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Code de commerce, art. L145-28
Code de commerce
Aucun locataire pouvant prétendre à une indemnité d'éviction ne peut être obligé de quitter les lieux avant de l'avoir reçue. Jusqu'au paiement de cette indemnité, il a droit au maintien dans les lieux aux conditions et clauses du contrat de bail expiré. Toutefois, l'indemnité d'occupation est déterminée conformément aux dispositions des sections 6 et 7, compte tenu de tous éléments d'appréciation. Par dérogation au précédent alinéa, dans le seul cas prévu au deuxième alinéa de l'article L. 145-18, le locataire doit quitter les lieux dès le versement d'une indemnité provisionnelle fixée par le président du tribunal judiciaire statuant au vu d'une expertise préalablement ordonnée dans les formes fixées par décret en Conseil d'Etat, en application de l'article L. 145-56 .
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L145-28
LEGIARTI000039280359
LEGIARTI000006221869
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.
2.0
773,082
null
null
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Article
<p></p>Aucun locataire pouvant prétendre à une indemnité d'éviction ne peut être obligé de quitter les lieux avant de l'avoir reçue. Jusqu'au paiement de cette indemnité, il a droit au maintien dans les lieux aux conditions et clauses du contrat de bail expiré. Toutefois, l'indemnité d'occupation est déterminée conformément aux dispositions des sections 6 et 7, compte tenu de tous éléments d'appréciation. <p></p><p></p>Par dérogation au précédent alinéa, dans le seul cas prévu au deuxième alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221801&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 145-18, </a>le locataire doit quitter les lieux dès le versement d'une indemnité provisionnelle fixée par le président du tribunal judiciaire statuant au vu d'une expertise préalablement ordonnée dans les formes fixées par décret en Conseil d'Etat, en application de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222177&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 145-56</a>.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006221869
IG-20231124
null
LEGIARTI000039280359
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006161265
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Section 4 : Du refus de renouvellement.
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null
LEGISCTA000006161265
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 4 : Du refus de renouvellement.
<p>Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.</p>
null
Code de commerce, art. L145-29
Code de commerce
En cas d'éviction, les lieux doivent être remis au bailleur à l'expiration d'un délai de trois mois suivant la date du versement de l'indemnité d'éviction au locataire lui-même ou de la notification à celui-ci du versement de l'indemnité à un séquestre. A défaut d'accord entre les parties, le séquestre est nommé par le jugement prononçant condamnation au paiement de l'indemnité ou à défaut par simple ordonnance sur requête. L'indemnité est versée par le séquestre au locataire sur sa seule quittance, s'il n'y a pas d'opposition des créanciers et contre remise des clés du local vide, sur justification du paiement des impôts, des loyers et sous réserve des réparations locatives.
1,217,980,800,000
32,472,144,000,000
L145-29
LEGIARTI000019288513
LEGIARTI000006221887
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
816,031
null
null
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Article
<p>En cas d'éviction, les lieux doivent être remis au bailleur à l'expiration d'un délai de trois mois suivant la date du versement de l'indemnité d'éviction au locataire lui-même ou de la notification à celui-ci du versement de l'indemnité à un séquestre. A défaut d'accord entre les parties, le séquestre est nommé par le jugement prononçant condamnation au paiement de l'indemnité ou à défaut par simple ordonnance sur requête.</p><p></p><p>L'indemnité est versée par le séquestre au locataire sur sa seule quittance, s'il n'y a pas d'opposition des créanciers et contre remise des clés du local vide, sur justification du paiement des impôts, des loyers et sous réserve des réparations locatives.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006221887
IG-20231124
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LEGIARTI000019288513
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161265
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Section 4 : Du refus de renouvellement.
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LEGISCTA000006161265
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 4 : Du refus de renouvellement.
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Code de commerce, art. L145-30
Code de commerce
En cas de non-remise des clés à la date fixée et après mise en demeure, le séquestre retient 1 % par jour de retard sur le montant de l'indemnité et restitue cette retenue au bailleur sur sa seule quittance. Lorsque le délai de quinzaine prévu à l'article L. 145-58 a pris fin sans que le bailleur ait usé de son droit de repentir, l'indemnité d'éviction doit être versée au locataire ou, éventuellement, à un séquestre, dans un délai de trois mois à compter de la date d'un commandement fait par acte extrajudiciaire qui doit, à peine de nullité, reproduire le présent alinéa.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-30
LEGIARTI000006221889
LEGIARTI000006221889
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
858,980
null
null
null
Article
<p></p>En cas de non-remise des clés à la date fixée et après mise en demeure, le séquestre retient 1 % par jour de retard sur le montant de l'indemnité et restitue cette retenue au bailleur sur sa seule quittance. <p></p><p></p>Lorsque le délai de quinzaine prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222179&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-58 (V)'>l'article L. 145-58</a> a pris fin sans que le bailleur ait usé de son droit de repentir, l'indemnité d'éviction doit être versée au locataire ou, éventuellement, à un séquestre, dans un délai de trois mois à compter de la date d'un commandement fait par acte extrajudiciaire qui doit, à peine de nullité, reproduire le présent alinéa.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006221889
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161265
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Section 4 : Du refus de renouvellement.
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LEGISCTA000006161265
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 4 : Du refus de renouvellement.
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Code de commerce, art. L145-31
Code de commerce
Sauf stipulation contraire au bail ou accord du bailleur, toute sous-location totale ou partielle est interdite. En cas de sous-location autorisée, le propriétaire est appelé à concourir à l'acte. Lorsque le loyer de la sous-location est supérieur au prix de la location principale, le propriétaire a la faculté d'exiger une augmentation correspondante du loyer de la location principale, augmentation qui, à défaut d'accord entre les parties, est déterminée selon une procédure fixée par décret en Conseil d'Etat, en application des dispositions de l'article L. 145-56. Le locataire doit faire connaître au propriétaire son intention de sous-louer par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception. Dans les quinze jours de la réception de cet avis, le propriétaire doit faire connaître s'il entend concourir à l'acte. Si, malgré l'autorisation prévue au premier alinéa, le bailleur refuse ou s'il omet de répondre, il est passé outre.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-31
LEGIARTI000006221900
LEGIARTI000006221900
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p>Sauf stipulation contraire au bail ou accord du bailleur, toute sous-location totale ou partielle est interdite. <p></p><p></p>En cas de sous-location autorisée, le propriétaire est appelé à concourir à l'acte. <p></p><p></p>Lorsque le loyer de la sous-location est supérieur au prix de la location principale, le propriétaire a la faculté d'exiger une augmentation correspondante du loyer de la location principale, augmentation qui, à défaut d'accord entre les parties, est déterminée selon une procédure fixée par décret en Conseil d'Etat, en application des dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222177&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-56 (V)'>L. 145-56.</a><p></p><p></p>Le locataire doit faire connaître au propriétaire son intention de sous-louer par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception. Dans les quinze jours de la réception de cet avis, le propriétaire doit faire connaître s'il entend concourir à l'acte. Si, malgré l'autorisation prévue au premier alinéa, le bailleur refuse ou s'il omet de répondre, il est passé outre.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006221900
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161266
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Section 5 : De la sous-location.
null
null
LEGISCTA000006161266
null
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null
null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 5 : De la sous-location.
null
Code de commerce, art. L145-32
Code de commerce
Le sous-locataire peut demander le renouvellement de son bail au locataire principal dans la mesure des droits que ce dernier tient lui-même du propriétaire. Le bailleur est appelé à concourir à l'acte, comme il est prévu à l'article L. 145-31 . A l'expiration du bail principal, le propriétaire n'est tenu au renouvellement que s'il a, expressément ou tacitement, autorisé ou agréé la sous-location et si, en cas de sous-location partielle, les lieux faisant l'objet du bail principal ne forment pas un tout indivisible matériellement ou dans la commune intention des parties.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-32
LEGIARTI000006221926
LEGIARTI000006221926
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Le sous-locataire peut demander le renouvellement de son bail au locataire principal dans la mesure des droits que ce dernier tient lui-même du propriétaire. Le bailleur est appelé à concourir à l'acte, comme il est prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221900&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-31 (V)'>l'article L. 145-31</a>. <p></p><p></p>A l'expiration du bail principal, le propriétaire n'est tenu au renouvellement que s'il a, expressément ou tacitement, autorisé ou agréé la sous-location et si, en cas de sous-location partielle, les lieux faisant l'objet du bail principal ne forment pas un tout indivisible matériellement ou dans la commune intention des parties.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006221926
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161266
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Section 5 : De la sous-location.
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LEGISCTA000006161266
null
null
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 5 : De la sous-location.
null
Code de commerce, art. L145-33
Code de commerce
Le montant des loyers des baux renouvelés ou révisés doit correspondre à la valeur locative. A défaut d'accord, cette valeur est déterminée d'après : 1 Les caractéristiques du local considéré ; 2 La destination des lieux ; 3 Les obligations respectives des parties ; 4 Les facteurs locaux de commercialité ; 5 Les prix couramment pratiqués dans le voisinage ; Un décret en Conseil d'Etat précise la consistance de ces éléments.
1,008,115,200,000
32,472,144,000,000
L145-33
LEGIARTI000006221959
LEGIARTI000006221958
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Le montant des loyers des baux renouvelés ou révisés doit correspondre à la valeur locative.<p></p><p></p> A défaut d'accord, cette valeur est déterminée d'après :<p></p><p></p> 1 Les caractéristiques du local considéré ;<p></p><p></p> 2 La destination des lieux ;<p></p><p></p> 3 Les obligations respectives des parties ;<p></p><p></p> 4 Les facteurs locaux de commercialité ;<p></p><p></p> 5 Les prix couramment pratiqués dans le voisinage ;<p></p><p></p> Un décret en Conseil d'Etat précise la consistance de ces éléments.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006221958
IG-20231124
null
LEGIARTI000006221959
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161267
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Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
null
Code de commerce, art. L145-34
Code de commerce
A moins d'une modification notable des éléments mentionnés aux 1° à 4° de l'article L. 145-33 , le taux de variation du loyer applicable lors de la prise d'effet du bail à renouveler, si sa durée n'est pas supérieure à neuf ans, ne peut excéder la variation, intervenue depuis la fixation initiale du loyer du bail expiré, de l'indice trimestriel des loyers commerciaux ou de l'indice trimestriel des loyers des activités tertiaires mentionnés aux premier et deuxième alinéas de l'article L. 112-2 du code monétaire et financier , publiés par l'Institut national de la statistique et des études économiques. A défaut de clause contractuelle fixant le trimestre de référence de cet indice, il y a lieu de prendre en compte la variation de l'indice trimestriel des loyers commerciaux ou de l'indice trimestriel des loyers des activités tertiaires, calculée sur la période de neuf ans antérieure au dernier indice publié. En cas de renouvellement postérieur à la date initialement prévue d'expiration du bail, cette variation est calculée à partir du dernier indice publié, pour une période d'une durée égale à celle qui s'est écoulée entre la date initiale du bail et la date de son renouvellement effectif. Les dispositions de l'alinéa ci-dessus ne sont plus applicables lorsque, par l'effet d'une tacite prolongation, la durée du bail excède douze ans. En cas de modification notable des éléments mentionnés aux 1° à 4° de l'article L. 145-33 ou s'il est fait exception aux règles de plafonnement par suite d'une clause du contrat relative à la durée du bail, la variation de loyer qui en découle ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10 % du loyer acquitté au cours de l'année précédente.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L145-34
LEGIARTI000029108759
LEGIARTI000006221960
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.
6.0
128,847
null
null
null
Article
<p>A moins d'une modification notable des éléments mentionnés aux 1° à 4° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221958&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 145-33</a>, le taux de variation du loyer applicable lors de la prise d'effet du bail à renouveler, si sa durée n'est pas supérieure à neuf ans, ne peut excéder la variation, intervenue depuis la fixation initiale du loyer du bail expiré, de l'indice trimestriel des loyers commerciaux ou de l'indice trimestriel des loyers des activités tertiaires mentionnés aux premier et deuxième alinéas de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072026&idArticle=LEGIARTI000006643915&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 112-2 du code monétaire et financier</a>, publiés par l'Institut national de la statistique et des études économiques. A défaut de clause contractuelle fixant le trimestre de référence de cet indice, il y a lieu de prendre en compte la variation de l'indice trimestriel des loyers commerciaux ou de l'indice trimestriel des loyers des activités tertiaires, calculée sur la période de neuf ans antérieure au dernier indice publié. </p><p>En cas de renouvellement postérieur à la date initialement prévue d'expiration du bail, cette variation est calculée à partir du dernier indice publié, pour une période d'une durée égale à celle qui s'est écoulée entre la date initiale du bail et la date de son renouvellement effectif. </p><p>Les dispositions de l'alinéa ci-dessus ne sont plus applicables lorsque, par l'effet d'une tacite prolongation, la durée du bail excède douze ans.</p><p>En cas de modification notable des éléments mentionnés aux 1° à 4° de l'article L. 145-33 ou s'il est fait exception aux règles de plafonnement par suite d'une clause du contrat relative à la durée du bail, la variation de loyer qui en découle ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10 % du loyer acquitté au cours de l'année précédente. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000025559442
MD-20241114_201838_167_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029108759
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161267
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Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
null
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null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
<p>Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.</p>
null
Code de commerce, art. L145-35
Code de commerce
Les litiges nés de l'application des articles L. 145-34 et L. 145-38 ainsi que ceux relatifs aux charges et aux travaux peuvent être soumis à une commission départementale de conciliation composée de bailleurs et de locataires en nombre égal et de personnes qualifiées. La commission s'efforce de concilier les parties et rend un avis. Si la juridiction est saisie parallèlement à la commission compétente par l'une ou l'autre des parties, elle ne peut statuer tant que l'avis de la commission n'est pas rendu. La commission est dessaisie si elle n'a pas statué dans un délai de trois mois. La composition de la commission, le mode de désignation de ses membres et ses règles de fonctionnement sont fixés par décret.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L145-35
LEGIARTI000029108764
LEGIARTI000006221962
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Les litiges nés de l'application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221960&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-34 (V)'>articles L. 145-34 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222054&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-38 (V)'>L. 145-38</a> ainsi que ceux relatifs aux charges et aux travaux peuvent être soumis à une commission départementale de conciliation composée de bailleurs et de locataires en nombre égal et de personnes qualifiées. La commission s'efforce de concilier les parties et rend un avis. </p><p>Si la juridiction est saisie parallèlement à la commission compétente par l'une ou l'autre des parties, elle ne peut statuer tant que l'avis de la commission n'est pas rendu. </p><p>La commission est dessaisie si elle n'a pas statué dans un délai de trois mois. </p><p>La composition de la commission, le mode de désignation de ses membres et ses règles de fonctionnement sont fixés par décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006221962
IG-20231129
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LEGIARTI000029108764
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006161267
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Section 6 : Du loyer.
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LEGISCTA000006161267
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
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Code de commerce, art. L145-36
Code de commerce
Les éléments permettant de déterminer le prix des baux des terrains, des locaux construits en vue d'une seule utilisation et des locaux à usage exclusif de bureaux sont fixés par décret en Conseil d'Etat. Le prix du bail des locaux construits ou aménagés en vue d'une utilisation comme établissement de spectacles cinématographiques au sens de l'article L. 212-2 du code du cinéma et de l'image animée est, par dérogation aux articles L. 145-33 et suivants du présent code, déterminé selon les seuls usages observés dans la branche d'activité considérée.
1,285,977,600,000
32,472,144,000,000
L145-36
LEGIARTI000022873431
LEGIARTI000006222000
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
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null
Article
<p>Les éléments permettant de déterminer le prix des baux des terrains, des locaux construits en vue d'une seule utilisation et des locaux à usage exclusif de bureaux sont fixés par décret en Conseil d'Etat. </p><p>Le prix du bail des locaux construits ou aménagés en vue d'une utilisation comme établissement de spectacles cinématographiques au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000020908868&idArticle=LEGIARTI000020907889&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 212-2 </a>du code du cinéma et de l'image animée est, par dérogation aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221958&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 145-33 et suivants</a> du présent code, déterminé selon les seuls usages observés dans la branche d'activité considérée.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222000
IG-20231124
null
LEGIARTI000022873431
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161267
false
false
Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
null
Code de commerce, art. L145-37
Code de commerce
Les loyers des baux d'immeubles ou de locaux régis par les dispositions du présent chapitre, renouvelés ou non, peuvent être révisés à la demande de l'une ou de l'autre des parties sous les réserves prévues aux articles L. 145-38 et L. 145-39 et dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-37
LEGIARTI000006222027
LEGIARTI000006222027
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Les loyers des baux d'immeubles ou de locaux régis par les dispositions du présent chapitre, renouvelés ou non, peuvent être révisés à la demande de l'une ou de l'autre des parties sous les réserves prévues aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222054&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-38 (V)'>articles L. 145-38 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222073&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-39 (V)'>L. 145-39</a> et dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222027
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161267
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Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
null
null
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
null
Code de commerce, art. L145-38
Code de commerce
La demande en révision ne peut être formée que trois ans au moins après la date d'entrée en jouissance du locataire ou après le point de départ du bail renouvelé. La révision du loyer prend effet à compter de la date de la demande en révision. De nouvelles demandes peuvent être formées tous les trois ans à compter du jour où le nouveau prix sera applicable. Par dérogation aux dispositions de l'article L. 145-33 , et à moins que ne soit rapportée la preuve d'une modification matérielle des facteurs locaux de commercialité ayant entraîné par elle-même une variation de plus de 10 % de la valeur locative, la majoration ou la diminution de loyer consécutive à une révision triennale ne peut excéder la variation de l'indice trimestriel des loyers commerciaux ou de l'indice trimestriel des loyers des activités tertiaires mentionnés aux premier et deuxième alinéas de l'article L. 112-2 du code monétaire et financier , intervenue depuis la dernière fixation amiable ou judiciaire du loyer. Dans le cas où cette preuve est rapportée, la variation de loyer qui en découle ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10 % du loyer acquitté au cours de l'année précédente. En aucun cas il n'est tenu compte, pour le calcul de la valeur locative, des investissements du preneur ni des plus ou moins-values résultant de sa gestion pendant la durée du bail en cours.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L145-38
LEGIARTI000029108753
LEGIARTI000006222054
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.
