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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
Li mûrie de ia Cour L. SCHAMBURGER à LIXRiUBOIRG. Badecker. ifarig unb llmgebung. Oïeue Shifl. 1878, gcb . . . gr. 7 s'» , SRfyeinlanbe, geb 6 25 , ffielgien unb Ipotlanb, geb 6 25 „ Bords du Rhin, geb 6 25 „ Belgique et Hollande, nouvelle édit. 1878, geb. 6 25 Suisse, geb 7 50 Meyer. !)3«i» unb 9iorb=gv<mfreidj. Dîeue Slufl. 1878, gcb. ... 9 40
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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
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BULLETIN POLITIQUE.
La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
BULLETIN POLITIQUE. Le comte Andrassy est arrivé, mercredi, à Berlin. On mande de Vienne que le gouvernement réalise 30 millions de florins sur les 60 milions qui lui sont alloués. De ces 30 millions, 21 sont tenus prêts pour l'éventualité d'une occupation de la Bosnie. Toute tentative d'inquiéter par des bruits pessimistes échouènt en présence de l'amélioration de la situation et de la confiance dans le succès du congrès. Le Congrès s'est réuni liier à Berlin, sous les meilleurs auspices; la Russie, mande-t-on au Times, a fait d'importantes concessions. La séance inaugurale a eu lieu à midi. Elle a été purement préparatoire. Un seul point noir se maintient et grossit du côté de la Roumanie; la Correspondance politique de Vienne publie à ce sujet la dépêche suivante de Bucharest: » Depuis avant-hier le 11e corps russe s'avance dans la direction de Poteste et est déjà arrivé près de Grolost. Comme les Russes ont déjà pénétré dans quelques endroits occupés par les Roumains, le gouvernement roumain craint une rencontre sanglante. Afin de la prévenir, les troupes roumaines ont reçu, hier, l'ordre de se retirer dans la direction de Poteste, Curlea de Arzu et Urgoreste. Par le mouvement des Russes, les communications de l'armée roumaine avec Bucharest sont coupées de fait. „Le gouvernement demandera officiellement des explications au gouvernement russe sur le but des mouvements de ses troupes. Dans le cas où il ne recevrait pas de réponse ou bien une réponse évasive, le gouvernement roumain adresserait une protestation solennelle contre l'action agressive de la Russie à toutes les puissances européennes. „Le prince et la princesse de Roumanie se rendront dans le courant de la semaine au château de Finaïa pour y attendre les résolutions du congrès." C'est lui, en effet, qui, toute affaire cessante, aura à parer au danger qui menace encore de ce côté. Puisque, grâce à l'énergique persistance de la Reine et de lord Reaconsfield, il y a de reclicf une Europe et un droit européen, on ne le laissera plus fouler aux pieds. Le Sénat et la Chambre des députés de France se sont prorogés, mardi, jusqu'au 28 octobre. La Chambre a encore invalidé M. Vinay, par 242 voix contre 83. Quant au Sénat, la leçon de samedi dernier lui a profité. Il n'a point maintenu la modification qu'il avait introduite dans la loi concernant les pensions de retraite des officiers et dans la loi des contributions directes. Il a adopté ces deux lois telles qu'elles avaient été votées par la Chambre. Le conseil fédéral a décidé à l'unanimité la dissolution du Parlement allemand. On dit que les élections seront fixées à la fin du mois du juillet, de telle sorte qu'un grand nombre d'instituteurs et de fonctionnaires seront empêchés de prendre part au scrutin, sans compter les paysans qui, occupés de la moisson, ne mettront pas un grand empressement à quitter leurs travaux. Lundi prochâih, à la Chambre italienne, M. Luzzatti interrogera le ministère sur la question du traité de commerce avec la France. Il se prqpose de mettre en lumière les erreurs qu il croit avoir été commises par la commission parlementaire française. A la suite de ces questions et des réponses du gouvernement, un ordre du jour sera déposé, et le scrutin nous appprendra si la majorité accepte de nouvelles négociations avec la France, ou si elle veut appliquer à la France le tarif général. Le commandeur Axerio, le marquis de Noailles et le général Cialdini travaillent activement à prévenir une rupture. On remarque dans la presse une certaine modération. Il n'est pas impossible qu'en présence des inconvénients graves d'une guerre de tarifs, le gouvernement obtienne un vote autorisant de nouvelles négociations et la prorogation du traité de 1863 jusqu'au 31 décembre, malgré los tendances opposées des hommes les plus influents du Parlement. La commission judiciaire de la Chambre des représentants, à Washington, a décidé par 8 voix contre 1 de déposer un rapport qui porte pour conclusion d'autoriser légalement le quarante-quatrième congrès à proclamer le résultat de l'élection présidentielle. Le congrès ne peut pas reconnaître à la cour supérieure ou à un autre tribunal le droit de rouvrir cette question. Une dépêche privée, arrivée avant-hier de St.-Thomas à Paris et adressée à un très haut personnage vénézuélien, annonce que le général Francisco Linares Alcantara, président des Etats-Unis de Vénézuéla, vient de faire un coup d'Etat et de se proclamer dictateur. Le peuple aurait alors acclamé l'ancien président, le général Dr. A. Guzman-Blaneo, qui se trouve actuellement à Paris, mais qui sans doute retournera immédiatement dans son pays. Nous ne publions cette nouvelle que sous toutes réserves. On mande de Berlin, 12, que le délégué italien au congrès, M. le comte Corti, est arrivé avec ses attachés à minuit. Le prince Gortscliakoff avec sa suite est arrivé le matin. Il a été reçu à la gare par le personnel de l'ambassade. Lord Beaconsfield, immédiatement après son arrivée hier soir, a rendu visite au prince de Bismarck, avec lequel il est resté une heure et demie en conférence. Le comte Andrassy est arrivé le lendemain matin a huit heures. A oici comment les puissances prendront place au congrès: l'Allemagne, l'Autriche, la France, l'Angleterre, la Russie et la Turquie. Une ordonnance impériale, en date du 11 juin, fixe les élections pour le parlement allemand au 30 juillet.
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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
Berlin, 11 juin. M. Waddington, plénipotentiaire du gouvernement français au congrès, est arrive ici hier soir, accompagné de M. Fourchon de La motte. Les représentants de la France au congrès seront reçus cette après-midi en audience solenelle au palais Royal par le prince impérial, qui recevra à six heures du soir le prince Gortscliakoff, le comte Schouwaloff et M. d Oubril, représentants de la Russie, et à 9 heures les représentants du gouvernement italien. Les plénipotentiaires autrichiens sont attendus demain à une heure de l'après-midi. Tous les représentants des puissances au congrès auront une garde d'honneur devant leur domicile. Berlin, 11 juin. On a de plus en plus confiance que le congrès aboutira à la paix. Le gouvernement allemand, qui aura et qui conservera la direction des débats, emploie tous ses efforts pour atteindre un tel résultat. Berlin, 11 juin. Le prince impérial d'Allemagne, tenant, par suite de la maladie de l'empereur, le rang de souverain, a reçu, cette après-midi, M. Waddington et M. de Saint-Vallier. Une voiture de la cour est venue prendre le représentant de la Fiance, qui a été introduit par le chambellan de l'empereur. Le prince impérial, en grand uniforme, a reçu M. Waddington avec le cérémonial d'usage. Il était entouré de ses aides de camp personnels, de l'aide de camp de l'inspection du 4° corps d'armée, de M. Stillfried, grandmaître des cérémonies, du comte l'uckler, grand-maréchal de la cour, et de M. d'Eulenbourg, maréchal de la cour. Après quelques paroles de respect adressées au prince par le ministre plénipotentiaire français et après la réponse de bienvenue du prince, Son Altesse s'est entretenue avec M. Waddington. M. Waddington, après avoir été reconduit avec le même cérémonial à l'ambassade de Franc"', a ensuite fait une visite à M. de Bismarck, avec lequel il a eu un assez long entretien. M. Waddington s'est aussi inscrit chez les princes de la famille impériale ; il a également rempli envers les personnages officiels résidant à Berlin et les ministres plénipotentiaires ses devoirs de convenance. Berlin, 11 juin. Lord Beaconsfield et le comte Scliouwaloff sont arrivés à Berlin. Lord Sahsbury est arrivé avec son fils à dix heures et quart. Il a été reçu à la gare pour tous les membres de l'ambassade britannique. Il est descendu à l'hôtel de l'ambassade. Berlin, 12 juin. M. Corti, plénipotentiaire italien au congrès, est arrivé cette nuit à minuit avec ses attachés. Le prince Gortschakoff est arrivé ce matin à six heures et quart avec les personnes de sa suite. Il a été reçu à la gare par le personnel de l'ambassade. Berlin, 11 juin. M. Bûcher, secrétaire de légation, a été désigné pour remplir les fonctions de secrétaire archiviste auprès du congrès. Suivant la Gazeite nutionale, lord Beaconsfield doit remettre à l'empereur une lettre autographe de la reine Victoria, pour féliciter Sa Majesté d'avoir échappé au danger qu'il a couru. Berlin, 11 juin. Jeudi soir, à sept heures, aura lieu dans la salle Blanche du palais Royal, à l'occasion de l'ouverture du congrès, un grand dîner auquel assisteront tous les membres de la famille royale de Prusse, les princes actuellement à Berlin, les plénipotentiaires des puissances au congrès, avec les personnes qui les accompagnent, et tous les ministres en activité.
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9ARTICLE
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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
L'Agence générale russe nous communique la dépêche suivante : Saint-Pétersbourg, 12 juin. Les journaux russes, surtout le Nouveau Temps, discutent les déclarations de M. Waddington à la Cbambre des députés, et en approuvent la tendance générale. Mais ils critiquent l'inistance de ce ministre au sujet des traités signés par la France, au nombre desquels se trouve aussi le dernier traité de Paris. Ils font observer que la guerre russo-turque avait pour but non-seulement la libération des Bulgares, mais encore des races chrétiennes opprimées par la Turquie. L'agence Havas nous communique les dépêches suivantes : Londres, 12 juin. 31. Gennadius, agent grec à Londres, est parti pour Berlin où il assistera "M. IVlyarnis. Le Stand m<l publie une dépêche de Vienne, en dale du 11 juin, disant que le ministère des affaires étrangères s'attend à ce que le congrès invite l'Autriche à occuper la Bosnie ; c'est dans cette éventualité que la mobilisation des troupes de Transylvanie a été ordonnée. Divers gouvernements sont tombés d'accord pour que les discussions du congrès soient tenues secrètes ; mais une commission sera nommée immédiatement pour désigner les parties des délibérations qui pourront être publiées. Le Times annonce dans une dépêche de Berlin, 11 juin, que le refus de la Turquie d'évacuer immédiatement Choumla, quoique la demande de la Russie ait été appuyée par l'Allemagne, menace de causer des difficultés nouvelles. C'est à cause de cette question que le congrès s'est réuni quinze jours plus tard qu'on ne l'avait projeté. Une dépêche de Vienne, du Daily Télégraphe assure qu'on propose un nouvel arrangement touchant la question d'Antivari. Antivari serait annexé au Monténégro, mais compris dans un Zollverein spécial qui serait établi avec la Dalmatie. On ne croit pas que l'Autriche accepte cet arrangement. Vienne, 11 juin. On lit dans une dépêche de Bucharest datée de ce jour et publiée par la Correspondance politique : „Depuis avant-hier, le 11e corps d'armée russe est en marche vers Pitesti et est arrivé jusqu'à Titu et Golest. Les Russes étant entrés dans un certain nombre de localités occupées par les troupes roumaines, le gouvernement de Bucharest appréhende quelque collision sanglante. „Pour éviter un pareil incident, les troupes roumaines ont reçu hier l'ordre de se retirer dans la direction de Pitesti, Curtea de Argis et Tirgovestca. Par ce dernier mouvement des Russes, l'armée roumaine se trouve, de fait, coupée de Bucharest. „Le gouvernement a l'intention de demander officiellement à la Russie quel est le but de ce mouvement, et dans le cas de non-réponse ou de réponse évasive, d'adresser à toutes les puissances européennes une protestation solennelle contre cette agression. »Le prince Charles et le princesse sa femme, partiront cette semaine pour leur résidence d'été à Sinaïa, oh ils attendront les résolutions du congrès." Vienne, 11 juin. La Correspondance politique reçoit de Raguse la nouvelle que le sénateur monténégrin Macha Verhica s'est rendu à Scutari pour chercher à conclure un compromis avec la Turquie. Les Monténégrins ont été avertis qu'ils aient à ne pas franchir la petite rivière de Limnika. Le prince Nikita a fait savoir au gouverneur de Scutari qu'il éviterait tout conflit, mais qu'il défendrait énergiquement le possession de fait des localités conquises. Vienne, 12 juin. La Dresse déclare que les bruits de mobilisation sont absolument exagérés. La mobilisation n'est même pas projetée. S'il semblait nécessaire de renforcer les troupes en Transylvanie et en Dalmatie, on commencerait par compléter, en rappelant les hommes on congé, les garnisous de ces deux provinces, qui sont encore sur le pied de paix ; puis on ferait mouvoir du côté de la frontière les garnisons du centre de l'empire. Mais cela ne ressemble nullement à une mobilisation, pas même à une mobilisation partielle. Bucharest, 11 juin. On croit que la session du Parlement sera prolongée jusqu'au 20 juin. La Chambre a voté un projet de loi instituant un conseil supérieur près le ministre de la guerre.
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Chronique de l’Extérieur.
La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
Chronique de l’Extérieur. Arlon, 8 juin. La foire du 6 juin était vraiment remarquable tant par l'afflucnce de monde qu'elle avait attiré à Arlon, que par la quantité des produits exposés. Les chevaux seuls faisaient défaut; les foires ne sont plus fréquentées par les producteurs de la race chevaline, les marchands vont les rechercher dans les écuries des éleveurs. Pour tous les autres produits de notre agriculture, la vente est facile et les prix très-soutenus. Quantités exposées et prix moyens: Têtes Prix Chevaux adultes du pays 89 900 Vaches laitières 230 350 Bœufs 20 430 Génisses 00 180 Bouvillons 00 170 Veaux 70 42 Cochons 116 120 Id. au dessous de G semaines 776 16 Chèvres 21 25 Fruits et légumes mannes 23 f * Bœurre et œufs paniers 1311 „ Grains et graines hect. 810 „ * * # Un bien triste accident vient d'arriver à Houffalizc; le nommé Guillaume Collignon était parti seid le matin, chercher une voiture de bois. Vers 2 heures après-midi, sa femme, ne le voyant pas rentrer, se mit à sa recherche et vint le trouver étendu et sans vie, près de sa voiture. On présume que, chargeant dans un terrain en pente assez rapide et ayant mal calé les roue de 1» voiture, son cheval poussé par la charge se sera mis en marche et son maître en courant pour le retenir, aura glissé et sera tombé sous la roue qui a dû lui passer sur la tête. * * * Un dernier trait de courage du maréchal Baraguey-d'Hilliers : Hier matin, le maréchal Canrobert recevait paimi ses lettres une enveloppe, en retard, contenant une carte de visite; elle était du maréchal Baraguey-d'Hilliers et portait les trois initiales P. P. C. C'est de cette façon, simple et stoïque, que le brave Maréchal, prévoyant sa mort prochaine, a fait ses derniers adieux à son camarade. Il est beau, après avoir si bien vécu, de savoir si bien mourir. * ♦ * Encore Vera Zassoulitch. On se rapÎielle l'émotion produite non-seulement en tussie, mais dans le monde entier, d'abord par la tentative d'assassinat sur la personne du général Trépoff, préfet de police de Saint- Pétersbourg, puis par l'acquittement de l'accusée, Ycra Zassoulitch qui jugea prudent de disparaître, malgré son acquittement. L'instinct de la conservation ne l'avait pas trompée. L'arrêt que la cour d'assises a rendu en sa faveur vient d'être cassé par le Sénat. Le Sénat russe dont tous les membres sont nommés et peuvent être révoqués parle czar est investi d'attributions très étendues dans les questions judiciaires. C'est une sorte de cour suprême, décidant en dernier ressort. Il est d'usage, lorsque le Sénat casse un arrêt de ce genre, que l'accusé soit renvoyé devant un autre jury, mais au même tribunal. Le Sénat a décidé, contrairement à cet usage, que Vera Zassoulitsch comparaîtrait devant le tribunal de Novogorod. Peut-être veut-on simplement éviter les scènes tumultueuses qui ont suivi le premier procès. Mais il est peu probable que 1 accusée se prête d'elle-même à une seconde épreuve. La prime de deux mille roubles, offerte par la police au délateur qui indiquerait sa retraite, n'a encore tenté personne, ou du moins personne d assez habile pour dépister la fugitive. Le petit incident qui s'est passé à l'audience du Sénat n'est pas de nature à encourager la confiance de Vera Zassoulitch. Immédiatement après le réquistoire du ministère public, M" Âlexandroff, avocat de l'accusée dans la première affaire, demande la parole. „ J'ai entre les mains, dit-il, une déclaration signée par ma cliente, et ]e demande la permission de lire cette déclaration devant la cour avant la clôture des débats.» Une certaine agitation se répand aussitôt dans l'auditoire. Le président demande que la lettre lui soit passée: „Cette déclaration n'est pas légalisée par un notaire, dit-il aussitôt avec un sourire de satisfaction. Il vous est donc interdit, M 0 Alexandroff, de combattre, au nom de votre cliente, les conclusions du ministère public." On devine pourquoi Yera Zassoulitch n'avait pas fait légaliser sa signature. C'eût été donner son adresse, c'est-à-dire renoncer à la liberté, qui est chère à tout le monde, et plus particulièrement à cette intrépide amazone. Le chah et sa suite occupent au premier et au deuxième étage du Grand-llôtel 31 numéros. Ces chambres font face au boulevard, à la place de l'Opéra et à la rue Auber. A une heure précise, le maréchal-président de la République, qui avait fait annoncer sa visite, est arrivé au Grand-llôtel, accompagné du lieutenant-colonel de la Maurelle et du lieutenant Abeille. Le chef de l'Etat a été reçu au bas de l'escalier par le grand vizir Mirza-llussein khan, par Nazare-Agha, ministre plénipotentiaire, et par les principaux officiers de la maison du chah. Le maréchal de Mac-Mahon était en redingote noire, et est remonté en voiture, après un entretien qui a duré plus de vingt minutes. Vers deux heures, S. M. Nasser-ed-Din, revêtu du costume européen, c'est-à-dire en paletot et pantalon noirs, se rendait à l'Exposition en voiture découverte. Il était de retour au Grand-Hôtel à six heures et demie. * * * Nous avons sous les yeux les détails de l'explosion des mines de Ilaydock ; malheureusement il n'y a aucune exagération dans les renseignements que le télégraphe nous avait transmis. Quoique l'on n'ait encore recueilli que dix-sept cadavres, il est certain que le nombre des victimes s'élève à 235. L'inflammation du gaz, dont la cause est encore inconnue, a produit un bouleversement si épouvantable qu'on est certain de ne pas retrouver dans ces galeries désolées un seul être vivant. La catastrophe du 7 juin 1878 efface toutes celles dont nous avons eu à parler depuis quelques années. Pour en retrouver une semblable, il faut remonter jusqu'à l'année 1866, époque fatale où eut lieu l'incendie du puits des Chênes à Barnsley. C'est des charbonnages de Ilaydock, appartenant à MM. Evans et Cie, que viennent la plupart des houilles chargées à Liverpool par steamers. C'est la troisième fois que ces puits font explosion. Ils ont coûté la vie à 24 victimes en 1868 et à 57 en 1869. Les puits qui forment ces charbonnages ont une profondeur de 250 mètres. Ils sont situés dans un pays très pittoresque, à sept milles de Wigan. A la date des dernières nouvelles, on venait d apporter les cercueils pour recevoir les cadavres mutilés des mineurs à mesure qu'on les arracherait des galeries éboulées où ils sont entassés. Il nous reste à faire remarquer que cet accident coïncide avec des dépressions sou- et que cette catastrophe justifie la proposition faite par M. Leverrier d'étendre aux mines de houille le bienfait des avertissements dont l'agriculture et la marine sont seules à profiter. {Temps.) » * * Un orage d'une extrême violence a éclaté mardi, 4 juin, vers 5 heures du soir, sur Liège et les environs. Le ciel qui était serein se rembrunisssait tout- à-coup et en quelques minutes une obscurité presque complète avait succédé à une brillante clarté. Dans la plupart des magasins on dut allumer le gaz, tant la nuit était grise. C'est par ces ténèbres qu'un bruyant coup de tonnerre retentit et immédiatement la pluie tomba par torrent. Les éclairs se suivaient sans interruption et le tonnerre grondait sans discontinuer. Ce déchaînement des éléments a duré environ une heure. La foudre est tombée en plusieurs endroits, mais fort heureusement sans occasionner ni incendie, ni graves dégâts. Elle s'est abattue d'abord dans la Meuse, en aval du pont du Val-Benoit, à quelque distance d'un bateau; celui-ci, subissant la commotion, s'est avancé sur ses amarres qui ont résisté. Dans un jardin au hameau de Cointe un arbre a été renversé, un autre a eu son écorce enlevée en partie par le fluide électrique. AVottem, non loin de l'endroit où dernièrement s'est produit une dépression du sol, la foudre est tombée dans une campagne où elle a creusé un profond sillon.
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9ARTICLE
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COTES DES BOURSES PRINCIPALES.
La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
COTES DES BOURSES PRINCIPALES. Dernier cours. LONDRES, 8 juin. 3 "/• cons 96 12 PARIS, 12 juin. 3 7„ comptant 76 35 4'A % » 105 25 5 '/. » 112 10 Banque de France 3150 Ville de Paris. Emprunt de 1875. 4 . . . 505 __ » » » 1876. 4 */« • • • 503 50 Comptoir d'escompte de Paris — Crédit foncier de France 880 __ Société de Crédit mobilier 183 75 Chemins de fer de l'Est. Actions . . . 667 50 » » du Nord. » ... 1395 » » Société autrich. » ... 557 50 » » Lombards vénit. » ... 162 50 » » du Nord. Obligations. . 358 » » de l'Est » 5 »/„. 555 . » » » » 3 "/«• 343 50 » » Lombards vénit 246 75 » » Romains 267 » » Nord de l'Espagne prior. . . 296 Obligations domaniales autrich. 5 °/0. . . . 300 Emprunt romain 5 °/o ' 78 7. BRUXELLES, 12 juin. Emprunt 3 •/« comptant 76 30 » 4 °/e » 99 80 » 4 '/« » 104 40 Banque Nationale Ville d'Anvers. Obligat. 3 °/o de 1867 . . 2650 » » » » 1874 . » de Bruxelles » » 1867 . . . 90 » » » » 1874 . . 97 » de Liège » » 1874 . . . __ » d'Ostende » 4% 1877 . . . Grande Compagnie du Luxembourg. Obligat. . 614 » » » Actions . __ Act. priv. const. de chemins de fer . . . . 33 50 Chem. de fer et minières Prince-Henri. Actions » » » » Oblig. . 480 Guillaume-Luxembourg. Actions 284 » » Obligations 3 °/0 . . 345 » » » 5 . 555 Forges d'Eich Hauts-fourneaux luxembourgeois __ Forges de Sarrebruck et mines du Luxemb. . 2400 BERLIN, 12 juin. Emprunt 4 V, % .... 104 90 » 4 % 95 90 Banque de l'Empire 153 75 Chemin de fer Cologne-Minden 107 » » du Rhin 109 50 Chemins de fer de l'Etat autrich. Actions . . 448 » » » » Obligat. . . 332 » » Lombard-Vénit. Actions . . » » » » Obligat. . . 241 Banque internationale à Luxembourg. . . . 99 50 FRANCFORT, 12 juin. Rente autrich. Or _ » » Argent 56 »/• » » Papier 54 7. Banque nationale d'Autriche 704 Crédit mobilier » 199 % Lots d'Autriche 5 '/„ de 1860 108 7. Banque de Darmstadt 112 » / 8 Emprunt Luxembourgeois en francs .... 97 » » en mark .... 96
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440
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LES FEUILLETON. (Reproduction interdite.) PREMIÈRE PARTIE. (Suite.)
La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
FEUILLETON. LES SEPT HOMMES ROUGES (Reproduction interdite.) PREMIÈRE PARTIE. (Suite.) ARMAND LAPOINTE 29 par Tout-à-coup, le rocher du fond s'entr'ouvre et l'on voit apparaître, dans un charmant costume de gaze transparente la jeune Zizine, qui représente le Génie de la Colomhrador. A sa vue, tous les regards s'allument; le congrès est profondément ému, et Zizine profite de cette émotion pour exécuter le pas du Nénuphar, qui achève de mettre l'aréopage en belle humeur. Prodigieuse! étonnante! exclama Saint- Estèphe au souvenir des succès chorégraphiques de son amie. Silence ! dirent en même temps plusieurs voix. Faut-il continuer? demanda Bérold, faisant mine d'hésiter. C'est palpitant nous sommes tout oreilles. Je continue donc. Zizine est une gaillarde qui n'a pas froid aux pieds ; elle a, de plus, la conscience de la fascination qu'elle pxerce, et ne tarde pas à en abuser. Elle interrompt donc le pas du nénuphar juste au moment où quelques jumelles commençaient à se montrer, et vient se planter carrément devant le conseil pour lui dire son fait. C'est en chantant, et sur un air très connu, qu'elle leur tient à peu près ce langage. Vous êtes de purs idiots. Vous perdez à vous disputer un temps qui pourrait être mieux employé, et j'ai quitté ma retraite exprès pour vous donner un avis salutaire. „ Ecoutons! écoutons! répond en chœur le conseil intiigué. „ Avez-vous du courage, tous tant quo vous êtes? „ Tout autre que Zizine l'éprouverait sur l'heure! insinue le chœui*. „ Eh bien, c'est ce que nous allons voir. „ Achève ! „ Il est dans la contrée que nous habitons un lieu solitaire, impénétrable, dissimulé à tous les regards, dans lequel croît une herbe unique, savoureuse, dont le pai-fum produit une sorte de rêverie douce, dont la fumée dégage une ivresse exquise et sous l'influence de laquelle les sottes ambitions dispai-aissent, les douleurs s'apaisent, les chagrins s'effacent et la gaieté resplendit. Le jour où vous aurez découvert cette plante avec la manière de s'en servir, plus d'inquiétude, de soucis ni de sombre humeur, et nulle existence ne pourra être comparée à la vôtre. Comprenez-vous ? „ Oui! oui! „ Et voulez-vous conquérir ce rameau pharmaceutique et vénéré, cette panacée merveilleuse ? „Marchons! courons! volons!" Le conseil s'était levé comme un seul homme; mais, sur un point d'orgue audacieux de Zizine, chacun s'arrêta, violemment ému. „ Un mot encore, dit Zizine. Pour éviter toute contestation ultérieure, pour prévenir tout combat sanglant dans l'avenir, il est entendu, dès-à-présent, que celui qui, le premier, aura trouvé la plante du destin, celui-là sera proclamé roi. „- Bien! bien! bravo! „ Vous le jurez? „ Nous le jurons 1 nous le jurons! nous le jurons!" Et sur ces mots, le rocher du fond s'entr'ouvre à l'aide d'une ficelle qui n'est pas dissimulée, et Zizine disparaît comme elle est venue. Tableau et fin du prologue. Bérold avait à peine fini que des applaudissements prolongés éclatèrent autour de lui. Il avait raconté ce prologue beaucoup mieux que nous ne pouvons le dire nous-même, avec ce brio, cet entrain qui est le propre des Parisiens, et il avait été réellement fort amusant et non moins spirituel. On comprend donc avec quelle insistance la suite lut réclamée, et le journaliste, qui sentait son succès, ne se fit pas trop prier pour répondre. Tel est le prologue, dit-il. Au moment où le rideau tomba, je remarquai que le rocher avait, en se refermant brusquement, saisi et retenu au passage la moitié au moins de la jupe de Zizine. Mais je pensais que ce n'était là qu'un incident sans importance, et je m'attendais à n'en plus entendre parler à l'acte suivant. Je me trompais grossièrement. L'incident avait été ménagé au contraire par les auteurs, et c'était un des trucs ingénieux delà Colombrador. A la fin du prologue, après le départ de Zizine, tous les membres du conseil s'étaient à l'envi séparés et précipités dans toutes les directions à la recherche de cette plante merveilleuse qui devait leur assurer non-seulement une gaieté éternelle, mais encore à son heureux possesseur tous les privilèges de la royauté. Un seul ne s'était pas laissé emporter, et il était resté sur le devant du théâtre, sombre, pensif, la lèvre contractée par un sourire convulsif. Cela m'avait frappé, et je soupçonnai que ce vieillard mijotait quelque trame ténébreuse. En effet, au premier acte, je le retrouvai dans la même attitude soucieuse, mais cette fois les regards dirigés vers l'endroit par lequel Zizine avait disparu. Chose bizarre!... le pan de sa jupe passait encore par la fente du rocher, et on la voyait s'agiter désespérément sous les yeux narquois du vieux conseiller. C'était là le nœud du drame. Zizine était prise, et il fallait l'intervention spéciale d'un génie que le vieux conseiller avait à ses ordres pour qu'elle recouvrât sa liberté d'action. A ce moment, le grondement du tonnerre se fait entendre; le ciel s'obscurcit; toute l'équipe chargée d'imiter les flots de la mer se met à danser sous la toile verte, et l'on voit apparaître le génie en question, qui s'empare de Zizine et la transporte dans son palais aux murs de cristal et de diamants. La pauvre petite est toute tremblante, mais elle ne perd pas la tête et demande dans quel but on fui fait cette violence. Le conseiller descend la scène: #— Ce que je veux, dit-il d'un ton sarcastique, c'est ton secret!... Tu sais où se trouve la plante divine, et je prétends que tu me le dises. „ Et si je refuse? riposta Zizine. „ Si tu refuses, tu es perdue!... „ Ah! la mort! la mort, crie l'héroïque enfant. r— Mieux que cela! Ecoute. Tu appartiens à une famille nombreuse. Une épouse féconde a donné à ton père quarante-deux fils, tes frères que tu adores... Eh bien! je t'accorde, à partir de demain, quarante-deux jours pour obéir! Si dans vingt-quatre heures tu n'as pas pris une résolution, après-demain mes esclaves t'apporteront, sur un plat d'argent, la tête de l'aîné de ton auguste famille. „ Que dites-vous? „ Je n'ajoute plus un mot. „ Ah! par pitié! „ Plus un mot A moins que tu ne veuilles aborder un autre sujet de conversation." Et le vieux conseiller s'éloigne avec un de ces ricanements de traître de mélodrame comme on n'en entend qu'à la porte Saint- Martin ou à l'Ambigu Pendant que Bérold parlait, on pouvait remarquer que tous les visages étaient souriants, et il était manifeste que chacun suivait son récit avec une faveur marquée. Seule, Mme Brémond semblait éprouver de singulières sensations depuis qu'il avait commencé à raconter le premier acte. Le sourire qui d'abord avait légèrement effleuré ses lèvres s'était tout-à-coup éteint; un nuage sombre avait passé sur ses yeux, et, par un mouvement plus fort peut-être que sa volonté, elle s'était rapprochée, à la fois anxieuse et troublée, du journaliste. Cependant, personne, si ce n'est pent-être M. de Roddcs et Ricardo, n'avait pris garde à elle; et Bérold reprit bientôt, sans se douter de l'intérêt bizarre qu'éveillait chez Ida l'histoire grotesque qu'il racontait. Je vous ai dit, continua-t-il, que la malheureuse était pourvue de quarante-deux frères, et qu'elle était menacée de les voir périr, un à un, pendant les quarante-deux jours de réflexion qui lui avaient été consentis. On pouvait croire que ce n'était là qu'une menace vaine, et que le vieux conseiller se laisserait attendrir par les larmes et les prières de sa captive. Mais il paraît que les mœurs de la Colombraclor sont particulièrement féroces, car, à partir du deuxième jour, la pauvre enfant vit arriver régulièrement chaque matin l'esclave noir tenant dans ses mains l'horrible plat du jour!... Epouvantable! atroce! balbutièrent quelques voix. Mesdames, je raconte ce que j'ai vu objecta Bérold. Mais c'est impossible! invraisemblable! Au moment où Bérold se disposait à répliquer sans rien perdre de son enjouement, il sentit tout-à-coup une petite main se poser sur son épaule. Il se retourna vivement et aperçut derrière lui Mme Brémond debout, les yeux égarés, immobile et pâle comme une statue. lmpossible ? dit-elle d'un accent plein de fièvre. Invraisemblable?... N'en croyez rien, mesdames. Le récit que vient de nous faire M. Bérold est on ne peut plus spirituel et plaisant; mais en le dégageant des excentricités et des bizarreries dont l'a orné son narrateur, il reste un drame des plus sanglants auquel vous pouvez croire, car moi... moi qui vous parle... Vous, madame... vous? O mon Dieu! Achevez... Achevez! Mais au lieu de continuer, Mme Brémond avait pris sa tête dans ses mains et elle la serrait violemment par un geste de sombre désespoir. Oh! je souffre!... J'étouffe!... balbutiat-elle. Par pitié que l'on me donne un peu d'air... Et, avant qu'elle eût achevé, elle se laissait tomber presque évanouie entre les bras de liicardo, qui venait de lui parler à voix rapide et basse et dans un dialecte inconnu. XVIII Le lendemain de la fête de M. et Mme Dangeville, Ida s'éveilla fort tard dans la journée. Son sommeil avait été lourd, parsemé de cauchemars et de visions nés de tous les incidents de la veille. La journée était sombre et pluvieuse. Mme Jacques Brémond sonna sa femme de chambre et se fit babiller. Pour la première fois de sa vie elle s'enquit de son mari et de Iticardo Gomez. Lun était sorti après le déjeûner. L'autre avait quitté l'hôtel dès huit heures du matin et n'était pas rentré. La jeune femme vint se placer auprès d'une des fenêtres de son petit salon et essaya de lire. Mais les mots et les phrases papillotaient sous son regard et prenaient des formes étranges. Elle jeta le livre loin d'elle. Elle avait besoin de mouvement, d'agitation, de bruit, pour occuper sa pensée qui devançait les heures, et mouvement, agitation, bruit, lui échappaient. Jamais la solitude et le silence ne lui semblèrent plus douloureux, jamais les heures ne lui parurent plus lentes à s'écouler. Le crépitement de la pluie, qui tombait à intervalles égaux sur les vitres de son appartement, l'agaçait au dernier point et l'énervait presque autant que les angoisses de sa situation. Et cependant, se disait-elle, je touche au moment suprême de ma vie; l'heure si ardemment désirée de la délivrance va sonner ; pourquoi ces inquiétudes? Pourquoi ces terreurs, ces appréhensions qui me sont une souffranoe morale insupportable ? (A continu: r.)
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L’Allemagne et la Régence.
La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
L’Allemagne et la Régence. Le retour du prince de Bismarck à Berlin a été suivi d'importantes mesures. Par décisions impériale en date du 4 juin, le prince Frédéric-Guillaume, en sa double qualité de prince impérial de l'empire allemand et de prince royal de Prusse, a été chargé de remplacer son père dans la direction suprême des affaires du gouvernement. Cette décision est motivée par ce fait que, „par suite de ses blessures, l'empereur-roi est momentanément hoi-s d'état de donner les signatures nécessaires," et que, „d'après l'avis des médecins, il doit, pour ne pas gêner sa guérison, s'abstenir de toute occupation sérieuse." Il ne s'agit donc pas d'une régence pour l'établissement de laquelle le concours du Conseil fédéral et du Reichstag eût été nécessaire, mais d'une suppléance momentanée qui sera remplie en Allemagne et en Prusse par le prince Frédéric-Guillaume jusqu'à ce que l'empereur soit guéri de ses blessures. Voilà pour l'interprétation constitutionnelle et légale ; mais, en fait, l'empereur Guillaume étant âgé de quatre-vingt et un ans, et se trouvant très gravement atteint par suite des blessures qu'il a reçues, il est bien possible que le prince Frédéric-Guillaume soit investi du pouvoir d'une façon définitive. Le prince est âgé de quarante-sept ans. Il a pris, comme on sait, une grande part dans la guerre de 1866 contre l'Autriche et dans la guerre de 1870 contre la France. Dans ces deux guerres, il a fait preuve de hautes capacités militaires, et il s'est montré, par le caractère méthodique de ses opérations, un élève plus discipliné de M. de Moltke que son cousin l'impétueux prince Frédéric-Charles. Les personnes qui l'ont approché le considèrent comme un homme fort distingué par son instruction, par l'élévation des idées, par la dignité irréprochable do sa vie privée, autant que par la courtoisie des manières. Il a épousé en 1858 la fille aînée de la reine Victoria, et il a eu plusieurs enfants, dont l'aîné a dix-sept ans. La princesse Victoria, princesse fort instruite, est connue pour la hardiesse de ses idées religieuses et philosophiques. La visite qu'elle rendit au célèbre docteur Strauss, l'auteur de la Vie de Jésus, lors de sa dernière maladie, eut le caractère d'un hommage presque filial. Le premier acte de l'administration du prince Frédéric-Guillaume a été de demander au Conseil fédéral la dissolution du Reichstag. Un rapport rédigé dans ce sens a été adressé à cette Assemblée par le prince de Bismarck. Le chancelier allègue pour motifs de la dissolution: 1° la nécessité de prendre d énergiques mesures pour protéger l'Etat et la société contre les excès de la démocratie socialiste; 2° l'attitude prise par la majorité du Reichstag au sujet du projet de loi qui avait été proposé par le gouvernement à la suite de l'attentat du 11 mai. Le gouvernement persiste à penser que sa responsabilité n'est pas assez couverte par les lois actuelles pour lo maintien de l'ordre, et il a renoncé à l'espoir d'obtenir du Parlement actuel les mesures qu'il réclame, „si peu de temps après le rejet de l'ancien projet de loi et le Reichstag étant composé comme il l'est.a Mais en insistant sur la nécessité d'obtenir des mesures d'exception, le chancelier n'entend pas porter atteinte aux garanties données à la liberté parla Constitution. "Le gouvernement prussien, dit-il, n'est pas d'avis que toutes les libertés garanties par les lois existantes doivent être restreintes. 11 ne croit pas que les mesures proposées doivent avoir pour but d'atteindre d'autres tendances en dehors de celles qui mettent en danger l'ordre social actuel. Il croit que ce sont les tendances de la démocratie socialiste qui rendent nécessaires des mesures défensives." Ces explications ont apparemment pour but de rassurer les nationaux libéraux et les catholiques qui pourraient craindre que, sous prétexte de socialisme, on eût d'autres visées. Le prince de Bismarck ne dénonce qu'un ennemi, le socialisme. Il n'entend combattre qu'un adversaire, le socialisme. Il donne pour mot d'ordre des prochaines élections, la guerre contre le socialisme. Cette guerre, elle est commencée dès maintenant par des arrestations, par des condamnations et par toutes sortes de mesures d'intimidation dont les socialistes sont l'objet en ce moment. L'opinion publique est très-justement excitée par les attentats du 11 mai et du 2 juin, et le gouvernement ne néglige rien pour la maintenir à ce diapason. Il reste à savoir pourtant s'il parviendra à modifier d'une façon sensible l'ancienne majorité, et s'il n'y réussit pas; il reste à savoir si cette majorité raffermie plutôt qu'affaiblie par les élections ne proposera pas des remèdes très-différents de ceux qui seront recommandés par le prince do Bismarck. Les prochaines élections s'annoncent comme devant être d'une importance exceptionnelle au point de vue de l'affermissement de l'ordre de choses actuel.
