qui ne s'annonce pas simple face à la fougue de la jeunesse tarbaise.\n\nLFB : Bourges doit renverser Tarbes d’au moins 19 pointsBourges a perdu de 18 points à l’aller du quart-de-finale à Tarbes (87-69) mais les Tango sont capables de renverser la table ce lundi soir dans le Cher.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nErik Stevenson débarque à Cholet pour le sprint final\n\nCholet n'est pas épargné par les blessures depuis quelques semaines. Après avoir récupéré Gérald Ayayi, le club des Mauges doit désormais se passer de Nick Johnson. Afin d'éviter une fin de saison difficile, CB vient d'annoncer la signature d'Erik Stevenson. L'arrière américain de 24 ans, fort shooteur, va connaître sa première expérience en Europe.\n\nErik Stevenson débarque à Cholet pour le sprint finalDiminué par la blessure de Nick Johnson, Cholet Basket se renforce pour le sprint final de Betclic Elite en signant l’arrière américain Erik Stevenson. Le shooteur de 24 ans va vivre sa première expérience en Europe.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nZaccharie Risacher (Bourg) s'est officiellement déclaré à la draft NBA\n\nSans grande surprise Zaccharie Risacher va bien se présenter à la Draft 2024. Projeté à la première place de la cuvée depuis de longues semaines, l'ailier de la JL Bourg a bien soumis les documents nécessaires à son inscription à la NBA. Reste à savoir s'il sera effectivement appelé en premier le 26 juin prochain.\n\nZaccharie Risacher (Bourg) s’est officiellement déclaré à la draft NBAProjeté comme numéro 1 par ESPN, le Burgien Zaccharie Risacher (2,07 m, 19 ans depuis le 8 avril) a soumis les documents nécessaires au bureau de la NBA le rendant éligible à la draft 2024.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nMarine Fauthoux (Basket Landes) : \Les Jeux ne sont pas dans un coin de ma tête\\n\nToujours convalescente à la suite d'une blessure au dos, Marine Fauthoux doit se contenter d'observer la fin de saison de son équipe de l'ASVEL depuis le banc. Alors qu'elle faisait partie des candidates à une sélection aux Jeux Olympiques avec l'équipe de France cet été, la meneuse de 23 ans dit vouloir se concentrer sur sa rééducation avant de penser à un éventuel été olympique avec les Bleues.\n\nMarine Fauthoux (Basket Landes) : “Les Jeux ne sont pas dans un coin de ma tête”Marine Fauthoux va regarder le quart-de-finale retour de playoffs, Basket Landes vs ASVEL, en spectatrice et sans savoir ce que sera son avenir à court terme.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n
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Vidéo : Un reportage sur le Choletais Tidjane Salaün
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Outre l'intéressé, on retrouve son coach à Cholet Basket, Laurent Vila, celui des U21, Régis Boissié et sa soeur, Janelle, l'internationale de Villeneuve d'Ascq.\n\n🗣️ “I don't even know what I'm capable of yet.”\n\n🎬 @CB_officiel’s @TidjaneSalaun shares his story and his dreams in the latest episode of our #BasketballCL Diaries 📕 pic.twitter.com/VERNExNXL3\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) April 22, 2024\n
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Tarbes: le triomphe de la jeunesse
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Formidable Carla Leite ! Son entrée dans le match a été fulgurante. 14 points en un peu plus de 12 minutes avec 4 passes, 1 interception et 1 contre. Elle a géré ses deux fautes tombées très vite et joué toute la première mi-temps avant de souffler un peu sur le banc dans le troisième quart-temps. Elle a passé au final 38'13 secondes sur le terrain et le temps que la meneuse de tout juste 20 ans a le ballon entre les mains est à chaque match très important. Cela explique pour beaucoup ses 5 pertes de balle. Elle a fini le match à 26 points en manquant la cible une seule fois en neuf shoots. Les Berruyères n'ont eu souvent pas d'autres choix que de la bousculer pour l'empêcher d'aller au cercle, ce qui explique qu'elle a provoqué 11 fautes de l'adversaire.\n\nLe deuxième nom à souligner en rouge est celui de Marie-Paule Foppossi. Il ne faut pas se fier à son âge, 26 ans, car ce n'est que sa deuxième saison en pro étant donné qu'elle a passé cinq années en NCAA, à Syracuse et Rhode Island. pour son retour en France, elle a déjà eu le temps de participer à l'Euro 2023 et hier soir, elle a assuré 18 points et 6 rebonds.\n\nLe troisième élément à mentionner au TGB, c'est évidemment Dominique Malonga, 1,98m et 18 ans. On retiendra ses 16 points et 7 rebonds et encore plus sa placidité sur la ligne des lancers-francs dans le money time avec un 5/6, et c'est elle aussi qui a pris le rebond défensif de la gagne.\n\nPour autant, n'oublions pas les complices de ce formidable exploit. Jess Zodia 19 ans, Serena Kessler, 21 ans, Camille Droguet, 25 ans, Nancy Fora 26 ans, et l'Estonienne Mailis Pokk, la doyenne avec ses 31 ans. La seule étrangère d'un groupe qui a perdu en cours de route sa cheftaine Isabelle Yacoubou...\n\n\nBourges n'est jamais passé devant\n\nLe TGB ne s'est pas contenté de gérer son capital de 18 points conquis de haute lutte à l'aller. Il a mené 28-33 et encore 47-51 à la mi-temps. Les Tango n'ont tenu le choc que parce que leur pivot canadienne Kayla Alexander a sorti le grand jeu (24 points, 11/16 aux shoots, 12 rebonds sur le match).\n\nA l'issue du troisième quart-temps, Bourges n'avait que deux points d'avance. On avait annoncé un avis de tempête au Prado. Elle est survenue à ce moment-là. Emmenées par Alix Duchet (19 points), les Tango ont soufflé très fort sur la défense tarbaise. 78-68 en moins de deux minutes. Les filles de François Gomez étaient forcément épuisées par les efforts consentis et le manque de banc. La pression sur la porteuse du ballon était terrible et les Tarbaises en ont perdu 22, des ballons.\n\n90-75 à quatre minutes de la fin. On s'est dit que le TGB allait craquer. Mais, non, il tenait le choc encore et encore. 94-80. 96-81. Jamais Bourges n'est passé devant au score sur l'ensemble des deux matches. Alix Duchet a fait perdre les pédales à Carla Leite grâce à une défense étouffante mais la meneuse internationale a manqué son layup sur l'action suivante. C'est à ce moment-là que Dominique Malonga a capté le rebond et fait un 2/2 aux lancers-francs. L'Américaine Shaylisha Colley a loupé le trois-points de l'égalisation au buzzer. Vous imaginez : c'est la première fois depuis 1995 que Bourges n'est pas en demi-finale du championnat de France !\n\nOui, quel suspense, quel match des Tarbaises, quelle aventure ! Son prochain épisode se jouera lors du derby du Sud Ouest face à Basket Landes en demi-finale.\n\nQuarts de finale\n\nBasket Landes (3) - Lyon (6) :67-89/79-60\nBasket Landes qualifié 168-127\n\n\nBourges (2) - Tarbes (5) :87-69/98-83\nTarbes qualifié 170-167\n\n🚨 Shay Colley manque la balle de prolongation et c'est @tgbbasket qui crée l'exploit et qui se qualifie pour les demi-finales des playoffs ! 🤩#SKWEEKLive #BasketLFB pic.twitter.com/32X2Wb9M1v\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 22, 2024\n\n\nEntretien croisé - Carla Leite et Ilias Kamardine, les MVP qui montentChampions d’Europe avec l’équipe de France U20 l’été dernier et élus respectivement MVP de la compétition féminine et masculine, Carla Leite et Ilias Kamardine ont été réunis par la rédaction de Basket Europe afin d’évoquer leur progression et leur actualité. Entretien croisé.BasketEurope.comClément Carton
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François Gomez, coach de Tarbes: «Il y a longtemps que je n’avais pas eu peur comme ça»
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«On tient trois quart-temps vraiment très, très bien. De 18, on passe à un moment à +24, 25. Et puis Bourges se lâche vraiment avec des joueuses qui prennent des risques et qui sont récompensées, qui se battent sous le panier, qui nous dominent. Je pense que cette équipe a fait ce qu’il fallait. Quand ça se joue à un point, il faut arrêter de discuter. C’est un lancer-franc, un panier raté. La pièce peut tomber d’un côté comme de l’autre. Elle est tombée de notre côté, c’est magnifique, mais elle aurait pu tomber du côté de Bourges. Il n’y a rien à redire, cette équipe nous a dominés les dix dernières minutes puisque le reste du temps on a fait jeu égal avec l’une des meilleures équipes françaises. C’est notre grande satisfaction de pouvoir rivaliser avec le Bourges de cette année même si je comprends que vous soyez déçus d’être éliminé en quart car tout le monde annonçait un Bourges-Villeneuve d’Ascq en finale. Mais Bourges reste Bourges et l’a prouvé aujourd’hui. »\n\nRappel : Bourges avait terminé à la deuxième place la saison régulière avec 18 victoires et 4 défaites, alors que Tarbes s'était classée 7e (10-12), soit une victoire de plus seulement que le 9e, Charleville.\n\n« On vient gagner notre place en demi-finale comme on l’a fait en demi-finale de Coupe de France. Il n’y a pas de hasard. Cette équipe de Tarbes a peut-être été sous-estimée et par moi en premier car je pense que l’on aurait pu dans la saison régulière faire un peu mieux si j’avais eu plus de conviction sur le niveau que l’on avait. Aujourd’hui, les filles ont montré que j’avais mal évalué le niveau de ce groupe. Elles prouvent avec ces deux demi-finales qu’elles font partie des quatre meilleures équipes françaises cette année. Il faut le dire comme ça... Il y a eu un quart-temps très compliqué avec (il rit) la trouille! Une vraie trouille. Les joueuses, le staff aussi. Il y a longtemps que je n’avais pas eu peur comme ça, que l’on se fasse crucifier à la dernière seconde sur un dernier panier. Ça se passe souvent comme ça. Que l’on n’aurait plus que nos larmes pour pleurer. Ça n’a pas été le cas, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise? C’est le basket et le sort en a voulu ainsi.»