5.0
386,541
null
null
null
Article
<p>La demande en révision ne peut être formée que trois ans au moins après la date d'entrée en jouissance du locataire ou après le point de départ du bail renouvelé. La révision du loyer prend effet à compter de la date de la demande en révision. </p><p>De nouvelles demandes peuvent être formées tous les trois ans à compter du jour où le nouveau prix sera applicable. </p><p>Par dérogation aux dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221958&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 145-33</a>, et à moins que ne soit rapportée la preuve d'une modification matérielle des facteurs locaux de commercialité ayant entraîné par elle-même une variation de plus de 10 % de la valeur locative, la majoration ou la diminution de loyer consécutive à une révision triennale ne peut excéder la variation de l'indice trimestriel des loyers commerciaux ou de l'indice trimestriel des loyers des activités tertiaires mentionnés aux premier et deuxième alinéas de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072026&idArticle=LEGIARTI000006643915&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 112-2 du code monétaire et financier</a>, intervenue depuis la dernière fixation amiable ou judiciaire du loyer. Dans le cas où cette preuve est rapportée, la variation de loyer qui en découle ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10 % du loyer acquitté au cours de l'année précédente. </p><p>En aucun cas il n'est tenu compte, pour le calcul de la valeur locative, des investissements du preneur ni des plus ou moins-values résultant de sa gestion pendant la durée du bail en cours.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000024039931
MD-20241114_201838_167_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029108753
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161267
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false
Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
<p>Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.</p>
null
Code de commerce, art. L145-39
Code de commerce
En outre, et par dérogation à l'article L. 145-38 , si le bail est assorti d'une clause d'échelle mobile, la révision peut être demandée chaque fois que, par le jeu de cette clause, le loyer se trouve augmenté ou diminué de plus d'un quart par rapport au prix précédemment fixé contractuellement ou par décision judiciaire. La variation de loyer qui découle de cette révision ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10 % du loyer acquitté au cours de l'année précédente.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L145-39
LEGIARTI000029108769
LEGIARTI000006222073
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.
2.0
429,490
null
null
null
Article
<p>En outre, et par dérogation à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222054&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-38 (V)'>l'article L. 145-38</a>, si le bail est assorti d'une clause d'échelle mobile, la révision peut être demandée chaque fois que, par le jeu de cette clause, le loyer se trouve augmenté ou diminué de plus d'un quart par rapport au prix précédemment fixé contractuellement ou par décision judiciaire. La variation de loyer qui découle de cette révision ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10 % du loyer acquitté au cours de l'année précédente.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222073
IG-20231129
null
LEGIARTI000029108769
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161267
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Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
<p>Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.</p>
null
Code de commerce, art. L145-40
Code de commerce
Les loyers payés d'avance, sous quelque forme que ce soit, et même à titre de garantie, portent intérêt au profit du locataire, au taux pratiqué par la Banque de France pour les avances sur titres, pour les sommes excédant celle qui correspond au prix du loyer de plus de deux termes.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-40
LEGIARTI000006222097
LEGIARTI000006222097
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
472,439
null
null
null
Article
<p></p> Les loyers payés d'avance, sous quelque forme que ce soit, et même à titre de garantie, portent intérêt au profit du locataire, au taux pratiqué par la Banque de France pour les avances sur titres, pour les sommes excédant celle qui correspond au prix du loyer de plus de deux termes.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222097
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161267
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false
Section 6 : Du loyer.
null
null
LEGISCTA000006161267
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 : Du loyer.
null
Code de commerce, art. L145-40-1
Code de commerce
Lors de la prise de possession des locaux par le locataire en cas de conclusion d'un bail, de cession du droit au bail, de cession ou de mutation à titre gratuit du fonds et lors de la restitution des locaux, un état des lieux est établi contradictoirement et amiablement par le bailleur et le locataire ou par un tiers mandaté par eux. L'état des lieux est joint au contrat de location ou, à défaut, conservé par chacune des parties. Si l'état des lieux ne peut être établi dans les conditions prévues au premier alinéa, il est établi par un huissier de justice, sur l'initiative de la partie la plus diligente, à frais partagés par moitié entre le bailleur et le locataire. Le bailleur qui n'a pas fait toutes diligences pour la réalisation de l'état des lieux ne peut invoquer la présomption de l'article 1731 du code civil.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L145-40-1
LEGIARTI000029103499
LEGIARTI000029103494
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Lors de la prise de possession des locaux par le locataire en cas de conclusion d'un bail, de cession du droit au bail, de cession ou de mutation à titre gratuit du fonds et lors de la restitution des locaux, un état des lieux est établi contradictoirement et amiablement par le bailleur et le locataire ou par un tiers mandaté par eux. L'état des lieux est joint au contrat de location ou, à défaut, conservé par chacune des parties. </p><p>Si l'état des lieux ne peut être établi dans les conditions prévues au premier alinéa, il est établi par un huissier de justice, sur l'initiative de la partie la plus diligente, à frais partagés par moitié entre le bailleur et le locataire. </p><p>Le bailleur qui n'a pas fait toutes diligences pour la réalisation de l'état des lieux ne peut invoquer la présomption de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006442883&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 1731 (V)'>l'article 1731</a> du code civil.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000029103499
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000029103485
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false
Section 6 bis : De l'état des lieux, des charges locatives et des impôts
null
null
LEGISCTA000029103475
null
null
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 bis : De l'état des lieux, des charges locatives et des impôts
null
Code de commerce, art. L145-40-2
Code de commerce
Tout contrat de location comporte un inventaire précis et limitatif des catégories de charges, impôts, taxes et redevances liés à ce bail, comportant l'indication de leur répartition entre le bailleur et le locataire. Cet inventaire donne lieu à un état récapitulatif annuel adressé par le bailleur au locataire dans un délai fixé par voie réglementaire. En cours de bail, le bailleur informe le locataire des charges, impôts, taxes et redevances nouveaux. Lors de la conclusion du contrat de location, puis tous les trois ans, le bailleur communique à chaque locataire : 1° Un état prévisionnel des travaux qu'il envisage de réaliser dans les trois années suivantes, assorti d'un budget prévisionnel ; 2° Un état récapitulatif des travaux qu'il a réalisés dans les trois années précédentes, précisant leur coût. Dans un ensemble immobilier comportant plusieurs locataires, le contrat de location précise la répartition des charges ou du coût des travaux entre les différents locataires occupant cet ensemble. Cette répartition est fonction de la surface exploitée. Le montant des impôts, taxes et redevances pouvant être imputés au locataire correspond strictement au local occupé par chaque locataire et à la quote-part des parties communes nécessaires à l'exploitation de la chose louée. En cours de bail, le bailleur est tenu d'informer les locataires de tout élément susceptible de modifier la répartition des charges entre locataires. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'application du présent article. Il précise les charges, les impôts, taxes et redevances qui, en raison de leur nature, ne peuvent être imputés au locataire et les modalités d'information des preneurs.
1,403,222,400,000
32,472,144,000,000
L145-40-2
LEGIARTI000029103688
LEGIARTI000029103532
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Tout contrat de location comporte un inventaire précis et limitatif des catégories de charges, impôts, taxes et redevances liés à ce bail, comportant l'indication de leur répartition entre le bailleur et le locataire. Cet inventaire donne lieu à un état récapitulatif annuel adressé par le bailleur au locataire dans un délai fixé par voie réglementaire. En cours de bail, le bailleur informe le locataire des charges, impôts, taxes et redevances nouveaux. </p><p>Lors de la conclusion du contrat de location, puis tous les trois ans, le bailleur communique à chaque locataire : </p><p>1° Un état prévisionnel des travaux qu'il envisage de réaliser dans les trois années suivantes, assorti d'un budget prévisionnel ; </p><p>2° Un état récapitulatif des travaux qu'il a réalisés dans les trois années précédentes, précisant leur coût. </p><p>Dans un ensemble immobilier comportant plusieurs locataires, le contrat de location précise la répartition des charges ou du coût des travaux entre les différents locataires occupant cet ensemble. Cette répartition est fonction de la surface exploitée. Le montant des impôts, taxes et redevances pouvant être imputés au locataire correspond strictement au local occupé par chaque locataire et à la quote-part des parties communes nécessaires à l'exploitation de la chose louée. En cours de bail, le bailleur est tenu d'informer les locataires de tout élément susceptible de modifier la répartition des charges entre locataires. </p><p>Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'application du présent article. Il précise les charges, les impôts, taxes et redevances qui, en raison de leur nature, ne peuvent être imputés au locataire et les modalités d'information des preneurs. </p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000029103688
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000029103485
false
false
Section 6 bis : De l'état des lieux, des charges locatives et des impôts
null
null
LEGISCTA000029103475
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 6 bis : De l'état des lieux, des charges locatives et des impôts
<p>Conformément au 21 II de la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014, les présentes dispositions sont applicables aux contrats conclus ou renouvelés à compter du 1er septembre 2014.</p>
null
Code de commerce, art. L145-41
Code de commerce
Toute clause insérée dans le bail prévoyant la résiliation de plein droit ne produit effet qu'un mois après un commandement demeuré infructueux. Le commandement doit, à peine de nullité, mentionner ce délai. Les juges saisis d'une demande présentée dans les formes et conditions prévues à l'article 1343-5 du code civil peuvent, en accordant des délais, suspendre la réalisation et les effets des clauses de résiliation, lorsque la résiliation n'est pas constatée ou prononcée par une décision de justice ayant acquis l'autorité de la chose jugée. La clause résolutoire ne joue pas, si le locataire se libère dans les conditions fixées par le juge.
1,475,280,000,000
32,472,144,000,000
L145-41
LEGIARTI000032042713
LEGIARTI000006222127
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Toute clause insérée dans le bail prévoyant la résiliation de plein droit ne produit effet qu'un mois après un commandement demeuré infructueux. Le commandement doit, à peine de nullité, mentionner ce délai. </p><p>Les juges saisis d'une demande présentée dans les formes et conditions prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000032035267&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 1343-5 (VD)'>l'article 1343-5</a> du code civil peuvent, en accordant des délais, suspendre la réalisation et les effets des clauses de résiliation, lorsque la résiliation n'est pas constatée ou prononcée par une décision de justice ayant acquis l'autorité de la chose jugée. La clause résolutoire ne joue pas, si le locataire se libère dans les conditions fixées par le juge.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222127
IG-20231129
null
LEGIARTI000032042713
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
false
false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
null
Code de commerce, art. L145-42
Code de commerce
Les clauses de résiliation de plein droit pour cessation d'activité cessent de produire effet pendant le temps nécessaire à la réalisation des transformations faites en application des dispositions de la section 8. Ce délai ne saurait excéder six mois à dater de l'accord sur la déspécialisation ou de la décision judiciaire l'autorisant.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-42
LEGIARTI000006222134
LEGIARTI000006222134
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Les clauses de résiliation de plein droit pour cessation d'activité cessent de produire effet pendant le temps nécessaire à la réalisation des transformations faites en application des dispositions de la section 8.<p></p><p></p> Ce délai ne saurait excéder six mois à dater de l'accord sur la déspécialisation ou de la décision judiciaire l'autorisant.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222134
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
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false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
null
Code de commerce, art. L145-43
Code de commerce
Sont dispensés de l'obligation d'exploiter pendant la durée de leur stage les commerçants et personnes immatriculées au registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des métiers et de l'artisanat, locataires du local dans lequel est situé leur fonds, qui sont admis à suivre un stage de conversion ou un stage de promotion au sens de l'article L. 900-2 (3° et 5°) du code du travail, dont la durée minimum est fixée par arrêté et dont la durée maximum ne peut excéder un an sauf s'il s'agit d'un stage dit de promotion bénéficiant de l'agrément prévu à l'article L. 961-3 dudit code.
1,672,531,200,000
32,472,144,000,000
L145-43
LEGIARTI000044056341
LEGIARTI000006222135
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 47 de l'ordonnance n° 2021-1189 du 15 septembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2023.
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Sont dispensés de l'obligation d'exploiter pendant la durée de leur stage les commerçants et personnes immatriculées au registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des métiers et de l'artisanat, locataires du local dans lequel est situé leur fonds, qui sont admis à suivre un stage de conversion ou un stage de promotion au sens de l'article L. 900-2 (3° et 5°) du code du travail, dont la durée minimum est fixée par arrêté et dont la durée maximum ne peut excéder un an sauf s'il s'agit d'un stage dit de promotion bénéficiant de l'agrément prévu à l'article L. 961-3 dudit code.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222135
IG-20231128
null
LEGIARTI000044056341
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
false
false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
<p><font color='black'>Conformément à l’article 47 de l'ordonnance n° 2021-1189 du 15 septembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2023.</font></p>
null
Code de commerce, art. L145-44
Code de commerce
Dans le cas où, à l'issue d'un des stages prévus à l'article L. 145-43 , le commerçant ou l'artisan quitte le local dont il est locataire pour convertir son activité en la transférant dans un autre local ou pour prendre une activité salariée, la résiliation du bail intervient de plein droit et sans indemnité à l'expiration d'un délai de trois mois à partir du jour où elle est signifiée au bailleur.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-44
LEGIARTI000006222136
LEGIARTI000006222136
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>Dans le cas où, à l'issue d'un des stages prévus à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222135&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-43 (V)'>l'article L. 145-43</a>, le commerçant ou l'artisan quitte le local dont il est locataire pour convertir son activité en la transférant dans un autre local ou pour prendre une activité salariée, la résiliation du bail intervient de plein droit et sans indemnité à l'expiration d'un délai de trois mois à partir du jour où elle est signifiée au bailleur.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222136
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
false
false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
null
Code de commerce, art. L145-45
Code de commerce
Le redressement et la liquidation judiciaires n'entraînent pas, de plein droit, la résiliation du bail des immeubles affectés à l'industrie, au commerce ou à l'artisanat du débiteur, y compris les locaux dépendant de ces immeubles et servant à son habitation ou à celle de sa famille. Toute stipulation contraire est réputée non écrite.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-45
LEGIARTI000006222137
LEGIARTI000006222137
AUTONOME
VIGUEUR
Loi n° 2005-845 du 26 juillet 2005 art. 165 II : les références faites au redressement judiciaire et au plan de redressement sont remplacées, respectivement, par des références aux procédures de sauvegarde ou de redressement judiciaire, et aux plans de sauvegarde ou de redressement.
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Le redressement et la liquidation judiciaires n'entraînent pas, de plein droit, la résiliation du bail des immeubles affectés à l'industrie, au commerce ou à l'artisanat du débiteur, y compris les locaux dépendant de ces immeubles et servant à son habitation ou à celle de sa famille. Toute stipulation contraire est réputée non écrite.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222137
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
false
false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
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null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
<p>Loi n° 2005-845 du 26 juillet 2005 art. 165 II : les références faites au redressement judiciaire et au plan de redressement sont remplacées, respectivement, par des références aux procédures de sauvegarde ou de redressement judiciaire, et aux plans de sauvegarde ou de redressement.</p>
null
Code de commerce, art. L145-46
Code de commerce
Lorsqu'il est à la fois propriétaire de l'immeuble loué et du fonds de commerce qui y est exploité et que le bail porte en même temps sur les deux, le bailleur doit verser au locataire, à son départ, une indemnité correspondant au profit qu'il peut retirer de la plus-value apportée soit au fonds, soit à la valeur locative de l'immeuble par les améliorations matérielles effectuées par le locataire avec l'accord exprès du propriétaire.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-46
LEGIARTI000006222138
LEGIARTI000006222138
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'il est à la fois propriétaire de l'immeuble loué et du fonds de commerce qui y est exploité et que le bail porte en même temps sur les deux, le bailleur doit verser au locataire, à son départ, une indemnité correspondant au profit qu'il peut retirer de la plus-value apportée soit au fonds, soit à la valeur locative de l'immeuble par les améliorations matérielles effectuées par le locataire avec l'accord exprès du propriétaire.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222138
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
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false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
null
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
null
Code de commerce, art. L145-46-1
Code de commerce
Lorsque le propriétaire d'un local à usage commercial ou artisanal envisage de vendre celui-ci, il en informe le locataire par lettre recommandée avec demande d'avis de réception, ou remise en main propre contre récépissé ou émargement. Cette notification doit, à peine de nullité, indiquer le prix et les conditions de la vente envisagée. Elle vaut offre de vente au profit du locataire. Ce dernier dispose d'un délai d'un mois à compter de la réception de cette offre pour se prononcer. En cas d'acceptation, le locataire dispose, à compter de la date d'envoi de sa réponse au bailleur, d'un délai de deux mois pour la réalisation de la vente. Si, dans sa réponse, il notifie son intention de recourir à un prêt, l'acceptation par le locataire de l'offre de vente est subordonnée à l'obtention du prêt et le délai de réalisation de la vente est porté à quatre mois. Si, à l'expiration de ce délai, la vente n'a pas été réalisée, l'acceptation de l'offre de vente est sans effet. Dans le cas où le propriétaire décide de vendre à des conditions ou à un prix plus avantageux pour l'acquéreur, le notaire doit, lorsque le bailleur n'y a pas préalablement procédé, notifier au locataire dans les formes prévues au premier alinéa, à peine de nullité de la vente, ces conditions et ce prix. Cette notification vaut offre de vente au profit du locataire. Cette offre de vente est valable pendant une durée d'un mois à compter de sa réception. L'offre qui n'a pas été acceptée dans ce délai est caduque. Le locataire qui accepte l'offre ainsi notifiée dispose, à compter de la date d'envoi de sa réponse au bailleur ou au notaire, d'un délai de deux mois pour la réalisation de l'acte de vente. Si, dans sa réponse, il notifie son intention de recourir à un prêt, l'acceptation par le locataire de l'offre de vente est subordonnée à l'obtention du prêt et le délai de réalisation de la vente est porté à quatre mois. Si, à l'expiration de ce délai, la vente n'a pas été réalisée, l'acceptation de l'offre de vente est sans effet. Les dispositions des quatre premiers alinéas du présent article sont reproduites, à peine de nullité, dans chaque notification. Le présent article n'est pas applicable en cas de cession unique de plusieurs locaux d'un ensemble commercial, de cession unique de locaux commerciaux distincts ou de cession d'un local commercial au copropriétaire d'un ensemble commercial. Il n'est pas non plus applicable à la cession globale d'un immeuble comprenant des locaux commerciaux ou à la cession d'un local au conjoint du bailleur, ou à un ascendant ou un descendant du bailleur ou de son conjoint. Il n'est pas non plus applicable lorsqu'il est fait application du droit de préemption institué aux chapitres Ier et II du titre Ier du livre II du code de l'urbanisme ou à l'occasion de l'aliénation d'un bien sur le fondement de l'article L. 213-11 du même code.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L145-46-1
LEGIARTI000045212563
LEGIARTI000029103540
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,870,670
null
null
null
Article
<p>Lorsque le propriétaire d'un local à usage commercial ou artisanal envisage de vendre celui-ci, il en informe le locataire par lettre recommandée avec demande d'avis de réception, ou remise en main propre contre récépissé ou émargement. Cette notification doit, à peine de nullité, indiquer le prix et les conditions de la vente envisagée. Elle vaut offre de vente au profit du locataire. Ce dernier dispose d'un délai d'un mois à compter de la réception de cette offre pour se prononcer. En cas d'acceptation, le locataire dispose, à compter de la date d'envoi de sa réponse au bailleur, d'un délai de deux mois pour la réalisation de la vente. Si, dans sa réponse, il notifie son intention de recourir à un prêt, l'acceptation par le locataire de l'offre de vente est subordonnée à l'obtention du prêt et le délai de réalisation de la vente est porté à quatre mois.</p><p>Si, à l'expiration de ce délai, la vente n'a pas été réalisée, l'acceptation de l'offre de vente est sans effet.</p><p>Dans le cas où le propriétaire décide de vendre à des conditions ou à un prix plus avantageux pour l'acquéreur, le notaire doit, lorsque le bailleur n'y a pas préalablement procédé, notifier au locataire dans les formes prévues au premier alinéa, à peine de nullité de la vente, ces conditions et ce prix. Cette notification vaut offre de vente au profit du locataire. Cette offre de vente est valable pendant une durée d'un mois à compter de sa réception. L'offre qui n'a pas été acceptée dans ce délai est caduque.</p><p>Le locataire qui accepte l'offre ainsi notifiée dispose, à compter de la date d'envoi de sa réponse au bailleur ou au notaire, d'un délai de deux mois pour la réalisation de l'acte de vente. Si, dans sa réponse, il notifie son intention de recourir à un prêt, l'acceptation par le locataire de l'offre de vente est subordonnée à l'obtention du prêt et le délai de réalisation de la vente est porté à quatre mois. Si, à l'expiration de ce délai, la vente n'a pas été réalisée, l'acceptation de l'offre de vente est sans effet.</p><p>Les dispositions des quatre premiers alinéas du présent article sont reproduites, à peine de nullité, dans chaque notification.</p><p>Le présent article n'est pas applicable en cas de cession unique de plusieurs locaux d'un ensemble commercial, de cession unique de locaux commerciaux distincts ou de cession d'un local commercial au copropriétaire d'un ensemble commercial. Il n'est pas non plus applicable à la cession globale d'un immeuble comprenant des locaux commerciaux ou à la cession d'un local au conjoint du bailleur, ou à un ascendant ou un descendant du bailleur ou de son conjoint. Il n'est pas non plus applicable lorsqu'il est fait application du droit de préemption institué aux chapitres Ier et II du titre Ier du livre II du code de l'urbanisme ou à l'occasion de l'aliénation d'un bien sur le fondement de l'article L. 213-11 du même code.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029104262
IG-20231124
null
LEGIARTI000045212563
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161268
false
false
Section 7 : De la résiliation
null
null
LEGISCTA000006161268
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 7 : De la résiliation
null
Code de commerce, art. L145-47
Code de commerce
Le locataire peut adjoindre à l'activité prévue au bail des activités connexes ou complémentaires. A cette fin, il doit faire connaître son intention au propriétaire par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception, en indiquant les activités dont l'exercice est envisagé. Cette formalité vaut mise en demeure du propriétaire de faire connaître dans un délai de deux mois, à peine de déchéance, s'il conteste le caractère connexe ou complémentaire de ces activités. En cas de contestation, le tribunal judiciaire, saisi par la partie la plus diligente, se prononce en fonction notamment de l'évolution des usages commerciaux. Lors de la première révision triennale suivant la notification visée à l'alinéa précédent, il peut, par dérogation aux dispositions de l'article L. 145-38 , être tenu compte, pour la fixation du loyer, des activités commerciales adjointes, si celles-ci ont entraîné par elles-mêmes une modification de la valeur locative des lieux loués.
