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<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Femmes dans la publicité : les stéréotypes ont la vie dure au Maroc (Latifa Akharbach) || subtitle : La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a présenté récemment un rapport consacré à la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle, en particulier durant le mois du Ramadan. Une initiative s’inscrivant dans une démarche plus large visant à éradiquer les stéréotypes de genre et à promouvoir une image équilibrée des femmes dans les médias. Couvrant la période allant de 2020 à 2023, l’étude explore les progrès et les défis vers une représentation juste. Latifa Akharbach, présidente de la HACA, nous éclaire sur le sujet. || body : Le Matin : Dix ans après la première étude menée par la HACA en 2014, quels sont les progrès les plus significatifs que vous avez observés dans la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle au Maroc ? Latifa Akharbach : En 2014, l’étude sur les stéréotypes dans la publicité n’avait porté que sur une année. Dix ans plus tard, nous présentons une étude sur 4 années consécutives, 2020, 2021, 2022 et 2023, pour livrer des constats circonstanciés et encore plus significatifs. Par ailleurs, le corpus de 754 spots analysés a une taille suffisamment importante pour nous autoriser à tirer des conclusions rigoureuses. Le choix d’étudier les spots diffusés pendant le prime time du mois du Ramadan se justifie par le fait que cette période constitue traditionnellement un pic d’audience et un pic d’investissements publicitaires pour la télévision dans notre pays. Cela signifie aussi que s’il y a des stéréotypes dans les spots diffusés pendant ce mois, ils seront vus par des millions de Marocains chaque jour ! Lorsque nous comparons les chiffres de l’étude menée en 2014 et les résultats de la nouvelle étude, nous constatons que la représentation des femmes dans la publicité audiovisuelle a connu quelques évolutions positives, mais que de nombreuses communications publicitaires continuent à véhiculer des clichés et des stéréotypes à l’égard des femmes. La principale évolution positive est qu’en 9 ans, la part des publicités qui ne comportent aucun stéréotype a été multipliée par 5, passant d’un taux de 9% en 2014 à une quote-part de 51% en 2023. C’est un acquis important mais pas suffisant, du point de vue de la HACA en tant que régulateur indépendant et soucieux du respect des principes des droits humains et des valeurs démocratiques dans les contenus audiovisuels. Pour nous, ce résultat signifie qu’il y a encore presque un spot sur deux qui est vecteur d’une représentation discriminante à l’égard des femmes. D’autres évolutions positives ont été également relevées. Des secteurs d’activité dont les communications publicitaires télévisuelles «invisibilisaient» les femmes en 2014 leur font aujourd’hui une place de plus en plus grande dans leurs annonces. C’est le cas notamment du secteur des banques et des assurances et de celui de l’automobile. Mais malgré ces évolutions, il y a encore une tendance à l’assignation de genre dans les publicités. Ainsi, dans un pays où il y a un grave problème d’employabilité des femmes, celles-ci continuent à être majoritairement assignées, dans les publicités, à la sphère domestique, malgré une augmentation de leur représentation dans la sphère professionnelle. Or tout le monde sait que la publicité a un très fort impact sur les croyances et les représentations collectives. Ce genre de stéréotypes de genre est susceptible par exemple de constituer un plafond de verre sur le marché du travail. Publicité au Maroc : l'évolution de la place de la femme selon la HACA La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a organisé, mardi dernier, un atelier consacré à la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle, en particulier durant le mois du Ramadan. Avec l’analyse rigoureuse de plus de 750 publicités diffusées entre 2020 et 2023, cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large visant à éradiquer les stéréotypes de genre et à promouvoir une image équilibrée des femmes dans les médias. Une étude présentée à cette occasion par la HACA montre les progrès réalisés, mais aussi les obstacles persistants qui entravent la parité dans l’espace publicitaire marocain, malgré un cadre légal progressiste. Quels défis persistent malgré les efforts réglementaires ? Les défis consistent à casser les chaînes de reproduction et de perpétuation des stéréotypes et des représentations discriminantes, dans la durée et dans tous les contenus médiatiques. C’est un défi qui renvoie à la problématique générale de l’autonomisation des femmes et de la culture des droits humains. Ce chantier de longue haleine nécessite l’implication de tous et la consécration de la culture de la parité et de l’égalité dans tous les espaces : la famille, l’école, la vie publique, etc. Le fait d’avoir travaillé sur plusieurs années consécutives nous a permis de mesurer la fragilité de certains acquis. Par ailleurs, il y a certainement des efforts à faire en matière d’autorégulation du secteur de l’industrie publicitaire. Car il est bien évident que l’on ne peut imputer aux seuls diffuseurs la responsabilité de la permanence de la représentation partiale et partielle des femmes dans les contenus médiatiques. Comment les stéréotypes de genre sont-ils perpétués ou remis en question dans les spots publicitaires diffusés pendant le mois du Ramadan ? Il faut rappeler qu’il y a dans notre société, comme dans beaucoup d’autres, un conditionnement très précoce et une exposition récurrente aux messages et aux comportements discriminants vis-à-vis des femmes. Il est de ce fait difficile d’exiger des médias des résultats immédiats et définitifs en matière de déconstruction des discours stéréotypés. Mais leur devoir est de s’y engager et d’y travailler continuellement. La HACA insère toujours dans les cahiers des charges des opérateurs des dispositions en ce sens. Toutefois, personne ne peut comprendre ce qui empêche les protagonistes de la communication publicitaire de rompre avec certains clichés faciles : la femme bavarde, la femme assistée, la femme vénale, la femme mégère, la femme fée du logis infatigable et heureuse de sa condition, la femme seule responsable des enfants et pourvoyeuse d’attentions et de soins pour tous, etc., puis en créant un effet de répétition. Grâce à son pouvoir d’influence, la publicité peut aider à faire avancer l’appropriation de la culture de l’égalité hommes-femmes et peut favoriser certaines ruptures culturelles à ce propos. Certains annonceurs, publicitaires et opérateurs audiovisuels dans notre pays ont développé des bonnes pratiques que la HACA promeut et salue fréquemment : comités de parité, chartes internes, récompenses pour les spots féministes, campagnes publicitaires sensibles à la diversité, etc. D’autres mobilisations restent nécessaires. Comment les résultats de cette étude pourraient-ils influencer les politiques et pratiques du secteur audiovisuel en matière de représentation des femmes ? En menant ce type d’études, la HACA participe d’abord à une meilleure connaissance de la réalité, des pratiques et des problématiques. On ne peut agir sur la réalité si on ne la connaît pas. La publication de cette étude, comme toutes celles que l’on a déjà réalisées sur des thématiques variées, permet aussi d’informer le grand public et de promouvoir la culture de la régulation sensible aux droits humains dans la société marocaine. La lutte contre les stéréotypes de genre nécessite une mobilisation globale. Notre démarche n’est ni d’être dans des dénonciations publiques ni dans de simples rhétoriques généralistes et passionnées. La HACA enrichie sans cesse sa production normative en matière de représentation de la diversité et ambitionne de renforcer ses interactions sur cette question tant avec les professionnels des médias qu’avec les citoyens. Comment la HACA envisage-t-elle d’équilibrer la nécessité de réguler sans entraver la créativité et la liberté d’expression dans le secteur publicitaire ? Vous soulevez un point très important. La créativité et la liberté de communication constituent le fil conducteur des délibérations du Conseil supérieur de la communication audiovisuelle. Plusieurs décisions prononcées par le Conseil ont débouté des plaintes d’usagers au nom du principe de la liberté de création. Mais cette liberté ne saurait s’exercer au prix d’une infériorisation, d’une «invisibilisation» et donc d’une discrimination d’une partie de la société. Cela vaut pour les femmes et pour toutes les catégories de population marginalisées dans certains domaines de la vie publique. Les décisions prises par le Conseil reposent sur le cadre législatif et la Constitution qui est notre boussole en quelque sorte.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Arrivée au Maroc du Premier ministre belge pour co-présider la Haute commission mixte bilatérale || subtitle : Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, est arrivé dimanche soir à Rabat pour une visite dans le Royaume au cours de laquelle il co-présidera avec le Chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, les travaux de l a Réunion de la Haute Commission mixte Maroc-Belgique. || body : A son arrivée à l’aéroport de Rabat-Salé à la tête d'une importante délégation gouvernementale et d’hommes d’affaires, M. De Croo a été accueilli par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi . L'Inspecteur Général des FAR s'entretient avec le Chef de la Défense du Royaume de Belgique Sur Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi, Chef Suprême et Chef d'Etat-Major Général des Forces Armées Royales, le Général de Corps d’Armée, Inspecteur Général des FAR et Commandant la Zone Sud, Mohammed Berrid, a reçu, lundi au siège de l’État-major Général des FAR, l’Amiral Michel Hofman, Chef de la Défense belge, en visite officielle au Royaume du 5 au 6 février. Après avoir passé en revue un détachement de la Première base aérienne des Forces Royales Air (1ère BAFRA) qui rendait les honneurs, le Premier ministre belge a été salué par le gouverneur de Salé, Omar Touimi , le maire de Salé, Omar Sentissi , l'ambassadeur du Maroc en Belgique, Mohamed Ameur , et l'ambassadeur de Belgique à Rabat, Véronique Petit . Au cours de ce déplacement, le Premier ministre belge aura des entretiens avec le Chef du gouvernement . De même, des ministres accompagnant M. De Croo tiendront des séances de travail avec leurs homologues marocains, portant essentiellement sur les sujets d’intérêt commun et les moyens de renforcer la coopération bilatérale. Cette visite sera couronnée par la signature de plusieurs conventions et accords de coopération entre les deux pays dans divers domaines. Le Premier ministre belge est accompagné, lors de cette visite, d'une délégation composée notamment du vice-Premier ministre et ministre de la Justice, Paul Van Tigchelt , de la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden , de la ministre des Affaires étrangères, Hadja Lahbib , de la Secrétaire d’État à l'Asile et la Migration, Nicole De Moor , de la présidente de Comité de direction au ministère des Affaires étrangères, Theodora Gentzis . Il est également accompagné du Directeur général de l’Office des étrangers , Freddy Roosemont , du Commissaire général de la Police fédérale, Eric Snoeck , et d'une importante délégation d’hommes d’affaires qui prendra part au Forum d’affaires prévu mardi à Casablanca.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Abdelouafi Laftit reçoit la ministre fédérale belge de l'Intérieur, Annelies Verlinden || subtitle : Le ministre de l'Intérieur, Abdelouafi Laftit, a eu, lundi à Rabat, des entretiens avec la ministre fédérale belge de l'Intérieur, des Réformes institutionnelles et du Renouveau démocratique, Annelies Verlinden, axés notamment sur l'examen de questions d'intérêt commun et des moyens de renforcer davantage la coopération bilatérale. || body : Ces entretiens, auxquels ont pris part de hauts responsables des deux ministères en présence de la Secrétaire d'État belge à l'Asile et la Migration, Nicole de Moor, ont été aussi l'occasion d'échanger les vues autour de questions liées à la lutte contre le terrorisme, l'extrémisme et la migration irrégulière. Dans une déclaration à la presse à l’issue de ces entretiens, Mme Verlinden s’est félicitée de la collaboration déjà étroite entre le Maroc et la Belgique particulièrement sur des sujets relatifs à la sécurité. Investissement, énergies ... : Le détail de la Déclaration Conjointe adoptée par le Maroc et la Belgique La 3ème réunion de la Haute Commission Mixte de Partenariat entre le Maroc et la Belgique s'est tenue à Rabat, le 15 avril 2024, sous la coprésidence du Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, et du Premier Ministre, Alexander De Croo. Les travaux de cette réunion ont été sanctionnés par la signature de deux mémorandums d'entente sur la modernisation de l'Administration judiciaire et l'énergie verte ainsi qu'une feuille de route relative aux actions menées dans le cadre du dialogue politique. "Il y a déjà un échange d'informations important entre nos services de police et de sécurité et nous avons discuté des moyens de renforcer cette collaboration pour lutter ensemble contre la criminalité organisée, le terrorisme, l'extrémisme et le trafic d'êtres humains", a-t-elle dit. Mme Verlinden était arrivée, dimanche soir à Rabat, parmi la délégation accompagnant le Premier ministre belge, Alexander De Croo, pour une visite dans le Royaume à l’occasion de la tenue de la Réunion de la Haute Commission mixte Maroc-Belgique, co-présidée par le Chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, et son homologue belge.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Rwanda: Akhannouch représente S.M. le Roi à la commémoration du trentenaire du génocide des Tutsis || subtitle : Le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a représenté Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dimanche à Kigali, à la cérémonie de commémoration du 30ème anniversaire du génocide perpétré au Rwanda en 1994 contre les Tutsis. || body : A cette occasion, le président rwandais Paul Kagame a donné, en présence de plusieurs Chefs d'Etat et de gouvernement, ainsi que des représentants d'organisations régionales et internationales, le coup d’envoi de la Semaine de deuil national, en déposant une gerbe de fleurs au mémorial de Gisozi dans la capitale rwandaise, où reposent les corps de plus de 250.000 victimes du génocide. Après avoir observé une minute de silence à la mémoire des victimes, M. Kagame a annoncé un deuil national de 100 jours, en allumant "la Flamme de l’espoir" qui va brûler durant 100 jours, le temps qu’a duré le génocide de 1994 (7 avril-15 juillet). Dans une allocution de circonstance, le président rwandais a indiqué que la commémoration de ce douloureux anniversaire constitue non seulement une occasion pour honorer la mémoire des victimes, mais aussi pour mettre en avant, avec fierté, les réalisations du Rwanda grâce aux choix entrepris au service de la réconciliation et du progrès de la nation. "Les Rwandais, qui ont réussi à vaincre la peur, ne peuvent pas faire face à quelque chose de pire que ce qu'ils ont déjà vécu lors de cette tragédie", a souligné M. Kagame, affirmant que cette nation est prête à relever tout défi et à faire face à toute tentative visant à faire régresser le pays et à semer la division entre les Rwandais. Il a, par ailleurs, exprimé sa gratitude aux membres des délégations venus exprimer leur solidarité avec le Rwanda à l'occasion de la commémoration de l'anniversaire de ce douloureux événement. En 1994, le Rwanda a connu un génocide ethnique, lorsque des extrémistes hutus et les milices "Interahamwe" ont déclenché une horrible opération de massacres qui a fait plus de 800.000 morts, la plupart des Tutsis et des Hutus modérés. Ces massacres ont pris fin en juillet 1994, lorsque le Front Patriotique Rwandais (FPR), mouvement rebelle mené par le président Paul Kagame, a pris le contrôle du pays. Le Rwanda est considéré aujourd’hui comme un modèle africain réussi en matière de stabilité, de développement, de gouvernance et de croissance à la faveur des politiques adoptées durant trois décennies.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara marocain : l’axe Paris-Rabat, plus stratégique que jamais || subtitle : Comme pour marquer une nouvelle progression dans le réchauffement des relations entre Paris et Rabat, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, s’est rendu mardi dernier à Paris où il a été reçu par son homologue français, Stéphane Séjourné, au Quai d’Orsay. Dans un post publié sur X, le chef de la diplomatie française a déclaré, dans le sillage de cette visite, que «la relation entre la France et le Maroc est unique». Au fond, Paris se fait toujours attendre sur une reconnaissance claire de la marocanité du Sahara. || body : Le bal diplomatique franco-marocain annonce de nouvelles perspectives pour les relations bilatérales entre les deux pays. Avec la visite du chef de la diplomatie marocaine à Paris et les visites récentes ou à venir de ministres français au Maroc, la dynamique de ces relations connaît un nouvel élan. Quant à la question de la reconnaissance de la marocanité du Sahara, une position claire de Paris se fait toujours attendre. Le soutien du Quai d’Orsay aux projets d’investissement dans les provinces du Sud, synonyme de reconnaissance économique, laisse-t-il augurer une reconnaissance politique ? La reconnaissance de la marocanité du Sahara reste la grande question en suspens Pour le professeur d’études stratégiques au Collège de défense nationale des Émirats arabes unis à Abou Dhabi, Mohamed Badine El Yattioui, «ce qui est intéressant, ce sont les réactions et les commentaires de la diplomatie française. En revanche, il n’y a eu aucun commentaire ou réaction officielle de la part de Nasser Bourita ou de ses services du ministère des Affaires étrangères concernant son récent déplacement à Paris». Il est intéressant aussi de voir cette dynamique du côté français, avec un certain nombre de ministres qui se sont rendus ou se rendront au Maroc dans les prochaines semaines, notamment le ministre de la Culture, le ministre de l’Agriculture et le ministre de l’Intérieur, ce qui témoigne d’une volonté française de sortir de la froideur qui marque les relations entre Rabat et Paris depuis plus de deux ans, souligne également au «Matin» M. Badine El Yattioui. La France vise un partenariat économique renouvelé avec le Maroc Le ministre français du Commerce extérieur, Franck Riester, affirme l’engagement de la France à raviver son partenariat avec le Maroc, en mettant l’accent sur le renforcement des relations économiques et commerciales. La signature de la concession de service public de Business France à la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc marque une étape importante dans cette démarche, visant à stimuler les échanges bilatéraux et à encourager la coopération dans divers secteurs clés, avec une attention forte accordée aux PME. «Nous avons eu des annonces intéressantes de la part de Franck Riester, confirmées du côté français avec la volonté de participer au développement économique des provinces du Sud et la volonté d’y investir via Proparco, qui est une filiale de l’Agence française de développement (rattachée au Quai d’Orsay)», indique le professeur d’études stratégiques, ajoutant qu’«on a donc cette volonté d’agents publics et privés de participer au développement du Sahara marocain, ce qui marque une dynamique nouvelle». En revanche, fait-il observer, «il n’y a rien sur la reconnaissance diplomatique de la marocanité du Sahara par le gouvernement français, ce qui représente la grande question en suspens, puisque d’autres partenaires comme les États-Unis, l’Espagne et d’autres pays européens comme l’Allemagne et la Belgique ont franchi ce pas, sans parler d’Israël, qui a reconnu la marocanité du Sahara en juillet 2023». Et de poursuivre que «du côté français, on a l’impression qu’il y a une volonté de substituer la participation et la coopération économique dans cette région marocaine à la reconnaissance claire de sa marocanité sur le plan diplomatique dans le cadre de la relation bilatérale, et aussi au-delà au niveau du soutien au Plan d’autonomie aux Nations unies, chose qui serait très importante et très positive pour le Royaume, étant donné que la France est l’un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité». «On a vu que le chef de la diplomatie française, Stéphane Séjourné, a clairement repoussé cette question dans son interview à France 24, en disant que c’était au chef de l’État français, Emmanuel Macron, d’en discuter avec Sa Majesté pour avancer sur ce dossier. Il n’a pas souhaité prendre position», rappelle M. Badine El Yattioui, faisant remarquer que «l’Algérie, principal soutien du Polisario, pourrait avoir une réaction très négative à l’égard de la France et aussi, d’une certaine manière, créer une crise avec Paris, et c’est ce que la France veut éviter». Et d’affirmer «que les Français veulent avancer avec le Maroc. Ils se rendent compte que le Maroc en général, et les provinces du Sud en particulier, sont en train de se développer avec une prolifération des projets et une volonté de développer tout un tas de secteurs comme les infrastructures ou les énergies (secteur dans lequel la France veut se positionner pour le projet de nucléaire civil marocain pour la production d’électricité ou le dessalement). Il y a une volonté française de ne pas perdre pied au Maroc, car l’Espagne, depuis le changement de sa position concernant le Sahara marocain, a intensifié ses relations économiques, commerciales et ses investissements au Maroc. La France ne veut pas être larguée. On sait aussi que les États-Unis veulent investir dans les provinces du Sud, tout comme les Émirats arabes unis. La France sait que les deux ans de relations diplomatiques froides lui ont fait perdre de l’influence et une capacité à discuter avec les interlocuteurs publics et privés marocains et que cela nuit aussi bien à l’État français en termes d’influence qu’aux entreprises françaises qui ont besoin de ces parts de marché à l’international». Et le professeur d’études stratégiques de conclure qu’«il y a une dynamique claire du côté français qui vient très certainement du Président Macron, puisque ce sont ses ministres qui interviennent à chaque fois ou qui vont intervenir, et on voit que ce qui est la clé pour le Maroc, à savoir la reconnaissance diplomatique claire de la marocanité du Sahara, se fait attendre. Est-ce que cette reconnaissance se fera dans un second temps ou est-ce qu’il y a une volonté de gagner du temps et de continuer à entretenir cette ambiguïté ? Seul l’avenir nous le dira». Les relations franco-marocaines entrent dans une phase cruciale De son côté, le professeur de sciences économiques, sociales et politiques à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, Dr Talal Cherkaoui, indique au «Matin» que «la relation entre la France et le Maroc est en train d’entrer dans une phase cruciale, marquée par des engagements économiques profonds et des discussions politiques stratégiques». Les investissements français dans les provinces du sud du Maroc ne sont pas seulement des projets de développement, «ils symbolisent une avancée significative vers une reconnaissance implicite de la marocanité du Sahara. Cette implication économique pourrait potentiellement se transformer en un appui politique plus explicite dans les années ou les mois à venir», estime Dr Talal Cherkaoui. De l’avis du professeur de Sciences économiques, sociales et politiques, «les investissements français dans le Sahara marocain, tels que le projet de ligne haute tension entre Dakhla et Casablanca, sont des indicateurs clairs d’un soutien non seulement économique mais également politique». «Proparco, filiale du groupe Agence française de développement (AFD), spécialisée dans le soutien au secteur privé, ne se contente pas de financer une infrastructure essentielle en participant à ce projet, elle investit dans la stabilité et le développement des provinces du Sud. Ce type d’engagement suggère une reconnaissance de facto de la gouvernance marocaine sur son territoire, précédant souvent les reconnaissances diplomatiques formelles», souligne Dr Talal Cherkaoui. Par ailleurs, ce rapprochement entre la France et le Maroc suscite des jalousies, et la réaction algérienne aux démarches françaises envers le Maroc révèle une tension accrue, fait remarquer le professeur. «L’Algérie, qui supporte le Polisario, voit dans l’engagement français une menace directe de sa position sur le dossier du Sahara marocain. Les médias algériens, souvent en écho aux positions officielles, ont vivement critiqué la France, interprétant son soutien au développement économique du Sahara marocain comme un soutien politique au Maroc. Cette réaction illustre le rôle que la France joue désormais dans le dossier du Sahara marocain, où son influence pourrait contribuer à redéfinir les alliances et les oppositions régionales», explique-t-il. Et de dire que les rencontres de haut niveau, comme celle entre Stéphane Séjourné et Nasser Bourita, ne se limitent pas à des discussions politiques superficielles. Elles couvrent des domaines aussi divers que la sécurité, la culture et l’économie, signe d’une relation bilatérale qui se densifie. L’approfondissement de ce dialogue est crucial : il prépare le terrain pour des accords plus formels et pourrait même influencer la politique internationale envers le dossier du Sahara marocain. Le rôle de médiateur que la France semble adopter renforce sa position en tant que puissance influente en Méditerranée et en Afrique du Nord. Ainsi, poursuit Dr Talal Cherkaoui, si les actions économiques sont souvent les précurseurs des décisions politiques, l’engagement de la France dans le Sahara marocain pourrait bien être le prélude à une reconnaissance officielle de la marocanité du Sahara. Un tel développement serait historique, redéfinissant non seulement les relations franco-marocaines, mais influençant également la dynamique du Maghreb et la politique des puissances mondiales vis-à-vis du dossier du Sahara marocain. La progression de la France dans la reconnaissance de la marocanité du Sahara, observe le professeur, peut avoir des implications profondes pour la région. «Un soutien européen accru au Maroc dans ce dossier pourrait encourager d’autres nations à reconsidérer leur position, aboutissant potentiellement à une solution plus stable et pacifique pour la région. De plus, cela pourrait renforcer le Maroc dans son rôle de puissance régionale, capable de négocier sur des bases plus solides avec ses voisins et au sein des forums internationaux». Et Dr Talal Cherkaoui de souligner que «le rapprochement économique et politique entre la France et le Maroc sur la question du Sahara marocain n’est pas juste une série d’accords bilatéraux. C’est l’indicateur d’un changement géopolitique potentiel qui pourrait affecter positivement la stabilité et l’ordre politique de toute la région du Maghreb. La suite des événements dépendra de la manière dont ces engagements seront perçus et gérés tant au niveau régional qu’international, mais une chose est certaine : l’axe Paris-Rabat est plus stratégique que jamais».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nouvelle grève prévue mercredi et jeudi dans le secteur de la santé || subtitle : Le secteur de la santé est de nouveau sur le gril. Une nouvelle grève est annoncée pour ce mercredi et jeudi dans les établissements de santé publique, à l’exception des urgences et des services de réanimation et des soins intensifs. Cette grève, organisée à l’appel du Syndicat national de la santé publique, affilié à la FDT, et du Syndicat national de la santé relevant de la CDT, vise à dénoncer le retard accusé dans la mise en œuvre des dispositions des deux accords ratifiés les 29 décembre et 26 janvier. || body : Un nouveau débrayage national est annoncé dans le secteur de la santé pour ce mercredi et jeudi. Organisée à l’appel du Syndicat national de la santé publique (SNSP), affilié à la Fédération démocratique du travail (FDT), et le Syndicat national de la santé relevant de la Confédération démocratique du travail (CDT), cette nouvelle grève sera observée au niveau des différents établissements de santé publique, à l’exception des services des urgences et des services de soin intensifs et de réanimation. Ce nouvel arrêt du travail intervient quelques jours seulement après une première grève préventive organisée les 20 et 21 mars dernier. Les infirmiers et techniciens de santé en grève de 48h, les 6 et 7 mars Le Syndicat indépendant des infirmiers et des techniciens de santé a lancé un appel à la grève nationale, les 6 et 7 mars, dans tous les services de santé à l'exception des services d'urgences, de réanimation et des soins intensifs. À l’origine de ce nouveau mouvement de protestation, les deux syndicats pointent du doigt le retard accusé par le gouvernement dans la mise en œuvre des dispositions des accords signés avec les différentes formations syndicales et l’absence d’une interaction favorable avec les revendications des différentes catégories des professionnels de la santé. «Le syndicat national de la santé s’indigne des positions mitigées du gouvernement vis-à vis des attentes et des revendications des professionnels de la santé. En effet, d’une part, l’Exécutif table sur l’engagement des professionnels de la santé pour mettre en œuvre les grands chantiers relatifs à la réforme du système sanitaire et la mise en œuvre de la protection sociale et, d’autre part, il refuse de répondre à leurs revendications et d’œuvrer concrètement pour améliorer leur situation financière, professionnelle et sociale. Nous considérons que l’adoption d’une telle approche négative et ce silence suspicieux, surtout en cette conjoncture, ne fait que refléter l’existence de certains calculs politiques qui ne feront qu’accentuer le climat de tension et de rupture de confiance», note Mustapha Chenaoui, secrétaire général, dans un post publié mardi dernier sur sa page Facebook. Pour sa part, le Syndicat national de la santé publique a fustigé dans son communiqué l’attitude du gouvernement qui tend à se soustraire aux engagements pris dans le cadre des deux accords ratifiés les 29 décembre et 26 janvier. Des accords qui avaient couronné, rappelle le syndicat, plusieurs mois de négociations intensives entre le ministère de la Santé et les centrales syndicales les plus représentatives. La centrale syndicale a ainsi mis en garde contre la montée du climat de méfiance et de colère chez les professionnels de la santé qui se sentent de plus en plus marginalisés à cause de la non-satisfaction de leurs revendications légitimes. Les deux centrales syndicales appellent enfin tous les fonctionnaires de la santé à se mobiliser et à poursuivre leur mobilisation autour des revendications légitimes.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : 4ème Conférence de Santé Publique en Afrique: Près de 10.000 participants attendus au Maroc || subtitle : Le gouvernement marocain, l’Union Africaine et les Centres africains de Contrôle et de Prévention des maladies (Africa CDC) ont signé, vendredi à Rabat, la convention d’accueil de la 4ème Conférence internationale de Santé Publique en Afrique 2024. || body : La signature de cette convention s'inscrit dans le cadre des préparatifs du Maroc pour accueillir la 4ème conférence internationale sur la santé publique en Afrique , prévue pour le mois de novembre de cette année. Ainsi, les comités scientifique, technique et organisationnel ont été constitués, ce qui a permis de définir leurs attributions respectives, en plus de la désignation des coordinateurs généraux de cette conférence. >> Lire aussi : Conférence internationale sur la santé en Afrique : le Maroc hôte de la 4e édition en 2024 La participation du Maroc à la 3ème conférence sur la santé publique en Afrique , tenue en Zambie , par une délégation conduite par le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb , a abouti à l'approbation de l'accueil du Royaume de la 4ème édition de cette conférence. Le choix du Maroc pour l'organisation de cet événement mondial découle d'une collaboration étroite entre le ministère de la Santé et de la Protection sociale , l' Union africaine et l’ Africa CDC . Cette initiative conjointe représente une concrétisation claire de l'engagement solide du Royaume à promouvoir la santé publique en Afrique , conformément aux Hautes Directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI , à garantir une souveraineté sanitaire continentale et à s'engager avec les principaux acteurs pour renforcer les soins de santé en Afrique. Elle constitue également une opportunité précieuse de partage des expériences et d'exploration des solutions innovantes aux défis sanitaires du continent. Cet événement réunira entre 8.000 et 10.000 responsables et décideurs de différents pays du continent, ainsi que plus de 30.000 participants à distance. Des experts internationaux , des professionnels et des chercheurs dans le domaine de la santé seront également présents pour partager les meilleures pratiques, échanger des connaissances et promouvoir la coopération entre les parties prenantes et les organisations intéressées par la santé publique. Par ailleurs, cet événement sera une occasion d'une importance capitale pour l'échange de points de vue et la discussion des thématiques actuelles dans le domaine de la santé publique. Il offrira une opportunité unique de débattre des défis sanitaires auxquels est confronté le continent africain, et d'examiner les moyens de renforcer la coopération internationale pour y faire face. En outre, il permettra de promouvoir les efforts de partenariat, de coopération scientifique et d'innovation dans ce domaine. Dans une déclaration à la MAP à l’issue de la signature de la convention, Khalid Ait Taleb a indiqué que cet évènement sera l’occasion de discuter et de débattre de certains sujets d’intérêt commun avec les différents pays, soulignant que cette conférence sera organisée de la meilleure des façons pour aboutir à des résolutions et à des recommandations, d'où l’importance de conjuguer les efforts car "le destin du continent est entre les mains des Africains". De son côté, le directeur général de Africa CDC, Jean Kaseya , a souligné que la signature de cette convention permettra d’entamer les préparatifs de la conférence pour assurer sa réussite et illustrer ainsi la volonté des Africains d’évoluer dans le domaine de santé publique. Au niveau de l’ Union africaine , rien ne sera ménagé pour faire de cet évènement mondial de santé publique un succès total, a-t-il assuré.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch s'entretient à Marrakech avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban || subtitle : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a reçu, vendredi à Marrakech, son homologue hongrois, Viktor Orban, qui effectue une visite dans le Royaume. Les deux responsables ont échangé, lors de cette rencontre, sur les opportunités de renforcement de la coopération économique entre le Maroc et la Hongrie. || body : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch et son homologue hongrois, Viktor Orban ont salué, vendredi à Marrakech, la solidité des relations d’amitié et de coopération entre le Maroc et la Hongrie , qui ont connu des évolutions notables au cours des dernières années, en droite ligne de l’attachement de S.M. Le Roi Mohammed VI , que Dieu l’assiste, à diversifier les partenariats avec les Etats membres de l’ Union Européenne . S.M. le Roi félicite M. Tamás Sulyok à l'occasion de son investiture Président de la République de Hongrie Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations à M. Tamás Sulyok à l'occasion de son investiture Président de la République de Hongrie. La rencontre a également permis de mettre l’accent sur l’importance du renforcement et de l’élargissement de la coopération économique entre les deux pays, le Maroc étant le premier partenaire commercial de la Hongrie dans le continent africain, avec un volume d’ échanges commerciaux de quelque 4,1 milliards de DH (382 millions d’euros) en 2022, en progression de 25% par rapport à l’année 2021. Les deux parties ont d’autre part évoqué les préparatifs pour la tenue de la 5ème Commission économique Maroc-Hongrie prévue en octobre 2024, en couronnement de cette année qui coïncide avec la commémoration du 65ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. Lors de cette rencontre, Viktor Orban a adressé une invitation au Chef du gouvernement pour effectuer une visite de travail en Hongrie. Ces entretiens ont par ailleurs été l’occasion d’évoquer plusieurs questions régionales et internationales, d’examiner les moyens de développer le partenariat sur tous les plans et de saluer la concordance des vues des deux pays à l’égard de nombreuses questions internationales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Figaro souligne la "singularité" de la réforme de la protection sociale au Maroc || subtitle : Le quotidien français "Le Figaro" a souligné, jeudi, la "singularité" de la réforme de la protection sociale au Maroc au niveau de l'Afrique. || body : "La réforme marocaine est surtout singulière à l’échelle du continent africain, où moins de 15% de la population est couverte par un système de protection sociale ", relève "Le Figaro" dans un article mis en ligne, qualifiant cette réforme de "tournant social majeur pour le Maroc". Généralisation de la protection sociale : pourquoi il est essentiel de communiquer avec les jeunes Il faut renforcer la communication avec les jeunes autour de la généralisation de la protection sociale au Maroc. Telle est la recommandation clé qui ressort de la conférence «Gagner la confiance de la jeunesse marocaine face aux défis du futur du travail et de la protection sociale». L’événement a été organisée en marge de la journée d’études qui a eu lieu le 7 mars dernier à l’ESCA école de management. La rencontre a réuni une panoplie d’experts venus pour échanger et débattre autour de l’avenir de la protection sociale au Maroc. "Le Royaume accélère le déploiement de sa réforme de protection sociale universelle, avec une échéance fixée à 2025", note la publication sous le titre "Au Maroc, une réforme historique de la protection sociale", rappelant que la réorganisation de ce système "devrait changer la vie de millions de ménages et améliorer l’indice de développement humain du pays". Lancé officiellement en 2021, le programme de cette réforme serait parmi "le plus ambitieux" en cours dans les pays à revenu intermédiaire à l’échelle mondiale, note le journal, qui cite la Banque mondiale , précisant que ce programme repose sur la mise en place progressive de plusieurs piliers. Le premier axe, déployé à partir de 2022, porte sur l’assurance-maladie obligatoire . Ce régime, financé par les cotisations, a été étendu à 22 millions de bénéficiaires supplémentaires et vient compléter le programme Ramed, détaille la publication. Concernant les allocations familiales dont les premiers versements sont intervenus fin décembre, les aides prévues prennent le relais de la Caisse de compensation, poursuit Le Figaro , faisant observer que l’idée est de verser un revenu direct mensuel selon le nombre d’enfants. Au total, ce chantier colossal, comprenant la couverture médicale et l’aide sociale directe , devrait nécessiter un budget de 40 milliards de dirhams (3,6 milliards d’euros) d’ici à 2026 et sur les trois prochaines années, l’État va contribuer à hauteur de 20 milliards de dirhams, note le journal. "Si cette réforme est jugée historique, c’est aussi par les outils utilisés", soutient, en outre, le journal, ajoutant que l’instrument clé est le Registre social unifié (RSU) qui sert de point unique d’enregistrement pour les demandeurs de programmes sociaux. Selon Le Figaro, "cette plateforme numérique sur laquelle on peut s’inscrire à partir d’un simple smartphone permet d’identifier et d’évaluer la situation des ménages pour fixer leur éligibilité", indiquant que le système biométrique de l’application permet de limiter la fraude".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pas d’augmentation générale des prix des boissons dans les cafés (Noureddine El Harrak) || subtitle : Depuis deux jours, les rumeurs se sont intensifiées sur une éventuelle décision des propriétaires des cafés et restaurants d'augmenter les prix des boissons. Une information qui a fait polémique notamment sur les réseaux sociaux. Pour y voir plus clair, "Le Matin" a contacté le président de la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants, Noureddine El Harrak, qui a balayé d’un revers de la main toutes ces rumeurs. Explications. || body : Le président de la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants , Noureddine El Harrak, a démenti toute augmentation des prix des boissons , particulièrement le café, après l’Aïd Al-Fitr. Contacté par «Le Matin» pour vérifier les rumeurs circulant ces derniers jours selon lesquelles les cafés auraient augmenté les prix des boissons, M. Harrak a balayé d’un revers de la main ces fausses informations, soulignant que la Fédération nationale n’avait pris aucune décision concernant l’augmentation des prix des boissons après l’Aïd Al-Fitr, contrairement à ce qui circule sur la Toile. «Les allégations qui circulent sur la Toile sont totalement infondées. Toute hausse des tarifs ne peut être effective qu’après une décision officielle de la fédération. Ce qui n’est pas le cas actuellement», a-t-il affirmé. Cafés et restaurants : les faillites s’accélèrent en 2023, le secteur dans la zone rouge Pour le secteur des cafés-restaurants, la reprise n’a pas été au rendez-vous comme en témoigne le nombre alarmant des entreprises ayant fait faillite en 2023. Une enquête de la Fédération nationale de la profession, dévoilée en marge du 1er Congrès de la section régionale de Casablanca-Settat, révèle la gravité de la situation. Rien qu'en 2023, 13.000 faillites ont été déclarées dans trois régions du Maroc, dont Casablanca-Settat. Il y a eu des cas isolés d'augmentation des prix dans certains cafés Noureddine El Harrak a par ailleurs tenu à préciser que le conseil national et les représentations régionales affiliées à la fédération n’avaient envisagé aucune augmentation des prix, expliquant que la hausse du prix du kilogramme du café de 15 DH deux fois en l’espace de six mois seulement avait incité, certes, certains professionnels à réfléchir à opérer des augmentations des prix des boissons. Mais ces initiatives restent isolées et relèvent de la «liberté personnelle», déclare-t-il, rappelant à cette occasion que le secteur des cafés et restaurants demeure soumis à la loi relative la liberté des prix et de la concurrence, qui interdit totalement la fixation des prix. El Harrak : une hausse de 1 ou 2 dirhams ne peut pas sauver le secteur en crise Par ailleurs, les propriétaires de cafés et restaurants demeurent convaincus qu’une pareille augmentation ne pourra être opérée dans le contexte actuel, marqué par la montée de l’ inflation et la baisse du pouvoir d’achat des citoyens, notant qu’une hausse des prix de l’ordre de 1 ou 2 dirhams ne pourra pallier la crise que traverse le secteur et qui a conduit à la faillite de plus de 16.000 cafés au cours des derniers mois. Une situation qui constitue une suite logique, note M. El Harrak, de l’accumulation de plusieurs dysfonctionnements d’ordre structurel, notamment l’augmentation de la redevance d’exploitation temporaire de l’espace public, la prolifération des restaurants ambulants suite à leur autorisation par certains conseils communaux, ainsi que les montants exorbitants des amendes et pénalités astronomiques infligées aux professionnels par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) suite au non-paiement des cotisations pendant la période ayant suivi la Covid-19, dont la valeur dépasse souvent celle du bien commercial. Le président de la fédération, qui a rappelé que son instance avait déjà adressé des correspondances aux différents groupes parlementaires ainsi qu’à plusieurs ministres, notamment celui de l’Économie et des finances, celui de l’Intérieur, celui de l’Emploi et celui de l’Industrie et du commerce, a annoncé que la Fédération allait être bientôt reçue au cours des prochains jours par Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger le secteur.