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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg
Il faut faire bonne mine à mauvais jeu. Plus le jeu est mauvais, plus il faut regarder de le trahir en divulguant ses sentiments. C'est ce que font en ce moment nos adversaires. Tout en rageant intérieurement, ils applaudissent en public au résultat des élections. La victoire, disent-ils, eût été bien plus brillante encore, si l'on n'avait pas voté sous la pression gouvernementale. Cette pression n'a pas existé. On cherche à y faire croire pour masquer les vrais motifs de la défaite. Nous pourrions bien expliquer le vote des deux cantons semi-industriels en nous étendant sur les attaques et les calomnies multiples qu'on répandait dans les cabarets sur l'Administration supérieure. Que dire cependant des candidats qui ne se présentaient devant les électeurs qu'en étant précédés, accompagnés ou suivis d'une nuée d'agents ? Tous les commis, employés, les fournisseurs avoués et cachés de la grande industrie et de ses affiliations étaient sur pied, traquant nuit et jour le gibier électoral, oui, traquer c'est le mot. Derrière chaque buisson sortait la tête d'un de ces rabatteurs. C'est ainsi seulement qu'on fait les grandes chasses. Ces Messieurs le savent bien. Une organisation matérielle pareille n'est cependant possible qu'à grands frais, et dans les cantons seulement où sont situées les usines qui combattent. Aussi dans les autres parties du pays, l'opposition a été battue. Parler de pression quand on ne permet pas même aux électeurs de lire ce qui leur est envoyé et qu'on dépense des milliers et des milliers de francs pour influencer son vote ! Nous parions que dans Luxembourgcampagne, leur électeur revient à ces messieurs à plus de quarante francs. Mais, avouons-le, on y a aussi de la marchandise pour son argent.
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Tout le monde est content, même Y Indépendance et la Lvxemburger Zeitung, dont cependant la joie est mêlée d'un peu d'amertume : C'est que le Gouvernement ne veut pas s'en aller. Ce Gouvernement, c'est le Carthago delenda de Caton, l'Angleterre de Dupin. C'est contre lui ou plutôt contre une personne du cabinet qu'on avait entrepris la campagne électorale qui vient de ce terminer d'une si piteuse manière pour l'opposition, et l'on voudrait cacher aujourd'hui l'échec par une grimace de satisfaction. Qu'on soit franc au moins aujourd'hui. Dans différents cantons, l'opposition avait établi des candidatures dont la signification était à tort ou à raison, c'est ce que nous ne voulons pas examiner guerre au cabinet. Eh bien, ces candidats ont justement échoué devant l'opinion publique qui s'était chargée de la réponse à faire à la tentative d'un parti impossible aujourd'hui. La réponse a été l'élimination des candidats de l'opposition, d'un côté, et, d'autre part, l'élection d'hommes qu'on avait désignés à la vindicte libérale comme créatures d'une prétendue alliance clérico-gouvernementale. Et. malgré tout cela, on va jusqu'à vouloir encore faire accroire le public à une victoire de l'opposition ! C'est un anachronisme dont on se rend coupable dans le camp de nos adversaires. Ils ont fait tant de fanfaronnades pendant la période électorale, commis tant d'insincérités qu'il faut leur pardonner cette jactance des premiers jours. S'ils peuvent se consoler aujourd'hui de cette manière, soit! Qu'ils se reposent sui leurs lauriers ! Puisse leur modestie être un heureux présage pour l'avenir.
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Monsieur le rédacteur, Je viens de lire Vlndépendance qui, pour employer ses propres expressions, n'est point changée. Son „ premier Paris" suinte la haine contre M. Brincour. Les termes même de l'article en dénoncent l'auteur. Que son succès lui soit léger. J'espère que la Gazette se respectera assez pour ne pas se faire du tort en répondant à un pareil factum. La société Thoma, Brincour et Clo a fait son devoir vis-à-vis de la clique ; elle a agi ouvertement, loyalement. Les autres peuventils en dire autant, eux qui parlent d'hypocrisie ? Je suis autorisé à en douter. Votre dévoué D. K.
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Monsieur le Rédacteur, Vous semblez incliner vers la loi belge sur les fraudes électorales. Elle contient évidemment beaucoup de bonnes dispositions. Le secret du vote, cette garantie immense de la liberté des électeurs, y est pleinement sauvegardée. Aussi ferait-on bien d'introduire cette législation dans notre pays, si elle n'avait pas certains défauts difficiles à corriger. Le président du tribunal arrête et fait imprimer les listes des candidats, sur lesquels on doit voter. A cet effet, les électeurs doivent présenter les candidats cinq jours au moins avant le vote. I a candidature qui n'est pas appuyée de plus de cinquante signatures n'est pas admise. Les listes arrêtées cinq jours avant le vote ne peuvent plus être modifiées. Or, il peut facilement arriver que l'on se soit trompé sur la valeur morale d'un candidat ou sur ses chances de succès. Il se peut même que l'un ou l'autre des candidats vienne à décéder. Le mal est irrréparable et le parti qui voulait voter pour ce candidat sera inévitablement battu sur ce point. G'est-là un des côtés fâcheux de la loi belge. II faudrait avant tout chercher à le corriger. Ycuillez agréer, etc.
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Luxembourg, le 13 juin 1878. Monsieur le rédacteur, Une rente de porcs reproducteurs ayant lieu samedi prochain par les soins du Gouvernement chez le sieur Becker à la gare centrale, la curiosité m'a poussé d'aller voir ces spécimens des races „Essexe etCraonnaise". Le porc Essexe se distingue par ses formes, par sa précocité et par son aptitude à l'engraissement. La couleur est noire, sa tête allongée, son dos droit, son ossature fine, sa carrure complète, son allure dégagée et sa viande fine et délicieuse. Cette race convient parfaitement pour l'amélioration de notre race du pays. Le porc craonnais est plus fort que l'Essexe, engraisse facilement et est très-fécond. Il est haut sur jambe, à couleur blanche, à tête forte, à corps allongé, à ossature robuste et produit une viande ainsi qu'un lard excellent. Il convient également très-bien pour le croisement avec le porc du pays. En un mot l'achat a pleinement réussi et les sujets exposés en vente ne manqueront pas de produire d'heureux résultats. Agréez, etc. X.
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ESPAGNE.
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ESPAGNE. Le Journal commercial et maritime de Cette publie la lettre suivante qui contient le récit d'un témoin oculaire, sur le pillage d'un train rapide allant de Barcelonne à Port-Bou, déjà annoncé par dépêche : Cette, 7 juin. Monsieur le directeur, Permettez-moi de venir raconter à vos lecteurs la scène qui s'est passée, le mercredi 6 du courant, vers 11 heures du soir, aux portes de Barcelone. Nous venions de partir à peine par le train rapide de 10 h. 30 soir, quand, après un parcours d'environ 15 kilomètres et à notre grand étonnement, nous avons vu noti'e train ralentir sa marche et s'arrêter ensuite sans cause connue, puisqu'il n'y a pas de station à cet endroit. Nous ne savions que penser, quand une femme émit l'idée que ce pourrait bien être des voleurs. Elle disait vrai, car au même instant une voix du dehors nous cria en pur catalan : immédiatement toutes vos armes ; celui sur qui j'en trouverai, je lui brûle la cervelle." Et sans donner le temps d'exécuter cet ordre, un individu habillé convenablement en ouvrier, foulard à la tête et blouse bleue, se précipita alors dans notre wagon, armé d'un de ces fameux trabucos à gueule évasée de 7 à 8 centimètres de diamètre et prêt à faire feu. „ Remettez-moi tout votre argent, bijoux et objets de valeur, nous dit alors le voleur, et ne cachez rien, car je vais vous fouiller, et celui sur qui je trouverai quelques chose sera passé par les armes." Jugez de notre frayeur, des cris et des pleurs des femmes et des enfants. Toute velléité de résistance était inutile, car longeant le train on voyait briller les mousquets d'au moins une trentaine d'hommes armés. 11 ne restait qu'à s'exécuter, et c'est ce que nous fîmes. Pour moi je remis à M. le voleur, caissier-fouilleur, ma bourse ainsi que celle de ma nièce, soit environ 300 frs. Malgré cela je fus fouillé, et comme il me restait dans mon gilet 7 à 8 couartos (3 ou 4 sous) le voleur me les prit, en me disant que je saurais me faire prêter de l'argent ailleurs ; car je lui disais que je conservais ces quelques sous pour prendre un verre d'anisette, afin de me remettre de la frayeur qu'il nous avait causée. M. le voleur prétendit alors qu'il lui fallait beaucoup d'argent pour payer sa troupe. Les femmes seules ne furent pas fouillées. Tout cela avait été l'affaire de cinq minutes, cinq siècles. Alors un coup de pistolet retentit au loin, un signal sans doute, car toute la bande s'empressa de détaler sans visiter un wagon de première où ils auraient pu faire un riche capture. Le train rétrogada sur Barcelone, et là, pour toute satisfaction, nous apprîmes que le train ne repartirait que le lendemain, mais que nos billets restaient valables. Après tout cela, croyez-vous que la police se soit émue ? Il n'en est rien ; pas le moindre semblant d'enquête n'a eu lieu ; on ne nous a demandé ni les sommes volées, ni les bijoux enlevés ou tous autres renseignements qui pourraient aider à la recherche des bandits. Seuls, quelques carabineros et guardias civiles nous ont fait raconter les péripéties du drame, mais en simples curieux. Je dois ajouter que dans notre wagon se trouvait un pauvre aveugle dont le fils a affirmé de la manière la plus positive avoir reconnu le voleur-fouillcur, ayant habité la même maison. Si la police et les autorités de Barcelone savent sortir de leur apathie habituelle, nul doute que ce renseignement ne serve à les mettre sur les traces de la bande. Recevez, etc. P.-S. Le mécanicien n'avait arrêté le train que sur les signaux d'usage marquant cette manœuvre, ce qui porte à croire que les voleurs s'étaient emparés d'une station ou d'un poste de garde.
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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg Jg. unknown, n° 53
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La Gazette du Grand-Duché de Luxembourg M 55 S AM El) ï, 15 Jl IX. ABONNEMENTS: Le Grand-Duché fr. 3,75; Belgique fr. 5; l'Allemagne et la France 7 fr. par trimestre. L'espace d'une petite ligne d'annonces, 20 centimes, Réclames, 50 centimes; on traite à forfait. Toutes les communications doivent être adressées franco à M. L. SCHAMBURGER, libraire, éditeur responsable. Luxembourg. Imprimerie L. Schamburger.
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17ISSUE
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NOS CORRESPONDANCES.
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QUESTION D’ORIENT.
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In Verlage deS Unterzeichneten erscheint und nehmen all« Buchbandlungen des In» und Auslandes Bestellungen barauf entgegen, in lîurcmburg durch Pierre BIIUCK und V. BÜCK.
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Verl. der St-Paulus-Druckerei
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Das Gpistelbuch der
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Verl. der St-Paulus-Druckerei
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hntljoltjcljcn ütrrljr.
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Verl. der St-Paulus-Druckerei
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Theologisch erklärt von iß»'. F-. H. Dieringer, Vlzbischöflich Geistlichen 3lalh. ©omcapitular am Melropolitan'Domcapllel zu Holn und ortentlichem Plofeffoi der Theologie an »er Universilül zu Bonn. Mit bischöflicher Approbation. Drei Bande in gr. 8. (circa 120 93oçjen.)
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Au?« den „Vcirachlungen" bei Damdekan Hirsch» un» eininen zerstreuten î>omilien, besitzen mir in deutsch» Spracht lein umfassen»«« Weit über die Episteln be« Kirchenjahre«, und doch bllfen die» selbe» neben den Evangelien die biblische Grundlage für Dit fachliche Predigt uno »ritt in der katholl« schen Welt da« Ncdürfniß nach einer leben«vollcn. Den unendlichen Schal) göttlicher îBj(»rbei! und »ölt» lichen Trostes aus der heilige» Schrift für das praktische '.'eben nutzbar machenden Eieaese immer mehr heivor. <it ist darum gewiß sehr dankenswert», daß Herr Professor !Dierin(itr in feinem Epistel» buche der katholischen Kirche" die sonn» und festtäglichen Episteln theologisch au erMären unternahm, wobei die bclrachlenbe und erbauende Auslegung,/ welche bei bischer die Hauplsiche ausmacht, nur als Nebensache behandelt, desgleichen die rein philologische Seite der Interpretation, womit ter Leser so wenig wie möglich behelligt wird. Als Grundlage wähl!« der Herr Verfasser natürlich den biblischen Teil der Vulgata, weicher die Ucbersetzung der Alllolischcn Vibelausgabc gegenüber steht. Die Glied«» rung des Stoffes selbst tritt für das Auge äußerlich hcroor, worin sowohl für die Lecture als da« ©tu« diuni ein entschiedener Hjortheil liegt, iiamentlio; wird dadurch rie rednerische Verwendung des £arncboteneii erleichtert, indem dassclde wie cine genaue Ski«.«, zum r«ntlische» Vortrage lieb »erhält. -Fügen wir beut noch bei, daß „das Epislelbuch" Mi die Frucht einer mehr denn zwölfjährigen Lieb» lingsbeschäfligun», d « Herrn Verfassers <« betrad)len, ,md daß v»n demselben auf diesem Gebiete nur Classische« zu erwarten ist, so wird «.ewig jcDer ThcoloZ, nicht minder jeder kirchlich gebildete Laie das neueste Werk des Herrn Professor Die r m fier mit Freuden begrüßen, zumal es scho,< von vornherein ein wohllhuendts Gefühl erwecken muß, auf dem deuischen iOücbermarfte wieder einmal einem gebiegt« tun O. lginalw»ike zu begegnen, welche in der Gegenwart leider immer seltener werden.
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Da« ganze Wert bestellt aus drei Bände», welche wir u fl, 3 30 fr. ober Ntl,lr. 2 lalso das aanze Wirk für fi, 10 30 kr. oDer 9Jtl)Ir. 6) liefern und >st bereits der erste Vand ausgegeben. — Das vollständige Vtanuscript befindet sich in den Händen des Verlegers und wird das Werk bis (y..lu- dieses Jahres camptet erschienen sein. Mainz im August 1863. cil«) Urauz Kirchheim.
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A VENDRE une
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MACHINE A VAPEUR,
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VllilCi: DE DEUX UIKVUX, activant une pompe aspirunle et foulante à double effet, qui fait monter l'eau à une hau- teur de 80 ù DO mètres. S'adresser aux héritiers GALLES de Wey- merakirch lez Luxembourg. (1145)
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JpCyT* Hantlungen mit Hausstandssachen so mit größer« Geschänoleule wollen fis wege» cines Ärti» lels, bei Dem IOO''IO verdient werden, franco Btfltn franco an (£. 3ii«ytel in Diesben, or. Kirch,,. 6, roenfen (1147)
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En vente à la librairie catholique de Pierre BIIUCK : ULRICH. Trésor spirituel ou indulgences aila- cliées aux scapulaires et autres objets de piété, recueillies et mises en ordre d'après des documents authentiques. Prix fr. 110 ORTS. La guerre des paysans. 1798—1799. Episode de l'histoire belge. 6 25
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AVIS
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aux CONFISEURS, PHARMACIENS ET'VÉTÉRIXAIRES. A vendre: 100 Kilos de miel vierge ù 10 sous in livre
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100 Kilos île second îuicl !> 12 aoux lv livre
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25 kilos de miel Inférieur û 10 sous la livre. S'adresser à M. BUCK de Bclvaux, fEsch sur l'Aizetle.) (.HOU)
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I.BSIE ._ CORS. (SPÉCIFIQUE UNIQUE.) Les cors aux pieds, toujours fort incommodes, sont quelquefois très-douloureux; et ce n'est point saus danger qu'on s'en débarrasse mo- mentanément vu moyen du rasoir. Combien de fuis n'u-i-on pas vu la gangrène sénile déterminée par l'usage de cet instrument, faire périr en peu de jours le maladroit qui z'«n était servi. La Unie à cors, pierre artificielle composée pur un habile chimiste, prévient tout danger. Mouillez le cor ainsi que lu lime, et frottez légèrenimi zoll du plat, soit de I:> tranche; le cor se trouvera réduit en bouillie, et vous en serez débarrassé pour longtemps. Traitez de même les durillons, si doulou- reux ù la plante des pieds, et les ongles des orteils. A Luxembourg, au bureau du journal. Prix : iS Sous. |i^—s» In einem __(>tcrnacb.cr Modearschalt wer» t'en zwei ,>,>> adche» in tic Qtfudjt. — Wo ? faftt tic Elpcruio.',. (1141)
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Freiwillige Persteigerung.
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p; n|ip:iut bcs i.uuiii(l. JUljinâunts von llüiuür.
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Pub. 19 Page 4
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teuere Erfolge empfehlen diese Anstalt. Tank ihrem erfolgreichen Unterricht, Rrpeti- lteno=Untmid}t genannt, haben alle vom »J'en» fionat vorglstellten Schüler mit vollem Eifolg das Eramen »ls graduirtc Schüicr bestanden. Tas Athenäum hat acht Ernennungen im ©eneral-CJoncurfe erhallen, Erfolg der dasselbe zum elften Rang der Athenäums des König- reichs erhoben hat. — freie: 410 Franken, das Min rual nut einbegriffen.
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Am Freiiag den 4. September d. 1., Nachmittags 2 Uhr. tagt der Restaurateur Jtnaclu'l wegen 'Ausgabe der bieder im Bahn- hofogcbäude zu Tncr betriebenen Restauration nachgenannte eine und ii olulu-n indem <£aale des RlstaurateurS Schiller vor der Mo selblücke dahier öffentlich versteigern: I. Seine 1862ft WtxltiwUt 3 Fuder, 1861« VlerleSroifcr 1 Ohm, 1859 er Casclcr 2 Ohm, 1859« Bocküeii-.cr •,', Fuder, 1859 er S3ocff»ctncr 1 V, Ohm, 1858 er Echarzdcrncr 2 halbe guter, 1859 er ÎBaroernfr'pemnbfraer 3'/i Ohm, 1858 er Sßiltiiifler 2 '/ Ohm, 1858 er (ScçatjOefbcrflcr (3«m) '/, Ohm, 1859 er (£oiicntr iott>tn 3 polten, 1862 er 1 Ohm, sodann eine vedculence Quaimtät ÜBetnc tu Flasche» 11. Das siuhere ReNauralisosgebäude am Vat?« Hofe zu i'.itx zum 2lbbiucV, 18 ,)nfi breit un» 32 ijuß Ijh,], bejlc^nc in zwcl großen Zimmern, einer „«cü- He und einer Gchäule O.t Bau btff (beu ist der Art conftrmlt, daß eS leicht absiebïD.tfii und an jeetm anbeten Olle wie» ter aufitefctita^en iccircn kann 111. gjîobilun aller Arl, als: Ocfcn, Ttlohftühle. Tische, un Küfcrwa>,en, »erfa)iebene ©orten Iteie Üäffei une Flaschen u. tgl. 3JD!;-,i'ii.imi!c ('K-^niii.mte können auch bis zum laut cet 2luviiOii va» freier pans getauft wetten. 3'er Weimtaoolljtiber, (l 140) Oa> n 11d er.
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Pensionat de l'Alhenée Royal de Namur.
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De récents succes recommandent celte in- stitution. — Giâce a son fécond enseigne- ment, dit de répétition, tons les éleves pré- sentés par le l'ensiouiiut ont subi avec plein succes l'examen d'éleve gradué. — L'Athéiiee a eu HUIT nominulions au Concours générai,
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ta lu HUM Itiiiiii lia [ M Mir> Uli *.UIICIMII.> lit 1,1,, succes qui l'a élevé nu premier ran« des Alliéaées du royaume. - Prix : 410 s,. mi- ucrval coinpris. (t 15-2)
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iCäST" g.h weisender, der Icin^ie Zeil und au« nciioiitfliO) lvi cm Tuch->,, -«(a)eiJ>a't au nz No 0» , !•,ii ai.iut- ii,;l- {.Quilnncn bcrt.it t)at, >»chl ,nr 1. Oftol>er o I eine »iflif. âitfliciirciise «olic» iljic Aoüssc »>,!> a. C. 48 :.u».o icsiniic Stflin cinftntffii. (1133)
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g^gr" Ein $ïonî»tiOi;VcljiltHiî um gleich einzutreten gesucht bei Konditor (1144) in Luxemburg.
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Monsieur le Rédacteur du Wort,
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Monsieur le Rédacteur du Wort, II faul bien que vous me permettiez de répondie à deux objections de votre honorable correspondaut touchant les augmentations d'impûis. Il persiste ù comprendre la contribution foncière dans les majorations. Je crois, moi, qu'il serait convenable de la tenir en dehors de toute combinaison jusqu'à cc que l'on connaisse le résultat dcs nouvelles évaluations cadastrales gui s'élaborent en cc moment. Le même correspondant pense qu'avec la loi sur l'impôt mobilier, telle qu'elle existe, ou ne peut pas lui faire produire plus que le maximum légal de 160,000 fr., ù moins d'une disposition législative nouvelle qui augmenterait ce chiflre de 10,000 fr. Il me semble qu'il serait plus facile d'effacer de la loi ce maximum de 100,000 fr. tout en maintenant le minimum de 140,000 et en donnant aux conseils des experts-répartiteurs les instructions nécessaires pour que la loi soit appliquée avec intelligence et équité et que celle, application cesse d'éire une formule. La suppression du maximum se justifie aisément, car tout le inoude reconnaîtra qu'il est un non-sens dans une loi d'impôt qui frappe spécialement les capitaux, le comnitrce et l'iudusirie; il semble leur dire: f vous marcherez toujours dans la même ornière, tout progrès vous est interdit,' Quant à la question de savoir comment ou parviendrait à percevoir les 15000 fr. ou toute autre somme sur les assurances, rien de plus simple, me paraît-il. Chacune des compagnies qui fonctionnent dans le pays, y a un directeur, sous-direcleur ou des agents quelconques. Pourquoi ne taxerait-on pas ces personnes pour leurs bénéfices, de la même manière que le sont les chefs de maisons de commerce, de banque, d'industrie? ne peuvent-elles pas être rangées sur la même ligne pour les bénéfices que rapportent les assurances aux compagnies? Je partage du reste l'opinion de votre honorable correspondant, qu'une société d'assurance mutuelle serait très profitable chez Dans ma dernière lettre, j'ai eu l'honneur de vous signaler plusieurs matières suspectibles d'être imposées sans gêner en rien le contribuable. Il en est une cependant que j'ai oubliée, dont l'importance semble minime et dont le produit viendrait immédiatement après celui du labac : je veux parler des allumettes chimiques. Ce nom seul rappelle à l'esprit les sinistres nombreux qui depuis quelques années mettent le Grand-Duché en incendies réglés et portent la désolation et la ruine parmi nos populations. Il faut, à tout prix, restreindre l'emploi de ce dangereux produit qui nous vient exclusivement de l'étranger. Pour arriver à ce résultat je ne vois qu'un moyen : c'est que l'Etat en prenne le monopole comme il l'a fait pour le sel. Les entreposeurs du sel tiendront également les dépôts d'allumettes chimiques sur la vente desquelles ils toucheraient une remise. 11 faut que la boite d'allumettes chimiques, qui se vend iinjourd'hui en détail, 71/.»71/.» centimes, ne puisse j imais être vendue au consommateur moins de 50 centimes. L'économie étant une des grandes vertus de nos ménagères, el'cs ne prodigueront plus et liendroul soigneusement sous clef un objet dont le prix leur paraîtra relativement très élevé. Cependant il ne le sera pas plus que celui du sel que le gouvernement paie de 5 à 6 francs le sac et qu'il vend 26 fr. £0. Voyons comment, en procédant sur ces bases, nous " arriverons à un résultat satisfaisant. On peut évaluer hardiment la consommation des allumettes chimiques dans le Grand- Duché à un million de boites. Dans mon ménage de cultivateur composé de 12 personnes, il m'en faut annuellement 144, soit 12 boites par individu. Au compte nous aurions pour les 2C0,000 habitans du pays, deux millions quatre cent mille boites que je réduis d'emblée ùun million. I En supposant que la boite coûtât au Gouvernement S centimes: ce qui est beaucoup, puisqu'elle se vend en détail 7 Vit cent, nous aurions pour un million de boites 50,000 t Remise aux entreposeurs 2 '/2/2 c par boite, 25,000 » lîénéfice alloué aux détaillants 2212 c. 25,000 « Nous aurons prix de revient 100,000 « Si la boite se vend 30 c, et cela est indispensable* si l'on veut arriver à diminuer le nombre toujours croissant des inceudies, des empoisonnements chez les enfauts et de tant d'autres malheurs, nous aurons pour produit de la vente d'un million de boites 300,000 t En déduisant le prix de revient et les frais de vente, 100,000 t Resterait net 200,000 e Je vous vois d'ici sourire, Monsieur le Rédacteur, et comparer mon calcul à celui de Perette; sans doute que vous vous dites que le jour où une loi en ce sens serait promulguée, la consommation des allumettes chimiques diminuerait de moitié ou des trois quarts, pour être remplacées par l'innocente allumette au soufTre et l'honnête briquet. Eh bien tant mieux ! car c'est le but que je désire vivement atteindre, et dût la recette disparaître entièrement et par conséquent les allumettes chimiques avec elle, je dis encore que la législature qui aurait voté une semblable mesure mériterait les bénédictions dn pays. Veuillez, je vous prie, Monsieur le Rédacteur, agréer la nouvelle assurance de ma considération la plus distinguée. Votre abonné, X ... le 17 août 1863.
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Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht Jg. 1863, n° 164
Luxemburger Wort
N- J64. LUXEMBURGER WORT für Wahrheit und Recht. Abonnemments-Preis pro Quartal: Fr. 8 00 für Luxemburg. „ 4 00 im Großherzogthum Luxemburg. , 5 60 für Belgien und Holland. „ 8 25 für Frankreich und Deutschland. Preis per Nummer: 15 Centime«. Freitag, den 21. August 1863; 16. Jahrgang Insertionsgebühren : 20 Centimes per Zeile. 15 „ für die Abonnenten. SBefteDungen u. Sriefe werben franco erbeten. 6rfd)eint wßdjentltd) fünfmal: Dienftag« Donnerftag«, greitag«, ©amstag« unb ©onntag«.
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17ISSUE
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Eisenbahnzüge zur Sommerzeit. (Seit dem 18. Mai 1863.)
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Eisenbahnzüge zur Sommerzeit. (Seit dem 18. Mai 1863.) :«Ujii|î I I i'inir. i i (tarifer l i . i :t)0- in. ( Pal. t.) i Deutsche Li, ;i ni«. G i i Ri5Itl.U.) Belgisch. ixt, ( I I ;rc . 5>ar. u. SB i >r. Nordlinit. . I ir.U^ »bf.V.Lultmb. Slnf. Renting. — Bllltmb . — îi)icnvlQt — 1)it$. . . — Nanzig. . — Straßbg. — P«n« . . 6„" 6,,- 6,,' 7.» - 8... 10,.- 3.»- 10..- 9.»>» 9?- 9„. 10,». 12°,. 15»' 6.1- 8i0- 42°' 4„- 4.2- B,«- 6<n- 6.«. ss S"" 10„- ?°°' n,.- Abf. Pari« . — Ttiaßb. — Nanzig.. — M,tz.. . — Spions. — Vetlemb — Fentin», 'Anf.ïuremo. 7.»' 9„- 3,,» 4,.- 5„- 6„- 6$i • 7,o- 9oo" 1/ 6.0- 9oo- lO.o- llo.- lli*- 11.»- 8m 10- 3,0« 5„s- 6.7' 7O3- *2l " 7,.- 12ji" 5..- 8»» 9»- 10„,- 10.9- 10,0" Abf. ». ?urt>. abf. 8tttb. . •>lnf. (g a./A. Äbf. (S. a./». ,'!nk. Beitb. . !Äbf. Nettb.. Änf. ©tt. . Abf. Otlanssl Snf. Bettb.. I " 4,» 5». 5,s Ö5S 6" 6.« 7» 9oo 93o 93o" 9iS- 10JO - lO,o - 11..- 4,0* 6JS- 3».' 3,.- 4„s- 4«- Abf. Surfiubg. 'Äbf. Oetiing . — Merteit . Anl. Trier. . . — @aarbr(f. !Sbf. ©aarbrtf. — Trier. . . Mener! . — Detvinfl Ank. Luiewbg. 7 m it 8"' 9«,- 10„ 1*1» 8- 2*1" 9: 3», 10, ,- ""'^ ,- » , d»». n„- 8- i-V 8«. t'„- »2- "04" 9,3" Abf. kuiembg. «bf. ©attting. — Warner . — Eapellen. — Bettingen — Sleipen . Ank. ärlon. . — Nomui . — «üttich. . — Brüssel. . 9»»» 9». 9„- 9..- 9"" 10,0 Iso' 3.»- 3<«- 2.»' 2..- 2"" 2,« 2,»- 3,»- 7 - 9»- 8<.' 7so' 8»,. 8..- 8„- 8« 9«o- 9o- Abf. Brüssel. .! — «üttich. . — 9Jamut . — Arlon . . — Sterpen.. — Nettingen — Lapellen. — Manier. . — Bartring. Ank.Luiemvg. " 1/ 6> o*t- 7«- V„- 7»- 717- 7,0- 6,o" 6oo - 8,s- 12.«- 12,„ '■ 12„- 12„- 1232- 12,o- 12so- 123o" 12- 2l0- 6- 6.1- 6 r"' ?"' 'oo- Abf. kurembss. — Walfeib.. — Melsch. . — (StWbrüd Ank.Dielirch. Abs.Diekirch . «nf.(Sttelbrüd — Mersch. . «bf.Walferd.. Ank. Lurembg. 8«»» 9"' 10,» 10o L,»°> d.«. 6,. 6,9- 7.»- 2.0- 23.- 2s,- 8io - 8„- 10».« lloi- 11«- 12,»' 12« - 8^ «"' 9"' 9" 0«- 6,0* 7« 4»"- " ft II 6..°. 8"' Q « '' A Nach Paris L. nur i am 9j, i ,- u. i V I I Von «Pari« 1 i .. nur I am 9 I ! »„• U. I V .îrûrf na^ bei t Suren I unb biejenige 'I I I SDlinuten »or. I m I bebet I I iltt ! I I MorflMt» unb * I Raö jinitta 1 I B« UN! I I S «benb». Die Nhln ach b ■tut P« irifer SWeribiai n ist um 2i S Tim Hilf 11 l I ' »on S 'üIii um 6 «0 iburg
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Uebersicht
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Uebersicht «m 17. August hat zu Frankfurt der Kaiser »on Oesterreich zu den deutschen Fürsten ge> sprechen, im selben Saale, in welchem die Vorfahren des Kaisers, die deutschen Kaiser, »on den deutschen Fürsten auf den Kaiscrthron gewählt und geführt wurden und fie ihm ihre Huldigung darbrachten. Franz Joseph ist zwar nicht nach Frankfurt gegangen, um ai« Kaiser Deutschlands sich wählen und huldigen zu lassen, aber sein Erscheinen in der deutschen 23un= desstadt ist nicht Weniger glorreich für das Haus Habeburg, nicht weniger segensreich für Deutschland at« zur Zeit, wo der üsterr. Kaiser als deutscher Kaiser die Fürsten um sich versammelte und mit ihnen die Interessen des Reiches beriet^, Fürsten und Volk ehren den Kaifer als den politischen Reformator Deutsch' lands, der Tag in Frankfurt Wirb für Oesterrcich und dessen Kaiserhaus sich dem Tage ter Leipziger Schlacht würdig anreihen. Wie in der e chlacht bei Leipzig der freinte Eroberer Deutschlands durch Ocsterrcich fiel, so ist eS auch jetzt Wieber Oesterreich, das Deutsch» lands Schwäche am stärksten fühlt und das Deutschland aus feiner Zwietracht, aus feiner Machtlosigkeit erheben will, um ihm seine 23cbeutung, seine Macht und feine Stellung wiebeizugeben, die es Jahrhunderte hindurch in Europa hatte. Hat Franz Joseph nicht als deutscher Kaiser gesprochen, so hater aber als Kaiser Deutschlands gehandelt, und selbst die erbittersten Feinde des alten Oester»eichs können dem Kaiser diesen Ruhm, diese That nicht streitig machen. Ter Kaiser sprach lange; seine Rede ist bereit« in den Frankfurter Blättern mitgeteilt. Eme Versammlung »on Fürsten der deutschen Nation, sprach er, die über das Wohl be« Vaterlandes beräth, ist ein Ereigniß, das fiel) feit Jahrhunderten nicht mehr zugetragen hat. Möge, mit dem Segen der Vorsehung, unsere Zusammenkunft die Quelle einer an Wohlthaten reichen Zukunft sein ! Im Vertrauen auf die hochherzige Gesinnung der Bundesfürsten, auf den Geist de« deutschen Volles, durchdrungen »on Gefühlen der Redlichkeit und be« lehrt durch Erfahrung, habe ich den Wunsch gehabt, die Nundeereform und die Wiederge« durt des gemeinsamen Vaterlandes zu besch eu« nigen. Suchen wir, un« schleunig über die Einzelheiten in Anbetracht der und rechenbaren Wichtigkeit be« Ganzen zu verständigen! galten wir in Allem den Platz offen, der dem mächtigen Preußen gehört Hoffen wir, daß mit dem beistände Gottes da« Beispiel unfe» m Eintracht einen segensreichen Einfluß auf alle deutschen Herze» au«übenwirb; ich werbe die persönliche Befriedigung haben, immer in einer so kritischen Zeit, die Befestigung der nationalen Bande im Auge gehabt zu haben und gleichzeitig so viel wie möglich den deut fdjen und zu erheben, für den wir cine tompalte Macht bilden. Im Laufe der Rede setzte der Kaiser fol genre Reformvorfchläge auseinander: Die cxc futi»e Macht te« deutschen Bundes Wirb einem Direktorium anvertraut, zu dem Oestcneich, Çreufjen unb Skiern Je ein sD<ftglieb, bie üb' rigen beutfdjen «Staaten jufammen jroei 2Jcitglieber ernennen. Defterretd) f)at ben 33erft$ in tiefem X>ireïtorium. Dem Direftorium Wirb ein 33unbe«ratb, beigegeben, ebenfalls unter bem 23orft$e Defterreid)«. ÜU« gefefcgebenber Bttrper be« bcutfdjen ffiunbe« tritt cine 23cr= fammJung »on 300 Deputirtcn ein, Wo&on jtrei Drittel son ben beutfdjen jweiten tantmern, ba« anbere Drittel »on ben bcutfcben erßen Kammern ge»r»ä^lt werben. £icfe 33un« bcêfammer wirb für bret 3a§re geWäljlt ; fie beftimmt ba« i unbeôbutgtt, fltbt bie ®runb fä^e an, Wonadj in ben bcutfd)en Sunbeé* fîaatcn Die @e)csgcbung über greffe, 53erc;nêred)t, Domicil, 9îed)tà)priid)e, 'Uêwanberung te. ftd) ju rtdjten batte. Die einfache 3)îeb.rb.cit genügt für bie 33efd)tüffe be« Direftorium«, be« 23uncc«ratlje« unb ber gefcçgebenben 33er* fammlung. 9lafy ber Sejfion ber ïe^tern »er= famnulcn ftd) alle gürfien, um bie 33efd)lüffe ber 23erfammtung ju prüfen. Slußerbem Wùb ein oberfle« 'i'unbeêgericb.t eingeführt. Die Depefdjen au« granffurt berichten, bie oîebe beê Äaifer« unb feine 3fiefonnttorfd)läge Ratten feb.r befriebigt. SBir jweiflcn baran nidjt. Defterreid) l)at burd) feine Reformen biegrage gelüft, bie Weber nod) bie granffur« ter Sßerfarcmlung »on 1848 nod) ter National' »erein ju löfen Wußten ; bie beantragten 9îe* formen fd)einen un« prafrifd) ju fein unb fo« Woljl bie oted)te ber gilrfien ju Waljrcn aî« aud) ber politifdjen 3citric^tutiö b,inreicb,enbe 9îed)nung ju tragen. • SBir Wunbern uns nid)t über bie eble Spradje, bie ber ftatfer in Setreff geführt Ijat; ba« ift man in Deutfd)lonb »en Seiten Defterreidj« gewohnt, üßäre §sreufjen an ©telle Defierreid)« gewefen, Wer weig, ob Defterreid) bie 2?erücfftd)tigung gefunben b,ätte, bie §)reu« fjen in ber 3îebe be« ffaifer« gefunben ïjat. 2Ber erinnert ftd) nidjt ber Antwort 9>reujjeu« »om Saljre 1848, Welche eô ber granffurter »Deputation gab, bie ttjm bie Saiferfrone Deutfdtfanb« antrug? 2Kit eblem Selbftgefüb,le wiü jeçt Defterreid) "JJreufjen nid)t au« bem beutfdjen s?unbe b,erau«crängen, e« b,ält if)m ben *pia|} offen, ber ber jwetten 2Jîad)t in Deutjcbjanb gebührt, gewifj ein SBcWei«, bag Defterreid) feine ®efab,r für Dcutfcbjanb mit fieb, bringt unb bag eé fein bcutfd)e« Söunbe«-lanb feiner Unabb,ängigfeit berauben Will. 2>ie ©teßung, bie jeßt einnimmt, tftebenfall« auf bem gürftentongrefj jur £)>radje gefommen. Ginerfeit« Will man Wiffen, e« fei befdjloffen worben, cine Deputation öon Surften an ben Jtönig »on $reu§en jn fenben, um ifm einjulaben, nad) granffurt ju fommen, anbererfeit« foU nur ba« ber Bon grc§(isüngen offen für bie BufHmmung freuten« gehalten Werben. sJ?ad) ber 3nb. 33. Wärt nur ba« Seigere ber gall unb cine Deputation ginge ntdjt jum ÄiSnige; ba« Ware aud) ba« 9îid)tige, benn aie bcutfcljer ©unbeefürft ber Äünig »on ?)reu§cn nid)t me^r 9îed)te aie rer i^ürft »on SBalcecf. $rcu§en tft wieterb,olt nad) granffurt eingclaben Worten. man tb,cilt iljm aDe a3er^anclungcn be« Songreffc« mit, cine Deputation Wäre bod) ju »iel ©crücfjtd)' tigung. ' Stuf ber tarifer SBbrfe ging ba« ®erüd)t, ber Äisnig »on 9)reufjen wolle abbanfen unb s)reufjen au« bern S3unbe austreten. Seinen ©eburtôtag, ben 18. Slug., feierte ber Äaifer öon Defterreid) in Darmftabr. 3Bäbrenb ber Slbwefcntjeit be« Äatfer« beriefen bie gürflen in granffurt über Defterreid)« Reform« ïorfd)lage. SWan glaubt, ber Äaifer Werbe 8 Sage in granffurt »erweilen. Slufjer ben bcutfd)en 33unbc«fürjkn Ijaben ftd) mehrere öfterr. unb englifdje Staatsmänner in granffurt eingefunben, bie ftd) lange 3eit mit bern ffaifer unterhielten; man glaubt, bag bie europäischen gragen befprodjen wur» ben. Die polnische Frage »erläuft sich im Santé. Nußland beeilt sich nicht, auf die letzten Noten der drei Eabinete zu antworten. Unterdeß ruftet Rnßlaud sich zum Kriege zu Land und zur Sec.