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L145-47
LEGIARTI000039280354
LEGIARTI000006222139
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Le locataire peut adjoindre à l'activité prévue au bail des activités connexes ou complémentaires. </p><p>A cette fin, il doit faire connaître son intention au propriétaire par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception, en indiquant les activités dont l'exercice est envisagé. Cette formalité vaut mise en demeure du propriétaire de faire connaître dans un délai de deux mois, à peine de déchéance, s'il conteste le caractère connexe ou complémentaire de ces activités. En cas de contestation, le tribunal judiciaire, saisi par la partie la plus diligente, se prononce en fonction notamment de l'évolution des usages commerciaux. </p><p>Lors de la première révision triennale suivant la notification visée à l'alinéa précédent, il peut, par dérogation aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222054&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 145-38</a>, être tenu compte, pour la fixation du loyer, des activités commerciales adjointes, si celles-ci ont entraîné par elles-mêmes une modification de la valeur locative des lieux loués.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000031012795
IG-20231124
null
LEGIARTI000039280354
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
<p>Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.</p>
null
Code de commerce, art. L145-48
Code de commerce
Le locataire peut, sur sa demande, être autorisé à exercer dans les lieux loués une ou plusieurs activités différentes de celles prévues au bail, eu égard à la conjoncture économique et aux nécessités de l'organisation rationnelle de la distribution, lorsque ces activités sont compatibles avec la destination, les caractères et la situation de l'immeuble ou de l'ensemble immobilier. Toutefois, le premier locataire d'un local compris dans un ensemble constituant une unité commerciale définie par un programme de construction ne peut se prévaloir de cette faculté pendant un délai de neuf ans à compter de la date de son entrée en jouissance.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-48
LEGIARTI000006222140
LEGIARTI000006222140
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Le locataire peut, sur sa demande, être autorisé à exercer dans les lieux loués une ou plusieurs activités différentes de celles prévues au bail, eu égard à la conjoncture économique et aux nécessités de l'organisation rationnelle de la distribution, lorsque ces activités sont compatibles avec la destination, les caractères et la situation de l'immeuble ou de l'ensemble immobilier.<p></p><p></p> Toutefois, le premier locataire d'un local compris dans un ensemble constituant une unité commerciale définie par un programme de construction ne peut se prévaloir de cette faculté pendant un délai de neuf ans à compter de la date de son entrée en jouissance.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222140
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
null
Code de commerce, art. L145-49
Code de commerce
La demande faite au bailleur doit, à peine de nullité, comporter l'indication des activités dont l'exercice est envisagé. Elle est formée par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception et dénoncée, en la même forme, aux créanciers inscrits sur le fonds de commerce. Ces derniers peuvent demander que le changement d'activité soit subordonné aux conditions de nature à sauvegarder leurs intérêts. Le bailleur doit, dans le mois de cette demande, en aviser, dans la même forme, ceux de ses locataires envers lesquels il se serait obligé à ne pas louer en vue de l'exercice d'activités similaires à celles visées dans la demande. Ceux-ci doivent, à peine de forclusion, faire connaître leur attitude dans le mois de cette notification. A défaut par le bailleur d'avoir, dans les trois mois de la demande, notifié son refus, son acceptation ou encore les conditions auxquelles il subordonne son accord, il est réputé avoir acquiescé à la demande. Cet acquiescement ne fait pas obstacle à l'exercice des droits prévus à l'article L. 145-50 .
1,438,992,000,000
32,472,144,000,000
L145-49
LEGIARTI000031012779
LEGIARTI000006222141
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>La demande faite au bailleur doit, à peine de nullité, comporter l'indication des activités dont l'exercice est envisagé. Elle est formée par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception et dénoncée, en la même forme, aux créanciers inscrits sur le fonds de commerce. Ces derniers peuvent demander que le changement d'activité soit subordonné aux conditions de nature à sauvegarder leurs intérêts. </p><p>Le bailleur doit, dans le mois de cette demande, en aviser, dans la même forme, ceux de ses locataires envers lesquels il se serait obligé à ne pas louer en vue de l'exercice d'activités similaires à celles visées dans la demande. Ceux-ci doivent, à peine de forclusion, faire connaître leur attitude dans le mois de cette notification. </p><p>A défaut par le bailleur d'avoir, dans les trois mois de la demande, notifié son refus, son acceptation ou encore les conditions auxquelles il subordonne son accord, il est réputé avoir acquiescé à la demande. Cet acquiescement ne fait pas obstacle à l'exercice des droits prévus à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222142&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 145-50</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222141
IG-20231129
null
LEGIARTI000031012779
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
null
Code de commerce, art. L145-50
Code de commerce
Le changement d'activité peut motiver le paiement, à la charge du locataire, d'une indemnité égale au montant du préjudice dont le bailleur établirait l'existence. Ce dernier peut en outre, en contrepartie de l'avantage procuré, demander au moment de la transformation, la modification du prix du bail sans qu'il y ait lieu d'appliquer les dispositions des articles L. 145-37 à L. 145-39 . Les droits des créanciers inscrits s'exercent avec leur rang antérieur, sur le fonds transformé.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-50
LEGIARTI000006222142
LEGIARTI000006222142
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>Le changement d'activité peut motiver le paiement, à la charge du locataire, d'une indemnité égale au montant du préjudice dont le bailleur établirait l'existence. <p></p><p></p>Ce dernier peut en outre, en contrepartie de l'avantage procuré, demander au moment de la transformation, la modification du prix du bail sans qu'il y ait lieu d'appliquer les dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222027&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce. - art. L145-37 (V)'>L. 145-37 à L. 145-39</a>. <p></p><p></p>Les droits des créanciers inscrits s'exercent avec leur rang antérieur, sur le fonds transformé.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222142
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
null
Code de commerce, art. L145-51
Code de commerce
Lorsque le locataire ayant demandé à bénéficier de ses droits à la retraite ou ayant été admis au bénéfice d'une pension d'invalidité attribuée par le régime d'assurance invalidité-décès des professions artisanales ou des professions industrielles et commerciales, a signifié à son propriétaire et aux créanciers inscrits sur le fonds de commerce son intention de céder son bail en précisant la nature des activités dont l'exercice est envisagé ainsi que le prix proposé, le bailleur a, dans un délai de deux mois, une priorité de rachat aux conditions fixées dans la signification. A défaut d'usage de ce droit par le bailleur, son accord est réputé acquis si, dans le même délai de deux mois, il n'a pas saisi le tribunal judiciaire. La nature des activités dont l'exercice est envisagé doit être compatible avec la destination, les caractères et la situation de l'immeuble. Les dispositions du présent article sont applicables à l'associé unique d'une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, ou au gérant majoritaire depuis au moins deux ans d'une société à responsabilité limitée, lorsque celle-ci est titulaire du bail.
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L145-51
LEGIARTI000039280350
LEGIARTI000006222144
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p>Lorsque le locataire ayant demandé à bénéficier de ses droits à la retraite ou ayant été admis au bénéfice d'une pension d'invalidité attribuée par le régime d'assurance invalidité-décès des professions artisanales ou des professions industrielles et commerciales, a signifié à son propriétaire et aux créanciers inscrits sur le fonds de commerce son intention de céder son bail en précisant la nature des activités dont l'exercice est envisagé ainsi que le prix proposé, le bailleur a, dans un délai de deux mois, une priorité de rachat aux conditions fixées dans la signification. A défaut d'usage de ce droit par le bailleur, son accord est réputé acquis si, dans le même délai de deux mois, il n'a pas saisi le tribunal judiciaire. <p></p><p></p>La nature des activités dont l'exercice est envisagé doit être compatible avec la destination, les caractères et la situation de l'immeuble. <p></p><p></p>Les dispositions du présent article sont applicables à l'associé unique d'une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, ou au gérant majoritaire depuis au moins deux ans d'une société à responsabilité limitée, lorsque celle-ci est titulaire du bail.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222144
IG-20231124
null
LEGIARTI000039280350
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
<p>Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.</p>
null
Code de commerce, art. L145-52
Code de commerce
Le tribunal judiciaire peut autoriser la transformation totale ou partielle malgré le refus du bailleur, si ce refus n'est point justifié par un motif grave et légitime. Si le différend porte seulement sur le prix du bail, celui-ci est fixé conformément aux dispositions réglementaires prévues pour la fixation du prix des baux révisés. Dans les autres cas, l'affaire est portée devant le tribunal.
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L145-52
LEGIARTI000039280346
LEGIARTI000006222145
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Le tribunal judiciaire peut autoriser la transformation totale ou partielle malgré le refus du bailleur, si ce refus n'est point justifié par un motif grave et légitime. <p></p><p></p>Si le différend porte seulement sur le prix du bail, celui-ci est fixé conformément aux dispositions réglementaires prévues pour la fixation du prix des baux révisés. Dans les autres cas, l'affaire est portée devant le tribunal.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222145
IG-20231124
null
LEGIARTI000039280346
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
<p>Conformément à l'article 36 de l'ordonnance n° 2019-964 du 18 septembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur au 1er janvier 2020.</p>
null
Code de commerce, art. L145-53
Code de commerce
Le refus de transformation est suffisamment motivé si le bailleur justifie qu'il entend reprendre les lieux à l'expiration de la période triennale en cours, soit en application des articles L. 145-18 à L. 145-24 , soit en vue d'exécuter des travaux prescrits ou autorisés dans le cadre d'une opération de rénovation urbaine ou de restauration immobilière. Le bailleur qui a faussement invoqué l'un des motifs prévus à l'alinéa qui précède ou qui n'a pas satisfait aux conditions ayant motivé le rejet de la demande du locataire ne peut s'opposer à une nouvelle demande de transformation d'activité, sauf pour motifs graves et légitimes, à moins que le défaut d'exécution ne lui soit pas imputable. Il peut, en outre, être condamné à verser au locataire une indemnité à raison du préjudice subi par ce dernier.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-53
LEGIARTI000006222146
LEGIARTI000006222146
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>Le refus de transformation est suffisamment motivé si le bailleur justifie qu'il entend reprendre les lieux à l'expiration de la période triennale en cours, soit en application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006221801&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-18 (V)'>articles L. 145-18 à L. 145-24</a>, soit en vue d'exécuter des travaux prescrits ou autorisés dans le cadre d'une opération de rénovation urbaine ou de restauration immobilière. <p></p><p></p>Le bailleur qui a faussement invoqué l'un des motifs prévus à l'alinéa qui précède ou qui n'a pas satisfait aux conditions ayant motivé le rejet de la demande du locataire ne peut s'opposer à une nouvelle demande de transformation d'activité, sauf pour motifs graves et légitimes, à moins que le défaut d'exécution ne lui soit pas imputable. Il peut, en outre, être condamné à verser au locataire une indemnité à raison du préjudice subi par ce dernier.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222146
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
null
Code de commerce, art. L145-54
Code de commerce
Il n'est pas tenu compte de la plus-value conférée au fonds par la transformation prévue à l'article L. 145-48, lorsque l'immeuble dans lequel est exploité le fonds doit être démoli ou restauré, ou lorsque le fonds doit être exproprié dans le cadre d'une opération de rénovation ou de restauration immobilière décidée moins de trois ans après la demande prévue à l'alinéa 1er dudit article.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-54
LEGIARTI000006222154
LEGIARTI000006222154
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p>Il n'est pas tenu compte de la plus-value conférée au fonds par la transformation prévue à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222140&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-48 (V)'>l'article L. 145-48,</a> lorsque l'immeuble dans lequel est exploité le fonds doit être démoli ou restauré, ou lorsque le fonds doit être exproprié dans le cadre d'une opération de rénovation ou de restauration immobilière décidée moins de trois ans après la demande prévue à l'alinéa 1er dudit article.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222154
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
null
Code de commerce, art. L145-55
Code de commerce
A tout moment et jusqu'à l'expiration d'un délai de quinze jours à compter de la date à laquelle la décision est passée en force de chose jugée, le locataire qui a formé une demande conformément aux articles L. 145-47 , L. 145-48 ou L. 145-49 peut y renoncer en le notifiant au bailleur par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception et, dans ce cas, il supporte tous les frais de l'instance.
1,438,992,000,000
32,472,144,000,000
L145-55
LEGIARTI000031012787
LEGIARTI000006222171
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p>A tout moment et jusqu'à l'expiration d'un délai de quinze jours à compter de la date à laquelle la décision est passée en force de chose jugée, le locataire qui a formé une demande conformément aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000031012795&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de commerce - art. L145-47 (V)'>articles L. 145-47</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222140&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-48 (V)'>L. 145-48 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222141&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-49 (V)'>L. 145-49</a> peut y renoncer en le notifiant au bailleur par acte extrajudiciaire ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception et, dans ce cas, il supporte tous les frais de l'instance.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222171
IG-20231124
null
LEGIARTI000031012787
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161269
false
false
Section 8 : De la déspécialisation.
null
null
LEGISCTA000006161269
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 8 : De la déspécialisation.
null
Code de commerce, art. L145-56
Code de commerce
Les règles de compétence et de procédure des contestations relatives au bail sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-56
LEGIARTI000006222177
LEGIARTI000006222177
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Les règles de compétence et de procédure des contestations relatives au bail sont fixées par décret en Conseil d'Etat.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222177
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161270
false
false
Section 9 : De la procédure.
null
null
LEGISCTA000006161270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 9 : De la procédure.
null
Code de commerce, art. L145-57
Code de commerce
Pendant la durée de l'instance relative à la fixation du prix du bail révisé ou renouvelé, le locataire est tenu de continuer à payer les loyers échus au prix ancien ou, le cas échéant, au prix qui peut, en tout état de cause, être fixé à titre provisionnel par la juridiction saisie, sauf compte à faire entre le bailleur et le preneur, après fixation définitive du prix du loyer. Dans le délai d'un mois qui suit la signification de la décision définitive, les parties dressent un nouveau bail dans les conditions fixées judiciairement, à moins que le locataire renonce au renouvellement ou que le bailleur refuse celui-ci, à charge de celle des parties qui a manifesté son désaccord de supporter tous les frais. Faute par le bailleur d'avoir envoyé dans ce délai à la signature du preneur le projet de bail conforme à la décision susvisée ou, faute d'accord dans le mois de cet envoi, l'ordonnance ou l'arrêt fixant le prix ou les conditions du nouveau bail vaut bail.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-57
LEGIARTI000006222178
LEGIARTI000006222178
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Pendant la durée de l'instance relative à la fixation du prix du bail révisé ou renouvelé, le locataire est tenu de continuer à payer les loyers échus au prix ancien ou, le cas échéant, au prix qui peut, en tout état de cause, être fixé à titre provisionnel par la juridiction saisie, sauf compte à faire entre le bailleur et le preneur, après fixation définitive du prix du loyer.<p></p><p></p> Dans le délai d'un mois qui suit la signification de la décision définitive, les parties dressent un nouveau bail dans les conditions fixées judiciairement, à moins que le locataire renonce au renouvellement ou que le bailleur refuse celui-ci, à charge de celle des parties qui a manifesté son désaccord de supporter tous les frais. Faute par le bailleur d'avoir envoyé dans ce délai à la signature du preneur le projet de bail conforme à la décision susvisée ou, faute d'accord dans le mois de cet envoi, l'ordonnance ou l'arrêt fixant le prix ou les conditions du nouveau bail vaut bail.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222178
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161270
false
false
Section 9 : De la procédure.
null
null
LEGISCTA000006161270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 9 : De la procédure.
