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<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Voiture électrique Vs voiture hybride au Maroc : les conseils de Matin Auto || subtitle : Les véhicules électriques offrent une consommation économique et des coûts d’entretien réduits. En revanche, les hybrides se démarquent par leur polyvalence, leur résistance aux conditions difficiles et leur autonomie étendue. Le choix dépendra donc des besoins spécifiques de chaque utilisateur. || body : Avec une augmentation significative de 25,28% des ventes de véhicules électrifiés au Maroc en 2023 par rapport à 2022, une tendance marquée se dessine dans le Royaume. Cependant, malgré ce pourcentage notable, les véhicules électrifiés ne représentent actuellement que 4,5% de part du marché automobile marocain, totalisant 7.165 unités vendues sur un marché global de 161.504 véhicules en 2023. Cette orientation vers l’électrification soulève des interrogations chez les consommateurs marocains, les poussant à se questionner sur le meilleur choix entre l’hybride et l’électrique. Dans cet épisode du « Matin Auto Conseils », nous examinons en détail les avantages et les inconvénients de chacune de ces options. Voitures électrifiées : Croissance de 25,28% des ventes au Maroc en 2023 Une augmentation de 25,28% a été enregistrée dans les ventes de véhicules électrifiés au Maroc en 2023, tandis que le marché automobile national a connu une légère hausse de 0,1%. Sur le plan mondial, une croissance de 10% a été enregistrée. Pour choisir entre une voiture hybride et une électrique, la première étape consiste à évaluer vos besoins spécifiques. Il est crucial de prendre en compte votre utilisation quotidienne en analysant la distance que vous parcourez et les lieux que vous fréquentez, que ce soit en zone urbaine ou en dehors. Si votre trajet régulier s’inscrit dans un cadre urbain, la voiture électrique peut être la solution optimale. En revanche, pour des trajets plus longs, l’option hybride offre une autonomie étendue. Il est également important de souligner que rien ne vous empêche d’utiliser une voiture hybride pour vos trajets domicile-travail ou de parcourir de longues distances avec une voiture électrique. La clé réside dans l’alignement des caractéristiques du véhicule avec vos habitudes de déplacement. Considérez également l’impact de votre environnement géographique dans le choix entre l’électrique et l’hybride. Actuellement, les batteries des voitures électriques sont sensibles aux conditions météorologiques, notamment aux basses températures qui peuvent affecter leurs performances. Si vous résidez dans une ville sujette à des hivers rigoureux comme Ifrane ou Béni Mellal, il peut être judicieux de privilégier une voiture hybride. De même, les pentes ont une incidence sur l’autonomie des batteries électriques, limitant leur utilisation en montagne où elles peuvent offrir moins d’autonomie que celle annoncée par le constructeur. Cette considération devient particulièrement pertinente si vous habitez des régions comme Tanger ou Tétouan. Consommation et autonomie Concernant le poids, la voiture hybride est intrinsèquement plus lourde avec la présence de deux moteurs, voire trois dans certaines configurations. En termes de consommation, la voiture électrique, plus légère, affiche une consommation moindre par rapport à l’hybride, que ce soit en milieu urbain ou en conduite mixte. En ce qui concerne l’autonomie, la voiture hybride excelle avec une plage beaucoup plus étendue. Grâce à ses deux moteurs (thermique et électrique), elle offre une autonomie qui oscille entre 600 et 1.000 km. En revanche, la batterie d’une voiture électrique propose en moyenne une autonomie limitée à environ 200 km. Toutefois, cette contrainte d’autonomie ne devrait pas être un obstacle si le trajet envisagé est bien pourvu en bornes de recharge. Coût d’entretien, performance et prix d’achat La voiture hybride, en raison de sa double motorisation, engendre des coûts d’entretien plus élevés. En revanche, avec un véhicule électrique, l’absence de vidange et de remplacement de courroie contribue à des frais d’entretien réduits. La voiture hybride bénéficie d’un léger avantage en termes de performances grâce à sa double motorisation et à une gestion électronique plus avancée, offrant une performance supérieure. Cependant, la voiture électrique n’est pas en reste, affichant également d’excellentes performances avec un couple maximal développé aisément en zone urbaine. De plus, la voiture électrique présente l’avantage d’être plus silencieuse que l’hybride, améliorant ainsi le confort de conduite. Qu’il s’agisse d’opter pour une voiture hybride ou électrique au Maroc, les propriétaires peuvent bénéficier de la vignette gratuite. Cependant, il est important de noter que l’acquisition d’une voiture électrique est généralement plus onéreuse que celle d’un véhicule hybride. Actuellement, les coûts élevés des véhicules électriques restent un facteur limitant pour de nombreux consommateurs marocains. Verdict L’électrification des véhicules offre diverses options aux consommateurs, mais le choix n’est pas toujours évident. En analysant les avantages et les inconvénients, ceux qui optent pour un véhicule électrique le font en raison de sa consommation économique et de ses coûts d’entretien réduits, surtout s’ils ont accès à des bornes de recharge à domicile et sur leur lieu de travail. De leur côté, les adeptes de l’hybride préfèrent cette option pour sa polyvalence accrue, sa résistance aux conditions météorologiques extrêmes, ses performances améliorées et une autonomie étendue.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Les nouvelles Volkswagen ID.3 GTX et ID.7 GTX Tourer offrent plus de puissance || subtitle : Les Volkswagen ID.3 GTX et ID.7 GTX Tourer offrent des designs distinctifs, des intérieurs sportifs et des moteurs puissants. L'ID.7 Tourer est désormais en prévente, promettant une autonomie de 607 km et une capacité de chargement généreuse. || body : Volkswagen étend sa gamme de modèles sportifs GTX avec les premières mondiales des nouveaux modèles ID.3 GTX et ID.7 GTX Tourer , marquant une avancée significative dans le domaine de la mobilité électrique . Le nouveau Volkswagen Touareg commercialisé au Maroc Le Volkswagen Touareg restylé se distingue par un design revisité, mettant en avant une bande lumineuse et un logo rouge éclairé, ainsi qu'un intérieur enrichi en équipements. Sous son capot, il propose une nouvelle motorisation diesel V6, offrant des puissances de 259 et 286 ch. Ces véhicules dynamiques se distinguent par leur design extérieur unique, leurs signatures lumineuses distinctives, leurs intérieurs sportifs et leurs moteurs puissants, continuant ainsi sur la lancée du succès du label GTX lancé en 2021. Volkswagen prévoit de lancer deux variantes de l' ID.3 GTX à propulsion arrière, dont le modèle phare sera l' ID.3 GTX Performance , une voiture compacte et sportive. Kai Grünitz , membre du conseil d'administration de Volkswagen chargé du développement, a souligné : «Avec sa puissance électrique vive et supérieure, l'ID.3 GTX Performance incarne notre version électrique de l'emblématique Golf GTI Clubsport . Bien que différents, les moteurs électriques et essence ont chacun leur propre caractère, mais ils partagent tous deux une sensation de légèreté lors de l'accélération». Grünitz a ajouté qu'«Avec l'ID.3 GTX, Volkswagen perpétue la tradition de ses modèles GT compacts dans le domaine de la mobilité électrique, promettant un plaisir de conduite inégalé». L’ID.3 GTX se démarque par son design extérieur personnalisé, notamment avec un pare-chocs avant spécifique arborant une nouvelle prise d’air noire en forme de losange et des feux de jour distinctifs. Les éléments noirs brillants, comme les bas de caisse redessinés et la zone inférieure de l’arrière avec un diffuseur, ajoutent à son allure sportive. À l'intérieur, l'ID.3 GTX présente une multitude de caractéristiques spécifiques, telles que des sièges Sport Premium avec des surpiqûres rouges et un volant multifonction assorti. Le cockpit de haute qualité est également unique à la GTX. Quant à l'ID.3 GTX Performance, il offre en plus un contrôle adaptatif du châssis DCC pour une expérience de conduite encore plus dynamique. L’ID.7 GTX Tourer : un break distinctif L' ID.7 Tourer à peine dévoilé, voici déjà l' ID.7 GTX Tourer s'imposant comme le modèle le plus puissant de la gamme. Avec son système de transmission intégrale à double moteur, similaire à celui des ID.4 GTX et ID.5 GTX , il offre une combinaison unique entre l'espace généreux d'un grand break et les performances dynamiques d'une voiture de sport électrique. Kai Grünitz a souligné : «l’ID.7 GTX Tourer inaugure une nouvelle ère de mobilité sportive, avec une réactivité instantanée de ses moteurs électriques qui fournissent leur puissance maximale en une fraction de seconde». Concernant le design, l'avant de l'ID.7 GTX Tourer se distingue des autres modèles de la gamme par un pare-chocs distinctif avec une calandre en nid d'abeille et des graphismes lumineux spécifiques à la GTX, notamment des badges lumineux. Comme pour l'ID.3 GTX, tous les éléments noirs ont une finition brillante. Comme sur l'ID.3 GTX, des jantes en alliage Skagen de 20 pouces sont montées de série sur l'ID.7 GTX Tourer. L'intérieur est raffiné par des équipements tels que des sièges individualisés (chauffants à l'avant) avec lettrage GTX perforé dans les dossiers, des passepoils rouges sur les sièges, des coutures rouges sur le tableau de bord et les garnitures de portes ainsi qu'un volant multifonction spécifique GTX avec coutures décoratives rouges. Nouveau lifting de la Volkswagen Golf 8 La Volkswagen Golf 8 restylée célèbre son demi-siècle d’existence. Cette mise à jour inclut de nouveaux phares avant et arrière, ainsi qu’un nouveau système d’info-divertissement. De plus, la gamme comprend neuf options de motorisation, offrant un choix entre essence, diesel, hybride classique, hybride léger et hybride rechargeable. Volkswagen investit pleinement dans sa gamme de véhicules électriques GTX. L'ID.3 GTX offre la puissance électrique la plus élevée de l'entreprise, atteignant jusqu'à 240 kW (321 ch) dans sa version Performance, tandis que l'ID.7 GTX Tourer devient le break le plus puissant jamais fabriqué par VW, avec une puissance totale de 250 kW (335 ch) provenant de deux moteurs électriques. Volkswagen démarre les préventes du nouvel ID.7 Tourer La mise à la prévente de l'ID.7 Tourer de Volkswagen a eu lieu il y a une semaine, précédant de peu le dévoilement de sa GTX. Propulsée par un moteur électrique de 210 kW et une batterie de 77 kWh, elle promet une autonomie WLTP de 607 km et peut être rechargée de 10 à 80% en seulement 28 minutes. Avec jusqu'à 1.714 litres de capacité de chargement, elle offre un espace intérieur spacieux et est équipée de nombreuses fonctionnalités de série telles que le système d'infodivertissement avec un écran tactile de 15 pouces, ainsi que des systèmes d'assistance avancés. De plus, la personnalisation est facilitée par des packs d'équipements optionnels, permettant aux clients de choisir les fonctionnalités qui correspondent le mieux à leurs besoins. En outre, des innovations telles que l'application Wellness In-Car ajoutent une touche de bien-être à l'expérience de conduite.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : GX3 Pro: Geely Maroc lance son troisième modèle sur le marché national || subtitle : Conçue pour une expérience de conduite agréable en ville et aussi en dehors des sentiers battus, la nouvelle citadine surélevée de Geely offre un mélange sympathique de design moderne, d’innovations fonctionnelles et de performance. || body : Geely développe petit à petit sa présence sur le marché marocain. Après le récent lancement de sa commercialisation avec deux modèles, les SUV Coolray et Geometry C, la marque chinoise introduit la GX3 Pro. Conçue pour une expérience de conduite agréable en tout terrain, la nouvelle citadine surélevée offre un mélange sympathique de design élégant, d’innovations fonctionnelles et de performance, avec une volonté affirmée de répondre aux besoins diversifiés des conducteurs marocains. «Le Matin Auto» au volant du Geely Coolray 1.5 TD Sport Le Geely Coolray affiche un design sportif et audacieux, caractérisé par un grand becquet, quatre sorties d’échappement et une imposante calandre noire. L’intérieur, soigneusement assemblé avec des matériaux de qualité, offre également une riche dotation d’équipements. Sous le capot, le bloc 1.5 litre à essence délivre une puissance de 174 ch, conférant ainsi des performances appréciables à ce petit crossover. «Le GX3 Pro redéfinit les attentes dans le segment des citadines. Avec son mariage de technologie et de confort, il incarne notre engagement continu envers l’innovation et l’expérience de conduite exceptionnelle», a indiqué Sébastien Nicolas, directeur général de Geely Maroc. La GX3 Pro affiche un design moderne. Avec ses lignes dynamiques et une garde au sol surélevée de plus de 18 cm, elle ne se contente pas de rouler en ville, mais peut s’aventurer sur des chemins non bitumés. Confortable, l’intérieur de la nouvelle citadine chinoise est dans l’air du temps. L’écran tactile multimédia de 8 pouces, compatible avec Android et Apple, offre une connectivité à toute épreuve. Les sièges en éco-cuir de première qualité créent un environnement de conduite plaisant. Le toit ouvrant inonde l’habitacle de lumière, créant une atmosphère aérée et immersive. La GX3 Pro se distingue par des équipements intéressants. Des jantes en aluminium de 16 pouces ajoutent une touche d’élégance, tandis que le coffre généreux de 400 litres offre un espace suffisant pour les explorations citadines. Sous le capot, la nouvelle citadine chinoise est animée par un moteur essence de 103 ch, garantissant une conduite à la fois dynamique et économique en carburant. La boîte automatique (sur la finition Luxe) ajoute une touche de confort, soulignant la polyvalence du véhicule. En parallèle, et au travers de sa garantie 6 ans/200.000 km et son service d’assistance, Geely Maroc souhaite accompagner au mieux ses clients. L’application My Geely complétera le dispositif et permettra aux clients de la marque de suivre le détail des interventions après-vente, de prendre rendez-vous en ligne, et d’être notifiés au moment de la révision du véhicule. Et enfin, un numéro unique dédié à Geely permettra un accès facile à toutes les équipes de la marque (3757). Équipements Sur la finition Confort Jantes Aluminium 16 pouces, Feux de jour LED arrière, Feux antibrouillard arrière, Roue de secours en acier, Rétroviseurs extérieurs chauffants avec clignotants LED, Réglage électrique des phares, Allumage automatique des feux, Feux de jour avant, Sellerie en éco-cuir, Accoudoir central avant avec porte-gobelets, Volant réglable en hauteur, Système Isofix-Lach pour siège enfant, Instrument écran LCD 3,5 pouces, Banquette arrière rabattable 40-60, Port USB et prise 12 volts Console avant, 2 Airbags frontaux, Système de direction assistée électrique (EPS), Système de freinage antiblocage des roues (ABS), Répartiteur électronique de freinage (EBD), Avertisseur de pression des pneus (TPMS), Fermeture automatique des portes en roulant, Système d’alarme antivol électronique, Verrouillage de sécurité de porte pour enfants, Système de déverrouillage des portes en cas de collision, Dispositif de détection du passager avant, Rappel des portes ouvertes, Alarme de survitesse, Lève-vitres électriques avant-arrière séquentielles, Radars de stationnement arrière, Écran tactile 8 pouces, Mirror Link (Apple & Android), Climatisation manuelle, Filtre de climatisation antivirus, 2 Haut-parleurs, Siège conducteur réglable en 6 voies, Sièges passagers réglables en 4 voies, Verrouillage centralisé à distance, Connexion Wi-Fi (IHU), Radio et Lecture MP3, Bluetooth, Pare-soleil conducteur et passager avec miroir de courtoisie, «Follow me Home». En plus sur la finition Premium Rails de toit chromés, Port USB console arrière, Volant multifonction, Volant sport en éco-cuir, Toit ouvrant électrique avec fonction antipincement, Caméra de recul, 6 Haut-parleurs, Régulateur et limiteur de vitesse. En plus sur la finition Luxe Éclairage du coffre, Contrôle électronique de la stabilité (ESC), Contrôle dynamique de la stabilité (VDC), Assistance au freinage électronique (EBA), Système de contrôle de traction (TCS), Assistance au démarrage en pente (HAC-HHC), Rappel d'oubli de clé, Système antidémarrage, Lève-vitres avec fonction antipincement, Ouverture sans clé (Smart Key), Démarrage Start&Stop, Réglage des modes de conduite (Sport-Éco). Caractéristiques techniques Moteur : 1.5 (ess) Cylindrée (cc) : 1.498 Puissance fiscale (cv) : 9 Puissance maxi (ch) : 103 Couple maxi (Nm) : 140 Boîte de vitesses : BVM5 Vitesse maxi (km/h) : 160 Consommation mixte (l/100 km) : 7,1 Finition Confort (DH) : 179.900 * Finition Premium (DH) : 189.900 Frais d’immatriculation (DH) : 8.500 *Prix de lancement (DH) : 159.900 Moteur : 1.5 (ess) Cylindrée (cc) : 1.498 Puissance fiscale (cv) : 9 Puissance maxi (ch) : 103 Couple maxi (Nm) : 140 Boîte de vitesses : BVA Vitesse maxi (km/h) : 170 Consommation mixte (l/100 km) : 7,1 Finition Luxe (DH) : 209.900 Frais d’immatriculation (DH) : 