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<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur activites-royales [INST] Rédiger un article de presse sur le thème activites-royales [/INST] title : S.M. le Roi félicite Vladimir Poutine à l’occasion de sa réélection Président de la Russie || subtitle : Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations à Vladimir Poutine suite à sa réélection Président de la Fédération de Russie. || body : Dans ce message, S.M. le Roi exprime à Vladimir Poutine Ses chaleureuses félicitations pour le renouvellement par le peuple russe de sa confiance en sa personne, lui souhaitant plein succès dans la poursuite de ses efforts pour conduire la Fédération de Russie vers davantage de progrès et de prospérité. Présidentielle russe: Vladimir Poutine en tête (Résultats provisoires) Le président sortant Vladimir Poutine est en tête de l’élection présidentielle russe avec 87,33% des suffrages suite au dépouillement de 51,42% des bulletins, selon des résultats provisoires mis en ligne dimanche par la Commission électorale centrale de Russie (CEC). Le Souverain réitère, à cette occasion, Sa ferme détermination à continuer à oeuvrer de concert avec M. Poutine pour le raffermissement des liens d’amitié distingués unissant les deux pays, basés sur l’estime mutuelle, la coopération fructueuse, et la volonté commune de consolider le partenariat stratégique entre le Maroc et la Russie dans les différents domaines, au service des intérêts des deux peuples amis.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur activites-royales [INST] Rédiger un article de presse sur le thème activites-royales [/INST] title : S.M. le Roi préside ce mercredi une veillée religieuse à l'occasion du 25è anniversaire de la disparition de feu S.M. le Roi Hassan II || subtitle : Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine présidera, ce mercredi, la veillée religieuse qui sera organisée au Mausolée Mohammed V à Rabat, à l’occasion du 25è anniversaire de la disparition du grand regretté du Maroc, feu S.M. le Roi Hassan II, que Dieu ait son âme, annonce un communiqué du ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie. || body : Voici la traduction de ce communiqué : "Le ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie annonce que Sa Majesté le Roi Mohammed VI , Amir Al-Mouminine, que Dieu L'assiste, présidera ce mercredi 09 Rabii II 1445 de l'Hégire, correspondant au 25 octobre 2023, au Mausolée Mohammed V à Rabat , la veillée religieuse qui sera organisée à l'occasion du 25è anniversaire de la disparition du grand regretté du Maroc, feu S.M. le Roi Hassan II , que Dieu ait son âme. Cette veillée religieuse sera retransmise en direct sur les ondes de la radio et à la télévision à partir de 18H00".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur activites-royales [INST] Rédiger un article de presse sur le thème activites-royales [/INST] title : Exposition universelle 2030 : Message de félicitations du S.M. le Roi au Serviteur des Lieux Saints de l'Islam || subtitle : Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations au Serviteur des Lieux Saints de l’Islam, le Roi Salmane Ibn Abdelaziz Al-Saoud, Souverain d’Arabie Saoudite, suite à la désignation de Riyad pour accueillir l’Exposition Universelle 2030. || body : Dans ce message, le Souverain exprime au Serviteur des Lieux Saints de l’Islam et, à travers lui, au peuple frère du Royaume d’ Arabie Saoudite , Ses chaleureuses félicitations après le choix mérité de Riyad comme ville hôte de " l'Expo universelle 2030 ", une attribution qui confirme une fois de plus la rôle pionnier que joue ce pays sur le plan tant régional qu’international. Sa Majesté le Roi se félicite, à cet égard, de la haute confiance placée en ce pays frère par la communauté internationale, en guise de reconnaissance et de considération pour la place privilégiée qu’il occupe aux niveaux régional et international, ainsi que pour les acquis et réalisations d'envergure de l'Arabie saoudite sous la sage conduite du Roi Salmane , permettant au Royaume de gagner avec mérite le pari de l’organisation des plus grandes manifestations internationales, de nature à contribuer à la consolidation des ponts de rapprochement entre les peuples et les cultures et à la consécration des valeurs de solidarité, de coopération et de coexistence. Le Souverain saisit cette occasion pour réitérer au Roi Salmane le soutien du Royaume du Maroc et son entière disposition à contribuer à la réussite de ce forum commercial et économique mondial , qui offrira sans nul doute une opportunité idoine pour faire connaître la richesse du patrimoine culturel authentique et diversifié du Royaume d’Arabie saoudite frère en général, et de la capitale Riyad en particulier.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur activites-royales [INST] Rédiger un article de presse sur le thème activites-royales [/INST] title : S.M. le Roi préside ce jeudi la quatrième causerie religieuse du mois sacré de Ramadan || subtitle : Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, préside ce jeudi au Palais Royal à Casablanca la quatrième causerie religieuse du mois sacré de Ramadan. || body : Sa Majesté le Roi Mohammed VI , Amir Al Mouminine , que Dieu L'assiste, préside ce jeudi 17 Ramadan 1445 de l'Hégire, correspondant au 28 mars 2024, au Palais Royal à Casablanca , la quatrième causerie religieuse du mois sacré de Ramadan , qui sera animée par M. El Khammar El Bakkali , membre du Conseil marocain des oulémas pour l'Europe . S.M. le Roi pose à Casablanca la première pierre d’un Centre médical de proximité et lance la 2ème phase du programme des Unités Médicales Mobiles Connectées Sa Majesté le Roi a procédé à Casablanca à la pose de la première pierre d’un Centre médical de proximité et lance la 2ème phase du programme des Unités Médicales Mobiles Connectées Activité royale. Deux projets de proximité qui soulignent la Ferme Volonté Royale de consolider l’offre nationale de santé et d’améliorer l’accès aux soins de santé au profit de tous. Cette causerie sera retransmise en direct sur les ondes de la Radio et à la Télévision à partir de 16H00.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur activites-royales [INST] Rédiger un article de presse sur le thème activites-royales [/INST] title : S.M. le Roi, Amir Al Mouminine, se recueille sur la tombe de Feu S.M. le Roi Mohammed V || subtitle : None || body : Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, que Dieu L'assiste, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid, de SA le Prince Moulay Ahmed et de SA le Prince Moulay Ismail, S'est recueilli jeudi sur la tombe de Feu SM le Roi Mohammed V, à l'occasion de la commémoration de l'anniversaire de la disparition du Père de la Nation, que Dieu l'entoure de Son infinie miséricorde, qui coïncide avec le 10ème jour du mois sacré du Ramadan. 65e anniversaire de la disparition de Feu S.M. Mohammed V Dans un climat de piété et de recueillement, les Marocains commémorent, jeudi 10 Ramadan 1445 H, le 65e anniversaire de la disparition de Feu Sa Majesté Mohammed V, l’occasion de rendre hommage au Père de la Nation, artisan de l’indépendance du Royaume et symbole de la lutte des peuples pour la liberté et l’émancipation. Il s’agit d’un moment de reconnaissance et de respect à la mémoire du regretté Souverain qui a consenti d’innombrables sacrifices, y compris l’exil auquel il a été forcé en compagnie de la Famille Royale par les autorités coloniales, pour le recouvrement de la pleine indépendance de son pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Maroc, premier pays à acheminer une aide humanitaire terrestre aux populations de Gaza (Hilale) || subtitle : L'ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès de l'ONU, Omar Hilale, a souligné, lundi à New York, que le Royaume, grâce au leadership clairvoyant de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, est le premier pays à acheminer une aide humanitaire directe par voie terrestre au profit des populations de Gaza et d’Al-Qods. || body : Intervenant lors d’une réunion de l’Assemblée générale de l’ONU sur l'utilisation du veto , M. Hilale a rappelé que dans le cadre de l’engagement effectif et l’intérêt constant que Sa Majesté le Roi Mohammed VI , Président du Comité Al-Qods , accorde à la cause palestinienne et en droite ligne des Très Hautes instructions du Souverain, il a été procédé, durant le mois dernier, au lancement d’une opération humanitaire d’envergure en faveur des populations palestiniennes de Gaza et de la ville sainte d’Al-Qods . L'aide ordonnée par S.M. le Roi au profit des populations de Gaza et d'Al-Qods, une percée humanitaire par voie terrestre inédite L’aide ordonnée par S.M. le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, au profit de la population de Gaza et de la Ville sainte d’Al-Qods, constitue une percée humanitaire terrestre, qui se démarque par son caractère inédit et qui vient apporter du baume au cœur des populations et apaiser leurs souffrances, en ce début du mois sacré du Ramadan. Cette aide ordonnée par Sa Majesté le Roi pour le peuple palestinien est composée de plus de 40 tonnes de denrées alimentaires , y compris des denrées de première nécessité, a indiqué l’ambassadeur, ajoutant que cette opération a coïncidé avec le mois sacré du Ramadan . Le diplomate a tenu à souligner que depuis le déclenchement des opérations militaires il y a plus de cinq mois, le Royaume fut le premier pays à acheminer une aide humanitaire par voie terrestre inédite au profit des populations bénéficiaires, rappelant que l’Agence Bayt Mal Al-Qods a fourni des aides alimentaires aux Maqdissis, dont 2.000 paniers bénéficiant à 2.000 familles, outre 1.000 repas servis quotidiennement en faveur des Palestiniens de la ville sainte. Cette aide comprend également la mise à la disposition de l’hôpital de Jérusalem d’une salle de coordination des urgences. L'ambassadeur représentant permanent du Maroc à l’ONU a en outre appelé à permettre l’acheminement des aides humanitaires de manière sûre, durable et sans entrave, et en quantités suffisantes aux populations de Gaza , à libérer les détenus et à amorcer un horizon politique pour la cause palestinienne . Par la même occasion, M. Hilale a réitéré l’appel du Maroc en faveur d'un cessez-le-feu immédiat et durable dans la Bande de Gaza , tout en insistant sur la nécessité de protéger les civils, ainsi que les travailleurs humanitaires afin qu’ils puissent s’acquitter de leurs nobles missions conformément au droit international et au droit international humanitaire. Il a, de même, réitéré le rejet et la dénonciation par le Royaume de tous les dépassements, de la politique de punition collective et de déplacement forcé, ainsi que des tentatives d’imposer une nouvelle réalité sur le terrain, affirmant que la Bande de Gaza est une partie intégrante des terres palestiniennes et de l’Etat de Palestine unifié. Le diplomate a relevé que le Maroc juge inacceptable la menace d’étendre les opérations militaires pour atteindre l’ensemble de la Bande de Gaza, y compris Rafah , notant que cette situation risque d’exacerber les conditions humanitaires. M. Hilale a, par ailleurs, plaidé pour des efforts intensifiés en vue de relancer le processus de paix au Moyen-Orient dans le but de parvenir à un règlement juste et global qui garantit les droits légitimes du peuple palestinien, avec à leur tête l’établissement d’un Etat palestinien indépendant sur les frontières du 4 juin 1967, avec Al-Qods Est comme capitale. L’ambassadeur a enfin renouvelé le soutien du Maroc à la demande d'adhésion de la Palestine en tant qu' État membre des Nations Unies . “A l’instar des pays arabes, islamiques et du mouvement des non-alignés, le Maroc renouvelle son soutien à la demande d’adhésion complète de l’Etat de Palestine aux Nations Unies”, a-t-il souligné.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : 33ème conférence de la FAO pour l’Afrique: les Ambassadeurs des pays représentés en conclave au Maroc || subtitle : Le Ministre de l’Agriculture, Mohammed Sadiki, accompagné du Représentant de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) au Maroc et du représentant du ministère des Affaires Etrangères, a présidé le mardi 02 avril 2024 à Rabat, une réunion avec les Ambassadeurs des pays africains représentés au Maroc, dans le cadre des préparatifs de la 33ème conférence régionale de la FAO pour l’Afrique (ARC33) qui sera accueillie par le Maroc du 18 au 20 avril 2024. || body : La tenue de cette réunion a pour objectif de sensibiliser et de communiquer autour de l’organisation de la 33ème session de la Conférence régionale de la FAO pour l'Afrique . Conférence de la FAO pour l’Afrique : Le Maroc signe un MoU pour l’organisation de la 33ème session Le Mémorandum d'entente signé entre le Maroc et la FAO est un document stratégique qui définit les termes du partenariat entre les deux parties et établit les mesures nécessaires à la réussite de la 33ème session de la conférence régionale de l'organisation pour l'Afrique. C’est l’occasion également de discuter de la participation des ministres des pays africains au Salon International de l’Agriculture au Maroc (SIAM) qui se tiendra à Meknès au Maroc , juste après l’ ARC33 , du 22 au 28 avril 2024. La conférence régionale de la FAO pour l’Afrique est l'une des principales plateformes régionales axées sur la sécurité alimentaire et le développement rural en Afrique . La 33ème session sera organisée par la FAO en partenariat avec le Ministère l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, sous le thème " Systèmes agroalimentaires résilients et transformation rurale inclusive ". Présidée par le Maroc (Le Ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts), elle accueillera plus de 50 ministres des États membres africains , des représentants des pays observateurs , de l' Union Africaine , des organisations donatrices , de la société civile et du secteur privé . La conférence vise à fournir des orientations régionales sur la transformation des systèmes agroalimentaires en Afrique et constitue une opportunité majeure pour les pays africains pour discuter de solutions pratiques pour la sécurité alimentaire et l'amélioration de la production agricole . L'ARC33 servira également de plateforme stratégique pour les membres et autres parties prenantes afin de partager les meilleures pratiques, explorer des partenariats et discuter des opportunités et solutions innovantes sur la transformation des systèmes agroalimentaires .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Bonbonne de gaz : Pas de hausse des prix pour le moment (Baitas) || subtitle : Le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, a assuré jeudi qu'aucune décision n'a encore été prise pour augmenter les prix des bonbonnes de gaz. || body : "Il n'y a pas de hausse des prix des bonbonnes de gaz pour le moment". C'est ce qu'a affirmé le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas , lors du point de presse hebdomadaire à l'issue du conseil de gouvernement . Bonbonne de gaz : pas de changement de prix pour le moment Le prix de la bonbonne de gaz n'a subi aucun changement ce lundi 1er avril comme annoncé par de nombreux médias. Le prix de 40 DH est toujours en vigueur pour le moment. D'après le responsable, "toute décision prise à ce sujet sera communiquée via les canaux officiels ". Contacté par Le Matin, Mohamed Benjelloun , président de l'Association professionnelle des dépositaires grossistes en gaz liquéfié au Maroc , avait assuré lundi qu'aucun changement de prix n'avait été opéré. Pour rappel, l’Exécutif avait indiqué que le prix réel de la bonbonne de gaz de 12 kg s’élève à 130 dirhams, soit plus de trois fois plus que le prix appliqué. L’écart de 90 dirhams est couvert par la Caisse de compensation .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : AFD : prêt de 100 millions d'euros pour la stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » || subtitle : L’Agence Nationale des Eaux et Forêts du Maroc (ANEF) et l’Agence Française de Développement (AFD) renforcent leur partenariat pour contribuer, à travers un nouveau Programme d'appui à la mise en œuvre de la Stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » et aux efforts de reconstruction et de développement durable de la zone du Parc National de Toubkal. || body : L' Agence nationale des Eaux et Forêts du Maroc (ANEF) et l’ Agence Française de Développement (AFD) ont signé le lundi 15 avril 2024 une lettre d'intention visant à contribuer à la mise en œuvre de la Stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » et aux efforts de reconstruction et de développement durable de la zone du Parc national de Toubkal . Réforme de l'éducation : L'AFD accorde un prêt de 130 millions d'euros au Maroc L'Agence Française de Développement (AFD) a accordé un prêt de 130 millions d'euros au Maroc pour soutenir la réforme nationale du système éducatif 2022-2026. Ce nouveau programme, doté d'un financement en prêt de 100 millions d'euros et de 2 millions d'euros en subvention , vise à favoriser le développement local en créant des opportunités économiques , tout en préservant les écosystèmes forestiers . La cérémonie de signature de ce nouveau partenariat s'est déroulée présence de Aberrahim Houmy , directeur général de l’ANEF, de Christophe Lecourtier , Ambassadeur de France au Maroc, et de Quiterie Pincent , directrice de l’AFD. A travers cette opération, l’ AFD et l’ ANEF mettront en œuvre de nouvelles approches centrées sur la valorisation du tourisme écologique en intégrant les savoirs et les besoins des populations locales. Les deux Agences travailleront ensemble pour concevoir et mettre en œuvre des projets visant à préserver et restaurer les écosystèmes forestiers, De plus, l’AFD soutiendra l'ANEF en renforçant ses capacités à travers une assistance technique et financière. Un partage de connaissances et d'expertise se fera entre l’AFD et l’ANEF, notamment dans les domaines de la gestion intégrée des ressources en eau , la conservation et la valorisation de la biodiversité , et l'adaptation aux changements climatiques . Cette lettre d'intention symbolise l'engagement des deux Agences à prolonger leur collaboration, initiée depuis 2021 en appui à la stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » à travers le Programme « Ghabati Hayati » et le projet « conservation de la biodiversité du Parc national d'Ifrane », en étendant leur partenariat à d’autres zones, notamment la zone du Parc national de Toubkal qui a été affectée par le séisme .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Parlement : le non-aboutissement des propositions de loi inquiète les partis de l’opposition || subtitle : Le sujet du non-aboutissement des propositions de loi revient avec force avec l’ouverture de la session parlementaire de printemps. Les groupes parlementaires de l’opposition appellent en effet la majorité parlementaire et le gouvernement à interagir avec les initiatives législatives émanant des députés, rappelant que sur les 200 propositions de loi déposées depuis le début de ce mandat, seules six ont abouti. || body : La question du non-aboutissement des propositions de loi émanant des groupes parlementaires de l’opposition se pose avec acuité au moment où le gouvernement entame la deuxième moitié de son mandat (2021-2026). Le bilan des initiatives législatives est très peu reluisant. Au cours des deux dernières années de l’ exercice législatif , les députés n’ont réussi à faire passer que six propositions de loi, sachant que la Chambre des représentants avait adopté au cours de la même période plus de 111 projets de loi, dont 18 ont été validés au cours de la dernière session automnale. Une situation qui interpelle sur l’existence d’une réelle mainmise du gouvernement sur l’action législative. Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. «Le gouvernement Akhannouch est à mi-mandat aujourd'hui. Il a déjà accompli deux ans d'un mandat de cinq ans allant jusqu'à octobre 2026. De fait, il faut bien parler de mi-mandat, dans la mesure où il ne lui reste plus que deux autres années de travail, l'exercice 2026 étant celui du processus devant conduire au scrutin parlementaire de la Chambre des représentants. Il est donc tout à fait naturel de dresser un bilan législatif, à l’instar du bilan des réalisations. Et force est de constater que l’interaction du gouvernement avec les initiatives législatives demeure très faible, ce qui déteint sur le rôle du Parlement en tant qu’institution législative dont la mission principale est la promulgation de textes de loi, qu’ils soient des projets ou des propositions», souligne Rachid Hammouni, président du groupe parlementaire du Parti du progrès et du socialisme ( PPS ) au sein de la Chambre des représentants, dans une déclaration accordée au «Matin». Pourtant, ce ne sont pas les propositions de loi qui manquent. Les députés de l’opposition ont été très actifs au cours de la période écoulée. En effet, pas moins de 200 propositions de loi émanant des groupes parlementaires formant l’opposition ont été déposées au bureau de la Chambre des représentants, mais très peu d’entre elles franchissent ce cap pour être programmées en commission. Et si «par chance» elles sont présentées en commission, les choses s’arrêtent à ce niveau-là. «Le bureau de la Chambre des représentants évite de programmer d’autres réunions pour la discussion générale et approfondie des propositions de loi. Ainsi, les initiatives législatives des parlementaires finissent par rester lettre morte», déplore le même intervenant. Selon ce député, les différentes initiatives parlementaires déposées par l’opposition n’ont jamais franchi le cap des commissions pour être votées en plénière, depuis l’arrivée de ce gouvernement, à l’exception de quelques propositions de loi adoptées. «Même les textes qui ont été adoptés n’ont aucun poids législatif et ne font que modifier certaines lois déjà existantes. La majorité parlementaire use de tout son poids numérique pour bloquer les propositions législatives émanant de l’opposition, ce qui compromet le travail du Parlement et porte atteinte à la démocratie et au pluralisme» ajoute M. Hammouni. Il est important de rappeler que les partis politiques membres de l’opposition ont exprimé à plusieurs occasions leur mécontentement du rejet par le gouvernement des propositions de loi déposées. Ils ont par ailleurs appelé à la tenue des réunions des commissions permanentes dans les délais légaux fixés par le règlement intérieur pour étudier les propositions de loi. Dans une déclaration accordée à la presse, vendredi dernier, à l’occasion de l’ouverture de la session printanière, Driss Sentissi, président du groupe parlementaire haraki, avait déploré la faible interaction de la majorité parlementaire avec les propositions de loi, sans justification juridique, sachant que la Constitution et le règlement intérieur accordent à l’opposition comme à la majorité le droit de soumettre des propositions de loi afin d’accompagner les doléances des citoyens.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réseaux sociaux : le point sur les habitudes des Marocains || subtitle : None || body : Le Centre marocain pour la citoyenneté (CMC) a mené une enquête auprès de 1.201 personnes pour identifier les usages des réseaux sociaux par les Marocains ainsi que les risques liés à l’usage incontrôlé de ces plateformes. Voici l'essentiel à retenir de cette étude du CMC.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Dialogue social : après les syndicats, Akhannouch reçoit la CGEM || subtitle : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a reçu vendredi une délégation de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), dans le cadre du nouveau round de dialogue social. || body : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a reçu, vendredi 29 mars 2024 dans le cadre du nouveau round de dialogue social, une délégation de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc ( CGEM) , conduite par le président de la confédération, Chakib Alj , en présence de la ministre de l’Economie et des Finances ; du ministre de l’Inclusion Economique, de la Petite entreprise, du Travail et des Compétences, du ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, Porte-parole du gouvernement et de la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme administrative. Dialogue social : après l'UMT et l'UGTM, Akhannouch reçoit la CDT Le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a reçu vendredi une délégation de la Confédération Démocratique du Travail (CDT), dans le cadre du nouveau round de dialogue social. Cette rencontre a été l’occasion de saluer les mesures mises en œuvre par le gouvernement en vue de renforcer la résilience des entreprises marocaines face aux différentes crises et de leur permettre de poursuivre leur implication dans la dynamique de création de valeur ajoutée et d’opportunités d’emploi . La rencontre a également permis de débattre des attentes des entrepreneurs, relatives principalement à l’amendement du code du travail et à la promulgation de la loi sur l’exercice du droit de grève . La réunion a été également l’occasion d’échanger autour du chantier de la réforme du système de retraite. Aziz Akhannouch a mis l’accent sur la dynamique positive insufflée par le gouvernement au mécanisme du dialogue social afin de dépasser les défis qui confrontent les entreprises et les travailleurs de manière égale, soulignant que la réalisation de consensus constructifs contribue sans nul doute à consolider la dynamique économique et de développement que connait notre pays, sous la conduite éclairée de S.M. Le Roi Mohammed VI , que Dieu l’assiste. Le Chef du gouvernement avait lancé le nouveau round de dialogue social , mardi dernier, par une rencontre avec une délégation de l’ Union Marocaine du Travail (UMT) , suivie de rencontres avec des délégations de l’ Union Générale des Travailleurs du Maroc (UGTM) et de la Confédération Démocratique du Travail (CDT) .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le taux de remplissage des barrages dépasse 30% grâce aux dernières pluies || subtitle : Les précipitations enregistrées la semaine dernière ont été bénéfiques pour plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre. Le niveau de réserves des barrages à l'échelle nationale dépasse 30% contre 34% à la même période en 2023. || body : Le taux de remplissage des barrages du Maroc a atteint 30,7% au 1er avril, avec un volume de retenues de plus de 4,942 milliards de mètres cubes (m3), selon le bulletin du ministère de l’Équipement et de l'Eau sur la situation journalière des barrages au Royaume. Pluies : Six barrages remplis à 100%, le Maroc se rapproche du niveau de 2023 Les précipitations enregistrées depuis la nuit du vendredi et la journée du samedi ont été bénéfiques pour plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre. Le taux de remplissage global des barrages affiché ce dimanche est de 28,94% contre 34% le même jour en 2023. Ainsi, six barrages affichent un taux de remplissage de 100%, indique le bulletin, précisant qu'il s’agit des barrages de Nakhla, Chefchaouen, Acharif Al Idrissi, Oued Za, Bouhouda et Sidi Driss . Le niveau de réserves de cinq autres barrages a dépassé 90%, à savoir Dkhila (90,8%), Aït Messaoud (95,7%), Allal El Fassi (94,9%), Garde de Sebou (91,9%) et Ibn Batoutta (90,5%), tandis que la barre des 80% a été franchie au niveau des barrages de Oued El Makhazine (88,2%), Smir (87,5%) et Yacoub El Mansour (86,2%), Tanger-Med (82,5%). Par ailleurs, une dizaine de barrages ont affiché des niveaux supérieurs à 50%, à savoir Abou Abbass Sebti (78%), Sidi Mohamed Ben Slimane El Jazouli (72,4%), Timinoutine (68,9%), Moulay El Hassan Ben Al Mahdi (67%), Sidi Saïd Maâchou (66%), Mechraa Hammadi (58,5%), Al Wahda (53,2%), Sidi Chahed (50%), Bab Louta (52,7%), Michlifen (57,3%). Par bassins, le taux de remplissage a atteint 60,5% au Loukkos , 24,7% à Moulouya , 46,7% à Sebou , 27,7% à Bouregreg-Chaouia , 6,80% à Oum Er Rbia , 56,7% à Tensift , 14,7% à Souss-Massa , 20,7% à Draa-Oued Noun et 25,5% à Guir Ziz Rheris .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : L'UNTM accuse le gouvernement de l’exclure du dialogue social || subtitle : L'Union nationale du travail au Maroc (UNTM) estime que le gouvernement l’a exclue injustement de la participation au dialogue social. Pour ce syndicat proche du PJD (opposition), le seuil de représentativité retenu lui permet de prendre part aux négociations. Il critique par ailleurs l’approche adoptée pour la réforme des régimes de retraite et son incapacité à protéger le pouvoir d’achat des citoyens. || body : Dans un communiqué publié cette semaine à l'issue de sa réunion du 25 mars, l' Union nationale du travail au Maroc (UNMT) s’en prend directement au gouvernement. Pouvoir d'achat en berne, réformes controversées et surtout une confiance rompue. Ce syndicat proche du Parti de la justice et du développement (PJD), parti de l’opposition, déplore notamment son exclusion du dialogue social, jugeant discutable le seuil de représentativité. Dialogue social : le gouvernement entame un nouveau round, l’UMT ouvre le bal Le dialogue social reprend enfin ses droits. Le Chef du gouvernement a reçu ce mardi une délégation de l’Union marocaine du travail (UMT), conduite par le secrétaire général de la centrale syndicale, Miloudi Moukharik. La rencontre s’est déroulée dans «une ambiance positive, marquée par un dialogue responsable et constructif», souligne-t-on au département du Chef du gouvernement. Mais cet optimisme n’occulte pas l’ampleur de la tâche qui attend les partenaires sociaux et surtout la sensibilité des dossiers qu’ils auront à traiter. La loi sur le droit de grève, la réforme du Code du travail, les augmentations de salaires ou encore la réforme des régimes de retraite que le gouvernement compte lancer au cours de cette année sont autant de points sur lesquels l’Exécutif et les syndicats doivent parvenir à des compromis. Une confiance rompue avec le gouvernement L'UNTM ne fait pas dans la dentelle. Elle critique vertement la «posture hégémonique adoptée par le gouvernement dans l'arène sociale et politique». Selon ce syndicat, l’attitude de l’Exécutif est à l'origine d'une «gestion chaotique du dialogue social et des discussions sectorielles». Reprochant au gouvernement de l'évincer des échanges sociaux, il l’accuse de privilégier certains syndicats pour participer aux négociations, au détriment l’UNTM. Mohamed Zouiten, le secrétaire général, réfute les justifications avancées par le gouvernement, qui invoque la notion de «syndicat le plus représentatif». Cette notion, intégrée dans le Code du travail, exige un seuil de représentativité de 6%, s'appliquant au secteur privé. «Nous sommes effectivement représentatifs et nous nous positionnons en troisième place», argue-t-il, tout en rappelant le classement de son syndicat à la cinquième place dans le secteur public. M. Zouiten souligne que la somme des résultats des élections professionnelles, dans les secteurs public et privé, confère à son organisation un pourcentage supérieur à 6%, en plus d'une présence au sein de la Chambre des conseillers. «Mais ce gouvernement tient intentionnellement à nous écarter des discussions», déplore-t-il. Il évoque aussi la présence de l'UNTM dans le secteur agricole, «alors qu’elle est exclue du dialogue à ce niveau-là», ajoute Mohamed Zouiten. Dialogue social : après l’UMT, l’UGTM expose ses revendications Le round d’avril du dialogue social va bon train. Le Chef du gouvernement a rencontré ce mercredi une délégation de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), bras syndical du Parti de l’Istiqlal, conduite par le secrétaire général de la centrale, Enaam Mayara. Cette réunion, qui intervient 24 heures après celle avec l’UMT, était une occasion pour examiner les revendications de l’UGTM et qui portent essentiellement sur une augmentation générale des salaires, aussi bien dans le secteur public que privé. La rencontre avec la CDT et la CGEM est prévu dans les prochains jours. Les partenaires sociaux espèrent parvenir à un accord avant le 1e mai. Sur un autre registre, le syndicat n'hésite pas à dénoncer ce qu’il appelle une «offensive grandissante contre les acquis des travailleurs marocains». En ligne de mire, l'encadrement des libertés syndicales et du droit de grève. La centrale syndicale appelle donc à «une approche participative dans le dialogue social central et sectoriel». Pour le syndicat, seule une démarche concertée est à même de «corriger les déséquilibres sociaux, comme cela est requis dans le secteur agricole». Le dossier brûlant de la réforme des retraites Autre sujet de discorde avec l'Exécutif, le dossier de la réforme des retraites. Un chantier que le gouvernement veut lancer rapidement, mais qui fait l'objet d'une opposition farouche des syndicats, y compris l’UNTM. «Nous mettons en garde contre toute réforme des régimes de retraite au détriment des travailleurs marocains», assène ainsi le communiqué de l’UNTM. Le syndicat en profite même pour fustiger la «confusion» régnant autour du «chantier de la protection sociale», réclamant des clarifications sur «les intentions – du gouvernement – concernant la réforme des pensions de retraite». Plus que cela, le syndicat indique que le gouvernement traite le dossier en cachette. «Le gouvernement doit le soumettre à l’opinion publique et aux syndicats pour qu'ils s’expriment sur le sujet», estime le secrétaire général de l’UNTM, Mohamed Zouiten. «Il ne faut pas toucher au gaz butane» C'est l'une des principales revendications du syndicat : enrayer la dégradation du pouvoir d'achat des travailleurs, mis à mal par une inflation galopante ces derniers mois. «L'UNTM constate avec amertume l'échec du gouvernement à adopter une approche sociale pour corriger les déséquilibres du pouvoir d'achat, affecté par la hausse généralisée des prix», tempête le syndicat dans son communiqué. Dans le viseur des syndicalistes, la gestion de la subvention du gaz butane, un dossier ultrasensible pour le portefeuille des familles. «Nous mettons en garde contre l'intention du gouvernement de supprimer le soutien au gaz butane», prévient l'UNTM. Les revendications du syndicat portent aussi sur le cadre légal régissant l'action syndicale elle-même. «Nous appelons à la révision du Code du travail et des lois régissant les élections des représentants des salariés, afin de corriger les dysfonctionnements de la scène syndicale et de restaurer la confiance dans l'action syndicale», souligne l’UNMT.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-France : Nasser Bourita s’entretient avec Stéphane Séjourné à Paris || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a été reçu, ce mardi 9 avril à Paris, par son homologue français, Stéphane Séjourné. || body : “La dynamique ouverte par ma récente visite au Maroc se poursuit aujourd'hui avec une séance de travail avec mon homologue, Nasser Bourita . La relation entre la France et le Maroc est unique !”, a écrit le ministre français de l'Europe et des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné , sur son compte X . Le lien de la France avec le Maroc est "essentiel" (Stéphane Séjourné) La relation de la France avec le Maroc est "essentielle", a estimé mercredi le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, soulignant sa "volonté" de renouer un lien de confiance. Pour rappel, le chef de la diplomatie français s'était rendu au Maroc, en février dernier. Une visite durant laquelle il a réitéré le soutien "clair et constant" de Paris au plan d'autonomie marocain au Sahara , assurant vouloir progresser sur ce dossier. La dynamique ouverte par ma récente visite au Maroc se poursuit aujourd'hui avec une séance de travail avec mon homologue, Nasser Bourita. La relation entre la France et le Maroc est unique ! pic.twitter.com/XI2yLbxRVe — Stéphane Séjourné (@steph_sejourne) April 9, 2024</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara marocain : La Belgique réitère son soutien au plan d’autonomie || subtitle : La Belgique considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme "un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une bonne base pour une solution acceptée par les parties". || body : Cette position a été exprimée dans la déclaration conjointe adoptée lors de la 3ème réunion de la Haute Commission mixte de partenariat Maroc-Belgique , coprésidée, ce lundi à Rabat, par le Chef du Gouvernement, M. Aziz Akhannouch , et le Premier ministre belge, M. Alexander De Croo . Maroc-Belgique : Ouverture à Rabat de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat Les travaux de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat Maroc-Belgique se sont ouverts, lundi à Rabat, sous la coprésidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch et du Premier ministre belge Alexander De Croo. M. De Croo a réitéré dans ce cadre "le soutien de longue date de la Belgique au processus mené par les Nations Unies pour une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable pour les parties", lit-on dans la Déclaration. A cette occasion, les deux parties conviennent de "l’exclusivité de l’ONU dans le processus politique et réaffirment leur soutien à la résolution 2703 (2023) du Conseil de sécurité de l’ONU , qui a noté le rôle et la responsabilité des parties dans la recherche d’une solution politique réaliste, pragmatique, durable et fondée sur le compromis", ajoute-t-on de même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Elimination des archives : Akhannouch rappelle les administrations publiques à l’ordre || subtitle : Malgré l’importance des archives, la majorité des administrations, établissements et entreprises publiques ne respectent pas les dispositions juridiques relatives à leur gestion et leur élimination. C’est dans ce sens qu’une circulaire a été adressée par le Chef du gouvernement aux ministres et aux hauts commissaires appelant au respect des dispositions légales en la matière, notamment en ce qui concerne la procédure de leur destruction. Documents essentiels tant pour les besoins de la gestion et de la justification des droits des personnes physiques ou morales, publiques ou privées que pour la recherche scientifique et la sauvegarde du patrimoine national, les archives font l’objet d’un suivi minutieux par l’institution «Archives du Maroc». || body : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, vient d’adresser une circulaire aux différents ministres et hauts commissaires pour leur rappeler les dispositions juridiques régissant l’élimination des archives, conformément à la loi 69-99 relative aux archives ainsi que son décret d’application. La circulaire numéro 2/2024 indique que l’opération d’élimination et de destruction des archives devra s’effectuer sous la supervision technique des services concernés de l’institution «Archives du Maroc». Ce rappel à l’ordre intervient suite aux dépassements constatés dans la majorité des administrations en matière de gestion et de destruction des archives. D’après la circulaire, l’institution «Archives du Maroc» a relevé ces dépassements lors de l’élaboration de la stratégie relative à la préservation et la valorisation du patrimoine archivistique national prévue pour la période allant entre 2023 et 2033. En effet, ladite institution avait élaboré une étude établissant un diagnostic de la situation de préservation des archives. Laquelle étude avait montré l’existence de dysfonctionnements structurels sur le plan de la gestion des archives, particulièrement la procédure de leur élimination. >>Lire aussi : Archives du Maroc ouvre le chantier de la classification et la conservation des documents administratifs «Nous avons constaté que la majorité des services administratifs, à quelques exceptions près, notamment le ministère de la Justice et celui de la Jeunesse, ne respectaient pas les dispositions juridiques relatives à la gestion des archives, particulièrement la procédure de leur élimination. Tandis que d’autres adoptaient des approches qui montrent une mauvaise compréhension des dispositions juridiques, ce qui se répercute, dans les deux cas, sur la qualité de gestion des archives publiques dans notre pays», explique Jamaâ Baïda, directeur des Archives du Maroc, dans une déclaration accordée au «Matin». Selon le même responsable, la loi 69-99 dispose que les organismes et établissements publiques sont tenus, en collaboration avec «Archives du Maroc» et conformément à ses missions, d’élaborer et de mettre en application un programme de gestion de leurs archives courantes et des archives intermédiaires. Ce programme détermine les structures, les moyens et les procédures qui permettent la gestion de ces documents depuis leur création jusqu’à leur archivage définitif dans un service d’archives public ou leur élimination. Procédure particulière pour l’élimination des archives S’agissant de l’élimination des archives, elle est soumise, conformément à la loi, à une procédure particulière. En effet, à l’expiration des délais de conservation prévus par le calendrier fixé par chaque administration, les archives sont censés faire l’objet d’un tri pour déterminer les documents destinés à être conservés de manière définitive et ceux dépourvus de tout intérêt scientifique, statistique ou historique destinés à être détruits. Les documents qui, après tri, sont destinés à la conservation, sont considérés comme des archives. L’administration établit ensuite une liste des documents destinés à l’élimination ainsi que les conditions de leur élimination qui sont censées être fixées d’un commun accord entre l’administration qui les a produits ou reçus et «Archives du Maroc» qui valide cette élimination. La liste est ensuite publiée au Bulletin officiel. Pour Jamaâ Baïda, le respect des dispositions juridiques lors de l’élimination des archives publiques permettra non seulement d’éviter la destruction aléatoire de ces documents, mais garantira également une rationalisation de la gestion des archives. En outre, cette procédure contribuera à baisser le coût de la délégation de la gestion et de la préservation des archives et permettra de préserver le cachet confidentiel des documents et la protection des données à caractère personnel.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réélection du Maroc au Comité des droits économiques, sociaux et culturels || subtitle : Le Royaume du Maroc a été brillamment réélu en la personne de Charafat Afailal au Comité des droits économiques, sociaux et culturels pour la période 2025-2028, lors des élections tenues par le Conseil économique et social de l’ONU (ECOSOC) mardi à New York. || body : La réélection du Maroc à cet organe de traités de l’ONU matérialise la confiance de la communauté internationale en l’action que mène le Royaume, sous la Très Haute Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour la protection et la promotion des droits de l’Homme dans leur indivisibilité et leur universalité, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Cette réélection atteste également la crédibilité des efforts du Maroc pour relever les défis mondiaux et surmonter les obstacles entravant la pleine jouissance des populations de leurs droits économiques, sociaux et culturels, ajoute le communiqué. Cet engagement du Maroc s’est illustré ces dernières années par le lancement de plusieurs chantiers socioéconomiques sous la Haute Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dont celui de la généralisation de la protection sociale et du nouveau modèle de développement. Mme Charafat Afailal est une experte reconnue des droits économiques, sociaux et culturels, en particulier dans le domaine de l’eau. En tant qu'ancienne responsable gouvernementale, elle a participé à l’élaboration et la mise en œuvre d’initiatives nationales et internationales visant à garantir un accès universel et équitable à cette ressource vitale. Créé en 1985, le Comité surveille la mise en œuvre des dispositions du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels par les États parties. Ce Comité est composé de 18 experts renommés dans le domaine des droits de l'Homme, élus par l'ECOSOC.