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Film culte, classique parmi les classiques.Enfin un conte de Noël bien adapté aux tout-petits sans les prendre pour des attardés. Le Père Noël, son fils, la grande question de la paternité. Un film tendre et poétique comme il nous en arrive pas si souvent. A craquer!
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Ce film a le charme d'un album de photos. Un album dont les clichés seraient à la fois terriblement joyeux, naïfs et significatifs. Voilà le souvenir d'un "rideau de sucre", de cette jeunesse non pas dorée par le communisme, mais grandie dans la période post-révolution des années 1970, dans l'espoir d'une société immatérialiste et l'euphorie d'une société abondante, au crochets du grand frère soviétique. C'est toute une génération, ces "pionniers de la liberté", qui racontent face à la caméra l'éducation cubaine, qui prônait (et prône toujours) des valeurs telles que le travail, l'alphabétisation, la solidarité, et surtout la gratuité. On sent chez ces jeunes un vrai amour de Cuba, et un vrai respect pour le message communiste. Néanmoins la réalisatrice est lucide, elle fait raconter à cette génération "du progrès", l'état de Cuba après la chute du mur. Une fois le sucre fondu, une fois es vivres coupés, la fête est apparue moins rose. C'est alors que le film devient émouvant; c'est alors qu'on comprend ce que cette jeunesse, élevée dans le faste, est partie prendre ailleurs ce que Cuba ne peut plus lui offrir.
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L’odeur de la Mandarine est un très beau film. Ses décors, sa lumière, sa magnifique photo et ce couple passionnel … L’histoire d’amour est belle, sous fond de guerre 14-18 . La rencontre de deux mutilés, un mutilé physique et une femme inconsolable après la perte du père de sa fille. Ils vont tous les deux essayer de panser leurs blessures. J’avoue avoir préféré la première partie du film, moins dramatique que la seconde. Olivier Gourmet interprète le rôle de Charles avec beaucoup de pudeur et magnificence. Le jeu de la jeune actrice, très belle actrice, est brut. Autant le jeu de Olivier Gourmet est tout en retenue, autant le jeu de Georgia Scalliet est expansif. Les seconds rôles sont tout aussi de qualité, Dimitri Storoge, Hélène Vincent, Romain Bouteille, Michel Robin, Urbain Cancelier… même si pour certain il s’agit d’une apparition L’odeur de la Mandarine est un film d’amour sensuel et passionnel. Georgia Scalliet et Olivier Gourmet sont magnifiques. L’interprétation est le point fort de ce beau film
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Quel film, mes aïeux ! Qui tient autant du documentaire (une histoire vraie qui a eu lieu en 1996) que du western et du film d'aventures. A couper le souffle, et pas seulement parce que tout se passe à 5000 mètres d'altitude. Les images sont d'une beauté sidérantes (ce pourrait être le pêché mignon de Lu Chuan, l'excès d'esthétisme) et la conduite du récit impeccable. Brutal comme ces terres inhospitalières entre montagnes, lacs glacés et désert. Il y a bien des façons de mourir dans le film : sous les balles des braconniers, de froid, d'un oedème pulmonaire ou, pire encore, englouti dans les sables mouvants (la scène la plus terrible). Bref, c'est grandiose mais, comme dans City of life and death, il y a une sorte de recul dans la mise en scène, le refus de l'apitoiement et un réalisme ébouriffant. Espérons que Lu Chuan, qui ne plait que modérément aux autorités chinoises ne soit pas réduit, à l'avenir, à tourner d'impersonnels films hollywoodiens.
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Un bon gros navet vénéré comme un chef-d'oeuvre par certains sous prétexte qu'il s'agit d'un film signé Kitano. Il aurait été intéressant de masquer le nom du réalisateur puis de voir les réactions des uns et des autres, les résultats auraient été étonnants. Car il s'agit d'un film hautement soporifique. On n'y comprend pas grand chose, les événements s'enchaînent dans la confusion la plus totale. Les scènes sont d'une longueur assommantes, on aurait facilement pu résumer le film en 45 mn. Le héros, une espèce de statue de cire mobile, ne suscite pas l'enthousiasme des foules. L'absence de musique accentue l'ennui que l'on ressent durant le film. Des passages drôles ? Montrez-les moi, parce que là j'ai bien du mal à les repérer. Bref, je ne suis pas rentré une seule seconde dans ce délire kitanesque, alors que je suis fan de ses autres productions.
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Un petit film d'espionnage mou du genou, le casting paraissait intéressant sauf hélas pour le premier rôle qui plombe bien le film.
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Moyen mais qui reste supérieur au 2. Les morts sont toujours aussi prévisibles mais moins ridicules que le 3 tout en étant plus spectaculaire. La qualité est supérieure, la réalisation aussi, le spectacle est là et on s'ennuie moins, mais ça reste trop moyen.
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Film vraiment mauvais. Musique énervante et redondante. Prise de vue vraiment mauvaise, dignent des vieilles séries B. On ne comprend par vraiment pourquoi il leurs arrive tout ça. Au début j'ai cru à une reprise de Grudge, mais finalement non, il n'y a rien. Film nul, à ne pas regarder.
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Hitman: Agent 47 réussit une performance: faire un reboot bien pire que l'original. L'histoire, pour ceux qui n'ont pas joué aux jeux, bon courage. Pour ceux qui ont joué, bon courage. Hitman, ou l'histoire d'agents "fabriqués", réputés silencieux. Souci, ça tire à tout va, explose tout ce qui bouge (ou pas) et de temps en temps pour faire plaisir aux fans on sort une corde pour étrangler un gars et dans la minute on en flingue un entre les deux yeux. Des "meta-humains" font une apparition en la personne de Mr Quinto qui possede une armure en cuivre de carton de kevlar sous sa peau... Ai je parlé de la "copinette" de 47 dotée de prescience? Ai je mentionné que 47 marche, recharge, tue au ralenti pendant tout le film? Même le réalisateur n'a pas pris la peine de raser la tête de 47... Le premier opus est un chef d'oeuvre à coté, c'est dire...
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Oui, quel curieux film ! Mais quand on connaît Peter Watkins, et son obsession du pouvoir des média et des ressorts de la démocratie… Tourné en noir et blanc, avec surtout des acteurs non professionnels, dans une sorte d’entrepôt où se situent tous les décors, ce film en désorientera plus d’un. Il faut un peu de patience pour se laisser captiver par ce « documentaire vivant », avec sa guerre des télévisions, ses journalistes, et son petit peuple qui se bat au quotidien pour conserver le droit à la parole. Ses méthodes cinématographiques, revendiquées par l’auteur, font de ce film une œuvre d’autant plus contemporaine que les dialogues, les mots, les préoccupations, sont ceux de maintenant ; et l’intérêt n’est pas tant historique que politique, et le spectateur est lui aussi interrogé en permanence sur son positionnement par rapport au discours tenu. Il ne fait pas de doute que Watkins laissera une marque indélébile dans l’histoire du cinéma, de par son intransigeance et son honnêteté, par les difficultés qu’il a du surmonter pour produire et pour distribuer ses films, par la chasse au sorcière silencieuse dont il a toujours été l’objet. Je ne peux que saluer son obstination et son courage, et inviter les cinéphiles (et les autres) à voir ses films, enfin disponibles en DVD, et, parfois, visibles en salles pour certains d’entre eux.