null
Code de commerce, art. L145-58
Code de commerce
Le propriétaire peut, jusqu'à l'expiration d'un délai de quinze jours à compter de la date à laquelle la décision est passée en force de chose jugée, se soustraire au paiement de l'indemnité, à charge par lui de supporter les frais de l'instance et de consentir au renouvellement du bail dont les conditions, en cas de désaccord, sont fixées conformément aux dispositions réglementaires prises à cet effet. Ce droit ne peut être exercé qu'autant que le locataire est encore dans les lieux et n'a pas déjà loué ou acheté un autre immeuble destiné à sa réinstallation.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-58
LEGIARTI000006222179
LEGIARTI000006222179
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Le propriétaire peut, jusqu'à l'expiration d'un délai de quinze jours à compter de la date à laquelle la décision est passée en force de chose jugée, se soustraire au paiement de l'indemnité, à charge par lui de supporter les frais de l'instance et de consentir au renouvellement du bail dont les conditions, en cas de désaccord, sont fixées conformément aux dispositions réglementaires prises à cet effet. Ce droit ne peut être exercé qu'autant que le locataire est encore dans les lieux et n'a pas déjà loué ou acheté un autre immeuble destiné à sa réinstallation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222179
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161270
false
false
Section 9 : De la procédure.
null
null
LEGISCTA000006161270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 9 : De la procédure.
null
Code de commerce, art. L145-59
Code de commerce
La décision du propriétaire de refuser le renouvellement du bail, en application du dernier alinéa de l'article L. 145-57 , ou de se soustraire au paiement de l'indemnité, dans les conditions prévues au dernier alinéa de l'article L. 145-58 , est irrévocable.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-59
LEGIARTI000006222180
LEGIARTI000006222180
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>La décision du propriétaire de refuser le renouvellement du bail, en application du dernier alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222178&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-57 (V)'>L. 145-57</a>, ou de se soustraire au paiement de l'indemnité, dans les conditions prévues au dernier alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222179&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L145-58 (V)'>L. 145-58</a>, est irrévocable.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222180
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161270
false
false
Section 9 : De la procédure.
null
null
LEGISCTA000006161270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 9 : De la procédure.
null
Code de commerce, art. L145-60
Code de commerce
Toutes les actions exercées en vertu du présent chapitre se prescrivent par deux ans.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L145-60
LEGIARTI000006222196
LEGIARTI000006222196
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Toutes les actions exercées en vertu du présent chapitre se prescrivent par deux ans.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222196
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006161270
false
false
Section 9 : De la procédure.
null
null
LEGISCTA000006161270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre V : Du bail commercial. &gt; Section 9 : De la procédure.
null
Code de commerce, art. L146-1
Code de commerce
Les personnes physiques ou morales qui gèrent un fonds de commerce ou un fonds artisanal, moyennant le versement d'une commission proportionnelle au chiffre d'affaires, sont qualifiées de " gérants-mandataires " lorsque le contrat conclu avec le mandant, pour le compte duquel, le cas échéant dans le cadre d'un réseau, elles gèrent ce fonds, qui en reste propriétaire et supporte les risques liés à son exploitation, leur fixe une mission, en leur laissant toute latitude, dans le cadre ainsi tracé, de déterminer leurs conditions de travail, d'embaucher du personnel et de se substituer des remplaçants dans leur activité à leurs frais et sous leur entière responsabilité. La mission précise, le cas échéant, les normes de gestion et d'exploitation du fonds à respecter et les modalités du contrôle susceptible d'être effectué par le mandant. Ces clauses commerciales ne sont pas de nature à modifier la nature du contrat. Le gérant-mandataire est immatriculé au registre du commerce et des sociétés et, le cas échéant, au registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des métiers et de l'artisanat. Le contrat est mentionné à ces registres et fait l'objet d'une publication sur un support habilité à recevoir des annonces légales. Les dispositions du présent chapitre ne sont pas applicables aux professions régies par le chapitre II du titre VIII du livre VII du code du travail .
1,672,531,200,000
32,472,144,000,000
L146-1
LEGIARTI000044056349
LEGIARTI000006222197
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 47 de l'ordonnance n° 2021-1189 du 15 septembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2023.
4.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les personnes physiques ou morales qui gèrent un fonds de commerce ou un fonds artisanal, moyennant le versement d'une commission proportionnelle au chiffre d'affaires, sont qualifiées de " gérants-mandataires " lorsque le contrat conclu avec le mandant, pour le compte duquel, le cas échéant dans le cadre d'un réseau, elles gèrent ce fonds, qui en reste propriétaire et supporte les risques liés à son exploitation, leur fixe une mission, en leur laissant toute latitude, dans le cadre ainsi tracé, de déterminer leurs conditions de travail, d'embaucher du personnel et de se substituer des remplaçants dans leur activité à leurs frais et sous leur entière responsabilité. </p><p>La mission précise, le cas échéant, les normes de gestion et d'exploitation du fonds à respecter et les modalités du contrôle susceptible d'être effectué par le mandant. Ces clauses commerciales ne sont pas de nature à modifier la nature du contrat. </p><p>Le gérant-mandataire est immatriculé au registre du commerce et des sociétés et, le cas échéant, au registre national des entreprises en tant qu'entreprise du secteur des métiers et de l'artisanat. Le contrat est mentionné à ces registres et fait l'objet d'une publication sur un support habilité à recevoir des annonces légales. </p><p>Les dispositions du présent chapitre ne sont pas applicables aux professions régies par le chapitre II du titre VIII du livre VII du <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail (V)'>code du travail</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038584376
IG-20231124
null
LEGIARTI000044056349
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146041
false
false
Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
null
null
LEGISCTA000006146041
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
<p><font color='black'>Conformément à l’article 47 de l'ordonnance n° 2021-1189 du 15 septembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2023.</font></p>
null
Code de commerce, art. L146-2
Code de commerce
Le mandant fournit au gérant-mandataire, avant la signature du contrat, toutes informations nécessaires à sa mission, telles que définies par décret, afin de lui permettre de s'engager en connaissance de cause.
1,123,027,200,000
32,472,144,000,000
L146-2
LEGIARTI000006222198
LEGIARTI000006222198
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Le mandant fournit au gérant-mandataire, avant la signature du contrat, toutes informations nécessaires à sa mission, telles que définies par décret, afin de lui permettre de s'engager en connaissance de cause.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222198
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146041
false
false
Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
null
null
LEGISCTA000006146041
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
null
Code de commerce, art. L146-3
Code de commerce
Un accord-cadre conclu entre le mandant et les gérants-mandataires auxquels il est lié par un contrat, ou leurs représentants, fixe notamment le montant de la commission minimale garantie dans tous les contrats de gérance-mandat conclus par ledit mandant. Cette commission minimale tient compte de l'importance de l'établissement et des modalités de son exploitation. A défaut d'accord, le ministre chargé des petites et moyennes entreprises fixe cette commission minimale.
1,123,027,200,000
32,472,144,000,000
L146-3
LEGIARTI000006222199
LEGIARTI000006222199
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Un accord-cadre conclu entre le mandant et les gérants-mandataires auxquels il est lié par un contrat, ou leurs représentants, fixe notamment le montant de la commission minimale garantie dans tous les contrats de gérance-mandat conclus par ledit mandant. Cette commission minimale tient compte de l'importance de l'établissement et des modalités de son exploitation.<p></p><p></p> A défaut d'accord, le ministre chargé des petites et moyennes entreprises fixe cette commission minimale.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222199
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146041
false
false
Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
null
null
LEGISCTA000006146041
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
null
Code de commerce, art. L146-4
Code de commerce
Le contrat liant le mandant et le gérant-mandataire peut prendre fin à tout moment dans les conditions fixées par les parties. Toutefois, en cas de résiliation du contrat par le mandant, sauf faute grave de la part du gérant-mandataire, le mandant lui verse une indemnité égale, sauf conditions plus favorables fixées par les parties, au montant des commissions acquises, ou à la commission minimale garantie mentionnée à l'article L. 146-3 , pendant les six mois précédant la résiliation du contrat, ou pendant la durée d'exécution du contrat si celle-ci a été inférieure à six mois.
1,123,027,200,000
32,472,144,000,000
L146-4
LEGIARTI000006222200
LEGIARTI000006222200
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>Le contrat liant le mandant et le gérant-mandataire peut prendre fin à tout moment dans les conditions fixées par les parties. Toutefois, en cas de résiliation du contrat par le mandant, sauf faute grave de la part du gérant-mandataire, le mandant lui verse une indemnité égale, sauf conditions plus favorables fixées par les parties, au montant des commissions acquises, ou à la commission minimale garantie mentionnée à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222199&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L146-3 (V)'>l'article L. 146-3</a>, pendant les six mois précédant la résiliation du contrat, ou pendant la durée d'exécution du contrat si celle-ci a été inférieure à six mois.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222200
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146041
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Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
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null
LEGISCTA000006146041
null
null
null
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null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; TITRE IV : Du fonds de commerce. &gt; Chapitre VI : Des gérants-mandataires.
null
Code de commerce, art. L151-1
Code de commerce
Est protégée au titre du secret des affaires toute information répondant aux critères suivants : 1° Elle n'est pas, en elle-même ou dans la configuration et l'assemblage exacts de ses éléments, généralement connue ou aisément accessible pour les personnes familières de ce type d'informations en raison de leur secteur d'activité ; 2° Elle revêt une valeur commerciale, effective ou potentielle, du fait de son caractère secret ; 3° Elle fait l'objet de la part de son détenteur légitime de mesures de protection raisonnables, compte tenu des circonstances, pour en conserver le caractère secret.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-1
LEGIARTI000037266553
LEGIARTI000037266553
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Est protégée au titre du secret des affaires toute information répondant aux critères suivants :<br/><br/> 1° Elle n'est pas, en elle-même ou dans la configuration et l'assemblage exacts de ses éléments, généralement connue ou aisément accessible pour les personnes familières de ce type d'informations en raison de leur secteur d'activité ;<br/><br/> 2° Elle revêt une valeur commerciale, effective ou potentielle, du fait de son caractère secret ;<br/><br/> 3° Elle fait l'objet de la part de son détenteur légitime de mesures de protection raisonnables, compte tenu des circonstances, pour en conserver le caractère secret.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266553
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000037266551
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Section 1 : De l'information protégée
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LEGISCTA000037266551
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null
null
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Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 1 : De l'information protégée
null
Code de commerce, art. L151-2
Code de commerce
Est détenteur légitime d'un secret des affaires celui qui en a le contrôle de façon licite.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-2
LEGIARTI000037266557
LEGIARTI000037266557
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Est détenteur légitime d'un secret des affaires celui qui en a le contrôle de façon licite.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266557
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000037266555
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Section 2 : De la détention légitime et de l'obtention licite d'un secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266555
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 2 : De la détention légitime et de l'obtention licite d'un secret des affaires
null
Code de commerce, art. L151-3
Code de commerce
Constituent des modes d'obtention licite d'un secret des affaires : 1° Une découverte ou une création indépendante ; 2° L'observation, l'étude, le démontage ou le test d'un produit ou d'un objet qui a été mis à la disposition du public ou qui est de façon licite en possession de la personne qui obtient l'information, sauf stipulation contractuelle interdisant ou limitant l'obtention du secret.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-3
LEGIARTI000037266559
LEGIARTI000037266559
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Constituent des modes d'obtention licite d'un secret des affaires :<br/><br/> 1° Une découverte ou une création indépendante ;<br/><br/> 2° L'observation, l'étude, le démontage ou le test d'un produit ou d'un objet qui a été mis à la disposition du public ou qui est de façon licite en possession de la personne qui obtient l'information, sauf stipulation contractuelle interdisant ou limitant l'obtention du secret.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266559
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266555
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Section 2 : De la détention légitime et de l'obtention licite d'un secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266555
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 2 : De la détention légitime et de l'obtention licite d'un secret des affaires
null
Code de commerce, art. L151-4
Code de commerce
L'obtention d'un secret des affaires est illicite lorsqu'elle est réalisée sans le consentement de son détenteur légitime et qu'elle résulte : 1° D'un accès non autorisé à tout document, objet, matériau, substance ou fichier numérique qui contient le secret ou dont il peut être déduit, ou bien d'une appropriation ou d'une copie non autorisée de ces éléments ; 2° De tout autre comportement considéré, compte tenu des circonstances, comme déloyal et contraire aux usages en matière commerciale.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-4
LEGIARTI000037266563
LEGIARTI000037266563
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>L'obtention d'un secret des affaires est illicite lorsqu'elle est réalisée sans le consentement de son détenteur légitime et qu'elle résulte :<br/><br/> 1° D'un accès non autorisé à tout document, objet, matériau, substance ou fichier numérique qui contient le secret ou dont il peut être déduit, ou bien d'une appropriation ou d'une copie non autorisée de ces éléments ;<br/><br/> 2° De tout autre comportement considéré, compte tenu des circonstances, comme déloyal et contraire aux usages en matière commerciale.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266563
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266561
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Section 3 : De l'obtention, de l'utilisation et de la divulgation illicites
null
null
LEGISCTA000037266561
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 3 : De l'obtention, de l'utilisation et de la divulgation illicites
null
Code de commerce, art. L151-5
Code de commerce
L'utilisation ou la divulgation d'un secret des affaires est illicite lorsqu'elle est réalisée sans le consentement de son détenteur légitime par une personne qui a obtenu le secret dans les conditions mentionnées à l'article L. 151-4 ou qui agit en violation d'une obligation de ne pas divulguer le secret ou de limiter son utilisation. La production, l'offre ou la mise sur le marché, de même que l'importation, l'exportation ou le stockage à ces fins de tout produit résultant de manière significative d'une atteinte au secret des affaires sont également considérés comme une utilisation illicite lorsque la personne qui exerce ces activités savait, ou aurait dû savoir au regard des circonstances, que ce secret était utilisé de façon illicite au sens du premier alinéa du présent article.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-5
LEGIARTI000037266565
LEGIARTI000037266565
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>L'utilisation ou la divulgation d'un secret des affaires est illicite lorsqu'elle est réalisée sans le consentement de son détenteur légitime par une personne qui a obtenu le secret dans les conditions mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266563&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L151-4 (V)'>L. 151-4</a> ou qui agit en violation d'une obligation de ne pas divulguer le secret ou de limiter son utilisation. <br/><br/>La production, l'offre ou la mise sur le marché, de même que l'importation, l'exportation ou le stockage à ces fins de tout produit résultant de manière significative d'une atteinte au secret des affaires sont également considérés comme une utilisation illicite lorsque la personne qui exerce ces activités savait, ou aurait dû savoir au regard des circonstances, que ce secret était utilisé de façon illicite au sens du premier alinéa du présent article.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266565
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266561
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Section 3 : De l'obtention, de l'utilisation et de la divulgation illicites
null
null
LEGISCTA000037266561
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 3 : De l'obtention, de l'utilisation et de la divulgation illicites
null
Code de commerce, art. L151-6
Code de commerce
L'obtention, l'utilisation ou la divulgation d'un secret des affaires est aussi considérée comme illicite lorsque, au moment de l'obtention, de l'utilisation ou de la divulgation du secret, une personne savait, ou aurait dû savoir au regard des circonstances, que ce secret avait été obtenu, directement ou indirectement, d'une autre personne qui l'utilisait ou le divulguait de façon illicite au sens du premier alinéa de l'article L. 151-5 .
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-6
LEGIARTI000037266567
LEGIARTI000037266567
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>L'obtention, l'utilisation ou la divulgation d'un secret des affaires est aussi considérée comme illicite lorsque, au moment de l'obtention, de l'utilisation ou de la divulgation du secret, une personne savait, ou aurait dû savoir au regard des circonstances, que ce secret avait été obtenu, directement ou indirectement, d'une autre personne qui l'utilisait ou le divulguait de façon illicite au sens du premier alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266565&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L151-5 (V)'>L. 151-5</a>.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266567
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266561
false
false
Section 3 : De l'obtention, de l'utilisation et de la divulgation illicites
null
null
LEGISCTA000037266561
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 3 : De l'obtention, de l'utilisation et de la divulgation illicites
null
Code de commerce, art. L151-7
Code de commerce
Le secret des affaires n'est pas opposable lorsque l'obtention, l'utilisation ou la divulgation du secret est requise ou autorisée par le droit de l'Union européenne, les traités ou accords internationaux en vigueur ou le droit national, notamment dans l'exercice des pouvoirs d'enquête, de contrôle, d'autorisation ou de sanction des autorités juridictionnelles ou administratives.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-7
LEGIARTI000037266571
LEGIARTI000037266571
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Le secret des affaires n'est pas opposable lorsque l'obtention, l'utilisation ou la divulgation du secret est requise ou autorisée par le droit de l'Union européenne, les traités ou accords internationaux en vigueur ou le droit national, notamment dans l'exercice des pouvoirs d'enquête, de contrôle, d'autorisation ou de sanction des autorités juridictionnelles ou administratives.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266571
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266569
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Section 4 : Des exceptions à la protection du secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266569
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 4 : Des exceptions à la protection du secret des affaires
null
Code de commerce, art. L151-8
Code de commerce
A l'occasion d'une instance relative à une atteinte au secret des affaires, le secret n'est pas opposable lorsque son obtention, son utilisation ou sa divulgation est intervenue : 1° Pour exercer le droit à la liberté d'expression et de communication, y compris le respect de la liberté de la presse, et à la liberté d'information telle que proclamée dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne ; 2° Pour révéler, dans le but de protéger l'intérêt général et de bonne foi, une activité illégale, une faute ou un comportement répréhensible, y compris lors de l'exercice du droit d'alerte défini à l'article 6 de la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique dans les conditions définies aux articles 6 et 8 de la même loi ; 3° Pour la protection d'un intérêt légitime reconnu par le droit de l'Union européenne ou le droit national.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L151-8
LEGIARTI000045391854
LEGIARTI000037266573
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 18 de la loi n° 2022-401 du 21 mars 2022, ces dispositions entrent en vigueur le premier jour du sixième mois suivant sa promulgation.
