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"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecris un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecrivez un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecrire un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecris un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecrivez un article de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecrire un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
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La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
"Fusion des tribunaux d'instance et de grande instance : une réforme décriée " Ecrivez un document de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
La mesure est décriée par les avocats et les magistrats. Juridictions de proximité par excellence, traitant les litiges du quotidien, les tribunaux d'instance s'apprêtent à fusionner avec les tribunaux de grande instance. Cette réorganisation est l'une des principales mesures de la réforme de la justice, promulguée le 23 mars. Les professionnels s'inquiètent d'une dévitalisation de ces petites juridictions et d'un accès plus restreint au juge. Réforme de la justice : pourquoi les avocats, magistrats et greffe sont-ils en colère ?par Le Dauphiné LibéréDepuis 1958, les tribunaux d'instance (TI) et les tribunaux de grande instance (TGI) se partageaient les contentieux civils, selon une répartition essentiellement fondée sur le montant du litige. Héritiers des juges de paix, les juges d'instance - surnommés "les juges des pauvres" - tranchaient toutes les affaires pour lesquelles la demande portait sur des sommes inférieures à 10.000 euros, des expulsions locatives aux dettes impayées, en passant par les travaux mal exécutés et les conflits liés aux accidents de la circulation. Ils étaient également compétents pour les tutelles. Au 1er janvier, les 285 tribunaux d'instance disparaissent, ainsi que les 164 TGI de France.Recours accru aux procédures dématérialisées Quand un tribunal d'instance est situé dans la même commune qu'un TGI (57 % des TI sont concernés par cette situation), ils fusionnent pour former le "tribunal judiciaire". Quand le TI est situé dans une commune différente, comme à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Condom (Gers) ou Molsheim (Bas-Rhin), il devient une chambre détachée du tribunal judiciaire et est appelé "tribunal de proximité". Alors que les particuliers pouvaient se présenter directement au greffe du tribunal d'instance pour déposer leur requête, la réforme renforce le recours accru aux procédures dématérialisées et étend la représentation obligatoire par un avocat. Exit aussi le juge d'instance, qui s'appellera désormais "juge des contentieux de la protection". Il restera un magistrat spécialisé dans les affaires liées aux vulnérabilités économiques et sociales, la garde des Sceaux ayant dû renoncer à supprimer cette fonction statutaire devant la bronca des opposants à la réforme.Des compétences ajoutés par décret Quid de leurs compétences ? Les deux principaux syndicats de magistrats dénoncent "le flou" autour de la question. La loi facilite la création de pôles spécialisés dans les départements ayant plusieurs tribunaux de grande instance et permet d'attribuer des compétences supplémentaires aux tribunaux de proximité pour mieux "s'adapter aux besoins particuliers des territoires", souligne le ministère de la Justice. Ces ajouts de compétences et ces spécialisations seront décidés par décrets après propositions des chefs de cours d'appel, mais "sans calendrier précis" relèvent l'Union syndicale des magistrats (USM) et le Syndicat de la magistrature (SM). "C'est le plus gros bouleversement. Est-ce que beaucoup de cabinets de juges d'instruction vont être supprimés ? De juges d'application des peines ? On ne sait pas, on n'a aucune visibilité", tacle la présidente de l'USM, Céline Parisot. Des calculs électoraux"Nos collègues ne savent pas ce que les chefs de cour ont proposé à la ministre", abonde Katia Dubreuil, présidente du SM, déplorant une "absence de concertation". Elle ne serait "pas étonnée" que le gouvernement ait souhaité "différer des annonces" selon les résultats électoraux de La République en marche dans les communes concernées, comme l'écrivait Le Canard enchaîné dans une série d'articles fin octobre. Empêtrée dans cette polémique, la ministre s'est bornée à se défendre de toute partialité.Déplorant une fusion conduite "à l'aveugle" et "dans la précipitation", les syndicats de magistrats voient une volonté de faire des "économies d'échelle", en mutualisant les effectifs de greffes des tribunaux, mais aussi des tribunaux et des conseils de prud'hommes. Et malgré l'insistance de la garde des Sceaux à répéter que tous les sites seront maintenus, les syndicats redoutent que cette réforme soit le prélude à une refonte de la carte judiciaire, où des tribunaux de proximité, vidés de leur substance, finiraient par fermer. Depuis l'annonce de cette fusion il y a près de deux ans, la garde des Sceaux Nicole Belloubet invoque la nécessité de "simplification" et de "lisibilité", avec "une porte d'entrée unique à la justice".