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La première scène ouvrant le film sur un homme surgissant chez un autre pour lui enfoncer sa chaussette dans la bouche,laisse penser que le ton du film va être décalé et caustique. Ce n'est malheureusement pas le cas,le ton du décalage et tout petit. Et la virée de ces deux hommes dans tokyo devient vite longue et se révèle sans intérêt à suivre.
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Film d'arnaque très classique: bon et efficace avec malheureusement peu d'originalité.
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Un drame psychologique intense et troublant sur les séquelles de la relation père/fils, avec un excellent casting. César du Meilleur acteur pour Michel Bouquet en 2002.
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Ce film est mais vraiment bcp bcp bcp bcp bcp bcp bcp bcp bcp eeeeeeennnnnnnnnnnnnuuuuuuuuuuyyyyyyyyyyyyyyyyyyyaaaaaaaaaannnnnnnnnnntttttttttttttt
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On cherche l'histoire et on ne la trouve pas !! Le scenarion est très long pour finir en un éclair !! Les dialogues sont toujours les même bref on s'ennui a mourir !!
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Comme somnifère, c'est à conseiller. D'un ennui colossal, bavard comme ce n'est pas permis. A fuir.
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Le pitch de départ avec les petits robots était prometteur, l'idée du flic atteint de vertige avait déjà été traité par Hitchcock mais pourquoi pas ? Sauf que le scénario est débile et bourré d'invraisemblances : On passe au scanner tous les vêtements d'une témoin afin de détecter un éventuel mouchard mais on oublie de scanner son sac à main. Un mec armé jusqu'aux dents se livre à un échange d'otages en plein restaurant et égorge une nana sans que tout cela ne provoque une panique. C'est joué très moyen avec une Cynthia Rhodes non crédible. Ajoutons-y un méchant ridicule, deux scènes d'insupportable guimauve avec un gosse et un final téléphoné. Navet !
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on retrouves tout ce qu'on avait aimer dans la série toujours cette repartie cinglante de la part de veronica mars qui faisait le charme de la série j'ai passer un bon moment malgré que je n'ai pas reconnu quelques personnages secondaires on auras peut être un deuxième film étant donné que l'intrigue sur les forces de police n'est pas close et je verrais bien veronica allait chercher Logan au fin fond de l’Afghanistan
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Un ancien agent secret, une orpheline de l'Europe de l'Est qu'on kidnappe, un rèseau de trafic humain...et un scènario hyper prévisible! Le père Steven Seagal, c'est bien connu, ne fait pas toujours de bons films et se contente ici de faire le strict minimum dans des scènes d'action très tèlèphonèes! Voilà de quoi satisfaire des amateurs de sèrie Z et de règlements expèditifs pour notre grand redresseur de tort où s'ètalent les dèfauts de ce spècialiste du Direct To Video! Un polar mèdiocre avec quelques discours spirituels qui se noient sous un flot de pensèes profondes, de symbole sur l'amitiè et même parfois d'humour ("T'as des histoires drôles en stock ? j'ai envie de rigoler")...
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C'est uniquement dans les œuvres japonaises qu'on retrouve des scénarios si alambiqués et des belles amitiés qui se créent comme celle d'Hana et Alice. D'ailleurs les dénouements aussi fumeux que celui de ce film auraient été hués dans n'importe quel film occidental mais l'art nippon a décidément un charme qui, associé au graphisme, permet de transformer un méli-mélo en beau projet.
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J'ai passé mon film à me demander comment on pouvait écrire un rôle principal aussi con, le type ayant la majorité des occasions pour essayer de sortir, se réfugie TOUJOURS dans les couloirs les plus noirs, va toujours chercher "qui fait ce bruit ridicule et où est-il?" plutôt que de se précipiter dans la direction inverse... En gros un scénario tout pourri, mal écrit, qui ne permet même pas de justifier de ce "huis-clos" imposé, qui laisse ce caméraman (très mauvais) enfermé dans cette usine désaffectée, et n'installe même pas la situation initiale de l'équipe de "tournage". Si vous cherchez un film crédible et bien construit, passez son chemin!
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Un mauvais délire pour le frangin qui doit sortir son autre frangin de prison. Connie ne s’imagine pas que les deux réalisateurs vont lui concocter une nuit de folie dans les bas-fonds new yorkais. Mais une fois dans la fange et le dégoût, le brio de Robert Pattinson est bien insuffisant pour donner à cette nouvelle veine policière l’élan suffisant à une dynamique que sous-tend un scénario peu élaboré. Ça parait assez neuf, mais le résultat n’est qu’un brouillamini exalté et fatiguant, sur une mise en scène qui se fatigue à reprendre des codes pour les dépoussiérer. Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
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J'ai du subir ce film de bout en bout car des amis le regardaient à la maison. Une punition qu'on ne voudrait infliger qu'à son pire ennemi!
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Bébel et Delon se marquaient à la culotte à cette époque, le premier ayant tourné le plutôt réussit peur sur la ville, Delon contraquait avec ce thriller "psychologique" ou jean yanne joue les déséquilibrés de service. Malheureusement aucune émotion dans ce film, on attend juste de savoir quel est le but recherché par yanne. Un scénario proche d'une simulation inventée par la police, passionant donc!
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Parmi les grands classiques du film noir, Sweet Smell of Success est le premier à approcher avec une telle virulence les coulisses du monde de la presse people et du show-bizness new-yorkais. A travers les personnages de JJ Hunsecker et Sidney Falco, respectivement incarnés par Burt Lancaster et Jack Lemon tous deux excellents dans ces rôles à contre-emploi, incarnent l’hypocrisie et la soif de pouvoir qui pèsent sur ce petit univers mondain. Les manipulations machiavéliques dont ils usent pour briser la relation qu’entretient la jeune sœur du premier, avec qui il entretient une relation de domination malsaine, et un musicien sont un reflet des jeux d’influence qui règnent sur cette communauté façonnée par sa superficialité, et ce malgré la magnifique musique jazz très légère qui donne sa vie à ce long métrage qui malheureusement fut un échec commercial retentissant à sa sortie en 1957.
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Beaucoup d'émotions en regardant ce film ! face au dilemme de sa propre fin de vie !
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Les connaisseurs de l’œuvre de Grangé diront que Mathieu Kassovitz a effectué le minimum car le film retranscrit légèrement l’histoire du livre. Mais d’un autre côté Kassovitz fait un travail sans faille avec une réalisation très fluide et sans temps mort. Ces deux histoires sans liens qui se rencontrent donne un thriller Français très proche de Seven avec des grands acteurs comme Jean Reno et Vincent Cassel épaulés par al sublime Nadia Farez. Le spectateur est tenu en haleine tout au long du film, un très grand film.