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : AFD : prêt de 100 millions d'euros pour la stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » || subtitle : L’Agence Nationale des Eaux et Forêts du Maroc (ANEF) et l’Agence Française de Développement (AFD) renforcent leur partenariat pour contribuer, à travers un nouveau Programme d'appui à la mise en œuvre de la Stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » et aux efforts de reconstruction et de développement durable de la zone du Parc National de Toubkal. || body : L' Agence nationale des Eaux et Forêts du Maroc (ANEF) et l’ Agence Française de Développement (AFD) ont signé le lundi 15 avril 2024 une lettre d'intention visant à contribuer à la mise en œuvre de la Stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » et aux efforts de reconstruction et de développement durable de la zone du Parc national de Toubkal . Réforme de l'éducation : L'AFD accorde un prêt de 130 millions d'euros au Maroc L'Agence Française de Développement (AFD) a accordé un prêt de 130 millions d'euros au Maroc pour soutenir la réforme nationale du système éducatif 2022-2026. Ce nouveau programme, doté d'un financement en prêt de 100 millions d'euros et de 2 millions d'euros en subvention , vise à favoriser le développement local en créant des opportunités économiques , tout en préservant les écosystèmes forestiers . La cérémonie de signature de ce nouveau partenariat s'est déroulée présence de Aberrahim Houmy , directeur général de l’ANEF, de Christophe Lecourtier , Ambassadeur de France au Maroc, et de Quiterie Pincent , directrice de l’AFD. A travers cette opération, l’ AFD et l’ ANEF mettront en œuvre de nouvelles approches centrées sur la valorisation du tourisme écologique en intégrant les savoirs et les besoins des populations locales. Les deux Agences travailleront ensemble pour concevoir et mettre en œuvre des projets visant à préserver et restaurer les écosystèmes forestiers, De plus, l’AFD soutiendra l'ANEF en renforçant ses capacités à travers une assistance technique et financière. Un partage de connaissances et d'expertise se fera entre l’AFD et l’ANEF, notamment dans les domaines de la gestion intégrée des ressources en eau , la conservation et la valorisation de la biodiversité , et l'adaptation aux changements climatiques . Cette lettre d'intention symbolise l'engagement des deux Agences à prolonger leur collaboration, initiée depuis 2021 en appui à la stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » à travers le Programme « Ghabati Hayati » et le projet « conservation de la biodiversité du Parc national d'Ifrane », en étendant leur partenariat à d’autres zones, notamment la zone du Parc national de Toubkal qui a été affectée par le séisme .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Entreprises publiques : un dispositif de pilotage de la performance en préparation || subtitle : L’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État poursuit la mise en œuvre de la réforme stratégique du secteur des établissements et entreprises publics. Après le lancement de la préparation du projet de politique actionnariale de l’État, l’institution, opérationnelle depuis décembre 2022, planche sur la mise en place du dispositif de pilotage de la performance des EEP. Les détails. || body : L’Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État et de suivi des performances des établissements et entreprises publics (ANGSPE) s’apprête à sélectionner, ce 1er avril, un cabinet de consulting afin de l’accompagner dans la mise en place du dispositif de pilotage de la performance des établissements et entreprises publics (EEP) relevant de son périmètre. L’Agence, dirigée par Abdellatif Zaghnoun, entend ainsi opérationnaliser ses prérogatives légales en matière de pilotage de la performance. À travers la mise en place de ce dispositif de pilotage, l’institution souhaite mettre en place une architecture de pilotage globale au sein de son périmètre et normaliser le dispositif et les outils de pilotage de la performance au sein des EEP. Il s’agit également de renforcer le dialogue de gestion et la culture de performance entre l’ANGSPE et les EEP concernés. Le futur système aura par ailleurs la vertu de permettre à l’Agence de mieux appréhender les atouts et les axes d’amélioration de la performance de chaque EEP, de rationaliser davantage le portefeuille sous sa gestion et de disposer d’une projection de la trajectoire financière de l’ensemble du périmètre. Entreprises publiques : lancement du site angspe.ma L'Agence nationale de gestion stratégique des participations de l'État et de suivi des performances des établissements et entreprises publics (ANGSPE) a annoncé, jeudi, la mise en ligne de son site institutionnel " www.angspe.ma " qui se veut une nouvelle vitrine numérique pour le secteur public. Le caractère transversal de ce projet devra impliquer plusieurs intervenants aussi bien au sein de l’ANGSPE qu’au niveau des structures relevant de son périmètre. Rappelons que l’Agence représente l’État actionnaire et est appelée ainsi à jouer un rôle clé dans la transformation économique et sociale du pays. Avec 57 EEP dans son périmètre, l’institution est censée devenir le moteur d’une gouvernance «innovante» et «efficace», assurant la durabilité et la rentabilité des investissements de l’État, ainsi que la qualité de service au bénéfice des opérateurs économiques et du citoyen. Les Hautes Orientations Royales, exprimées dans les Discours Royal du 29 juillet 2020 à l’occasion de la Fête du Trône, et le 9 octobre 2020 aux deux Chambres du Parlement, avaient constitué le socle de la réforme profonde des EEP. La philosophie de cette réforme vise à remédier aux dysfonctionnements structurels de ces structures publiques afin d’assurer une complémentarité et une cohérence optimales dans l’exercice de leurs missions respectives, tout en améliorant leur efficience économique et sociale. Les EEP jouent, en effet, un rôle stratégique dans le développement économique et social du Royaume. Ils contribuent de façon significative aux grandes réalisations récentes de l’économie nationale telles que le développement d’une infrastructure portuaire de premier rang international, l’essor de l’industrie automobile marocaine, la construction de la première ligne ferroviaire à grande vitesse africaine et le soutien à la sécurité alimentaire mondiale par des engrais phosphatés. La réforme a été ainsi actée par la loi-cadre n° 50-21 et la loi n° 82-20 portant création de l’Agence. Ainsi, l’article 5 de la loi n° 82-20 qui énumère les missions de l’Agence énonce, entre autres, que celle-ci «veille aux intérêts patrimoniaux de l’État actionnaire, gère les participations de l’État et assure le suivi et l’appréciation des performances des établissements et entreprises publics». L’institution a donc du pain sur la planche pour amorcer une profonde réforme d’un secteur des EEP complexe et revêtant des enjeux stratégiques pour le développement socio-économique du Royaume. Pour amorcer la réforme, l’ANGSPE de Abdellatif Zaghnoun a activé 8 grands chantiers. Il s’agit de la révision du cadre de gouvernance des EEP, la mise en place d’une politique actionnariale de l’État, la transformation des EEP en sociétés anonymes, l’encadrement de l’évolution du périmètre, le passage des établissements publics au contrôle d’accompagnement, la consolidation des comptes des EEP, le pilotage de la performance des EEP (objet de la consultation) et le programme transformation digitale des EEP. Le périmètre de l’ANGSPE est composé de 15 établissements publics, 35 entreprises publiques et 7 participations publiques, opérant dans des secteurs très variés et en interaction avec l’ensemble des activités de l’économie nationale. Selon les projections du département des Finances, le portefeuille public (constitué de 272 unités à fin septembre dernier) devra engranger 369,75 milliards de dirhams de chiffre d’affaires en moyenne annuelle sur la période 2024-2026. La valeur ajoutée à générer sur cette même période devra atteindre, quant à elle, 91,46 milliards de dirhams. Les prévisions du département des Finances font également état d’un trend d’évolution progressif des charges d’exploitation (hors dotations) par rapport à 2023, tablant ainsi sur une moyenne annuelle de 311,9 milliards de DH sur la période 2024-2026, dont 195,6 milliards générés par les EEP relevant du périmètre de l’ANGSPE. En 2022, le chiffre d’affaires du secteur des EEP a culminé à 331,9 milliards de dirhams, en amélioration de 16 et 41% par rapport à 2021 et 2020. Les projections de clôture de l’exercice 2023 tablent sur un chiffre d’affaires de 305,38 milliards, en baisse de 8% par rapport à 2022 et en hausse de 7% par rapport à 2021. Cette contraction prévue est attribuable principalement à la baisse du CA du groupe OCP et une montée moins proportionnelle de celui de l’Office national de l’eau et de l’électricité (ONEE) et de celui du groupe TMSA.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : UM6P Ventures lance un appel à candidatures pour les startups Deeptech || subtitle : UM6P Ventures annonce le lancement d'un appel à candidatures pour les startups Deeptech. À travers cette initiative, le fonds d'investissement de l'Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) vise à identifier les innovations les plus révolutionnaires en Afrique dans les domaines de l'Agriculture, de la Santé et de la Greentech. || body : L'appel à candidatures offrira aux startups l'opportunité d'accéder à des investissements stratégiques , de travailler en étroite collaboration avec des experts internationaux et de collaborer avec des industriels. De plus, les startups auront un accès privilégié au vaste écosystème et plateformes partenaires au Maroc et à l’international, indique UM6P Ventures dans un communiqué. Benali annonce la création d'un incubateur des startups minières en partenariat avec l'UM6P Le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable et l'Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) ont signé, mercredi à Salé, une convention de partenariat visant à renforcer la collaboration entre le secteur de la recherche et l’innovation et le gouvernement en faveur du soutien au développement durable et de l'accélération de la transition vers une économie verte et inclusive au Maroc. Cet accord permettra la création d'un centre national d'excellence d'exploitation minière artisanale et d'incubation des startups minières. Au Maroc, et plus largement en Afrique, les investissements dans la " Deeptech " ont connu une croissance significative. Le terme "Deeptech" désigne les startups portées par des instituts ou des laboratoires de recherche ambitieux qui innovent en repoussant les frontières technologiques. Faisant partie des fonds de capital-risque les plus influents en Afrique, UM6P Ventures investit dans ces innovations de rupture. De même, il met à la disposition des startups un capital adapté tout en leur favorisant le recrutement de talents qualifiés, la consultation des experts parmi des profils de compétence spécifique, et la possibilité d'accéder à des équipements et infrastructures de pointe des universités et centres de recherche. "Dans le contexte d'aujourd'hui, les startups Deeptech sont des moteurs essentiels du changement. Notre appel à candidatures reflète notre engagement ferme à propulser la croissance et souligne l'importance stratégique de l'innovation Deeptech en Afrique", explique le directeur général de UM6P Venture, Yassine Laghzioui . Et d'ajouter : "En adoptant ces technologies de pointe, nous visons à catalyser le développement durable, à favoriser le développement économique et à élever le rôle de l'Afrique en tant qu'acteur clé dans l'élaboration de l'avenir de l'innovation technologique." Innovation : après le diplôme phygital, «Sens-Things» s’attaque au smart packaging Une solution innovante n’a de sens que si elle a un impact direct sur son environnement. C’et le cas de la solution innovante «Phygital T3», portée par la startup «Sens-Things». Son impact positif sur la société lui a même valu d’être primée et reconnue par les Nations unies. Dans l’émission «L’Info en Face», Rafiq El Alami, co-fondateur et président de Sens-Things, livre plus de détails sur cette technologie Made in Morocco qui a permis d’éditer le premier diplôme de baccalauréat phygital au monde, mais aussi sur les nouveaux projets de cette marque qui est en train de prendre ses marques. Rappelons que UM6P Ventures a déjà investi dans 27 startups à travers le Maroc, l'Afrique et à l'échelle mondiale. Au sein de ce portefeuille, 14 startups ont développé des solutions en Deeptech , tandis que 13 startups opèrent dans le domaine de la transformation numérique . Dans le secteur Deeptech, UM6P Ventures met l'accent sur des domaines clés de souveraineté tels que l'Agriculture, la Santé, la Chimie et la Greentech, parmi lesquelles figure Sensthings qui a récemment lancé T3 - une plateforme sécurisée et automatisée utilisant la technologie Blockchain. T3 permet aux diplômés du secondaire d'authentifier instantanément et en toute sécurité leurs diplômes et relevés de notes, garantissant ainsi la crédibilité grâce à un processus synchronisé. Toutes les startups répondant aux critères d'éligibilité sont invitées à soumettre leur candidature en ligne avant le 10 mai 2024 à minuit.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Réseaux sociaux : le point sur les habitudes des Marocains || subtitle : None || body : Le Centre marocain pour la citoyenneté (CMC) a mené une enquête auprès de 1.201 personnes pour identifier les usages des réseaux sociaux par les Marocains ainsi que les risques liés à l’usage incontrôlé de ces plateformes. Voici l'essentiel à retenir de cette étude du CMC.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Pénurie d'eau : bientôt un nouveau règlement pour la plomberie sanitaire résidentielle || subtitle : Dans un contexte alarmant de stress hydrique au Maroc et d'urbanisation rapide, le gouvernement s'engage dans un projet ambitieux visant à réglementer la plomberie sanitaire dans les bâtiments résidentiels. Cette initiative, qui se veut en ligne avec les Orientations Royales, vise à rationaliser la consommation de cette source vitale, à travers la limitation du gaspillage d'eau potable, qui dépend principalement de la qualité et du fonctionnement des dispositifs sanitaires ainsi que des habitudes des consommateurs. || body : Au Maroc, où les défis liés à l'eau sont de plus en plus préoccupants, la mise en place d'un règlement relatif à la plomberie sanitaire dans les bâtiments résidentiels prend une importance capitale. Alors que le pays fait face à une urbanisation galopante, à une rareté croissante des précipitations et aux conséquences du changement climatique, la gestion efficace de l'eau devient une priorité absolue. Dans cette optique, le ministère de l'Habitat prévoit de mener une étude destinée à l'élaboration de ce règlement, s'inscrivant ainsi dans la lignée des Orientations Royales qui ont élevé la gestion des ressources hydriques au rang de priorité nationale. Voici comment le secteur touristique s’adapte à la pénurie d’eau À l'heure où les réserves d'eau du Maroc s'amenuisent inexorablement, tous les secteurs économiques portent le devoir absolu d'optimiser leur utilisation de cette ressource vitale. Comment cela est-il envisagé dans le secteur touristique avec ses 4.000 unités hôtelières ? Et comment les opérateurs dans cette filière importante de l’économie nationale entendent-ils répondre à cette nouvelle contrainte ? Voici l’éclairage du président du Conseil régional du tourisme de la région de Casablanca-Settat, Othmane Cherif Alami. «Face à cette situation alarmante, tous les secteurs sont interpellés à adopter les mesures et les initiatives nécessaires pour une meilleure valorisation de cette source vitale. Pour ce qui est du secteur du bâtiment, il s'agit de rationaliser la consommation de l'eau à travers la limitation du gaspillage d'eau potable et la promotion des mesures d'efficacité hydrique», souligne le ministère l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville. Selon lui, la réduction de la consommation d'eau dépend principalement de la qualité et du fonctionnement des dispositifs sanitaires et des habitudes des occupants. D'ailleurs, les fuites d'eau ne sont pas rares dans un logement et un simple robinet qui coule, par exemple, peut représenter près de 3 m³ par mois de déperdition, soit 35 m³ par an. Ce chiffre peut atteindre plus de 100 m³ pour des fuites plus importantes, telles que la chasse d'eau ou le robinet d'entrée d'eau du logement. Le volet plomberie et installation sanitaire est donc à réglementer afin d'établir les exigences relatives à la sécurité, la santé, la rationalisation de la consommation d'eau et la protection des bâtiments. Ainsi, le ministère s’apprête à recruter un expert pour la réalisation d’une étude visant l’élaboration d’un règlement relatif à la plomberie sanitaire dans les bâtiments résidentiels. Ce projet de règlement a pour vocation de régir la conception, la mise en place, la modification, et la rénovation ou la réparation de la plomberie dans les bâtiments à usage d'habitation et de développer un cadre légal des descriptions et caractéristiques des produits sanitaires. Ceci en vue de préserver l'eau potable, de maîtriser la consommation d'eau et de promouvoir les mesures d'efficacité hydrique et de réutilisation des eaux pluviales et des eaux usées. Parmi les objectifs stratégiques de l’étude, fixer des prescriptions techniques en vue du respect de l'hygiène, de la sécurité, et la limitation de l'utilisation excessive de l'eau. En termes opérationnels, l’étude permettra notamment de proposer des solutions, adaptées au marché marocain, concernant le choix des appareils sanitaires, des robinetteries et des accessoires sanitaires dans le respect des dernières normes et des dernières innovations en matière de plomberie. Des solutions qui permettront donc d’économiser l'eau dans les nouveaux logements ainsi que le parc de logement existant. L’étude aidera aussi à définir les possibilités de l'utilisation des eaux non conventionnelles (eaux pluviale et grise) dans le secteur résidentiel.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Africa Morocco Link : Après Bank Of Africa, c'est au tour du Grec Attica de vendre ses parts || subtitle : Après le rachat de 51 % des parts de Bank of Africa par la CTM dans la compagnie de transport maritime Africa Morocco Link (AML), les 49 % restants viennent d’être cédés par le groupe grec Attica au Suédois Stena Line pour 49 millions d'euros. || body : Le groupe grec Attica a annoncé jeudi un accord avec Stena Line Holding BV , pour la vente de sa participation dans Africa Morocco Link . L'accord porte sur la participation de 49% d' Attica Group dans AML, ainsi que sur les deux navires Morocco Star et Highspeed 3 , détenus par des filiales du Groupe. La contrepartie totale s'élève à 49 millions d'euros alors que le bénéfice net devrait dépasser 21 millions et sera intégré dans les résultats financiers du groupe à l’issue de l’opération, précise la même source. La CTM rachète 51% du capital de Africa Morocco Link détenus par Bank Of Africa O Capital Group, détenu par Othman Benjelloun, confie à la CTM le développement de Africa Morocco Link, via le rachat de la participation majoritaire de Bank Of Africa (51%) dans la compagnie de transport maritime. « L'accord pour la vente de nos opérations au Maroc s’inscrit dans le cadre de notre planification stratégique de réaffectation des ressources vers notre cœur de métier au vu de nos investissements continus pour renouvellement de la flotte et transition verte. Le prix de la transaction reflète le succès l'achèvement de cette aventure commerciale et cristallise la création de valeur pour notre groupe », a déclaré le PDG d' Attica Group , Panos Dikaios . L'accord est soumis à la finalisation des documents contractuels de la transaction, ainsi qu'à l'approbation du Conseil de la concurrence, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Les prix alimentaires mondiaux repartent à la hausse, une première en sept mois || subtitle : Malgré une nouvelle baisse du cours des céréales, les prix mondiaux des denrées alimentaires ont rebondi en mars, augmentant pour la première fois depuis juillet 2023, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). || body : Dans son nouveau rapport publié vendredi par le service de presse de l’ONU à New York, la FAO explique la hausse notamment par la flambée des cours des huiles végétales et de la viande. L’indice des prix des denrées alimentaires, qui suit la variation des cours internationaux d’un panier de produits de base, a crû de 1,1% en mars par rapport à février. Sur un an en revanche, la tendance est toujours à la baisse des prix, avec un repli de 7,7% par rapport à mars 2023. Les prix alimentaires mondiaux ont baissé de 13,7% en 2023 (FAO) Les prix mondiaux des denrées alimentaires ont baissé de 13,7% en 2023 par rapport à l'année précédente, avec un repli marqué pour les huiles végétales et les céréales, a indiqué vendredi l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). L’Indice FAO des prix des huiles végétales a été le moteur de la hausse. Les cours des huiles végétales ont bondi de 8%, son niveau le plus élevé en un an, souligne la FAO dans son rapport mensuel, notant que « les cotations des huiles de palme, de soja, de tournesol et de colza ont toutes augmenté ». Les causes de cette hausse sont diverses, selon la FAO. Les prix internationaux de l’huile de palme ont augmenté en raison de la baisse saisonnière de la production dans les principaux pays producteurs et de la fermeté de la demande intérieure en Asie du Sud-Est. A l’inverse, l’indice FAO du prix des céréales a baissé de 2,6% en mars, désormais situé « 20% en dessous de sa valeur de mars 2022 », note la FAO. « Ce recul est dû à la diminution des prix mondiaux du blé, en raison de la forte concurrence à l’exportation - soulignée par l’annulation des achats par la Chine- » entre l’Union européenne, la Russie et les États-Unis, explique la FAO. Le riz est également en repli ce mois-ci, en baisse de 1,7%. Seul le cours du maïs a augmenté, en partie à cause de problèmes logistiques en Ukraine. Enfin, les prix du sucre ont plongé de 5,4%. Cette baisse est due principalement par la révision à la hausse des prévisions de production de sucre pour 2023/24 en Inde et à l’amélioration du rythme de la récolte de sucre en Thaïlande à la fin de la saison. Par ailleurs, le commerce mondial des céréales devrait augmenter de 1,7 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 485 millions de tonnes en 2023/24. Le commerce international des céréales secondaires devrait se développer à partir de 2022/23, tandis que les échanges de blé et de riz devraient se contracter. La FAO a également ajusté ses prévisions pour la production mondiale de blé en 2024, qui s’établit désormais à 796 millions de tonnes, soit une augmentation de 1 % par rapport à 2023.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : LafargeHolcim : Le bénéfice en hausse de 11,2% à 1,54 MMDH en 2023 || subtitle : LafargeHolcim entame 2024 avec optimisme. Parmi les raisons de cette attitude, ses résultats financiers 2023 : une croissance de 2,8% de son chiffre d’affaires consolidé et de 11,2% de son résultat net consolidé. || body : LafargeHolcim Maroc voit le secteur cimentier marocain d’un bon œil. Pour 2024, il s’attend à ce que le marché connaisse des perspectives favorables, en raison de l’impact positif attendu sur le marché de la construction de trois événements majeurs : le lancement du programme d’aide directe au logement, l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025 et de la Coupe du monde 2030 au Maroc . C’est dans cette optique que le cimentier «poursuit ses efforts de différenciation commerciale et d’optimisation de coûts, tout en continuant la réalisation d’avancées importantes de son programme de développement durable telles que l’élargissement de la gamme de produits à faible empreinte carbone (notamment les gammes ECOPact et ECOPlanet), l’amélioration de l’efficacité énergétique, le développement de la biodiversité dans les carrières ou l’optimisation de la consommation d’eau des sites industriels». 11 régions sur 12 concernées par le label RSE (CGEM) Au total, 33 entreprises tous secteurs confondus ont été distinguées, ce jeudi 8 février 2024, par la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), à travers sa Commission «RSE et Diversité», pour leur engagement sociétal et environnemental, lors d'une cérémonie organisée à Casablanca. Pour l’année en cours, l’entreprise accélère également la mise en œuvre de sa feuille de route de décarbonation, en maximisant l’utilisation de l’électricité verte (85% de la consommation en 2023) et des combustibles de substitution et en optimisant la formulation de ses produits. Des actions qui seront forcément de l’effet sur ses résultats financiers 2024. En attendant, ceux de 2023 révèlent chiffre d’affaires consolidé qui s’établit à 8,21 milliards de DH, soit une progression de 2,8% en un an. Le résultat d’exploitation courant s’élève, pour sa part, à 2,97 milliards de DH à fin décembre 2023, soit un bond de 10,5% par rapport à celui de 2022. «Cette évolution est liée principalement à la hausse du chiffre d’affaires ainsi qu’à l’optimisation des coûts de production et à la consolidation de la performance opérationnelle», souligne le cimentier. En outre, le résultat net consolidé IFRS ressort à 1,54 milliard de DH, en hausse de +11,2% par rapport à celui de 2022 (1,39 milliard de DH). Cette croissance à deux chiffres a été obtenue grâce à «l’évolution favorable du résultat d’exploitation et de la révision, en 2022, de la base d’impôt différé suite à la hausse progressive de l’IS de 2023 à 2025 prévue dans la loi de finance 2023», explique LafargeHolcim Maroc. Par ailleurs, le retour sur capitaux investis s’établit à 9,8%. Le résultat net social , lui, a été arrêté à 1,41 milliard de DH au 31 décembre 2023. Le Conseil d’Administration propose la distribution d’un dividende de 66 DH par action au titre de l’exercice 2023.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Trois banques marocaines dans le classement 2024 de Forbes MENA "30 Most Valuable Banks" || subtitle : Pour 2024, trois banques marocaines figurent dans le classement Forbes MENA «30 Most Valuable Banks». À elles trois, ces banques cumulent 20,1 milliards de dollars de valorisation globale cumulée. || body : L’édition 2024 du classement Forbes MENA «30 Most Valuable Banks» vient d’être publiée. De manière globale, cette édition liste 30 banques de la région Moyen-Orient/Afrique du Nord (MENA) qui comprend des entités de sept marchés, dont 26 entrées sont basées dans le Golfe. Leur valeur marchande globale a augmenté de 14% au cours des 12 derniers mois, atteignant 581,1 milliards de dollars au 23 février 2024». Le classement considère que le secteur bancaire de la région a fait preuve de résilience au cours de l’année dernière, soutenu par la hausse des taux d’intérêt et des prix du pétrole. Le magazine rapporte par ailleurs que la hausse des taux d’intérêt et des prix du pétrole soutiendra, selon le rapport sur les perspectives 2024 de Fitch Ratings, des conditions économiques globalement solides au Moyen-Orient et maintiendra des niveaux raisonnables de liquidité, de rentabilité et de réserves de fonds propres adéquates dans la plupart des systèmes bancaires du Conseil de coopération du Golfe (CCG) en 2024. Investissement : Le Maroc destination continentale privilégiée (Forbes Africa) Dans son numéro de février-mars de son édition spéciale «Africa Undiscovered Series», déidée au Maroc, Forbes Africa retrace les différentes avancées réalisées par le Royaume qui en font une destination de choix pour les investissements. Grands projets, incitations, politiques … tour à tour, ministres et hauts responsables ont profité de cette édition spéciale pour rappeler les réalisations du Royaume et partager ses ambitions. Trois banques marocaines figurent cette année dans le classement Ce top 3 marocain est mené par Attijariwafa bank, qui arrive 18e du classement. Le magazine rappelle qu’en décembre 2023, la banque, valorisée à 10,6 milliards de dollars, comptait plus de 12 millions de clients et employait 20.782 personnes dans 27 pays. Son bénéfice net a bondi de 19,9% en 2023 pour atteindre 916,1 millions de dollars. En 2023, la part de marché des prêts de la banque au Maroc est passée à 26,97%, et sa part de marché des dépôts a atteint 25,21%. En janvier 2024, poursuit le magazine, Attijariwafa Bank Europe, filiale européenne du groupe Attijariwafa bank, a signé un accord de partage des risques de 109,4 millions de dollars avec la Banque africaine de développement pour renforcer les entreprises et les échanges commerciaux à travers l’Afrique. Pour sa part, la Banque Centrale Populaire (BCP) arrive à la deuxième place du trio marocain (22e du classement Forbes MENA 2024). Valorisée à 5,9 milliards de dollars, rapporte Forbes, la banque a été créée en 1926 et était présente dans 32 pays, dont 18 pays d’Afrique, en mars 2023. Il comptait environ 9,3 millions de clients en juin 2023, souligne le magazine qui rappelle également qu’en octobre 2023, la banque a signé un partenariat de financement d’une valeur de 36 millions de dollars avec la Société financière internationale et la Compagnie marocaine de goutte-à-goutte et de pompage pour soutenir le développement de l’irrigation de précision, de l’énergie solaire et de systèmes efficaces de gestion de l’eau au Maroc. La troisième banque marocaine du classement est Bank Of Africa (BOA). Valorisée à 4,1 milliards de dollars, selon Forbes MENA, la banque a été créée en 1959 sous le nom de Banque marocaine du commerce extérieur (BMCE) et est devenue Bank Of Africa en 2020. En octobre 2023, la banque était présente dans 32 pays, au service de plus de 6,6 millions de clients. Elle compte 609 succursales et points de vente en Afrique, contribuant à hauteur de 49% au résultat net part du groupe. RMA Watanya est le principal actionnaire, avec une participation de 27,41%.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Gaz : SDX Energy démarre le forage du puits Beni Malek-2 dans le Gharb || subtitle : La société britannique SDX Energy a annoncé, ce mercredi 3 avril 2024, le démarrage du forage du puits Beni Malek-2 (BMK-2) dans le Gharb. Le puits sera foré à une profondeur prévue d'environ 1.470 mètres et cible trois réservoirs empilés dans la formation Guebbas, identifiés grâce à la méthode sismique 3D. || body : Le lancement du forage du puits Beni Malek-2 fait suite à la découverte d'un gisement au puits Ksiri-21 dans le Gharb en septembre 2023 et s'inscrit dans le cadre d'une campagne de forage en cours au Maroc . SDX Energy prolonge son contrat de vente de gaz au Maroc SDX Energy annonce la prolongation de son contrat de vente de gaz au Maroc et prévoit de finaliser prochainement la vente de tous ses actifs en Egypte. Ce type de forage permet le développement de réserves de gaz inexploitées, accroît considérablement l'efficacité opérationnelle et garantit la satisfaction de la demande immédiate et future, selon l'entreprise. Le puits Beni Malek-2 (BMK-2) est situé sur le permis Gharb. Source : SDX Energy Si BMK-2 est un succès, le puits sera achevé et mis en production le plus rapidement possible pour compléter la production existante et, en particulier, fournir du gaz à CITIC Dicastal , qui est le plus grand acheteur de SDX Energy .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Programme «Forsa» : la phase d’accompagnement post-financement des projets bientôt enclenchée || subtitle : Après le processus d’approbation et d’octroi des crédits, la phase d’accompagnement en post-financement des projets bénéficiaires du programme «Forsa» sera enclenchée vers fin avril. L’accompagnement envisagé par la Société marocaine d’ingénierie touristique s’inscrit dans le cadre de l’opérationnalisation des dispositions prévues dans la convention sur le financement et le déploiement du programme «Forsa» pour l’appui au développement de l’entrepreneuriat. L’Exécutif entend ainsi améliorer les chances de succès des porteurs de projets et augmenter le taux de survie de leur entreprise et la pérennité des emplois créés. || body : La Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT) s’apprête à mandater, vers fin avril, un prestataire spécialisé pour assurer le suivi en post-financement des bénéficiaires du programme «Forsa» . L’opération d’accompagnement concerne les porteurs de projets ayant créé leurs entreprises dans les régions de Casablanca-Settat, Souss-Massa, Dakhla-Oued Eddahab, Laâyoune-Sakia El Hamra, Guelmim-Oued Noun et Rabat-Salé-Kénitra . L’objectif étant d’assurer la viabilité de ces structures. Forsa : Des crédits bancaires allant à 100.000 DH pour 1.700 bénéficiaires à partir de janvier 1.700 porteurs de projets Forsa éligibles pourront bénéficier, dès le 15 janvier 2024, de crédits bancaires pouvant atteindre 100.000 DH à des conditions préférentielles, auprès de deux banques partenaires. Le nombre de bénéficiaires est appelé à croître au cours des prochains mois. Cet accompagnement s’inscrit dans le cadre de l’opérationnalisation des dispositions prévues dans la convention sur le financement et le déploiement du programme «Forsa» pour l’appui au développement de l’entrepreneuriat. Le programme vise le suivi post-octroi des porteurs de projets ayant bénéficié du financement de «Forsa». «Ce suivi post-création vise à améliorer les chances de succès des porteurs de projet et augmenter le taux de survie de leur entreprise et la pérennité des emplois créés», précise la SMIT. Cela consistera en un accompagnement individuel et en groupe sous forme de formations pratiques, avec une ingénierie adaptée aux besoins du bénéficiaire, sur la base d’une évaluation initiale. L’ accompagnement couvrira en priorité les compétences de gestion essentielles à la bonne conduite du projet et la mise en place d’outils de gestion nécessaires et inclura également la mobilisation de l’expertise sectorielle, ou métier appropriée au bénéficiaire, selon la nature de son projet et le secteur d’activité, offrant du conseil technique. Pour rappel, le programme «Forsa» a été mis sur les rails en 2022. Ce dispositif a été mis en place par l’Exécutif afin d’adresser les difficultés d’accès des jeunes aux sources de financement et aplanir les contraintes que subissent les toutes petites entreprises, et eu égard aux effets de la crise de la Covid-19 sur l’économie nationale. La philosophie derrière son lancement consiste principalement en la promotion de l’entrepreneuriat et la création de l’emploi. Rien que pour sa première année de lancement, le gouvernement a réservé à Forsa un budget de 1,25 milliard de dirhams. Le programme cible ainsi l’accompagnement de 10.000 porteurs de projets incluant tous les secteurs de l’économie, tout en assurant les principes d’équité régionale et de genre. Le dispositif d’accompagnement comprend une formation en e-learning pour l’ensemble des projets retenus, ainsi qu’une incubation de 2,5 mois au profit des projets les plus prometteurs, à travers la mobilisation d’ incubateurs régionaux. Pour sa part, le dispositif de financement prévu au profit des bénéficiaires consiste en un prêt d’honneur d’un montant maximal de 100.000 dirhams, dont une subvention pouvant atteindre 10.000 dirhams. Tous les secteurs d’activité sont éligibles et la durée maximale du remboursement du prêt est de 10 ans avec un différé de 2 ans. En 2023, quelque 30.000 projets ont été approuvés dans le cadre de ce programme. Les projets couvrent différents secteurs d’activité et sont répartis sur les différentes régions du Royaume. Sur les 30.000 projets, 23.000 bénéficient actuellement d’un accompagnement via les structures d’incubation. De même, quelque 1.400 projets ont bénéficié du financement pour leur concrétisation. L’Exécutif devra procéder cette année à l’évaluation des performances de Forsa. L’objectif étant de mettre en place un guide de référence des meilleures pratiques pour accompagner et encadrer les porteurs de projets .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Changement d’heure et horloge biologique : ce qu'il faut savoir || subtitle : None || body : Le Maroc est repassé à l’heure GMT+1 après la fin du mois du Ramadan. Si pour certains, ce changement d’heure n’a pas de conséquences visibles, pour d’autres l’adaptation se fait difficilement. Fatigue, irritabilité, difficultés de concentration... les experts sont formels : notre horloge biologique se trouve perturbée et notre corps a besoin de gérer ce passage à un nouveau fuseau horaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Création d'entreprises en ligne : 700 structures lancées via "directentreprise.ma" || subtitle : Quelques jours après l'adoption du projet de décret fixant les modalités et les procédures de création d'entreprises par voie électronique et leur accompagnement, le ministère de l'Industrie et du Commerce dévoile les premiers détails sur l'expérience pilote lancée en février 2023 à Rabat. || body : Depuis son lancement, "directentreprise.ma" a permis la création de 700 entreprises par voie électronique . C'est ce qu'a révélé lundi le ministère de l'Industrie et du Commerce . La nouvelle plateforme gérée par l' Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC) compte plus de 900 professionnels inscrits en tant qu'utilisateurs. Création d'entreprises en ligne : le gouvernement approuve un nouveau décret Le Conseil de gouvernement a approuvé, jeudi, le projet de décret n° 2.22.92 fixant les modalités et les procédures de création d'entreprises par voie électronique et leur accompagnement, présenté par le ministre de l'Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour. "Nouvelle voie électronique officielle des futurs entrepreneurs, des entreprises et des professionnels pour accomplir toutes les démarches liées à la création et la vie de l’entreprise, DirectEntreprise propose des processus simplifiés et juridiquement conformes via un environnement digital sécurisé", explique-t-on sur la plateforme. Ce projet s'inscrit dans le cadre du renforcement du cadre législatif et réglementaire visant à améliorer le climat d'investissement au Maroc et à accroître la compétitivité des entreprises nationales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Managem : le bénéfice se déprécie de 1,1 milliard de DH en 2023 || subtitle : Le résultat net part du groupe (RNPG) de Managem s’est déprécié de 1,1 milliard de dirhams au titre de l’exercice 2023, s’établissant à 514 millions de dirhams contre 1,61 milliard de DH une année auparavant. || body : Cette évolution s’explique par la baisse conjuguée du résultat d’exploitation, du résultat financier et de la part dans les résultats des sociétés mises en équivalence (LAMIKAL), de -252 millions de DH, due principalement à la chute du cours du cobalt, indique Managem dans un communiqué financier. Managem : le chiffre d’affaires consolidé en baisse de 22% en 2023 Le chiffre d’affaires (CA) de Managem s’est établi à 7,508 milliards de dirhams (MMDH) à fin décembre 2023, en recul de 22% par rapport à la même période de 2022. Ainsi, le résultat d’exploitation s’établit à 1 milliard de DH, en repli de -968 millions de DH par rapport à 2022, traduisant ainsi l’évolution de l’excédent brut d’exploitation qui ressort à 2,39 milliards de DH, en retrait de -954 millions de DH, sous l’effet de la baisse des cours des métaux de base et du retrait des volumes de ventes de l’or. Toutefois, Managem affirme que ces impacts négatifs ont été atténués partiellement par l’amélioration des performances opérationnelles de la mine d’Imiter. Le résultat financier a, quant à lui, enregistré une baisse de -233 millions de DH sous l’effet de l’augmentation de l’endettement et de l’écart de conversion lié à la baisse du dollar en fin d’année. Par ailleurs, le chiffre d’affaires s’établit à 7,50 milliards de DH en baisse de 22% par rapport à l’année écoulée. Cette évolution s’explique par le fort impact négatif de la baisse des cours de vente des métaux, dont le cobalt (-40%), le zinc (-24%) et le cuivre (-8%), ainsi que le repli des volumes vendus en or à cause de la suspension de l’activité au Soudan et des perturbations externes des opérations de la mine Tri-K en Guinée. Concernant les dividendes, le Conseil d’administration a décidé de proposer à l’Assemblée générale ordinaire la distribution d’un dividende de 30 dirhams par action au titre de l’exercice 2023. En 2024, Managem assure de sa volonté de poursuivre le déploiement de sa stratégie tout en maintenant l’effort d’amélioration continue de ses performances opérationnelles. La société prévoit ainsi la poursuite des travaux de construction des projets Tizert, Boto et Sulfates de cobalt en vue de démarrer les productions commerciales au second semestre 2025, ainsi que le maintien de ses efforts de consolidation et d’amélioration des performances des opérations tout en profitant de l’évolution favorable des cours des métaux précieux.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Stroc Industrie : Le déficit se creuse à 39,7 millions de DH en 2023 || subtitle : Malgré une aggravation du déficit en 2023, Storc Industrie reste confiante pour 2024. Et pour cause, un carnet de commandes qui affiche plus de 200 millions de DH en 2023 et début 2024. || body : L’année 2023 aura été chargée pour Stroc Industrie . Elle a été marquée par le démarrage de nouveaux projets aussi bien au Maroc qu’à l’étranger et par la diversification du portefeuille clients. Ainsi, en Mauritanie , la société a démarré la fabrication et le montage de sept bacs de stockage pour un minier canadien opérant à Tasiast, ainsi que la préfabrication et le montage de trois réservoirs pour un dépôt pétrolier à Nouakchott . L’année précédente, l’activité a connu également quelques perturbations, à l’image de l’arrêt provisoire de deux projets en cours et le ralentissement d’un troisième, suite à des contraintes d’exploitation du client, impactant d’autant l’avancement du chiffre d’affaires prévisionnel et le résultat d’exploitation. >> Lire aussi : Stroc Industrie placée en redressement judiciaire Des imprévus qui ont pesé sur les résultats financiers de l’entreprises. Ainsi, l’exercice 2023 s’est soldé par un chiffre d’affaires de 87 millions de DH contre 77 millions en 2022. La production, elle, passe de 87 à 91 millions de DH sur la même période. Pour sa part, le résultat d’exploitation s’inscrit en territoire négatif en passant de 1 à -22 millions de dirhams entre le 31 décembre 2022 et le 31 décembre 2023. «Ce résultat est impacté à hauteur de 8,2 millions de DH par les dotations aux amortissements, ainsi qu’une provision sur stock matières ancien à hauteur de 2,5 millions de DH», explique Stroc Industrie. En outre, le résultat financier de l’exercice s’élève à -1,9 millions de DH et le résultat non courant à -15,2 millions de DH, dont une provision prudentielle de 5,1 millions. Le résultat net, en fin, s’élève ressort à -39,7 millions de DH contre -15,0 millions de DH, un an plus tôt. Ceci étant, Stroc Industrie a continué à renforcer ses équipes durant l’année en prévision de la reprise des chantiers arrêtés provisoirement et le démarrage de nouvelles affaires : l’entreprise a en effet décroché pour un peu plus de 100 millions de DH de nouvelles commandes en 2023 et l’équivalent en début d’exercice 2024, dont la majeure partie sera réalisée sur l’année en cours.