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Les ex-Palois de la JDA Dijon, de retour à Bercy deux ans après : \Toujours mémorable de jouer des matches comme celui-là\
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Samedi 23 avril 2022 à l'Accor Arena de Paris-Bercy. Opposé à Strasbourg, l'Elan Béarnais remporte sa quatrième Coupe de France - et son premier trophée depuis 15 ans - devant plus de 15 000 personnes (95-86). Une finale lors de laquelle les Palois ont pu compter sur la grosse performance de Vitalis Chikoko (15 points, 8 rebonds, 3 passes décisives et 5 contres), logiquement élu MVP du match.\n\n\On avait joué un très bons match d'équipe, sans leur donner aucune chance du début à la fin de la rencontre\, se remémore le pivot. \On était plus agressifs, prêts au combat, affamés. On voulait vraiment gagner, et on l'a fait ! D'un point de vue personnel, cela a été l'un de mes plus grands souvenirs en France\. Une rencontre au cours de laquelle Giovan Oniangue et Gregor Hrovat ont également apporté leur contribution à la victoire. Mais les trois hommes n'imaginaient sans doute pas se retrouver en position de gagner un nouveau trophée ensemble, sous un autre maillot, 24 mois plus tard. Et pourtant...\n\nArrivé à Dijon à l'été 2022, Hrovat a vu Chikoko le rejoindre en Bourgogne à la dernière intersaison. Sans contrat pendant plusieurs mois, Oniangue a pour sa part profité du départ précipité de Dylan Affo Mama au coeur de l'automne pour retrouver ses deux ex-coéquipiers en Bourgogne. Si les anciens Palois avaient connu le succès collectif - une demi-finale en Betclic Elite en plus de la victoire en Coupe - lors de leur saison commune dans le sud-ouest, l'exercice 2023-24 s'est révélé bien plus difficile avec la JDA. Une entame ratée, plusieurs modifications de l'effectif en cours de route, un changement d'entraineur et de nombreuses blessures à des postes-clés ont rythmé la saison du club bourguignon, plus habitué à la stabilité qu'aux remous incessants des derniers mois.\n\n\nUne saison à sauver\n\nForcément, cela s'est ressenti dans les résultats d'une JDA distancée par les autres candidats aux playoffs à quatre journées de la fin de la saison en Betclic Elite. De quoi faire naître une certaine frustration chez les joueurs, à l'image du pivot zimbabwéen : \La façon dont la saison s'est déroulée est une véritable déception pour moi. À un moment, c'est presque comme si on avait un nouveau blessé chaque semaine. Et à chaque fois que quelqu'un revenait, un autre joueur était indisponible. C'était difficile\.\n\nDans cet horizon gris, les hommes de Laurent Legname bénéficient tout de même d'une petite éclaircie qui pourrait se transformer en grand rayon de soleil dans les prochains jours : ils sont qualifiés pour la finale de la Coupe de France 2024, contre Strasbourg. Un bel accomplissement facilité par un parcours favorable, avec deux équipes de Pro B (Vichy et... Pau) accrochées à leur tableau de chasse sur les trois matches qui les ont mené à Bercy. Victorieux en 2006 contre Orléans mais défaits face à l'ASVEL en 2021, les Dijonnais ont donc l'occasion de décrocher un deuxième trophée dans la compétition, au cœur d'une saison où rien ne semblait pourtant leur réussir. De quoi rappeler de bons souvenirs à leurs anciens Béarnais.\n\nSi Gregor Hrovat, touché au genou et forfait jusqu'à la fin de la saison, n'évoluera pas sur le parquet de l'Accor Arena, Giovan Oniangue et Vitalis Chikoko seront bien présents dans un effectif dijonnais qui a récupéré ses forces vives. L'ailier de 33 ans connait mieux que personne l'importance d'un tel match, lui qui va disputer sa quatrième finale dans la compétition. Clin d'œil du destin, il va d'ailleurs être opposé à la SIG pour la troisième fois à ce stade. \C'est vrai que c'est assez particulier\, confirme-t-il. \C'est toujours un plaisir, un moment mémorable de jouer des matches comme celui-là, à Bercy, dans une belle salle, avec l'appui de plus de 15 000 personnes. Mais on va essayer de jouer comme si c'était une autre équipe pour aller gagner ce match\.\n\nUne confrontation qui n'est pourtant pas anodine pour Dijon, sorti vainqueur de ses deux rencontres face aux Alsaciens cette saison. Leur dernier affrontement, disputé au Palais des Sports au début du mois d'avril, a permis aux Bourguignons de reprendre confiance (80-68) avant les retrouvailles parisiennes : \Quand ils sont venus à Dijon, on a aussi eu une petite pensée pour la finale. On voulait vraiment lancer un petit message, montrer que ça n’allait pas être facile contre nous malgré la saison un peu frustrante qu'on est en train de vivre\, explique Giovan Oniangue. \Après, une finale, ça reste une finale. On va oublier ce qu'il s'est passé auparavant et essayer de prendre ce match de manière déterminée. Mais c'est vrai que le fait de les avoir joués récemment, ça nous a fait un petit avant-goût de la bataille qui nous attend samedi\. Même si ce résultat ne présage en rien de l'issue de la finale, il laisse imaginer un match disputé entre deux équipes loin de leur standing des dernières années.\n\n\On ressent beaucoup d'engouement et on veut vraiment donner cette victoire aux supporters\\n\nFigures établies de la Betclic Elite, Chikoko et Oniangue sont conscients du rôle qu'ils ont à jouer auprès de leurs plus jeunes coéquipiers dans la préparation d'un match si important : \J'essaye toujours d'aider mes coéquipiers, que ce soit sur le terrain ou en dehors\, détaille le pivot de 33 ans. \C'est important de parler, surtout par rapport à ceux qui n'ont jamais joué de finales ou remporté de titres. Avec mon expérience et celle d'autres joueurs comme Dave (Holston) ou Jacques (Alingue), je pense que ça fait partie de notre rôle, d'essayer de donner confiance à nos coéquipiers\. Un vécu essentiel dans ce contexte, qui demande une bonne gestion de ses émotions pour ne pas se laisser submerger par l'enjeu.\n\nDans l'adversité, les Dijonnais pourront en tout cas compter sur la mobilisation de leurs supporters. Un déplacement en train a été organisé par le club afin de faire venir à Paris plus d'un millier de fans de la JDA. Témoin de cette ferveur grandissante depuis quelques jours, Giovan Oniangue espère bien que son équipe pourra s'en nourrir : \On reçoit plein de messages d’encouragements pour la finale. Même quand on croise les fans, que ce soit dans la rue ou après les matchs, ils nous disent qu'ils ont pris leur place et qu'ils sont vraiment motivés. Je sais que ça fait longtemps que la JDA n'a pas gagné la Coupe de France, donc c'est un moment que les supporters aimeraient revivre. On ressent beaucoup d'engouement et on veut vraiment leur donner cette victoire\.\n\nDans tous les cas, et malgré la mauvaise passe dijonnaise dans le championnat de France depuis deux mois (7 défaites sur les 8 derniers matches), Vitalis Chikoko veut croire en la capacité de son équipe à se sublimer pour aller chercher la victoire \la plus importante de la saison\ : \On sait quel genre d'équipe ils (Strasbourg) sont. Ils ont beaucoup de combattants. Ce match ne sera pas facile, ils veulent le gagner autant que nous. En tant qu'équipe, on doit simplement donner tout ce qu'on a pour ce match, offensivement et défensivement, quitte à mourir sur le terrain. Je pense que si on reste ensemble et qu'on joue en équipe, tout sera possible\. Les deux vainqueurs de l'édition 2022 le savent : ils ont l'opportunité de ramener un trophée à un club qui n'a pas l'occasion d'en gagner chaque année. Deux ans après, porteront-ils à nouveau bonheur à leur équipe contre la SIG ? Réponse ce samedi à partir de 16h30.
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NM1 : Jean-Louis Borg (Hyères Toulon) élu coach de l'Année
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Ce trophée existe depuis 2003 et a consacré Philippe Namyst (Saint-Vallier) en 2021 et Sylvain Delorme (Angers) les deux années suivantes.\n\nAprès une carrière de coach à Hyères-Toulon, Vichy et Dijon, Jean-Louis Borg avait cessé cette activité pour se consacrer à celle de Manager Général sportif à la JDA Dijon en 2015. Il est revenu cette saison au HTV pour prendre l'équipe varoise avec un total succès puisque celle-ci a obtenu l'accession en Pro B.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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ITW Damien Inglis (Valence) : “Je n’ai jamais douté de ma capacité à jouer en Euroleague”\n\nDamien Inglis a changé de dimension : le Guyanais a intégré cette année le gratin européen avec brio malgré l’élimination de Valence à l’issue de la saison régulière d’Euroleague. L’intérieur de 28 ans nous raconte cette expérience qui en appelle d’autres.\n\nITW Damien Inglis (Valence) : “Je n’ai jamais douté de ma capacité à jouer en Euroleague”Damien Inglis a changé de dimension : le Guyanais a intégré cette année le gratin européen avec brio malgré l’élimination de Valence à l’issue de la saison régulière d’Euroleague. L’intérieur de 28 ans nous raconte cette expérience qui en appelle d’autres.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEuroleague : Le Maccabi Tel-Aviv surprend le Panathinaïkos et reprend déjà l'avantage du terrain !\n\nLongtemps mené au score dans le premier match de ces quarts de finale de l'Euroleague ce mardi, le Maccabi Tel-Aviv est parvenu à renverser le Panathinaïkos dans le dernier quart-temps ! (87-91) Les Israéliens entament parfaitement leur série alors que les Grecs se retrouvent déjà sous pression.\n\nEuroleague : Le Maccabi Tel-Aviv surprend le Panathinaïkos et reprend déjà l’avantage du terrain !Longtemps mené au score dans le premier match de ces quarts de finale de l’Euroleague ce mardi, le Maccabi Tel-Aviv est parvenu à renverser le Panathinaïkos dans le dernier quart-temps ! (87-91) Les Israéliens entament parfaitement leur série alors que les Grecs se retrouvent déjà sous pression.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nEuroleague : Le Real Madrid croque Baskonia\n\nMeilleure équipe de l'Euroleague cette saison et grand favori de la compétition, le Real Madrid a assumé son statut en s'imposant largement pour son premier match des quarts de finale face à Baskonia (90-74). Une victoire incontestable qui lance bien les Madrilènes dans cette série 100% espagnole.\n\nEuroleague : Le Real Madrid croque BaskoniaMeilleure équipe de l’Euroleague cette saison et grand favori de la compétition, le Real Madrid a assumé son statut en s’imposant largement pour son premier match des quarts de finale face à Baskonia (90-74). Une victoire incontestable qui lance bien les Madrilènes dans cette série 100% espagnole.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nTarbes: le triomphe de la jeunesse\n\nAprès avoir largement remporté le match aller à domicile, Tarbes a su résister à la pression de Bourges au Prado (98-83) en quarts de finale des playoffs de la LFB. Porté par une jeunesse dorée incarnée par Carla Leite ou encore Dominique Malonga, le TGB réalise l'exploit d'éliminer les Tango avant les demi-finales pour la première fois depuis 1995.\n\nTarbes: le triomphe de la jeunesseLes joueuses de François Gomez ont été héroïques pour conserver un mince filet d’avance sur Bourges (98-83) et se qualifier de trois points pour les demi-finales. Un exploit majuscule.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nFrançois Gomez, coach de Tarbes: «Il y a longtemps que je n’avais pas eu peur comme ça»\n\nFrançois Gomez peut être fier de ses joueuses. Face à une équipe de Bourges largement favorite, le coach de Tarbes a vu sa jeune équipe réaliser un exploit pour se qualifier en demi-finale de la LFB. Même si le technicien reconnaut que la double confrontation contre les Tango s'est jouée sur un fil.\n\nFrançois Gomez, coach de Tarbes: «Il y a longtemps que je n’avais pas eu peur comme ça»A l’issue de la qualification de son équipe pour les demi-finales du championnat de France, le coach de Tarbes, François Gomez, avait bien conscience qu’après une bataille de 80 minutes face à Bourges, tout s’est joué sur un coup de dé.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nNM1 : Jean-Louis Borg (Hyères Toulon) élu coach de l'Année\n\nRetiré du coaching depuis 2015, Jean-Louis Borg a repris du service cette saison sur le banc de son club de cœur, Hyères-Toulon. Un retour plein de réussite pour l'ancien technicien de Vichy et Dijon, qui a mené les Varois au titre de champions de France de Nationale 1, synonyme de remontée en Pro B.\n\nNM1 : Jean-Louis Borg (Hyères Toulon) élu coach de l’AnnéeJean-Louis Borg, 60 ans, a été élu Coach de l’Année de Nationale 1 Masculine suite à un référendum organisé auprès de ses pairs de la division par le Syndicat des Coaches de Basket.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nDzanan Musa (Real Madrid) et la NBA : \En Europe, chaque ballon est joué...\\n\nVu en NBA sous le maillot des Brooklyn Nets entre 2018 et 2020, Dzanan Musa est désormais un élément important du Real Madrid. Le Bosnien est donc bien placé pour parler de la différence entre la ligue américaine et le basket européen. L'ailier met en avant l'enjeu sportif supérieur des matches européens en comparaison avec ce qui se fait de l'autre côté de l'Atlantique.\n\nDzanan Musa (Real Madrid) et la NBA : “En Europe, chaque ballon est joué...”Dans une interview pour le média de son pays Nacional, le Bosnien du Real Madrid Dzanan Musa (2,06 m, 24 ans) évoque la différence entre la NBA et l’Europe.BasketEurope.comLa rédaction