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Un Navet sur-médiatisé (avec un grand "N"), des dialogues sans intérêt, jeux et complicité d'acteurs d'une nullité affligeante et des scènes pseudo "érotiques" qui ne ferait même pas de l'effet à un ados boutonneux. Une blague sans nom !
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Une idée de départ plutôt bonne mais ça ne suffit pas à en faire un bon film. Ce film est simplement mauvais, ce n'est pas le pire que j'ai pu voir mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. Nous sommes perdus dès le début du film, petit à petit ça devient plus clair sans parvenir à totalement cerner le film. Le jeu des acteurs est très moyen, les combats sont atroces (ils sont ralentis et/ou accélérés avec des acteurs qui retiennent leurs coups), le doublage est quant à lui correct. Bref, passez votre chemin même si vous êtes fan de Ian Somerhalder ou de la jolie Alexis Knapp.
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Un film magnifique, remplie d'amour de tristesse de joie et de plein d'autre sentiment. Quand je voit de quel maniéré il représente notre culture sa me fait chaud au cœur et me rend fière d’être Arménienne.
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NULLISSIME A éviter absolument pour ne perdre ni son temps ni son argent et sortir avec un très grand sentiment de malaise et de frustration Ultra déconseillé aux enfants Ce film est à l'opposé d'un film familial Tant pour ses niaiseries constantes de très très bas niveau conjuguées à des dialogues d'une lourdeur inouie que pour ses scènes et allusions à caractère pornographique et carrément vulgaires Rien d'hilarant mais absolument rien On sort de la avec l'envie de vomir tellement c'est nul Le pire film que j'ai vu Meme avec beaucoup de tolérance et d'ouverture d'esprit et la meilleure volonté, c'est impossible d'adhérer . Durant toute la séance,salle pleine, seulement un rire ou deux a fusé. On ressentait une tension pénible et un gros malaise collectif Surtout pour des familles venues avec des enfants, pensant trouver des successions de gags hilarants à l'instar de la bande-annonce ou meme une comédie sans prétention, ont du quitter la salle avant la fin
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autant j'avais apprécié son précédent film (toujours avec Isabella Rosselini), autant celui-ci est indigeste. l'image est sombre, crapuilleuse, l'histoire confuse. je suis parti au bout de 30 mns, ce que je ne fais pratiquement jamais (ça m'est arrivé 3-4 fois ces 10 dernières années, en sachant que je vois 350-400 films par an). ce film aurait plutôt sa place dans une galerie d'art contemporain. pas vraiment au cinéma. ou alors pour des gens qui ont des problèmes de sommeil. je ne donne qu'une étoile à cette oeuvre, mais seulement pour le titre, très bien trouvé. c'est exactement la sensation que j'ai eu. des trous dans la tête. ouille!
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Une comédie romantique bien fraîche! Divertissant et une super BO!
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Une braise nommée érotisme et sensualité se consume à l’intérieur de volets clos pendant qu’un mari abject est à la pèche ou à la ville. Un couple formaté par les sens s’adonne au plaisir afin d’oublier la conquête des êtres et des choses par une misère déchaînée. Dans de telles conditions, il ne reste plus qu’une perversité libérée, consommatrices de Baisers volés, de corps caressés des qu’un vieux mari se retourne ou s’éloigne. Giovanna est sensuelle, voluptueuse, facile à cueillir. Gino se la joue par un esthétisme primaire mais efficace en offrant dans l’embrasure des portes une sueur collée sur un linge de corps plus qu’éprouvé. Le processus est simple mais fonctionne à merveille, une adepte du Bovarisme éveillé par des sens toujours en embuscades se donne dans l’espoir d’un ailleurs sentimental non sollicité par un captif de la route. La chair s’affole sans sommations, encense un principe privé de conscience. Les amants se donnent prioritairement en activant de faibles projets d’évasions ne menant nille part. Les corps et les esprits sont sordides, minés par la crasse, les avenirs sont petits véhiculés vers les métiers de rues par le camion happé ou le train sans billet. Les parcours royaux sont introuvables par contre les contraintes existentielles pullulent. Luchino Visconti filme le dénudé avec comme toile de fond la merveilleuse luminosité d’une campagne italienne portant un même nom. La nature est l’homme font un bout de chemin ensemble dans l’histoire par l’intermédiaire de la misère qu’un paysage parfois presque lunairereflète par sa désolation. Le néo réalisme arrive à grandes enjambées en offrant dans cette œuvre sociale misères, érotismes et passions consommant goulûment motivations et déterminations à s’en sortir avec en bout de course une destinée tragique crée uniquement par la dominance d’un remord.
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On s'ennui durant tout le film, et la fin est surprenante car il ne s'est rien passer ! Une étoile pour les graphismes.
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Je précise que je n'ai à priori rien contre les comédies françaises. Mais honnêtement je ne peux pas mettre plus à ce gros objet gluant dont la qualité de la réalisation et du scénario se rapproche de celle d'un épisode de Salut les musclés. Le début laissait pourtant augurer des jours moins obscurs avec une Marie Anne Chazel étonnemment sobre, une belle mère fantasque interprétée par une Annie Cordy très en forme et un sujet loin d'être creux. Et puis les Yams débarquèrent, Clavier reprit son accent Jacquouille la fripouille, Clémentine Célarié en fit des tonnes et Thierry Lhermitte caricatura davantage sa propre personne que Patrick Sabatier dans le final débile du show télé. Evidemment, j'ai déjà vu pire mais je n'ai mis qu'une seule étoile à des films qui valaient au moins 10 fois celui là.
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Woh mais quelle surprise que ce film totalement barré ! Les gars se sont totalement lâchés pour faire un film très nerveux et bien barré dans les cascades. Franchement, je trouve que ce genre d'exercice est loin d'être évident, car il faut savoir maintenir un état d'esprit sans forcément partir dans tous les sens, tout en conservant un certain rythme et une certaine densité. Or, je trouve que ce "Shoot'em Up y parvient franchement bien. Un film-détente comme j'en ai que trop rarement. Mmmh que c'est bon !
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Film tout simplement grandiose.
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Trop peu pour faire peur, et pas assez pour faire rire! Un gros navet qui n'a d'égale que la stupidité des personnages, d'une histoire ridicule et la médiocrité des effets spéciaux.... Un vrai navet.
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c'est leeeeeeeeeeent ! j'aime le travail de Godfrey Reggio et de Philip Glass, mais a l'inverse de la trilogie des qatsi, ce travail a plus de sens sous la forme de livre/expo photo que de réel film de... 1h27 ?! même Magnolia de P.T.A qui fait ( je le rappel) plus de 3h m'a paru moins long !