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Ramadan : le budget de consommation des Marocains augmente de 18,2% (HCP) || subtitle : Comme chaque année, le Ramadan entraîne des changements dans les habitudes de consommation des ménages marocains. Au cours de ce mois, la dépense moyenne par ménage s’apprécie de 18,2% en moyenne par rapport aux autres mois de l’année. || body : Les données de la dernière enquête sur le niveau de vie des ménages, menée par le Haut Commissariat au Plan (HCP) en 2022/2023 et portant sur une période d'un an, permettent d’apprécier ces changements à travers les écarts de dépense du mois de Ramadan par rapport aux autres mois de l’année. Au cours du mois de Ramadan, la dépense moyenne par ménage s’apprécie de 18,2% en moyenne par rapport aux autres mois de l’année. Ce pourcentage est de 15,4% en milieu urbain et de 4,8% en milieu rural. Près de 92% de cette augmentation provient de la dépense des ménages citadins. Ramadan : les prix des légumes repartent à la hausse Les prix de certains légumes ont enregistré des hausses significatives au cours de la deuxième semaine du Ramadan, en particulier les tomates. Ces variations interviennent après les importantes baisses observées pour ces produits durant les semaines écoulées. Détails. Toutes les catégories sociales améliorent leur consommation pendant ce mois sacré. Ainsi, la dépense des ménages s’accroit de 8,4% pour les 20% les moins aisés, de 9,7% pour la catégorie des intermédiaires et de 8,9% pour les 20% les plus aisés. Par type de dépense, le budget alloué à l’alimentation est de 17,8% plus élevé pendant le Ramadan en comparaison avec les autres mois. Cette hausse est de 19% en milieu urbain, de 4,5% en milieu rural, de 3,3% pour les ménages les moins aisés, de 11,9% pour les intermédiaires et de 12,5% pour les plus aisés. Amélioration du régime alimentaire de la population Pendant le mois de Ramadan, les produits riches en calories (céréales, sucres et produits sucrés, corps gras) connaissent un déclin au profit des produits riches en protéines et en vitamines (viandes, poissons, légumes et fruits frais, œufs, produits laitiers, etc.), ce qui reflète un changement qualitatif dans les habitudes alimentaires. Les produits alimentaires dont les quantités consommées augmentent significativement pendant le mois de Ramadan sont le « lait et produits laitiers », avec une moyenne de 35,8 litres par ménage pendant le Ramadan, contre 23,7 litres en moyenne mensuelle les autres mois, les œufs (respectivement 52,2 unités contre 39,4 unités), les viandes (respectivement 15,1 kg contre 11,3 kg), les poissons (respectivement 6,8 kg contre 5,2 kg), les fruits (respectivement 54,3 kg contre 22,9 kg) et les légumes frais (respectivement 55,1 kg contre 48,3 kg). Les produits dont les quantités consommées augmentent peu pendant le mois de Ramadan sont les «céréales et produits à base de céréales» (77,4 kg par mois et par ménage pendant Ramadan, contre 72,7 kg pendant le reste de l'année), les «sucres et produits sucrés » (respectivement 11,0 kg contre 10,0 kg), le «beurre, huiles et autres corps gras (respectivement 10,4 kg contre 9,6 kg) et le «Café, thé et plantes aromatiques» (respectivement 2,8 kg contre 2,3 kg). En termes de dépense, les produits alimentaires qui connaissent une augmentation pendant le mois de Ramadan sont les « Poissons » (57,7%), les « Fruits» (43,3%), les « Oeufs » (35,7%), les « Produits laitiers» (34,8%), les «Sucres et produits sucrés » (30,3%) et les « Viandes» (26%). En revanche, les dépenses allouées aux « Repas, aliments et boissons pris à l’extérieur » diminuent de 30,6%</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Baisse des recettes de voyages à moins de 15 milliards de DH à fin février 2024 || subtitle : Les recettes voyages se sont établies à 14.87 milliards de DH à fin février 2024, contre 15.94 MMDH à la même période de 2023, indique l'Office des Changes, soit une baisse de -6,7%. || body : Les dépenses voyages au titre des deux premiers mois de l'année 2024 se sont élevées, de leur côté, à 4.71 MMDH. Ainsi, le solde excédentaire des voyages s'est établi à 10.16 MMDH à fin février dernier, contre 12.25 MMDH une année auparavant. Les transferts des MRE en hausse de 1,5% à fin février 2024 Les transferts des Marocains résidant à l’étranger (MRE) se sont élevés à 17,7 MMDH à fin février 2024, en hausse de 1,5% par rapport à la même période de l'année dernière, selon les derniers chiffres de l'Office des Changes.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le groupe OCP lance sa nouvelle filiale OCP Nutricrops || subtitle : OCP a annoncé, mardi, le lancement de sa nouvelle filiale, OCP Nutricrops, visant à accélérer la transition du groupe vers des solutions de nutrition des plantes entièrement customisées, favorisant ainsi une transition agricole juste. || body : OCP Nutricrops exploitera les capacités de production et de distribution de pointe de nutrition des plantes à base de phosphate du groupe afin de fournir aux agriculteurs les solutions customisées dont ils ont besoin pour préserver la santé des sols , augmenter les rendements agricoles de manière durable, lutter contre le changement climatique et protéger l'environnement naturel, explique le groupe OCP dans un communiqué. «Semaine de la science» : la santé des sols, enjeu majeur de la transition agroécologique La question de la santé des sols a été traitée sous différents angles à l'occasion de la 4e «Semaine de la science» de l'UM6P, organisée cette année sur la thématique des transitions. L'occasion de rappeler l'importance d'un sol sain et de plaider en faveur d'une gestion durable des terres, particulièrement pour certaines activités économiques, telles que l'agriculture et l'exploitation minière. Des activités stratégiques qui doivent répondre à des besoins croissants sans dégrader les sols et nuire à l'environnement. OCP Nutricrops a pour mission principale d'aider les agriculteurs à accéder aux solutions les plus efficaces et durables en matière de santé des sols et de nutrition des plantes , ainsi qu'aux dernières expertises en matière d'application, où qu'ils se trouvent dans le monde, fait savoir la même source. Le système de production flexible de la nouvelle entité permet la fabrication de nutriments adaptés aux cultures , au climat et au sol . Cette nouvelle filiale du groupe propose également des formations en techniques de gestion précise des nutriments qui garantissent que les cultures reçoivent les bons nutriments, au bon dosage, au bon endroit et au bon moment – tout en minimisant les coûts pour l' agriculteur . Cette filiale, ajoute-t-on, a pour objectif de fournir des produits 100% customisés et sans carbone, avec l'ambition d'atteindre la neutralité carbone (Scope 3) d'ici 2040. Pour ce faire, elle s'appuiera sur les partenariats internationaux du groupe OCP avec des gouvernements, des chercheurs, des agronomes et des distributeurs afin de provoquer le changement systémique nécessaire à la réalisation d'une agriculture positive pour le climat. Santé des sols : l’expertise OCP partagée à UNEA6 à Nairobi Le Groupe OCP marque une participation active dans la a sixième session de l'Assemblée des Nations Unies pour l'Environnement en partageant son expertise notamment dans le domaine de la santé des sols. " OCP Nutricrops sera à l'avant-garde d'une nouvelle orientation pour des solutions efficaces de santé des sols et de nutrition des plantes. Seules des solutions customisées de nutrition des sols et des plantes nous permettront d'améliorer la sécurité alimentaire mondiale tout en luttant contre le changement climatique et en protégeant l'environnement naturel", a déclaré Soufiyane El Kassi , PDG de la nouvelle entité cité dans le communiqué. Et d'ajouter que l'entreprise s'engage à travailler en collaboration avec les agriculteurs et toutes ses parties prenantes pour accélérer le passage vers des solutions entièrement customisées et centrées sur l'agriculteur, lesquelles sont nécessaires pour mener une transition agricole juste". En plus de ses équipes internes d'agronomes dédiées, OCP Nutricrops s'appuie sur l'expertise de l'Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) et de ses partenaires internationaux, en faisant levier sur les dernières avancées technologiques et les données agricoles les plus précises. À travers sa cartographie avancée des sols et la création de produits customisés, la filiale promeut une santé optimale des sols et aide les agriculteurs à maximiser leur rendement, tout en protégeant l'environnement et en luttant contre le changement climatique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : L'impact des dernières pluies sur la campagne agricole 2023-2024 (Expert) || subtitle : Si le retour de la pluie en mars apporte un répit bienvenu dans un contexte de sécheresse sévère qui se prolonge depuis six ans, la saison agricole s’en trouvera-t-elle par conséquent améliorée ? Selon l’ingénieur agronome Abdelmoumen Guennouni, les effets de ces précipitations varieront d’une culture à l’autre. Explications. || body : Avec des précipitations en hausse et des températures en baisse en mars, les bienfaits sont évidents en termes de remplissage des barrages, d’amélioration de l’état des sols et de réalimentation des nappes phréatiques. Mais qu’en est-il de la campagne agricole ? Ces pluies auront-elles pour effet d’améliorer les récoltes ? Pratiquement aucun impact sur les grandes cultures Contacté par «Le Matin», l’ingénieur agronome Abdelmoumen Guennouni indique que l’impact de ces dernières pluies sur les grandes cultures telles que les céréales et les légumineuses sera quasiment nul, étant donné que nous sommes à un mois du début des moissons. Pour ces cultures, explique l’ingénieur agronome, ce sont les pluies d’automne qui sont déterminantes, car elles optimisent les réserves en eau du sol sur une grande profondeur, puis viennent les pluies de l’hiver et du printemps qui contribuent à maintenir l’humidité des sols sur l’ensemble de la campagne. Or cette année, bien qu’il y ait eu une légère amélioration par rapport à l’année dernière en termes de précipitations automnales, celles-ci restent bien en dessous de la moyenne nationale. Par conséquent, seules les régions où les récoltes sont déjà sur pied bénéficieront des dernières pluies, mais pour les autres, il n’y aura pas d’effet, estime M. Guennouni. Il est à noter que le démarrage de la campagne agricole a été marqué par des conditions climatiques défavorables cette année, avec des précipitations faibles et inégalement réparties sur les plans territorial et temporel, qui ont affecté la superficie emblavée des céréales. Celle-ci se serait située autour de 2,5 millions d’hectares contre près de 3,7 millions une année auparavant. Ainsi, selon les projections de Bank Al-Maghrib, la production céréalière avoisinerait 25 millions de quintaux en 2024, contre 55,1 millions une année auparavant. Le taux de remplissage des barrages dépasse 30% grâce aux dernières pluies Les précipitations enregistrées la semaine dernière ont été bénéfiques pour plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre. Le niveau de réserves des barrages à l'échelle nationale dépasse 30% contre 34% à la même période en 2023. Effets positifs pour l’arboriculture et le maraîchage en termes d’économies d’eau En ce qui concerne l’arboriculture et la culture maraîchère en plein air, M. Guennouni souligne que les bénéfices des dernières pluies porteront principalement sur l’économie d’eau, étant donné que ces cultures sont en grande partie irriguées. De plus, poursuit l’ingénieur agronome, ces pluies profitent à l’arboriculture et au maraîchage en leur apportant de l’eau douce (l’eau d’irrigation provenant des nappes phréatiques étant saline) et en lavant le feuillage des arbres et des plantes, réduisant ainsi les risques de maladies qui peuvent les affecter (contrairement à l’irrigation qui ne touche que la zone racinaire). M. Guennouni fait également remarquer qu’en arboriculture, en règle générale, «les pluies qui tombent cette année améliorent la production de l’année prochaine». Impact positif sur les cultures de printemps et le fourrage pour bétail De son côté, et dans sa dernière note de conjoncture au titre du mois de mars 2024, la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l’Économie et des finances, indique que «les dernières pluies auront un impact positif sur l’amélioration de la production agricole, notamment les cultures de printemps et le fourrage pour bétail». Les précipitations enregistrées au cours des dernières semaines ont contribué à «l’amélioration du couvert végétal entre fin décembre 2023 et fin février 2024, suite à des conditions climatiques relativement favorables. Ces précipitations devraient également renforcer la nappe phréatique et les réserves hydriques au niveau des barrages nationaux, sans pour autant résorber l’important déficit hydrique de ces dernières années», précise la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Poids lourds : la régularisation des véhicules de 3,5 à 19 tonnes prolongée à fin 2024 || subtitle : La date limite d'accès au portail de régularisation de la situation des véhicules dont le poids total en charge (PTAC) est compris entre 3,5 et 19 tonnes a été prolongée jusqu’à fin 2024, a annoncé mercredi le ministère du Transport et de la Logistique. || body : Cette décision permettra à une catégorie plus large de professionnels d’adhérer à l’opération de mise en œuvre du processus de régularisation de la situation des véhicules de transport routier de marchandises pour compte d’autrui, indique le ministère dans un communiqué. Transport routier de marchandises : Le britannique Efret relie le Maroc et le Royaume-Uni Le britannique Efret a lancé un nouveau service de transport-logistique reliant le Maroc et le Royaume-Uni. Disponible tout au long de l’année sur plusieurs villes marocaines, le nouveau service promet plusieurs avantages dont un temps de transit de 7 jours maximum (porte à porte). Pour le management du transporteur, lé décision de desservir le Maroc permet de soutenir le développement des entreprises britanniques et de leurs échanges commerciaux avec leurs homologues marocaines. Le ministère avait entamé cette opération le 14 juillet 2024, via le portail électronique " tahdid-ptac.narsa.gov.ma " créé à cet effet et dont la limite d’accès avait été fixée aux professionnels au 1er mars 2024, rappelle la même source. "Cependant, et compte tenu des conclusions des réunions techniques tenues avec les représentants du secteur et qui ont été consacrées à l’examen et au traitement des contraintes liées à ce portail, et sur la base des données relatives au nombre de demandes formulées à ce titre. Il a été décidé de prolonger la période d’accès au portail ", souligne le communiqué. A cet effet, le ministère invite l’ensemble des professionnels du transport routier à accéder à cette plateforme pour régulariser la situation de leurs véhicules, conclut-on.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : AMDL, CDG Développement et MedZ mettront en œuvre un programme national de zones logistiques || subtitle : Un mémorandum d'entente (MoU) pour la mise en œuvre d'un Programme national de zones logistiques a été signé, cette semaine à Rabat, entre l’Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) et MedZ, filiale de CDG Développement. || body : Ce MoU, dont la cérémonie de signature a été présidée par le ministre du Transport et de la logistique, Mohamed Abdeljalil, et le directeur général de la CDG, Khalid Safir, prévoit un cadre conventionnel de collaboration pour la réalisation d’un Réseau national de zones logistiques, situées au niveau de plusieurs régions du Royaume et ayant un impact majeur sur l’aménagement du territoire et l’efficience de différentes chaînes de valeur économiques. Dans une déclaration à la presse à l’issue de cette cérémonie, M. Abdeljalil a indiqué que ce mémorandum d'entente vise à accélérer la mise en œuvre de l'aménagement des plateformes logistiques au Maroc. De nouvelles zones logistiques dans plusieurs villes du Maroc à l’horizon 2028 (AMDL) L’Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) prévoit la réalisation d’un programme prioritaire de zones logistiques dans plusieurs villes du Royaume à l’horizon 2028, annonce le ministère du Transport et de la Logistique, dans un communiqué publié à l'issue d'un conseil d'administration. «Cet aménagement constitue un pilier essentiel de la Stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique, ayant pour objectif de rationaliser les flux à travers des infrastructures dédiées en réduisant les coûts de transport et de logistique et en contribuant à stimuler le développement économique du pays», a souligné le ministre. Le mémorandum a été paraphé par Ghassane El Machrafi, directeur général de l’AMDL, Mustapha Lahboubi, membre du directoire de CDG Développement, et Mohssine Semmar, président du directoire de MedZ. Ce partenariat permet, en outre, d’accompagner l’accélération amorcée au niveau du Programme infrastructurel piloté par l’AMDL, pilier de la Stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique. Ce programme ambitionne, par ailleurs, de fournir un foncier logistique aménagé aux meilleurs standards, destiné à abriter des bâtiments et installations logistiques, au niveau de zones de massification et de concentration des flux de marchandises et des nœuds de la supply chain pour l’amélioration de l’efficacité et de la performance de l’économie nationale. Il contribuera également à répondre à une demande croissante en immobilier logistique, portée par une sophistication progressive de l'économie marocaine et par une nécessaire structuration des flux en milieu urbain, en constituant un chantier de convergence de l'action publique au service de la compétitivité des territoires.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Ryanair inaugure sa liaison Marrakech-Errachidia || subtitle : La compagnie aérienne irlandaise "Ryanair" vient d’inaugurer une liaison domestique entre Marrakech et Errachidia, qui sera opérée à raison de deux vols hebdomadaires. || body : Le vol inaugural de cette nouvelle desserte, effectuée avec un avion de type Boeing 737 d’une capacité de 180 places, a atterri à l’ aéroport d’Errachidia en provenance de Marrakech . Une cérémonie a été organisée à cette occasion en présence de plusieurs responsables locaux. Ryanair vise 10 millions de passagers au Maroc en 2027 Le programme de développement de Ryanair permettra une importante augmentation de la capacité proposée à la destination Maroc qui sera de 164 routes internationales et 11 routes domestiques. Objectif : doubler son trafic annuel au Maroc en le portant de 4,5 millions actuellement à plus de 10 millions de passagers en 2027. La compagnie " Ryanair " avait annoncé, en décembre 2023, avoir obtenu l’approbation pour opérer des vols domestiques au Maroc . Dans le cadre de cette expansion, le transporteur lance 11 routes domestiques reliant 9 destinations marocaines , à savoir Agadir, Errachidia, Essaouira, Fès, Marrakech, Ouarzazate, Oujda, Tanger et Tétouan . Ces nouveaux vols contribueront au désenclavement de certaines régions comme Ouarzazate, Essaouira ou Errachidia, tout en permettant aux visiteurs internationaux d’étendre leur séjour dans plusieurs villes, stimulant ainsi le tourisme à travers toutes les régions du Maroc. La compagnie irlandaise , première d' Europe en nombre de passagers transportés, projette de doubler son trafic annuel au Maroc pour atteindre plus de 10 millions de passagers d'ici 2027, selon le ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie Sociale et Solidaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Tanger Med : les services de la Douane assurés 24/7 à partir du 15 avril || subtitle : Désormais, les opérations de dédouanement seront prises en charge à Tanger Med dans leur intégralité, à toute heure de la journée et 7 jours sur 7. || body : L’ Administration des Douanes et Impôts Indirects annonce aux opérateurs économiques et aux déclarants en douane de la mise en place, à compter du lundi 15 avril prochain, d’une nouvelle organisation du travail visant à assurer un fonctionnement en continu des services douaniers au port de Tanger Med . Les recettes douanières en hausse de 14,6% à fin février 2024 (TGR) Les recettes douanières nettes ont atteint 14,548 milliards de dirhams (MMDH) à fin février 2024 contre 12,69 MMDH un an auparavant, soit une hausse de 14,6%, selon la Trésorerie Générale du Royaume (TGR). Cette mesure, prise en concertation avec les autorités portuaires et le secteur privé, s’inscrit pleinement dans le cadre de la politique d’accompagnement des entreprises menée par la Douane , indique la même source. Elle vise à renforcer la fluidité des opérations de dédouanement des marchandises et à réduire davantage les délais de passage en douane afin de soutenir la compétitivité des sociétés exportatrices et contribuer à améliorer la productivité des opérateurs exerçant dans le transport international . Désormais, les opérations de dédouanement seront prises en charge à Tanger Med dans leur intégralité, à toute heure de la journée et 7 jours sur 7. Afin de réussir cette action initiée en faveur des entreprises, la Douane a pris toutes les dispositions nécessaires en termes de renforcement et de mobilisation de ses effectifs au sein dudit port et d’adaptation de l’organisation du travail afin de répondre aux exigences du nouveau mode de fonctionnement. L’occasion est saisie pour lancer un appel aux opérateurs économiques conviés à s’organiser en conséquence, de sorte à ce que les efforts fournis par tous portent leurs fruits, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Statistiques sur le marché du travail : le HCP revoit ses méthodes et ses outils de mesure || subtitle : Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) a annoncé, lundi, le lancement du processus de refonte de son Enquête nationale sur l’emploi qui constitue un pilier fondamental de la collecte d'informations sur le marché du travail au Maroc. Le nouveau dispositif sera expérimenté en 2025 en vue de son adoption en 2026. || body : Dans un communiqué, le Haut-Commissariat au Plan explique que cette initiative émane de la conviction de l'établissement " quant à la pertinence de l’adaptation de son dispositif d’observation du marché de travail et de son souci d’assurer régulièrement la conformité aux standards internationaux régis, dans ce domaine, par l’Organisation Internationale du Travail (OIT)". Recensement 2024 : Ahmed Lahlimi fait le point Profitant de l’occasion du lancement de la formation en ligne des futurs agents recenseurs pour le Recensement général de la population et de l’habitat 2024, Ahmed Lahlimi Alami, haut-commissaire au Plan, a fait le point sur l’état d’avancement de cette opération d’envergure. Après avoir rappelé que 200.000 personnes suivront une formation en ligne, mais que 55.000 seulement seront retenues, M. Lahlimi a mis l’accent sur l’importance de les outiller des connaissances et techniques nécessaires afin qu’ils puissent mener à bien leur mission de manière optimale. Selon le HCP, au regard des mutations profondes que connaît le marché du travail, accentuées par la révolution numérique , ainsi que par la dynamique socio-économique dans laquelle s’est inscrit le Maroc, il est devenu impératif d’adapter les outils de mesure et de suivi de la réalité socio-économique de notre pays dont le marché du travail constitue une composante clé. Ainsi, le processus de refonte portera sur la révision du cadre conceptuel , de la méthodologie d'échantillonnage ainsi que de la couverture thématique , et visera en particulier à appréhender les transformations rapides de l'environnement du travail accentuées par la révolution numérique, ses impacts sur l’avenir du marché du travail et suivre les dynamiques des nouvelles formes d'emploi. Il sera également question d'intégrer les nouvelles normes internationales régissant la production des statistiques du marché du travail , en tenant compte des récentes avancées des conférences internationales des statisticiens du travail, et de réviser la méthodologie d’échantillonnage de ladite enquête dans l’optique d’assurer la mesure d’évolution des résultats en glissement trimestriel en plus de la mesure usuelle en glissement annuel, et de renforcer la représentativité territoriale (régionale et provinciale) de ses résultats. Le HCP prévoit la mise en place de son nouveau dispositif d'observation du marché de travail en 2026 Ce processus de refonte, qui sera réalisé en étroite concertation avec les différentes parties prenantes, y compris les départements ministériels clés, les différents acteurs publics et privés du marché du travail au Maroc, et les experts de l’OIT, devrait aussi explorer de nouvelles thématiques en lien avec le marché du travail, notamment l’emploi vert et la migration de la main d’œuvre . Les travaux liés à cette refonte s’étendront sur la période 2024-2025, en vue de la mise en place d'un nouveau dispositif d’observation du marché du travail en 2026. L’année 2024 sera consacrée à la conception et au test dudit dispositif. En 2025, il est prévu de mener, une enquête en parallèle à l'enquête actuelle afin d’estimer l’impact des changements introduits sur les indicateurs du marché du travail.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Batteries de voitures électriques : 3 MMDH pour l'usine du Chinois BTR à la Cité Mohammed VI Tanger Tech || subtitle : Le Chef du Gouvernement Aziz Akhannouch a présidé ce vendredi à Rabat la cérémonie de signature de la convention d’investissement et démarrage des travaux du projet d’usine de cathodes pour véhicules électriques du groupe chinois BTR pour un montant de 3 milliards de DH avec la création de 2.500 emplois. || body : La cérémonie de signature de la convention d’investissement du projet stratégique de la société BTR New Material Group s’est tenue à Rabat ce vendredi 29 mars, présidée par le Chef du Gouvernement Aziz Akhannouch . Le projet porte sur la construction d’une unité de production de cathodes , un composant essentiel de la batterie des véhicules électriques , pour un montant d’investissement de 3 milliards de dirhams et la création de plus de 2.500 emplois. Automobile : le Maroc sera la plateforme électrique la plus compétitive et intégrée au monde (Mezzour) Le ministre de l’Industrie et du commerce affirme que le Maroc est en train de prendre à bras-le-corps la nouvelle transformation de l'industrie automobile qui basculera vers le 100% électrique d'ici 2030. Ryad Mezzour intervenait ce jeudi lors de la cérémonie d'ouverture de la septième édition du Salon de la sous-traitance automobile à Tanger. Ce projet d’envergure, premier dans l’ écosystème des batteries électriques au Maroc pour lequel une convention est signée, prévoit l’implantation d’une usine d’une capacité de 50.000 tonnes par an au sein de la Cité Mohammed VI Tanger Tech . Développée en 2 phases sur une superficie de 15 hectares, la mise en exploitation de la première phase d’une capacité de 25.000 tonnes est prévue dès septembre 2026. Le projet, dont les travaux ont d’ores et déjà démarré, est porté par le groupe chinois BTR , un des leaders mondiaux de la fabrication de composants pour batteries électriques . Il compte parmi ses clients les principaux fabricants de batteries électriques tels que BYD, CATL, Volkswagen ou encore Tesla . Sous le Leadership de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI , que Dieu L’assiste, le Maroc est devenu un leader régional incontournable de l’ industrie automobile . Le choix du Royaume pour la réalisation de ce projet traduit la confiance renouvelée des investisseurs internationaux pour la “destination Maroc” et particulièrement pour l’ automobile , à un moment charnière où le secteur connait une profonde transformation au niveau mondial avec la transition vers le véhicule électrique. Ce projet marque également une avancée majeure dans la stratégie de développement du Groupe BTR à l’international et témoigne de la qualité des relations de coopération et d’amitié entre le Royaume du Maroc et la République Populaire de Chine . « Cet investissement dans le secteur de la mobilité électrique n'est pas isolé, il est le premier de plusieurs projets d’envergure à venir, positionnant ainsi le Royaume comme un pôle attractif pour l'industrie des batteries pour véhicules électriques et un acteur incontournable dans la production de composants vitaux pour l'avenir du secteur. Le Maroc est résolu, sous La Conduite Eclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, à consolider sa place de hub continental et régional dans l’industrie automobile, en jouant un rôle central dans cette révolution de la mobilité verte.», a souligné à cette occasion Mohcine Jazouli, ministre de l’Investissement, de la Convergence et de l’Evaluation des Politiques Publiques. La convention d’investissement a été signée par le Président de BTR Raw Materials, YouYan Huang , la Ministre de l'Économie et des Finances, Nadia Fettah , le Ministre de l'Inclusion économique, de la Petite Entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri , le Ministre de l'Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour et le Ministre délégué auprès du Chef du gouvernement, chargé de l'Investissement, de la Convergence et de l'Évaluation des Politiques Publiques, Mohcine Jazouli, en présence de l’Ambassadeur de la République Populaire de Chine au Maroc, Changlin Li et du Président de BTR Group, Xueqin He et du Directeur Général de l’ AMDIE, Ali Seddiki .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Aïd Al Adha : 2 millions de têtes identifiées à ce jour || subtitle : Le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, a tenu lundi à Rabat une réunion avec les professionnels de la filière des viandes rouges, et ce dans le cadre des préparatifs pour l’Aïd Al-Adha. || body : Lors de cette réunion, M. Sadiki a souligné l'importance de faire le point sur la situation de la filière des viandes rouges, confrontée aux défis actuels tels que la sécheresse et l'inflation, ainsi qu'aux répercussions de la crise du Covid-19, qui ont perturbé son équilibre de production. Cette rencontre a également été l'occasion d'étudier la situation de l’approvisionnement du marché national en matière de viandes rouges et d'échanger sur les mesures à prendre pour assurer l’approvisionnement et la stabilité de ce marché, a-t-il relevé. Les prix de la viande rouge s’envolent et ne sont pas près de se tasser Les prix de la viande rouge continuent de s’envoler depuis la fin du mois du Ramadan. Ainsi, le prix au kilogramme de la viande bovine a atteint 100 DH dans les boucheries, tandis que celui de la viande ovine a franchi la barre des 120 DH. Une hausse sans précédent due à plusieurs facteurs, selon le président de l’Association nationale des vendeurs grossistes de la viande rouge, Abdelali Ramou. Eclairages. Pour sa part, le président de la coopérative COPAG, Moulay M'hamed Loultiti, a fait savoir que la rencontre a pour objectif de discuter de l’approvisionnement du marché national en viandes rouges en perspective de l'Aïd Al-Adha, et de l’équilibre entre la production nationale, les besoins de consommation interne et ceux de l’importation. Le président de l'Association Nationale des Éleveurs Ovins et Caprins (ANOC), Abderrahmane Mejdoubi, a, quant à lui, souligné que l'opération d'identification du cheptel ovin et caprin destiné au sacrifice à l'occasion de l’Aïd Al-Adha a commencé il y a un mois et dix jours et, qu'à présent, plus de 2 millions de têtes ont été identifiées, assurant que l’opération se déroule de manière “très normale”.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Entretiens entre Ryad Mezzour et Franck Riester, ministre français du Commerce extérieur || subtitle : La promotion de la coopération économique et commerciale entre le Maroc et la France a été au centre d’entretiens, jeudi à Rabat, entre le ministre de l’Industrie et du commerce, Ryad Mezzour, et le ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l’attractivité, de la francophonie et des Français de l’étranger, Franck Riester. || body : Lors de cette rencontre, les deux ministres ont discuté du partage d’expériences afin de développer des stratégies communes à même de faire face aux défis commerciaux. À cette occasion, M. Mezzour a noté que cette rencontre s’inscrit dans le contexte de discussions visant principalement à analyser le processus commercial pour les entrepreneurs marocains et français et à faciliter l’accès des produits mutuels ou spécifiques des deux pays aux marchés européens, africains et mondiaux. Dans ce sens, il a souligné l’importance d’aboutir à des solutions adaptées permettant d’améliorer les relations maroco-françaises, déjà significatives et équilibrées, et qui présentent un potentiel de développement prometteur. En direct. Le ministre français du Commerce extérieur, Franck Riester, invité à la CFCIM En direct. Le ministre français du Commerce extérieur, Franck Riester, invité à la CFCIM. Ainsi, le ministre a rappelé que le Maroc et la France ont réussi, dans un contexte mondial complexe, à attirer les investisseurs et à développer des chaînes de valeur intéressantes, en particulier dans le domaine de la mobilité. Et d’ajouter que la France est le deuxième partenaire commercial du Maroc dans le cadre d’une relation commerciale équilibrée où, depuis 2017, le Royaume bénéficie d’un excédent commercial. De son côté, M. Riester a insisté sur la nécessité de développer des partenariats profonds entre les deux pays pour répondre aux défis communs tels que la transition économique, la décarbonation, la mobilité, et la transition numérique. M. Riester a également préconisé d’accélérer la régionalisation des chaînes de valeur et de les projeter ensemble en Afrique, envisageant un agenda commun ambitieux, à travers la rencontre des acteurs économiques, notamment dans les secteurs de l’aéronautique, de l’automobile, du transport ferroviaire, des villes durables, des énergies renouvelables et du numérique, où il a noté un dynamisme de l’écosystème des startups marocains. Cette réunion s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier, ainsi que de plusieurs hauts responsables des deux pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Lutte contre la corruption : 4ème réunion entre l'INPPLC et les autorités du secteur financier || subtitle : L'Instance Nationale de la Probité, de la Prévention et de la Lutte contre la Corruption (INPPLC) et les trois Autorités du secteur financier, Bank Al Maghrib, l'Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) et l'Autorité de Contrôle des Assurances et de la Prévoyance Sociale (ACAPS), ont tenu le 4 avril 2024, leur quatrième réunion annuelle de haut niveau dédiée au suivi de la Convention de Coopération dans le domaine de la prévention et de la lutte contre la corruption dans ce secteur, signée entre les quatre institutions en novembre 2019. || body : L' INPPLC , BAM , l' AMMC et l' ACAPS ont tenu leur 4ème réunion annuelle dédiée au suivi de la convention relative à la lutte contre la corruption. Cette rencontre a été l'occasion d'échanger sur l'évolution du phénomène de la corruption aux niveaux international et national, et de mesurer les efforts déployés durant ces dernières années pour créer les conditions d'une transition réussie vers une nouvelle ère de prévention et de lutte contre la corruption au Maroc. La reunion a ensuite été consacrée à l'examen du bilan de la mise en œuvre de la Convention sus mentionnée au titre de l'année 2023 et à l'approbation de la feuille de route pour 2024. Comment les entreprises marocaines subissent le fléau de la corruption selon l’INPPLC L’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC) vient de lever le voile sur les résultats de sa deuxième enquête nationale. Menée entre mai et août 2023, l’enquête révèle une perception négative persistante de la corruption parmi les entreprises marocaines. Les secteurs des licences, des marchés publics et de l’emploi sont cités comme les plus vulnérables, tandis que la faible propension à dénoncer ces pratiques dévoile un sentiment d’impuissance et de résignation face à la corruption. Ce tableau sombre appelle à une mobilisation renforcée et à des politiques plus efficaces pour éradiquer ce mal qui entrave le développement économique et la justice sociale. L'année 2023 a, ainsi, été marquée par le déploiement d'un programme de formation et de sensibilisation qui a bénéficié à plus de 930 cadres et responsables relevant des acteurs sectoriels et des Autorités signataires de la Convention. En outre, des actions de partage d'expériences entre les quatre Autorités et les acteurs de l'écosystème national se sont poursuivies à travers, notamment la tenue de la 2ème édition du forum des organismes nationaux certifies ISO 37001 et de plusieurs ateliers d'échange autour des dispositifs de maîtrise du risque de corruption, en particulier les dispositifs de gestion des conflits d'intérêts Parallèlement, l'AMMC et l'ACAPS ont finalisé le déploiement et la certification de leurs systèmes de management anticorruption selon la norme ISO-37001, avec l'objectif d'étendre cette dynamique à leurs écosystèmes respectifs, à l'image de l'approche adoptée par Bank Al-Maghrib pour le secteur bancaire . En effet, plusieurs établissements de crédit ont parachevé, en 2023, le déploiement ou encore la certification de leurs d ispositifs anticorruption , conformément à la directive de Bank Al Maghrib relative à la prévention et la gestion par les établissement de crédit du risque de corruption publiée en mai 2022. S'agissant de l'année 2024, les efforts visant le développement des capacités des acteurs sectoriels, notamment en matière de gestion du risque de corruption et de renforcement du cadre réglementaire y afférent, seront poursuivis. Il en est de même de la dynamique d'échange et de partage d'expériences avec les autres secteurs et acteurs concernés à l'échelle nationale et internationale Les quatre Autorités ont renouvelé leur engagement à renforcer leur coopération en vue de relever les défis liés à la prévention et à la lutte contre la corruption</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le FEC cherche un conseiller financier pour l’exécution de son programme obligataire de 6 MMDH || subtitle : Le Fonds d’équipement communal entend poursuivre prochainement l’exécution de son programme d’émissions obligataires de 9 milliards de dirhams, approuvé en 2019 et dont 3 milliards ont déjà été consommés. Le processus de préparation des prochaines sorties de la Banque sur le marché obligataire devrait être enclenché à partir de mai prochain. L’institution cherche ainsi à s’adjoindre les services d’un conseiller financier afin de l’accompagner dans les différentes étapes des émissions. || body : Le Fonds d’équipement communal (FEC) poursuit l’exécution de son programme d’émissions obligataires de 9 milliards de dirhams. La Banque spécialisée dans le financement des collectivités territoriales s’apprête à mandater, fin avril, un conseiller afin de l’assister dans l’examen de ses modes de financement actuels et dans la réalisation des sondages auprès des investisseurs potentiels en vue de la détermination des caractéristiques techniques de chaque émission. En accord avec le FEC, le futur conseiller réalisera une analyse de la situation financière du FEC ainsi que ses modalités et conditions de financement actuelles. Autre mission, le décryptage du marché obligataire long terme sur les trois dernières années, ainsi que les perspectives de ce marché pour les années à venir en plus de la réalisation des sondages de marché auprès des investisseurs potentiels, en tenant comptes des objectifs du FEC en termes de réduction du coût de financement et d’indicateurs ALM. De même, le prestataire devra déterminer le mode d’émission et les caractéristiques des titres à émettre (type d’obligations, prime de risque, taux de référence, taux facial, mode de remboursement, etc.), avec la proposition d’un schéma de placement optimal (investisseurs cibles, méthodes d’allocation, etc.). Il s’agira par ailleurs de proposer un échéancier indicatif pour les émissions obligataires inscrites dans le programme du FEC afin de pouvoir assurer la régularité de la présence du FEC sur le marché et optimiser la gestion de sa trésorerie. Un planning de déroulement à la veille de chaque émission sera mis en place. Les missions dévolues au conseil comprennent également l’arrangement et la mise en place de l’émission et le placement des titres. Rappelons que dans le cadre du refinancement de la Banque, et suite à la réalisation avec succès du programme obligataire de 6 milliards de dirhams autorisé par le conseil d’administration du Fonds en mai 2016, ce même conseil, réuni en mai 2019, avait autorisé le FEC à procéder à l’émission d’emprunts obligataires pour un montant global plafonné à 9 milliards de dirhams, avec la possibilité d’affecter un maximum de 2 milliards de dirhams à des émissions obligataires subordonnées, par appel public à l’épargne ou par placement privé. La Banque avait ainsi réalisé, en décembre 2020, une émission d’un montant de 2 milliards de dirhams et le 12 janvier 2022 une émission de 1 milliard, dans le cadre de ce programme de 9 milliards. Ces émissions ont permis au FEC de se financer dans des conditions jugées «optimales» et de diversifier ses sources de financement à long terme et leur succès auprès des investisseurs. Elles appuient la volonté de la Banque de poursuivre la concrétisation des émissions dans le cadre de son programme obligataire dans l’objectif notamment de diversifier les sources de financement à long terme et d’améliorer les coûts de financement. Le FEC souligne que la qualité du titre FEC et son profil de risque devraient permettre de réduire davantage les coûts de financement au profit des collectivités territoriales. Les sorties sur le marché obligataire permettront en outre à l’institution d’améliorer ses adossements actif/passif, notamment par maturité et taux d’intérêt, en plus de consolider son image vis-à-vis des principaux partenaires et de maintenir son positionnement en tant qu’émetteur régulier sur le marché obligataire. Depuis sa création en 1959, le FEC a contribué au développement territorial à travers des engagements de prêts avoisinant près de 68 milliards de dirhams et plus de 58 milliards de prêts décaissés, et ce pour le financement de plus de 5.700 projets de développement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Transferts d'argent vers le Maroc : Damane Cash s'allie à Dirham Express || subtitle : Damane Cash, l'établissement de paiement du Groupe BANK OF AFRICA, et Dirham Express, leader des transferts d'argent internationaux, ont uni leurs forces pour renforcer l'expérience des transferts d'argent pour la diaspora marocaine à l'étranger. || body : Avec un réseau étendu de plus de 20.000 points de collecte en Europe , en Amérique du Nord et en Afrique Subsaharienne, Dirham Express offre une solution de transfert d'argent internationale de confiance. En parallèle, Damane Cash , présent avec plus de 1.200 agences partout au Maroc, occupe une position centrale dans le traitement des mandats internationaux . Transferts de fonds de la diaspora : le Maroc se distingue à l’échelle mondiale En 2023, les envois de fonds des migrants vers le Maroc dépasseraient, pour la première fois, les 12 milliards de dollars, signant une croissance remarquable de 8,6%. Ce nouveau record positionne le Maroc en tant que destination exceptionnelle dans le monde et au sein de la région MENA, où le Royaume représentera près de 20% des transferts de fonds. Selon la Banque mondiale, le rythme des transferts de fonds vers le Maroc a été soutenu tout au long de cette année, notamment après le séisme de septembre, contribuant à la résilience économique et financière du pays. En 2024, une nouvelle hausse de 6% des flux est attendue, en dépit des tendances à la baisse de l’activité économique mondiale. Ce partenariat permettra aux bénéficiaires de recevoir en espèce les transferts émis depuis Dirham Express dans les agences Damane Cash, offrant ainsi une alternative de réception pratique rapide, sécurisée et compétitive. De plus, afin de répondre aux besoins évolutifs de la diaspora marocaine , les deux partenaires envisagent également de diversifier les canaux de transfert . Ainsi, en plus de la réception en espèces, les clients auront prochainement la possibilité d'envoyer de l'argent directement sur les comptes bancaires au Maroc, simplifiant ainsi les transactions et offrant plus de flexibilité aux utilisateurs.