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Investissement, énergies ... : Le détail de la Déclaration Conjointe adoptée par le Maroc et la Belgique || subtitle : La 3ème réunion de la Haute Commission Mixte de Partenariat entre le Maroc et la Belgique s'est tenue à Rabat, le 15 avril 2024, sous la coprésidence du Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, et du Premier Ministre, Alexander De Croo. Les travaux de cette réunion ont été sanctionnés par la signature de deux mémorandums d'entente sur la modernisation de l'Administration judiciaire et l'énergie verte ainsi qu'une feuille de route relative aux actions menées dans le cadre du dialogue politique. || body : Voici le détail de la Déclaration Conjointe adoptée à l'issue de la réunion de la Haute Commission mixte de Partenariat : Les deux Chefs de gouvernement ont ouvert la réunion de la Haute Commission Mixte de Partenariat, soulignant l'excellence des relations d'amitié et de coopération qui existent entre les Royaumes de Belgique et du Maroc. Les deux Chefs de Gouvernement ont loué l’amitié et la grande estime qui existe entre les Familles Royales des deux pays. Sahara marocain : La Belgique réitère son soutien au plan d’autonomie La Belgique considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme "un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une bonne base pour une solution acceptée par les parties". La Belgique salue les réformes menées par le Maroc, sous le Leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, durant ces vingt-cinq dernières années, pour une société et une économie marocaines plus ouvertes et dynamiques, notant l’importance du nouveau Modèle de développement , la Régionalisation avancée et les nombreuses réformes ambitieuses, telle que celle en cours du Code de la famille (Moudawana). Les deux Chefs de gouvernement ont salué le rôle que joue la communauté marocaine établie en Belgique , et la communauté belge résidant au Maroc, en tant que piliers de rapprochement entre le Maroc et la Belgique, rappelant que cette année 2024 a été marquée par la célébration du 60ème anniversaire de la signature de l’Accord bilatéral de main d’œuvre entre le Maroc et la Belgique. Ils se sont félicités de la dynamique que connait la relation entre le Maroc et la Belgique, réaffirmant leur volonté partagée d’approfondir davantage cette relation, en vue d’établir un partenariat stratégique , tourné vers l’avenir, à la hauteur des attentes et du potentiel qui existent entre les deux pays, pour répondre aux défis actuels et futurs. Ils ont également exprimé leur volonté de renforcer le commerce et les investissements , de coopérer en matière du climat, de transition énergétique par le développement des énergies renouvelables et des molécules vertes , ainsi qu’en matière de gestion de l’eau, des infrastructures et du transport. Les deux Chefs de gouvernement se sont félicités du dialogue politique régulier, en témoigne la visite au Maroc de la Ministre des Affaires Etrangères, des Affaires européennes et du Commerce extérieur, et des Institutions culturelles fédérales, Mme Hadja Lahbib, le 20 octobre 2022, à l’issue de laquelle une Déclaration Conjointe a été adoptée entre les deux pays. Ils se sont félicités de l’adoption de la feuille de route pour la mise en œuvre de cette Déclaration Conjointe de 2022. Dans le contexte de leur présence conjointe au Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies , les deux pays ont réaffirmé leur volonté de poursuivre leurs efforts en matière de promotion et de défense des droits humains , de renforcer leur concertation sur les questions liées à la défense des droits humains et d’examiner la possibilité d’organiser conjointement des évènements au sein des enceintes multilatérales appropriées. Ils ont souligné l'importance de la coopération parlementaire qui joue un rôle essentiel dans le renforcement des relations bilatérales. Elles ont encouragé les Institutions législatives des deux pays à intensifier leur partenariat, notamment par la création d’un Forum parlementaire conjoint constituant un espace de dialogue et d’échange. Les deux Chefs de gouvernement ont souligné leur volonté de développer davantage le partenariat économique , en encourageant notamment les entreprises belges et marocaines à explorer les opportunités offertes de part et d’autre en matière d'investissement. Ils ont discuté des avantages offerts par la nouvelle « Charte marocaine de l'investissement », de l’« Offre Maroc » concernant l’hydrogène vert et des projets structurants prévus en perspective de l’organisation de la Coupe du Monde 2030 ainsi que des opportunités offertes par la Belgique notamment comme partenaire en matière de transition énergétique, d’économie circulaire et dans d’autres domaines d’intérêt commun. Les Chefs de gouvernement ont ainsi réaffirmé leur volonté de renforcer davantage la coopération dans le domaine de la transition énergétique et se sont félicités de la signature d’un Mémorandum d’Entente portant sur les énergies vertes, entre le Maroc et la Belgique Ils ont évoqué les potentialités offertes en matière de partenariats tripartites gagnant-gagnant Maroc-Belgique-Afrique , tenant compte de la position du Maroc comme un hub important et des liens privilégiés que les deux pays entretiennent avec de nombreux pays du continent africain. Les deux Chefs de gouvernement se sont félicités de la programmation d’un Forum d’Affaires , le 16 avril 2024 à Casablanca, lequel permet aux opérateurs économiques des deux pays de prospecter les nombreuses opportunités offertes par les deux pays, en matière de commerce et d’investissement. Les deux Chefs de gouvernement se sont félicités du succès de la coopération au développement de longue date entre le Maroc et la Belgique, touchant de nombreux domaines, et de la signature, en février 2024, de la Convention Spécifique du programme de coopération 2023-2028, visant notamment à encourager l’inclusion économique des femmes et des jeunes dans un cadre de travail décent. Une partie du programme porte sur des projets visant à contribuer à la phase de reconstruction de la région d’Al Haouz. Les deux Chefs de Gouvernement se sont félicités des avancées enregistrées dans le cadre de la coopération judicaire , à travers l’échange permanent d’expertises, des visites officielles et de commissions mixtes, saluant les conclusions de la dernière Commission Mixte en matière civile et pénale, tenue en décembre 2023, notamment la mise en œuvre concrète de la Convention entre le Royaume de Belgique et le Royaume du Maroc sur l’assistance aux personnes détenues et le transfèrement des personnes condamnées, et son Protocole additionnel. Les deux parties affichent leur volonté de promouvoir une coopération judiciaire innovante, alignée sur les normes internationales les plus élevées, pour une gestion efficace des affaires judiciaires transfrontalières . Elles saluent la conclusion d'un mémorandum d'entente entre les ministères de la justice des deux pays et se félicitent de la perspective de l’adoption imminente, au niveau administratif, d’un plan d’action pour la période 2024-2026 Elles saluent également la perspective de la conclusion d’un mémorandum d’entente entre le Parquet fédéral belge et la Présidence du Ministère Public marocain. Les deux Chefs de Gouvernement ont souligné l’intérêt commun des deux pays à poursuivre et à renforcer l’étroite coopération bilatérale pour lutter contre les menaces à la sécurité nationale et internationale. Ils ont salué la coopération policière et ont affirmé leur volonté de la développer davantage, y inclus à travers la mise en place d’une structure de coopération régulière. Ils se sont félicités de la mise en œuvre de la Convention de coopération en matière de lutte contre la criminalité organisée et le terrorisme, entrée en vigueur en 2022 et du plan d’action 2022-2024 dans le domaine de la coopération policière. Les deux Chefs de gouvernement ont salué les progrès accomplis dans le cadre de la coopération migratoire , notamment la tenue de la 1ère réunion du Groupe Migratoire Mixte maroco-belge et la mise en place conjointement de mesures efficaces. Ils ont réaffirmé leur volonté de poursuivre les efforts visant à intensifier et renforcer la coopération migratoire dans divers domaines, tels que le retour, la réadmission et la lutte contre le trafic d’êtres humains, ainsi que d’améliorer les mécanismes pour la mobilité des professionnels et la migration légale. Tenant compte du cadre institutionnel de chaque partie, les deux Chefs de gouvernement ont souligné leur volonté de renforcer davantage la coopération culturelle entre les deux pays, laquelle constitue un levier important pour la compréhension mutuelle et pour le rapprochement entre les communautés marocaine et belge. Elles ont évoqué les possibilités de développer davantage le partenariat dans le domaine culturel, tels que l’échange d’expertise en matière de protection, de conservation et de mise en valeur du patrimoine culturel matériel et immatériel , la coopération entre les musées et les instituts spécialisés dans les métiers des arts et du patrimoine et de l’organisation d’activités culturelles et artistiques dans les deux pays. Les deux Chefs de gouvernement ont souligné l'importance de développer la coopération entre les deux pays dans le domaine du sport, notamment le sport féminin. Le Maroc a félicité la Belgique de sa candidature - conjointement avec l’Allemagne et les Pays-Bas - pour l’organisation de la Coupe du monde de football féminin en 2027. Le Maroc et la Belgique réaffirment la centralité du partenariat historique et privilégié entre le Royaume du Maroc et l'Union européenne. Ils conviennent d'agir pour préserver la stabilité et la continuité du partenariat stratégique entre le Maroc et l'UE . Ils réitèrent leur engagement à contribuer au renforcement de ce partenariat à tous les niveaux. Les deux pays continueront à travailler ensemble au sein des foras méditerranéennes pour favoriser le développement durable, la paix, la sécurité et la stabilité dans cette région, notamment à travers l'Union pour la Méditerranée. Concernant les questions régionales, les deux Chefs de gouvernements ont souligné les rôles constructif et positif du Maroc et de la Belgique dans le maintien de la paix et de la stabilité dans leurs régions respectives. En ce qui concerne la question du Sahara , le Chef du Gouvernement belge a réitéré le soutien de longue date de la Belgique au processus mené par les Nations Unies pour une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable pour les parties. Les deux parties conviennent de l’exclusivité de l’ONU dans le processus politique et réaffirment leur soutien à la résolution 2703 (2023) du Conseil de sécurité de l’ONU , qui a noté le rôle et la responsabilité des parties dans la recherche d’une solution politique réaliste, pragmatique, durable et fondée sur le compromis. Dans ce cadre, la Belgique considère l’initiative marocaine d’autonomie , présentée en 2007, comme un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une bonne base pour une solution acceptée par les parties. Les deux pays partagent le même objectif stratégique celui de contribuer au renforcement de la paix , de la sécurité et du développement dans la région euro-africaine. Le Maroc et la Belgique réaffirment leur engagement pour le renforcement de la paix, de la sécurité et du développement au bénéfice des populations du Sahel . Tenant compte de l’action de ses partenaires, dont l’Union européenne, la Belgique a adopté une Stratégie intégrée pour la région du Sahel. Dans le cadre de son engagement prioritaire pour la région, la Belgique salue l’Initiative Atlantique lancée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI comme contribution novatrice à l’intégration de l’atlantique africaine et au renforcement de la coopération avec les pays du Sahel. L’Atlantique est un point de liaison entre le Nord et le Sud, l’Afrique et l’Europe et entre la Méditerranée et l’Atlantique. S’agissant de la situation au Moyen-Orient , le Maroc et la Belgique ont tous deux condamné les attaques contre les civils, se déclarent fortement préoccupés par la situation à Gaza et appellent à un cessez le feu immédiat, global et durable à Gaza. Les deux pays demandent à se conformer à la résolution du Conseil de Sécurité 2728 du 25 mars 2024, tout en permettant l’accès par tous les points de passage aux aides humanitaires , sans entrave, et dans toute la bande de Gaza. A cet égard, les deux pays rejettent toute tentative de déplacement forcé des populations civiles. Les deux parties affirment que la solution à deux Etats, Israël et Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, est le seul moyen de parvenir à une paix durable et équitable au Moyen-Orient. Les deux Chefs de Gouvernement réaffirment leur ferme attachement à la souveraineté, à l'indépendance, à l'intégrité territoriale et à l'unité nationale de la Libye . Ils ont rappelé le rôle central des Nations Unies dans la facilitation d'un processus politique inclusif mené par les Libyens qui se traduira par l’organisation des élections présidentielles et législatives en Libye. La partie belge salue les efforts du Maroc pour la résolution de la crise libyenne , notamment l’accueil, du 22 mai au 7 juin 2023, des réunions de la Commission mixte (6+6), chargée d’élaborer les lois électorales libyennes dans le cadre du processus de dialogue engagé sous l’égide des Nations-Unies Les deux parties ont réaffirmé l’importance primordiale des principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies. Elles ont exprimé leur condamnation de toute violation des principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies et de l’usage de la violence. Dans ce contexte, elles ont exprimé leur profonde préoccupation face aux répercussions de la guerre en Ukraine, notamment en ce qui concerne l’aggravation de la crise humanitaire, alimentaire et énergétique mondiale. En conclusion, les deux Chefs de Gouvernement ont souligné l’atmosphère amicale et constructive de leur rencontre et ont convenu de poursuivre des consultations étroites et régulières sur tous les domaines, afin de renforcer le partenariat global entre le Maroc et la Belgique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : L'ambassadeur du Maroc à Moscou s'entretient avec de hauts responsables russes || subtitle : L'ambassadeur du Maroc en Russie, Lotfi Bouchaara, a eu, ce jeudi, des entretiens avec deux hauts responsables du ministère russe des Affaires étrangères. || body : Le renforcement des relations d’amitié russo-marocains et les questions d’actualité concernant le Moyen-Orient et l’Afrique inscrites à l'ordre du jour du Conseil de sécurité de l'ONU ont été au menu d’entretiens, jeudi à Moscou, entre l'ambassadeur du Maroc en Russie, Lotfi Bouchaara, et deux hauts responsables du ministère russe des Affaires étrangères. Ainsi, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Verchinine, a eu des entretiens avec M. Bouchaara axés sur “un certain nombre de questions actuelles du Moyen-Orient et de l'Afrique inscrites à l'ordre du jour du Conseil de sécurité de l'ONU”, indique un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères. Une attention particulière a été accordée au règlement de la question du Sahara marocain, à la lumière de sa prochaine discussion au Conseil, selon la même source. A cette occasion, la partie russe a souligné “l'importance de parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable à la question du Sahara sur la base des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité dans le cadre de procédures conformes aux principes et objectifs de la Charte des Nations Unies”, précise le communiqué. M. Bouchaara a également été reçu par le vice-ministre des Affaires étrangères et représentant spécial du président russe pour le Moyen-Orient et l'Afrique, Mikhaïl Bogdanov. A cette occasion, les questions d'actualité liées au “renforcement des relations traditionnellement amicales entre la Russie et le Maroc” ont été abordées, notamment “l'approfondissement du dialogue politique sur les questions d'intérêt commun du Moyen-Orient et de l'Afrique”, souligne la diplomatie russe dans un autre communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Dialogue social : vers un nouvel accord Gouvernement-Syndicats || subtitle : Alors que le monde du travail se prépare à célébrer la Fête du premier mai, les syndicats et les représentants du gouvernement se retrouvent autour de la table de négociations pour débattre d’enjeux cruciaux. Au cœur de ces discussions : les augmentations de salaires, la réforme de la retraite et la législation sur le droit de grève. Ce dialogue intervient dans un contexte apaisé, bien que des points de divergence, comme la réforme du Code du travail, s’invitent au débat. Cette convergence de volontés pourrait déboucher sur un nouvel accord social, à condition que tous les acteurs trouvent un terrain d’entente sur ces questions sensibles et déterminantes. || body : Dans le cadre de discussions qui pourraient marquer un tournant dans le dialogue social , une dynamique de négociation intense s’est installée et vise à jeter les fondements d’un nouvel accord social avant le 1er mai. Les tractations se focalisent sur des enjeux majeurs : augmentation des salaires, retraites et législation sur le droit de grève . En effet, dans un climat empreint de confiance, la session d’avril du dialogue social, entamée mardi dernier, poursuit son cours favorablement. Les représentants syndicaux, particulièrement satisfaits de ces échanges, participent à ce deuxième round de rencontres avec les représentants du gouvernement. Ce cycle de discussions, qui fait suite à une série de réunions orchestrées sous l’égide du Chef du gouvernement , implique les syndicats les plus représentatifs et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) . Salaires, droit de grève, retraites... le dialogue social à un tournant décisif C’est parti pour un nouveau round de dialogue social entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Une nouvelle série de négociations s’est ouverte, mardi, avec la participation des centrales syndicales les plus représentatives et les départements ministériels chargés de mener le dialogue. Entamées par des réunions thématiques, ces sessions abordent des sujets vitaux tels que les augmentations salariales, la loi organique sur le droit de grève et la réforme des retraites. Ces discussions visent à concilier les intérêts divergents dans un contexte marqué par des revendications historiques des syndicats. Avec des propositions gouvernementales sur la table et des syndicats armés de demandes fermes, le climat social est à un tournant décisif. Un nouveau souffle pour le dialogue social Le ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, Younes Sekkouri , a souligné l’importance de ces rencontres à l’issue de la première séance qui a eu lieu, mardi dernier, avec l’ Union marocaine du travail (UMT) . Outre son département, les ministres impliqués dans le dialogue social, telles que Nadia Fettah Alaoui , ministre de l’Économie et des finances, Fouzi Lekjaâ , ministre délégué chargé du Budget, et Ghita Mezzour , ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la réforme administrative, ont également pris part aux discussions. Il est attendu que la Confédération démocratique du travail (CDT) et la CGEM soient reçues lundi 15 avril 2024 dans le même sens. Mais la question est de savoir qu’elle sera l’agenda qui s’en suivra ? Selon des informations confirmées par des sources internes à l’UMT, des réunions approfondies sont prévues à partir du mardi 16 avril 2024. Ces sessions viseront à affiner les discussions préalablement engagées sur des sujets clés. Rappelons que les représentants syndicaux et ceux du gouvernement ont méticuleusement abordé, lors des précédents échanges, plusieurs dossiers sensibles, notamment ceux concernant les augmentations salariales, la réforme générale de la retraite et le droit de grève, sans oublier d’autres enjeux sectoriels spécifiques. Younes Sekkouri, le ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, a précédemment confirmé l’examen détaillé de ces thèmes. Selon nos informations, le programme des prochaines rencontres est déjà établi : la commission thématique dédiée à la réforme globale des retraites se réunira mardi matin, suivie le même jour par celle consacrée à l’amélioration des revenus. La commission chargée des questions législatives ne se réunira, quant à elle, que le lendemain, mercredi. Dialogue social : Des réformes attendues avec impatience À l’approche de la Fête du Travail , le 1er mai, le rythme des discussions et des négociations s’accélère avec pour objectif de parvenir à un nouvel accord. Toutefois, malgré l’ambiance de confiance évoquée durant ce round de dialogue, les syndicats signalent qu’ils n’ont pas encore reçu de réponses satisfaisantes à leurs revendications. Le gouvernement a certes manifesté un accord de principe pour une hausse des salaires avant le 1er mai, ainsi que pour une révision des impôts sur les revenus favorable aux travailleurs, mais les détails et les modalités techniques de ces mesures ne seront abordés qu’à partir de mardi prochain. Concernant la réforme de la retraite , considérée comme un dossier «lourd» par nos sources, il semble qu’il ne sera pas possible de conclure des accords définitifs lors de ce cycle de négociations. L’objectif sera plutôt de définir les grandes orientations et les principes directeurs. La même approche sera adoptée pour l’avancement du projet de loi organique sur le droit de grève. Un consensus sur ce projet pourrait permettre son examen lors de la prochaine session parlementaire. Vers un consensus ou un clivage entre le gouvernement et les syndicats ? Les syndicats, en attente d’éclaircissements, se tournent désormais vers la réunion de mercredi pour découvrir les modifications apportées à cette nouvelle version du projet de loi sur le droit de grève, soulignant l’importance de ces développements dans le cadre de leurs stratégies de négociation et d’action future. Une fois qu’un consensus aura été atteint entre les représentants des centrales syndicales et le gouvernement sur les trois thématiques cruciales – augmentation des salaires, réforme de la retraite et le projet de loi sur le droit de grève –, une étape décisive pourra être franchie. En effet, la tenue d’une réunion de la haute commission du dialogue social pourra alors être prévue, sous la présidence du Chef du gouvernement. Cette rencontre majeure réunira également les secrétaires généraux des centrales syndicales les plus représentatives ainsi que les représentants du patronat. L’objectif sera de signer un nouvel accord social, marquant ainsi un tournant potentiel dans le cadre du dialogue social. Or, bien que le consensus soit généralement recherché, un sujet reste controversé. Cher au patronat, il rencontre l’opposition des syndicats : la réforme prévue du Code du travail. Les syndicats perçoivent les intentions du patronat comme une tentative d’instaurer davantage de flexibilité et de faciliter les licenciements. Néanmoins, selon un cadre dirigeant de l’UMT, les syndicats ne ferment pas la porte aux négociations. «Nous sommes ouverts à l’introduction de nouvelles mesures dans le Code du travail, comme la régulation du télétravail, par exemple. Toute proposition peut être examinée au sein de la commission de la législation», déclare-t-il.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Récentes pluies : le pire est loin d'être derrière nous (Charafat Afailal) || subtitle : Malgré les récentes pluies qui se sont récemment abattues sur des régions du Maroc, le pays traverse toujours l’une des plus difficiles saisons de sécheresse, a indiqué Charafat Afilal, ancienne ministre déléguée chargée de l’Eau. D’après la même responsable, ces précipitations auront certes un impact bénéfique, mais seulement sur les cultures printanières, alors que le déficit hydrique reste toujours présent, en raison de l’insuffisance des précipitations. || body : Les dernières précipitations sont de bon augure, mais ne résorbent pas le déficit hydrique devenu structurel, a indiqué Charafat Afailal , ancienne ministre déléguée chargée de la gestion de l’Eau. Contactée par «Le Matin» pour recueillir son avis sur l’impact des dernières précipitations sur la situation hydrique au Maroc , l’experte a indiqué que ces pluies bienfaitrices ont certes améliorer la situation hydrique en insufflant une bouffée d’oxygène dans la lutte contre la pénurie d’eau, avec un niveau de remplissage des barrages atteignant 30% au 1er avril. L'impact des dernières pluies sur la campagne agricole 2023-2024 (Expert) Si le retour de la pluie en mars apporte un répit bienvenu dans un contexte de sécheresse sévère qui se prolonge depuis six ans, la saison agricole s’en trouvera-t-elle par conséquent améliorée ? Selon l’ingénieur agronome Abdelmoumen Guennouni, les effets de ces précipitations varieront d’une culture à l’autre. Explications. Néanmoins, «le pire est loin d’être derrière nous», car le Maroc continue de traverser l’une des périodes de sécheresse les plus difficiles, car ce qui caractérise particulièrement cette sécheresse, c’est sa durée exceptionnelle de six années consécutives, marquant ainsi la période de sécheresse la plus longue de l’histoire du pays. «Certes, la situation hydrique s’est améliorée, mais elle demeure alarmante, surtout lorsqu’on sait que le taux de remplissage des barrages reste globalement faible, alors que la saison agricole n’est pas encore terminée. Quant à la réouverture des hammams , je considère que cette mesure reste très marginale et ne pourra être interprétée comme le signe d’une amélioration globale de la situation hydrique, puisque ces structures consomment peu d’eau. En effet, la consommation ménagère en général ne représente que 13% de la consommation globale», note-t-elle. Pour la même intervenante la solution pour pallier cette situation de stress hydrique devenue chronique serait l’adaptation des politiques publiques à la réalité actuelle. L’intervenante souligne dans ce sens l’urgence de limiter les surfaces irriguées destinées aux cultures gourmandes en eau qui avaient gagné beaucoup de terrain au détriment des cultures céréalières résistant à la sécheresse que le Maroc devait maintenir. «Il est devenu désormais indispensable que les politiques publiques dans les secteurs de l’ agriculture et de l’ irrigation soient conçues de manière à ne pas dépasser les capacités du Royaume, surtout lorsqu’on sait que les changements climatiques ont entraîné une diminution significative des précipitations», ajoute la même intervenante. Déplorant les erreurs commises en matière de gestion de l’eau par le passé qui avaient entraîné l’épuisement des nappes phréatiques et la surexploitation des réserves au niveau des barrages, l’ancienne ministre met l’accent en outre sur l’importance aujourd’hui d’adopter des mesures préventives et de surveiller scrupuleusement chaque prélèvement d’eau du sol, en enregistrant précisément chaque quantité extraite afin de mieux gérer et préserver cette précieuse ressource. «Tout observateur et connaisseur du domaine aurait admis à l’époque que le rythme d’exploitation des ressources en eau , lié à l’extension des surfaces irriguées, n’était pas une option durable. En effet, dans un pays au climat structurellement semi-aride à aride, la promotion d’un modèle d’agriculture marchande en grande partie destinée à l’exportation de biens de contre-saison a reposé sur l’intensification de l’irrigation jusqu’à atteindre des limites insoutenables. Ainsi, la solution aujourd’hui est de veiller à gérer cette ressource du mieux qu’on peut», conclut-elle.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Modernisation de l’administration judiciaire : Ouahbi signe un protocole d’accord avec son homologue belge || subtitle : A l’occasion de la troisième session de la Haute Commission mixte maroco-belge à Rabat, le lundi 15 avril 2024, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a reçu son homologue belge, Paul Van Tigchelt, au siège du ministère, accompagné d’une délégation de haut niveau. || body : Les entretiens entre les deux parties ont porté sur les résultats de la coopération judiciaire , l’amélioration de ses mécanismes et la prévision de ses perspectives d’avenir, notamment en ce qui concerne les aspects techniques et administratifs, ainsi que les domaines de la modernisation de l’administration judiciaire et du renforcement de sa gouvernance. Sahara marocain : La Belgique réitère son soutien au plan d’autonomie La Belgique considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme "un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une bonne base pour une solution acceptée par les parties". À l’issue de la réunion, un protocole d’accord a été signé sur la modernisation de l’administration judiciaire, visant à renforcer la coopération dans les domaines suivants : Moderniser et numériser l’administration judiciaire et renforcer sa gouvernance ; Renforcement des capacités en matière de ressources humaines ; Échanger des informations sur l’évolution de la législation dans le secteur de la justice ; Appui technique aux projets de réforme de la justice . A cette occasion, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi , a déclaré : « Cet accord s’inscrit dans la continuité du protocole de coopération judiciaire entre les deux pays. Nous considérons qu’il s’agit d’une grande appréciation pour le partenariat historique solide entre le Royaume du Maroc et le Royaume de Belgique, à travers lequel le processus judiciaire sera renforcé par la modernisation de son administration, le renforcement de ses capacités administratives, le développement de ses ressources, la modernisation et la numérisation de l’administration judiciaire ainsi que le renforcement de sa gouvernance". Pour sa part, le ministre belge de la Justice, Paul Van Tigchelt , s’est félicité des relations de coopération judiciaire entre les deux pays, saluant les efforts du Royaume du Maroc dans le domaine de la réforme de la justice.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : En grève, les étudiants en médecine annoncent «la marche de la résistance» pour le 25 avril || subtitle : Le spectre d'une année blanche plane toujours sur les Facultés de médecine au Maroc. Les étudiants, en grève depuis plus de 3 mois, continuent de boycotter les examens et les stages. Il se disent décidés à poursuivre leur mouvement de protestation, particulièrement après la prise de mesures disciplinaires à l’encontre de 66 étudiants suspendus pour des durées allant d’une à deux années. Dans un communiqué publié lundi, les étudiants annoncent une série de mesures qui commenceront par l’organisation de rencontres de communication, pour se poursuivre avec l’organisation d’une marche nationale le 25 avril prochain sous le signe «la marche de la résistance». || body : Le torchon continue de brûler entre les étudiants en médecine et le ministère de l’Enseignement supérieur . En effet, trois mois après le démarrage de leur mouvement de protestation, les futurs médecins refusent de lâcher du lest et poursuivent leur mouvement de protestation, particulièrement après les mesures correctionnelles ayant touché pas moins de 66 étudiants relevant de différentes facultés. Ils annoncent même un programme de protestation pour ce mois d’avril qui sera couronné par l’organisation d’une marche nationale le 25 avril prochain. Grève des étudiants en médecine : les Facultés brandissent l’arme de la suspension, la crise s’exacerbe Pas de dénouement en vue de la crise qui paralyse depuis des mois les Facultés de médecine et de pharmacie. Les étudiants en grève contre les conditions de leur formation et les modalités de mise en œuvre de la nouvelle réforme pédagogique continuent de braver les deux ministères de tutelle, alors que 66 d’entre eux ont comparu devant les conseils disciplinaires et 19 ont été suspendus pour une durée allant jusqu’à deux ans. Face à ces mesures, qui ne sont pas de nature à apaiser la tension, des partis de l’opposition sont montés au créneau. Dans un communiqué publié hier, la Commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et en pharmacie a indiqué que ce programme de protestation intervient pour protester contre l’approche rigide adoptée par le ministère qui a refusé l’ouverture du dialogue et a choisi d’opter pour l’oppression et l’intimidation afin de les pousser à abandonner leur cahier revendicatif. La commission condamne les suspensions annoncées par les présidences des Facultés de médecine à l’encontre de 66 étudiants qui constituent dans leur totalité des représentants des étudiants au sein de la commission nationale, ainsi que des membres des bureaux et des conseils locaux, bien que ces décisions ne soient pas encore officialisées. L’instance représentative dénonce par ailleurs la convocation de plusieurs étudiants par la police judiciaire au niveau de la ville d’Oujda suite à une plainte déposée au niveau du bureau du procureur général. «Un nouveau tour de force qui ne fera qu’envenimer la situation et mettre en péril l’avenir de plus de 25.000 étudiants», note la commission dans son communiqué. Grève des étudiants en médecine : une guerre d’usure s’installe progressivement La tension est montée d’un cran au sein des Facultés de médecine et de pharmacie, paralysées par une grève qui dure depuis près de trois mois. Dans leur bras de fer avec les étudiants contestataires, les présidents des Universités Hassan II à Casablanca et Mohammed V à Rabat ont annoncé, dans une décision publiée mercredi dernier, la dissolution des bureaux des étudiants en médecine et pharmacie et l’interdiction de toutes leurs activités dans l’enceinte universitaire. Il convient de rappeler que les étudiants refusent depuis le début de cette année la nouvelle réforme annoncée par le ministère et qui consiste en la réduction de la durée d’études en médecine de 7 à 6 années. Les étudiants considèrent en effet que la suppression de cette dernière année entraînera la perte de ce qui équivaut à 600 heures de formation. Les étudiants déplorent par ailleurs l’absence des mesures d’accompagnement nécessaires au bon déploiement de cette décision et le manque de visibilité pour la sixième année. La commission pointe également du doigt l’augmentation importante du nombre d’étudiants au cours des deux dernières années, qui n’a pas été suivie de mesures d’accompagnement, notamment l’ouverture de nouveaux Centres hospitaliers universitaires. Une situation qui a eu pour conséquence le surpeuplement des amphis et la dégradation du niveau d’encadrement des futurs médecins au sein des hôpitaux. Des difficultés auxquelles s’ajoutent celles déplorées tout particulièrement par les étudiants en pharmacie qui se plaignent pour leur part de la suppression des stages prévus au cours de la sixième année dans le domaine de la biologie et de l’industrie. Outre ces problématiques, les étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie dénoncent le retard accusé dans la publication du cahier des charges pédagogique concernant le troisième cycle, sachant qu’un accord avait été déjà signé en 2019 concernant l’intégration des étudiants en médecine dans la conception et la mise en œuvre de la réforme.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Changement d’heure et horloge biologique : ce qu'il faut savoir || subtitle : None || body : Le Maroc est repassé à l’heure GMT+1 après la fin du mois du Ramadan. Si pour certains, ce changement d’heure n’a pas de conséquences visibles, pour d’autres l’adaptation se fait difficilement. Fatigue, irritabilité, difficultés de concentration... les experts sont formels : notre horloge biologique se trouve perturbée et notre corps a besoin de gérer ce passage à un nouveau fuseau horaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les groupes parlementaires s’affrontent pour s’assurer une place dans les commissions clés || subtitle : Au cœur de la session parlementaire de printemps, le renouvellement des instances de la Chambre des représentants déclenche une intense bataille politique. Entre élections serrées et manœuvres stratégiques, les groupes parlementaires s’affrontent pour s’assurer une place au bureau et dans les commissions clés, sous l’œil vigilant du président réélu, Rachid Talbi Alami. Cette période critique révèle les complexités et les défis du processus électoral interne, dictés par des règles strictes de représentation et de proportionnalité. || body : Le renouvellement des instances de la Chambre des représentants est une étape cruciale marquant le commencement de la session parlementaire de printemps. Cette période se distingue par une lutte intense parmi les membres des groupes parlementaires, tous aspirant à sécuriser une place au bureau et dans les autres organes de la Chambre, y compris les commissions permanentes. Une session de renouvellement sous haute tension à la Chambre des Représentants Alors que l’élection du président de la Chambre s’est déroulée sans accroc ni surprise le vendredi dernier, Rachid Talbi Alami ayant été réélu, les autres scrutins nécessaires présentent davantage de complications. Ainsi, la responsabilité de superviser le renouvellement des autres organes de l’hémicycle par un vote secret incombe au président, en conformité avec la Constitution et le règlement intérieur. Ces mesures ne sont pas faciles à appliquer, ce qui explique l’impasse dans laquelle se trouvent les groupes parlementaires depuis la séance de vendredi : ils n’ont pas encore réussi à s’accorder sur les candidatures pour les présidences des différentes commissions et les postes au sein du bureau de la Chambre, ainsi que les sections parlementaires. Le débat sur le secret des travaux des Commissions parlementaires relancé Le débat autour de la confidentialité des travaux des commissions parlementaires est de nouveau relancé avec l’interdiction, mardi dernier, des représentants des médias dans la salle accueillant les travaux de la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme. Une décision prise par le bureau de la Commission et qui n’a pas manqué de créer une vive polémique entre les parlementaires de la majorité et ceux de l’opposition. En effet, chaque groupe doit soumettre au président de la Chambre des représentants une liste de ses candidats au bureau, au moins vingt-quatre heures avant la séance d’élection. Conformément à l’article 29 du règlement intérieur, «toute liste de candidats excédant le nombre prévu est irrecevable. Lorsque le nombre de candidats pour chaque fonction du bureau n’excède pas le nombre de sièges à pourvoir, toutes les candidatures sont présentées dans une liste unifiée où les fonctions sont spécifiées». C’est la raison pour laquelle la séance destinée à organiser ces élections ne s’est pas encore tenue (à l’heure où nous mettions sous presse). Conformément à l’article 62 de la Constitution, la Chambre organise une séance plénière dédiée à l’élection des membres du bureau de la Chambre des représentants selon la représentation proportionnelle des groupes. Cette élection se tient au début de la législature, puis lors de la troisième année de celle-ci, durant la session d’avril, pour le reste de la législature, comme le précise le règlement intérieur. Par ailleurs, il est interdit de cumuler la fonction de membre du bureau avec celle de président d’une commission permanente, de chef d’un groupe parlementaire, de président de la commission du contrôle des dépenses du budget de la Chambre ou de membre du bureau d’une des commissions. Dans ce cadre, après sa réélection, le président a rencontré les chefs des groupes parlementaires (ceux ayant désigné leurs présidents) afin de planifier la séance d’élection des organes de la Chambre, mais aucune décision n’a été prise. Il est à noter que, si cinq groupes maintiennent leurs dirigeants, l’avenir de deux grands groupes parlementaires, l’Istiqlal et le Parti authenticité et modernité, demeure incertain. Conflits ouverts entre membres de l’opposition Par ailleurs, la formation de la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme, qui relève constitutionnellement de l’opposition, suscite des désaccords. Deux partis politiques, l’Union socialiste des forces populaires (USFP) et le Mouvement populaire (MP), qui en a assuré la présidence depuis le début de cette législature, s’en disputent la direction. Les négociations entre les deux partis n’ont jusqu’à présent abouti à aucun accord. Il est possible que cette impasse soit résolue le jour des élections par vote. Impasses et stratégies électorales De son côté, l’élection du bureau présente une complexité particulière, du fait de la nécessité de respecter le principe de «la représentation proportionnelle des groupes». De plus, il est impératif de se conformer aux dispositions du règlement intérieur qui stipulent qu’«un poste de questeur et/ou de secrétaire doit être prioritairement et exclusivement réservé à un représentant de l’opposition», comme le précise l’article 23 du règlement intérieur. La difficulté survient car les formations de l’opposition visent principalement la vice-présidence. Rachdi Hammouni, chef du groupe parlementaire du Parti du progrès et du socialisme (PPS), clarifie la situation : la majorité disposera de dix postes, tandis que l’opposition en aura trois parmi les 13 sièges du bureau de la Chambre des représentants. «Nous sommes trois composantes de l’opposition : USFP, MP et PPS, concernés par l’article 23 du règlement interne. Cependant, nous ne présenterons pas de candidats pour les postes de questeur ou de secrétaire. Ces partis préféreront postuler pour la vice-présidence, qu’une des trois formations pourra remporter par vote, selon le principe de la proportionnalité. Les deux autres groupes de l’opposition se verront alors attribuer les postes de questeur et de secrétaire», explique-t-il, soulignant la complexité de l’opération, en particulier en l’absence de consensus entre les différents acteurs. Une équation difficile à résoudre.