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ITW Damien Inglis (Valence) : “Je n’ai jamais douté de ma capacité à jouer en Euroleague”
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Damien Inglis est comme le bon vin : il se bonifie avec le temps. Sous le feu des projecteurs en début de carrière après avoir été jeté dans le grand bain de la NBA, le Guyanais a mis du temps à faire son trou jusqu’à prendre du galon en Espagne. A 28 ans, il vient de boucler sa première saison d’Euroleague à une honorable 13e place avec un vrai impact à Valence (8,2 points à 51 % aux tirs, 4,7 rebonds, 1,7 passe et 0,7 interception pour 9,6 d’évaluation en 20 minutes de moyenne sur 32 matches).\n\nL’international français nous a accordé une heure d’entretien dans lequel il revient sur sa belle entrée au sein du gotha européen malgré les hauts et les bas de l’équipe espagnole. Il évoque également les différences entre la Betclic Elite et la Liga Endesa, son futur en Euroleague et en équipe de France mais aussi ses activités extra-sportives et son intérêt prononcé pour le développement du basket - mais pas que - en Guyane.\n\nValence a longtemps été en course pour intégrer le play-in avant de dégringoler au classement (14-20, 13e). Comment avez-vous vécu cette longue saison de l’intérieur ?\n“C’était ma première saison d’Euroleague. Je suis arrivé à Valence avec une très grande motivation. Je voulais absolument jouer au très haut niveau européen. J’ai été agréablement accueilli. Je n’ai jamais douté de ma capacité à jouer à ce niveau mais le fait de pouvoir enfin le montrer m’a procuré du plaisir. Sur le plan personnel, j’ai passé une bonne année. Il y a eu des hauts et des bas mais j’ai été plutôt consistant sur la globalité de la saison. En tant que rookie, j’ai énormément appris. Mon jeu s’est encore développé. Ça fait du bien d’être considéré parmi les top players de quelconque catégorie.\n\nDiriez-vous que vous avez changé de catégorie cette saison ?\nBien sûr. Il y a toujours eu cet astérisque sur moi. On sait depuis longtemps qui je suis mais on doutait jusqu’à cette année de ma capacité à jouer en Euroleague. Maintenant que j’ai joué à ce niveau, que j’ai montré que j’en étais capable, je crois que la perception des gens sur moi a changé.\n\n“Un de mes objectifs de saison était de rester en bonne forme physique”\n\nEtes-vous satisfait de votre saison sur le plan individuel et collectif ?\nSur le plan individuel, je suis un éternel insatisfait. Je sais que j’ai globalement fait une bonne saison même si je sais que j’aurais pu faire encore mieux. Je suis surtout content d’avoir pu montrer ma polyvalence sur tous les aspects du game et d’avoir pu apporter à mon équipe sur la période car j’ai très peu manqué de matches (NDLR : seulement deux pour 8,2 points à 51 % aux tirs dont 28 % à 3-points, 4,7 rebonds, 1,7 passe et 0,7 interception pour 9,6 d’évaluation (PIR) en 20 minutes de moyenne sur 32 matches). Un de mes objectifs de saison était de rester en bonne forme physique toute l’année. J’ai beaucoup travaillé mais j’ai eu la chance de ne pas avoir été blessé et d’être resté disponible pour l’équipe, qui a connu beaucoup de blessures...\n\nJustement, comment avez-vous vécu les très nombreuses blessures au sein de l’effectif de Valence et l’éviction d’Alex Mumbru ?\nOn a connu énormément de blessures, il nous a manqué des joueurs par ci par là toute l’année. Ça nous a coûté pas mal de matches à la longue. Ça s'est fini sur une déroute à domicile contre l’ASVEL et le licenciement du coach... Ce sont des moments toujours compliqués à gérer. Maintenant, la saison d’Euroleague est terminée, on ne peut plus rien y changer. On est tous déçus de ne pas avoir pu pousser jusqu’au play-in, on voulait tous y aller, mais c’était une saison particulière. On espère pouvoir la finir du mieux que possible en ACB (NDLR : trois victoires d’affilée en Liga Endesa où Valence est remonté à la 4e place).\n\nL’évolution naturelle de votre jeu vous a fait passé de l’aile à l’intérieur avec le temps et même glisser cette année au poste 5 par séquence. Comment l’expliquez-vous ?\nMes années d'ailier, ça commence à remonter à il y a très longtemps, à avant ma blessure (NDLR : saison 2014-2015). Quand je suis parti en NBA, j’étais un poste 3. Après ma blessure, mon corps avait changé, j'avais gonflé. Et il y avait cet effet Draymond Green : Golden State dominait la ligue américaine alors tout le monde s’est mis en quête d’un poste 4 polyvalent. J’avais des qualités de passeur et de défenseur. A Milwaukee, on a cherché à me comparer à Draymond Green. On m’avait mis dans ce rôle où je devais faire un peu de tout chez les Bucks. Depuis, ça ne m’a jamais quitté. J’ai un bon QI basket qui me permet d’être un deuxième meneur sur le terrain. Quand tu es poste 4, tu es un peu la deuxième plaque tournante de l’équipe, ça me satisfait.\nA Valence, je suis passé au poste 5 par nécessité car nos deux pivots se sont blessés. Mais il n’y a pas plus de changement que ça. On m’a fait jouer à ce poste car personne d’autre ne pouvait défendre sur les postes 5 adverses. C’est l’unique raison. Ma polyvalence me permet de défendre sur plusieurs positions et de m’adapter aux joueurs autour en attaque. Je me repose sur mes qualités principales. Dans la raquette, je suis inarrêtable, il n’y a pas beaucoup de personnes qui peuvent me stopper. La raquette, c’est ma maison.\n\nBrandon Davies, Boubacar Touré et désormais Alpha Kaba... Valence a construit une raquette un peu made in France cette année. Racontez-nous vos liens avec eux...\nBrandon Davies, c’est un super ami. On a créé une excellente relation depuis qu’on est ici. C’est un très bon joueur et encore une meilleure personne. Il a cette expérience de l’Euroleague. Il connaît tous les rouages du milieu professionnel, sa carrière en atteste. Il est très important pour nous à Valence. On a perdu des matches quand il n'était pas là, ça aurait été un gros bonus de l’avoir toute l’année. Au sujet de Boubacar (Touré), sa saison a été écourtée à cause des blessures mais ça reste un très bon joueur. C’est dommage qu’il n’ait pas pu finir la saison. Alpha (Kaba) a pris la place de Bouba pour la fin de saison en Liga, c’est un très bon joueur également. On espère qu’il puisse continuer à nous apporter ce que Bouba nous a apporté, à savoir cette intensité et cette densité physique pour mieux terminer nos matches (NDLR : 2,7 points, 1,7 rebond en 8 minutes sur ses trois premiers matches, trois victoires).\n\nComment est la vie à Valence ?\nC’est une ville sympa. Il fait bon, il fait chaud. Il y a tout ce qu’il faut. On s’y plait facilement. Il y a pas mal de Français ici.\n\n“L’Euroleague, c’est un peu comme une secte, c’est très fermé”\n\nVous avez découvert l’Euroleague cette année seulement à 28 ans - en signant un contrat d’un an avec une option pour la suivante. Comment expliquer cette si longue attente ?\nJ’ai plusieurs théories (rires). L’Euroleague, c’est un peu comme une secte, c’est très fermé. Chaque année, tu as quelques profils indéniables qui arrivent à ce niveau parce qu’ils sortent d’une énorme saison. Ils correspondent à ce que tout le monde recherche. Je prends l’exemple de Mathias Lessort, avec qui j’ai joué à Monaco. Il remplit la case du joueur physique, poste 5 athlétique, dense. Après une bonne saison d’Eurocup, son profil correspond déjà à ce qui se fait en Euroleague.\nAprès, il y a des joueurs qui ne sont pas forcément très typiques de l’Euroleague, comme moi. Dans cette ligue, le poste 4 a tendance à écarter le terrain en shootant à 3-points... à quelques exceptions près comme des Toko Shengelia qui sont dominants sur d’autres secteurs de jeu. Moi, je ne suis pas un sniper. Comme je ne tire pas beaucoup à 3-points (NDLR : 28 % cette saison), les gens se demandaient ce que je savais faire d’autre. Il y a eu des doutes sur moi à ce sujet, si j’allais être capable de jouer au post-up et de faire ce que j’étais capable de faire en Eurocup à ce niveau-là. Dans mon cas, il a fallu qu’Alex (Mumbru) croit en moi. Il m’a donné cette opportunité de jouer en Euroleague et j’ai prouvé que je savais faire la même chose que dans un niveau inférieur.\nCe n’est que mon opinion mais, pour moi, une fois que tu as mis le pied dedans en Euroleague, le regard change. Que ce soit les coachs ou les GM, tout le monde veut garder son poste, ils se tournent plus souvent vers ce qu’on connaît mieux. C’est beaucoup plus facile à expliquer quand ça ne fonctionne pas. Prendre quelqu’un qui n’a pas joué en Euroleague, qui n’a pas le profil type, c’est dur à expliquer, à faire un pari dessus.\n\nQu’est-ce qui vous a le plus surpris en Euroleague ?\nL’ajustement à la densité des matches, sur la façon de prendre soin de son corps avec autant de déplacements, autant de minutes... J’ai eu quelques pics de fatigue physique et mentale, ça s’est traduit par des performances un peu moins bonnes sur certains matches. Sinon, j’ai appris quelques trucs tactiquement. Aujourd’hui, j’ai un peu plus de bouteille. Je suis plus à l’aise car je sais comment les équipes défendent, comment le jeu se déroule.\n\n“Si on parle de vivier, la France est dix fois meilleure. Si on parle de championnat, l’Espagne est dix fois meilleure”\n\nVous avez connu trois clubs différents en trois ans en Espagne (Bilbao, Gran Canaria, Valence). On voit encore cette année la densité de la course aux playoffs en Liga Endesa. Y a-t-il un championnat équivalent en Europe selon vous ?\nJe le répète : aucun championnat n’équivaut à la Liga Endesa. Il n’y a aucune hiérarchie. Evidemment, Madrid et Barcelone ont les meilleures équipes sur le papier mais avec la densité des calendriers et la difficulté des matches, toutes les équipes peuvent battre toutes les autres. Ce n’est pas que le talent qui compte en Espagne, c’est aussi la préparation du match. C’est un championnat tellement homogène, très dense, très physique. En dessous de Madrid et Barcelone, il y a 8-9 équipes qui se tirent la bourre. Il n’y a pas tant d’écart que ça entre les équipes. Il n’y a aucun match facile.\nLe championnat français est très physique dans le sens athlétique. En Liga ACB, on joue plus vite, le jeu est beaucoup plus rapide. La vitesse d’exécution rend le match beaucoup plus physique que la physicalité du jeu en elle-même. Et c’est très tactique : il y a beaucoup de scouting. C’est un championnat très mental. Il faut s’adapter en permanence.\n\nLa Liga Endesa est faite pour vous...