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Bande-son au top pour ce petit film indépendant des débuts de Ben Stiller qui campe un scénariste de série à Hollywood (en réalité le créateur de Alf) en proie à tous les maléfices de la notoriété. Drogue bien sûr et tous son cortège de comportements délirants allant jusqu’au shoot dans sa voiture en présence de son bébé. Après avoir touché le fond et avoir brisé tous les liens le junkie devenu ex relatera son histoire. On a déjà vu cette histoire plusieurs fois à l’écran mais c’est la performance hallucinante de Ben Stiller qui retient l’attention. Les deux héroïnes sont vraiment craquantes et l’on se demande toujours comment on peut gâcher de telles compagnies, il faut vraiment que miss héroïne soit la plus forte.
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Film vraiment ennuyant, c'est une boucle qui se répète sans cesse jusqu'à une fin absolument nulissime. J'ai très franchement perdu mon temps, je met jamais de crtiique sur les films, mais celui là m'a poussé à le faire vu la nullité.
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Décevant. Sans intérêt. Monotone. Trop léger pour un thriller. Le film n'a ni milieu ni fin, il ne se passe strictement rien ...
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Après avoir réussi à mêler film horreur et teen-movie avec le génial Destination finale, le réalisateur James Wong s'est embarqué sous les sirènes d'Hollywood dans un film de science-fiction bourré d'action et d'effets spéciaux. Sur le papelard, The One avait l'air plutôt intéressant avec cette histoire de combat entre personnages de plusieurs dimensions parallèles. Et puis voir Jet Li dans un double rôle était une idée alléchante pour les fans de la star asiatique. En somme, The One promettait un bon film d'action science-fictionnel bourré d'affrontements câblés et d'effets visuels Matrixiens. Verdict : c'est sympa, c'est marrant, c'est bien foutu mais c'est hélas aussi très lourd. Tournant en rond au bout d'une vingtaine de minutes, le long-métrage s'avère très répétitif et surtout très peu captivant au final, le scénario n'arrivant jamais à aller plus loin que le bout de son nez. Quant au casting, c'est également peu convaincant... Jet Li peine à convaincre dans son double rôle de gentil paumé et de méchant diabolique tandis que son comparse de fortune Jason Statham (Ghosts of Mars) se régale à faire le big boy qui flingue tout sur son passage. S'ajoutent également au casting le polyvalent Delroy Lindo et la sexy Carla Gugino, campant respectivement le traqueur du bad guy et la comparse du héros. The One est donc une série B tout ce qu'il y a de plus banale où scènes d'action filmées au ralenti, effets visuels à outrance et musique rock omniprésente se fracassent constamment dans un gros bordel pas toujours digérable. Et si le film confirme une belle place dans le cinéma d'action pour Jason Statham, il nous fait amèrement regretter le passage Outre-Atlantique d'un Jet Li confiné aux rôles indigestes voire nanardesques.
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Qui aurait cru que la vie d'une rockstar serait si touchante ? Une histoire absolument magnifique tout ça mélée d'une bonne musique country. Un film à voir sans aucun doute porté par un joaquin phoenix boulversant.
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Dès les premières images, on est plongés dans un "ailleurs" plutôt merveilleux, loin de tout. On pense à "More" de Schroeder, dans cette espèce de langueur poétique très 70s. Puis l'histoire se construit, entre nostalgie et sentiments passionnés. A la fin ça donne un film trip sur l'adolescence absolument magique, comme on n'en voit plus beaucoup. J'adore!
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Frais et très agréable. Le monde de la musique symphonique est en voie de disparition... alors pourquoi ne pas inculquer à nos enfants cette riche et belle musique ? Les critiques de presse me font hurler de rire... ah ça, pour vanter les mérites d'une grosse production vide de sens et de valeurs, y'a du monde, mais dès que l'on trouve un tant soit peu de couleur, de douceur et de vérité... y'a plus personne. Alors pour moi, c'est 4 étoiles bien méritées !!!
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C'est le genre de film qu'on ne sait pas comment noté. Ou on met 0 etoile car il faut bien 'avouer c'est ridicule, ou on prend ce film au second degre, et la il merite 4 etoiles car c'est tellement marrant, on se regale a chaque scene de combat. Mais bon 0 etoiles convient mieux a ce film aussi ridicule que ces predecesseurs
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un très bon film, très émouvant et très bien réalisé. l'histoire se déroule dans un beau cadre (terre neuve). la bande originale est fantastique et le duo Kevin Spacey - Juliane Moore est extraordinaire.
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Une excellente satyre de la mal bouffe déjà d'actualité dans les années 70. Le fossé infranchissable entre la gastronomie française de renommée mondiale et la "nourriture" industriel est encore plus grand aujourd'hui. Ce film est tourné de manière plus satyrique que moralisatrice mais à travers son fond drôle et touchant se trouve un réel message de perdition de la véritable gastronomie française, un fleuron qui tend à perdre de son éclat. Le duo Coluche / De Funès restera à jamais regretté. Un grand classique de la comédie française riche d'une intarissable source de bonne humeur. 4,5/5
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film politique dans lequel je me suis ennuyé je n'ai pas tenu plus de 30 min je pense pour amateurs exclusivement
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Franchement, c'est décevant. J'ai été déçu par l'intrigue, qui à force de vouloir être complexe devient incompréhensible, entendre les acteurs parler anglais est très fatiguant, les rôles sont à peine bien définis (deux bourrins et des retardés...), l'humour est soit absent soit très rare et très bas (attendez le bêtisier pour amortir votre billet). Une étoile pour avoir réussi à me faire croire que ça serait bien.
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Un très bon film vu dans mon enfance (je le possède toujours en VHS enregistré). L'affrontement comique entre Dean Martin et Brian Keith (acteur de films Disney et de très bonnes séries TV comme mon oncle BEN ou le juge et le pilote) est hilarant. Sans compter le voyou mexicain qui veut comme paiement de sa Gatling (mitrailleuse) dont le héros a besoin pour commettre un casse spectaculaire, une femme. Et cette femme ne sera pas aussi souple que chacun l’espérait, y compris pour son mari. A quand une édition française en DVD de ce bon divertissement sans prétention mais avec un humour bon enfant qui fait parfois défaut à notre époque.