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La CTM rachète 51% du capital de Africa Morocco Link détenus par Bank Of Africa || subtitle : O Capital Group, détenu par Othman Benjelloun, confie à la CTM le développement de Africa Morocco Link, via le rachat de la participation majoritaire de Bank Of Africa (51%) dans la compagnie de transport maritime. || body : La Compagnie de Transports au Maroc (CTM) annonce le rachat de la participation majoritaire de Bank Of Africa dans la compagnie de transport maritime Africa Morocco Link (AML) . La réalisation effective de l’opération est soumise à l’obtention des autorisations des autorités compétentes. >> Lire aussi : Le groupe Benjelloun devient O Capital Group La transaction entre Bank Of Africa et CTM , deux entités appartenant à O Capital Group détenu par Othman Benjelloun , permettra de poursuivre le développement d’AML en s’appuyant sur l’expertise de CTM en matière de transport de passagers et de marchandises. Avec cette nouvelle acquisition, CTM vient confirmer sa récente stratégie de diversification et marque l’entame d’une nouvelle phase de croissance pour devenir l’acteur de référence de la mobilité multimodale de personnes et de marchandises au Maroc et dans la région. Pour rappel, AML est née en juin 2016 d’un partenariat entre Bank Of Africa (51%) et l’armateur grec Attica Holdings SA (49%) dans une démarche volontariste entreprise par Bank Of Africa pour préserver et développer le pavillon maritime national. L'entreprise a son siège à Tanger et exploite des liaisons de ferries fret et passagers entre Tanger Med et Algesiras. Cet été, la compagnie devrait également lancer une nouvelle liaison entre Tanger Ville et Tarifa.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Entrepreneuriat agricole : une offre d’accompagnement à la carte pour les jeunes de l’Oriental || subtitle : Le département de l’Agriculture prépare une offre d’accompagnement des porteurs de projets agricoles dans la région de l’Oriental. Le projet, qui s’inscrit dans le cadre de Génération Green, comprendra des services d’appui, à la carte, aux jeunes porteurs de projets ou d’entreprises et coopératives nouvellement créées portées par les jeunes dans les domaines de la production agricole et de services agricoles, para-agricoles et digitaux liés à l’agriculture. || body : Entrepreneurs agricoles de la région de l’Oriental à vos projets ! Le département de l’Agriculture planche sur la cristallisation et la mise en œuvre d’une offre d’accompagnement en pré et post-création des jeunes entrepreneurs agricoles de la région par la formation et le coaching individuel. Le ministère devra recruter le 10 mai prochain une assistance technique afin de l’accompagner dans la conception et le déploiement de cette offre à travers le Centre régional des jeunes entrepreneurs agricoles et agroalimentaires (CRJEA). Investissement : près de 50.000 emplois attendus dans l'Oriental d'ici à 2026 (Jazouli) Environ 50.000 emplois devront être créés au niveau de la région de l'Oriental d'ici à 2026, a souligné, lundi à Oujda, le ministre délégué chargé de l'Investissement, de la convergence et de l’évaluation des politiques publiques, Mohcine Jazouli, lors d'une réunion dans le cadre de la première tournée régionale de la territorialisation de la stratégie d’investissement privé. L’assistance aura pour mission principale l’accompagnement des jeunes porteurs de projets entrepreneuriaux dans la production agricole et les services liés à l’agriculture au titre du troisième levier de l’axe nouvelle génération de jeunes entrepreneurs agricoles de la stratégie Génération Green. L’offre de services à proposer consistera en un appui, à la carte, aux jeunes porteurs de projets ou d’entreprises et coopératives nouvellement créées portées par les jeunes dans les domaines de la production agricole et de services agricoles, para-agricoles et digitaux liés à l’agriculture, en plus de la mise en œuvre de services, continuellement co-construite avec les jeunes qui expriment leurs besoins en tenant compte de l’écosystème entrepreneurial autour des jeunes ruraux et en agissant en synergie et en complémentarité avec les programmes et initiatives déjà mises en place au niveau de la région. La stratégie Génération Green 2020-2030 accorde une attention particulière à l’entrepreneuriat des jeunes dans le monde rural dans la perspective de faire émerger une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs agricoles. Cette feuille de route a identifié quatre leviers pour l’opérationnalisation de cet axe. Le premier concerne l’accès des jeunes au foncier agricole et permettra à 45.000 jeunes de bénéficier de terrains agricoles dans le cadre de la valorisation d’un million d’hectares de terres collectives. Le deuxième levier, quant à lui, porte sur la mise en place des mécanismes institutionnels et des incitations financières spécifiques pour l’émergence de 180.000 nouveaux jeunes agriculteurs. La mise en œuvre de ce levier permettra également d’assurer la pérennité des exploitations agricoles, sachant que 360.000 exploitants agricoles sont âgés de plus de 65 ans. Le troisième levier consiste en la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes dans les services liés à l’agriculture. La mise en œuvre de ce levier permettra la création de plus de 170.000 emplois. Enfin, le quatrième levier concerne une stratégie de formation ambitieuse visant à former 150.000 jeunes. Pour la mise en œuvre des projets entrepreneuriaux de valorisation du foncier sur le plan technique, une approche d’accompagnement ciblée intervenant tout au long du cycle du projet a été adoptée autour de la mise en place au niveau de chaque région d’un Centre régional des jeunes entrepreneurs agricoles, assurant une meilleure attractivité des jeunes afin de les accompagner pour la concrétisation et la réussite de leurs projets d’entrepreneuriat. Le CRJEA constitue une plateforme de partenariat avec les acteurs de développement territorial et local, les organisations interprofessionnelles agricoles, les Chambres d’agriculture et les champions régionaux. Il représente également un pont fonctionnel à proximité des établissements de formation professionnelle du ministère de l’Agriculture et des autres établissements. n</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Société Générale lance l’offre «Pack Solaire» au Maroc pour la transition énergétique des entreprises || subtitle : Le groupe Société Générale lance l’offre «Pack Solaire» en Afrique. Il s’agit d’une solution clé en main, favorisant l’installation de panneaux photovoltaïques pour les clients Entreprises et Institutionnels. Cette offre est lancée dans un premier temps au Maroc et au Sénégal. Identification du besoin, analyse de la faisabilité du projet, mise en relation avec des partenaires locaux de référence, solution de financement… les clients sont accompagnés à toutes les étapes du développement de leur projet. || body : Dans une initiative novatrice, Société Générale s’engage à catalyser la transition énergétique en Afrique avec le lancement de son offre phare, le « Pack Solaire ». À travers cette offre, le groupe bancaire propose une solution clé en main aux entreprises et institutionnels en Afrique pour faciliter l’installation de panneaux photovoltaïques, en réponse à leurs enjeux économiques et environnementaux. Identification du besoin, analyse et estimation de la faisabilité du projet, mise en relation avec des partenaires locaux de référence, solution de financement ( prêt/leasing ) adaptée... Les clients sont accompagnés à toutes les étapes du développement de leur projet. Selon nos informations, l’offre «Pack Solaire» est lancée dans un premier temps au Maroc et au Sénégal . Groupe Société Générale : la filiale marocaine consolide en 2023 sa position de leader régional Les résultats annuels 2023 du groupe Société Générale révèlent encore une fois une performance exceptionnelle de sa filiale marocaine, qui se distingue dans sa région en contribuant à hauteur de 34% des crédits et 27% des dépôts réalisés sur le marché Afrique, Bassin méditerranéen et Outre-mer. Avec également une part de 22,5% dans les revenus engrangés sur cette région, Société Générale Maroc consolide ainsi sa position de leader régional. «En ligne avec l’ambition du groupe Société Générale, l’offre “Pack Solaire” répond de façon responsable et innovante aux attentes de nos clients Entreprises et Institutionnels, sur le continent africain, qui souhaitent un accompagnement concret dans leurs problématiques environnementales et énergétiques. Grâce à l’expertise de partenaires de confiance, nous conseillons nos clients dans la mise en œuvre de leurs projets de transition énergétique», a déclaré Philippe Dubois, directeur du Corporate au sein des Réseaux bancaires internationaux, Afrique, Bassin méditerranéen & Outre-mer du groupe Société Générale. Selon le groupe, avec cette offre, les clients Entreprises et Institutionnels peuvent bénéficier de l’accès à une source d’énergie propre et durable qui contribue à la décarbonation en diminuant les émissions de gaz à effet de serre. Ils pourront aussi réaliser des économies à moyen et long terme sur les dépenses d’électricité et leur facture énergétique, étant donné que le coût de l’énergie solaire est devenu compétitif. «Cette offre entend soutenir le développement des acteurs économiques et sociaux et ainsi permettre de contribuer aux Objectifs de développement durable des Nations unies, avec la fourniture d’un accès fiable à l’énergie, notamment pour les PME et industries qui dépendent fortement de l’énergie pour le développement de leurs activités. Elle vise également un impact social positif, permettant de pérenniser le fonctionnement des infrastructures des services publics, tels que la santé ou l’éducation», souligne le groupe.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Masen, point d’entrée des investisseurs sur le marché marocain de l’hydrogène vert || subtitle : Promouvoir «L’Offre Maroc» auprès des investisseurs est désormais la mission qui incombe à Masen. Elle a ainsi pour défi d’attirer les investissements et les projets les plus pertinents vers la filière de l’hydrogène vert. || body : Sans nul doute, le Maroc, grâce à la Vision éclairée de Sa Majesté le Roi, occupe aujourd’hui une place de choix dans le développement des énergies renouvelables. Un positionnement appelé à se renforcer avec le développement de la filière de l’hydrogène vert. Une nouvelle ère s’ouvre pour le Royaume en tant que hub énergétique, ainsi que pour l’Agence marocaine pour l’énergie durable ( Masen ) qui s’est vu attribuer, par la circulaire de mise en œuvre de «L’Offre Maroc» pour le développement de la filière de l’hydrogène vert, le rôle de point focal et d’interlocuteur préalable et privilégié des investisseurs. «Cela veut dire que nous sommes le point d’entrée des investisseurs sur le marché marocain et avons plusieurs missions dans ce sens», indique Tarik Hamane, le directeur général délégué de Masen. «Communiquer sur l’offre, informer et assister les investisseurs. Notre pays dispose d’un potentiel considérable qu’il met en valeur avec des mesures incitatives extrêmement fortes. Il est important de faire connaître ce potentiel et ces incitations aux investisseurs nationaux et internationaux pour les encourager à saisir les opportunités qui se présentent», poursuit-il. Hydrogène vert : le Maroc attise les ardeurs des investisseurs Dans un marché international très concurrentiel, le Royaume jouit de plusieurs atouts pour se positionner en tant qu’acteur compétitif sur la filière de l’hydrogène vert. Le pays vient aussi de dévoiler «l’Offre Maroc» qui ouvre la voie aux investisseurs nationaux et internationaux. Selon les acteurs du secteur, cette offre a déjà trouvé écho chez de nombreux investisseurs. Décryptage. Masen joue notamment le rôle clé d’interlocuteur préalable et privilégié. «Nous sommes, aux côtés des différentes autorités gouvernementales concernées, garants de la fluidité et de la transparence du parcours de l’investisseur, depuis la manifestation d’intérêt jusqu’à la signature de la convention-cadre d’investissement avec l’État. Dès réception des dossiers des investisseurs, une appréciation des offres est réalisée par Masen, permettant de proposer une pré-sélection argumentée aux organes de gouvernance de “L’Offre Maroc”. Nous assurons également la coordination avec les walis et gouverneurs concernés pour l’attribution des parcelles du foncier», explique-t-il. Il apparaît ainsi que Masen a désormais pour mission d’assister les investisseurs dans l’accomplissement des différentes démarches nécessaires à la réalisation de leurs projets en concertation avec les départements ministériels et les établissements et entreprises publics concernés. Et lui de poursuivre : «Dans le cadre de ce processus, nous consolidons les besoins des investisseurs en termes d’infrastructures structurantes, assistons les autorités gouvernementales dans la traduction de ces besoins en études tout en contribuant à leur planification intégrée». Les défis à relever pour une destination Maroc attractive Force est de noter, à ce titre, que la production d’hydrogène vert nécessite des investissements colossaux. «Notre premier défi est d’attirer les investissements et les projets les plus pertinents, faisant de la destination Maroc une destination attractive offrant toute la visibilité attendue par les investisseurs. “L’Offre Maroc” est une première étape dans la réponse à ce défi et propose une base solide pour les relever, notamment en permettant l’accès à un foncier dédié et à fort potentiel», souligne le directeur général délégué de Masen qui précise aussi que la mutualisation des infrastructures (hydrogénoducs, ports, stations de dessalement, etc.) est également une composante clé de cette offre pour renforcer la compétitivité de la filière. Seulement, d’autres défis restent à adresser, tels que la mise en place d’un cadre réglementaire permettant la certification de l’origine renouvelable de l’hydrogène vert et ses dérivés. «L’ensemble des parties prenantes est mobilisé pour répondre à ces défis et réussir la mise en œuvre de cette offre stratégique pour le Royaume. Elle contribuera sans aucun doute à la compétitivité régionale et internationale de la destination Maroc dans la filière de l’hydrogène vert», confie-t-il.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Blanchiment de capitaux et financement du terrorisme : 5.208 déclarations de soupçon en 2022 || subtitle : L’année 2022 a été marquée par une amélioration significative des indicateurs opérationnels de l’Autorité nationale du renseignement financier. Grâce aux actions menées par l’Institution et aux efforts déployés conjointement avec les différents partenaires concernés par la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, le nombre de dossiers traités a connu une augmentation significative. Ce qui confirme, encore une fois, la valeur ajoutée créée par le renforcement de la collaboration avec les Autorités d’application de la loi et les Autorités de supervision et de contrôle. || body : L’ Autorité nationale du renseignement financier (ANRF) a reçu, en 2022, un nombre total de 5.208 déclarations de soupçon liées à des cas de blanchiment de capitaux-financement du terrorisme (BC-FT). Elles sont en hausse de 52,7%. Selon le rapport annuel de l’ANRF pour l’exercice 2022, la progression constatée en nombre de déclarations de soupçon est également due à l’instauration d’une action continue de retour d’information entre l’ANRF et les Autorités de supervision et de contrôle, mais aussi entre l’ANRF et les personnes assujetties. Lutte contre le blanchiment de capitaux : L’Acaps publie deux guides pour le secteur de la retraite L’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale poursuit l’accompagnement du secteur de la retraite dans l’implémentation d’un dispositif efficace de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Elle vient de publier deux guides expliquant le processus d’identification des risques et les mesures de vigilance à appliquer dès l’entrée en relation avec un client potentiel. Dans le détail, l’institution indique que les déclarations de soupçon portant sur les cas de blanchiment d’argent culminent à 5.171, ce qui représente une montée de 53,76% par rapport à l’année 2021. Quant aux déclarations liées au financement du terrorisme, l’ANRF a reçu 37 déclarations. Selon l’Autorité, le nombre de déclarations de soupçons liées au blanchiment de capitaux a connu une évolution significative sur la période 2018-2022, passant de 1.059 déclarations de soupçon en 2018 à 5.171 en 2022, soit une progression de 388%. «Cette augmentation reflète les efforts déployés par l’Autorité avec ses partenaires des secteurs financier et non financier et l’ensemble des acteurs du dispositif national de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, qui se sont matérialisés au cours de l’année 2022, par la tenue de réunions périodiques pour assurer le suivi et l’enrichissement de dossiers avec les personnes assujetties des secteurs financier et non financier, en coordination avec les Autorités de supervision et de contrôle», indique l’ANRF. Ces efforts ont abouti à l’augmentation de la qualité, du volume et de la diversité des déclarations reçues par l’Autorité, à la réduction du temps de réponse aux demandes d’informations et à la diminution du nombre d’anomalies techniques enregistrées, en plus de de la constatation de nouvelles tendances et modèles du BC/FT enregistrés au cours de la même année. Ce qui met en évidence l’intérêt de ces réunions et leur impact positif sur l’amélioration de l’efficacité et de la performance du dispositif national dans son ensemble. Notons que le secteur bancaire (banques conventionnelles, banques Offshore et banques participatives) figure en tête des pourvoyeurs de déclarations de soupçon pour l’année 2022. En effet, sa part représente 34,4% des déclarations reçues en 2022. Quant aux établissements de paiement (services de paiement et transfert de fonds), ils arrivent en deuxième position avec une part de 29,7% des déclarations de soupçons reçues en 2022. Il est à signaler que l’année 2022 a été marquée par l’adhésion du secteur non financier au processus des déclarations. Ainsi, durant ladite année, l’ANRF a enregistré la réception de déclarations de soupçon de l’ensemble des professions non financières assujetties. Ce qui dénote de l’efficacité des formations et campagnes de sensibilisation dont a bénéficié le secteur.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : GROHE: Stefan Schmied, nommé Leader de la région IMEA || subtitle : GROHE, filiale de LIXIL, un des leaders mondiaux de la robinetterie complète pour la salle de bains et la cuisine, annonce la désignation de Stefan Schmied en tant que nouveau Leader de la région IMEA chez LIXIL. Cette région englobe l'Inde et le sous-continent, le Moyen-Orient incluant la Turquie, et l'Afrique. || body : Stefan Schmied apporte à sa fonction plus de 20 ans d’expertise sectorielle. Il a piloté des initiatives stratégiques majeures, élaboré des réseaux de distribution , consolidé des marques et supervisé les opérations commerciales dans les domaines de la vente au détail, de gros et de projets pour des multinationales . Stefan Schmied a auparavant dirigé la division projets business chez GROHE , en la transformant en une entité autonome, devenue un moteur de croissance essentiel pour LIXIL EMENA, indique le groupe dans un communiqué. Il a dirigé la spécification et la réalisation de projets de construction et de rénovation , notamment pour des marques hôtelières de premier plan, des aéroports emblématiques, des groupes internationaux de soins de santé et des promoteurs résidentiels de premier plan dans le monde entier. Dans sa nouvelle fonction, Stefan Schmied aura pour mission d'accélérer la croissance et de renforcer les performances commerciales à long terme de la marque GROHE à travers une collaboration interrégionale et une innovation stratégique . Il se concentrera également sur l' expansion de la base clientèle , le développement de partenariats et la stimulation de l'innovation pour contribuer au succès global de GROHE, tout en supervisant les activités de l'entreprise dans la région IMEA . Avant de rejoindre GROHE, Stefan Schmied a occupé les postes de PDG et de président dans de grandes entreprises de construction en Europe et en Asie . Son parcours professionnel lui a permis d'acquérir une vaste expertise dans les secteurs des sanitaires, des carrelages et des technologies sanitaires, collaborant avec des multinationales au Moyen-Orient et occupant des postes de direction générale et de direction senior.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Billets commercialisés en devises : Abdeljalil rappelle Ryanair à l'ordre || subtitle : Ayant constaté que les billets des vols domestiques opérés par Ryanair étaient commercialisés uniquement en devises, le ministère du Transport et de la Logistique a indiqué, vendredi, avoir rappelé à la compagnie irlandaise ses engagements et décidé de l’autoriser à opérer ses vols domestiques “exceptionnellement pour une durée d’un mois”. || body : Le ministère du Transport et de la Logistique rappelle dans un communiqué que, dans le cadre du renforcement de la connectivité aérienne domestique, il avait autorisé, en date du 24 novembre 2023, la compagnie aérienne Ryanair à exploiter, pour la saison IATA ETE 2024 (avril à mars inclus), 11 lignes aériennes domestiques reliant 9 aéroports marocains . Ryanair vise 10 millions de passagers au Maroc en 2027 Le programme de développement de Ryanair permettra une importante augmentation de la capacité proposée à la destination Maroc qui sera de 164 routes internationales et 11 routes domestiques. Objectif : doubler son trafic annuel au Maroc en le portant de 4,5 millions actuellement à plus de 10 millions de passagers en 2027. Cette autorisation exceptionnelle , précise la même source, avait été délivrée à la condition expresse que la vente des billets soit disponible en Dirham, laquelle condition a été acceptée et confirmée par lettre de la compagnie aérienne le 29 novembre 2023. "Ayant constaté que les billets n’étaient disponibles à l’achat qu’au travers de cartes bancaires marocaines internationales puisant sur des dotations en devises, le ministère a rappelé ses engagements à la compagnie le 29 mars 2024 et l’a enjoint de s’y conformer dans les meilleurs délais", explique le communiqué. Enfin, poursuit la même source, pour éviter de causer des désagréments aux citoyens qui avaient déjà acheté leurs billets et organisé leurs déplacements en conséquence, "le ministère a décidé de permettre à Ryanair d’opérer ses vols domestiques exceptionnellement pour une durée d’un mois (à compter du dimanche 31 mars) en attendant que la compagnie se conforme à ses obligations".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La Caisse marocaine des retraites sur une nouvelle stratégie 2025-2027 || subtitle : La Caisse marocaine des retraites planche sur un nouveau plan stratégique pour la période 2025-2027. Ce dernier tiendra compte des défis de son contexte marqué particulièrement par les enjeux des grands chantiers de généralisation de la protection sociale et de réforme globale du système de retraite au Maroc. Cette Feuille de route triennale s’inscrit dans une dynamique de transformation et de modernisation avec comme objectif de conforter le positionnement de la Caisse en tant qu’acteur de confiance dans la gestion de la retraite publique. || body : La Caisse marocaine des retraites (CMR) prépare une nouvelle stratégie 2025-2027. Cette Feuille de route triennale tiendra compte des grands chantiers de généralisation de la protection sociale et de réforme globale du système de retraite à l’échelle nationale. Elle se basera sur l’identification des actions prioritaires, des indicateurs de performance, des échéanciers, ainsi que des mécanismes de suivi et d’évaluation pour assurer l’atteinte des objectifs fixés. Déclaration des nouveaux nés : la CMR dispense les retraités de toute démarche administrative La Caisse Marocaine des Retraites (CMR) a annoncé, jeudi, avoir dispensé les retraités de toute démarche administrative au sujet de la déclaration de leurs nouveaux nés pour bénéficier des allocations familiales. La préparation de la nouvelle stratégie de la CMR pour la période 2025-2027 revêt une importance capitale pour assurer sa pertinence et sa pérennité dans un environnement plein de défis majeurs, notamment en termes financiers. Un expert est en cours de recrutement pour l’accompagner dans l’élaboration de la nouvelle stratégie triennale et ses plans d’action annuels pour la période 2025-2027. Selon l’Institution, la CMR s’est engagée depuis 1999 dans une démarche de planification stratégique pluriannuelle, multi-axes et évolutive pour une meilleure une gestion de la retraite publique. Cette démarche a été renforcée par l’engagement de la Caisse dans un processus de contractualisation avec l’État, initié en 2007 et par la conclusion d’un Contrat-Plan 2007-2009 et de trois Contrats de Programme au titre des périodes 2011-2013, 2018-2020 et 2022-2024. Pour la CMR, cette contractualisation avec l’État a permis à la Caisse de passer à un mode de management orienté vers une culture de performance, de responsabilité et de transparence. «En cohérence avec les orientations gouvernementales et face à un environnement en perpétuel changement et à une exigence de qualité croissante, la CMR a décliné sa Feuille de route stratégique 2022-2024 en vue de poursuivre sa mutation vers une administration moderne motivée par la performance et soucieuse de remplir parfaitement sa mission de service public», détaille la CMR à l’occasion du lancement d’un appel d’offres relatif à l’élaboration de sa nouvelle Feuille stratégique. L’objectif étant de conforter le positionnement de la Caisse dans le paysage de la retraite au Maroc en tant qu’acteur de confiance pour une gestion de la retraite publique transparente, performante et agile, afin de pouvoir accompagner les mutations sociales que connaît le Maroc ainsi que les attentes de sa clientèle et de ses partenaires. Ainsi, six enjeux ont été identifiés afin de réaliser cette vision stratégique. Il s’agit notamment de l’amélioration continue de l’expérience client ainsi que l’orientation des efforts de communication externe vers la promotion des services et prestations de la Caisse afin de faciliter leur usage par les affiliés et les partenaires. Il s’agit également de la bonne gestion des fonds de réserve à travers la mise en place d’une amélioration continue de la rentabilité du portefeuille et la maîtrise des risques financiers. S’ajoutent la valorisation du Capital humain, l’institutionnalisation de l’excellence opérationnelle et la gestion de la transformation de la Caisse via le renforcement de son partenariat avec les pouvoirs publics et la promotion de l’innovation et de l’agilité. Un dispositif de suivi régulier de ce plan a été mis en place avec des reporting périodiques aux instances de gouvernance de la CMR. Ce dispositif a permis d’élaborer des points d’étapes à travers la réalisation des bilans annuels de déploiement de la stratégie afin d’apprécier l’atteinte des objectifs ainsi que l’alignement stratégique et d’anticiper les changements et apprécier les opportunités et les risques offerts par l’écosystème de la CMR. Arrivant à terme de la Feuille de route stratégique 2022-2024, la CMR a donc décidé d’actualiser sa vision stratégique à travers une nouvelle Feuille de route 2025-2027, dans le cadre d’une démarche participative associant les différentes parties prenantes, et tenant compte des défis de son contexte marqué particulièrement par les enjeux des grands chantiers de généralisation de la protection sociale au Maroc et de réforme globale du système de retraite à l’échelle nationale.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Arçelik finalise le rachat des activités de Whirlpool au Maroc || subtitle : Arçelik finalise l'acquisition des filiales et des opérations de Whirlpool au Maroc et aux Émirats arabes unis dans la région MENA. || body : La conclusion de la transaction pour Arçelik , société mère de Beko , vise à acquérir la pleine propriété des activités de Whirlpool au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA) . Grâce à cette opération, Arçelik possède désormais les entités des Émirats arabes unis et du Maroc de Whirlpool et gère les opérations commerciales de MDA de Whirlpool dans la région MENA. Avec l'intégration de l'activité MENA de Whirlpool, Arçelik franchit une autre étape importante dans son parcours de croissance transformatrice, réaffirmant sa position en tant que fournisseur mondial de premier plan d' appareils électroménagers durables , dans le cadre de son engagement en faveur de la croissance et de la fourniture de produits et services de premier plan aux consommateurs et aux partenaires, indique le groupe Arçelik dans un communiqué. Les marques qu'Arçelik proposera sur le marché MENA grâce à cette acquisition sont Whirlpool, Ariston, Indesit, Hotpoint, Hotpoint-Ariston, Bauknecht et Ignis, tandis que les activités Insinkerator, KitchenAid et Maytag de Whirlpool sont exclues, et Whirlpool et Ariston sont limités à un titulaire de licence dans une juridiction donnée. Akin Garzanli , directeur du marketing et directeur de la clientèle de la région MEA, Russie et CEI, a exprimé son enthousiasme et sa confiance à l'égard de la transaction, déclarant : "Je suis ravi de constater l'achèvement réussi de notre démarche stratégique visant à acquérir les activités de Whirlpool dans la région MENA. Arçelik est une entreprise mondiale de premier plan dans l'industrie de l'électroménager avec 55.000 employés et 45 installations de production. Bientôt, elle ajoutera une usine de pointe en Égypte, qui est sur le point de fonctionner, prête à apporter l'innovation et l'excellence sur le marché. Avec cette nouvelle intégration, nous nous rapprochons de notre ambition de devenir la première entreprise d' appareils électroménagers de la région. Nous réaffirmons notre engagement à fournir des produits de premier ordre aux consommateurs de la région MENA, en mettant l'accent sur la qualité et la durabilité. Nous continuerons à donner la priorité au bien-être de la planète et de ses habitants, et nous resterons attentifs aux besoins de nos consommateurs, de nos communautés et de nos employés tout en continuant à croître et à évoluer de manière durable".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La croissance économique du Maroc améliorée à 4,1% au T4-2023 (HCP) || subtitle : Le Maroc a enregistré une amélioration de la croissance économique nationale qui s'est établie à 4,1% au lieu de 0,7% durant la même période de l'année 2022, indique le Haut-Commissariat au Plan (HCP). Cette croissance a été tirée par la demande intérieure dans un contexte de maitrise de l'inflation et d'une hausse du besoin de financement de l'économie. || body : L’arrêté des comptes nationaux du quatrième trimestre 2023 fait ressortir une amélioration de la croissance économique nationale qui s’est établie à 4,1% au lieu de 0,7% durant la même période de l’année 2022. Les activités non agricoles ont affiché une augmentation en volume de 4,1% et celles du secteur agricole une hausse de 5,8%. Tirée par la demande intérieure, cette croissance a été réalisée dans un contexte de maitrise de l’inflation et d’une hausse du besoin de financement de l’économie nationale. Services : Seuls 34% des chefs d'entreprises s’attendent à une hausse de l’activité Le secteur tertiaire continuerait à faire preuve du dynamisme, mais sa vigueur serait de moins en moins perceptible. Une enquête de conjoncture du HCP auprès des opérateurs du secteur montre qu’un peu plus d’un tiers seulement des chefs d'entreprises du secteur des services marchands non financiers s’attendent à une hausse de l’activité pour ce quatrième trimestre 2023 et 26% redoutent une baisse. Pour le secteur du commerce de gros, 59% des patrons anticipent une stabilité du volume global des ventes et 23% d’entre eux s’attendent à une hausse. Une croissance économique soutenue par les activités des industries et d’agriculture La valeur ajoutée du secteur secondaire en volume, corrigée des variations saisonnières (cvs), a enregistré une augmentation de 7,4% au quatrième trimestre 2023 au lieu d’une baisse de 3,6% durant la même période en 2022. Ceci a été le résultat de la hausse des valeurs ajoutées: • de l’industrie d’extraction de 16,4% au lieu d’une baisse de 15,7%; • des industries manufacturières de 8% au lieu d’une stagnation; • du bâtiment et travaux publics de 2,4% au lieu d’une baisse de 7,1%; • de l’électricité, gaz, eau, assainissement et déchets de 4,2% au lieu d’une baisse de 7,7%. De son côté, la valeur ajoutée du secteur primaire, a réalisé une hausse de 4,6% au quatrième trimestre 2023 au lieu d’une baisse de 12,4% le même trimestre de l’année précédente. Cette évolution s’explique par la hausse de l’activité de l’agriculture de 5,8% au lieu d’une baisse de 13,1% et de la baisse de celle de la pêche de 14,9% au lieu d’une baisse de 2,3%. Par ailleurs, la valeur ajoutée du secteur tertiaire a enregistré un ralentissement de son taux d’accroissement passant de 5,1% le même trimestre de l’année précédente à 2,8%. Elle a été marquée par le ralentissement des activités de: • Hébergement et restauration à 6,9% au lieu de 63,2%; • Recherche et développement et services rendus aux entreprises à 3,7% au lieu de 5,3%; • Services financiers et assurances à 3,6% au lieu de 7,9%; • Services rendus par l’Administration publique générale et la sécurité sociale à 2,5% au lieu de 2,7%; • Services de l’éducation, de la santé et de l’action sociale à 1,8% au lieu de 4,9%; et de l’amélioration de celles de : • Transports et entreposage de 3,7% au lieu de 3,6%; • Services immobiliers de 2,4% au lieu de 1,5%; • Commerce et réparation de véhicules de 2% au lieu d’une baisse de 1,3% ; • Information et communication de 2% au lieu d’une baisse de 1,2%. De ce fait, la valeur ajoutée du secteur non agricole a connu une augmentation de 4,1% durant le quatrième trimestre 2023 au lieu de 2,2% une année auparavant. Dans ce contexte, et compte tenu de l’accroissement du volume des impôts sur les produits nets des subventions de 2,6% au lieu de 3,9%, le Produit Intérieur Brut a affiché une croissance de 4,1% au lieu de 0,7% durant le quatrième trimestre de l’année précédente. Le niveau général des prix en baisse Aux prix courants, le PIB a connu une hausse de 6,7% au lieu de 4,3% au quatrième trimestre 2022 dégageant ainsi un ralentissement du niveau général des prix à 2,6% au lieu de 3% le même trimestre de l’année précédente. Hausse de la demande intérieure La demande intérieure a enregistré une augmentation de son taux d’accroissement de 8,1% au quatrième trimestre 2023 après une baisse de 1,6% la même période de l’année 2022, avec une contribution à la croissance économique nationale de 9,4 points. C’est ainsi que l’investissement brut (formation brute de capital fixe, variation des stocks et acquisition nette d’objets de valeurs) a connu une forte hausse de son taux d’accroissement passant de (-4,1%) en quatrième trimestre 2022 à 19,6%, contribuant ainsi à la croissance économique de 6,6 points au lieu d’une contribution négative de 1,3 point. De son côté, les dépenses de consommation finale des ménages ont affiché une augmentation de 3% au lieu d’une baisse de1,6%, avec une contribution à la croissance de 1,9 points. De même, la consommation finale des administrations publiques a enregistré une hausse de 4,6% au lieu de 2,6% la même période de l’année précédente, avec une contribution à la croissance économique de 0,9 point. Les exportations enregistrent un ralentissement à 6,4% au lieu de 20,1% Au niveau des échanges extérieurs, les importations de biens et services ont affiché une hausse de 13,3% au lieu de 9,4%, avec une contribution négative à la croissance économique de 8,2 points au lieu d’une contribution négative de 4,3 points le même trimestre de l’année dernière. De leurs côté, les exportations ont enregistré un ralentissement à 6,4% au lieu de 20,1%, avec une contribution à la croissance économique de 2,9 points au lieu de 6,7 points durant la même période de l’année passée. Dans ce cadre, les échanges extérieurs de biens et services ont dégagé, au quatrième trimestre 2023, une contribution négative à la croissance économique, se situant à (-5,2) points au lieu d’une contribution positive de 2,4 point une année passée. Hausse du besoin financement de l’économie nationale Avec la hausse de 6,7% du PIB aux prix courants et la baisse de 2,3% des revenus nets reçus du reste du monde, le revenu national brut disponible s’est accru de 6% au quatrième trimestre 2023 au lieu de 6,3% le même trimestre de l’année précédente. Compte tenu du ralentissement de la consommation finale nationale en valeur à 6% au lieu d’une hausse de 8,3% enregistrée une année auparavant, l’épargne nationale s’est située à 26,7% du PIB au lieu de 26,9%. L’investissement brut (formation brute de capital fixe, variation des stocks et acquisition nette d’objets de valeurs) a représenté 29,2% du PIB au lieu de 27,6% durant le même trimestre de l’année précédente. Le besoin de financement de l’économie nationale a connu ainsi une hausse, passant de 0,8% du PIB à 2,5%.