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réforme de l'éducation: Signature des contrats de performance avec les AREFs || subtitle : Le ministre Chakib Benmoussa a présidé, le mercredi 3 avril 2024, au siège du ministère à Rabat, les cérémonies de signature de contrats de performance entre le ministère de l’Éducation Nationale du Préscolaire et des Sports et les Académies Régionales d'Education et de Formation pour accompagner la mise en œuvre de la Feuille de Route 2022-2026. Cet outil de gouvernance met en place une chaine de responsabilité cohérente à tous les niveaux managériaux, fondé sur des indicateurs de suivi de la performance objectifs et un espace de dialogue de gestion. || body : La signature de ces contrats s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Feuille de Route 2022-2026 , dont l’une des conditions de réussite est une nouvelle gouvernance orientée impact et résultat sur l’élève. Enseignement: 17 milliards de DH pour la réforme de l’Éducation nationale (Benmoussa) Le budget alloué à la réforme du secteur de l’Éducation nationale s'élève à 17 milliards de DH, a indiqué jeudi le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa. Dans ce cadre, le ministère déploie de manière inédite, selon un processus participatif , une chaîne de contrats de performance à tous les niveaux du système éducatif déclinés à partir des objectifs stratégiques de la réforme. A cet égard, les contrats signés entre le ministre et chaque directeur d’ AREF définissent de façon claire les engagements réciproques et sont le résultat d’un processus de concertation et de négociation entre les parties signataires, permettant de mettre en œuvre le principe constitutionnel de corrélation entre la responsabilité et la redevabilité. Cet outil de gouvernance met en place une chaine de responsabilité cohérente à tous les niveaux managériaux, fondé sur des indicateurs de suivi de la performance objectifs et un espace de dialogue de gestion selon la cascade suivante : au niveau du gouvernement et du ministère de l’Économie et des Finances, entre le MENPS et le s AREFs , entre les AREFs et les directions provinciales (DP) , puis entre les DP et les établissements scolaires à travers le Projet d’établissement intégré. Sur le plan institutionnel également, ce processus renforce la régionalisation avancée en favorisant la décentralisation et la déconcentration . Il facilite le partenariat avec les conseils élus dans le cadre des plans de développement territoriaux . La contractualisation, ainsi déclinée, est un instrument qui fait le lien entre les moyens mis à disposition, les objectifs fixés par la feuille de route, et les résultats réalisés, facilitant ainsi le pilotage, le suivi et l’évaluation du déploiement de la réforme. Pour les parties prenantes cela se traduit par : un cadre de résultat clair, partagé entre le niveau national et territorial, une plateforme qui facilite la mobilisation et la convergence des acteurs du territoire, et enfin un processus responsabilisant et autonomisant. Dans un souci d’efficience, ces contrats de performance établis avec les équipes des Académies Régionales d'Education et de Formation et Directions Provinciales sur trois ans, sont simplifiés pour permettre un suivi aisé, avec une vingtaine d’ indicateurs stratégiques , dont la plupart pourront être déclinés jusque dans l’établissement. Parmi lesquels, les effectifs de la déperdition scolaire , le taux de réussite aux examens et le nombre d’ enseignants bénéficiant de formation continue certifiante . Cette démarche vient également renforcer le rôle des conseils d’administration des AREFs puisque les plans d’action annuels qui découlent de ces contrats, seront soumis à l’approbation de ces conseils.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara : Albares s'oppose à l'octroi de la nationalité espagnole aux Sahraouis nés pendant l'occupation || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères espagnol, José Manuel Albares, s'est prononcé contre le proposition de loi du parti Sumar pour l'octroi de la nationalité espagnole aux ressortissants originaires des provinces du Sud, nés sous l'époque coloniale avant 1976. || body : "Les propositions de réforme de la réglementation sur la nationalité pour étendre la nationalité espagnole aux Sahraouis soulèvent des questions de sécurité technique et juridique qui doivent être clarifiées conformément au système judiciaire actuel, et en tenant compte du processus de négociation dans le cadre des Nations Unies , dont la centralité doit être assurée dans tous les cas", a écrit le ministre des Affaires étrangères espagnol, José Manuel Albares dans une réponse écrite au groupe parlementaire de Sumar relayée par les médias ibériques. Le Maroc, "un partenaire stratégique de premier ordre pour l'Espagne" (Albares) Le Maroc est un "partenaire stratégique de premier ordre" pour l'Espagne, a souligné le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, saluant "la coopération exemplaire" entre les deux pays dans tous les domaines. Le parti a déposé au Congrès des députés une proposition de loi pour l'octroi de la nationalité espagnole aux ressortissants originaires des provinces du Sud , nés sous l'époque coloniale avant 1976. Une initiative similaire à celle proposée par Unidas Podemos à la Chambre basse en février 2023 et rejetée par le PSOE et le PP avec l'abstention de Vox.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réforme des études de médecine : le plaidoyer de Mohamed Ahallat, ex-doyen de la Faculté de médecine de Tanger || subtitle : La réforme du cursus des études en médecine marque une véritable restructuration et réunit tous les ingrédients nécessaires à sa réussite, dont avant tout l'engagement du gouvernement. Voilà l'avis de l'ancien doyen de la Faculté de médecine et de pharmacie de Tanger, Pr Mohamed Ahallat, qui estime que si les étudiants sont préoccupés par la réduction de la durée des études de 7 à 6 ans, cela ne doit pas pour autant motiver le boycott des cours, au point de faire planer le risque d'une année blanche. || body : Si la préoccupation des étudiants en médecine porte essentiellement sur la réduction du nombre d'années de formation, alors il faut leur expliquer qu'il s'agit d'un problème pédagogique qui nécessite une solution pédagogique, ce qui est tout à fait possible. En aucun cas, cela ne doit pas servir de motif pour boycotter les cours, souligne le professeur Ahallat, qui va même jusqu'à soutenir que la septième année s’avère peu avantageuse pour les étudiants. Bien pire, des étudiants perdent de leur niveau à la fin de cette année d’externat, tandis que d'autres assimilent des pratiques qui vont à l'encontre de l'éthique médicale. Une vraie réforme disposant de tous les ingrédients nécessaires à sa réussite Pour l'ancien doyen de la Faculté de médecine et de pharmacie de Tanger, qui s’exprimait lors d’une conférence organisée par le secteur des étudiants du Parti du progrès et du socialisme (PPS) sous le thème «L’avenir de la formation médicale au Maroc», cette réforme a tous les ingrédients nécessaires à sa réussite, notamment l'engagement du gouvernement. Et ses concepteurs avaient même songé à une formation qui dure cinq ans au lieu de six, a-t-il précisé, rappelant que partout dans le monde, la formation dure six ans (France, Allemagne, Espagne, etc.). Un autre avantage de cette réforme tient aux mesures d'accompagnement, indique Dr Ahallat, assurant que toutes les Facultés ont été dotées des postes budgétaires nécessaires. Pour lui, le gouvernement agit de manière concrète avec cette réforme, basée sur l'efficacité, afin de disposer d'un médecin en six ans pour un coût moindre. Et de faire valoir que cette réforme est aussi commandée par un souci d'équité, dans le cadre de la médecine de proximité, notamment avec l'introduction de la médecine de famille. «Il faut faire preuve de rationalité» L'ancien doyen de la Faculté de médecine et de pharmacie de Tanger a par ailleurs appelé à la rationalité et à considérer cette réforme comme une opportunité à saisir pour améliorer les conditions de formation. Il a également noté que les CHU ne constituent pas les structures idéales pour la formation des étudiants, dans la mesure où les futurs médecins ne seront pas affectés toute leur vie aux CHU. Bien au contraire, ils vont exercer dans les hôpitaux régionaux et provinciaux, et l'idéal serait donc d'effectuer un stage dans le lieu où le futur médecin exercera, sous la supervision bien évidemment d'un professeur de l'enseignement supérieur, dit-il. Dans un autre ordre d'idées, Dr Ahallat estime que cette réforme devrait s'accompagner de la suppression du temps plein aménagé (TPA) pour les enseignants des Facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire. La formation des enseignants est un problème majeur, compte tenu du fait que l'enseignement est un métier distinct qui nécessite une formation propre et que la formation traditionnelle, basée sur des cours magistraux, a fait son temps et est devenue obsolète, fait-il remarquer. Les exigences des étudiants en médecine ne se limitent pas à la seule durée de leur formation Intervenant au nom de la commission nationale des étudiants en médecine et en pharmacie, Dr Aymane Fathi a rappelé que la valorisation des ressources humaines reste un pilier très important dans la mise en œuvre de la couverture médicale universelle et dans l'amélioration de la qualité de l'offre de soins. Faisant référence au conflit qui secoue actuellement les Facultés de médecine et de pharmacie, il a déclaré que la rupture du dialogue avec les étudiants et leur commission nationale n'était pas une bonne décision de la part des responsables. Il a également souligné que les mesures de sanction n'ont fait qu'accroître la tension parmi les étudiants, qui ne demandaient qu'à dialoguer pour discuter des points litigieux. D'après lui, les revendications des étudiants ne doivent pas être réduites à la seule réduction de la durée des études, mais elles portent sur des points qui n'ont pas été résolus depuis le lancement de la réforme en 2015. Ces points de discorde concernent également les conditions de formation dans le contexte de l'augmentation du nombre de médecins, le troisième cycle et la médecine de famille, ainsi que d'autres questions qui restent sans réponse, fait-il observer.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réélection du Maroc à l'Organe international de contrôle des stupéfiants || subtitle : Le Royaume du Maroc a été réélu pour un troisième mandat en tant que membre de l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), en la personne de Jallal Toufiq, lors des élections tenues mardi par le Conseil économique et social (ECOSOC) de l'ONU. || body : Le Maroc et l'Inde furent élus dès le premier tour du scrutin, la candidature marocaine ayant recueilli trente voix sur cinquante-quatre au total, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, notant que ce succès électoral fut réalisé dans un contexte de compétition sans précédent entre les vingt-cinq pays candidats pour les cinq sièges devant être pourvus par les candidats proposés par les gouvernements. Il s’agit d’un exploit d'autant plus important que le Maroc ne fait pas partie de l'ECOSOC, ce qui reflète la grande crédibilité de l'action multilatérale du Royaume. L’élection du Maroc à cet organe à l’importance centrale témoigne de la crédibilité de la contribution qu’apporte le Royaume, sous la Très Haute Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, à l’action multilatérale visant à relever les défis économiques, sociaux et sanitaires mondiaux, en particulier ceux liés au contrôle des drogues, souligne le communiqué. Il s’agit ainsi d’une marque de la confiance que place la communauté internationale en les efforts inlassables du Royaume dans le cadre de la lutte contre le problème des stupéfiants, dans le contexte des tendances liées à l’émergence de nouvelles drogues, notamment synthétiques. Jallal Toufiq, président actuel de l’OICS, est également chef du Centre national de prévention et de recherche en toxicomanie, directeur de l’Observatoire marocain des drogues et des toxicomanies et directeur de l’Hôpital psychiatrique Ar-Razi. L’OICS est un organe d’experts indépendant et quasi judiciaire créé par la Convention unique sur les stupéfiants de 1961, chargé de suivre la mise en œuvre des Conventions des Nations unies sur les stupéfiants. Il publie annuellement un rapport dans lequel il fournit une étude complète de la situation en matière de contrôle des drogues dans le monde et de la mise en œuvre des Conventions de l’ONU en la matière, et recommande des mesures correctives dans ce cadre. Il est composé de treize membres élus par l’ECOSOC, dont dix sont élus sur une liste de personnes désignées par les gouvernements. Les trois autres membres sont élus à partir d’une liste de personnes désignées par l’Organisation mondiale de la santé.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le nouveau Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye reçoit la délégation marocaine || subtitle : Le nouveau Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye a reçu la délégation marocaine, conduite par le Chef du gouvernement, qui représente Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la cérémonie de son investiture. || body : Le nouveau Président du Sénégal , Bassirou Diomaye Faye , a reçu, mardi à Diamniadio près de Dakar, la délégation marocaine, conduite par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch , qui a représenté Sa Majesté le Roi Mohammed VI , que Dieu L’assiste, à la cérémonie de son investiture. Akhannouch représente S.M. le Roi à la cérémonie d'investiture du président du Sénégal En dehors des leaders de la sous-région, S.M. le Roi est le seul Chef d’Etat à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal, où le Souverain est représenté par le Chef de gouvernement. Cet entretien, auquel a pris part le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita , s'est déroulé en marge de la cérémonie de prestation de serment et d’installation du Président élu Bassirou Diomaye Faye . Lors de cet entretien, la délégation marocaine a transmis les félicitations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au président du Sénégal , à l'occasion de son investiture, ainsi que Ses vœux de prospérité et de progrès au peuple sénégalais. L’entretien s'est déroulé en présence de l’ ambassadeur de Sa Majesté le Roi à Dakar, Hassan Naciri .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La Chambre des représentants ouvre vendredi la 2ème session de l’année législative 2023-2024 || subtitle : La Chambre des représentants tiendra une séance plénière, vendredi prochain, consacrée à l’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 et à l’élection du président de la Chambre pour le reste de la législature (2021-2026). || body : Cette séance, qui se tiendra en vertu des dispositions des articles 62 et 65 de la Constitution et de l’article 24 du Règlement intérieur , débutera à 15h00, indique un communiqué de la Chambre des représentants . Rentrée parlementaire : la course aux postes de responsabilité a commencé Le Parlement marocain s’apprête à vivre une période charnière. Conformément à l’article 62 de la Constitution, d’importants changements sont à prévoir au sein des structures dirigeantes des deux Chambres. Cette phase cruciale de renouvellement soulève des interrogations, notamment sur les rapports de force au sein de la majorité gouvernementale.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara : Un nouveau test à plusieurs dimensions devant le conseil de sécurité || subtitle : Le programme du Conseil de sécurité pour ce mois d’avril prévoit des consultations sur la question du Sahara marocain. Comme il est d’usage pour cette séance qui se tiendra mardi 16 avril, il s’agira pour l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, Staffan de Mistura, ainsi que du Représentant personnel du Secrétaire général et chef de la Minurso, Alexander Ivanko, de présenter leurs briefings au membres du Conseil de sécurité. || body : Une séance d’information à huis clos est au programme du Conseil de sécurité , au cours de laquelle les États membres prendront connaissance des exposés de l’Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies , Staffan de Mistura , et du Représentant personnel du Secrétaire général et chef de la Minurso , Alexander Ivanko . Cette réunion, comme l’indique au «Matin» le professeur de droit public à la Faculté des sciences juridiques et politiques de l’Université Ibn Tofaïl, Azzeddine Hanoune , «vient en application du point 11 de la résolution 2703 du Conseil de sécurité qui avait exhorté le Secrétaire général de l’ONU à inclure des exposés dans les six mois sur l’état d’avancement des négociations tenues sous ses auspices, l’application de la présente résolution, l’évaluation des opérations de la Minurso et les mesures prises pour surmonter les difficultés rencontrées». Sahara: L'ONU réitère l’exclusivité du processus politique onusien L’Assemblée générale des Nations Unies vient d’adopter une résolution réaffirmant son soutien au processus politique mené sous les auspices exclusives du Conseil de sécurité des Nations-Unies pour le règlement du différend régional autour du Sahara marocain, et réitérant l'enterrement définitif du référendum. Ainsi, l’Assemblée générale a confirmé la résolution adoptée par la 4ème commission en octobre dernier. De Mistura et Ivanko font le bilan de leurs actions Lors de cette réunion, Staffan de Mistura et Alexander Ivanko devraient exposer devant le Conseil l’état d’avancement de leurs mandats. Certains éléments, souligne M. Hanoune, devraient être pris en compte à ce niveau : • L’ Algérie est membre du Conseil de sécurité et devrait assister à cette réunion. Il est certain que les diplomates de ce pays essaieront d’orienter les discussions dans un sens qui leur est favorable. • Cette réunion vient à un moment où la tension dans la région n’a pas baissé. Au contraire, les signaux de radicalisation du comportement des adversaires du Maroc se multiplient (mini-crise des bâtiments algériens à Rabat...). • Tentatives de l’Algérie d’isoler le Maroc à travers une initiative diplomatique maghrébine sans le Royaume. • Activisme de Staffan de Mistura à travers des initiatives qui n’ont pas toujours été pertinentes : il s’agit notamment de sa visite controversée en Afrique du Sud et ensuite en Russie. La visite en Afrique du Sud a mécontenté le Maroc, dans la mesure où elle est survenue à l’invitation de la diplomatie sud-africaine, qui est totalement engagée en faveur des séparatistes. Ainsi, de l’avis du professeur du droit public, «on peut considérer cette réunion comme un véritable test à plusieurs dimensions. Il s’agit d’un test à l’égard de l’avenir de la médiation de M. de Mistura : va-t-il rectifier le tir et revenir aux fondamentaux de sa mission ou va-t-il au contraire persévérer dans la voie de l’ambiguïté et s’engager carrément dans une direction anti-marocaine ? Or le Maroc a toujours montré de bonnes dispositions à l’égard de sa mission, notamment en acceptant le principe des négociations». Le deuxième test, note aussi M. Hanoune, «sera pour les alliés du Maroc, principalement la France , membre permanent qui a exprimé dernièrement sa disposition à soutenir le Royaume». Quant au troisième test, «il sera pour la pertinence du processus onusien lui-même. Est-ce que l’ONU pourrait imposer des pourparlers pour une solution politique acceptable ou devrait-elle céder encore une fois aux refus des autres parties ?» Dans tous les cas, conclut M. Hanoune, la diplomatie marocaine devrait rester vigilante face aux manœuvres des adversaires qui, dernièrement, multiplient les actions pour faire plier le Royaume et pour contrecarrer son dynamisme, notamment au niveau africain.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Bilan de mi-mandat, dialogue social... la majorité accorde ses violons || subtitle : C’est la première réunion de la majorité depuis l’arrivée du trio Mansouri-Bensaïd-Aboulghali à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM). Les résultats semblent plutôt prometteurs. En effet, les trois composantes de la majorité ont accordé leurs violons pour jouer la même partition cette fois. Se félicitant du bilan à mi-mandat de l’Exécutif, bilan qui fera l’objet d’un exposé devant le Parlement, les chefs de file de la majorité ont annoncé la poursuite de leur coordination au sein des collectivités territoriales. S’agissant du perchoir de la première Chambre, et sur lequel le PAM avait des vues, Il sera finalement gardé par le Rniste Rachid Talbi Alami jusqu’à la fin de cette législature. || body : Le Chef du gouvernement s’apprête à présenter le bilan des réalisations de son gouvernement devant le Parlement au cours de cette session printanière, et ce conformément à l’article 100 de la Constitution . Ce bilan de mi-mandat fera ensuite l’objet d’un débat public au Parlement et dans les médias et l’espace public. C’est ce qu’a annoncé en tous cas la présidence de la majorité gouvernementale, dans un communiqué publié hier à l’issue d’une réunion ordinaire tenue jeudi dernier, sous la présidence du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. Bilan à mi-mandat du gouvernement : la majorité et l’opposition croisent le fer De quelle manière faut-il appréhender le bilan à mi-parcours du gouvernement ? Entre une majorité qui revendique des succès, en dépit d’un contexte extrêmement compliqué à bien des égards, et une opposition qui juge tièdes les résultats intermédiaires d’un gouvernement qui avait pourtant placé la barre très haut dans ses engagements électoraux, les avis divergent, alimentés par la volonté des uns et des autres de gagner la bataille de l’opinion publique. La présidence de la majorité n’a pas manqué de saluer à cette occasion le bilan des réalisations de l’Exécutif, le qualifiant de très honorable et positif. «C’est un bilan positif, qui traduit la forte volonté politique du gouvernement de mettre en œuvre les réformes économiques et de renforcer les fondements de l’ État social . Ce bilan reflète par ailleurs la détermination du gouvernement à honorer les engagements prévus dans le cadre de son programme», souligne ladite instance. Dans le même document, les partis politiques de la majorité n’ont pas manqué de mettre en avant l’esprit d’harmonie et de coopération qui caractérise les relations du gouvernement avec les groupes parlementaires de la majorité, ainsi que les rôles majeurs joués par ces groupes parlementaires au niveau du renforcement de la législation et du contrôle de l’action gouvernementale, ainsi qu’au niveau de la diplomatie parlementaire, appelant par ailleurs ces groupes à poursuivre la coopération et la collaboration entre eux, dans un cadre d’intégration et de coordination étroite, tout en restant à l’écoute des groupes parlementaires de l’opposition afin d’interagir avec leurs propositions. La présidence de l’instance de la majorité a par ailleurs annoncé la poursuite de la coordination entre les trois partis qui la composent au sein des collectivités territoriales, que ce soit au niveau local, provincial ou régional, en raison des opportunités importantes qu’offre cette expérience inédite pour la mise en œuvre des politiques publiques selon une approche de proximité, et avec l’efficience et l’efficacité nécessaires. Abordant le chantier de dialogue social, la même instance a tenu à louer la poursuite des négociations du dialogue social entre le gouvernement, et les centrales syndicales les plus représentatives, un dialogue qu’elle espère fructueux. Par la même occasion, l’Instance de la majorité a affirmé son appui total aux chantiers de réforme que le gouvernement est sur le point de lancer dans les jours à venir, que ce soit au niveau institutionnel, législatif ou social. Enfin, et à la veille du renouvellement des instances de la Chambre des représentants, les partis de la majorité ont annoncé leur décision d’appuyer la candidature de Rachid Talbi Alami à la présidence de la Chambre pour la deuxième partie de l’actuelle législature. Il convient de souligner que cette réunion de l’instance de la majorité a été présidée par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. Cette rencontre a par ailleurs connu la participation des trois membres de la direction collégiale du parti du PAM ainsi que le secrétaire général du Parti de l’Istiqlal et le président du comité préparatoire du prochain congrès ainsi que le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami. Ainsi, outre les réalisations du gouvernement à mi-mandat, cette réunion a été consacrée à l’examen de l’évolution de la situation politique et économique du pays ainsi que du futur agenda de l’action gouvernementale.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Motion de censure : Driss Lachgar y croit toujours malgré tout || subtitle : Le parti de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) semble bien décidé à aller jusqu’au bout dans son projet de dépôt d’une motion de censure contre le gouvernement. L’USFP entend à travers cette démarche contrer l’hégémonie de l’Exécutif en dépit des incertitudes quant à l'aboutissement de cette initiative. || body : L’ opposition va-t-elle franchir le pas et présenter une motion de censure à l’encontre du gouvernement Akhannouch dans quelques jours, au début de la prochaine session du printemps ? tout porte à le croire, à en juger par les déclarations faites par l’ Union socialiste des forces populaires qui semble bien décidée à aller jusqu’au bout dans ce sens. En effet, le parti de Driss Lachgar a réitéré son intention de procéder à un dépôt de motion, dans communiqué publié à l’issue de la réunion de son bureau politique le weekend dernier. USFP : quatre anciens dirigeants appellent à un nouveau leadership du parti Sortie affaiblie des dernières législatives, l’Union socialiste des forces populaires (USFP) n’est toujours pas au bout de ses peines. Un groupe de quatre anciens dirigeants du parti a rendu public un communiqué incisif samedi dernier où ils attaquent vertement le premier secrétaire général, Driss Lachgar, sur fond des irrégularités révélées par le dernier rapport de la Cour des comptes. Le groupe appelle à un nouveau leadership au sein de l’USFP et demande une gouvernance transparente des affaires du parti. Dans ce document, l’ USFP indique que l’opposition poursuit son action pour créer les conditions nécessaires pour déposer une motion de censure, en dépit des incertitudes quant à son aboutissement. «Le parti est conscient que l’initiative a très peu de chance d’aboutir à atteindre son objectif initial, à savoir renverser le gouvernement, en raison de la supériorité numérique de la majorité parlementaire. Car il faudra la signature de 79 députés pour que cette initiative soit validée et ensuite un vote à la majorité absolue pour qu’elle soit adoptée. Mais l’USFP souhaite mener son action jusqu’au bout car il considère que c’est la seule voie qui reste pour faire entendre la voix de l’opposition et contrer l’hégémonie de la majorité», explique le parti dans un communiqué rendu public. Le même document précise que «l’opposition cherche à travers cette initiative à restaurer la culture politique qui accorde à l’opposition le rôle qui lui échoit en tant que force de proposition et de plaidoirie censée défendre le caractère sacré des institutions constitutionnelles qui doivent être respectées. Elle tend également à institutionnaliser le dialogue autour des problématiques d’actualité, notamment les changements qui affectent le pouvoir d’achat des citoyens et menacent la stabilité institutionnelle, à un moment charnière de l’histoire du Royaume, comme cela s’est produit par le passé», note le parti. ‬‬ L’USFP espère par ailleurs, comme l’a souligné son SG lors de ses dernières sorties médiatiques, à travers cette future action, à faire entendre la voix de l’opposition et, à travers elle, la voix d’une large partie des Marocains au sein des institutions, notamment le Parlement, et «briser la tyrannie exercée par la majorité qui empêche la voix de l’opposition de s’exprimer». Le parti de la rose souhaiterait par ailleurs jeter la lumière sur les «dysfonctionnements» qui caractérisent la gestion gouvernementale de certains grands chantiers lancés par Sa Majesté le Roi, qu’il s’agisse des stratégies nationales de l’eau et des énergies vertes ou de l’État social, ou encore celles liées à l’énergie. Il espère en outre renforcer le front de l’opposition et son positionnement afin de proposer des alternatives réalistes et ambitieuses à celles proposées par la majorité, qui ne rate aucune occasion institutionnelle pour faire étalage de sa supériorité numérique. Il convient de rappeler que cette position exprimée par le bureau politique du parti s’inscrit en droite ligne avec les déclarations faites à plusieurs occasions par son secrétaire général qui a brandi à plusieurs reprises la menace du recours à la motion de censure en guise de protestation contre ce qu’il ne cesse de qualifier «d’hégémonisme» de la majorité gouvernementale et ses tentatives visant à perpétuer sa mainmise sur les institutions élues, aussi bien sur le plan national et régional que local.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc Digital 2030 : Ghita Mezzour revoit sa copie || subtitle : La ministre déléguée auprès du Chef du gouvernement chargée de la Transition numérique et de la Réforme administrative, Ghita Mezzour, a présenté un exposé actualisé sur « les orientations générales du développement numérique - Maroc digital 2030 », et ce, suite aux rencontres organisées avec les membres de la commission nationale pour le développement numérique. || body : Le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a présidé, mercredi 3 avril 2024 à Rabat, la deuxième réunion de la Commission nationale pour le développement numérique. Au cours de cette réunion, la ministre déléguée auprès du Chef du gouvernement chargée de la Transition numérique et de la Réforme administrative, Ghita Mezzour a présenté un exposé actualisé sur « les orientations générales du développement numérique - Maroc digital 2030 », et ce, suite aux rencontres organisées avec les membres de la commission en vue de collecter leurs propositions et avis afin de contribuer à l’enrichissement de la stratégie nationale pour le développement du numérique . Maroc digital 2030 et la zone franche de Kénitra au menu du Conseil de gouvernement Un Conseil de gouvernement se tiendra jeudi sous la présidence du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, indique un communiqué du Département du Chef du gouvernement. Cette stratégie entend permettre aux citoyennes et citoyens de bénéficier sur un pied d’égalité de prestations numériques, en veillant à ancrer les bonnes pratiques et accompagner l’administration publique dans le chantier de sa transition numérique . Elle vise également à ériger le Royaume en pays producteur de solutions numériques , à créer des opportunités d’emploi à travers l’attraction des investissements et à accompagner les jeunes talents dans le domaine du digital . Akhannouch a affirmé au cours de cette réunion que le gouvernement parie sur le renforcement de la digitalisation de l’Administration publique et sur le développement de l’ économie numérique , en droite ligne des Hautes Orientations Royales et conformément aux engagements du programme gouvernemental. Il a mis l’accent sur l’attachement du gouvernement à mettre en œuvre le chantier de la transition numérique de manière optimale, eu égard à son rôle important dans l’amélioration de la qualité des prestations des services publics , dans la création de richesses et dans le développement économique. Cette réunion a été l’occasion de rappeler les deux axes fondamentaux de cette feuille de route : La digitalisation des services publics : qui vise à accélérer la cadence de numérisation des services publics en veillant à leur qualité, à travers une méthodologie centrée autour de l’usager, qu’il soit citoyen ou entreprise. L’injection d’une dynamique nouvelle dans l’économie numérique en vue de développer des solutions numériques marocaines et créer de la valeur et des emplois. Ce pilier s’articule autour de trois principaux axes que sont : le développement du secteur de l’offshoring, l’édification d’un écosystème dédié aux entreprises en développement et l’accompagnement de la digitalisation des petites et moyennes entreprises. Ont pris part aux travaux de cette deuxième réunion, les membres du gouvernement , ainsi que les membres de la commission, représentants des secteurs public et privé, représentants des corps professionnels et experts.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara : La diplomatie marocaine rappelle à Di Mistura les trois constantes de la position du Royaume || subtitle : Nasser Bourita, a eu, jeudi à Rabat, des entretiens avec l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara marocain, Staffan de Mistura. Ces entretiens se sont déroulés en présence de l’Ambassadeur, Représentant Permanent du Royaume du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale. || body : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita , a eu, jeudi à Rabat, des entretiens avec l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara marocain , Staffan de Mistura . Sahara : Un nouveau test à plusieurs dimensions devant le conseil de sécurité Le programme du Conseil de sécurité pour ce mois d’avril prévoit des consultations sur la question du Sahara marocain. Comme il est d’usage pour cette séance qui se tiendra mardi 16 avril, il s’agira pour l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, Staffan de Mistura, ainsi que du Représentant personnel du Secrétaire général et chef de la Minurso, Alexander Ivanko, de présenter leurs briefings au membres du Conseil de sécurité. Ces entretiens se sont déroulés dans une atmosphère empreinte de franchise et un esprit positif et constructif, en présence de l’Ambassadeur, Représentant Permanent du Royaume du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale , indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Ce déplacement s’inscrit dans le cadre d’une tournée régionale auprès des parties citées par la résolution 2703 du Conseil de Sécurité , en vue de relancer le processus politique des tables rondes avec la participation du Maroc , de l’ Algérie , de la Mauritanie et du "polisario" , en tant que seul cadre défini par les résolutions du Conseil de Sécurité pour parvenir à une solution politique réaliste, pragmatique, durable et basée sur le compromis. A cette occasion, souligne le communiqué, la délégation marocaine a rappelé les constantes de la position du Maroc, réaffirmées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI , que Dieu L’assiste, au Secrétaire Général des Nations Unies , à savoir : 1. Pas de processus en dehors du cadre des tables rondes défini par l’ONU, avec la pleine participation de l’Algérie ; 2. Pas de solution en dehors de l’Initiative Marocaine d’Autonomie ; 3. Pas de processus sérieux, au moment où le cessez-le-feu est violé quotidiennement par les milices du "polisario".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-France : Les relations bilatérales vouées à "un avenir fort et fructueux" (Riester) || subtitle : Les relations entre le Maroc et la France sont vouées à "un avenir aussi fort et fructueux que notre passé commun", a affirmé jeudi à Casablanca le ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger, Franck Riester. || body : S’exprimant lors de la cérémonie officielle de renouvellement par Business France de la Concession de service public (CSP) " Team France Export " pour la Chambre Française de Commerce et d'Industrie du Maroc (CFCIM), M. Riester a indiqué que "la dimension économique et commerciale est absolument un élément clé dans cette amitié et ce partenariat si fort entre le Maroc et la France". Entretiens entre Ryad Mezzour et Franck Riester, ministre français du Commerce extérieur La promotion de la coopération économique et commerciale entre le Maroc et la France a été au centre d’entretiens, jeudi à Rabat, entre le ministre de l’Industrie et du commerce, Ryad Mezzour, et le ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l’attractivité, de la francophonie et des Français de l’étranger, Franck Riester. Il a souligné que le momentum des relations entre les deux pays est "très particulier car nous traversons ensemble une période où nous faisons face à des défis considérables, et nous devons plus que jamais travailler ensemble pour les relever". Dans ce sens, M. Riester a mis l’accent sur l’importance d’œuvrer de concert sur les questions charnières relatives au réchauffement climatique , à la transition écologique et à la transition numérique , dans un monde instable, avec la nécessité de renouveler, refonder, solidifier et sécuriser les chaînes de valeur, notant que "les deux pays ont des intérêts considérables sur lesquels il faut absolument mobiliser toutes les énergies”. "Tant de défis sont devant nous dans des secteurs d'activité clés à l’instar de l'aéronautique, de l'automobile et du transport ferroviaire", a-t-il fait observer, estimant que la coopération bilatérale peut être développée davantage dans d’autres secteurs, notamment la santé, l'agriculture et l'agrobusiness plus largement ainsi que les nouvelles technologies. "Nous relèverons tous ces défis avec l’implication de l’ensemble des acteurs de l’écosystème économique des deux pays (...) Et c'est tous ensemble que nous pourrons atteindre nos objectifs dans l'avenir”, a soutenu le ministre. Ont pris part à cette rencontre au siège de la CFCIM, l’Ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier , la présidente de la CFCIM, Claudia Gaudiau-Francisco , le directeur général de Business France, Laurent Saint-Martin , la directrice développement export Bpifrance, Marie-Albane Prieur , le président des Chambres de Commerce et d'industrie françaises à l'international (CCIFI), Arnaud Vaissié , et de nombreux représentants des institutions marocaines partenaires de la CFCIM.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aïd El Fitr: la NARSA appelle à davantage de vigilance sur les routes || subtitle : L'Agence nationale de la sécurité routière (NARSA) appelle les usagers de la route à prendre toutes les précautions de sécurité nécessaires pendant les vacances de l'Aïd El Fitr, soulignant la nécessité de redoubler de prudence et de vigilance en raison des intempéries. || body : "A l'occasion de l'Aïd El Fitr, qui coïncide avec les vacances exceptionnelles dans les administrations de l’État et des collectivités territoriales ainsi que dans les établissements d'enseignement et suite au bulletin d'alerte météorologique, émis par la Direction générale de la météorologie et prévoyant de fortes rafales de vent avec chasse-poussières dans plusieurs provinces du Royaume du lundi 02 avril au vendredi prochain, la NARSA appelle tous les usagers de la route à prendre toutes les précautions et mesures nécessaires pour assurer les conditions de prévention et de sécurité routière en prévision du trafic intense qui marque cette période dans les différents axes du réseau routier national, soulignant la nécessité de redoubler de prudence et de vigilance en raison de la faible visibilité, voire son absence, dans ces conditions météorologiques", a indiqué l'agence dans un communiqué. En raison de la forte demande de transports publics pour les voyageurs entre les villes, la NARSA exhorte tous les passagers à mettre la ceinture de sécurité, afin de préserver leur sécurité, et de respecter toutes les conditions et exigences de sécurité routière tout au long du voyage. Les conducteurs de tous types de véhicules, en particulier les conducteurs de voitures particulières et les conducteurs professionnels de taxis, d'autocars de transport public et de marchandises, sont appelés à respecter le Code de la route et à faire preuve de davantage de vigilance, de prudence et d'indulgence lors des déplacements. Les voyageurs sont, également, invités à soumettre leurs véhicules à l'entretien mécanique et à un examen technique minutieux des systèmes de sécurité avant de prendre la route afin de s'assurer de leur bon fonctionnement, notamment les pneus, les phares, le dispositif de freinage, les amortisseurs et les essuie-glaces. Elle recommande aussi aux conducteurs de s'accorder des moments de repos, avertissant que la fatigue peut causer des problèmes de concentration et affecter leur capacité à évaluer les distances, la vitesse et la réactivité au volant. Les voyageurs sont également invités à préparer leur voyage en définissant au préalable leurs itinéraires pour éviter toute mauvaise surprise ou dangers potentiels, de disposer et de relier les bagages de façon sûre sans surcharger le véhicule, en particulier pour les chauffeurs de transport de marchandises et de transport public de voyageurs, car cela représente un danger pour la sécurité des autres usagers de la route, ajoute le communiqué. Au volant, la NARSA incite les conducteurs à réduire leur vitesse et à l'adapter aux conditions climatiques et de trafic, à observer le Code de la route notamment au niveau des virages, pentes et routes escarpées et à garder la distance de sécurité à l'intérieur et à l'extérieur du périmètre urbain, surtout sur les routes nationales et les autoroutes, en faisant preuve de prudence lors des dépassements et en doublant de vigilance pendant la nuit. La NARSA insiste, dans ce cadre, que les enfants âgés de moins de dix ans doivent occuper les sièges arrière, avec l'obligation de mettre la ceinture de sécurité, que ce soit pour les passagers avant ou arrière, ou encore les passagers d'autocars de transport public, et d’éviter de rouler en file. La même source met l'accent sur la nécessité de respecter les règles de dépassement et d'arrêt et d'éviter les manœuvres brusques. L'agence appelle également tous les usagers de la route dans le périmètre urbain, en particulier les motocyclistes, à respecter le Code de la route et les règles de la circulation, notamment les limites de vitesse, les signalisations et le port de casque répondant aux normes de sécurité et de sûreté, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Rachid Talbi Alami réélu président de la Chambre des représentants || subtitle : Rachid Talbi Alami du Rassemblement National des Indépendants (RNI) a été réélu vendredi à la tête de la Chambre des représentants avec 264 voix contre 23 pour le candidat du Parti Justice et Développement (PJD), Abdellah Bouanou. || body : Sans surprise, Rachid Talbi Alami , candidat du RNI , a conservé son poste à la tête de la Chambre des représentants . Dans un face à face avec le président du groupement parlementaire du PJD , Abdellah Bouanou , l’actuel président de la Chambre s’est adjugé le vote de 264 parlementaires contre 23 seulement pour son adversaire. À l’issue de cette séance de vote, quelque 37 voix ont été annulées a annoncé le parlementaire du Parti de l’Istiqlal (PI), Hamdi Ould Rachid , qui présidait exceptionnellement cette séance en sa qualité de membre le plus âgé. Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. Intervenant à cette occasion, le parlementaire du PJD, Abdessamad Haikar , a exigé l’annulation des voix exprimées en langue française. Selon le parlementaire de l’opposition, le vote doit se faire dans les deux langues nationales, à savoir l’arabe et l’amazigh. «Un précédent avait eu lieu en 2013», a assuré le parlementaire qui a rappelé que ces voix avaient été annulées à l’époque. «Les 10 voix en question ne vont pas changer l’issue de ces élections, mais leur annulation est une victoire pour nous tous», a-t-il soutenu. Prenant la parole après l’annonce des résultats, «l’ancien-nouveau» président de la Chambre des représentants a tenu, de son coté, à remercier les parlementaires de la majorité et de l’opposition, rappelant dans ce sens qu’il est le président de l’ensemble de la Chambre, comme le stipulent la Constitution et le règlement intérieur de la Chambre. À rappeler que cette session, dont les travaux se sont officiellement ouverts vendredi, sera marquée par d’importantes échéances de contrôle et d’évaluation. En effet, le Chef du gouvernement sera invité à présenter le bilan d’étape de l’action gouvernementale devant le Parlement en vertu des dispositions de l’article 101 de la Constitution, ce qui constitue un momentum politique et constitutionnel exceptionnel et un exercice démocratique et de communication durant cette session qui reflète la maturité de la pratique parlementaire marocaine et l’interaction constructive entre les pouvoirs exécutif et législatif. Il s’agit également d’une opportunité pour informer l’opinion publique nationale des réalisations du gouvernement et du degré de satisfaction des engagements contenus dans le programme gouvernemental, en tant que base contractuelle avec les citoyens. En ce qui concerne le volet législatif, la session parlementaire d’avril planchera sur des textes à caractère prioritaire qui feront assurément l’objet d’un large débat sociétal, en particulier la réforme du Code de la famille , les lois liées au système judiciaire ainsi que le projet de loi organique déterminant les conditions et les modalités de l'exercice du droit de grève .