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Rédiger un article dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire".
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Rédige un article dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire".
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Rédigez un article dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire".
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Rédiger un document dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire".
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Rédige un document dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire".
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Rédigez un document dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire".
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Générer un texte dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire". Texte :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Génère un texte dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire". Texte :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Générez un texte dont le titre est : "Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire". Texte :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
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"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
"Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire " Ecris un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
"Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire " Ecrivez un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
"Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire " Ecrire un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
"Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire " Ecris un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
"Marine Le Pen "contrarie" la cérémonie du 18 juin sur l'Île-de-Sein, regrette le maire " Ecrivez un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Rédiger un texte dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédige un texte dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédigez un texte dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédiger un article dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédige un article dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédigez un article dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédiger un document dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédige un document dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédigez un document dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?".
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Générer un texte dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Texte :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Génère un texte dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Texte :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Générez un texte dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Texte :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Générer un article dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Article :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Génère un article dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Article :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Générez un article dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Article :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Générer un document dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Document :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Génère un document dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Document :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Générez un document dont le titre est : "Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ?". Document :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecrire un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecris un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecrivez un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecrire un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecris un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecrivez un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecrire un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecris un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
"Réforme des retraites : qui fera grève le 5 décembre ? " Ecrivez un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue.
Rédiger un texte dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédige un texte dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédigez un texte dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédiger un article dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédige un article dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédigez un article dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédiger un document dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédige un document dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédigez un document dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault".
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Générer un texte dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault". Texte :
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Génère un texte dont le titre est : "Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault". Texte :
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
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Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
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Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
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Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
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"Accident de l'A7 : l'avocat de la famille accuse Renault " Ecrivez un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
Lundi 20 juillet, un accident sur l'autoroute A7 dans la Drôme causait la mort de cinq enfants. Trois jours après, les quatre autres passagers de la Renault Scénic qui a pris feu étaient toujours hospitalisés. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident a été causé par la casse du turbo du véhicule, provoquant un emballement du moteur puis son embrasement. "Le conducteur se trouvait alors, selon le parquet, dans la quasi-impossibilité d'arrêter le moteur, car la panne neutralise tous les systèmes d'assistance du freinage, d'où une sensation d'un freinage qui ne fonctionne pas" évoquée par le conducteur avant qu'il ne perde connaissance a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Alex Perrin.Renault mis en causeLe véhicule datait de 2005, un contrôle technique aurait dû être effectué en mai mais en raison du confinement, l'Etat a accordé une modification des délais ne rendant ce contrôle obligatoire qu'à l'automne.L'avocat de la famille, Me Nicolas Cellupica, interrogé par Le Parisien met en cause le constructeur Renault. Selon le quotidien, il envisage une constitution de partie civile dès l'ouverture d'une information judiciaire. "C'est le turbo qui a lâché, il s'agit d'un problème technique du constructeur. Renault va devoir répondre de ses responsabilités dans cet accident dramatique", a déclaré Me Nicolas Cellupica.L'avocat affirme avoir recueilli d'autres témoignages confirmant le problème de moteur du véhicule. Témoignages qu'il va s'atteler à vérifier. Il souligne en outre que l'association de consommateurs UFC Que Choisir avait publié en 2006 une enquête sur les problèmes techniques des turbos de Renault.
Rédiger un texte dont le titre est : "Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans".
Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
Rédige un texte dont le titre est : "Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans".
Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
Rédigez un texte dont le titre est : "Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans".
Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
Rédiger un article dont le titre est : "Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans".
Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
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"Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans " Ecrire un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
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"Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans " Ecris un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'avis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
"Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans " Ecrivez un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
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"Nantes : la police toujours sans nouvelles de Léa, 20 ans " Ecrire un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
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