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Générer un document dont le titre est : "Paris : un policier blessé à coups de tours Eiffel miniatures". Document :
Un policier a été blessé à la tête par un vendeur à la sauvette mardi soir, dans le XVIe arrondissement de Paris, a rapporté Le Parisien le 19 juillet. L'incident s'est déroulé sur le parvis du Trocadéro, où de nombreux vendeurs à la sauvette sont présents. Des policiers en patrouille ont demandé à ce jeune sans-papiers de 19 ans de leur présenter une autorisation de vente. Il a alors pris la fuite avec sa marchandise. Quand les policiers le rattrapent, le vendeur se débat et assène aux fonctionnaires des coups à l'aide de son cerceau de tours Eiffel miniatures, en blessant légèrement un à la tête. Après avoir été maîtrisé, il a été placé en garde à vue au commissariat du XVIe arrondissement. Sa marchandise, composée de serre-têtes lumineux, de perches à selfie, de porte-clés et d'une cinquantaine de répliques de la tour Eiffel, a été saisie.
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"Paris : un policier blessé à coups de tours Eiffel miniatures " Ecrire un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
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Rédiger un texte dont le titre est : "Ventes : Lamborghini en progression : actualité automobile, infos, scoop".
Automobili Lamborghini S.p.A. a annoncé ses chiffres de vente pour les six premiers mois de l'année : le constructeur transalpin a écoulé 4 553 voitures entre le 1er janvier et le 30 juin 2019, soit un résultat en hausse de 96 % par rapport à la même période l'an dernier.Comme prévu, ces excellents résultats sont largement portés par le succès du SUV Urus dont 2 693 exemplaires ont été écoulés au cours des six derniers mois, soit plus de la moitié de l'ensemble des ventes du constructeur transalpin. La Lamborghini Huracan demeure quant à elle une valeur sûre du catalogue Lamborghini avec 1 211 unités vendue, suivie de loin par l'Aventador et ses 649 exemplaires livrés. Essai Lamborghini Urus (2018)par Sport Auto« Lamborghini maintient sa bonne forme », a commenté Stefano Domenicali, le Président et CEO d'Automobili Lamborghini S.p.A. « Réaliser un nouveau record de vente, pour la cinquième année consécutive, confirme la bonne santé de l'entreprise. Pour sa première année d'exploitation notre Super SUV Urus nous porte vers de nouveaux sommets, et nos super sportives continuent de bien se vendre ».Le marché le plus important de la marque demeure les États-Unis (devant les Chine, le Royaume-Uni, le Japon et l'Allemagne), une région qui enregistre également la meilleure croissance avec une hausse de 128 % des ventes (1 543 véhicules livrés), suivie de la zone Asie-Pacifique (1 184 unités vendues) et de la zone Europe/Moyen Orient/Afrique (1 826 véhicules livrés).
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Automobili Lamborghini S.p.A. a annoncé ses chiffres de vente pour les six premiers mois de l'année : le constructeur transalpin a écoulé 4 553 voitures entre le 1er janvier et le 30 juin 2019, soit un résultat en hausse de 96 % par rapport à la même période l'an dernier.Comme prévu, ces excellents résultats sont largement portés par le succès du SUV Urus dont 2 693 exemplaires ont été écoulés au cours des six derniers mois, soit plus de la moitié de l'ensemble des ventes du constructeur transalpin. La Lamborghini Huracan demeure quant à elle une valeur sûre du catalogue Lamborghini avec 1 211 unités vendue, suivie de loin par l'Aventador et ses 649 exemplaires livrés. Essai Lamborghini Urus (2018)par Sport Auto« Lamborghini maintient sa bonne forme », a commenté Stefano Domenicali, le Président et CEO d'Automobili Lamborghini S.p.A. « Réaliser un nouveau record de vente, pour la cinquième année consécutive, confirme la bonne santé de l'entreprise. Pour sa première année d'exploitation notre Super SUV Urus nous porte vers de nouveaux sommets, et nos super sportives continuent de bien se vendre ».Le marché le plus important de la marque demeure les États-Unis (devant les Chine, le Royaume-Uni, le Japon et l'Allemagne), une région qui enregistre également la meilleure croissance avec une hausse de 128 % des ventes (1 543 véhicules livrés), suivie de la zone Asie-Pacifique (1 184 unités vendues) et de la zone Europe/Moyen Orient/Afrique (1 826 véhicules livrés).