2.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>A l'occasion d'une instance relative à une atteinte au secret des affaires, le secret n'est pas opposable lorsque son obtention, son utilisation ou sa divulgation est intervenue :</p><p>1° Pour exercer le droit à la liberté d'expression et de communication, y compris le respect de la liberté de la presse, et à la liberté d'information telle que proclamée dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne ;</p><p>2° Pour révéler, dans le but de protéger l'intérêt général et de bonne foi, une activité illégale, une faute ou un comportement répréhensible, y compris lors de l'exercice du droit d'alerte défini à l'article 6 de la loi n° <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000033558528&categorieLien=cid'>2016-1691</a> du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique dans les conditions définies aux articles 6 et 8 de la même loi ;</p><p>3° Pour la protection d'un intérêt légitime reconnu par le droit de l'Union européenne ou le droit national.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037266573
IG-20231128
null
LEGIARTI000045391854
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266569
false
false
Section 4 : Des exceptions à la protection du secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266569
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 4 : Des exceptions à la protection du secret des affaires
<p>Conformément à l’article 18 de la loi n° 2022-401 du 21 mars 2022, ces dispositions entrent en vigueur le premier jour du sixième mois suivant sa promulgation.</p>
null
Code de commerce, art. L151-9
Code de commerce
A l'occasion d'une instance relative à une atteinte au secret des affaires, le secret n'est pas opposable lorsque : 1° L'obtention du secret des affaires est intervenue dans le cadre de l'exercice du droit à l'information et à la consultation des salariés ou de leurs représentants ; 2° La divulgation du secret des affaires par des salariés à leurs représentants est intervenue dans le cadre de l'exercice légitime par ces derniers de leurs fonctions, pour autant que cette divulgation ait été nécessaire à cet exercice. L'information ainsi obtenue ou divulguée demeure protégée au titre du secret des affaires à l'égard des personnes autres que les salariés ou leurs représentants qui en ont eu connaissance.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L151-9
LEGIARTI000037266575
LEGIARTI000037266575
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>A l'occasion d'une instance relative à une atteinte au secret des affaires, le secret n'est pas opposable lorsque :<br/><br/> 1° L'obtention du secret des affaires est intervenue dans le cadre de l'exercice du droit à l'information et à la consultation des salariés ou de leurs représentants ;<br/><br/> 2° La divulgation du secret des affaires par des salariés à leurs représentants est intervenue dans le cadre de l'exercice légitime par ces derniers de leurs fonctions, pour autant que cette divulgation ait été nécessaire à cet exercice.<br/><br/> L'information ainsi obtenue ou divulguée demeure protégée au titre du secret des affaires à l'égard des personnes autres que les salariés ou leurs représentants qui en ont eu connaissance.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266575
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266569
false
false
Section 4 : Des exceptions à la protection du secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266569
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre Ier : De l'objet et des conditions de la protection &gt; Section 4 : Des exceptions à la protection du secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-1
Code de commerce
Toute atteinte au secret des affaires telle que prévue aux articles L. 151-4 à L. 151-6 engage la responsabilité civile de son auteur.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-1
LEGIARTI000037266579
LEGIARTI000037266579
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Toute atteinte au secret des affaires telle que prévue aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266563&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L151-4 (V)'>L. 151-4 </a>à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266567&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L151-6 (V)'>L. 151-6</a> engage la responsabilité civile de son auteur.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266579
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266577
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Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266577
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-2
Code de commerce
Les actions relatives à une atteinte au secret des affaires sont prescrites par cinq ans à compter du jour où le détenteur légitime du secret des affaires a connu ou aurait dû connaître le dernier fait qui en est la cause.
1,558,656,000,000
32,472,144,000,000
L152-2
LEGIARTI000038613121
LEGIARTI000037266581
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Les actions relatives à une atteinte au secret des affaires sont prescrites par cinq ans à compter du jour où le détenteur légitime du secret des affaires a connu ou aurait dû connaître le dernier fait qui en est la cause.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037266581
IG-20231129
null
LEGIARTI000038613121
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266577
false
false
Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266577
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-3
Code de commerce
I.-Dans le cadre d'une action relative à la prévention ou la cessation d'une atteinte à un secret des affaires, la juridiction peut, sans préjudice de l'octroi de dommages et intérêts, prescrire, y compris sous astreinte, toute mesure proportionnée de nature à empêcher ou à faire cesser une telle atteinte. Elle peut notamment : 1° Interdire la réalisation ou la poursuite des actes d'utilisation ou de divulgation d'un secret des affaires ; 2° Interdire les actes de production, d'offre, de mise sur le marché ou d'utilisation des produits résultant de manière significative de l'atteinte au secret des affaires ou l'importation, l'exportation ou le stockage de tels produits à ces fins ; 3° Ordonner la destruction totale ou partielle de tout document, objet, matériau, substance ou fichier numérique contenant le secret des affaires concerné ou dont il peut être déduit ou, selon le cas, ordonner leur remise totale ou partielle au demandeur. II.-La juridiction peut également ordonner que les produits résultant de manière significative de l'atteinte au secret des affaires soient rappelés des circuits commerciaux, écartés définitivement de ces circuits, modifiés afin de supprimer l'atteinte au secret des affaires, détruits ou, selon le cas, confisqués au profit de la partie lésée. III.-Lorsque la juridiction limite la durée des mesures mentionnées aux 1° et 2° du I, la durée fixée doit être suffisante pour éliminer tout avantage commercial ou économique que l'auteur de l'atteinte au secret des affaires aurait pu tirer de l'obtention, de l'utilisation ou de la divulgation illicite du secret des affaires. IV.-Sauf circonstances particulières et sans préjudice des dommages et intérêts qui pourraient être réclamés, les mesures mentionnées aux I à III sont ordonnées aux frais de l'auteur de l'atteinte. Il peut y être mis fin à la demande de l'auteur de l'atteinte lorsque les informations concernées ne peuvent plus être qualifiées de secret des affaires au sens de l'article L. 151-1 pour des raisons qui ne dépendent pas, directement ou indirectement, de lui.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-3
LEGIARTI000037266585
LEGIARTI000037266585
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>I.-Dans le cadre d'une action relative à la prévention ou la cessation d'une atteinte à un secret des affaires, la juridiction peut, sans préjudice de l'octroi de dommages et intérêts, prescrire, y compris sous astreinte, toute mesure proportionnée de nature à empêcher ou à faire cesser une telle atteinte. Elle peut notamment : <br/><br/>1° Interdire la réalisation ou la poursuite des actes d'utilisation ou de divulgation d'un secret des affaires ; <br/><br/>2° Interdire les actes de production, d'offre, de mise sur le marché ou d'utilisation des produits résultant de manière significative de l'atteinte au secret des affaires ou l'importation, l'exportation ou le stockage de tels produits à ces fins ; <br/><br/>3° Ordonner la destruction totale ou partielle de tout document, objet, matériau, substance ou fichier numérique contenant le secret des affaires concerné ou dont il peut être déduit ou, selon le cas, ordonner leur remise totale ou partielle au demandeur. <br/><br/>II.-La juridiction peut également ordonner que les produits résultant de manière significative de l'atteinte au secret des affaires soient rappelés des circuits commerciaux, écartés définitivement de ces circuits, modifiés afin de supprimer l'atteinte au secret des affaires, détruits ou, selon le cas, confisqués au profit de la partie lésée. <br/><br/>III.-Lorsque la juridiction limite la durée des mesures mentionnées aux 1° et 2° du I, la durée fixée doit être suffisante pour éliminer tout avantage commercial ou économique que l'auteur de l'atteinte au secret des affaires aurait pu tirer de l'obtention, de l'utilisation ou de la divulgation illicite du secret des affaires. <br/><br/>IV.-Sauf circonstances particulières et sans préjudice des dommages et intérêts qui pourraient être réclamés, les mesures mentionnées aux I à III sont ordonnées aux frais de l'auteur de l'atteinte. <br/><br/>Il peut y être mis fin à la demande de l'auteur de l'atteinte lorsque les informations concernées ne peuvent plus être qualifiées de secret des affaires au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266553&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L151-1 (V)'>L. 151-1</a> pour des raisons qui ne dépendent pas, directement ou indirectement, de lui.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266585
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266583
false
false
Section 1 : Des mesures pour prévenir et faire cesser une atteinte au secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266583
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires &gt; Section 1 : Des mesures pour prévenir et faire cesser une atteinte au secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-4
Code de commerce
Pour prévenir une atteinte imminente ou faire cesser une atteinte illicite à un secret des affaires, la juridiction peut, sur requête ou en référé, ordonner des mesures provisoires et conservatoires dont les modalités sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-4
LEGIARTI000037266587
LEGIARTI000037266587
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Pour prévenir une atteinte imminente ou faire cesser une atteinte illicite à un secret des affaires, la juridiction peut, sur requête ou en référé, ordonner des mesures provisoires et conservatoires dont les modalités sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266587
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266583
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Section 1 : Des mesures pour prévenir et faire cesser une atteinte au secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266583
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires &gt; Section 1 : Des mesures pour prévenir et faire cesser une atteinte au secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-5
Code de commerce
Sans préjudice de l'article L. 152-6 , la juridiction peut ordonner, à la demande de l'auteur de l'atteinte, le versement d'une indemnité à la partie lésée au lieu des mesures mentionnées aux I à III de l'article L. 152-3 lorsque sont réunies les conditions suivantes : 1° Au moment de l'utilisation ou de la divulgation du secret des affaires, l'auteur de l'atteinte ne savait pas, ni ne pouvait savoir au regard des circonstances, que le secret des affaires avait été obtenu d'une autre personne qui l'utilisait ou le divulguait de façon illicite ; 2° L'exécution des mesures mentionnées aux I à III de l'article L. 152-3 causerait à cet auteur un dommage disproportionné ; 3° Le versement d'une indemnité à la partie lésée paraît raisonnablement satisfaisant. Lorsque le versement de cette indemnité est ordonné en lieu et place des mesures prévues aux 1° et 2° du I du même article L. 152-3, cette indemnité ne peut être fixée à une somme supérieure au montant des droits qui auraient été dus si l'auteur de l'atteinte avait demandé l'autorisation d'utiliser ledit secret des affaires pour la période pendant laquelle l'utilisation du secret des affaires aurait pu être interdite.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-5
LEGIARTI000037266589
LEGIARTI000037266589
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>Sans préjudice de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266593&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L152-6 (V)'>L. 152-6</a>, la juridiction peut ordonner, à la demande de l'auteur de l'atteinte, le versement d'une indemnité à la partie lésée au lieu des mesures mentionnées aux I à III de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266585&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L152-3 (V)'>L. 152-3 </a>lorsque sont réunies les conditions suivantes : <br/><br/>1° Au moment de l'utilisation ou de la divulgation du secret des affaires, l'auteur de l'atteinte ne savait pas, ni ne pouvait savoir au regard des circonstances, que le secret des affaires avait été obtenu d'une autre personne qui l'utilisait ou le divulguait de façon illicite ; <br/><br/>2° L'exécution des mesures mentionnées aux I à III de l'article L. 152-3 causerait à cet auteur un dommage disproportionné ; <br/><br/>3° Le versement d'une indemnité à la partie lésée paraît raisonnablement satisfaisant. <br/><br/>Lorsque le versement de cette indemnité est ordonné en lieu et place des mesures prévues aux 1° et 2° du I du même article L. 152-3, cette indemnité ne peut être fixée à une somme supérieure au montant des droits qui auraient été dus si l'auteur de l'atteinte avait demandé l'autorisation d'utiliser ledit secret des affaires pour la période pendant laquelle l'utilisation du secret des affaires aurait pu être interdite.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266589
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266583
false
false
Section 1 : Des mesures pour prévenir et faire cesser une atteinte au secret des affaires
null
null
LEGISCTA000037266583
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires &gt; Section 1 : Des mesures pour prévenir et faire cesser une atteinte au secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-6
Code de commerce
Pour fixer les dommages et intérêts dus en réparation du préjudice effectivement subi, la juridiction prend en considération distinctement : 1° Les conséquences économiques négatives de l'atteinte au secret des affaires, dont le manque à gagner et la perte subie par la partie lésée, y compris la perte de chance ; 2° Le préjudice moral causé à la partie lésée ; 3° Les bénéfices réalisés par l'auteur de l'atteinte au secret des affaires, y compris les économies d'investissements intellectuels, matériels et promotionnels que celui-ci a retirées de l'atteinte. La juridiction peut, à titre d'alternative et sur demande de la partie lésée, allouer à titre de dommages et intérêts une somme forfaitaire qui tient notamment compte des droits qui auraient été dus si l'auteur de l'atteinte avait demandé l'autorisation d'utiliser le secret des affaires en question. Cette somme n'est pas exclusive de l'indemnisation du préjudice moral causé à la partie lésée.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-6
LEGIARTI000037266593
LEGIARTI000037266593
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Pour fixer les dommages et intérêts dus en réparation du préjudice effectivement subi, la juridiction prend en considération distinctement :<br/><br/> 1° Les conséquences économiques négatives de l'atteinte au secret des affaires, dont le manque à gagner et la perte subie par la partie lésée, y compris la perte de chance ;<br/><br/> 2° Le préjudice moral causé à la partie lésée ;<br/><br/> 3° Les bénéfices réalisés par l'auteur de l'atteinte au secret des affaires, y compris les économies d'investissements intellectuels, matériels et promotionnels que celui-ci a retirées de l'atteinte.<br/><br/> La juridiction peut, à titre d'alternative et sur demande de la partie lésée, allouer à titre de dommages et intérêts une somme forfaitaire qui tient notamment compte des droits qui auraient été dus si l'auteur de l'atteinte avait demandé l'autorisation d'utiliser le secret des affaires en question. Cette somme n'est pas exclusive de l'indemnisation du préjudice moral causé à la partie lésée.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266593
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266591
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Section 2 : De la réparation d'une atteinte au secret des affaires
null
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LEGISCTA000037266591
null
null
null
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null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires &gt; Section 2 : De la réparation d'une atteinte au secret des affaires
null
Code de commerce, art. L152-7
Code de commerce
La juridiction peut ordonner toute mesure de publicité de la décision relative à l'obtention, l'utilisation ou la divulgation illicite d'un secret des affaires, notamment son affichage ou sa publication intégrale ou par extraits dans les journaux ou sur les services de communication au public en ligne qu'elle désigne, selon les modalités qu'elle précise. Lorsqu'elle ordonne une telle mesure, la juridiction veille à protéger le secret des affaires dans les conditions prévues à l'article L. 153-1 . Les mesures sont ordonnées aux frais de l'auteur de l'atteinte.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-7
LEGIARTI000037266597
LEGIARTI000037266597
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>La juridiction peut ordonner toute mesure de publicité de la décision relative à l'obtention, l'utilisation ou la divulgation illicite d'un secret des affaires, notamment son affichage ou sa publication intégrale ou par extraits dans les journaux ou sur les services de communication au public en ligne qu'elle désigne, selon les modalités qu'elle précise. <br/><br/>Lorsqu'elle ordonne une telle mesure, la juridiction veille à protéger le secret des affaires dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266605&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L153-1 (V)'>L. 153-1</a>. <br/><br/>Les mesures sont ordonnées aux frais de l'auteur de l'atteinte.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266597
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266595
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false
Section 3 : Des mesures de publicité
null
null
LEGISCTA000037266595
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires &gt; Section 3 : Des mesures de publicité
null
Code de commerce, art. L152-8
Code de commerce
Toute personne physique ou morale qui agit de manière dilatoire ou abusive sur le fondement du présent chapitre peut être condamnée au paiement d'une amende civile dont le montant ne peut être supérieur à 20 % du montant de la demande de dommages et intérêts. En l'absence de demande de dommages et intérêts, le montant de l'amende civile ne peut excéder 60 000 €. L'amende civile peut être prononcée sans préjudice de l'octroi de dommages et intérêts à la partie victime de la procédure dilatoire ou abusive.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L152-8
LEGIARTI000037266601
LEGIARTI000037266601
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Toute personne physique ou morale qui agit de manière dilatoire ou abusive sur le fondement du présent chapitre peut être condamnée au paiement d'une amende civile dont le montant ne peut être supérieur à 20 % du montant de la demande de dommages et intérêts. En l'absence de demande de dommages et intérêts, le montant de l'amende civile ne peut excéder 60 000 €.<br/><br/> L'amende civile peut être prononcée sans préjudice de l'octroi de dommages et intérêts à la partie victime de la procédure dilatoire ou abusive.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037266601
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266599
false
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Section 4 : Des sanctions en cas de procédure dilatoire ou abusive
null
null
LEGISCTA000037266599
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre II : Des actions en prévention, en cessation ou en réparation d'une atteinte au secret des affaires &gt; Section 4 : Des sanctions en cas de procédure dilatoire ou abusive
null
Code de commerce, art. L153-1
Code de commerce
Lorsque, à l'occasion d'une instance civile ou commerciale ayant pour objet une mesure d'instruction sollicitée avant tout procès au fond ou à l'occasion d'une instance au fond, il est fait état ou est demandée la communication ou la production d'une pièce dont il est allégué par une partie ou un tiers ou dont il a été jugé qu'elle est de nature à porter atteinte à un secret des affaires, le juge peut, d'office ou à la demande d'une partie ou d'un tiers, si la protection de ce secret ne peut être assurée autrement et sans préjudice de l'exercice des droits de la défense : 1° Prendre connaissance seul de cette pièce et, s'il l'estime nécessaire, ordonner une expertise et solliciter l'avis, pour chacune des parties, d'une personne habilitée à l'assister ou la représenter, afin de décider s'il y a lieu d'appliquer des mesures de protection prévues au présent article ; 2° Décider de limiter la communication ou la production de cette pièce à certains de ses éléments, en ordonner la communication ou la production sous une forme de résumé ou en restreindre l'accès, pour chacune des parties, au plus à une personne physique et une personne habilitée à l'assister ou la représenter ; 3° Décider que les débats auront lieu et que la décision sera prononcée en chambre du conseil ; 4° Adapter la motivation de sa décision et les modalités de publicité de celle-ci aux nécessités de la protection du secret des affaires.
