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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
vis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Rédiger la suite du texte :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Rédige la suite du texte :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Imaginer la suite du texte :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Imagine la suite du texte :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Génère la suite du texte :
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"Elle avait dîné avec un copain, un mercredi soir, avant de disparaître et de laisser l'inquiétude envahir ses proches. Léa Petitgas, 20 ans, n'a plus donné de nouvelles depuis le 13 décembre 2017 et personne ne semble l'avoir vu à Nantes, sa ville de résidence. Le lendemain, elle ne s'est pas présentée à la maison de quartier où elle effectuait son service civique, et son téléphone a cessé d'émettre depuis le 14 décembre. Homicide, suicide, départ volontaire, toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs, qui ont passé son appartement au crible. Léa n'a pas emporté ses effets personnels ni sa tablette graphique, peut-on lire dans Les dernières nouvelles d'Alsace. Les autorités ont alors lancé un appel à témoin le 20 décembre, puis un autre le 27 février. En vain. La jeune femme est d'un gabarit menu, mesurant 1m47, de type "européen", brune avec les yeux verts. Elle a le contact facile, se lie volontiers avec les gens et est "capable de faire confiance à des inconnus", indique l'a" Générez la suite du texte :
vis de recherche de la police nationale. "Elle pourrait porter un pantalon, une veste kaki et une écharpe foncée".
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ?
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ?
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
ointus et ses avis sensibles. Mais hélas, cette fois-ci, la danseuse contemporaine pourrait ne pas être en mesure de se libérer...Un planning trop chargéInterviewée par le journal Var Matin, dans le cadre de la promotion de son spectacle "Je t'ai rencontré par hasard" et pour évoquer ses ambitions, Pietra pour les intimes a expliqué avec sincérité : "Ecoutez, là je ne sais pas si je vais continuer parce que j'ai beaucoup de projets pour l'année prochaine." Ainsi, du fait d'un calendrier déjà très chargé, elle ne pourrait donc pas effectuer son come-back au côté de ses pétillants acolytes Fauve Hautot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux... s'ils resignent. Seriez-vous triste de ce départ ou pensez-vous, au contraire, qu'un changement du jury (à l'instar de The Voice) permettrait à Danse avec les stars de se renouveler ?
"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Après une septième édition impressionnante, Danse avec les stars a confirmé son statut de programme incontournable dans le paysage audiovisuel français actuel. Avec des chorégraphies millimétrées, une production classieuse, des candidats survoltés et un jury de professionnels passionné, TF1 offre chaque semaine aux fidèles de l'émission une représentation exceptionnelle. Mais si la prochaine année du concours était celle du changement ? En effet, il se pourrait bien qu'un pilier du show ne rempile pas pour la saison 8...Un membre incontournableEt ce n'est autre que l'une des juges qui vient d'émettre des réserves pour noter les futures célébrités qui fouleront le dance-floor de DALS ! Marie-Claude Pietragalla a en effet révélé que son retour était probablement compromis, ce qui ne manque pas de décevoir ses fans. Bien qu'elle ne soit pas un élément historique de cette immense locomotive, elle répond néanmoins présente à l'appel depuis 2012, gratifiant les participants de ses conseils p" Rédige la suite du texte :
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"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation po" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
ur l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier".
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation po" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
ur l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier".
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation po" Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
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ur l'ensemble du secteur. "Certaines entreprises, dont des entreprises de transport, sont sur le point de déposer le bilan. (...) Même si cela ne fait plus la une des médias, on aspire à retrouver l'ordre public et une vraie liberté de circuler", a lancé Florence Berthelot, déléguée générale de l'organisation, dans ses vœux de Noël.L'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) avait de son côté, plus tôt, interpellé Élisabeth Borne en demandant notamment le "versement d'un acompte sur le remboursement (de la) TICPE aux entreprises au titre de l'année 2019" et la "négociation d'un accord de transition énergétique dans le transport routier".