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Neuesie Nachrichten.
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Neuesie Nachrichten. Im Auftrage des Frankfurter Fürstenkon« greffes ist der König von Sachsen zum Röntge, von Prcußcu, der jetzt in Vaben'Baben ist, gereift, um ihn zur Teilnahme am Songreg zu bewegen. Beider feierlichen Prcisevertheilung des Kgl.-Grcßherzogl. Progymnastums zu Diekirch hielt der Hr. T-ircclor der Anstatt folgende Anrede: Hochgeehrteste Versammlung ! Wenn ich auf die Zustände unserer Anstalt während des Schuljahres, das wir jetzt be, schließen, zurückschalle, so wird mein Herz durch manche süße Erinnerungen erfreut. Die Schülerjobl bat die der vorigen Jahre übertroffen, Hundert ein und dreißig Knaben und Jung« linge aus dem Großherzogthum und den be« nachbarten Ländern haben bei uns Unterricht und Erziehung genoffen; im Allgemeinen waren ihr Betragen und ihr Fleiß lobcnswerth und die Resultate ihrer Studien befriedigend. Kein Unglück ist zu beweinen; Lehrer und Zöglinge sind von Krankheiten verschont geblieben. Die Eltern werben die Kinder, welche fie unserer Leitung und Fürsorge anvertraut haben, nicht blos frisch und gesund, sondern auch gebildeter und wohlerzogener im Kreise ihrer Familie wiedersehen, und wir Lehrer dürfen diese Herbstferien hindurch von der schweren Arbeit ausruhen in dem erhebenden Bewußtsein, mit ungestörter Berufsfreudigleit und nicht ohne guten Erfolg auf dem Gebiete der lugenderziehung gewirkt zu haben. Betrachte ich auf der andern Seite das herrliche Loos. welches die neuesten Zeilver» Haltnisse unfenn Progymnasium zu versprechen scheine ■■', so bieten fia; für sein gedeihliches Fortbestehen die deruhigentften Aussichten dar. Im voufe dieses Schuljahre« fanden zwei Ereignisse stall, die nicht nur für die mateiieden I»«ereffen Dl.k'lchS und der Umgegend von der höchste» Wichtigkeit sind, sondern auch notbteenbig auf die größere E»twicklung unserer Anstalt selbst einen unverkennbaren Ei»« stuß haben werden. Durch die Ausdehnung des Eisenbahnnetzes bis nach Diekirch ist unsere Localität mit dem großen Welthandel in un« mittelbaren Verkehr gebracht und die Eisenbahnlinie, die man zugleich die Obersalier hinauf in Angriff genommen hat und deren Riesenbau, trotz der außerordentlichen Natur« schwierigfliten, mit dem gewünschte» Erfolge fortschreitet, wird in den ersten Jahren becn« bigt sein und die projeelirte höchst wichtige Linie ergänzen, welche die Nordsee mit dem abriatifdjen Meer in die direllefte Verbindung bringen soll. Zahlreiche fremde werden unser freundliches Städtchen besuchen und liebgewinnen, das ne« faute Cllina desselben fennen lernen und manche von ihnen sich entschließen, uns «hie Söhne zu überschicken, wenn das sj)rog»mua|Tum zweckmäßig eingerichtet ist und die Leistungen des Lehrerpersonals befriedigen; wenn fie fia) überzeugen, daß bei uns die Zöglinge jährlich eine Classe ihrer einheimischen Anstalten abmachen und zugleich die drei wichtigsten Sprachen Europas erlernen können. Hiezu kommt ferner, daß die vermehrte Bevblkcrung des Großherzogthums, das rege Geschäftsleben und der zunehmende Reichthum neue und größere Bedürfnisse für die wissen» schaftliche Bildung unserer Jugend fühlbar machen. Die Beförderung der schönen Künste, in de» ren Interesse bisher fast gar Nichts getban würbe und getban werden konnte, wird ebenfalls eine natürliche Folge des gesteigerten Wohlstandes und geistigen Lebens sein. Die Poesie wird die Urheber unfrer gesegneten Vei» bältniffe, die um König und Vaterland ver» bienten Männer, in ihren begeisterten Gesängen verherrlichen; die Bildhauerei wird den Mar» mor und die Malerei die Leinwand mit den Bildnissen derselben beleben und die glorrrül» digen Ereignisse unserer Geschichte der Nach» well überliefern. Statuen und Ehrendenkmäler werben, als Beweise unserer Bewunderung und Dankbarkeit, die schönsten unserer öffentlichen Plätze zieren. Wilhelm I, als Gründer unserer politischen Selbstständigkeit und deS Schulwesens, Wilhelm 11, al(s Schöpfer unferer freisinnigen Verfassung, und Wilhelm 111, als Vermehrer unseres Staatoledens und der allgemeinen Wohlfahrt, sind gewiß vor Allen solcher Ehre würdig und werden den ersten Rang einnehmen. Besonders wünsche und hoffe ich, daß auf unfenn Wiihelmsplaye das Bildnig Wilhelms 11, unvergeßlichen Andenkens, prangen, und goldene Buchstaben den treimaligen Besuch, womit dieser erhabene, innigstge» lieble Monarch unsere Stadt beehrt und de« glückt hat, bezeichnen werden. O Du huldreichster aller Fürsten! ewig werbe ich mit der banfoatften Rührung Deiner und der Worte gedenken, die Du zu mir feracbeft, als ich die ausgezeichnete Ehre halte. Deiner Majestät eine Bittschrift von Seite unterer Gemeindeverwaltung zu überreichen : „Ich werde", sciglest Fu mit der bolbfelt'gßen Herablassung, „das Gesuch der Stadt Diekirck gewissenhaft prüfen unb nickt ermangeln, tntifelben \\i will« fabren, sobal? Ich eS gerecht und billig finde. Grüßen ©te Mir die guten Duftccbfr und fngen Sie ihnen, daß Ich den nächsten Sommer fie besuchen werde." Nie werbe ich vergessen, wie der ritterliche Monarch treulich Wort hielt; wie er noch denselben Tag durch Königlich-Grohherzoglichen Beschluß unsere Mittelschule zu einem Staatsprogymnasium erhob, und wie er beim ersten Besuche, den Er nach einigen Monaten Die« lirch -abstattete, Sich so vätlrlich nach dem Gedeihen unserer Anstalt erkundigte, die Schüler »or Sich kommen ließ, sie mit der huldreichsten Leutseligkeit anredete, Seine Freude und Zufriedenheit mit ihnen bezeugte. Tir, verewigter Gründer und Gönner unseres Progymnasiums, Der Du in diesem Augenblicke l'on der Lichthöhe einer bessern Welt auf unser heutiges lugendfeft mit liebevollem Blicke herabschaueft, Dir ist schon über 20 Jahre ein Denkmal wärmster Dankbarkeit in meinem und aller biedern Liiremburger Herzen «llichtct! Wenn nun- für das Königliche Haus Oram'en-Nassau, seitdem die göttliche Fiirschung unser Land unter dessen milben und segensrei» chen Zepter gebracht hat, nicht nur unsere ps< litischen, sondern auch unsere großen socialen Interessen beständig der Gegenstand höchster Sorgfalt gewesen sind; wenn unter den er habenen Auspicien Seiner Majestät, unseres Königs-Großherzogs, und ©einer Königlichen Hoheit, unseres vielgeliebten Prinzen-Statthallers, nnfere Industrie, der Handel und der Ackerbau sich zu einer solchen Höhe cmporge« schwüngen haben, daß fie die allgemeine Bewunderung der benachbarten ©tauten und die Gefühle einer ewigen Dankbarkeit in den Her» gen aller Luremburger erregen : so rufen »lese unermeßlichen Wohlthatcn, durch das schöpfetische ©ente unfeter erlauchten Lantesväter von einem Ende des Großherzogthums bis zum andern »erbreitet, für den Unterrieb, welcher sich auf der Höhe dieser glorreichen Vpoche blhai pten muß, eint den neuen Bedürfnissen angemessene Einrichtung und Fürsorge hervor. Ohne eine entsprechende Volksbildung würden alle diese Quellen , die zur Vermehrung unseres Wohlstandes, unseres irdischen Glückes eröffnet worden sind, bald versiegen; winden alle diese Wohlthaten gleichsam eine köstliche Speise vor dem Munde eines gefühllosen Leichnams, ein vergeblicher Regen auf unfruchtbarem Sandboden sein. 1,, Hochgeehrteste Versammlung, der Ncichihum, die Macht und bad Glück eines Volkes, bad ist seine wissenschaftliche Bildung, feine Civilisation. Die mate rieüe Welt fammt allen ihren Wundern wäre Nichts ohne den belebenden Glanz der tnteQer. luellen und moralischen Welt. Unser grohmülhiger Landesvaler, welcher ebenso einsichtsvoll als nachdrücklich die Intereffen feiner «heuern Luremburger zu fördern weiß, ha» also bad vollkommenste Recht, uns Lehrern und allen in feinem Großhcrzogthum mit der öffentlichen Erziehung beauftragten Männern zuzurufen: „Ertheilet der euch an. vertrauten Jugend einen grünblichen, den ma])' ren Zeilbedülfnissen entsprechenden Unterriebt, wofern ihr wollet, daß fie einst der heilsamen Institutionen, womit Ich das Volk beschenkt habe, windig sei; wofern ihr wollet, daß bad Vaterland die glückliche Zukunft, die Ich ihm bereitet habe, erreiche und genieße." O, ich betbeure in dieser feierlichen Stunde, baß wir, meine ehrenwerthen Amtsgenossen wie ich, die hohe Aufgabe, die wir bei den gegenwärtigen Verhältnissen zu lösen haben, durchaus begreifen und beherzigen; daß wir eS stets als unsere heiligste Pflicht ansehen werden, den gerechten Wünschen und Förderungen der Krone und der Landesverwaltung gewissenhaft nachzukommen. Wir sind fest »on der wichtigen Wahrheit überzeugt, daß das Untrrrtcbldwe|en den jedesmaligen Zeilumstä,,. den Rechnung tragen, eine mit den vorhandenen Bedürfnissen in Harmonie stehende Einriebtung erhallen muß. Von dieser Wahrheit durchdrungen, von diesem Geiste beseel«, haben wir bereits, im laufenden Jahre, mit unfern jetzigen Lehrkräften die Surfe der Mathemalit und der neuetn Sprachen für die Gewcrbschüler n-escntlich erweitert, und sind wir noch jüngst bei einer ©rcellenj, dem Herrn ©taatdminiiler und Regierungspräsidenten um die Anstellung eines speciellcn Lehrers für die Calligraphie, das Zeichnen unb die Buchhaltung eingekommen. Unser Gesuch ist höhern Ortes günstig aufgenommen worden, unb ich schmeichele mir mit der freudigen Hoffnung, daß im nächsten Jahre die Regierung über hinreichende Mittel verfügen kann, um die noch bestehende Lücke auszufüllen. In Velreff der englischen Sprache, deren Wichtigkeit sich wegen des lebhaften Verkeh» rcö mit England und Nordamerika »on Tag zu Tag fühlbarer macht, und die d>iher in jeder ordenilichen Gerrerbschule gelehrt »erben feilte, bebauern wir zwar, daß dieselbe bis jetzt noch unter den gesetzlichen Lehrzweigen vermißt wird; indessen sind ntr dcch in den Stand gesetzt, den Zöglingen, die Solches wünschen, eine gute Gelegenheit zur Erlernung dieser Sprache darzubieten. Der Hornist erster Classe tes hiesigen lägcrbalaillons, Hr. Thcwes, welcher G Jahre hindurch in London und andern € tobten Englands zugebracht hat und nicht nur (ine richtige Ausspräche, sondern auch eine wissenschaftliche Kcnntniß des Englischen besitzt, hat die Gefälligkeit, für ein sehr geringes Honorar den schillern des ProgymnasiumS Privatleklionen barin zu erteilen. Ich zweifle nicht, daß bei der nächsten Revision des Mittlern Schulwesens die englische Sprache als regelmäßiger Lehrgegenstanb in den Unlerrichloplan aufge« nommui und einem befähigten Manne übe?» tragen wird. Bei einer solchen Einrichtung, welche übrigens die bermaligen Verhältnisse unseres Lan« deS erheischen und die wir mit Zuversicht er« warten., wild die industrielle Section des Diefiterer Progymnasiums im Stande (ein, die neuen, gcsteigtltcn Aebüifnissc des nördlichen Thciles unseres Großherzoglhums hinreichend zu beliebigen und unsere Anstalt »rird, «renn fie sich, wie bisher, eines tüchtigen, pflichtgctteucn Lchierpersonalö erfreut, eine herrliche Pstanzschule zu den höher» wissenschaftlichen Studien sein, die zugleich über den 4>erivalluiigotnfhifi, in dessen Interesse fie zunächst zu wirken berufen ist, die wohllhuenrcn ©trab.» Un zellgemäßer populärer Bildung wie ein Heller Llchlhcerd nach allen Seiten »erbreiten wird. Tie lernbegierige Irgend wird, gleichsam unter den ?lugen der Eltern u»d mit ge» ringen Opfern eine wahrhaft nationale Erziehung erhallen können, eine Erziehung die fie zum Gcschaftsleben tüchtig macht unD zugleich »hrcn Charakter bildet; die ihr die sich« eisten Mittel verschafft, ihr künftige» Glück zu begründe» und sich der Well als wackere und nützliche Menschen zu erweisen. Aber wir Lehrer werden uns nebstdem auch eifrigst bestreben, den Schülern echt patrio tische Gesinnungen einzuflößen; wir werden sie beständig ermahnen, dem Vaterland?, das so großartige Opfer für ihre Erziehung baibringt, und der erlauchtesten Dynastie der Dranien-3îaff<iu, unter deren Auspkcien unfern, «heuern Grohherzo^thum fein Glück zu mangeln scheint, in Wort und That, in Gesinnung und Handlungsweise eine aufrichtige Huldigung zu bezeugen. Wir werden unaufhöilich der uns an»ertrauten Jugend die Worte zurufen: „Ninder, lebet und arbeitet für die Ehre und das Heil bec? gesegneten Luremburgcr Landes ; widmet stets eure Tankbarfeit, eure Treue und Ergebenheit ©einer Majestät, dem Stü nig-Großherz og, sowie ©einer Königlichen Hoheit, dem Prinzen- tbalter, und stehet täglich zu Gott, dem Urheber alles Gute», daß Er in unfenn großmächtigen die erhabenen 9îegententugenben dieser ausgezeichneten Landesväter von Geschlecht zu Geschlecht fortpflanzen und Allcrhöchstdaoselbe vermehren nnb beglücken mögen für Zeit und Ewigkeit." So will ich beim schließen mit dem Wahlspruche: „Für Gott, König und Vaterland", und mit den besten Wünschen und Hoffnungen für daS fortwährende Gedeihen unseres Itcben Progumnassums, dem ich brei und dreißig Jahre hindurch meine Kräfte und Sorgfalt gewidmet habe, und an dem ich nun bald meinen Wirkungskreis beschließen werde. Bekanntlich ist viel die Rede von Eisenerz» lagern, die sich in der Umgegend von Weiswampach, Vesslingen :c. bis auf belgisches und preußisches Gebiet hinüber finden solle». Die Nachricht von diesem Funde bat bereits viele Fremde und Einheimische in jene nördlichen Gegenden unseres Landes gezogen, die sich »on der Wahrheit der Nnchliche selbst überzeugen wollen und mehrere Unterfticbungen sind on Ott und stelle gemacht wölben. Wir haben au« dem Munde »ou Fachfenncrn vernommen, baß allerdings sich Spuren von Eisenerz voilinden, die die Hoffnung auf Eisenerzlager gebe«, daß es aber iicibivcrcig ist, die Untcr|ucj|ungen nicht nur auf etwa 2 Me» ter Tieft zu beschränk», sondern baß man gut tout, bis 10 und 15 Meter in den Boden einzudringen. Die Zukunft unseres OeslingS ist viel zu wichtig, als daß man nicht Alles versuchen sollte, um den Reichthum, den jener Thcil unseres Landes entbalten kann und wahrscheinlieb, enthält, durch alle nur möglichen Mittel hervorzuheben. Enlh.ilt unser Oesling Erzlager, die der Ausbeutung lohnen, so wird sich eine gewiß ungeahnte Zukunft nicht nur für das Oesling, sondern für das ganze Land crfchließen. -,
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Inland.
Luxemburger Wort
Inland. Könial-Vroßli Beschluß vont il. Augnst 1863, durch welchen Hr. Adame«, Bischof von Halitarnassu« i. p. iuf., in semer El» aenschaft als apostolischer Vikar im Groß« herzogthum Luxemburg anerkannt wird. Wir Wilhelm 111, von Gottes Gnaden König der Niederlande. Prinz »on Oranien» Nassau, Großherzog »on Luremburg, ic., je.,«.; Nach Einsicht der Depesche Unseres Mini« fter-Nesidenten beim römischen Hof vom 18. März 1863, welche meldet, daß Hr. Nikolaus Adames, Provikar des apostolischen Vicariats L'uremburg, im geheimen Consistorium vom 16. des nämlichen Nonats zur Würbe cine« Vi« schofs »on Halilarnassus in partibus infideliura erhoben worden ist; Nach Einsicht des am 27. März 1863 erlasscnen apostolischen Vreves, durch welches Se. Heiligkeit Pius IX. den Herrn Adamcs zum apostolischen Vikar des Großhcrzogthums Luxemburg ernannt bat; s>cacb Einsicht der Königl.'Großherzoglichen Beschlüsse vom 13. Juli 1840 und 28. August 1848; Auf den Bericht Unseres ©faaldminifierd, Präsidenten der Regierung, und nach Einsicht der jenem Berichte beigefügten @onfeild-33era» «hung der Regierung; Haben beschlossen und beschließen: Art. 1. £err 9?ifofaud Slbamed, ©ifcbof »on ïiatifarnaffud in parlibus infidelium, ift burd) Une in feiner <£igcnfcb,aft ald apofïoltft^er Sicar bed @io&b.er}ogtbutnö£uremburganetfannt. «rt. 2. Unser Staatsminister, Präsident der Regie« rung, ist mit der Vollziehung dieses Veschlus« seS beauftragt. — Durch Köni.ql.-Troßb. 33ffc&fu§ ist die Erweiterung der Dreifalllgfüitegassc zu Luxemburg fur Sache öffentlichen Nutzens clklärt. Demzufolge wirb die (Enteignung des zu de« |aa,fer Erweiterung erforderlichen, mit ebàullchktiten besetzten Prival-Eigenlhumes gem.-§ den Bestimmungen des Gesetze« vom 17. December 1859 über die Enttignung zum öffentlichen Nutzen stallsinden. Tie Eröffnung der Jagd im Grohhcrzogthum îuremburg ist festgesetzt auf Donnerstag, den 27. des laufenden Monats August. Bekanntmachung. - Znsammensetzung der Viif»iio*«i)o für 1863-1864. Durer; $önigl.-®rogb. 33efcb.luß vom 8. Sluguft finb ernannt: 1° 3u SOiitglicbern cer 3)rüfunge^3uröö für bie Verleitung ber ©rabe wä{)rfnb 18G3 —1864 : ai 9ied)töwiffenfd)aft. Die $$. Würth-Paquet, Obergerichs Präsident; Keucker, Obergerichlsrath ; Ufveling, Rcgierungsrath ; Bourg, Unterfucb,ungö» lichter am Bezirksgericht zu l'uremburg. E. Simons, Advokat-Anwalt zu Luremburg. t>) eb ici n. Die |)Ç). 3lffb.mann, Doctor ber Wibictn, (sb;irurgie unb @eburtd(>i!fe ju Curcmburg ; ©loner, ib. ju furemburg; ©eoler, ib. ju 2öils; Ceonarb, ib. ju ; iDourg= graff, ib. ju l'uremburg. c) unb Siterot ur. Die ££. Engling, Professor der Philoso» phie am Aihenäum; Peters, Professor am Seminar; Neumann, Censor und Professor am Athenäum; Namür, Prof. am Athenäum; Schaack, ib. d) Phisikalische und mathematische SB i ff e n f d; a f t e n. Die HH Bobson, Professor am Athenäum; MoriS, ib.; Mersch, Ingenieur der Bauverwaltung zu Luremburg ; Müllenborff , doctor der Wissenschaften 511 Echternach, und Salcnlinv, Xoctor der Wissenschaften zu Luxemburg. e) 9îaturwiffenfcr;aft en Die Jpi>. be Solnet b'^uart, am Sltbenciiim ; Sîcuter, ib. ; siJticb,aelid, ib. ; S3i« vort, Doctor ber sP?eticin je. ju Rollend;; 9îieierforn, ib. ju Suremburg. 2° 3" frelloertretenben ifiitgliebern ber nämlichen 3urpö: a) 9îecr)tdwiffenfd)aft. Die HH. Th'lges, Obergerichtsrath zu ?u< lernburg; Neumann, General-Advokat zu i'u= remburg; K. Simonis, Adookat-Anwalt zu Luremburg. l,) »Webte in. Die £.Ç>. STÎeuter, Doctor ber Webicin, Cbirurg unb ©eburtdbtlfer ju i'urcmburg; iötefer, ib. ju @a)ternad; ; ©läfener, ib. ju Diefird;. «0 ffy itof op()ie unb IM ter atu r. Die £>£. Schotter, Prof. am Athenäum; Weber, Prof. am Seminar, und ©tronef, Prof. am Athenäum. cl) Physikalische und mathematische Wissenschaften. Die HH. Mcrsch-Fabcr, Mitglied des Slaatsralhes zu Luremburg; Michaelis, Professor am Athenäum; Martha, id. «>) Naturwissenschaft n. Die £>£>. de ÏBacctuant, Ddclor der Medicin ,c. zu Fötz; Moris, Prof. am Alhe< näum. Wies, id. Die Prüfungs-lury für Rechtswissenschaft wird sich am näcbftfünfttgen 22. September, um drei Uhr Nachmittags, im Ncg'crungsgedäude versammeln, um installirt zu werben und Mitteilungen von den Schriftstücken zu erhallen, welche von denjenigen Bewerbern eingegeben sind, die ihre Prüfung während der an demselben Tage beginnenden citentlichen Session bestehen wollen. Die Prüfungs'lurps für Mcdicin, für Phi« losephie und Literatur, für physikalische und mathematische Wissenschaften werben zu gleichen Zwecken am nächstkünftigen 1. October, um drei Uhr Nachmittags, im Regierungsgebäude zusammentreten. Vor dem 22. September künftig muffen die Bewerber in der Rechtswissenschaft, und vor dem 1. Octobcr künftig diejenigen in den anbern Prüfungszweigen sich in den 23üreaur des Teparlemenls der Justiz ctnicbrcilen lassen u»d fccin Chef dieser Vüreaur einhändigen : 1* Die Quittung Ceö 2lcctfen--Sinncb.merö ju [Curemburg über (Snttidjtung ber burd) 2lrt. 33 brö ©efe&cö vom 23. 3uli 1848 feftgefeUten ©ebübren; 2° Die 3cugniffe unb Diplome, weldje befta'tigfn, bag bie Bewerber bie gefeçlia; rrfoibetten voiläufigen Prüfungen beftanfcen baben ; 3' Die Stubicnjeugniffc über bic burd; Slrt. 3 beé vorerwäbnien Stc^lementö unb bureb älrt. 2 beö ftöntgl. («roßt;. 23efd?luffcd vom 20. 9iop. 1857 beftimmten ©eaenftänbe. — Durch Kiwigl.-Großh. Beschluß vom 5. August c. sind die Einnehmer ter Cteuerämtcr zu Vetternburg, Daheim, Esch a. d. Sauer und Hosingen, sowie ler Post'Perceptor zu Weiawamftach ermächtig! worden, Ncchnungs- Geschäfte für die Spareasse vorzunehmen. Ihre Befugnisse sind die im Art. 18 des König!.- Großh. Beschlusses loin H. Mai 1860 svecificirtcn. Der nämliche Beschluß bezeichnet den Hrn. Post Perceptor MallinZer zu Tiekirch, um als Nechuungsbeamte bei dem Nebcn-Vüreau der Sparkasse zu Diekirch in Ersetzung des dortigen Einregistrirungs-Einnehmers Hrn. Well, welcher dieses Dienstes enthoben ist, zu fungircn. Ell el br û ck, 18. August. Die diesjährige Preiscoeitheiluna, der hiesigen Oberprimärschule, die achte seit ©rünttin,] der Anstalt, fand reglementSmäßig am verflossenen 15. August Statt, und zwar in gewohnter feierlicher Weise. Der große Saal der Anstalt war zu klein, um Alle zu fassen, die sich für diese g«i-erlid;fcit interessirten. Besonders bemerkten wir diesmal viele Geistliche, Nolabele von Ettelbrück und hochgestellte Fremde. Nach einigen einleitenden Musik- und Gesangssücken verbreitete sich der neuernannte 2>irector, Herr Vicar Schröder, nachdem er die anerkennendsten Worte für den abgegangenen Tircclor jetzt Herr Pfarrer Müller in Niederkorn, ge> sprechen, in einer bündigen Nece über solche Anstalten im Allgemeinen und über die Faktoreu, die zum besten Gedeihen derselben zusammenwirken messen. — Die Schule wurde im veifloffenen Jahre von 50 Zöglingen besucht. Mit den erhielten Resultaten kann auch der serupulöseste Eramina.or zufrieden sein. Tagl<ch bestätigt sich ton Neuem die Ansicht! daß diese Gattung von Schulen die Lücken zwischen Primär- und ®i)mnafialunlerncbt vollkommen auefüllt u»d somit für unser Land und unsere Verhältnisse Alles bietet, was der Geschäftsmann, Handwerker, Landwirty, übe» Haupt derjenige braucht, für den das Studium der Hu> mamiaten »uylcs ist. Für diejenigen, welche sich mehr Kenntnisse erwerben wollen, als sie es in den Primarschulen tbun können, ohne aber das Studium zu ihrer Lebensaufgabe machen zu wollen, können wir die Obeipri» mäifdjulen unbedingt als die zweckentsprechend« sien Anstalte» empfehle». Dann ist Ettclbrück auch allen Denen anjurall;cn, welche einen Versuch machen wollen, ob ihre Kinder Lust am Stubiren haben. Was fie hier lernen, kann überall, sowohl im praktischen Leben, als beim Weiterstudircn mit Nutzen verwertet werden. Sie haben, wenn fie auch nach einigen Jahren vom Studium abstehen, feinen unnötigen Pallast i» den Anfängen der tobten Sprachen, und zwar auf Kosten der anbern Ficher. Und doch kann wieber derjenige, welcher weiter stu« biren will, durch unentgeltlich erleiden Privatunterricht in den alten Sprachen so weit gebracht werben, daß der Besuch der Et» tclbrücker Anstalt mit gar keinem Zeitverlust für ihn verbunden ist. In Hinsicht auf Erziehung der Schüler kann man nur Günstiges belichten. Eltelbrück ist nämlich nicht sehr groß und darum können auch alle Zöglinge in ren Freistunden überwacht werden ; und es ist gewißein erfreuliches Zeichen, zuhören, daß bei der großen Strenge, womit die Ordnung gehandhabt wild, so zu sagen gar feine ©trafen nötbig sind. Tas kann blos daher kommen, daß das Auge des Lehrerpersouals die Keime des Uebcls erstickt, ehe fie sichtbar werden und Schaben anrichten können. Zudem wird viel barauf gesehen, wo die Zöglinge untergebracht werben. Nicht allein der Preis ist maßgebend, sondern mehr noch der herrschende Geist des Hauses. Darum ist es auch immer am besten, sich in dieser Angelegenheit an den Tirector zu wenden, der den Interessenten Kost und Wohnung i» guten Bürgerohausern zu 28 gr. per Monat, in mittleren zu 25-23 Fr. u»b für noch Genügsamere bis zu 20 gr. herunter und noch weniger besorgt. Man bezweckte vor einiger Zeit, ein Pensionat für Knaben hier zu errichten und mit der Oberprimärschule in Verbindung zu bringen; allein man nahm 'ibflanb von bei Ausführung, weil man erkannte, daß es für die Eltern billiger und für die Erziehung der jungen Leute bei ordentlichen bürgern oft viel besser ist, wie in einem Pen« sionate. Niederfeulen, 18. August. Tiefen Abend zwischen 9 und 11 Uhr wurde» die Wobnun» gen der Familie Hetzen, des Heinrich Klein u.ib deö N.denbur Johann, sowie die Scheune des ischon genannten Heinrich Klein, in der unter andelm nicht weniger als 4 bis 500 Bürden Loh lagen, ein Raub der flammen. Den großen Anstrengungen der Feulener und der schnell herbeigeeilten Hülfe der Löschmannschaft von Mcrtzig gelang es, das verheerende Elément auf diese vier Gebüulichkeiten zu beschränken »nd die dicht an die Brandstätte stoßenden Strohgebäude zu retten. Rodenbur, der zuletzt abbrannte, ist assekurirt, die andern sind es nur theilweise. Entstehungs-Ursache wie gewöhnlich unbekannt. ,<;,
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Deutschland.
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Deutschland. Frankfurt, 16. Aug. Die Straßen nicht nur, durch welche die fremden Souveraine kommen mußten, sondern auch entlegenere Stadttheile wurden im Laufe des gestrigen Tages festlich geschmückt. Was in dieser Hin. ficht geschah, geschah ganz aus freien Stücken ; weder der Senat, noch ein offizieller Fest- Ausschuh hatte öffentliche Aufforderungen er» lassen. Gegen Mittag wuchs das lcbhafle Treiben auf den Straßen und Nachmittags konnte man von Menschenströmen sprechen, die sich durch die Straßen wälzten. Der Kaiser von Österreich kam nach 5 Uhr an. Von den vielen Tausenden, die sich versammelt hatten, ihn zu sehen und zu begrüßen, sahen sich die met sten getäuscht. Der Kaiser zeigte durch die Art und Ameise, wie er in die Stadt einfuhr, daß er in feiner Weise äußerlich von den an bern Souverainen unterschieden sei:', wollte. Man eiwartctc ihn durch das Taunuelhoi, wie es allgemein ausgesprochen war er fuhr durch das Galluöchor. Man errcarteie ihn in einem Sechs- oder Achispäliucr ; er kam in einem Zweispänner, worin er in einfacher ©enerald-Umform mit dem Prinzen hieran« der von Hessen sah. Das Publikum wußte «n Wahrheit nicht, daß es der Kaiser war. Ich habe Leute reden hö>en, gerade als eben der Kaiser an ihnen vorbeigefahren war: Der Kaiser kommt in einem 2la;tfpänner um 7 Uhr. Wo der Kaiser erkannt wurde, wutbeer sehr begeistert begrüßt, namentlich auf dem großen, festlich geschmückten Noßmarkte und am 'Zahn< Hofe selbst. Gar Viele gingen aber nach Hause und vertrösteten sich auf die nächsten Tage, an welchen es nicht an Gelegenheit fehlen werbe, den Kaiser und die übrigen Souveraine zu sehen. So sehr ein pompöses Einfahren dem Geschmacke der Volksmassen entsprochen haben würbe, so hat doch die Einfachheit, in wcl» eher ei» Kaiser von Oesterreich kam, einen guten Eindruck gemacht. Auch heute sind alle Hauptstraßen gebrängt voll Menschen. Im Laufe des Vormittags gab cc Gelegenheit genug, die Souveraine zu sehen. Sie besuchen einander und so sieht man sie denn durch die ©tragen fahren. Jetzt kennt man auch den Kaiser von Oestcrreich, und so holen denn die Frankfurter nach, was sie gestern, da fie den Kaiser wohl sahen, aber nicht kannten, unterlassen mußten. Eine Begegnung des Kaisers und des Königs von Baiern bewirkte heute Vormittag eine öffentliche Ovation. Beide wollten einander besuchen. Vor der Hauptwache begegneten sie sich. Sie stiegen aus, begrüßten sich mit Kuß und Händedruck und unterhielten sich längere Zeit. Die Zuschauer be» grüßten die beiden Fürsten mit wiederholtem und lautem Lebehoch. Heute ist erste Tafel bei dem Kaiser von Oesterreich. Am 18. d. ist Inspektion des österreichischen Contingents mit Feldmesse. (ff. Bl ) Frankfurt, 16. Aug. Als bei der Eröffnung des deutschen Parlaments im Jahre 1848 der Bischof von Münster eine kirchliche Feier verlangte, um Gottes Sege, auf das Werk der Nekonstruiruüg Deutschlands hcrabzuflehen, indem er an die Worte erinnerte : „Wenn der Herr das Haus nickt baut, so bauen die Bau leute vergebens," erhob sich bekanntlich Naveaur von Köln und wies unter Apvcllirung an die Selbsthilfe jede goilesdienstliche geier zurück. Und die überwiegende Majorität des Hauses kiat>chle ibm Beifall. Was aus dem Werke geworben, ist uns bekannt. Heule begann zum guten Prognosticon im Gegensatz zum Jahre 1848 das von den Fürsten unter nommene We,l mit einem stillernsten Gottesdienste in unfenn ehrwürdigen Kaiserborne. Der Bischof von Limburg, der mit mehre»n Dom- Herren bei biejer erhabenen Gelegenheit zur Begrüßung des Kaisers (der befannilid; auch durch reiche großmüchige Spenden die Restauration des Domes ermöglichte) herübergelomnun war, hielt eine für je Anrede. Vom Stadlpfarrer und dem katholischen Kirchenvorftande am Portale des Tomes zum Kaiser geführt, sprach er mi! Wärme, Herzlichkeit und tiefte« wegter Stimme ungefähr folgende Worte: „Euere Kaiser!. Königl. apostolische Majestät an dem Portale dieses alt ehrwürdigen DomeS, der nicht bloß durch die in ibm einst vollzöge« neu Wahlen und Krönungen von deutschen Kaisern aus Allerhöchstihrem erhabenen Hause verherrlicht, sondern auch zum großen Theil durch Allerhöchfichre persönliche Munificenz in unfern Tagen wieder refiaurirt worden, empfangen und zu den Stufen deS Altars geleiten zu dürfen, würbe mich und die hiesige lc? tholische Gemeinde, wie meine ganze Diöcefe zu jeder Zeit glücklich gemacht haben. Ein ganz besonders erhebendes Gefühl durchdringt uns aber jetzt, wo Sucre Kaisctl. Königl. aposto» tische Majestät mi» Allerhöchstihren Verbündeten, den souveraine« deutschen Fürsten und Vcrtret.rn der freien Städte, zur Berathung über Deutschlands Wohl und Neugestaltung in der hiesigen freien Stadt erschienen sind, und nun im Begriffe stehen, würdig ihrer großen Ahnen, in lebendigem Glauben und aufrichtiger Temulh vor allem und zuvörderst Demjenigen Ihre Huldigung barjubringen und feinen Segen und Beistand zu erflehen, i« dessen Händen die Herzen ter Fürsten ruhen und bec mit unendlicher Weisheit, Macht und Liebe, wie die Geschicke der einzelnen Menschen, so auch die der Völker und Nationen lenkt. Wöge Er, der unsichtbare, ewige König des Hirn« mêlé und der Erde, unser gemeinsames in« brünstiges Gebet erhören, Ew. kaiserl. fönigl, apostol. Majestät und Allerhöchst Ihre erhabenen Verbündeten mit Seinem Geiste erfüllen und gnädig fugen, baß in Folge der bevorstehenden Beratungen und hochherzig deutschpatriotischen Entschlüsse die Macht und Größe des Vaterlandes und die Wohlfahrt und der Glanz des deutschen Volkes einen neuen und dauernden Aufschwung gewinne." Der Kaiser, fid;ibar beweg«, drückte dem Kirchenfürsten die Hand und sprach in einfachen herzlichen Wor» ten feinen Dank und die Hoffnung aus, daß Gottes Hülfe ihm und seine» Verbündeten bei dem Reformwerke zur Seile stehen möge. Darauf wohnte ©eine Majestät dem Gottesdienste bei und wurde nach demselben von den lauten „Hochs" einer dichtgedrängten Menge nach dem Vundespalais zurückbegleitet. Sie ganze Stadt hat ihren vollen Festschmuck angelegt, und mit jedem Zuge der Eisenbahn strömen Tausende von Fremden herbei. [2lußer dem Kaiser wohnten die Könige von Vaiern und Sachsen und der Fürst von Lichtenstein dem Gottesdienste im Dome bei.'] (K. SJ3IJ Frankfurt, 16. August. Heule findet eine eigentliche Sitzung der Fürsten nicht Statt ; der Tag wird zu den gegenseitigen Begrüßun« gen verwendet. Tem Vernehmen nach wirb morgen (Montag') der Kaiser den Fürsten die Vorschläge zur Vundesreform entwickeln. Der DinSlag, als des Kaisers Geburtstag, welchen derselbe in Darmstadt verbringen wird, darf äußerlich als ein geschäftsloser Tag bezeichnet werden, wenn auch selbstverständlich anzunehmen ist, daß die Bundesfürsten den» selben der Erörterung der empfangenen Mitlheilungen mit den sie begleitenden Staatsmänner» widmen werden. Am Mittwoch be« ginnen die eigentlichen Verhandlungen der Eon? fercnz, für deren Tauer vorläufig ein Termin von acht Tagen in's Auge gefaßt ist. — Von der Zinne des Bunbespalaftes wallt die schwarzroth-golvenc Fahne nieder, während die 3ie> sibenzgcmächcr des Kaisers in demselben durch eine Flagge in den österreichischen Farben bezeichnet sind. In den Hauptstraßen der Stadt sieht man vorwiegend schwarz-roth goldene Fahnen , daneben fait nur noch die Farben der ©labt Frankfurt. Die einzelnen Landesfarben der zum Congrcß berufenen Bundesfürsten erblickt man namentlich an den Hotels, wo fie Wohnung genommen, ooch auch hier überberrfebt von dem dreifarbigen Banner. Die tropische Hitze hat den Schmuck mit Kränzen aus lebendigem Giü» einigermaßen beschrä»» fen muffen, dagegen fehlt es nicht an Deko rationen mit reichen Blumen un& strauchgewachsen. — Von Fremden ,st die Ztadt bereits überfüllt; Wohnungen für Fremde sind kaum mehr auftreiben; einfache Stuben in guter Lage bezahlt mau heule mit 30 bis 40 ®uß>fn pet Tag. Für einen Halbweg eleganten 3J?ielb,ivagen »erben per Tag 50 Gulden gefordert, da die meistens glänzenden Gefolge der Fürsten und die großcntheils den hebern Sliinden angehörigen sonstigen Fremden, welche der Füistenlag Hill versammelt, alle Fahrge« legenheiten in Anspruch nehmen. Frankfurt, 16. August. Nachmittags. Eme wählend des Fürftentages erscheinende lilhographirte Correspondenz meldet: „Ter laiserliche Entwurf zur Bundcsreform ist noch vor dem heutigen 2 itier an die Staatsmänner im Gefolge der Fürsten autographirt ver« lheilt worden. Morgen wird der Kaiser in der ersten Conferenzsiyung die Beweggründe seines Vorgehens mündlich den versammelten Fürsten eröffnen. Gleichzeitig mit der hiesigen Verthei« lung der Vorschläge ist auch deren Versendung an das Berliner Cabinet, mit der Einladung zur Rückäuherung darüber, erfolg». Ueberhaupt scheint Oesterreich entschlossen , troc dem passiven Verhallen Preußens, der zweiten deutschen Großmacht alle ihrer Stellung gebührende Rücksicht unverändert angedeihen zu lassen." Frankfurt, 17. Aug. Gestern besuchte der König von Hannover den Vormittagsgottes« dienst in der Paulskirche. Nachmittags von 4 bis G Uhr war Tiner beim Kaiser, wozu die meisten Fürsten in österreichischer Uniform er» schienen. ler Großherzog von Baden wurde unterwegs erkannt, sein Wagen angehallen und der Grohherzog mit enthusiastischem Jubel begrüßt. Aehnlich der Herzog von Sachsen- Coburg. Heute Vormittag 10 Va Uhr findet die erste Congreß-Eiyung im Bundespalais Statt. Der Kaiser wird darin die Motive des dît' formplaneS entwickeln. Die Neformvorschläge selbst sind «Heils vorgestern, tb. eile gestein den Souveraine« und den Vertretern der Freistaalen mitgelheilt worden. Ausfertigungen der» selben sind auch dem preußischen Cabinet mit Einladung zur Nüctäuherang übermittelt wor. bin. Von dem Inhalte ter Bo> schlage valaut>t noch Nichts. Heute 9tad)mutag 4 Utir findet das Banquet statt, welches der Senat i» tem pracluuoll geschmückten Kaisersaal den 1,0!,cn Gästen gibt. H ute Adcnd ist Illumination und großartiges Feuerwerk in der Nähe der Mailust. Hier anwesende SSertrcicr der dnilschen P^sse haben tinen Protest on den Senat gerichtet wegen der Rücksichtlo. sigkcit der feflcrbneiittn ©eiio^-(S.oninii|Jion gegen die Presse. Mehrere Scitrcier der Presse sind wieder abgereist.—Der |)rrjrg von ambridge ist gestern hier eingetroffen. — Ter Bürgermeister von Darmstadt hat e:n-n Aufruf an die Bürger erlassen, worin er dieselbe» z.im festlichen empfang des Kaisers auffordrrs.