1,553,472,000,000
32,472,144,000,000
L153-1
LEGIARTI000038311180
LEGIARTI000037266605
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Lorsque, à l'occasion d'une instance civile ou commerciale ayant pour objet une mesure d'instruction sollicitée avant tout procès au fond ou à l'occasion d'une instance au fond, il est fait état ou est demandée la communication ou la production d'une pièce dont il est allégué par une partie ou un tiers ou dont il a été jugé qu'elle est de nature à porter atteinte à un secret des affaires, le juge peut, d'office ou à la demande d'une partie ou d'un tiers, si la protection de ce secret ne peut être assurée autrement et sans préjudice de l'exercice des droits de la défense :<br/><br/> 1° Prendre connaissance seul de cette pièce et, s'il l'estime nécessaire, ordonner une expertise et solliciter l'avis, pour chacune des parties, d'une personne habilitée à l'assister ou la représenter, afin de décider s'il y a lieu d'appliquer des mesures de protection prévues au présent article ;<br/><br/> 2° Décider de limiter la communication ou la production de cette pièce à certains de ses éléments, en ordonner la communication ou la production sous une forme de résumé ou en restreindre l'accès, pour chacune des parties, au plus à une personne physique et une personne habilitée à l'assister ou la représenter ;<br/><br/> 3° Décider que les débats auront lieu et que la décision sera prononcée en chambre du conseil ;<br/><br/> 4° Adapter la motivation de sa décision et les modalités de publicité de celle-ci aux nécessités de la protection du secret des affaires.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037266605
IG-20231129
null
LEGIARTI000038311180
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266603
false
false
Chapitre III : Des mesures générales de protection du secret des affaires devant les juridictions civiles ou commerciales
null
null
LEGISCTA000037266603
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre III : Des mesures générales de protection du secret des affaires devant les juridictions civiles ou commerciales
null
Code de commerce, art. L153-2
Code de commerce
Toute personne ayant accès à une pièce ou au contenu d'une pièce considérée par le juge comme étant couverte ou susceptible d'être couverte par le secret des affaires est tenue à une obligation de confidentialité lui interdisant toute utilisation ou divulgation des informations qu'elle contient. Dans le cas d'une personne morale, l'obligation prévue au premier alinéa du présent article s'applique à ses représentants légaux ou statutaires et aux personnes qui la représentent devant la juridiction. Les personnes ayant accès à la pièce ou à son contenu ne sont liées par cette obligation ni dans leurs rapports entre elles ni à l'égard des représentants légaux ou statutaires de la personne morale partie à la procédure. Les personnes habilitées à assister ou représenter les parties ne sont pas liées par cette obligation de confidentialité à l'égard de celles-ci, sauf dans le cas prévu au 1° de l'article L. 153-1 . L'obligation de confidentialité perdure à l'issue de la procédure. Toutefois, elle prend fin si une juridiction décide, par une décision non susceptible de recours, qu'il n'existe pas de secret des affaires ou si les informations en cause ont entre-temps cessé de constituer un secret des affaires ou sont devenues aisément accessibles.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L153-2
LEGIARTI000037266607
LEGIARTI000037266607
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Toute personne ayant accès à une pièce ou au contenu d'une pièce considérée par le juge comme étant couverte ou susceptible d'être couverte par le secret des affaires est tenue à une obligation de confidentialité lui interdisant toute utilisation ou divulgation des informations qu'elle contient. <br/><br/>Dans le cas d'une personne morale, l'obligation prévue au premier alinéa du présent article s'applique à ses représentants légaux ou statutaires et aux personnes qui la représentent devant la juridiction. <br/><br/>Les personnes ayant accès à la pièce ou à son contenu ne sont liées par cette obligation ni dans leurs rapports entre elles ni à l'égard des représentants légaux ou statutaires de la personne morale partie à la procédure. <br/><br/>Les personnes habilitées à assister ou représenter les parties ne sont pas liées par cette obligation de confidentialité à l'égard de celles-ci, sauf dans le cas prévu au 1° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000037266605&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L153-1 (V)'>L. 153-1</a>. <br/><br/>L'obligation de confidentialité perdure à l'issue de la procédure. Toutefois, elle prend fin si une juridiction décide, par une décision non susceptible de recours, qu'il n'existe pas de secret des affaires ou si les informations en cause ont entre-temps cessé de constituer un secret des affaires ou sont devenues aisément accessibles.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266607
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266603
false
false
Chapitre III : Des mesures générales de protection du secret des affaires devant les juridictions civiles ou commerciales
null
null
LEGISCTA000037266603
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre III : Des mesures générales de protection du secret des affaires devant les juridictions civiles ou commerciales
null
Code de commerce, art. L154-1
Code de commerce
Les conditions d'application du présent titre sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
1,533,081,600,000
32,472,144,000,000
L154-1
LEGIARTI000037266611
LEGIARTI000037266611
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Les conditions d'application du présent titre sont fixées par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000037266611
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000037266609
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false
Chapitre IV : Conditions d'application
null
null
LEGISCTA000037266609
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE Ier : Du commerce en général. &gt; Titre V : De la protection du secret des affaires &gt; Chapitre IV : Conditions d'application
null
Code de commerce, art. L210-1
Code de commerce
Le caractère commercial d'une société est déterminé par sa forme ou par son objet. Sont commerciales à raison de leur forme et quel que soit leur objet, les sociétés en nom collectif, les sociétés en commandite simple, les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-1
LEGIARTI000006222344
LEGIARTI000006222344
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Le caractère commercial d'une société est déterminé par sa forme ou par son objet.<p></p><p></p> Sont commerciales à raison de leur forme et quel que soit leur objet, les sociétés en nom collectif, les sociétés en commandite simple, les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222344
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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null
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
null
Code de commerce, art. L210-2
Code de commerce
La forme, la durée qui ne peut excéder quatre-vingt-dix-neuf ans, la dénomination sociale, le siège social, l'objet social et le montant du capital social sont déterminés par les statuts de la société.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-2
LEGIARTI000006222349
LEGIARTI000006222349
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La forme, la durée qui ne peut excéder quatre-vingt-dix-neuf ans, la dénomination sociale, le siège social, l'objet social et le montant du capital social sont déterminés par les statuts de la société.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222349
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-3
Code de commerce
Les sociétés dont le siège social est situé en territoire français sont soumises à la loi française. Les tiers peuvent se prévaloir du siège statutaire, mais celui-ci ne leur est pas opposable par la société si son siège réel est situé en un autre lieu.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-3
LEGIARTI000006222350
LEGIARTI000006222350
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Les sociétés dont le siège social est situé en territoire français sont soumises à la loi française.<p></p><p></p> Les tiers peuvent se prévaloir du siège statutaire, mais celui-ci ne leur est pas opposable par la société si son siège réel est situé en un autre lieu.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222350
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-4
Code de commerce
Les formalités de publicité exigées lors de la constitution de la société ou en cas d'actes et délibérations postérieurs sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-4
LEGIARTI000006222351
LEGIARTI000006222351
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Les formalités de publicité exigées lors de la constitution de la société ou en cas d'actes et délibérations postérieurs sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000006222351
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-5
Code de commerce
En ce qui concerne les opérations des sociétés à responsabilité limitée et des sociétés par actions intervenues avant le seizième jour de la publication au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales des actes et indications soumis à cette publicité, ceux-ci ne sont pas opposables aux tiers qui prouvent qu'ils ont été dans l'impossibilité d'en avoir connaissance. Le délai prévu au premier alinéa court à compter de la date de l'inscription des actes et indications au registre du commerce et des sociétés pour les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions simplifiées dont l'associé unique, personne physique, assume personnellement la gérance ou la présidence de la société. (1) Si, dans la publicité des actes et indications concernant les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions, il y a discordance entre le texte déposé au registre du commerce et des sociétés et le texte publié au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales, ce dernier ne peut être opposé aux tiers ; ceux-ci peuvent toutefois s'en prévaloir, à moins que la société ne prouve qu'ils ont eu connaissance du texte déposé au registre du commerce et des sociétés.
1,230,768,000,000
32,472,144,000,000
L210-5
LEGIARTI000019291710
LEGIARTI000006222353
AUTONOME
VIGUEUR
(1) : Loi n° 2008-776 du 4 août 2008 JORF du 5 août 2008 art. 56 II : Le deuxième alinéa de l'article L210-5 du code de commerce entre en vigueur à la date de publication du décret prévu à l'avant dernière phrase du deuxième alinéa de l'article L. 223-1 du code de commerce, et au plus tard le 31 mars 2009. Le décret n° 2008-1488 du 30 décembre 2008 portant diverses mesures destinées à favoriser le développement des petites entreprises, précise la date d'entrée en vigueur des articles 8, 14, 16, 56 et 59 de la loi n° 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie.
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>En ce qui concerne les opérations des sociétés à responsabilité limitée et des sociétés par actions intervenues avant le seizième jour de la publication au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales des actes et indications soumis à cette publicité, ceux-ci ne sont pas opposables aux tiers qui prouvent qu'ils ont été dans l'impossibilité d'en avoir connaissance.</p><p>Le délai prévu au premier alinéa court à compter de la date de l'inscription des actes et indications au registre du commerce et des sociétés pour les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions simplifiées dont l'associé unique, personne physique, assume personnellement la gérance ou la présidence de la société. (1)</p><p>Si, dans la publicité des actes et indications concernant les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions, il y a discordance entre le texte déposé au registre du commerce et des sociétés et le texte publié au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales, ce dernier ne peut être opposé aux tiers ; ceux-ci peuvent toutefois s'en prévaloir, à moins que la société ne prouve qu'ils ont eu connaissance du texte déposé au registre du commerce et des sociétés.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222353
IG-20231129
null
LEGIARTI000019291710
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
null
null
LEGISCTA000006133175
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
<p> (1) : Loi n° 2008-776 du 4 août 2008 JORF du 5 août 2008 art. 56 II : Le deuxième alinéa de l'article L210-5 du code de commerce entre en vigueur à la date de publication du décret prévu à l'avant dernière phrase du deuxième alinéa de l'article L. 223-1 du code de commerce, et au plus tard le 31 mars 2009. <br clear='none'/></p><p>Le décret n° 2008-1488 du 30 décembre 2008 portant diverses mesures destinées à favoriser le développement des petites entreprises, précise la date d'entrée en vigueur des articles 8, 14, 16, 56 et 59 de la loi n° 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie. </p>
null
Code de commerce, art. L210-6
Code de commerce
Les sociétés commerciales jouissent de la personnalité morale à dater de leur immatriculation au registre du commerce et des sociétés. La transformation régulière d'une société n'entraîne pas la création d'une personne morale nouvelle. Il en est de même de la prorogation. Les personnes qui ont agi au nom d'une société en formation avant qu'elle ait acquis la jouissance de la personnalité morale sont tenues solidairement et indéfiniment responsables des actes ainsi accomplis, à moins que la société, après avoir été régulièrement constituée et immatriculée, ne reprenne les engagements souscrits. Ces engagements sont alors réputés avoir été souscrits dès l'origine par la société.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-6
LEGIARTI000006222358
LEGIARTI000006222358
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Les sociétés commerciales jouissent de la personnalité morale à dater de leur immatriculation au registre du commerce et des sociétés. La transformation régulière d'une société n'entraîne pas la création d'une personne morale nouvelle. Il en est de même de la prorogation.<p></p><p></p> Les personnes qui ont agi au nom d'une société en formation avant qu'elle ait acquis la jouissance de la personnalité morale sont tenues solidairement et indéfiniment responsables des actes ainsi accomplis, à moins que la société, après avoir été régulièrement constituée et immatriculée, ne reprenne les engagements souscrits. Ces engagements sont alors réputés avoir été souscrits dès l'origine par la société.<p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20241018_193935_534_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006222358
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-7
Code de commerce
Il est procédé à l'immatriculation de la société après vérification par le greffier du tribunal compétent de la régularité de sa constitution dans les conditions prévues par les dispositions législatives et réglementaires relatives au registre du commerce et des sociétés. Si les statuts ne contiennent pas toutes les énonciations exigées par la loi et les règlements ou si une formalité prescrite par ceux-ci pour la constitution de la société a été omise ou irrégulièrement accomplie, tout intéressé est recevable à demander en justice que soit ordonnée, sous astreinte, la régularisation de la constitution. Le ministère public est habile à agir aux mêmes fins. Les dispositions des alinéas qui précèdent sont applicables en cas de modification des statuts. L'action prévue au deuxième alinéa se prescrit par trois ans à compter, soit de l'immatriculation de la société au registre du commerce et des sociétés, soit de l'inscription modificative audit registre et du dépôt, en annexe dudit registre, des actes modifiant les statuts.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-7
LEGIARTI000006222359
LEGIARTI000006222359
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> Il est procédé à l'immatriculation de la société après vérification par le greffier du tribunal compétent de la régularité de sa constitution dans les conditions prévues par les dispositions législatives et réglementaires relatives au registre du commerce et des sociétés.<p></p><p></p> Si les statuts ne contiennent pas toutes les énonciations exigées par la loi et les règlements ou si une formalité prescrite par ceux-ci pour la constitution de la société a été omise ou irrégulièrement accomplie, tout intéressé est recevable à demander en justice que soit ordonnée, sous astreinte, la régularisation de la constitution. Le ministère public est habile à agir aux mêmes fins.<p></p><p></p> Les dispositions des alinéas qui précèdent sont applicables en cas de modification des statuts.<p></p><p></p> L'action prévue au deuxième alinéa se prescrit par trois ans à compter, soit de l'immatriculation de la société au registre du commerce et des sociétés, soit de l'inscription modificative audit registre et du dépôt, en annexe dudit registre, des actes modifiant les statuts.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222359
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
null
Code de commerce, art. L210-8
Code de commerce
Les fondateurs de la société, ainsi que les premiers membres des organes de gestion, d'administration, de direction et de surveillance sont solidairement responsables du préjudice causé par le défaut d'une mention obligatoire dans les statuts ainsi que par l'omission ou l'accomplissement irrégulier d'une formalité prescrite par la loi et les règlements pour la constitution de la société. Les dispositions de l'alinéa précédent sont applicables en cas de modification des statuts, aux membres des organes de gestion, d'administration, de direction, de surveillance et de contrôle, en fonction lors de ladite modification. L'action se prescrit par dix ans à compter de l'accomplissement de l'une ou l'autre, selon le cas, des formalités visées au quatrième alinéa de l'article L. 210-7 .
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-8
LEGIARTI000006222426
LEGIARTI000006222426
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p>Les fondateurs de la société, ainsi que les premiers membres des organes de gestion, d'administration, de direction et de surveillance sont solidairement responsables du préjudice causé par le défaut d'une mention obligatoire dans les statuts ainsi que par l'omission ou l'accomplissement irrégulier d'une formalité prescrite par la loi et les règlements pour la constitution de la société. <p></p><p></p>Les dispositions de l'alinéa précédent sont applicables en cas de modification des statuts, aux membres des organes de gestion, d'administration, de direction, de surveillance et de contrôle, en fonction lors de ladite modification. <p></p><p></p>L'action se prescrit par dix ans à compter de l'accomplissement de l'une ou l'autre, selon le cas, des formalités visées au quatrième alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222359&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L210-7 (V)'>l'article L. 210-7</a>.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222426
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
null
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LEGISCTA000006133175
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null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-9
Code de commerce
Ni la société ni les tiers ne peuvent, pour se soustraire à leurs engagements, se prévaloir d'une irrégularité dans la nomination des personnes chargées de gérer, d'administrer ou de diriger la société, lorsque cette nomination a été régulièrement publiée. La société ne peut se prévaloir, à l'égard des tiers, des nominations et cessations de fonction des personnes visées ci-dessus, tant qu'elles n'ont pas été régulièrement publiées.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L210-9
LEGIARTI000006222441
LEGIARTI000006222441
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Ni la société ni les tiers ne peuvent, pour se soustraire à leurs engagements, se prévaloir d'une irrégularité dans la nomination des personnes chargées de gérer, d'administrer ou de diriger la société, lorsque cette nomination a été régulièrement publiée.<p></p><p></p> La société ne peut se prévaloir, à l'égard des tiers, des nominations et cessations de fonction des personnes visées ci-dessus, tant qu'elles n'ont pas été régulièrement publiées.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
null
LEGIARTI000006222441
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-10
Code de commerce
Une société peut faire publiquement état de la qualité de société à mission lorsque les conditions suivantes sont respectées : 1° Ses statuts précisent une raison d'être, au sens de l'article 1835 du code civil ; 2° Ses statuts précisent un ou plusieurs objectifs sociaux et environnementaux que la société se donne pour mission de poursuivre dans le cadre de son activité ; 3° Ses statuts précisent les modalités du suivi de l'exécution de la mission mentionnée au 2°. Ces modalités prévoient qu'un comité de mission, distinct des organes sociaux prévus par le présent livre et devant comporter au moins un salarié, est chargé exclusivement de ce suivi et présente annuellement un rapport joint au rapport de gestion, mentionné à l'article L. 232-1 du présent code, à l'assemblée chargée de l'approbation des comptes de la société. Ce comité procède à toute vérification qu'il juge opportune et se fait communiquer tout document nécessaire au suivi de l'exécution de la mission ; 4° L'exécution des objectifs sociaux et environnementaux mentionnés au 2° fait l'objet d'une vérification par un organisme tiers indépendant, selon des modalités et une publicité définies par décret en Conseil d'Etat. Cette vérification donne lieu à un avis joint au rapport mentionné au 3° ; 5° La société déclare sa qualité de société à mission au greffier du tribunal de commerce, qui la publie, sous réserve de la conformité de ses statuts aux conditions mentionnées aux 1° à 3°, au registre du commerce et des sociétés, dans des conditions précisées par décret en Conseil d'Etat.
1,558,656,000,000
32,472,144,000,000
L210-10
LEGIARTI000038528238
LEGIARTI000038528233
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,935,094
null
null
null
Article
<p>Une société peut faire publiquement état de la qualité de société à mission lorsque les conditions suivantes sont respectées : <br/><br/>1° Ses statuts précisent une raison d'être, au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006444059&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 1835 (V)'>1835</a> du code civil ; <br/><br/>2° Ses statuts précisent un ou plusieurs objectifs sociaux et environnementaux que la société se donne pour mission de poursuivre dans le cadre de son activité ; <br/><br/>3° Ses statuts précisent les modalités du suivi de l'exécution de la mission mentionnée au 2°. Ces modalités prévoient qu'un comité de mission, distinct des organes sociaux prévus par le présent livre et devant comporter au moins un salarié, est chargé exclusivement de ce suivi et présente annuellement un rapport joint au rapport de gestion, mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006228894&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L232-1 (V)'>L. 232-1 </a>du présent code, à l'assemblée chargée de l'approbation des comptes de la société. Ce comité procède à toute vérification qu'il juge opportune et se fait communiquer tout document nécessaire au suivi de l'exécution de la mission ; <br/><br/>4° L'exécution des objectifs sociaux et environnementaux mentionnés au 2° fait l'objet d'une vérification par un organisme tiers indépendant, selon des modalités et une publicité définies par décret en Conseil d'Etat. Cette vérification donne lieu à un avis joint au rapport mentionné au 3° ; <br/><br/>5° La société déclare sa qualité de société à mission au greffier du tribunal de commerce, qui la publie, sous réserve de la conformité de ses statuts aux conditions mentionnées aux 1° à 3°, au registre du commerce et des sociétés, dans des conditions précisées par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240828_185654_327_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038528238
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-11
Code de commerce
Lorsque l'une des conditions mentionnées à l'article L. 210-10 n'est pas respectée, ou lorsque l'avis de l'organisme tiers indépendant conclut qu'un ou plusieurs des objectifs sociaux et environnementaux que la société s'est assignée en application du 2° du même article L. 210-10 ne sont pas respectés, le ministère public ou toute personne intéressée peut saisir le président du tribunal statuant en référé aux fins d'enjoindre, le cas échéant sous astreinte, au représentant légal de la société de supprimer la mention “ société à mission ” de tous les actes, documents ou supports électroniques émanant de la société.