\nJe n’ai pas fait toutes les ligues dans le monde donc je ne sais pas laquelle me va le mieux mais je suis à l’aise avec l’ACB, oui. C’est un championnat qui me plait. Mais pour jouer ce championnat (à fond) et l’Euroleague en même temps, il faut être très costaud ! A Valence, on n’a pas l’effectif de Madrid ou Barcelone qui peut faire tourner donc c’est difficile de tout enchaîner avec les déplacements. Maintenant, on est habitué.\n\nLe basket français est-il en train de rattraper le basket espagnol ?\nSi on parle uniquement de vivier et de talent, on est dix fois meilleurs (en France) parce qu’on produit beaucoup plus de prospects. On a de meilleurs talents que les Espagnols. On les a doublés depuis des années. Ceci dit, l’Espagne a un championnat beaucoup plus attractif car il y a plusieurs équipes au budget très conséquent, le Real Madrid et le FC Barcelone en premier lieu. Ils peuvent vraiment attirer des joueurs de valeur, les meilleurs en Europe. En termes de championnat, la Liga Endesa est dix fois meilleure.\nMais c’est vrai qu’aujourd’hui, les Espagnols ont un meilleur jeu que le nôtre. La façon dont ils jouent est différente. Nous, on a beaucoup plus de talent : on se repose beaucoup plus sur nos qualités physiques et de un-contre-un. Eux, il le pallient par un énorme QI basket et une qualité de joueur d’équipe qui remplit son rôle. C’est ce qui explique en partie leur force en équipe nationale.\n\nQue pensez-vous de l’évolution de l’AS Monaco depuis votre titre d’Eurocup en 2021 ?\nC’est bien pour eux. Ce qu’ils font, c’est remarquable. Monter comme ça dans la hiérarchie européenne, ça ne s’est pas beaucoup vu par le passé. C’est quand même énorme pour la France d’avoir un club qui arrive à ce niveau-là, parmi les meilleures équipes d’Europe. La seule chose que je regrette un petit peu - et ce n’est que mon avis - c’est que les joueurs français n’aient pas vraiment d’impact en Euroleague.\n\nLe Real Madrid est-il intouchable cette année selon vous ?\nIls ont un effectif solide. On les a joués cinq fois cette année. Peu importe la configuration, ils trouvent toujours un moyen de gagner le match. Ils ont un collectif bien huilé. Quand ils sont au complet, c’est très difficile de jouer contre eux.\n\nQuel est votre regard sur l’éventuelle introduction de Dubaï en Euroleague, d’une expansion de ligue à Paris ou à Londres ?\nÇa va rendre l’Euroleague plus attractive. Ça va devenir un championnat mondial - si Dubaï rentre, ça ne sera plus que l’Europe - où les places seront chères (pour les joueurs). C’est toujours intéressant d’avoir des équipes qui ont les moyens et qui rendent le championnat plus attractif. Ce n’est pas une mauvaise chose de tendre vers un business beaucoup plus tangible et plus intéressant sportivement et financièrement.\n\n“Mes années NBA m’ont permis de m’affirmer en tant qu’homme, d’avoir un regard sur le monde entier”\n\nMaintenant que vous avez réalisé une belle carrière en Europe, quel sentiment gardez-vous de vos trois années aux Etats-Unis ?\nÇa a été un moment décisif pour moi car mes années NBA m’ont permis de m’affirmer en tant qu’homme, d’avoir un regard sur le monde entier, sur l’impact d’un sportif dans la société. Grâce à la NBA, j’ai appris ce que c’était que d’être entrepreneur, comment investir son argent... Ça m’a ouvert l’esprit. Quand on est sportif, on est très vite plongé dans un monde où l’on ne voit que nous. La NBA m’a permis d’ouvrir les yeux, d’avoir un œil plus global sur tout ce qu’il se passe y compris sur l’impact racial ou financier. Aujourd’hui, je suis un homme affirmé. Je suis plus qu’un basketteur. Le basket, c’est mon gagne-pain, c’est ma passion, je fais du basket par plaisir mais je suis tout autant investi dans mon rôle de père et mes activités extra-basket.\n\nLe saviez-vous ? Damien Inglis a été sélectionné en 31e position de la draft NBA 2014 devant notamment Nikola Jokic (41e), Walter Tavares (43e) ou encore Vasilije Micic (52e).\n\nQuelles sont ces activités ?\nJe suis entrepreneur. J’ai investi dans des restaurants en Guyane, je suis co-propriétaire de restaurants. J’ai des activités entrepreneuriales dans d’autres business en Guyane. Comme beaucoup d’autres basketteurs, j’ai investi dans la pierre (rires). Bref, j’ai essayé de diversifier mes revenus et de créer de l’économie. Je prends vraiment plaisir dans toutes ces activités. Et je ne vais pas dire que je m’investis politiquement mais j’ai un pied dans la politique en Guyane, je reste très attentif au développement du département, des DOM. C’est encore dans les papiers mais je travaille actuellement sur le projet d’une fondation. Je suis sportif, j’ai un impact énorme sur la société et notamment vis-à-vis des jeunes, qui respectent beaucoup plus les gens qui sortent du même milieu qu’eux et qui arrivent à s’en sortir. J’ai mon mot à dire. Je prends plaisir à le faire. Je veux redonner, je prends à cœur de rendre aux Domiens ce qu’ils m’ont donné - j’ai eu de très bons mentors par le passé - et je ne suis pas le seul.\n\n“Quand j’avais 10 ans, j’ai rencontré Steeve Essart. Il a fait un speech sur ce qu’il fallait faire pour devenir athlète professionnel. Ces 15 minutes ont changé ma vie”\n\nVous avez cette âme de mentor...\nMoi, je suis un sportif avant tout, un fan de basket. C’est important de ne pas perdre le nord, ce qui m’a amené à ce niveau. Et j’ai envie de partager comme on a partagé avec moi. Quand j’avais 10 ans, j’ai rencontré Steeve Essart, qui a été le premier basketteur guyanais à venir en France métropolitaine pour sa carrière de sportif (NDLR : pro entre 1996 et 2016). Il a fait un speech général de 15-20 minutes sur ce qu’il fallait faire pour devenir athlète professionnel. Ces 15 minutes ont changé ma vie. C’était très inspirant. Il n’avait rien dit de très exceptionnel mais je me suis inspiré de son partage d’expérience.\nJe suis très axé sur l’aspect mental, le développement humain et sportif, l’impact d’un sportif à tous les niveaux dans la société : de la santé à l’esprit de cohésion. J’ai appris tout ça au cours de ma carrière et je suis entouré de personnes qui sont mes mentors mais aussi de professionnels, comme des avocats. J’ai une équipe huilée autour de moi pour continuer à me développer en tant que sportif et en tant qu’homme.\n\nIl semble y avoir un petit creux générationnel dans le basket guyanais, qui a été porté entre autres par Kevin Séraphin, mais que pouvez-vous nous dire sur le développement du basket en Guyane ?\nC’est vrai que ça fait quelques années qu’on a pas sorti de grand prospect. C’est un “grand” petit département domien assez pauvre qui est quand même beaucoup plus axé football que basket. On se donne les moyens pour sortir plus de talents au basket, on a pas mal de licenciés, on pratique le basket en Guyane... mais on aimerait beaucoup plus. On espère faire sortir beaucoup plus de talents au travers de la fondation qu’on souhaite monter dans un futur proche - on bosse sur le business plan mais tout n’est pas encore parfaitement huilé. Il faut pouvoir dénicher les talents et les mentorer car il y a beaucoup de jeunes qui se perdent en chemin.\n\nVous avez fait les équipes de France jeunes. Comment expliquez-vous que vous n’ayez été lancé sous le maillot bleu qu’en novembre 2022, pour les qualif de la Coupe du monde 2023 ?\nC’est un peu ma carrière. Je suis parti très jeune en NBA. Après, j’ai connu des blessures, des échecs... J’ai dû me remettre sur pied, réapprendre à jouer au basket en Europe, refaire mes gammes. Je n’étais pas prêt, pas encore assez mature pour évoluer à ce niveau-là. Le talent a toujours été là mais le problème, c’était plus la discipline que demande le haut-niveau, surtout au niveau national. Et avec le corps que j’ai, la façon dont je suis fait, je dirais que je dois faire beaucoup plus que d’autres pour être meilleur ou aussi bon que les autres. J’ai dû apprendre à devenir ou redevenir un homme discipliné. Ça a mis du temps. J’ai fini par atteindre une sorte de maturité grâce au championnat espagnol.\n\nEn février 2023, vous disiez d’ailleurs qu’il vous a fallu quitter la France et vous exiler en Espagne pour que votre travail soit enfin reconnu...\nJ’avais dit ça dans une interview, effectivement. Ce n’est qu’un avis personnel mais il y a du vrai là-dedans. Pour jouer dans des top équipes françaises, comme Monaco par exemple, il faut être à un niveau incroyable pour avoir un vrai rôle, avec un impact. Grâce à l’ASVEL et Monaco, le championnat français est aujourd’hui de plus en plus respecté mais il ne l’a pas toujours été. Quand je suis arrivé à Bilbao (en 2021), que j’ai fait quelques gros matches contre le Real et le Barça, j’ai de suite senti que j’étais beaucoup plus regardé et accepté. L’exposition mais aussi le fait de jouer un basket plus axé sur le jeu d’équipe et sur la confiance m’a permis de fleurir et d’atteindre l’équipe de France. Donc, oui, quelque part, il a fallu que je parte de la France, sortir du championnat, pour devenir international et faire partie des meilleurs joueurs français. La plupart d’entre eux ne jouent d’ailleurs pas en France, particulièrement en NBA et en Euroleague, ce n’est pas un secret.\n\nComment avez-vous vécu le fait de ne pas faire partie de la liste pour la Coupe du monde 2023 ?\nSur le moment, j’étais déçu car j’avais très envie d’y aller. J’avais très bien fini la saison à Gran Canaria (NDLR : vainqueur de l’Eurocup). Dans un deuxième temps, ça m’a motivé à faire encore plus la nouvelle saison. Malgré tout, j’ai compris pourquoi je n’y étais pas. Je n’étais pas en Euroleague : c’était dur de justifier ma présence pour une première compétition internationale avec le monde qu’il y avait à mon poste. Maintenant, je continue de jouer ma petite carte à fond et je prends ce qu’il y a à prendre.\n\nMalgré tout, vous avez toujours été appelé par Vincent Collet pour les fenêtres internationales depuis novembre 2022, et encore en février dernier avec l’ouverture aux joueurs d’Euroleague. Avez-vous senti une concurrence accrue en Equipe de France, sachant que c’était le dernier rassemblement avant la préparation des JO de Paris ?\nCette fenêtre n’a pas été différente des autres. Vincent (Collet) a énormément insisté sur la défense, notre agressivité sur la balle, mais son message reste le même. On a des joueurs assez intelligents pour comprendre les qualités de chacun. Pour réussir, on doit se plier aux besoins du coach. On va essayer de ramener la meilleure médaille possible, quelle que soit la composition de l’équipe.\n\nMalgré la concurrence, notamment sur votre poste avec entre autres Guerschon Yabusele, Nicolas Batum, l’arrivée potentielle de Victor Wembanyama... Pensez-vous avoir une carte à jouer pour Paris 2024 ?\nJe suis un compétiteur. Autant de sacrifices faits, ce n’est pas pour rien. Evidemment que je vais jouer ma carte à fond si je suis appelé. Vincent Collet sait que je suis disponible. Si je ne suis pas dans la liste, ma carrière continuera et je devrai me préparer pour la saison d’après, c’est aussi simple que ça.\n\nVous avez signé un contrat de 1+1 an à Valence mais le club n’est pas assuré de disputer l’Euroleague la saison prochaine. Serez-vous encore à Valence ?\nSincèrement, je n’en ai aucune idée. On vient tout juste de changer de coach (NDLR : interview réalisée le 9 avril dernier, quatre jours après le licenciement d’Alex Mumbru), c’est difficile de savoir dans quel sens on va se diriger. Il y a des incertitudes, y compris sur une participation à l’Euroleague. Maintenant que j’ai goûté à l’Euroleague, que je me suis montré au monde européen, j’y suis ouvert. Je veux jouer au top niveau européen. Je resterai à Valence s’il y a l’Euroleague et si le projet m’intéresse mais il est trop tôt pour avoir un avis tranché sur la question.\n\nÀ moyen terme, seriez-vous intéressé pour revenir dans le championnat de France ?\nJe suis ouvert à tout, je ne suis fermé à rien. A moyen terme, mon objectif reste de jouer l’Euroleague.”