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Vermischtes.
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Vermischtes. une longue marche, irritée d'une manière quelconque, chagrinée ou à peine remise des tourments qu'on lui a fait subir, se dessèche difficilement, reste mollasse, légère, se gûte très-vile, devient verte et d'un aspect dégoûtant. »On ne saurait donc donner irop de soins aux animaux destinés à être abattus pour l'alimentai ion publique, car les bôlcs bovines, les moutons, les porcs maltraités perdent considérablement quant à la quantité et à la qualité de la viande. »Pendant les chaleurs caniculaires, les abattoirs, les boucheries doivent ötre surveillés avec le plus grand soin pour éloigner les insectes de la viande; tout h: monde sait qu'une mouche peut en très-peu de temps déposer une énorme quantité de petits moulons qui occasionnent bien vite la putréfaction ou la décomposition de la viande. »A la campagne il se commet souvent des abus préjudiciables a la santé publique ; on est dans l'habitude de livrer ù la consommation la viande des animaux frappé* de coup du sang, de paralysie, de suites funestes du vêlage, ou d'autres maux inguérissables, et tcus les jours on eutend parler d'accidents survenus ù la suite de l'usage de ces viandes malsaines. • Les autorités locales chargées de formuler la salubrité des comestibles exposés en veute, peuvent reudre le vétérinaire responsable des contraventions, en ne tolérant ni en autorisant le débit d'une béte abattue accidentellement, qu'ensuite d'une déclaration attestant que la viande est saine et propre a la consommation. Celle simple mesure de police suffirait pour réprimer les abus et empêcher bien des accidents. » (Journ. de Bruxelles.) — Tempéraluve. — M. Banal publie dans l'Opinion nationale les détails suivants: «La journée de dimanche 9 août a éié une des plus chaudes que l'on un observées depuis bien longtemps. »Il esl bien rare qu'à Paris le tliermoinèire dépasse 36 degrés. Depuis le commencement de cc siècle, il na atteint qu'une seule fois 57U 2, le 18 août 1842. Le 5 juillet 1846, on a eu Ô6"5; il faul ensuite remonter jusqu'en 1826 pour retrouver 56°2 le ler aoûl. En 182Ö, on a eu 56°5, le 18 juillet; en 1808, on a observé 50°2, le 15 juillet; en 1805, on a eu SC-7, le 31 juillet; en 1802 enfin, 56°4, le 8 aoûl. »Dans le siècle dernier, on a observé de plus li au les températures que dans celui-ci; c'est ce qui résulte du moins des tables que nous avons élé chargé de dresser pour les œuvres d'Arago; les thermomètres étaient alors disposés- autrement qu'ils n'ont élé établis depuis soixante ans environ. Les plus hautes températures qui ont élé consignées sont de 38°4 le 8 juillet 1793, de 30°0 le 19 août 1765, de 39°4 le 14 août 1775, de 4CO le 26 août 1765. — Un journal publie les observations suivantes, que leur justesse nous engage à re> produire: * Nous n'avons été que trop souvent témoins des mauvais traitements dont les animaux de boucherie sont lobjet ; indépendamment des raisons d'humanité que nous pouvons invoquer pour blâmer Ifs actes de cruauté, nous pouvons invoquer des raisons d'intérêt pour empêcher de pareils procédés. «Il y a lieu de noter que lorsque le thermomètre marque 39° à l'ombre, il y a 65° au soleil, d'après les observations de Messier. » , »Nous ne saurions trop blâmer l'habitude d'exposer les animaux gras à l'ardeur du soleil et à l'influence des mouches, taons, etc. ; de les forcer dans la marche en leur occasionnant des meurtrissures par des coups ou par la morsure des chiens ; de lier par les membres les veaux, les moutons et les porcs. Traiter de la sorte les animaux gras, faibles, habitués au repos et aux soias les plus assidus, c'est les exposer à contracter des maladies graves, telles que asphyxie, apoplexie, grangrène, etc., qui communiquent à la viande des propriétés malfaisantes et deviennent ainsi la cause de sérieux accidents chez le consommateur. - »H esi de toute prudence, dans l'intérêt de la salubrité et de l'hygiène publique, de ne confier la conduite des bétes grasses qu'a des hommes intelligents, probes ci d'uu caractère doux. »Toutes choses étant égales d'ailleurs, la vi.inde d'un animal tué dans de bonnes condiiions, c'est-à-dire sain et reposé, se dessèche facilement, devient ferme, pesante, se conserve et se coupe bien, les tram lies sont de bonne et belle apparence ci appétissantes, tandis ijue la viaude d'une bète tournée, par
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Annoncen.
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Mrscnbelichtc. Fonds mtî> Gcldcours.
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Mrscnbelichtc. Fonds mtî> Gcldcours. t?-;ä p.°/obaar. . . . g47,p.%. ' . . • tfranj- Bank. . . . -^ iüiobiliatb Ä Nordbahn .... Ostbahn .... Z. Fianz.-Oesttr. . . . a ;(i)uiU..-iutmib. Actiln, s b° Oblig, o Noidbahn llbl. . . . -1 Ostbah»Obl5p. . . » 3P.°/o 'S Olsttrreichb. Obl.°/». " Said. Anleihe 5 p. °/0 9er. Scurl. geltet (Sctirt. 67. 45 67. 65. 96. 50 96. 3i70. 3385. 1072 1107. 50. 985. 990. 495. 497. 50. 428 75 427. 50. 193. — — 306 306. 25. 490. 75. 490. 293 50. 295. 277. 50. 277 25. 72. 25. 72 60. London, 18 (lUIjt) öonfolä . . . . • Amsterdam, 17. August Mliv Tch. 2'/, p./0. 93'/4. 93»/«. 647,. 64'/». «'«nlciÇté'/ip. /O1857 c^\92ationalbanf . . . ,* . Beiß, Bank .... " S ö)uill.=S!urtmb. Nclien. --j „ DU tef Grand-Üurtmb. Obi. Iv Römische A»l, 99. 90. 99 95. 2000. 2000. 1118. 1119. 195. 195. 270 50. 269. 50. 494 50. — — 75. 25. 75. 25. , Frw. Anleihe 4/, p.°/„ eiaat«--!ftnlfi()« 1859 5 p."/,, .;'.. . Staat«--lJtiilti[;e 1856 3 4 7 p.0/ . 55 Tlaas-Änleche 1853 <» 4 p. 0/;.... " Preuß. Va,,k<Änlh. . 5 JtöliuÜMiiitcn . . . - Nh,inische . . . . " Offert. 5 p."/,, « . yiattonöp. u/u ?utw,gsh»^elb. . . Ähein-Nllbebahn . . i!ulemb.Inl<rn.-BllNl. , 101'/» bj. 1014/« bj. ; 106'/, bj. 106 »|4 bj 3? 'kor/, bj. ioivi bj- oö 98'/. bz. 98'/, bi. , 127. G. 127 G. . 182 s. 182. bz. 101 'U bj. 101 W. i 6876 bz. 687, G. 73,, bz. 73'/. H , 143 G. 143 O. , 27". H. 27'/, bz. . 043G. 104'/,. dz. I . i W Wiener nationalb.. . s» • Oesterr. ÎWobiliatct. . t^ l'utemb. Sntmiational» = l Bank. 5 .l'utcuibutafc Anleihe. 1 4p. «/«.... .822. 832. 53. , 2007,. 1997,. r 1057, 1057, J93 93 $riftrb'cr »il«, >!,'ist. iioplO'cr JKlI. IOjl. t». Stil- »r. .>, i-v> 5,10,6 «R>. 5/JO, HFr». S,14,9 Frz. «tttlr. — t»i«k. , 5,16, Umtti:. Tell. «,2l, Ulm. Seul« *r. i.m.l 1,17, 1,13,
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Plus de médecine La SANTÉ PARFAITE, rendue sans médecine, ni purgation, m frais. REVÄLENTA ARABICA -BAaîirï »uérit.««"clemenl.les llg.WMUl.ra IM HHHUIUH de liOiulres mauvaises dio-estions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habituelles, hémorrhoïdes,glaires, venls, pal- pitations, diarrhée, gonflement, étourdissement, bourdonnement aux oreilles, acidité, pituite, migraine, surdité, nausées et vomissement après repas et en grossesse; douleurs, aioreurs' crampes, spasmes et inflammation d'estomac et des entrailles, tout désordre du foie" nerfs' membranes musqueuses et bile, insomnies, toux, oppression, catarrhe, asthme, bronchite,' phlhi- sie, (consompliouj, dartres, éruption, mélancolie, dépérissement, diabètes, rheumatisme, poulie, lièvre, hystérie, névralgie, vice et pauvreté du sang, hydropisie. stérilité, flueur blanche* les pâles couleurs, manque de fraîcheur et d'énergie. Elle est aussi le meilleur fortifiant pour les enfants faibles et les personnes de tout âge. Extrait» de 03,000 gvêrisons. — Ko. 52,081: M. le duo de Pluskow, maréchal de cour, d'une gastrite — Ko. 63,181: La femme de Jlr. L J. Dury, Jumet près Cliarleroi, de plusieurs années de soullrances in- tolérables dans l'estomac, les reins, les nerfs, les yeux, et la lèle.-Ko. 02,815: Al J. J.Noël, de 20 ans de dyspepsie et souffrances des nerfs et de l'estomac. —No. 62,982; François Dehasse-Cantia, de Fleurus près Uiarleroi, dit: „Grâce à Dieu votre liecalcnta Arabica m'a guéri de dix ans d'liorriuled souffrances dans la tête et de la teigne, fille a remis ma santé parfaitement. — i\o. 62,846: M Grcven, propriétaire de l'Hôtee de la Couronne, Malines, guéri d'une gastrite accompagnée de toux dont il souffrait depuis cinq ans. —Ko 1i2,812: Liège, le 14 novembre 1863. Atteint de dartres au bas des jambes depuis 1851 et trouvant que II" mal ne faisait que s'empirer sous le traitement de trois médecins qui m'assuraient du reste qu'à mon ào-e' (55) la guérison était impossible, je me suis décidé, à mon grand bonheur, à faire usage de votre /leva/«««« Arabica qui I»'» parfaitement guéri en peu de temps et affermi ma santé en général d'une manière sur- prenante. Gr. Vu«., Concierge au have d'épreuves des armes à feu.-Ko. 62,854: M. Gantier, professeur de gymnastique, à Malines, a employé la llcv.denla Arabica, contre une affection d'estomac, avec faiblesse ner- veuse, et apu constater les résultats les plus heureux.—Ko. 62,476: Ste.Homaine des Isles (Saône et Loirel Dieu soit béni ! La Uevalenta Arabica a mi« lin à mes 18 ans de souffrance horribles de l'estomac, de sueurs' nocturnes et mauvaise digestion. J. Comparet, Curé. —Ko. 17.4/1 : .Mlle E. Jacobs, de souffrances horribles des nerfs, indigestions, éruptions, hystérie, mélancolie.—Ko. 49,812: Mme Marie Joly, de 50 de constipation indices, nerfs, asthme, toux, flalus, spasmes et nausées.—Ko. 35,J18: le docteur Minster, des crampes spasmes, mauvaise digestion et vomissements journaliers.—No. 31,328: M. W. Patchinp, d'hémorrhoïdes.-Ko 4(i,2<0: M. liolierls, d'une consomption pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation «t surdiiù dJ 25 années.— Ko. 53 860: Mlle Gallard, rue du Grand-Saint Michel, 17^» Taris, d'une phthisie pulmonaire après avoir élu déclarée incurable, et qu'elle n'eût <jue quelques mois à vivre Plus fortifiant et moins coû- teux que le chocolat, thé, café, huile de foie de morue, ce délicieux aliment économise mille fois son prix en d'autres remèdes; il a opéré 63,.,00 gnérisons où tout autre remède avait échoué. — DU JÎAMKY 12, Rue de l'Empereur, Bruxelles; •/, kil., 2 fr. 25; '/2/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 6 kil., 32 fr.- 12 kil 60 fr. contre Bon de poste. (351)
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AVIS. Le soussigné a l'honneur d'informer Messieurs les curés et Messieurs les bourgmestres, que ses différents projets de sonneries varient d'après la grandeur des églises. Les prix et conditions sont très avantageuses. \" PIIOJET pour trois cloches en accord par plains tons, etVn supposant que la première cl« 830 kilogr. donnerait le ion fa naturel ; la seconde cl« 620 kilogr. le ion sol; la troi- sième (le 430 kiloyr. le ion la naturel. 2e2e IMIOJEÏ pour trois cloches formant une peiiie tierce de la première ù la deuxième; la grande ou basse, pèserait 1450 kilogr. El donnerait le ton ré naturel; la seconde for- mant lu petite linrce, pèserait 9ïO kilogr. et donnerait le ion mi dièze ; la troisième de 710 kilogr. le ion fa dièze. 3° PROJET pour quatre cloches formant une octave; la première de 20GO kilogr. avec le ton ut grave; la deuxième pesant iOOOi000 kilog. donnerait le mi naturel; la troisième de La» kilogr. le sol naturel ; et la quatrième pour l'octave, de 280 kilogr. le ton ut aigu. Il accorde une retenue de quarante pour cent, si les tons ne sont pas exactement rendus. Il s'en rapporte à plus de trente certificats pour fournitures effeciuéps. L'église St. Castor à Coblence: trois cloches 8200 kilogr.; Aix la Chapelle, une cloche de 4300 kilogr., une autre de 5600 pour plusieurs églises; Scn- heim 4600 kilogr. ; Amel près St.-Vith, trois cloches, 4000 klogr.; Munshausen trois clo- ches 2000 kilogr.; Luxembourg une cloche de 1900 kilogr. etc. Luxembourg le 12 août 1864. (855) GAU LARD, fds. Mlimcrt Hock in £aarlanifl Linpfiehlt alle Arten Drehorgeln, <£}iiclufjrcit und Musilwcrkc eigener Fabritalion, Drehorgeln von 40 THIr. al), Musikwerke «oit 52 bis zu 4000 Thlrn,, welch letztere ein volles Orchester ersetzen mit Picolo, Flute, (Siarinett, Oboe, Fagott, Trompete, Posaune, (Glockenspiel, Triangel, CineHen, kleine und a,l"0e Trommel, mit Forte, Piano, Crescendo und Decres- cendo und sind dieselben, welche auf alle beliebigen mir angegebenen Musik>:iicke eingerichtet werden können, auch 'zu Tanzmusiken sehr verwendbar. (817)
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J ai l'honneur de faire connaître au public ri au commpree que je viens de donner la venie exclusive de mes plumes de Hum- boldt et St. Pierre à lu maiso» de M.Pierre Brück, libraire-papetier, ù Luxembourg, seule chargée de la vente tant en gros qu'en dé- tail de cet article dans le Grand-Duché de Luxembourg et la province du Luxembourg belge. Birmingham, 10 août 1864. J. ALEXANDRE,
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l.rs gssUiles, gastralgies, loin, consompiion, dé- peri.-stmcnt pour lesquels I» médecine n'offre aucun remède.ellicHcf, soin piiifaiti'ininl guéris par la de- icicuse Revaleata Arabica Du Barry de Londrus. La Chnpelle, l.iris, 1. décembre 18(32. Monsieur. —Pendmit huit mois, j'avnii des vomït- »emenls journaliers et des coliques horribles, mau- vaises digestions, insomnies; j.i dépensé veuf cent« hiincs en médecines, et, loin d'y trouver de« soula- gements, je dépérissais à vue d'œil, aynnl perdu 40 livres de chair; sans espoir de guérUon, je com- mençai il y a huit jours à prendre la Hcvalenta Ara- bica. Des les premiers repas de celte délicieuse fa- rine de santé, les vomissments et coliques cessèrent le sommeil revint et ma digestion se l'ail maino- nant à ma plus grande sutisfnclion. — FKANCOIS S\ I.VAIiV DU BAKRY, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles—En boites '/.i kil., 2 IV. 25; '/, kil. 4 fr. ; 1 kil 7 fr • 2',1, lui. 16 fr.; 6 kil. 3 fr.; 12 kil. 60 fr. contré bon de posle. Se vend aussi chez les premiers pharmaciens, épi- ciers, et confiseurs dans toutes les villes, j
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Zu vermiethen Ein Hnus, enthaltend 9 Zimmer, 2 Speicher und ein Keller, gelegen Piquetstraße Nr. 4. (870)
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Die feierliche Preisevertheilnng am tönigl. gro\u03b2hl. Athenäum
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Die feierliche Preisevertheilnng am tönigl. groβhl. Athenäum l)at geflern foie gefoöljnlid) in ber großen ?luk ber ?infialt ftattgefunben. 2)ie geier, foeld)erbte Herren gjrofcfforcn unb bte3i3gltngc ber îtnftoît, »iete Sltern unb Sevfoanbten ber Icgtern anfooi)nten, tjatte aujjerbcm Se. Brceüenj berJ&r. Staatéminifter mit ben fämmtlid)en Herren ®ene= ralbireftoren, baSSuratorinm bes Sltljenaumô, ber £r. gejtungscoinmanbant unb mehrere Sorpädjefé unb ©tabêofftjiere, cine große Stnjaljl an* terer greunbe v. ©önner ber UnterridjtSanfiaU »„» u» y«i.|in- u. -cauniiance Dura) lyre Gegenwart erhöht. Nach einer von der philharmonischen Gesellschaft der Anstalt aufgeführten Ouvertüre fourbe die geier »ont Hrn. Direktor durch eine Ansprache und ein Vivat auf Se. Majestät den König-Großhcrzog und Ihre Kö- niglidjen .fjotyeiten ben unb bie $rin* jefftn £einrid), in ta« ber 9J?ufifd)or unb bie ganje ïïerfammlttng einjîimmte, in üblicher' SBcife eröffnet. Jpr. Stubienbtreftor fprad) : Hlonsieur le ministre d'Etal, Votre Excellence, venant à la tête de nos Directeurs-généraux honorer de sa présidence cette festivale distribution des palmes, proclame par cet acte de courtoisie la haute sollicitude, que le Gouvernement a vouée chez nous aux succès de l'instruction publique. La cérémonie qui place sous les yeux de cette nombreuse et brillante assemblée l'élite de notre génération adolescente, comme le jardinier expose aux regards admirateurs les plus beaux produits de son horticulture, présente dans tous les pays le tableau d'une fête de famille. Les parents et amis viennent joyeusement s'associer à l'ovation de leurs enfants, et fiers de leurs succès, les jeunes athlètes éprouvent une émotion charmante de piété filiale, en voyant un sourire de contentement effleurer les lèvres de leur père et une larme d'attendrissement briller dans les yeux de leur mère. Chez nous celte solennité est rehaussée par un sentiment patriotique de nationalité. Dans le Luxembourg l'instruction n'est pas seulement une politure de l'esprit, un agrément de sociabilité, une garantie de civilisation progressive. Elle est plus que cela. Pour un grand nombre de nos jeunes compatriotes elle est une ressource, un patrimoine, une industrie et souvent la clef d'une brillante carrière. C'est par leurs talents et leurs labeurs qu'une nombreuse phalange de Luxembourgeois s'est frayé en Belgique la voie aux positions les plus honorables. Aussi lous les gouvernements qui se sont succédé chez nous depuis 1817 ont ils voué lai plus persévérante; et la plus paternelle sollicitude à la prospérité du public enseignement. Quand il y a la moindre apparence de relâchement quelque pari, l'administration s'en allarme comme d'un sinistre, elle sonde la plaie et s'empresse d'y porter remède. Les magistrats honorables, qui occupent en ce moment le fauteuil de nos prytanes, après avoir dans leur jeunesse brillé sur les bancs de nos lauréats, me permettent de rendre cet hommage à leur patriotisme. Le besoin de culture intellectuelle est dans les instincts de notre peuple. Il se juxtapose comme un parallélisme à la culture de nos champs et a l'exploitation de nos industries. Il est l'aiguillon de la jeunesse, le point de mire de l'administration , il est l'auréole du nom Luxembourgeois en pays étranger, et ureuses UDienfaïùices fondations, par lesquelles l'opulence consigne dans ses testaments son spr.ourable patriotisme. L'augusle dynastie des Naussau, qui depuis un demi siècle lient en mains les rênes de nos destinées, a donné à cet élément de notre prospérité nationale un développement inconnu à nos ancêires. Nous n'avions en 1815 qu'un petit collège municipal, Guillaume I nous a donné un Athénée, Guillaume U l'a couronné d'une Académie et Guillame 111 y a juxtaposé l'enseignement scientifique et industriel que réclament les élans d'un siècle, qui marche avec la rapidité de l'éclair de découverte en découverte et de merveille en merveille. M.M., que la reconnaissance réponde à la générosité! Honneur, fidélité et respect à la souche royale qui hisse et qui maintient aux yeux de l'Europe sa bannière héréditaire de civilisation ! Elle a défriché notre antique et sauvage forêt ardennaise en la sillonnant d'un réseau de roules plus admirables que les voies consulaires des Romains ; en créant dans les villes et les hameaux ces écoles, que les étrangers admirent et qui portent la sève nourricière de l'éducation christianisée j uque dans la chaumière du pauvre ; en ouvrant à nos populations intelligentes et laborieuses une arène de participation dans k-s intérêis publiques; en encourageant nos industries par la plus généreuse connivence; en érigeant dans la capitale un établissement culminant de sciences et de lettres, qui comme une artère donne des pulsations à tout le corps social, et en donnant dans les derniers temps par des créations gigantesquement monumentales aux rochers de Luxembourg une importance et une célébrité qui changea l'antique manoir de Mars, en ganglion central des relations internationnales de l'Europe. MM. apprécions cette Royale sollicitude et saluons de nos acclamations l'auguste rejeton qui, coutinuant l'œuvre de son père bien aimé et de son illustre ayeul, mérite le pu- blic hommage de la plus affectueuse reconnaissance. Vive le Roi ! MM., je ne répondrais pas aux sentiments, qui animent cette assemblée, si je n'associais pas au nom du Monarque celui de son auguste Lieutenant. S. A. R. nous a donné les preuves les plus touchantes de l'intérêt qu'Elle porte à la prospérité de notre établissement. Bien que privés aujourd'hui de sa présence, nous voyons en pensée le Prince briller sur cette estrade a côté de l'auguste compagne de ses destinées, qui a tant de fois encouragé nos jeunes vainqueurs de son gracieux sourire. Vivent LL. AA. RR. le Prince et la Princesse Henri. Nach der Vertheilung der Preise erhielten die abgehenden Primaner cEs...d.^/,^ Maturitätsdiploin. Der Herr General-Direktor benutzte diese Gelegenheit, um an die Abiturienten einige Worte der Aufmunterung und des Nathes su lichten. Er sagte ihnen v. a., wie sic in diesem Augenblick einerseits ein Gefühl der Wemuth ergreifen müsse bei dem Gedanken, den ihnen so treuer gewordenen Kreis ihrer Lehrer, Eltern und Freunde verlassen zu müssen, wie fie sich aber auch dem Hochgefühl der Freude beim Rückblick auf die errungenen Resultate hinzugeben berechtigt seien. Er ermunterte fie zu Fleiß und Ausdauer, durch welche allein sic cine bedeutende Stellung in der Wissenschaft und im Leben erringen wür^ den:c., forderte sic auf, den Prinzipien cines guten Betragens, welche ihnen ihre Lehrer an's Herz gelegt, auch in ihren Weilern Studien und im Leben getreu zu blei • ben, denn nur in dieser Weise würde ihre spätere Wirksamkeit in den ihnen angewiesenen 33eruf«fretfen segensreich fein. Während der Feierlichkeit wurden mehrere Musikstücke von den Zöglingen der Anstalt aufgeführt, cine passende Fest-Polonaise beschloß auch die Festlichkeit.
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Gymnasium.
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Gymnasium. 1. Piaffe.—3B ©*ül«r. 1. Preis. Koppes loh. aus Lanach; 2. Pr. Tock Karl a. Luxemburg; 3. Pr. Manderscheid Beinard a. Aiederwampach ; 4. Pr. Nichard Jos. a. Wiltz; 5. Pr. Kohn Bern. a. Grevemnacher; G.^r. Nsselborn 3. a. Vuderscheid; 7. Pr, Aleseh V. a. Luxemburg. 2. Klasse.-45 Schüler. 1. Pr. Schmitz I. a. Esch a/A.; 2. Pr. Nrends E. a. Weiswampach; 3. Pr. Vercollier Jakob a. Luxemburg; 4. Pr. Liger Jos. a. Diekirch; 5. $r. Cravat M. a. Wiltz; 6. Pr. Spedener M. a. Wiltz; 7. Pr. Salzer I. a. Luxemburg. 3. Klasse.-43 Schüler. 1; Pr. Meyers Jakob a. Vondorf; 2. Pr. Keiser H. a. Elfingen; 3. Pr. Mathes N. a. Flaiweiler; 4. P. Fallize I. V. a. Hallingen; 5. Pr. Schmit M. a. Kirchberg. 4. Klasse,—32 Schüler. 1. 3>r. SÏBflff S. a. 2ur.em&uvg; 2. gjr Zahn G. a. Luxemburg; 3. Pr. Groos Fr. a. Luxemburg; 4. Pr. Philippe N. a. Frisingen; 5. 'i?r. Clement V. a. Luremburg, Kncip P. a. Luxemburg und Reicher H. a. Itzig; 6, Pi. Barthel I. P. a. 9ïoUingergrunb; 7. Pr. Schumacher loh. a. Rcmerschen. 5. Klasse.—34 Schüler. 1. Pr. Ziller Fried.'a. Luxemburg; 2. Pr. Hcrchen Art. a. Luxemburg; 3. Pr. Weinacht M. a. Tüntingen; 4. Pr, Schengen Fr. a. Nemich; 5. Pr, Dumont C. a. Luxemburg und Engel K. a. Luxemburg. G. Klasse.-62 Schüler. 1. Pr. Tibcsar L a Fingig; 2. Pi. Schaack Th. a. Luxemburg; 3. Pr. Hengcsch N. a. DüDelingen; 4. Pr. Post Th. a. Mersch; 5. Pr. Schockwcilcr P. a- Nospelt; G. Pr. Ecker A. a. Luxemburg; 7. Pr. Brandenburger M. a. Fingig v. Kass D. a. Oberdonvcn.
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Gewerbschule.
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Gewerbschule. 1. Klasse.—2. Jahr. 1. Preis. Pierrot Soi). Arn. a. Hosingen. 2. Pr. Schou Ernest a. Luxemburg. 1. Klafse.-1. Jahr. 1. Pr Pündcl I. P. a. Wormeldingen. 2. Pr. Meyer I, a. Paris. 3. $r. Mersch G. a. Luxemburg. 4. Pr. Funck P. a. Luxemburg. 3. Klasse,-9 Schüler. Preis. Klimax G, a. Luxemburg. 4 Klasse.—l 6 Schüler. 1. Pr. Wagner Fr. a. Heidcrschcid. 2. Pr. Frauenberg Fr, SÊàtt. a. Clcmency. 5. Klasse.—l 9 Schüler. Preis. Hirsch Jonas a. Mcrtzig. Vorbereit u n g s kl a s se. — 7(i Schüler. 1. Pr. Thorn N. a. Bous. 2 Pr. Hirsch E. a. Luxemburg. 3. Pr. Gören« M. a. Bon newcg. 4 Pr Vanwcrwcck N a. Diefird). 5. Pr. Wolff E. a. Luxemburg 6. Pr. Collin K. a. Luxemburg und Schlechter N. a. Luxemburg. 7. Pr Augustin (gug. a. Will;. 8. Pr, ©effort Fried, a. Luxemburg und Sers «eben V. a. Vaschleidcn. 9. Pr. Wcimerskirch Th. a. Dommeldingen. 10. Pr. Fonck Heinrich a. Remich. 11. Pr. Engel P. a. Luxemburg. 12 Pr. Blaise Isidore a. Luxemburg.
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SujcmonTß, 10. siuguir Tom, Herr Redakteur ! Man scheint es in Deutschland auffällig zu finden, daß im Luxemburger Lande, in einem zum deutschen blinde gehörenden Staate, dessen Bcvöllerung mit unbedeutenden Ausnahmen ein nach Sprache und Herkunft reinweg deutscher Volksstamm ist, rie Beamten französisch gebildet und der deutschen Schrift und Umgangssprache oft mehr ober weniger unkundig seien. Es ist nicht das erste Mal, faß deutsche Schriften und Blättern il'rcn Lesern als ein Curiosum ganz eigener Art tic Thatsache mitthcilten, -daß in einem deutschen Lande, das keineswegs als ein erobertes, unter fremder Herrschaft détentes zu betrachten fei, sundern vollständige Autonomie mit eigener Verfassung besitzt, in einer remt c n, tcrgr 0 § e n Masse des Volkes Wenig oder gar nicht bekannten Sprache die Notariatsacte abgefaßt, die Gerichts- und Kammerverl)ontlungen geführt Werten. Die Nr. 228 ter Augsburgcr „ Ugemcincn Zeitung" bringt nun wieder cine »on Berlin tatirte, auf tiefen Gegenstand bezügliche Correspondenz, die ich Ihnen nad)firlitnt mitteile, intern ich das Urlheil Darüber ter Reflexion Ihrer Leser anheimgebe.", „Berlin, 12. August. Aus Luxemburg kommen lagen daß in tiefem deutschen Land die Amt?>prache und sogar die Schrift auf den Münzen französisch ist, und daß auf tic deutschen Zeitungen cine Taxe gelegt Wirt, wclche einer '! rohibitivstcuer fast gleichkommt. Eme rheinische Zeitung die zu dem vierteljährlichen Preis von 1 Thlr. 13 Sgr. 9 Pf. son ter preußischen Postvcrwaltung dcr luxemburgischen geliefert Wirt, Wirt »on ter letzteren zu dem Preis »on 10 Fr. 85 Cent, oder 2 Thlr. 26 Sgr. 9 Pf., also mit 100 Procent Ausschlag, debitirt?" Mit aller Hochachtung v. f. w.
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Die Eröffnung der Jagd im Großherzog
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Die Eröffnung der Jagd im Großherzog "■) Auch wir theilen diese Coriefpondenz ohne Commentar mit. Es wäre hier zunächst die Frage 311 erörtern, wie dieser allerdings abno.me Zustand herbeigc|itl).i wurde, ferner muten tic blinde jii unler'ucheu, welche für und gegen bivo herrschende êt)fteifr geltend gemach! werden. Vielleicht werben mir später einmal ©elegenl)eit fiubcn, biejen Gegenstand eingehender 311 besprechen. thum Luxemburg ist auf ten nächstkünftigen 2G. August festgesetzt. (Mcm.) — Die Königlich-Preußische Negierung hat bis auf Weiteres und vorläufig bis zum 1. Januar 1865 die Ausfuhr »on Waffen und Munition^ Gegenständen über die Preußische Grenze nach Gallizicn, unter Hinweisung auf die im Zollstrafgesetze angedrohten Strafen, »erboten. (Mcm.) Sitremlmrg, 19. s(ug. Vergangene 9îad)t brad) in bern Seller tes Safés sJîid)aeliS geuer aus, bas an ten tort aufbewahrten fptrituo^ fen ©etra'nfcn gefangen f)attc. Durd) 23er* ftopfen ter Suftjugänge wurtc ber Sranb er-tijttet.
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Der Proce\u03b2 der Dreizehn.