8.500</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Opel Maroc : 7.300 unités vendues et une part de marché de 4,5% en 2023 || subtitle : Opel Maroc clôture une année positive avec 7.300 immatriculations et une part de marché de 4,5%. Le mois de décembre a été marqué par une croissance notable de 148% par rapport à la même période en 2022. Dans la continuité de cette performance, la marque au blitz annonce l'introduction imminente de la Corsa restylée ce mois-ci. || body : Opel Maroc a annoncé des résultats positifs pour l'année 2023. Avec 7.300 immatriculations, la marque au blitz a affiché une part de marché de 4,5%. Le mois de décembre dernier a été particulièrement remarquable, Opel enregistrant l'une de ses meilleures performances avec 1.103 unités vendues, représentant 6,3% de part de marché et propulsant la marque à la quatrième position du classement mensuel, enregistrant ainsi une croissance exceptionnelle de 148% par rapport à décembre 2022. Les nouveaux Opel Combo Electric et Zafira Electric dévoilés Les nouveaux Opel Combo Electric et Zafira Electric arbore un nouveau design frontal, offrent une capacité de chargement accrue avec la disponibilité de deux configurations de carrosserie. La marque au blitz a également repensé la technologie embarquée et renforcé les équipements de sécurité. La marque au blitz a souligné avec satisfaction ses remarquables performances au cours des six dernières années depuis son intégration au sein du Groupe Auto-Hall . En 2023, Opel s'est hissée à la sixième position du Top 10 des marques automobiles au Maroc en vendant 7.300 unités, déclarant ainsi une croissance constante tout au long de l'année et illustrant l'attrait soutenu des consommateurs pour sa variété étendue de véhicules. Abdelaziz Maalmi , directeur général de SMAA, a exprimé sa satisfaction : «Les résultats exceptionnels du mois de décembre et au-delà durant toute l'année 2023 reflètent la confiance des consommateurs en la qualité et l'innovation de nos véhicules. Le réseau étendu d'Auto-Hall a joué un rôle crucial dans la distribution et la promotion de la marque, renforçant ainsi notre présence et offrant une expérience client exceptionnelle. Nous sommes également fiers de notre partenariat avec le Groupe Stellantis et déterminés à maintenir cette dynamique positive en 2024». Dans sa quête constante de maintenir une gamme actualisée et de conserver sa position dans le Top 10 au Maroc, Opel prévoit, dès ce mois-ci, le lancement de la Corsa facelift . Disponible en motorisation essence et diesel, cette nouveauté vise à satisfaire les besoins diversifiés des consommateurs marocains. Cet ajout revêt une importance particulière, compte tenu du statut de best-seller de la Corsa au Maroc. Il s’agit du même bloc diesel de 1.5 litre développant 102 ch, associé à une boîte manuelle et du moteur essence de 1.2 litre avec 100 ch, disponible avec une transmission manuelle. Malheureusement, la version automatique reste indisponible, même après cette mise à jour. Les prix varient de 164.000 DH à 206.000 DH.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Car Of The Year Morocco 2024 : les sept voitures finalistes dévoilées || subtitle : Après deux journées d'essais statiques et dynamiques, les 12 membres du jury de "Car Of The Year Morocco 2024" ont sélectionné les 7 finalistes. Parmi eux, trois sont entièrement électriques, deux sont hybrides, tandis que seulement deux modèles sont équipés d'un moteur thermique. La révélation du véhicule de l'année 2024 est prévue pour le mardi 23 janvier. || body : L'aboutissement imminent de l'élection du Car Of The Year Morocco 2024 (COTY Morocco) suscite une attente palpable. Au cours des journées du jeudi 11 janvier et du vendredi 12 janvier, le jury a méticuleusement conduit les essais statiques et dynamiques des 14 modèles en lice. À la suite d'une première phase de sélection, sept finalistes ont été retenus. L'annonce tant attendue du véhicule de l'année est prévue pour le mardi 23 janvier 2024. Il s’agit des Renault Arkana, Dacia Spring, Cupra Formentor, BYD Atto 3, Honda CR-V, MG 4 et Geely Coolray . Ces sept finalistes, sélectionnés pour le prix organisé par l'Association des Importateurs de Véhicules au Maroc (AIVAM), ont été choisis après un examen statique basé sur plusieurs critères d'évaluation, dont le design, le rapport prix-prestations, l'innovation et la connectivité, l'habitabilité et le confort, le respect de l'environnement, le comportement et la sécurité et la facilité d’utilisation. L’AIVAM lance la cinquième édition du Car Of The Year Morocco Cette année, 14 modèles s'affronteront sous le regard attentif d'un jury composé de 12 journalistes et experts automobiles lors de la cinquième édition du Car Of The Year Morocco 2024. La révélation du véhicule lauréat est prévue pour le courant du mois de janvier 2024. Le jury, composé de 12 journalistes et d'experts spécialisés dans le domaine de l'automobile, comprend Leila Benjelloun (Golf du Maroc) Présidente du jury, Khadija Dinia (Myluxurylife.ma), David Jeremie (Challenge), Moulay Ahmed Belghiti (Les Ecos), Essam Chraibi, (wandaloo.com), Hatim Kaghat (Expert automobile), Jalil Bennani (Driverslife.ma), Mohamed Akisra (Drive In), Olivier Vitart (UTAC), Haytam Boussaid (Le Matin), Mourad Khezzari (Gentlemen Driver) ainsi que Nabil Sbai Tanji (Je veux acheter une voiture !). 14 véhicules, lancés sur le marché marocain en 2023, représentant de nouvelles générations et affichant un prix de base inférieur à 400.000 DH HT, ont été sélectionnés pour concourir au COTY Morocco 2024. Parmi ces modèles, on retrouve la BMW Active Tourer, le BYD Atto 3, le Cupra Formentor, la Cupra Leon, la Dacia Spring, le Geely Coolray, le Geely Geometry C, le Honda CRV, le Hyundai Bayon, le Hyundai Staria, le MG 4, le MG ZS, le MG HS et le Renault Arkana. Le dépouillement des votes a été réalisé conjointement par le notaire et la Présidente du jury, dévoilant ainsi le véhicule victorieux de cette cinquième édition du COTY Morocco. Cette information demeure soigneusement préservée par ces deux parties et sera révélée au public lors d'une soirée de gala préparée avec soin par l'Association des Importateurs de Véhicules au Maroc, programmée pour le mardi 23 janvier. « La 5e édition du COTY Morocco, organisée par l'AIVAM, a été marquée par de nombreuses nouveautés, notamment une formation renforçant les compétences d'évaluation du jury et l'ajout de nouveaux critères pour une notation plus approfondie. De plus, de nouveaux membres, Haytam Boussaid (Journaliste Le Matin), Olivier Vitart (Instructeur en chef de l'UTAC), et Hatim Kaghat (Ex-journaliste et expert automobile), ont rejoint le jury en remplacement les membres sortants. Notons que ce COTY 2024 s'est distingué par une forte présence de voitures électrifiées, représentant près de la moitié des véhicules en compétition, comprenant des modèles hybrides, hybrides rechargeables et électriques », a déclaré Leila Benjelloun, Présidente du jury COTY Morocco 2024.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Automobile: 161.504 voitures neuves vendues en 2023 (AIVAM) || subtitle : Les ventes globales de véhicules neufs au Maroc se sont établies à 161.504 unités au cours de l’année 2023, contre 161.410 véhicules en 2022, a indiqué, lundi à Casablanca, le président de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM), Adil Bennani. || body : S’exprimant lors d’une conférence de presse consacrée au bilan annuel 2023 du marché automobile au Maroc, M. Bennani est revenu sur la complexité du contexte macroéconomique qui impacte la demande et sur le redressement progressif de l’offre à l’origine d’une légère hausse de 0,1% des ventes en glissement annuel. Automobile : les ventes grimpent de 22,01% en novembre, le bilan annuel dépassera celui de 2022 Au rythme enregistré en novembre, le marché automobile national est bien parti pour dépasser le résultat réalisé l’année dernière avec 161.410 livraisons. Surtout qu’il n’est pas difficile de dépasser les 16.121 véhicules livrés en décembre 2022, qui était le pire décembre depuis 2014. Sur le total des ventes de l’année, la part des véhicules particuliers (VP) s’élève à 145.292 unités, contre 143.186 en 2022, alors que les véhicules utilitaires légers (VUL) se sont établis à 16.212 contre 18.224 une année auparavant, a-t-il précisé. Et de souligner que de nombreux événements expliquent cette quasi-stagnation, notamment l’inflation galopante, le contexte économique défavorable, le déficit pluviométrique et la contraction de la demande sous l’effet de l’inflation. Dans le détail, M. Bennani a relevé que les deux segments les plus importants sont ceux des citadines dominées par la marque "Dacia" et le "Sport Utility Vehicle" (SUV), notant que ce dernier connaît une croissance de 6,9% confirmant l’engouement des consommateurs pour cette catégorie de véhicule. Pour ce qui est du financement et du profil des acheteurs, la part des crédits dans les ventes s’est établie à 55% alors que le prix des véhicules a grimpé de 30% au cours des trois dernières années, a-t-il fait savoir, notant que 17% des acquéreurs ont moins de 30 ans, et que l'âge moyen des acheteurs se situe autour de 43 ans. Par type de motorisation, l'essence a reculé de 0,8% en 2023 à 14% de part de marché (PDM), alors que la motorisation diesel a grimpé de 0,7% à 85,8%, a rapporté M. Bennani, expliquant que la dynamique des ventes de véhicules à motorisation alternative se confirme avec une progression de 133% des ventes à 463 unités. A ce titre, M. Bennani a souligné la présence davantage d’opérateurs dans le marché des véhicules à moteur non-thermique sous l’effet d’une offre de plus en plus fournie et compétitive, ajoutant que 24 marques et 82 modèles sont commercialisés sur le marché marocain en 2023 contre 18 marques et 71 modèles en 2022. Par villes, Casablanca occupe la première place des ventes de VP en 2023 avec 40,7% des PDM, en léger recul de 2% par rapport à 2022, suivie de Rabat qui enregistre une légère croissance de 1,1% à 10,7% de PDM et d’Agadir (7,9%) qui conforte sa troisième position devant Marrakech (7%). S’agissant des perspectives, M. Bennani a estimé que l’année 2024 sera une année marquée par l’incertitude en raison des aléas de la logistique, du retour de la concurrence et des efforts de soutien du produit intérieur brut par la demande publique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : «Le Matin Auto» au volant de l’Alpine A110S 1.8 TCe || subtitle : Expérience de conduite, design, maniabilité, points forts, points faibles... «Le Matin Auto» a testé pour vous l’Alpine A110S. Voici le verdict. || body : L’Alpine A110 marque un retour triomphal pour Alpine. Non pas un retour en forme après quelques mauvaises voitures, mais un retour total à l’existence pour une marque chère en France. Quand on parle à l’un des membres de l’équipe qui a travaillé pour créer la voiture, on entend de belles histoires sur les pressions qu’ils ont ressenties pour faire revivre cette marque bien-aimée en France. C’était du genre : «Faites une erreur et vous serez jeté dans la Manche». Ils ont très bien compris et beaucoup adoré l’A110. Mais lors du processus de conception original, ils ont toujours envisagé une version légèrement plus hardcore, qui serait à l’aise sur piste comme sur route. L’A110S est cette voiture, une A110 plus tranchante pour les personnes qui veulent des temps au tour. Ils tiennent à souligner que le S ne consiste pas à «réparer» l’A110, cela a toujours été prévu, il s’agit plutôt de le peaufiner pour un autre public. Nous avons parlé de manière lyrique de l’A110. Elle ressemble à tout ce que vous attendez d’une petite voiture de sport – elle a l’air trapu, prête et excitante et en quelque sorte aussi très belle. Le S ne change vraiment rien. Il y a plus de fibre de carbone dans le toit et autour de diverses zones pour réduire le poids, les roues sont plus grandes et plus légères. Mais l’A110S reste globalement fidèle à la formule qui a si bien fonctionné pour l’A110. La clé est de savoir comment Alpine a réussi à transférer les fonctionnalités de la berlinette originale à une voiture moderne, sans trop ressembler à un mélange maladroit de rétro-futurisme. L’agencement de quatre feux à l’avant fait un clin d’œil au passé tout en gardant un aspect frais, l’arrière est incliné comme l’ancienne voiture, mais il est doté de feux en X très modernes pour mettre le tout en valeur. Cela fonctionne très bien, d’une manière qui vous indique qu’il s’agit d’une voiture fraîche et non d’une imitation de pièces Renault. Performances et maniabilité de l’Alpine A110S Il n’y a rien de révolutionnaire non plus sous le capot de la S. Le même moteur quatre cylindres de 1.8 litre, placé vers l’arrière, propulse l’A110S, mais il a maintenant été amélioré, nous pouvons donc nous attendre à 300 ch, soit une augmentation d’environ 40 ch par rapport à la voiture standard. Il y a 340 Nm avec lesquels jouer, ce qui est le même que celui de la voiture d’origine, mais le changement de boost signifie qu’il est disponible sur une plus grande plage de régime. Cela, accompagné d’un gain de poids de 7 kg grâce aux nouvelles roues (qui sont en option), au toit et à d’autres éléments en carbone, signifie que la S atteindra 100 km/h en 4,4 secondes, ce qui n’est qu’un dixième environ plus rapide que l’Alpine A110 standard. Là où le changement peut vraiment se trouver, c’est dans la conduite. L’Alpine A110 «standard» est un véritable bateau de plaisir, conçu pour se déplacer sous vous, avec des inclusions spécifiques comme la suspension à double triangulation tout autour, ce qui signifie qu’il y a un roulis naturel, le genre de roulis dont vous ne devriez pas avoir peur, mais qui vous implique davantage dans la conduite. La nouvelle voiture est plus ferme dans sa position, le contrôle de la conduite pourrait être considéré comme bien meilleur, car il y a moins de mouvement, mais c’est aussi sacrifier un peu de sensations. L’A110S tourne avec plus de précision que la voiture standard et reste beaucoup plus plate dans les virages. Il faut une demande beaucoup plus forte pour provoquer un survirage, l’A110S restant plus plantée. C’est ce que voulaient les concepteurs, une voiture qui conserve au moins un avant-goût du plaisir de l’original, tout en étant plus désirable pour les personnes qui souhaitent rentrer chez elles après une journée sur piste avec une impression des temps au tour. Cela ne veut pas dire que l’A110S est dure à conduire sur route, c’est juste que la sensation brillante de l’Alpine standard n’est pas là. Intérieur sportif de l’Alpine A110S Il n’y a pas grand-chose à dire sur l’intérieur de l’A110S par rapport à l’Alpine standard. C’est exactement la même chose, ce qui n’est pas une critique. Il y a quelques nouveautés pour vous montrer la différence, quelques-uns des petits éléments qui correspondent désormais aux couleurs des accents à l’extérieur, mais c’est fondamentalement la même chose. C’est à l’intérieur que l’équipe de conception a dû économiser un peu d’argent. Bien que la voiture soit un tout nouveau design avec une liberté totale pour l’équipe, Renault ne leur a pas réellement remis un chéquier vierge, il y a donc un étrange compromis. La conception générale est toujours bonne, avec un tout petit écran tactile contrôlant le système de navigation par satellite, les médias, etc., et quelques boutons pour la boîte de vitesses automatique et la climatisation – il n’y aura toujours jamais d’A110 manuelle, peu importe les demandes, car l’emballage est trop serré, donc la DSG à sept vitesses de ZF devra faire l’affaire. Le volant est excellent, en Alcantara, et les sièges sport soutiennent sans être trop durs pour le dos. Les tiges sont des Renault de deux générations, avec des bords plus durs que les modèles actuels et le système d’infodivertissement est très basique. Mais dans une voiture de sport, ce sont des choses auxquelles nous pouvons survivre. Du côté technologique, nous n’avons pas grand-chose, pour être honnêtes. Il dispose d’un système de navigation par satellite et d’une climatisation réglable et de sièges sport. Le système est basique : il y a un petit emplacement pour votre téléphone/la clé Renault rectangulaire classique, des ports USB et un repose-pied pour le passager. C’est à peu près tout. ***************** Équipements Peinture métallisée, Climatisation, feux et essuie-glaces automatiques, Navigation GPS à écran tactile, 2 Prises USB, Bluetooth, Commandes vocales, Système de télémétrie embarquée, Système audio Focal 4 Haut-parleurs, Radars de stationnement avant et arrière, Sièges Baquets, Feux 100% LED, Rétroviseurs rabattables électriquement, Carte de démarrage mains libres, Pédalier et repose-pied en aluminium brossé, Jantes en alliage de 18 pouces noires GT Race, Échappement Sport, Deux modes de conduite (Normal, Sport). Caractéristiques techniques : Moteur 1.8 TCe (e)Cylindrée (cc) 1.798 Puissance fiscale (cv) 18 Puissance maxi (ch) 300 Couple maxi (Nm) 340 Boîte de vitesses BVA7 Vitesse maxi (km/h) 260 Accélération (0-100 km/h) 4,2 (s)Prix de base (DH) 865.000 Verdict "Le Matin Auto" Alpine estime que l’A110S sera probablement trois fois plus vendue que l’Alpine A110 standard, et vous pouvez comprendre pourquoi. Ce n’est pas une mauvaise voiture, loin de là, c’est juste une voiture destinée à un public très spécifique. C’est pour les gens qui se soucient des journées de piste et des temps au tour, pas seulement pour un retour agréable en voiture. L’A110S conserve encore une partie de l’essence de l’A110, mais sous une forme plus nette ; Si l’A110 est la batte de baseball permettant d’abattre les cibles d’un socle, l’A110S est le fusil de sniper. Vous vous amuserez toujours dans l’A110S, vous la trouverez juste plus précise. La nouvelle Alpine A110S continuera d’attirer les regards et d’impressionner les passionnés de voitures sportives, marquant ainsi une étape importante dans l’histoire de la marque. La version S que nous avons essayée, la plus puissante, affiche ses 300 ch avec un poids léger d’environ 1.100 kg. Le bouton du mode sport intégré au volant, ainsi que celui de désactivation de l’ESP, ravira de nombreux conducteurs sur les pistes de course.