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Gaz : La production marocaine devrait dépasser 1,5 milliard de Nm³ vers 2030 (Amina Benkhadra) || subtitle : L’Onhym est sur tous les fronts. Entre le projet de Gazoduc africain Atlantique reliant le Nigeria au Maroc et la gestion totale du Gazoduc Maghreb-Europe depuis 2021, l’Office poursuit avec détermination son rôle de catalyseur de l’exploration pétrolière au Maroc. Sa directrice générale, Amina Benkhadra, revient en détail sur le potentiel de production du Royaume ainsi que sur les investissements engagés ou prévus dans les infrastructures gazières. || body : Le Matin : L’augmentation de la part des énergies renouvelables dans le mix électrique national requiert l’accès à des combustibles compétitifs et bas carbone tel que le gaz naturel. Où en est le Maroc actuellement en matière d’approvisionnement en gaz naturel produit localement et pour quelles utilisations ? Amina Benkhadra : Comme vous le savez, le Maroc s’est engagé dès 2009 dans une transition énergétique sobre en carbone avec pour orientations : • La mise en place d’un bouquet énergétique diversifié et optimisé, notamment pour la production électrique, autour de choix technologiques propres, fiables et compétitifs. • Le développement à grande échelle des ressources nationales considérables en énergies renouvelables, en particulier le solaire et l’éolien. • La promotion de l’efficacité énergétique, érigée en priorité nationale. • La mobilisation des ressources nationales fossiles par l’intensification de l’exploration pétrolière. • L’intégration dans le système énergétique régional africain et euro-méditerranéen pour renforcer la sécurité énergétique et les transferts de technologies. • L’application en amont des dispositifs de préservation de l’environnement dans toutes les activités énergétiques. Cette stratégie est basée sur la réalisation d’un mix énergétique ouvert, incluant toutes les sources d’énergie : énergies renouvelables (solaire, éolien, hydraulique), gaz et charbon propre. Gaz : le programme de développement des infrastructures franchit un nouveau cap Les infrastructures d'importation de gaz naturel liquéfié, de stockage, de regazéification et de transport de gaz naturel seront bientôt renforcées. Le port de Nador West Med jouera un rôle pionnier dans le cadre du programme de développement coordonné par Leila Benali, Nizar Baraka et Nadia Fettah Alaoui. Détails. Le choix des énergies renouvelables (EnR) est un choix stratégique pour développer les ressources nationales abondantes et contribuer au développement durable. En effet, le Maroc dispose d’atouts considérables pour réaliser cette transition et notamment à travers la réalisation des Plans solaire et éolien, lancés par Sa Majesté le Roi Que Dieu l’Assiste avec un objectif de 52% d’EnR de la puissance électrique totale en 2030. Dans le cadre de cette transition, le Maroc développe non seulement les énergies renouvelables, mais également le gaz. En effet, de manière globale, le gaz reste un vecteur essentiel de la transition énergétique, on peut même dire que c’est la colonne vertébrale de la transition énergétique. Le gaz reste une énergie nécessaire pour assurer l’équilibre des réseaux. L’Onhym en tant qu’opérateur dans les hydrocarbures, promeut l’utilisation du gaz naturel qui est une énergie propre et essentielle pour l’équilibre du mix énergétique avec des énergies renouvelables. La production locale est aujourd’hui localisée au niveau des bassins du Gharb et d’Essaouira pour répondre aux besoins des industriels principalement. Ainsi au niveau des bassins du Gharb, le gaz produit alimente les industriels du secteur automobile : Stellantis et son écosystème et au niveau du bassin d’Essaouira le gaz naturel et le condensat produit sont destinés aux unités de séchage et de calcination de l’Office Chérifien des phosphates (OCP) situées à Youssoufia. Nous avons des régions qui présentent du potentiel. De nombreuses zones ont montré des indices d’huile ou de gaz. Trois projets sont en phase d’études pour une production à partir de 2025. Il s’agit du champ de Tendrara à l’Est, de Anchois au large de Larache et du Grand Meskala au niveau d’Essaouira. Par ailleurs, depuis l’arrêt du gazoduc Maghreb Europe, l’Onhym avait préparé la solution de repli et organisé le flux inverse (reverse flow). L’ONEE achète du gaz naturel liquéfié à l’international et l’Onhym, qui gère le gazoduc, se charge de son transport jusqu’aux centrales de Tahaddart et Aïn Bni Mathar. Par ailleurs, il convient de souligner que l’Onhym a engagé, conformément à la demande des pouvoirs publics, le développement des activités de transport et de stockage du gaz naturel (secteur Midstream) à travers, notamment : • Le Projet stratégique du gazoduc africain Atlantique Nigéria-Maroc, dont les études sont bien avancées. • La mise en place d’une société dédiée en charge des opérations et de la maintenance des infrastructures gazières. • La gestion du Gazoduc Maghreb-Europe (GME) avec l’inversion du sens de circulation («reverse flux») du gaz naturel depuis l’Espagne. Cette première historique a été possible grâce aux efforts d’anticipation de l’Onhym qui a préparé les outils nécessaires à la mise en œuvre d’une solution de repli dans le cas où cela se serait avéré nécessaire. Ainsi, l’Onhym a finalisé les dispositions réglementaires avec ses homologues espagnoles et réalisé les travaux nécessaires pour approvisionner le Maroc depuis l’Espagne, ce qui a permis, la livraison sans délai du gaz naturel acheté par l’ONEE sur les marchés internationaux depuis l’Espagne à travers le GME. • La mise en place d’un plan de développement des infrastructures de transport et de stockage de gaz naturel dans le cadre de la stratégie gazière nationale. Peut-on avoir une idée sur le potentiel du Maroc dans le gaz ? Les bassins sédimentaires marocains présentent un potentiel en gaz intéressant avec des systèmes pétroliers diversifiés allant du Paléozoïque au Néogène en termes d’âge, et qui ont généré différents types de gaz incluant du gaz biogénique dans le bassin de Gharb, du condensat et/ou du gaz thermogénique dans le bassin d’Essaouira et dans la zone de Tendrara. En onshore, le bassin du Gharb, lieu de la première découverte en Afrique du Nord, continue de susciter l’intérêt des sociétés pétrolières internationales. SDX Energy y a récemment mis en évidence plusieurs découvertes commerciales de gaz. Les nombreux gisements de petite taille et peu profonds découverts à ce jour se sont révélés très rentables en raison de l’étendue du réseau de gazoducs et de la forte demande industrielle locale : automobile, papeterie, matériaux de construction.... Le bassin d’Essaouira onshore est un bassin producteur du gaz et du condensat à partir du Trias et du pétrole à partir du Jurassique. Le gaz produit dans le bassin d’Essaouira est vendu à l’Office Chérifien des phosphates pour alimenter son centre minier de Youssoufia. La région de Tendrara située dans la partie nord-est du Royaume fait l’objet de travaux importants et représente aujourd’hui un nouveau lieu de prospection des hydrocarbures au Maroc. À la suite des travaux d’exploration menés par l’Onhym et Sound Energy qui ont été couronnés de succès, une concession de production a été attribuée à notre partenaire pour le développement (en cours) et la production du champ gazier. Enfin, plusieurs autres bassins sédimentaires sont connus pour leur potentiel gazier révélé par d’anciens forages et des indices, il s’agit essentiellement des bassins de Guercif Zag, Boudenib, Missour, Doukkala, Tadla, et qui sont tous en phase d’exploration et d’évaluation par les moyens propres de l’Onhym. En offshore atlantique, le potentiel gazier est important, la découverte récente réalisée par notre partenaire Chariot a permis d’identifier un gisement commercial de gaz où des travaux d’évaluation et de simulation des réservoirs ont été menés en 2022 et 2023, suivis par des études de faisabilité économique et d’ingénierie comprenant des expertises sur l’impact environnemental. En ce qui concerne la zone offshore sud, dans le bassin de Boujdour, et durant la période 2000-2022, un seul puits a été foré en 2014 dans cette vaste zone d’environ 200.000 km², et qui a mis en évidence une accumulation de gaz et de condensat dans les turbidites du Crétacé. La production de gaz naturel du pays a atteint 100 millions de Nm³ et elle augmentera dans les années à venir avec les travaux de développement programmés. Ainsi, la production du pays devrait dépasser 1,5 milliard de Nm³ (normo-mètre cube, Ndlr) vers 2030, dont plus de 50% proviendrait de l’offshore (découverte d’Anchois) et le reste à partir des bassins de l’onshore : Essaouira, Gharb et Tendrara. Où en sont les investissements dans les infrastructures gazières ? a- Les infrastructures gazières existantes sont concentrées au niveau des zones où des activités d’exploration, de développement et de production sont localisées : Gharb et Essaouira. Plusieurs canalisations et installations de traitement permettent l’acheminement du gaz des puits producteurs vers les consommateurs. b- Infrastructures à développer pour l’exploitation des champs de Tendrara et Anchois. Bassin de Tendrara : Les travaux de développement de la découverte de Tendrara sont en cours d’exécution en partenariat avec la société Sound Energy. Ainsi, pour le projet de la première phase de développement, qui consiste à produire du gaz naturel liquéfié sur place, les principales composantes des unités de traitement de liquéfaction et de transport de gaz sont en cours de fabrication en usine et ils seront livrés incessamment sur site. Les travaux d’installation des équipements de traitement, de liquéfaction et de stockage sur site seront achevés durant cette année pour un démarrage de production prévu durant le premier semestre 2025. Le gaz naturel produit sera destiné à alimenter les industriels. Une deuxième phase de développement est prévue et consiste à construire un gazoduc de 120 km pour relier le site de production au Gazoduc Maghreb-Europe ainsi que le forage de plusieurs puits. La production sera destinée à alimenter les centrales électriques de l’ONEE. Un projet de développement de la découverte d’Anchois est en cours d’étude pour définir les grandes lignes d’un développement basé sur la connexion de la découverte offshore à l’onshore pour rejoindre une unité de traitement de gaz naturel et par la suite, le gaz produit sera transporté au GME, à travers l’installation d’un gazoduc de transport d’une quarantaine de km. c- Développement de la Dorsale Atlantique, composante sur le territoire marocain du Gazoduc africain Atlantique Nigéria-Maroc. Le Projet stratégique du gazoduc africain Atlantique Nigéria-Maroc fait l’objet d’études d’ingénierie détaillées. Dans ce cadre, les premiers tronçons de la dorsale atlantique reliant le GME à Kénitra et Mohammedia d’une longueur de 220 km sont à l’étude pour une construction à court terme. Le Gazoduc Maghreb-Europe est aujourd’hui géré par l’Onhym.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Ouezzane : Sadiki lance plusieurs projets de développement agricole et rural || subtitle : Pour faciliter la commercialisation des produits agricoles, il sera procédé à l'aménagement de 164 km de pistes rurales au niveau de 17 communes territoriales de la province de Ouezzane, regroupant 42 douars de près de 22.000 habitants. || body : Le Ministre de l'Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural, et des Eaux et Forêts, Mohammed Sadiki, a effectué le mercredi 03 avril 2024, une visite de terrain au niveau de la Province de Ouezzane dans la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Il était accompagné du Gouverneur de la Province de Ouezzane, du Président de la chambre régionale d’agriculture, des élus ainsi qu’une importante délégation de responsables du ministère. La visite a porté sur le lancement de plusieurs projets de développement agricole et rural dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie Génération Green ainsi que l’état d’avancement de la campagne agricole. Sadiki lance des projets d'agriculture solidaire à Youssoufia et Safi Deux projets d’agriculture solidaire de plantation de cultures résilientes aux changements climatiques, inscrits dans le cadre de la Stratégie Génération Green, ont été lancés respectivement, dimanche dans les provinces de Youssoufia et de Safi, par le ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, Mohammed Sadiki. Lancement du programme des pistes 2024-2025 au niveau de la Province de Ouazzane Au niveau de la commune territoriale Zoumi , le Ministre a lancé le programme des pistes 2024-2025 à l’échelle de la Province de Ouezzane. Il s’agit de l'aménagement de 164 km de pistes rurales au niveau de 17 communes territoriales de la province, regroupant 42 douars de près de 22.000 habitants. D’un coût total de 157,50 millions de dirhams, ce programme vise à désenclaver la population, à faciliter la commercialisation des produits agricoles , notamment les olives et les figues, à améliorer les conditions de vie de la population rurale, à réduire l’exode rural, à améliorer l’accès aux équipements publics et à encourager le tourisme rural . A cette occasion, le Ministre a présidé le lancement des travaux d’aménagement de 9 km de pistes rurales reliant la route Moqrissat-Zoumi et Douar Kliaa au niveau de la commune territoriale Zoumi. D’un coût total de 6,5 millions de dirhams, le projet profite à plus de 1000 habitants des douars Kliaa, Laoua, et Oulad Bentamou. Lancement d'un projet de plantation de cactus résistants à la cochenille Au niveau de la commune territoriale Sidi Ahmed Cherif, le Ministre a lancé un projet d'agriculture solidaire de nouvelle génération. D'un coût global de 40,3 millions de dirhams, ce projet vise à développer et diversifier les systèmes des filières de production et relancer l'emploi dans les communes territoriales de Lamjara, Sidi Bousber et Sidi Ahmed Cherif. Il comprend la plantation d’une superficie de 1.700 hectares (olivier, caroubier et figuier), le développement de la production laitière à travers la construction d'un centre de collecte de lait , le développement de la filière apicole à travers l'acquisition de ruches peuplées et du matériel technique ainsi que l’aménagement des pistes agricoles et l’aménagement et l’équipement des points d'eau . Le projet comprend également l’accompagnement et le renforcement des capacités des coopératives et des bénéficiaires ainsi que la promotion de l'emploi à travers des activités génératrices de revenus au profit des jeunes ruraux et des femmes rurales ainsi que la création et l’encouragement des entreprises de services agricoles au profit des jeunes. Le projet profite à 1.094 bénéficiaires, dont 356 jeunes et 212 femmes. A cette occasion, le Ministre a procédé au lancement des travaux d’aménagement de 6 km de pistes rurales au niveau de la commune Sidi Ahmed Cherif. D’un coût total de 6,7 millions de dirhams, le projet profite à plus de 2000 habitants des douars Mejmoula, Wlad Nhar et Wlad Haddad. Il vise à désenclaver la population, à améliorer l’accès aux services de base, à encourager les activités économique s et à diversifier les sources de revenus de la population. Dans la même commune, le Ministre a lancé un projet de plantation de 150 hectares de cactus résistant à la cochenille au niveau des communes de Sidi Boussber et Sidi Ahmed Cherif. D’un coût total de 1,5 millions de dirhams, ce projet vise à étendre les superficies plantées de cactus résistant à la cochenille, à améliorer le revenu des agriculteurs , à valoriser et à adopter des cultures résistantes aux changements climatiques . Le projet profite à 100 agriculteurs et permettra la création de 5000 jours de travail/an. Lancement de l’opération d’irrigation du périmètre Asjen lié au barrage Oued Al-Makhazine Au niveau de la commune territoriale Mezfroune, le Ministre a pris connaissance de l’état d’avancement des différentes composantes du projet d’aménagement hydro-agricole Asjen lié au barrage Oued al-Makhazin . L’aménagement et l’équipement de ce périmètre s’inscrit dans le cadre de la stratégie Génération Green. Il a pour objectif d’augmenter la production agricole, de valoriser les ressources en eau à travers l’équipement des exploitations en goutte à goutte et d’améliorer le revenu des agriculteurs. A noter que le barrage Oued Al-Makhazine dispose d’une capacité de retenue de 673 Millions de m3 avec un volume annuel réservé à l’irrigation du périmètre Asjen qui s’élève à 15 Millions de m3. A cette occasion, le Ministre a donné le coup d’envoi de l’opération d’irrigation en goutte à goutte de la 3ème tranche du périmètre Asjen, d’une superficie de 100 Ha équipée et valorisée par des cultures maraichères , betterave sucrière , des plantes aromatiques et médicinales et des arbres fruitiers . Le Ministre a également pris connaissance de l’état d’avancement de la campagne agricole 2023-2024 et les principales mesures prises pour l’encouragement des agriculteurs, notamment la distribution des engrais azotés et de l’orge subventionnée ainsi que les subventions des plants de tomate ronde et d'oignon et celles des semences de pomme de terre.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Les transferts des MRE en hausse de 1,5% à fin février 2024 || subtitle : Les transferts des Marocains résidant à l’étranger (MRE) se sont élevés à 17,7 MMDH à fin février 2024, en hausse de 1,5% par rapport à la même période de l'année dernière, selon les derniers chiffres de l'Office des Changes. || body : Les transferts de fonds effectués par les Marocains résidant à l’étranger (MRE) ont atteint 17,70 milliards de dirhams (MMDH) à fin février 2024, contre 17,44 MMDH une année auparavant, selon l'Office des Changes. Ces transferts ressortent ainsi en hausse de 1,5% (+259 millions de dirhams (MDH)) depuis le début de l'année, précise l'Office dans son bulletin sur les indicateurs mensuels des échanges extérieurs du mois de février. Avoirs à l'étranger: L'opération de régularisation spontanée lancée L'Opération de régularisation spontanée (ORS), lancée en application de l'article 8 de la loi de finances n°55.23 pour l'année budgétaire 2024, s'étalera sur la période allant du 1er janvier jusqu'au 31 décembre 2024, annonce l'Office des changes. L'Office fait aussi état d'un excédent de la balance de services en baisse de 3,1% (-629 MDH). Cette évolution s’explique par une hausse de 13% des importations de services , plus importante que celle des exportations (+4,6%), précise la même source. S’agissant des recettes voyages , elles se sont établies à 14,87 MMDH à fin février 2024, contre 15,94 MMDH un an auparavant, soit une baisse de 6,7% (-1,06 MMDH). En revanche, les dépenses voyages se sont chiffrées à 4,71 MMDH à fin février 2024, contre 3,68 MMDH à fin février 2023 (+28,1%). L’excédent des voyages s’est ainsi établi à 10,16 MMDH sur la même période contre 12,25 MMDH un an auparavant.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La 2ème édition du Forum International de la Chimie, les 15 et 16 mai à Rabat || subtitle : La deuxième édition du Forum International de la Chimie se tiendra les 15 et 16 mai 2024 à Rabat, sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a annoncé, lundi, la Fédération de la Chimie et de la Parachimie (FCP). || body : Ce forum, qui sera organisé en partenariat avec le ministère de l'Industrie et du Commerce et l'Agence marocaine de développement des investissements et des exportations (AMDIE), mettra l'accent sur l'industrie des batteries à hautes performances et vise à réunir l'ensemble des parties prenantes engagées dans l'industrie chimique , indique la FCP dans un communiqué. >> Lire aussi : Les perspectives et les défis du secteur de la Chimie (Forum international) "La demande mondiale pour les voitures électriques ne cesse de croître, et grâce aux nombreux projets en cours, le Maroc, doté de ressources abondantes en phosphate et en cobalt, est en passe de devenir un acteur de premier plan dans la chaîne de valeur des batteries lithium-ion à hautes performances pour l'industrie automobile ", fait savoir la même source. Dans cette perspective, cette rencontre d'envergure ambitionne d'établir des alliances avec des acteurs internationaux de renom, dans le but de faciliter la création d'un écosystème dédié aux batteries à hautes performances au Maroc. Cette initiative ouvrira la voie à une nouvelle ère pour l'industrie de la chimie et placera le Royaume comme hub mondiale de la chimie. Concernant le programme, de nombreuses personnalités gouvernementales et du monde des affaires prendront part à la séance plénière officielle du forum. D'autres interventions auront lieu sous forme de keynotes et de tables-rondes portant sur plusieurs thématiques, notamment "le marché mondial des batteries à hautes performances", "le rôle du Maroc en tant que carrefour des investissements industriels et locomotive pour l'industrie chimique en Afrique", "les incentives pour accompagner l'écosystème des batteries à hautes performances dans le Royaume, la question du capital humain dans l'industrie des batteries, etc". À noter qu'un village de la chimie accueillera plusieurs leaders de l'industrie chimique nationale et internationale, dans un espace d'exposition dédié en marge du forum.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Cigarettes, cigares, tabacs à chauffer... voici les nouveaux prix au Maroc || subtitle : La liste détaillée des nouveaux prix appliqués pour la vente de plusieurs marques de cigarettes, cigares ou encore de tabacs à chauffer au Maroc, à partir du 1er avril 2024, a été publiée par l'Administration des Douanes et Impôts Indirects (ADII). La liste comprend également les prix de vente au public de nouvelles marques homologuées. Détails. || body : Du nouveau pour les fumeurs de cigarettes, cigares, cigarillos et tabacs à chauffer . L' Administration des Douanes et Impôts Indirects (ADII) a annoncé qu'un arrêté de la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui , apporte des modifications à la liste des prix de vente au public des tabacs manufacturés à partir de ce lundi 1er avril 2024. Voici les nouveaux prix des cigarettes au Maroc La liste détaillée des nouveaux prix appliqués pour la vente des cigarettes au Maroc à partir du 1er janvier 2024 a été publiée au Bulletin Officiel. La hausse varie entre 50 centimes et 10 DH. La nouvelle circulaire comprend les prix de vente des nouvelles marques homologuées des tabacs manufacturés ; les augmentations de prix de certaines marques déjà homologuées ; le changement de dénomination de certaines marques ; et les produits des tabacs manufacturés supprimés de la liste des prix de vente au public. Pour consulter la circulaire de l'ADII, cliquez sur télécharger.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La BERD sur le point d’accorder un financement majeur au groupe Crédit Agricole du Maroc || subtitle : Suite à la signature en février dernier d’un accord de coopération stratégique, la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) s’apprête à accorder au groupe Crédit Agricole du Maroc une première ligne de financement. Ce prêt senior non garanti sera octroyé en deux tranches, dont la première est en cours d’approbation par la BERD afin d’accompagner la banque marocaine dans le renforcement de son soutien aux micro, petites et moyennes entreprises, notamment celles situées dans les régions affectées par le séisme du 8 septembre 2023. || body : En février dernier, le groupe Crédit Agricole du Maroc (CAM) et la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) ont signé un mémorandum d’entente pour favoriser l’ inclusion financière dans le pays. Suite à cet accord de collaboration, la BERD s’apprête à accorder à la banque marocaine un prêt senior non garanti à hauteur de 50 millions d’euros (environ 550 millions de DH) en deux tranches égales. Une première tranche de 25 millions d’euros est en cours d’approbation par la BERD. L’objectif de ce financement est d’augmenter la capacité de financement du Groupe Crédit Agricole du Maroc à soutenir les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), en mettant l’accent sur celles situées dans les régions affectées par le séisme du 8 septembre 2023. Post-séisme, finance verte, inclusion financière... Crédit Agricole du Maroc et la BERD s’allient Le Groupe Crédit Agricole du Maroc et la BERD s'allient pour favoriser l’accès au financement dans les domaines de la reconstruction post-séisme, de l’inclusion financière et l’économie verte au Maroc. Rappelons que le mémorandum d’entente , signé en février dernier, fixe un cadre global de coopération entre les deux Institutions, portant principalement sur la mise en place d’une ligne de financement pour accompagner et appuyer les activités économiques dans les régions touchées par le séisme ainsi qu’un soutien financier pour la transition vers une économie verte au Maroc , notamment dans les secteurs agricole et agroalimentaire, d’énergie renouvelable et de protection de l’environnement. S’ajoutent un soutien à l’ inclusion financière et la digitalisation des populations et régions défavorisées et un appui aux entreprises exportatrices pour contribuer à une meilleure intégration des chaînes de valeur. Pour la BERD , le prêt de 50 millions d’euros, qui sera accordé en deux tranches au groupe CAM, contribuera à la construction d’une économie plus compétitive et résiliente au Maroc en soutenant le financement des MPME. Une attention particulière sera accordée à la distribution des fonds sur les marchés/régions peu desservis pour favoriser l’accès au financement en faveur de nouveaux clients, notamment dans les zones affectées par le séisme. À noter que CAM est la quatrième plus grande banque marocaine en termes d’actifs. En termes de financement , la machine du groupe CAM a tourné à plein régime l’année dernière. L’encours consolidé de crédits distribués a atteint 113 milliards de dirhams à fin décembre 2023, marquant une progression de 5%. Ainsi, la banque réaffirme son engagement pour l’accompagnement de la dynamique de relance économique nationale, tout en renouvelant son soutien à la petite agriculture et au monde rural dans sa globalité. Et avec cet appui financier prévu de la BERD , le groupe Crédit Agricole du Maroc montera encore en puissance dans son soutien aux entreprises, notamment les TPE et les PME .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Zone logistique d’Aït Melloul : dernière ligne droite pour la commercialisation de la première tranche || subtitle : Alors que les travaux d’aménagement de la zone logistique au sud d’Aït Melloul touchent à leur fin, l’Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) se prépare à franchir une étape décisive. Il s’agit de la commercialisation de cette nouvelle infrastructure stratégique auprès des investisseurs et opérateurs économiques. Ce projet ambitieux vise à renforcer la compétitivité des entreprises et à consolider la vocation de Souss-Massa comme plateforme d’échanges, tant au niveau national qu’africain. || body : Une nouvelle réalisation majeure se profile pour l’Agence marocaine de développement de la logistique . Elle s’apprête à faire un grand pas en avant, à finaliser les travaux et à lancer la commercialisation de la zone logistique au sud d’ Aït Melloul . Un projet ambitieux qui vise à renforcer la compétitivité des entreprises et la vocation de Souss-Massa comme plateforme d’échanges, notamment vers le marché national, et au-delà vers les marchés africains. Il s’agit d’une infrastructure logistique moderne et fonctionnelle destinée à accueillir des investisseurs pour la mise en place d’installations logistiques. De nouvelles zones logistiques dans plusieurs villes du Maroc à l’horizon 2028 (AMDL) L’Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) prévoit la réalisation d’un programme prioritaire de zones logistiques dans plusieurs villes du Royaume à l’horizon 2028, annonce le ministère du Transport et de la Logistique, dans un communiqué publié à l'issue d'un conseil d'administration. Rappelons qu’en en mai 2021, l’AMDL avait lancé les travaux de développement de la première tranche de la zone logistique au sud d’Aït Melloul, située dans la commune de L’qliâa. Ce chantier a fait l’objet d’une convention spécifique définissant les engagements des différentes parties prenantes à ce projet, dont l’investissement global s’élève à 350 millions de DH, financé à hauteur de 250 millions de DH par l’État et 100 millions de DH par la région de Souss-Massa. La première tranche de cette zone logistique comprend une variété de lots aménagés pour répondre aux besoins divers des opérateurs économiques. L’offre comprend 58 lots dédiés aux composantes logistiques. Il s’agit d’entrepôts, de bâtiments frigorifiques, de bâtiments de stockage PME/PMI ainsi que de sites logistiques spécifiques destinés aux activités relatives au transport, au stockage, à la distribution de marchandises et aux activités de transformation légères. S’ajoutent des lots de stockage et de commercialisation des matériaux de construction et des bâtiments de messagerie. L’offre inclut également 6 lots composant un centre routier comprenant des espaces fonctionnels, notamment un espace de stationnement des poids lourds (200 places) avec des équipements pour services de proximité (vestiaire/salle de prière, salle multi-usage, infirmerie, service de gestion), une station de carburant/lavage, un restaurant/supérette, deux ateliers et un Motel. Et ce n’est pas tout. Le projet propose aussi 1 lot dédié à un centre de formation. Ces infrastructures offriront des opportunités d’investissement tant pour le secteur public que privé, favorisant ainsi le développement économique et la création d’emplois dans la région. En cours de réalisation, l’achèvement des travaux d’aménagement in-site et hors-site relatifs au projet est prévu au troisième trimestre de l’année en cours. La convention spécifique relative au projet prévoit l’attribution des différents lots composant le projet par la Commission régionale unifiée d’investissement (CRUI). Afin de procéder à la commercialisation de cette offre, une première proposition de démarche de commercialisation a été élaborée par l’AMDL en vue de définir les modalités de commercialisation de l’offre et a permis la production des documents préliminaires regroupant les conditions générales et le règlement de consultation pour les différentes composantes de l’offre à commercialiser. Pour finaliser la stratégie de commercialisation, I’AMDL planche actuellement sur le recrutement d’un expert spécialisé qui l’accompagnera notamment dans la définition des modes de commercialisation les mieux adaptés aux objectifs assignés au projet. L’objectif aussi est de pouvoir attirer des investisseurs en ligne avec les vocations logistiques de la zone d’Aït Melloul en envisageant éventuellement des mécanismes de partenariat avec des acteurs publics. L’enjeu est de taille, car une commercialisation réussie de la zone logistique d’Aït Melloul contribuera non seulement au développement économique régional, mais également à la consolidation de la position du Maroc en tant que plaque tournante logistique en Afrique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Immobilier: Al Omrane créera 30.058 titres fonciers en 2024 || subtitle : Le plan d'action d'Al Omrane pour l'année 2024 a été dévoilé à l'occasion d'une réunion de surveillance du groupe. Plusieurs projets sont dans le pipe, parmi lesquels la création de 30.058 titres fonciers. || body : La ministre de l'Aménagement du territoire national, de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Politique de la ville, et Vice-présidente du Conseil de surveillance du Groupe Al Omrane (GAO) , Fatima Ezzahra El Mansouri , a présidé, mardi dernier, une réunion de ce Conseil consacrée à l'évaluation des résultats du groupe au titre de l'année 2023 et de son plan d'action 2024. Trophée "LABEL RSE-CGEM": Le groupe Al Omrane primé pour ses initiatives socialement responsables Le Groupe Al Omrane a annoncé, jeudi, que neuf de ses filiales ont reçu le Trophée du Label RSE-CGEM (Responsabilité Sociétale des Entreprises de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc). S'agissant du plan d'action de 2024, le président du Conseil d'administration du GAO, Housni El Ghazaoui a indiqué que le GAO compte réaliser 16.679 nouvelles unités de production et 28.421 unités en partenariat . Le groupe Al Omrane prévoit aussi d'achever les travaux de réalisation de 28.908 nouvelles unités de production et 9.478 unités en partenariat, en plus de la délivrance de 16.080 contrats de vente et de la création de 30.058 titres fonciers . Côté investissement , il est prévu de mobiliser 5,5 MMDH et le chiffre d'affaires prévisionnel est estimé à 5,58 MMDH, en hausse de 31% par rapport à 2023. Concernant le bilan du groupe au titre de l'année 2023, M. El Ghazaoui, a précisé que le chiffre d'affaires d'Al Omrane a atteint plus de 4,26 milliards de dirhams (MMDH), avec un taux de réalisation de 101%, alors que les recettes de ventes se sont élevées à près de 4,73 MMDH, avec un taux de réalisation de 117% par rapport aux objectifs fixés auparavant et en hausse de 22% comparativement à 2022. Et de poursuivre que le groupe a mis en chantier 6.548 nouvelles unités de production et 38.255 unités de mise à niveau urbaine et a achevé 10.832 nouvelles unités de production et 43.235 unités de mise à niveau urbaine. À l'occasion de la réunion, Fatima Ezzahra El Mansouri a souligné l'importance de ce secteur et son rôle dans la dynamique économique et sociale que connaît le Maroc, évoquant les réformes en cours, notamment dans le domaine de l'habitat et du développement urbain , ainsi que dans l'amélioration de la performance des établissements et entreprises publics, indique un communiqué du ministère de l'Aménagement du territoire national, de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Politique de la ville. "Dans le cadre de l'exécution des Hautes Orientation Royales de Sa Majesté le Roi , que Dieu L'Assiste, le ministère s'est engagé dans une série d'initiatives et de mesures conformément aux recommandations du dialogue national sur l'urbanisme et l'habitat", a-t-elle dit, ajoutant que cette volonté s'est traduite par le programme d'aide directe au logement " Daam Sakane " qui vise à faciliter l'accès au logement pour les citoyens afin d'améliorer leurs conditions de vie, à promouvoir l'investissement et à créer de l' emploi dans le secteur de l'habitat. Mme El Mansouri a rappelé le rôle du groupe Al Omrane dans la mise en œuvre de la politique de l'État en matière d'aménagement, d'habitat et de développement territorial et ce, en tant qu'acteur public chargé de gérer aujourd'hui les principaux programmes publics. La ministre a également mis l'accent sur les engagements fixés lors de la précédente réunion du Conseil de surveillance, dont l'évaluation des activités du groupe Al Omrane et la présentation d'un diagnostic complet de sa situation et de ses perspectives d'amélioration et de développement, lesquelles doivent être en ligne avec la stratégie et les priorités du ministère de tutelle. En outre, elle a salué la dynamique observée au sein du groupe depuis la nomination de M. Housni El Ghazaoui à la présidence du Directoire du Groupe Al Omrane, rappelant la mobilisation du groupe lors du séisme qui a frappé le Maroc, en fournissant l'assistance technique pour le programme de reconstruction des zones sinistrées , ainsi que le lancement d'une plateforme numérique pour faciliter l'accès aux produits d'Al Omrane, dans le cadre d'une transparence totale et garantissant une meilleure proximité avec les citoyens. Mme El Mansouri s'est arrêtée, par la suite, sur les attentes du Conseil de surveillance à l'égard du groupe Al Omrane, invitant celui-ci à contribuer activement à l'élaboration des politiques publiques liées au secteur, à renforcer ses relations avec les partenaires centraux et régionaux, et à améliorer son efficacité et son efficience pour servir de modèle en matière de gouvernance, de transparence et de service aux citoyens.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Mobilité électrique : Marrakech se positionne pour devenir une référence nationale et africaine || subtitle : En partenariat avec le PNUD, le ministère de la Transition énergétique et du développement durable lancera une étude de faisabilité pour l'implantation d’un réseau de bornes de recharge publiques pour véhicules électriques, accessible et efficace, au niveau de la ville de Marrakech. Ce plan vise à faciliter la transition de Marrakech vers une mobilité plus propre et moins carbonée, alignée avec les objectifs nationaux et internationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. La ville ocre se positionne ainsi pour devenir une référence au Maroc et Afrique en termes de mobilité électrique et de durabilité urbaine. || body : Dans une démarche résolument tournée vers l'avenir et la durabilité, Marrakech s'apprête à franchir une nouvelle étape dans le domaine de la mobilité urbaine. En partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) au Maroc, le ministère de la Transition énergétique et du développement durable s'engage dans une étude de faisabilité pour l'implantation d'un réseau de bornes de recharge publiques dédiées aux véhicules électriques dans la ville. La ville ocre se positionne ainsi pour devenir une référence nationale et africaine en termes de mobilité électrique et durabilité urbaine. Marrakech, destination touristique de renommée mondiale, fait face à des défis de taille dans le secteur des transports. Avec une augmentation continue des véhicules individuels qui représentent aujourd'hui plus de 15% de la part modale, la ville connaît une augmentation constante de la congestion routière et de la pollution atmosphérique, accentuant les préoccupations relatives aux émissions de gaz à effet de serre. Ces problématiques mettent en lumière l'urgence de repenser les modes de déplacement urbains pour assurer un avenir plus sain et plus durable. Marrakech veut accélérer sa transition vers un modèle de ville plus durable En réponse à ces enjeux, la ville a initié diverses initiatives en faveur de la mobilité durable, telles que l'introduction de bus électriques, la création de pistes cyclables, et l'aménagement de trémies et de contournements routiers pour améliorer la fluidité des déplacements. Ces efforts sont complétés par une expérience pilote de vélos en libre-service et le développement d'un plan de mobilité urbaine durable de nouvelle génération. Dans ce contexte, le projet d'installation de bornes de recharge pour véhicules électriques à Marrakech représente une étape cruciale dans la transition vers un modèle de ville plus durable. Ce projet s'inscrit dans un enjeu global de mobilité électrique, marqué par la décision de plusieurs pays européens d'éliminer progressivement la production des véhicules thermiques d'ici 2035. Pour le Maroc, pays importateur de produits pétroliers, l'adoption de modes de déplacement durables, économes et sobres en carbone est une priorité stratégique. Le développement d'infrastructures urbaines et de technologies sobres en carbone, notamment la mobilité hybride, électrique et à hydrogène, est au cœur de cette stratégie. «Le changement de paradigme nécessite des actions d'exemplarité de la part de l'État et l'implémentation de projets d'infrastructures incitatifs. Ces initiatives sont cruciales pour encourager la population à embrasser cette révolution technologique et à participer activement à la transition vers une mobilité durable», détaille le ministère. Les efforts déployés par Marrakech pour installer des bornes de recharge électrique publiques vont directement dans ce sens, en rendant l'utilisation des véhicules électriques plus pratique et en sensibilisant le public à la nécessité de réduire les émissions de carbone. Ainsi, ces mesures constituent des étapes clés vers l'adoption large de la mobilité électrique, contribuant à un avenir énergétique plus durable pour la ville et pour le pays. Dans ce contexte, le ministère, en partenariat avec PNUD Maroc, s’apprête à lancer une étude de faisabilité relative à la mise en place d’un réseau de bornes de recharge publiques pour véhicules électriques au niveau de la ville de Marrakech. Un expert est en cours de recrutement pour mener cette étude qui a pour objectif concevoir un plan intégré et durable pour le déploiement de ces infrastructures, en étudiant notamment la faisabilité technique et financière du projet. «Ce plan vise à faciliter la transition de Marrakech vers une mobilité plus propre et moins carbonée, alignée avec les objectifs nationaux et internationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Il répondra aux besoins de mobilité actuels et futurs de la population, améliorera la qualité de vie urbaine, et contribuera à l'établissement d'une infrastructure de recharge accessible et efficace, essentielle pour soutenir l'adoption et l'usage des véhicules électriques», est-il souligné dans le document d’appel à consultation. À noter que ce chantier s’inscrit dans le projet de «Renforcement du développement durable de la ville de Marrakech à travers une planification et un financement innovants» : Marrakech, ville durable. Ce dernier représente une initiative majeure de coopération internationale. Porté par le département du Développement durable avec le soutien du PNUD, ce projet est financé par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM), pour une enveloppe budgétaire de 100 millions de dirhams. Il fait partie du Programme d’impact du FEM pour des villes durables, déployé dans seulement 9 pays au monde, dont le Maroc.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Un excédent budgétaire de plus de 16,8 milliards de DH à fin mars 2024 || subtitle : La situation des charges et ressources du Trésor dégage un excédent budgétaire de plus de 16,8 milliards de dirhams à fin mars 2024, contre un excédent de 6,2 milliards de DH durant la même période un an auparavant, selon la Trésorerie générale du Royaume (TGR). || body : Cet excédent tient compte d’un solde positif de 21,8 milliards de DH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’État gérés de manière autonome (SEGMA), indique la TGR dans son récent Bulletin mensuel de statistiques des finances publiques. D’après la même source, les recettes ordinaires brutes ont progressé de 11,7% à 94,9 milliards de DH, en raison de l’augmentation des impôts directs de 11,7%, des droits de douane de 6,9%, des impôts indirects de 6,6%, des droits d’enregistrement et de timbre de 9,1% et des recettes non fiscales de 35,2%. Pour ce qui est des dépenses ordinaires émises, elles se sont établies à 75,7 milliards de DH, en repli de 4,2% par rapport à fin mars 2023. Ainsi, le solde ordinaire enregistré à fin mars 2024 a été positif de 19,13 milliards de DH. La TGR fait également savoir que les dépenses émises au titre du Budget général ont été de 105,6 milliards de DH à fin mars 2024, en baisse de 1,1% par rapport à leur niveau à fin mars 2023, en raison de la diminution de 5,6% des dépenses de fonctionnement, conjuguée à la hausse de 2,8% des dépenses d’investissement et de 20,1% des charges de la dette budgétisée. L’augmentation des charges de la dette budgétisée s’explique par la hausse des remboursements du principal de 34,3% à 5,74 milliards de DH et des intérêts de la dette de 11% à 7,45 milliards de DH. S’agissant des engagements de dépenses, y compris celles non soumises au visa préalable d’engagement, ils se sont élevés à 201,2 milliards de DH au titre des trois premiers mois de 2024, représentant un taux global d’engagement de 27%, soit le même niveau à fin mars 2023 et un taux d’émission sur engagements de 67%. Par ailleurs, le bulletin fait ressortir que les recettes des CST ont atteint 50 milliards de DH, compte tenu des versements reçus des charges communes d’investissement du Budget général pour 13,8 milliards de DH. Les dépenses émises ont été de 28,6 milliards de DH, intégrant la part des CST au titre des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux pour 996 millions de dirhams. Le solde de l’ensemble des comptes spéciaux du Trésor s’est élevé à 21,4 milliards de DH. Quant aux SEGMA, leurs recettes et dépenses ont augmenté respectivement de 14,9% à 572 millions de DH et de 53,5% à 109 millions de DH.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Les exportations marocaines de phosphates, de l'automobile et de l’aéronautique cartonnent || subtitle : Après un allègement de 7,3% en 2023, le déficit commercial s’est amélioré de 12,4% à fin février 2024. Cette évolution est le fruit d'une croissance dynamique des exportations, boostée par les performances solides des secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et des ventes de phosphates, combinée à un recul des importations, notamment la facture énergétique. Le taux de couverture gagne ainsi 4,5 points. || body : Évolution prometteuse de la situation des comptes extérieurs du Maroc. La balance commerciale continue de s'améliorer, avec un déficit réduit de 12,4%, soit de 5,9 milliards de DH, à fin février 2024. Cette avancée est attribuable à une progression dynamique des exportations , dopée par une solide performance de l’automobile, de l’aéronautique et des ventes de phosphates, conjuguée à un repli des importations, selon les données publiées par l’Office des changes, sur la base des déclarations douanières. Les ups & downs des exportations marocaines Dans le détail, les exportations enregistrent une augmentation de 6,1% à 73,75 milliards de DH (MMDH). L’ automobile reste le premier secteur exportateur, ses ventes évoluant de 12% à 24,27 MMDH, tirées par les segments de la construction (+13,5 à 10,70 MMDH) du câblage (+9% à 8,3 MMDH), mais aussi de l'intérieur véhicules et sièges (+24,2 à 1,32 MMDH). Craintes d'une décélération des exportations marocaines en 2024 (Crédit Agricole) Les perspectives de croissance en berne pour l’Espagne, la France et l’Italie en 2024 pourraient avoir un impact significatif sur l’économie du Maroc, selon la direction des études économiques du groupe Crédit Agricole. Les exportations marocaines, fortement dépendantes de ces partenaires européens, pourraient subir une pression en raison de la contraction prévue du PIB dans ces pays, bien que la résilience de certains secteurs, tels que l’industrie automobile, puisse atténuer les effets négatifs. Le secteur des phosphates et dérivés affiche également une bonne performance, soit une croissance de 8,2% à 11,66 MMDH. Cette évolution est due principalement à une hausse de 10,7% à 8,26 MMDH des ventes des engrais naturels et chimiques. Et ce n’est pas tout. L’ aéronautique cartonne aussi avec un gain de 18,7% à 3,89 MMDH, suite essentiellement à une augmentation de 29,1% des ventes du segment de l'Assemblage. S’ajoute le secteur de l’Électronique et l’électricité dont les expéditions ont bondi de 6,6% à 3,90 MMDH. En revanche, l’ Agriculture-agro-alimentaire (-0,7%) et le Textile et cuir (-1,7%) affichent une légère baisse. La facture énergétique en baisse Pour ce qui est des importations, elles s’établissent à 115,50 MMDH, soit un recul de 1,4%. On note surtout une baisse de 11,6% de la facture énergétique à 18,59 MMDH. Ceci suite, essentiellement, à la chute des approvisionnements en gaz de pétrole et autres hydrocarbures de -29,8% sous l'effet prix en recul de -35,5%. En revanche les quantités importées augmentent de 8,8%. Par ailleurs, les importations des produits alimentaires ont reculé de 4,3% à 14,56 MMDH, tirées par la baisse des achats de maïs (-52,3%) et des tourteaux (-39,9%), contrebalancée par la hausse des approvisionnements en blé (+8,3%). Pour les autres segments, on note surtout une hausse des importations des produits finis de consommation (+4,4%), des demi-produits (+3,8%) et une quasi-stabilité au niveau des produits finis d'équipement (+0,6%). Ainsi, suite à ces évolutions, le taux de couverture gagne 4,5 points à 63,9% à fin février 2024. À noter que les indicateurs de l’ Office des changes montrent que les transferts de fonds effectués par les Marocains résidant à l’étranger ont atteint 17,70 MMDH à fin février 2024, en hausse de +1,5%. Les recettes des investissements directs étrangers (IDE) au Maroc ont, elles, bondi de 17,5% à 6,49 MMDH. Les flux net IDE ressortent ainsi en hausse de 24,9% à 4,41 MMDH. S’agissant des recettes Voyages, elles ont diminué de 6,7% à 14,87 MMDH à fin février 2024.