1,558,656,000,000
32,472,144,000,000
L210-11
LEGIARTI000038528245
LEGIARTI000038528240
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,709,370
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'une des conditions mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000038528233&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L210-10 (V)'>L. 210-10</a> n'est pas respectée, ou lorsque l'avis de l'organisme tiers indépendant conclut qu'un ou plusieurs des objectifs sociaux et environnementaux que la société s'est assignée en application du 2° du même article L. 210-10 ne sont pas respectés, le ministère public ou toute personne intéressée peut saisir le président du tribunal statuant en référé aux fins d'enjoindre, le cas échéant sous astreinte, au représentant légal de la société de supprimer la mention “ société à mission ” de tous les actes, documents ou supports électroniques émanant de la société.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000038528245
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L210-12
Code de commerce
Une société qui emploie au cours de l'exercice moins de cinquante salariés permanents et dont les statuts remplissent les conditions définies au 1° et 2° de l'article L. 210-10 peut prévoir dans ses statuts qu'un référent de mission se substitue au comité de mission mentionné au 3° du même article L. 210-10. Le référent de mission peut être un salarié de la société, à condition que son contrat de travail corresponde à un emploi effectif.
1,558,656,000,000
32,472,144,000,000
L210-12
LEGIARTI000038528252
LEGIARTI000038528247
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,879,096,508
null
null
null
Article
<p>Une société qui emploie au cours de l'exercice moins de cinquante salariés permanents et dont les statuts remplissent les conditions définies au 1° et 2° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000038528233&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L210-10 (V)'>L. 210-10</a> peut prévoir dans ses statuts qu'un référent de mission se substitue au comité de mission mentionné au 3° du même article L. 210-10. Le référent de mission peut être un salarié de la société, à condition que son contrat de travail corresponde à un emploi effectif.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240110_203341_549_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038528252
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006133175
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TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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LEGISCTA000006133175
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE Ier : Dispositions préliminaires.
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Code de commerce, art. L221-1
Code de commerce
Les associés en nom collectif ont tous la qualité de commerçant et répondent indéfiniment et solidairement des dettes sociales. Les créanciers de la société ne peuvent poursuivre le paiement des dettes sociales contre un associé, qu'après avoir vainement mis en demeure la société par acte extrajudiciaire.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-1
LEGIARTI000006222461
LEGIARTI000006222461
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Les associés en nom collectif ont tous la qualité de commerçant et répondent indéfiniment et solidairement des dettes sociales.<p></p><p></p> Les créanciers de la société ne peuvent poursuivre le paiement des dettes sociales contre un associé, qu'après avoir vainement mis en demeure la société par acte extrajudiciaire.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000006222461
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-2
Code de commerce
La société en nom collectif est désignée par une dénomination sociale, à laquelle peut être incorporé le nom d'un ou plusieurs associés et qui doit être précédée ou suivie immédiatement des mots " société en nom collectif ".
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-2
LEGIARTI000006222463
LEGIARTI000006222463
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La société en nom collectif est désignée par une dénomination sociale, à laquelle peut être incorporé le nom d'un ou plusieurs associés et qui doit être précédée ou suivie immédiatement des mots " société en nom collectif ".<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006222463
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-3
Code de commerce
Tous les associés sont gérants, sauf stipulation contraire des statuts qui peuvent désigner un ou plusieurs gérants, associés ou non, ou en prévoir la désignation par un acte ultérieur. Si une personne morale est gérant, ses dirigeants sont soumis aux mêmes conditions et obligations et encourent les mêmes responsabilités civile et pénale que s'ils étaient gérants en leur nom propre, sans préjudice de la responsabilité solidaire de la personne morale qu'ils dirigent.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-3
LEGIARTI000006222473
LEGIARTI000006222473
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Tous les associés sont gérants, sauf stipulation contraire des statuts qui peuvent désigner un ou plusieurs gérants, associés ou non, ou en prévoir la désignation par un acte ultérieur.<p></p><p></p> Si une personne morale est gérant, ses dirigeants sont soumis aux mêmes conditions et obligations et encourent les mêmes responsabilités civile et pénale que s'ils étaient gérants en leur nom propre, sans préjudice de la responsabilité solidaire de la personne morale qu'ils dirigent.<p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240704_193516_781_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006222473
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-4
Code de commerce
Dans les rapports entre associés, et en l'absence de la détermination de ses pouvoirs par les statuts, le gérant peut faire tous actes de gestion dans l'intérêt de la société. En cas de pluralité de gérants, ceux-ci détiennent séparément les pouvoirs prévus à l'alinéa précédent, sauf le droit pour chacun de s'opposer à toute opération avant qu'elle soit conclue.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-4
LEGIARTI000006222485
LEGIARTI000006222485
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Dans les rapports entre associés, et en l'absence de la détermination de ses pouvoirs par les statuts, le gérant peut faire tous actes de gestion dans l'intérêt de la société.<p></p><p></p> En cas de pluralité de gérants, ceux-ci détiennent séparément les pouvoirs prévus à l'alinéa précédent, sauf le droit pour chacun de s'opposer à toute opération avant qu'elle soit conclue.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006222485
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
null
Code de commerce, art. L221-5
Code de commerce
Dans les rapports avec les tiers, le gérant engage la société par les actes entrant dans l'objet social. En cas de pluralité de gérants, ceux-ci détiennent séparément les pouvoirs prévus à l'alinéa précédent. L'opposition formée par un gérant aux actes d'un autre gérant est sans effet à l'égard des tiers, à moins qu'il ne soit établi qu'ils en ont eu connaissance. Les clauses statutaires limitant les pouvoirs des gérants qui résultent du présent article sont inopposables aux tiers.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-5
LEGIARTI000006222490
LEGIARTI000006222490
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Dans les rapports avec les tiers, le gérant engage la société par les actes entrant dans l'objet social.<p></p><p></p> En cas de pluralité de gérants, ceux-ci détiennent séparément les pouvoirs prévus à l'alinéa précédent. L'opposition formée par un gérant aux actes d'un autre gérant est sans effet à l'égard des tiers, à moins qu'il ne soit établi qu'ils en ont eu connaissance.<p></p><p></p> Les clauses statutaires limitant les pouvoirs des gérants qui résultent du présent article sont inopposables aux tiers.<p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240704_193520_102_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006222490
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-6
Code de commerce
Les décisions qui excèdent les pouvoirs reconnus aux gérants sont prises à l'unanimité des associés. Toutefois les statuts peuvent prévoir que certaines décisions sont prises à une majorité qu'ils fixent. Les statuts peuvent également prévoir que les décisions sont prises par voie de consultation écrite, y compris par voie électronique, selon les délais et les modalités qu'ils définissent, si la réunion d'une assemblée n'est pas demandée par l'un des associés.
1,726,272,000,000
32,472,144,000,000
L221-6
LEGIARTI000049720554
LEGIARTI000006222491
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au II de l'article 29 de la loi n° 2024-537 du 13 juin 2024, ces dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret en Conseil d'Etat, et au plus tard trois mois après la promulgation de ladite loi.
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Les décisions qui excèdent les pouvoirs reconnus aux gérants sont prises à l'unanimité des associés. Toutefois les statuts peuvent prévoir que certaines décisions sont prises à une majorité qu'ils fixent.</p><p>Les statuts peuvent également prévoir que les décisions sont prises par voie de consultation écrite, y compris par voie électronique, selon les délais et les modalités qu'ils définissent, si la réunion d'une assemblée n'est pas demandée par l'un des associés.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222491
MD-20240913_190606_857_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049720554
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
<p>Conformément au II de l'article 29 de la loi n° 2024-537 du 13 juin 2024, ces dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret en Conseil d'Etat, et au plus tard trois mois après la promulgation de ladite loi.</p>
null
Code de commerce, art. L221-7
Code de commerce
Le rapport de gestion, l'inventaire et les comptes annuels établis par les gérants sont soumis à l'approbation de l'assemblée des associés, dans le délai de six mois à compter de la clôture dudit exercice. A cette fin, les documents visés à l'alinéa précédent, le texte des résolutions proposées ainsi que, le cas échéant, le rapport des commissaires aux comptes, les comptes consolidés et le rapport sur la gestion du groupe sont communiqués aux associés dans les conditions et délais déterminés par décret en Conseil d'Etat. Toute délibération, prise en violation des dispositions du présent alinéa et du décret pris pour son application, peut être annulée. Toute clause contraire aux dispositions du présent article et du décret pris pour son application est réputée non écrite. Le I de l'article L. 225-100-1 , l'article L. 225-102-1 et, pour les sociétés relevant du chapitre X du présent titre, les articles L. 22-10-35 et L. 22-10-36 s'appliquent au rapport de gestion lorsque l'ensemble des parts sont détenues par des personnes ayant l'une des formes suivantes ou par des sociétés de droit étranger d'une forme juridique comparable : société anonyme, société en commandite par actions, société à responsabilité limitée ou société par actions simplifiée.
1,609,459,200,000
1,735,689,600,000
L221-7
LEGIARTI000042339445
LEGIARTI000006222501
AUTONOME
ABROGE_DIFF
5.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Le rapport de gestion, l'inventaire et les comptes annuels établis par les gérants sont soumis à l'approbation de l'assemblée des associés, dans le délai de six mois à compter de la clôture dudit exercice.</p><p>A cette fin, les documents visés à l'alinéa précédent, le texte des résolutions proposées ainsi que, le cas échéant, le rapport des commissaires aux comptes, les comptes consolidés et le rapport sur la gestion du groupe sont communiqués aux associés dans les conditions et délais déterminés par décret en Conseil d'Etat. Toute délibération, prise en violation des dispositions du présent alinéa et du décret pris pour son application, peut être annulée.</p><p>Toute clause contraire aux dispositions du présent article et du décret pris pour son application est réputée non écrite.</p><p>Le I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000042339784&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de commerce - art. L225-100-1 (VD)'>L. 225-100-1</a>, l'article L. 225-102-1 et, pour les sociétés relevant du chapitre X du présent titre, les articles L. 22-10-35 et L. 22-10-36 s'appliquent au rapport de gestion lorsque l'ensemble des parts sont détenues par des personnes ayant l'une des formes suivantes ou par des sociétés de droit étranger d'une forme juridique comparable : société anonyme, société en commandite par actions, société à responsabilité limitée ou société par actions simplifiée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000035255464
MD-20240704_193520_102_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042339445
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-7-1
Code de commerce
L'article L. 225-102-3 , à l'exception du III, est applicable aux sociétés en nom collectif dont tous les associés indéfiniment responsables sont des sociétés à responsabilité limitée ou des sociétés par actions. Le rapport mentionné au même article L. 225-102-3 est établi par le gérant. Ce rapport est déposé au greffe du tribunal de commerce, pour être annexé au registre du commerce et des sociétés, dans le mois suivant l'approbation des comptes annuels par l'assemblée des associés ou dans les deux mois suivant cette approbation lorsque ce dépôt est effectué par voie électronique. Il fait également l'objet, dans les mêmes délais, d'une publication gratuite, accessible au public et lisible sur le site internet de la société, dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat.
1,420,070,400,000
1,735,689,600,000
L221-7-1
LEGIARTI000030044870
LEGIARTI000030039778
AUTONOME
ABROGE_DIFF
Conformément à l'article 26 de la loi n° 2014-1662 du 30 décembre 2014, les présentes dispositions sont applicables aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2015 dans les sociétés dont le nombre moyen de salariés permanents, y compris ceux des filiales directes ou indirectes, est supérieur à 5 000 au cours de l'exercice, et à compter du 1er janvier 2016 dans les autres sociétés.
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p><a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000030043093&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L225-102-3 (V)'>L'article L. 225-102-3</a>, à l'exception du III, est applicable aux sociétés en nom collectif dont tous les associés indéfiniment responsables sont des sociétés à responsabilité limitée ou des sociétés par actions. </p><p>Le rapport mentionné au même article L. 225-102-3 est établi par le gérant. </p><p>Ce rapport est déposé au greffe du tribunal de commerce, pour être annexé au registre du commerce et des sociétés, dans le mois suivant l'approbation des comptes annuels par l'assemblée des associés ou dans les deux mois suivant cette approbation lorsque ce dépôt est effectué par voie électronique. Il fait également l'objet, dans les mêmes délais, d'une publication gratuite, accessible au public et lisible sur le site internet de la société, dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat.</p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240108_202250_086_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000030044870
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
null
null
LEGISCTA000006146042
null
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null
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
<p>Conformément à l'article 26 de la loi n° 2014-1662 du 30 décembre 2014, les présentes dispositions sont applicables aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2015 dans les sociétés dont le nombre moyen de salariés permanents, y compris ceux des filiales directes ou indirectes, est supérieur à 5 000 au cours de l'exercice, et à compter du 1er janvier 2016 dans les autres sociétés.</p><p></p><p></p>
null
Code de commerce, art. L221-8
Code de commerce
Les associés non gérants ont le droit, deux fois par an, d'obtenir communication des livres et documents sociaux et de poser par écrit des questions sur la gestion sociale, auxquelles il doit être répondu également par écrit.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-8
LEGIARTI000006222510
LEGIARTI000006222510
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Les associés non gérants ont le droit, deux fois par an, d'obtenir communication des livres et documents sociaux et de poser par écrit des questions sur la gestion sociale, auxquelles il doit être répondu également par écrit.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222510
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
null
Code de commerce, art. L221-9
Code de commerce
Les associés peuvent nommer un ou plusieurs commissaires aux comptes dans les formes prévues à l'article L. 221-6. Sont tenues de désigner un commissaire aux comptes au moins les sociétés qui dépassent, à la clôture de l'exercice social, des chiffres fixés par décret pour deux des critères suivants : le total de leur bilan, le montant hors taxes de leur chiffre d'affaires ou le nombre moyen de leurs salariés au cours d'un exercice. Même si ces seuils ne sont pas atteints, la nomination d'un commissaire aux comptes peut être demandée en justice par un associé. Sont également tenues de désigner un commissaire aux comptes, pour un mandat de trois exercices, les sociétés dont un ou plusieurs associés représentant au moins le tiers du capital en font la demande motivée auprès de la société.
1,563,667,200,000
32,472,144,000,000
L221-9
LEGIARTI000038799701
LEGIARTI000006222519
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 20 de la loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 : II.-Les présentes dispositions s'appliquent à compter du premier exercice clos postérieurement au 27 mai 2019, lendemain de la publication du décret n° 2019-514 du 24 mai 2019. III.-Les seuils fixés par les décrets prévus aux articles L. 221-9, L. 223-35, L. 227-9-1, L. 225-218, L. 226-6 et L. 823-2-2 du code de commerce, dans leur rédaction résultant du présent article, sont applicables aux entreprises fiscalement domiciliées dans une collectivité d'outre-mer régie par l'article 73 de la Constitution à compter du 1er janvier 2021
3.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Les associés peuvent nommer un ou plusieurs commissaires aux comptes dans les formes prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222491&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 221-6.</a></p><p>Sont tenues de désigner un commissaire aux comptes au moins les sociétés qui dépassent, à la clôture de l'exercice social, des chiffres fixés par décret pour deux des critères suivants : le total de leur bilan, le montant hors taxes de leur chiffre d'affaires ou le nombre moyen de leurs salariés au cours d'un exercice.</p><p>Même si ces seuils ne sont pas atteints, la nomination d'un commissaire aux comptes peut être demandée en justice par un associé.</p><p>Sont également tenues de désigner un commissaire aux comptes, pour un mandat de trois exercices, les sociétés dont un ou plusieurs associés représentant au moins le tiers du capital en font la demande motivée auprès de la société.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038610332
MD-20240229_202404_530_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038799701
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
null
null
LEGISCTA000006146042
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null
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
<p>Conformément à l’article 20 de la loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 :</p><p>II.-Les présentes dispositions s'appliquent à compter du premier exercice clos postérieurement au 27 mai 2019, lendemain de la publication du décret n° 2019-514 du 24 mai 2019.</p><p>III.-Les seuils fixés par les décrets prévus aux articles L. 221-9, L. 223-35, L. 227-9-1, L. 225-218, L. 226-6 et L. 823-2-2 du code de commerce, dans leur rédaction résultant du présent article, sont applicables aux entreprises fiscalement domiciliées dans une collectivité d'outre-mer régie par l'article 73 de la Constitution à compter du 1er janvier 2021</p>
null
Code de commerce, art. L221-11
Code de commerce
Les documents visés au premier alinéa de l'article L. 221-7 sont mis à la disposition du commissaire aux comptes dans les conditions et délais fixés par décret en Conseil d'Etat.
1,126,224,000,000
32,472,144,000,000
L221-11
LEGIARTI000006222531
LEGIARTI000006222529
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
644,235
null
null
null
Article
<p></p>Les documents visés au premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222501&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L221-7 (V)'>l'article L. 221-7</a> sont mis à la disposition du commissaire aux comptes dans les conditions et délais fixés par décret en Conseil d'Etat.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222530
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222531
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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null
LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-12
Code de commerce
Si tous les associés sont gérants ou si un ou plusieurs gérants choisis parmi les associés sont désignés dans les statuts, la révocation de l'un d'eux de ses fonctions ne peut être décidée qu'à l'unanimité des autres associés. Elle entraîne la dissolution de la société, à moins que sa continuation ne soit prévue par les statuts ou que les autres associés ne la décident à l'unanimité. Le gérant révoqué peut alors décider de se retirer de la société en demandant le remboursement de ses droits sociaux, dont la valeur est déterminée conformément à l' article 1843-4 du code civil. Toute clause contraire à l'article 1843-4 dudit code est réputée non écrite. Si un ou plusieurs associés sont gérants et ne sont pas désignés par les statuts, chacun d'eux peut être révoqué de ses fonctions, dans les conditions prévues par les statuts ou, à défaut, par une décision des autres associés, gérants ou non, prise à l'unanimité. Le gérant non associé peut être révoqué dans les conditions prévues par les statuts ou, à défaut, par une décision des associés prise à la majorité. Si la révocation est décidée sans juste motif, elle peut donner lieu à dommages-intérêts.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-12
LEGIARTI000006222547
LEGIARTI000006222547
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
687,184
null
null
null
Article
<p></p>Si tous les associés sont gérants ou si un ou plusieurs gérants choisis parmi les associés sont désignés dans les statuts, la révocation de l'un d'eux de ses fonctions ne peut être décidée qu'à l'unanimité des autres associés. Elle entraîne la dissolution de la société, à moins que sa continuation ne soit prévue par les statuts ou que les autres associés ne la décident à l'unanimité. Le gérant révoqué peut alors décider de se retirer de la société en demandant le remboursement de ses droits sociaux, dont la valeur est déterminée conformément à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006444154&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 1843-4 (V)'>article 1843-4</a> du code civil. Toute clause contraire à l'article 1843-4 dudit code est réputée non écrite. <p></p><p></p>Si un ou plusieurs associés sont gérants et ne sont pas désignés par les statuts, chacun d'eux peut être révoqué de ses fonctions, dans les conditions prévues par les statuts ou, à défaut, par une décision des autres associés, gérants ou non, prise à l'unanimité. <p></p><p></p>Le gérant non associé peut être révoqué dans les conditions prévues par les statuts ou, à défaut, par une décision des associés prise à la majorité. <p></p><p></p>Si la révocation est décidée sans juste motif, elle peut donner lieu à dommages-intérêts.<p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240704_193516_781_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006222547
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-13
Code de commerce
Les parts sociales ne peuvent être représentées par des titres négociables. Toute émission réalisée en méconnaissance de cette règle est sanctionnée dans les conditions prévues au premier alinéa de l'article L. 411-1 du code monétaire et financier. Les parts sociales ne peuvent être cédées qu'avec le consentement de tous les associés. Toute clause contraire aux dispositions du présent article est réputée non écrite.