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Der Proceβ der Dreizehn. (Sd)lujs.) I. Favre untersucht dann tic Page der Gcsctzgebuug über das 35erein\5Wefcn unter den letzten Regierungen, Der 3)rt.2:), sagt er, war nur tic Vervollständigung des Gesetzes, welches den Bürgern tie Freiheit sich *u vereinigen gestattete. Wenn seitdem unsere Gesetzgebung 'Modifikationen erfahren hat, so geschah tief?', weil wir Furcht hatten, und uns, um uns einer eingebilDeten Gefahr zu entziehen, der Sklaverei in die Arme warfen. Der Redner citirt die vorzüglichsten Commentatorcn des Gesetzes vom 3-1834 über das Vereinsrecht. „Wir schaffen", sagte damals ter Sicgc<dcwnl)rer Barlhe, „ein Gesetz gegen die Verbintungen, nicht aber gegen zufällige und zeitweilige Vereinigungen/ Erstreckt sich also das Gesetz vom Jahr 1834 nicht auf die Wahlversammlungen, wir dieß ausrrücklich der Siegelbewahrer erklärte, so muß man den Wahlcomité« unbedingt das Neckt zugestehen, zusammenzutreten und Briefe unter einander zu wechfein, wenn Sie anders nicht Wollen, daß die Wahlen nur der Ausdruck abhängiger Dienstbarfeit fein sollen. Wie kann man denn nun »loi-« n^spß vom Jahr 1834, welches gerade zum Schutz des Wal)lrechts abgefaßt wurce, gegen uns anrufen wollen? Wenn dem so ist, so enthalten unsere Gesetze nur Fallen und ointerthüren! Dieses Gesetz, auf welches man sich gegen uns beruft, besteht feit dreißig Jahren, uno wir könnten uns auf die Verjährung berufen. Wie! Da ist ein Durchbiuch den ich nach dem Eigenthum des Nachbars bin zu bewerkstelligen das Recht zu haben glaube; er stört mich in meiner Nutznießung nicht durch dreißig Jahre, und dieser Zeitabschnitt eines ungestörten Besitzes genügt, um ihm den Charakter eines absoluten Rechts zu verleihen? Nun wohl! DaS 1834 er Gesetz ist vor dreißig lahrcn gegeben Worten; es sind dreißig Jahre, daß dasselbe alles gestattet, alles geduldet, allem tie Weihe crtheilt hat, und ich sollte den Vorthcil tiefer Weihe nicht anrufen könneu, Wenn ich es des bescheidenen Rechts eines servituts wegen kann? Das ist es was mich dcmüthigt und empört! Es sind also dreißig Jahre ohne daß es bestritten Werten kann, ohne daß ein Protokoll aufgesetzt worden, ohne daß je ein Politiker beunruhigt Worten, daß das Gesetz vom Jahr 1834 in Sachen ter Wahl»ereinigungen und selbst dessen was Sie Affiliationen nennen, b t. ter Verzweigungen, ter Ucbcrcinstimmung, alles gestattet und allem die Weihe ertheilt h^t. Man hat gesagt tie luli- Regierung fei gestürzt werten weit fit sich ter Ausübung des 23erfamiiilungSrefl)t3 widersetzt hätte. Sie Wollen allem bedenken, daß ta« »»als tic Frage über taô V.'reinigungsrecht selbst aufgeworfen worden war, welches rie Regierung streitig machen wollte." Jules Favre verliest einen Bericht über ein Wahlbankett aus ter Feder Lamartinc's. „Die Last ter regierenden Gewalt fiel damals auf die Männer, welche hier sind, und gegen die ich gestern so zahlreiche Vorwürfe schleudern hörte. Gestern sagte ter faiferl. Advocat in einem verächtlichen Ton uno in der That mit großem Muth : da') jene Männer tie regierende Gewalt in die Hano genommen, daß fie sich selbst zu Prägern derselben gemacht hätten. So viel ich weiß sind jene Männer von ter Nation berufen und eingesetzt worden, und haben dieselben am Tage nach rein Sieg siele Stirnen sich in den ©taub neigen sehen; gar nicht weit dürfte man geben um zu dem was ich sage Belege und Beispiele zu finden. Sie bildeten den Zielpunkt amtlicher Tchrauzen , wcldie heute die mit Koth bewerfen denen sie damals Weihrauch streuten. CÖetfall.} Präsident: Solcher Manifestationen sollte man sich lieber enthalten. Ehren Sie die Worte des Hrn. lulcs Favre tu anderer Weise. Diejenigen,, welche sich den Beifall erlauben, sind nicht würdig im Innern tes Gerichtshofs zügegen zu fein, Spenden Sie, wenn ©te wollen, Anfall im stillen, aber nicht auf tiefe Art. Inles Favrc: „Haben ttve Wahlcomit«'s bei Gelegenheit der Wahl tes Präsidenten ter Republik nicht etwa zu Paris in der Rue be 9?eaunc einen allgemeinen Wahlcongreß abgehalten? So »ici ich aus der WahlPraxiö feit 1834 gelernt habe, hatte man nie bis auf den heutigen Tag daran gerächt bern Gesetz den Sinn beizulegen den man ihm heute beilegen will. O ich begreife es, daß tas öffentliche Ministerium sich in die »on ihm sogenannte moralische Permanenz zurückzieht; wollen Sie in dieses Somité alle aitfnebmen die mit uns I>npatl)i|lrcn, so nehmen Sie doch einen weitergehenden v;ntrag, und dann wird dieser Geriebtsfaal nie groß genug fein um alle Beschuldigten zu fassen. Wie! weil ich einem greuub gegenüber meine ganze Znncigung, meine ganze Hingebung, mein ganzes Gefühl für ihn kundgab, soll ich bestraft werden? Wie! weil wir uns über unser gemeinschaftliches Hoffen aussprachen, weil wir »on der Sieherstellung ter Größe unseres Vaterlandes durch die Opfer seiner Kinder träumten, deßhalb foüen wir Aufruhrer fein? D da möchte man lieber fein Antlitz im ©taub bergen um die Schmach seiner Erniedrigung zu verdecken! Ich wiederhole, um meine Aufgabe zu löfcn, daß ter öffentliche Ankläger in feiner ganzen Antragbegrün düng nichts vorgebracht hat welches dieselbe, Wie es tod) nothwendig Wäre, rechtfertigen könnte. Vor allem hätten es mehr als 20 Angeklagte fein müssen. Wohlan, der Hr. Staatsprocurator hat das nicht im geringsten fertig bringen können, ungeachtet der langen Entwicklung in die fein unermüdlicher, eifer sich einlassen zu müssen glaubte. Wie wollen Sie Denn nun die Zahl der Brschuldiglcn voll machen? Vielleicht m irgendeiner fernen Wolkenschicht? Sie vcrmuthcn daß Vertraute vorhanden sind. Ader weßbald nennen ©te fie nicht? wef;balb lassen Sie fie in gcheimnißvollcm Dunkel? Sie verschmähen doch bas bcmitlcioenewcrthe Almosen Ihrer Nachsicht. Wenn ®lfict)[örmigfeit des Wünschcns, des Hoffcns genügt, 0 dessen gibt eS viel, und um alle hier er]d)einen zu lassen, müßten diese Räume gewaltig erweitert werden. Aber ich selbst gehöre zu ihnen, denn aud) ich bin um Rath befragt Worten, auch ich habe gedacht und geschrieben, und will mein Geschick nicht von Dem meinet Frcuude^trcnnen. Mit ihnen war ich mit Herz und >»eele, unv ich »erlange mit ihnen in eine Reihe gestellt zu werten. Ich Wäic ter Vierzehnte, unt könnte fie vielleicht von tiefer Unglückszahl erretten die ihnen eine Vcrurthcilung zuziehen zu sollen scheint. Nein, meine Herren, es gehört etwas anderes zu einer Verbindung, sie muß wesentlich actiu geweten scyn. Wollte ich mich in einer, ich möchte sagen jubftbiarifd)cn Theil meinet- Discussion zurückziehen, so würde ich den Beschuldigten lagen daß sie zu zurückhaltend waren, daß fie den ganjen Umfang ihres Rechts nicht gekannt, und daß sie tb,r Vorgehen nicht einmal bis an die Oränzcn der Gesetzlichkeit ausgedehnt haben. Mehrcrc »on der Staatsanwältschaft »crle|cnc Briefe berührend, welche gewisse Zwistigkeilcn zwischen den Angeklagten enthüllen sollten, geißelt Jules Favre ein Verfahren, welches Darin benclit auf solche Art sich hinter der Freundschaft zu verstecken, um deren Ergüsse zu entstellen. Mc diese Männer siud meine Freunde, ich kenne ihrer aller Herz, und um nur von Hrn. Garnier Pag,!s zu reden, der mir spccicll feine Vcrtheivigung übertragen. hat, so t|t das WaS ihn auszeichnet, wie allen bekannt, feine seltene Uneignmützigkeit. Er will daß «eine Freunde triumphiren sollen, daß sein Vaterlanv wiedergeboren Werben soll: Was ihn selbst betrifft, so stellt er sich auf den zweiten Platz; und wenn er heute die Ehre hat auf den Banken im gesetzgebenden Körper einen <&\§ zu haben, so ist bieg gewissermaßen ter Fall malgré lvi. Dem Hrn. 'kaiserlichen Arvocatcn hat es schwer ankommen müssen ein so trauriges >.> efd)äft zu verrichten, welches tarin bestand aus jener (Sor* respondenz alles hcrvorzusuchcn, welches Heine Streitigkeiten, die gar nicht eriftiren, noch »er schlimmem konnte. Wohl hat die Anklage sich »ergebens die Wollust des ÄnichwärzenS gegönnt. Die vollkommenste Eintracht herrscht unter uns, allen, dessen mögen Sie versichert feiu." Indem Jules ga»re sich über den Charakter des (Semite s erklärt, setzt derselbe fest daß es einzig und allein berathend war. „Sind jene Männer nicht die ehrenwertheften »on ter Welt? Sind sie etwa nicht »on allen gekannt? Weiß man davon nicht daß sie die &>äd)ti:r rcr Freiheit ftnb? '.'.ber, fagt man, das Pariser Comité hat in Verbindung mit tem ?Jiar| eiller, mit dem Comité vom 3ii'etcrr()ein, mit bern Comita der Vogcsen gestände, ! Ach, ei gibt fonbcibarc Arten und Hroll! Man biStutirt, disputirt, folglich ist man affiliirt. So argumentirt die Etaateanwaltschaft. Seinen Gegnern sagen, wie es der öffentliche Ankläger gcthan Wenn ihr euch einfallen laßt zu finden daß die Regierung nicht die großmüthigite aller Regierungen ist, daß ihre Politik nicht die größte Politik ist die es geben tann, fo werde ich euch auf die Armsünderbank des Zuchtpoliäcigerid)tes schleppen, und »on der 3ustiz »erlangen daß sie euch bestrafe, was so viel sagen will : daß wir in Zukunft nur leere und pompöse Erklärungen und vcrabfchcuungswürdige Lügen haben werten und daß bas Land »01l »on Fallstricken und Gefahren fein Wirb. 2lbcr ich beruhige mich, wenn ich um mich herum die Vcrtheidigcr der Freiheit sehe, 'wenn ich Bcrryer erblicke, der nicht allein der Fürst der Redner, sondern auch der leidenschaftliche Geliebte ter Freiheit ist; wenn ich Marie, den ehemaligen Minister, erblicke, fo bin icb sicher, daß ihre Beredsamkeit triumphiren wird; wenn ich Dufaure und Herbert sehe, die den Triumph der liberalen Ideen gesucht haben, so bin ich überzeugt, daß ihre Bemühungen Erfolg haben werten. Wir können mit heiterem Auge die vorübergehende Wolle betrachten, die Sonne wirb nicht ver- dunkelt werben." Die Sitzung wurde hierauf fuspenbirt. Die Vcrtbeidigcr und die Angeklagten drängten sich- um Jules Favrc, Man beglückwünscht ihn, man dankt ihn», uuC Bcrryer wirb »on allen Seiten mit Villen bestürmt, er möge bem Gerichtshöfe erklären daß die Verteidigung das Wort aufgebe. Nach Wiederer- Öffnung der Sitzung erhielt Marie das Wort, äJiavte: Hr. Berryer ist beauftragt cine Mitthcilung im Namen der Verteidigung zu machen. Berryer erhebt sich und sagt mit bewegter Stimme: Während der Gerichtshof feine Sitzung fuépent-irte, haben wir Vcrtheibiger und Angeklagte, »on unserer Bewunderung für die herrliche Rede welche Sic augehört haben beherrscht, einen gemeinschaftlichen Beschluß gefaßt. Wn sind alle der Ansicht gewesen daß nichts der so ergreifenden Beweisführung hinzuzufügen ist, welche man Ihnen von den edelsten Gefühlen und zugleich von den glänzendsten historischen Wahrheiten gemacht hat Wir finden in unserem Verstanv und in unseren Herzen nichts, was die Wahrheit, den Adel, die Höhe der Vernunft erreichen könnte, zu der sich unser College Hr Jules Favre emporgeschwungen hat. Präsident: Die Debatten sind geschlossen, der Gerichtshof wird in Verathung treten. Um G',2 Uhr, nach 41,41, ojîunbiger s^crat[)ung, fpricht der Gerichtshof fein Urthcil. Derselbe vcrurtheilt die 13 Angeklagten jeden zu SÜÜ Frcs. Geldstrafe. In bem Urthcil werden noch acht Personen, die durch ihre Subfcviptionen als zur »association illicite» geborene betrachtet werden, genannt, um so die gesetzliche Zahl von mehr als 20 Personen zu erhalten. Unter diesen befinden sich Marie feiner ber Verthcidigcr), Cremieux und Senart, alle drei Minister im Jahre 1848. Natürlich erhalten diese acht keine Bestrafung. Die übrigen „dreizehn" gehören jetzt zu £cnc'n welche der Macht ces allgemeinen Sicherheitsgesctzcs verfallen sind, d. l) jeden Augenblick ohne weiteres Unheil verbannt, internirt ober teportirt werden können. Wenn der Hof zweiter Instanz vfagt die Köln. Ztg,) bas Urthcil bestätigt, so ist es natürlich aus mit der Wahlsrcihcit in Frankreich. Die Menge die in und außerhalb tes lustizpalastes tes Urthcils harrte, war ungeheuer. Man unterhielt sich in den einzelnen Gruppen auf baS lebh^stenc. Der Name Jules Favre War in aller Munde; noch nie soll derselbe cine solche Rede gehalten haben. Das Urteil welches der Präsident des Gerichtshofes verkündete, würbe mit tiefem Schweigen angehört. Es erregte durchaus fein Erstaunen, indem kein Mensch ein freisprechendes Urtheil erwartet hatte, wie es denn überhaupt noch nicht vorgekommen ist daß, feit in Frankreich die politischen Processe den Assise« entzogen sind, in puliti>chen Dingen ein freisprechendes Urtheil gefällt worden ist. Paris, 14, August. [3um Napolconöfestc.l Paris hat heute bereits ein äußerst lebhaftes Aussehen. Die zahllosen Fremden und Provinzialbcwohner, welche seit drei Tagen alle Eiscnbahnzüge nach Paris bringen, füllen die Boulevards, die Hauptstraßen, die öffentlichen Plätze, die clysäischcn Felder und das Boulogncr Holz und ersetzen aufs reichlichste die Pariser, welche die beiden geiertage aufs Land gelockt haben. Der Anblick der Menge selbst ist übrigens nicht ganz de: alltägliche: mau sieht viele fremdartige auch altmodische Trachten; den Engländern und den Provinzlern, besonders den Toiletten der Damen, sieht mau es auf den ersten Blick an, daß fie nicht an die Pariser Luft gewohnt sind. Viele fperren Nase und Mund auf und gaffen Alles an, selbst die Postkutschen, in denen Hr. Milaud fein „Petit Journal" in den Straßen von Paris promeniren läßt. Die Anstalten zu bem Feste selbst, das, man kann es wohl sagen, in Paris eigentlich nur für die Nichtpariscr gefeiert wird, sind vollständig beendet. Die französische Hauptstadt bietet bereits einen ganz feierlichen Anblick bar. Sonst wirb noch den ganzen Tag »or tem 15. August gearbeitet. Da aber heute Sonntag ist, so sind bereits gestern bit officielle« Vorbereitungen beendet worden, und die Ëiifé's, Bicrwirthschaften, Restaurants, Hoflieferanten und alle übrigen loyalen uub ergebenen Leute haben bereits heute ihre Fahnen, Banner, Lampions und Glasglocken ausgehängt. Die elysäischcn gelber und der Eintrachtsplatz, welche den Mittelpunkt des Festes bilden, bieten einen ganz prächtigen Anblick. Um den Obelisken herum, der sich bekanntlich in der Mitte des Eintrachtplatzes befindet, hat man einen glänzenden, mit Laubwerk geschmückten Tempel errichtet. Adler und Trophäen zieren ihn. Die beiden großen Fontainen, welche sich zu beiden Seiten des Obelisken befinden, bilden den Mittelpunkt von Gärten, die man auf dem vorgenannten Platze improvisirt hat. Wem der Tempel geweiht ist, konnte ich aus der Entfernung nicht erkennen, wahrscheinlich hat der Erbauer semer Phantasie ganz freien Lauf gelassen ; es kann aber auch fein, daß er der so viel gepriesenen, aber auch in ein gewisses Dunkel gehüllten Herrlichkeit des zweiten Kaiserreichs gewidmet ist. Guirlande« »on weißen Glasglocken, die man durch Gas erleuchten Wirb, ziehen sich um den Platz herum und zu betten Seiten der Champs (.)icc« hinauf. Das Ganze erleuchtet^ wird einen sehr malerischen Anblick gewähren. Die Decorationen der Barriere bu Trone, am Ende der Champs Elysecs gelegen, sind ebenfalls ganz geschmackvoll. Sort sowohl, als auf dem Platze »or dem Invalidcnhotcl finden die Vorspiele und Belustigungen, d. h, cine Art von Jahrmarkt, statt. Die Budcnbcsitzcr haben sich den heutigen Sonntag zu Nutzen gemacht und bereits ihre Geschäfte begonnen. Für die Fremden , die Paris an solchen Tagen zum ersten Male besuchen, mag es ein eigent()ümlid)cs Schauspiel sein, in der Hauptstadt des Landes, das sich bas civilisirteste der ganzen W^lt nennt, die Marktschreier und ©aufler wiederzufinden, die sich sonst bei uns auf den Jahrmärkten und Messen, auf letzteren aber wohl in etwas besserer Ausgabe herumzutreiben pflegen, und dieses an einem Tage, wo man baS Fest des Souveräns feiert, der sich der Ciste des Weltalls nennt. Diese Belustigungen sind natürlich nur für das gemeine Volk bestimmt, aber man darf sich doch wundern, daß selbst bas Volk der Stadt, die sich baS neve Athen zu nennen pflegt, an der schrecklichen Musik, die man bort hört, und an den dicken Wasserköpfen junger Kinder, fetten Frauen, Riesen, Gauklerkunstftücfcn und dergleichen Wohlgefallen findet, unt die Behörden sich für nicht ermächtigt halten, es an dem hohen Feiertage dieses Vergnügens zu berauben. Der Himmel selbst scheint dem Feste gnädig sein zu wollen. Wir haben heute den prachtvollsten Sonnenschein; es ist zwar etwas heiß, wenn es aber morgen fo fein wird, so werten die Wein- und Kaffcewirthe höchst glänzende Geschäfte machen. . (K. Z.) Paris, 14. August. f/Fest zu Ehren des Königs von Spanien.] Im Folgenden bin ich im Stande, Ihnen das genaue Programm der großen Festlichkeit, welche am 20. in Versailles zu Ehren des Königs von Spanien gegeben werden soll, mitzulheilen. Es fehlt nichts außer dem Speisezettel des großen Diners, den ich mir die Freiheit nehme, zu unterschlagen. Die kaiserlichen Majestäten und der König »on Spanien dürften gegen 1 Uhr im 23erfailler Schlosse eintreffen und das historische Museum, so wie die großen Wasserkünste besuchen. Das Publikum wird während dessen in den Park zugelassen. Nach bem Diner [mit ter bewußten Speisekarte sott so unb so viel Ellen Sänge], bas in bem „großen Saale" des Schlosses stattfindet, wohnt der Hof der Vorstellung tes Molic:rc-Corneille'schen Festspieles Psyche an. Der Saal wirb von i2UÜ Gasstammen und 2UUU Wachskerzen erleuchtet sein Fräulein Favart von der Comédie française spielt die Psyche. Die Inscenesetzung wirb natürlich die glänzendste sein, die man sich denken kann. Fräulein Forta tanzt im Prolog einen neuen eigens für sic componirten „Pas". In bas Stück selbst ist ras Tanzdivertisfeincnt „die Jahreszeiten" eingelegt, zu welch m gleichfalls von der russischen Tänzerin Fräulein Mura- Wiclv ein Originaltanz hinzugefügt würbe. Nach bem Theater begibt sich der Hof durch die Treppe, des Latona-Vassins in den Park, um dem Feuerwerke zuzusehen, daß zwischen dem großen Kanal und bem Bassin des ïipoflo- Wagcns abgebrannt wird. Der Park wie der grüne Rasenteppich werden auf das feenhafteste illuminirt fein. Der Mond wird gebeten, um den (äffeet nicht zu stören, sich hinter einen Wolkcnschleicr zurückzuziehen. Das Fest endet bann mit einem Souper von IGO Gedecken, das in Spiegelgalertc de« Schlosses fcr»trt wird. Im Ucbrigen sollen die Zeit und die Feste Ludwigs XIV. dabei bis in die kleinsten Einzelheiten nachgeahmt Werben, nur ist man noch in einiger Bcsorgniß darüber, woher man in aller Eile die nötigen Molière, Corneille und Racine hernehmen soll, da in Kunst und Wisscnfchaftcn nach dem Ausdrucke des Unterrichtsministers ja „ein allgemeiner Verfall" herrscht. [^eorganifation ber Sparîaffen.] unbtgt mir on, bafj auf Silnorbnung bes ÄaifcrS bas Snfîttut ber „Spûrfaffcn" auf ganj neuen ®runblagen reorgani|trt unb m.e(jr m Ueber« cinftimmung mit ton Sebürfniffcn beregen« wart gebradjt werten foll. ?(n bie Seite tiefer Sparfaffen würten „Sparbanfen"treten.
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ECOLE DE MUSIQUE de la ville de Luxembourg.
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ECOLE DE MUSIQUE de la ville de Luxembourg. la solemniié de clôture de l'année scolaire 18G3 — 18C4 et lu disiributioo des prix aux élèves de l'école de musique auront lieu le mardi, 25 de ce mois , a 4 .heures de relevée, dans la grande salle du cercle. Les parents des élèves et les personnes qui s'intéressent à l'enseignement musical sont priés de bien vouloir honorer de leur présence celte solemiiiié. Luxembourg, le 19 août 1864. Par autorisation du collège des bourgmestre et échevins, Le Directeur de l'école de musique, A. ZINNEN.
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ÉCOLES PRIMAIRES SUPÉRIEURES DE LA VILLE DE LUXEMBOURG.
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ÉCOLES PRIMAIRES SUPÉRIEURES DE LA VILLE DE LUXEMBOURG. Les examens publics des deux écoles primaires supérieures de celte ville auront lieu LUNDI prochain, 22 août, dans l'ordre suivant : Ecole des garçons: 2" division, à 8 heures du malin, 1° divisiou, à 10 heures du matin. Ecole des filles: Divisions réunies, à 2 heures de relevée. Par autorisation du collège échevinal, Le Directeur, GODÂRT.
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Fonds und Geldcours.
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Fonds und Geldcours. I SiT. 6ourB. Se(ter Souri .3 p. °/oBaar./0Baar. . . .66. 45 t^P'Vo 95 S3S3 Italienische Anleihe . 68 35 S Römische Anleihe. . 7G1/, sranz 23<anf. . . . 3320" <-> Äobiliar.Ciebtt. . . 1016 „- Ostbahn ..... 490 - ôtanpDejier. . . . 428. a römische Bahnen. . 333 75 5 Victor Emmanuel . 350 (SuiU..-l'uHUtl). Actien — — d° Oblig, — —• 66. 40 94. 50 68. 40 75'/, 3390 1030. 490 430. 337. 50 350, 135 I K< ./Anleihe 4'/«?/» 99 85 |h9iationalbanf . . . 2095 Sm-lg. Bank .... 1140 Z Wömische Anl, 75 50 î- Ocflcr. Mclall. 5%. 61 50 " aalten. Sudl'. Obi.. 206. 50 - Settalsîoofaii d". . 377 50 tej«)ui(l.--Suremb. b°. . — — ~ d" Äctien, — — s Grand-Suifmb. Cbl. 470 99 80 2100 1140 61 75 206 50 377 50 257 137 475 s ,> i£-'Brw. Anleihe 4'/, °/o- 102. bz. S Staats.-Nnleihe 5°/0 . 1061 b, g Oesterr. Metall 5P5P.u/() 6o*/8 bz. „ Nation. sp. "/« 7u3/43/4 bz. - Preuß. Bank-Änll,. . 137'/,. bz. c t'urtnib. Inl,rn.-Nanl. 105'/4. - Köln-Minden . . .193 bz. S 'Nhein-Nahebahn . .25 b,. S Rheinische .... 1041 bj 102 bj. 106'/8. bz. 63»/. dz, 10%, dz, 137 dz. 105. B. 193'/, 63. 25 bj". 104'/. Hz. gronff. 17. Stuguft. ?uxb. 3Meni..Banf . 105'/, ïurcmb. anleif)t47o. 9O'/4. 6" 1863 4°/0 . 891/, Su Eu 105'/,. 90'/, 89'/. F Metall. 5 "/„. . . .72 75 f Nat!onal-A!ileihes°/«. 80. 75 S OeNerr.-Fianz.Slsdh: 196. - «ItfabetObabn . . 132. S Scftbaljn 156, 50 g A°rlbahn .... 191 London, 17. August. 893/s Cousols, amßciCam, 17. August. !slllUSch.2'/2°/°. 62'/, 72. 80 80. 80 1116. 50 135 50 161 52. 189. 75 89«/. 62
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Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht Jg. 1864, n° 195
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Nû 195. Samstag, den 20. August 1864 I 17. Jahrgang. Luxemburger Wort Abonnements-H reis■ pro Quartal: F». 3 00 für Luxemburg. „ 4 15 im Troßherzogthum Luxemburg. „ 6 15 für Belgien und Holland. „ 9 30 für Franlreich und Deutschland Preis per Nummer: 15 Centimes. für Wahrheit und Recht. InsertionSgebühren 20 Centime« per Zeile. 15 „ für die Abonnenten. ' Vertragsweise billiger. Erscheint täglich mit Ausnahme der Sonn- und Feiertage.
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Eisenbahnzüge zur Sommerzeit. (Seit dem 1. Juni 1864.)
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Eisenbahnzüge zur Sommerzeit. (Seit dem 1. Juni 1864.) Xiïi}oy 1 |i«n»f. . (5><m)ei i ci l Fwligliniel, > ! «. ( 9?ar. , U. Deutsche finit. (l 4« Abf. ??t,mbg. 73S» 4SS- Abf. Oetving . 75J - 52J — Merteri . 83, - 5.,' Ank-Tn^. . . 908- 6:,- — §>navbrcf.ilOss 1«- -£bf-@«o:»c(î.l „ 2,«- - Stic. J63O» ,j.°- Meiert '.|72S - 405-; — Dthiaa. 183t- 43S- 2nf. 8ttttai% 900 • irmibutti und tiqtnige yo KVln, I .U.) I Belgisch, ; fit 1 lit. ( I :tef! . Par. u. B II 1 »«ff. I UÈ>r.; I Uordlioie, 1 1 1 8^' 9„3- 10- 1»- 7„„ - 11 m 11 1 93O- 9,, 9«2' 10,»- 12oo- lw* 6,5- 8.0- !2ibf. 3îari« . — ©trop. — Uianjifl.. — Metz.. . — £ijton». — Vittemb — Flntmss, Änk.Lmewb. 1 7,„m Abf. ». ïurb. 12„ • Abs. Blttb. . 5,5- iini. (g. a./a. 800 - «bf. V. 0./21. 9„ - Ank. Bettb. . 10Ô,- Abf. l'urbg. 1019 - Abs. Vettl'. . 1030- «tif. Ott.. Abf. ûttaitgt um u. anf. >Ztttb.. niitfn zurück nach tc m m 95S 10,. IO30 Hoo i*,1 2"' «:' 4,0- 94.' 11»- 12°,' 12,5- 1°«' ' 805« 83,- 9M- 10„- Abf. ïutembg. Abf. Nirtiing. — Planier . — Eapell«. — 53tttinfjcn — ©tttpen . A»k. 2(c(on . . — Namur . — Lüuich. . — Viüffel. . 9S°m 9..- 9.«- q ¦'29 9.,»- 1005 1«»' 3.»' . 0,0 - 2'°' 2o» " 2,.- 22« a».- 65,' 9.s- 8,5- KJf.e.Suttmï. Ans. Fentinn. — Betten, b. — Thi°nvM< — «)ietz. . . — îTanjiQ. . — (Strafsbfl. — P»n« . . 66< 0.« 6-7 - 7,, - 8,5" 103,- 3,»' 1020- 42o* 4j3" 4,«- 639 ' 6.s- 8,0- 7 ¦ 7*o • 9.- 3ï0- 4,,- 5,,- 6,,- 6«.- 7oo- 9oo' « 6,om 9oo- lO.o- llos- 11.7- llïS- 61." 1020- 3,°' 4«- 5»o 5» B" D30 7S0 9" 930 7so" Q Oos" 816- 824- 8j8" 9.0- 9jo- Abf. Brüssel. . — tattt*. . — ?iamur . — Jtrlon . . — Gtervtn.. — S3cttingtn — lîaplllen. — S^aintr. . — Siattvinij. 2lnf.Sr;irtmbg.j 1/ u tl fi° 622- 6,,- 6,3- 6„- 7O5- 63om 55o - 815- 12os- 12M • 12.6- 12,s - 1232- 12,0- 12so- 12,/ 12.0- 220- 620- 63O- 6i9- 63S- 6°' °so 7„„- Abf. ?uitmb„. — Wal^id.. — klersch. . — (StttlBtûcE Ank. Dicklich. Abf. Dietiich, — «'SttdbtucE — Mersch. . — Walfeid.. 2lnf. 8ur£mb9. 8S01" 9.i 9»- 10,, 10« 5jom 5«. 6S, 6«. 7Oi- 2.°'! 236- 3»,. 340- 3so - lloo» 11,5- 11.,- 12.9 12«' 8,°' 9.0- 9,°- ?35- 628- n "so- 7,1- 4,»'°° " 1 • - 5.1- 5.51» 7..' 8"" 85,- II Nach Paris nu ». 2. EI. um ir 1. L t 42«'. 1 SI. um 9 30 | »on Paris n I 1. 11. 2. Cl, I itiï 1 . um '40 • um i 1 um 8, n J " ' Il y ii« Uf)v nach tlM *l tarifer 2)imcii air iji 25 SWi ! in Su: I >nn K ûl uni I G SKinuten. - . ¦» i I itbcuii 1 I 'crg«n« unb • ï x » Nach! •:iii-.v.i; 1 l uiîb 1 | Sberb«. .-¦'• :
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Börsenberichte.
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Börsenberichte.
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Uebersicht der politischen Tagesereignisse.
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Uebersicht der politischen Tagesereignisse. Der König-Gemahl von Spanien ist zum Besuch beim Kaiser in St, Cloud eingetroffen. Nach den Vorbereitungen zu schließen, die in der kaiserlichen Residenz getroffen worden sind, werden die Feierlichkeiten zu Ehren des Königs Franz Mes übertreffen, was bis jetzt zu Ehren eines nichtfranzösischen Souveräns ge> schehcn ist und man fragt sich, was wohl den Kaiser bewegen mag, einem Fürsten, der nicht selbst Souverän ist und nur den Titel eines Königs führt, einen so feenartigen Empfang zu bereiten. Zwar erinnert man daran, daß die Kaiserin Eugénie voriges Jahr von der Königin von Spanten ebenfalls aufs glänzendste empfangen, worden ist und daß der Ve••• fud) und der Empfang des Königs in St. Cloud nur eine obligate Erwiederung ist, allein mit solchen ©tiqucttfraiiP" *»rU*rt >•— franz. Kaiser seine Zeit nicht und wie alle seine Schritte schon von weitem berechnet sind, so ist auch die Anwesenheit des Königs »on Spanien etwas mehr als eine Höflichkeitsformel. Die königliche Familie von Spanien ist der einzige Zweig der Bourboncn, der noch auf einem Throne sitzt; will der Kaiser, durch dessen indirektes 3un die Vourbonen in Italien gestürzt wurren, sich dieser unglücklichen Fürstenfamilie wieder nähern? Er muß es als einen Triumph erachten, daß ein Bourbone zu ihm kommt und ihm die Hand reicht. Und bann hat der Kaiser in und außer Europa Interessen, in die er Spanien hinein» ziehen will. Zunächst sind feine Versuche, in eine intime Allianz mit England zu treten, mißlungen und er sieht sich gezwungen, die Staaten zweiten Ranges sich verbindlich zu machen; dann und das ist die Hauptsache, fordern die französischen Interessen in Amerika, daß Spanien an der Seite Frankreichs stehe, daß Spanien namentlich dem Kaiserreiche Mexiko freundlich gesinnt sei. Wir sind heute froh, nichts vom deutschen Elend sprechen zu müssen. Was die dänischdeutsche Frage betrifft, so veröffentlicht ein Kopenhagen« Blatt 14 diplomatische Akten» stücke, worunter eine Depesche vom 7. Juli besondere Aufmerksamkeit verdient, weil sie über bas Verhältnis Frankreichs zu England Aufschluß gibt. In Folge der Kissinger Zusammenkunft nämlich sah Frankreich eine Allianz der Nordmächte als wahrscheinlich an und wollte sich England nähern; England aber nahm diese Annäherung nicht günstig auf, weil es sich die Hände nicht binden wollte. Der König von Preußen soll eine Zusammenkunft mit dem König »on Baiern in Ischl haben. eine furchtbare Feuersbrunst hat einen großen Theil der Stadt Limoges in Frankreich verzehrt. Der Norden der Vereinigte" Staaten Nordamerikas fängt an zu fühlen, daß sein Kampf gegen den Süden unglücklich ist; selbst die Ind. SB., die Vertheioigerin des Nordens, gesteht ein, daß die Situation jetzt dieselbe ist wie zu Anfang JBGI und daß die Friedensgedanken sich immer mehr Bahn im Norden brechen. Wir glauben bas gerne, denn statt Nichmond einzunehmen, ist Grant wieder nach Washington zurückgekehrt, bas er gegen Lee verteidigen muß.
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Folgende Schüler haben Preise erhalten:
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Inland.
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Inland.
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Schleswig-Holstein.
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Schleswig-Holstein. Die „Nordo. Allg. Ztg." erhält aus Hadcrsleben, 12. Aug., nachstehende Korrespondenz, wclche den Zustand der rückkehrcnten, aus ber dänischen Armee entlassenen schleswigcr in den lebhaftesten, leider sehr tüftern Farben schildert. Wir wollen daraus gegen die gegenwärtige Regierung in Kopenhagen feinen direkten Vorwurf begrünten; dieselbe mag in diesem Augenblick.wvhl ober übel gezwungen fein, sich auf Beamte zu verlassen, die eben jahrelang den Haß gegen die Deutschen genährt und in demselben jetzt noch in so unwürdiger Weise Luft machen; und wir glauben, daß es nur nothwendig ist, diese bcklagcnswcrthen Umstände zu konftatiren, um das Kopenhagener Cabinet zu den strengsten Maßregeln gegen diejenigen zu veranlassen, welche den Namen der dänischen Nation durch solche unwürdige Akte in den Singen ter civilisirtcn Welt kompromittiren und so wenig dem Wunsche entsprechen, dem wir bereits auf diefen Blättern Ausdruck gegeben haben, daß jetzt nach dem beendeten Kriege baldmöglichst freundschaftliche Beziehungen zwischen Deutschland uno Danemark herzustellen feien. Die Mitteilungen des Herrn Correspondentcn lauten folgendermaßen: Had er sieden, 12. August. Gestern Nacht und heute Morgen kamen gegen tausend, aus ter dänischen Armee beurlaubte Schleswiger N°rd!chleswsg7r'si'nß^^rZ?^..^"..durchmen. Ich meine, Alle gesehen zu haben, und erinnere mich nur Dreier, welche Röcke anhatten; die übrigen waren nur mit einem Hcmvc uno einer leinenen Hose versehen; einige hatten nur Hemd, Unterhosen und Holzschuhc an Alle boten aber einen im höchsten Grade jammervollen Anblick, Die armen Menschen , deren Civilzcug bei dem Brande von Sonderburg verloren gegangen war, hatten, ehe fie beurlaubt werden konnten, für ihr eigenes ©cld Kleidlingsstücke kaufen, und für die miseradeln Lumpen enorme Preise bezahlen muffen. Für ein Paar Bcinllcider, die mit Flicken besetzt waren, uno wie man sie auf dem Tiödlermarkte für einige Groschen kausen kann, hatte ihr Besitzer SS1/* Thaler bezahlen müssen; eine über und über mit Oclfarbcn beschmierte Wachstuchjacke hatte 8 Später gekostet u. f. W. Die Entlassenen, welche während des Krieges ohne Waffen gewesen waren und unter Aufsicht von Gensdarmcn Schanzen aufwerfen, Löscharbciten verrichten und den Bürgern auf Fync die Abtritte reinigen mußten, kamen frierend und hungrig, ohne einen Schilling im Vermögen hier an, und fanten bei dem preußischen Commandaten, Major v. d. Horst, sowohl, wie bei den Bürgern gastliche Aufnahme. Der Bürgermeister, dem die Noth feiner Landsleute »on dem Dr. Naben und dem Fabrikbesitzer Rist mit der Bitte um Hülfe »orgetragen wurde, entgegnete: „bic Leute hätten ihre Ankunft ter Civilrcgicrung in Flensburg melden müssen, bann würde ihm Zeit geblieben fein, etwas für sie zu thun, jetzt könne nichts geschehen." Sinters dachten tic hier garnisonircnden Preußen. Ich habe einen Gemeinen vom 60. Regiment gesehen, welcher einem kranken, in Lumpen gehüllten Schleswigs bewegt in tic Arme siel, ihn küßte und ihm feine Pfeife schenkte. Der Commandant stellte den Leuten Wagen zur Disposition; Bürger, Frauen und Jungfrauen schleppten Wein, Vier, Cigarrcn und Lebensmittel herbei und führten die befreiten Landileutc in ein Lokal, wo preußische Soldaten fie bedienten und durch herzliche Toaste U'illîcmmen hießen. Daß aber die Heimgekehrten Mitleid erregen mußten und ter Hülfe ter Ortsbchörrc be- dursten, mögen fügende Einzelnheiten bcwci- Jen, für deren Wahrheit ich die Statt Hader?-tcben als Zeuge aufrufe. Ein Entlassener hatte so heftige Augenentzündung, daß er vollkommen blind war. Dr. Raden und Dr. Hansen nahmen ihn sofort in ein Privatlogis und versprachen, sein beiden zu heilen; als er sich heute zu Dr. Raben führen lief;, wurde er von ter kurzen Strecke, die er zurückgelegt, ohnmächtig! Und diesen Menschen haben die dänischen Behörden in einer leinenen Hose übers Meer geschickt, die HadcrSledener Behörde aber nicht pflegen Wollen, weil es nicht von Flensburg au« befohlen war, Ein zweiter war südlich von Kolding von Koldinger Bürgern, die sich hier zusammen gerottet und mit Cbaussecsteinen bewaffnet hatten, um die „Verräther" zu steinigen, so mißhandelt worden, daß die ganze Kinnlade gebrochen und zersplittert war. Die Knuchenstückc stachen durch die Backe durch und nach Aussage ter Sterbe ist der Unglückliche unheilbar. Gin Dritter war von denselben Bürgern so mißhandelt, daß et einen Schädelbruch davongetragen hat. Er War so voll geronnenen Blutes, daß er kaum einem Menschen ähnlich sah. Einem Vierten war auf derselben Stelle lie Hand gräßlich verstümmelt Worten, und viele Andere waren mit leichteren Verwundungen davon gekommen. Daß diese Excesse gegen die Schleswiger überall stattfinden konnten, kommt daher, daß sie zu achten ober zehnen auf Wagen faßen und in der Nacht, ganz un»ermutb,et, von 50 bis 100 Bürgern mit einem Steinregen überfallen wurden.. Der Prinz Friedrich Karl hat von Apenrade aus sofort nach Kolding telegraphirt und den Behörden befohlen, die Heimkehrenden zu schützen; die Behörde in Haders' leben, die doch wohl auch berufen gewesen wäre, sich ihrer Landeleute anzunehmen, hat absolut nichts Zethan. Heute Morgen in aller Frühe kam ter Habegebener Amtmann Kjär »on Nipcn zurück, wohin die Civilregierung ihn geschickt hatte, um sich von dem Amtmann in Ripen'die Insel Romon übergeben zu lassen. Der dänische Amtmann weigerte sich indessen, dieser ?(ufforbciuB Su öliiuyw. , « <. -..._ fi-.. KllM jflp, fehl ter Regierung in Flensburg vorzeigte, er* mtterte er: „Solch ein Ding habe ich auch bekommen: ich gebe Ihnen aber Nomon nicht." Es blieb dem Hadcrslebener Amtmann natürlich nichts anderes übrig, als unterrichteter Dinge zurückzukehren und über den Vorfall nach Flensburg zu beriefen. Die Insel Slnoe außerhalb tes Haderslcbener Hafens ist noch immer von den Dänen besetzt.
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Deutschland.