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Voilà un des premiers films symptomatiques du futur Godard... Malgré quelques chef d'oeuvres qui ont fait sa réputation pour la postérité il va devenir surtout un cinéaste pseudo-intello qu'il conviendrait mieux de changer pour égocentrique et nombriliste... Oui la guerre c'est mal et oui en faire un film anti-militariste pour la paix dans le monde et affirmer que la guerre c'est mal et stupide on est tous d'accord encore eût-il fallu que le réalisateur fasse un film un poil moins faineant et caricatural (il y a des limites), surtout qu'il ne va pas au bout de ses idées. La première scène est stupide, les carabiniers venant en "ami" se font agresser par des gens qui ont peur sans raison. Normalement nos bélligérant sont d'un pays fictif dans une guerre fictive, mais à force d'user et d'avuser d'images d'archives le récit est semé d'indices qui pourraient faire penser le contraire comme les avions portant la Croix de Fer, les coupures de journaux,... etc... Avec ça des faux raccorsd (très) grossiers nous brûlent les yeux comme la casquette qu'on retire à une résistante blonde ou la scène (très) longue, peu utile et ennuyeuse des cartes postales. Bref la seule vraie bonne idée est le spitch... Deux hommes s'engagent après la promesse de revenir riche et d'avoir tout pouvoir pendant la guerre, mais c'est leur patrie qui perd la guerre... En outre sur un film qui dure moins de 1h20, si on retire les images d'archives et les encarts (beaucoup de blablas façon interstices d'un film muet) Godar aura fait réellement un film deux fois moins long. Bref beaucoup d'idioties pour un moyen-métrage creux couvert par un un sujet qui méritait mieux.
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Une comédie un peu faiblarde sur la vie au bureau. Déjà comme divertissement Office Space peine à remplir son rôle. La BO puisant largement dans le rap (quel rapport avec le sujet traité ?) est insupportable. La dimension romantique est terriblement convenue et baclée. Les personnages stéréotypés et vides deviennent rapidement agaçants car trop répétitifs. Mention toutefois à Ron Livingston et surtout Bob Slydell qui sort du lot malgré un personnage tout aussi éthéré. La critique du monde du travail (même sous une forme aussi caricaturale) m'est resté sympathique tant que le film ne se prenait pas au sérieux mais lorsqu'on arrive au dénouement lors duquel Mike Judge nous sert sa morale conservatrice et niaise selon laquelle le bonheur serait dans la sueur à travailler avec ses bras plutôt que son cerveau sur un chantier j'ai eu la sensation assez désagréable de m'être fait enfiler 1H30 de ma vie.
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Fin de la trilogie marseillaise de Pagnol, ce César va dresser le bilan de ce que le secret de famille a engendré chez chacun de personnages. Le film est assez fort même s'il y a quelques longueurs à mon goût et je n ai pas été convaincu par l acteur qui joue Cesariot dont j ai trouvé le jeu trop théâtral. La partie de carte au retour de l enterrement de Panisse est un moment extraordinaire (à la fois drôle et touchant une des force de Pagnol).
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Aussi mauvais que lady chance est agréable . Et lady chance est un film vraiment très agréable...
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Critique de "Harry Potter et la coupe de feu". Dans la continuité du troisième épisode, mais un peu en dessous de celui-ci. Je vois que que ceux qui ont lu le livre n'ont pas aimé l'adaptation, ce n'est pas mon cas j'ai bien aimé. Il est très entraînant, Harry Potter gagne en maturité tout comme les autres. Le scénario nous offre du suspense, des rebondissements et les effets spéciaux sont aussi bons que dans les précédents films. 4/5
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1929... Victor, jeune juif tunisien est repéré par un français chercheur de talent de boxe anglaise. Il le ramène dans ses bagages à Paris avec son frère ainé, qui, également boxeur, lui sert de coach sportif. Très vite, Young Perez enchaine les combats et les victoires indiscutables et indiscutées. Et le titre suprème de champion du monde lui arrive tout naturellement. C'est la gloire, l'argent et les femmes, mais l'une d'entre elles, actrice toujours en quete d'argent et mangeuse d'hommes va lui faire tourner la tete et le détourner de ses entrainements et titres qui s'en suivent. C'est le début de la déchéance sportive à laquelle va suivre la déchéance physique, due à l'arrivée de la seconde guerre mondiale et la déportation de l'ex champion dans un camp de concentration...Le chef du camp va lui proposer un combat contre un représentant de la race aryenne ! Que dire ? Certes, c'est une biographie, certes, Brahim Asloum n'est pas acteur de métier, certes, c'est le premier film du réalisateur Ouaniche, mais quand meme... que c'est mal joué (et encore Asloum doit etre le meilleur acteur du film...)... et les clichés trop nombreux et trop gros avec le gros méchant ss dont on croit pas un instant à l'improbable accent... pfffiou, une galère ce film, c'est pas possible, les combats ne sont pas transcendants non plus, c'est pas du Rocky, loin de là... Bref, une grosse déception...7/20 !
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Malgré toutes les critiques pas terribles, j'avais hate de voir ce film... car la bande annonce était prometteuse... Quelle deception... Je ne le dis pas souvent, mais faut bien l'avouer... C'est un nanar... Le scenar est vraiment simpliste. Non mais je m'entends, pas l'histoire, mais chaque personnage arrive comme ça brutalement, sans recherche, sans finesse... Les acteurs jouent mal, ou plutôt ils jouent comme des caricatures... Bon, maintenant l'action... Et la, faut avouer, a part qq exceptions, c'est n'importe quoi... Sur le port de Biarritz, pas une ride, même pas une vague... et au large une vague soit disant de 30m (mais en fait réellement 10-15... bon OK c'est pas mal...). D'autant que cette vague ressemble bien plus a Tehahupo qu'a Belabhra... Le snow est mal filmé : tout en vibration pour donner l'impression que ça bouge... Beurk... en 3D on a envie de vomir... Regardez donc "The Art of flight" et vous verrez du vrai bon gros freeride nettement mieux filmé... Je dois avouer que seule l'escalade est assez bien filmée, même si ce n'est absolument pas vraisemblable... Et au final la 3D ne sert a rien (a si, a vous rendre malade...). Je suis en général trés bon public, mais la, c'est naze.
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Allez, 1 étoiles et encore je suis gentil. Mise à part les combats (dont les bruitages sont horribles), le film est lent, plat avec une histoire d'amour à l'eau de rose. Je déconseille..
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Un thriller assez mou et une fin décevante.
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Un film drôle et plein de sensibilité, sur la polyamorie mais aussi sur les relations en général, la famille, le cinéma, le métier de réalisatrice, et les questionnements de vie et remises en question en tous genres... On se perd volontiers dans l'esprit et les émotions du personnage principal, pour mieux se retrouver. A voir :)
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Ce film est globalement une réussite, mais il y a quelques défauts selon moi. Tout d'abord, le 1er est lié à la structure même du film : la redondance! Malgré l'originalité de chaque court métrage, et leur diversité, il est difficile de garder un vif intérêt pendant les plus de 2h. Ensuite, les court métrages sont de qualité assez inégale ; il y a vraiment des perles, et d'autres plus classiques ou franchement moyens. Enfin pour parler de celui de C. Lelouche, chauvinisme oblige, il est excellent, et seule la fin l'éloigne du chef d'oeuvre! Pour conclure, je pense que ce film est sorti trop tôt après les attentats du 11 septembre...
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2/5 Malheureusement, le film est particulièrement confus et se noie dans une surabondance d’effets spéciaux (un plan toute les 2 secondes). L'intrigue fait défaut malgré une bande annonce prometteuse. Décevant...