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Euroleague : Monaco-Fenerbahçe pour une place au Final Four
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L'AS Monaco (23-11) a terminé 3e de la saison régulière alors que le Fener (20-14) s'est classé sixième avec trois défaites sur les quatre derniers matches. Les deux équipes ont gagné chez elle : victoire des Turcs, 86-74, au Ulker Sports and Event Hall le 15 décembre, victoire 76-69 des Monégasques à Gaston-Médecin le 2 février. Depuis l'arrivé de la Roca Team en Euroleague lors de la saison 2021-22, le Fener mène quatre victoires à deux.\n\nLe site du club a rassemblé quelques données et des commentaires du coach et de joueurs de la Roca Team.\n\nLes tops 5 des scoreurs\n\nAS Monaco :\nMike James (USA), meneur, 18,7 pts, 5,2 passes.\nElie Okobo (FRA), meneur-arrière, 10,8 pts, 3,2 passes.\nAlpha Diallo (USA), arrière-ailier, 10,5 pts, 4,2 rebonds.\nJordan Loyd (USA), meneur-arrière, 10,3 pts, 2,6 rebonds.\nDontas Motiejunas (Lituanie), pivot, 8,1 pts, 3,4 rebonds.\n\nFenerbahçe Istanbul :\nNigel Hayes-Davis (USA), ailier, 14,4 pts, 4,7 rebonds.\nScottie Wilbekin (USA), meneur-arrière, 13,2 pts, 3,4 passes.\nJohnathan Motley (USA), pivot, 11,8 pts, 4,3 rebonds.\nMarko Guduric (Serbie), arrière, 9 pts, 2,6 rebonds.\nTyler Dorsey (USA), arrière, 8,9 pts, 1,6 rebonds.\n\nLe programme de la série\n\nMatch 1 : mercredi 24 avril à 19h à Gaston-Médecin.\nMatch 2 : vendredi 26 avril à 19h à Gaston-Médecin.\nMatch 3 : mercredi 1er mai à 19h45 à Istanbul.\nMatch 4 éventuel : vendredi 3 mai à 19h45 à Istanbul.\nMatch 5 éventuel : date à déterminer, à Gaston-Médecin.\n\nQuelques comparaisons par Darius Garuolis :\n\nSasa Obradovic : «Le Fener a des jokers dans toutes les positions. Le travail du coach (Sarunas Jasikevicius) est excellent, il va obtenir le maximum de ses joueurs. Ce sera une série très difficile. Ce n'est pas un joueur qui fera la différence... Hayes est un facteur clé, ils ont des pivots qui peuvent shooter, Dorsey qui monte en puissance, ce sont des joueurs NBA. Pour le Fener le Final Four est un objectif du début de saison, au vu de l'effectif, de tout l'investissement, de l’histoire. De notre côté nous avons réalisé un grand accomplissement en saison régulière mais tout le monde veut gravir un nouveau palier, aller au Final Four. Nous l'avons déjà fait la saison passée, ce serait incroyable. Il pourrait y avoir des surprises de la part des coaches, des petites choses.... La concentration, la dureté, feront la différence.»\n\nJaron Blossomgame : « Les deux équipes peuvent gagner à l’extérieur. Nous étions la deuxième meilleure équipe en déplacement cette saison derrière Madrid, avec 10 victoires. De leur côté ils ont été incroyablement efficaces à la maison (15-2), mais nous avons de l’expérience, nous savons quel sera le contexte là-bas, nous pouvons l’affronter. En premier lieu, nous allons tout faire pour faire la différence à la maison, avec le soutien de nos fans. Je pense que ce sera encore énormément intense mais une série orientée davantage sur la défense. Le Maccabi est une équipe au gros impact offensif, comme nous, le Fener a plus de puissance en défense que le Maccabi. Je ne m’attends pas à de gros scores, je pense que ce sera beaucoup plus physique, un basket dur, sans concession, et je pense que l’équipe la plus solide l’emportera. Le rebond sera déterminant ainsi que tous les détails qui font la décision dans les grandes batailles. »\n\nJordan Loyd : «Dans l'ensemble, nous nous sentons bien. Nous sommes confiants. Nous attendons ce moment avec impatience depuis deux semaines, c'est donc excitant. Nous sommes tout simplement ravis d'être de retour en playoffs, et nous espérons une grande opportunité. Nous sommes en très bonne position. L'équipe est en excellente position. Tout le monde est très motivé et prêt pour demain. Fener est une grande équipe, évidemment. Une équipe bien entraînée, une équipe très physique, une grande équipe. Ils vous lancent beaucoup de choses différentes, offensivement et défensivement. Nous devons donc communiquer. Nous devons être au point, nous devons être vifs et nous devons jouer dur. Nous devons faire les petites choses vraiment bien. Il faut donc être capable de s'ajuster, de s'adapter, de communiquer avec ses coéquipiers. C'est un effort d'équipe, pas seulement d'une personne. Pour l'instant, nous ne pensons qu'au premier match. C'est tout ce qui nous préoccupe. Nous sommes heureux de jouer à domicile et nous allons en profiter.»\n\nAlpha Diallo : «Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous connaissons l'objectif et nous travaillons pour atteindre le Final Four. C’est toujours un match très serré quand nous jouons contre Fenerbahçe. Je pense que c'est une équipe très dure et physique, donc nous savons que nous devons faire face à cette énergie, et nous aurons le public derrière nous sur notre terrain, donc nous devons y aller et faire le travail. Ils ont de très grands arrières et une très grande présence à l'intérieur. Nous devons être à la hauteur de cette intensité et être prêts à jouer. Nous avons eu beaucoup de temps pour nous préparer. Nous connaissons déjà cette équipe parce que nous l'avons déjà jouée plusieurs fois. J'ai l'impression que ce sera une bonne série. Nous avons notre public derrière nous, l'avantage du terrain, alors nous devons en profiter. Nous n'avons pas le plus grand nombre de supporters en Euroleague, mais nous avons certains des meilleurs supporters. Nous sommes ravis de les avoir, et nous avons hâte de les voir se déchaîner avec nous ce mercredi.»\n\nDonatas Motiejunas : «Nous travaillons toute l'année pour ce genre de moment. Ce qui est fou, c'est que ces moments passent très vite. On a l'impression que la saison est si longue. Il faut se battre chaque semaine, parfois deux fois par semaine, surtout en Euroleague. Puis, lorsque les playoffs arrivent, tout s’enchaîne. Il suffit de regarder le tableau de l'EuroLeague et de voir quelles équipes n'ont pas réussi à se qualifier, avec quel type de talent. Je pense que c'est un privilège pour nous. Je pense que nous avons encore vécu une année extraordinaire. Nous sommes encore mieux préparés cette année que l'année dernière. Je pense que le Fener est une équipe terrible, forte, avec un entraîneur extraordinaire. Il est très précis, très tactique. Ce sera une bataille physique très forte entre deux équipes aux styles différents Je pense que pour les fans, cela va être un énorme divertissement. Je m'attends à ce que nos supporters viennent prêts à applaudir, à crier et à transpirer parce que nous aurons besoin d'eux dans notre dos, c'est certain. Ce sont eux qui nous donnent de l'énergie. Si je me souviens bien du cinquième match de l'année dernière, ils nous soulèvent vraiment.»
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3x3 : Les Bleues à la première étape des FIBA 3x3 Women's Series à Springfield
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L’Équipe de France féminine 3x3 lance sa saison ce mercredi auxÉtats-Unisavec la première étape du circuit international FIBA 3x3 Women’s Series. La première des dix-neuf étapes du circuit devrait permettre aux Bleues de se jauger face à certaines des meilleures équipes du monde. En effet, leCanada, l’AllemagneetPorto Ricoseront de la partie tout les Etats-Unis, champions du monde en titre.\n\nA quelques mois des Jeux Olympiques et quelques jours des différents Tournois de Qualification Olympique, cette étape américaine sera l’occasion pour de nombreux pays de tester ses joueuses et évaluer la concurrence au plus haut niveau mondial. Afin de pouvoir préserver les organismes au maximum cet été et pour répondre aux règles de la FIBA, le coach Yann Julien a composéun groupe de 6 joueusesqui défendra les couleurs de la Francesur les différentes étapes du circuit cette saison.\n\nLe circuit mondial féminin fera escale en France pour cinq étapes cette saison menant aux FIBA 3x3 Women’s Series Finals. Vainqueur de l’édition 2019 et finaliste en 2022 et 2023, la France peut nourrir de grandes ambitions dans la compétition. La saison dernière les Bleues s’étaient qualifiées pour la finale mondiale du circuit grâce notamment à leurs trois victoires obtenues sur les étapes deBordeaux,Clermont-FerrandetMarseille.\n\nComposition du groupe:\n\n\n\nNom\n\nPrénom\n\nNée le\n\nRanking FIBA\n\nClub\n\nLIMOUZIN\n\nHortense\n\n01/07/1998\n\n18\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\nDJEKOUNDADE\n\nMyriam\n\n02/01/1998\n\n21\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\nNGO NDJOCK\n\nAnna\n\n14/01/1999\n\n66\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\nPAGET\n\nMarie-Eve\n\n28/11/1994\n\n39\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\n\n\nEntraineur: Yann Julien\n\nRetrouvez le programme complet du Women’s Series de Springfield encliquant ici\n\nToutes les rencontres seront à suivre en direct surYouTube.com/FIBA3x3
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Euroleague : Le Maccabi Tel-Aviv surprend le Panathinaïkos et reprend déjà l'avantage du terrain !