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Fake news : le Maroc aura son Observatoire de lutte contre la diffamation et l'extorsion || subtitle : L'annonce de la création de l'Observatoire marocain de lutte contre la diffamation et l'extorsion a été faite lors d’une conférence organisée, samedi soir à Rabat, par le site d’information "Barlamane.com". L'Observatoire ambitionne de contrecarrer les "fake news" qui sont susceptibles de porter atteinte aux individus et aux institutions nationales. || body : Tenue sous le thème "La diffamation et les causes nationales justes, de la contrainte à l'opportunité", cette conférence a vu la participation du ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid et d'un parterre de chercheurs , de juristes et de personnalités de divers horizons. >> Lire aussi : Diffamation en ligne : le nouveau code pénal prévoit des sanctions sévères (Ouahbi) L' Observatoire marocain de lutte contre la diffamation et l'extorsion se chargera du traitement des questions en lien avec ces deux phénomènes à l’échelle nationale et de la détection des pratiques qui visent à porter atteinte aux causes nationales justes. Dans ce cadre, Karima Sellam , présidente du comité préparatoire de l' Observatoire , a indiqué que cette nouvelle structure vise à détecter et assurer le suivi des pratiques de diffamation et des opérations d'extorsion , ainsi que des contrevérités qui visent à porter atteinte aux causes nationales justes, à leur tête la question de l' intégrité territoriale du Royaume . Dans une déclaration à la MAP, Mme Sellam, avocate au Barreau de Casablanca , a fait savoir que l'Observatoire marocain de lutte contre la diffamation et l'extorsion ambitionne de contrecarrer les " fake news " qui sont susceptibles de porter atteinte aux individus et aux institutions nationales et de déprécier les efforts consentis par le Maroc et les réalisations qu’il accomplit dans divers domaines. Et d'ajouter que le phénomène de la diffamation importune le destinataire en raison de ses effets négatifs, notant que cette question a gagné davantage d’acuité dans le sillage de la révolution numérique et de la facilité de l’accès au monde virtuel .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Conseil de gouvernement : Six nouvelles nominations à de hautes fonctions || subtitle : Le Conseil de gouvernement, réuni jeudi 4 avril 2024, sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, a approuvé des propositions de nomination à de hautes fonctions, conformément à l'article 92 de la Constitution. || body : Conseil de gouvernement : Cinq nouvelles nominations à de hautes fonctions Le Conseil de gouvernement, réuni jeudi sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, a approuvé des propositions de nomination à de hautes fonctions, conformément à l'article 92 de la Constitution. Il a été procédé aux nominations suivantes : Au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation : Mohammed Bellachhab , Doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Béni Mellal. Ahmed Barakat , Doyen de la Faculté des sciences et techniques de Béni Mellal. Au niveau du ministère de la Transition énergétique et du Développement durable : Abderaouf Benabbou , Directeur des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Bouzekri Razi , Directeur de l'évaluation et du contrôle environnementaux et des affaires juridiques. Au niveau du ministère de la Solidarité, de l'Insertion Sociale et de la Famille : Hicham Belmaati , Directeur de l'Institut national de l'action sociale. Au niveau du ministère délégué chargé de la Transition numérique et de la Réforme de l'administration : Karima Khaldoun , Directrice du développement de l'utilisation de la langue amazighe.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : L'INDH va collecter des données sur les familles avec le soutien de l'ONDH || subtitle : La Coordination nationale de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) et l’Observatoire national de développement humain (ONDH) ont signé, jeudi au siège du ministère de l’Intérieur, une convention de partenariat et de coopération pour la collecte des données sur les familles au niveau territorial. || body : Signée par le wali-coordinateur national de l’INDH et le président de l’ONDH, cette convention vise à accompagner les instances de gouvernance de l’INDH au niveau territorial pour la collecte et le stockage des données sur les familles, indique un communiqué des deux parties signataires. Comment le Maroc a gagné trois places dans l’Indice de développement humain (Otmane Gair) Dans un entretien accordé au «Matin», Otmane Gair, président de l’Observatoire national du développement humain (ONDH), analyse les facteurs derrière la performance exceptionnelle du Maroc, qui a non seulement grimpé de trois rangs dans l’Indice de développement humain (IDH), mais a également surpassé la moyenne régionale. M. Gair explique comment le chantier de l’État social, initié sous l’impulsion Royale, permettra au Maroc d’aller plus loin dans des domaines clés tels que la santé, l’éducation et la protection sociale. Pour cet expert, ces réformes «constituent l’investissement le plus rentable pour notre pays» dans sa quête d’un développement humain durable et inclusif. Ces données concernent notamment le volet démographique et de santé des familles, ainsi que les personnes en situation de précarité, ajoute la même source, précisant qu’elles englobent aussi les aspects relatifs à l’enseignement des enfants, à la situation professionnelle et aux pratiques alimentaires des familles. Elles seront collectées à travers la réalisation d’études de terrain au niveau des circonscriptions administratives des régions cibles, en se basant sur des échantillons représentatifs de quelque 35.000 familles et leur stockage dans le système informatique de l’INDH, dans la perspective de doter la Plateforme numérique nationale d’aide à la décision (PNAD) de données collectées après leur traitement. Cette convention-cadre sera mise en œuvre au niveau territorial à travers des conventions spécifiques qui seront signées entre les comités régionaux de développement humain, présidés par les walis et l’ONDH. Ce partenariat entre l’INDH et l’ONDH traduit la volonté des deux parties de mobiliser tous les moyens disponibles, dans le cadre de leurs attributions, pour contribuer efficacement au projet de développement, mené sous la leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Permis de conduire : rétablissement progressif du taux de réussite aux examens || subtitle : Les taux de réussite aux examens du permis de conduire retrouvent leurs niveaux d'avant le lancement de la nouvelle banque de questions. Ce système avait connu quelques problèmes techniques. Résultat : le taux d'échec s'était envolé au premier jour. || body : Le taux de réussite des candidats pour l’obtention du permis de conduire a connu une évolution «positive et notable» au quatrième jour de la mise en œuvre de la nouvelle banque de questions, avec une hausse de 36% par rapport aux résultats du troisième jour, a annoncé jeudi l’Agence nationale de la sécurité routière (Narsa). «Les données concernant le quatrième jour de mise en œuvre de ce chantier de réforme important démontrent une évolution positive et notable du taux de réussite des candidats, atteignant au niveau national 54,41%, soit une augmentation de 36% par rapport aux résultats du mercredi 27 mars 2024», a indiqué la NARSA dans un communiqué. Permis de conduire : les candidats qui ont raté l'examen théorique le 25 mars ne seront pas pénalisés (Abdeljalil) Les candidats ayant raté l'examen théorique du permis de conduire le premier jour de l'entrée en vigueur du nouveau système ne seront pas pénalisés. C'est ce qu'a assuré le ministre du Transport et de la logistique, Mohamed Abdeljalil. Pa régions, le taux de réussite a atteint 71,43% à Draâ-Tafilalet, 63% à l’Oriental, 57,89% à Rabat-Salé-Kénitra, 55,72% à Marrakech-Safi, 54,34% à Tétouan-Tanger-Al Hoceïma, 53,46% à Casablanca Settat, 53,42% à Béni Mellal-Khénifra, 52,76% à Souss-Massa et 51,20% à Fès-Meknès, a précisé la même source. Les examens du permis de conduire n’ont pas été programmés dans les régions de Laâyoune-Sakia El Hamra, Dakhla-Oued Eddahab et Guelmim-Oued Noun, faute de candidats enregistrés au titre de cette journée, d’après le communiqué. Taux d'échec élevé à l'examen du permis de conduire : Mise au point de la NARSA L'Agence Nationale de la Sécurité Routière (NARSA) a réagi face à la polémique sur l'envolée des cas d'échec à l'examen du permis de conduire ainsi que la nature des questions introduites dans le nouveau système. Contrairement aux réclamations des candidats et des auto-écoles, l'Agence affirme qu'il y a eu une nette amélioration du taux de réussite entre le premier et le deuxième jour de l'épreuve. À travers l’analyse des données sur la plateforme de formation «Perminou», plus de 27.000 accès de candidats ont été enregistrés afin d’utiliser cette plateforme, suivre des formations ou faire des tests «Quiz», a relevé la Narsa, faisant état d’environ 50.000 tests. Ces données révèlent également que les établissements d’enseignement de la conduite, «un partenaire essentiel dans cet important chantier de réforme», ont considérablement accompagné les candidats durant ces derniers jours, afin de leur inculquer les connaissances nécessaires pour passer l’examen d’obtention du permis de conduire, a souligné la même source. En application de l’intervention du ministre du Transport et de la logistique lors du point de presse tenu à l’issue de la réunion du Conseil du gouvernement du 28 mars, au cours de laquelle une nouvelle chance a été accordée aux candidats ayant échoué à l’épreuve théorique du lundi 25 mars 2024, date du premier jour de l’entrée en vigueur de la nouvelle banque des questions, la Narsa assure qu’elle prendra les mesures et les procédures nécessaires et réunira toutes les conditions afin de mettre en œuvre cette décision.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aïd Al Fitr célébré mercredi 10 avril au Maroc || subtitle : Aïd Al Fitr sera célébré au Maroc, mercredi 10 avril, a annoncé le ministère des Habous et des Affaires islamiques. || body : Aïd Al Fitr 1445 de l'Hégire sera célébré demain mercredi 10 avril 2024 dans le Royaume, a annoncé mardi soir le ministère des Habous et des Affaires islamiques. Dans un communiqué, le ministère précise avoir procédé à l'observation, après la prière d'Al Maghrib, mardi 29 Ramadan 1445 de l'Hégire correspondant au 09 avril 2024, et a confirmé l'observation du croissant lunaire annonçant le début du mois de Chaoual 1445 H. Le premier jour de Chaoual 1445 H, Aïd Al-Fitr, aura donc lieu demain mercredi 10 avril 2024, précise le ministère. Puisse Dieu en ce mois béni, combler de Ses faveurs SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L'assiste, et renouveler pareille occasion pour SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, SAR le Prince Moulay Rachid et l'ensemble des membres de l’illustre Famille Royale et pour le peuple marocain et l’ensemble de la Oumma islamique dans le progrès et la prospérité, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les incontournables du développement du Maroc à l'horizon 2030 (Mehdi Alioua) || subtitle : 2030, c’est déjà demain et beaucoup reste à faire ! Quelles dynamiques pour franchir un nouveau palier de développement et atteindre les objectifs fixés pour cet horizon ? On a posé la question au sociologue Mehdi Alioua et voici ce qu’il en pense. || body : L’implication du citoyen est l’un des paramètres essentiels dans l’équation du développement, soutient le sociologue Mehdi Alioua . Invité à livrer son point de vue à l’émission «L’Info En Face» , celui-ci a rappelé qu’il y a une forte corrélation entre le développement socioéconomique et la démocratie participative . Pour lui, il n’y a pas de développement possible sans associer la population et toutes les forces vives aux décisions qui les concernent et qui correspondent aux besoins réels du pays et de son avenir. Or au Maroc , l’implication des citoyens dans la prise de décision demeure encore limitée, et ce en dépit des efforts déployés à ce jour. «Il est vrai que cela se fait de plus en plus, mais cela reste largement insuffisant», regrette-t-il. D’ailleurs, s’étonne-t-il, le terme «démocratie» a pratiquement disparu du débat public ces dernières années ! «J’exagère un peu, mais si on fait l’exercice de chercher dans les médias sur les cinq à sept dernières années, le mot démocratie n’apparaît pratiquement nulle part. Pourtant, le projet de société porté par la Constitution de 2011 avait lancé un élan assez important, celui de construire une démocratie à la marocaine», fait remarquer le sociologue, qui est également enseignant-chercheur à l’Université internationale de Rabat (UIR). Cet élan devait aboutir à un modèle démocratique particulier adapté aux réalités nationales. L’attentisme de la société, ennemi du développement Dans cette démocratie à la marocaine , l’enjeu est de définir un contrat social à même de répondre aux nouveaux enjeux de développement . Le contrat social, rappelons-le, défend le principe de souveraineté du peuple basé sur la liberté, l’égalité et la notion de volonté générale. «C’est une question fondamentale. Dans le contrat social, on implique les citoyens. En fait, les citoyens s’auto-impliquent même dans des rapports de force, souvent dans des conflits, pour essayer de faire valoir à la fois leur droit à la dignité, leur volonté d’exister, d’être présents et d’être écoutés», affirme le sociologue. «Quand le citoyen a l’impression qu’il n’est pas écouté, il n’a plus envie de s’exprimer. Cela touche l’esprit d’initiative, la volonté d’entreprendre... In fine, cela touche directement l’aspect économique», poursuit-il. Concernant ce point en particulier, le chercheur estime que le dynamisme de la société marocaine s’est un peu essoufflé parce que les citoyens ont l’impression de ne plus être vraiment écoutés. «En fait, la parole, ce n’est pas qu’elle est moins libre, elle est juste plus attentiste. Le Maroc a de grands chantiers qui devraient être mobilisateurs : le modèle de développement, l’État social..., mais on a l’impression d’être une société attentiste», signale M. Alioua. «Tout cela pour dire que la premier levier pour enclencher cette dynamique de développement est d’impliquer les citoyens pour qu’ils se sentent vraiment acteurs, qu’ils prennent part à la co-construction de ce qu’on appelle l’action sociale», plaide-t-il. «Pour revenir à ces notions de démocratie et de contrat social, ce sont des sujets sur lesquels nous n’arrivons pas à débattre suffisamment. Principalement en raison des raccourcis idéologiques (occidentalisation vs islamisation) qui rendent tout débat stérile. Cela fait plus de 10 ans qu’on n’arrive pas à en sortir ! Pourtant, il ne s’agit pas de copier d’autres pays dans un sens ou dans l’autre. C’est pour cela qu’il nous faut une démocratie à la marocaine», insiste le sociologue. Démocratie à la marocaine : les partis politiques n’ont pas joué le jeu Sur cette question de démocratie, M. Alioua relève que le Maroc a fait de grands pas en matière de liberté d’expression. Aujourd’hui, souligne-t-il, on peut dire que la parole s’est libérée et que les citoyens s’expriment de plus en plus librement sur différentes questions. «Pas exactement comme dans certaines démocraties libérales, mais il s’agit tout de même d’une évolution assez forte, même s’il existe toujours des tensions», précise le chercheur. Par contre, relève-t-il, ce sont les partis politiques qui n’ont pas mis la démocratie au centre de leurs enjeux. «Pourquoi les partis politiques ne portent pas haut la démocratie ? Tout simplement parce que ce n’est pas leur projet politique. Les formations qui ont été aux commandes au cours des 14 dernières années n’ont pas mis la démocratie au centre de leurs enjeux. Que ce soit le PJD qui a une vision populiste de la démocratie ou le RNI qui porte un projet dans lequel cette question n’est pas très présente», explique M. Alioua. «Ce n’est pas une critique. Je ne dis pas qu’ils ont tort, j’essaie juste d’analyser les données en toute neutralité. Le projet du parti qui est aujourd’hui à la tête du gouvernement, par exemple, est basé sur autre chose que la volonté démocratique», tient-il à préciser. «C’est le travail des partis politiques, mais aussi des syndicats et de la société civile. Sans l’État qui doit mettre en œuvre des politiques éducatives susceptibles de remuer cette société, et d’être un peu moins dans la volonté de tout diriger, de tout gérer, que ce soit à l’échelle nationale ou locale», ajoute-t-il. Nabila Mounib : la femme marocaine a besoin de l’Etat social plus que de la réforme de la Moudawana Un gouvernement doit travailler à éradiquer l’analphabétisme et à trouver du travail pour les femmes et les hommes aussi. Et un gouvernement doit faire tout pour évoluer vers ce qu’il a annoncé. C’est l’avis de l’ancienne secrétaire générale du Parti socialiste unifié, Nabila Mounib, qui estime que les femmes ont besoin de plus que de la réforme de la Moudawana, bien que cette réforme soit importante. La Moudawana comme moteur de développement : il faut libérer les femmes ! Mehdi Alioua affirme aussi que la révision du Code de la famille est un autre enjeu de développement qui va conditionner les évolutions des prochaines années. Le chercheur signale que le Maroc peine toujours à améliorer son score dans les classements internationaux, en dépit de ses efforts pour lutter contre les inégalités sociales de manière générale. «La dépendance des femmes vis-à-vis des hommes crée des situations attentatoires à la dignité humaine, et pèse sur le développement social et le développement économique du pays. Les femmes sont attachées complètement à la tutelle masculine de différentes manières, souvent déguisées. Cela empêche le pays de décoller et la société d’assumer réellement la transformation en cours», alerte le sociologue. «Il faut libérer les femmes ! Autrement, on enchaîne la moitié du pays ! On ne développe pas un pays qu’avec la moitié de la population !» martèle-t-il. Il convient de souligner que la révision de la Moudawana , avec les transformations qu’elle va apporter dans son sillage, a déclenché d’intenses débats, particulièrement sur les réseaux sociaux, devenus aujourd’hui de nouveaux espaces publics où s’exerce bien la libre expression. Même s’il y a des abus. À travers ces débats, on peut constater que cette société, qu’on encourage à prendre la parole, est assez divisée sur la question, voire fracturée. Cela va même jusqu’à la violence. Or, note l’expert, la liberté d’expression n’est pas sans limites, même en démocratie libérale. «Tout le monde ne peut pas dire ce qu’il veut, comme il veut ! Ce n’est pas de la démocratie ! En démocratie, il y a des droits, notamment en termes de liberté en général, mais il y a aussi des devoirs !», s’indigne l’enseignant-chercheur. «Il faut bien des arbitres. Et pour l’instant, nous n’avons pas de meilleur arbitre que l’État. Et puis un État fort pour un État social, c’est le modèle de développement choisi par le Maroc, dans lequel il faut à tout prix intégrer la question démocratique et faire bouger les bases pour impulser le développement», lance-t-il.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-UE : Nasser Bourita s'entretient avec Josep Borrell || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita a eu, le 03 avril 2024, un entretien téléphonique avec le Haut Représentant de l'Union Européenne pour les Affaires Etrangères et la Politique de Sécurité, Vice-Président de la Commission Européenne, Josep Borrell. || body : Nasser Bourita a eu mercredi un entretien téléphonique avec Josep Borrell . A cette occasion, Borell a affirmé que le partenariat liant le Maroc et l’Union européenne est plus important que jamais dans le contexte géopolitique actuel. >> Lire aussi : Maroc-UE : L’accord de pêche demeure en vigueur (Communiqué conjoint) "Nous avons discuté de la façon de donner un nouvel élan au partenariat UE-Maroc , plus important que jamais dans le contexte géopolitique actuel", a indiqué le chef de la diplomatie européenne . Bourita et Borrell ont également échangé autour de plusieurs questions bilatérales et régionales. Une référence dans la politique de voisinage de l’UE , Rabat et Bruxelles sont liés par un partenariat stratégique construit sur un socle solide de valeurs et de vision. Le Maroc et l'UE, rappelle-t-on, avaient lancé le 27 juin 2019 à Bruxelles le " Partenariat euro-marocain de prospérité partagée ", un cadre statutaire qui régit les relations bilatérales axé autour de quatre espaces structurants. Il s’agit d’un espace de convergence des valeurs, un espace de convergence économique et de cohésion sociale , un espace de connaissances partagées et un espace de concertation politique et de coopération accrue en matière de sécurité, et deux axes fondamentaux à caractère horizontal, qui feront aussi l'objet d'actions opérationnelles spécifiques, à savoir une coopération en matière d’environnement et de lutte contre le changement climatique et une coopération en matière de mobilité et de migration, qui se renforceront mutuellement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Entretien téléphonique entre Nasser Bourita et son homologue yéménite || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a eu, mercredi, un entretien téléphonique avec le ministre yéménite des Affaires étrangères et des Expatriés, Shaya Zindani, à l’occasion de sa nomination à la tête de la diplomatie de la République du Yémen. || body : Le ministère yéménite, a indiqué sur son compte X que le ministre Nasser Bourita a exprimé ses vœux de plein succès à M. Zindani dans ses nouvelles fonctions, et de davantage de progrès et de prospérité pour les relations fraternelles entre les deux pays. Il a également fait part de sa volonté d'œuvrer de concert avec son homologue yéménite en vue de hisser les relations bilatérales vers des horizons plus larges. Le Maroc soutient le Conseil de direction présidentiel du Yémen dans l'espoir qu'il sert de locomotive pour assurer la stabilité du pays (Bourita) Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a indiqué, mardi à Marrakech, que le Maroc soutient clairement le Conseil de direction présidentiel du Yémen, tout en émettant le vœu que ce Conseil s'acquitte du rôle de locomotive à même d'assurer la stabilité du pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Cinq ministres français en visite au Maroc au cours de ce mois || subtitle : Cinq ministres français se rendront au Maroc durant ce mois d'avril. Le ministre français de l’Agriculture, Marc Fesneau, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin et le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, figurent dans la liste des visites officielles. || body : Selon des sources diplomatiques citées par l’agence de presse espagnole EFE, après la visite confirmée du ministre délégué du Commerce extérieur , Franck Riester , qui aura lieu jeudi et vendredi prochains, le ministre français de l'Agriculture, Marc Fesneau , se rendra au Maroc, pour participer au Salon international de l'Agriculture (SIAM) qui se tiendra du 22 au 28 avril à Meknès. Maroc-France : le processus de reconstruction sera progressif et de long terme Après plus d’un an de brouille diplomatique ayant conduit à une crise ouverte entre Paris et Rabat, la France et le Maroc amorcent, progressivement et prudemment, un rapprochement qui se veut annonciateur d’un partenariat de long terme. La visite à Rabat, lundi dernier, du ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, a permis de poser les premiers jalons d’une nouvelle relation apaisée, mais prenant en compte l’évolution du Royaume aussi bien sur le plan national qu’international. S’il faut du temps pour panser les plaies, les deux parties affichent une volonté sincère de rétablir la confiance. Pour sa part, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire , devrait effectuer une visite officielle entre le 26 et le 28 avril, en vue de participer au forum d'investissement Maroc-France aux côtés de plusieurs responsables et hommes d'affaires des deux pays. Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin , et la ministre de la Culture, Rachida Dati , sont également attendus à partir de la troisième semaine du mois d’avril. Rappelons qu’en février 2024, le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné , s'est rendu à Rabat où il a rencontré son homologue marocain, Nasser Bourita , lors d'une visite qui a marqué l'ouverture d'un « nouveau chapitre » dans les relations entre les deux pays. Séjourné avait également réitéré le soutien "clair et constant" de Paris au plan d'autonomie marocain du Sahara , assurant vouloir progresser sur ce dossier.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Carburants : les pétroliers se sont fait 1,12 DH/L de marge brute pour le gasoil au 2e semestre de 2023 || subtitle : Le Conseil de la concurrence a dévoilé vendredi son Reporting relatif au suivi des engagements pris par les sociétés de distribution en gros du gasoil et de l’essence dans le cadre des accords transactionnels conclus avec neuf entreprises du secteur. Affirmant que la variation des cotations à l’international n’impacte pas systématiquement les prix de vente sur le marché national, le Conseil fait état, dans son rapport, d’une hausse de près de 3,75% des ventes en 2023, ainsi que d’une baisse significative des importations en termes de valeur. Le Conseil affirme également que la capacité de stockage a poursuivi son accroissement pour atteindre un total de 1,47 million de tonnes à fin décembre dernier. || body : Le niveau de corrélation entre la variation des prix de vente, des cotations à l’international et des coûts d’achat pondérés varie selon les produits (gasoil ou essence) et entre les périodes d’une même année, a affirmé, vendredi, le Conseil de la concurrence. Pour le gasoil, il existe une corrélation positive élevée entre la variation des cotations à l’international, les fluctuations des coûts d’achat et les variations des stocks, dans la mesure où le coefficient de corrélation avoisine les 0,88, aussi bien pour le rapport prix de vente/cotations que celui prix de vente/coût d’achat, précise le Conseil de la concurrence dans un Reporting relatif au suivi des engagements pris par les sociétés de distribution en gros du gasoil et de l’essence dans le cadre des accords transactionnels conclus avec le Conseil. Carburants : Ahmed Rahhou défend l’approche du Conseil de la concurrence Invité sur les plateaux de Medi1 TV, le président du Conseil de la concurrence, Ahmed Rahhou, est revenu une nouvelle fois sur la polémique suscitée par le verdict du Conseil sur les pratiques anticoncurrentielles dans le marché des hydrocarbures, rendu le 23 novembre dernier. Il a tenu à cet égard à rejeter quelques idées reçus et à défendre la pertinence et la philosophie de la décision de l’instance de régulation. Dans le même ordre d’idées, M. Rahhou a déclaré que le Conseil aurait désormais les neuf opérateurs sanctionnés à l’œil. «Nous leur avons donc demandé de nous fournir tous les trois mois les données sur leurs achats, stocks et ventes», a-t-il souligné. L’objectif, selon lui, est de voir si les fluctuations des prix à l’international sont répercutées au même rythme à la hausse comme à la baisse. Cependant pour l’essence, le niveau de corrélation reste relativement faible, du fait qu’il se situe à près de 0,62 pour le rapport prix de vente/cotations et 0,78 pour celui du prix de vente/coût d’achat, indique le Conseil, notant que ce niveau de corrélation varie entre les périodes d’une même année, vu que la répercussion des variations des cotations et des coûts d’achat pondérés sur les prix de vente au niveau national se fait, pour certaines périodes, à des cadences différenciées. En effet, il a été constaté durant ces périodes un décalage pour impacter ces variations, soit en lissant la répercussion de la hausse des coûts d’achat pondérés sur le prix de vente sur plusieurs périodes, soit en retardant l’application des variations sur le prix de vente en cas de baisse des cotations et du coût d’achat. Ce constat peut s’expliquer, d’une part, par l’effet stock qui oblige les opérateurs, en cas de baisse, à écouler le stock des carburants achetés auparavant à des prix plus élevés et, d’autre part, par des effets de rattrapage entre les périodes de hausse et de baisse. D’ailleurs, cette logique de rattrapage et de réajustement se confirme dans l’évolution des marges brutes, qui ont connu en 2023 deux périodes distinctes. D’un côté, le premier semestre de l’année, caractérisé par des niveaux de marges brutes faibles avec une moyenne de 0,40 DH/litre pour le gasoil et 1,10 DH/l pour l’essence. De l’autre, le deuxième semestre, où les opérateurs ont consolidé à titre de compensation leurs niveaux de marges brutes en appliquant des niveaux supérieurs à ceux du premier semestre, soit 1,12 DH/l pour le gasoil et 1,64 DH/l pour l’essence. Les ventes des carburants en hausse de près de 3,75% en 2023 Les ventes annuelles en gasoil et essence ont atteint près de 6,78 millions de tonnes, soit environ 8,12 milliards de litres en 2023, contre 6,53 millions de tonnes (environ 7,83 milliards de litres) en 2022, ce qui constitue un accroissement de près de 3,75%, fait savoir le Conseil de la concurrence. Pour les ventes en valeur, et à défaut de disponibilité des données sur le chiffre d’affaires global réalisé sur le marché de distribution tous opérateurs confondus, seul le chiffre d’affaires des neuf sociétés concernées, représentant près de 90% des importations globales et 83% des volumes vendus, est retenu, précise le Conseil. Le chiffre d’affaires total des neuf sociétés, réalisé dans le segment de la distribution du gasoil et de l’essence (hors carburant marin) s’élève à 79 milliards de dirhams (MMDH) en 2023 contre 85 MMDH en 2022, soit une baisse d’environ 7%. Dans le détail, l’analyse de la répartition des ventes en volume par segment de clientèle au titre de l’année 2023 permet de noter que le réseau des stations-service représente l’essentiel des ventes du gasoil et de l’essence des neuf sociétés concernées, avec une part moyenne pondérée de près de 75%, alors que le canal B to B s’adressant à des clients professionnels représente 25% du volume global vendu en gasoil et en essence sur le marché national. S’agissant de l’évolution du réseau de stations-service, il apparait que leur nombre total, à fin 2023, a atteint 3.350 stations, dont environ 75% sous l’enseigne des neuf opérateurs concernés, soit 2.491 stations-service. Baisse significative des importations en termes de valeur en 2023 Au cours des deux dernières années, les importations de gasoil et d’essence ont enregistré une baisse significative de 21,5% en termes de valeur, passant de 66,3 milliards de dirhams en 2022 à près de 52,7 MMDH en 2023, malgré un volume d’importation presque stable, selon les données du Conseil. Cette baisse est attribuable à la chute des prix des carburants raffinés sur le marché international, en particulier ceux du gasoil, qui reste le carburant le plus dominant dans les importations marocaines, représentant près de 90%, comme l’a expliqué le Conseil de la concurrence dans son Reporting. En ce qui concerne les recettes de la Taxe intérieure de consommation (TIC), ces deux carburants ont généré environ 18,34 MMDH pour le budget de l’État en 2023, contre 18,42 MMDH en 2022, soit une légère baisse de 0,4% (-78,6 millions de dirhams), précise le Conseil. Les recettes de la TVA ont également diminué, passant de 8,61 à 7,23 MMDH entre les deux périodes, soit une baisse de 16% (-1,39 MMDH), ajoute la même source. La capacité de stockage totale avoisine les 1,47 million de tonnes à fin 2023 La capacité de stockage totale disponible au Maroc en gasoil et en essence a atteint à fin 2023 près de 1,47 million de tonnes, dont 86% concernent le gasoil, en accroissement de près de 12% en glissement annuel, et de plus de 33% par rapport à 2020, lit-on sur le Reporting du Conseil. Les capacités de stockage des neuf sociétés actives sur les marchés de l’approvisionnement, du stockage et de la distribution du gasoil et de l’essence n’ont connu aucun changement entre 2022 et 2023, à l’exception d’un seul opérateur, qui a enregistré une augmentation substantielle de plus de quatre fois, passant de 47.000 tonnes en 2022 à 200.000 tonnes en 2023, précise la même source. Cette évolution s’est traduite par une amélioration de 10 points (13,6% vs 3,6%) de la part de marché de cet opérateur en capacité de stockage et par une baisse des parts de marché des autres opérateurs sur ce segment de marché, souligne le Conseil.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Dialogue social : après l'UMT et l'UGTM, Akhannouch reçoit la CDT || subtitle : Le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a reçu vendredi une délégation de la Confédération Démocratique du Travail (CDT), dans le cadre du nouveau round de dialogue social. || body : Le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a reçu, vendredi 29 mars 2024, dans le cadre du nouveau round de dialogue social , une délégation de la Confédération Démocratique du Travail (CDT) , conduite par le secrétaire général de la centrale, Abdelkader Zair , en présence de la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah , du ministre de l’Inclusion Economique, de la Petite entreprise, du Travail et des Compétences, Younes Sekkouri , du ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, Porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas et de la ministre déléguée auprès du Chef du gouvernement chargée de la Transition numérique et de la Réforme administrative, Ghita Mezzour . Dialogue social : après l’UMT, l’UGTM expose ses revendications Le round d’avril du dialogue social va bon train. Le Chef du gouvernement a rencontré ce mercredi une délégation de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), bras syndical du Parti de l’Istiqlal, conduite par le secrétaire général de la centrale, Enaam Mayara. Cette réunion, qui intervient 24 heures après celle avec l’UMT, était une occasion pour examiner les revendications de l’UGTM et qui portent essentiellement sur une augmentation générale des salaires, aussi bien dans le secteur public que privé. La rencontre avec la CDT et la CGEM est prévu dans les prochains jours. Les partenaires sociaux espèrent parvenir à un accord avant le 1e mai. Au cours de cette rencontre, marquée par un esprit positif et responsable, ont été examinés les mécanismes à même de concrétiser les aspirations légitimes des travailleurs et d’améliorer le pouvoir d’achat des citoyens . La rencontre a également été l’occasion d’examiner différentes questions sociales et d’aborder le dialogue social sectoriel . Le Chef du gouvernement a mis l’accent à cet égard sur les efforts déployés par le gouvernement en vue de respecter les engagements contenus dans le procès-verbal de l’ accord du 30 avril 2022 en dépit des contraintes de la conjoncture, et ce, dans le cadre d’une approche participative, qui constitue la principale passerelle pour la mise en œuvre optimale de la politique sociale du gouvernement , conformément aux Hautes Directives Royales . Le nouveau round de dialogue social avait été lancé mardi par une rencontre entre le Chef du gouvernement et une délégation de l’ Union Marocaine du Travail (UMT) , suivie d’une rencontre avec une délégation de l’ Union Générale des Travailleurs du Maroc (UGTM) .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Météo : Les changements de températures, un phénomène normal pendant le printemps (Expert) || subtitle : Après la pluie vient le beau temps ! L’espoir retrouvé grâce aux dernières pluies s’est vite estompé avec l’annonce d’une vague de chaleur qui touche le Maroc depuis mercredi et jusqu’à samedi. Comment expliquer ce changement de météo rapide et brusque ? Explications de Houcine Youaabed, responsable de la communication à la Direction générale de la météorologie (DGM). || body : Une vague de chaleur est prévue dès ce jeudi, et jusqu’à samedi, dans plusieurs provinces du Royaume avec des températures variant entre 34 et 39°C, a annoncé la Direction générale de la météorologie (DGM). Cet épisode caniculaire vient après une semaine pluvieuse qui a été bénéfique pour remplir les barrages marocains. Beaucoup de citoyens s’interrogent sur ce changement rapide de la météo et ce passage d’un climat froid à une hausse des températures avec des pics de 39° sur certaines villes. Les vagues de chaleurs plus longues et plus intenses à cause des changements climatiques (étude) Une nouvelle étude, parue cette semaine dans la revue américaine «Science Advances», met en évidence que les changements climatiques provoquent des vagues de chaleur plus longues et plus intenses. Houcine Youaabed, responsable de la communication à la DGM, précise que ces hausses de températures seront plus importantes dans les provinces du Sud, du Centre et du Nord du pays. Contacté par « Assahra Al Maghribia », M. Youabed explique que les températures dépasseront de 5 à 9 degrés la moyenne saisonnière. Le pic de chaleur sera enregistré vendredi et samedi dans les régions du Sud et du Centre, ainsi que dans les plaines de l'Atlantique Nord, l'Est et le Sud-Est du pays. La hausse des températures concernera également la région du Souss, et les plaines du Tadla, Al Haouz, Rehamna et Tensift, Al Haouz, et même les régions intérieures du Nord du pays. Alerte météo : Vague de chaleur jusqu'à 39°C de jeudi à samedi dans plusieurs provinces Une vague de chaleur est prévue de jeudi à samedi dans plusieurs provinces du Royaume avec des températures variant entre 34 et 39°C, a annoncé la Direction générale de la météorologie (DGM). Selon l’expert, cette augmentation des températures est due au positionnement d'une dépression atmosphérique au Nord au large de l'océan Atlantique, à l'ouest de l'Europe, parallèlement à un anticyclone stationné dans la mer Méditerranée. Ces deux éléments contribuent à la formation d'un courant Sud qui amène une montée des masses d'air chaud et sec du Sahara vers le Maroc, et s'étendra jusqu'à la fin de cette semaine, même pour le Sud de l'Europe. Le même porte-parole a ajouté que les températures devraient osciller entre 33 et 39 degrés dans le Sud et le Centre du pays ainsi que dans les régions atlantiques intérieures et les plaines du nord du pays. Les températures oscilleront également entre 30 et 36 degrés sur les côtes nord-atlantiques, notamment le vendredi 5 avril 2024. Concernant ce changement rapide du climat, M. Youabed a souligné que cette période printanière est souvent caractérisée par des fluctuations météorologiques, avec des températures parfois en hausse ou en baisse à d'autres moments.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nouvelle grève nationale dans les collectivités territoriales || subtitle : Les collectivités territoriales sont de nouveau paralysées par une grève nationale prolongée jusqu'à jeudi. la coordination syndicale des fonctionnaires des collectivités territoriales reproche au ministère de tutelle de ne pas reprendre le dialogue social "de manière méthodique". || body : Les représentants des fonctionnaires des collectivités territoriales et de la gestion déléguée, affiliés à l’Union marocaine du travail (UMT), à la Confédération démocratique du travail (CDT), à l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) et à la Fédération démocratique du travail (FDT), ont appelé à poursuivre le mouvement de protestation jusqu'au jeudi 4 avril. Les collectivités territoriales paralysées par une grève de trois jours à partir de mardi Le secteur des collectivités territoriales connaîtra une grève nationale de trois jours à partir de mardi. Ce nouveau débrayage organisé par la coordination syndicale des fonctionnaires des collectivités territoriales, composée de quatre formations syndicales, vise à attirer l’attention sur les revendications des fonctionnaires du secteur et inciter le ministère de l’Intérieur à reprendre le dialogue social suspendu depuis plus de trois années. Réunis en coordination, ces syndicats revendiquent un règlement de tous les dossiers en suspens. Il s'agit de l'augmentation générale des salaires des fonctionnaires d’au moins 2.000 dirhams nets par mois. Ils exigent également «l’intégration de tous les titulaires de diplômes non inclus dans les échelons appropriés du secteur, avec effet rétroactif administratif et financier, à l’instar de leurs collègues dont la situation est régularisée dans d’autres départements ministériels, dans le cadre du respect du principe d’égalité». Le règlement du statut des secrétaires administratifs diplômés des centres de formation administrative figure également parmi les revendications de ces syndicats, en plus de la révision périodique des salaires et l’élaboration d’un nouveau statut pour les fonctionnaires des collectivités territoriales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Chambre des Conseillers : ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 || subtitle : La Chambre des conseillers a ouvert, vendredi, les travaux de sa deuxième session de l’année législative 2023-2024, lors d’une séance plénière tenue conformément aux dispositions de l’article 65 de la Constitution et de l’article 18 du règlement intérieur de la Chambre. || body : Dans une allocution à l’ouverture de cette session, le président de la Chambre des conseillers , Enaam Mayara , a affirmé que la session parlementaire de printemps se tient dans un contexte national marqué par une dynamique soutenue, ponctuée par un débat public productif sur diverses questions à caractères socioéconomique et politique, en lien avec les exigences de la phase actuelle et les défis futurs. Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. Parmi ces questions, M. Mayara a cité en particulier, la réforme du Code de la famille qui a fait l'objet de larges consultations avec les différents acteurs concernés, en application des Hautes Orientations Royales appelant à l'adoption d'une approche participative dans le traitement de ce chantier de réforme initié par Sa Majesté le Roi. A ce sujet, le Président de la Chambre des conseillers s'est dit convaincu que le débat autour de la réforme du Code de la famille aboutira assurément à une réforme globale et effective de la Moudawana , renforçant ainsi son rôle vital dans la construction d'une société où chacun jouit de la liberté, de la dignité, de l’équité et de l'égalité des chances , et préservant, par la même, la cohésion de la famille marocaine . Il a fait observer, dans ce contexte, que le Maroc a réalisé d'importants progrès durant les deux dernières décennies dans le domaine de la reconnaissance constitutionnelle de l’égalité des genres, soulignant toutefois la nécessité d'initier de nouvelles réformes en s'appuyant sur les acquis engrangés par notre société et nos aspirations légitimes à davantage de progrès et à la prospérité. M. Mayara a, à cet égard, souligné la détermination de la Chambre des conseillers, avec toutes ses composantes politiques, syndicales, économiques, professionnelles et territoriales, à faire tout ce qu’il faut et à prendre les mesures à même de dynamiser sa force de proposition législative, de contrôle et d'évaluation pour une adhésion effective et productive à l’effort national visant à moderniser les structures sociétales , économiques et politiques de l'État. Par ailleurs, le président de la Chambre des conseillers a noté que la période entre les deux sessions parlementaires s’est distinguée par l’intérêt accordé au chantier de moralisation de la vie politique et publique, assurant que le projet du Code de déontologie sera soumis à l'appréciation des Conseillers et ce, après l’examen minutieux de certaines de ses dispositions dans le cadre des concertations avec les présidents des groupes et des groupements à la Chambre et en coordination avec la Chambre des représentants. Le bilan des travaux de la Chambre des conseillers Evoquant le bilan des travaux de la Chambre des conseillers durant la période entre les deux sessions, M. Mayara a fait savoir que les composantes de la Chambre ont maintenu un rythme de travail appréciable dans le domaine de la diplomatie parlementaire et des activités de rayonnement en lien avec les axes privilégiés dans le cadre du débat public pluriel, et dans la législation, le contrôle et l’évaluation des politiques publiques. Dans le domaine des relations extérieures et de la diplomatie parlementaire, le président de la Chambre des conseillers a fait état de la poursuite du renforcement de la coopération parlementaire bilatérale et multilatérale au niveau des différentes régions géopolitiques en vue de défendre, au sein de l'écosystème diplomatique national, les questions stratégiques et vitales du Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, notamment la première cause nationale. M. Mayara a en outre évoqué la participation et la contribution des sections nationales permanentes ainsi que des délégations de la Chambre aux différentes rencontres tenues par les instances parlementaires régionales, continentales et internationales, ainsi que l’organisation d'importantes manifestations régionales et internationales à l’instar du Forum du dialogue parlementaire Sud-Sud et la Conférence parlementaire sur la coopération Sud-Sud. En ce qui concerne le volet législatif , il a indiqué que la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme a poursuivi l’examen du projet de loi relatif à l’organisation et à la gestion des établissements pénitentiaires, ajoutant que les textes régissant ce domaine connaîtront une révision globale et profonde à travers ce texte qui vise à renforcer les mécanismes de protection et de préservation des droits de l'Homme e de la dignité humaine. Au niveau des groupes thématiques et d’évaluation des politiques publiques, le président de la Chambre a indiqué que les deux groupes thématiques chargés de préparer la séance annuelle dédiée à l'examen et à l’évaluation des politiques publiques concernant le secteur du tourisme, et d'élaborer un rapport sur le multilinguisme au Maroc ont continué leur travail, précisant que le premier groupe thématique a tenu une série de rencontres avec des responsables gouvernementaux et effectué plusieurs visites de terrain dans diverses régions du Royaume, alors que le deuxième groupe a initié une multitude de réunions pour apporter les dernières retouches à son programme et plan d’action. En matière de contrôle de l’action gouvernementale, la période entre les deux sessions a constitué une occasion pour traiter les questions et problématiques à caractère local à travers le mécanisme des questions écrites dont le nombre s'est élevé à 209, a-t-il dit, ajoutant que ces questions ont intéressé divers aspects de la vie économique, sociale et culturelle locale de certaines catégories sectorielles ou sociétales au niveau de nombre de provinces et de préfectures du Royaume. Durant cette même période, 273 questions orales ont été formulées, et le gouvernement a répondu à 352 questions écrites, a-t-il conclu.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Plaidoyer pour la mise en place d’un cordon forestier sur toute la côte atlantique marocaine || subtitle : Les participants au troisième Forum international des arbres, dont les travaux ont pris fin dimanche à Marrakech, ont plaidé en faveur de la mise en place d’un cordon forestier sur toute la côte atlantique marocaine, sur 100 kilomètres de profondeur. || body : Ce projet prometteur vise à étendre les zones forestières actuelles et à créer des fermes agro-sylvo-pastorales adaptées aux conditions climatiques locales, en plus d’encourager les compétences dans l’artisanat lié aux forêts, ont relevé les participants dans des recommandations ayant sanctionné les travaux de cette rencontre de 3 jours. Ce cordon forestier vise aussi à capter les vents océaniques humides pour provoquer la pluie et à favoriser la création de millions de postes d’emploi, ont souligné les conférenciers lors de ce forum organisé par l’Association arbres, sciences et tradition (ASET), la Fondation Averroès et l’Association Ibn Al Baytar, avec le soutien de l’Université Cadi Ayyad de Marrakech (UCA) et de l’Université Mohammed V de Rabat. Stratégie Forêts 2020-2030 : Un financement de 100 millions d'euros de la BEI au Maroc Un contrat de financement en appui à la stratégie "Forêts du Maroc 2020-2030", a été signé, jeudi à Rabat, entre le Maroc et la Banque Européenne d’Investissement (BEI), pour un montant de 100 millions d’euros. Les participants ont en outre appelé à la mise en place d’un observatoire pour le suivi du climat et un système d’alerte afin d’éviter les pertes humaines et d’atténuer les dégâts, mettant l’accent sur la nécessité de renforcer la sensibilisation au changement climatique, à l’adaptation et à l’éducation environnementale. Les participants ont également appelé à lancer des programmes pour l’étude des climats anciens et à développer la recherche en sciences et ingénierie de la mer et en climatologie. De même, ils ont plaidé en faveur de l’actualisation régulière des modèles prévisionnels et de la cartographie des zones à risques en tenant compte de tous les paramètres géologiques et environnementaux. Les participants ont par la même occasion appelé à renforcer la stratégie nationale de la gestion intégrée des zones côtières, à revoir le plan d’utilisation du littoral et à réguler les activités socioéconomiques. Dans une déclaration à la MAP, le fondateur de l’Association arbres, sciences et tradition, Claude Lefebvre, a souligné que le choix du Maroc pour l’organisation de ce forum découle des énormes opportunités dont le Royaume est doté, relevant que le Maroc est subdivisé en sept zones climatiques et, de ce fait, le Royaume se positionne comme étant un pays pilote dans le cadre de la gestion et l’adaptation au changement climatique. «Le projet de la mise en place d’un cordon forestier sur toute la côte atlantique marocaine vise à valoriser l’initiative de Feu S.M. le Roi Hassan II, qui avait lancé le premier cordon forestier», a-t-il insisté, relevant que «le changement climatique est une occasion inespérée de rassembler les humains sur cette terre pour faire ensemble un monde vivant et équitable». Dans une déclaration similaire, Badreddine Kartah, enseignant à l’Université Mohammed V et président de la Fondation Averroès pour la promotion de la recherche scientifique, l’innovation et le développement durable au Maroc, a souligné que ce forum a été un succès à tous les niveaux, d’autant plus qu’il a offert l’occasion pour discuter de questions environnementales d’une grande importance, notamment celles relatives à l’eau et aux forêts et leur rôle dans le développement durable. Dans la foulée, il a expliqué que les conclusions et recommandations émanant de ce forum contribueront à valoriser les efforts du Royaume sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI, relevant que la création d’un cordon forestier sur la côte atlantique marocaine d’une profondeur d’une centaine de kilomètres est de nature à créer des opportunités d’emploi et contribuer à trouver des solutions durables aux problèmes soulevés dans ce domaine. Placée sous le thème «Élever une forêt, planter de l’eau», cette rencontre, qui a connu la participation d’un aréopage d’experts internationaux, d’écologistes, de représentants d’ONG, ainsi que des représentants des autorités locales, a été l’occasion de mettre en lumière l’importance des arbres et des forêts dans la préservation de l’eau et de la biodiversité. Au menu de cette édition figuraient des conférences, des tables rondes, des projections de films et des expositions, ainsi que des sorties et des visites au Musée Mohammed VI de la civilisation de l’eau, à l’Observatoire de la Palmeraie de Marrakech ainsi que plusieurs parcs de la ville et de ses environs, en plus de la plantation d’arbres par les étudiants de l’un des établissements d’enseignement dans le cadre du Programme «Éco-Écoles» initié par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les significations de la participation du Maroc à la cérémonie d’investiture du nouveau Président du Sénégal || subtitle : Le Maroc et le Sénégal sont unis par des liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération. La cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal a été une occasion renouvelée de témoigner de ce partenariat exceptionnel et multidimensionnel entre Rabat et Dakar, puisque Sa Majesté le Roi Mohammed Vi a été le seul Chef d’État, en dehors des leaders de la sous-région, à avoir reçu une invitation pour y prendre part. || body : En dehors des leaders de la sous-région, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a été le seul Chef d’État à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal , Bassirou Diomaye Faye , où le Souverain a été représenté par le Chef du gouvernement. Cette invitation rappelle une fois de plus la profondeur des liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération qui unissent le Maroc et le Sénégal, et démontre également la profondeur du partenariat exceptionnel et multidimensionnel qui existe entre le Royaume du Maroc et la République du Sénégal dans les domaines politique, économique, culturel, social et spirituel. Maroc-Sénégal : une relation qui n’est plus à prouver Pour le professeur d’études stratégiques au Collège de Défense nationale des Émirats arabes unis, Mohamed Badine El Yattioui , la relation entre le Maroc et le Sénégal n’est plus à prouver. C’est une relation fraternelle qui traverse les années, les décennies et même les siècles et qui prouve une véritable fraternité entre les peuples, mais également entre les dirigeants. L’invitation adressée par le nouveau Président sénégalais à S.M. le Roi Mohammed VI pour assister à sa cérémonie d’investiture à Dakar en est une preuve supplémentaire. «Le Souverain est le seul Chef d’État en dehors de la sous-région à avoir reçu une invitation à participer à la cérémonie d’investiture, ce qui est un symbole fort, compte tenu de l’ancienneté des relations religieuses, historiques et culturelles entre les deux pays, et bien sûr d’une relation diplomatique très forte», souligne M. Badine El Yattioui. Akhannouch représente S.M. le Roi à la cérémonie d'investiture du président du Sénégal En dehors des leaders de la sous-région, S.M. le Roi est le seul Chef d’Etat à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal, où le Souverain est représenté par le Chef de gouvernement. «On se souvient du discours de Sa Majesté à Dakar pour célébrer la Marche Verte en 2016. On sait aussi que Sa Majesté a effectué de nombreux voyages en Afrique, notamment au Sénégal, où Il s’est rendu huit fois en visite officielle en bientôt 25 ans, rappelle le professeur d’études stratégiques. Voilà donc un symbole fort et le témoignage d’une relation unique, guidée par la fraternité, l’amitié, une confiance mutuelle avec des projets concrets tant sur les plans religieux et culturels, que sur le plan économique et un véritable partenariat et un échange constant entre les populations, avec une communauté sénégalaise qui vit au Maroc depuis longtemps et une communauté marocaine qui réside au Sénégal aussi depuis très longtemps, dit M. Badine El Yattioui. Cela prouve aussi, d’un point de vue diplomatique, le leadership de Sa Majesté le Roi qui a cette capacité à fédérer différents espaces, que ce soit la coopération avec le monde arabe et les relations personnelles qui existent entre Sa Majesté et de nombreux Chefs d’États arabes ou, comme le prouve cet exemple là, avec les Chefs d’États africains, notamment de l’Afrique de l’Ouest, qui ont des relations historiques profondes avec le Maroc et qui attestent justement la profondeur historique du Royaume qui remonte à plusieurs siècles, ajoute le professeur d’études stratégiques. Et de faire remarquer qu’au-delà de la conjoncture actuelle et quelles que soient les tendances politiques qui se sont succédé au Sénégal, que ce soit avec Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall, ou maintenant Bassirou Diomaye Faye, qui sont de sensibilités politiques différentes, il y a toujours cette continuité dans les relations maroco-sénégalaises, ce qui illustre une fois de plus à quel point les liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération qui unissent les deux pays sont immuables. Le nouveau Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye reçoit la délégation marocaine Le nouveau Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye a reçu la délégation marocaine, conduite par le Chef du gouvernement, qui représente Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la cérémonie de son investiture. Un acte diplomatique qui revêt une importance géopolitique majeure et symbolise une alliance stratégique Le professeur à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, Dr Talal Cherkaoui, souligne, de son côté, que le fait que S.M. le Roi Mohammed VI soit le seul Chef d’État, en dehors de la sous-région, à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu sénégalais, M. Bassirou Diomaye Faye, est un événement marquant qui témoigne de la profondeur et de la solidité des relations bilatérales entre le Maroc et le Sénégal. «Cet acte diplomatique, loin d’être anodin, revêt une importance géopolitique majeure et symbolise une alliance stratégique dans un contexte régional et continental en pleine mutation», affirme Dr Talal Cherkaoui. Premièrement, indique-t-il, «cet événement met en lumière la singularité des relations Maroc-Sénégal, qui transcendent la simple proximité géographique pour embrasser des dimensions politique, économique, culturelle et maintenant stratégique». Le fait que Sa Majesté le Roi Mohammed VI soit le seul Chef d’État hors sous-région invité reflète non seulement la reconnaissance du rôle central que joue le Maroc en Afrique, mais aussi la consolidation d’une alliance Sud-Sud. Cette alliance se manifeste à travers des projets de coopération ambitieux, notamment dans les domaines des technologies vertes, de l’entrepreneuriat numérique et du développement durable, dit le professeur. Deuxièmement, poursuit-il, la présence marquée du Maroc à cette investiture souligne la volonté du Royaume de participer activement à la stabilité et au développement du continent africain. En témoigne la délégation de haut niveau représentant Sa Majesté le Roi, conduite par M. Akhannouch, qui a porté les aspirations du Maroc à Dakar. Cette démarche s’inscrit dans une stratégie marocaine visant à renforcer les liens avec les pays du Sahel, le Sénégal jouant ici un rôle pivot, et à faciliter leur accès à l’océan Atlantique, favorisant ainsi une connectivité régionale accrue. Troisièmement, observe Dr Talal Cherkaoui, la dynamique de coopération Maroc-Sénégal pourrait être un modèle de la coopération Sud-Sud, promouvant une vision partagée du développement et de la solidarité panafricaine. L’engagement des deux nations dans des forums bilatéraux et des projets conjoints est une manifestation concrète de leur volonté de dépasser les défis communs, notamment en matière de développement économique et social. Enfin, conclut-il, sur le plan géopolitique, l’événement s’inscrit dans un contexte où l’Afrique cherche à redéfinir son positionnement sur l’échiquier international, avec des enjeux de coopération régionale et de sécurité. Comme l’a indiqué Hassan Naciri, ambassadeur de Sa Majesté le Roi au Sénégal, la délégation a eu de longs entretiens avec le Président élu, M. Diomaye Faye. Au cours de ces échanges, la délégation a transmis à M. Diomaye Faye les salutations fraternelles et les félicitations les plus chaleureuses de Sa Majesté le Roi, tout en l’assurant du soutien et de la pleine disposition du Souverain à collaborer avec lui sur toutes les questions d’intérêt commun. «Ainsi, l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, à l’investiture du Président sénégalais est un témoignage éloquent de l’amitié indéfectible entre le Maroc et le Sénégal. Elle incarne également une vision stratégique du Maroc envers l’Afrique, axée sur la coopération, le développement partagé et la solidarité. Cet événement marque non seulement un jalon important dans les relations bilatérales entre les deux pays, mais ouvre également la voie à de nouvelles dynamiques de coopération régionale, essentielles pour l’avenir du continent», souligne Dr Talal Cherkaoui. Abdullatif Aidara, directeur général du Centre africain d’intelligence stratégique «CisPaix» : L’invitation de S.M. le Roi à l'investiture du Président Diomaye Faye traduit l'excellence des relations entre le Sénégal et le Maroc L’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI à prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, traduit l'excellence des relations séculaires et multidimensionnelles entre le Maroc et le Sénégal, a affirmé l’expert sénégalais Abdullatif Aidara, directeur général du Centre africain d’intelligence stratégique «CisPaix», basé à Dakar. Rabat et Dakar entretiennent des relations solides et très anciennes, qui sont appelées à se consolider davantage avec le nouveau président sénégalais, a indiqué M. Aidara dans une déclaration à la MAP. «La solidité des relations entre le Maroc et le Sénégal est ancrée dans la culture et la tradition des deux pays», a-t-il dit. Massamba Gueye, expert dans les relations entre le Maroc et l’Afrique : L’invitation de S.M. le Roi témoigne de la solidité des liens de fraternité Sénégal-Maroc L’invitation de S.M. le Roi Mohammed VI à la cérémonie d’investiture du président élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, témoigne de la solidité des liens séculaires de fraternité qui unissent le Sénégal et le Maroc, a souligné le chercheur sénégalais Massamba Gueye. Cette invitation témoigne de la forte collaboration et de la solidité des relations d’amitié et de fraternité entre le Sénégal et le Maroc, lesquelles sont inscrites dans la durabilité, a dit M. Gueye, expert dans les relations entre le Maroc et l’Afrique, dans une déclaration à la MAP. Les solides liens culturels, économiques, politiques, mais surtout spirituels entre Dakar et Rabat «transcendent les époques, les gouvernements et les hommes». Le Royaume du Maroc est un havre spirituel de référence pour le Sénégal et l’Afrique de l’Ouest et une puissance économique qui met tout en œuvre pour partager avec le reste de l’Afrique ses opportunités de développement, a-t-il dit.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Publicité au Maroc : l'évolution de la place de la femme selon la HACA || subtitle : La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a organisé, mardi dernier, un atelier consacré à la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle, en particulier durant le mois du Ramadan. Avec l’analyse rigoureuse de plus de 750 publicités diffusées entre 2020 et 2023, cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large visant à éradiquer les stéréotypes de genre et à promouvoir une image équilibrée des femmes dans les médias. Une étude présentée à cette occasion par la HACA montre les progrès réalisés, mais aussi les obstacles persistants qui entravent la parité dans l’espace publicitaire marocain, malgré un cadre légal progressiste. || body : La Haute Autorité de la communication audiovisuelle a abrité, le 2 avril dernier, un atelier interactif destiné à jeter la lumière sur une question cruciale : la représentation des femmes dans la publicité audiovisuelle. Ce rassemblement, bien plus qu’une simple rencontre, avait pour but de présenter les résultats d’une étude assez exhaustive sur la représentation des femmes dans la publicité audiovisuelle, spécifiquement durant le mois sacré du Ramadan , une période de haute audience télévisuelle . Lumière sur la parité : un atelier de la HACA dédié à la femme dans la publicité Avec l’analyse de plus de 750 spots publicitaires diffusés en prime time sur les chaînes de télévision publiques entre 2020 et 2023, cette initiative s’inscrit dans l’effort continu pour promouvoir la culture de la parité et combattre les stéréotypes de genre dans les médias. Cette étude a également été conduite dans le cadre de l’adhésion de la HACA à la Déclaration de Marrakech, initiée par S.A.R. la Princesse Lalla Meryem , présidente de l’Union nationale des femmes du Maroc, avec pour objectif de renforcer les efforts nationaux dédiés à la lutte contre la violence à l’égard des femmes. Mise en scène d'un vol sur Hit Radio : La HACA entre en ligne La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a appelé à préserver le droit du citoyen à des contenus médiatiques vigilants et sûrs, sur fond de l'affaire de fabrication de crime fictif et de diffusion de fausses informations au cours d’une émission radiophonique. Cet atelier de la HACA ne représente par conséquent pas seulement une occasion de mise en lumière des tendances actuelles dans la publicité télévisuelle. Il constitue également un engagement envers le progrès social et l’égalité de genre, invitant à une réflexion collective sur le chemin parcouru et les défis à relever. En analysant et en discutant des résultats de cette étude, les participants – issus de divers horizons : les annonceurs, les agences de publicité, les médias audiovisuels, les associations féminines, les institutions et les acteurs des droits humains – ont ainsi l’opportunité d’œuvrer ensemble pour une représentation qui honore et respecte la diversité et la richesse des rôles des femmes dans la société marocaine. Cadre légal : les fondations de l’égalité des sexes dans la publicité au Maroc La HACA, qui est au cœur de la lutte contre la discrimination et les stéréotypes de genre au Maroc, souligne que la législation nationale se dresse comme un pilier essentiel dans la promotion de l’égalité des sexes, notamment dans le domaine de la publicité. La loi n°77.03, relative à la communication audiovisuelle, adoptée en 2015, incarne cet engagement législatif, en intégrant des mesures spécifiques visant à contrer les représentations dévalorisantes des femmes. À travers ses articles, cette loi interdit explicitement toute publicité portant atteinte à l’image de la femme ou véhiculant des stéréotypes négatifs, une image d’infériorité, ou incitant à la discrimination basée sur le sexe. De plus, elle impose aux opérateurs de communication audiovisuelle la promotion de la culture de l’égalité entre les sexes et la lutte contre les stéréotypes préjudiciables à la dignité de la femme. Principaux résultats de l’étude de la HACA La récente étude menée par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, qui a scruté avec attention plus de 750 spots publicitaires diffusés pendant les mois du Ramadan de 2020 à 2023, a révélé des tendances significatives dans la manière dont les femmes sont représentées dans la publicité audiovisuelle au Maroc. Cette période, marquée par une audience télévisuelle accrue, offre un panorama révélateur des dynamiques de genre à l’œuvre dans le secteur de la publicité. L’analyse approfondie, tant quantitative que qualitative, des publicités diffusées aux heures de grande écoute par Al Oula et 2M durant le mois du Ramadan a été mise en parallèle avec les données d’une précédente étude réalisée en 2014. Cette comparaison vise à approfondir le débat sur l’égalité de genre dans le secteur des médias audiovisuels , une question au cœur de l’engagement continu de la HACA. Évolutions positives de la présence de la femme dans la publicité L’une des constatations les plus encourageantes de cette étude est la nette réduction des publicités véhiculant des stéréotypes de genre. Entre 2014 et 2023, le pourcentage de publicités ne reposant pas sur des stéréotypes de genre a été multiplié par plus de cinq. Ainsi, en l’espace de neuf ans, l’étude a révélé que la proportion de publicités évitant les stéréotypes de genre a quintuplé, passant de 9% en 2014 à 51% en 2023. La HACA a également observé une évolution favorable vers une plus grande diversité et équité dans la représentation des femmes et des hommes dans les publicités de divers secteurs. Ce progrès notable témoigne d’une évolution dans la sensibilité des créateurs de contenu publicitaire, qui intègrent désormais davantage de représentations équilibrées des genres. La HACA a également observé une tendance à une meilleure mixité et équilibre dans la représentation des femmes et des hommes, notamment dans les publicités de certains secteurs, reflétant ainsi un pas vers la diversification des rôles attribués à chaque genre. Persistance de représentations discriminantes Malgré ces avancées positives, l’étude met en lumière la persistance de représentations discriminantes à l’égard des femmes. La majorité des spots publicitaires continuent de cantonner les femmes à la sphère domestique, alors même qu’une légère augmentation de leur représentation dans le monde professionnel est notée. Les hommes, quant à eux, sont plus fréquemment dépeints dans des positions de pouvoir et de contrôle, contrastant avec la représentation des femmes souvent reléguées à des rôles subalternes. Cette dichotomie souligne la résilience des stéréotypes, malgré les efforts réglementaires et les initiatives pour promouvoir l’égalité des genres. Appel à l’action Dans le sillage des révélations et des discussions suscitées par l’étude de la HACA, Latifa Akharbach, présidente de l’instance, a souligné l’impératif d’une mobilisation collective pour transformer la représentation des femmes dans les médias. Selon elle, la persistance de stéréotypes et d’images discriminatoires dans la publicité audiovisuelle n’est pas seulement une question de représentation injuste, elle entrave le potentiel des sociétés en matière de développement et de démocratisation. «Au moment où le chantier décisif de la réforme de la Moudawana est ouvert dans notre pays, la consolidation de la culture de la parité, de la diversité et de l’égalité citoyenne apparaît comme une urgence et un atout fondamental pour réussir les réformes et pérenniser les acquis dans ce domaine» a-t-elle rappelé. Un appel à l’action qui résonne comme un impératif urgent et fondamental.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Salaires, droit de grève, retraites... le dialogue social à un tournant décisif || subtitle : C’est parti pour un nouveau round de dialogue social entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Une nouvelle série de négociations s’est ouverte, mardi, avec la participation des centrales syndicales les plus représentatives et les départements ministériels chargés de mener le dialogue. Entamées par des réunions thématiques, ces sessions abordent des sujets vitaux tels que les augmentations salariales, la loi organique sur le droit de grève et la réforme des retraites. Ces discussions visent à concilier les intérêts divergents dans un contexte marqué par des revendications historiques des syndicats. Avec des propositions gouvernementales sur la table et des syndicats armés de demandes fermes, le climat social est à un tournant décisif. || body : À la veille de l’Aïd, un nouveau cycle de dialogue social a été lancé, durant lequel les acteurs clés du gouvernement et des syndicats se sont retrouvés autour de la même table pour aborder des dossiers brûlants. De l’augmentation des salaires à la réglementation tant attendue du droit de grève, en passant par des débats houleux sur la réforme des retraites, chaque thème promet d’être un champ de bataille pour les droits des travailleurs. Avec des syndicats qui ne lâchent rien et un gouvernement prêt à renégocier les termes de l’engagement social, le terrain est miné pour des discussions qui pourraient définir le climat social et économique des jours à venir. Salaires, grèves et retraites sur la table : découvrez les coulisses des négociations tendues du dialogue social. Quatre ministres pour mener le dialogue Les négociations s’ouvrent sur un nouveau cycle de dialogue social, initié par les sessions des diverses commissions thématiques. Ces discussions portent sur plusieurs sujets via différentes commissions, notamment celles dédiées aux augmentations salariales, à l’amélioration des revenus, aux législations et à la réforme des pensions de retraite. D’après nos sources, des rencontres préliminaires ont eu lieu avec les départements ministériels concernés pour débattre de ces enjeux avec les syndicats les plus représentatifs. Bilan de mi-mandat, dialogue social... la majorité accorde ses violons C’est la première réunion de la majorité depuis l’arrivée du trio Mansouri-Bensaïd-Aboulghali à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM). Les résultats semblent plutôt prometteurs. En effet, les trois composantes de la majorité ont accordé leurs violons pour jouer la même partition cette fois. Se félicitant du bilan à mi-mandat de l’Exécutif, bilan qui fera l’objet d’un exposé devant le Parlement, les chefs de file de la majorité ont annoncé la poursuite de leur coordination au sein des collectivités territoriales. S’agissant du perchoir de la première Chambre, et sur lequel le PAM avait des vues, Il sera finalement gardé par le Rniste Rachid Talbi Alami jusqu’à la fin de cette législature. Ces réunions ont débuté le mardi 9 avril, d’abord avec l’Union marocaine du travail (UMT), suivie par l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM). Ont participé à cette rencontre Nadia Fettah, ministre de l’Économie et des finances, Fouzi Lekjaâ, ministre délégué chargé du Budget, Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, ainsi que Ghita Mezzour, ministre délégué chargée de la Transition numérique et de la réforme de l’administration. Une réunion analogue est prévue le lundi 15 avril 2024 avec la Confédération démocratique du travail (CDT). Les augmentations salariales en débat S’exprimant à propos des points abordés lors de ces premières rencontres du dialogue social entre les départements ministériels et les syndicats, Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’UMT, a mis en lumière l’importance des thématiques abordées. L’ordre du jour de cette première rencontre comprenait principalement des discussions sur l’augmentation des salaires et du salaire minimum (SMIG). En plus de ces questions, les débats ont également porté sur la réduction de l’impôt sur le revenu. À cet égard, le secrétaire général a rappelé les exigences de son syndicat : une hausse salariale de 2.000 dirhams et une diminution de «l’impôt sur les salaires» via une nouvelle grille et des seuils de calcul plus avantageux pour les travailleurs. Pendant cette session, le gouvernement, représenté par Fouzi Lekjaâ, devait présenter ses propositions en matière de politique salariale... Droit de grève, entre avancées et critiques Le deuxième thème principal abordé lors de ces discussions concernait le cadre législatif longtemps attendu : la loi organique sur le droit de grève, comme stipulé par la Constitution de 2011 et les Constitutions antérieures. Younes Sekkouri, ministre de l’Emploi, a élaboré une nouvelle offre législative pour remplacer l’ancienne version élaborée par les précédents gouvernements sous la direction du Parti de la justice et du développement (PJD). Ce projet initial, vivement critiqué par l’UMT, a été décrit par Miloudi Moukharik, secrétaire général du syndicat, comme un «code pénal encadrant un droit constitutionnel». «L’ancien projet a été écarté et un nouveau projet a été développé par le ministère dirigé par Younes Sekkouri», a-t-il affirmé. Le responsable syndical, dont la centrale est connue pour avoir résisté à plusieurs propositions de ce cadre législatif depuis le gouvernement de Abderrahmane El Youssoufi, a souligné : «Nous ne sommes pas contre une loi équilibrée qui garantit à la fois le droit de grève, le droit au travail et les intérêts des salariés». Réforme des retraites : un chantier litigieux Lors de ces rencontres en commissions de dialogue social, un autre point critique a été abordé : la réforme des retraites. Nadia Fettah, la ministre de l’Économie et des finances, a présenté la nouvelle orientation du gouvernement à ce sujet. L’UMT, par la voix de son secrétaire général, Miloudi Moukharik, maintient fermement son opposition, résumée par les «trois non» : le refus de porter l’âge de la retraite obligatoire à 65 ans, l’opposition à la réduction des pensions résultant d’un nouveau mode de calcul et le rejet de l’utilisation inappropriée des fonds des cotisations. M. Moukharik a vivement critiqué ce qu’il considère comme une mauvaise gestion des caisses de retraite, qui finissent par revenir vers les employés pour demander des contributions supplémentaires. Il a également évoqué les investissements infructueux dans la Banque nationale pour le développement économique (BNDE) et le complexe FADESA, qu’il qualifie de véritables échecs, pour illustrer ses propos sur la mauvaise gestion des fonds de retraite.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Ce qu'il faut savoir sur les préparatifs du 18e congrès national de l’Istiqlal || subtitle : À quelques jours du 18e congrès national du Parti de l'Istiqlal, la commission nationale préparatoire vient de mettre la dernière main aux préparatifs de cette grand-messe. Entre validation du slogan du congrès, adoption du calendrier des congrès régionaux, répartition et élection des délégués et autres décisions cruciales, rien n'a été laissé au hasard afin de faire de ce rendez-vous une étape charnière dans la vie du parti fondé en 1943 par Allal El Fassi. || body : Le compte à rebours est officiellement lancé pour le 18e congrès national du Parti de l'Istiqlal. Lors de sa réunion tenue dimanche 14 avril 2024 à Salé, la commission préparatoire nationale a parachevé la feuille de route de ce grand rendez-vous politique. Sous la houlette de son président Abdeldjabbar Rachdi, en présence du secrétaire général Nizar Baraka et des membres du comité exécutif, les travaux se sont déroulés «dans un esprit positif» et ont été marqués par une «discussion responsable et sérieuse», selon le communiqué publié à l'issue de la réunion. Un slogan fédérateur pour réaffirmer les priorités Parmi les décisions phares prises dans un esprit de consensus, l’adoption du slogan officiel du congrès. Après d'intenses discussions, le verdict est tombé à l'unanimité : «Renouvellement du pacte pour la patrie et le citoyen». Chargé de symboles, ce slogan traduit la volonté du parti de rassembler les militants autour des priorités. «Nous voulons réaffirmer notre engagement indéfectible envers le Maroc et les citoyens, en donnant un nouveau souffle à notre action», a expliqué un cadre du comité exécutif. L'Istiqlal tiendra son 18ème congrès national du 26 au 28 avril Le Conseil national du Parti de l'Istiqlal, réuni ce samedi 2 mars à Bouznika, a décidé de la date de la tenue du 18ème congrès national, prévu du 26 au 28 avril. Autre décision majeure prise à l’issue de la réunion de dimanche dernier : les dates des congrès régionaux ont été fixées. Ainsi, après validation des dates en commission, ces congrès se tiendront du 18 au 20 avril prochain à travers le Royaume. Une étape décisive pour préparer sereinement le grand conclave national qui se déroulera les 26, 27 et 28 avril 2024 à Bouznika. Quant à la question de la représentativité lors cette grand-messe politique, la commission préparatoire semble avoir tout prévu. À commencer par le nombre de délégués qui sera de 3.600, répartis équitablement entre les différentes régions selon des critères précis. «Le poids démographique, les scores réalisés lors des derniers scrutins législatifs et communaux ainsi que la présence territoriale du parti ont été pris en compte pour assurer une représentation juste et équilibrée de toutes les sensibilités», a tenu à souligner la commission dans son communiqué final. En outre, une liste des «chargés de mission» par le comité exécutif représentant 5% des délégués élus a été approuvée, conformément aux dispositions de l'article 99 des statuts du parti. La feuille de route validée, rien n'est laissé au hasard Au cours de cette réunion marathon, les membres de la commission préparatoire ont par ailleurs entériné l'ensemble des projets de rapports élaborés par les différentes commissions sectorielles. L'unité territoriale, les affaires politiques et régionales, la gouvernance locale, l'économie, le développement durable, les références et la culture, la communication, les questions sociales, la jeunesse et le sport, la diaspora et l'immigration, la famille, la femme et la parité... autant de projets de rapports qui seront présentés lors du prochain congrès, sans oublier les propositions de la commission des statuts et des règlements. Tous ces dossiers brûlants ont été soigneusement passés au crible. Les règles du jeu ont été également clairement définies s’agissant du dépôt des candidatures aux différentes instances dirigeantes. Un délai de 48 heures a été accordé pour les postulants au poste de secrétaire générale à partir de la publication du règlement adopté à ce sujet, tandis que pour la candidature au comité exécutif, la date butoir est fixée à 72 h avant l'ouverture du congrès. Il est à souligner que pour se porter candidat au poste de secrétaire général, les postulants doivent avoir déjà été membres du comité exécutif, selon les statuts du parti. De même, pour se porter candidat au comité exécutif, les candidats doivent avoir déjà siégé au sein du conseil national et avoir assumé des responsabilités au sein des organes du parti pendant au moins quatre ans. Mais tout porte à croire qu’il n’y aura pas candidat surprise, étant donné que les membres du parti, alignés principalement autour de deux courants, s’étaient mis d’accord pour soutenir la candidature du secrétaire général sortant, Nizar Baraka. Ce dernier, une fois élu, aura, selon nos informations, de larges prérogatives, notamment en matière de proposition de la liste des noms à figurer dans la composition de la prochaine direction de l’Istiqlal. Le chemin semble balisé pour faire de ce 18e congrès un rendez-vous réussi et un tournant majeur dans la vie du doyen des partis politiques marocains.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Code de la famille: Akhannouch reçoit les propositions de l’Instance chargée de la révision || subtitle : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a reçu, samedi, les membres de l’Instance chargée de la révision du Code de la famille qui lui ont remis les propositions de l’Instance en vue de les soumettre à la Haute appréciation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste. || body : Dans une déclaration à la presse à l’issue de cette rencontre, Aziz Akhannouch a indiqué avoir reçu les membres de l’ Instance chargée de la révision du Code de la famille après avoir achevé ses missions dans les délais fixés dans la Lettre adressée par Sa Majesté le Roi , que Dieu Le préserve, au Chef du gouvernement , précisant que le coordinateur tournant de l’Instance lui a remis un rapport sur les propositions d’amendement au sujet du Code de la famille , en vue de les soumettre à Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste. Code de la famille : dernière ligne droite pour la réforme Au 13 décembre 2023, une centaine de séances d’audition, totalisant plus de 80 heures, a été organisée par l’Instance en charge de la réforme du Code de la famille. Elles ont permis d’accueillir les interventions des représentants de 21 partis politiques, de 6 institutions officielles et 10 associations dévouées à la promotion des droits de l’Homme. Nous arrivons aujourd'hui à la dernière ligne droite avant la fin de l'échéance de six mois, fixée par S.M. le Roi, pour formuler les propositions d'amendements. L’instance a travaillé selon une approche participative élargie à travers l'organisation de séances d’audition des différents acteurs des organisations de la société civile oeuvrant dans le domaine de la femme , de l’ enfance , des droits de l’Homme , ainsi que des partis politiques , des centrales syndicales , des magistrats , des acteurs , des chercheurs , des académiciens et des établissements et départements ministériels , a-t-il ajouté. L’Instance a reçu également des mémorandums via des courriels électroniques , avant de se pencher sur l’examen des propositions issues des larges consultations participatives, a précisé M. Akhannouch. A cette occasion, le Chef du gouvernement a réitéré ses sincères remerciements et sa gratitude à S.M. le Roi Mohammed VI , Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, qui a bien voulu adopter cette approche participative élargie pour trouver les moyens à même de permettre à la famille marocaine de jouer pleinement ses rôles en tant que pilier de la société. Le Chef du gouvernement s’est dit honoré de soumettre à la Haute appréciation du Souverain les propositions de l’Instance chargée de la révision du Code de la famille.