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Maroc-France : dynamiser les chaînes de valeur régionales et les projeter en Afrique, une priorité selon Riester || subtitle : Au-delà de l’importance des relations qui relient le Maroc à la France, le royaume se positionne aujourd’hui comme un hub des partenariats entre l’Afrique et l’Europe. C’est le thème d’une conférence tenue par Franck Riester, ministre français du Commerce extérieur, de l’Attractivité, de la Francophonie et des Français à l’étranger, à l’Ecole Centrale de Casablanca. || body : La visite du ministre français, et d’une importante délégation d’acteurs économiques, est à placer sous le signe de la relance des relations entre Rabat et Paris et la volonté d’accélérer et de renouveler le partenariat qui relie les deux pays. « Je suis venu avec une délégation très importante de représentants de l’équipe France économique et commerciale pour contribuer à la relance et au rebond de la relation entre le Royaume du Maroc et la France », a souligné le ministre devant les étudiants de l’Ecole Centrale de Casablanca. La France vise un partenariat économique renouvelé avec le Maroc Le ministre français du Commerce extérieur, Franck Riester, affirme l’engagement de la France à raviver son partenariat avec le Maroc, en mettant l’accent sur le renforcement des relations économiques et commerciales. La signature de la concession de service public de Business France à la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc marque une étape importante dans cette démarche, visant à stimuler les échanges bilatéraux et à encourager la coopération dans divers secteurs clés, avec une attention forte accordée aux PME. Rappelant l’importance des partenariats qui existent déjà entre les deux pays, le ministre a indiqué que le royaume, de par sa situation géographique, son histoire et son développement joue un rôle clé pour l’avenir de notre pays et du Continent. Il a également rappelé que ces partenariats concernent de nombreux domaines économiques. « Nous avons réussi à mettre en place des filières industrielles et agricoles en termes de chaines de valeurs régionalisées plus résilientes. En parallèle, nous continuons à travailler pour rendre ces chaines de valeurs plus compétitives », explique le responsable. Il a dans ce sens cité les secteurs de l’aéronautique, de l’automobile, du transport ferroviaire ou encore l’agriculture qui représentent des exemples réussis de ce partenariat. Cette régionalisation des chaines des valeurs, note le ministre, a permis de sécuriser l’économie de la région notamment dans le contexte de la crise sanitaire liée à la Covid. « Nous voulons que cette stratégie post-covid de régionalisation et de sécurisation de nos chaines de valeurs puisse se conforter ici au Maroc dans les secteurs déjà identifiés, mais aussi dans d’autres domaines comme les nouvelles technologies ou la santé », souligne M. Riester. Sur un autre volet, le ministre a rappelé l’enjeu environnemental qui se hisse aujourd’hui en haut des priorités de la coopération entre les deux pays et qui est transverse à tous les secteurs. « Tant pour le secteur de l’aéronautique, de l’automobile que le transport, la décarbonation est un enjeu clé. La priorité aujourd’hui est de décarboner toute ces chaînes de valeurs tout en étant compétitif et continuer à toucher des marchés dans les deux pays, mais aussi en Europe et en Afrique », note le ministre. Le Maroc, un hub de partenariat entre l’Europe et l’Afrique Pour le responsable français, le Maroc se positionne aujourd’hui en acteur clé pour booster la coopération entre les deux continents, voire même au-delà. « Si on arrive à relever le défi de la régionalisation de nos chaines de valeurs, nous pensons que nous pourrons aussi nous déployer en Afrique, mais aussi plus largement vers l’Amérique et l’Asie », indique le ministre. Il a dans ce sens rappelé que ce point a été au cœur de ses entretiens avec le ministre de l’industrie et du commerce, Ryad Mezzour et le ministre délégué en charge de l'Investissement, Mohcine Jazouli. « Nous pourrons travailler ensemble pour accélérer les partenariats avec l’implication des grands groupes et des PME des deux pays, tout en faisant du Maroc le lieu d’implantation de ces chaines de valeurs en lien avec la France et l’Europe d’un côté et le reste de l’Afrique », souligne le ministre. A noter que cette conférence, organisée sous le thème « Maroc, hub des partenariats entre l’Afrique et l’Europe », s’est tenue ce vendredi 5 avril 2024 à l’Ecole Centrale Casablanca (ECC), en présence de l’Ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le CMC publie un spécial sur la «Façade atlantique africaine» || subtitle : Le Centre marocain de conjoncture (CMC) a publié, lundi, son dernier numéro mensuel «Maroc Conjoncture», n°366, qui est une édition spéciale intitulée «La Façade atlantique africaine : défis et opportunités de développement». || body : Ce numéro spécial de «Maroc Conjoncture» explore plusieurs thématiques essentielles, notamment la fracture numérique mondiale, l’inflation et le pouvoir d’achat, ainsi que la digitalisation et l’intégration socio-économique. Il aborde également des sujets spécifiques tels que le déclin de l’emploi au Maroc en 2023, l’importance stratégique de l’Afrique atlantique, et les perspectives de croissance pour l’année 2024. Ainsi, le CMC estime que dans un contexte géopolitique en mutation constante, la côte atlantique africaine émerge comme un nouvel horizon de coopération visant à favoriser la paix, la stabilité et la prospérité. Composée de 23 nations et représentant près de la moitié de la population du continent, cette région recèle un potentiel économique considérable encore largement inexploité. Le Maroc, conscient de l’importance stratégique de cette zone tant pour le développement continental que pour son rayonnement international, a pris les devants à travers le lancement du Processus des États africains atlantiques. Cette démarche vise à intensifier les programmes de coopération entre les pays de la région pour faire de cet espace continental une nouvelle zone de grande influence sur la scène politique internationale. Par conséquent, le CMC met en lumière les enjeux et opportunités liés à la Façade atlantique africaine, en soulignant l’importance de promouvoir l’accessibilité financière et l’éducation au numérique pour réduire les disparités de développement. En ce qui concerne la digitalisation et l’intégration socio-économique, le CMC explore le rôle de la digitalisation dans l’inclusion financière, en mettant en avant les avantages des paiements mobiles et du financement participatif pour les populations rurales ou éloignées. Le numéro spécial analyse, en outre, les défis économiques rencontrés au cours des dernières années, notamment en termes de fluctuations du pouvoir d’achat au Maroc, influencées par des facteurs tels que l’indice des prix à la consommation et la croissance économique. Il examine, par ailleurs, les causes de la détérioration de la situation de l’emploi au Maroc en 2023, telles que les conditions climatiques défavorables et les fluctuations économiques mondiales, en mettant l’accent sur les pertes d’emploi dans le secteur agricole. Le CMC anticipe des perspectives positives pour l’économie nationale en 2024, laissant présager une croissance en volume du Produit intérieur brut de l’ordre de 3,8%. Cette évolution notable vient conforter l’économie nationale dans ses orientations, notamment face au climat d’incertitude qui affecte toute la planète.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Campagne agricole 2023-2024 : Le Maroc va importer 10 millions de tonnes de blé || subtitle : Le Maroc compte importer environ 10 millions de tonnes de blé cette année pour compenser la baisse de la production nationale qui ne dépassera pas 2,5 millions de tonnes durant cette campagne agricole. || body : Le président de la Fédération marocaine des minoteries , Abdelkader Alaoui, a expliqué dans une déclaration à l'agence de presse "Efe", que la quantité de céréales importées , blé dur, blé tendre, maïs et orge, sera « exceptionnelle » cette année à cause de la baisse de la production nationale qui enregistre son plus bas niveau depuis 1981. "En fonction de la production céréalière, le gouvernement pourrait importer une plus grande quantité de céréales qui dépasserait de 12% ce qu'elle était lors de la précédente campagne. Selon le responsable, les sécheresses successives qu'a connu le Maroc ont durement impacté la production céréalière. Ainsi, la quantité de céréales importées est passée de 7,8 millions de tonnes lors de la saison 2021/2022 à 8,8 millions de tonnes en 2022/2023. L'impact des dernières pluies sur la campagne agricole 2023-2024 (Expert) Si le retour de la pluie en mars apporte un répit bienvenu dans un contexte de sécheresse sévère qui se prolonge depuis six ans, la saison agricole s’en trouvera-t-elle par conséquent améliorée ? Selon l’ingénieur agronome Abdelmoumen Guennouni, les effets de ces précipitations varieront d’une culture à l’autre. Explications. Pour rappel, en 2023, le Maroc s'est procuré 4.758.263 tonnes de blé tendre sur le marché international, contre 5.275.917 tonnes en 2022. La France (plus de 2,3 millions de tonnes), l’Allemagne (1.160.619 tonnes) et la Roumanie (357.837 tonnes) étaient respectivement ses trois premiers fournisseurs. Le wali de Bank Al Maghrib, Abdellatif Jouahri, avait également indiqué que le Maroc enregistre une importante chute de la moisson à cause de la baisse de la pluviométrie et les conditions climatiques globalement défavorables. Ces conditions auraient affecté la superficie emblavée des céréales qui se serait située autour de 2,5 millions d’hectares contre près de 3,7 millions une année auparavant.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le CESE et la CGEM consolident leur partenariat || subtitle : Le CESE et la CGEM ont signé ce lundi une convention de partenariat pour promouvoir la réflexion et le dialogue en faveur du développement socio-économique. || body : L'accord signé par Ahmed Reda Chami, président du Conseil Économique Social et Environnemental (CESE) et Chakib Alj, président de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), vient matérialiser la volonté et l’engagement des deux acteurs à travailler ensemble, via l’échange d’expertise et la promotion de la réflexion commune et du dialogue, sur des sujets liés au développement socio-économique de notre pays, tels que la durabilité, l’intégration de l’informel, la législation du travail, le développement du capital humain, la digitalisation, le développement des territoires, ou encore la promotion de la participation économique des femmes. "Ce partenariat survient à un moment où toutes les forces vives du Royaume doivent réfléchir ensemble aux moyens d’opérationnaliser les leviers capables de donner une impulsion nouvelle à la croissance économique de notre pays et à la création d’emplois de qualité. Il vise, notamment à prendre en considération l'avis des acteurs du secteur privé, pour élaborer et présenter des clés de lecture et émettre des recommandations opérationnelles pour accélérer davantage la dynamique d’investissement et saisir les opportunités qui se présentent au Maroc, à horizon 2030", indiquent les signataires. Dans le cadre de leur collaboration, le CESE et la CGEM prévoient ainsi le partage de leurs publications respectives, l’organisation régulière de rencontres thématiques et d’espaces de dialogue sur tous les territoires et la réalisation de travaux de réflexion communs. La cérémonie de signature a également été marquée par un atelier citoyen consacré à la thématique "Pour une économie circulaire des équipements électriques et électroniques : du déchet à la ressource " qui a connu la participation de plusieurs contributeurs des deux institutions. Cette thématique, portée en auto-saisine par le CESE, fera l’objet d’un avis publié par le Conseil.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Sociétés cotées : 18 milliards de DH de dividendes seront versées au titre de 2023 || subtitle : Les bénéfices que distribueront les sociétés cotées à la Bourse de Casablanca dans les prochaines semaines sont en hausse de 19% par rapport à l’année dernière. || body : C’est ce que vient de révéler une récente note de BMCE Capital Global Research sur les réalisations de la cote en 2023. La cellule de recherche explique cette performance par l’amélioration du dividende de Maroc Telecom (4,2 DH par action contre 2,19 DH en 2022) suite au redressement de sa capacité bénéficiaire, et de celui de Cosumar en raison de la distribution d’un dividende exceptionnel (3 DH par action) suite à la constatation d’une plus-value relative à la cession de l’intégralité de ses parts dans la raffinerie de Durrah. Sociétés cotées : 32,8 milliards de DH de bénéfices en 2023 (M.S.IN) Les bénéfices des sociétés cotées à la Bourse de Casablanca ont augmenté de 15,7% en 2023, selon une première évaluation des analystes de la société de bourse M.S.IN. Les banques et les télécoms sont les principaux contributeurs à cette performance. Ainsi, Maroc Telecom redevient le premier distributeur de dividendes de la cote avec 3,7 milliards de DH (20%) suivie d’ Attijariwafa bank avec 19%. Par conséquent, le taux de rendement de dividende des sociétés cotées s’élève à 3,5%, sachant que 26 sociétés n’ont pas encore communiqué sur leur politique de distribution des bénéfices.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Conserves de tomates : un droit antidumping de 29,93% appliqué sur les importations d’Égypte || subtitle : Les importations de conserves de tomates originaires d’Égypte seront soumises à un droit antidumping de 29,93%. Cette mesure a été déterminée sur la base de la marge de dumping calculée par les services du département du Commerce à l’issue de la phase préliminaire de son enquête antidumping initiée depuis août 2023 sur les importations de ce produit. Les investigations menées ont confirmé l’existence d’un dommage pour la filière de production nationale lequel a été matérialisé, entre autres, par la baisse de la part de la production locale dans la consommation nationale, la stagnation de l’emploi et l’instabilité du retour sur investissement. || body : Le département de l’ Industrie et du commerce envisage l’application d’un droit antidumping provisoire de 29,93% sur les importations de conserves de tomates originaires d’ Égypte . Cette mesure a été déterminée sur la base de la marge de dumping calculée par les services du ministère à l’issue de la phase préliminaire de son enquête antidumping initiée depuis août 2023 sur les importations de ce produit. Les marges de dumping calculées et exprimées en pourcentage du prix à l’exportation s’élèvent donc à 29,93%, selon le ministère. L’enquête conclut, en effet, qu’au vu du défaut de coopération des producteurs-exportateurs égyptiens , la détermination de la marge de dumping a été faite sur la base des meilleurs renseignements disponibles et qui sont, le cas échéant, les données de la requête. Tomates : Le Maroc 2e fournisseur du Royaume-Uni en 2023, devant l’Espagne En 2023, les exportations marocaines de tomates vers le Royaume-Uni ont totalisé 125,62 millions de kg (183,35 millions d’euros). Avec ce volume, le Royaume arrive 2e après les Pays-Bas (129,42 millions de kilos) et devant l’Espagne (67,93 millions de kilos). De même, la valeur normale a été établie à partir des prix «sortie usine» calculés sur la base des prix affichés dans des dépliants de grandes surfaces opérant sur le marché égyptien. Le prix à l’exportation, quant à lui, a été déterminé sur la base des prix d’importation obtenus depuis les données de ventes des grandes surfaces marocaines. Aux fins d’une comparaison équitable, le prix à l’exportation et la valeur normale ont été rendus au stade commercial «sortie usine» des producteurs exportateurs égyptiens. En effet, explique le ministère, les ajustements concernant la marge commerciale des points de vente, le coût de distribution et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) ont été opérés sur la valeur normale alors que les ajustements relatifs à la marge commerciale des points de vente, les coûts logistiques de distribution, la TVA et la marge brute de l’importateur ont été pris en considération dans le prix à l’exportation. L’enquête a montré, par ailleurs, l’existence du dommage pour la branche de production nationale. Selon les conclusions de l’enquête, le volume des importations des conserves de tomates originaires d’Égypte a connu une augmentation notable, durant la période examinée, aussi bien en absolu que par rapport à la production et à la consommation nationales. De même, les importations des conserves de tomate originaires de ce pays ont eu un effet significatif sur les prix des conserves de tomate produits localement, matérialisé par l’existence d’une sous cotation durant toute la période analysée. Les indicateurs de la branche de production nationale montrent la présence d’un dommage matérialisé, entre autres, par la baisse de la part de la production locale dans la consommation nationale, la stagnation de l’emploi et l’instabilité du retour sur investissement. «La filière de production nationale a subi un dommage important au sens de l’article 13 de la loi n°15-09 et est particulièrement vulnérable face aux importations en dumping originaires d’Égypte», conclut le ministère qui confirme ainsi l’existence d’un lien de causalité entre les importations en dumping et le dommage. «La détermination de l’existence du lien de causalité a été établie sur la base de l’analyse de la coïncidence entre l’évolution des importations en dumping des conserves de tomates, originaires d’Égypte et de l’évolution des facteurs relatifs au dommage ainsi que l’analyse des facteurs autres que les importations en dumping et de leurs effets sur la branche de production nationale», précisent les services de Ryad Mezzour. Sur la base des analyses réalisées, le ministère conclut que l’accroissement des importations en dumping a eu un effet dommageable sur la situation économique de filière de production nationale, constituant ainsi une cause majeure de dommage subi. De même, l’analyse des autres facteurs a permis d’établir qu’ils n’ont pas eu d’effets négatifs et directs sur la production nationale de façon à constituer une cause de ce dommage. Le ministère affirme considérer, à titre préliminaire, que le lien de causalité entre les importations en dumping du pays concerné et le dommage subi par la filière de production nationale est établi dans le cadre de l’enquête.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Hassan Boulaknadal, nouveau président du Conseil d’administration de Lesieur Cristal || subtitle : Hassan Boulaknadal a été nommé président du Conseil d’administration (CA) de Lesieur Cristal, suite au départ de Khalid Cheddadi, qui a démissionné de ses fonctions d'administrateur et de président du CA. || body : M. Boulaknadal a démarré sa carrière professionnelle en 1994 dans le domaine de la gestion d'actifs au sein de la BMCE , indique Lesieur Cristal dans un communiqué. En 2000, il a été nommé directeur général de la société de gestion BMCE Capital Gestion tout en assumant des fonctions au sein de la banque d'affaire BMCE CAPITAL où il a occupé le poste de secrétaire général et d'administrateur de plusieurs filiales du groupe. Lesieur Cristal: Sophie Gavard Benjelloun, nommée secrétaire générale du groupe Le groupe Lesieur Cristal a nommé Sophie Gavard Benjelloun en tant que Secrétaire Générale et membre du Comité Exécutif du Groupe. Parallèlement, M. Boulaknadal s'est investi dans les problématiques de la place en occupant le poste de président de l'ASFIM de 2002 à 2008. En 2009, il entame une nouvelle carrière dans le secteur public, après avoir été nommé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI au CDVM (devenu AMMC ) en tant que directeur général, fonction qu'il occupera jusqu'en 2016. Durant son mandat, M. Boulaknadal s'est investi dans les instances internationales de régulation où il a été élu président de l'union des régulateurs Arabes de 2011 à 2013. En 2016, il est nommé directeur de l’Office des Changes et préside, en parallèle, le comité d’allocation d’actifs de la CMR . Le communiqué rappelle, par ailleurs, que M. Cheddadi avait été nommé administrateur et président du CA de Lesieur Cristal le 10 février 2012 et a depuis joué un rôle clé dans le développement et le succès de la société. Lesieur Cristal souhaite remercier chaleureusement M. Cheddadi pour son rôle moteur et ses contributions inestimables au développement de Lesieur Cristal et souhaite à M. Boulaknadal beaucoup de succès dans ses nouvelles fonctions, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : FIAD : Attijariwafa bank, en partenariat avec Al Mada, donne le coup d'envoi de l’édition 2024 || subtitle : Le groupe Attijariwafa bank donne le coupe d'envoi du Forum International Afrique Développement 2024 (FIAD24). Prévu les 27 et 28 juin prochains, à Casablanca, autour du thème « Ici, on investit », cet événement est organisé à travers le Club Afrique Développement du groupe et en partenariat avec le fonds panafricain AL MADA, || body : Y sont attendus plus de 2.000 chefs d’entreprises et décideurs politiques de 30 pays du Continent et des pays partenaires, a indiqué le groupe dans un communiqué. Le FIAD24 prévoit un dispositif de mises en relations structurées entre les opérateurs participants, une conférence de haut niveau sur les enjeux du développement et d’investissement en Afrique , ainsi qu’un marché de l’investissement . Attijariwafa bank : les ingrédients d'un modèle de développement résilient Le géant de l’industrie financière, Attijariwafa bank, entrevoit de belles perspectives de croissance à l’horizon 2030. La banque, dont le modèle de développement fait preuve de résilience à travers une croissance solide et régulière, devrait afficher des indicateurs d'activité et de rentabilité en forte croissance sur la période 2024-2026. Voici l'analyse et les prévisions des experts d’Attijari Global Research. "Fort de six précédentes éditions organisées depuis 2010 à Casablanca, le FIAD est devenu la plateforme de référence du secteur privé africain en matière d’échanges, d’investissements et de coopération intra-africaine . Le Club Afrique Développement a en outre poursuivi la consolidation des corridors d’affaires intra-continentaux par l’organisation de 37 missions multisectorielles dans 10 pays", a fait savoir la même source. Près de 21 000 participants, chefs d’entreprises et leaders gouvernementaux de 40 pays, ont pris part jusque-là à la dynamique « Afrique Développement ». Plus de 25.500 rendez-vous d’affaires structurés ont été réalisés dans des secteurs clés tels que l’Agro-industrie , les Infrastructures et BTP , les Télécoms, les Industries de la Santé, les Energies pour ne citer que ceux-ci.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Aid Al Fitr : 240 trains programmés par jour du 05 au 16 avril (ONCF) || subtitle : L’ONCF met en place un plan de transport "Spécial Aïd Al-Fitr" du vendredi 05 au mardi 16 Avril 2024, avec la programmation de trains supplémentaires, allant jusqu’à 240 trains/jour. Le jour de l’Aïd, le nombre de trains sera réduit. Ainsi, les voyageurs sont invités à consulter les horaires des trains pour toute cette période. || body : L’ Office national des chemins de fer (ONCF) a annoncé la mise en place d’un plan de transport "Spécial Aïd Al-Fitr" du vendredi 05 au mardi 16 Avril 2024, avec la programmation de trains supplémentaires, allant jusqu’à 240 trains/jour. ONCF : plus de 52,8 millions de passagers à fin 2023 L'activité voyageurs de l'Office national des chemins de fer (ONCF) a confirmé sa croissance durant l'année 2023, avec plus de 52,8 millions de passagers, en hausse de 15% par rapport à 2022. Ce plan de transport, qui intervient en prévision de l’affluence des voyageurs durant cette période et afin d’assurer les déplacements des clients dans les meilleures conditions de confort et de sécurité, prévoit la programmation de trains supplémentaires, allant jusqu’à 240 trains/jour avec un renforcement sur les destinations les plus sollicitées, fait savoir l’Office dans un communiqué. Pour Al Boraq , l’ ONCF compte programmer une cadence horaire couvrant toute la journée pour relier la ville de Tanger à Kénitra , Rabat et Casablanca de 7h à 22h (durant les journées de pic) et augmenter la capacité des places offertes sur les créneaux les plus sollicités, précise la même source. Pour Al Atlas , l’ONCF va augmenter les capacités de places et la programmation des trains supplémentaires sur les principaux axes du réseau ferroviaire : Marrakech-Casablanca- Fès, Oujda, Nador, Khouribga, Safi . Ce plan prévoit également le renforcement des équipes chargées de l’accueil et de l’orientation des passagers dans les gares et à bord des trains, ainsi que les équipes techniques qui seront mobilisées 24h/7j pour superviser la fluidité des circulations des trains, précise le communiqué. Pour mieux planifier les voyages en cette période de grande affluence, l’ ONCF recommande à ses clients d’anticiper l’ achat des billets et d’acheter l’Aller-Retour pour éviter les files d’attente en gare et garantir une place assise à bord des trains. L’achat des billets est possible via les différents canaux de vente suivants : en gares au niveau des guichets ou des Distributeurs Automatiques de Tickets (DAT), en ligne sur le site marchand ou auprès des agences partenaires de la vente de proximité (Cash Plus, Barid Cash et Tasshilat). Le jour de l’Aïd, le nombre de trains sera réduit. Ainsi, les voyageurs sont invités à consulter les horaires des trains pour toute cette période via le site, le Centre de Relations clients : 2255 (coût de la communication locale), l’application ONCF TRAFIC et le chatbot M’ONCF au 06 67 65 22 55.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Attijariwafa bank : les ingrédients d'un modèle de développement résilient || subtitle : Le géant de l’industrie financière, Attijariwafa bank, entrevoit de belles perspectives de croissance à l’horizon 2030. La banque, dont le modèle de développement fait preuve de résilience à travers une croissance solide et régulière, devrait afficher des indicateurs d'activité et de rentabilité en forte croissance sur la période 2024-2026. Voici l'analyse et les prévisions des experts d’Attijari Global Research. || body : Le groupe Attijariwafa bank (AWB) confirme la résilience de son modèle de développement à travers une croissance à la fois solide et régulière depuis la crise de la Covid-19. Forte de son positionnement, la banque serait au cœur de la nouvelle dynamique d’investissement au Maroc durant la période 2024-2030. La conclusion est d’Attijari Global Research (AGR) dans une note d’analyse consacrée au géant de l’industrie bancaire. La banque entrevoit de belles perspectives sur la période 2024-2026 grâce à une nouvelle dynamique attendue sur les crédits bancaires . En 2023, les crédits bancaires ont progressé de 5,2% soutenus par les crédits à l’équipement dont la croissance ressort à 10,2%. Il s’agit de la plus forte hausse observée depuis 2017. Cette nouvelle dynamique des crédits devrait, selon les analystes d’AGR, s’inscrire dans la durée au Maroc grâce, d’une part, au démarrage de grands projets structurants et, d’autre part, à la redynamisation du secteur de l’immobilier. Dans le cadre du scénario AGR, les analystes retiennent une croissance annuelle moyenne des crédits bancaires au-dessus des 5% sur la période 2024-2026. Investissements : Attijariwafa bank lance « Attijari CapAccess » « Attijari CapAccess » est un dispositif personnalisé lancé par Attijariwafa bank pour le financement des projets d'investissement au Maroc. Les principaux leviers de cette nouvelle dynamique des crédits bancaires s’articulent autour de la mise à niveau de l’infrastructure et de l’offre touristique en marge de l’attribution de l’organisation de la Coupe du monde 2030, les projets prioritaires dédiés à la gestion du stress hydrique, la reconstruction post-séisme de la région d’Al Haouz et le démarrage du nouveau programme d’aides directes au logement et son impact positif sur la promotion immobilière . Ensemble, ces projets structurants devront mobiliser des investissements frôlant les 1.000 milliards de dirhams à l’horizon 2030, contre un encours des crédits bancaires au Maroc de 1.114 milliards en 2023. «Il est évident que cet effort d’investissement devrait générer des besoins de financement considérables durant les années à venir. Une tendance qui devrait profiter pleinement aux banques qui demeurent le partenaire privilégié des entreprises au Maroc. Grâce à son leadership, le groupe AWB est bien positionné pour capter une bonne partie de cette nouvelle dynamique d’investissement», estime l’analyse d’AGR qui révise à la hausse son scénario de croissance pour la banque sur la période 2024-2026. Ainsi, pour le produit net bancaire (PNB), les experts d’AGR tablent sur une croissance en moyenne annuelle de 6,7%, contre 5,8% en 2023. S’agissant du coût du risque, AGR en pronostique un taux plus élevé de 98 points de base (BPS) cette année contre 90 BPS prévus initialement, et ce en raison de la montée du risque souverain en Afrique. Ce ratio devrait s’améliorer légèrement à 94 BPS à l’horizon 2026. Pour l’exercice en cours, la capacité bénéficiaire du groupe devrait atteindre les 8 milliards de dirhams contre 7,6 milliards prévus initialement par AGR. Sur la période 2025-2026, la société de Bourse retient une croissance moyenne des bénéfices de 7,6% pour atteindre 9,3 milliards de dirhams. De même, la banque devrait distribuer un dividende par action de 17 dirhams cette année contre une prévision initiale de 16,5 DH. AGR pronostique un relèvement progressif du dividende pour se situer à 17,5 DH en 2025 et 18 DH l’année suivante. Ces niveaux de dividende correspondent à un Payout cible social entre 55 et 60% durant la période 2025-2026. AGR rappelle par ailleurs que les réalisations du groupe Attijariwafa bank en 2023 dépassent ses prévisions communiquées durant le quatrième trimestre de l’exercice écoulé. Le PNB affiche ainsi une hausse de 15,5%, contre une estimation de 10,6% et un RNPG en croissance de plus de 23%, contre une prévision de 15,6%. Les analystes d’AGR jugent en outre rassurant de constater que la dynamique de croissance du groupe AWB est portée par le Core Business. Au-delà des performances des activités de marché qui ont bénéficié du retournement baissier des taux, la marge d’intérêt, qui pèse pour 62% du PNB, maintient un rythme de croissance soutenu (+13%). Cet indicateur aura bénéficié d’une transmission plus rapide de la hausse du taux directeur sur les crédits et de l’optimisation du coût de la ressource à travers une croissance des dépôts non rémunérés de 9,2% au Maroc, largement supérieure à celle du secteur (+5,9%). Le déploiement des moyens digitaux constitue, selon AGR, un véritable levier d’optimisation des charges pour la banque. Sur le reste du continent africain, la dégradation des notes souveraines s’est traduite par une hausse du coût du risque consolidé (CDR) de 24,9% à 3.982 milliards de DH. À cet effet, le taux du CDR représente le double du niveau observé en 2019, soit autour des 95 BPS. Aux yeux des analystes d’AGR, la persistance des crises à l’échelle mondiale maintiendrait le taux du CDR à des niveaux structurellement supérieurs à ceux observés durant la période pré-Covid.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Sociétés cotées : L'analyse des réalisations 2023 et des perspectives d'avenir d'Attijari Global Research || subtitle : A l'issue d'une année 2023 marquée par une détente des prix et des contributions significatives au Fonds spécial séisme, les sociétés cotées à la Bourse de Casablanca ont affiché des réalisations positives mais surtout des perspectives d'avenir prometteuses. Les analystes d'Attijari Global Research livrent leur lecture de la situation. || body : À la lecture des communiqués de presse publiés par les sociétés cotées à la Bourse de Casablanca, force est de constater un discours globalement optimiste de la part des top-managements. La conclusion est d’Attijari Global Research (AGR), filiale d'analyse et de recherche du Groupe Attijariwafa bank, consignée dans son rapport annuel 2023 sur les résultats des sociétés cotées. Pour les analystes de l’institution, les anticipations positives sont alimentées par plusieurs facteurs dont principalement les investissements annoncés dans le cadre de l’organisation de la CAN 2025, de la Coupe du monde 2030, des projets relatifs à la lutte contre le stress hydrique et à la transition énergétique. Analyse des réalisations 2023 des sociétés cotées à la Bourse de Casablanca Selon le rapport d’AGR, l’exercice 2023 a été, globalement, marqué par une détente visible des prix des intrants à l’international ainsi que la contribution des sociétés cotées au fonds spécial dédié à la gestion des effets du séisme d’Al Haouz. Selon les propres calculs de la société de Bourse, les dons octroyés par les sociétés cotées s’élèveraient à près de 1,8 milliard de dirhams, soit 5,1% de la masse bénéficiaire agrégée. Dans ce contexte, l’analyse des réalisations financières de la cote fait ressortir un chiffre d’affaires agrégé en hausse modeste de 4,5% à 300 milliards de dirhams, sous l’effet de la nette détente de l’inflation. Sociétés cotées : 18 milliards de DH de dividendes seront versées au titre de 2023 Les bénéfices que distribueront les sociétés cotées à la Bourse de Casablanca dans les prochaines semaines sont en hausse de 19% par rapport à l’année dernière. Dans ce tableau, les bénéfices affichés du marché Actions ont atteint 33,5 milliards de DH, en amélioration de 16,2%. Hors secteur bancaire, la croissance ressort à plus de 12,1%. S’agissant des profits récurrents de la cote retraités des dons octroyés au fonds spécial séisme et des impacts réglementaires relatifs à Maroc Telecom, ils affichent une croissance de 10,5% à 35,3 milliards de dirhams. Hors banques cotées, les bénéfices récurrents sont quasi stables à 19,6 milliards de dirhams contre 19,4 milliards en 2022. En ce qui concerne les contributions des sociétés cotées au «Fonds spécial Séisme», AGR rappelle que l’ensemble de ces sociétés bénéficie de la déductibilité fiscale de ces dons. Les sociétés qui adoptent les normes IFRS supporteraient l’intégralité du don au titre de l’exercice 2023, tandis que les émetteurs qui appliquent les normes comptables locales ont la possibilité de l’amortir sur une période de 5 ans. À la lecture de l’ensemble des résultats annuels de 2023, AGR relève que 7 émetteurs ont affiché des résultats déficitaires, 6 sociétés cotées dont le poids dans la capitalisation boursière s’établit à 2,5% ont publié un profit warning et 21 sociétés cotées ont contribué au fonds spécial séisme, soit près de 72% de la capitalisation du marché. Capacité bénéficiaire récurrente : le secteur bancaire en tête L’analyse indique, par ailleurs, que la capacité bénéficiaire récurrente des sociétés cotées a monté de 3,36 milliards de dirhams en 2023 par rapport à l’exercice précédent. Par secteur d’activité, cette hausse recouvre deux tendances disparates. La première est que, pour la troisième année consécutive, le secteur bancaire arrive en tête des principaux contributeurs à l’évolution des bénéfices agrégés de la cote, et ce à travers une progression de 3,17 milliards de dirhams de ses profits. En dépit de la hausse du coût du risque de plus de 24,7% en 2023, cette performance résulte, d’une part, de l’amélioration du PNB agrégé du secteur de 13,1% et, d’autre part, de la bonne maîtrise des charges d’exploitation. Le secteur minier, quant à lui, accuse la plus forte baisse en termes absolus, soit -1,008 milliard de dirhams principalement en raison du recul des bénéfices du groupe Managem (-1,100 milliard de DH). L’opérateur a pâti, en fait, de la correction des cours des métaux de base et de la baisse des volumes de production de l’or. Comme elle l’avait anticipé lors de son rapport sur les résultats trimestriels 2023, AGR indique que les sociétés cotées ont consenti un effort visible en termes de distribution des dividendes. Sur la base des communiqués de presse des 72 sociétés cotées ayant publié leur résultat annuel 2023, 65 ont annoncé leur proposition de dividende. Il en ressort un montant global de 18,8 milliards de dirhams, dont 283 millions de dividendes exceptionnels. À périmètre comparable, le dividende est en hausse de 18,5% et correspond à un payout de 64% calculé sur la base des résultats consolidés affichés. Dans le détail, AGR relève que 30 sociétés cotées ont décidé de relever leur dividende par action (DPA) 2023, représentant plus de la moitié de la capitalisation de la cote. À l’inverse, 6 émetteurs ont abaissé leur dividende, 14 ont maintenu leur DPA stable et 15 ont opté pour la non-distribution ou bien ont décalé cette décision. Par ailleurs, il convient de souligner que l’exercice 2023 a été marqué par le retour à la distribution des dividendes de 4 sociétés cotées, à savoir Alliances, SMI, Jet Contractors et Risma. n</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : OCP - Fortescue : Joint-Venture pour développer l’énergie verte, l’hydrogène vert et l’ammoniac vert au Maroc || subtitle : Les deux partenaires, Groupe OCP et Fortescue , visent à fournir de l’hydrogène vert et de l’ammoniac vert pour une utilisation à la fois comme source d’énergie verte et dans la fabrication d’engrais neutres en carbone et customisés qui sont accessibles et abordables pour les agriculteurs du monde entier. || body : Le Groupe OCP , leader mondial de la nutrition des plantes et des engrais à base de phosphate, et Fortescue Energy, faisant partie du leader mondial d’énergie verte, de métaux et de technologie Fortescue Ltd ( Fortescue ), ont annoncé une Joint-Venture (JV) emblématique au Maroc. Ce partenariat à parts égales vise à fournir de l’ hydrogène vert , de l’ ammoniac vert et des engrais verts au Maroc, à l’Europe et aux marchés internationaux. Il comprend le développement potentiel d’installations de fabrication et un Hub de R&D pour faire avancer l’industrie de l’énergie renouvelable en rapide croissance au Maroc. Le groupe OCP lance sa nouvelle filiale OCP Nutricrops OCP a annoncé, mardi, le lancement de sa nouvelle filiale, OCP Nutricrops, visant à accélérer la transition du groupe vers des solutions de nutrition des plantes entièrement customisées, favorisant ainsi une transition agricole juste. « Fortescue et le Groupe OCP, leaders dans leurs domaines respectifs du minerai de fer et du phosphate, sont unis dans leur objectif d’atteindre leurs cibles de réduction des émissions. Ils partagent une vision commune sur le rôle crucial de l’hydrogène vert et de l’ammoniac vert dans la création d’un avenir durable à l’échelle mondiale », indique le groupe dans un communiqué. Les partenaires ont présenté des plans pour quatre projets phares au Maroc : Une capacité de production intégrée à grande échelle d’ammoniac vert et d’engrais verts, incluant les énergies renouvelables, la génération d’énergie, l’électrolyse, l’ammonification et la production d’engrais ; La fabrication de technologie et d’équipements verts ; Un Hub de R&D et de Technologie, situé à proximité de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) près de Marrakech, pour renforcer la JV, l’écosystème et autres acteurs, avec de la recherche dans les énergies renouvelables, l’hydrogène vert et le traitement des minéraux ; La collaboration de fonds de capital-risque d’entreprise (des « corporate venture capital funds ») pour stimuler l’investissement dans les avancées technologiques clés. Pour Mostafa Terrab, Président-Directeur Général du Groupe OCP, ce partenariat stratégique avec Fortescue témoigne de l’engagement commun envers la décarbonation, pilotant ainsi le développement d’installations de pointe et fournissant de l’énergie renouvelable, des produits et des technologies à prix compétitifs. « Ceci est une étape clé vers la réalisation de notre vision, qui est d’assurer simultanément la sécurité alimentaire mondiale et de lutter contre le changement climatique », indique M. Terrab. De son côté, Dr Andrew Forrest AO, Président Exécutif et Fondateur de Fortescue, a déclaré que les deux partenaires construiront une plateforme de premier plan mondial et compétitive à l’échelle internationale pour contribuer à l’ambition du Maroc de devenir une puissance de production, de fabrication et industrielle en énergie verte. « Ensemble, nous serons un acteur clé et un couloir vert pour l’Europe, vers et depuis le bassin atlantique. Le Maroc est appelé à devenir un acteur majeur dans la transition énergétique mondiale étant donné qu’il abrite certaines des ressources éoliennes et solaires parmi les plus prometteuses au monde, qu’il possède deux grandes façades maritimes, et qu’il se trouve à proximité de l’Europe et des Amériques. Nous sommes fiers de nous associer à OCP, un leader industriel mondial, avec qui nous partageons un engagement ambitieux à investir dans l’énergie renouvelable, les produits et les technologies afin de réduire les émissions mondiales », souligne Dr Forrest AO. Le PDG de Fortescue Energy, Mark Hutchinson, a affirmé que les deux groupes sont parfaitement alignés sur leurs ambitions. « Nous avons l’intention de créer au Maroc l’une des entreprises intégrées de pointe mondiales en matière d’énergie renouvelable, de fabrication et de technologie, fournissant non seulement un marché domestique large et en croissance pour les produits verts, mais aussi ayant le potentiel de fournir à d’autres pays et continents. C’est un moment marquant pour Fortescue, le Groupe OCP et le Maroc alors que nous contribuons à révolutionner la manière dont nous alimentons notre planète et à diversifier la sécurité énergétique mondiale future, tout en créant des milliers d’emplois et des industries au Maroc», a souligné M. Hutchinson. Ces projets proposés bénéficieront également de l’expertise d’INNOVX, une plateforme d’entreprise multisectorielle dédiée au développement d’entreprises innovantes et durables, et à la contribution à la création d’écosystèmes émergents avec un fort impact local.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Ramadan : les prix des légumes repartent à la hausse || subtitle : Les prix de certains légumes ont enregistré des hausses significatives au cours de la deuxième semaine du Ramadan, en particulier les tomates. Ces variations interviennent après les importantes baisses observées pour ces produits durant les semaines écoulées. Détails. || body : La Commission interministérielle chargée du suivi de l'approvisionnement, des prix et des opérations de contrôle a fait le point sur la situation dans les marchés nationaux , durant les deux premières semaines du mois sacré de Ramadan . "Les rapports fournis par les services concernés, qui suivent quotidiennement la situation des marchés , ont révélé que ceux-ci sont bien approvisionnés et offrent une abondance et une variété de produits de consommation pendant les deux premières semaines de ce mois sacré, le niveau du stock disponible de produits de base couvrant les besoins nationaux pour plusieurs mois", indique la Direction de la Concurrence, des prix et de la compensation dans un communiqué sur la 3ème réunion de cette commission durant ce mois sacré. Produits alimentaires: 5.470 infractions constatées du 1er janvier au 27 mars Un total de 5.470 infractions a été constaté du 1er janvier au 27 mars, suite aux opérations de contrôle des prix et de la qualité des produits alimentaires effectuées par les commissions centrales et locales, selon la Direction de la Concurrence, des Prix et de la Compensation relevant du ministère de l’Économie et des Finances. En ce qui concerne l'évolution des prix au cours de cette période, des variations diverses ont été observées selon les produits, fait savoir la même source, notant qu'à la fin de la deuxième semaine du Ramadan , il a été constaté le début d'une tendance baissière des prix pour certains produits tels que les épices et les légumineuses , en raison du retour de la demande en ces produits à des niveaux normaux après l'afflux important observé au début du mois, ce qui exerce parfois une pression sur les prix. Dans le même contexte, les prix de la viande blanche , du poisson et de certains types de fruits ont continué à baisser, atteignant jusqu'à 8%. Pour ce qui est des autres produits tels que la farine et ses dérivés, les huiles de table et le beurre , leurs prix sont restés stables à court terme et demeurent largement plus bas que les prix en vigueur à la même période de l'année dernière. Cette situation est due au repli des prix internationaux de ces produits, dont une grande partie est importée pour répondre aux besoins nationaux, ainsi qu'aux mesures prises par le gouvernement à cet égard. Les prix des légumes augmentent, la tomate en tête Parallèlement, des hausses ont été enregistrées au cours de la deuxième semaine du Ramadan pour certains légumes , après les importantes baisses observées pour ces produits durant les semaines écoulées, en particulier les prix des tomates qui ont augmenté de manière significative. Ainsi, le prix moyen national, qui inclut différents points de vente dans plusieurs régions, est passé de 5 dirhams par kilogramme (DH/KG) au début du Ramadan à 8,5 DH/KG à la fin de la première moitié, avec des niveaux dépassant les 10 dirhams dans certains marchés. En outre, ladite commission fait remarquer que les prix des légumes connaissent généralement des fluctuations saisonnières liées à plusieurs facteurs interdépendants, notamment la demande croissante, la périodicité de la récolte et les conditions climatiques. Malgré ces hausses relatives, les prix des légumes restent bas par rapport aux prix pratiqués pendant le Ramadan précédent, relève la même source. En ce qui concerne les prix des carburants , ils sont stables et n'ont enregistré aucune augmentation au cours des semaines précédentes, en particulier le gaz butane , dont les prix sont subventionnés via la Caisse de compensation . Cette commission s'est réunie sous la présidence du ministère de l'Economie et des finances, en présence de représentants des départements ministériels chargés de l'Intérieur, de l'Agriculture et de la Pêche maritime, de l'Industrie et du Commerce, de la Transition énergétique et des établissements publics concernés.