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On leur promettait l'enfer dans une OAKA Arena surchauffée ce mardi. Mais ni le contexte, ni l'adversité solide proposée par le Panathinaïkos n'ont suffi à faire trembler le Maccabi Tel-Aviv à l'occasion de ce premier match des quarts de finale de l'Euroleague. Menés pendant la majeure partie du match mais jamais décrochés, les Israéliens ont ressurgi dans le dernier quart-temps pour arracher la victoire contre toute attente dans la capitale grecque (87-91).\n\nMeilleure attaque de la compétition cette saison, la troupe menée par Oded Kattash faisait honneur à sa réputation en imposant son jeu rapide dès les premiers instants. Mais le Pana ne se laissait pas décrocher, tenant le rythme offensif de son adversaire dans le premier quart-temps (25-26) avant de faire preuve de davantage de contrôle ensuite. Auteurs d'un impeccable 11/11 à deux points dans la première moitié du match, l'excellent Mathias Lessort (22 points, 6 rebonds) et ses coéquipiers rentraient aux vestiaires avec de l'avance au tableau d'affichage (50-42).\n\n\nLe Maccabi ne lâche rien\n\nAvec un Kostas Sloukas en mode chef d'orchestre (12 points, 13 passes décisives), l'attaque grecque ne ralentissait pas après la pause. En face, Lorenzo Brown (16 points) et ses coéquipiers s'accrochaient sans parvenir à recoller complètement dans le troisième quart (70-63). Mais Tel-Aviv accentuait encore sa pression en égalisant dès le début de l'ultime période (73-73). Même la sortie sur blessure de leur leader Wade Baldwin (15 points, 7 passes décisives) ne déstabilisait pas la dynamique positive des hommes d'Oded Kattash, qui prenaient l'avantage.\n\nTout se jouait finalement dans la dernière minute, avec un panier décisif de Lorenzo Brown suivi d'une perte de balle fatale de Kostas Sloukas. À force de ne pas arriver à faire l'écart, le Panathinaïkos a été puni par une équipe du Maccabi Tel-Aviv qui n'a jamais cessé de croire à la victoire ce mardi (87-91). Un succès d'une importance fondamentale pour les Israéliens, qui reprennent l'avantage du terrain aux Grecs. Deuxièmes du classement de la saison régulière, ces derniers se retrouvent désormais sous pression et devront impérativement remporter leur deuxième match à domicile jeudi pour ne pas se rapprocher d'une élimination prématurée.\n\nWOW! Who saw that coming? @MaccabiTLVBC take Game One in Athens! #EveryGameMatters pic.twitter.com/T8mCFRONpZ\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024\n\n\nBoxscore Panathinaïkos - Maccabi Tel-Aviv / Calendrier Playoffs Euroleague
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Euroleague : Le Real Madrid croque Baskonia
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Après avoir survolé la saison régulière de l'Euroleague, le Real Madrid attaquait enfin les choses sérieuses dans la défense de son titre avec le premier match de son quart de finale contre Baskonia. Une formalité pour l'équipe de la capitale, qui n'a laissé aucune chance à son adversaire dans cet duel entre équipes espagnoles. En tête de bout en bout, les hommes de Chus Mateo ont même mis un bel éclat à l'équipe de Dusko Ivanovic, complètement dominée dans cette rencontre (90-74).\n\nLes Merengue ont mis la main sur la rencontre dès les premières minutes avec un 8-2 initial. Ils dépassaient rapidement la dizaine de points d'avance (25-11) avant de voir leur adversaire basque rentrer dans son match (26-17 à la fin du premier quart-temps). Rien de bien inquiétant pour Dzanan Musa (16 points, 3 rebonds, 3 passes décisives) et ses partenaires, qui repartaient rapidement de l'avant pour mener de 11 points à mi-parcours (48-37).\n\n\nUn match à sens unique\n\nLe retour des vestiaires ressemblait beaucoup au début de match, avec un Real Madrid conquérant et décidé à envoyer son adversaire dans les cordes. Collectifs (21 passes décisives) et adroits à trois points (42,4 % de réussite), les Madrilènes se détachaient inexorablement (70-53). Du côté de Baskonia, Markus Howard (15 points) et Matthew Costello (14 points, 6 rebonds, 3 passes décisives) se démenaient mais cela était bien insuffisant face à l'armada adverse.\n\nAlors que le sort de la rencontre était scellé, Vincent Poirier (10 points, 7 rebonds) se distinguait, Sergio Llull dépassait Juan Carlos Navarro au classement des joueurs ayant inscrit le plus de tirs à trois points dans l'histoire de l'Euroleague et le Real Madrid gérait proprement les derniers instants de la rencontre (90-74). Un premier match sans grand frisson pour le champion d'Europe en titre, qui a fait respecter son statut contre le 8e de la saison régulière. De son côté, Baskonia se tourne déjà vers le deuxième match dans la capitale espagnole ce jeudi, en sachant qu'il faudra faire bien mieux pour mettre en danger ce Real là sur son parquet.\n\nOn a night that saw Sergio Llull become the competition's all-time leader in three-pointers made, @RMBaloncesto cruised to a 90-74 victory over @Baskonia to a 1-0 lead in their best-of-five series\n\nBaskonia will try to regroup for Game 2 on Thursday pic.twitter.com/3rpSmB760L\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024\n\n\nBoxscore Real Madrid - Baskonia / Calendrier Playoffs Euroleague
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Betclic Elite : Limoges et Chalon valident le maintien !
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A trois journées de la fin, Limoges et Chalon-sur-Saône peuvent souffler : le maintien dans l’élite est validé. Le CSP a réussi un joli tour de force contre le BCM Gravelines-Dunkerque, qui pouvait aussi faire un pas vers le maintien en cas de victoire (88-63). Il n’en a rien été, la faute à leur maladresse extérieure (5/21 à 3-points) mais surtout à un Nicolas Lang de gala (26 points à 8/13 aux tirs et 7/7 aux lancers, 3 rebonds et 3 passes décisives pour 27 d’évaluation en 30 minutes).\n\n⚪️⚪️🟢⚪️ 7’55\n\nLucaaaaas c’est quoi ce truc ???!!🤯\n\n44-28 pic.twitter.com/CyeWFjSsIr\n\n— Limoges CSP (@limogescsp) April 23, 2024\n\n\nMême constat pour l'Élan qui a non seulement validé son maintien mais aussi resserré l’étau autour de Blois, qui compte deux victoires de retard sur Gravelines, 15e et premier non-relégable, tandis que le BCM pourrait voir revenir la Chorale en cas de faux pas au prochain match. Les coéquipiers de Milan Barbitch (13 points) ont laissé échapper une avance de 9 points dans le dernier quart-temps pour s'incliner en prolongation (92-95), subissant le coup de chaud de Demonte Harper (36 points à 11/20 aux tirs, 5 rebonds, 29 d’éval en 38 minutes).\n\nQuatre équipes vont continuer de se confronter à distance (Dijon, Gravelines-Dunkerque, Roanne et Blois) pour éviter de terminer parmi les deux équipes relégables qui accompagneront Boulogne-Levallois en Pro B.\n\nRésultats / Classement Betclic Elite
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LFB : Villeneuve d’Ascq et Lattes-Montpellier dans le dernier carré
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Après Basket Landes et Tarbes, Villeneuve d’Ascq et Lattes-Montpellier ont obtenu leur ticket pour la demi-finale de la Ligue Féminine. Ce mardi soir au Palacium, l’ESBVA, déjà vainqueur de 9 points à l’aller, n'a laissé aucun espoir à Angers (100-91). Avec cinq joueuses à plus de 10 points, le collectif nordiste a fait déjouer l'UFAB 49 d'une Julie Wojta trop seule (23 points à 9/14 au tir) pour parvenir à renverser la vapeur en terre adverse.\n\nC’est par la grande porte que la double MVP en titre du championnat de France, Kennedy Burke, boucle son aventure villeneuvoise (20 points à 8/14 aux tirs). L’ailière américaine va partir à la conquête de la WNBA avec le New York Liberty et ses coéquipières devront faire sans elle.\n\nLes vice-championnes d'Europe rejoignent ainsi Lattes-Montpellier dans le dernier carré. Malgré leur défaite au match retour (64-75), les Gazelles ont décroché leur qualification en parvenant à conserver leur avance de 15 points à l’aller contre le promu, Charnay (62-77).\n\nElles peuvent remercier Élodie Naigre (26 points à 11/13 et 9 rebonds), qui a - entre autres - sécurisé la qualification à 24 secondes du buzzer en se jetant sur la balle pour obtenir la dernière possession. Le conte de fées s’arrête ainsi en quarts-de-finale pour Charnay, à 4 petits points d’un dernier carré.\n\nLigue Féminine - Résultats des quarts de finale\nBasket Landes (3) - Lyon (6) : 89-67 / 79-60 / Basket Landes qualifié 168-127\nBourges (2) - Tarbes (5) : 87-69 / 98-83 / Tarbes qualifié 170-167\nLattes Montpellier (4) - Charnay (5) : 77-62 / 64-75 / Lattes-Montpellier qualifié 141-137\nVilleneuve d’Ascq (1) - Angers (8) : 82-73 / 100-91 / Villeneuve d'Ascq qualifié 182-164
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NM1 : les trophées individuels dévoilés, Aaron Levarity élu MVP
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La FFBB a dévoilé ce mardi soir, après la fin de la deuxième phase de la troisième division française masculine, les lauréats de ses trophées individuels. Parmi le cinq majeur, on retrouve deux champions de France avec Hyères-Toulon, le meneur Théo Lefebvre et le pivot Quentin Losser, mais aussi les anciens de LNB, Valentin Bigote (Le Havre) et Jazzmarr Ferguson (Saint-Vallier). Un quatuor complété par le MVP de la saison régulière, Aaron Levarity.\n\nValeur sûre du collectif de Fabien Anthonioz sur le plan défensif et offensif (57,9% au tir), énorme rebondeur (18 doubles-doubles réalisés cette saison) et leader de la statistique en NM1 (11,6 prises par match), l’intérieur de 27 ans de Boulogne-sur-Mer est tout simplement la meilleure évaluation du championnat. L’international bahaméen s’est imposé comme une valeur sûre de la NM1, lui qui était arrivé à Lyon SO la saison précédente après avoir lancé sa carrière au Danemark. Il succède au palmarès à Joe Burton.\n\n\nNolan Traoré, meilleur jeune\n\nOutre le titre de meilleur entraîneur, qui - on le savait déjà - revient à Jean-Louis Borg, qui a brillamment renvoyé le HTV en Pro B, le vote organisé auprès des joueurs, représentés par les capitaines de chaque équipe de la division, des entraîneurs et d’un panel de médias a choisi de récompenser Nolan Traoré comme meilleur jeune de la division.\n\nLa pépite du Pôle France - qui termine la saison avec Saint-Quentin - a explosé lors de la première partie de saison avec le Centre fédéral. Le meneur a compilé 16,8 points, 3,2 rebonds, 5,5 passes et 2 interceptions pour 16,3 d’évaluation, ce qui fait de lui le quatrième scoreur, le neuvième passeur, le troisième intercepteur et onzième à l’évaluation. Pas mal pour un joueur de 17 ans ?\n\nLe cinq majeur\nThéo LEFEBVRE (Hyères-Toulon - 28 ans / FRA) : 10,2 points / 2,5 rebonds / 6,5 passes / 1,3 interceptions / Evaluation : 12,4 (36 matches).\nJazzmarr FERGUSON (Saint-Vallier - 35 ans / USA) : 17,3 points / 2,7 rebonds / 3,7 passes / 1,1 interceptions / Evaluation : 14,1 (36 matches).\nValentin BIGOTE (Le Havre - 32 ans / FRA) : 16,4 points / 4,4 rebonds / 4,4 passes / 1,1 interceptions / Evaluation : 17,7 (34 matches).\nAaron LEVARITY (Boulogne-sur-Mer - 26 ans / BHS) : 12,3 points / 11,6 rebonds / 2 passes / Evaluation : 21,2 (33 matches).\nQuentin LOSSER (Hyères-Toulon - 24 ans / FRA) : 11,3 points / 7,3 rebonds / 1,4 passes / 1,3 interceptions / Evaluation : 15,7 (36 matches).\n\nLe palmarès
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L'USK Prague perd son premier match de championnat... depuis onze ans !