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La bande-annonce bien rythmée et surtout la comparaison de ce film à ceux des frères Coen faite sur l'affiche me faisaient espérer pleins d’éléments que j’aime dans le cinéma : Une pléiade de personnages hauts en couleur, une intrigue originale et intelligemment construite, un humour irrésistible... A la vue de cette histoire sans intèret, je n'ai finalement rien trouvé de tout ça. C’est bien que le cinéma autrichien, qui est bien souvVendue comme un équivalent autrichien des films des frères Coen et profitant d’une bande annonce bien rythmée, cette petite comédie décalée semblait très prometteuse. Mais on n’y retrouve finalement pas l’originalité narrative ni l’humour tant espérés. Film noir grotesque, Bienvenue à Cadavres-Les-Bains (un titre français parfaitement ridicule) suit une nouvelle enquête de Simon Brenner, déjà apparu dans les précédents films du réalisateur eux-mêmes adaptés de romans d’un même auteur, dans une bourgade où les personnages sont tous cruellement caricaturaux et dont l’intrigue et les situations manquent d’innovation et ne semblent qu’être le prétexte à des scènes sanglantes sans intérêt. C’est vraiment dommage de constater que l’esprit souvent très sordide qui imprègne le cinéma autrichien ne parvient pas à devenir le vivier d’un humour noir qui sache faire mouche à tous les coups.
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Il existe des films où il ne se passe pas grand chose, un peu longuets, mais là c'est le vide aller je vais être gentil, quasi, absolu (attention trucmuche a disparu il s'est fait attaqué, trop dur...), de l'idée pourtant mais qui n'aboutit donc à rien...Film,...inutile.
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J'ai beaucoup aimé le film car je l'ai trouvé tout simplement honnête et solaire. Bien loin des clichés dans lesquels on tombe facilement, le film a un beau rythme et des personnages incarnés à la perfection dans lequel nous pouvons tous nous reconnaître. La force de ce film réside dans son message universel positif et réaliste. Il n'en fait ni trop, ni pas assez et il a su trouver sa force et son équilibre. C'est malin, puissant, motivant et inspirant. On peut y aller avec toute la famille : les plus jeunes se projeteront dans les personnages tandis que les plus vieux se souviendront de leurs jeunes années. Ce film fait juste du bien au coeur et à l'âme. Merci les coyotes
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"The Master" fascinera certainement le spectateur tout comme notre héros fragile et incontrôlable l'est lui-même par ce gourou sans scrupules ! En effet, car au delà de l'histoire et donc du scénario qui nous balade un bon moment sans but précis, c'est bien sûr l'état psychologique du perturbé et déboussolé Freddie qui va se soumettre, se dévouer au Maître non sans se rebeller pour autant, qui sera l'enjeu, la pierre angulaire de ce film... Cette étude de deux caractères, où la dépendance, l'admiration, le besoin d'être reconnu de l'un vers un autre le dominant et le manipulant, est tout simplement passionnante au point de ne pas voir le temps passer ! On aboutit d'ailleurs presque à une attirance physique des deux hommes puisque la fascination se retourne comme dans un miroir... Les deux acteurs Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffmann sont franchement impeccables et convaincants comme rarement et vont rendre cette rencontre très riche et pleine d'enseignement ! On se délecte des mimiques des deux personnages s'observant,se jaugeant tout en comprenant la tactique du plus fort sur celui en besoin de repères ! Pour autant, rien n'est écrit à l'avance et quelques surprises nous attendent... Ce mouvement appelé "La Cause" aussi farfelu soit-il, laisse cependant songeur face aux adeptes qui vont se laisser entraîner par un charlatan Lancaster Dodd, sans vergogne ! Pour notre satisfaction totale, les images, les plans et la lumière sont très réussis et renforcent ainsi le côté authentique du film. Au final, de multiples aspects vont faire de cette réalisation une grande et belle réussite qu'il ne faudra surtout pas manquer !
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"Libero"est le meilleur exemple de la renaissance du cinéma italien.Drame familial proche du thème de "la chambre du fils",il traduit très bien la complexité des rapports entre un enfant de 11 ans introverti et son père colérique et généreux.Une famille monoparentale qui ne peut tenir que par l'amour et les attentions les uns envers les autres.Tableau vivant très réaliste sur l'ouverture au monde extérieur lors de la pré-adolescence.Encore une fois,le film est d'une grande qualité.Ma note correspond juste à mon ressenti personnel.Histoire de gout en fait.Ceci étant dit,la pudeur et la justesse de cette histoire font affleurer l'émotion.Pas si courant de nos jours.
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Cette comédie drôle et culte est le premier film de la série “Mon beau-père” avec une intrigue amusante, une bonne histoire, des dialogues qui frôle la perfection, des acteurs hilarants, des blagues très drôles, des scènes vraiment hilarantes, un scénario relativement simple et une réalisation intelligente de Jay Roach. C’est très bien.
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Qualité scénaristique du film inversement proportionnelle à la qualité graphique, c'est vraiment dommage de voir de si belles images gâchées par un scénario avec autant de facilités, d'incohérences et de clichés japonais (on admirera l'allégorie du syndrome de Paris dépeinte dans le film notamment). Grosse frustration quant au développement et l'utilité de la plupart des personnages, on recherche plus le kawaii (mignon) qu'un réel développement logique... Seul bémol graphique, les parties en 3D qui saccadent c'est aussi dommage... Ok sur des épisodes d'anime, mais pas pour un long métrage... Je ressors en me sentant un peu mal pour eux, ça aurait pu être top avec un meilleur scénario. Edit : je vois beaucoup (bon 5 c'est pas si gros non plus) de gens en désaccord avec cet avis, pourtant plusieurs autres avis postés après coup rejoignent le mien. Alors du coup je vais illustrer mon propos en citant deux exemples précis de facilité scénaristique gâchant le film :Il existe un objet qui permet de voyager très vite, qui permet à l'équipe de revenir en un claquement de doigt - l i t t é r a l e m e n t - . Le problème de l'existence de cet objet est donc que tout le développement n'a pas lieu d'être puisqu'il suffisait tout simplement de s'en procurer un dès le début. Et puis autrement le méchant, c'est le prince. Et la maman de l'héroïne est déjà allée dans ce monde.Du déjà vu en somme. A savoir que je suis fan absolu du Character Designer (Ilya Kuvshinov) qui a bossé sur ce film, et que ça me plaît pas de mettre une telle note (et encore d'autres n'ont même pas voulu retenir la partie graphique), mais que c'est comme ça.
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J'ai passé un excellent moment ! Comme dans toutes les œuvres de Miyazaki, je me suis attaché aux personnages, en particulier Kiki et Jiji le chat. L'histoire est très prenante, on se laisse prendre au jeu... Je vous le conseille !
