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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Ecris la suite du texte :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Rédiger la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Rédige la suite du texte :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Rédigez la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Imaginer la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Imagine la suite du texte :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Imaginez la suite du texte :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Ecrire la suite du texte :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Ecris la suite du texte :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Ecriver la suite du texte :
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Développer la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Développe la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Développez la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Générer la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Génère la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés" Générez la suite du texte :
comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Rédiger la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Rédige la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Rédigez la suite du texte :
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Imaginer la suite du texte :
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Imagine la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Imaginez la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Ecrire la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Ecris la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Ecriver la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Développer la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Développe la suite du texte :
de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Développez la suite du texte :
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Générer la suite du texte :
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale" Génère la suite du texte :
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de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Rédiger la suite du texte :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Rédige la suite du texte :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Rédigez la suite du texte :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Imaginer la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Imagine la suite du texte :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Imaginez la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Ecrire la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Ecris la suite du texte :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Ecriver la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Développer la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Développe la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Développez la suite du texte :
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Générer la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Génère la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollut" Générez la suite du texte :
ions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Rédiger la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Rédige la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Rédigez la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Imaginer la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Imagine la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Imaginez la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Ecrire la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Ecris la suite du texte :
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"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Ecriver la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Développer la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augme" Développe la suite du texte :
ntation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.