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Deutschland. SBamficrjj, [2lbreï)e ter ba\)erifd)en 33ifd)i3fe an ten Sie äiugeburger »erb'ffentttcb.t ten Wortlaut ter ?ltreffc,roeldic bie in Barnberg »crfammclten bai)erifd)en Sst* fdjüfe an Se. ÏÏRa'i, ten Äönig gerichtet ©ic lautet: „Allcrdurchlauchtigsivr, Großmächtigster König, Allergnädigster itönig' und Herr! Sie 'nllerehrerbietigst treu gehorsamst unterzeichneten Erzbifchüfe und Aischüfe Bayerns sind in diesen Tassen nach Barnberg zufammengekommen, um sich in unmittelbarer perfön? licher Besprechung über einzelne die kirchlichen Interessen detreffende Zeitigen 311 verständigen. Dieselben erachten es in beut nämlichen Mas; als fie dem inner; sten Drang ihrer Herzen folgen, aie ihre Pflicht, bei diesem Anlaß den Ausdruck allertreuester Hingebung und Unterwürfigkeit, welchen sie, jeder einzelne tsuver länigl. Majestät bereits dargebracht, in Gemeinschaft zu erneuern und zu den Stufen Leo erhabenen Thrones AUerhöchstderseli>n allerehrfurchtsvoll niederzulegen. Das Fundamen: des christlichen Staats ist das positive Sljriftentfium. Als Bischöfe der Kirche zu Wächtern des einen, heiligen, in der tatliolischen Kirche hinterlegten Offenuarungsglaubens bestellt und zur Pflege und Förderung desselben in den Seelen der Gläubigen berufen, werden wir 311 keiner Zeit ermangeln, in gewissenhaftester Csrfiil'.img der von Gott überkommenen Verflichtnna,, für Festigung und Sicherung Desjenigen wirksam ju sein, mas die Regierung linier !ön,igl. Maie>!äi zu einer für das bäuerische Volt segensreichen und für Allerhöc^stdiefelben beglückenden '311 machen geeignet ist, wir werden 311 keiner Zeit ermangeln, unfern Diöcefancn katholische Grundsätze und Gesinnungen 311111 kostbaren (Sigentfjunte 311 machen, und sie durch Wort und Bei^ie! zu lehren, „wie man Gott fürchlen und den .König ehren und der Obrigkeit um Gotte^willen unterthänig fein muffe". Wir verhehlen unâ hiebei keineswea^ die großen Schwierigkeiten, welche sich der Erfü^ung unseres Bernfes namentlich in unferen Tagen entgegenstellen, Ein giftiger Hauch der Negation droht mehr und mehr allen pofiliuen Glauben zu zerstören; die Fmidanientnllchren des Christentlnims werden in frivolster Weise von gottlofeit Schriften bekämpft; die Kirche, die Braut des Herrn, in einer Unzahl von Sag- und Voltsblättern ohne Unterlaß verspiel, ucrdächligt, verleumdet. So groß aber die Schwierigkeiten immer fein »lögen, welche den gegenwärtigen Zeituerhältmffen gegenüber überwunden werden sollen, wir werden zu keiner Zeit anstehen, denfelben inutljtg die Stinte zu bieten und die heilige Sache bor Kirche und die durch sie bedingte Wohlfahrt des Staates »u schirmen und zu verteidigen; denn uusere Hilfe ist im Rainen der Herrn und unter dem Schichmantcl der allerseligsten Patrona; liavnriir. Die Bürgschaft für der Kirche und des Staates Wohlfahrt und Gedeihen liegt vorzugsweise in der entsprechenden Heranbildung de« nachwachsenden Geschlecht darin, daß die höhere wie niedere Schule in innigem Verdand wahre kirchliche Gesinnung in den jugendlichen Seeleu wecke und pflege. Je mehr in unseren Sagen baS Element des pojitiuen Glaubens auf dem Gebiete des Unterrichts und der Erziehung in den Hintergrund gebrängt werben will, ja offenkundig nicht blos oernarlHäjjigt, sondern geradezu angekämpft wird, desto gewisser' wird dadurch' der christliche Staat feiner Selbstauslösung entgegen gedrängt Die Forderung an die Schule wirb in dieser Beziehung eine um so größere und inteufiuere, als lejbcr das Familienleben unserer Tage mehr und mehr dasjenige zu sein aufhöre, was es einstens gewesen, und mehr und mehr von der Ncchrunq uni) Pflege kirchlichen Glaubens und Lebens abzufallen droht. Von diesem Gesichtspunkte nns E)a&en mir bei unserer Versammlung dahier namentlich auch die gegenwärtig mit größtem Nachdrnct angeregte Schulreformfrage unserer sorgsamen Prüfung »utcrzogcn, und diesbezüglich unsere Ansichten und Einträge der hohen Staatsregierung tew. f. Majestät zur geneigtesten Würdigung zu unterbreiten uns erlaubt. Wir sind des festesten' Vertrauens, daß (Sw. k. Majestät wie in dieser wichtigen Angelegenheit der Sso!fofd;ule, fo auch in altem demjenigen, wn« den Gerechtfnmen nnd der Aufgabe der Kirche gemäß ist, bic landesväterliche gerechte Gewähr und weise Fürsorge dem ailerehrfnrchlsuollsten lHpiscopat Bayerns, welcher feine andere Devise hat als caucorilia inter Imperium et Baccrdolium, al!erhu!duo!lst werden angedeihen lassen. In Vereinigung'mit unseren Diücesanett werden wir nicht aufhören tinfer demüthiges Gebet zu ©Ott bern Slllgütigen zu richten, auf daß er (Sw. k. Majestät in seilen besonder,! Schutz nehmen und mit beut Licht feiner Weisheit und der Fülle feiner «rast ausrüsten möge, 311111 Segen des bayerischen Vaterlands unb zu einer (iw, k, iuiajejtüt freudenreichen Regierung auf viele, viele Jahre! In allertiefster Unterwürfigkeit geharren Barnberg, am 21. Juli 1854, (Sro. t. Majestät allerchrcrbieiigst ireugehorsamste lirzbischüfe und Bischöfe Bayerns! -p Gregor, Erzbifchof von Mlnchen'Freising. | Heinrich, Bischof von Passau, j Ignntius, Bischof von »iegensbulg. 1' Pankratius. Bifchof von AugLbl'.rg, f Michael, (irzbischos von Barnberg, t G. Anton, Bischof von Würzburg, 1' Nikolaus, Bifchof von Spet;er. 1' Georg, Bischof von ©id)|täbt.
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Frankreich.
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Belgien.
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Belgien. Nous étions certain que le ministère belge avait tout mis en œuvre pour triompher dans les élections ; nous pensions cependant qu'il avait voulu conserver à son action quelque apparence de légalité, et, parmi les moyens électoraux à son usage, nous avions oublié de placer l'émeute, les menaces de mort, etc. C'est cependant a ces manœuvres qu'il faut attribuer en grande partie l'honneur du succès remporté par. la Gauche de l'ancienne Chambre. Voici ce que nous lisons à ce sujet dans le Bien public de Gand : «Le pays a éprouvé une douloureuse impression en apprenant que les catholiques avaient succombé à Bruges, Comment, se diton, ce désastre s'est-il produit? An d 2 janvier , les catholiques remportaient à Bruges une victoire brillante, qui fut renouvelée le 25 mai. Comment donc ont-ils pu essuyer la défai'.e du II aoùi? t La réponse est toute donnée à Bruges, où, quinze jours durant, nous avons vécu sous une pression révolutionnaire des plus hideuses. Des bandes de 70 à 80 goujats parcouraient tous les jours la ville, se jetant dans les cabane« et semant partout les menaces d'une révolution si les catholiques triomphaient. Le sang coulera, criaient ces bandits, qui répandaient au loin la terreur. « L'argent était semé partout a pleines mains; cc qu'ii y a eu de corruption dans et hors la ville est incroyable; si les catholiques avaient à leur disposition va parquet complaisant, on verrait paraître au grflid jour non plus de prétendus corrompus au moyen dune piine de bière, mais des hommes ayant trafiqué de leur vote pour des sommes considérables. «[lien ne saurait être comparé au travail officiel quï a éié pratiqué tant en ville qu'à la campagne : on peut dire que, dans cette dernière quinzaine, les affaires udmiuisiratives étaient quasi-suspendues ou subordonnées à des considérations électorales. « Les billets marqués ministériels ont été nombreux: c'est cc que tous les électeurs ont pu constater; déjà au 23 mai cc système iriquisitorial avait été largement pratiqué, et nos adversaires avaient impitoyablement exécuté ceux qui avaient bravé leurs menaces. « Toutes ces causes réunies ont produit notre défaite de jeudi; mais cette défaite ne peut nous décourager: il y a de 57 à 45 voix à déplacer, et de nouveau le district de Bruges échappe à la domination de la coterie doctrinaire. Kos amis et nous, nous y veillerons avec un courage que l'échec du 11 ne lassera point.» L'Ami de l'Ordre de Cliarleroi signale des faits encore plus caractéristiques : «La violence, l'oppression, la tyrannie libérale se sont largement signalées dans la journée et dans la soirée de nos élections. «Plusieurs prêirns ont été insultés. Rue des Fossés, l'un d'eux, traversant les groupes et les bandes qui se formaient sur cc point pour la manifestation, sest vu accoster par un individu qui est venu lvi crier jusque dans la figure: A bas la calotte! en ajoutant celte menace ignoble: Gare à la peau! «Sur la Grand-Place, deux ecclésiastiques ont essuyé toute une bordée de clameurs objurgajoires. Les insulteurs se sont attachés à leurs pas, les ont poursuivis longtemps des mêmes outrages, en payant même de malheureux enfants pour crier avec eux. «Toute la soirée, nos rues ont été parcourues jusqu'à une heure très avancée par des bandes de manifestateurs chantant et criant, puis s'arrciant et redoublant des vociférations devant telles et telles maisons notées de cléricalisme. F Nous apprenons que les amis de la liberté de la presse, passant devant les bureaux du Courrier de la Sombre, y ont également signalé leur amour de la libre discussion en invectivant d'une manière indigne le journal et les rédacteurs. t Hue de Bruxelles, les cris de: A bas la calolie! A bas les Jésuites! étaient entremêlés de vivat pour un bien intéressant personnage; les manifesiateurs criaient vive de Buck! ce repris de justice si bien noté sur les registres du directeur de Vilvorde. <II est inutile de signaler, rue par rue, maison par maison , les faits et gestes des tapageurs libéraux. Toute la ville a été témoin de ces scènes d'agitation et d'intimidation. Qu'on nous dise si de tels spectacles ne sont pas la honte de nos institutions. Et comment se fait-il que des deux partis en présence, Pua se bornant à faire constilulionnellemeni usage de ses droits civiques, observant régulièrement la loi ci la Constitution, respectant la discussion , répondant uniquement par la presse aux attaques des journaux contraires, soit néanmoins, après chaque élnclion, exposé aux avanies ci aux insultes do ses adversaires, et, n'ayant fait nul mal, s'estime heureux encore quand les. indignilés de l'autre parii ne vont pas plus loin? Un pareil désordre juge une situation politique: il qualifie l'opinion que nous combinions. TEt pour conclure : de quel côté est la véritable pratique de l'institution constitutionnelle?* Voilà les œuvres du libéralisme. Et c'ost après de tels actes, dont le résultat, si important qu'il soit, est matériellement des plus minces, que les organes du parti en tonnent le chant de triomphe. Le correspondant du journal le Temps se voilait la face, il y a deux jours, devant le scandaleux spectacle d'un scrutin de ballotage ù Bruxelles entre un libéral et un clérical ; qu'il se console et qu'il relève la tète: tout semble présager que la terre classique de la liberté, comme ce journal appelle la Belgique, verra revenir les beaux lemps ou les catholiques n'osaient pas sortir de leurs tanières. Le Ministère a fait ses preuves en tolérant de semblables scènes, eu les provoquant peut-être; il couronnera son œuvre en les défendant sans douie a la tribune. Si quelques élections doivent être annulées, on peui tenir pour certain que ce ne seront pas celles dont nous venons de parler. Pour les justifier, on trouvera do belles phrases sur l'exagération naturelle du sentiment populaire, sur l'enthousiasme admirable des populations, etc. etc., tout le vieil atiinil de lieux communs dont les libéraux savent ingénieusement habiller leurs violences et masquer leurs illégalités (Monde.) On ne s'est pas abusé à l'étranger sur la portée de nos élections. La France, qui avait prétendu d'abord que le catholicisme n'était pas intéressé dans celle lutte, doit avoir aujourd'hui reconnu son erreur, en lisant dans une correspondance adressée de Bruxelles au Temps : «Aucun désordre n'est venu troubler celte manifestation solennelle de l'opinion publique, et ù Bruxelles même, au milieu d'une population peu favorable au parti catholique, plusieurs prêtres ont pu circuler dans la foule avec la plus parfaite sécurité. » La Gazette de France, en reproduisant ce passage, dit : « Accusez donc encore les partisans du ministère belge d'être intolérants ! »La preuve qu'on les accuse à ton d'hostilité contre le catholicisme, c'est qu'ils om poussé la mansuétude jusqu'à s'abstenir d'insulter et d'assommer les prêtres qui poussaient l'audace jusqu'à se promener publiquement dans les rues de Bruxelles ! »L'aveu est naïf de la part du Temps, mais il nous a par» bon à enregistrer. » Le Monde cite un autre extrait du Temps, ainsi conçu : « Je ne vous ai point encoie parlé de Bruxelles. C'est que j'ai honte, en quelque sorte, d'aborder celte partie de ma tâche. »Bruxelles, la vieille capitale du libéralisme, où les cléricaux, jusqu'à ces dernières années, n'osaient pas même sortir de leurs tanières, Bruxelles donnera aujourd'hui ù la Belgique le scandaleux spectacle dun ballottage entre un libéral et un clérical !» Le Monde commente ainsi les lignes qu'on vient de lire : «II ne s'agissait pas uniquement, on le voit, dune question de rivalité parlementaire, et le correspondant du Temps nous apprend le but demier de ses amis. Liberté pour tous! voila leur devise ostensible; tyrannie, violence, séquestration, voilà leur programme secrel. Il ne faut pas que les catholiques osent sortir du leurs lanières et donnentee spectacle scandaleux de la résistauce, même légale. Un pas encore, et ces tanières deviendraient des prisons solidement verrouillées; et la vieille capitale du libéralisme venait appliquer les mesures libérales d'Hébert ei de Danton, comme elle voit employer déjà, à l'égard des catholiques, le langage anodin du Père Duchesne. »
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Vermischtes.
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Vermischtes. Zxkt, 16. Sluguft. Die «Dcofcl ift Ijier faft auf ben Sïuflpunft am $eget gefunfen ; man fann bemnad) annehmen, baß [te nur met)r 13 —14 3olt gafjrtoaffer hat. (ïr.^tg.) Der Moniteur be l'Armec enthält eine ausführliche Schilderung der Manöver, welche Marschall Mac-Mahon dieses Jahr im Lager bei Chalons ausführen läßt. Die Verwendung der Tageszeit ist regelmäßig fcliente: Réveille um 5 1%, an den Sagen ter. großen Manöver um 4 Uhr früh durch einen Kanonenschuß; um tt1** Uhr Appell und Zusammentreten der Arbeiter cines jeden Corps; Grcvcittttm. Um 7 Uhr Bereinigung der zur Aufnahme in die Spitäler bestimmten Leute. Um 9*/ i Uhr hört die Arbeit ouf, Nastzeit von % Stunden. Um 10 Uhr Suppe; Rastzcil von 10 bis 121/*- Um \v:i Uhr Zusammentritt der Arbeiter; Appell zum Exerciren, um 4Va Uhr Appell und Einstellung der Arbeit. Um 5 Uhr Suppe, um 51/ a5l/a Uhr Appell und Aufziehen der Wache; um Sl/-S1/-- Uhr Zapfenstreich, um 9 Uhr Abend- Appell, um 10 Uhr werden die Lichter und Feuer geloscht. Zum Zapfenstreich, wie zur Neveille gibt ein Kanonenschuß das Signal. Die großen Manöver finden Montag und Freitag Statt. Jeden Sonntag ist große Militär, messe und Kir^en-Parade. Die Art und Weise, wie Mac-Mahon feine Truppen manöurncn läßt, und die in Frankreich neuer zu sein scheint, als in manchen anderen Ländern, schildert der Moniteur de lÄrmee folgender Massen: „Der Etabsmajor Vorek, der erste Adjutant des Marschalls, hat eben so viele Ziigc Infanterie und Halbzüge Cavalleric unter seinen Befehlen, als cv Bataillone und Schwadronen, eben so viele Kanonen, als er Batterien haben foll. Seine Truppen stellen mit drei Bataillonen Infanterie, zwei Schwadronen Cavallerie und einer Batterie cine feindliche Armee von glci» cher Starte, wie die des Marschalls wirklich ist, vor. Jeder Zug hat cine kleine Fahne. Drei Ober-Lieutenants von der Infanterie und einer von der Kavallerie befehligen die imaginären Divisionen zu Fuß und zu Perd." — Häusig ist vorher keine Disposition getroffen und verabredet, sondern der Marschall entwirft auf dem Terrain seinen Plan. Vald wird bann cine umgehende Bewegung, bald ein kräftiger Angriff gegen cine schwache Seite des Feindes ausgeführt, so daß dieser, um nicht zu unterliegen, seinerseits wieder rasch andere, als die von ihm vorausgesehenen Maßregeln ergreifen muß. Außerdem hat 3Jtac--SWal)on unter dem Vorsitze des Obersten Wolff vom 43. Regiment cine Commision niedergesetzt, in der jedes Regiment der Infanterie, der Cavallcrie und der Spc>.iülwaffcn durch einen Offictcr vertreten ist. Dieselbe soll vermittels einer Reihe proftischer Versuche die vorthcilhaftcsten Formationen auffinden für die Infanterie, um ter Cavallcric wirerstehen, und für die Lavallcric, um die Infanterie sprengen zu können. Zur Basis tiefe: Untersuchungen sollen tic Ergeb nisse des Gewehrfeuers auf bestimmte Entfernungen, die Zeit, welche man zum Laden braucht, so wie die Zeit, welche die Cavallerie zum Anrennen nöthig hat, dienen. Wie ter Moniteur te l'Armee versichert, werden tic hie> durch erzielten Resultate „sehr merkwürdiger Art" fein. Die Einfuhr von Petroleum nach England im eisten Semester dieses Jahres hat gegen vo» riges Jahr namhaft abgenommen. America lieferte bloß 4398 T. gegen 20,066 im selben Zeitraum vor. Jahres. Der Importwert!) war demgemäß von Pfd.°St. 264,528 auf Pfd. St. 100,051 gefallen. Es ist nicht gerade aus diesen Zahlenangaben der Schluß zu ziehen, baß der Verbrauch des Petroleums abgenommen habe, möglich, daß sich seitdem neue Bezugsquellen für den Continent erschlossen haben. Es hat sich Jemand tic Mühe nicht verdrießen lassen, aus den Liensus-Tabellcn Englands und Schottlands folgende Thatsachcn zusammenzustellen : In England und Wales gibt es nicht weniger als 250,000 Personen, die Smith heißen, und in Schottland gibt es der Smith ebenfalls mehr als 45,000. Auf 73 Engländer ober 68 Echottländcr kommt daher »on Rechts wegen humer ein Mr. Smith. Zunächst diesen kommen in England die Jones, in Schottland die Macdonals am allerhäufigstcn vor. In dritter Reihe stehen die Namen William, Taylor, Davics und Br on>n; in Schottland außer dem Letztgenannten: Robertson, Stewart, Campbell und Anderson. Unter den Taufnamen nehmen John und 3arne4; für Knaben, Margaret und Mary für Mädchen den ersten Rang ein.
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Immolliliar- Versteigerung zu Berdolf, Kanton Vchternach. Am Freitag, den Uten Februar 180», um 10 Uhr Vormittaas, werden auf Anstehen des Hrn. Peter Onst.n'dorf, veiistoniiter o>rein_nuifefj« in Uerdorf wohnend und »essen Kinder, öffentlich und auf mehrere Jahre Borg versteigert: 1. Gin geräumiges Wohnhaus, mit Scheu- uen, Stallungen, ©arten uub Wiese, gelegen zu Beroorf. in einem Zusam- menhange, von einem Flächeninhalt von 90 Aren ; 2. Acht Ackclstückc und zwei Büsche, auf dem Banne Bcrdorf, groß zusammen circa 17 Morgen. Die Versieigeruna ivmb in dem zu veräußernden Hause zu Äcrdors Statt finden. V Echiernach, den 1. Februar 1869. 181 Glj. Wolff, Notar. ——— " ' ~^~~~^—^——— Versteigerung cines Wohnhauses zu Snj'cmDiirn, im Grund. Am fünftigen Freit»,,, den 19. des lausenden Monats, um 3 Uhr des 'Jiadjmita.iê, lassen Johann Hatto, Fuhimnnn, wohnhaft im gedachten Grund, und dessen Kinder, ein Wohnhaus, gelegen im Grund, Thriertbor-Straße, zwischen dem Peter Hello und Witlwe Fehr. öffentlich versteigern. Die Versteigerung wird bei dem Gastwirlh Herrn Lu ja, im Grund,'stattfinden. Luxemburg, den 2 Februar 1869. 185 Snoifjc, Notar. Nachricht. Diejenigen Personen, die Forderungen an die oaciinte Nachlasse!'schnft des oeriiovbeiien Gomponiften Johann Bnpüsl edjillj tja'xn, sin» ersucht, se be an den unterschriebenen Kurator tec Nachlasscnschast einzusenden. "uxemburg, 31. Januar 18G9- 190 I. Grans, Notar. .'*'!'®S^^^** Unterzeichneter empfiehlt M'iiœ&lsi* elle11 reichlnUliaes Saaer in W^^ allen E'sen-, Stuhl , Mcs- fing: u»d SritoniüosÜß^nrcH sowie feine Niederlagen in eisernen feuerfeste« Geld- ichränken, eiwlischcm Gußstahl, französische Küchen- und Salon Defen (Godin-Lemairc), garanlirtcn preisgekrönten franz. Häcksel- unb Waunmaschi»en, Comptoir Waagen aller Art, geaichte gußeiserne und mcssings Gewichte, allerbeste solioe Secimalwaagen, verzninten Eisendrath für Spaliere, Sratl)fti?ten, sowie alle in das Baufach einschlagenden Artikel v. f. w. zu den billigsten Preisen. Jacques W.illL, Neves Quartier Nr. 0, der Fruchthalle gegen« 174 über in Luxemburg. Buchhandlung von Pierre Brück. Die hl. Mission während dcr Fastenzeit. 1. Sechs Fastenpredigtcn über das Leben der heutigen Christen. ■ 2. Sechs Fastenpredigtcn über die Buße des Christen. 3. Sechs Fastenvreoigtcn über evangelische Parabeln. Gehalten von einem fall). Pfarrer und herausgegeben von einem feiner Verehrer. Wohmlngsvcrändcnmg. Ich wohne jetzt auf dem Nost Nr. 1. Fiiaick Corn.. 176 Ebenist.
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Versteigerung von Vieh und Ackergeräthou zu Vüschdolf. Auf Ersuchen be« Herrn 30f06 Wetter, Bürger- meister und Clgenihümcr, iueroen in dessen Wohnung zu Vüschdorf, am St 0 u t a g den 8. Februar künftig um 9 Uhr Vormittags: 1) 18 Stück Hornvieh, worunter 9 Kühe, 8 Rinder und ein Stier von 2 Jahren. 2) 8 Stück Pferde und zwar 4 Wallachen und 3 Stuten, von 3 bis 5 Jahren, und ein Fohlen, 3) 2 Malbroughs, Teimer, Pflüge, Rollen, eiserne und andere Eggen, Pferdegeschirr »für 8 Pferde und eine große Quantität Wagner-Gehölz, öffentlich und auf Sorg versteig«". Merfch, am 24. Januar 18Ü9. 147 Stfilemoßt, Not«. Am S a m st ag, 6. Februar k., um 2 Uhr Nachmittags, lassen Maria Feiereisen von Fels und Cousorten: Ihr Wohnhaus mit Garten, zu Mersch au der 6traf3e nach Diekirch ge- legen, öffentlich und auf Vorg versteigern. Die Versteigerung findet Statt beim Gast- wirth Sraubcbourger. 107 Veschtmimt, Notar. ff^r^^ Am Freitag, den 5. Februar 1809, non S^S^ 1 Uhr Nachmittags ab, werden auf An- stehen des Hrn. Nilolas 211 e s eh, Schcnlwirth und Metzger in Luxemburg, «icke der Drcifalligieilsgaffe, wegen Aufhörung seines Wirthsgefchaftes: 16 Hotten Gor Wein, eine Menge große und kleine Fässer in bestem Zustande, 14 Hot- ten Branntwein, Gläser, Flaschen, 300 Krüge, eine Partie Cigarren, eine neue gut erhaltene Öierpreffion Stifte, Stühle, Vanle, u. f. w. eine Pfer- de-Kuppe für 20 bis 30 Stück -Jtaf und Mulle, gegen baare Zahlung zugeschlagen werden. Luxemburg, 2ü. Januar IB>>9. 149 I. SB. Schmitz, Gerichtsvollzieher. 4141i2 Fnder 1865 r Wein bester Qualität fino zu verkaufen bei Nie Wen«, Bildhauer in (üreoeninadjer. 109
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VerlooslMll non Kircheuparamenjen. Unterzeichneter beehrt sich den Herren Geistlichen, Kirch tuuo r ft e er u un)1 Gönnern der Kirche feine gesetzlich mitovifivte Loteric von Kirchenparamenten mit 127 Gewinnen im Werth von 7000 Fr. zu empfehlen. Soofe à 2.50, Prospectus gratis weiden auf S 3esife()r franco von dem- selben versandt. 1647 lilhVfi'GEM-FOX. Handlung non u9L^BE:ni- TïïJ- tj n. TT X« in Luxemburg (WilhelmsplaH.j Um zu räumen: Ausverkauf sämmtlicher vorjährigen Kleiderstoffe zu 1 Franken M Elle. 77 DBPOT DE contre les pellicules et la chute des cheveux 177 Grand'rue, No. 19. Mechanische Ziegel-Fabrik im Miihl eutuegb e i m 58 a l/n Hof Luxemburg von W'éeëm§* ÊiJEi/TJEM Zeughllusstraße Nr. 5. immer vorräthig französische Dachziegel, hohle und volle Mauer- und Wandziegel, Drainir- röhre in alleu ®imeufioneu, wie auch Ziegelmehl. Derselbe nnterhält in feinem Magazin im Zeughause ein großes i'ager von Brennholz Herbeumontcr, Dachschiefer, Steinkohlen und (SoocfS zu billigsten Preisen, auch Kochsalz und Viehsalz per Sack und Waggon. 1870 Roll- und Marquisen-lalousieen aus Eisen- oder Gukstahlblech empfiehlt für Schaufenster und Wohngebäude in neuester (imrichtung 189 Will). Tillmanns in Nemscheid.
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Vente de Domaines. l.« SAMEDI, 13 février 1869, ù 3 heu- res do l'après-midi, il stmi procède à l'hô- t^l >!!> Gouveinenient, sons les conditions jrénérale» de l'anèlii îi'-G. D. du 29 juin 1858 : 1) à une nouvelle vou!,- du réduit Mûrie, l'adjudication du lfi <!>^ De mois n'ayanl pas élé approuvée ; 2) à la vente en deux lots, d'une ;jor- lion de rempart, situé«» entre le cavalier C.iriiii.--, les maisons du la nie Aldringer, el >>> parcelle adjugée a M. Victor Reuter; les deux lots mesurent respectivement C ères, 8 c, et s'ares, 29 centiare*. Les concilions particulières de la vente du réduit Marie, sont annexées uvec le plein, à l'acte du 1(> janvier, ri sunt à voir chez le notaire MOTHE. Les conditions particulières de U vente des deux parcelles de >!«,!. ainsi qui1 le |ili!ii fi^iinilif, sont » voir chez le rece- veur des domaines. Luxembourg, le 28 janvier 1869. Le directeur-général des finances, 182 de COLNET d'HUART. Im CommtsfionL-Nerlag von Friedrich Pustet in Negensburg ist erschienen und kann durch die Buchhandlung Pierre Vriiil gleich complet ober in Lieferungen bezogen werden : ©rabmoiutmcntc, Kalligraphische AorlagMiitter, Alphabete in großem Maßstäbe für Steinmetzen, Bildhauer, Vnumcister, Schreiner, Maler und andere verwandte Gewerbe. Complet in C fiicfcriinflen. Preis pro Lieferung %t&. 4 50. Sic Herausgeber besitzen über den Werth dieses Werkes folgendes 8 e v 9 n i 6. Dem Herrn F. St. Niedermayr, Besitzer einer ausgezeichneten lithographischen Anstalt in 3le;cns- bürg, wird hiemit bezeugt, bau dessen Ausgabe »on 6 Lieferungen lilhographiiter (Srabmouuinente und Alphabete als ein höchst gelungenes und meisterhaf- tes Wert erscheint, welches einem längst gefühlten Bedürfnisse vollkommene Befriedigung gewahrt und meistens Original-Entwürfe bietet. Dasselbe ist ganz selbstslandig und mit .Maurers Orabmonumenten" nicht zu umwechseln, zumal es uor biefen allenthalben augenfällige Vorzüge befitzt, und in Folge dessen am!) von den Herren Fachge- noffen und lechnifchen Lehranstalt?» angeschafft zu werden verdient. Negensburg am 9. Dezember 1868. Stadtb im li v r e a 11. Pahl, Stadtbaurath. Bäuser- u. Ackerländereien-Versteigerung zu Tommcldmgen. Am Montag, den 8. Februar 1869, um 1 Uhr Nachmittags präzis, werden folgende Häuser- und Stderlänbereien, zu Dommeldingen, in der Schenke des Herrn Slrnonlö, öffentlich auf mehrere Jahre Sorg versteigert, auf Erfuchen : a) Des Hrn. luh. Schmitz, Fuhrmann zu Dom- meldingcn und semer Kinder : I. Sin Wohnhaus, zu Dommcldingen, mit Stall, Schoppen, «dem Platz und Barten, von 5 Ares, 8 Centiares ; 2) Verschiedene Ackerstücte, alle gelegen auf dem Banne der (öemeinbe Lich. b) iev Eheleute Philippe Kies, Gärtner und Elisabeth Schmitz, von Dommeldingen: (Sin zu Sommtlbingen gelegenes Wohnhaus netst Garlchen und Stall, genannt ,3luguftiusl)auê". 176 Weber, Notar. S chl oii c IM eist e r, Philippstraße Nr. 11, in Luxemburg, hält stets ein wohlassortiites Lager der neuesten franj. Defen, sowohl für die Küche wie für den Salon, 6omptomr>aaa.en, eiferne Wobel aie : Wie- gen und Bettstellen, Hausgeräthe, Beschläge in allen Gattungen v f. ro. W Prozent Rabatt. 5651 Wolinungsveriinderung. Ich wohne letzt äßrcttciimen 91*- 3. 62 Jean lentgen, Maurermeister.
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Verkauf cines Ackergutes zu Cöpern, Ranton Redingen, Herr Denis HoSTmanii, Eigcnthümcr in Dspern, beabsichtigt sein allda gelegenes Gut aus freier Hand zu verkaufe» : Es besteht in : »! Wohnhaus mit Oekonomie,Gebäuden, l») 11 jpeft. 00 Aren, 60 Sent, Ackerland, c)l „ 61 . 50 , Wiesen, 6) a . 76 „ 96 . Nüsch, <•) n » 3« , 40 , ©arten. Im Ganzen 15 Helt, 74 Sites, 50 Cent. Liebhaber mögen sich gefälligst an den Cigent6,ü= mer selbst wenden. 167 /f?lle. Meinen geehrten Gönnern bier; CK^^"^\\ m SUT gefälligen Nachricht, daß ich yks*^o§s meme Wohnung aus dem Hause «S^-—^.vZ^ T c& a r g e n in die ïeb,aufung der Same Witlwe Majeius, Straße Cilairetontaine verlegt habe. Reelle und gute Bedienung. Stauung für 30 Stück Pferde. Pierre Marson, IGI ©aftwirtb,. Stewkohleu 11 Koks Allen Steinkohlen- und Koks-Consumenten die ergebene Anzeiae, bafj beständig auf unserm Lager .heiliger (9cift-!|sla(j," hier, besagte Brennmateria lien in bester Dualität und zu sehr billigen Prei- sen ;u haben sind. m H. Delahllye v. H. Fischer. Dcfülitive Versteigerung kr obrrrn /clsmühlc Gemeinde Manternach, am Sonnlag, den 7. Februar 1809, zu ©renenmad)er im Friedensgerichtssaale. Greuenmacher, den 26. Januar 1669. 158 g e n b e r, Notar. Fortwährend trockenes Eichen-Scheitholz à 15 Franken per Korde bei Heinrich Tch«mbnrgcr. 51 Fijchinarkt Es wird ein Backerlehrling gesucht, am liebsten vom Lande, Wo ? jagt die Ex pedition d. 331. 124 Ein Förster im Garten- und Waldbau erfahren, such! Stelle. Näheres in der Exped. 136 Ein Änstreicherlehrling wird gejucht. Wo, sagt die Exued. d. AI. 164 Autoristrter Zahnarzt Herr JULIEN von Metz, ist zn sprechen zu Luxemburg im Hôtel de Luxembourg, am 2ten und 4ten Freitage jeden Monats. 60 Thierarzt in 53 ettcm6ur g. 1864 Frische Austern 50 b« Biicz-Joliaim. 1000 Franken werden gegen solide Hypothek zu leiben gesucht. Durch wen, sagt die Expedition, 67 Jahrmarkt zu Grelienmacher. Am Donnerstag, den 4. Februar 1869. lai Buchhandlung von Pierre Brück. Sic heilige Mission in der Menait. Fastlnprediatcn aus den Jahren 1810, 1812 und 1813. Sitra 17 Bogen in 80. Preis Fr, 2.25. W&M&'* Unterzeichneter empfiehlt ff|jj|||E|§j) sich für alle vorkommenden 'iW^^jgjg-^ Gelegenheiten als Aufwärter (garçon). Durch längere Praxis kann er jeden Anforderungen genügen. Michel Berchem, 3îeutb,orflrafîe, Nr. IG.
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Vau-Verding. Am nächsikün'tigen Montag, den 8 Februar 1809. um 1 Uhr beâ Nachmittags, wird die Ge- meindeverwaltung von Cfch a. d. Älzelte, im Ralh- hnuse daselbst, offcnllich zur tcftnitiDcn Verding- gäbe der arbeiten und Lieferungen, betreffend den Äau einer neuen dljanjfee zwischen Esch unb EHlc- ringen, schreiten Vertragsbedingniss^, Pläne und Kostenanschlag' letzterer im SBetraae um .... Gr., liegen auf dem Sekretariate der Gemeinde zur Einsicht offen. Ofch, den 2. Februar 1869. 187 Tic ©cmcinbcîSScriDoltung von Esch, Bekanntmachung. Am Samsiai,, den 18. Februar 1869, 1 Uhr Nach mittags, im alten Schiilfaale zu Fels: Oeffenlliche Wiedervcistcigeruug der Arbeiten und Siefcruugenben Vau eines neuen l^emeindehaufes zu Fels betreffend. Pläne und J?oftenanfd)lag, Unterer im Betrage von H4OO Frs, sind beim Staalsarchiteiten Hr. Arendt zu Luxemburg, und im Gemeindeselretariate einzu- sehen. Betreffende Submissionen werden 24 Stunden vor der Vcrdingsverhandlung beim Hrn. Bürger- meister in Empfang genommen. Fels, den 3. Februar 18G9. Sinner, Bürgermeister, 188 Prim, Sekretär. Meinen geehrten Kunden und ©ö'n= jjM^^BP nein zur gefälligen Nachricht, daß ich vSS^^"' meine Wohnung nach üujembura, The- rmen-Straße Nr. 10, verlegt habe. Gleichzeitig bringe ich mein Lager Don fertigen •.yinrmû.-Àijdjlilaiteii, Grabmalen,, rtamiiiai'.j'iii tzcn etc., sowie meine iùlacmorplatten für Hausfluren, weift-schwn", 14 Fr. den □ Mir,, schwarz-grau a 10 gr. und ul/iuarj u 8 Fr. den □ Mtr,, in empseh- lenb.1 tsrummmg. Diese Preise begreifen das (Sixle- gen der Platten in sich, Nämmtliche mein Fach betrefft'ubcn Arbeiten weiden auf's Pünktlichste und Billigste ausgeführt. ©ine giojje Auewahl non cLcmiuéci zum Preise von »0 bis 2000 Fr. stets uoirälhig. I. I. Weyland, 1951 Marmorarbeiter,
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Amtsstube des Notars Funck zu Caap. Pllppelbiiltme - Versteigerung ■ zu ©imincrn, (Sc^mel.o. Am Freitag, den 12. Februar f., last Herr Graf von Anlcinbulg bei der Bimmer=Sd)melj, 50 sehr starke Pnppelbiiume, 001: mehreren metein öffentlich unb auf Vorg versteigern. 186 3. <5. Funck, Notar. Buchhandlung von Peter Brück. 3as bevorstehende Allgemeine Eoucilium von Felix 2>u|ian(oufi. Nach der 4. Aufl. des Originals überseht »on F. X. Kraus. 2te verbesserte Auflage. STAUDT "IIEYEB Mechllnilcr u. Maschinenbauer, Neues Quartier Nr. 26, in Luxemburg, besorgt unter Garantie für deren Dauerhaftigleil lämmtliche die Mechanik betreffenden Arbeiten, wie Bau und Reparaturen non Nnhmafchinen für Schuster, Sattler, Schneider, Näherinnen, etc. Re- paraturen, an Dampf und sonstigen Maschinen. 1128 Ein Bauplatz in der Oberstadt, mit Gewölbe und von 4 Seiten mit Mauern umgeben, sieht aus freier Hand zu «er- taufen. Man wende sich an die Expedition. 1685 Hermann WOLFRAM, Rost (Snffc Nr. 3 in Lnxrmbura, Dom 23. Januar 18G9, Eröffnung meines Estaminet- »<.-«<!!»>'!»»<. ».Essen zu billigen Preisen. 142
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Aus dem Tornister eines Soldaten der Revolutions-Armec.
