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"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Imaginer la suite du texte :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Imagine la suite du texte :
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"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Imaginez la suite du texte :
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"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Ecrire la suite du texte :
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été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Générez la suite du texte :
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"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Rédiger la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Rédige la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Rédigez la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Imaginer la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Imagine la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Imaginez la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Ecrire la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Ecris la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Ecriver la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Développer la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Développe la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Développez la suite du texte :
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"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Générer la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Génère la suite du texte :
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"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - u" Générez la suite du texte :
n front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Rédiger la suite du texte :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
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"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Imaginez la suite du texte :
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"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Ecrire la suite du texte :
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"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Ecris la suite du texte :
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"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Développe la suite du texte :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Développez la suite du texte :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Générer la suite du texte :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Génère la suite du texte :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-" Générez la suite du texte :
il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Rédiger la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Rédige la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Rédigez la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Imaginer la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Imagine la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Imaginez la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Ecrire la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Ecris la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Ecriver la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Développer la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Développe la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Développez la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Générer la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Génère la suite du texte :
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"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'" Générez la suite du texte :
est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Imaginer la suite du texte :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Imagine la suite du texte :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Imaginez la suite du texte :
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de r" Ecrire la suite du texte :
echerche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.