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L’incroyable série de victoires de l’USK Prague a pris fin. Après 301 succès de rang dans le championnat de République tchèque de basket féminin, le club où évolue la Française Valériane Ayayi a été défait, ce lundi, dans le match 2 de la finale (71-69).\n\nLe Zabiny Brno, l'équipe dans laquelle évoluait Lou Lopez Sénéchal en début de saison, a ainsi recollé à 1-1 dans cette finale. Il n’y a pas non plus péril en la demeure pour les demi-finalistes de l'Euroleague - éliminées par Villeneuve d’Ascq - puisque la série se joue au meilleur des cinq manches et que Prague dispose toujours de l'avantage du terrain.\n\nC’est tout de même un exploit remarquable puisque Prague, titré sans discontinuer depuis 2011, n’avait plus perdu un match en championnat, playoffs inclus, depuis onze ans ! C’était le 30 avril 2013, déjà en finale contre Brno.\n\nMarca précise que ces 301 victoires d’affilée constituent un record encore plus impressionnant que celui des 256 succès de rang de Brno entre février 1998 et février 2007.
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Fin de l'Euroleague sur La Chaîne L'Équipe ?
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À l’inverse de l’écran noir sur Skweek en Betclic Elite, c’est La Chaîne L’Equipe qui ne devrait plus diffuser l’Euroleague. Selon le média En Pleine Lucarne, la chaîne 21 de la TNT ne retransmettra plus l’Euroleague cette saison, et donc aucun match de Monaco en playoffs, même en cas de qualification pour le Final Four.\n\nLa fin de saison européenne sera donc diffusée en exclusivité... sur Skweek, à commencer par les quarts de finale entre Monaco et Fenerbahçe dont le match 1 est programmé ce mercredi soir à 19h.\n\nEn début de saison, Skweek et La Chaîne L’Equipe avaient reconduit leur partenariat concernant la diffusion en clair des matches de la compétition reine en Europe après une première saison qui avait fait la part belle à la qualification de Monaco au Final Four. Pour l'heure, l'arrêt ne concerne que cette fin de saison.\n\nEn outre, la plateforme Skweek a informé ses abonnés mardi soir qu’elle ne serait “pas en mesure de diffuser la 31e journée de Betclic Elite” et qu’elle faisait son “possible pour rétablir la diffusion dans les plus brefs délais”.\n\nLe programme TV : Objectif Final Four de l’Euroleague pour Monaco contre le FenerbahçeLa fin de saison approche, et le rythme s’élève cette semaine avec beaucoup de rencontre à fort enjeu dans les différentes compétitions : le quart de finale de Monaco contre le Fenerbahçe en Euroleague, la Betclic Elite, les playoffs de la Ligue féminine ou encore les finales de la Coupe de France.BasketEurope.comLa rédaction
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Euroleague : Sergio Llull s'offre le record du plus grand nombre de tirs à trois points inscrits
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À 36 ans, Sergio Llull continue d'écrire sa légende en Euroleague. Reconnu tout au long de sa carrière pour sa capacité à inscrire de gros tirs, le meneur espagnol s'est adjugé la première place d'un prestigieux classement : celui des joueurs ayant inscrit le plus de tirs à trois points dans leur carrière en Euroleague.\n\nLA FAMEUSE \MANDARINA\ DE SERGIO LLULL 🍊🍊🍊@RMBaloncesto x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/pN2I3GhZ6e\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 23, 2024\n\n\nAvec ses deux réussite à longue distance lors de la large victoire du Real Madrid contre Baskonia (90-74), l'international espagnol européenne en est désormais à 624 tirs à trois points inscrits - en 403 matches - dans la plus prestigieuse compétition européenne. Soit une unité de plus qu'une autre légende du basket espagnol et européen, Juan Carlos Navarro, qui a pour sa part disputé 341 rencontres.\n\nAvec ce nouveau record, Llull rentre un peu plus dans l'histoire et rappelle qu'il est toujours là, malgré l'usure du temps. Acteur important du triomphe européen de son équipe en 2023, il pourrait avoir une nouvelle fois son mot à dire dans la défense de ce titre en Euroleague au cours des prochaines semaines.\n\n1-0 y récord de triples de la Euroliga!\nA seguir! 😜🍊#HalaMadrid pic.twitter.com/8DcXWJCSUr\n\n— Sergio Llull (@23Llull) April 23, 2024\n
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Rudy Gobert candidat au rôle de porte-drapeau pour les Jeux Olympiques de Paris
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Après l'échec de la Coupe du Monde 2023 avec les Bleus, Rudy Gobert a parfaitement rebondi. Pour sa deuxième saison avec les Minnesota Timberwolves, le pivot français est l'une des grandes raisons de la réussite de son équipe, troisième au classement de la Conférence Ouest en NBA. Ce retour en forme semble bienvenu pour l'équipe de France, alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 se profilent. Un événement lors duquel le Français se verrait bien représenter son pays en tant que porte-drapeau, comme il l'a récemment affirmé dans Le Monde :\n\n\Bien sûr que je postule, j’en ai toujours rêvé et ce serait un incroyable honneur. Je me suis toujours dévoué à l’équipe de France et ce serait une nouvelle manière de représenter le pays\\n\nMais ce rêve est encore loin de se concrétiser pour l'ancien joueur du Utah Jazz au vu de l'importante concurrence à laquelle il va faire face dans l'attribution de ce rôle symbolique. Quoi qu'il en soit, le natif de Saint-Quentin sera un élément-clé de l'équipe de France lors du tournoi olympique. Une compétition lors de laquelle il espère battre les Etats-Unis et décrocher un premier titre olympique, à domicile.\n\nAvant cela, le joueur de 31 ans a une saison à terminer de l'autre côté de l'Atlantique. Grand favori pour glaner un quatrième titre de meilleur défenseur de la saison, il permet pour l'instant aux Wolves de mener deux victoires à zéro au premier tour des playoffs contre les Phoenix Suns. Avec un Rudy Gobert à ce niveau, l'équipe de Minneapolis peut espérer prolonger sa saison lors des prochaines semaines.\n\nRUDY. GOBERT. 🇫🇷 🐺\n\n18 POINTS\n9 REBONDS\n2 PASSES\n3 STL / 1 BLK\n6-8 FG\n6-7 FT @rudygobert27 & les @Timberwolves mènent 2-0 face aux Suns ! pic.twitter.com/96FNgJ93Fv\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) April 24, 2024\n
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Ergin Ataman : “Si nous n’allons pas au Final Four, je ne serai plus au Panathinaïkos la saison prochaine”
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Pour son grand retour en playoffs, le Panathinaïkos a perdu son avantage du terrain dès le match 1 face au Maccabi Tel-Aviv. Une défaite (87-91) que l’entraîneur Ergin Ataman a en travers de la gorge, comme en atteste son commentaire d’après match.\n\n“Nous n'avons pas bien joué, mais deux fautes sur des tirs à 3-points... C’est ridicule. Je ne comprends pas. Ce n’est pas juste pour le basket de donner 6 points à Baldwin à chaque fois dans cette position. Quoi qu'il en soit, nous n’avons pas bien joué. Nous avons eu une chance de gagner le match mais nous avons raté beaucoup de tirs ouverts, nous avons fait perdu un ballon sur la dernière possession (Kostas Sloukas) et le Maccabi a gagné le match. Mais nous n’en sommes qu’à 0-1. Nous gagnerons cette série”, avait partagé le coach turc quelques minutes après le buzzer final.\n\nLe fantasque tacticien s’est ensuite montré bref en conférence de presse où il n’a fourni aux journalistes qu’une seule citation... inattendue et évasive.\n\n“Nous sommes une bien meilleure équipe que le Maccabi. Perdre 1-0 n'est pas très important pour nous. Nous devons retrouver notre forme et notre jeu. J'ai promis à tous les gens ici que nous irions au Final Four. Si nous n’allons pas au Final Four, je ne serai plus au Panathinaïkos l'année prochaine.”\n\nL’été dernier, le coach turc a signé un contrat de deux ans au sein de la maison verte. Pour ne pas mettre un terme prématuré à ce dernier, il vaudrait mieux que le Pana égalise lors du match 2 prévu ce jeudi à 20h15 à l’OAKA Arena. Sinon, le déplacement à la Stark Arena de Belgrade - où joue le Maccabi en playoffs - s’effectuera avec une épée de Damoclès sur les hommes d’Ergin Ataman.\n\nEuroleague : Le Maccabi Tel-Aviv surprend le Panathinaïkos et reprend déjà l’avantage du terrain !Longtemps mené au score dans le premier match de ces quarts de finale de l’Euroleague ce mardi, le Maccabi Tel-Aviv est parvenu à renverser le Panathinaïkos dans le dernier quart-temps ! (87-91) Les Israéliens entament parfaitement leur série alors que les Grecs se retrouvent déjà sous pression.BasketEurope.comValentin Perrot
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Paoline Ekambi: «Quelques mois après mon entrée à l’INSEP, ma vie est devenue un enfer»
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Paoline Ekambi a été une pionnière. Elle fut membre de l’équipe juniors médaillée d’argent à l’Euro juniors en 1981. C’était la première fois qu’une équipe féminine française montait en jeune sur un podium. Un autre temps. La Parisienne fut également la première Française à partir aux Etats-Unis dans une université américaine de Division I, le Marist College, avec côté études une option langues avec russe, italien, français littéraire et bien sûr anglais. Trois fois championne de France, elle fut surtout médaillée d’argent à l’Euro de 1993 avec des équipières telles que Yannick Souvré, Isabelle Fijalkowki, Odile Santaniello et Carole Force. Son parcours en équipe de France s’est échelonné de 1980 à 1993 et une fois conclu, elle fut la recordwoman de sélections (254) jusqu’à ce que Céline Dumerc fasse encore un peu mieux (262).\n\nPaoline Ekambi, 61 ans, est encore une pionnière dans le basket à son corps défendant. Victime à l’adolescence d’un inceste de la part de son père, elle a eu le courage de rendre publics ces moments extrêmement douloureux, inhumains. Elle témoigne de ses souffrances dans un ouvrage intitulé «Ma promesse en héritage», aux éditions Amphora*.\n\n«Comment vit-on de l’intérieur un quotidien dont l’horreur est devenue insupportable? Quels mécanismes mettons en place pour survivre? Comment la sidération se mue-t-elle en combattivité?» Ce sont les questions posées dans la préface du livre avec les réponses à l’intérieur.\n\nPour ce témoignage, Paoline Ekambi a été guidée par la journaliste Liliane Trévisan, passée notamment par le mensuel Maxi-Basket, le quotidien L’Equipe, et aujourd’hui collaboratrice à BasketEurope.\n\nVoici l’exposé de Paoline Ekambi et Liliane Trévisan:\n\n\nPaoline Ekambi: «Le basket a été en fait pour moi un espace de liberté, qui m’a permis de souffler un peu et surtout de me réapproprier mon corps, mes émotions»\n\n\n\n«Je suis très émue. Ce n’est pas évident de parler de soi car dans le sport, on n’a pas l’habitude de montrer ses faiblesses. J’avais pensé depuis très longtemps de faire de mon trauma un engagement pour impacter positivement sur la société, contribuer à ce combat crucial car je ne veux pas détourner mon regard des enfants qui souffrent que ce soit dans le sport ou dans d’autres domaines.