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L'intention initiale est louable certes. Mais un documentaire demande un minimum de cohérence, de fil conducteur et d'un montage soigné et percutant. Ici les scènes s'enchaînent sans logique et on se demande où veut nous emmener le réalisateur. Nous sommes très loin d'un Pauline s'arrache. Très déçu par ce film où on pourra retenir cette phrase 'je rêve d'ouvrir un théâtre pour l'élite littéraire irakienne'. Un théâtre uniquement pou rl'élite? Tout est dit...
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Si le but était de transmettre au spectateur l'atmosphère monotone et aseptisée des centres d'amaigrissement, le film est réussi. S'il était de dénoncer l'absurdité du concept, il est complètement raté, pour les mêmes raisons.
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Difficile de justifier ma note de façon approfondie vue que le film vise finalement un assez jeune public... que dire ? L'humour manque d'efficacité, les doublages sont moyens, il y a des clichés donc l'histoire nous laisse à certains moment une impression de vu et revu et les personnages sont moyennement charismatiques. Bref, c'est un film familial donc je comprend totalement que l'on puisse aimé mais moi ce n'est pas ma tasse de thé.
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Avec "What's Up Doc?", Peter Bogdanovich avait voulu rendre hommage à la Screwball Comedy et surtout à son chef d'oeuvre absolu "L'Impossible Monsieur Bébé", et c'était raté. Là, il a voulu rendre hommage aux débuts particuliers de cet art unique et à ses pionniers Griffith, Ford, Sennett, Walsh, Dwan, etc... J'aurais bien voulu que ce soit réussi mais ce n'est pas du tout le cas. C'est un hommage sincère mais c'est raté. Rien à reprocher à la mise en scène en particulier, les décors, les costumes, la photo, tout est impeccable de ce point de vue là. Mais soit on a le "truc" pour être un grand réalisateur de comédie soit on l'a pas. Et Peter Bogdanovich ne l'a pas. Parfois on peut décrocher un ou deux sourires mais on ne rigole pas. Quand aux acteurs, ils sont charismatiques mais ils ne sont pas faits non plus pour le genre très difficile de la comédie. C'est vraiment dommage surtout que le scénario ou plutôt l'idée scénaristique était excellente. Vraiment vraiment dommage car avec un autre réalisateur et une autre distribution, on aurait pu avoir une grande réussite.
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Encore mieux que le 1er. Excellentissime :) Musique rock et entrainante Acteurs excellents
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Un James Bond correct, sans plus avec toujours Pierce Brosnan qui est excellent et sa fait plaisir de voir Terry hatcher. Après l'excellent Goldeneye, ce nouvel opus remplit son cahier des charges avec un bon cocktail d'action, d'humour etc. mais demeure trop classique.
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Ce n'est pas un film ou un documentaire mais un ego-trip où deux individus se regarde le nombril. Les visages et les villages ne sont qu'un décor extérieur pour le binôme. Inintéressant. Bien ancré dans l'époque actuelle où le selfie et les réseaux sociaux prédominent. Perte de temps.
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J'accorde une demi étoile pour récompenser le monteur de cet irrésistible navet et l'encourager dans ses efforts pour nourrir sa famille.
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Vraiment très sympa, très marqué années 90, ça rappelle beaucoup Last Action Hero (surtout en ce qui concerne la taille du personnage), Marty McFly est excellent comme toujours, l'humour typique du duo Plic et Ploc est bien là, c'est tout ce que l'on en attendait, et même plus.
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Malgré un background quelque peu naif - certains ont dit racoleur - ; il s'agit toute de même d'un bon report sur la shoa & une belle preuve de cette énorme organisation nazie formant le coeur de l'horreur de cette guerre, & dont bien sûr le SA décrit tel Goeth dans " La liste de Schindler " n'en est bien sûr que le représentant...
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Pour moi, c'est un très bon film. Certes il n'y a pas de scènes "gores" mais il y a un suspens tout le long du film qui est vraiment génial. C'est vrai que le début du film est excellent et que l'on s'ennuie peut être un peu au cours du film mais je trouve que chaque minute donne envie de regarder le reste. Enfin, pour finir, pour ma part, je trouve que la fin de ce film est vraiment excellent même si on peut critiquer un peu l'histoire du film. Bref, un très bon film a regarder !
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Excellent film. L'ambiance, les acteurs, la musique... tout est prenant du début à la fin. Un seul lieu, pas d effets spéciaux à gros budget, une histoire assez simple avec un message déjà connu à propos du partage des restes de l'économie soviétique au profit de quelques uns et au détriment de tous les autres, ... du vrai bon cinéma qui tient le spectateur en haleine.
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Ce film, c'est du grand n'imp', ça part dans tout les sens, ça alterne moments très lents ou il se passe rien et moment complètements tarés où il se passe plein de truc sans aucune raison apparente... Bref, je conseil de le regarder en accélérer... Juste pour la culture nanardesque !
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Film à sketches fort inégale, jamais désagréables mais trainant parfois en longueur; Quelques moments assez noirs sont tout de même assezbien rendues. Ce film vaut surtout en réalité pour l'impressionnant défilé d'acteurs.
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Chaussure à son pied (Hobson’s Choice ), 1954, de David Lean, avec Charles Laughton, John Mills et Brenda De Branzie. Adaptation d’une pièce de théâtre à succès réinterprétant audacieusement la tragédie shakespearienne Le Roi Lear. Surprenante et délicieuse comédie britannique, pleine de sens moral et social, mise en scène de façon pétillante et en images noir et blanc, belles et précises cadrant de justesse un colossal et désopilant Charles Laughton. Un père tyrannique exploitant ses trois filles dans sa boutique de maître bottier, court à la déchéance, logique pour un ivrogne avaricieux. La fille aînée prend son destin en main, en même temps qu’un mari, talentueux ouvrier illettré, et entraîne ses jeunes sœurs dans une rébellion savamment orchestrée. La rédemption du vieil homme, qui touche le fond et subit sa première crise de delirium est-elle possible ? Remarquable scène nocturne, au cours de laquelle le héros, en équilibre instable, cherche à écraser la lune dans les flaques d’eau…Pour mémoire, David Lean est l’auteur de Le Pont de la Rivière Kwaï (1957), Laurence d’Arabie (1963), Docteur Jivago (1966)…d’un style épique totalement différent !