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Rédiger un texte dont le titre est : "Bruno Le Maire veut un débat sur les "provocations vestimentaires"".
"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Rédiger un texte dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Rédige un texte dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
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C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Rédiger un article dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Rédige un article dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Rédigez un article dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
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C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Rédige un document dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Rédigez un document dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres".
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Générer un texte dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Texte :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Génère un texte dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Texte :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Générez un texte dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Texte :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Générer un article dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Article :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Génère un article dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Article :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
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C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Générer un document dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Document :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Génère un document dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Document :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
Générez un document dont le titre est : "Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres". Document :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecrire un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecris un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecrivez un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecrire un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecris un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecrivez un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecrire un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecris un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).
"Fraude fiscale : le bilan de la traque en chiffres " Ecrivez un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
C'est le montant total encaissé par l'État l'an dernier, dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Les contrôles fiscaux réalisés auprès des particuliers et des entreprises ont permis de récupérer 9 milliards d'euros. C'est 16,3% de plus qu'en 2018. Plus de la moitié de ce montant (5,9 milliards) provient des fraudes à la TVA, à l'impôt sur les sociétés, aux droits d'enregistrement, à l'impôt sur la fortune (ISF) et à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les montants recouvrés au titre de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux s'élèvent à 2,3 milliards d'euros. 530 millions d'euros d'amendes pénales ont également été encaissées dans le cadre du nouveau dispositif permettant à une entreprise de négocier une amende sans procès. Par exemple, Google a dû verser 500 millions d'euros, en plus des 465 millions de droits recouvrés par le fisc. Enfin, le service de traitement des déclarations rectificatives, qui gère notamment la régularisation des comptes à l'étranger, a encaissé 358 millions d'euros.Le ratio de recouvrement entre les sommes mises en recouvrement et l'argent effectivement encaissé a atteint 67% l'an dernier, contre 51% en 2018.Le "data mining" porte ses fruits Ce procédé d'exploration de données, qui consiste à croiser les informations entre divers fichiers et services afin de mieux cibler les contrôles fiscaux, monte en puissance. L'an dernier, le fisc a récupéré plus de deux fois plus d'argent qu'en 2018 grâce à cet outil, soit au total 785 millions d'euros de droits et pénalités.L'intelligence artificielle a permis d'orienter vers les contrôleurs environ 100.000 dossiers, soit 16% de plus qu'en 2018. Près d'un quart des contrôles (22%) visant les entreprises sont désormais issus de ce ciblage. Le gouvernement vise 50% en 2022. Ce procédé est aussi à l'origine de 11% des contrôles relatifs aux particuliers et terminés en 2019. Fin du "verrou de Bercy"Le nombre de dossiers transmis à la justice a été multiplié par deux en un an. Ainsi, 1.678 dossiers fiscaux ont conduit à une saisine de l'autorité judiciaire, dont 965 via le dispositif de dénonciation obligatoire, c'est-à-dire l'assouplissement du verrou de Bercy instauré par la loi anti-fraude de 2018. L'administration fiscale a aussi déposé 672 plaintes après avis favorable de la Commission des infractions fiscales, et 41 plaintes ont été déposées pour présomptions caractérisées de fraude fiscale, dont 18 en lien avec l'affaire des Panama Papers.La procédure de "plaider coupable" rapporte plus de 3 millions d'euros Elargie aux fraudes fiscales dans la loi de 2018, la procédure de plaider coupable, dite comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), a été mise en œuvre dans 13 affaires, donnant lieu à 15 décisions de condamnation, dont des amendes d'un montant total de 323.500 euros. Outre les amendes, 4,38 millions d'euros de droits fraudés ont été réglés par les contribuables concernés.Droit à l'erreur Instauré par la loi Essoc de 2018 sur le droit à l'erreur, le guichet de régularisation pour les entreprises n'a attiré que 17 entreprises depuis début 2019. Moins de contrôles, mais mieux ciblés L'administration a réalisé 53.600 opérations de vérifications, tous types de contrôles confondus, contre 54.000 en 2018. Le nombre de vérifications générales auprès des entreprises a baissé de 14% l'an dernier, tout comme le nombre de contrôles sur place (30.776 contre 35.932) qui recule depuis plusieurs années. Mais le gouvernement met en avant la hausse des contrôles sur place ciblés (+48%).