\n\nJe vais vous donner quelques chiffres car ils sont édifiants et c’est ce qui m’a encore plus motivée de dépasser la douleur de ce que ça pu être de m’immerger dans l’enfer de mon enfance pour rédiger ce livre. Aujourd’hui, il y a 6,7 millions de Français qui déclarent avoir été victimes d’inceste. Ce qui fait 10% de la population française. Il y a 22% d’hommes et 78% de femmes. C’est à prendre avec mesure car je parle bien de gens qui ont déclaré. Il y a 160 000 enfants par an qui sont victimes d’inceste. Ce qui fait à peu près 148 enfants par jour. C’est insupportable.\n\nA travers mon histoire personnelle, dans ce livre, je voudrais dire que le basket c’est plus qu’un sport. Quand j’ai commencé le basket à l’INSEP, j’avais 14 ans. Jusque-là, j’avais été éduqué à la dure mais quelques mois après mon entrée à l’INSEP, ma vie est devenue un enfer. Le basket a été en fait pour moi un espace de liberté, qui m’a permis de souffler un peu et surtout de me réapproprier mon corps, mes émotions. Surtout, je dois énormément à mes coaches de l’époque. Jackie Delachet était la capitaine de l’équipe de France médaillée d’argent au championnat d’Europe de 1970 et vice-championne d’Europe (juniors) en tant que coach quand nous étions à l’INSEP.\n\nA 17 ans, après un entraînement à l’INSEP, j’ai complètement craqué car c’était vraiment très lourd à porter. A mon entraîneur, Jackie, et au directeur technique national, qui était Joë Jaunay -j’ai eu aussi la chance de connaître comme président de la fédération Robert Busnel-, j’ai dit que je voulais me suicider. On a parlé ensemble. Leur écoute a été vraiment pour moi bénéfique. A cette époque, dans les années 80, dans notre société l’inceste était extrêmement tabou et personne n’écoutait. Eux l’ont fait, sans jugement, avec bienveillance. Ils ont décidé d’aller voir mes parents. Ils sont revenus, en définitive, il n'y avait rien à faire.\n\nIls m’ont accompagnée pour mettre en place des stratégies d’évitement. Eviter que je retourne chez mes parents le week-end. Grâce à leur soutien, à partir de là, je me suis consacrée pleinement au basket car j’ai compris que c’était pour moi le ticket vers la liberté, que le sport c’était plus que la gloire et les médailles. Cela a un impact significatif pour la reconstruction non seulement émotionnelle mais aussi se réapproprier son corps. C’est un vecteur qui permet aussi de se socialiser, de pouvoir partager sa passion avec d’autres personnes. Pour moi, le sport a le pouvoir de changer des vies et il m’a sauvée la vie. C’est pour ça qu’aujourd’hui j’œuvre dans ce combat, pour aider d’autres victimes, leur donner l’espoir de pouvoir s’en sortir, mais aussi sensibiliser la société. Nous avons aujourd’hui le pouvoir de forcer la reconnaissance de ce crime car il s’agit d’un crime. Un crime qui efface la vie des enfants, qui fracasse des vies, qui est l’abnégation des enfants. Notre devoir est de pouvoir les protéger, protéger leur intégrité pour leur bien-être, leur épanouissement car c’est notre promesse d’avenir.»\n\n\n\n\nLiliane Trévisan: «Le chapitre qui raconte le premier viol de son père a été un fardeau, une épreuve»\n\n«Lorsque j’étais jeune journaliste, j’avais un idéal. Je voyais le sport comme un univers préservé, un endroit où l’on apprend les vraies valeurs, des choses qui comptent dans une vie, la solidarité, le goût de l’effort, de la discipline, le dépassement de soi et aussi l’estime de soi. Inutile de dire qu’au bout de quelques années dans le journalisme de sport, j’ai vite compris que contrairement à l’image que l’on a que le sport est à l’abri des dérives de la société, il ne l’est non seulement pas, mais parfois il les véhicule avec beaucoup de complaisance. Sur la fin de ma carrière à L’Equipe, je me suis investie dans la lutte contre les agressions sexuelles dans le milieu sportif avec l’appui de la direction du journal. J’ai découvert la face très cachée du sport.\n\nIl y a une anecdote qui amuse beaucoup les gens. En fait, j’avais fait un papier sur Paoline dans L’Equipe en février 2021, une double page, où elle exposait vraiment pour la première fois, noir sur blanc, ce qui avait été son calvaire. Cela avait eu beaucoup de retentissement et j’avais été déjà choqué par l’ignominie de ce qu’elle me livrait par parcelles comme anecdotes. J’étais resté en contact avec elle, je suis sa carrière depuis qu’elle a 17 ans pour le magazine Maxi-Basket. Je connaissais déjà bien les dérives du sport mais cette double page m’a ouvert les yeux sur cette championne que je connaissais, que j’avais vu vivre, que j’avais vu jouer, que j’avais accompagné, sur les terrains et dans les hôtels, et comme elle m’avait demandée quelle perception j’avais d’elle à l’époque, je lui ai dit que «pour moi tu étais barge, une joueuse imprévisible, incontrôlable avec des réactions tout le temps excessives, outrancières, que ce soit dans la joie ou dans la colère». A cette époque, je constatais cette chose mais je ne m’étais jamais inquiétée de savoir pourquoi cette fille était comme ça.\n\nL’été dernier, j’étais chez moi très tranquille avec mes deux chats sur mes genoux en train de mater quelques épisodes de Yellow Jackets que j’avais en retard quand mon téléphone a sonné. C’était Paoline. Il y a eu une conversation assez ubuesque, irréelle, qui ne peut être générée que par une personnalité comme Paoline. Elle m’a dit: «je suis chez un éditeur, il est emballé par mon histoire, il faut que vous trouviez quelqu’un pour l’écrire, et je lui ai donné son nom.» Je lui ai dit, «Pao, on n’a jamais parlé de ça, il en n’a jamais été question.» Elle sait mettre la pression. Elle me dit: « écoute, je leur ai dit que je te passais un coup de fil et que j’avais ta réponse dans cinq minutes... Ne réfléchis pas, dis oui. » Comme j’ai beaucoup d’affect pour elle, je lui ai dit oui pour la forme et tout s’est enchaîné comme ça avec toute l’équipe d’Amphora qui était au soutien.\n\nJ’ai plongé dans les Abysses du calvaire qu’elle a vécu car la fraction qu’elle m’avait livrée pour le papier dans L’Equipe était vraiment minime par rapport à tout le chemin qu’elle avait dû encaisser. Ça m’a fait mettre plusieurs choses en perspective. On dit toujours que le sport est une grande famille. Or, une famille c’est sâcrée. C’est le premier endroit au monde où vous êtes en sécurité, encadré. Or, Paoline est l’incarnation de ce que la famille peut faire de pire et le sport de meilleur. J’ai aussi rencontré pour mes enquêtes sur les agressions sexuelles une jeune nageuse de compétition qui était au club de Sarcelles qui était l’inverse, avec ce que le sport peut faire de pire -elle a été violée pendant des années par un coéquipier au vu et au su des dirigeants de club qui ne faisaient rien- et par contre elle a été sauvée par une famille aimante, présente, solidaire. Il y a les mêmes mécanismes, c’est-à-dire que lorsqu’une victime est seule dans une famille ou dans un club et appelle à l’aide, on lui met une chape de plomb sur les épaules en lui disant que si elle parle, son père va aller en prison, sa mère aussi, ses frères à la DDASS, et dans le sport, c’est pareil, que si elle parle elle va tuer son sport, son club. Il y a une pression énorme, une omerta. Et ceux qui s’en affranchissent ont besoin d’un courage énorme, de faire un sacrifice, de se mettre à nue. C’est ce que Paoline voulait faire et donc je l’ai accompagnée.\n\nCe livre est l’itinéraire d’un calvaire mais surtout -parce qu’aujourd’hui Paoline en est l’incarnation, c’est une femme debout, qui s’est reconstruite, une chef d’entreprise- elle prouve qu’il y a un espoir et que le sport peut être cet espoir. On ne parle pas que de la gouvernance du sport, des acteurs du terrain, coaches, bénévoles, joueurs, des médias, il appartient à chacun d’entre nous d’être vigilant, de surveiller les signes qui pourraient être annonciateur d’un mal-être. Il ne faut jamais fermer les yeux car on sait que les prédateurs sont dans le sport. Pas un sport peut dire qu’il est à l’abri.\n\n-Combien y a-t-il d’intervenants dans le livre et ont-ils facilement accepté de parler?\n\nLorsque nous avons commencé à travailler sur le déroulé du livre, il m’a paru incontournable que l’on puisse entendre d’autres voix que celle de Paoline. Je voulais absolument qu’on puisse s’appuyer sur d’autres témoignages, et aussi sur des témoignages d’hommes, pour éviter ce regard parfois suspicieux qu’on peut complaisamment jetersur un livre «écrit par des femmes».\n\nEn échangeant avec Pao sur le sujet, nous avons réuni cinq témoins, qui chacun à leur façon avaient vu Paoline vivre son calvaire: sa coach à l’INSEP Jackie Delachet, sa coéquipière en équipe de France Odile Santaniello, et trois hommes. Son grand frère Samuel, son grand amour au Marist College, l’ex-joueur français Alain Forestier, et son premier coach lorsqu’elle a démarré le basket, Pascal Le Corre. Qui fut aussi celui chez qui elle s’est sauvée un soir alors que son père l’avait battue très violemment, et qui lui avait ouvert sa porte.\n\nTous avaient la volonté de s’exprimer, même si à l’évocation de certains souvenirs, nous avons vécu des moments douloureux et poignants. Et certaines confessions ont été bouleversantes, comme celle d’Alain Forestier, au sujet de l’agression par son coach dont il fut victime au Marist College. Ou, et ce fut un moment grave et sidérant pour Paoline et moi, les aveux spontanés d’agressions sexuelles de son premier coach, pourtant son sauveur, sur sa petite soeur et sur des joueuses. Nous étions complètement remuées.\n\n-Outre les scènes de viol, Paoline a eu une éducation très dure. Sa mère était froide et son père était violent, lui infligeait des coups de ceinture, des punitions, de véritables supplices. Vous écrivez tout ceci à la première personne du singulier. Est-ce un exercice particulièrement délicat?\n\nOui, c’est vraiment très particulier, et ce fut parfois très lourd et pesant à gérer. Parce qu’il était de ma responsabilité, en me basant sur les notes que Paoline avait mises noir sur blanc, et en échangeant énormément avec elle, de restituer toute la noirceur, la souffrance, la terreur, et cette longue descente aux enfers qu’elle avait vécue. Il me fallait, comme elle l’a joliment dit, descendre en apnée avec elle , main dans la main, à des profondeurs oppressantes. Il fallait que je trouve les mots pour exposer l’horreur de son calvaire, pour que le lecteur puisse visualiser, ressentir, mais sans jamais tomber dans le voyeurisme, le vulgaire, le racoleur...\n\nCa a été parfois très dur, douloureux. Car je suis une femme, et je ressentais dans ma chair, mon intimité ce qu’elle avait subi. Le chapitre qui raconte le premier viol de son père a été un fardeau, une épreuve. J’ai mis plus longtemps à l’écrire, je voyais la scène, et j’ai eu du mal à y poser des mots qui disent cette violence sans être obscènes, pour respecter le courage et la dignité que Paoline porte en elle. Quand j’en ai eu terminé avec ce chapitre, j’étais nauséeuse... On s’est beaucoup soutenues toutes les deux, tout au long de ce cheminement.»\n\n*Ma Promesse en héritage. Par Paoline Ekambi et Liliane Trévisan. 235 pages. 22 euros. Editions Amphora.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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