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Course à la présidence de la première Chambre : le PJD veut rebattre les cartes || subtitle : Ce vendredi 12 avril, la Chambre des représentants s’engage dans une session parlementaire cruciale, avec au programme l’élection de son président. Bien que la majorité semble avoir verrouillé le jeu avec la reconduction de Rachid Talbi Alami, la présence d’un candidat du Parti de la justice et du développement (PJD) ajoute une couche d’incertitude. Ce scrutin, marqué également par les tensions au sein de l’opposition et une motion de censure en préparation, pourrait bien dévoiler les lignes de fracture au sein de cette opposition et tester l’unité des forces en présence. || body : Alors que le Parlement s’apprête à reprendre ses activités ce deuxième vendredi d’avril, les projecteurs sont braqués sur une session qui pourrait redéfinir l’équilibre au sein de l’hémicycle. Entre manœuvres politiques et alliances inattendues, la Chambre des représentants se prépare à un scrutin pour désigner son président, une opération qui pourrait révéler des fissures au sein de l’opposition et tester la solidité de la majorité. Avec un candidat de la majorité en position de force et un challenger inattendu du Parti de la justice et du développement , cette élection sera très suivie. Un scrutin sous le signe de la surprise En effet, le Parlement reprendra ses activités ce deuxième vendredi d’avril, conformément à ce que prévoient la Constitution, la loi organique et les règlements intérieurs des deux Chambres. Cette session recouvre les mêmes enjeux que ceux du début de la législature, en particulier à la Chambre des représentants où les élections du président, des membres du bureau de la Chambre ainsi que des présidents et des bureaux des commissions permanentes ont lieu au début de la législature et ensuite au milieu du mandat, lors de la session d’avril, pour la durée restante de la législature . Ainsi, à mi-mandat, l’attention est particulièrement concentrée sur la présidence, avec des interrogations sur le déroulement de l’élection, bien que l’issue soit évidente. En effet, les forces majoritaires de cette Chambre ont décidé de reconduire l’actuel président, Rachid Talbi Alam i, à son poste. Rentrée parlementaire : la course aux postes de responsabilité a commencé Le Parlement marocain s’apprête à vivre une période charnière. Conformément à l’article 62 de la Constitution, d’importants changements sont à prévoir au sein des structures dirigeantes des deux Chambres. Cette phase cruciale de renouvellement soulève des interrogations, notamment sur les rapports de force au sein de la majorité gouvernementale. La session du vendredi 12 avril promet d’être un temps fort de l’animation parlementaire. Alors que la majorité dispose d’une force numérique suffisante pour sécuriser la présidence, Rachid Talbi Alami ne sera pas l’unique candidat en lice. Initialement, on s’attendait à ce que l’Union socialiste des forces populaires ( USFP ), première force de l’opposition, présente un candidat rival. D’autant plus que l’USFP préparait une motion de censure pour déstabiliser la majorité gouvernementale lors de cette session. La vraie surprise est cependant venue d’une autre formation politique, le Parti de la justice et du développement ( PJD ), qui, malgré le fait qu’il ne dispose que d’un groupement parlementaire, a décidé de défier le candidat de la majorité. À la suite d’une réunion extraordinaire, le secrétariat général du PJD a choisi le weekend dernier de proposer Dr Abdellah Bouanou, le chef de son groupement parlementaire, comme candidat à la présidence de la Chambre des représentants pour le reste du mandat parlementaire. Cette annonce est venue juste après une réunion des forces parlementaires de l’opposition et qui ont observé le silence au sujet d’un éventuel soutien à une candidature commune. D’ailleurs, le secrétariat général du Parti de la justice et du développement a critiqué l’Union socialiste des forces populaires (USFP), principale force de l’opposition, pour sa proposition de motion de censure, montrant ainsi des tensions au sein de l’opposition même. Divisions et stratégies : les enjeux d’une opposition fragmentée Par ailleurs, ce scrutin, qui se déroulera à bulletin secret, pourrait révéler des divisions au sein de la majorité ou des votes dissidents. La question demeure : y aura-t-il une surprise qui mènerait à un second tour ? Selon le règlement intérieur de la Chambre, un deuxième tour est nécessaire si aucun candidat n’atteint la majorité absolue de 198 voix. Bien que ce scénario paraisse improbable, étant donné le soutien substantiel dont dispose le candidat de la majorité avec environ 270 voix sur les 395 sièges de la Chambre, comprenant 102 pour le Rassemblement national des indépendants (RNI), 87 pour le Parti authenticité et modernité (PAM), et 81 pour le Parti de l’Istiqlal. De son côté, le PJD, avec seulement 13 sièges, et même en comptant sur le soutien de l’USFP (34 sièges), du Mouvement populaire (28 sièges), et du PPS (22 sièges), ne rassemblerait au mieux que 84 voix, à condition que tous ces élus soient présents lors de la séance plénière consacrée à l’élection.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Grève des étudiants en médecine : appel à l’unité pour résoudre la crise || subtitle : Le Syndicat indépendant des médecins du secteur public a brisé le silence en exprimant sa solidarité avec les étudiants des Facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire, en grève depuis plusieurs semaines. Le syndicat a appelé les départements concernés à agir de manière raisonnable et sage pour trouver rapidement des solutions aux problèmes en suspens. || body : La grève des étudiants en médecine continue de susciter de vives réactions. Après l’intervention rapide des partis de l’opposition, appelant à un dialogue urgent pour éviter une année blanche, c’est au tour du Syndicat indépendant des médecins du secteur public de prendre position. Dans un communiqué récent, le syndicat a exprimé sa solidarité avec les étudiants en lutte, tout en appelant les départements concernés à faire preuve de bon sens et de sagesse pour résoudre rapidement les problèmes en suspens. Grève des étudiants en médecine : comment éviter le pire ? Quelle sera l’issue de la grève des étudiants en médecine et pharmacie ? Pourquoi le dialogue est-il rompu ? Va-t-on vers une année blanche ? Comment les étudiants gèrent-ils ces perturbations ? Toutes ces questions resteront posées tant que le dossier des étudiants en médecine et pharmacie ne sera pas réglé. Si du côté de l’Exécutif la décision est prise pour ne pas faire marche arrière, les étudiants persistent et semblent déterminés à aller jusqu’au bout. Mais à quel prix ? Le syndicat a demandé au gouvernement de ne pas se laisser influencer par des considérations politiques et a souligné l’importance d’adopter une approche sérieuse pour répondre aux besoins fondamentaux des citoyens en matière de système de santé efficace. Il a appelé les professionnels du secteur public à former un front national de la santé pour protéger leur statut professionnel et leurs droits, considérant cette lutte comme une priorité compte tenu de la gravité de la situation actuelle. Le président du Syndicat, Alaoui Montadar, est resté injoignable malgré les tentatives du journal «Le Matin» de le contacter pour obtenir plus de détails. Cette nouvelle vague de solidarité pourrait encourager les étudiants à poursuivre leur mouvement de protestation, notamment après une rencontre avec des représentants de l’opposition. En effet, ils avaient été reçus par la parlementaire Fatima-Zahra Tamni, membre de la Fédération de gauche démocratique. S’agissant des autres partis de l’opposition, ces derniers étaient unanimes à condamner l’approche adoptée par le gouvernement pour la gestion de ce dossier. Ainsi, le Parti du Mouvement populaire (MP) et celui de la justice et du développement (PJD) avaient déjà adressé une correspondance au président de la Commission de l’éducation, de la culture et de la communication appelant à la tenue d’une réunion urgente en présence des deux ministres de tutelle, à savoir celui de l’Enseignement supérieur et celui de la Santé, en vue d’examiner la situation et de proposer des solutions pour sauver l’année universitaire. Pour leur part, le Parti du progrès et du socialisme (PPS) et l’Union socialiste des forces populaires (USFP) ont exprimé, lors de la réunion de leurs bureaux politiques, leur inquiétude de la montée de la tension dans les Facultés de médecine et de pharmacie, appelant le gouvernement à lancer un dialogue sérieux et immédiat afin de surmonter le climat de tension en identifiant des solutions urgentes à cette crise qui risque de compromettre l’année universitaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch représente S.M. le Roi à la cérémonie d'investiture du président du Sénégal || subtitle : En dehors des leaders de la sous-région, S.M. le Roi est le seul Chef d’Etat à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal, où le Souverain est représenté par le Chef de gouvernement. || body : Le chef de gouvernement, Aziz Akhannouch , a représenté Sa Majesté le Roi Mohammed VI , que Dieu L’assiste, mardi à Diamniadio près de Dakar, à la cérémonie de prestation de serment et d’installation du Président élu de la République du Sénégal , Bassirou Diomaye Faye . S.M. le Roi félicite le nouveau président de la République du Sénégal, M. Bassirou Diomaye Faye Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations à M. Bassirou Diomaye Faye, à l’occasion de son élection à la présidence de la République du Sénégal. Le déplacement de M. Akhannouch au Sénégal, accompagné du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita , intervient sur Très Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI , que Dieu Le glorifie, suite à l’invitation adressée par le nouveau président élu du Sénégal au Souverain pour prendre part à la cérémonie d’investiture. En dehors des leaders de la sous-région, Sa Majesté le Roi Mohammed VI est le seul Chef d’Etat à avoir reçu une invitation pour prendre part à cette cérémonie, ce qui témoigne, encore une fois, de la profondeur des liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération unissant le Maroc et le Sénégal . Elle dénote également la profondeur d’un partenariat exceptionnel et multidimensionnel existant entre le Royaume du Maroc et la République du Sénégal touchant les domaines politique, économique, culturel, social et spirituel. La cérémonie de prestation de serment et d'installation du nouveau président sénégalais s’est déroulée en présence notamment de plusieurs Chefs d’Etat et présidents des commissions de l’Union Africaine, de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). M. Bassirou Diomaye Faye , qui a remporté le scrutin présidentiel du 24 mars dès le premier tour avec 54,28% des voix, loin devant le candidat Amadou Ba (35,79%), est le cinquième président du Sénégal depuis l’indépendance du pays en 1960.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Lutte contre l’analphabétisme : une nouvelle stratégie nationale pour 2023-2035 || subtitle : L’Agence nationale de lutte contre l’analphabétisme (ANLCA) a adopté, mardi lors d’une réunion de son conseil d’administration (CA), une nouvelle stratégie nationale pour la période 2023-2035, reposant sur quatre axes principaux, notamment le ciblage, la convergence, la qualité et la bonne gouvernance. || body : Présidée par le ministre de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports, Chakib Benmoussa , et avec la participation de l’ensemble des membres du conseil, cette neuvième session du CA de l’Agence a également approuvé le bilan de l’action au titre de l’année 2023, ainsi que le plan d’action et le budget pour la période 2024-2026. S’exprimant à cette occasion, M. Benmoussa a indiqué que la mise en œuvre de la nouvelle stratégie s’appuie sur les références nationales et internationales les plus importantes en matière de lutte contre l’analphabétisme , en tenant compte des facteurs démographiques, sociaux et économiques. Cette stratégie, a poursuivi le ministre, s’assigne aussi pour objectif d’améliorer et diversifier l’offre en matière de lutte contre l’analphabétisme, renforcer le ciblage et assurer un accès équitable à l’apprentissage, pour l’autonomisation et la mise à niveau des individus et la promotion de la société. M. Benmoussa a souligné à cet égard que la réalisation des objectifs de cette stratégie revêt une importance capitale en raison de son impact dans le renforcement de la lutte contre l’analphabétisme en tant que levier d’apprentissage tout au long de la vie, à même de permettre une intégration plus efficace dans la société. Le ministre, qui a mis l’accent sur la promotion du capital humain pour parvenir à un développement plus intégré et global, a souligné l’importance de redoubler et fédérer les efforts de toutes les composantes de la société, en vue de lancer une dynamique intégrée et plus forte dans la perspective d’éradiquer le fléau de l’analphabétisme. De son côté, le directeur de l’ANLCA, Abdelouadoud Kharbouch a passé en revue les réalisations de l’ANLCA durant l’année 2023, les principaux axes de la nouvelle stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme, les plans d’action régionaux en la matière, outre le plan d’action 2024-2026 et les mécanismes de financement des programmes durant cette période. S’agissant du bilan 2023, il s’est articulé autour de plusieurs points, notamment l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre l’analphabétisme, le lancement officiel de l’Institut de formation aux métiers de l’alphabétisation (IFMA), l’élaboration de la stratégie de communication de l’Agence 2023-2027 et le lancement effectif d’un programme d’alphabétisation au profit des immigrés et des réfugiés au Maroc. Il s’agit aussi du lancement de l’étude stratégique sur l’apprentissage tout au long de la vie au Maroc (vision d’ici 2035), la diversification des supports numériques, notamment l’application mobile «Alpha Fellah» et la plateforme «E-Alpha Tamlik», entre autres. De même, M. Kharbouch a fait état de 1.032.099 bénéficiaires des programmes d’alphabétisation en 2023, soit plus de 9,1 millions d’inscrits depuis 2014, dont 85% sont des femmes et 65% bénéficiaires issus du monde rural, notant que 18 accords portant sur des projets structurants ont été conclus durant l’année écoulée, soit 2.352 accords signés au total. Et d’ajouter que l’ANCLA a procédé à la mise à jour des contenus des programmes d’alphabétisation dédiés à diverses catégories de la société, notamment les personnes en situation de handicap, les détenus, les artisans, avec un accent particulier sur la langue amazighe.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aid Al Fitr : les détenus autorisés à recevoir un panier de repas à partir du deuxième jour || subtitle : La Délégation générale à l'Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a indiqué que les détenus seront autorisés à recevoir un panier de repas à partir du 2ème jour de l'Aid Al Fitr et durant une semaine, et ce selon le calendrier établi par l'établissement pénitentiaire. || body : En vue d'assurer le bon déroulement de l' Aid Al Fitr dans les établissements pénitentiaires , la DGAPR a décidé d'autoriser les visiteurs à apporter un panier de denrées alimentaires à partir du deuxième jour de l'Aid et durant une semaine, et ce selon le calendrier établi par chaque établissement. Aid Al Fitr : le vendredi 12 avril 2024 jour férié dans les administrations publiques C'est officiel. Le chef du gouvernement vient d'accorder le vendredi 12 avril 2024 comme congé exceptionnel dans l'administration publique. Les établissements pénitentiaires offriront toutes les facilités nécessaires à leurs pensionnaires pour leur permettre de contacter leurs familles et les informer des conditions et de la date programmée pour l'introduction du panier d'alimentation , souligne la délégation dans un communiqué, qui invite les familles des détenus à s'engager de manière sérieuse et responsable pour contribuer à la réussite de cette opération. Cette décision intervient dans le cadre de l'exclusion des fêtes religieuses de l'interdiction des paniers-repas , au regard de l'impact psychologique positif de cette fête sur les détenus et sur la préservation des liens familiaux , conclut la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Ramadan 2024 : Le montant de Zakat Al-Fitr fixé à 20 DH || subtitle : Le Conseil supérieur des oulémas a publié un avis concernant le montant de Zakat Al-Fitr pour l’année 1445/2024. Il a été fixé à 20 DH, précise le conseil en indiquant que toute personne, qui le souhaite, peut aller au-delà de ce montant. || body : La Zakat consiste à offrir un saâ d’orge ou de blé en fonction de la consommation de la population, soit l’équivalent de 2,5 kg. Cette année, le montant de Zakat Al-Fitr fixé à 20 DH, a annoncé le Conseil supérieur des oulémas . Zakat Al Fitr , aumône de la rupture du jeûne et symbole de la solidarité en Islam , est une sunna dont doit s'acquitter tout musulman avant l' Aïd Al Fitr , dans un délai allant à 3 jours avant. Le jeûneur est tenu de la verser pour le compte de toutes les personnes dont il assume la charge. La Zakat est citée dans plus de 80 versets du Coran . Elle vise à purifier l'âme de l'avarice et de la convoitise, subvenir aux besoins des pauvres et des nécessiteux, rallier les cœurs des fidèles, instaurer des œuvres d'utilité publique et assurer un équilibre économique et social.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : DGSN : Abdellatif Hammouchi nomme de nouveaux responsables dans plusieurs villes || subtitle : Le directeur général de la Sûreté nationale, Abdellatif Hammouchi vient d'approuver une nouvelle vague de nominations à des postes de responsabilité au sein de plusieurs services de la Sûreté nationale à Marrakech, Tétouan et Zagora. || body : Le directeur général de la Sûreté nationale , Abdellatif Hammouchi , poursuit sa stratégie visant à mettre en avant les jeunes compétences en leur permettant d’assumer des responsabilités au sein de l’institution sécuritaire. Les nominations annoncées dimanche 7 avril 2024 par la DGSN concernent plusieurs postes de responsabilité au niveau des services de la Sûreté nationale à Marrakech, Tétouan et Zagora. DGSN : Renseignements généraux, police judiciaire... Hammouchi nomme de nouveaux responsables Le directeur général de la Sûreté nationale, Abdellatif Hammouchi, vient d'approuver une nouvelle vague de nominations à des postes de responsabilité au niveau de plusieurs services de la Sûreté nationale. Ces nominations concernent, entre autres, les renseignements généraux et la police judiciaire à Casablanca, Settat, Fès et Al Hoceïma. Il s'agit notamment d'un nouveau responsable à la tête du haut commandement du corps urbain à la préfecture de police de Tétouan , trois chefs de corps urbain au niveau de Tétouan-Centre, de Mdiq-Fnideq et de l' aéroport Tétouan Saniat R'mel , ainsi qu'un chef de la brigade de la circulation à Mdiq-Fnideq . Les nominations comprennent également un adjoint au chef du district de police de Zagora et un chef du service des accidents de la circulation à Gueliz à Marrakech . Ces nominations s'inscrivent dans le cadre de la dynamique continue qui vise à accroître l'efficacité et la rentabilité des ressources humaines , en assurant une alternance dans la prise de responsabilité et en confiant la gestion opérationnelle des services de police à des compétences hautement formées et qualifiées, capables de mettre en œuvre les stratégies de travail visant à renforcer la sécurité des citoyens et des biens .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Rentrée parlementaire : la course aux postes de responsabilité a commencé || subtitle : Le Parlement marocain s’apprête à vivre une période charnière. Conformément à l’article 62 de la Constitution, d’importants changements sont à prévoir au sein des structures dirigeantes des deux Chambres. Cette phase cruciale de renouvellement soulève des interrogations, notamment sur les rapports de force au sein de la majorité gouvernementale. || body : À l’approche du deuxième vendredi d’avril, jour marquant traditionnellement la rentrée parlementaire , le landerneau politique se prépare pour la restructuration des instances de la première Chambre. «Le président et les membres du bureau de la Chambre des représentants , ainsi que les présidents des Commissions permanentes et leurs bureaux, sont élus en début de législature, puis à la troisième année de celle-ci lors de la session d’avril et pour la période restant à courir de ladite législature», dispose l’article 62 de la Constitution. En effet, les enjeux sont de taille, tant les conséquences pourront être lourdes pour l’équilibre entre les principaux partis de la majorité . Alors que les négociations vont bon train, les spéculations enflent sur la future configuration de la Chambre des représentants et les enjeux attendus de cette session, surtout sur le plan éthique. L’opposition critique «la mainmise» du gouvernement sur l’action parlementaire Les présidents des groupes parlementaires des quatre partis de l’opposition (USFP, MP, PPS et PJD) ont vivement critiqué jeudi le manque d’interaction du gouvernement avec les initiatives de l’opposition. Intervenant dans le cadre d’une conférence de presse organisée à la Chambre des représentants, les parlementaires des quatre formations politiques n’ont par ailleurs pas manqué de fustiger le bilan gouvernemental à mi-mandat, notant que l’Exécutif n’a que très peu respecté les engagement pris dans son programme. Un président conforté à la Chambre des représentants ? Selon les observateurs avertis, Rachid Talbi Alami , figure de proue du Rassemblement national des indépendants (RNI) , semble bien parti pour conserver le perchoir de la Chambre des représentants. Cette probable reconduction de M. Talbi Alami à la présidence de la Chambre des représentants illustre la position de force actuelle du RNI au sein de la majorité . En tant que premier parti de la coalition gouvernementale, il milite pour le maintien de son leadership sur la scène politique. Malgré les ambitions à peine dissimulées du Parti authenticité et modernité (PAM) de briguer ce poste stratégique, le consensus semble se dégager autour d’un statu quo favorable au RNI. Et cela même si la position officielle du PAM est attendue et devra être tranchée lors de la réunion de la Majorité (RNI, PAM et Istiqlal) . Le PAM, qui n’a jamais présidé la Chambre des représentants (il avait occupé la présidence de la Chambre des conseillers), souhaiterait insuffler une nouvelle dynamique en prenant les rênes de cette instance clé. Selon des observateurs, les négociations entre les trois formations doivent inclure aussi les maroquins à prendre en considération dans le cadre d’un éventuel remaniement attendu. Chambre des représentants : Un bureau renouvelé, vecteur de changements Les projecteurs sont également braqués sur les changements attendus au sein du bureau de la Chambre des représentants . Les formations politiques vont-elles garder les mêmes noms élus en octobre 2021 au sein de cette instance décisive de la première Chambre ? En tout cas, plusieurs noms circulent avec insistance pour un départ programmé, à l’instar de ceux ayant des déboires avec la justice. Au-delà de ces cas de figure, de profondes réorganisations semblent se profiler au sein des familles politiques. Chez le Parti de l’Istiqlal , de grands réaménagements sont attendus. Fragilisé par le gel par Noureddine Moudian de sa présidence du groupe parlementaire pour des raisons judiciaires, le parti devrait redéployer ses pions. Plusieurs noms et scénarios sont à l’ordre du jour. Abdessamad Kayouh et Omar Hejira sont des noms qui reviennent avec insistance, selon nos informations, pour prendre la relève à la tête du groupe istiqlalien à la Chambre des représentants et pour le poste de vice-président. Un schéma similaire prévaut au Mouvement populaire (MP) , où le récent accès à la direction de Mohamed Ouzzine pourrait le pousser à se consacrer à la gestion du quotidien du parti. Ce qui pourrait l’amener à céder son poste de vice-président à la Chambre des représentants à un autre député. Par ailleurs, l’actuel président du groupe parlementaire Haraki sera certainement maintenu à la tête du groupe pour le reste du mandat, indiquent nos sources. Code de déontologie des parlementaires : ce qu’en pense Mohamed Tozy À l'occasion du Symposium commémorant le 60e anniversaire de la constitution du premier Parlement élu au Maroc, Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait adressé un message d'une importance capitale aux participants. Au cœur de ses directives, un appel clair à l'adoption d'un code de déontologie qui soit juridiquement contraignant pour les deux Chambres de l’institution législative, soulignant ainsi l'urgence de renforcer les fondements des institutions représentatives. Une nouvelle donne éthique s’installe au cœur du pouvoir législatif Mais au-delà de la refonte des instances législatives , un autre enjeu devra marquer la reprise des travaux du Parlement à partir du deuxième vendredi d’avril. Le Parlement ayant été éclaboussé par une succession d’affaires et de dérives éthiques qui ont profondément écorné son crédit, il devra adopter une charte d’éthique , suite aux Instructions Royales. Un code dont l’objectif est de rebâtir la confiance entre les élus et leurs électeurs par une pratique irréprochable et une rigueur à toute épreuve. C’est pourquoi l’ensemble des protagonistes, qu’ils soient issus des rangs de la majorité ou de l’ opposition parlementaire , devront se mettre d’accord au cours de cette session sur cette charte. Un travail qui a déjà démarré entre les deux sessions. Le projet de code d’éthique destiné à encadrer la déontologie des élus, dont la rédaction a été émaillée de vives polémiques, devra incarner une véritable rupture dans les pratiques. L’adoption d’un tel cadre digne et équilibré, permettant de lutter contre les dérives, sans pour autant bafouer les droits et libertés fondamentaux, constituera un changement fondamental dans le processus parlementaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Premier ministre belge visite le Mausolée Mohammed V || subtitle : Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, a effectué, lundi, une visite au Mausolée Mohammed V à Rabat, où il s’est recueilli sur les tombes des regrettés Souverains feu S.M. Mohammed V et feu S.M. Hassan II que Dieu Les ait en Sa sainte miséricorde. || body : A son arrivée au Mausolée Mohammed V , M. De Croo a été accueilli par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi , et l'historiographe du Royaume et conservateur du Mausolée, Abdelhak Lamrini . Arrivée au Maroc du Premier ministre belge pour co-présider la Haute commission mixte bilatérale Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, est arrivé dimanche soir à Rabat pour une visite dans le Royaume au cours de laquelle il co-présidera avec le Chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, les travaux de l a Réunion de la Haute Commission mixte Maroc-Belgique. M. De Croo, qui était accompagné d’une importante délégation composée notamment du vice-Premier ministre et ministre de la Justice, Paul Van Tigchelt , de la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden , de la ministre des Affaires étrangères, Hadja Lahbib , et de la Secrétaire d’État à l’Asile et la Migration, Nicole De Moor, a déposé une gerbe de fleurs sur les tombes des défunts Rois avant de signer le Livre d’or du Mausolée. A cette occasion, M. Lamrini a présenté des explications au Premier ministre belge sur ce monument à forte charge historique et civilisationnelle. Arrivé dimanche soir à Rabat à la tête d’une importante délégation gouvernementale et d’hommes d’affaires, M. De Croo effectue une visite dans le Royaume au cours de laquelle il co-présidera avec le Chef du gouvernement , Aziz Akhannouch , les travaux de la Réunion de la Haute Commission mixte Maroc-Belgique. Au cours de ce déplacement, le Premier ministre belge aura des entretiens avec le Chef du gouvernement. De même, des ministres accompagnant M. De Croo tiendront des séances de travail avec leurs homologues marocains, portant essentiellement sur les sujets d’intérêt commun et les moyens de renforcer la coopération bilatérale. Cette visite sera couronnée par la signature de plusieurs conventions et accords de coopération entre les deux pays dans divers domaines.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Parlement : l’opposition exige plus d’assiduité de la part de Aziz Akhannouch || subtitle : Les partis de l’opposition ont de nouveau décoché leurs flèches à l’endroit de la majorité gouvernementale lors de leur dernière réunion tenue vendredi dernier. Les quatre formations politiques ont par ailleurs protesté contre le manque d’assiduité du Chef du gouvernement pour les séances mensuelles des questions de politique générale et son «manque d’interaction avec l’institution législative». Elles ont par ailleurs dénoncé la mainmise de l’Exécutif sur l’action législative et sa faible interaction avec les propositions de loi. || body : À quelques jours de l’ouverture de la session printanière prévue pour ce vendredi 12 avril, les partis de l’opposition ont tenu une réunion la semaine dernière à Rabat pour examiner les moyens de renforcer leur action parlementaire et faire face à l’hégémonie de la majorité. Et comme il fallait s’y attendre, les quatre formations politiques n’ont pas manqué de protester contre ce qu’elles qualifient d’«absence du Chef du gouvernement du Parlement» et son «manque d’interaction avec l’institution législative». Les groupes parlementaires de l’USFP, du MP et du PPS et le groupement parlementaire du PJD ont en effet reproché au Chef du gouvernement son peu d’assiduité pour les séances mensuelles des questions de politique générale. Selon le président du groupe parlementaire du mouvement populaire, les partis de l’opposition ont été unanimes à souligner le manque d’assiduité du Chef de gouvernement et ses absences répétitives des séances mensuelles, malgré leur importance. «Nous tenons donc à appeler le Chef du gouvernement à respecter ce rendez-vous constitutionnel, puisque la Loi fondamentale lui impose de répondre présent une fois par mois pour répondre aux questions des parlementaires. Par ailleurs, nous sollicitons ce dernier pour présenter le bilan de son gouvernement devant le Parlement dans les plus brefs délais afin qu’on puisse évaluer les réalisations de cet Exécutif qui ne cesse de répéter qu’il travaille plus qu’il ne parle», a-t-il affirmé dans une déclaration à la presse publiée à l’issue de cette réunion. Code de déontologie des parlementaires : ce qu'en pense l’opposition Le débat autour du futur code de déontologie des parlementaires bat son plein au sein de l’institution législative. Mais si tout le monde adhère au principe de cette réforme, compte tenu de sa portée et de ses implications sur la vie politique, les partis de l’opposition ne cachent pas leur inquiétude de l’adoption d’un texte qui «pénaliserait le travail parlementaire et ligoterait les mains des députés au lieu de moraliser la vie parlementaire». Par ailleurs, les partis de l’opposition ont également relevé le manque «d’assiduité» de certains membres du gouvernement et leur faible interaction avec les questions écrites et orales, ce qui exige, souligne l’opposition, plus de mobilisation et de pression ainsi que de faire appel à tous «les recours possibles pour renforcer le contrôle de l’action gouvernementale en partant du rôle attribué à l’opposition comme instrument de contrôle responsable et citoyen». Action législative : les partis de l'opposition reviennent à la charge Les partis de l’opposition ont aussi critiqué la mainmise du gouvernement sur l’action législative. En effet, depuis le début de ce mandat, les formations politiques formant l’opposition (USFP, MP, PPS et PJD) n’ont cessé d’exprimer leur mécontentement quant au rejet par le gouvernement des propositions de loi déposées ainsi que la non-tenue des réunions des commissions permanentes dans les délais légaux fixés par le règlement intérieur pour étudier les propositions de loi. À cet égard, l’opposition se dit décidée à poursuivre sa mobilisation pour défendre les initiatives parlementaires. «Nous avons décidés au cours de cette réunion de poursuivre notre engagement à défendre les initiatives législatives émanant des élus de la Nation, tout en dénonçant la poursuite de l’interaction négative du gouvernement avec les initiatives législatives, ce qui constitue un empiétement sur le rôle et les missions du Parlement en tant qu’institution législative. Pourtant, les dispositions de l’article 24 de la loi organique relative à l’organisation et à la conduite des travaux du gouvernement sont claires. Elles prévoient que les membres du gouvernement sont tenus de participer aux travaux des commissions permanentes pour examiner les projets et propositions de loi et d’exprimer leurs positions», ajoute M. Sentissi. Au cours de cette réunion, les partis de l’opposition ont convenu enfin d’œuvrer pour renforcer la moralisation de la vie parlementaire à travers l’accélération de la promulgation de la charte d’éthique qui devra prévoir un volet contraignant afin de mettre en œuvre les dispositions du Message Royal adressé au Parlement en commémoration du 60e anniversaire de sa création. Les formations politiques de l’opposition se sont accordées pour organiser des journées d’étude et des réunions sur plusieurs sujets communs qui intéressent l’opinion publique dans le but de lancer le débat au sein du Parlement. Ils ont également décidé d’encourager le travail au sein des institutions et de renforcer les mécanismes d’ouverture sur diverses expressions et dynamiques sociétales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch présentera le bilan de mi-mandat de son gouvernement après le 12 avril || subtitle : Le chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, présentera le bilan à mi-mandat de son gouvernement après l’ouverture de la session de printemps du Parlement qui se tient ce vendredi 12 avril. C’est ce qui a été annoncé par les partis de la majorité lors d’une réunion tenue jeudi à Rabat. || body : Les partis de la majorité se sont réunis dans la soirée du jeudi 4 avril sous la présidence du président du RNI , Aziz Akhannouch , de la coordinatrice de la direction collégiale du secrétariat général du PAM , Fatim-Zahra Mansouri , accompagnée de Mohamed Mehdi Bensaid et Salaheddine Aboulghali et du secrétaire général du parti de l’Istiqlal , Nizar Baraka . Bilan à mi-mandat du gouvernement : la majorité et l’opposition croisent le fer De quelle manière faut-il appréhender le bilan à mi-parcours du gouvernement ? Entre une majorité qui revendique des succès, en dépit d’un contexte extrêmement compliqué à bien des égards, et une opposition qui juge tièdes les résultats intermédiaires d’un gouvernement qui avait pourtant placé la barre très haut dans ses engagements électoraux, les avis divergent, alimentés par la volonté des uns et des autres de gagner la bataille de l’opinion publique. Au menu de cette réunion, l’examen de la situation politique et économique du pays ainsi que l’agenda de la présidence de la majorité et comment renforcer la coordination entre le gouvernement et les composantes de la majorité au sein du Parlement . Dans un communiqué conjoint, les partis de la majorité saluent le bilan honorable de l’action du gouvernement à mi-mandat. Ils indiquent également que ce bilan sera présenté devant les parlementaires par le Chef du gouvernement et ce après l’ouverture de la session d’avril. Les partis de la majorité ont également réaffirmé l’esprit de cohésion qui caractérise la relation entre le gouvernement et les groupes parlementaires. Et de rappeler la mise en place d’un mécanisme d’étude et d’évaluation des propositions de lois émanant de ces groupes afin d’interagir avec celles qui s’inscrivent dans la vision du gouvernement. Les partis affirment par ailleurs leur détermination à poursuivre la coordination entre les différentes composantes de leurs formations politiques, que ce soit au niveau local ou régional. La majorité salue également la reprise du dialogue social entre le gouvernement et les syndicats les plus représentatifs. Enfin, les partis de la majorité annoncent leur appui à Rachid Talbi Alami pour la présidence de la Chambre des Représentants lors de la deuxième moitié de la législature.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pluies : Six barrages remplis à 100%, le Maroc se rapproche du niveau de 2023 || subtitle : Les précipitations enregistrées depuis la nuit du vendredi et la journée du samedi ont été bénéfiques pour plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre. Le taux de remplissage global des barrages affiché ce dimanche est de 28,94% contre 34% le même jour en 2023. || body : Après une longue période de sécheresse qui fait craindre une sérieuse pénurie d'eau , les pluies de printemps ont fait leur apparition et ont permis de relever les niveaux de remplissages des barrages. Ce dimanche 31 mars, six barrages marocains affichent un taux de remplissage de 100%, alors que 17 autres ont dépassé les 50%. C'est ce qui ressort du bulletin du ministère de l'Equipement et de l'Eau sur la situation journalière des barrages du Maroc. Cinq barrages remplis à 100% grâce aux dernières pluies Les précipitations enregistrées ces dernières semaines dans plusieurs régions du Maroc ont contribué à l'augmentation des réserves des barrages, selon les données du ministère de l’Equipement et de l’Eau. Cinq barrages affichent un taux de remplissage de 100% et deux autres dépassent 90%. Dans le détail, c'est la région du Nord qui a bénéficié le plus de ces précipitations enregistrées depuis le soir de vendredi et jusqu'à la nuit de samedi. Ainsi, les barrages Nakhla, Chefchaouen et Acharif Al Idrissi sont tous remplis à 100% à ce jour. Le barrage Oued El Makhazine affiche un taux de remplissage de 82,1%, soit un volume de 551,20 millions de m³. Le barrage Smir est à 83,59%. Les barrages du Bassin Sebou affichent également de hauts niveaux de remplissage : Barrage Bouhouda : 100%, Barrage Allal El Fassi : 94,18%, Barrage Garde Sebou : 85,31% et Barrage Michlifen : 57,32%. Dans le Bassin Tensift , le barrage Yacoub Mansour enregistre un taux de remplissage de 85,88% et atteint presque le niveau de l'année dernière (89%). Voici les taux de remplissage des barrages par bassin A noter que la Direction générale de la météorologie prévoit ce dimanche des averses orageuses localement importantes sur la région de Tanger, les plaines au Nord d'El-Jadida, le Rif, le Saiss, le Moyen Atlas et l'Ouest de la rive méditerranéenne. Des pluies ou ondées sont à prévoir sur le reste des régions Nord, les régions Centre, les Haut et Anti-Atlas et le Nord de l'Oriental. Voici les hauteurs de pluie relevées en millimètres, au cours des dernières 24 heures : - Tanger: 66 - Larache: 60 - Chefchaouen: 53 - Benguerir: 52 - Tanger-port: 40 - Ifrane: 24 - Tétouan: 22 - El Jadida: 20 - Casablanca: 16 - Sidi Ifni: 15 - Agadir-Al Massira, Essaouira-aéroport, Settat et Taza: 14 - Casa-port: 12 - Agadir-Inzgan, Kénitra, Meknès, Tit Mellil: 10 - Mohammedia et Nouaceur: 09 - Taroudant et Safi: 08 - Khouribga: 07 - Benslimane, Guelmim, Beni Mellal et Salé: 06 - Fès: 05 - Lalla Takerkoust: 04 - Marrakech, Oujda et Tiznit: 03 - Sidi Slimane: 02 - Tantan: 01 - Essaouira-port, Smara, Dakhla, Al Hoceima et Midelt : moins d'un millimètre.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Une nouvelle ère d’intégrité et de responsabilité au Conseil économique, social et environnemental || subtitle : Le Conseil économique, social et environnemental (CESE), sous la houlette de son président Ahmed Réda Chami, marque un tournant avec l’adoption unanime de sa charte éthique. Réalisée lors de la 156e session ordinaire, cette charte est une promesse de transparence, d’intégrité et d’engagement pour l’intérêt général, alignée sur les meilleures pratiques internationales. C’est un engagement envers une gouvernance éthique exemplaire, redéfinissant les normes de conduite au sein du CESE et au-delà. || body : Dans une initiative empreinte de sérieux et de détermination, le Conseil économique, social et environnemental a adopté, jeudi 28 mars 2024, à l’unanimité, la nouvelle charte éthique de ses membres conformément à l’article 70 bis de son règlement intérieur. Une décision qui a été entérinée lors de la 156e session ordinaire du Conseil. Le CESE affiche sa conscience éthique Immédiatement après cette session engageante, la charte se dévoile comme un pacte de principes inébranlables. Au cœur de celle-ci, la primauté de l’intérêt général sur les intérêts particuliers. Objectivité, intégrité, responsabilité, respect mutuel : autant de piliers sur lesquels repose l’édifice éthique du CESE. Un texte qui vient compléter le règlement intérieur récemment validé par l’assemblée générale du Conseil suite à l’arrêt n°232/24 de la Cour constitutionnelle en date du 13 mars 2024, qui confirme son adéquation avec les normes constitutionnelles et la loi réglementaire 128.12. En effet, la charte éthique s’inscrit dans la continuité du règlement intérieur qui a connu des modifications apportées par l’Institution dirigée par Ahmed Reda Chami et qui prennent désormais effet. «La charte éthique comprend les principes et les lignes directrices auxquels doivent se conformer les membres du Conseil, les fonctionnaires et les autres employés du Conseil», indique le Conseil dans ses documents. Un levier contre la corruption et les conflits d’intérêts La charte éthique va au-delà des bonnes intentions. Elle instaure des mécanismes clairs pour la déclaration des conflits d’intérêts et interdit les transactions commerciales pouvant saper l’intégrité du CESE. «C’est un rempart contre la corruption, un guide pour nos actions», affirme un membre du Conseil. En proscrivant l’usage personnel du statut de membre, la charte s’attaque frontalement aux risques de conflits d’intérêts, renforçant la confiance en l’institution. «Elle approfondit par exemple le règlement intérieur existant en ce qui concerne la déclaration obligatoire des risques de conflits d’intérêts, la prohibition pour les membres de toute transaction commerciale avec l’Institution et l’interdiction de l’usage du statut de membre à des fins personnelles. Ce type d’exigence vise à prévenir toute forme de corruption, de conflit d’intérêts, et à assurer l’intégrité des travaux du Conseil», souligne le CESE. L’impact de la charte éthique se mesure donc à la hauteur de ses ambitions : faire du CESE un exemple de gouvernance éthique, contribuant ainsi à enrichir le débat démocratique et à orienter les politiques publiques avec une probité sans faille. Fouad Benseddik, membre du CESE et du groupe de travail chargé de la charte d’éthique : La primauté de l’intérêt général, l’objectivité, l’intégrité... et la contribution désintéressée aux travaux de l’Institution, primordiales dans la nouvelle charte éthique du CESE Le Matin : Quels objectifs la charte éthique adoptée par le CESE vise-t-elle à atteindre, et comment ces objectifs renforcent-ils les valeurs et principes du Conseil ? Fouad Benseddik : La Charte rassemble les principes directeurs et les règles de conduite que les membres du CESE s’engagent à respecter dans l’exercice de leur mission. La primauté de l’intérêt général, l’objectivité, l’intégrité, la responsabilité, le respect mutuel, l’assiduité et la contribution désintéressée et constructive aux travaux de l’Institution y figurent comme des exigences primordiales. Les membres s’engagent à prioriser dans leurs analyses et leurs recommandations la souveraineté nationale et le respect des droits humains fondamentaux au service du développement économique et humain du Royaume, et au service de la cohésion et de la démocratie sociales, dans le respect des valeurs fondamentales de non-discrimination et d’égalité. Cette charte soutient aussi les principes de bonne gouvernance, tels que la transparence, l’équité, la prohibition des conflits d’intérêts en tant que facteurs cruciaux pour le bon fonctionnement et la réputation du Conseil. De quelle manière la charte éthique influence-t-elle la conduite des membres du CESE dans l’exercice de leur mission, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Conseil ? La charte énumère des normes élevées de comportement. Elles engagent à l’esprit d’ouverture, au dialogue, à l’intégrité intellectuelle, à l’objectivité, à préserver une atmosphère de respect mutuel et à prévenir toute forme de harcèlement. Ces directives aident à assurer que les analyses et les recommandations du CESE à l’attention du gouvernement et des deux Chambres du Parlement soient nourries non seulement par l’expertise de ses membres, mais également par une éthique de responsabilité exigeante. Est-ce que la charte éthique introduit des contraintes supplémentaires pour les membres du CESE par rapport au règlement intérieur existant, et comment ces contraintes servent-elles les objectifs du Conseil ? La charte éthique n’a pas vocation à modifier la lettre des lois applicables, mais permet d’en expliciter l’esprit et d’en favoriser la traduction concrète. Elle approfondit par exemple le règlement intérieur existant en ce qui concerne la déclaration obligatoire des risques de conflits d’intérêts, la prohibition pour les membres de toute transaction commerciale avec l’Institution et l’interdiction de l’usage du statut de membre à des fins personnelles. Ce type d’exigence vise à prévenir toute forme de corruption, de conflit d’intérêts et à assurer l’intégrité des travaux du Conseil. En établissant des normes claires de comportement éthique, la charte renforce la crédibilité et favorise la valeur ajoutée des recommandations du Conseil. Cela est essentiel si on veut que cette institution ait un rôle utile d’information, d’éclairage et d’orientation en matière de débat démocratique et de politiques publiques économiques, sociales et environnementales. Comment l’adoption de la charte éthique par le CESE lors de sa 156e session ordinaire s’inscrit-elle dans une démarche de conformité aux meilleures pratiques au niveau national et international ? Dans son discours d’investiture du CESE du 21 février 2011, Sa Majesté le Roi avait solennellement appelé à l’exemplarité de la gouvernance de cette Institution. Dès octobre 2011, le Conseil adoptait alors la première version de sa charte éthique, devenant ainsi la première institution constitutionnelle à se doter d’un référentiel de principes d’action éthiques précis, partagés et exigeants, préparés dans la concertation et approuvés par un vote en assemblée générale. Cette démarche est conforme aux meilleures pratiques recommandées pour les organes consultatifs et décisionnels.