Luxemburger Wort
Aus dem Tornister eines Soldaten der Revolutions-Armec. Von Graf Theodor von Scherer. Aorräthig in der Expedition |.;9{a^brutf ist untersagt.) (Sottfetjung 150.) „Sffiaâ? an gouqutePÏinfliUe fd;reibft Su?" erruieberte id; betroffen ; benn id; umfjte, bafe Slnfetm jeber eblen §anblung, aber aud; jebeö unîlugen Sdjrittcâ fällig fei, unb ce ging mir cine f^limme Sltmung burd; ben Äopf." 3lufelm: „3a, an ib,n felbft. Sott id; Sir ben Sntjalt beâ 23riefe3 mtttljeilen ? 3d; bin jefet gerabe bamit ju (änbe unb l;abe nur nod) bie lluterfdjrift beijufe^en.'1 Sd;: „2ie3!" Slnfelm : „Sr ift nid;t lang ; l)öre !" Slnfelm naljm feinen skief mit gewichtiger 3Jlicne in bie .^anb uub laê: „^ouquiet'XintnDe! Su Ungeheuer, baS Die §öDc auSgefpieen, abid;culid;er ÜJiörber, ungeheures ©djeufal, bem id) feinen ©rufe entbiek, Su gibft Sir ben Snfcb/in, al 3 glaubteft Su, e 3 tjabe in St. Sajatuè ein GntroeidjungSfomplott beftanbeu, unb bejrocdft bamit, ein neueê 511 bereiten. 34 erfläre Sir feierlid), ba^ nie ein fold;e4 ©omplot bestanden hat, daß ich diese Wahrheit überall aussprechen und Deine abscheulieben Plane enthüllen werbe. Nur ich allein wollte entweichen, wisse es, ich allein. Somit hast Du auf feinen anoern Kopf ein Recht, als auf den met« nigen. Ich erwarte Deine Büttel und zum Schlüsse bitte ich Dich, zu genehmigen meme tiefste Serachtung, womit ich verbleibe, der Dich verabscheuende und Deiner spottende Stniclm." „Nun, lieber Freund, was hältst Su von diesem Vliese?" Ich: „Warst Su thöricht genug, einen solchen Vrief zu schreiben, so hoffe ich. Du werdest doch noch so viel Besonnenheit und Menschenverstand besitzen, ihn wieber zu zerreißen." Anselm: „Nun, da denkst Su sehr übel. Ich habe geschworen, daß ich diesen Sriif absenden wolle, und was ich geschworen, thuc ich auch." Wirklich blieb Anselm trotz meiner Vorstellungen und troß meiner Bitten und Thranen unerschütterlich bei feinem Vorhaben; er übergab den verl'ängnißuMen SWef dem Gcfängnihwärter, als er die Thüre unseres Zimmers öffnete. „Jetzt endlich glaube ich meiner Sache gewiß zu fein", sagte Anselm hoch erfreut, als er den Gefängnißwärter fortgehen sah ; sobnun ltaljm er mid; bei ber ôaub unb fprad; : „üajj bie böfen ©rillen fahren, bie ben ©eift uerbüftern. 2ßir l;aben nidjt meljr fo lauge miteinanber ju leben, bnfe Su Seine legten Slugenblide baju oerwenben follteft, mid; ju quälen. Um'* §immel§ raiHen, fei bod; nidjt fo traurig. 3d; wiE nur ber Sdjanbe eitt= geljen, ba§ ift mir ba§ SBidjtigfte." lim bie SJîitte beâ Sageâ erfdjien ber 3ta= liener SWanini auf wenige 3lugenblicfe in be= bcutungSooUer SBeife in unferem ©ang. Sie§= mal (;atte ber 33anbtt bie STÎaêfe abaeioorfen unb jeigte fidj, wie er war. „steine guten greunbe", fprad; er Ifify nifd;, „id; benfe, morgen werben Diele Seilte, bie mir fjeute ben Sftüden fefjrcit unb bie großen §erren gegen mid; fpielen, ihjen Äopr nerlieren." @nt}ücEt über ben Ginbrutf, ben biefe Sleufserung machte, entfernte er ftd; eis lenbë, oiellâdjt wol;l aud;, weil er mit 2(n= felm jufammenjutreffen fürchtete. Äaum war 9)cauini fortgegangen, fo farn bie jÇrau Seme, eine i^rcS SJÎauneê würbige ©jjefrau, biefe furchtbare SDiegöre, bie ftd) burd) ilirc unerfättlii^e ©raufnmfeit immer auSgejetdjnet b,at, unb machte uns bie 2lu= jeige, bafs ber fommenbe 2ag ein wichtiger ïag fei. Sa wir aller sßal)rfd)einlid)feit nad) nur nod; furje 3«' 5» 6en Ijätten, fo frage fie unâ, ob wir uufere legten Äoftbarfeiten i^r nid;t wollten, um unä bafür ein gutes Sffen ju uerfdj.iffen. 3n golge biefer Gtnlabung machte fie einige ©efdjäfte. yiafy fo t)ielen Stnjeigeit war fein 31Deifel metjr möglid). Ser nod; übrige £b,eil beS ïagel üerftrid; in tiefer £raver, nid)t, weil Me gurd;t »or bern Sd).iffot unfern SRutl) gezeugt, fonhern weil ÏÏJandjer üon und feine ganje gamilie fcb,u(s-- imo f;ülfloa im (Sfcnb jurüd'iaffen muf3te. 2lm anbern Sage, an welchem bie gräf3= liefen ©peifen bei 33ergifter3 périmai faft unberüfirt auf bern Sifdje ftel;en blieben, er= fcyten um mer Uf)r 9fiid;mittagS grau Seme an bern ©itter, welches unfern ©ahg abfd;lofj, unb fagte mit fpöttiid)er ÜJiiene, bie wie ï£ob= tengeläute in unfern Dtjreii flang : „Sie 2Ba= gen bieier Herren fal;ren vor", unb oerfdjmanb fogleid; wieber. 3n bemfelben Slitgenblicte rottten jitiei ungeheuere üffiageu, non üierjeljn ©enêbarmen e-'cortirt, in ben öof. fteHte id) mid) an Stnfelm'B Seite, ber mit ein;m Säckeln auf ben Sippan unb beljcrjtcn SlicfeS feinen Hopf f)od) trug. 53alb braxg ein gnnjer Sd;warm oon ©e= fängnif3märtern in bie ©äuge ein, unb ber neue 2luf|"el)er Semen oerlaâ bie Hainen ber= jentgeu, weld)e voi baö 9küolution§tribunal berufen waren. Sa wir aber männiglid) wußten, bafs oon gouquier=2:tnrn[le jum Scb^affot nur ein Schritt fei, fo umarmten wir bie Vorgerufenen um faßten, ifjneu baâ leÇte Sebewoîjl. „SaS ifi bod; fonberbar, mid; l)at man gaitj uergeffen", fagte Slnfelm ju mir. „23iH fid; etwa ber Sd;uft gouquter ben 21nfcb,em geben, als t>erad;te er mid; ? £>abc id; mid; in meinem Sörief nod; ju gemäßigt aulge= brücft? (Sr fd;eint mid) nid)t nerftanben ju l;aben. Äöttimt morgen bie 3fteif>e nid;t an mid), fo fdjicfe id) iljm ein jweiteâ Senbs fdjretben, roeldjeâ 9cid;ts ju wünfd;en übrig laffen foU." Sine Stunbe nad; Stbgang unferer Seibcnê' gefaxten bemerfte id) ben Sdjliejjer Siebuc, ber mit einem Rapier in ber §anb tjoftig bei mir »orbeiging. 34 ïjielt it;n beim 2lrm tCö Jagte: „Bürger, roaS l;aft Su ba für ein Rapier?" Sebuc : „SaS Skrjeidjnifi ber ©efangenen, welchen biefen 9cad;mittag weggeführt mvr« ben." 3d; : „SSillftSu erlauben, bafe id; baffeXe abfd;reibe?" Sebuc: „Sa fjaft Su c 3, aber fpute Sid;; benn i 4 mufe eilen." Ser Sdj'.icfot Sebuc, mit bern id; befrnn* termafjen am Zagt mein 33 Gintritte in St. Sasaru3 einen gewaltfamen 3luftritt Qtfyabt, gewann mid; feitljer red;t lieb, Slnfilm unb id; waren woöl bie einjigen ©efangenen, welche er mit 3JUlbe beljanbelte ; mid; pflegte er gewöhnlich nur mit den Worten: „Mein Offizier" anzureden. „Hier folgt das Verzeichnis), wie ich es nach dem von dem Staatsanwalt auSgefer tigten Aktenstück getreulich abgeschrieben ; das selbe ist ein merkwürdiges historisches Ssocu= ment, welches deutlich beweist, daß 3tobeS pierre baS Sdjaffot nur in feinem persönlichen Interesse benutzte. Es ist auS diesem Verzeichnis; ersichtlich, daß der grüßte Theil der Unglücklichen, welche am 5. Thermidor ans unserem Gefängnißhaus zum Tode gingen, dem Adel oder der Geistlichkeit ober aber der gutgesinnten unb gemäßigten Partei an gehörte ; folgendes sind die Namen der Unglücklichen : „G. M. Main, achtundzwanzig Jahre alt, geboren zu Paris, Professor, Straße Gloi;. S. Dessinard, dreinndzwanzig Jahre alt, geboren, zu Versailles, Sanquierfecretär bei Muzieres. L. Seile, vierunduierzig Jahre alt, Gener.iliufpeftor der Militäreffekten der Armee im Inner». T. L. Maille, siebenzehn Jahre alt, Sohn des weiland Vicomte gleichen Namens, Straße Bac. P. 31.. A. Maille, siebenunddreißig Jahre alt, iieboreu ju Verlaute, weitaub 2lbeliger unb Dl;eim beS Vorigen, Strafte Gaumartiu. ty. S. Gl;ampigni, neununbfitnfjtg alt, geboren su Sulan, weilaub Pfarrer oon ViUepeute. G. F- ©• ©rainborge, oierunbbrei&ig 3fal)rc alt, geboren 51t Sifieur, weilanb ©rnf oon "Dlenit-s)uranb, geroeyner ©eneralabjutant, Strafe Soi. 21. L. I. Flavigni, einunddreißig Jahre alt, von und su Charme, gewesener Unterlieutenant im ehemaligen Regiment der französischen Garden Frau N. H. Z. Flavigni, achtundzwanzia, Jahre alt, weiland Gräfin, Frau Desvineux, Straße Neuve-Augustiu. Frau G. L, S. TmMmirt, fünfnnddreißig Jahre alt, geboren zu Paris, weiland Baronin, verwittwcte Inisdal, Sirafse Petit- Vaugirarb. Frau E. P. H. Dubois, sechsunddreißig Jahre alt, ©emal)!iu vin Fleuri), Gencral'Jlboocat im ehemaligen Parlamente von Paris, Straße Valois. Frau 3- sßingrai, etnunbjtoanjig 3a^e alt ©cmaljlin oon SJiurfin, Sireftor ber ehemaligen Strafte Soi. 3. ©raoier be VergenucS, Vater, (ünfunb= fiebenjig $jaf)re alt, weilanb ©raf, Strafje 9Jeuoe=Guftrtd)e. ©. Gsraoier be VergenneS, jn»eiunbwerj\g 3aljre alt, weitaub Slbeliger, gewefener 3îequeteumeifter, Hauptmann ber 3«36 r unb gewefeuer ITiunicipalrattj. Frau S. Saonl:-I)îontmorenci, jroeiunbfïe* benjtg $a\.)ït alt, gewefeue Sbtiffin oou Montmartre. F- G. £()ibaut=2agarbf, einuubbreiöig 3. alt, geboren ju St. 2lugenne, Offister im ehemaligen Regiment ber fransöfifdjen ©ar= beu, weilaub Slbeliger oon 3iouen. G. Gljarteral fed)Sunboterjig 3al;re alt, ge* boren }U 2lij, roeilanb 2lbeligcr, gewefener Sieuïenant ber ©arbe beS 2i)ranuen, 31t Go= lom.be. Dagneir, bretunboiersin Jahre alt, gewesener Offizier der genannten Garde, Straße Petit Bourbon. A, P. Albert be Nerulle, neununbbreißig Jahre alt, erster Präsident des ehemaligen Parlamentes von Grenoble, zu Sens. P. M. V. VenuoillerS be St. Nignan, siebenundzwanzig Jahre alt, weiland Herzog von St. 2liguan. Frau F. 6. Verenger, ueununDswauiig 3abre alt, ©emabliu oon SBeaiioillerS be St. 2liguau, Strafte ©reneHeSermain. % G. Gopiu be Villepreur. fünfunboiersig 3nl)ve alt, weilnnb 9(itter unb ÄaoaQerie= Hauptmann, Straße F°ur-3 $. Saboulbenne=9Jconte§quiou, breiunboierjig 3ol)re alt, geboren ju 2tgne, weilanb 2lbeliger unb SPriefter oon St. 9îocb, gcwe= feuer ©eueraloifar, Straße fvauart. F- ©igant^öois Serufier, fünfjig 3al;re alt, gewefener Somljerr unb ©eneraloifar oon ScnS, Strafe $oiffonnicre. 3- F- ©antfjicr, »teruHbjmanjig $a{)xt alt, geboren 31t ï)îoif)ac, gewefener $age beS 2u raunen. $. bu Gontcnt, fedjSunbfüufsig 3al;re alt, geboren 3U Gôt3=2tnbré, geroefeuer Strafe beS «Porte«." •Dïaii fnnu fiel) leidjt beuten, weld) fdjaiu berbafteu Ginbrucf bie ©fgfüljruug biefer ©efaftgenen in unfenn Qavüc l;eroorgebrad)t; 3ebermann betrachtete biefe Siefcruug nur als eine 2tbjn()luug, als ein Vorfpiel ber allgemeinen 3Jtejelei bie uu-i bcoorftaub. 2lnfelm war ganj untröftlid; über bie £>ef.i= tombe oon Opfern, beau bei feiner Sieblid;: feit quälte if;u ber ©ebanfe, bafe er burd; Surcbjügung ber Giicnftange bie erfte SSevunlaffung 51t biefer 2lbfdjlad)tung gegeben fjabe. „2lber, lieber F^nnb", fagte id; ju iljm, „©eine ©ewiffenSfcrupel finb gegru allen OTenfdjenoerftanb. Vebenfe, id& bitte $idj, bafs unter ben Opfern, bie eines VerfudjS jur Gnfoeidjung angefragt fiub, fid) aud) Die Sroe|mbfUbenjtg jäl)rige 2lbtiifiu oon 3Kont-martre, sJJiabame Saoal oon ÎJÎontmorenct;, befinbet, bie an allen iljren ©liebem gelähmt ift. SS ift ja redjt tjaubgreijTidj, bafs Fouquier gax wotjl wufste, bafj biefe Same, fowie alle Ucbrigen, weldje er auf baS Sdjaffot gefdjicft, nie and) nur oon ferne an ein Gntwcidjen gebadjt Ijabcu. Slnfelm : „ GtwaS SBaljreS mag in ©einer SBemcrtuKg liegen, hätten unfere Reiniger ben Vorwanb nicljt gefunben, fo würben fie einen anbern auSgeljecft uub jebenfallS iljr JdjänblidjeS 3iel erreidjt Ijaben. 2lbcr baS tljut nid;ts, morgen werbe id) bod; nod; ein; mal an Fouquier fdjreibcn.. .." hierauf antwortete id) ■DfidjtS, um Slnfelm'S beianuteu Gtgenfinu nidjt JU reisen, aber id) hoffte, baS 2lbgeljen bicfeS jweiten Senb= fdjrcibenS oerl;inbern ju fönnen. (gortfefcuna folat.)
"1869-02-04T00:00:00"
Verl. der St-Paulus-Druckerei
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9ARTICLE
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Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht Jg. 1869, n° 30
Luxemburger Wort
Nr. 30. Donnerstag, den 4. Februar IBöa 2J2. Jahrgang Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht. Abonnements-Preis pro Quartal: Fr. 3 00 für Luxemburg. „ 3 75 im Grohherzogthum Luxemburg. „ 5 00 für Belgien. „ 6 15 für Teutschland und Holland. „ 7 50 für Frankreich. Preis per Nummer: 15 Centimes. Insertionsgebnhren 20 Centimes per Petit Zeile od. deren Raum. ! 15 „ für die Abonnenten. Vertiagsweise billiger, täglich mit Ausnahme der Sonn- und Feiertage.
"1869-02-04T00:00:00"
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Uebersicht der politischen Tagesereignisse.
Luxemburger Wort
Uebersicht der politischen Tagesereignisse. ©ne berliner Sepef4e an bie ,2ßefer 3tg.' corn 1. Februar roill roiffen, bafä ©rieben« lanb bie 6onfereii3erflärung im Sßrincip angenommen, feine formelle 3uftinimung ober »an ber Scbingung abhängig gemacht habe, bafj bie ïurîei jur Anfuüpfung ber biplo= matifcheu Sejiebun>jen bie 3nitiatioe ergreife unb bie auêgewiefenen griedn'fcben Untertba= nen enticbäöige. 2Jian jweifelt nicht, fügt bie Sepefch1 biuju, an ber Sbfung ber Schwie^ rigïeiteu. sDa£ franjöfifcbe Journal officiell' tbeilt mit, ber $räfibent ber Sonferens Drude in feinem ©dbreiben «n Selgannis ben 2Bunfcb aus, bie Antwort ©ric<benlanbs in ber auf bie Ueberrei^ung ber Bimferenserflärung fol= genben 2Bod;e ju empfanget^ Sa bie lieber: reidjung aber erft florigen gttitag gefc^ar;, fo tann bas Athener Sabinet bis m Enbe tiefer SBodje mit einem befinitben warten. In Ermangelung ganz bestimmter Rachrichten erwähnen wir heute nur, daß die Zuversicht auf eine glückliche Lösung des Constittes in der Presse allgemein ist. Angesichts der Schwierigkeiten für Spanien, einen Throncandidaten zu finden, welcher der Nation sowohl als allen liberalen Parteien genehm fei, ist man auf den Gedanken ge^ tommen, die Negierung einem Triumvirat anzuvertrauen, welches wahrscheinlich aus den drei Ministern Prim, Serrano und Ritiero bestehen wird. Nach der ,(Spoca' soll diese Idee einstimmig angenommen worden fein. Sie ist eine ©auetionirung der repubotanischen Form, denn, wenn auch die Cortes die monarchische Form oottren, so wird doch nuch geraume Zeit vergehen, ehe mau einen Throncandidaten findet. Am 31. Jan, fand in Madrid eine Mani- Uialion zu Gunsten der Cultussreiheit statt. Sie betreffende Depesche der „Ind. Velge" nennt dieselbe eine friedliche, was wohl bedeutet, daß dieselbe nicht vom Volk, sondern non einer gewissen Partei „im Stillen" ge macht würbe. Man sandte eine Deputation an die Regierung, an deren Spitze H. Castelar stand. Der Minister ontroovtete, die S«ltü3freU;eit fei Thatsache; doch fei die Trennungd« Kirche vom Staat eine zu wichtige Sache, aie bafe biefelbe nidht beut Entfcheib ber Sortes uorbehalteu bleiben müfste. 3m ©egenîa(sc 511 auberê lautenben sJîad)= richten wirb ber $aU SKall ©ajette aus 9îom »out 20. JJan. getchrieben, bafe Spofaba ferrera, ber ©cfaubte ber promiorifchcu 9tä= gierung, ntd)t allein eine Uuterrebung mit bern Sarbinal SKntoneüt, foubern aud) eine lange Slubtenj beim Zapfte hatte. 3" biefer melbete er beut heil. Sater, bafs bie pro»i= forifche Siegierung bie gegen ben fatho= lifeben Êteruê Statt gehabten Seinonftrationen tief bebauere unb feft entidhloffen fei, bie Äirdhe uuD ben Éteruê in iljren Stechten 51t fd)üj}cn. ©in gleid;eê werbe »on ber fpäte» ren beftnttioen Regierung gcfdjeben, eê werbe ber Setheiligung fpauifcher i'ifc&öfe am Wu< menifdben Soweit nicht nur fein §inberuif3 in ben äöeg gelegt, fonbern auch bie iîoften für ihre Steife unb ihren Aufenthalt in 3îont »on Staats wegen beftritteu werben. Ser= felbe Borrefponbent erwähnt einen Srief beë fiaiferä SRapoteon an ben sßap|"t (nicht ben im ©orriere betta -üJtardje abge= btudten, ber eine gälfcbuug ift), in welkem Der Äaifer »erfpricht, bafî baê franjöfifche Cccupattonscorpê beut öfumentid;en Boneil eine ®hren=, refp. Sicherheitegarbe ftelleu werbe. Sie Äantmerfeftionen haben ihre Seratl)itn= genniebt beenbigentonnen, um heute sMttrood) eine öff3iitlid)e Siljuug abjuhalten; bie öffent= liehe ©ifeung ift barum auf morgen, Sonner^ ftag verlegt worben. (Es wäre 511 wünfehen, flammer würbe nun ihre Sirbetten ohne größere Unterbre= ebungen fortfe^en. SlUerbingS wäre ba^u erforbert, bafs bie SeEtionen ihre Seratl)itn= gen befcbleunigteH; aber wie tonnten fie biefes, ba bie Seputirten meiftenê bei ben Seftiouêberathungen fehlen, wo boch bie Hauptarbeit gemacht werben mujj. Siofe 2aul;eit ift ein grof3er, fel;t grofeer Mtfjftaub, benn bie öffentlichen Si&ungen werbenj ba= bureb gehemmt, unb bnun ift eê oft unmög= lieh, bafj ein Seputitter fid) burd; bie öffentlichen Siêfuffioiten eine richtige 2lufid)t über ein ©efefc oerfdiaffte, baè er boch ootirt ; jubern roaebfen babureb bie Sluëgaben für bie Äammer, waô beut 3îufe nad) Ërfpanuu gen uub Sparfamfeit mcht eben ganä ent= fpricht. Une bünft, bafj wer ein Äammer= manbat annimmt, aud; biefeê SJÎanbat auê= führen foU. SSir wünfebteu, bas Sanb tonnte in fienntniß gefegt werben übet bie Setöei= liguug ber Seputirten an ben Sefu'onsap beiten ; eê wäre baS oielletdjt t>aè einjige ÏÏUttel, um ben gleifj feiner Slbgeorbneten anjuflta<seln. Sie Äantmer hat noch mehrere ©efe(jc auê ber testen Scffion 51t bera ttjen ; aus ber je^igen ©effion liegen fd)on mehrere ©efe^eutwürfe oor unb bie Regierung ge= benft noch mehrere, fehr wichtige ©efefeent= würfe uorjulegeu; bie Kammer fanu alio gewifj nicht flogen, bafs ihr ber Slrbeitsftoff maugelt; warum benn alfo läßt fie c» won ihrer Seite an St)ätigfeit mangeln ? SSBir lieben eê gewife nicht, bie Sammer ju cenfuriren; aber mit mußten einer SJleiuuug unb Älage Sluêbrud' geben, bie aUga= mein verbreitet fiub. Nr. 32 der „Luxemburger Zeitung" enthält einen Artikel über Erz-Concessiouen, der auch beim besten Willen von unserer Seite für uns ein Rälhsel ist und bleibt ; wir verstehen die „Luxemburger Zeitung" zwar, wenn sie vom „schwarzen Blatte", vom „zu den Jesuiten in die Lehre gehen", von „Herrn Breisdors" u. dgl. spricht ; was sie aber von der Sache selbst sagt, das können wir unmöglid; verstehen ; wahrscheinlich versteht sie selbst so viel davon wie der große Türk. So geht es einem Blatte, das seine Fahne nach jedem Winde drehen und das ein willenloses Werkzeug in den Händen anderer sein muß; vor 14 Tagen waren die Erz©öncefftonen ein Diebstahl, heute bekennt sich die „Luxemburger Zeitung zu dieser Dieb' stahls-Theorie ; nach weitern 14 Tagen wird sie wahrscheinlich einer anbern Ansicht fein, und dieses felbe Blatt spricht von „fremder Beimischung zum Gürtelbahn-Enthusiasmus des „Wort" und derer, die in seinen Spalten manövriren" ! Wann wirb die „Luxemburger Zeitung^' einsehen und bekennen, daß sie nur ein persönliches Prositehen sucht, während das „Wort" nach dem allgemeinen Interesse des Landes und speciell des Kantons Eich strebt ? Ja, wir sagen des Kantons Esch und in der Thai : erhält der Eigentümer eines Hektares Erzboden auch nur I Sou von 10C0 Stil. Erz, die unierirdisch ausgegraben werden, so beträgt das für den Hektar 3000 Fr, und er behält dazu noch die Oberstäche, die durch die unterirdifchcn Stollen nichts leibet ; wenn baê ein Siebftat)l ift, nun, fo möchten wir uu§ unter ber 30.t)l ber 33eftol)lenen fitt= ben. 2tlâ 33efto(;lene ober ju 33eftel;lenbe würben wir forbern, baf?, wenn bie 3tegte= ruug beâ uutevtrbifd) au§äubeutenben ïobenê in öffentlicher 3Ser(ieigerung ntd;t loâ würbe, fie ben fïleft oerjd)ciifen müfjte unter ber S3e biuguug, il;n untettrbifd; au»subeuten; fo forbert e§ baê 3ntereffe bc§ Äautona Gfd;, beim ol;ne baê würben 3000 %r. per §ectar uerloreu geljen, ber uuterirbifdje ïïleidjtljum würbe nu|loê für baS Sanb unb für ben Gigent[)ümcr liegen bleiben. Q2Ber ift nun ber greunb bes ifantonS Gfd) ? 28ir haben fd;on vor längerer 3e^ flß: fagt, baß bern Eigentümer eine Steuer (redevance) befahlt werben müfjte; werben bie Eigentümer bie 3000 gr. per jgeftar jurücT' weifen wollen ? 2Bir ttjeitcn nnd;fteljenb bie gortfe^ung einer erften Borreiponbenj über bie fëtjpotljeïenge-büljren mit. Slbgefefjen bauon, wie unfere Se= fer werben bemerft Ijaben, baf3 bie Sorres= ponbenjen mit grofser Sadjfenntutji abgefaßt fiitb, regen fie eine grage an, an beren Sö= fung gebad)t werben muf3, b. l;. an bie 9te= form uufereS §i;potf)efenroefen?. 3Bir »er-fettnen bie Sd)wierigfeiten n'cbt, bie mit biefer Reform oerbunbeu finb, aber baê ift fein ©ntnb, bafi nid)t §aub angelegt werbe. Uuierm §m. EorteSponbenten gebührt baê i^erbtenft, biefe Steform angeregt ju l;aben unb wir bitten iljn unb anbere, il;re auf« merffamïeit biefer grage nid;t }U entjietjeia ; (te tonnen fid; wirflidjel Serbienft um baS Sanb erwerben. Sin anberer SorreSponbent [jatte in fran}öftfd;er Sprache feine colle 3«: ftimmung ju ben Slnfidjten beâ etfterwä^nten i^errn Êorreâpoubenten au§gcfprod;en ; aud; ttjn bitten wir, feine Slnfidjten ju oeröffentlid;en. Unfer Ëorreêponbfnt fd;reibt : Luxemburg, am 1, Februar 1869. Herr Redakteur! Als Fortsetzung meiner Corresponde«; vom 22. Januar will ich heute die Aufmerksamkeit der Regierung auf die obwaltenden Uebel= stände unseres Hypothekarsystems, welches einer gründlichen, den jetzigen ' Zeitumständen anzupassenden Umänderung bedarf, hinzulenhn suchen, und diese Frage nicht allein vom Standpunkte des finanziellen Interesses besprechen, sondern auch mit Rücksicht auf das Interesse der betheiligten Parteien und der Billigkeit. Das Gesetz vom 21. Yentose, Jahr 7, welches die Einrichtung der Hypotheken ordnete, erkannte den Hypothekarbewahrern nur ein sehr bescheidenes Salair zu und zwar bloß für einen Theil ihrer Arbeiten. Ta dieses Ealair sich als unzulänglich erwies, so warb durch kaiserliches Dekret vom 21. September 1810 eine neue Taxe eingeführt. Nach den Bestimmungen des Gesetzes vom 21. Yentose, erhielten für Sinregiftrirung und Bescheinigung der Niederlage von Aktenstücken die Hypothekaibewahrer keinerlei Salair; Dekret erkennt ihnen 25 Cts. zu. Das ©alair für Inskriptionen, für Radiation, für Auszüge der bestehenden Hypotheken, sowie für Certisikate, daß keine Hypotheken eingeschrieben, betrug nur 50 Centimes; dasselbe würbe auf 1 Fr. erhöht. Für Deklarationen fei es von Wohnungsveränderungen ober von Subrogationen, ober aber von beiden zugleich durch ein und denselben Akt, erkennt das Seeret 50 Centimes zu, anstatt wie früher 25 Centimes. Für Inxnptiouen von Amtswegen, (inscriptions d'office) für welche nach dem Gesetze vom 21. Yentose Jahr? gar kein Salär ausgesetzt war, erkannte das Seeret wie von jeder anderen hypothekarischen Einschreibung, einen Franken Salär zu. Desgleichen erkannte das Seeret für Nicht- Transcription von Mutations-Akten, wofür das Gesetz vom 21. Yentose gar nichts ausgeworfen hatte, einen Franken Salär. Das Salär für Duplicate von Quittungen, welches sich früher nur auf 20 Centimes belief, warb auf 25 Centimes erhöht. Für Erfüllung der laut Gesetzbuch der Civil-Prozedur den Hypolhekar-Vewahiern vorgeschriebenen Formalitäten, ward jedes Sulär auf einen Franken festgesetzt. Das Seeret stellte fernerhin das Salär auf einen Franken fest, für jede Schriftrolle von 50 Zeilen und 18 Silben in der Zeile: a) von Transcriptionen der Mutations-Akten von Immobilien und 3mmobiliarbefd;lags nahmen, (saisies immobilen'«») sowie b) für collationirte Nbfchriften. Das Gesetz vom 21. Yentose hatte nur 25 Centimes per Nolle bewilligt. Das Seeret erkannte den Hypothekenauffehcrn ein genügendes, noch im vergleiche zu dem, welches.fie heute beziehen, sehr be» scheidenes Gehalt zu. Seitljer tjabeu fid; bie ©tage aber ganj anberS geftaltet. S)ie fortwäf;renbe 3er|tücfelung beä. ©ruubcigeutl;umS, baS uugeljeuere SlituHidjieu ber Gouoeutioneu, (fie (jâben fii) iKvjcl)ufad;t), weldje bie Mutation oon Qm-luobilii-u nad; fid; jieljen, uub bie, fei eS önrd) baS Gioil ober burd; baS §iScal-©e= fei; auferlegte Vevbiublid;feit, biefe Gonüeu= tiouen in ben £)i)pot()efeubüreau'S eintragen ju laffen, f;abcu bie ©eljälter ber ôi;potljefen= Stujfeljer auf eine foldje §öt)e gebraut, bau «icljt allein ber 001 t bern franjöfifcljeu ©efefcgeber oorgefeljene 33etrag berfelben bei SJBeitem überftiegeu, fonbern bafj eS aud) in feinem Vert;ältnifje meljr ju beu ©ienftleiftî uugen biefer Beamten fteljt, uod; iy, ilirer abmiuiftratioen Stellung unb ben ©eljältern ber übrigen Beamten ol;ne 2luSnal)iue, tocldpe bern 3iauge uad; weit über ih,nen fteljen. ©ie fraujöi"ifd;e 3iegieruug, ftctS ber befte 3tid;ter in berlei ©adjen, warb beSljalb aud) betroffen oon biefer Sluomalie, befouberS ba fie nidjt gefonneu war, beu i;potl;efar^luffeljern eine SluSuafjmesStelluug im Staate auäitweifen. Sie ©rüube, roeld;e baä beeret oou 1810 Ijeroorrieieu, fiub flar unb beftimmt in ber oom IG. Dctober 1810, burd; roe'ldje bie GinregiftriruugS-Verwaltuug il}ren Seamten baSfdbe mittljeilte, bargekgt. GS tjei^t in biefer Qnftruftiou: „„sHJan erfiel)t auS bern ffiefret, baS feine „ber [)i)potl;efarifd)cu Formalitäten obue Salär „erfüllt in werben braudjt, unb baf3 biefer „Salär l;iureid)eub ift, um ben i;potljefar„bewaljrern genügenbe Ginfünfte su fidjern, „weld;e il)uen erlauben, gute unb braud)= „bare Sdjreiberiu erforberlidjer ülnsalil „ju.befolben, um alle Stljeile beS ©ienfteS „ftets in befter Orbnung ju Ijaltcn. unb „ben 2tuforberuugen ber Glienten fofort „entfpredjen 51t fönnen. Sie bürfen 31t biefem „Sieufie nur unterrichtete $er fönen „aufteilen, bereu Sdjrift correft fein mufs; „fcljon iljr eigenes erforbert bieS, b.a „fämmllid;e Slrbeiteu unter iljrer perfönlidjen „Serantioortlidjfeit auegefüljrt werben. 2luf biefer Verautwortlidjfeit l;in, uub „Damit in 3llfu"H feiiae Slrbeiteu meljr im „3tiicîftanDe bleiben, ift eS baß 'bev ©eneral= „©ireftor [jaiiptfädjlid; unb ftärfer auf bie „Grljöljuug ber SalärS gebruugcu ift. 3u Franfreid) uub SBelgi^n ift baS ©eljalt ber fdjou längftenS rebu jirt worben, aber bie Stcbuction trifft nur benjeuigen Sljcil tljrer Arbeiten, für weldje bie Verantwortlidjfeit nur uubcbeutenb ift. 3n Franfreid) ftatuirte eine föuiglidje Dr= bonnnnj oom 1. SD?ai 1816, baß bie Hälfte beS SalärS für transcription oou S"11"0' biliar 3JhttatiouS:2lften bern StaatSfdjaöe in 3ied;nung getragen werben muffe. 3n Folge beS ©e'efeeS oom 23. 3)tär3 1855, roeldjeê bie SrauScriptiou biefer Slften, oon fafultatio wir1, fie waren, obligatnrifd) gemadjt Ijot, würbe burd; faiferlidjeS S)efret oom 24. ÜRooemkr beSfelbeu ba? früljere Salär, weldjeS per Sd)rift--3lolle 1 granten betrug, auf 50 GentimeS rebujirt, uub bie oben erwäljnte Orbounauj oom 1. 'Siai 1816 aufgeljoben. Gublidj firirtc ein anbereS fais ferlidjeS beeret, oom 9. Januar 18GG für jebe Sd;riftrolfe bie erforberlidjeu BeUen sÜUsal)lsÜU5al)l oon 50 wie bis batjtn auf 60, was baè Salär für 2luSjüge etc. mieberum um ein Fünftel oerntiuberte, fo bafj in Fmufr^d) baSfelbe je(3t nur nod; 40 GeutimeS für bie SRoHe beträgt. 2)aS fpecieOL abmiuiftratioc SBcrf, auS weldjent id; bieS le^tere Seeret rjerauSjOg, bringt eS mit folgenber Ginleitung : „®a bie §öl;e beS SalärS ber §i;pot^cfar= „bcwaljrer bie Slufmcrffainfeit beS Tsi»n»s: „minifterS auf fid) jog, 10 glaubte feine Srcel» „leuj oljue bie Sare entic„brigen 511 fönnen, für bie %äüe, wo eS fid) „nur um Erfüllung uou blos matériel' „leu Formalitäten Ijanbelt. SDiefcr Semerfung fanu mau uod; binju: fügen, bnfj bie bloS materiellen Formalitäten oft boppelt remuuerirt fiub, ba bie feuauffeljer aufjer ber gewötjulidjen Snre ncd; 1 granfen Salär für bie Ginfdjreibung oon SlmtSwegeu, weld;e fie ju mndjen Ijaben ergeben. (Sd;luf3 folgt.)
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Su Varrn's heilbringende Hrvnlcnla Arnliic«. — Das (ilend, die Täuschuna, die eiiblo|en Ausgaben für wirkungsloses Mediziniren find nun glücklich durch den Gebrauch der Riifalruta Arabica hu Aar n's blleitigt, Hinfüro wird Niemand mehr die heilbringende Wirkung von Dußarru's lies valenU Aruhlca bezweiflen, (ettbem wir dcn taufen; de» Bon Lodlvrüchen »01t Acrzten und Laien heute die dankbare Segnung und die glückliche Nur feiner Heiligkeit des Papstes beifügen können, »ach zwanzigjährigem fruchtlosem Mediziniren. Rom, den EI. Juli 1888. Die Gesundheit des Papstes ist ausge-eichnet, besonders seitdem er sich aller Arzneien, womit man ihn zu heilen behauptete, tenll)ält und «on der vortrefflichen Itryalciila Arabica Du Barry, welche erstaunend günstig auf ihn gewirkt hat, fast ausschliehlich Gebrauch macht. — 'Man versichert bn{3 ©cine Heiligkeit bei jeder Mahlzeit einen Teller davon genießt, und die Wohlthalen derselbe» nicht genug zu preisen vermag. Corresponde!!; aus der liszeftt: du Miili ) Bei zahlreichen Beispielen war das Leiden non sehr langer Dauelgewcsen> von drei bis zu sechzig Jahren hinauf und unter die hervorragendsten derselben gehören : Unuerdaulichteit Verstopfung gestörte Funktionen, Verhärtungen, scharfe Safte, Krämpfe, Spasmen, Cl)nmnd)t, Sodbrennen, Diarrhöe, Reizbarkeit der Vierven, Afeftionen der Leber, ©alle und Niere«, Blähungen, Herzklopfen, nervöse Kopfschmerzen, Taubheit, Klingen tu Kopf und Ohren, Schwindel, Schmerzen zwischen den Schuttern und i» fast alle» Iheilen des Körpers, chronische ünizündungen und Vagcnufscklionen, Ausschläge auf bei Haut, Fieber, Skrophcln, Armuth an ttlut, Lungen und Luftröhren «Schwindsucht, Wassersucht, Rheumatismus, Gicht, lusluenza, Grippe, Uebelfeit und E, brechen selbst wälnend der Schwangerschaft, Niedergeschlagenheit, Spleen, allgemeine Schwäche, Lähinu, g, Husten, Astmah. Spannen der i-.ruu, Phlegma, Unruhe, Schlaflosigkeit, Abneigung gegen G»seu>chast, l'nsähialcit zum Studien, Stlufiouen, Gedächtn'ß'chwäche, Aufsteigen des Blutes zum Kopie, liiichopfuüg, Me» lundjolie, grundlose Furcht, Uncmidiloffcnljeit, Muth» losigleit, v. s w — üU,OOO Gevtififate jährlich. Dieses kostbare Nahrungsheilmitte! wird in Blech« büchse», mit dem Siegel von Barry bu Varry et (So., und Gebrauchsanweisung verlauft. - Preise : vor, V» Pjd, Fr. !i <!5. — 1 Psd, Fr. 4. % Pfd. Fr 7—5 Pfd Fr 16. — 12 P d Fr. 314 und 24. Pft. Fr. W. - Auch Du Harrys Krvali-n-«ière Chocolaté-Pulver für Brust, Magen und Nerven: In Büch,en von U Tnsfen, Fr % 25 ; 24 Tas» en, Fr. 4 ; 4l Tassen, Fr. 7: 2«8 Tassen, Fr. 32 ; .;.7(î Tassen, fïr. 60. Sas Reifst ungefähr tu Centimes per Tasse II»«» nu llmiry <-t <:<>., 77, !1>^,,l «Irret. Lon «Ion; !il!, »>!.-«:>! VeiiHime, Paris; 0, Frt-iHtig Wien; 10. Rassmurlil. Frankfurt a/H.; ferner ir. Luxembuill bei £. Delahay e, Paradeplatz
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Fonds und Geldcours.
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Fonds und Geldcours. UmsltlV, 2«. Januar. Vor Cours. 3Utiu Tch. 2'/« "fat ! 5ö "A« L°»2un, 27. I, 3> Cons, 93 s/8 Pari', 2. Februar. Letz. Cours 4°/o baat | 70 30 3i/i > baar 103 70 Französische Bank.... 3040 Mobiliar Crédit .... 275 9t0.-t>l)ttljn. ...... N 73 75 Ü|töa!;n . 212 50 Défier. Aahn li^i? 50 iiomb. Bahn ,472 50 <3)uil.:2ii£emb. Bahn. . .1 — Dblij. Siortboljix . . . .; 338 50 , Dftbabn su/i5u/i . . 538 50 . „ 3«/. ..! 332 Bomb.=S)en. Aahn^ üuo „ Römische iöaijnen: 118 Italienische älnleijdje. . .1 54 85 Römische Anleihe . . . , 65 Brüssel, 28, Januar. Anleihe 41/»41/» > 1857. . .! IC2 25 Stadt 1853, 3> " 27 Naiionalbant ..... — Belgische Bank , . . (i. . — (Svanb^uïcwiburg, Aktien -, i9O „ Oblig. . . , *.O 50 Guill,:Lulemb. Aktien . .1 :A45 25 , CbUg s°/o . !*« i-O Scrlin , 2b. Nouember W 70 70 lia 65 3025 275 1178 75 575 665 480 836 50 510 331 232 117 50 55 40 65 üujemburger SBanï — Köln, I. gcbruar. Anleihe 41> ■ . . S 3 s/4 , neve s°/o .... Köln-Minden Bahn . . Sb,ein^Jlab,ebat)n .... *8 /s Rheinische Vahn .... ~~ ■iuitmb. 3ntein.=Banï . . 10° Franlsurt, 1. Februar. Alle Metalle s°/« .... — Naliunal'Anleihe 5> . . ö4 Oestr..Mod.-Credit. ... 254 Dalmsllldter Äanl. ... 275 Luowigh-Vexb lu!) '/, ÖU£emb. Intern-Vanl . . 1"s V» Su£mb. Anleihe 4"/» 1859 &0 V* 4"/» 1863. 80 '/. Luxemburg, 3. geb. Handels- v. Industrie' Casse F. Berger v. Somp. üticl. Coupon pro 18C0. L . ' 93 »/* lü* 7« 118 29 '/s 115 V» ICS »/« 49 54 V» 258 276 '/, 1.0 >/« 105 V 80 '/* 80 »;• no ®
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Eisenbahnzüge (Seit dem 15. Oktober 1868.)