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Après des tests truqués, Daihatsu suspend sa production au Japon jusqu'à fin janvier || subtitle : Le constructeur automobile japonais Daihatsu, filiale de Toyota, a annoncé lundi l'interruption de la production dans l'ensemble de ses usines au Japon au moins jusqu'à fin janvier après un vaste scandale de tests de sécurité truqués révélé la semaine dernière. || body : Le ministère japonais des Transports a lancé jeudi dernier une inspection au siège de Daihatsu, spécialiste des mini-véhicules très populaires au Japon appelés "kei cars", après un rapport indépendant ayant mis en évidence de nombreuses irrégularités dans ses processus de certification de sécurité. Le rapport des experts a mis en évidence des défaillances profondément ancrées dans les processus de production de Daihatsu, identifiant 174 irrégularités parmi 25 catégories de tests, dont certaines remontaient à 1989. En tout, 64 modèles de véhicules sont touchés, dont des modèles fabriqués pour le compte des constructeurs nippons Toyota, Mazda et Subaru. Toyota dévoile sa stratégie d’électrification avec six nouveaux modèles et de nouvelles batteries Six nouveaux modèles électriques sont prévus par Toyota d’ici 2026, comprenant les concepts Urban SUV et Sport Crossover. La marque japonaise prévoit également de développer des batteries performantes, abordables et une technologie de batteries solides visant une commercialisation en 2027-2028. Après avoir décidé dans un premier temps la suspension de l'ensemble de ses expéditions au Japon et à l'étranger, Daihatsu a annoncé lundi l'interruption de la production dans ses quatre usines au Japon au moins jusqu'au 31 janvier prochain, dans un communiqué transmis à l'AFP. Cette interruption devrait avoir des conséquences majeures sur les fournisseurs de Daihatsu: selon le cabinet d'études Teikoku Databank, plus de 8.100 entreprises au Japon fournissant des produits ou services au constructeur lui doivent au moins 1% de leur chiffre d'affaires. Daihatsu est en négociations avec ses fournisseurs en vue de les indemniser, selon des sources citées par l'agence Kyodo. Daihatsu a produit plus de 1,7 million de véhicules dans le monde sur l'exercice 2022/23 terminé fin mars dernier, dont environ la moitié au Japon. Il réalise l'essentiel de ses ventes dans l'archipel et en Asie du Sud-Est. Fondée en 1907 pour fabriquer des moteurs à combustion interne, la société basée à Osaka (ouest du Japon) a lancé en 1931 son premier véhicule, à trois roues. Elle est sous le contrôle de Toyota depuis 1967.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Kia dévoile les premières images de sa nouvelle berline compacte K4 || subtitle : La Kia K4 propose un design moderne et distinctif, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Guidée par la philosophie de conception «Opposites United» de Kia, elle offre une expérience de conduite équilibrée entre le rationnel et l’émotionnel, combinant, selon la marque, technologie avancée et confort pour le conducteur et les passagers. || body : Kia présente un aperçu de son dernier modèle, la K4, positionné en dessous de la K5 lancée en 2021. Cette nouvelle berline compacte dévoile ses caractéristiques extérieures et intérieures, offrant un design moderne et distinctif. L’habitacle, centré sur le conducteur, innove en combinant technologie, couleurs et matériaux pour une expérience futuriste. Guidé par la philosophie de conception «Opposites United» de Kia, et en particulier par le principe «Power to Progress», le design extérieur de la berline compacte K4 incarne la volonté continue de Kia de proposer des solutions de mobilité à la fois inspirantes, innovantes et esthétiquement avancées. Kia lance la nouvelle Picanto au Maroc La nouvelle Kia Picanto se distingue par son design renouvelé, un intérieur entièrement repensé avec une amélioration notable de la qualité de finition, ainsi qu’une gamme de technologies modernes. Elle offre deux options de motorisation essence et est disponible avec deux types de transmission : manuelle ou automatique. En ce qui concerne le design, les phares verticaux placés aux extrémités de la face avant créent une allure large et confiante, tandis que les feux de jour (DRL) fusionnent avec les bandes chromées horizontales pour renforcer le charme sophistiqué de la K4. La technologie d’éclairage en forme de constellation, inspirée par la dernière version de la cartographie céleste de Kia, offre une nouvelle interprétation distinctive du visage de tigre emblématique de la marque. De l’arrière, la K4 présente une impression de puissance et de dynamisme similaire. Les feux arrière verticaux, situés aux extrémités, descendent vers un large pare-chocs technique. Le design graphique du diffuseur d’air intégré au pare-chocs vient parfaire cette esthétique forte. Le concept «Opposites United» dans l’intérieur de la K4 La philosophie de conception «Opposites United» de Kia célèbre la tension créative née de la combinaison de deux concepts apparemment opposés. Cette approche radicale est parfaitement illustrée par le K4, où le concept «attendu» d’un cockpit orienté conducteur rencontre le design «inattendu», créant le caractère unique de l’intérieur du K4. Ce qui est «attendu» dans le segment des berlines compactes, c’est l’habitacle orienté vers le conducteur, qui, dans le cas de la K4, devient «inattendu» lorsque le concept même de conception orientée vers le conducteur est remis en question. Plutôt que la forme traditionnelle d’orientation vers le conducteur des écrans et des commandes orientées vers le conducteur, cet intérieur sépare le conducteur du passager par une séparation graphique audacieuse. Cette division crée une distinction claire entre les deux espaces : le cockpit conducteur à caractère technique et l’habitacle passager, confortable et humain. S’inspirant profondément du pilier «Joy for Reason» de la philosophie de conception de Kia, les designers d’intérieur de la marque ont créé un intérieur qui se concentre autant sur l’ambiance de l’habitacle que sur ses attributs fonctionnels et pratiques. Selon la marque, le contraste entre les éléments techniques du cockpit pour le conducteur et les éléments de confort pour le passager crée un équilibre entre le rationnel et l’émotionnel. Les occupants peuvent choisir parmi une gamme d’options d’éclairage direct et indirect pour éclairer de la K4. Le tableau de bord est dominé par un grand écran central et une console centrale au design élégant, soulignant encore davantage la séparation entre les environnements conducteur et passager. Alors que les boutons et commandes physiques sont délibérément réduits au minimum, une gamme de boutons physiques bien conçus et bien intégrés pour des fonctions telles qu’«Accueil», «Carte» et «Recherche», ainsi qu’un contrôleur rotatif, permettent une interaction rapide et intuitive avec les fonctions de la voiture. En dessous, quatre autres boutons permettent un contrôle transparent du système de chauffage, de climatisation et de ventilation. Une gamme de nouvelles garnitures de sièges, matériaux, motifs et couleurs est proposée, notamment le gris moyen, le vert ardoise, le brun canyon et le noir onyx, pour accentuer davantage l’atmosphère de l’intérieur du K4. La Kia K4 fera ses débuts mondiaux au Salon international de l’auto de New York, avec une diffusion en direct accessible à tous sur le site officiel de Kia. Des mises à jour supplémentaires seront également publiées avant l’événement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : L’AIVAM lance la cinquième édition du Car Of The Year Morocco || subtitle : Cette année, 14 modèles s'affronteront sous le regard attentif d'un jury composé de 12 journalistes et experts automobiles lors de la cinquième édition du Car Of The Year Morocco 2024. La révélation du véhicule lauréat est prévue pour le courant du mois de janvier 2024. || body : L' AIVAM vient d'annoncer le lancement de la cinquième édition du Car Of The Year pour l’année 2024 (COTY Morocco) . Le jury a défini les modèles éligibles qui rivaliseront pour décrocher le prestigieux trophée, succédant ainsi au Kia Sportage , distingué comme la voiture de l'année au Maroc en 2023. Automobile: 161.504 voitures neuves vendues en 2023 (AIVAM) Les ventes globales de véhicules neufs au Maroc se sont établies à 161.504 unités au cours de l’année 2023, contre 161.410 véhicules en 2022, a indiqué, lundi à Casablanca, le président de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM), Adil Bennani. Après le triomphe des quatre éditions antérieures, ce concours s'intègre parmi les événements professionnels de premier plan célébrant l’ automobile dans le Royaume. L'objectif de cette initiative est de couronner la voiture de l'année à travers l'évaluation d'un panel de journalistes et d'experts spécialisés dans le domaine automobile, garantissant ainsi transparence et impartialité à l'ensemble des marques en compétition. Cette année, le jury est composé de 12 journalistes et d’experts spécialisés dans l’automobile, à savoir Leila Benjelloun (Golf du Maroc) Présidente du jury, Khadija Dinia (Myluxurylife.ma), David Jeremie (Challenge), Moulay Ahmed Belghiti (Les Ecos), Essam Chraibi, (wandaloo.com), Hatim Kaghat (Expert automobile), Jalil Bennani (Driverslife.ma), Mohamed Akisra (Drive In), Olivier Vitart (UTAC), Haytam Boussaid (Le Matin), Mourad Khezzari (Gentlemen Driver) ainsi que Nabil Sbai Tanji (Je veux acheter une voiture !). Les véhicules éligibles à l'élection de la voiture de l'année 2024 sont au nombre de 14 et sont composés des marques et modèles suivants : BMW Active Tourer, BYD Atto 3, Cupra Formentor, Cupra Leon, Dacia Spring, Geely Coolray, Geely Geometry C, Honda CRV, Hyundai Bayon, Hyundai Staria, MG 4, MG ZS, MG HS et Renault Arkana . Les essais statiques et dynamiques sont prévus pour les journées du jeudi 11 et du vendredi 12 janvier 2024. Les essais statiques permettront au jury de sélectionner un panel de 7 véhicules parmi les 14 nominés, conformément aux critères établis dans le règlement intérieur déposé auprès de Maître Majid Benjelloun Zahr. Par la suite, les 7 véhicules éligibles seront soumis à des essais dynamiques supervisés par le jury, qui décernera le titre de voiture de l'année 2024. L'annonce du véhicule élu sera faite courant janvier 2024.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Automobile : Lancement de la commercialisation de la marque marocaine NEO || subtitle : La livraison des premiers véhicules de la marque marocaine Neo a eu lieu ce vendredi au siège de la société à Ain Aouda. A l'occasion, une convention a été signée entre NEO MOTORS, le ministère de l'Industrie et du Commerce et l'OFPPT dans le but d'accompagner le développement de la marque en termes de compétences. || body : NEO MOTORS, le premier constructeur automobile à capital marocain, a organisé aujourd'hui, à son siège social à Ain Aouda, en présence de Ryad Mezzour, Ministre de l'Industrie et du Commerce, la cérémonie de remise symbolique des premiers véhicules NEO à leurs propriétaires. Cette étape historique pour l’industrie automobile marocaine et pour Neo Motors marque officiellement le lancement de la commercialisation des véhicules NEO auprès du grand public. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, avait présidé, le 15 mai 2023 au Palais Royal de Rabat , la cérémonie de présentation du modèle de la voiture du premier constructeur marocain Neo, un projet novateur qui permettrait de renforcer la promotion du Label "Made In Morocco" et de conforter la place du Royaume comme une plateforme compétitive de la production automobile. Automobile : Neo Motors envisage une introduction à la Bourse de Casablanca Pour financer son développement et le passage à la production de véhicules électriques, Neo Motors envisage une IPO à la Bourse de Casablanca. Le premier constructeur automobile marocain est également en pourparlers avec la Banque africaine de développement sur d’autres options de financement. “Nous célébrons avec fierté la livraison des premiers véhicules de la marque marocaine Neo. Ce projet s’inscrit dans la lignée des Directives Royales visant à orienter le secteur privé vers des investissements productifs, notamment dans les secteurs de pointe, et à stimuler l'émergence d'une nouvelle génération d'entreprises au Maroc. Cela témoigne également de la confiance que nous portons dans les compétences marocaines et notre volonté de les accompagner pour en faire des modèles de réussite”, a déclaré Ryad Mezzour , à cette occasion. “Ce projet nous appartient à tous. Il vient en réponse à la Vision Royale de Sa Majesté sur la souveraineté industrielle qui encourage les jeunes entrepreneurs à prendre des risques. Il s’agit d’une première étape Je suis Fier de contribuer au renforcement du label « Made in Morocco » et de faire partie de cette belle plateforme automobile marocaine compétitive”, a déclaré, pour sa part, Nassim Belkhayat, PDG NEO MOTORS. Cet événement a également été marqué par la signature entre NEO MOTORS, le Ministère de l'Industrie et du Commerce et l'OFPPT d’une convention visant à accompagner l’évolution et le développement en compétences de la société par la préparation et formations de ressources humaines qualifiées et en adéquation avec les besoins exprimés. En outre, des accords ont été signés avec des partenaires clés offrant des avantages significatifs de nature à encourager la mobilité des jeunes entrepreneurs qui veulent s’offrir la Neo. Ainsi, le CREDIT AGRICOLE DU MAROC (CAM) et les organismes de financement SOFAC, MAGHREBAIL et MAROC LEASING offrent des conditions préférentielles aux jeunes entrepreneurs. L’accord conclu avec SPEEDY MAROC permet, quant à lui, de proposer des services d'entretien de proximité conformes aux normes du constructeur. Lors de cet événement, NEO MOTORS a inauguré le lancement des travaux d'extension de son usine révélant, ainsi, de nouvelles ambitions visant à accroître sa capacité installée et à développer de nouvelles gammes de véhicules. Pour rappel, l’Etat Marocain et NEO MOTORS ont conclu, en septembre 2019, une convention d’investissement pour la conception et la fabrication de la 1ère marque de véhicule marocaine grand public.