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin attendu le 21 avril au Maroc || subtitle : Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin, se rendra prochainement à Rabat pour une visite officielle de travail de trois jours. Selon des médias français, cette visite portera principalement sur le développement de la coopération en matière de sécurité entre le Maroc et la France. || body : Le ministre entamera sa visite au Maroc le 21 avril, indiquent certains médias français. Au programme de cette visite, une série de rencontres avec des membres du gouvernement. Le 22 avril, une rencontre est prévue avec le ministre marocain de l'Intérieur, Abdeloufi Laftit pour discuter de divers sujets, notamment la lutte contre la criminalité organisée et la coopération dans la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue . Cinq ministres français en visite au Maroc au cours de ce mois Cinq ministres français se rendront au Maroc durant ce mois d'avril. Le ministre français de l’Agriculture, Marc Fesneau, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin et le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, figurent dans la liste des visites officielles. Gérald Darmanin devra également s'entretenir avec le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Tawfiq . Cette rencontre sera axée sur des sujets relatifs à l'Islam et à la formation des imams .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Promotion des personnes en situation de handicap : Aawatif Hayar fait le point || subtitle : Les efforts du gouvernement en matière de promotion des personnes en situation de handicap ont permis d’accomplir bien des réalisations en termes d’assistance à cette catégorie, d’autonomisation et de promotion des opportunités pour sa pleine intégration sociale. Dans un entretien à la MAP à l’occasion de la Journée nationale des personnes en situation de handicap, la ministre de la Solidarité, de l’insertion sociale et de la famille, Aawatif Hayar, décline les actions et politiques mises en œuvre par son département en vue de promouvoir les personnes en situation de handicap à tous les niveaux. || body : Le Maroc a réalisé des progrès significatifs dans le domaine de la promotion des personnes en situation de handicap, particulièrement en matière d’inclusion et de soutien de cette catégorie pour qu’elle s’intègre au mieux dans la société. Quels sont les programmes et les politiques initiés par le ministère à cet effet ? Aawatif Hayar : Le ministère de la Solidarité, de l’insertion sociale et de la famille a mis en œuvre plusieurs programmes et politiques visant à soutenir cette frange de la société, à mettre à disposition les moyens pour qu’elle puisse participer efficacement dans tous les domaines de la vie, ainsi qu’à garantir ses droits et sa dignité et à lui offrir les conditions nécessaires pour sa pleine intégration. Ces programmes sont axés sur le renforcement de la protection sociale, la consolidation du rôle de la famille, le renforcement des capacités, la formation et la réhabilitation professionnelles et l’intégration scolaire. Ils comportent également les services paramédicaux et de réadaptation, le soutien psychologique, la promotion de la formation des travailleurs sociaux et l’amélioration du ciblage grâce à la carte d’invalidité. Fonction publique: 400 postes pour les personnes en situation de handicap en 2023-2024 Un total de 400 postes budgétaires dans la fonction publique sont réservés aux personnes en situation de handicap au titre des années 2023 et 2024, a indiqué, dimanche à Rabat, la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, Ghita Mezzour. Ils s’inscrivent dans la droite ligne des Hautes Directives Royales appelant à améliorer les conditions sociales des personnes en situation de vulnérabilité, en particulier celles en situation de handicap, tout comme ils s’inscrivent dans la mise en œuvre de la loi-cadre n°97.13 relative à la protection et à la promotion des droits des personnes en situation de handicap, des engagements du programme gouvernemental 2021-2026 visant à consolider les piliers de l’État social, ainsi que dans la mise en œuvre de la nouvelle stratégie «Jisr» pour le pôle social 2021-2026, particulièrement dans les domaines de la famille et de l’insertion sociale des personnes en situation de handicap. L’action du ministère s’articule, en effet, autour de la mise en place d’un certain nombre de programmes spécialisés, dont le «Fonds d’appui à la protection sociale et à la cohésion sociale (FAPSCS)», un nouveau mécanisme pour améliorer la situation des personnes en situation de vulnérabilité et promouvoir les conditions de scolarisation des enfants en situation de handicap. Elle trouve aussi son fondement dans le programme «Jisr» pour l’autonomisation et le leadership 2022-2026 visant à encourager l’intégration professionnelle et soutenir les activités génératrices de revenus pour cette catégorie. S’y ajoutent la mise en place des Centres d’orientation et d’assistance des personnes en situation de handicap (COAPH) ainsi que la promotion de l’accès des personnes en situation de handicap à l’emploi dans les secteurs public et privé. Quelles sont les réalisations obtenues dans le cadre du Plan d’action national pour la promotion des droits des personnes en situation de handicap ? L’étude d’évaluation du plan d’action national pour la promotion des droits des personnes en situation de handicap au titre de la période 2017-2021 a été lancée, de même qu’il a été procédé à l’élaboration des grandes orientations pour la période 2024-2026. Sous cet angle, des rencontres ont été tenues avec 31 acteurs institutionnels concernés par le domaine du handicap, en associant 18 réseaux et alliances associatifs qui s’activent en matière de protection et de promotion des droits des personnes en situation de handicap. En outre, un formulaire numérique destiné à cette catégorie a été mis en place. Celui-ci a été rempli par plus de 600 personnes. Les résultats et les conclusions de l’étude d’évaluation ont été dévoilés le 20 janvier 2023, devant le comité technique émanant de la Commission ministérielle chargée du suivi de la mise en œuvre des stratégies et des programmes relatifs à la promotion des droits des personnes en situation de handicap. Ces mêmes conclusions ont été aussi présentées, le 3 avril 2023, devant les fédérations et réseaux associatifs œuvrant dans le domaine du handicap. À la lumière des conclusions de l’étude d’évaluation, a été lancée l’élaboration du deuxième Plan d’action national pour la promotion des droits des personnes en situation de handicap au titre de la période 2024-2026, un plan qui se décline en quatre axes stratégiques articulés autour d’une série de domaines d’intervention. Il s’agit de la prévention des causes du handicap, l’environnement accessible, la solidarité, l’autonomisation économique, l’égalité et l’inclusion sociale, en plus d’un axe transversal fondé sur la sensibilisation, la communication et d’autres chantiers. Il importe sur ce registre de mettre en avant l’approche participative adoptée par le ministère, une approche basée sur la concertation territoriale avec les divers acteurs afin de déterminer, dans un premier temps, les attentes et les besoins, puis définir les mesures sectorielles à déployer en accord avec les acteurs gouvernementaux concernés, tout en veillant à mobiliser le budget nécessaire pour mettre en œuvre les objectifs tracés et mesurer leur impact sur les groupes ciblés. Comment votre ministère déploie-t-il l’action d’accompagnement des efforts et programmes initiés dans le cadre du Plan de développement durable 2030 pour la promotion des personnes en situation de handicap ? Dans le souci de concrétiser les objectifs de développement durable à l’horizon 2030 selon une approche globale et intégrée en faveur des personnes en situation de handicap, le ministère de la Solidarité, de l’insertion sociale et de la famille veille à l’accompagnement des différents projets et programmes initiés dans le cadre de ce plan. L’accent est particulièrement mis sur les domaines de la législation, de l’assistance et la protection sociale, de la sensibilisation et des services sociaux et paramédicaux, ainsi que la coopération avec le secteur privé et la société civile. Le Royaume s’est engagé dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable 2030, une stratégie qui va de pair avec le Plan d’action national en la matière. À cet égard, l’action est focalisée sur un certain nombre d’objectifs établis pour que tout le monde puisse jouir d’un mode de vie sain et prospère à tout âge et accéder à une éducation équitable et inclusive. Ces objectifs consistent, en outre, à promouvoir les opportunités d’apprentissage tout au long de la vie, à favoriser une croissance économique continue, inclusive et durable pour tous, à assurer un emploi productif et décent et à réduire les inégalités au sein et entre les pays. S’y ajoute l’objectif visant à rendre les villes et les établissements humains inclusifs, sûrs, résilients et durables.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-Belgique : Ouverture à Rabat de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat || subtitle : Les travaux de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat Maroc-Belgique se sont ouverts, lundi à Rabat, sous la coprésidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch et du Premier ministre belge Alexander De Croo. || body : Prennent part à cette réunion, du côté marocain, le ministre de l'Intérieur, Abdelouafi Laftit , le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita , le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi , la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali , le ministre délégué chargé de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des politiques publiques, Mohcine Jazouli , et l'ambassadeur du Maroc en Belgique, Mohamed Ameur . Le Premier ministre belge visite le Mausolée Mohammed V Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, a effectué, lundi, une visite au Mausolée Mohammed V à Rabat, où il s’est recueilli sur les tombes des regrettés Souverains feu S.M. Mohammed V et feu S.M. Hassan II que Dieu Les ait en Sa sainte miséricorde. La délégation belge est composée du vice-Premier ministre et ministre de la Justice, Paul Van Tigchelt , de la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden , de la ministre des Affaires étrangères, Hadja Lahbib , de la Secrétaire d’État à l'Asile et la Migration, Nicole De Moor , et de la présidente de Comité de direction au ministère des Affaires étrangères, Theodora Gentzis . Cette réunion sera marquée, notamment, par la signature de plusieurs accords de coopération dans différents domaines entre les deux pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nabila Mounib : la femme marocaine a besoin de l’Etat social plus que de la réforme de la Moudawana || subtitle : Un gouvernement doit travailler à éradiquer l’analphabétisme et à trouver du travail pour les femmes et les hommes aussi. Et un gouvernement doit faire tout pour évoluer vers ce qu’il a annoncé. C’est l’avis de l’ancienne secrétaire générale du Parti socialiste unifié, Nabila Mounib, qui estime que les femmes ont besoin de plus que de la réforme de la Moudawana, bien que cette réforme soit importante. || body : Lorsqu’il s’agit d’aborder la question de la condition féminine, Nabila Mounib est convaincue qu’il y a tout un tas de dossiers à traiter, et pas seulement la Moudawana , dont la réforme reste importante. «Un gouvernement doit travailler à éradiquer l’ analphabétisme et à trouver du travail aussi bien pour les femmes que les hommes. Et un gouvernement doit faire tout pour évoluer vers ce qu’il a annoncé. Le gouvernement a déclaré qu’il allait mettre en place l’État social. Où est-ce qu’il est cet État social ?» a-t-elle dit. Aux yeux de cette ancienne secrétaire générale du PSU, «la femme a besoin de plus que de la réforme de la Moudawana, encore que nous voulions bien cette réforme». Aujourd’hui, souligne-t-elle, «il y a une très forte déperdition scolaire. L’analphabétisme des femmes avoisine les 47%. Le taux d’emploi des femmes est inférieur à 20%. Elles sont 8 sur 10, entre 15 et 75 ans, à avoir été victimes de violence». Donc «il y a une problématique plurielle à laquelle il faut s’attaquer et aujourd’hui, ce n’est pas parce qu’il y a ce chantier (de la réforme du Code de la famille) qui a été initié par le Souverain, qu’on va s’y tenir seulement», a affirmé Mme Mounib. Code de la famille : un champ de bataille entre partis progressistes et conservateurs Alors que le délai accordé à l’Instance chargée de formuler des propositions de réforme du Code de la famille tire à sa fin, le débat autour de la future Moudawana n’en finit pas de déchaîner les passions. Ne partageant pas la même conception de la réforme, partis conservateurs et progressistes sont à couteaux tirés. C’est le cas notamment du Parti de la justice et du développement (PJD) et du tandem constitué de son allié d’hier, le Parti du progrès et du socialisme (PPS), et l’Union socialiste des forces populaires (USFP). Les déclarations et les communiqués échangés des deux côtés ne font pas dans la dentelle. «Avec un mineur, il n’y a jamais de consentement» Sur la question du mariage des mineurs , Nabila Mounib trouve qu’il faut aller vers l’interdiction définitive. Et quand on lui demande s’il faut autoriser les relations hors mariage impliquant des mineurs, l’ancienne SG du PSU soutient qu’il faut les interdire, parce qu’il y a des adultes qui abusent des mineurs, ce qui constitue un crime de pédophilie , qui est puni par la loi, et qu’il faut interdire ces relations, même entre mineurs, parce qu’avec un mineur, on ne peut pas parler de consentement. «Les relations sexuelles entre mineurs doivent être punies. D’ailleurs, les relations sexuelles, ce n’est pas ce qu’on enseigne aujourd’hui dans les écoles en Occident à des enfants de trois ans. Je pense que ce sont des sociétés dépravées et que ce n’est pas comme ça que ça marche», dit-elle. Pour Mme Mounib, «il faut protéger les enfants, leur donner la possibilité d’avoir une vie cohérente et respectable en les encourageant à aller à l’école, à suivre une formation, etc.». Tout doit être encadré, insiste-t-elle, «car même les psychologues vous disent que s’il n’y a pas de lignes rouges, il n’y a rien». «Le politique doit rimer avec l’éthique» Loin de la Moudawana, et sur la question de l’éthique en politique, notamment à la lumière des récentes affaires impliquant des hommes politiques ou des partis politiques pour leur gestion des deniers publics, Nabila Mounib répond que la politique doit rimer avec l’éthique et l’intérêt général. Malheureusement, remarque-t-elle, «le dicton selon lequel faire de la politique, c’est servir et non se servir, s’est transformé en son contraire, en ce sens que certains pensent que faire de la politique, c’est d’abord se servir et utiliser les institutions de l’État pour accumuler des richesses, tant que l’impunité est la règle». Et l’ancienne SG de se demander si l’État a tout mis en œuvre, pas seulement en modifiant la loi sur les partis politiques ou le Code électoral, pour aller dans le sens de cette éthique. «Quand vous donnez des subventions aux syndicats et que vous leur dites que la Cour des comptes ne va pas examiner vos comptes, qu’est-ce que cela veut dire ? Quand vous donnez 5 millions de dirhams à un parti politique pour faire de la recherche, alors que cette recherche scientifique doit se faire dans les universités qui sont privées de cet argent, comment l’expliquez-vous ?», s’interroge-t-elle, estimant ensuite que cela revient à parler de «rente pure et dure».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pedro Sanchez souligne l’excellence des relations de coopération avec le Maroc || subtitle : Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a souligné, mercredi au Congrès des députés, l’’’excellence’’ des relations de coopération avec le Maroc dans tous les domaines, assurant que sa dernière visite au Royaume, en février dernier, a donné une nouvelle dynamique aux liens bilatéraux. || body : ‘’Nous entretenons une excellente coopération avec le Maroc notamment en matière de lutte contre le terrorisme, l’immigration illégale et les mafias s’activant dans le trafic d'êtres humains’’, a dit M. Sanchez lors de la session plénière du Congrès de la Chambre basse. Maroc-Espagne : l’essentiel de la visite de Pedro Sanchez Le Président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a effectué, mercredi, une visite de travail à Rabat. Reçu par S.M. le Roi Mohammed VI au Palais Royal de Rabat, M. Sanchez a tenu une conférence de presse au terme de sa visite. Revêtant une grande importance sur les plans politique et stratégique, elle a été l’occasion pour le haut responsable ibérique de réitérer la position, sans ambiguïté, de soutien de l’Espagne au plan d’autonomie. M. Sanchez a également profité de cette occasion pour annoncer des investissements espagnols au Maroc d'environ 45 milliards d'euros d'ici 2050. Il a relevé que cette coopération s'étend également aux domaines culturel et sportif, comme l'illustrent ‘’le développement du réseau de l'Institut Cervantès au Maroc et l'organisation de la Coupe du monde de football avec le Maroc et le Portugal en 2030’’. M. Sanchez s’est également félicité de l’’’amélioration’’ de la coopération en matière sécuritaire, financière et commerciale entre les deux pays. ‘’Nous sommes le premier fournisseur commercial du Maroc, qui est une plateforme de croissance intéressante pour les entreprises espagnoles, où de grands projets sont développés dans les énergies renouvelables, la gestion de l'eau, les infrastructures et le transport’’, a-t-il soutenu. Et de conclure : ‘’La prospérité du Maroc se reflétera dans notre prospérité’’.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara, position du Maroc lors de la visite de Staffan de Mistura : ce qu'en dit Dr Talal Cherkaoui || subtitle : Dans le cadre d’une tournée régionale auprès des parties mentionnées dans la résolution 2703 du Conseil de sécurité, en vue de relancer le processus politique des tables rondes avec la participation du Maroc, de l’Algérie, de la Mauritanie et du polisario, Staffan de Mistura a été reçu jeudi dernier au ministère des Affaires étrangères. À cette occasion, il s’est vu rappeler les positions fermes et non négociables du Maroc. Cet événement, d’après le professeur à l’Université Mohammed V de Rabat Dr Talal Cherkaoui, a inauguré une nouvelle étape dans la recherche d’une solution au conflit du Sahara, en mettant en exergue les attentes marocaines et en éclairant les défis et les opportunités pour relancer les discussions entre les parties concernées. || body : La visite de Staffan De Mistura à Rabat, le 3 avril, en tant qu’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, a marqué un tournant significatif dans le dialogue autour du dossier du Sahara marocain, souligne au «Matin» le professeur de sciences économiques, sociales et politiques à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, Dr Talal Cherkaoui. «Reçu au ministère des Affaires étrangères, M. de Mistura s’est vu rappeler les positions fermes du Maroc, jugées non négociables. Cet événement a inauguré une nouvelle étape dans la quête de résolution du conflit du Sahara, mettant en relief les attentes marocaines et illuminant les défis et opportunités pour revitaliser les discussions entre les parties impliquées», indique le professeur de sciences économiques, sociales et politiques. «Cette visite survient dans un contexte de tensions renouvelées, mais aussi d’un espoir de progrès, soulignant l’importance cruciale de la continuité et de l’efficacité du rôle de M. de Mistura dans cette démarche délicate», affirme Dr Talal Cherkaoui. Ainsi, le Maroc a réitéré son rejet de toute initiative extérieure aux tables rondes définies par l’ONU et de toute solution autre que l’Initiative marocaine d’autonomie. Ces principes, déclarés non négociables par le Maroc, soulignent, de l’avis du professeur, aussi l’importance capitale de la pleine participation de l’Algérie aux tables rondes et du respect du cessez-le-feu par le polisario. Le Maroc n’est pas disposé à concéder sur ses principes fondamentaux concernant le Sahara La fermeté de la position marocaine, exprimée lors de la visite de Staffan de Mistura, illustre que le Maroc n’est pas disposé à concéder sur ses principes fondamentaux concernant le Sahara, affirme Dr Talal Cherkaoui. Néanmoins, fait-il remarquer, «cette posture peut également être vue comme une volonté du Maroc de préciser ses conditions préalables à toute reprise sérieuse du dialogue. En mettant l’accent sur l’Initiative d’autonomie et la participation de l’Algérie, le Maroc cherche à structurer le débat autour de ses propositions, tout en mettant en avant l’importance d’une démarche concertée». Le passage de M. de Mistura s’insère dans le cadre d’une tournée régionale visant à relancer le processus politique des tables rondes avec la participation du Maroc, de l’Algérie, de la Mauritanie, et du polisario, tel qu’il est défini par la résolution 2703 du Conseil de sécurité. «L’envoyé spécial est donc appelé à ajuster ses actions, notamment sa visite en Afrique du Sud, et à revoir sa stratégie concernant le Sahara marocain en se limitant uniquement aux intervenants clés», dit le professeur. Et de faire observer que «la mise en parallèle de Staffan de Mistura avec ses prédécesseurs, comme Peter Van Walsum et Christopher Ross, révèle la complexité de la médiation dans l’affaire du Sahara marocain. Cependant, avec le Maroc bénéficiant d’un soutien international grandissant pour son initiative d’autonomie, il est peu probable que le Royaume rejette les efforts de médiation de l’ONU de manière catégorique». Selon Dr Cherkaoui, «la situation diffère notablement de celle vécue avec Christopher Ross, lors de laquelle le Maroc avait suspendu sa confiance en réaction à ses démarches». Le contexte actuel, observe-t-il, se distingue nettement : les objections marocaines vis-à-vis de l’envoyé personnel ont évolué, M. de Mistura n’est pas M. Ross, et l’appui de la communauté internationale pour l’Initiative d’autonomie s’intensifie, notamment grâce à leurs investissements dans les provinces du Sud. «Se trouvant dans une position plus avantageuse qu’auparavant, le Maroc n’a aucune raison de désavouer M. de Mistura, une telle action serait contre-productive. En effet, abandonner la médiation de l’ONU à ce stade, alors que le Maroc bénéficie d’une position consolidée, ne serait pas avisé», conclut le professeur.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Plus de 6.850 logements sociaux réalisés dans le monde rural depuis 2019 || subtitle : Treize accords ont été signés depuis le lancement de l’ambitieux programme «100 logements sociaux en milieu rural» en 2019 pour la réalisation de 6.852 unités de logement, a fait savoir la ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, Fatima-Zahra El Mansouri, qui répondait récemment à une question écrite posée par le groupe du Mouvement populaire au sein de la Chambre des représentants. || body : Une attention particulière est accordée à l’accès au logement social dans les zones rurales , a fait savoir la ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, Fatima-Zahra El Mansouri , qui répondait récemment à une question écrite posée par le groupe du Mouvement populaire au sein de la Chambre des représentants . D’après la même responsable, 13 accords ont été signés depuis le lancement de l’ambitieux programme «100 logements sociaux en milieu rural» en 2019 pour la réalisation de 6.852 unités de logement, dont 864 ont déjà été certifiées conformes, témoignant ainsi des progrès réalisés jusqu’à juin 2023. Aide au logement : près de 52.000 demandes reçues au 27 février 2024 La plateforme numérique d'aide directe au logement a connu un engouement significatif depuis son lancement le 2 janvier 2024, enregistrant un total de 51.900 demandes d'inscription. Selon la ministre, ce programme novateur avait particulièrement suscité l’intérêt des promoteurs immobiliers qui avaient exprimé leur désir de participer à ce projet afin d’améliorer les conditions de vie des habitants des zones rurales et de renforcer l’attrait des régions rurales, en particulier des centres ruraux émergents. Abordant les objectifs de ce programme, Mme El Mansouri a indiqué que cette feuille de route tablait sur l’adaptation des logements sociaux aux modes de vie, aux conditions de vie, au contexte culturel et géographique du monde rural, tout en préservant son identité architecturale unique. Un objectif dont la réalisation a nécessité que le département de tutelle œuvre en étroite collaboration avec les acteurs du secteur du logement pour intégrer des modifications et des innovations dans les normes de construction, en tenant compte des particularités locales et des données d’ingénierie propres aux espaces ruraux. Sur un autre registre, Mme El Mansouri a rappelé les efforts consentis pour renforcer le pouvoir d’achat des catégories à revenu limité et moyen, tout en réduisant les disparités régionales en matière de logement, notamment en milieu rural, depuis la fin des contrats du programme de logement subventionné par l’État en 2020. Des efforts qui se sont traduits par le lancement d’un nouveau programme révolutionnaire, conformément à l’article 8 du projet de loi de Finances pour l’année 2023. Cette feuille de route s’était fixé pour objectif d’octroyer une aide financière directe au logement pour tous les citoyens marocains éligibles, à condition qu’ils ne possèdent pas de propriété destinée au logement dans le territoire national, plaçant ainsi le soutien à l’acquisition d’un habitat social dans le monde rural parmi les priorités.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : En direct. Le policy center débat sur les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l'Afrique atlantique (2/2) || subtitle : None || body : En direct. Le policy center débat sur les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l'Afrique atlantique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Création d’emplois : les opportunités qui s’offrent au Maroc selon l’Istiqlal || subtitle : La problématique de l’emploi au Maroc se pose avec acuité. Pour Nizar Baraka, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal, l’une des explications à cette situation réside dans la croissance, dont le taux reste très en deçà de l’objectif de 6% fixé par le nouveau modèle de développement. || body : Malgré la volonté de faire plus et mieux en matière de création d’emplois, les résultats demeurent en deçà des aspirations. La faible croissance en est l’une des principales raisons, a affirmé le SG du Parti de l’Istiqlal, qui intervenait dans le cadre d’une conférence organisée par l’ Alliance des économistes istiqlaliens et la commission des affaires économiques et du développement durable issue de la commission préparatoire du 18e congrès national du parti. Pire, avec les évolutions technologiques et le développement de l’économie nationale, la proportion des emplois par rapport à la croissance a diminué, de sorte qu’un point de croissance qui générait 35.000 emplois n’en génère plus que 20.000 aujourd’hui, souligne M. Baraka, ajoutant que ces deux facteurs sont encore aggravés par la sécheresse, qui a détruit plus de 200.000 emplois dans les zones rurales. Emploi : Le taux de chômage au Maroc passe à 13% en 2023 (HCP) Le taux de chômage a nettement progressé entre 2022 et 2023, passant de 11,8% à 13%. Ce taux est passé de 5,2% à... Quelles solutions pour favoriser la création d’emplois ? Quelles sont les solutions envisageables pour remédier à cette situation qui persiste malgré les efforts du gouvernement qui a consacré pour cette seule année 330 milliards de dirhams à l’investissement public, l’entrée en vigueur de la nouvelle Charte de l’investissement, les incitations à l’ employabilité des jeunes dans les entreprises, ou encore le recrutement dans le cadre de la fonction publique qui a porté cette année sur 50.000 postes ? Selon M. Baraka, les solutions et les opportunités sont nombreuses. Tout d’abord, le Maroc peut tirer parti des grandes mutations qui s’opèrent à l’échelle mondiale et libérer de nouveaux gisements d’emplois. «Aujourd’hui, le monde connaît de grands mouvements sur le plan des chaînes de production, et notre pays doit donc être en mesure de se positionner dans les nouvelles configurations de ces chaînes», a affirmé le leader du Parti de l’Istiqlal. Une autre opportunité pour le Maroc soulevée par M. Baraka est celle de l’accueil de la Coupe du monde 2030. «Cette organisation, comme le souhaite Sa Majesté le Roi, sera non seulement l’occasion pour construire des stades, mais aussi pour développer notre pays en termes de transport, de transport urbain, de tourisme, etc.» L’organisation de la Coupe du monde 2030 apporte également d’importantes opportunités d’emploi dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics. «Le Maroc est devenu depuis cette année un grand chantier, qu’il s’agisse des infrastructures liées à la Coupe du monde, de la reconstruction des zones et provinces touchées par le séisme d’Al Haouz ou des contrats conclus par les régions pour de grands projets d’investissement», a fait savoir M. Baraka. Par ailleurs, le secrétaire général du parti de la balance a signalé qu’il existe plusieurs domaines dans lesquels on est actuellement en retard et où l’on peut dégager de nouvelles sources d’emploi, comme le numérique, l’économie du «care», l’économie circulaire ou encore l’économie de la santé. Cependant, note-t-il, il est essentiel d’élaborer dès aujourd’hui, en partenariat avec le secteur privé, une cartographie des formations futures nécessaires pour répondre aux besoins de tous ces secteurs. M. Baraka a également mis l’accent sur la nécessité d’encourager la préférence nationale et locale, notamment de la part de l’État dans ses appels d’offres, et de promouvoir la consommation de produits marocains afin d’augmenter à la fois le nombre d’emplois directs et indirects. La Charte de l’investissement commence à porter ses premiers fruits Le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Chakib Alj, a déclaré, de son côté, que la Charte de l’investissement commençait à porter ses fruits, puisque les quatre commissions nationales d’investissement ont approuvé un total de 86 projets en un an, représentant un total de 151,9 milliards de dirhams et donnant lieu à la création de 48.200 emplois directe et indirects. M. Alj a également ajouté qu’au sein de la CGEM, on attend avec impatience le dispositif de la Charte de l’investissement relatif à la TPME, rappelant l’engagement et la mobilisation de la Confédération et de toutes ses composantes pour continuer à accompagner les efforts du gouvernement afin d’atteindre l’objectif des 550 de milliards de dirhams d’investissement à l’horizon 2026 et des 500.000 emplois créés. Pour cela, poursuit le président de la CGEM, le partenariat public-privé doit se poursuivre afin de relever certains défis persistants et d’activer d’urgence certains leviers susceptibles d’accélérer le rythme de l’entrepreneuriat, incluant notamment l’augmentation de l’offre foncière par l’élargissement des réserves destinées aux zones industrielles et le développement de zones industrielles locatives de proximité plus accessibles aux TPME pour intégrer les activités informelles urbaines. Autre levier évoqué par M. Alj concerne le financement. «Bien que nous nous réjouissions du lancement de CapAccess, nous continuons à appeler à la mise en place de mécanismes d’accompagnement intégrés pour les TPME et la promotion de modes de financement alternatifs tels que le crowdfunding, tout comme nous aimerions également avoir un Small Business Act», a-t-il souligné.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pedro Sanchez : Le Mondial 2030 sera un "grand succès" || subtitle : La Coupe du Monde 2030, dont le dossier Maroc-Espagne-Portugal a été retenu par le Conseil de la FIFA comme candidature unique pour son organisation, sera un «grand succès», a affirmé, lundi à Madrid, le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez. || body : «La Coupe du monde 2030 sera un grand succès parce que nous sommes trois nations, le Portugal , l' Espagne et le Maroc , qui aiment le football en tant que sociétés», a souligné le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez lors d’un point de presse conjoint avec le premier ministre portugais, Luis Montenegro . Mondial 2030 : le Maroc, l’Espagne et le Portugal veulent en mettre plein les yeux au monde Les contours du dossier de candidature conjoint pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 ont été dévoilés mardi lors d’une cérémonie organisée à Lisbonne. En plus de l’identité visuelle et du slogan «Yalla Vamos 2030», le Maroc, l’Espagne et le Portugal se sont engagés à organiser la meilleure Coupe du monde de l’histoire et qui aura un impact intemporel. «Nous avons une longue histoire éprouvée dans l'organisation d'événements sportifs, ce qui démontre notre capacité d'organisation que peu de pays dans le monde ont», a encore soutenu le chef du gouvernement espagnol . «Je suis sûr que la Coupe du monde sera un grand succès organisationnel avec un pays ami comme le Maroc», a-t-il insisté. Pour sa part, M. Montenegro a réitéré le «plein engagement» des trois pays pour garantir le succès de cet événement planétaire. «Nous mettrons tous nos efforts et notre dévouement au service de l'organisation de la Coupe du monde 2030 », a affirmé le responsable portugais, relevant que le Portugal , l’ Espagne et le Maroc sont «convaincus de l'importance de cet événement, non seulement d'un point de vue sportif, mais aussi d'un point de vue économique, culturel et d'opportunités». «Ce sera l'occasion de montrer au monde les valeurs que nous défendons au Portugal, en Espagne et au Maroc», a-t-il assuré.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Bourita reçoit l'ambassadeur de Bahreïn, porteur d'un message écrit à S.M. le Roi du Souverain bahreïni || subtitle : Sur Hautes Instructions Royales, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a reçu, vendredi à Rabat, l'ambassadeur du Royaume de Bahreïn, Khalid Bin Salman Al-Musallam. || body : Lors de cette entrevue, l'ambassadeur du Royaume de Bahreïn , Khalid Bin Salman Al-Musallam a remis au ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita un message écrit adressé à Sa Majesté le Roi Mohammed VI , que Dieu Le préserve, par le Souverain de Bahreïn , S.M. Hamad Ben Aissa Al Khalifa . بتعليمات ملكية سامية، استقبل السيد ناصر بوريطة، اليوم بالرباط، سفير مملكة البحرين، السيد خالد بن سلمان المسلم، حاملاً رسالة إلى صاحب الجلالة الملك محمد السادس، نصره الله، من صاحب الجلالة الملك حمد بن عيسى آل خليفة، عاهل مملكة البحرين. pic.twitter.com/FroVglc8Z1 — الدبلوماسية المغربية (@MarocDiplo_AR) April 5, 2024</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Côte d’Ivoire : Ouverture officielle vendredi de la Mosquée Mohammed VI d’Abidjan || subtitle : None || body : Conformément aux Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI , Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains va procéder, en collaboration avec les autorités ivoiriennes compétentes, notamment le Conseil Supérieur des Imams, des Mosquées et des Affaires Islamiques (COSIM) et la Section Ivoirienne de la Fondation, à l'inauguration officielle de la Mosquée Mohammed VI d’Abidjan lors de la Prière du vendredi 26 Ramadan 1445 de l’Hégire, correspondant au 5 avril 2024. Guinée : ouverture officielle ce vendredi de la Mosquée Mohammed VI de Conakry Conformément aux Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, la Fondation Mohammed VI des oulémas africains, en parfaite coordination avec les autorités guinéennes compétentes, procédera à l’ouverture officielle de la Mosquée Mohammed VI de Conakry, et ce à l’occasion de la prière du vendredi 18 Ramadan 1445 de l’Hégire, correspondant au 29 mars 2024. Le prêche du vendredi sera prononcé par le représentant du Conseil Supérieur des Ouléma du Royaume du Maroc , en présence d’un certain nombre de personnalités officielles et religieuses marocaines et ivoiriennes. A cet égard, une veillée religieuse en commémoration de Laylat Al Qadr (la Nuit du destin) sera célébrée au sein de la Mosquée Mohammed VI d’Abidjan le jour même de son inauguration, avec la participation des Ouléma, des califes de confréries soufies et des guides religieux ivoiriens et marocains, fait savoir la Fondation Mohammed VI des Ouléma africains dans un communiqué. L’animation de la Nuit bénie du destin comblera de ses bienfaits, dans un climat de quiétude et de paix spirituelle, les fidèles ivoiriens et marocains. Témoignant de la Haute Vision de Sa Majesté le Roi, Amir Al Mouminine , que Dieu L’assiste, qui reflète Son engagement particulier en faveur de la protection des constantes religieuses, la Mosquée Mohammed VI d’Abidjan œuvrera à la diffusion de la sagesse, à l’enseignement du Saint Coran, à la célébration de la prière, ainsi qu’à la promotion des valeurs nobles de paix, de tolérance et de dialogue, telles que prônées par la religion musulmane. Fidèle à sa mission, la Mosquée Mohammed VI d’Abidjan optera au partage de l'expertise marocaine en matière de gestion du champ religieux et ce, sur la base des fondamentaux religieux communs entre les deux pays, symbolisant ainsi les liens fraternels et historiques entre les peuples ivoirien et marocain, précise le communiqué. Les travaux de construction de la Mosquée Mohammed VI d’Abidjan ont été lancés le 3 mars 2017 par Sa Majesté le Roi Mohammed VI , Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, accompagné de Son Excellence M. Alassane Dramane Ouattara , Président de la République de Côte d’Ivoire. Les travaux réalisés, par des artisans marocains, ont obéi scrupuleusement aux normes architecturales marocaines traditionnelles et authentiques dans toute leur splendeur. L’édifice de la Mosquée s’étend sur une superficie de 25.000 m2 et comprend une salle de prière avec une capacité d’accueil de 7000 fidèles, ainsi qu’une salle de conférences, une bibliothèque, un complexe commercial, des espaces verts, un pavillon administratif, un logement pour l’imam et un parking.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Comment les entreprises marocaines subissent le fléau de la corruption selon l’INPPLC || subtitle : L’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC) vient de lever le voile sur les résultats de sa deuxième enquête nationale. Menée entre mai et août 2023, l’enquête révèle une perception négative persistante de la corruption parmi les entreprises marocaines. Les secteurs des licences, des marchés publics et de l’emploi sont cités comme les plus vulnérables, tandis que la faible propension à dénoncer ces pratiques dévoile un sentiment d’impuissance et de résignation face à la corruption. Ce tableau sombre appelle à une mobilisation renforcée et à des politiques plus efficaces pour éradiquer ce mal qui entrave le développement économique et la justice sociale. || body : Dans l’ombre du monde des affaires au Maroc, un adversaire insidieux tisse sa toile : la corruption. Révélée au grand jour par l’enquête nationale de L’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption, cette réalité sombre montre à quel point les entreprises pâtissent de ce fléau, percevant la corruption non pas comme une exception, mais comme une règle dans leur environnement. Face à cette réalité, une question se pose : comment inverser cette tendance et lutter contre ces pratiques malsaines qui ternissent le paysage économique marocain ? Car selon une enquête de l’INPPLC, les chiffres sont sans appel : 68% des entreprises marocaines perçoivent la corruption comme une réalité incontournable dans leur environnement d’affaires. En effet, selon l’étude, si 68% des entreprises sondées estiment que la corruption est répandue ou très répandue au Maroc, seulement 8% la jugent peu ou très peu répandue. Cette perception se précise dans les secteurs cruciaux des licences et des marchés publics. Lutte anti-corruption : Bachir Rachdi décline sa méthode Visiblement, le président de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption prend très à cœur sa mission. Et pour la mener à bien, il compte mobiliser toutes les ressources à sa disposition et même mettre à contribution les autres parties prenantes. C’est que Bachir Rachdi veut des résultats «palpables» à court terme, tout en traçant les jalons d’une «stratégie et d’une vision» de longue haleine. Pour lui, L’heure est à la complémentarité des efforts pour «rendre effectives» les dispositions constitutionnelles, avec une vision alignée sur les Orientations Royales en matière de bonne gouvernance. Les raisons de l’exposition à la corruption La corruption révèle en fait une dynamique complexe. Pour 62% des entreprises, recourir à la corruption semble être le seul moyen d’accéder à des services ou des décisions auxquels elles sont légitimement en droit de prétendre. Cet état de fait met en lumière une administration parfois labyrinthique, où la corruption se présente comme une voie pour contourner l’inertie bureaucratique. D’après les réponses des entreprises sollicitées, les sphères les plus vulnérables à la corruption comprennent les processus d’obtention de licences, d’agréments et d’autres autorisations, les procédures de marchés publics ainsi que le domaine de l’emploi. Par ailleurs, près d’un quart des répondants (23%) ont signalé avoir été confrontés à des pratiques de corruption durant l’année écoulée. Ce constat s’inscrit dans un contexte où une majorité significative (45%) perçoit une escalade de la corruption au sein du pays au cours des deux dernières années, tandis qu’une minorité (27%) observe une tendance à la baisse. Le mur du silence : la peur de dénoncer Lors de leur confrontation avec la corruption, les motivations principales évoquées par les entreprises pour s’y engager incluent le désir d’obtenir des services ou des avantages légitimes (62%), la volonté d’accélérer les processus administratifs ou d’obtenir un traitement prioritaire (57%), l’aspiration à faciliter certaines démarches ou à éviter des procédures administratives contraignantes (24%) et la recherche d’issues judiciaires ou décisionnelles favorables (8%). Étonnamment, l’étude de l’Instance relève une faible tendance à dénoncer les actes de corruption, avec seulement 6% des entreprises ayant franchi le pas. Traduisant une profonde résignation, ce silence est alimenté par la peur des représailles et le scepticisme quant à l’efficacité des mesures de protection offertes aux lanceurs d’alerte. Cette réticence à agir est symptomatique d’un manque de confiance dans les institutions censées combattre la corruption. Vers une stratégie renforcée pour lutter contre la corruption Face à cette situation, l’appel à une stratégie de lutte contre la corruption plus robuste et efficace se fait plus pressant que jamais. L’Instance suggère un besoin urgent de réformes structurelles, de renforcement des mécanismes de contrôle et d’encouragement à la transparence. Pour cultiver un environnement d’affaires intègre et transparent, des actions concrètes sont nécessaires. L’instance évoque quatre pistes. Il s’agit d’initier des réformes législatives pour améliorer la transparence dans les marchés publics et faciliter l’accès à l’information publique. Réduire la bureaucratie par la simplification des procédures et la digitalisation, tout en renforçant les protections pour les dénonciateurs de corruption. Élever le niveau de préparation des entreprises contre la corruption par la formation et la sensibilisation. Offrir des outils adaptés pour mieux identifier et gérer les risques de corruption est crucial pour un secteur privé résilient. Puis favoriser un dialogue structuré entre les acteurs publics et privés pour partager des stratégies efficaces contre la corruption.