Luxemburger Wort
Eisenbahnzüge (Seit dem 15. Oktober 1868.) 91otb:2inie. Süclgi 8.21a, 8.31 8.41 8.51 9.0U 9.05 9.15 9.26 idjc Linie. Ab. ©eut. — Anlwp. -ïirùli . — Gütlich, — Siamur _ Sinon. — Sleip. — Sbettin. — (iaycU. — Namer — âJavti. An.Luzbg. $Mlif4J Ab, Luxb. j 7.8l» 1 I.LI« ! 7,86» — Oelnn. 7.5U : 1.41 7.56 — 3!°odt. 8.16 1 I.LI 8 06 -Wecker. 8.81 2.06 8.21 — Ucrtnt 8.41 ; 2.16 I 8.81 — Skalier. 8.51 2.21 8.41 An, Trier. 9.20 2.55 9.10 — Vaarb. i 11.10 4.35 11.00 ßtnif. Hb.fiusb.! „ îDomlb.i , SBalfö. , Lorentz. , Linta., , Vtersch. , 6rua)t. ,Sol.--ÏJg. „ Sttelb. , (Sobelâ. . Jtautb. . Wi!w. . Eletf. , ÎDÎauluS » Utfl. » ©OUUt). , Sieljal. „ Ttavel . ©P». , Pepin. An aiecu. : 5.20m 7.41m 12.16a : 6.46 ! 7.50 Ï2.25 ■ 5.57 j 7.56 112.32 : 6.09 '< „ 12 40 6 18 I 8.10 12.47 6.34 8.17 12.55 6.49 , 105 i 7.04 i 8.31 1.12 . 7.25 I 8.44 1.23 i 7.62 » 1.39 8.06 „ 1.48 8.23 9.12 1.57 8.53 9.28 2.12 9.06 „ 2.<!0 1 9.21 9.45 2.33 9.59 2.47 10.18 8.06 10.50 3.38 11.43 4.35 12.08 5.05 ; 2.41a 3X0 3.11 3.24 3.25 ' 8.45 4.02 : 4.16 ! 4.46 5.16 5.35 5.54 6.27 6.40 3.54a 6.55 4,28 5.07 6.52 8.40 9.10 8.46« 9.00 9.11 9.24 9.83 9.44 iO.OO 10.10 10.25 Ab. SujB. — Varlr. — îliamer — Capell. — Benin, — ©tevp. An. avion — Namul — Gütlich, — Brüssel — äntitp. — Gent . 9.12m 9.21 9.31 9.36 9.45 9.60 10.06 1.45a 3.10 3.!«ö 5.47 6 58 S (,0a 3.06 8.16 3.21 3.31 3.35 3.50 7.40 9.65 9.50 11.2b 6.00m t)26 6.47 6.56 7.06 7.16 7.26 6.30m 7.80 8.15 12.10a 12.25 12.40 12.51 12.56 1.(10 1.11 8.C0 9.44 12.30a 1.80 2.10 6.55 6.11 6.26 6.36 6.41 6.46 6.56 Slb.SaarB. 5.15 10.40 — 2rier. . 7.05 12.20 — SEaffb. 7.46 12.56 —awmert 7 61 1.00 — äüccfer. 8.0U 1.11 — Sloobt. S.16 1.26 — Cetrin 8.26 1.41 »lt. £uj 8.46 2.00 2.25a 7.30 7.56 8.00 K21 8.46 9.06 9.41 gfronjBfifdjc fiinic. Stociglintc (ffrij a./b. 91. 5.01m 5.48 U.30 7.41 9.16 3tt>ctg:Stnic (v; 1 i c I û r iitf î3i c f ir rtj. Slb. etîclbtuct 7.20"i 8.46'u 11.52 1.24a , 4.31» : 7.S7« 10.26a »ni. 5Mefird)l7.S0 b.56 IÏ2.03 I 1.34 | 4.41 < 7.37 i 10.36 Son Sujemburg ïonnnen bie 3ügc ton 7.20m 8.40m 1.24a 4.31n Ullö 10.2Ua. ab. d. Si«£. 6.17ra 9.37» 2.17a 4.37a 8.52" - Sent. 6.36 9.48 2.30 4.55 9 04 ä&.iüfttbg. 6.51 10.00 2.37 i 5.03 919 fln.SÇiono. 10.40 6.39 9.58 - SRefc.. 12.00 6.50 11.06 - iJîanjig. l.52a 8.50 1.50 - ©trajjg. : 6.45 K.55 fin. i 8.50 : 4.35* 12.12 îîad) ï-arië nur 1. 61. um 9.87m 1. u. 2. 61. «m 4.37a 2lb.£ujtg. 9.S7m 4.37a - söettbg. 4.47"' 10.12 6.87 SKn.S.aSl. 5.32 10.47 J6.17 Nb.E.llA 6.27 11.22 7.07 - îiôr^g . An.Blllg, 7.07 11.67 17.47 Ab. Ver°. , Pepin. , Spa. , Stauet „ Viel,, , Vouuy, „ Mjl. „aRauluâ. „Êlerf. „ïBiltoer. Äautcnb „«Übels. „ettelbr. KoI.=33g. .Liucht. .Viersch. „«intflen 2oren^}.- "Nalf«id 'Dl»n«ld "ni ïh-, 7.2cm 7.48 5.15m 8 18 6.( 7 «J.07 b.17 9.38 s.; 8 10.02 5.18m 9.48] 10.36 5 32 10.45 5.4') 10.58 6.14 11.08 6.30 U.1S 6.42 i 1.27 1. 7.15 11.46 7.28 11.54 7.38 U.00 7.50 12.11 &.13 12.19 8.23J U.25 8.35 12.34 8 4« 12.41 9.08 J j 12-49 5.18m 5 32 5.4') 6.14 6.30 6.42 7.15 7.28 7.38 7.50 &.13 8.23J 8.35 84« 9.08 5.16m 6.! 7 b.17 8.-8 9.43; 3.04a 3.41 4.32 5.05 5.32 2 28» 6.0? 2.41 6.J 7 2.58 6.*5 3.30 6.41 3.46 6.51 3..r)(l 7.09 4.36 7.21 5.00 7.29 5.U 1 7.37 6.29 7.48 6.40 7.55 5.60 8.02 604 8.10 b 271 8.17 6.41 8.25 L,25» 8,!,«! 9.17 10.14 II. «6. Xteïtrc^. 5.10™ 7.00m 8.26« , 11.33» 1.04» 4.12» 7.02» »ni. (âltelb. 5.21 7.1U l&.Sd | 11.43 I 1.14 4.22 7.12 yiad) 2ur.cmburg gctjen bie 3*'3e BI)" 5.10m 7.00m 11.33m 4.12a Ullï) 7.02a Für die Stationen im (ärofjljtrjogtlnim sind die Stunden »ach der Luxemburger Uhr angegeben; für die auswärtigen Stationen rejpectio nach den Uhren «on Paris, S3iùji'el und «i,Paris 7.50» 9.35» 8.35m -Straß. ' 9.30 : 10.20 Äanzig i L.20 ! 6.08 ! 3.08« ■ Metz . 4.48 8.30 ! 4.44 -S.b,ion». 5.52 ;10.10 ! 5.50 -SÖettbg. 6.60 j 11.23 6.53 7'52 -gent. 7.00 11.84 7.04 i 8'08 Un. iiujb. 7.08 11.45 7.15 ' 8"25 Zwciglinie Oltange. ab.£ui;6. 6.17 2.17 —S3ettbg. 7.87 3 02 Sln Dtto 8.17 3.38 îlb.Dtta. 9.17 4.22 »n.Settg. 9.52 j 4.57 SJon Çarië »mr 1. SI. um 8.3E» 1. u.2. SI. um 7.50« i I ■5.86m 5.38 5.47 6.03 6.17 6.26- 6.89 6 62 7.06 Köln. 3)ic Shir.emburgec llljr auancivt 17 SDiiniiten oor ber Çarifer 11 uor ber S3rüffeler nnb 6 »or Der Üb'Iner Ub,c. m bebautet SJlorgenâ unb a 9Jacfi,mittags mtb Slbenbê.
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Postwagen-Dienst.
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Postwagen-Dienst. Sielird) nad) Sditernad) 2.00 a Sdjtcmad) und) Stcfird) 5.46 m Biefird) nad) SBianbcn .... 8.60 m 6.00« ïitanben nad) 2)ietird) .... 5.10 m 6.16» Sdjternad) nad) 2Baffetßilltg 4.30 m 4 50« SJatferbillig nad) edjternadj 9.16 m 2.45« Sdjternad)erbrucï nad) SBittburg. . . 4.00« Btttburg nad; (rd;tcrnad)ctbiüd . . 5.05 m ettetbtütf nad) Mtlon 4.20« Sirlon nad) éttetbritd ft.OOm fttetbtüd1 nach Sßilc 6.00» Mltz nach ©ttelbtücf. 7.30» Hosingen nach Wilwerw . . 4.26mu.4.20» SBilroetroiltj n. Hosingen . 9.10 m 6.30» Luxemburg nach Echteinach 8.00« Echlernach nach Luxemburg 6.00» £u£embg. nach Niederlerlehen 4.00« Niederkerschen nach Su^emba .... 5.30»» Luxembg. nach Mondorf. . . 8.00» 8.45« Monoors nach Siujembg . . . 6.00 m 6.00« Mersch nach Fels 6.20« 3.46» Fels nach Uersch 6.20» 2.10« Mersch nach Redingen 3.45« Redingen nach Mersch 5.00 m Dettingen nach Nemich. . . .8,03,» 1.47« Neulich nach Detringcn . . 6.45 m 11.30 m Ulfliiigcn nach Weisw 7.10» SBeiSu). nach Ulftiugen 4.15« Ulfiingen nach St, Vith 3.16» Et. SJtt^ nach Ulflingtn 7.00» Vianden nach Prüm 7.00» Prüm nach SJianben 8.00»» Will nach Vastnach 6.< X»» Ällstnach nach Wilh 8.80» Mltz nach Wilwerwiltz. . . 4.10» 8.30. Wiln,er«>ltz nach Mil«. . . M» f-.10,
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Annoncen.
Luxemburger Wort
Annoncen.
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Oesterreich.
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Oesterreich. ffißicn, 29. Januar. [3(eid)Srntl).] 3n Der geftrigen Sinnig beS SlbgeorbneteiiljoufeS beantworteten bie ïuinifter ©erbft u. ötrncr eine 3'iterpellation über bieber geiftlidjen G()egerid)te. §erbft fagte in SEe= fentlicljem : „Ssie Regierung l)at fid) nad) Äuubmndjung beS ©e:e(jeS com 25. Dki 18G8 beeilt, ben 9?erpflid)timgeu nas&ufom: men, bie ifjr bureb biefe ©efelje auferlegt würben- Sie tjat le^terc im sollen Umfange in Soösug gefetst. 3m nonjen ©ebiete ber Äönigreidje unb Säiiber wirb bie @erid)W« barfeit unb tnSbeioubere aud) bie in G()efa= djcit burd) StaatSrid)ter ausgeübt, unb aufjer ben im DJamen beS SïaiïerS rcdjtfpredjeubeu 3lid)teru gibt eS fein Organ, wrld)cS jur 9led)tiprcd;uug in Gljefadjen bcredjtigt wäre. S)ie 9(egieruug £jat biefc aud) überall jur ©eltuug gebraebt. 311311 ewern Grlaffe Dom H. Quni ISGB würbe auSbrüctticb, betont, baf? bie geifilidjeu Gf)egerid)te als foldje nid)t meljr fortbefteljeu fönnen, bnf3 jebod; ba§ Diecöt ber Jîird;e, ifjre inneren 21nge(egenh.ei= ten ju orbnen uub für baS ©eiuiffenSbereicl) pro foro interno 9ied)t ju fpredjen, burd) bie StaatSgrunbgefetje nidjt atterirt wirb. 6§ ift ber Regierung nidjt befuunt geworben, taf3 oon irgenD einer Seite ber SBertud) ge= inadjt worben wäre, fid) bie beut Staate 511-fommcnbe ©eridjtSbarfeit anjumä|en unb mit nerbiubenber Ärafi über fragen 511 ent-fd)eiben, bie jur nu3)d)lief;lid)cn Eompetenj ber weltlidien ©erid)te geljören. SSo^I ift e 8 norgefonnuen, ba{3 einige Orbiuariate fid; bei ber Ausübung berber ftirdjc burd; bie StaatS= jftunbgefeße gewäfjrleiftetcn felbftuäubigen Sfßirfiamfeit in Sejie^ung auf ben emiffeüSbereid; berfelben formen im SSörfo^ren unb in ben Verfügungen bebienen, bie fie 31t ber 3eit, als iljnen bie ©erid;tSbarfeit in Gl)e= jadjen übertragen nav, uugewenbet bnben, inbern fie bie au» jeuer 3e" Ijetruljrenhcn Formulare unter blofjcr Ginfdjaltung ber ©orte „für beu ©ewiffenSbereid;" awâ) je(st nod; üerroenbeii SMc 3iegieruug will —fo lange bie 9Jiöglidifeit einer anberen 3lnual)ine nidjt gänjlid) üerfdjloffcn ift — nicljt pou ber 3>orauSfe(3ung auSgeljeu, baß biere Grfdjeinuug iljreu ©ruub in bern Se: ftreben Ijabe, fid) eine punition ber Staatsgewalt anjumafeen, bie Seoßlîerung über baS •iferl)ä(tuifsiferl)ä(tuif5 jiiiifdjen Staat uub Birdje irre= Sufüljren unb bie 3>erfd;iebenf;eit jwifdjen ber Aufgabe ber ftaatlidjen 65erid)tSbnrfeit uub ber auf ben ©eroiffensbereid) befdjränfteu SBirïîamîeit ber 511 ignortreu ober ju terljüllen. S)ie 9iegierung l)at aber aud; biefen irregulären Vorgang uid;t uubead;tet gelaffen. Sfnbem fie einerieitS bie grciljcit ber fitrdje adjtet, anbererfeitS aber ben über bie ©reuje beS ©emiffenSbereic^eS ijiuauSreidjenben 2lu orbnungen unb Verfügungen ber firdjlidjeu Organe in Gljefacb,en jebe SBirfung abipridjt, forgt fie and) bafür, ba& burd) beu ©ebraud) niijuläffiger weber ein öffentli= d;eS uod; ein gcfäljrbet werben tonne. Die Regierung konnte sich zu besonbereu Maßregeln nur barm aufgefordert feljeu, wenn der Fall einträte, den sie jetzt nicht als vorhanden ansehen zu müssen glaubt, baß von Seiten eine« der Ordinariate die dem Staate zustehende Inrisdiction in Ehesachen präteubirt oder eine Irreführung der Bevölkerung angestrebt werben würbe. In diesem Falle nnirbi! die Negicruug nicht säumen, solchen die 3(ul;e des Staates gefährdenden Bestrebungen entgegenzutreten, und soweit die Handhal'nng der bestehenden Gesetze 511 diesem Zwecke uicht ausreichen foute, die entsprechenden Gesetzvorlagen zur uerfassnngsmäßigen Bchandlmig zu bringen. Ter Guts üismiuister v. Hasner erklärtem „"Keinem Ministerium ist lediglich Gin, und zwar ein dem Laienstandc angehöriger Seftionc-dief, allerdings aber auch für die Angelegenheiten des katholifchen GultuS ein Bischof als Referent in außerordentlicher Verwendung juges wiesen. In dem mir unterstehenden Ministerium ist mehr als in irgend einem andern die Beziehung fachmännischer Kräfte unentbehrlich und uamcutlid) in den Angelegenheiten des katholischen GultuS kann Die Verwertlning einer im Amte erfahrenen fachmännischen Kraft nicht leicht entbehrt und ersetzt werben. Wie aber die Thätigkeit des Bischofs, insoweit fie mit den Gesetzen nicht im Widerspruch steht, meiner Ingerenz sich entzieht, so kenne ich anderseits in meinem Amte überhaupt keinen Bi'chof, sondern lediglich auf ihr Amt und die Verfassung beeidete StaatSbiener.
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Deutschland.
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Deutschland. SBcrliit, 31. 3nmtar- 3" «Kbgeorbneten frei:eu bewegt fid} bie Unterhaltung l;aupt füdjlidj um bie Sßorgänge unb Sieben n>äl;= venb ber jroeitâgigén Debatte in Sadjen ber "J'cfdjlagnatjmcgefelje. 3Kan ift betreffs ber lejjtcrn unter ben Siberaleu offenbar getljeiU ter ÜJJeinung, wie bieS fdjou bie 2lbftim= nwngSlifte beweist. £>at fid) bod; in geftru ger 3?erljanbluug fein einjigeä sHiitglieb ber FortidjrittSpartei unb beS linfen GcntnunS an ber Debatte beseitigt: S3ird&on> feljlte, -Sboocrbecf fd)nriég, ebenfo ber fouft enragirie Frnuffurter Bugler ; bie Dppontiou imirbe Seiten überlaffeu, bie nidjts roeniger als bie ftricten «Jlnljängcr fceS SiberaliêmuS fiub. „liberalen" wefdje friiljer gegen bie IG ïïïillioneu ftimmten uub nun für bie 3tegic!nmgsoortage wären, tute ber wirflidj alte SSalbecf, glaubten bamit offenbar im Sinne ber „öffentlidjen Meinung" ju fälbeln, ba bie ÜRafjreget gegen jroel il)r oer» (jafjte beutfdjc dürften gerietet ift unb un= ferc „conferoattoe" Stegierung jum 23rucb,e mit bern legten tiefte ber legitimiftifd;en ïrnbitioneu treibt. So bie Einen im libéra« len Säger, tljnen werfen bie anbereu $riu; ctpienlofiflïeit vor, meil fiebern priuatri'djtli^ djen G()arafter ber fyrage feine 91ivd)iiHnß trugen, roeit ein Häuflein unbeiuaffneter Gmigrantm eben fo roenig eine ÄriegSbro [jung bebeute, rote ein Çrefîprocefe ©egen ftanb einer £taupt= uub étûatêoçtion ber brei gefefegebenben fein fönne. ffiirji in ber grofjeu liberalen Sliaffc unferer fliolU-oertretung gibt es fo wenig einen auf djo, rafteruoller Uebetjcugung bnfirenben Staub= puuft, bnfs roir eS erleben föunen, bnfj bie 2luf[)ebuug ber 2>ermöfienSbcfd)laguat)iue be= aht ragt uub auS uieleu plaufibeleu ©rauben oon berfelben D3îajoritiit beroidigt roerben roirb, nieldje fdjon ein 33!al IG Uiiüioneu bc= roilligti* unb bann bie Serträge mit bern legten, bern geftrigoorgeftrigen syotunt îm'ebcr Serrü}! — ®ie am 25. $an. eröffnete Goiv ferenj i\ur 2?efpred)ung beS sprooincinl:@e= merbcfdjulmefeuS Ijat üorgeftern Ujre arbeiten vollendet. Sie hat die Erweiterung dicfcr Institute durch eine Fachklasse als dem Zwecke derselben entsprechend onerfannt und den vorgelegten Leclionsplan im Großen und Ganzen gebilligt. Das Öbertribunal hat vor einigen Tagen die Frage entschieden, ob tm Friseur, der gleichzeitig ein TctailgesäM mit Parfümerieen uub Toilettegrgenständen betreibt, ge^ setzlieh zur Buchführung und Bilanzziehung verpflichtet ist »nd demgemäß event. wegen unterlaffener Bilanzuehnng bestraft werden faim. Der Fall war folgender. Gin Friseur H. in Tanzig hatte imlulilBL? seine Zahl' uugeu eingestellt und erwiesenermaßen im Jahre ISGG eine Vermögensbilanz nicht ge zogen. Deshalb wegen einfachen Bankerotts angeklagt, würbe er vom Kreisgerichte zu Danzig freigesprochen. Das Gericht führte auS: das Gefchäst des Angeklagten fei von so unbedeutendem Umfange gewesen, daß an genommen werben könne, der Handel des H. mit Parfümericen, Haarülen, Kämmen und dergleichen i.'uruS;©egenftänbeu gehe nicht über den Umfang feines Handwerksbetriebes hinaus, da notorisch euch der kleinste briseur seines Gewerbebetriebes wegen einen Vorralh von derartigen Artikeln halten müsse. Sound) fei H. auf ©ruub des Artikels 10 des Handelsgefetzbuches non der Verpflich tung, Bücher zu führen und jährlich eine Bilanz in ziehen, befreit. In der 2lpelïattoit'î= instanz ergab eine nochmalige Beweisausnahme über den H.'scheu Geschäftsbetrieb Folgendes. Bei der GoncurSeröffnun.i betrugen die Passiva 3400 Thaler; Waaren waren im Werthe von 450 Thaler vorhanden, darunter größere Vorräthe einer und derselben Waarciüorte, z. V. nahe an 300 Flaschen Gau be Cologne. Angeklagter stand mit Handlnugsbäusern in Berlin, Stettin, Köln, Kiel Frankfurt, Leipzig, Dresden, Paris u. f. w. in Verbindung unb hatte 18C5 für 1200 Thaler, 1806 für 1600 Thaler Waaren bf= Sogen unb monatliche Einnahmen von 2 300 Thaler gehübt. Der als Sachverständiger vernommene Concursverwalter gab auch gegenüber diesen Zahlen sein Gutachten dahin ab: der kaufmännische Tlicil des Geschäftsverkehrs des Angeklagten habe sich nicht über das Niveau der im Artikel 10 des Handelsgesetz bûches bezeichneten Kategoriecn erhoben. Das Nppellationsgericht erklärte dies Gutachten jedoch als im Widerspruch mit den stattgefunden nen Ermittelungen, erf.inute den Angeklagten der unterlassenen Bilanzziehung schuldig und verurtheilte ihn zu drei Tagen Gefängniß. Zur Begründung führte er aus : Handels, geschäste von solchem Umfange könnten dem von kaufmänuischeu Verpflichtungen entbundenen Geschäftsbetriebe der Höcker, Trödler und Hausirer unmöglich gleichgestellt werden; dieselbe überschritten auch deu Handwerksbetrieb eines Friseurs, der, wenn er Waaren zu den angegebenen Beträgen ein- und verkaufe, durch fein Friseurgeschäft hierzu nicht veranlaßt werde, fondern einen davon unabhängigen Handel betreibe. In der hiergegen eingelegten Nichtigkeitsbeschwerde suchte Angeklagter gcltcnb zu machen, daß der Waareneinfauf pro ISGS mit 1200 Thlr. nickt geeignet sei, leinen Geschäftsbetrieb der Nechlswohllhat des Art. 10 des H.-G.-V. 511 entziehen. Eine solche Einkaufssumme (pro Tag circa 3 Thlr,) weife das Geschäft einer jeden Obsthöckerin und eines nicht ganz unbedeutenden Handwerkers auf. Das Obertribunal hat jedoch die Nichtigkeitsbeschwerde als unbegründet zurückgewiesen nnd damit anerkannt, daß Friseure, welche neben dem Handwerk einen Handel mit Parfümerien 2c. betreiben, der umfassende geschäftliche Verbindungen erfordert und einen nicht untergeordneten Theil beS F"feurSgefd)äftS auSmadjt, Jur Vud); füljruiig unb Vüuujsieljuug oerpflidjtet fiub. Vei ber ffiabl, weldje im G. Ijannooerfdjeu 2Bat)lfreife ftattfanb, würbe ber uationaMibe« rate Gaubibat, §err ©utSbefifjer 2(btfeS, mit 2312 gegen 1181 Stimmen, weldje auf ben particulariftiickn Gnnbibaten, $m. Sanbbroft a. ©. Dlieper fielen, für ben SleidjStag ge=
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Frankreich.
Luxemburger Wort
Frankreich. Vnriß, 31: 3an. ©ie „3nbep. Selge" will oou iljrem Souboner GorreSponbcnteu ben Sert ber Goufereus^eflaratiou erljalteu l;a-ben, weldje Ijienadj folgeubenuaßeu lautet : 3n geredjter Seforguifi oor ben ©cfaljren, weldje ein Vrudj ber Vesietjuugen jroifdjcn oer Surfet uub ©ricdjeulanb nach fid; jieljcn tonnte, Ijaben bie Unterseid;ner beâ Vertrage« oon 185 G fid) oerftänbigt, jur Sdjlidjtung Der sioifdjcn ben beibeu Staaten auSgebrodje= neu ©iffereuj unb 31t bern Gubc iljre 3(eprä= feutauten bei Sr/ïïîaj. bem .Rnifer ber Fran» aofen autorifirt, 31t einer Goufercuj lufwt menjutreten. Dcad) einer aufmerffamen Prüfung ber îwiîdjen ben beiben 3îegieruugen gewed)felten îofumeuten fiub bie Scoolliiuidjtigten barin eiuoerftaubeu, bafj ©rifd)enlonb, Strömungen fid; überlaffeub, in bie fein Patriotismus eS oerlctten formte, Éhlà| gegeben b,at 311 ben ■^efdjirerbeu, wcld;e in bern, am 11. ©cc. 18GS beut ïlîiuifter be« 2(uSwärtigen Sr. ■üJtajefiät beS XföittgS ber Hellenen überreid;» ten Ultimatum ber ottomanifdjeu Pforte articulirt finb. GS ift in ber Sljat uubeftreit= bar, baf3 bie beS Völferrcd)t3 ©viedjenlanb, wie alle andern Nationen oer= pflichten, nidjt 311 geftatten, bafj auf feinem ©ebiet Vanbeu fid) bilbeit, ober gafjrjfuge in feinen £tafen fid; armiren, um einen benachbarten étant anjugreifen. Ueberjeugt übrigfuS, bafj bds 2ltljeuienfiidje Gabinet ben ©ebanfen niepit 'inifjfeunen wirb, welcher bei biefer VorfMung bie brei Sdjutj« mädite ©ne<séniàribs, fowie bie übrigen -Hiäcbte beS Vertrags oon 1856 geleitet tjat, erflärt Die Gonferenj, baß" bie Ijellenifdje ?ie= gieruug oerpflidjtet ift, in iljreu Vesieljuugeu mit Der Siivfei bie allen Regierungen ge= meiufamen Siegeln beS Verhaltens 311 beob= adjten unb bamit bin oon ber £>o(jeu Pforte formulirfen ïîfclamationen für bie Vergan* gonfjeit 31t genügen, unter gleichzeitiger Si= djerftcllung berfelben Ijinfidjtlid; ber 3ufunft. ©rtedjcn'.anb wirb fid; bemgemäfj oon nun an cnfljaiteu muffen, 31t begiinftigen ober ju geftatteu 1. bie Vilbung irgenb wetdjer San= ben cvf feinem ©ebiet, bie beljufS eines 2in= griffes gegen bie Sürfei recrutirt werben ; 2. Die 2htSriiftnug bewaffneter Fab^cuge in feinen iiäfen, bie beftimmt finb, unter roeldjer Form eS fei, £üffe 31t bringen irgenb einem 2lufftanb!?üerfud) iii beu Vefifcuugcn Sr. 3Jîaj. beS SultanS. SBaS bie Forberungeu ber «Pforte besüglidj ber Sftücffeljr ber emigrirten .(fréter auf l;elle= nildjeS ©ebiet betrifft, fo nimmt bie Gonfe* renj Stet oon beu fetten« beS Sltljenifnufdjen GabmetS gegebenen Grflärungen unb Ijegt bie Ueberjeugung, baß ba|felbe fid; bereit jeigen wirb, fo weit bieS ooh tljm abljängt, bie 2lb= faljrt ber Ganbiotifdjeu gamiltfrt 31t beförbmt, weldje in il;re «geimatl; 3urücfiiifel;ren wün» fdjen. ÏBnS bie «ou ottomnniidjeu Untertanen erlittenen $rioat=?Md)äbigungeu anbelangt, fo Ijat bie Ijellenifdje Siegierung bet Sürfei in feiner 2?eife baS Jledjt beftritten, auf ge« ridjtltdjem SBcße bie etwa gebüljrenben Gnt-idjäbigungen 51t forbern, «nb bie îurfei (;at ibrerfeitS bie Surisbidion ber griedjiidjcn ïrijmnale angenommen. 55emgemäfj glauben die Vcuollmächtigteu nur keine Untersuchung der Thaisacheu fiel) einleiten zu Tollen und jïnb der Ansicht, das, das Gabmet 0011 At:!eu lein legales Mittel »erabiäumen soll, uni der Wirksamkeit der Justiz ihren regelmäßigen Verlauf zu sichern. Die Konferenz hegt keinen Zweifel, das, vor dem ciiiftimmißen Ausdruck der Meiuuug der Vevollmächtigteu über die ihrer Priisui'g unterbreiteten fragen die hellenische Äegierung sich beeilen wird, ihre Acte in lieber1 tinftimmnng zu bringen mit beu angeführten Priucipien, sowie daß die im Ultimatum der Pforte ausgedriickten Veschwerde» eben hier, durch ihre desinitiue Erledigung finden werden. Diese Erklärung s')ll ohne Verzug zur Kennini ß des ■ Athenischen Cabinets gebracht werben, und die Bevollmächtigten haben die llebetyiigung, daß die Hohe Pforte darauf petüdjten wirb, beu angekündigten Maßregel», welche die Consequenz des Abbruchs der diplomatischen Beziehungen [ein sollten, Folge zu geben, wenn durch eine der Conferenz gemachte 3)ütt()eilung die hellenische Negierung der von ihr abgegebenen Ansicht beitritt. Die Bevollmächtigten apuMrcn daher an dieselben Gefühle der Eintracht und des Friedens, welche die von ihnen vertretenen Höfe beseelen, und fie geben der Hoffnung Ans druck, daß die beiden Negierungen nicht zaudern werden, ihre Beziehungen wieber anzu knüpfen und so, im gemeinsamen Intéresse ihrer Unterthanen jede Spur der Uneinigfeit zu verwischen, die den Zusammentritt der uferen} vcranlahte.
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Italien.
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Italien. Ram, 27. Jan. Die Grafen Thunchohenftein, 33{artini(5 nnb Chotek sind hier eingetroffen. — Gestern würben abermals zwei Locomotivführcr von der Gendarmerie verhaftet, weil man sie darüber erwischte, wie fie einen Ballen revolutionärer Sänften, w.'lche zur SSertl)eiti|iig an die Römer be stimmt waren, einMchmnggeln suchten. Unter dmi Eoiisiscirten befindet sich außer obicönen Photographiée», wodurch die Jugend geködert werben sollte, eine Anzahl Exemplare einer Schmähschrift: „Das päpstliche Nom dem Volke enthüllt", die von einem abtrünnigen Priester in Venedig verfaßt würbe. — Die päpstliche Armee hat gestern außerhalb des St. Panlsthores, und das französische Cccu= patious-Corpe vor wenigen Sagen außerhalb Civita.Vccchia'Z Feld-Manövers ausgeführt. Das Manöver der Franzosen würbe von 2500 Mann, welche den vou Corneto an rückenden Feind zurückschlugen, execulirt. Es lieh an Pracinon, Geschwindigkeit in den Bewegungen sowie im Feuern nichts zu wünschen. An beut Scheingefechte vor dem St. Pauls Thore, hinter den Tre Fontane, betheiligten sich gegen 3000 Mann päpstlicher Truppen. Die Hebung fiel gut aus. Die Commandauten der verschiedenen Abt Heilungen sowohl wie and) die Mannschaft erwarben sich die Anerkennung Aller, die diesem vom schönsten Wetter begünstigten Frlomanöver beiwohnten, und deren waren nicht Wenige. Fremde'und Konter, zu Fuß, zu Pferd und zu Wagen. — In der vergangenen N^cht war auf dem Monte. Cavallo Feuer, und zwar in dein Theilc des Palastes, den die päpstl. Kanzlei (fie steht unter dem Eardinal Maltci) einnimmt. Der Schaden ist unbedeutend. Das Wichtigste, die Acten der 'N schüfe der katholischen Christenheit, blieben schadlos ; im Palaste selbst ist jede Nacht eine Abtheilung bcr Feuerwehr ftationirt. — Vorgestern »)cad)'nittag begab fid) Pins IX. nach der St. Paulskllche extra inuros und verrichtete dort, als am Tage der Bekehrung des Apostels, feine Andacht. Vorzüglich viele Fremde, bereu Nom jetzt voll ist. waren an diesen: Nachmittag hinaüsgestromt, um die festlich geschmückte Kirche zu sehen. — Der General-Vicar, Eardinal !!atrtji, hat für den 31. Jan., 1. und 2. Febr. ein Triduo angeordnet. Er labet die Christen ein zum Gebet, weil von allen Seiten Tücke und Falschheit das sichtbare Oberhaupt der Kirche bedrängen, und zur Mildthäligkeit für die Erziehung der verwahrlosteil und verlassenen Kinder in den fernem Säubern der christlich katholischen Missionen. Gleichfalls erließ der General-3>icar ein 3"c Sagro, welches die Christenheit einladet, am l.,unb 2. Februar sich der tumulluarischen Carncvals Vergnügen zu enthalten, um das Lichlnießfest würdig zu feiern. — Dcc Cardinal Mathieu war vom Papste beauftrag! worden, den in Frankreich neu gestifteten geistlichen Orden „der Enkel Mariens,, (dessen O,dens Oberhaupt in Paris seinen Sitz hat, und ber über 800 Ordensbrüder zählt) zu inipiciren und über dessen Nerth und Streben Bericht zu erstatten. Der Cardin,l hat, wie ich höre, vor feiner Hierherknnst di.ies Auftrages sich vollständig ent« lebigt. Das Steinltat der Inspection des CarainM ist vom Papste bcr Congrégation der Bijchöfe und Ordensgeistlichen übersendet worden, unb es unterliegt wohl keinem Zwei fei, daß der Orden nächstens die höchste kirch liche (^nehmigmig und Anerkennung etljalten wird. — Professor Dr. von Riefele haam verflossenen Sonntage in der Kirche ber Anima gepredigt. Sie M'äUe hatte leiber Manchen vom Besuche der deutschen Kirche abgehallen. - In Nr. 22 berichtet die ülugeb. /Allgemeine Zeitung' aus Nom, daß die allein Chronisten und (Sjegeten nur nod) in geringer Zahl vorhanden seien, und daß deshalb in der Druckerei ' der Propaganda eine neue Anfluge derselben erscheinen werde. Diese Nachricht beruht wohl auf einem Irrthnni. Man denkt der Mittel halber in der Druckerei der Propaganda an nichts dergleichen. In Paris wirb unter Anflicht und Teilung des Monsignor Chaillot durch ben Buchhändler Palme eine vollständige Sammlung der Concilie!! aufgelegt. Eine andere derartige Arbeit ist in Nom weder angefangen noch projeetirt. — Zum Schlüsse Einiges ans Itali n, was ich Privalbrie^en entnehme. Der kaiholrehe Clenis hat die Galle bcr MuolütionKpartei dadurch erregt, daß er die »eöölfrnrug in de» »leisten Orten Italiens ermahnt hat, sich ansstäxdischcr Bewegungen zur Verweigerung der Mahlsteuer zu enthalten. Für den Minister Gnallerio ist für den 30. bis. Mts. auf dem Bahnhose in Nom ein Separatzug nach Neapel bestellt, während, wie mau sagt, der König Victor Erna nuel von Florenz über Foggia nach Neapel reifen wird. Der unglückliche König ist in einer fonwährcnden krankhaften Aufregung. Er schläft, ohne sich zu entkleiden, auf einem Lehnstuhle sitzend, und läßt sich, sobald er eine Stunde geschlafen hat, aufwecken, geht dann längere Zeit im Zimmer in höchster Unruhe auf uub ab, um später von neuem eine Stunde schlafen zu können. Er läßt sich dann wieber wecke», und die Zimmerpromeuabe beginnt abermals. Am 6. lau, überkam den König ein a»ß>'ordent!iches l)cf liges Blntbrechcn. Mau fürchtet, daß die Neise und) Neapel ihm mehr schaden als nützen werde. Von einer projeetirten Unterredung mit dem Papste, von der die ,Angsb. ,Mg. 3e<tu (Nr. 22) sich schreiben läßt, weiß man hier au competenter Stelle kein Wort. Nie würbe von Victor Emaiiuel ein solcher Vorschlag gemacht. — Der Vriefstell r von Gcprera läßt sich wieber vernehmen. Zwei Phoben : I. Garibaldi an Louis Blanc. 19. Jan. 1869. Sie haben 9led)t: Sie französische Demofratie vernichtete die römische Freiheit »icht. Mau kann nicht Republikaner sein und ehrlos handeln. Er weiß es recht gut, Er, ber die französische Freiheit im Blute der Söhne von Paris erstickie. Wir Italicucr wissen recht gut einen Unterschied zwischen ihm und dem edlen Volke zu mache», welches eben so wie wir hintergangen, es heftigst verlangt, fid) seinem verfluchten Contact zu entziehen. I!. Garibaldi an eine feiner Freundinnen in Neapel. 12. Jan. 1869. Anmuthige Freunbin ! Ginfaltêpiniel, Heuchler unb Weiber unterstütze!! die Geistlichkeit. Ist es nicht eine Schande für die edelsten Geschöpfe, solch' ei ne«: Triumvirate anzugehören? Sagen Sie also Ihren Schwestern, daß fie aufhören [îlUr fdjticfjen Ijierait uodj einen Dritten ikief ©aribalbi's, bem bie ,3talia' oon iicapd biefe geilen oorauSfdjicft : „©encrai ©as ribalbt ïjot bem ©rafen Sticciarbi, ber iljn befragt in Setreff ber italienifd) uititnrifdjen flffoäation uub bcr SSerfammlung bcr benfer, bie tu SReapel am felben Sage mit ber Eröffnung des ötumenifdjen Goitiiläftatt(jaben foll, folgenbe Slntroort gegeben : Gaprera, 19. Januar 1869. 3)ceiit lieber Sticciarbi! 3" einem cinjigen Sager alle Si= beralen ju oerfammeln unb fobaun im be= oorfteljenben Seceniber in Neapel bie grei benfer ber ganjen 2Belt, ba3 ift ein roafjr' Ijaft grofeeë SSerf, unb id) wünfdje Shjun feine SScrroirflidjung. Surd) ba3 erftere $ro= jeet werben Sic oerfuetjen, bie focialen 2Bun« ben ju Ijeilen, bie unfer Sanb betrüben, uub burd) ba3 anbere hm priefterlidjcn SBranbfdjaben ausrotten, ber e<s oerpeftet. 2Röge ©ott ba<3 Ijeilige Unternehmen feguen. 34 bin ber 3l)rige. ©. ©aribalbi."]
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Luxemburger Wort
Spanien. Sa§ Seeret tes 3)iinifterS 3oriüa über bie (Confiscation aller Birdjen- uub Äloftcr- Sammlungen ift erft in ber amtlidjen „©a= ceta" oom 26. Sfanuar publicirt worben, uadjbem bev 3?oD[jiig fd)on Sage oorljer ftattgefuubcu. Saâ Seeret oerorbnet bie aller 21rd;ioe, Sibliotljefen, Gabnutte, ! Sammlungen wiffenfd)aftüd)er, fihiftlcrifdjcr uub literarifd)cr ©egcnflänbe, bie fid) unter irgenb einem 9ïed)tëanfprud) in beu Äatbeoraleu, Gi.pitcln mù fflöftern befinreu. Siefeegenftaube folleu alâ 9ïationaleigentrjum betrachtet, unter öffentliche Verwaltung geftfllt unb in bie etnseluen 3lationalbibliotljefen, Sïrcbjoe iiub ïlhifeeii cin= georbnet werben. 3nr SRotittiruna, bcr 3Jin6-roçiet lucrbeu in bem Secrète bie ©efaljren aufgejagt, beiien bie befaßten objecte an il)--reit ie|jigeii SlufberoafjrungSorten auSgefe|{ feien, namentlid) wirb (jeruorgeljoben, bûf3 bie foftbarfien ©egenftänbc oernntreiit unb 511 Spotturciten oerfdjleubert mürben. Gin un bie Eivilfiouverneure ni-rid^tetcr 33efer)t fejjte bie gemeinfame Slusfütjruug bei 3Jîafj= regel auf ben 25. 3anuar fefi.
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