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Le nouveau Honda CR-V débarque au Maroc avec une motorisation hybride || subtitle : Le nouveau Honda CR-V vise à s'imposer parmi les grands SUV, se distinguant par ses dimensions plus imposantes. Doté d'une motorisation hybride générant 204 ch de puissance, ce modèle offre des aides à la conduite avancées et des équipements de pointe en matière de technologie. || body : Honda Maroc vient de dévoiler son nouveau SUV, le CR-V de sixième génération, lors d'une conférence de presse tenue aujourd'hui, le jeudi 30 novembre. Arborant un design extérieur rafraîchi, ce véhicule se distingue par l'introduction d'une motorisation hybride de pointe. Érigé sur une nouvelle plate-forme, il offre un empattement plus long, des voies élargies, un espace intérieur généreux et des technologies de pointe. À l'extérieur, le nouveau CR-V adopte le nouveau langage de conception épurée de la marque, agrémenté de touches de robustesse. Une imposante calandre, ornée d'un motif en maille hexagonale, prend le devant de la scène, s'intégrant harmonieusement à une paire de phares à LED. Le pare-chocs avant se pare d'une protection en plastique noir et d'une garniture argentée s'étendant jusqu'aux passages de roues et aux bas de caisse. L'esthétique globale demeure épurée, marquée par un seul pli d'épaule net le long des flancs et un discret becquet de toit, complété par une protection de carrosserie plus imposante à l'arrière. Les feux arrière adoptent un nouveau design vertical, tandis que la lunette arrière s’avère moins inclinée qu’auparavant. Technologies et aides à la conduite à bord du Honda CR-V À bord du nouveau CR-V, les technologies et les aides à la conduite s'intègrent de manière fluide dans le design du SUV polyvalent. L'intérieur, en accord avec la nouvelle orientation du design la marque, présente une finition soignée, des matériaux de qualité et des touches haut de gamme. Le tableau de bord affiche une maille métallique en nid d'abeille élégante, créant une séparation visuelle entre le système audio, les affichages d'information et les commandes de climatisation pour une esthétique épurée. L'écran tactile de 9 pouces, légèrement surélevé au-dessus de la planche de bord, coexiste avec une instrumentation numérique de 10,2 pouces. Les équipements incluent la climatisation automatique i-Dual Zone, des sièges à 8 réglages électriques, un toit ouvrant panoramique et des modes de conduite. L'espace intérieur profite des dimensions étendues du véhicule, offrant un confort optimal aux places avant et arrière, avec un coffre de 596 litres extensible grâce aux sièges arrière coulissants. En matière de sécurité, le nouveau CR-V intègre des fonctionnalités telles que le système de freinage avec atténuation de collision, le régulateur de vitesse adaptatif avec suivi à basse vitesse, l'aide au maintien dans la voie, le système d'atténuation des sorties de route, ainsi qu'une caméra 360° et des capteurs de stationnement avant et arrière. Honda Maroc souligne la complétude du pack d'ADAS, assurant une conduite sûre et sécurisée. Motorisation hybride pour le nouveau CR-V Le nouveau CR-V est propulsé par un moteur essence 2.0 litres, associé à deux moteurs électriques, délivrant une puissance combinée de 204 ch et un couple moteur maximal de 335 Nm à 2000 tr/min. La recharge est gérée par un moteur générateur alimenté par le moteur, accompagné d'un système de freinage régénératif. Cette configuration permet de recharger efficacement la grande batterie, étendant ainsi l'autonomie électrique du véhicule. D'après les indications de la marque, lorsque la batterie est entièrement rechargée et le réservoir de carburant plein, le véhicule peut parcourir environ 1.160 km. Disponible en deux finitions, l'Executive et la Titanium, le CR-V affiche des tarifs de 504.000 DH et 550.000 DH respectivement. Lors de la conférence de presse, Univers Motors, l'importateur et distributeur exclusif des marques Honda et Ferrari au Maroc, a saisi l'occasion pour célébrer son 50ème anniversaire, marquant également le retour de la commercialisation des motos, mettant en avant dans le showroom, le Goldwing. Caractéristiques techniques : Moteur : 2.0 e-HEV (h) Cylindrée (cc) : 1.993 Puissance fiscale (cv) : ¬8 Puissance maxi (ch) : 204 Couple maxi (Nm) : 335 Boîte de vitesses : BVA Vitesse maxi (km/h) : 194 Accélération (0-100 km/h) : 9 (s) Consommation (l/100 km) (Mixte) : 5,1 Finition Executive (DH) : 504.000 Finition Titanium (DH) : 550.000 Equipements : ABS, EBD, VSA, HSA, HDC, EPB, Moniteur de l'attention du conducteur, Rappel des occupants des sièges arrière, Caméra 360°, Airbags (frontaux, latéraux et rideaux), Radars avec 4 capteurs de stationnement, Signal d'arrêt d'urgence, Phares à LED, Phares automatique, Réglage automatique des phares, Feux de jour à LED, Feux antibrouillard avant LED, Feu antibrouillard arrière, Rails de toit, Jantes en alliage, Toit ouvrant panoramique, Écran tactile 9 pouces avec navigation Apple CarPlay sans fil et Android, Instrumentation numérique de 10,2 pouces, 1 port USB avant et 1 chargeur USB avant, Chargeur sans fil, Système sonore immersif Bose avec 12 haut-parleurs, sièges et leviers de vitesse en cuir, Siège conducteur et passager à réglage électrique, Double climatisation automatique avec aérateurs arrière, Hayon électrique, Smart Entry, Feux à LED de virage avant séquentiels, Feux avant adaptatifs, Rétroviseurs électriques rabattables électriquement, Système de freinage à atténuation de collision, Avertisseur de collision avant, Régulateur de vitesse adaptatif avec suivi à basse vitesse, Système d'assistance au maintien de la voie, Alerte de franchissement de ligne, Atténuation de la sortie de route.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Voitures d’occasion : Otoclic célèbre son premier anniversaire || subtitle : Otoclic célèbre son premier anniversaire, annonce une ouverture récente au quartier Sidi Bernoussi à Casablanca dédiée aux véhicules utilitaires légers (VUL), et prévoit une prochaine ouverture à Fès, marquant ainsi une année marquante pour la plateforme de vente de véhicules d'occasion. || body : Otoclic , la plateforme indépendante de véhicules d'occasion , a célébré mercredi 25 octobre son premier anniversaire. Basée à Casablanca , l'entreprise exerce désormais depuis un an dans le domaine de l'achat et de la vente de véhicules d'occasion, en répondant à des critères spécifiques, définis par les cahiers de charge d'Otoclic. Les ventes de voitures neuves en baisse de 2,83% à fin octobre 2023 (AIVAM) Les ventes de voitures neuves au Maroc se sont établies à 130.214 unités durant les dix premiers mois de cette année, en baisse de 2,83% par rapport à la même période en 2022, selon l'Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM). L'événement a été l'occasion de marquer cette première année d'activité, et de révéler les projets à venir. L'un des faits saillants de cette annonce est l'ouverture prochaine d'un deuxième showroom à Fès, qui couvrira une superficie de 1.500 mètres carrés. Adil Bajjou , directeur général d'Otoclic, a exprimé sa satisfaction quant aux réalisations de la première année et a expliqué : « Notre première année a été positive en termes de chiffres, c'est pourquoi nous prévoyons des extensions . La première sera prochainement à Fès, couvrant ainsi toute la région Fès-Meknès. Nous prévoyons d'ouvrir d'autres showrooms dans différentes villes à l'avenir ». De plus, Otoclic a récemment inauguré un showroom dédié exclusivement aux professionnels à Sidi Bernoussi , offrant une large gamme de véhicules utilitaires . Au sein d'un vaste showroom s'étendant sur 3.500 mètres carrés, Otoclic expose ses véhicules d'occasion sur deux niveaux, principalement dans une fourchette de prix située entre 100.000 DH et 400.000 DH. Néanmoins, un espace réduit est spécialement dédié aux véhicules premium, dépassant ainsi cette fourchette tarifaire. La provenance des véhicules est variée, incluant des véhicules de particuliers, de professionnels, et d'entreprises de location à long terme , comme l'a souligné Adil Bajjou. Otoclic met à disposition un site web qui offre aux clients la possibilité de visualiser à 360 degrés l'intérieur et l'extérieur des véhicules. Selon l’entreprise, ils peuvent même zoomer pour détecter d'éventuels défauts et obtenir un devis de reconditionnement. Et en plus de proposer une garantie de 6 mois sur chaque véhicule , Otoclic offre un service après-vente au sein du même établissement.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La nouvelle Opel Corsa fait son entrée officielle au Maroc || subtitle : L’Opel Corsa fait peau neuve avec un restylage axé principalement sur la face avant, mettant en vedette l'Opel Vizor. L'habitacle bénéficie également d'une mise à niveau technologique et deux options de motorisation essence et diesel sont disponibles. || body : La Corsa, best-seller d'Opel au Maroc, se rafraîchit avec un restylage quatre ans après le lancement de sa sixième génération. Cette mise à jour vise à revitaliser la citadine, maintenant alignée avec la nouvelle identité visuelle d'Opel, incluant l'Opel Vizor, tout en consolidant sa position sur le marché. La Corsa restylée est désormais disponible à la commande. Opel Maroc : 7.300 unités vendues et une part de marché de 4,5% en 2023 Opel Maroc clôture une année positive avec 7.300 immatriculations et une part de marché de 4,5%. Le mois de décembre a été marqué par une croissance notable de 148% par rapport à la même période en 2022. Dans la continuité de cette performance, la marque au blitz annonce l'introduction imminente de la Corsa restylée ce mois-ci. Les concepteurs d'Opel ont insufflé une nouvelle vie à la Corsa, en la modernisant pour l'aligner sur la gamme actuelle de la marque. Au cœur de cette transformation, l'emblématique Opel Vizor prend place, enveloppant la face avant de la Corsa d'un bandeau noir intégrant la calandre, les phares à LED et le logo Opel au centre. Selon les finitions, le logo peut arborer un noir ou un argent satiné mat et les entrées d'air fictives dans le bouclier avant se présentent de manière plus grande, conférant à la Corsa une silhouette encore plus affirmée. Le profil de la citadine séduit par ses lignes distinctives, avec le montant de custode créant l'illusion d'un toit flottant au-dessus du véhicule. À l'arrière, la plaque signalétique est désormais centrée sur le hayon, ajoutant une touche affirmée. La palette de couleurs s'enrichit d'un nouveau Gris Grafik, avec la possibilité d'opter pour un toit noir en option. Deux motorisations pour la nouvelle Corsa Le restylage de la Corsa offre un habitacle à l'atmosphère plus moderne, marqué par de nouveaux motifs de sièges, un design revisité du levier de vitesses et du volant. L'élément phare, tant sur le plan visuel que technologique, réside dans la planche de bord entièrement numérique (disponible sur la finition GS), intégrant la plateforme Snapdragon Cockpit de Qualcomm Technologies. Cette plateforme améliore les capacités graphiques, multimédias et d'intelligence artificielle. Le principe « Detox to the max » a été appliqué, optimisant la clarté des affichages de l'écran tactile de 10 pouces et de l'instrumentation numérique de 7 pouces pour une consultation rapide des informations essentielles. De plus, la Corsa offre désormais la connectivité sans fil Apple CarPlay et Android Auto. La gamme de systèmes d'assistance inclut une nouvelle caméra de recul panoramique, le régulateur de vitesse, le limiteur de vitesse, ainsi que l'alerte de collision avant avec freinage d'urgence automatique et détection des piétons, contribuant à rendre la conduite et les manœuvres plus sereines. Le modèle phare d'Opel au Maroc affiche de nouvelles ambitions dans le segment des citadines. En alignement avec la stratégie « Detox », Opel Maroc continue de satisfaire la demande du marché en offrant, tout comme pour la précédente Corsa, deux options de motorisation pour le nouveau modèle. La version essence, équipée d'un bloc 1.2 litre de 100 ch avec une boîte manuelle à 6 rapports, est disponible en finition Edition. Quant à la version diesel, équipée d'un bloc 1.5 litre de 102 ch avec la même boîte de vitesses, elle est proposée en finition Edition et GS Line, avec une finition GS+ à venir. Le tarif de départ est fixé à 164.000 DH. Caractéristiques techniques : Moteur : 1.2 Turbo (e) Cylindrée (cc) : 1.199 Puissance fiscale (cv) : ¬7 Puissance maxi (ch) : 100 Couple maxi (Nm) : 118 Boîtes de vitesses : BVM6 Vitesse maxi (km/h) : 174 Accélération (0-100 km/h) : 13,2 (s) Consommation (l/100 km) (Rurale/Urbaine/Mixte) : 4,8/3,7/4,1 Finition Edition (DH) : 164.000 Moteur : 1.5 D (d) Cylindrée (cc) : 1.499 Puissance fiscale (cv) : ¬6 Puissance maxi (ch) : 102 Couple maxi (Nm) : 250 Boîtes de vitesses : BVM6 Vitesse maxi (km/h) : 188 Accélération (0-100 km/h) : 10,2 (s) Consommation (l/100 km) (Rurale/Urbaine/Mixte) : 3,7/2,9/3,2</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Le nouveau Nissan X-Trail embarque la technologie e-POWER || subtitle : Le Nissan X-Trail présente un design extérieur revisité et un intérieur pratique et spacieux. Avec son système e-POWER, il offre une conduite fluide et économique en carburant, tout en proposant une gamme complète de technologies et d'aides à la conduite. || body : Nissan fait sensation en Égypte avec le dévoilement de la toute nouvelle génération du X-Trail. Ce SUV emblématique, désormais dans sa quatrième génération, s'appuie sur l'héritage solide des générations précédentes tout en arborant un design entièrement revu. Mais les changements les plus marquants ne se limitent pas à l'esthétique : sous le capot, une évolution majeure s'opère avec l'introduction du système hybride e-POWER, déjà éprouvé sur le nouveau Qashqai. Nissan accélère sa marche vers le 100% électrique Nissan prévoit de lancer, d’ici 2030, 27 véhicules électrifiés, dont 19 véhicules 100% électriques. Visant de passer au 100% électrique d’ici 2030 en Europe, le constructeur nippon vient d’annoncer que chaque nouveau modèle Nissan lancé en Europe sera désormais 100% électrique. Dans le cadre d'une conférence de presse en Égypte, Nissan a révélé son dernier SUV lors d'un événement captivant, auquel ont participé des journalistes égyptiens ainsi que des journalistes marocains sélectionnés pour le lancement. L'endroit choisi, Aïn Soukhna, une ville côtière nichée au pied des montagnes, offrait un cadre idéal pour tester les capacités tout-terrain du nouveau véhicule. Mohamed Abdel Samad, directeur général de Nissan Égypte, a commenté : « nous sommes ravis d'annoncer le lancement du Nissan X-Trail, notre dernière nouveauté sur le marché égyptien, équipé d'une gamme de solutions de conduite électrique et de mobilité de pointe, notamment la nouvelle technologie e-POWER et la technologie e-4ORCE, toutes deux faisant leurs débuts en Égypte. On s'attend à ce que cette voiture marque un tournant qualitatif dans le secteur automobile local, mais aussi au niveau des pays de la région adoptant des solutions de mobilité respectueuses de l'environnement visant à réduire les émissions de carbone et à fournir des alternatives durables pour le système de transport. Le X-Trail constitue également un point d'entrée significatif dans l'avancement de l'industrie mondiale des véhicules électriques, car la conduite électrique représente l'avenir de la mobilité dans le monde de demain ». En ce qui concerne le design, les dimensions généreuses du SUV permettent même une version à sept places, tandis que son caractère baroudeur se reflète dans les modèles à quatre roues motrices. Le nouveau X-Trail présente des similitudes avec le concept Rogue. La face avant se distingue par ses phares supérieurs étirés, évoquant le style de l'Ariya, tandis que des phares anguleux en forme de « C » inversé encadrent une imposante calandre en forme de « V ». Le profil élégant affiche une ligne de toit légèrement inclinée, tandis que l'arrière adopte des lignes plus traditionnelles et épurées. L’e-POWER de Nissan : une hybridation novatrice Le concept mécanique novateur du Nissan X-Trail hybride suit le même schéma que celui du Qashqai. Son système de propulsion repose sur un moteur essence 3 cylindres turbo de 1.5 litre, conçu pour charger la batterie plutôt que pour entraîner les roues. Ce moteur, qualifié par Nissan de « premier moteur à taux de compression variable au monde en série », promet des performances élevées et fonctionne à une vitesse constante pour alimenter les générateurs du véhicule. Élaboré sur la plateforme crossover CMF-C, le nouveau X-Trail propose deux types de motorisations hybrides. La première, à deux roues motrices avant, est alimentée par un groupe électrique offrant une puissance de 150 kW (201 ch) et 330Nm de couple, comparable à celle de la Nissan Leaf e-Pedal entièrement électrique. La seconde, nommée e-4ORCE, intègre un deuxième moteur électrique arrière de 100 kW / 95Nm pour une transmission intégrale. Cette plateforme permet également l'introduction d'une nouvelle suspension avant et une configuration de direction plus réactive, améliorant ainsi la dynamique de conduite du véhicule. Nissan met en avant que la combinaison de l'e-POWER de deuxième génération et du moteur VC-Turbo offre une expérience de conduite dynamique et silencieuse, similaire à celle d'une voiture électrique, mais sans nécessité de recharge de la batterie. Bien que l'efficacité énergétique globale est évidemment moins bonne, compte tenu de la présence du moteur thermique, mais l'anxiété d'autonomie ne se pose plus. La continuité avec les véhicules électriques est également observée avec l’e-Pedal Step, diminuant le besoin d'utiliser les freins, puisque le relâchement de la pédale d'accélérateur active le freinage régénératif. Le modèle Nissan X-Trail 4WD est équipé du système e-4ORCE, qui coordonne la propulsion électrique via deux moteurs, un par essieu, promettant ainsi une amélioration significative des performances en termes d'accélération, de virage et de freinage. Ce système est conçu pour évaluer les conditions de la route et ajuster précisément le couple d'entraînement et de freinage des moteurs électriques pour une meilleure adhérence, assurant ainsi une conduite sûre et confortable, même sur des surfaces glissantes. Le nouveau X-Trail : des technologies avancées Le nouveau X-Trail intègre une série de technologies avancées pour garantir la sécurité des conducteurs, notamment le système Nissan Safety Assist 360°. Ce dispositif utilise des caméras et un radar pour surveiller en permanence l'environnement routier, prêt à prendre des mesures d'urgence en cas de danger. En outre, le véhicule est équipé de fonctionnalités telles que l'appel d'urgence automatique, les phares à LED adaptatifs et le système ProPILOT avec Navi-Link, qui offre un niveau de conduite autonome de niveau 2 sur les autoroutes à voies séparées. Pour ce qui est de l'interface utilisateur, l'écran Advanced Drive Assist offre une diagonale généreuse de 12,3 pouces et propose deux modes d'affichage pour une meilleure lisibilité. Le système de navigation NissanConnect, également doté d'un écran de 12,3 pouces, est équipé de commandes vocales à reconnaissance naturelle ainsi que de l'assistant vocal Amazon Alexa, offrant une expérience de conduite plus fluide et permettant le contrôle des appareils domotiques. De plus, l'affichage tête haute de 10,8 pouces projette des informations essentielles sur le pare-brise, tandis que le système audio haut de gamme Bose Premium Sound assure une expérience sonore exceptionnelle à bord du nouveau SUV. Encadré : Intérieur repensé du Nissan X-Trail Dans le nouveau X-Trail, l'intérieur représente un standard élevé de sophistication et de convivialité. Chaque détail a été soigneusement pris en compte pour offrir une expérience agréable. Les technologies avancées de Nissan Intelligent Mobility sont intégrées de manière intuitive, procurant confort et qualité lors de chaque trajet. L'ergonomie des commandes a été étudiée avec minutie pour garantir une expérience utilisateur optimale. Au niveau de la console centrale, le design allie élégance et fonctionnalité, avec un agencement pratique du levier de vitesses, du sélecteur de mode de conduite et des porte-gobelets. L'espace de rangement a été optimisé pour répondre aux besoins quotidiens, offrant des compartiments bien conçus pour les petits objets, ainsi qu'un accès facilité aux passagers arrière grâce à des éléments d'ouverture latéraux. L'éclairage d'ambiance blanc crée une atmosphère calme et harmonieuse à l'intérieur de l'habitacle, contribuant à un sentiment général de confort.