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Bonbonne de gaz : pas de changement de prix pour le moment || subtitle : Le prix de la bonbonne de gaz n'a subi aucun changement ce lundi 1er avril comme annoncé par de nombreux médias. Le prix de 40 DH est toujours en vigueur pour le moment. || body : La hausse du prix de la bonbonne de gaz de 12 kg est maintenu à 40 DH. Selon de nombreux médias, la hausse devait être effective ce 1er avril. Le prix devait passer de 40 à 50 DH. Contacté par Le Matin, Mohamed Benjelloun, président de l'Association professionnelle des dépositaires grossistes en gaz liquéfié au Maroc, confirme qu'aucun changement de prix n'a été opéré ce lundi. " Nous n'avons reçu aucune note concernant une quelconque hausse de prix des bonbonnes de gaz de 12 kg", a-t-il souligné. Et de préciser que même la liste des prix reçue par les distributeurs est restée inchangée. "Ces informations qui circulent sur les réseaux sociaux sont totalement infondées», a indiqué M. Benjelloun. >>Lire aussi : Voici le détail des aides sociales directes Interrogé au début du mois sur les changements qui concernent le soutien accordé à certains produits, en particulier le gaz, Mustapha Baitas, porte-parole du gouvernement, avait souligné que ces mesures s’inscrivent dans le cadre d’un vaste chantier de protection sociale, bénéficiant de financements gouvernementaux. Pour rappel, l’Exécutif avait indiqué que le prix réel de la bonbonne de gaz de 12 kg s’élève à 130 dirhams, soit plus de trois fois plus que le prix appliqué. L’écart de 90 dirhams est couvert par la caisse de compensation, explique le gouvernement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : L’avocat marocain fait son entrée sur le marché géorgien || subtitle : L'avocat Hass marocain livre désormais une concurrence vigoureuse à l’avocat turc sur le marché de la Géorgie. Le premier chargement de cette variété, à la peau bosselée de couleur vert foncé, est arrivée en mars dans l’ancienne république soviétique. Son prix abordable est une aubaine pour les consommateurs locaux. || body : L' avocat Hass vient de faire ses débuts sur le marché géorgien. Selon EastFruit , plateforme d'information et d'analyse spécialisée dans les activités horticoles, la première cargaison marocaine de cette variété est arrivée en Géorgie en mars 2024. L’importateur n’est autre que la chaîne de supermarchés Carrefour , qui propose le fruit marocain à un prix d’environ 4,8 dollars le kilo. Avocats/Export : 70% de l'objectif atteint à deux mois de la fin de la saison 2023-2024 La campagne de l'avocat au Maroc avance un peu plus lentement que prévu, mais elle est en passe de réaliser de bons résultats et même de battre le record des volumes d'exportation. C’est ce que révèle Abdellah Elyamlahi, président de Morocco Avocado Association. A ce tarif, il s’agit d’une aubaine pour les consommateurs locaux, puisque le prix de détail standard de l’avocat dans ce pays varie entre 6,5 et 7 dollars le kilo. «Les avocats turcs sont vendus en gros au même prix que l’avocat marocain désormais vendu au détail», souligne EastFruit. Ce qu'il faut savoir sur les importations marocaines de fruits frais en 2023 Bien qu’il dispose d’une production lui permettant de couvrir ses besoins locaux et de vendre à l’international, le Maroc continue d’importer certains fruits frais. Le Royaume fait naturellement ses courses auprès de ses voisins, mais n’hésite pas à se faire livrer depuis des pays plus lointains. L’année 2023 a marqué un record de ces importations marocaines et un changement dans le classement des fruits les plus importés depuis l’étranger. La même source fait savoir que les consommateurs géorgiens ne sont pas encore très avertis en matière d'avocats. Ils croient donc, à tort, que la couleur foncée de ce fruit est le signe qu'il est trop mûr et ne peut plus être consommé. Ainsi, ils continuent de préférer les fruits verts non mûrs, ce qui ne leur permet pas d’apprécier pleinement leur goût. Cependant, grâce aux nouveaux approvisionnements en provenance du Maroc , cette idée fausse est en passe de s’effacer.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Aïd Al Fitr : vendredi 12 avril, jour férié pour les banques || subtitle : Après les administrations publiques et les écoles, les banques seront également en arrêt le vendredi 12 avril à l'occasion de l'Aïd Al Fitr. Le Groupement Professionnel des Banques du Maroc (GPBM) a annoncé que le vendredi 12 avril 2024 sera à titre exceptionnel jour férié dans le secteur bancaire au cas où l'Aïd Al Fitr correspond au mercredi 10 avril 2024. || body : Le GPBM recommande de prendre les mesures nécessaires pour garantir un approvisionnement adéquat en espèces dans les guichets automatiques bancaires (GAB) à travers toutes les régions du Maroc. Cette précaution vise à répondre efficacement aux besoins de retraits des clients pendant cette période marquant l'Aid Al Fitr. Aid Al Fitr : congé exceptionnel pour les établissements d'enseignement le samedi 13 avril Le ministère de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a annoncé qu'il a été décidé de suspendre les cours dans les établissements scolaires publics et privés, à titre exceptionnel, le samedi 13 avril, à l’occasion de l’Aïd Al-Fitr. Pour assurer la continuité des services bancaires, il est également souligné l'importance de "mettre en place les ressources humaines et techniques nécessaires pour maintenir le bon fonctionnement des GAB, en particulier en cas de problèmes techniques", indique le GPBM dans son communiqué. Aid Al Fitr : le vendredi 12 avril 2024 jour férié dans les administrations publiques C'est officiel. Le chef du gouvernement vient d'accorder le vendredi 12 avril 2024 comme congé exceptionnel dans l'administration publique. En outre, le GPBM a engagé des discussions avec le directeur général du Groupement Interbancaire Marocain de Télécompensation (GSIMT) afin de garantir la continuité des opérations de compensation des valeurs bancaires pendant cette période de congé prolongé.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : CGEM : le Label RSE attribué à l'entreprise "Ansamble Maroc" et renouvelé à la SOMAS || subtitle : La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), à la suite de la réunion du Comité d'attribution du Label Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), a accordé son Label RSE pour la première fois à l'entreprise "Ansamble Maroc" et l'a renouvelé à la Société Marocaine de Stockage (SOMAS). || body : L'octroi de ce label vise à reconnaître et distinguer les engagements de ces entreprises en matière de responsabilité sociétale , dans le cadre d'une stratégie managériale prenant en compte leurs intérêts et les attentes de leurs différentes parties prenantes, indique la CGEM dans un communiqué. La CGEM attribue le Label RSE à Al Barid Bank et à 4 filiales du Groupe Al Omrane Suite à la réunion de son Comité d’attribution du Label Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a attribué son label RSE à Al Barid Bank et aux filiales du Groupe Al Omrane, à savoir Société Al Omrane (SAO) Al Janoub, SAO Béni Mellal, SAO Fès Meknès et SAO Région de l’Oriental. Ces entreprises sont mobilisées dans une démarche de progrès continu visant à renforcer davantage leur performance globale tout en créant de la valeur ajoutée à leur environnement et en impactant positivement leurs écosystèmes, ajoute la même source. Le Label RSE de la CGEM est octroyé pour une durée de trois ans et renouvelé à l'issue de cette période. Il est attribué par le Président de la Confédération sur avis d'un Comité d'attribution à la suite d'une évaluation managériale menée par l'un des tiers experts accrédités par la CGEM. L'évaluation a pour objet de s'assurer de la conformité de la gestion globale de l'entreprise avec les objectifs définissant la charte de responsabilité sociétale de la Confédération, qui constitue le référentiel du Label. Cette charte est articulée autour de neuf axes d'engagements, définis en conformité avec les objectifs universels de responsabilité sociale et sociétale des entreprises.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le risque d’impayés pour les entreprises reste modéré au Maroc (Allianz Trade) || subtitle : Dans un contexte de crises diverses et de perspectives de croissance mondiale moroses, le Maroc maintient sa note au niveau de «risque modéré» selon la nouvelle carte Risques-pays publiée par Allianz Trade. Le Royaume reste le pays le mieux noté en Afrique du Nord, notamment par rapport à l’Algérie, la Tunisie ou encore l’Égypte, et dans le club restreint des bons élèves en Afrique, en termes de qualité de l’environnement économique et politique. Allianz Trade vise, avec cette carte, à aider les entreprises voulant se développer ou investir à l’étranger à choisir la bonne destination. || body : Allianz Trade vient de publier la nouvelle carte des risques-pays et sectoriel liés au développement des entreprises à l’international. Il en ressort que, malgré un contexte de crises diverses, le Maroc confirme sa résilience . Le Royaume se maintient au niveau de risque modéré avec une note «B2», au premier trimestre 2024. Il reste le pays le mieux noté en Afrique du Nord , notamment par rapport à l’ Algérie (C2) et la Tunisie (D4). Défaillances d’entreprises au Maroc : les prévisions d'Allianz Trade pour 2024-2025 Allianz Trade vient de publier sa nouvelle étude sur les défaillances d’entreprises dans le monde et par pays. L'assureur-crédit y livre ses prévisions pour l'année en cours et pour 2025 avec un comparatif de la situation au Maroc, en Espagne, aux Etats-Unis, ainsi que d'autres pays. Les détails. Pour rappel, l’évaluation du niveau global de risque pays par Allianz Trade repose sur une Note Pays structurelle, qui analyse les déséquilibres macroéconomiques , la qualité de l’ environnement des affaires et le risque politique (6 niveaux allant de AA à D) pesant sur le risque d’ impayés d’entreprises . S’ajoute à cela un Indicateur d’alertes à court terme (4 niveaux allant de 1 à 4) qui mesure le cycle économique et les risques de financement de l’économie . Selon la nouvelle évaluation, Allianz Trade a relevé 8 notes de risque pays, dont 4 économies en Afrique. Il s’agit de l’ Égypte (de D4 à D3), la Mauritanie (de D4 à D3), Madagascar (de D3 à C3) et Cabo-Verde (de C2 à B2). Malgré cette amélioration dans ces 4 économies, Allianz Trade dresse globalement un tableau sombre en Afrique, avec la majorité des pays notés au niveau risque significatif ou élevé. En dépit de cette situation, la croissance en Afrique devra dépasser la moyenne mondiale à court terme. Selon Allianz Trade, la croissance du PIB mondial devrait être inférieure à 3% en 2024 et 2025, autour de 2,7%. En revanche, l’activité économique en Afrique devra s’accélérer de 2,6% en 2023 à 3,4% cette année puis à 4,0% en 2025. L'Afrique domine le classement des régions à la croissance économique la plus forte au monde en 2024, derrière l’ Asie-Pacifique dont le PIB devra ralentir à 4,1% cette année, contre 4,5% en 2023. Concernant l’ inflation , Allianz Trade pense que la désinflation se poursuivra au niveau mondial, avec une moyenne de +5,2% en 2024 et 3,6% en 2025, après 6,8%. En Afrique, l’inflation restera à un niveau élevé, même si elle doit baisser de 20,2% en 2023 à 18,3% cette année et 11,1% en 2025. En Europe , la désinflation se poursuivra également, notamment dans la Zone euro (de 5,4% à 2,4% puis à 2,2%) en raison de la stagnation prolongée de la demande intérieure et de l'élimination des contraintes d'approvisionnement restantes. Ainsi, la Banque centrale européenne (BCE) , qui est suivie de près par Bank Al-Maghrib pour sa politique monétaire , sera contrainte de baisser ses taux en raison d'un contexte économique divergent marqué par une inflation plus faible et une production stagnante. «Dans ce contexte, la rentabilité des entreprises sera mise à l'épreuve, car le pouvoir de fixation des prix diminue dans la plupart des secteurs manufacturiers. Sans surprise, un nombre croissant d'entreprises devraient procéder à des réductions de coûts au cours des prochains trimestres. Les investissements ralentissent dans un contexte de perspectives de croissance moroses, de taux d'intérêt élevés et de taux d'utilisation des capacités plus faibles.», estiment les experts d’Allianz Trade, le spécialiste mondial de l’ assurance-crédit .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Pêche : hausse de la valeur des produits commercialisés de 2% à fin mars 2024 || subtitle : Les produits commercialisés de la pêche côtière et artisanale ont enregistré, en termes de valeur, une croissance de 2% à près de 3 milliards de dirhams (MMDH) au cours des trois premiers mois de l'année 2024, selon l'Office national des pêches (ONP). || body : Le poids des produits commercialisés de la pêche côtière et artisanale s'est établi à 181.280 tonnes (t) à fin mars 2024, en baisse de 14% par rapport à 2023, indique l' ONP dans son récent rapport sur les statistiques de la pêche côtière et artisanale au Maroc . Les ports du Maroc franchissent le cap des 200 millions de tonnes en 2023 Les ports marocains ont enregistré une évolution positive du trafic portuaire global qui est passé de 195 millions de tonnes en 2022 à 209,4 millions de tonnes en 2023, soit une hausse de 7,4%. Par espèce, les débarquements des coquillages , des crustacés et des poissons pélagiques ont accusé des baisses respectives de 67% à 15 t, de 30% à 1.799 t et de 21% à 126.056 t. Les algues et le poisson blanc ont vu leurs débarquements reculer à 4.042 t et 25.455 t, respectivement. À l'inverse, les débarquements des céphalopodes ont augmenté de 22% à 23.913 t. Par port, un total de 4.363 t de produits de la pêche côtière et artisanale a été débarqué dans les entrées portuaires méditerranéennes à fin mars 2024, en baisse de 12% par rapport à la même période de l'année précédente. En termes de valeur, ces ports ont enregistré une hausse de 8% à 218,6 millions de dirhams. Pour leur part, les débarquements au niveau des ports situés sur l'Atlantique ont baissé de 14% à 176.917 t et ont augmenté, en valeur, de 1% à plus de 2,75 MMDH.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Les prix de la viande rouge s’envolent et ne sont pas près de se tasser || subtitle : Les prix de la viande rouge continuent de s’envoler depuis la fin du mois du Ramadan. Ainsi, le prix au kilogramme de la viande bovine a atteint 100 DH dans les boucheries, tandis que celui de la viande ovine a franchi la barre des 120 DH. Une hausse sans précédent due à plusieurs facteurs, selon le président de l’Association nationale des vendeurs grossistes de la viande rouge, Abdelali Ramou. Eclairages. || body : Les prix des viandes rouges continuent de monter en flèche, malgré toutes les mesures prises par le gouvernement pour freiner cette tendance, ce qui laisse présager un scénario similaire à celui de l’année dernière. En effet, depuis une semaine, ces prix, déjà élevés, ont connu de nouvelles hausses provoquant ainsi l’inquiétude des consommateurs, surtout à l’approche de la fête de Aïd Al-Adha . «Le prix du kilogramme de viande bovine a déjà atteint entre 85 et 90 DH au niveau des abattoirs de Casablanca. À cela, il faut ajouter les frais de transport et les autres dépenses, ce qui porte le prix du kilogramme vendu au détail à 100 DH. Il en est de même pour la viande ovine dont le prix oscille entre 110 et 120 DH dans les boucheries. Et malgré cette hausse, les prix ne sont pas encore stables, car ils risquent d’être de nouveau revus à la hausse», souligne Abdelali Ramou, président de l’Association nationale des vendeurs grossistes de la viande rouge au Maroc dans une déclaration accordée au «Matin». Viande de poulet : les raisons de la légère baisse des prix Légère détente sur les prix du poulet de chair. À la ferme, le prix au kilogramme vif est de 15 dirhams. En y incluant les frais de transport et la marge des «riachate», il monte à 18, voire 19 dirhams le kilo. Mais cette baisse, quoique dérisoire, est éphémère. Les explications du président de l’Association des producteurs (APV). Selon ce professionnel, plusieurs facteurs expliqueraient cette situation. Et de citer en premier lieu la réduction drastique du cheptel, particulièrement le bovin , à cause de la succession des années de sécheresse. Un manque qui n’a malheureusement pas pu être compensé, malgré les différentes initiatives. Et les choses se compliquent davantage dans le secteur, qui continue de subir de plein fouet les aléas de la conjoncture internationale. Cette dernière cause la hausse des prix des aliments et des fourrages, ce qui dissuade les éleveurs d’augmenter leur cheptel, particulièrement en l’absence d’une subvention directe à l’élevage. L’autre facteur ayant une incidence directe sur les prix, note le même interlocuteur, c’est l’absence d’équilibre entre l’offre est la demande suite à la baisse du pouvoir d’achat, ce qui explique la fluctuation des prix et leur évolution en dents de scie. M. Ramou déplore ainsi le manque de suivi de l’évolution du marché par le ministère de l’Agriculture et celui de l’Intérieur et le retard dans la prise de décisions pour soutenir l’offre à temps et anticiper les périodes de pic lors des conjonctures spéciales, comme la fin du Ramadan et l’approche de la fête de Aïd Al-Adha. Dans ce sens, le président de l’Association nationale des vendeurs grossistes de viande rouge appelle le gouvernement à associer davantage les professionnels aux décisions relatives à la gestion des subventions à l’importation, soulignant que le déséquilibre entre l’offre et la demande risque de s’aggraver d’ici Aïd Al-Adha, notamment avec la faiblesse relevée au niveau des importations et l’aggravation des dommages causés au cheptel national par la sécheresse. Le même responsable plaide également pour la révision des chaînes de valeur de la viande rouge et appelle à traiter les problèmes liés à la multiplicité des intermédiaires et à la spéculation ainsi que l’abattage clandestin. n</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Guelmim-Oued Noun : 300 millions de DH pour la réalisation de 3 zones industrielles || subtitle : Les trois nouveaux projets de zones d’activités économiques portent respectivement sur une superficie de 100 Ha pour la province de Guelmim, dont un projet d’achèvement des travaux hors sites de la cactopole, 80 Ha pour la commune de Sidi Ifni et 45 Ha pour la commune de Assa. || body : Une convention de partenariat portant sur la réalisation de zones d'activités économiques dans les provinces de la région de Guelmim-Oued Noun a été signée le 8 avril 2024, à Rabat. Ce programme, qui s’étale sur la période 2024-2027, porte entre autres sur la réalisation de trois nouvelles zones d’activités économiques dans les provinces de Guelmim , Sidi Ifni et Assa Zag . Casablanca-Settat: Quatre zones industrielles verront le jour dans la région Une convention-cadre pour le développement des zones industrielles au niveau de la région de Casablanca-Settat, a été signée, vendredi à Casablanca. Impliquant comme partenaires le Conseil de la région de Casablanca-Settat, le ministère de l’Industrie et du Commerce, le ministère de l’Economie et des Finances et la wilaya de la région Casablanca-Settat, cet accord permettra la création de quatre zones industrielles dans la région. La convention a été signée par Ryad Mezzour , ministre de l’Industrie et du Commerce et Mbarka Bouaida , présidente du Conseil de la Région. Outre la réalisation des trois nouvelles zones d’activités économiques dans les provinces de Guelmim , Sidi Ifni et d’ Assa Zag , ce partenariat porte également sur l’achèvement de la zone d’activité économique de El Ouatia , et des travaux hors sites de la zone d’activités économiques « cactopole » d’ Asrir , marquant ainsi la volonté d’améliorer l’ attractivité territoriale des régions et renforcer leur compétitivité économique. Les trois nouveaux projets de zones d’activités économiques portent respectivement sur une superficie de 100 Ha pour la province de Guelmim , dont un projet d’achèvement des travaux hors sites de la cactopole, 80 Ha pour la commune de Sidi Ifni et 45 Ha pour la commune de Assa . En vertu de cette convention, le MIC s’engage à apporter une contribution financière de l’ordre de 200 MDH et à appuyer la mise en œuvre de ce programme dans toutes les démarches nécessaires. Le Conseil Régional s’engage, quant à lui, à apporter une contribution financière de 100 MDH et à assurer notamment la réalisation des études de positionnement, techniques et financières , la réalisation des travaux in-site et hors-site et la réalisation des travaux objet de la convention en fonction des études réalisées et des contrats conclus. L’acquisition du foncier nécessaire à la réalisation du projet revient aux collectivités territoriales qui s’engagent également à assurer l’appui nécessaire à la mise en œuvre du programme. « La signature de cette convention constitue un véritable catalyseur pour le développement industriel de la région et le renforcement de son attractivité territoriale », a déclaré à cette occasion Ryad Mezzour . Et d’ajouter que l’ Etat affirme son engagement à stimuler une économie régionale solide et génératrice d’emploi et de richesses, en mettant à la disposition des investisseurs des plateformes d’accueil à des conditions de qualité et de prix compétitifs »</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La CMR se dotera d’une plateforme Data de nouvelle génération || subtitle : La Caisse marocaine des retraites poursuit le processus de modernisation de son système d’information. La Caisse compte, en effet, se doter d’une plateforme Data de nouvelle génération avec l’opérationnalisation de la gouvernance des données à travers des cas d’usage Data. L’institution opérationnalisera ainsi son cadre de gouvernance data ayant été élaboré sur la base d’une étude menée en 2023. || body : La Caisse marocaine des retraites (CMR) planche sur la modernisation de son infrastructure SI . La Caisse entend ainsi se doter d’une plateforme Data de nouvelle génération avec l’opérationnalisation de la gouvernance des données à travers des cas d’usage Data. La Caisse devra ainsi mandater, le 25 avril prochain, un prestataire spécialisé afin de lui confier la réalisation de cette opération. Ses missions, réaliser un état des lieux de la gestion des données et la structuration organisationnelle Data de la CMR, proposer et valider l’organisation cible de gouvernance des données et processus associés et identifier et cadrer deux cas d’usage Data à fort impact métier, permettant d’opérationnaliser la gouvernance de données. Le prestataire aura également à implémenter la plateforme technique Data de nouvelle génération portant sur les cas d’usage et la gouvernance des données associées en plus d’élaborer la Feuille de route du programme de transformation Data. La Caisse affirme s’être engagée, depuis plusieurs années dans une politique de modernisation de ses services. La vision stratégique 2022-2024 a ainsi consacré les politiques établies en termes de digitalisation et met l’expérience client et collaborateur au cœur de cette digitalisation tout en assurant le développement d’une organisation «performante» et «agile», et ce à travers l’optimisation interne et la digitalisation de ses processus métier, support et pilotage. «La transformation visée nécessite de disposer de mécanismes de pilotage et de mesures (surveillance) basés sur des données disponibles, partagées, fiables et de qualité et en toute sécurité. La CMR a mené courant l’année 2023, une étude concernant la mise en place d’un cadre de gouvernance Data. Le présent appel d’offres a pour objectif d’opérationnaliser cette gouvernance autour de deux cas d’usage et accélérer une acculturation Data», explique la CMR. Pour rappel, la Caisse marocaine des retraites est un établissement public qui assure une double mission sociale et financière. De par sa mission sociale, la CMR est en charge de la gestion des régimes de pensions militaires et civiles du secteur public ainsi que les prestations pour le compte de tiers. De par sa mission financière, l’institution assure la gestion des fonds de réserve et l’amélioration continue de leur performance. En mettant son expertise et son savoir-faire au service des pouvoirs publics, la CMR affirme contribuer activement à la concrétisation de la stratégie nationale de la couverture sociale notamment en matière de retraite.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Abdelhakim Amine nommé Directeur Général Délégué d'Afriquia Gaz || subtitle : Le Conseil d’Administration d’Afriquia Gaz a procédé à la nomination de Abdelhakim Amine au poste de Directeur Général Délégué. || body : Abdelhakim Amine a été nommé Directeur Général Délégué d'Afriquia Gaz . M. Amine succède ainsi à Tawfiq Hamoumi , nommé Directeur Général du Pôle Gaz d’Akwa Group , indique la société dans un communiqué, ajoutant que leur prise de fonction est effective à partir du 1er avril 2024. Afriquia Gaz : baisse de 6,9% du bénéfice consolidé en 2023 Malgré une hausse 2,2% du tonnage distribué en 2023, Afriquia Gaz a vu son chiffre d’affaires consolidé baisser de 13,2% à 8,25 milliards de DH. Et pour cause, une contraction du prix de reprise. Son résultat net consolidé se contracte de 6,9% pour s'établir à 481,5 MDH. Le Conseil d’Administration a également pris acte de la nomination de M. Hamoumi en tant qu’administrateur, en remplacement de Rachid Idrissi Kaitouni , nommé au poste de Directeur Général du Pôle " Transition Energétique, Environnement & Développement Durable " au sein d’Akwa Group, fait savoir la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Go to Market: le délai de soumission des candidatures prolongé jusqu'au 19 avril || subtitle : Le délai de dépôt des candidatures au programme d'appui des entreprises à l'international "Go to Market", a été prolongé jusqu'au vendredi 19 avril 2024 à 15H00, annonce, vendredi, le ministère de l'Industrie et du Commerce. || body : Les entreprises concernées par ce programme sont ceux qui réalisent un chiffre d'affaires à l'export annuel dépassant 5 millions de dirhams (MDH) sur les deux derniers exercices et qui disposent d'un business plan de développement à l'international démontrant, d'une part, un potentiel confirmé à l'export ou des opportunités non encore exploitées avec une programmation structurée des opérations sur la période 2024-2025, et d'autre part, un positionnement dans un nouveau produit ou un nouveau marché, précise le ministère dans un communiqué. Go To Market : candidature ouverte jusqu'au le 1er avril pour les entreprises exportatrices Les entreprises industrielles et de services ayant des ambitions à l’export ont jusqu’au 1er avril prochain pour soumettre leurs candidatures afin de bénéficier du programme «Go To Market», mis en place par l’État. Ce dernier se veut un accompagnement sur mesure, individualisé et différencié selon le profil de l’entreprise et articulé autour de ses ambitions et besoins réels et spécifiques dans le développement à l’international. L’État prend chaque année en charge, à hauteur de 80%, les dépenses éligibles liées aux opérations s’inscrivant dans le business plan de développement des exportations des entreprises bénéficiaires. Dans cette perspective, les entreprises éligibles et désireuses de bénéficier de ce programme doivent déposer leurs dossiers de candidature au ministère de l'Industrie et du Commerce ou les envoyer par poste, à la Direction Générale du Commerce , sis Parcelle 14, Business center, aile nord Bd Erriyad, Hay Riad B.P. 610 Rabat , fait savoir la même source. Les documents relatifs à la candidature à ce programme sont téléchargeables sur le site web du ministère ( https://www.mcinet.gov.ma/fr/appel-a-manifestation ) et les demandes d'informations peuvent être envoyées à l'adresse " [email protected] ". Il est à rappeler que le ministère de l'Industrie et du Commerce lance cet appel à manifestation d'intérêt, dans le but d'appuyer les entreprises exportatrices pour renforcer leur compétitivité à l'international et leur offrir les moyens appropriés pour mieux accéder aux marchés étrangers .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Aïd Al Adha : 300.000 têtes éligibles à la prime à l'importation des ovins || subtitle : L'effectif total éligible est fixé à 300.000 têtes pour la prime à l'importation des ovins de 500 DH par tête à l'instar de l'année dernière. L’annonce a été faite par l’Office national interprofessionnel des céréales et des légumineuses (ONICL). L'objectif de cette mesure est de réduire le prix d'importation des ovins à l'approche de l’Aïd Al Adha et, par conséquent, le prix de vente au Maroc. || body : "Il porté à la connaissance des importateurs que par Décision Conjointe du Ministère de l'Economie et des Finances et du Ministère de l'Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts , relative à l'approvisionnement du marché intérieur en ovins d'importation , il a été décidé de mettre en place un dispositif de subvention à l'importation des ovins pour la période allant du 15 mars 2024 au 15 juin 2024", indique l’ Office national interprofessionnel des céréales et des légumineuses (ONICL) dans une circulaire publiée sur son site web jeudi 28 mars. L'effectif total cible éligible à la prime forfaitaire est 300.000 têtes réparti entre les importateurs ayant reçu des récépissés d'éligibilité à la prime forfaitaire délivrés par l'ONICL selon le principe premier venu-premier servi, note la même source. >> Lire aussi : Hausse des prix de la viande rouge : suspension de la TVA à l'importation des bovins domestiques Cette prime, fixée à 500 DH par tête à l'instar de l'année dernière, vise à réduire les coûts d’importation du cheptel en vue de limiter la hausse des prix durant l’ Aïd Al Adha dans un contexte national de stress hydrique . Pour rappel, cette mesure intervient après la décision du gouvernement fin janvier de suspendre la TVA à l' importation des bovins domestiques .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Investissements : BMCI lance « CapAccess By BMCI » || subtitle : CapAccess By BMCI est un crédit conjoint accordé en combinant une dette subordonnée « crédit Junior » à hauteur de 1/3 maximum du montant du crédit (FM6I) et un crédit bancaire « crédit sénior » à hauteur de 2/3 minimum (BMCI). || body : Après la signature de la convention le 5 mars dernier entre le Fonds Mohammed VI pour l’investissement (FM6I), Tamwilcom et les banques marocaines, qui a marqué le lancement de CapAccess, la BMCI annonce le lancement de « CapAccess By BMCI ». Cette initiative vise à accélérer le financement des investissements des entreprises marocaines opérant dans des secteurs définis et ayant un chiffre d’affaires compris entre 10 et 500 millions de dirhams. CapAccess By BMCI est un crédit conjoint accordé en combinant une dette subordonnée « crédit Junior » à hauteur de 1/3 maximum du montant du crédit (FM6I) et un crédit bancaire « crédit sénior » à hauteur de 2/3 minimum (BMCI). Pour encourager les PME-ETI à concrétiser leurs projets d’investissements, l'offre présente : - Un taux avantageux de 5,5% HT sur le crédit Junior. - Une maturité du crédit junior plus longue de 3 ans maximum par rapport à la maturité du crédit senior, sans dépasser 12 ans (Dans certains cas spécifiques, le montant du crédit junior pourrait atteindre un maximum de 50 MDH). - Un différé du crédit junior correspondant à deux fois la durée du différé du crédit senior, sans dépasser 5 ans. - Un montant du crédit Junior pouvant atteindre un maximum de 30 millions de dirhams (Dans certains cas spécifiques, la maturité du crédit junior pourrait s'étendre jusqu'à 15 ans maximum. CapAccess By BMCI est également cumulable avec les autres programmes de soutien étatiques dont peuvent déjà bénéficier les entreprises éligibles, indique la banque dans un communiqué. Par ailleurs, une appréciation de l’impact environnemental, social et de gouvernance (ESG) permettra d’accompagner les PME-ETI porteuses de projets à impact positif et engagées en faveur d’un développement durable. "CapAccess By BMCI vient ainsi renforcer le dispositif déjà mis en place par la filiale du Groupe BNP Paribas pour accompagner les entreprises marocaines dans leur développement et leur offrir des conditions optimales de croissance", note la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : En direct. Le policy center débat sur les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l'Afrique atlantique (2/2) || subtitle : None || body : En direct. Le policy center débat sur les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l'Afrique atlantique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Vols domestiques de Ryanair : aucune subvention financière n'a été octroyée à la compagnie (Ministère) || subtitle : Le ministère du Tourisme, de l'artisanat et de l'économie sociale et solidaire a affirmé que Ryanair n'a bénéficié d'aucune subvention ou aide financière pour ses vols domestiques au Maroc, en réaction aux questions soulevées par certains médias. || body : En réponse aux préoccupations concernant tout soutien financier accordé à Ryanair par l'Office national marocain du tourisme ( ONMT ) pour les vols domestiques, le ministère précise dans une mise au point qu'«aucune subvention ou contribution financière n'a été octroyée à Ryanair pour opérer des vols domestiques au Maroc. Cela a été établi dès le début et restera inchangé». Billets commercialisés en devises : Abdeljalil rappelle Ryanair à l'ordre Ayant constaté que les billets des vols domestiques opérés par Ryanair étaient commercialisés uniquement en devises, le ministère du Transport et de la Logistique a indiqué, vendredi, avoir rappelé à la compagnie irlandaise ses engagements et décidé de l’autoriser à opérer ses vols domestiques “exceptionnellement pour une durée d’un mois”. Concernant le point relatif à la «concurrence directe que représenterait le partenariat avec Ryanair pour Royal Air Maroc (RAM)», le ministère souligne que «l'objectif de ce partenariat, comme pour tous les partenariats aériens, est la complémentarité», notant que les vols de Ryanair ne se chevauchent pas avec ceux des transporteurs nationaux, contribuant ainsi au développement horizontal de la connectivité et à l'interconnexion entre les régions. Et de soutenir que les liaisons aériennes offertes par Ryanair, telles que Tanger-Essaouira, Oujda-Marrakech, Fès-Agadir, contribuent à renforcer l'interconnexion entre les régions marocaines, promouvoir le tourisme intérieur et permettre aux touristes étrangers de prolonger leurs séjours en découvrant des régions jusqu’alors difficilement accessibles. Sur la question des supposés demandes de paiement en euros pour ses vols domestiques, malgré l'obligation de vendre ces vols en dirhams aux citoyens marocains, le ministère rapporte que «Ryanair et ses équipes travaillent activement pour résoudre la question des transactions ponctionnées sur la dotation touristique». Par ailleurs, le ministère rappelle que les récents succès du tourisme marocain, y compris l'atteinte d'un record de 14,5 millions de touristes en 2023, démontrent le potentiel exceptionnel de la destination Maroc. Les objectifs ambitieux de la feuille de route ainsi que les événements à venir, tels que la Coupe d'Afrique des nations 2025 et la Coupe du monde 2030, rendent impérative la maximisation des capacités aériennes. Le véritable défi est un défi de développement et non de protectionnisme. Pour ce faire, le Maroc doit s’appuyer sur ses compagnies nationales, ainsi que sur la force de frappe de l’ensemble des compagnies internationales flagship ou lowcost. Enfin, il est important de rappeler que le contrat programme ambitieux qu’a signé le gouvernement avec RAM, visant à porter sa flotte à 200 avions d'ici 2037, offre à la compagnie des moyens considérables et inédits pour son expansion et son développement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Tourisme : les voyageurs bientôt accueillis par des avatars dans les hôtels (Entretien) || subtitle : Plusieurs hôtels au Maroc se préparent à entrer dans l’ère de la réalité augmentée. Les voyageurs seront bientôt accueillis par des avatars avec lesquels ils peuvent dialoguer et interagir. À l’origine de ce tournant innovant, une jeune entreprise marocaine qui s’active dans le domaine des technologies émergentes. Celle-ci a développé une solution qui propose une expérience immersive et innovante permettant de communiquer, de gérer et d’optimiser toutes sortes de structures de manière nouvelle et stimulante. Terence Brocorens, co-fondateur de cette entreprise appelée «Articode», nous en dit plus dans cet entretien. || body : Le Matin : Votre entreprise «Articode» a décroché des contrats avec de grands groupes hôteliers au Maroc pour le déploiement d’une solution innovante, dotée d’avatars interactifs, qui promet de transformer l’expérience client. Parlez-nous de cette innovation. Terence Brocorens : Le monde de l’hôtellerie est, aujourd’hui, intéressé par un changement technologique en vue de l’affluence attendue des touristes pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025 et de la Coupe du monde 2030. En anticipation de ces deux grands rendez-vous sportifs, « Articode » a développé «Idesk Crim», une solution spéciale pour les hôtels et restaurants. Cette solution propose un assistant virtuel en réalité augmentée, composé d’un avatar 3D qui apparaît sur le téléphone des clients de l’établissement. Les voyageurs peuvent ainsi dialoguer et interagir avec l’avatar pour obtenir des informations sur l’hôtel, les restaurants, le spa, et bien plus encore. Grâce à un CRM (Gestion de la Relation Client) intelligent, le personnel de l’établissement peut, de son côté, accéder en temps réel aux informations et données, aussi facilement que de poser une question à ChatGPT. Notre solution permet de rendre l’expérience client immersive et personnalisée. Fini les longues attentes à la réception ou les recherches laborieuses d’informations sur les services de l’hôtel. Avec cet assistant virtuel, chaque client se sent spécial et pris en charge, dès le premier instant de son séjour. Imaginez un instant : vous entrez dans un hôtel et votre téléphone s’anime soudainement avec un avatar 3D intelligent en réalité augmentée. Cet assistant virtuel devient votre guide personnel, vous emmenant à travers une visite virtuelle captivante de l’établissement. Il vous raconte l’histoire de l’hôtel, vous présente ses services et attractions locaux, et vous permet même de réserver une table au restaurant ou de demander des oreillers supplémentaires, le tout en un clin d’œil. Ainsi, l’hôtel devient plus qu’un simple lieu de séjour, mais un monde à découvrir et à apprécier pleinement. Au travers une discussion fluide et naturelle, nous redéfinissons le parcours client, en le laissant être le maître de son parcours. Chaque client est unique et différent, certains sont exigeants et d’autres plus introvertis, mais tous méritent aujourd’hui d’être traités en VIP. Je tiens à souligner que la solution proposée par «Articode» n’est pas simplement un ajout technologique, mais une véritable transformation de l’expérience hôtelière. En intégrant l’intelligence artificielle (IA) et la réalité augmentée (AR) dans tous les aspects de leur séjour, les clients peuvent bénéficier d’une expérience unique et mémorable. Tourisme au Maroc : vers de nouveaux sommets après une année record en 2023 En dépit des défis mondiaux, le tourisme au Maroc a connu une reprise remarquable en 2023, dépassant même les niveaux pré-pandémiques. Fort de ces succès, le pays se prépare à accueillir des événements majeurs tels que la Coupe d’Afrique des nations en 2025 et la Coupe du monde en 2030, ouvrant ainsi la voie à des perspectives prometteuses. Selon une étude de Valoris Securities, ces opportunités pourraient transformer le tourisme en un pilier crucial de l’économie marocaine, à condition de capitaliser sur la croissance des arrivées et de renforcer les partenariats stratégiques. Vous dites que les gestionnaires de l’établissement peuvent aussi tirer bénéfice de cette solution. Comment ? Effectivement. «Idesk Crim 2.0» ne se contente pas d’améliorer l’expérience client. Il offre également aux gestionnaires d’établissements un outil puissant pour gérer leurs opérations de manière plus efficace. Par exemple, le directeur de l’hôtel peut l’utiliser pour obtenir des rapports détaillés sur l’utilisation des installations, les préférences des clients et les tendances du marché, lui permettant ainsi d’ajuster ses offres en temps réel pour mieux répondre aux besoins de ses clients. Vos solutions sont-elles uniquement destinées au secteur de l’hôtellerie ? Non, pas uniquement. Nous avons aussi des clients dans d’autres secteurs. Je peux citer par exemple «Zalar Agri» qui est le deuxième plus gros exportateurs de fruits et légumes au Maroc. On travaille également avec certains confiseurs comme Faconex et Gaudium pour lesquels on a développé des solutions de réalité augmentée pour leurs produits. Nous sommes aussi en pourparlers avec l’ONCF pour développer des solutions pour améliorer le système de billetterie en gares. Ces solutions portent également sur l’amélioration de la navigation indoor (géolocalisation d’intérieur) qui permet d’orienter et guider les voyageurs à l’intérieur de la gare. C’est comme un GPS en 3D qui va même permettre d’afficher des informations sur les établissements qui sont à l’intérieur des gares. Globalement, nous travaillons en étroite collaboration avec les entreprises pour cerner leurs besoins spécifiques et offrir des solutions personnalisées qui dépassent même leurs attentes. Nous nous appuyons en cela sur une équipe dynamique et passionnée, composée d’experts en AR (réalité augmentée), VR (réalité virtuelle), développement d’applications et modélisation 3D. Leurs services incluent la création d’applications AR et VR pour diverses industries, la proposition de solutions de Smart Engineering pour optimiser les processus de production et de gestion, ainsi que le développement d’applications web performantes pour une expérience utilisateur exceptionnelle.