1,571,788,800,000
32,472,144,000,000
L221-13
LEGIARTI000039260285
LEGIARTI000006222557
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
730,133
null
null
null
Article
<p>Les parts sociales ne peuvent être représentées par des titres négociables. Toute émission réalisée en méconnaissance de cette règle est sanctionnée dans les conditions prévues au premier alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072026&idArticle=LEGIARTI000006652321&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 411-1</a> du code monétaire et financier. <br/><br/>Les parts sociales ne peuvent être cédées qu'avec le consentement de tous les associés. <br/><br/>Toute clause contraire aux dispositions du présent article est réputée non écrite.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222557
IG-20231129
null
LEGIARTI000039260285
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
null
Code de commerce, art. L221-14
Code de commerce
La cession des parts sociales doit être constatée par écrit. Elle est rendue opposable à la société, dans les formes prévues à l'article 1690 du code civil. Toutefois, la signification peut être remplacée par le dépôt d'un original de l'acte de cession au siège social contre remise par le gérant d'une attestation de ce dépôt. Elle n'est opposable aux tiers qu'après accomplissement de ces formalités et, en outre, après publication des statuts modifiés au registre du commerce et des sociétés ; ce dépôt peut être effectué par voie électronique.
1,407,024,000,000
32,472,144,000,000
L221-14
LEGIARTI000029329292
LEGIARTI000006222558
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
773,082
null
null
null
Article
<p>La cession des parts sociales doit être constatée par écrit. Elle est rendue opposable à la société, dans les formes prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006442487&dateTexte=&categorieLien=cid'>1690 du code civil.</a> Toutefois, la signification peut être remplacée par le dépôt d'un original de l'acte de cession au siège social contre remise par le gérant d'une attestation de ce dépôt. </p><p></p><p>Elle n'est opposable aux tiers qu'après accomplissement de ces formalités et, en outre, après publication des statuts modifiés au registre du commerce et des sociétés ; ce dépôt peut être effectué par voie électronique.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222558
IG-20231129
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LEGIARTI000029329292
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-15
Code de commerce
La société prend fin par le décès de l'un des associés, sous réserve des dispositions du présent article. S'il a été stipulé qu'en cas de mort de l'un des associés, la société continuerait avec son héritier ou seulement avec les associés survivants, ces dispositions sont suivies, sauf à prévoir que pour devenir associé, l'héritier devra être agréé par la société. Il en est de même s'il a été stipulé que la société continuerait, soit avec le conjoint survivant, soit avec un ou plusieurs des héritiers, soit avec toute autre personne désignée par les statuts ou, si ceux-ci l'autorisent, par dispositions testamentaires. Lorsque la société continue avec les associés survivants, l'héritier est seulement créancier de la société et n'a droit qu'à la valeur des droits sociaux de son auteur. L'héritier a pareillement droit à cette valeur s'il a été stipulé que, pour devenir associé il devrait être agréé par la société et si cet agrément lui a été refusé. Lorsque la société continue dans les conditions prévues au troisième alinéa ci-dessus, les bénéficiaires de la stipulation sont redevables à la succession de la valeur des droits sociaux qui leur sont attribués. Dans tous les cas prévus au présent article, la valeur des droits sociaux est déterminée au jour du décès conformément à l'article 1843-4 du code civil. En cas de continuation et si l'un ou plusieurs des héritiers de l'associé sont mineurs non émancipés, ceux-ci ne répondent des dettes sociales qu'à concurrence des forces de la succession de leur auteur. En outre, la société doit être transformée, dans le délai d'un an, à compter du décès, en société en commandite dont le mineur devient commanditaire. A défaut, elle est dissoute.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-15
LEGIARTI000006222593
LEGIARTI000006222593
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
816,031
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null
null
Article
<p></p>La société prend fin par le décès de l'un des associés, sous réserve des dispositions du présent article. <p></p><p></p>S'il a été stipulé qu'en cas de mort de l'un des associés, la société continuerait avec son héritier ou seulement avec les associés survivants, ces dispositions sont suivies, sauf à prévoir que pour devenir associé, l'héritier devra être agréé par la société. <p></p><p></p>Il en est de même s'il a été stipulé que la société continuerait, soit avec le conjoint survivant, soit avec un ou plusieurs des héritiers, soit avec toute autre personne désignée par les statuts ou, si ceux-ci l'autorisent, par dispositions testamentaires. <p></p><p></p>Lorsque la société continue avec les associés survivants, l'héritier est seulement créancier de la société et n'a droit qu'à la valeur des droits sociaux de son auteur. L'héritier a pareillement droit à cette valeur s'il a été stipulé que, pour devenir associé il devrait être agréé par la société et si cet agrément lui a été refusé. <p></p><p></p>Lorsque la société continue dans les conditions prévues au troisième alinéa ci-dessus, les bénéficiaires de la stipulation sont redevables à la succession de la valeur des droits sociaux qui leur sont attribués. <p></p><p></p>Dans tous les cas prévus au présent article, la valeur des droits sociaux est déterminée au jour du décès conformément à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006444154&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 1843-4 (V)'>l'article 1843-4</a> du code civil. <p></p><p></p>En cas de continuation et si l'un ou plusieurs des héritiers de l'associé sont mineurs non émancipés, ceux-ci ne répondent des dettes sociales qu'à concurrence des forces de la succession de leur auteur. En outre, la société doit être transformée, dans le délai d'un an, à compter du décès, en société en commandite dont le mineur devient commanditaire. A défaut, elle est dissoute.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222593
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L221-16
Code de commerce
Lorsqu'un jugement de liquidation judiciaire ou arrêtant un plan de cession totale, une mesure d'interdiction d'exercer une profession commerciale ou une mesure d'incapacité est devenu définitif à l'égard de l'un des associés, la société est dissoute, à moins que sa continuation ne soit prévue par les statuts ou que les autres associés ne la décident à l'unanimité. Dans le cas de continuation, la valeur des droits sociaux à rembourser à l'associé qui perd cette qualité est déterminée conformément aux dispositions de l'article 1843-4 du code civil. Toute clause contraire à l'article 1843-4 dudit code est réputée non écrite.
1,136,073,600,000
32,472,144,000,000
L221-16
LEGIARTI000006222664
LEGIARTI000006222663
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
858,980
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null
null
Article
<p></p>Lorsqu'un jugement de liquidation judiciaire ou arrêtant un plan de cession totale, une mesure d'interdiction d'exercer une profession commerciale ou une mesure d'incapacité est devenu définitif à l'égard de l'un des associés, la société est dissoute, à moins que sa continuation ne soit prévue par les statuts ou que les autres associés ne la décident à l'unanimité. <p></p><p></p>Dans le cas de continuation, la valeur des droits sociaux à rembourser à l'associé qui perd cette qualité est déterminée conformément aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006444154&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 1843-4 (V)'>l'article 1843-4</a> du code civil. Toute clause contraire à l'article 1843-4 dudit code est réputée non écrite.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006222663
MD-20240704_193516_781_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006222664
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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null
null
null
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
null
Code de commerce, art. L221-17
Code de commerce
Les sociétés en nom collectif qui, à la date du 1er avril 1967, utilisaient dans leur raison sociale le nom d'un ou plusieurs associés fondateurs décédés peuvent, par dérogation aux dispositions des articles L. 221-2 et L. 222-3, être autorisées à conserver ce nom dans leur dénomination sociale. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions auxquelles est subordonnée cette autorisation. Ce décret fixe en outre les conditions dans lesquelles une opposition peut être formée par les tiers devant les juridictions de l'ordre judiciaire.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L221-17
LEGIARTI000006222665
LEGIARTI000006222665
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
944,878
null
null
null
Article
<p></p>Les sociétés en nom collectif qui, à la date du 1er avril 1967, utilisaient dans leur raison sociale le nom d'un ou plusieurs associés fondateurs décédés peuvent, par dérogation aux dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222463&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L221-2 (V)'>articles L. 221-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222713&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L222-3 (V)'>L. 222-3,</a> être autorisées à conserver ce nom dans leur dénomination sociale. <p></p><p></p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions auxquelles est subordonnée cette autorisation. <p></p><p></p>Ce décret fixe en outre les conditions dans lesquelles une opposition peut être formée par les tiers devant les juridictions de l'ordre judiciaire.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222665
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146042
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Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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LEGISCTA000006146042
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre Ier : Des sociétés en nom collectif.
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Code de commerce, art. L222-1
Code de commerce
Les associés commandités ont le statut des associés en nom collectif. Les associés commanditaires répondent des dettes sociales seulement à concurrence du montant de leur apport. Celui-ci ne peut être un apport en industrie.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L222-1
LEGIARTI000006222683
LEGIARTI000006222683
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Les associés commandités ont le statut des associés en nom collectif.<p></p><p></p> Les associés commanditaires répondent des dettes sociales seulement à concurrence du montant de leur apport. Celui-ci ne peut être un apport en industrie.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000006222683
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146043
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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LEGISCTA000006146043
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
null
Code de commerce, art. L222-2
Code de commerce
Les dispositions relatives aux sociétés en nom collectif sont applicables aux sociétés en commandite simple, sous réserve des règles prévues au présent chapitre.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L222-2
LEGIARTI000006222687
LEGIARTI000006222687
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Les dispositions relatives aux sociétés en nom collectif sont applicables aux sociétés en commandite simple, sous réserve des règles prévues au présent chapitre.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000006222687
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146043
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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LEGISCTA000006146043
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
null
Code de commerce, art. L222-3
Code de commerce
La société en commandite simple est désignée par une dénomination sociale à laquelle peut être incorporé le nom d'un ou plusieurs associés et qui doit être précédée ou suivie immédiatement des mots : " société en commandite simple ".
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L222-3
LEGIARTI000006222713
LEGIARTI000006222713
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> La société en commandite simple est désignée par une dénomination sociale à laquelle peut être incorporé le nom d'un ou plusieurs associés et qui doit être précédée ou suivie immédiatement des mots : " société en commandite simple ".<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006222713
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006146043
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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LEGISCTA000006146043
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
null
Code de commerce, art. L222-4
Code de commerce
Les statuts de la société doivent contenir les indications suivantes : 1° Le montant ou la valeur des apports de tous les associés ; 2° La part dans ce montant ou cette valeur de chaque associé commandité ou commanditaire ; 3° La part globale des associés commandités et la part de chaque associé commanditaire dans la répartition des bénéfices et dans le boni de liquidation.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L222-4
LEGIARTI000006222720
LEGIARTI000006222720
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Les statuts de la société doivent contenir les indications suivantes :<p></p><p></p> 1° Le montant ou la valeur des apports de tous les associés ;<p></p><p></p> 2° La part dans ce montant ou cette valeur de chaque associé commandité ou commanditaire ;<p></p><p></p> 3° La part globale des associés commandités et la part de chaque associé commanditaire dans la répartition des bénéfices et dans le boni de liquidation.<p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240704_193520_102_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006222720
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146043
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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LEGISCTA000006146043
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Code de commerce, art. L222-5
Code de commerce
Les décisions sont prises dans les conditions fixées par les statuts. Toutefois, la réunion d'une assemblée de tous les associés est de droit, si elle est demandée soit par un commandité, soit par le quart en nombre et en capital des commanditaires.
969,494,400,000
32,472,144,000,000
L222-5
LEGIARTI000006222721
LEGIARTI000006222721
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Les décisions sont prises dans les conditions fixées par les statuts. Toutefois, la réunion d'une assemblée de tous les associés est de droit, si elle est demandée soit par un commandité, soit par le quart en nombre et en capital des commanditaires.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000006222721
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006146043
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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LEGISCTA000006146043
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Code de commerce, art. L222-6
Code de commerce
L'associé commanditaire ne peut faire aucun acte de gestion externe, même en vertu d'une procuration. En cas de contravention à la prohibition prévue par l'alinéa précédent, l'associé commanditaire est tenu solidairement avec les associés commandités, des dettes et engagements de la société qui résultent des actes prohibés. Suivant le nombre ou l'importance de ceux-ci, il peut être déclaré solidairement obligé pour tous les engagements de la société ou pour quelques-uns seulement.
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32,472,144,000,000
L222-6
LEGIARTI000006222725
LEGIARTI000006222725
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
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Article
<p></p> L'associé commanditaire ne peut faire aucun acte de gestion externe, même en vertu d'une procuration.<p></p><p></p> En cas de contravention à la prohibition prévue par l'alinéa précédent, l'associé commanditaire est tenu solidairement avec les associés commandités, des dettes et engagements de la société qui résultent des actes prohibés. Suivant le nombre ou l'importance de ceux-ci, il peut être déclaré solidairement obligé pour tous les engagements de la société ou pour quelques-uns seulement.<p></p>
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IG-20231124
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LEGI
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Code de commerce, art. L222-7
Code de commerce
Les associés commanditaires ont le droit, deux fois par an, d'obtenir communication des livres et documents sociaux et de poser par écrit des questions sur la gestion sociale, auxquelles il doit être répondu également par écrit.
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L222-7
LEGIARTI000006222726
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AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p></p> Les associés commanditaires ont le droit, deux fois par an, d'obtenir communication des livres et documents sociaux et de poser par écrit des questions sur la gestion sociale, auxquelles il doit être répondu également par écrit.<p></p><p></p>
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Code de commerce, art. L222-8
Code de commerce
I. - Les parts sociales ne peuvent être cédées qu'avec le consentement de tous les associés. II. - Toutefois, les statuts peuvent stipuler : 1° Que les parts des associés commanditaires sont librement cessibles entre associés ; 2° Que les parts des associés commanditaires peuvent être cédées à des tiers étrangers à la société avec le consentement de tous les commandités et de la majorité en nombre et en capital des commanditaires ; 3° Qu'un associé commandité peut céder une partie de ses parts à un commanditaire ou à un tiers étranger à la société dans les conditions prévues au 2° ci-dessus.
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L222-8
LEGIARTI000006222760
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AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
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Article
<p></p> I. - Les parts sociales ne peuvent être cédées qu'avec le consentement de tous les associés.<p></p><p></p> II. - Toutefois, les statuts peuvent stipuler :<p></p><p></p> 1° Que les parts des associés commanditaires sont librement cessibles entre associés ;<p></p><p></p> 2° Que les parts des associés commanditaires peuvent être cédées à des tiers étrangers à la société avec le consentement de tous les commandités et de la majorité en nombre et en capital des commanditaires ;<p></p><p></p> 3° Qu'un associé commandité peut céder une partie de ses parts à un commanditaire ou à un tiers étranger à la société dans les conditions prévues au 2° ci-dessus.<p></p>
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IG-20231128
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Code de commerce, art. L222-9
Code de commerce
Les associés ne peuvent, si ce n'est à l'unanimité, changer la nationalité de la société. Toutes autres modifications des statuts peuvent être décidées avec le consentement de tous les commandités et de la majorité en nombre et en capital des commanditaires. Les clauses édictant des conditions plus strictes de majorité sont réputées non écrites.
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L222-9
LEGIARTI000006222767
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AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
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Article
<p></p> Les associés ne peuvent, si ce n'est à l'unanimité, changer la nationalité de la société.<p></p><p></p> Toutes autres modifications des statuts peuvent être décidées avec le consentement de tous les commandités et de la majorité en nombre et en capital des commanditaires.<p></p><p></p> Les clauses édictant des conditions plus strictes de majorité sont réputées non écrites.<p></p>
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IG-20231124
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Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Code de commerce, art. L222-10
Code de commerce
La société continue malgré le décès d'un commanditaire. S'il est stipulé que malgré le décès de l'un des commandités, la société continue avec ses héritiers, ceux-ci deviennent commanditaires lorsqu'ils sont mineurs non émancipés. Si l'associé décédé était le seul commandité et si ses héritiers sont tous mineurs non émancipés, il doit être procédé à son remplacement par un nouvel associé commandité ou à la transformation de la société, dans le délai d'un an à compter du décès. A défaut, la société est dissoute de plein droit à l'expiration de ce délai.
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L222-10
LEGIARTI000006222797
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AUTONOME
VIGUEUR
1.0
429,490
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Article
<p></p> La société continue malgré le décès d'un commanditaire.<p></p><p></p> S'il est stipulé que malgré le décès de l'un des commandités, la société continue avec ses héritiers, ceux-ci deviennent commanditaires lorsqu'ils sont mineurs non émancipés. Si l'associé décédé était le seul commandité et si ses héritiers sont tous mineurs non émancipés, il doit être procédé à son remplacement par un nouvel associé commandité ou à la transformation de la société, dans le délai d'un an à compter du décès. A défaut, la société est dissoute de plein droit à l'expiration de ce délai.<p></p>
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IG-20231124
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LEGIARTI000006222797
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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Code de commerce, art. L222-11
Code de commerce
En cas de redressement ou de liquidation judiciaires d'un des associés commandités, d'interdiction d'exercer une profession commerciale ou d'incapacité frappant l'un des associés commandités, la société est dissoute, à moins que, s'il existe un ou plusieurs autres associés commandités, la continuation de la société ne soit prévue par les statuts ou que les associés ne la décident à l'unanimité. Dans ce cas, les dispositions du deuxième alinéa de l'article L. 221-16 sont applicables.
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L222-11
LEGIARTI000006222827
LEGIARTI000006222827
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
472,439
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Article
<p></p>En cas de redressement ou de liquidation judiciaires d'un des associés commandités, d'interdiction d'exercer une profession commerciale ou d'incapacité frappant l'un des associés commandités, la société est dissoute, à moins que, s'il existe un ou plusieurs autres associés commandités, la continuation de la société ne soit prévue par les statuts ou que les associés ne la décident à l'unanimité. Dans ce cas, les dispositions du deuxième alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000005634379&idArticle=LEGIARTI000006222663&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de commerce - art. L221-16 (V)'>l'article L. 221-16</a> sont applicables.<p></p><p></p>
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Partie législative &gt; LIVRE II : Des sociétés commerciales et des groupements d'intérêt économique. &gt; TITRE II : Dispositions particulières aux diverses sociétés commerciales. &gt; Chapitre II : Des sociétés en commandite simple.
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