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La nouvelle Toyota Prius distinguée aux «Automobile Awards 2023» || subtitle : Grâce à sa technologie hybride rechargeable, la cinquième génération de ce modèle emblématique offre les émissions les plus faibles jamais enregistrées avec une Prius. || body : Nouvelle distinction pour la Toyota Prius . La berline compacte hybride nipponne a raflé le Prix Green Tech lors des derniers «Automobile Awards 2023» , organisés récemment. Toyota dévoile sa stratégie d’électrification avec six nouveaux modèles et de nouvelles batteries Six nouveaux modèles électriques sont prévus par Toyota d’ici 2026, comprenant les concepts Urban SUV et Sport Crossover. La marque japonaise prévoit également de développer des batteries performantes, abordables et une technologie de batteries solides visant une commercialisation en 2027-2028. Décerné par un jury de 20 spécialistes indépendants, ce Prix prestigieux salue l’efficience exceptionnelle de la toute nouvelle Prius , qui, grâce à sa technologie hybride rechargeable , offre les émissions les plus faibles jamais enregistrées avec une Prius . La nouvelle Prius offre la combinaison idéale des performances d’un véritable véhicule électrique avec toute la facilité d’utilisation d’un hybride. Son autonomie en mode 100% électrique, qui peut atteindre 86 km (en cycle mixte WLTP) grâce à une batterie de 13,6 kWh, permet une conduite zéro émission sur la plupart des trajets quotidiens. Dans la recherche d’une efficience maximale, jusqu’à 8,7 kilomètres d’ autonomie 100% électrique par jour peuvent être générés par des cellules solaires intégrées dans le toit en option (chiffre calculé sur la base de l’ensoleillement à Nagoya, au Japon). Pour les déplacements plus longs, en plus du moteur électrique, le système hybride auto-rechargeable de nouvelle génération de Toyota offre une puissance augmentée et des émissions de CO2 en cycle mixte WLTP ultra-faibles de 11 g/km (les plus faibles jamais enregistrées avec une Prius). En plus d’offrir le meilleur de la technologie, le plaisir de la conduite est également au rendez-vous avec des performances exceptionnelles procurées par les 223 ch de puissance cumulée. Et surtout avec cette cinquième génération, le plaisir du style avec un design dynamique et moderne proche d’un coupé. Après avoir reçu le Prix Green Tech des «Automobile Awards 2023» pour la nouvelle Prius, Frank Marotte , PDG de Toyota France , a avancé : «La nouvelle Prius marque d’abord une rupture technologique avec l’adoption pour la première fois d’une motorisation hybride rechargeable, avec un système remarquablement efficient. Et cette nouvelle génération, qui est magnifique, marque aussi une rupture stylistique tout en respectant le canon de beauté d’origine de la Prius, qui est l’aérodynamisme». Décernés par un jury composé de 20 spécialistes indépendants de l’automobile et de la mobilité, les «Automobile Awards» font référence. Ils distinguent les meilleurs nouveaux modèles et services selon plusieurs critères, le Prix Green Tech récompensant spécifiquement «l’automobile (non 100% électrique) à la technologie la plus pertinente en matière de respect de l’environnement».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Peugeot dévoile son projet E-Lion 2024 avec garantie étendue et ChatGPT intégré || subtitle : Le projet E-Lion 2024 de Peugeot inclut une gamme élargie de véhicules électriques et un programme de garantie spécifique pour les e-3008. De plus, la marque intègre la technologie ChatGPT dans tous ses modèles pour améliorer l’expérience client et s’engage dans des pratiques durables avec l’économie circulaire. || body : Peugeot vient de présenter son projet ambitieux pour l’avenir de la mobilité durable, baptisé E-Lion 2024. Allant bien au-delà de la simple électrification des véhicules, cette initiative vise à transformer l’intégralité de la gamme de la marque. Outre l’électrification complète, le projet comprend également le déploiement d’un nouveau forfait de garantie et l’intégration systématique du ChatGPT sur l’ensemble des modèles. Le combispace Peugeot E-Rifter monte en puissance électrique Dans le cadre de la stratégie qui consiste à devenir la marque leader sur le marché électrique d’ici 2025, Peugeot vient de munir son combispace E-Rifter de davantage de puissance en matière d’électrification, avec une autonomie 100% électrique qui atteint désormais 320 km, tout en optimisant les qualités qui ont fait le succès de ce véhicule. La gamme Peugeot EV comprend actuellement les e-208, e-2008, e-308, e-308 SW, e-3008, e-Rifter , e-Traveller, e-Partner, e-Expert et e-Boxer. La marque affirme être le fournisseur de la gamme de VE la plus large parmi toutes les grandes marques européennes, répondant ainsi à tous les besoins des clients. En 2023, Peugeot a dominé le segment électrique B en Europe avec les e-208 et e-2008, et elle est également en tête des ventes de véhicules utilitaires légers zéro émission sur le continent. Lors de la conférence en ligne, Peugeot a également annoncé l’arrivée prochaine des e-408 et e-5008 en 2024. Peugeot innove également avec le « Peugeot Allure Care », un programme garantissant la tranquillité d’esprit en couvrant le moteur électrique, le chargeur, la chaîne cinématique, ainsi que les principaux composants électriques et mécaniques jusqu’à 8 ans ou 160.000 km. Cette offre est exclusivement réservée aux clients de la nouvelle e-3008. Cette nouvelle garantie vient compléter la garantie spécifique de la marque sur toutes ses batteries de véhicules électriques, également étendue à 8 ans ou 160.000 km, assurant une couverture complète du véhicule. Phil York , directeur marketing et communication de Peugeot, a annoncé : «Nous pensons que Peugeot Allure Care va accélérer l’adoption de la dernière génération de véhicules Peugeot 100% électriques en offrant aux clients la sérénité dont ils ont besoin pour franchir le pas. Cette couverture d’une ampleur exceptionnelle témoigne de la confiance que nous avons dans la qualité et la fiabilité de nos produits». ChatGPT sur l’ensemble de la gamme Peugeot Peugeot veut pousser plus loin l’expérience client, en proposant la technologie ChatGPT sur l’ensemble de sa gamme de véhicules particuliers et utilitaires. L’opération va démarrer dans un premier temps sur cinq marchés pilotes, avant un déploiement plus large à partir du second semestre 2024. Le modèle d’intelligence artificielle générative le plus connu est intégré au Peugeot i-Cockpit et devient, au travers de l’assistant vocal «Ok Peugeot», un véritable partenaire capable de répondre à d’innombrables questions et demandes sur tout type de sujet. Une fois l’assistant vocal «Ok Peugeot» activé, il suffit d’exprimer la requête désirée pour que ChatGPT réponde de manière «enrichie», selon Peugeot. L’intelligence artificielle générative pour apporter des réponses à des questions spécifiques, par exemple en suggérant des points de repère à visiter dans une ville, en les présentant et en guidant le conducteur en coordination avec le système de navigation, mais elle peut également animer les voyages en interagissant avec les occupants. Peugeot s’engage également à intégrer pleinement l’économie circulaire dans ses pratiques. En collaboration avec Stellantis, le groupe se concentre sur les quatre piliers de l’économie circulaire : la remanufacture, la réparation, la réutilisation et le recyclage. Cette approche se traduit par l’utilisation de matériaux durables et recyclés dans la conception de ses véhicules, comme le montre le cas de la nouvelle Peugeot e-3008, composée à 23% de matériaux recyclés. De plus, Stellantis a mis en place des initiatives telles que SUSTAINera Valorauto, une joint-venture visant à collecter, démonter, récupérer et recycler les véhicules hors d’usage. Une autre joint-venture, en partenariat avec Orano, se concentre spécifiquement sur le recyclage des batteries de voitures électriques, en utilisant une technologie innovante pour maximiser la récupération des matériaux. En outre, Stellantis a mis en place un atelier interne dédié à la réparation des batteries, démontrant ainsi son engagement durable dans la gestion responsable des ressources et des déchets.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Mercedes EQE : une berline électrique prête pour les longs trajets || subtitle : Lancée récemment sur le marché marocain, la berline électrique à l’étoile Mercedes EQE arbore une allure sportive avec tous les éléments typiques de la gamme électrique de Mercedes-Benz, une ligne unique et un design orienté vers la cabine. Son autonomie, qui va jusqu’à 682 km, convient parfaitement aux voyages. || body : Lancée récemment sur le marché marocain , la berline allemande EQE fait partie d’une armada de six nouveaux modèles zéro émissions (les SUV compacts EQA et EQB, les berlines de luxe EQE et EQS ainsi que leur variantes EQE SUV et EQS SUV), grâce auxquels Mercedes Maroc est devenue la marque qui propose la gamme de véhicules électriques de luxe la plus large sur le marché national. Véhicules électriques : Mercedes Maroc passe à la vitesse supérieure Avec ses six nouveaux modèles zéro émissions fraichement lancés (les SUV compacts EQA et EQB, les berlines de luxe EQE et EQS ainsi que leur variantes EQE SUV et EQS SUV), Mercedes propose désormais la gamme de véhicules électriques de luxe la plus large au Maroc. Deuxième modèle basé sur l’architecture électrique de catégorie supérieure (EVA2) après le modèle de luxe EQS, la nouvelle berline électrique arbore une allure sportive avec tous les éléments typiques de la gamme électrique de Mercedes-Benz : une ligne unique et un design orienté vers la cabine. La pureté sensuelle se traduit par des surfaces généreusement modelées, des joints réduits et des transitions fluides (seamless design). Les porte-à-faux et l’avant sont courts et l’arrière apporte un accent dynamique avec un déflecteur incisif. Les roues positionnées de manière affleurante à l’extérieur dans des dimensions de 19 à 21 pouces, ainsi qu’un épaulement musclé prononcé, confèrent à l’ EQE un caractère athlétique. L’ EQE est plus compact que l’ EQS et son empattement de 3.120 millimètres est plus court de 90 mm. En termes de dimensions extérieures, elle est comparable au CLS. Comme ce dernier, elle n’a pas de porte/hayon arrière, mais une lunette arrière fixe et un couvercle de coffre. La silhouette aérodynamique avec des portes sans cadre, semblables à celles d’un coupé, et une ligne de ceinture haute et incurvée sont des éléments de design marquants du profil. Mercedes EQE : Une vision de numérisation cohérente de l’intérieur Comme l’EQS, l’ EQE est basé sur une grande plateforme des véhicules électrique haut de gamme de Mercedes-Benz . Pour les concepteurs, cela s’accompagne d’une vision de numérisation cohérente de l’intérieur. L’Hyperscreen MBUX, en option, implémente cette vision de manière impressionnante : l’ensemble de la planche de bord est ici un ultime écran large. Cela détermine l’esthétique de l’ensemble du poste de conduite et de l’intérieur. La vitre en verre véritable semble onduler telle une vague en trois dimensions sur toute la largeur du véhicule. Tous les EQE sont équipés d’une chaîne de traction électrique (eATS) sur l’essieu arrière. La batterie, quant à elle, offre une capacité énergétique utile de 90 kWh, et l’autonomie (jusqu’à 682 kilomètres selon la norme WLTP) convient parfaitement aux voyages. La motorisation proposée au lancement est l’ EQE 350+ délivrant une puissance de 215 kW. Les temps de charge sont de 4h45mn (de 0 à 100%) en courant alternatif (AC) avec une puissance de 22 kW maxi, et de seulement 32 minutes (de 10 à 80%) en courant continu (DC) avec une puissance de 170 kW. Sur l’EQE, la batterie lithium-ion se compose de dix modules et affiche une capacité énergétique utile de 90 kWh. Le logiciel innovant de gestion de la batterie permet des mises à jour de la gestion énergétique qui reste ainsi à jour tout au long de son cycle de vie. Sur la finition Electric Art Airbags frontaux, latéraux avant et rideaux, Airbag genoux pour le conducteur, ABS, BAS, ASR et ESP, Détection de somnolence, Allumage automatique des projecteurs, Essuie-glaces avec détecteur de pluie, Assistant de feux de route, Freinage d’urgence assisté actif, Système Pre-Safe, Tirefit avec compresseur de gonflage, Assistant d’angle mort, Assistant de franchissement de ligne actif, Système de contrôle de la pression des pneus, Câble de charge pour prise secteur, Câble de charge pour borne de recharge publique, Programmes de conduite, Système multimédia MBUX avec commandes vocales, Écran des instruments entièrement numérique de 12,3 pouces, Écran média central OLED de 12,8 pouces, Navigation GPS par disque dur, Pack Stationnement avec caméra de recul, Sièges avant chauffants, Soutien lombaire à 4 voies, Pare-soleil extractible, Pack Advanced Plus, Pack Rétroviseurs, Pack d’intégration pour smartphone, Système de recharge sans fil pour smartphone, Sièges avant électriques avec fonction mémoires, Pack Confort Keyless-Go, Intérieur Electric Art, Sellerie en cuir, Volant sport multifonctions en cuir, Inserts décoratifs rétro-éclairés, Ciel de pavillon en tissu noir, Tapis de sol en velours, Éclairage d’ambiance à 64 couleurs, Extérieur Electric Art, Bas de caisse dans le ton noir brillant, Jupe arrière en finition noire grenée, Baguettes de ligne de ceinture et de bas de glaces chromées, Seuils de portes éclairés, Calandre au design à étoile Mercedes-Benz, Vitrage athermique sur-teinté, Poignées de porte affleurantes, Projecteurs LED hautes performances, Jantes alliage 20 pouces. En plus sur la finition AMG Line Pack AMG Line, Volant sport multifonctions en cuir Nappa, Pédalier sport en acier inoxydable, Planche de bord et lignes de ceinture en similicuir, Tapis de sol AMG, Système de sonorisation 3D-Surround Burmester, MBUX Hyperscreen, Projecteurs Digital Light, Protection du véhicule Guard 360 °, Toit panoramique ouvrant, Suspension Airmatic, Jantes alliage AMG 21 pouces. Mercedes EQE : Équipements Caractéristiques techniques Version EQE 350+ Puissance maxi (ch) 292 Couple (Nm) 565 Capacité de la batterie (kWh) 90 Consommation (kWh/100 km) 15,4 - 16,8 Autonomie mixte WLTP (km) 644 – 682 Finition Electric Art (DH) 916.000 Finition AMG Line (DH) 1.136.000</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : "Le Matin Auto" au volant de la Dacia Spring avec son allure renouvelée || subtitle : La Dacia Spring 2024 offre un design repensé et robuste, ainsi qu'un intérieur spacieux et ergonomique. Elle propose également deux options de motorisation pour répondre aux besoins urbains et offre une autonomie dépassant les 220 km. || body : Dacia dévoile sa toute nouvelle Spring lors d'un événement à Paris. Succédant au premier modèle électrique lancé en 2021 et ayant trouvé plus de 140.000 acquéreurs à travers le monde, cette deuxième génération s'inscrit dans la lignée de l'esthétique actuelle de la gamme Dacia. Tout en préservant son principal avantage : demeurer la voiture électrique la plus abordable du marché. Cette nouvelle génération de la Spring marque une avancée significative, renforçant les caractéristiques qui ont assuré son succès initial. Avec un design repensé et plus robuste, ainsi qu'un intérieur spacieux, la nouvelle citadine promet une expérience encore plus attrayante et pratique pour les conducteurs. Renault annonce le déploiement au Maroc de son nouveau Plan de développement international À l’occasion de la présentation de ses résultats commerciaux 2023, le constructeur automobile annonce qu’en 2024, la marque Renault poursuivra le déploiement de l’«International Game Plan 2027», son Plan de développement pour les marchés situés hors Europe. Ainsi, après le Brésil et la Turquie en 2023, cette année sera marquée par le déploiement de ce Plan au Maroc et en Corée du Sud. Le groupe Renault affiche, par ailleurs, de bonne performance commerciale au Maroc avec 60.290 véhicules vendus l’année dernière, ce qui fait du Royaume le dixième marché mondial du groupe. La nouvelle Spring adopte le nouveau design Dacia, introduit avec la dernière génération de Duster. L'intérieur a subi une métamorphose remarquable, avec