"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation po" Développez la suite du texte :
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"L'exécutif au chevet des routiers ? Ces derniers, particulièrement éprouvés par les blocages liés aux manifestations des "gilets jaunes", seront reçus début janvier par le gouvernement, a-t-on appris mercredi 26 décembre. La réunion se tiendra en présence d'Élisabeth Borne, ministre des Transports, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie."L'idée est de travailler avec eux sur l'identification des difficultés économiques et opérationnelles rencontrées et les mesures qui peuvent être prises en soutien, à l'instar de ce qui est fait avec d'autres secteurs économiques" comme les commerçants, a fait savoir un porte-parole du ministère des Transports. "Cette réunion permettra également d'aborder la participation de ce secteur professionnel au grand débat national" organisé en janvier et février à la suite du mouvement des "gilets jaunes", a-t-il ajouté.La Fédération nationale des Transports routiers estime en effet à quelque deux milliards d'euros la perte d'exploitation po" Générez la suite du texte :
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"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darma" Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
nin assume et relance l'idée d'un gouvernement considéré comme trop éloigné des Français et "trop parisien, trop bourgeois, trop techno ou trop strauss-kahnien", peut-on lire dans l'hebdomadaire. Sarkozy, un père Lui veut se démarquer et peut compter sur le soutien de ses fidèles, comme à Tourcoing (Nord) où il a été maire pendant trois ans (2014-2017). Dans la ville, les gens réclament son retour, mais lui se "sent chez lui", comme le précise Paris Match. Fils d'un tenancier de bar et d'une femme de ménage, il y a acheté une maison en centre-ville. Dans sa critique, Gérald Darmanin cite Jean-Louis Borloo. Pas un hasard selon BFM TV puisque l'ancien ministre délégué à la Ville sous Jacques Chirac devait réaliser un "plan" pour les banlieues. Mais Emmanuel Macron l'avait enterré en mai 2018 avant même qu'il ne soit présenté. Or Borloo, pour Darmanin, représente un certain ancrage social. Ancien maire de Valenciennes dans le nord comme lui, il représentait la "droite sociale" dont il se revendique. Gérald Darmanin fait valoir d'ailleurs sa proximité avec Nicolas Sarkozy, "un père" admet-il. À qui il a demandé conseil lorsqu'Emmanuel Macron lui a proposé le poste du Budget.
"Il revendique sa proximité avec le peuple, ses origines. Homme de terrain et surtout homme de confiance d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin est "en première ligne" depuis quelques semaines comme le souligne Paris Match dans un portrait que le magazine lui consacre. Avec la réforme des retraites et la démission du haut-commissaire chargé du dossier, Jean-Paul Delevoye, il l'est d'autant plus. L'occasion pour le conseiller régional des Hauts-de-France de réaffirmer son ancrage social, avance BFM TV. Au passage, il égratigne une partie de l'entourage du président de la République. "Il manque sans doute autour de lui des personnes qui parlent à la France populaire, des gens qui boivent de la bière et mangent avec les doigts. Il manque sans doute un Borloo à Emmanuel Macron", lance-t-il selon des propos rapportés par Paris Match. Très vite, cette déclaration a été interprétée de différentes façons sur les réseaux sociaux, entre indignation dans son propre camp et amusement. Mais Gérald Darma" Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
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"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Continuer le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Continue le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Continuez le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Poursuivre le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Poursuis le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Poursuivez le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Prolonger le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Prolonge le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Prolongez le texte sur 1000 caractères maximum :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Rédiger la suite du texte :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Rédige la suite du texte :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.
"Quasiment cinq mois jour pour jour, Maurane disparaissait brutalement à l'âge de 57 ans à Bruxelles. À l'époque, elle enregistrait un album d'hommage à Jacques Brel qu'elle avait d'ailleurs bien entamé. Le choc quelque peu passé, sa fille, Lou Villafranca, s'exprime pour la première fois dans le magazine Télé Loisirs. Elle explique notamment pourquoi il était si important pour elle d'aller au bout de ce que sa mère avait entrepris. "Finir cet album est devenu une obsession, cela revenait à rendre hommage à l'immense artiste qu'elle était", dit-elle.Dans cette interview, la jeune femme de 25 ans avoue qu'elle a dû faire des choix, et notamment supprimer deux chansons prévues initialement. "J'ai enlevé L'air de la bêtise et Les bonbons, chansons 'gags' qui me semblaient moins appropriées après son décès", précise Lou Villafranca. Dans l'album, il n'y aura donc plus que douze reprises de Maurane."Ça avait un côté sadomaso"Mais pour la jeune fille, se replonger dans l'univers de sa mère a " Rédigez la suite du texte :
été parfois compliqué à vivre. "Entendre la voix de ma mère dix heures par jour, sept jours sur sept, avait un côté sadomaso, dit-elle dans Télé Loisirs. Ça fait un mal de chien, mais c'est une souffrance qui fait du bien", avant d'ajouter qu'elle était "super fière de l'avoir fait".Si ce projet qui lui tenait à cœur lui a permis de tenir, le deuil n'est pas encore tout à fait passé. "Je me suis mis dans une bulle. Je ne leur ai pas répondu (tous les messages reçus, ndlr), mais j'ai envie de les remercier tous", termine-t-elle dans Télé Loisirs. Lou Villafranca a par ailleurs dessiné la pochette de ce futur album posthume.