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le spectre des grèves plane à nouveau sur les écoles publiques || subtitle : Le scénario d’un retour à la grève est à nouveau redouté dans le secteur de l’enseignement public. La principale raison invoquée concerne cette fois-ci une augmentation des salaires du corps enseignant du primaire et du secondaire collégial à trancher dans le cadre du dialogue social central. Explications. || body : La menace de grève est de nouveau d’actualité dans le secteur de l’enseignement public. À l’approche de la fin du mois d’avril, qui devrait être marquée par des annonces sanctionnant le dialogue social central, notamment en ce qui concerne les augmentations de salaires dans la fonction publique , le corps enseignant entend ne pas se voir exclu de cet acquis au prétexte qu’il a déjà bénéficié d’une revalorisation dans le cadre de l’accord du 10 décembre de l’année dernière. Cet accord prévoit, pour rappel, une augmentation générale de salaire de 1.500 DH pour les enseignants, appliquée en deux tranches égales en janvier 2024 et janvier 2025. Grèves des enseignants : bientôt l’épilogue après trois mois d’âpres tractations Visiblement, le compte à rebours est enclenché avant la promulgation du statut unifié des fonctionnaires du département de l’Éducation nationale. Le Conseil du gouvernement qui se tiendra jeudi prochain examinera aux fins d’adoption tous les projets de décret afférents à ce cadre référentiel. Les syndicats les plus représentatifs devaient recevoir, ce lundi, la version finale de ces textes. S’agissant des enseignants suspendus, leur sort sera décidé au niveau des Commissions régionales qui seront créées au niveau des AREF. Depuis lors, des échos non officiels laissent entendre que le corps enseignant ne bénéficierait pas d’un relèvement général des salaires de la fonction publique, si un accord était conclu sur ce point dans le cadre du dialogue social central entre le gouvernement et les centrales syndicales. Voilà ce qui a fait réagir les enseignants pour faire entendre leur voix avant qu’un tel accord ne soit officialisé. Sur les réseaux sociaux, particulièrement sur Facebook, de nombreuses annonces ont circulé laissant présager une grève nationale de quatre jours à partir de ce lundi 15 avril, sans pour autant revêtir une forme officielle. Cependant, la F édération nationale de l’enseignement (FNE-Orientation démocratique) a annoncé vendredi dernier sur sa page Facebook que «la lutte des enseignants se poursuivra», pour la retard dans la mise en œuvre des dispositions de l’accord du 10 décembre, notamment l’augmentation des salaires des enseignants de 750 qui devait être effective à partir de janvier 2024. Dans une lettre au Chef du gouvernement datée du 31 mars, la FNE a réclamé une augmentation supplémentaire de 500 dirhams pour les enseignants du primaire et du secondaire collégial, à l’instar de leurs confrères du secondaires qualifiant. Il est à rappeler que le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, avait déclaré le 5 février dernier, devant les parlementaires, que l’accord conclu avec les syndicats les plus représentatifs du secteur de l’Éducation nationale coûterait 17,5 milliards de dirhams supplémentaires au Budget de l’État d’ici 2028. Cet accord prévoit plusieurs mesures en faveur des enseignants, notamment : • Une revalorisation salariale d’au moins 1.500 DH net par mois pour tous les enseignants, ainsi qu’une prime de 1.000 DH à partir de la troisième classe. • Des promotions non programmées pour les enseignants du primaire et du secondaire, qui bénéficieront d’une accélération de leur carrière et d’un traitement des dossiers en souffrance. • Une prise en compte spécifique des enseignants ayant une haute distinction académique, qui seront promus dans la classe salariale correspondant à leur diplôme. • Une régularisation de la situation des enseignants titulaires d’une maîtrise ou équivalent, d’un doctorat ou d’un diplôme universitaire reconnu équivalent, qui seront soumis à des procédures de sélection particulières pour accéder à la classe salariale appropriée. Un nouveau groupe salarial pour les stagiaires sera également créé. • Une attribution rétroactive de l’ancienneté aux personnes promues à un grade actuellement bloqué. En outre, un nouvel organisme pour les administrateurs de l’éducation et un statut spécial pour les professeurs d’université seront créés.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La Chambre des conseillers ouvre vendredi la deuxième session de l'année législative 2023-2024 || subtitle : La Chambre des conseillers tiendra une séance plénière, vendredi prochain, consacrée à l’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024. || body : La Chambre des représentants ouvre vendredi la 2ème session de l’année législative 2023-2024 La Chambre des représentants tiendra une séance plénière, vendredi prochain, consacrée à l’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 et à l’élection du président de la Chambre pour le reste de la législature (2021-2026). Cette séance, qui se tiendra en vertu des dispositions de l’article 65 de la Constitution, débutera à 11h00, indique un communiqué de la Chambre des conseillers .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-France : la mise en œuvre de la feuille de route commune progresse (Quai d’Orsay) || subtitle : La France et le Maroc progressent dans la mise en œuvre de leur "ambitieuse" feuille de route commune, a souligné, jeudi, le porte-parole adjoint du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères. || body : Les échanges du ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné , avec son homologue marocain, Nasser Bourita , qui ont eu lieu mardi à Paris , ont "permis de progresser davantage dans la mise en œuvre de l'agenda politique et la feuille de route commune ambitieuse que nous partageons désormais avec le Maroc ", a indiqué le porte-parole adjoint du Quai d’Orsay , qui s’exprimait lors d’un point de presse. Cette feuille de route "concerne aussi bien les grands investissements d'avenir que les aspects sécuritaires, les échanges culturels ou encore les enjeux globaux", a-t-il ajouté. À l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, le chef de la diplomatie française avait écrit sur son compte X que ‘’la relation entre la France et le Maroc est unique !". Maroc-France : Nasser Bourita s’entretient avec Stéphane Séjourné à Paris Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a été reçu, ce mardi 9 avril à Paris, par son homologue français, Stéphane Séjourné. M. Séjourné avait effectué fin février une visite au Maroc , dans le cadre de la ferme détermination de S.M. le Roi Mohammed VI et du président français Emmanuel Macron à impulser le partenariat stratégique bilatéral sur des bases fortes, en capitalisant sur les assises historiques et humaines solides auxquelles sont adossées ces relations, tout en tirant profit des acquis enregistrés dans le cadre de ce partenariat depuis des décennies.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Istiqlal : voici où en sont les préparatifs du 18e congrès || subtitle : À quelques semaines de son 18e congrès national, le Parti de l’Istiqlal entre dans la dernière ligne droite des préparatifs. Les sous-commissions ont rendu leurs rapports et plateformes reflétant la vision renouvelée du parti s’agissant des grandes questions politiques, économiques et sociales. || body : Une locomotive en ordre de marche pour aborder le rendez-vous prévu à Bouznika les 26, 27 et 28 avril prochains. Mais quelques défis organisationnels restent à relever, comme l’élection des congressistes et des membres du futur conseil national lors des congrès provinciaux à tenir d’ici là. Dans la foulée d’une dynamique bien lancée, la commission préparatoire du Parti de l’Istiqlal a tenu, samedi 30 mars 2024, sa deuxième réunion. L’occasion de défricher les grands axes que portera le parti historique lors de son prochain congrès national, le 18e du genre. L’Istiqlal maintient le cap sur le prochain congrès malgré les incidents de parcours Dans une atmosphère tendue, le Parti de l’Istiqlal (PI) s’apprête à tenir son 18e congrès national. Entre préparatifs minutieux et controverses internes, notamment l’altercation entre Youssef Abtioui et Moncef El-Toub et les démêlés judiciaires impliquant Nourdin Moudian, le parti cherche à dépasser ses divisions et préserver la cohésion de ses membres. Une tâche des plus ardues à laquelle s’attelle résolument Abdeljabbar Rachdi, président de la commission préparatoire. À cette occasion, les présidents des sous-commissions ont présenté les projets de rapports et de plateformes préparés. Selon la présidence de la commission, cette réunion a donné lieu à un débat approfondi, responsable et fructueux des membres sur le contenu de ces documents. Marqués par l’idéologie et la ligne politique du parti, ces rapports reflètent sa vision renouvelée et son projet sociétal «égalitaire», apportant des réponses claires aux problématiques émergentes. Ils proposent également des alternatives innovantes, des solutions prospectives intégrant une approche de gestion des risques, témoignant ainsi de la singularité de la réflexion istiqlalienne. Un communiqué publié par la commission dans ce sens souligne le haut niveau des contenus proposés et de la pensée libre du parti sur diverses questions pour contribuer au développement du pays. Le casse-tête de l’organisation locale de l'Istiqlal Selon une source proche de la commission préparatoire qui a requis l’anonymat, les travaux préparatoires avancent. La prochaine étape consistera à peaufiner la rédaction des différents rapports et documents afin de finaliser les projets de plateformes à soumettre aux congressistes les 26, 27 et 28 avril 2024 à Bouznika. Istiqlal : le chemin vers le 18e congrès n’est pas un long fleuve tranquille Deux incidents sont venus perturber le climat de mobilisation générale marquant les préparatifs du 18e congrès de l’Istiqlal : la gifle assénée par un membre du comité exécutif à un député et la plainte d’une ancienne députée contre le chef du groupe parlementaire, Nourdin Moudian. Mais une source proche de la direction, en phase avec les travaux de la commission préparatoire, assure que le parti poursuit d’un pas ferme les préparatifs de cette grand-messe prévue fin avril à Bouznika. Sur le plan organisationnel, une étape cruciale reste à franchir : la tenue des congrès provinciaux. Ce qui est une opération indispensable pour élire les congressistes et les candidats au futur conseil national au nom de chaque province. Ces congrès locaux devront idéalement avoir lieu avant la prochaine réunion de la commission préparatoire prévue le 17 avril prochain. Autre enjeu majeur : déterminer le nombre de sièges à attribuer à chaque province au sein du prochain conseil national. Une visibilité sur cette répartition des membres s’avère nécessaire. Préparation continue pour la sous-commission des statuts Alors que la plupart des sous-commissions ont achevé leurs travaux, une exception de taille est à noter selon notre source. Il s’agit de la sous-commission des statuts et règlements, présidée par Rahal Mekkaoui, dont les travaux se poursuivront jusqu’à la veille du congrès. «Dans toutes les expériences précédentes des congrès de l’Istiqlal, cette sous-commission continue à travailler jusqu’au jour J», explique notre interlocuteur. Cependant, dissipant tous les doutes, les propositions visant la révision des statuts, qui avaient suscité des désaccords suite à la «retraite de Harhoura», ne figurent pas à l’ordre du jour. Adoptant sa propre méthodologie, la commission a lancé des concertations avec les militants en leur adressant un questionnaire pour recueillir leurs propositions. «Les contributions sont étudiées, classées par chapitre, en vue de rédiger des propositions de révision des statuts», détaille notre source. Le processus se poursuit donc, alimenté par la base militante, sans toutefois aborder les points les plus controversés évoqués précédemment par la direction. Concernant les propositions pour une révision des statuts, une idée consisterait à intégrer une approche «éthique et légale» en conformité avec les Orientations Royales, d’après notre source. Redéfinir le projet économique et sociétal Par ailleurs, les autres sous-commissions ont mené des débats riches sur diverses thématiques. Celle sur les réformes politiques, la régionalisation avancée, la décentralisation et la gouvernance territoriale a permis de poser la vision du parti sur ces enjeux. La sous-commission «affaires économiques et développement durable», présidée par Ryad Mezzour, a de son côté présenté les orientations économiques du parti. Son rapport reflète l’esprit égalitariste de l’Istiqlal, en prenant en compte la classe moyenne et l’économie solidaire comme levier de croissance. Il met aussi l’accent sur l’équité et la justice territoriale. «Au niveau économique, le parti défend un libéralisme “humanisé”, comme alternative au libéralisme sauvage. Il prône la responsabilité sociale de l’entreprise, qui peut faire du profit, mais pas au détriment de l’humain», résume notre interlocuteur. Ces travaux dessinent ainsi les principaux contours du projet que le parti compte porter lors du prochain congrès, entre nouvelles orientations statutaires, positions sur les réformes institutionnelles et projet économique et social.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense || subtitle : La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. || body : Durant la session de printemps, qui débutera le vendredi 12 avril 2024, les députés seront saisis de projets de loi très importants qui devraient soulever de vifs débats. D’après le professeur de droit à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociale de Souissi Abdelhafid Idminou , «cette session de printemps sera placée sous le signe d’un agenda législatif intense pour diverses raisons, notamment en ce qui concerne la poursuite de la mise en œuvre du programme du gouvernement, qui porte sur plusieurs chantiers importants, au premier rang desquels figure celui de la protection sociale». Tout d’abord, en ce qui concerne l’exécution de la loi de Finances pour 2024, le gouvernement sera appelé à remettre aux députés des états d’avancement au cours de cette session de printemps, indique au «Matin» M. Idminou. Rentrée parlementaire : la course aux postes de responsabilité a commencé Le Parlement marocain s’apprête à vivre une période charnière. Conformément à l’article 62 de la Constitution, d’importants changements sont à prévoir au sein des structures dirigeantes des deux Chambres. Cette phase cruciale de renouvellement soulève des interrogations, notamment sur les rapports de force au sein de la majorité gouvernementale. Par ailleurs, poursuit le professeur de droit, le gouvernement a entamé un nouveau round de dialogue social, et parmi les questions importantes associées à ce dialogue social figurent les projets de loi y afférents, notamment le projet de loi organique sur la grève. «Ce projet de loi attend de voir le jour depuis la neuvième législature et ce gouvernement est déterminé à le faire adopter au cours de cette législature», souligne M. Idminou, ajoutant que cette loi sur la grève est cruciale pour régir les relations de travail et encadrer les grèves, d’autant plus que de nombreux secteurs ont été en proie à d’importants mouvements de grève cette année, notamment le secteur de l’enseignement. De même, le gouvernement avait annoncé qu’il soumettrait la loi sur les syndicats et «il y a donc lieu de s’attendre à ce que ce projet de loi soit introduit au Parlement au cours de cette session, comme le gouvernement s’est engagé à le faire dans le cadre du dialogue social», estime le professeur de droit. En ce qui concerne le chantier de la réforme du système de justice, M. Idminou rappelle que la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme à la Chambre des représentants a entamé il y a quelques jours l’examen du projet de loi relatif à la procédure civile et qu’il est également envisagé que le gouvernement soumette au Parlement le projet de loi sur le Code pénal. Pour ce qui est de la réforme du Code de la famille, dont l’organe chargé de sa révision vient de remettre son rapport au Chef du gouvernement, M. Idminou pense probable que le nouveau projet de Moudawana soit soumis au Parlement au cours de cette session de printemps. «Et si tel est le cas, alors nous aurons affaire à un texte législatif majeur qui ne manquera pas de donner lieu à de vifs débats», affirme le professeur de droit. Dans un tout autre registre, et en ce qui concerne la législation applicable au Parlement, M. Idminou s’attend à ce que la Chambre des conseillers vote en faveur de la version amendée de son règlement intérieur, laquelle inclut le code éthique parlementaire. Et, d’après lui, il en sera de même pour la Chambre des représentants, également appelée à se doter d’un tel code. Et de conclure que cette session de printemps s’annonce particulièrement dense en termes d’activité législative, ce qui suppose une bonne gestion du temps parlementaire pour faire aboutir ces textes.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le niveau de réserves des barrages très proche de la moyenne de 2023 || subtitle : Le taux de remplissage des barrages affiché ce mercredi 3 avril est de 31,79% contre 34,5% le même jour en 2023. Plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre retrouvent leur niveau des années précédentes. || body : Le niveau de réserves des barrages se rapproche du niveau de 2023, selon le dernier bulletin du ministère de l'Equipement et de l'Eau sur la situation journalière des barrages du Maroc . Le taux moyen de remplissage a atteint, au mercredi 3 avril, 31,79% contre 34,5% le même jour en 2023. Le taux de remplissage des barrages dépasse 30% grâce aux dernières pluies Les précipitations enregistrées la semaine dernière ont été bénéfiques pour plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre. Le niveau de réserves des barrages à l'échelle nationale dépasse 30% contre 34% à la même période en 2023. Dans le détail, c'est la région du Nord qui a bénéficié le plus des pluies enregistrées ces derniers jours. Ainsi, les barrages Nakhla, Chefchaouen et Acharif Al Idrissi du Bassin Loukkos sont remplis à 100% à ce jour. Les barrages Oued El Makhazine, Smir et Ibn Battouta ont franchi la barre des 90%. Les barrages du Bassin Sebou affichent également de niveaux de réserves importants : Barrage Bouhouda : 100% ; Barrage Allal El Fassi : 96,79% ; Barrage Garde Sebou : 94,16%. Les barrages Alwahda, Michlifen, Bab Louta et Sidi Echahed dépassent 50%. Dans le Bassin Tensift , les taux de remplissage des barrages Yacoub Mansour, Abou El Abbas Essabti et Sidi Mhamed Ben Sliman Jazouli dépassent 70%. L'évolution du taux de remplissage des barrages depuis septembre 2023.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réformes de la Moudawana et du Code pénal : gare aux incohérences ! (Me Omar Bendjelloun) || subtitle : Pour réguler l'institution de la famille et établir l'équité homme-femme, il y a, d'après l'avocat aux barreaux de Rabat et de Marseille Omar Bendjelloun, plusieurs paramètres qui entrent en jeu, comme la paix sociale, la paix et la stabilité juridiques, les différents courants politiques et idéologiques ou encore la structure sociale, politique et religieuse du pays, afin d'arriver à un savant équilibre. Selon ce juriste, il existe plusieurs exemples qui permettent d'atteindre les mêmes résultats d'équité et d'égalité entre les hommes et les femmes sans toucher pour autant à quelques courts-circuits dans la Moudawana. || body : Lorsqu'il s'agit de mettre en œuvre certaines dispositions du Code de la famille qui débordent sur le Code pénal , Maître Omar Bendjelloun estime qu'il existe d'autres moyens pour intervenir que de déclencher la procédure pénale. De son point de vue, «c'est là tout l'intérêt de diversifier le polycentrisme des sources de droit». Invité de «L’Info en Face» pour discuter des réformes de la Moudawana et du Code pénal et dans quelle mesure elles convergent ou divergent, Me Bendjelloun affirme qu’«on ne peut pas triompher à l’idée que réguler la famille ou établir l’égalité homme-femme passe par la réforme d’une seule loi». Pourquoi ? D’après cet avocat, il y a plusieurs paramètres qui entrent en jeu comme celui de la paix sociale, de la paix et la stabilité juridiques, des différents courants politiques et idéologiques ou encore de la structure sociale, politique et religieuse du pays. «Il existe plusieurs exemples qui permettent d'aboutir aux mêmes résultats d'équité et d'égalité entre les hommes et les femmes sans toucher pour autant à quelques courts-circuits dans la Moudawana», dit-il. Évoquant l'exemple précis du non-paiement de la pension alimentaire , qui peut entraîner une condamnation pénale du père, Me Bendjelloun estime que cette question mérite d'être posée : «L'enfant ou la mère ont-ils tous deux besoin d'un père en prison, qu'il soit en mesure de payer ou non ?» Et de poursuivre : «Admettons qu'il n'ait pas d'argent, c'est-à-dire que même s'il est envoyé en prison, il ne peut pas payer. Est-ce le rôle de l'État d'envoyer un père en prison pour défaut de paiement ?» Et même dans le cas contraire, où il y a une intention de se soustraire à ses responsabilités, alors que le compte est plein et que les revenus sont là, l'avocat juge qu'il y a d'autres moyens d'intervenir que de déclencher la procédure pénale. Dans cet exemple d'«abandon de famille», précise Me Bendjelloun, la logique reste strictement économique et relève de la pertinence. En ce qui concerne l' adultère , il y a une logique qui veut qu’on le dépénalise à terme, souligne l'avocat, se demandant si cela créerait une paix sociale à l'égard des victimes. «Est-ce que cela ne renvoie pas encore à une forme d'émotion liée à l'honneur et à une vulnérabilité dans une société qui est encore émotionnelle et en voie développement ?», s’interroge-t-il. Pour trouver des réponses adaptées à ces situations, M. Bendjelloun soutient que ce travail incombe aux intellectuels. «Nous avons besoin d'intellectuels qui réfléchissent aux différents aspects d'une norme. Dans l'exercice de légistique, la norme n'est que l'expression synthétisée de plusieurs paramètres en jeu, qui peuvent être hétérogènes comme homogènes», dit-il. Interdiction du mariage des mineurs et dépénalisation des relations hors mariage : une incohérence juridique ? Abordant la question de l'interdiction du mariage pour les mineurs, Me Bendjelloun se dit favorable à l'interdiction du mariage avant l'âge de 18 ans, mais une question reste à poser : «Comment le légiste entend-il créer une norme pour interdire le mariage des mineurs, et d'un autre côté, créer une autre norme dépénalisant les relations hors mariage une fois en capacité physique, c'est-à-dire à partir de 15-16 ans ?» C'est comme dire qu'entre 15 et 18 ans, on peut avoir des relations hors mariage, mais qu'on n'a pas le droit de se marier, commente l'avocat, précisant que «juridiquement, cela ne tient pas». Pour aller dans le sens de la cohérence, Me Bendjelloun pense que ce qui sous-tend l'interdiction du mariage des mineurs est cette sorte de traite des êtres humains, où nous avons une jeune fille de 16 ans qui est «vendue», moyennant une dot, à un homme de 75 ans. «Alors, oui, nous devons envisager de l'interdire. Mais si la fille et le garçon ont tous deux 17 ans, comment faire ? On va leur interdire de se marier tout en leur permettant d’avoir des relations hors mariage ?» C'est à ces situations qu'il faut réfléchir attentivement, pour éviter de tomber dans «l'hypocrisie» ou «l'hybridité» normative où l'on a «du blanc ici et du noir là».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Création d'entreprises en ligne : le gouvernement approuve un nouveau décret || subtitle : Le Conseil de gouvernement a approuvé, jeudi, le projet de décret n° 2.22.92 fixant les modalités et les procédures de création d'entreprises par voie électronique et leur accompagnement, présenté par le ministre de l'Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour. || body : Attendus depuis la promulgation de la loi numéro 88-17 relative à la création et à l’ accompagnement d’entreprises par voie électronique , les textes réglementaires commencent à voir le jour. Le projet de décret n° 2.22.92 fixant les modalités et les procédures de création d'entreprises par voie électronique et leur accompagnement a été approuvé ce jeudi en Conseil de gouvernement . >> Lire aussi : Création d'entreprises en ligne : Voici les grandes lignes du projet de décret Ce projet s'inscrit dans le cadre du renforcement du cadre législatif et réglementaire visant à améliorer le climat d'investissement dans le Royaume et à accroître la compétitivité des entreprises nationales, a indiqué le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas , lors d'un point de presse à l'issue du conseil. Il implique également l'application de la loi n° 88.17 relative à la création et à l’accompagnement des entreprises par voie électronique, qui prévoit l'adoption de la méthode électronique pour effectuer les procédures et formalités relatives à la création d'entreprises et au suivi de leur situation juridique , à travers une plateforme électronique créée à cet effet, dont la gestion est confiée à l' Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale , a-t-il précisé. Baitas a ajouté que ce projet de décret vise aussi à définir les modalités et les procédures relatives à la création d'entreprises de manière électronique et à leur suivi, notamment les modalités de déclaration de la création d'entreprise et la liste des documents à joindre à cette déclaration, les modalités d'enregistrement ultérieures et leur traitement par voie électronique, ainsi que les modalités de demande des documents prévus à l'article 5 de la loi n° 88.17 susmentionnée, tels que les certificats, les copies et les extraits, ainsi que les autres documents.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aid Al Fitr : le vendredi 12 avril 2024 jour férié dans les administrations publiques || subtitle : C'est officiel. Le chef du gouvernement vient d'accorder le vendredi 12 avril 2024 comme congé exceptionnel dans l'administration publique. || body : Voici le communiqué du chef du gouvernement : "A l’occasion de l’Aïd Al-Fitr, il a été décidé de suspendre le travail dans les administrations de l’Etat et les collectivités territoriales, de manière exceptionnelle, le vendredi 12 avril 2024, au cas où le 1er Chaoual 1445 correspondrait au mercredi 10 avril 2024, et ce, en application des dispositions de l’article 3 du décret n ° 2-05-916 du 13 Joumada II 1426 (20 juillet 2005), tel que modifié et complété".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réforme du système éducatif : pourquoi les résultats se font toujours attendre || subtitle : Le débat autour des progrès de la réforme de l’éducation se poursuit entre ceux qui notent des avancées et d'autres qui pointent des insuffisances. Pourquoi les résultats de cette réforme se font toujours attendre ? Quels sont les points de blocages qui persistent et comment les dépasser ? Les participants à la conférence organisée par le site d’information «Alyaoum 24» en partenariat avec l’association «Amaquen» nous livrent des éléments de réponses. || body : Si la réforme de l’éducation n’a pas progressé de manière optimale, c’est principalement en raison de l’absence d’un cadre de référence pour la mener à bien. Telle est la principale explication donnée par des experts en éducation ayant pris part à une conférence organisée par le site d’information «Alyaoum 24» en partenariat avec l’association «Amaquen» sous le thème «Le référentiel de la loi et le changement de politique». Ainsi, comme le souligne Abdennasser Naji, président de l’association «Amaquen», depuis l’indépendance et jusqu’à l’adoption de la Charte nationale de l’éducation et de la formation, le paysage éducatif a été marqué par des réformes adossées à des approches limitées dans le temps, souvent inscrites dans des plans quinquennaux ou triennaux, ou encore liées aux programmes des gouvernements successifs qui, une fois en place, entamaient des réformes qui étaient parfois en rupture avec les réformes précédentes. Et cette absence de fil conducteur des réformes explique en grande partie, selon M. Naji, leur échec, faute d’accumulation, mais aussi en raison des choix opérés par certains gouvernements, qui étaient en totale contradiction avec ceux mis en œuvre par les gouvernements précédents. Le temps éducatif est, comme le souligne M. Naji, beaucoup plus étendu que le temps politique, qui est généralement court et dure le temps d’un mandat gouvernemental, c’est-à-dire cinq ans. Or une réforme doit s’inscrire dans la durée et ne doit pas être interrompue par l’arrivée d’un nouveau gouvernement, dit-il. Réforme de l'éducation : L'AFD accorde un prêt de 130 millions d'euros au Maroc L'Agence Française de Développement (AFD) a accordé un prêt de 130 millions d'euros au Maroc pour soutenir la réforme nationale du système éducatif 2022-2026. Par ailleurs, l’adoption de la Charte nationale de l’éducation et de la formation en 1999, qui était censée annoncer la transition vers une réforme décennale, ne s’est malheureusement pas accompagnée d’un changement des politiques publiques en matière d’éducation sous le gouvernement de l’alternance, affirme le président de l’association Amaquen, ajoutant que cette Charte n’a pas été utilisée comme point de repère pour la réforme, et qu’il y a eu des tiraillements entre ceux qui y ont puisé des éléments conformes à leurs propres orientations et ceux qui s’en sont complètement affranchis. Dans l’attente des textes d’application de la loi-cadre 51-17 Pour sa part, l’ancien secrétaire d’État chargé de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Khalid Samadi, considère qu’il y a eu une certaine accumulation de réformes, ce qui explique qu’aujourd’hui les effectifs d’élèves dans les écoles marocaines sont de 9 millions, alors qu’au début du millénaire ils étaient bien moins nombreux, et que le nombre d’étudiants dans les universités est de 1,2 million, alors qu’au début du millénaire ils étaient 400.000, avec tout ce que cela implique en termes de ressources financières et humaines, d’équipements et de structures mises en place. Mais les impacts des réformes successives sont restés en deçà des attentes, relève-t-il, imputant cette situation à l’absence d’un cadre réglementaire servant de référence à leur mise en œuvre. C’est pourquoi, poursuit-il, on a insisté pour qu’une recommandation incluse dans la Charte nationale de l’éducation et de la formation soit reprise dans la Vision stratégique 2015-2030 pour qu’elle devienne une loi-cadre et cette loi-cadre a effectivement vu le jour en 2019, prévoyant un délai de trois ans pour l’élaboration de tous les textes d’application connexes. Donc en 2022, on était censé avoir tout l’arsenal de textes pour appliquer cette loi. Le précédent gouvernement de Saâd Eddine El Othmani avait préparé un plan législatif, et le comité supérieur présidé par le Chef du gouvernement et comprenant 18 départements ministériels, prévus par cette loi s’est réuni à deux ou trois reprises. Mais ce comité a été mis à l’arrêt sous l’actuel gouvernement et n’a, à ce jour, tenu aucune réunion, note M. Samadi. Par conséquent, fait-il remarquer, de la logique d’une réforme intégrée entre 18 départements ministériels, on est passé à celle d’une réforme compartimentée où chaque ministre travaille selon sa propre logique et son propre agenda. Et l’ancien secrétaire d’État chargé de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique d’ajouter que tant que les textes d’application de cette loi-cadre n’auront pas encore vu le jour, celle-ci restera tout simplement gelée. «De ce fait, on ne peut en aucun cas prétendre que la loi-cadre n’a pas atteint ses objectifs, étant donné que les textes d’application y afférents se font toujours attendre», a-t-il conclu.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Gaza : Evacuation de 86 citoyens marocains et leurs familles || subtitle : Un nouveau groupe de 86 citoyens marocains et leurs familles résidant dans la bande de Gaza a été évacué, mardi, vers l'Égypte, via le passage frontalier de Rafah. || body : Cette opération s’est déroulée sous la supervision directe de l'ambassadeur de Sa Majesté le Roi en Égypte, Mohamed Ait Ouali, et en coordination avec les autorités sécuritaires égyptiennes compétentes. Elle intervient suite aux évènements que connait la bande de Gaza depuis le 7 octobre dernier, en raison de l'escalade israélienne. Gaza : 289 citoyens marocains évacués à fin janvier 2024 (ministère) Le ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'Etranger suit de près la situation des membres de la communauté marocaine résidant en Palestine depuis l'attaque contre la Bande de Gaza en octobre dernier, en particulier la situation des citoyens marocains bloqués à Gaza qui subit des bombardements violents ayant causé une destruction généralisée des infrastructures et de nombreux morts, blessés et déplacés dans un contexte humanitaire et économique précaire. A cette occasion, plusieurs bénéficiaires de l'opération ont exprimé leur gratitude à SM le Roi Mohammed VI ainsi qu'aux différentes parties qui ont veillé au bon déroulement de cette action. Les ambassades du Maroc en Egypte et en Palestine avaient mené conjointement une série d'opérations d'évacuation en faveur de 375 ressortissants marocains et leurs familles résidant à Gaza, via le passage de Rafah.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch présente le bilan de mi-mandat du gouvernement mercredi au Parlement || subtitle : Le Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, présentera le bilan de mi-mandat de l'Exécutif mercredi prochain devant les parlementaires. || body : Les Chambres des représentants et des conseillers tiennent, mercredi prochain, une séance plénière conjointe pour la présentation du bilan d’étape de l’ action gouvernementale . Rachid Talbi Alami réélu président de la Chambre des représentants Rachid Talbi Alami du Rassemblement National des Indépendants (RNI) a été réélu vendredi à la tête de la Chambre des représentants avec 264 voix contre 23 pour le candidat du Parti Justice et Développement (PJD), Abdellah Bouanou. Un communiqué conjoint des deux Chambres indique que cette séance, qui se tient conformément aux dispositions de l’article 101 de la Constitution, est prévue à partir de 17 h, dans la Grande salle des séances de la Chambre des représentants .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le débat sur le secret des travaux des Commissions parlementaires relancé || subtitle : Le débat autour de la confidentialité des travaux des commissions parlementaires est de nouveau relancé avec l’interdiction, mardi dernier, des représentants des médias dans la salle accueillant les travaux de la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme. Une décision prise par le bureau de la Commission et qui n’a pas manqué de créer une vive polémique entre les parlementaires de la majorité et ceux de l’opposition. || body : Le débat autour de la confidentialité des travaux des Commissions parlementaires revient en force avec la décision prise mardi dernier par le bureau de la Commission de la justice , de la législation et des droits de l’Homme d’interdire l’accès des journalistes à ses travaux. La Commission, qui avait entamé mardi dernier la discussion approfondie du très attendu projet de loi 02-23 relatif à la procédure civile, avait tenu une première réunion au cours de la semaine dernière. Une réunion qui avait connu la présence des représentants des médias, avant que le ministre de la Justice n’intervienne pour demander au président du bureau de la Chambre de mettre en œuvre les dispositions du règlement intérieur et celle de la Constitution relatives à la confidentialité des travaux des Commissions et donc d’exclure les journalistes. Code de déontologie des parlementaires : ce qu’en pense Mohamed Tozy À l'occasion du Symposium commémorant le 60e anniversaire de la constitution du premier Parlement élu au Maroc, Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait adressé un message d'une importance capitale aux participants. Au cœur de ses directives, un appel clair à l'adoption d'un code de déontologie qui soit juridiquement contraignant pour les deux Chambres de l’institution législative, soulignant ainsi l'urgence de renforcer les fondements des institutions représentatives. Si le ministre s’est rétracté lors de la deuxième réunion tenue mardi dernier, laissant entre les mains des membres du bureau de la Commission la décision finale relative à l’interdiction de l’accès aux journalistes, il n’a pas manqué d’appeler les parlementaires à assumer pleinement leur responsabilité en cas de non-respect des dispositions en vigueur. Des propos qui n’ont pas manqué de créer une forte tension et une vive polémique au sein de la Commission entre les parlementaires de l’ opposition et ceux de la majorité . En effet, si les parlementaires du Rassemblement national des indépendants (RNI) et du Parti authenticité et modernité (PAM) ont insisté sur la nécessité de respecter le règlement intérieur en tenant la réunion à huis clos, les députés de l’opposition ont rappelé que les coutumes parlementaires voulaient que la discussion de ce genre de projet soit publique. Selon une source ayant pris part aux travaux de la Commission, le président du groupe parlementaire du Mouvement populaire à la Chambre des représentants, Driss Sentissi, avait souligné lors de son intervention que la Commission peut faire exception à la règle de confidentialité lorsqu’il s’agit de débattre d’un projet de loi intéressant une large frange de la population, comme c’est le cas pour le projet de loi relatif à la procédure civile. Pour sa part, la parlementaire Rabiaâ Bouja, du Parti de la justice et du développement (PJD), a rappelé dans son intervention que la coutume parlementaire instaurée depuis des années permet la levée de la confidentialité des travaux des Commissions lorsqu’il s’agit de projets de loi de grande importance. Il convient de souligner que malgré l’entrée en vigueur du nouveau règlement intérieur de la Chambre des représentants, les travaux des différentes commissions parlementaires sont restés ouverts à la presse au cours de la dernière session parlementaire, à l’exception de la Commission de la justice, qui a annoncé mardi dernier que toutes ses réunions consacrées à l’examen des textes relatifs à la procédure civile et pénale seraient désormais tenues à huis clos.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les barrages du Maroc affichent un taux de remplissage de 32,2% || subtitle : Le taux de remplissage des barrages du Maroc a atteint 32,2% à ce jour, 5 avril 2024, avec un volume de retenues de plus de 5,186 milliards de mètres cubes (m³), selon la situation journalière des barrages au Royaume établie par le ministère de l’Équipement et de l'eau. || body : Cette retenue représente une évolution par rapport au taux de 23,2% enregistré à fin janvier, fruit des précipitations importantes qui se sont abattues sur plusieurs régions du Royaume en février et mars et de la fonte des neiges. Ce taux reste, toutefois, en deçà de celui établi à la même date de 2023, qui était de 34,53%, avec un volume de retenues de 5,576 milliards de mètres cubes. Le niveau de réserves des barrages très proche de la moyenne de 2023 Le taux de remplissage des barrages affiché ce mercredi 3 avril est de 31,79% contre 34,5% le même jour en 2023. Plusieurs barrages notamment dans la région du Nord, de Tensift et du Centre retrouvent leur niveau des années précédentes. Avec une progression de 0,36% par rapport à jeudi, le bassin de Sebou affiche un taux de remplissage de 49,82%, principalement due à une évolution de 0,48% des retenues du barrage Al-Wahda, le plus grand au Maroc, dont le taux de remplissage est à 57,43%, et de celles du barrage Idriss 1er, qui a enregistré un taux de remplissage de 25,53%, en hausse de 0,19%. De son côté, le bassin du Loukkos, qui affiche un taux de remplissage de 63,03%, s'est amélioré de 0,23% par rapport à jeudi, à la faveur notamment d'une évolution de 0,53% des retenues du barrage Oued El Makhazine à 93,6% et d'une légère progression de celles du barrage de Dar Khroufa à 29,85%. Pour ce qui est du bassin d'Oum Er Rbia, ses retenues ont enregistré une faible amélioration de 0,05% pour atteindre un taux de remplissage de 7,19%, résultant d’une progression des retenues de 0,17% de Bin El Ouidane, le troisième plus grand barrage du Maroc, avec un taux de remplissage de 9,16%, et celui d’Al Massira (deuxième plus grand barrage), avec une progression de 0,12% par rapport à jeudi, affichant ainsi un taux de remplissage de 2,2%.</s>