un remaniement complet des éléments, tandis que seule la pièce de carrosserie du toit a été conservée de la version précédente à l'extérieur. La nouvelle identité de Dacia est évidente, caractérisée par deux bandeaux noirs, l'un à l'avant et l'autre à l'arrière, ornés de stries mates spécifiques à l'arrière. Ces bandeaux sont encadrés par la signature lumineuse en « Y » distinctive de la marque, particulièrement marquante avec les feux de jour à l'avant et les feux de position à LED à l'arrière. Des stickers au design contemporain ornent les pare-chocs avant et arrière sur la finition Extreme. Restant fidèle à la philosophie Dacia, la nouvelle Spring met en avant une conception astucieuse et durable. Par exemple, les protections latérales de bas de portes sont légères, faciles à installer, économiques et remplaçables. Les pièces décoratives en chrome ont été éliminées, de même que les barres de toit jugées généralement superflues pour une voiture principalement utilisée pour de courts trajets. Cette suppression permet un allègement de poids, une meilleure aérodynamique et donc une plus grande autonomie. Dacia Spring : intérieur repensé et ergonomique À l'intérieur, la configuration de la planche de bord a été entièrement repensée pour s'adapter au nouveau design intérieur de Dacia, caractérisé par une structure plus horizontale, et pour accueillir une nouvelle série d'écrans numériques. La Spring est désormais équipée d'un tableau de bord numérique personnalisable avec un écran de 7 pouces sur toutes les versions, ainsi que d'un grand écran central multimédia de 10 pouces sur les modèles haut de gamme. Les choix de couleurs et de matériaux de l'habitacle ont été revus pour offrir une qualité accrue, tout en restant aussi uniformes que possible afin de maîtriser les coûts, conformément à la philosophie de Dacia. Sur toutes les nouvelles Spring, des éléments blancs, teintés dans la masse, contribuent à créer une ambiance rafraîchissante et modulaire. Ils sont positionnés autour du combiné d'instruments, du levier de vitesses et des bacs de portes. L'emblématique « Y » de Dacia, placé au centre des aérateurs centraux, est blanc (ou cuivre sur la finition Extreme). La pièce de décoration centrale du tableau de bord varie selon les finitions : gris alto pour l'Essential, rouge brique pour l'Expression, et lichen kaki pour l'Extreme. Le design de la nouvelle Spring met l'accent sur la praticité. Ainsi, l'écran multimédia tactile a été positionné de manière optimale pour une ergonomie maximale. De plus, la citadine bénéficie de fixations YouClip compatibles avec des accessoires conçus par Dacia, également disponibles sur le tout nouveau Duster. Deux choix de motorisation pour la nouvelle Spring La motorisation plus puissante de 65 ch/48 kW, auparavant réservée à la finition haut de gamme Extreme, est désormais disponible dès la finition intermédiaire Expression. Cette nouvelle configuration offre des performances dynamiques, avec une accélération de 0 à 100 km/h réalisée en moins de 14 secondes. De plus, pour répondre aux besoins urbains et offrir une accessibilité accrue, la version équipée du moteur 45 ch est également proposée dans les finitions Essential et Expression, avec une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 20 secondes. Toutes les versions de la citadine sont équipées d'une batterie compacte de 26,8 kWh offrant une autonomie dépassant les 220 km. Selon la marque, cette autonomie est largement suffisante pour la majorité des trajets quotidiens, qui s'élèvent en moyenne à 37 km par jour d'après les données de connectivité du véhicule. La consommation annoncée est de 14,6 kWh/100 km. La nouvelle Dacia Spring est également dotée en série d'un chargeur en courant alternatif de 7 kW, permettant une recharge de 20 à 100% de la batterie en moins de 11 heures sur une prise domestique, ou en 4 heures sur une Wallbox 7 kW. En option, un chargeur en courant continu de 30 kW est proposé pour une recharge rapide de 20% à 80% en 45 minutes. Trois finitions sont disponibles pour cette nouvelle génération de la Spring : Essential, Expression et Extreme. Bien que les prix n'aient pas encore été dévoilés, Dacia s'engage à maintenir une fourchette de prix similaire à celle de l'ancienne génération de la Spring.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La Mercedes-AMG SL 63 S E Performance se dévoile avec une puissance de 816 ch || subtitle : La Mercedes-AMG SL 63 S E Performance présente une technologie hybride inspirée de la Formule 1, offrant une puissance de 816 ch et établissant ainsi un nouveau standard pour la gamme SL. La super sportive est dotée d’un design distinctif, de nombreuses options de personnalisation et d’un intérieur sportif. || body : Mercedes-AMG dévoile la SL 63 S E Performance, une incarnation ultime du célèbre Roadster SL. Avec ses 816 ch de puissance, elle se hisse au sommet de la gamme, établissant ainsi un nouveau record de puissance pour une Mercedes SL. Fruit du savoir-faire en hybridation hérité de la Formule 1 avec l’équipe Mercedes AMG Petronas, cette création représente une fusion exceptionnelle entre performances de pointe et expertise technologique. Mercedes EQE : une berline électrique prête pour les longs trajets Lancée récemment sur le marché marocain, la berline électrique à l’étoile Mercedes EQE arbore une allure sportive avec tous les éléments typiques de la gamme électrique de Mercedes-Benz, une ligne unique et un design orienté vers la cabine. Son autonomie, qui va jusqu’à 682 km, convient parfaitement aux voyages. D’un point de vue esthétique, la SL 63 S E Performance se démarque à l’arrière grâce à sa trappe de chargement intégrée dans le bouclier, des badges au fond rouge, deux canules d’échappement trapézoïdales rainurées, et un badge distinctif «E Performance» sur les ailes. Les options de personnalisation abondent avec le programme Manufaktur, offrant une nouvelle teinte exclusive Orange Flamme Métallisé Manufaktur, divers packs de personnalisation, ainsi que des choix de jantes alliage en 20 et 21 pouces. À l’intérieur, la SL 63 hybride offre un poste de conduite sportif avec un écran tactile central vertical, accompagné d’un habitacle spacieux comprenant des sièges sport AMG en configuration 2+2. L’espace intérieur propose une large gamme de possibilités de personnalisation, avec des options telles que le cuir, la microfibre et des inserts en fibre de carbone. Le système multimédia MBUX est enrichi de multiples affichages et fonctions spécifiques aux modèles hybrides, notamment un menu «AMG Performance» présentant des graphiques de flux de puissance et des données sur la vitesse, la puissance, le couple et la température du module électrique. Technologie hybride pour la SL 63 S E Performance Sous le capot, la Mercedes-AMG SL 63 S E Performance est propulsée par un moteur V8 bi-turbo AMG de 4.0 litres installé sur l’essieu avant. Il s’accompagne d’une unité d’entraînement électrique sur l’essieu arrière, comprenant un moteur électrique synchrone à excitation permanente de 150 kW (204 ch), une boîte de vitesses à deux rapports à commutation électrique et un différentiel mécanique à glissement limité sur l’essieu arrière. La batterie légère et performante est judicieusement positionnée à l’arrière, au-dessus de l’essieu arrière, offrant une conception compacte vantant de nombreux avantages, selon la marque. Le moteur électrique agit directement sur l’essieu arrière, fournissant une propulsion plus directe pour un surcroît de puissance lors des départs, accélérations et dépassements. En cas de patinage de l’essieu arrière, la force du moteur électrique est transférée aux roues avant selon les besoins. La transmission intégrale AMG Performance 4Matic+, entièrement variable, assure la correction du patinage grâce au cardan et aux arbres d’entraînement des roues avant. Placé sur l’essieu arrière, ce dispositif améliore la répartition du poids, contribuant à une tenue de route remarquable. Selon la marque, le développement de la batterie lithium-ion s’inspire des avancées technologiques de la Formule 1 de l’équipe Mercedes-AMG Petronas F1 Team, garantissant des performances supérieures pour le roadster SL. La batterie AMG Haute Performance, avec une capacité de 6,1 kWh, assure une consommation d’énergie rapide et une densité de puissance élevée. Son système de refroidissement direct, essentiel pour des performances optimales, circule autour des 560 cellules, maintenant une température idéale. Le chargement s’effectue via un chargeur de 3,7 kW en courant alternatif. Bien que conçue pour une recharge rapide plutôt que pour une autonomie maximale, elle offre une autonomie pratique de 13 km en mode purement électrique en cycle urbain (WLTP). Aérodynamique active revue et corrigée La Mercedes-AMG SL 63 S E Performance bénéficie d’une aérodynamique active spécifiquement adaptée à la technologie de propulsion électrique. Son élément aérodynamique actif, situé dans le soubassement avant, se déploie automatiquement à partir de 80 km/h, créant un effet Venturi qui améliore la stabilité en réduisant la portance sur l’essieu avant. L’aileron arrière, intégré au couvercle du coffre, ajuste sa position en fonction des conditions de conduite, optimisant ainsi la stabilité ou réduisant la résistance à l’air. Ces éléments actifs, développés exclusivement par AMG, contribuent à un comportement de conduite équilibré et sont des caractéristiques standard sur le modèle SL haut de gamme.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Les nouveaux Opel Combo Electric et Zafira Electric dévoilés || subtitle : Les nouveaux Opel Combo Electric et Zafira Electric arbore un nouveau design frontal, offrent une capacité de chargement accrue avec la disponibilité de deux configurations de carrosserie. La marque au blitz a également repensé la technologie embarquée et renforcé les équipements de sécurité. || body : Opel vient de dévoiler les nouveaux Combo Electric et Zafira Electric , deux monospaces électriques pensés pour les loisirs, les voyages longue distance, et les navettes. Avec une capacité respective de 7 et 9 places, ces véhicules promettent une autonomie accrue, de nombreux aides à la conduite et des technologies de pointe. La nouvelle Opel Corsa bientôt dotée du système hybride 48 volts Le nouveau système hybride 48 volts proposé comprend une batterie lithium-ion qui se recharge automatiquement dans certaines conditions de conduite et de nouveaux moteurs 1.2 litre essence trois cylindres de 100 ch et 136 ch qui ont été développés spécialement pour l’application hybride. Les monospaces Combo Electric et Zafira Electric s'inscrivent dans une initiative d'électrification lancée par le groupe Stellantis en octobre dernier, dévoilant alors une douzaine de monospaces revisités. Malgré la présentation d'Opel les qualifiant de nouveaux modèles, il s'agit essentiellement d'un relooking marqué par une face avant redessinée. Arborant désormais « l'Opel Vizor », l'identité visuelle distinctive de la marque, ces deux véhicules affichent pour la première fois cette bande noire traversant horizontalement la face avant et reliant les phares, suivant la lignée stylistique de l'ensemble de la gamme. Le Combo offre une flexibilité notable avec deux longueurs distinctes : la version de 4,41 mètres accueille confortablement jusqu'à cinq passagers, tandis que sa version de 4,76 mètres peut étendre la capacité à sept personnes réparties sur trois rangées. L'agencement des sièges permet au coffre de proposer un volume de chargement variant entre 775 et 4.000 litres. Du côté de Zafira, une similarité dans les options de longueur (4,98 mètres et 5,33 mètres) offre une capacité d'accueil pouvant aller jusqu'à neuf personnes. En termes de volume de chargement, le coffre peut contenir jusqu'à 1.500 litres avec la configuration à neuf places, tandis que dans la configuration à cinq places, le volume de chargement varie entre 3.000 et 4.900 litres. Plus d’autonomie et d’équipements pour les Opel Combo et Zafira Animé par un moteur électrique développant 100 kW/136 ch et un couple de 260 Nm, le nouveau Combo Electric dévoile une performance notable. Équipé d'un chargeur embarqué de 11 kW, sa batterie de 50 kWh peut être rechargée à 80% en environ 30 minutes sur une borne publique de 100 kW. Selon les normes WLTP, le monospace peut parcourir jusqu'à 330 km, offrant une amélioration d'environ 50 km par rapport à son prédécesseur. Le Zafira, propulsé par le même moteur électrique, présente une autonomie étendue jusqu'à 350 km grâce à sa batterie de 75 kWh. Cette dernière peut atteindre une charge de 80% en environ 38 minutes avec le chargeur embarqué de 11 kW, légèrement plus long que le Combo. Les deux véhicules proposent trois modes de conduite (Normal, Eco et Power), afin de s'adapter aux préférences individuelles des conducteurs. Opel a actualisé la technologie embarquée et les dispositifs d'assistance à la conduite pour les deux nouveaux modèles. Le cockpit repensé offre un écran tactile de 10 pouces et une instrumentation numérique équipée du système Snapdragon Cockpit pour un affichage plus sophistiqué. La commande vocale, désormais accessible via « Hey Opel », s'ajoute à la connectivité sans fil des téléphones à l’aide de l’Apple CarPlay et l’Android Auto. La sécurité a été renforcée avec l'introduction, pour la première fois dans l'histoire du Combo, de l'éclairage matriciel Intelli-Lux LED adaptatif et non éblouissant. 14 éléments LED assurent un éclairage optimal de la route. Le Zafira, quant à lui, est doté de phares full LED. Chacun des deux modèles propose jusqu'à 18 systèmes d'aide à la conduite, incluant le régulateur de vitesse adaptatif, la caméra de recul à 180 degrés, les capteurs avant et arrière, ainsi que la protection latérale et l'avertisseur de l’angle mort. Divers dispositifs supplémentaires, tels que l'alerte d'attention du conducteur, la reconnaissance des panneaux de signalisation, l'assistance au maintien de la voie et l'alerte de collision avant avec freinage d'urgence, enrichissent la gamme. Prochainement, Opel ouvrira les réservations pour ses deux nouveaux modèles électriques, accompagnées de détails sur les tarifs et les différentes finitions proposées. Opel : cap sur l'électrification Opel a annoncé une transition électrique complète d'ici 2028, avec une version électrique prévue pour chaque modèle dès 2024. Le successeur du Crossland sera le premier, suivi du Grandland. La gamme électrifiée comprend déjà la Corsa, le Mokka, la Rocks Electric, ainsi que les monospaces Combo Electric et Zafira Electric. Opel se démarque avec des modèles hybrides tels que l'Astra GSe, le Grandland GSe, et s'engage dans l'hydrogène avec le Vivaro-e Hydrogen. Et d'ici 2028, toute la gamme européenne de la marque au blitz sera 100% électrique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Les ventes de voitures neuves en baisse de 2,83% à fin octobre 2023 (AIVAM) || subtitle : Les ventes de voitures neuves au Maroc se sont établies à 130.214 unités durant les dix premiers mois de cette année, en baisse de 2,83% par rapport à la même période en 2022, selon l'Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM). || body : Par segment, le nombre des nouvelles immatriculations de véhicules particuliers (VP) s'est situé à 117.410 unités, en repli de 1,33%, alors que celui de véhicules utilitaires légers (VUL) a diminué de 14,7% à 12.804 unités, précise l'AIVAM qui vient de publier ses statistiques mensuelles sur le marché automobile marocain . Les ventes de voitures neuves ont baissé de 15,72 % en septembre 2023 (AIVAM) Les ventes globales des voitures neuves au Maroc se sont établies à 11.713 unités à en septembre dernier, en baisse de 15,72% par rapport au même mois en 2022, selon les statistiques mensuelles de l'Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM). Le marché automobile global en cumul à fin septembre 2023 totalise 117.375 unités, en baisse de 2,92 % comparativement à la même période en 2022 où il s’est écoulé 120.905 unités. La marque " Dacia " domine le segment des VP, avec une part de marché de 23,35%, soit 27.416 unités écoulées à fin octobre 2023, suivie de Renault qui a vendu 18.810 unités (part de marché de 16,02%) et de Hyundai (12.686 unités et 10,80% de part de marché), fait savoir la même source. Pour ce qui est du segment VUL, Renault a écoulé 2.949 unités (23,03% de part de marché), devant DFSK qui a vendu 1.962 véhicules (15,32% de part de marché) et Ford (1.655 unités et 12,93% de part de marché). Côté premium, Audi a augmenté ses ventes de 13% à 3.599 voitures pour atteindre une part de marché de 3,07%, devançant BMW (2.782 unités et une part de marché de 2,37%) et Mercedes-Benz (2.147 unités et une part de marché de 1,83%). Pour sa part, Porsche a écoulé 351 unités, en croissance de 28,1%, tandis que les ventes de Jaguar ont reculé de 14,66% à 99 voitures. Pour le seul mois d'octobre, AIVAM fait état d'une baisse des ventes globales de 2,22% à 12.805 unités. Dans le détail, les segments VP et VUL ont enregistré, respectivement, un repli de 0,08% à 11.286 unités vendues et de 16,49% à 1.519 unités vendues.