Rédiger un texte dont le titre est : "Arrêts maladie : le Medef veut renforcer les contrôles sur les médecins "gros prescripteurs"".
Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
"Arrêts maladie : le Medef veut renforcer les contrôles sur les médecins "gros prescripteurs" " Ecrire un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
"Arrêts maladie : le Medef veut renforcer les contrôles sur les médecins "gros prescripteurs" " Ecris un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
"Arrêts maladie : le Medef veut renforcer les contrôles sur les médecins "gros prescripteurs" " Ecrivez un texte de 1 à 5 phrases sur le titre précédent :
Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense.
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Rédiger un texte dont le titre est : "The Voice : un candidat malvoyant enflamme le jury".
Samedi soir sur TF1 débutait la saison 6 de The Voice. Et dès le premier prime un candidat est sorti du lot : Vincent, 20 ans, presque aveugle et un talent fou au piano et au chant. Le jeune homme a rendu dingue le jury et le public avec son interprétation du tube d'Eminem, "Lose Yourself". Matt Pokora, Mika, Florent Pagny et Zazie, les quatre coachs conquis par sa prestation, l'ont rejoint sur scène. Vincent Vinel fera finalement partie de l'équipe de Mika. Celui-ci s'en est félicité : "C'était une belle expérience et un beau moment. Je suis très honoré de t'avoir dans mon équipe", a ainsi indiqué le chanteur.
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Samedi soir sur TF1 débutait la saison 6 de The Voice. Et dès le premier prime un candidat est sorti du lot : Vincent, 20 ans, presque aveugle et un talent fou au piano et au chant. Le jeune homme a rendu dingue le jury et le public avec son interprétation du tube d'Eminem, "Lose Yourself". Matt Pokora, Mika, Florent Pagny et Zazie, les quatre coachs conquis par sa prestation, l'ont rejoint sur scène. Vincent Vinel fera finalement partie de l'équipe de Mika. Celui-ci s'en est félicité : "C'était une belle expérience et un beau moment. Je suis très honoré de t'avoir dans mon équipe", a ainsi indiqué le chanteur.
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Rédiger un texte dont le titre est : "Venise : un paquebot incontrôlable sème la panique".
Sur les réseaux sociaux, les images sont impressionnantes. Dimanche matin à Venise, l'équipage du MSC Opéra a perdu le contrôle du paquebot, à son arrivée dans le port de la cité des Doges. Le navire, qui peut contenir plus de 2.600 passagers, est venu heurter le quai auquel il voulait s'arrimer. Le paquebot a raclé le quai sur plusieurs mètres, suscitant la panique des personnes à terre, avant de percuter un autre bateau touristique, le Michelangelo, stoppant ainsi sa course. Des témoins ont filmé la scène. Les vidéos montrent des touristes courant pour tenter de fuir le paquebot, qui ne semble pas vouloir s'arrêter. Quatre personnes ont été blessées dans cet accident : deux légèrement, tandis que les deux autres ont été transportées à l'hôpital pour des examens. L'incident s'est produit à San Basilio-Zaterre, dans le canal de la Giudecca, où de nombreux navires de croisière s'arrêtent pour permettre à leurs passagers de visiter Venise.Selon le quotidien italien Corriere della Serra, cette course folle serait due aux forts courants et à la rupture de l'un des câbles qui reliait le navire au remorqueur, qui l'aidait à entrer dans le canal.