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Déjà, il y a dans "Et puis les touristes" l'apologie plus que discutable du commerce forgé sur les camps de concentration, très vite métamorphosés en centres touristiques bénéfiques sous prétexte que personne ne doit oublier l'horreur de ces innommables massacres. Se basant sur cette facette du drame, son après, la mémoire à entretenir, les écarts malheureusement inévitables qui se creusent entre les générations l'ayant vécu et les plus jeunes, Robert Thalheim réalise une fiction quasi-documentaire, comme un reportage, un témoignage sur l'oubli et l'irréparable. Mais rien ne dissocie un personnage d'un autre ; ainsi la victime semble aussi peu concernée que ceux qui l'écoutent, des humains fades et inintéressants, mollement interprétés par une série d'acteurs peu enthousiastes. Le scénario, très carte-postale intime, navigue dans des eaux troubles, mélangeant l'idée d'une certaine mouvance paysagesque et les installations raides lors de longs dialogues. La fadeur de l'inflexion des cadres assemblée à la lourdeur du montage et la perforation qu'il effectue dans le récit plombent le film et lui enlève toute trace de sincérité. On ne sait pas trop quoi retenir de ce pseudo-drame mélancolico-carnavalesque aux enchaînements thématiques déliés, lourd hymne à la mémoire et au présent, ennuyeux devoir, rigide, froid et désagréablement rugueux dans son approche volontairement inattachante de l'humain. A la limite des tics auteurisants et scolaires (caméra à l'épaule, éclairages pauvres, absence de psychologie pour soi-disant expérimenter la recherche subjective), parfois mièvre dans son application sans génie des conséquences du drame, des gens qui ne sont plus grand-chose et n'ont plus que la transmission comme avenir et espoir, "Et puis les touristes" est une oeuvre inoffensive, sans effet, dont on ne saura plus tard qu'elle a existé que grâce aux quelques pélerins qui, tels des touristes, sont allez faire un tour devant.
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Un très bon film. Une très comédie politique. Tim Robbins incarne un candidat à la maison blanche des États Unis.
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Del Toro signait ici un bon film d'épouvante au scénario astucieux et plutôt bien ficelé. Une réussite.
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J'ai du mal à comprendre pourquoi ce film est cité comme référence, car il n'y a vraiment rien d'extraordinaire à y voir. Le genre du film, le giallo, s'apparente à un policier teinté de fantastique et assez violent. Les scènes de meurtre constituent pour une grande part le point fort de l'oeuvre de Dario Argento. Inventives et filmées de façon assez originale. Le problème c'est qu'il doit y en avoir seulement quatre sur 1h50... Le thème musical principal est également mémorable mais paradoxalement, le style rock progressif de la bande son ne colle pas au film puisque la musique tend même à diminuer l'effet de peur. Le jeu d'acteurs est plutôt moyen, voire très moyen (mention spéciale à Macha Meril qui aurait pu récolter un Razzie Award). De façon générale, l'effort de recherche esthétique ne suffit pas à rendre ce film d'horreur indispensable car rien ne se démarque vraiment : ni la crédibilité des acteurs, ni l'originalité du scénario.
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Une tres belle mise en scène, un rythme entrainant dans l'intrigue et dans les chansons, et surtout un jeu, de la part des acteurs, parfait ! Le jonglage entre l'animation et le drame y ajoute une touche de comedie divertissante. Bref, un bon cocktail à vite deguster !!!
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Le film ne se réduit qu’à une suite invraisemblable de péripéties, de retournements de situations de plus en plus abracadabrantesques – Danny Boyle n’arrête pas de foncer, il ne veut pas que le spectateur s’ennuie ! - au point de devenir… comiquement involontaires.
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Un film mièvre et sans intérêt où la morale de l'histoire est qu'il vaut mieux être un connard infidèle qu'un gentil naïf pour se taper la jolie fille.
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Encore un western inclassable tant il fait la part belle à l’érotisme. Il faut dire qu’avec Yvonne de Carlo, véritable convoitise et proie de tous les hommes, Sherwood n’a pas eu trop de mal à nous émoustiller. A ce point-là, je dois dire ma surprise, dans le cinéma d'aujourd’hui elle finirait nue. L’histoire est d’ailleurs construite en ce sens puisque la ‘’ loi Montgomery’’ incite, par son incongruité, les hommes à tous les débordements. Pour éviter toute complication inutile le scénario a privé de morale tous les personnages y compris les rapports père-fils. Il n’y a que la vengeance et le sexe qui comptent. Le réalisateur a beaucoup négligé les scènes de transition mais, et c’est bien ce qui compte le plus, il a conçu des plans magnifiques. L’ouverture est somptueuse puisque la caméra suit une robe d’un rouge éclatant découvrant pas instant de superbes jambes. La mêlée érotique dans la rivière suivie de la chute le long de la cascade est une des plus réussies du genre. Quant au plan sur Paca savourant sa vengeance du haut de son cheval sa grande beauté nous fait oublier la traîtrise de l’indienne et les horreurs qui ont dû suivre. Sherwood a été assistant de grands metteurs en scène, il en a retenu les leçons pour le plaisir des purs cinéphiles.
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Dans la famille "film à oscars", il y a ceux qui avancent masqués et ceux qui n'hésitent pas à sortir l'artillerie lourde. Le Majordome s'inscrit dans la seconde catégorie: histoire vraie, sujet de politique et de société à fort potentiel lacrymal, performance d'acteur, scénario formaté, secondes rôles prestigieux (Robin Williams, James Fonda, John Cusack) ou improbables (Mariah Carey, Lenny Kravitz, Oprah Winphrey), et Obama qui affirme avoir été "ému aux larmes"... n'en jetez plus! Alors que les présidents défilent dans la Maison blanche où travaille le majordome du titre, c'est toute l'histoire de la lutte pour les droits civiques qui est retracée, touche "avance rapide" bien enfoncée. A travers le personnage du fils (victime du Ku Kux Klan, ami de Luther King, membre des Black Panthers, sénateur, c'est simple, il a tout fait!), Lee Daniels expose maladroitement un problème pourtant intéressant: la différence de point du vue entre une génération qui a connu les lynchages et préfère s'intégrer par une ascension sociale lente et limitée et une génération plus ambitieuse qui prône l'action et réclame l'égalité des droits. Tout ça est empêtré dans la guimauve d'une relation père-fils caricaturale et, entre le début mélo et la fin "happy end", peu de choses dans ce film méritent vraiment l'attention. Critique détaillée: https://www.espace-critique.fr/critique-le-majordome/
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C'est un des films les plus ennuyeux, mal construit, peu crédible (ils auraient vraiment du prendre un consultant pour le côté médical parce que ça cloche grave ...ps : on ne greffe pas de moelle "épinière" mais de la moelle "osseuse" et ça ne se fait pas vraiment comme ça ...) qu'il m'ait été donné de voir ! Rien ne tient la route Ah voilà j'ai trouvé une comparaison adéquate : Ce film est aussi palpitant et bien ficelé qu'un épisode de Batman (la série de 1966)
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Un très bon film qui fait voyager. Tous les acteurs jouent bien leur rôle en étant justes. Les images sous marines sont superbes; La bande originale aussi. Une très bonne surprise pour un bon moment.
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Les combats sont dans la globalités de bonne qualités. L'histoire elle est interessante mais fleurte parfois avec le ridicule ( la mere qui se deguise en homme!) En clair il faut voir ce film malgrè ses legers defauts et surtout apprecier le talant di immense de JET LI
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