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Ce qu'il faut savoir sur le Kardian, le nouveau SUV de Renault qui sera produit à Casablanca || subtitle : Premier des huit modèles de série révélés la semaine dernière lors de l’annonce de l’«International game plan 2027» de la marque Renault à Rio de Janeiro, le nouveau Kardian sera d’abord produit à l’usine de Curitiba au Brésil, puis sur le site casablancais Somaca. || body : Prévu dans les showrooms marocains au deuxième semestre 2024, Renault Kardian a été révélé en première mondiale la semaine dernière à Rio de Janeiro. Produit d’abord à l’usine de Curitiba au Brésil, le tout nouveau SUV compact au losange sera ensuite fabriqué à l’usine casablancaise Somaca. Le nouveau Renault Kardian sera produit au Maroc en 2024 Fabriqué à l’usine casablancaise Somaca, le nouveau SUV compact made in Morocco est prévu dans les showrooms nationaux au deuxième semestre 2024, où le processus de fabrication a été entamé il y a plusieurs mois. Destiné aux marchés non européens de Renault, Kardian est le premier véhicule à afficher la nouvelle identité de la marque à l’international. Il affiche un look de SUV affirmé avec une silhouette robuste, complétée par des lignes plus fluides et émotionnelles. Ces marqueurs du nouveau langage formel de la marque lui permettent de se distinguer dans le paysage des SUV urbains internationaux par son allure moderne. Le nouveau Kardian se distingue par des innovations et des prestations habituellement réservées au segment supérieur à l’instar de ses jantes de 17 pouces, de sa console haute avec levier de vitesses de type «e-shifter» et des réglages Multi-sense influant sur la conduite et l’ambiance à bord. Cette dernière est également personnalisable avec 8 ambiances lumineuses. Le nouveau SUV est en outre doté de 6 airbags, de 13 systèmes d’aides à la conduite (ADAS), dont l’avertisseur d’angle mort et la caméra multi-vision. «On retrouve tout l’ADN et le savoir-faire de la marque Renault dans Kardian : le nouveau style design, des technologies innovantes sur le segment, utiles, bien pensées et qui apportent beaucoup de valeur pour nos clients. Il renforce et modernise clairement notre gamme sur le segment B en Amérique latine et dans d’autres pays comme le Maroc», a indiqué Bruno Vanel, directeur de la Performance produit de la marque Renault, lors de la présentation du nouveau-né au losange. Renault révèle sa nouvelle stratégie internationale Baptisée «International game plan 2027», la nouvelle feuille de route pour laquelle Renault a investi 3 milliards d’euros, prévoit le lancement de huit nouveaux produits d’ici 2027. En dehors de l’Europe, le constructeur vise en 2027 une marge opérationnelle à deux chiffres et un prix net par véhicule vendu multiplié par deux, par rapport à 2019. Long de 4,12 m (pour 1,75 m de large et 1,54 m de haut), Kardian prend place dans le segment B. Ses dimensions le rendent idéal pour les déplacements en ville, tandis que ses grandes roues, sa longueur d’empattement généreuse (2,60 mètres) et ses angles d’attaque et de fuite respectifs de 20 ° et 36 ° en font un véhicule polyvalent, à l’aise sur tous types de routes. Cet empattement long permet aussi de maximiser l’habitabilité intérieure, au profit des occupants des places arrière. Le volume du coffre est un autre marqueur fort de sa polyvalence d’usage avec 358 dm³ VDA (ou 410 litres). Un intérieur moderne, particularité du nouveau Kardian L’intérieur de Renault Kardian est pensé pour une expérience de vie à bord qui allie modernité et technologie. Il est doté d’un levier de vitesses de type «e-shifter» (sans câble mécanique) qui s’utilise par de simples impulsions sur le pommeau. Sa forme de joystick est inspirée du monde des jeux vidéo. Autre élément fort du design intérieur : le frein de parking électrique qui contribue à la modernité de l’habitacle, et apporte également un gain de place, pour un meilleur usage de l’espace entre le conducteur et le passager. Le Maroc dans le Top 10 des marchés du groupe Renault À fin septembre 2023, le Maroc est le dixième marché mondial du groupe Renault. Les ventes dans le pays ont atteint 44.497 véhicules durant cette période, soit une part du marché local de 37,9%. Le Maroc demeure, également, le premier marché africain et de la région MENA du groupe sur les 9 premiers mois 2023. De plus, il est le seul pays d’Afrique et du monde arabe à figurer parmi les 15 premiers marchés du constructeur automobile. Renault Kardian se distingue également par son tableau de bord numérique de 7 pouces au design moderne et épuré. L’interface offre un éventail complet d’informations sur la conduite, et une navigation fluide entre les différentes vues. La couleur de rétroéclairage de l’écran peut être modifiée selon 8 ambiances différentes depuis l´écran multimédia et fait jeu avec les LED présentes dans les portières avant pour une mise en valeur du design intérieur. Autre atout technologique de Kardian, son écran multimédia de 8 pouces, flottant avec des bords fins. Le système multimédia est compatible avec Android Auto et Apple CarPlay, en filaire ou sans-fil, pour utiliser directement via l’écran les applications de conduite et de divertissement du smartphone. Cet écran permet d’accéder aux réglages Multi-Sense. Le comportement et l’ambiance à bord du véhicule diffèrent selon les envies du conducteur, qui dispose de trois modes : Éco, Sport et MySense. Renault propose un tout nouveau moteur Renault Kardian sera proposé à son lancement au Brésil avec un nouveau moteur 3 cylindres 1.0 litre à injection directe turbocompressé développant 125 ch pour un couple de 220 Nm. Il sera associé à une boîte de vitesses automatique double embrayage EDC pour un plaisir de conduite optimal. En association avec le système Stop & Start, cette combinaison mécanique permet une consommation et des émissions de CO2 limitées. Le couple de 220 Nm garantit une conduite économe en énergie. À l’instar de nombreux modèles européens de la marque, Kardian associe son moteur 3 cylindres 1.0 L turbocompressé à une boîte de vitesses double embrayage EDC. Ce système rend le passage des rapports rapide, sans interruption de couple, grâce au travail simultané des deux embrayages, au bénéfice du confort et de la réactivité de conduite. Les rapports peuvent également être montés ou descendus manuellement, par l’intermédiaire de palettes au volant. En outre, cette boîte de vitesses bénéficie de la technologie à double embrayage humide, un véritable avantage concurrentiel dans les pays d’Amérique latine puisque cette technologie optimise le refroidissement des embrayages et augmente leur durabilité. Cette boîte, de son nom technique DW23, sera une première mondiale et fera ses débuts sur les marchés de l’Amérique latine. La Somaca se prépare pour accueillir le Renault Kardian Marquant une étape supplémentaire du plan stratégique Renaulution de Renault, le lancement de Kardian trace le début de la phase «Rénovation» de la marque française au losange sur les marchés internationaux. Il est le premier modèle d’une future gamme complète de véhicules destinée à franchir les frontières, illustrant la nouvelle stratégie de Renault hors Europe. Conçu au plus près des attentes des marchés et issu d’une étroite collaboration des équipes basées dans les pays où la marque a des racines historiques, et les équipes du Technocentre, il sera d’abord disponible en Amérique latine, avant de faire par la suite son entrée dans d’autres pays, hors Europe. «Avec Renault Brand International Game Plan 2027, nous avons l’ambition de transformer la marque Renault dans le monde entier en nous engageant sans relâche à apporter de la valeur à nos clients. Kardian, premier des 8 modèles que nous lancerons d’ici 2027, incarne parfaitement ce plan sur le segment B, avant d’attaquer une offensive plus large sur les segments C et D», a souligné Fabrice Cambolive, CEO de la marque Renault, à Rio De Janeiro, le 25 octobre dernier. Renault entamera la production du nouveau Kardian à l’usine de Curitiba au Brésil. Dans un second temps, il sera produit à l’usine de Casablanca (Somaca) au Maroc. «Renault va tirer parti de la performance de son système industriel en fabriquant ses futurs véhicules internationaux dans les 13 sites industriels déjà installés au cœur des marchés concernés, en Amérique latine, en Turquie, en Afrique du Nord et dans les pays du Golfe, en Inde et Asie Pacifique», explique le constructeur. Et d’ajouter : «Ce système industriel moderne continue sa transformation et pousse tous les curseurs pour devenir plus compétitif, plus flexible, piloté par les nouvelles technologies (métaverse industriel) et respectueux de l’environnement (faible consommation d’énergie et d’eau), afin de soutenir la stratégie de décarbonation des sites industriels de Renault Group». Somaca, la deuxième étape L’usine de la Somaca, à la fois performante et flexible, ajoutera le nouveau à son catalogue dès le deuxième semestre de l’année prochaine. L’industrialisation de ce nouveau modèle au site casablancais renforce le rôle du Maroc comme plateforme industrielle majeure pour le Groupe. En effet, le Maroc est aujourd’hui le deuxième pays de production de Renault Group au niveau mondial, ce qui représente 17% des ventes du groupe dans le monde. Lors de sa visite au Maroc en début du mois, Luca De Meo, directeur général de Renault Group, a annoncé que la capacité de production du groupe au Maroc sera portée à 500.000 véhicules par an à horizon 2025. À noter que le nouveau Kardian inaugure une nouvelle plateforme modulaire et ultra polyvalente de Renault Group, qui permettra de développer une grande diversité de modèles, pour de nombreux marchés en dehors de l’Europe. Cette dernière sert de base pour la conception et construction de véhicules «à la carte». Dans le futur, elle permettra de développer sept véhicules à vocation mondiale, assemblés dans quatre régions industrielles du groupe : l’Amérique latine, la Turquie, le Maroc et l’Inde. L’ultra-flexibilité de cette plateforme permettra de proposer des carrosseries et silhouettes très différentes : une diversité de longueur des véhicules entre 4 et 5 mètres de long, 4 empattements possibles de 2,60 m à 3 m, et 3 longueurs pour le module arrière. Kardian est le premier véhicule, ainsi que le véhicule le plus compact, à bénéficier de cette nouvelle plateforme modulaire. Comme le prouve le concept Niagara, dévoilé en même temps que le Kardian au Brésil, cette plateforme servira à développer des véhicules très variés comme un grand pick-up, et d’autres silhouettes attractives. À noter que cette nouvelle plateforme évolutive de Renault Group disposera d’une architecture électrique et électronique de dernière génération, compatible avec toutes les réglementations en vigueur et celles à venir. DNES au Brésil, Mohamed Akisra</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La Porsche Panamera revient avec une troisième génération plus luxueuse, plus digitale et plus efficiente || subtitle : Disponible à la commande, la Porsche Panamera de troisième génération se caractérise par un nouveau design expressif, une dotation numérique enrichie, une gamme de motorisation hybride rechargeable puissante ainsi qu’un nouveau système de réglage actif du châssis. La nouvelle venue a toutes les qualités pour s’affirmer comme l’une des berlines les plus dynamiques de son segment. || body : Porsche lance la troisième génération de sa Panamera. Très attendue, la nouvelle berline sportive de luxe se caractérise par sa dotation numérique enrichie, son nouveau design expressif et une plus grande amplitude entre sportivité et confort. Avec sa gamme de motorisation hybride rechargeable plus puissante et son nouveau système de réglage actif du châssis, la nouvelle venue a toutes les qualités pour s’affirmer comme l’une des berlines les plus dynamiques de son segment. Nouvelle Porsche Panamera : une apparence expressive La nouvelle Panamera conserve ses lignes et ses proportions caractéristiques. Elle mesure 5.052 mm de long (5.202 mm pour la version Executive), 1.937 mm de large et 1.423 mm de haut (1.428 mm pour la version Executive). Son apparence profondément renouvelée lui confère une allure plus expressive et sportive. À l'avant, une prise d'air supplémentaire au-dessus de la plaque d'immatriculation permet de fournir le surcroît d’air requis par les moteurs. La ligne redessinée des vitres latérales renforce le caractère de la caisse. Les contours extérieurs de la lunette arrière sont affleurants, créant des lignes harmonieuses à l'arrière. Le concept de cockpit Porsche Driver Experience assure un bon équilibre entre le numérique et l’analogique. Les principaux organes de commandes et d’affichage sont positionnés dans l'axe du conducteur. Le sélecteur de vitesse est situé à droite du volant. Le sélecteur de mode pour les programmes de conduite Normal, Sport et Sport Plus ainsi que le Commodo pour la commande des systèmes d'assistance sont directement accessibles. Le conducteur n'a donc pas besoin de quitter la route des yeux pour sélectionner un mode de conduite ou commander un système d’assistance. L'écran passager, disponible en option, intègre le passager à l'expérience de conduite. L'écran de 10,9 pouces affiche les données de performance du véhicule sur demande. Il permet également de commander le système d'infodivertissement et de diffuser des vidéos en streaming pendant la conduite. Afin de ne pas distraire le conducteur, l’affichage de l’écran passager n’est pas visible depuis le siège du conducteur. Une gamme de motorisation entièrement revisitée La gamme de motorisation de la nouvelle Panamera est riche en motorisations hybrides rechargeables. Porsche répond ainsi à la forte demande pour ce type de motorisations. Toutes les variantes E-Hybrid bénéficient de performances optimisées, d'une autonomie accrue et d'une efficience améliorée. Le groupe motopropulseur de la Panamera Turbo E-Hybrid est constitué d’un bloc V8 turbo de 4 litres entièrement redéveloppé, associé à un nouveau moteur électrique d’une puissance de 190 ch, pour une puissance cumulée de 680 ch. Le couple atteint le niveau impressionnant de 930 Nm. Porsche intègre le moteur électrique à la boîte PDK huit rapports à double embrayage, entièrement repensée. L'absence de boîtier séparé pour loger le moteur électrique permet d'économiser environ 5 kg. L'intégration du moteur électrique dans le circuit d'huile de la boîte de vitesses optimise également le bilan thermique de l'unité d'entraînement électrique et permet d'augmenter la puissance du moteur électrique en régime permanent. La Panamera Turbo E-Hybrid atteint 100 km/h départ arrêté en 3,2 secondes. Sa vitesse de pointe est de 315 km/h. La capacité de sa batterie est désormais de 25,9 kWh, offrant ainsi une autonomie en mode tout électrique pouvant atteindre 91 km en cycle mixte WLTP (83-93 km en cycle urbain). Le nouveau chargeur CA embarqué de 11 kW permet de recharger en 2 heures et 39 minutes sur une borne de recharge appropriée. Les modèles Panamera et Panamera 4 seront également disponibles dès le lancement. Les modifications apportées à la pression de suralimentation, au débit d'injection de carburant et au calage de l'allumage optimisent les performances du moteur V6 turbo de 2,9 litres. Il développe désormais 353 ch et 500 Nm de couple, une hausse de 23 ch et de 50 Nm par rapport à la génération précédente. La nouvelle Panamera franchit désormais le 0 à 100 km/h en 5,1 secondes et atteint une vitesse de pointe de 272 km/h. La Panamera 4 à transmission intégrale franchit les 100 km/h départ arrêté en 4,8 secondes, pour une vitesse de pointe de 270 km/h. Agrément de conduite amélioré La nouvelle Panamera est équipée de série d'une suspension pneumatique à deux chambres et deux valves associée à la gestion active Porsche Active Suspension Management (PASM). La technologie à deux valves permet de procéder à un réglage différencié de la compression et de la détente des amortisseurs, offrant ainsi une vaste plage d’amortissement, entre confort absolu et sportivité ultime : le système amortit considérablement les chocs provoqués par les joints de dilatation et les irrégularités de la chaussée tout en assurant une plus grande stabilité de la caisse dans les situations de conduite dynamique. La maniabilité de la voiture peut être encore améliorée grâce aux roues arrière directrices proposées en option. En outre, le système innovant de réglage actif du châssis Porsche Active Ride est disponible en option sur les modèles E-Hybrid de la nouvelle Panamera. Ce système surpasse les autres concepts de suspensions sur tous les paramètres et offre une plage de réglages sans précédent, entre confort et dynamique de conduite. Il repose sur de nouveaux amortisseurs actifs, également dotés d'une technologie à deux valves, reliés chacun à une pompe hydraulique à commande électrique. La pompe génère un flux dans l'amortisseur avec un débit volumique adapté à la situation de conduite, générant ainsi des forces entre le châssis et les roues de manière rapide, précise et ciblée, pour s'opposer aux forces générées par les sollicitations mécaniques liées aux irrégularités de la chaussée et les compenser presque entièrement. Cette technologie est complétée par un système de suspension pneumatique allégé à une seule chambre. Nouveaux systèmes d’assistance Porsche a considérablement amélioré la gamme de systèmes d'assistance de la nouvelle Panamera. L'assistant de maintien de la vitesse, fourni de série, interagit désormais avec le système de reconnaissance des panneaux de signalisation. Lorsque le système est activé, la vitesse effective de la berline est ajustée automatiquement pour se conformer à la limite autorisée. Le système Porsche InnoDrive, qui comprend le régulateur de vitesse adaptatif, assure un guidage actif sur la voie de circulation et une aide pour les intersections routières. Un assistant d'évitement de collision fait désormais partie des fonctions proposées. Autre nouveauté : lors du stationnement automatique, le conducteur n'a plus besoin d'être à bord de la voiture, même s'il reste responsable de la manœuvre. La manœuvre de stationnement peut être surveillée à partir d'un smartphone grâce à la nouvelle fonction Remote ParkAssist.