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Sur les réseaux sociaux, les images sont impressionnantes. Dimanche matin à Venise, l'équipage du MSC Opéra a perdu le contrôle du paquebot, à son arrivée dans le port de la cité des Doges. Le navire, qui peut contenir plus de 2.600 passagers, est venu heurter le quai auquel il voulait s'arrimer. Le paquebot a raclé le quai sur plusieurs mètres, suscitant la panique des personnes à terre, avant de percuter un autre bateau touristique, le Michelangelo, stoppant ainsi sa course. Des témoins ont filmé la scène. Les vidéos montrent des touristes courant pour tenter de fuir le paquebot, qui ne semble pas vouloir s'arrêter. Quatre personnes ont été blessées dans cet accident : deux légèrement, tandis que les deux autres ont été transportées à l'hôpital pour des examens. L'incident s'est produit à San Basilio-Zaterre, dans le canal de la Giudecca, où de nombreux navires de croisière s'arrêtent pour permettre à leurs passagers de visiter Venise.Selon le quotidien italien Corriere della Serra, cette course folle serait due aux forts courants et à la rupture de l'un des câbles qui reliait le navire au remorqueur, qui l'aidait à entrer dans le canal.
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Sur les réseaux sociaux, les images sont impressionnantes. Dimanche matin à Venise, l'équipage du MSC Opéra a perdu le contrôle du paquebot, à son arrivée dans le port de la cité des Doges. Le navire, qui peut contenir plus de 2.600 passagers, est venu heurter le quai auquel il voulait s'arrimer. Le paquebot a raclé le quai sur plusieurs mètres, suscitant la panique des personnes à terre, avant de percuter un autre bateau touristique, le Michelangelo, stoppant ainsi sa course. Des témoins ont filmé la scène. Les vidéos montrent des touristes courant pour tenter de fuir le paquebot, qui ne semble pas vouloir s'arrêter. Quatre personnes ont été blessées dans cet accident : deux légèrement, tandis que les deux autres ont été transportées à l'hôpital pour des examens. L'incident s'est produit à San Basilio-Zaterre, dans le canal de la Giudecca, où de nombreux navires de croisière s'arrêtent pour permettre à leurs passagers de visiter Venise.Selon le quotidien italien Corriere della Serra, cette course folle serait due aux forts courants et à la rupture de l'un des câbles qui reliait le navire au remorqueur, qui l'aidait à entrer dans le canal.
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Rédiger un texte dont le titre est : "Drame de Gênes : le poignant témoignage d'une rescapée".
On a alors décidé de se mettre à l'abri sous le viaduc, avant de rejoindre notre voiture. À un moment, on a entendu un bruit énorme. J'ai levé les yeux au ciel et on a vu le pont s'effondrer. »Coincée sous les décombres avec sa fille, Marina Gualita a perdu connaissance à plusieurs reprises. Les pompiers sont ensuite arrivés, ont tenté de la sortir, mais la mère ne voulait pas partir sans sa fille. Malgré leurs nombreuses blessures, les deux femmes sont désormais hors de danger.
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Générer un texte dont le titre est : "Drame de Gênes : le poignant témoignage d'une rescapée". Texte :
On a alors décidé de se mettre à l'abri sous le viaduc, avant de rejoindre notre voiture. À un moment, on a entendu un bruit énorme. J'ai levé les yeux au ciel et on a vu le pont s'effondrer. »Coincée sous les décombres avec sa fille, Marina Gualita a perdu connaissance à plusieurs reprises. Les pompiers sont ensuite arrivés, ont tenté de la sortir, mais la mère ne voulait pas partir sans sa fille. Malgré leurs nombreuses blessures, les deux femmes sont désormais hors de danger.
Génère un texte dont le titre est : "Drame de Gênes : le poignant témoignage d'une rescapée". Texte :
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