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Cinq nouveaux programmes de formation professionnelle agricole arrivent || subtitle : Le département de l’Agriculture est déterminé dans sa démarche de consolidation des compétences dédiées au secteur agricole. Le ministère est sur un projet de développement de cinq nouveaux programmes de formation professionnelle en agriculture selon l’approche par compétences. Ces programmes permettront de mettre à la disposition du marché du travail une main d’œuvre qualifiée capable de contribuer au développement socio-économique souhaité à l’horizon de 2030. || body : Le département de l’ Agriculture poursuit l’exécution de sa feuille de route dédiée à la formation professionnelle en agriculture. Les services de Mohamed Sadiki projettent ainsi le développement de cinq programmes de formation professionnelle agricole selon l’approche par compétences. Cette opération, qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie Génération Green 2020-2030, fera l’objet d’une assistance technique externe pour 1,2 million de dirhams. La formation, un pilier de la stratégie agricole La formation professionnelle en agriculture revêt une importance majeure dans le nouveau modèle de développement agricole du Royaume qui met le capital humain au cœur de ses enjeux. Pour aiguiser le dispositif de la formation professionnelle en agriculture, l’Agriculture a mis au point toute une feuille de route dédiée à la consolidation des compétences dans les secteurs agricole et agroalimentaire. Concrètement, il s’agit d’offrir une formation au profit de 150.000 lauréats afin de mettre à la disposition du marché du travail une main-d’œuvre qualifiée capable de contribuer au développement socio-économique souhaité à l’horizon de 2030. Sur les 150.000 lauréats, 10.000 sont prévus dans l’enseignement supérieur et 140.000 dans la formation professionnelle et par apprentissage. Les cursus de formation porteront sur les filières de la mécanique agricole, le jardinage, l’aviculture, le maraîchage et l’élevage bovin. Maroc-France : renforcement de la coopération dans la formation agricole Le Maroc et la France ont signé, vendredi à Paris, un arrangement administratif de coopération dans le domaine de la formation technique et professionnelle agricole et de l’enseignement supérieur agronomique, vétérinaire et forestier. Actuellement, l’effectif prévisionnel cumulé des lauréats de l’enseignement supérieur (période 2020-2023) est de 1.986 lauréats et le nombre de lauréats des établissements de la formation professionnelle agricole à date est de 6.578 lauréats. En outre, la période 2020-2023 a connu la construction et l’équipement de 3 établissements de la formation professionnelle agricole (sur un objectif de 9 centres en 2030) ainsi que deux centres d’excellence de la formation à savoir IFBP de Casablanca et IFME de Bellouta. L’objectif de cette stratégie de la formation est de doter le marché du travail d’une main-d’œuvre qualifiée et armée de compétences élevées capables de contribuer au développement économique et social du secteur agricole. Dans le même sillage, le ministère affirme s’engager à revoir son offre de formation afin de la rendre plus «diversifiée», «performante» et plus «attractive» couvrant toutes les filières de production de l’amont (train technique de production) à l’aval (valorisation, transformation, logistique de distribution et marché), via une nouvelle démarche innovatrice basée sur une agriculture durable et respectant l’environnement. Adapter les formations aux besoin du marché Le projet de restructuration et de diversification de l’offre de formation professionnelle en agriculture est l’un des projets prioritaires de cette feuille de route, qui vise le renforcement du dispositif de formation pour une meilleure employabilité des jeunes dans les secteurs de l’agriculture et l’agro-alimentaire en plus de l’élargissement de l’approche par compétences (APC) dans tous les établissements de formation professionnelle agricole. Aux yeux des techniciens de l’Agriculture, l’adoption de l’APC comme démarche d’ingénierie des dispositifs de formation, apparaît comme la meilleure réponse pour mettre à niveau et améliorer la qualification professionnelle des jeunes afin d’optimiser leur insertion socioprofessionnelle. Le ministère rappelle que l’adoption d’un cadre méthodologique depuis 2009 et actualisé en 2018, comme outil de référence permettant une compréhension commune et partagée de ce qu’on entend par (APC) par compétences, a permis d’officialiser la démarche préconisée et de définir le statut et la portée des productions résultant des travaux d’ingénierie de la formation. Il s’agit d’un document de présentation générale destiné aux personnes œuvrant dans le domaine de la formation professionnelle qui présente de façon détaillée les diverses étapes du processus d’élaboration des programmes selon l’approche par compétences. En complément à ce document, cinq guides méthodologiques spécifiques appuyant la réalisation de chaque étape de l’élaboration de programmes selon l’APC ont été mis en place. Il s’agit, en effet, d’un guide d’analyse d’une situation de travail (AST) et de production d’un référentiel de métier, un autre guide d’élaboration d’un projet de formation professionnelle selon l’APC, un manuel d’élaboration d’un programme de formation professionnelle selon l’APC, un guide d’élaboration d’un référentiel d’évaluation selon l’APC et d’un guide d’organisation pédagogique et matérielle (GOPM) lié à un programme de formation professionnelle également selon l’APC. «Considéré comme un secteur stratégique, le secteur agricole au Maroc a connu de nombreux programmes de développement et de réformes structurelles pour permettre au pays de contribuer à la croissance économique. Le contexte mondial marqué par la sécurité alimentaire, le changement climatique, la hausse des prix des produits agricoles, la responsabilisation des producteurs, la lutte contre la pauvreté a imposé au Maroc de revoir sa stratégie agricole dans un sens de mise à niveau, de restructuration et de redéfinition de ses missions. C’est dans cette perspective que le Maroc a suivi une nouvelle démarche pour l’élaboration d’une nouvelle stratégie ambitieuse et volontariste», explique le ministère. Pour rappel, Génération Green repose sur deux fondamentaux à savoir la valorisation de l’élément humain et la poursuite de la dynamique de développement du secteur, en favorisant le développement humain et social. En effet, cette stratégie met l’élément humain, en particulier les jeunes, au centre de ses préoccupations afin de garantir à l’horizon de 2030, l’émergence d’une nouvelle classe moyenne agricole en mesure de jouer un rôle important dans l’équilibre socio-économique du milieu rural. Il s’agit de permettre à 400.000 familles d’intégrer la classe moyenne agricole. Elle vise également à confirmer la place de quelque 690.000 familles au sein de cette classe, en plus de créer une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs. Pour atteindre cet objectif, la stratégie prévoit la mobilisation et la valorisation d’un million d’hectares de façon à créer des opportunités d’emploi en faveur de 350.000 jeunes.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Pedro Sanchez : Le Mondial 2030 sera un "grand succès" || subtitle : La Coupe du Monde 2030, dont le dossier Maroc-Espagne-Portugal a été retenu par le Conseil de la FIFA comme candidature unique pour son organisation, sera un «grand succès», a affirmé, lundi à Madrid, le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez. || body : «La Coupe du monde 2030 sera un grand succès parce que nous sommes trois nations, le Portugal , l' Espagne et le Maroc , qui aiment le football en tant que sociétés», a souligné le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez lors d’un point de presse conjoint avec le premier ministre portugais, Luis Montenegro . Mondial 2030 : le Maroc, l’Espagne et le Portugal veulent en mettre plein les yeux au monde Les contours du dossier de candidature conjoint pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 ont été dévoilés mardi lors d’une cérémonie organisée à Lisbonne. En plus de l’identité visuelle et du slogan «Yalla Vamos 2030», le Maroc, l’Espagne et le Portugal se sont engagés à organiser la meilleure Coupe du monde de l’histoire et qui aura un impact intemporel. «Nous avons une longue histoire éprouvée dans l'organisation d'événements sportifs, ce qui démontre notre capacité d'organisation que peu de pays dans le monde ont», a encore soutenu le chef du gouvernement espagnol . «Je suis sûr que la Coupe du monde sera un grand succès organisationnel avec un pays ami comme le Maroc», a-t-il insisté. Pour sa part, M. Montenegro a réitéré le «plein engagement» des trois pays pour garantir le succès de cet événement planétaire. «Nous mettrons tous nos efforts et notre dévouement au service de l'organisation de la Coupe du monde 2030 », a affirmé le responsable portugais, relevant que le Portugal , l’ Espagne et le Maroc sont «convaincus de l'importance de cet événement, non seulement d'un point de vue sportif, mais aussi d'un point de vue économique, culturel et d'opportunités». «Ce sera l'occasion de montrer au monde les valeurs que nous défendons au Portugal, en Espagne et au Maroc», a-t-il assuré.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : La France vise un partenariat économique renouvelé avec le Maroc || subtitle : Le ministre français du Commerce extérieur, Franck Riester, affirme l’engagement de la France à raviver son partenariat avec le Maroc, en mettant l’accent sur le renforcement des relations économiques et commerciales. La signature de la concession de service public de Business France à la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc marque une étape importante dans cette démarche, visant à stimuler les échanges bilatéraux et à encourager la coopération dans divers secteurs clés, avec une attention forte accordée aux PME. || body : La France aspire à raviver son partenariat avec le Maroc en s’appuyant notamment sur le renforcement des relations économiques et commerciales entre les deux pays. «C’est l’une des priorités de mes actions», a affirmé jeudi dernier Franck Riester . Le ministre français chargé du Commerce extérieur s’exprimait à Casablanca, à l’occasion de la signature de la concession de service public de Business France à la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc ( CFCIM ). Cette concession permet à la Chambre de rehausser encore ses ambitions, en termes d’opportunités d’affaires entre le Maroc et la France. Lors de cette rencontre, qui a rassemblé près de 200 partenaires marocains et représentants de la communauté d’affaires françaises, Franck Riester a sonné la mobilisation de l’ensemble de l’«Équipe économique France au Maroc» au service de la relance du partenariat entre les deux pays. D’ailleurs, plusieurs représentants de cette «équipe» ont été présents lors de cet événement, notamment Christophe Lecourtier, Ambassadeur de France au Maroc, Claudia Gaudiau-Francisco , présidente de la CFCIM, Laurent Saint-Martin, directeur général de Business France, Marie-Albane Prieur, directrice Développement export Bpifrance, et Arnaud Vaissié, président des Chambres de commerce et d’industrie françaises à l’International (CCIFI). Maroc-France : Les relations bilatérales vouées à "un avenir fort et fructueux" (Riester) Les relations entre le Maroc et la France sont vouées à "un avenir aussi fort et fructueux que notre passé commun", a affirmé jeudi à Casablanca le ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger, Franck Riester. Au cours de sa visite à la CFCIM, Franck Riester a notamment rencontré l’équipe Team France Export (TFE) de la CFCIM qui lui a présenté les initiatives et les projets en cours de la TFE au Maroc. L’équipe a ainsi exposé les demandes émanant des entreprises françaises souhaitant établir des partenariats économiques avec des acteurs marocains, en mettant en lumière cinq filières clés : Industrie et Infrastructures, Agrotech, Tech & Services, Art de vivre & Santé et Cleantech. Aéronautique, automobile, transport ferroviaire... les secteurs visés «Ces rencontres aujourd’hui à la CFCIM constituent un momentum unique pour poser les bases d’un nouveau partenariat économique de long terme. Cette relance doit s’appuyer sur une vision commune des défis de demain que la France et le Maroc partagent», a souligné le ministre, également chargé de l’Attractivité, de la francophonie et des Français de l’étranger. «Je sais que nos deux pays peuvent s’appuyer sur des acteurs marocains et français engagés et dynamiques, en premier lieu desquels la CFCIM, Business France, Bpifrance, la CCEF, le groupe AFD (Agence française de développement) et toutes les PME françaises et marocaines engagées pour bâtir ce nouvel agenda économique», a détaillé Franck Riester. Selon lui, les deux pays font aujourd’hui face à des défis considérables qui nécessitent, plus que jamais, de travailler ensemble pour les relever. Il s’agit notamment des défis relatifs au réchauffement climatique, à la transition écologique et numérique, dans un monde instable, avec la nécessité de renouveler, solidifier et sécuriser les chaînes de valeur. Les domaines de coopérations portent aussi sur l’aéronautique, l’automobile, le transport ferroviaire. Mais pas que ! La coopération bilatérale peut être développée davantage dans d’autres secteurs, notamment la santé, l’agriculture et l’agrobusiness ainsi que les nouvelles technologies. Pour le ministre, ces défis, entre autres, ne peuvent être relevés qu’avec l’écosystème économique, les chefs d’entreprises et les entrepreneurs des deux pays. D’ailleurs, les PME marocaines et françaises sont clés pour faire émerger de nouveaux domaines de coopération (nouveaux écosystèmes industriels, transition verte, santé, numérique...) et de renforcer encore les liens entre les deux pays. Les PME représentent 70% des exportateurs français vers le Maroc Dans ce cadre, la Chambre, ses adhérents et ses équipes ont un rôle majeur. Les PME représentent 70% des exportateurs français vers le Maroc, mais seulement 20% du volume. Dans ce sens, le renouvellement de la concession de service public Business France-CFCIM fixe à celle-ci des ambitions encore plus fortes pour développer le courant d’affaires entre les deux pays avec une attention particulière accordée aux PME qui constituent la véritable richesse de la relation bilatérale. «Au sein de la CFCIM, cette dynamique économique entre les deux pays constitue notre ADN et guide notre action au quotidien, dans le sens Maroc-France & France-Maroc. Nous nous engageons à poursuivre notre action et à renforcer davantage cette relation économique d’exception», a indiqué Claudia Gaudiau-Francisco. Pour Arnaud Vaissié, la CFCIM est l’étoile du Réseau des 118 Chambres CCI France dans le monde et symbole des liens gagnants-gagnants entre le Maroc et la France. «Les relations entre le Maroc et la France sont vouées à un avenir aussi fort et fructueux que notre passé commun», a soutenu le ministre délégué Franck Riester, qui a effectué une visite officielle au Maroc du 3 au 5 avril 2024, visant à renforcer les liens économiques et commerciaux entre les deux pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le trafic sur les autoroutes a enregistré une évolution de 6% en 2023 || subtitle : La Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) a enregistré une évolution de la circulation autoroutière de 6% à fin 2023, a indiqué la société suite à son Conseil d'administration tenu mercredi. || body : Lors de cette réunion présidée par le ministre de l’Équipement et de l’eau, Nizar Baraka, le directeur général d’ADM a présenté le bilan de l’activité à fin 2023, affichant plusieurs résultats, notamment une évolution de la circulation autoroutière de 6% et des transactions de péage de 6,6% par rapport à l’année 2022 et une stabilisation du télépéage à 58% par rapport au niveau de 2022, a précisé ADM dans un communiqué. ADM relève également une amélioration de la qualité de service aux usagers, avec un investissement de 901 millions de dirhams dans les projets de triplement, de modernisation de l’infrastructure autoroutière et de renforcement des dispositifs de sécurité, ainsi qu'un investissement de 613 millions de DH dans la maintenance et la préservation du patrimoine autoroutier. Autoroutes du Maroc publie la première édition de son rapport de développement durable La Société nationale des Autoroutes du Maroc (ADM) a publié, lundi, la première édition de son rapport de développement durable 2022. Intitulé «Les autoroutes au Maroc : un modèle de gestion inclusif et durable», ce rapport revient notamment sur le bilan des programmes Vert, Azur et Communautaire à fin 2022, ainsi que d'autres actions menées par ADM. Par la même occasion, le Conseil d’administration a procédé à l’arrêté des comptes sociaux et des comptes consolidés de l’exercice clos au 31 décembre 2023. Pour les comptes sociaux d’ADM, les résultats affichent un chiffre d’affaires de 3725 millions de DH avec une évolution de +10,1% par rapport à 2022 et un résultat net de 1.065 millions de DH, fortement impacté par un FOREX favorable. Hors cet impact, le résultat net de l’année est positif de 353 millions de DH. Concernant les comptes consolidés d’ADM, selon les normes et interprétations internationales IAS/IFRS, ADM a révélé un résultat net de 1294 millions de DH, fortement impacté par un FOREX favorable et un total bilan de 76 milliards de dirhams. À l’issue des travaux du Conseil d’administration, le président et les membres du Conseil d’administration ont félicité ADM et l’ensemble de son personnel pour leur engagement et leurs efforts déployés dans l’exercice de leurs missions s’inscrivant dans une trajectoire de développement et d’amélioration de la qualité de service aux usagers, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Sociétés cotées : 32,8 milliards de DH de bénéfices en 2023 (M.S.IN) || subtitle : Les bénéfices des sociétés cotées à la Bourse de Casablanca ont augmenté de 15,7% en 2023, selon une première évaluation des analystes de la société de bourse M.S.IN. Les banques et les télécoms sont les principaux contributeurs à cette performance. || body : Le secteur bancaire a généré un bénéfice additionnel de 2,6 milliards de DH, légèrement plus que Maroc Telecom (+2,5 milliards) qui a profité de la non-récurrence des charges de liquidation de l’astreinte imposée par l’ANRT d’une valeur de 2,45 milliards. Hors Maroc Telecom, la masse bénéficiaire des sociétés cotées serait en hausse de 7,5% par rapport à 2022. Bourse de Casablanca : marché à terme, chambre de compensation... les révélations de Kamal Mokdad Pour Kamal Mokdad, la réussite des dernières IPO témoigne de l’attrait marqué des investisseurs pour la Bourse de Casablanca, ainsi que de son rôle crucial dans le financement des entreprises et le renforcement de l’économie nationale. Après des performances positives en 2023, l’institution vise à consolider les acquis avec notamment l’accélération de deux projets majeurs, le marché à terme et la chambre de compensation, qui donneront naissance au Groupe Bourse de Casablanca. Ce nouveau modèle intégré permettra notamment d’optimiser les investissements, de réduire les délais des opérations et de favoriser l’émergence de produits plus innovants. L’institution renforce, aussi, sa mobilisation en faveur de la finance verte et la promotion du marché sur le plan international. Les autres secteurs ayant contribué positivement à la performance globale de la cote sont principalement ceux des assurances (+555 MDH), des matériaux de construction (+380 MDH) et des boissons (258 MDH). A l’inverse, les secteurs des mines (-966 MDH), du pétrole & gaz (-473 MDH), de la distribution (-330 MDH), de l’électricité (-265 MDH), de la chimie (-139 MDH) et de l’agroalimentaire (-109 MDH) ont tiré à la baisse la masse bénéficiaire globale de la cote. Cette performance est tirée d’une amélioration de 4,4% du chiffre d’affaires agrégé des sociétés cotées, passant à 303 milliards de DH contre 290 milliards une année auparavant, soit un additionnel de 12,8 milliards. Là aussi, ce sont les banques qui ont le plus contribué à la hausse avec 9,4 milliards, en plus de quelques valeurs comme TGCC , Label’Vie, Wafa Assurances, Maroc Telecom et Akdital . « Cette évolution positive intervient dans un contexte marqué par la continuité de la montée de l’inflation en 2023 et ses implications sur les taux d’intérêts , une campagne agricole difficile, l’appréciation du dollar par rapport à l’euro avec un impact négatif sur le taux de change du dirham , ainsi que l’impact du séisme sur quelques secteurs d’activité », commentent les analystes de M.S.IN.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Hydrogène vert : le Maroc attise les ardeurs des investisseurs || subtitle : Dans un marché international très concurrentiel, le Royaume jouit de plusieurs atouts pour se positionner en tant qu’acteur compétitif sur la filière de l’hydrogène vert. Le pays vient aussi de dévoiler «l’Offre Maroc» qui ouvre la voie aux investisseurs nationaux et internationaux. Selon les acteurs du secteur, cette offre a déjà trouvé écho chez de nombreux investisseurs. Décryptage. || body : Ce 11 mars est un jour à marquer d’une pierre blanche dans l’histoire de la transition énergétique au Royaume. La publication de «l’Offre Maroc» en matière d’hydrogène vert, via une circulaire du Chef du gouvernement datée de ce jour, signe le début d’une nouvelle ère impulsée par les Hautes Directives Royales données lors de la séance de travail présidée par S.M. le Roi Mohammed VI, le 22 novembre 2022 et des Hautes Instructions de Sa Majesté, contenues dans le discours du vingt-quatrième anniversaire de la Fête du Trône le 29 juillet 2023. L’objectif est de valoriser les atouts dont dispose le pays en la matière et répondre au mieux aux projets portés par les investisseurs mondiaux dans cette filière prometteuse. À vrai dire, le Royaume a toutes les cartes en main pour se positionner comme un acteur majeur dans ce secteur naissant. Le Maroc émerge comme un hub attractif et compétitif pour la filière de l’hydrogène vert dans le monde, grâce non seulement à sa situation géographique stratégique aux portes de l’Europe, mais aussi grâce à son ouverture à l’international. Hydrogène vert : "L’offre Maroc" se met en place En application des Hautes Directives Royales, Aziz Akhannouch émet la circulaire de mise en œuvre de « l’Offre Maroc » pour le développement de la filière de l’hydrogène vert. «Nous sommes le seul pays africain connecté à la fois aux marchés gaziers, électriques et maritimes avec l’Europe et au-delà, et qui nous garantissent un acheminement efficace de l’hydrogène vert et ses dérivés. Nous disposons également d’accords de libre-échange avec plusieurs pays qui permettent aux investisseurs d’accéder à un marché de plus de 2,5 milliards de consommateurs», estime Tarik, directeur général délégué de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (Masen), qui précise que «notre position de hub africain nous confère une position privilégiée à l’échelle du continent, offrant d’importantes opportunités commerciales et un potentiel prometteur en totale synergie, notamment avec le projet de Gazoduc Nigéria-Maroc». Ce n’est pas tout. Outre sa position géostratégique, le Royaume jouit d’autres atouts significatifs dans sa manche pour le développement de la filière. Il s’agit de la stabilité politique, économique et sociale, la robustesse de son tissu industriel et économique, l’expérience avérée dans le développement de projets renouvelables d’envergure pour la production d’une électricité verte compétitive, des infrastructures répondant aux meilleurs standards internationaux et un capital humain qualifié. Ceci, en plus de «L’Offre Maroc» pour la production d’hydrogène vert qui déroule le tapis rouge aux investisseurs ou consortiums désirant intervenir sur un ou plusieurs maillons de la chaîne de valeur de cette filière au potentiel considérable. Ceci dans la mesure où cette molécule, produite par électrolyse de l’eau en utilisant de l’électricité provenant de sources renouvelables, est envisagée comme un vecteur clé pour parvenir à la neutralité carbone, un objectif mondial visant à équilibrer les émissions de gaz à effet de serre par leurs réduction et absorption. D’où le grand intérêt pour «L’Offre Maroc» qui concerne uniquement les projets intégrés de l’amont depuis la production d’électricité de source renouvelable et l’électrolyse, jusqu’à l’aval avec la transformation de l’hydrogène vert en ammoniaque, méthanol, carburants synthétiques, etc., ainsi que la logistique y afférente pour son conditionnement, stockage et transport. Selon la circulaire de la primature, des avantages non négligeables sont proposés, positionnant ainsi le pays comme un acteur compétitif sur la scène internationale. Citons à ce titre le foncier qui représente un enjeu clé pour le développement de la filière de l’hydrogène vert. L’État, veillant dans un cadre contractuel à préserver le foncier public et garantir sa bonne utilisation, a identifié un foncier public significatif, de l’ordre d’un million d’hectares. Il sera ainsi procédé lors d’une première phase à la mise à disposition des investisseurs de 300.000 hectares à répartir en lots de 10.000 à 30.000 hectares, en fonction de la taille des projets prévus. «Il s’agit de projets à très grande échelle, puisque nous parlons de 10.000 à 30.000 hectares alloués par projet, et qui devront répondre à un ensemble de critères relatifs notamment à la solidité financière des investisseurs ou consortiums, à leurs expériences dans les différents segments de la chaîne de valeur, ainsi qu’à la vision de leur projet et des externalités positives pour le Royaume», détaille Tarik Hamane. Le Royaume pourrait capturer plus de 4% de la demande mondiale «L’Offre Maroc» s’articule aussi autour d’une infrastructure compétitive à planifier, mutualiser, développer et maintenir, conformément aux meilleurs standards internationaux et en fonction des besoins et de l’évolution de l’industrie de l’hydrogène vert. S’y ajoutent la mise en place de mesures incitatives et de l’accompagnement des porteurs de projets et des conventions-cadre d’investissement entre l’État et l’investisseur. Celles-ci prévoient des clauses de rendez-vous pour évaluer régulièrement l’avancement du programme d’investissement, dans le cadre d’une relation État-Investisseur marquée par la transparence et un respect strict des règles de confidentialité. Autant d’atouts naturels, humains et géographiques qui offrent au Royaume un avantage significatif face à une concurrence croissante sur le marché mondial de l’hydrogène vert. D’ailleurs, nombreuses sont les études qui classent le Maroc parmi les cinq pays présentant le plus grand potentiel en matière de production d’hydrogène vert. Dans ce cadre, l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena) estime qu’à moyen terme, le Royaume pourrait capturer plus de 4% de la demande mondiale. Un potentiel qui se confirme au regard de l’intérêt exprimé, à ce jour, par une centaine d’investisseurs nationaux et internationaux. «À travers cette offre, le Royaume vise à se positionner en tant qu’acteur compétitif sur cette filière d’avenir, tout en maximisant les retombées positives, notamment en termes d’intégration industrielle horizontale ou verticale, de création d’emplois, de développement local des territoires abritant les projets, ainsi que les retours financiers pour l’État», avance Tarik Hamane. Tarik Hamane, Directeur Général Délégué de Masen «Grâce à la vision éclairée de Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, le Maroc joue un rôle clé dans la transition énergétique mondiale : il consolide sa position en tant que hub énergétique à travers le développement de l’hydrogène vert, appuyé par le lancement de “L’Offre Maroc”. Le Royaume est un partenaire solide, fiable et attractif : l’un des meilleurs potentiels renouvelables au monde, un foncier public significatif dédié et une expertise avérée dans le développement de projets d’énergies renouvelables d’envergure et d’infrastructures de classe mondiale, le pays propose une offre opérationnelle et incitative, propice à l’investissement, pouvant desservir une demande locale et une demande à l’export. Nous aspirons à devenir une destination privilégiée pour cette filière prometteuse et invitons les investisseurs à se joindre à cette dynamique.» Le rôle moteur du privé Le développement de la filière hydrogène vert au Maroc, soutenu par «L’Offre Maroc», offre un potentiel important pour la création d’emplois, l’implantation d’industries locales et l’attraction d’investissements étrangers. L’intégration horizontale et verticale de cette industrie émergente peut stimuler la création d’industries locales tout le long de la chaîne de valeur de la production d’hydrogène vert, contribuant, d’une part, à la compétitivité des projets et, d’autre part, à l’essor d’un écosystème industriel national : de la fabrication d’équipements pour la production d’électricité renouvelable aux équipements pour les unités d’électrolyse en passant par le stockage du produit final. La chaîne de valeur de l’hydrogène vert pourrait ainsi offrir aux industriels de vastes opportunités d’intégration. Les possibilités d’intégration verticale sont également significatives : des industries énergivores à forte empreinte carbone pourraient délocaliser une partie de leur production consommatrice d’hydrogène vert au Maroc, permettant ainsi de décarboner leurs activités tout en réduisant considérablement leurs coûts. Il est important de signaler que pour cette filière, le privé joue le rôle moteur dans le développement du secteur de l’hydrogène vert, l’État étant fortement mobilisé au côté des investisseurs en vue de la concrétisation des retombées économiques escomptées par le Maroc.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : «Orange Kayna» : la nouvelle signature de marque d’Orange Maroc || subtitle : À l’aube de son quart de siècle, Orange Maroc inaugure une nouvelle ère sous le signe de la promesse «Orange Kayna». Ce slogan, qui résonne comme un gage de proximité et de solidarité, marque un tournant stratégique pour l’opérateur. En s’engageant à être un compagnon de confiance de ses utilisateurs à chaque instant, Orange Maroc renforce l’essence de son lien avec ses clients. Entre aspirations digitales et quête de sens, découvrez comment ce géant des télécommunications entend tisser un avenir où technologie et humanité marchent main dans la main. || body : Dans le riche paysage des télécommunications marocaines, une voix s’élève avec une promesse audacieuse, «Orange Kayna» . Derrière ces mots se cache une vision, celle d’un Maroc connecté et solidaire, porté par un acteur qui, depuis deux décennies et demie, accompagne la transformation numérique du Royaume. Ce qui a été présenté par l’opérateur, jeudi à Casablanca, en dévoilant cette nouvelle signature de marque, «Orange Kayna, Orange is here, Orange est là» , dans le but de souligner son engagement à se rapprocher davantage de ses clients. Mais que renferme véritablement cette promesse ? Comment Orange Maroc envisage-t-il de réinventer sa relation avec les clients marocains ? Orange Maroc : Un engagement renouvelé au cœur de l’identité marocaine Orange Maroc , conscient des enjeux d’un monde en constante mutation, lance «Orange Kayna», «une promesse de marque» qui résonne comme une réponse aux attentes profondes de ses clients. Selon Hendrik Kasteel, directeur général d’Orange Maroc, ce ne sont pas seulement des services et des produits qui sont offerts, mais une véritable promesse de présence et d’accompagnement. «Orange Kayna», simple et conviviale, s’inscrit dans le quotidien des Marocains, reflétant ainsi une ambition : être l’opérateur de confiance par excellence. Orange Maroc : Des piliers solides pour un avenir connecté La stratégie d’Orange Maroc, telle que présentée, s’articule autour de quatre piliers : un réseau de premier ordre, une expérience client sans égale, des offres généreuses et un capital humain engagé. Noël Château , directeur central du segment grand public chez Orange Maroc, a souligné l’excellence de la connectivité et du réseau Internet de l’opérateur, une qualité certifiée par le label «NPerf». Il a également mis en avant l’ampleur de la présence d’Orange Maroc dans le pays, avec une équipe de près de 1300 employés, un portefeuille de 17,4 millions de clients et un réseau dense de 435 points de vente, incluant 50 Smart Stores. De plus, grâce à son infrastructure étendue de plus de 8.000 km de fibre optique et 5.721 antennes, Orange Maroc garantit une connectivité fiable et performante à ses utilisateurs. Ces fondements assurent à l’opérateur une position de leader, capable de répondre avec agilité et efficacité aux besoins de ses clients. Cette approche lui a valu, à plusieurs reprises, a-t-il insisté, le titre de «Meilleur Service Client de l’année», preuve de l’excellence de son engagement. Solidarité et innovation : les clés de la transformation digitale L’engagement d’Orange Maroc ne s’arrête pas à la qualité de service. En soutenant activement la transformation digitale des entreprises marocaines, à travers des solutions Cloud et Cybersécurité notamment, l’opérateur joue un rôle clé dans l’économie nationale. Par ailleurs, la dimension solidaire n’est pas en reste avec l’ initiative «Khatwat Khir» , illustrant la volonté d’Orange Maroc d’agir concrètement pour l’inclusion numérique et sociale. Lors de cette rencontre, Hind Lfal, la secrétaire générale d’Orange Maroc, a souligné l’engagement indéfectible de l’entreprise dans le domaine de la responsabilité sociale (RSE). Selon elle, «Khatwat Khir» est une initiative remarquable d’Orange, conçue pour soutenir les jeunes filles des zones rurales dans leur éducation. À travers ces efforts, a-t-elle expliqué, Orange Maroc démontre son engagement profond dans la lutte contre l’abandon scolaire chez ces jeunes filles.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Le FM6I entame la sélection des sociétés de gestion des «Fonds Startups» || subtitle : Préparé en concertation avec le ministère de la Transition numérique et de la réforme de l’administration et la Caisse de dépôt et de gestion, l’appel à manifestation d’intérêt lancé par le FM6I proposera des solutions innovantes aux sociétés de gestion en vue d’accélérer leurs levées de fonds à l’échelle nationale et internationale. || body : Le Fonds Mohammed VI pour l’investissement (FM6I) a annoncé, lundi, le lancement d’un appel à manifestation d’intérêt pour la sélection de sociétés de gestion appelées à créer et gérer des fonds dédiés aux startups (les «Fonds Startups»), et ce conformément aux dispositions de la loi n°76-20 portant création du Fonds. Le FM6I lance «CapAccess», un produit de dette subordonnée pour 4 milliards de DH C’est fait. Le Fonds Mohammed VI pour l’investissement a lancé le 5 mars 2024 «CapAccess», un produit de dette subordonnée à la dette bancaire, dédié au financement des projets d’investissement viables portés par les entreprises marocaines. L’offre «CapAccess» consiste ainsi en un crédit conjoint composé d'un tiers de dette subordonnée et de deux tiers de crédit bancaire senior. Une enveloppe de 4 milliards de DH est mobilisée du côté du FM6I. Pour l’activation de l’offre, des conventions ont été signées le 5 mars 2024 entre le secteur bancaire, le FM6I et Tamwilcom qui est mandaté pour la gestion du Fonds CapAccess. Cet appel à manifestation d’intérêt, préparé en concertation avec le ministère de la Transition numérique et de la réforme de l’administration et la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), proposera des solutions innovantes aux sociétés de gestion en vue d’accélérer leurs levées de fonds à l’échelle nationale et internationale, indique le FM6I dans un communiqué, précisant que la date limite de dépôt des dossiers de candidature par les soumissionnaires en réponse au cahier des charges est fixée au 1er juillet 2024 à 23 h 59. La conjugaison de ces efforts vise à accroître les volumes de financement disponibles à destination des startups, dans une optique de soutenir le développement d’un écosystème marocain de startups à vocation internationale, fait savoir la même source. Les «Fonds Startups» sont destinés à offrir des solutions de financement adaptées aux différents stades de développement des startups marocaines et à permettre l’émergence de futurs leaders marocains dans l’innovation et les nouvelles technologies. Cette initiative contribuera à positionner le Maroc en tant que plateforme de stimulation de l’innovation au profit de l’économie nationale et au rayonnement international. Ces fonds devront avoir pour objet d’investir, par apport en fonds propres ou quasi-fonds propres, dans des entreprises innovantes à fort potentiel de croissance (startups), la notion d’innovation s’appréciant au sens large, notamment par la nature des technologies développées et/ou par le business model retenu. Par ailleurs, les startups éligibles aux investissements des «Fonds Startups» pourront être soit des entités de droit marocain ou des entités de droit étranger pouvant justifier d’un lien économique et/ou social substantiel avec le Maroc. Elles pourront être généralistes ou spécialisés dans des secteurs spécifiques (par ex. fintech, edtech, agritech, etc.), et pourront couvrir un ou plusieurs stades de financement (par ex., Pre-Seed, Seed, Présérie A, Série A, etc.). Les sociétés de gestion de ces fonds seront quant à elles sélectionnées en fonction notamment de la qualité de leurs équipes, la robustesse des performances réalisées dans la gestion de fonds similaires et leur capacité à mobiliser des fonds auprès d’investisseurs locaux ou étrangers. Elles devront également s’engager à adopter les meilleurs standards de l’investissement responsable, notamment en matière d’ESG au sein des startups investies. Les modalités de retrait du cahier des charges régissant le processus de sélection des sociétés de gestion des «Fonds Startups» sont précisées sur le site web du Fonds Mohammed VI pour l’investissement «www.fm6i.ma».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Air Arabia augmente ses vols entre Rabat et Agadir || subtitle : Air Arabia élargit son offre entre Rabat et Agadir avec trois nouveaux vols hebdomadaires, portant le nombre total de liaisons à sept par semaine à partir du 1er mai 2024. || body : Air Arabia s'offre une base aéroportuaire à Rabat et lance de nouveaux vols vers l'Europe Air Arabia Maroc a annoncé le lancement de nouveaux vols directs en direction de cinq destinations européennes depuis sa nouvelle base aéroportuaire à Rabat. À partir du 1er mai 2024, les passagers pourront voyager, depuis l'aéroport de Rabat-Salé, à destination des villes de Barcelone, Bruxelles, Bâle, Paris et Istanbul. À partir du 1er mai 2024, la liaison Rabat-Agadir bénéficiera de trois nouveaux vols hebdomadaires. La nouvelle programmation comprend des vols le lundi, mercredi, et vendredi : Les lundis : départ de Rabat à 15:20, arrivée à Agadir à 16:25; et départ d'Agadir à 17:05, arrivée à Rabat à 18:15. Les mercredis : départ de Rabat à 12:00, arrivée à Agadir à 13:05; et départ d'Agadir à 13:45, arrivée à Rabat à 14:55. Les vendredis : départ de Rabat à 20:55, arrivée à Agadir à 22:00; et départ d'Agadir à 22:50, arrivée à Rabat à 00:00. Ces vols viennent compléter les quatre vols hebdomadaires déjà existants, portant le nombre total de liaisons à sept par semaine. Ce nouveau dispositif témoigne de la volonté d' Air Arabia et de la région de Souss-Massa de répondre à la demande croissante et de contribuer au développement du tourisme national.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur economie [INST] Rédiger un article de presse sur le thème economie [/INST] title : Les ventes de voitures neuves en baisse de plus de 3% à fin mars (AIVAM) || subtitle : Les ventes globales de voitures neuves au Maroc se sont établies 35.680 unités à fin mars, en baisse de 3,09 % par rapport à la même période de 2023, selon les statistiques mensuelles de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc (Aivam). || body : Le marché automobile national connaît un ralentissement, avec un total de 35.680 véhicules écoulés au cours du premier trimestre de cette année. Cela représente une baisse de 3,09 % par rapport à la même période de l'année précédente. Les données de l' Association des importateurs des véhicules au Maroc (Aivam) révèlent un recul de 5,97 % pour les ventes de véhicules particuliers (VP), avec 31.741 unités immatriculées, tandis que les ventes de véhicules utilitaires légers (VUL) ont chuté de 28,77 %, avec 3.939 unités vendues. Industrie automobile : un déclin attendu de la demande en Europe, principal marché du Maroc Alors que les véhicules électriques prennent le devant de la scène mondiale, l’industrie automobile marocaine, leader des exportations nationales, se prépare à faire face à un environnement international incertain. Si les dernières projections de Bank Al-Maghrib sont très optimistes pour le secteur, une nouvelle étude d’Allianz Trade table sur un ralentissement des ventes de voitures neuves dans le monde, en raison d’une croissance médiocre et de la faiblesse des dépenses de consommation en Europe, principal marché des exportations marocaines. En mars seulement, les livraisons de véhicules ont enregistré une baisse de 5,79 % par rapport à l'année précédente. Seulement 12.831 unités ont été vendues le mois dernier, contre 13.619 unités à la même période l'an passé. Les ventes de voitures particulières (VP) , qui représentent la majeure partie de ce volume avec 11.204 unités, ont reculé de 10,19 % par rapport à l'année précédente. Les véhicules utilitaires légers (VUL) n'ont pas fait mieux, enregistrant seulement 1.627 immatriculations, soit une baisse de 42,22 %. Dans le classement des voitures particulières (VP) les plus vendues, Dacia conserve sa position de leader incontesté, avec une part de marché de 24,7 %, représentant 2.767 unités vendues à fin mars 2024. En deuxième position, on retrouve Renault , avec 1.924 unités vendues (part de marché de 17,17 %), suivi de près par Hyundai , occupant la troisième place avec 817 ventes et une part de marché de 7,29 %. Dans la catégorie des véhicules utilitaires légers (VUL), Renault se positionne en tête avec 494 unités vendues, représentant une part de marché de 30,36 %. Mitsubishi se classe en deuxième position avec 280 véhicules vendus, soit une part de marché de 17,21 %, suivi par Toyota avec 163 unités vendues et une part de marché de 10,02 %. Deux marques ont connu une évolution significative en mars 2024 par rapport à la même période de l’année précédente. Fiat a vendu 427 unités, soit une augmentation de 62,98 % par rapport aux 262 ventes en mars 2023. De même, Seat a écoulé 252 unités, enregistrant une augmentation impressionnante de 93,85 % par rapport aux 130 ventes de mars 2023. Dans le segment premium, Audi occupe la première place avec 361 unités vendues, représentant une part de marché de 3,22%. Elle est suivie de près par BMW , qui a écoulé 321 unités, soit une part de marché de 2,87%. Mercedes complète le trio de tête avec 278 unités vendues, représentant une part de marché de 2,48%. En revanche, Land Rover a connu une baisse de 27,88 % par rapport à la même période de l'année précédente, avec seulement 75 unités vendues (contre 104 en mars 2023). Quant à Jaguar et Porsche , ils ont enregistré des reculs légers de 9,09 % et 4,69 % respectivement.</s>