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Les Skoda Scala et Skoda Kamiq s’offrent une seconde jeunesse || subtitle : Les Skoda Scala et Kamiq bénéficient d’un restylage et de mises à jour intérieures, tout en conservant leurs options de motorisation thermique. Avec des designs revigorés et une gamme de moteurs essence modernisée, ces modèles offrent une sécurité renforcée et des matériaux durables. || body : Skoda dévoile ses dernières nouveautés avec le lancement des Scala et Kamiq . Ces modèles, introduits en 2019, occupent une place centrale dans les segments des citadines et des compactes, et sont parmi les plus vendus de la marque. Avec près de 230.000 Scala et 315.000 Kamiq écoulés dans 57 pays et depuis l’usine de Mlada Boleslav , ces nouveaux venus arborent un design rafraîchi tout en maintenant leurs options de motorisation thermique . Skoda présente la quatrième génération de la Superb Disponible en carrosserie berline ou break, avec un large choix de motorisations, dont deux micro-hybride et hybride rechargeable inédites, la nouvelle Superb, qui vient d’être présentée par Skoda, offre un design plus sophistiqué, plus d’espace, de confort et une technologie de pointe. La mise à jour des designs revêt une importance notable pour les modèles Scala et Kamiq . La Scala affiche une dynamique accrue, inspirée du concept Vision RS , avec une calandre Skoda redessinée, des phares plus fins, des boucliers avant et arrière redessinés, ainsi que des rideaux d’air distinctifs. Quant au Kamiq, il présente une calandre Skoda plus imposante et verticale, accompagnée de nouveaux diffuseurs arrière pour une allure SUV plus robuste. Les proportions des phares divisés du Kamiq ont également été ajustées, avec un élément supérieur plus fin et un élément inférieur agrandi, pouvant accueillir en option des phares Matrix LED avec des modules hexagonaux distinctifs, une première sur ce modèle (et également sur la Scala). Les phares LED cristallins de la compacte évoquent quant à eux des blocs de glace ou des pierres précieuses étincelantes. Intérieur des Skoda Scala et Kamiq remanié Avec leur nouvelle structure de gamme, la Scala et le Kamiq adoptent désormais les designs intérieurs inspirés de la famille Enyaq 100% électrique. Ces designs s’inspirent des environnements de vie modernes, avec des couleurs et des matériaux assortis, proposés sur trois niveaux de finition : Active, Selection et Monte Carlo , offrant au total six variantes de design. Des packs d’équipements en option sont également disponibles, ainsi que quelques options individuelles. Les versions Monte Carlo, populaires pour leur hommage aux succès de Skoda en rallye, se distinguent par leurs accents noirs et leur garniture intérieure en cuir synthétique carbone. En équipement de série, tous les modèles sont équipés d’un écran tactile de 8 pouces et d’une instrumentation numérique de 8,25 pouces. Les nouveaux modèles Kamiq et Scala sont équipés d’une variété de systèmes d’assistance, certains associés habituellement à des segments de véhicules plus haut de gamme. Cela renforce le niveau de sécurité active et passive de ces deux modèles compacts : en standard dans l’Union européenne, on retrouve notamment l’assistance frontale avec détection des piétons, le système de maintien de voie et la reconnaissance des panneaux de signalisation. En cas d’accident, jusqu’à neuf airbags assurent la protection des occupants. Trois motorisations essence pour les nouveaux Skoda Scala et Kamiq D’après la marque, la Scala et le Kamiq, produits à l’usine historique de Skoda à Mladá Boleslav, bénéficient d’une proportion accrue de matériaux durables. Par exemple, les revêtements des passages de roue et le réservoir d’eau sous le pare-brise sont conçus à partir de plastiques recyclés. À l’intérieur, on retrouve des fibres végétales naturelles telles que le chanvre et le kénaf dans les panneaux de garniture des portes et la structure du ciel de toit, ainsi que des tissus recyclés pour la sellerie et les revêtements de sol. La gamme de moteurs comprend trois unités TSI de dernière génération evo2, offrant des options allant d’un trois cylindres 1.0 TSI de 70 kW (95 ch) à un quatre cylindres 1.5 TSI de 110 kW (150 ch) équipé du système ACT de désactivation des cylindres pour une consommation de carburant réduite. Cette désactivation est pratiquement imperceptible pour le conducteur et permet de réduire la consommation de carburant. En plus de la suspension de série, une suspension pour routes accidentées (avec une garde au sol augmentée de 15 mm pour la Scala) et le contrôle du châssis sportif avec un choix de deux réglages d’amortisseurs (abaissés de 15 mm pour la Scala et de 10 mm pour le Kamiq) sont disponibles en option pour les deux modèles. La Skoda Scala et la Skoda Kamiq de 2024 sont désormais disponibles à la commande en Europe avec des tarifs légèrement révisés. La Scala est proposée à partir de 17.990 euros, tandis que le prix de départ pour le Kamiq est de 19.490 euros.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : En direct. Le policy center débat sur les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l'Afrique atlantique (2/2) || subtitle : None || body : En direct. Le policy center débat sur les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l'Afrique atlantique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Camel Cycle lance cinq nouveaux modèles de moto au Maroc || subtitle : Pour célébrer son 71e anniversaire, Camel Cycle lance cinq nouveaux modèles de moto sur le marché. L'entreprise a également annoncé une croissance globale de son activité de 43% en 2023, avec pour objectif ambitieux d'atteindre 54% en 2024. Parmi les nouveaux modèles, deux sont des scooters électriques et trois sont des motos à moteur thermique. || body : Camel Cycle dévoile ses nouveaux modèles de moto au Maroc . L'entreprise présente de nouveaux produits lors d'un événement majeur à Casablanca , marquant ainsi ses 71 ans d'expertise dans le secteur de la moto dans le pays. Les produits dévoilés incluent deux scooters électriques , dont un modèle Smart , ainsi que trois motos thermiques allant jusqu'à une cylindrée de 800 cc. En direct : Camel Cycle lance officiellement au Maroc de nouveaux modèles de motos Camel Cycle a annoncé ce samedi le lancement officiel de nouveaux modèles de motos au Maroc. Fort de son statut d'importateur pour cinq marques prestigieuses telles que Sym , QJ , Tailg , Camel et Pink , et fournisseur de pneumatiques de la marque Chaoyang ainsi que de pièces détachées de qualité fournis par Alawish , Camel Cycle dévoile des performances impressionnantes. L'entreprise annonce une croissance remarquable dans divers domaines, notamment les motos (+53%), les accessoires (+48%), la pneumatique (+73%) et les pièces de rechange (+14%). Pour l'année 2024, Camel Cycle vise une progression globale de 54%, avec des projections particulièrement ambitieuses pour les motos (+90%) et les pièces de rechange (+40%). En parallèle, la société lancera son unité de production « Made in Morocco » à Had Soualem , représentant un investissement de 40 millions de DH pour une capacité de production de 20.000 unités. Près de 80% de cette production sera destinée à l' exportation . Les essais débuteront dès juin prochain, tandis que la commercialisation est prévue pour novembre. Khalid Ighir , directeur général de Camel Cycle, a souligné que l'entreprise va bien au-delà de sa simple fonction commerciale, la qualifiant d'institution dédiée à la promotion de la mobilité au Maroc. Il a affirmé que l'engagement envers les clients et la contribution au progrès de la mobilité et de l'emploi dans le pays sont les piliers fondamentaux de leur mission. Il a exprimé également son enthousiasme à l'idée de présenter les nouveaux produits et a réaffirmé la volonté de l'entreprise de servir sa communauté avec dévouement et excellence. La première innovation dévoilée est le scooter entièrement électrique de la marque Tailg , capable de parcourir jusqu'à 200 km avec une seule charge. Ce qui le distingue, selon l'entreprise, c'est sa fonctionnalité intelligente . Équipé d'un système ARS (Automatic Repairing System) , il est capable de diagnostiquer instantanément les pannes et de fournir des instructions précises au conducteur pour les résoudre. De plus, en cas de panne, le scooter offre la possibilité au conducteur de se rendre chez un réparateur agréé en lui permettant de rouler jusqu'à deux heures après avoir été alerté. Un deuxième modèle de scooter, offrant davantage de puissance et d' autonomie , a également été présenté lors de l'événement. La seconde partie de la présentation a mis en lumière trois nouveaux modèles de motos thermiques de la marque QJ Motor . La première, proposée à moins de 20.000 DH selon Camel Cycle, est dotée d'une cylindrée de 150 cc, idéale pour les déplacements en milieu urbain et périurbain , d'après la même source. La seconde moto, plus imposante et adaptée à tout type de terrain, affiche une cylindrée de 650 cc. Quant à la troisième, elle a suscité un vif intérêt parmi les invités en raison de sa taille imposante et de sa puissance, avec une cylindrée de 800 cc. Les prix des deux derniers modèles n'ont pas été dévoilés lors de l'événement. Le jour suivant, à Casablanca, a eu lieu une séance de test drive permettant aux partenaires, revendeurs et journalistes d'essayer les motos et scooters présentés lors de l'événement. Cette initiative visait à offrir une opportunité unique de découvrir de près les performances de ces nouveaux véhicules.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Pedro Sanchez : Le Mondial 2030 sera un "grand succès" || subtitle : La Coupe du Monde 2030, dont le dossier Maroc-Espagne-Portugal a été retenu par le Conseil de la FIFA comme candidature unique pour son organisation, sera un «grand succès», a affirmé, lundi à Madrid, le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez. || body : «La Coupe du monde 2030 sera un grand succès parce que nous sommes trois nations, le Portugal , l' Espagne et le Maroc , qui aiment le football en tant que sociétés», a souligné le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez lors d’un point de presse conjoint avec le premier ministre portugais, Luis Montenegro . Mondial 2030 : le Maroc, l’Espagne et le Portugal veulent en mettre plein les yeux au monde Les contours du dossier de candidature conjoint pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 ont été dévoilés mardi lors d’une cérémonie organisée à Lisbonne. En plus de l’identité visuelle et du slogan «Yalla Vamos 2030», le Maroc, l’Espagne et le Portugal se sont engagés à organiser la meilleure Coupe du monde de l’histoire et qui aura un impact intemporel. «Nous avons une longue histoire éprouvée dans l'organisation d'événements sportifs, ce qui démontre notre capacité d'organisation que peu de pays dans le monde ont», a encore soutenu le chef du gouvernement espagnol . «Je suis sûr que la Coupe du monde sera un grand succès organisationnel avec un pays ami comme le Maroc», a-t-il insisté. Pour sa part, M. Montenegro a réitéré le «plein engagement» des trois pays pour garantir le succès de cet événement planétaire. «Nous mettrons tous nos efforts et notre dévouement au service de l'organisation de la Coupe du monde 2030 », a affirmé le responsable portugais, relevant que le Portugal , l’ Espagne et le Maroc sont «convaincus de l'importance de cet événement, non seulement d'un point de vue sportif, mais aussi d'un point de vue économique, culturel et d'opportunités». «Ce sera l'occasion de montrer au monde les valeurs que nous défendons au Portugal, en Espagne et au Maroc», a-t-il assuré.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Nouveau lifting de la Volkswagen Golf 8 || subtitle : La Volkswagen Golf 8 restylée célèbre son demi-siècle d’existence. Cette mise à jour inclut de nouveaux phares avant et arrière, ainsi qu’un nouveau système d’info-divertissement. De plus, la gamme comprend neuf options de motorisation, offrant un choix entre essence, diesel, hybride classique, hybride léger et hybride rechargeable. || body : La nouvelle Volkswagen Golf a été révélée en anticipation de son lancement cet été. En commémoration du 50e anniversaire du modèle, cette version restylée de la Golf 8 actuelle célèbre un héritage remarquable, avec plus de 37 millions d’unités produites au cours des 50 dernières années. Avec huit générations depuis ses débuts en 1974, la Golf demeure l’un des modèles les plus emblématiques de l’histoire de Volkswagen . Volkswagen lance un nouveau système d’ouverture de porte sécurisée Le nouveau système d’assistance du constructeur allemand Volkswagen avertit le conducteur et les passagers que des usagers de la route s’approchent du véhicule à l’arrêt, en venant de l’arrière. Cette mise à jour apporte des retouches esthétiques subtiles et une version améliorée du système d’info-divertissement. La nouvelle Volkswagen Golf se distingue principalement par un léger restylage au niveau de ses feux avant et arrière. En effet, la face avant arbore un nouveau design, mettant en valeur un logo Volkswagen illuminé pour la première fois sur ce modèle, ainsi que des phares à LED repensés. Ces derniers incluent des phares matriciels à LED IQ.Light offrant une portée allant jusqu’à 500 mètres. De même, les feux arrière IQ.Light 3D à LED se démarquent par leur nouveau design, complétant ainsi l’esthétique rafraîchie de la Golf. Thomas Schäfer , PDG de Volkswagen Passenger Cars , a affirmé : «La Golf occupe une place centrale dans l’histoire de la marque Volkswagen depuis un demi-siècle, en offrant une mobilité de haut niveau technologique à un prix abordable pour tous. Nous poursuivons cette tradition en lançant cette nouvelle étape d’évolution, axée sur une efficacité accrue, un confort supérieur, une qualité renforcée et un concept de commande novateur. Avec ces avancées, la Golf atteint des sommets inégalés dans son domaine». Nouveau système d’info-divertissement à bord de la Golf 8 À l’intérieur, la nouvelle compacte allemande présente un nouveau système d’info-divertissement, équipé d’un écran tactile autonome pouvant atteindre une diagonale de 32,8 cm. Les curseurs tactiles ergonomiques, situés à sa base et éclairés, sont optimisés pour contrôler facilement la température et le volume. La nouvelle Golf propose un volant multifonction amélioré ainsi qu’un nouvel assistant vocal, l’IDA. Grâce à un langage naturel, ce dernier permet de contrôler diverses fonctions telles que la climatisation, le téléphone ou le système de navigation, tout en offrant un accès à une multitude d’informations en ligne, de la météo à la culture générale. La Golf sera équipée de la dernière génération de systèmes d’info-divertissement, intégrant notamment le chatbot ChatGPT basé sur l’intelligence artificielle dans l’IDA. Cette fonctionnalité, présentée au CES de Las Vegas début janvier 2024, permet une interaction transparente avec une base de données en constante évolution, permettant aux occupants d’interagir avec la voiture en langage naturel et d’accéder au contenu souhaité pendant leurs trajets. La Golf 8 restylée présente également de nouveaux systèmes d’assistance, facilitant les manœuvres lors des stationnements. Le Park Assist Plus , par exemple, détecte automatiquement les places de stationnement adéquates et démarre le processus de stationnement, prenant en charge la direction, l’accélération et le freinage. Le conducteur n’a plus qu’à surveiller la manœuvre. De plus, le véhicule peut être sorti de la place de stationnement à distance, idéal pour les espaces étroits. Un autre ajout notable est le système Area View, qui offre une vue panoramique à 360° en combinant les images de quatre caméras sur l’écran tactile, facilitant ainsi la perception des bordures et des marquages des places de stationnement. La berlines allemande propose neuf options de motorisation différentes, incluant des variantes hybrides légères (eTSI), hybrides rechargeables (eHybrid et GTE), ainsi que des moteurs essence turbocompressés (TSI) et diesel turbocompressés (TDI). Les nouveaux systèmes hybrides rechargeables offrent une puissance accrue et une autonomie électrique d’environ 100 km, avec une fonction de charge rapide DC. Les versions hybrides légères 48 V sont particulièrement adaptées aux conducteurs sans accès à un chargeur mural à domicile. L'évolution de la Volkswagen Golf en 50 ans Depuis sa première production en série en 1974, la Volkswagen Golf a marqué une nouvelle ère dans l'industrie automobile, passant d'une configuration à moteur arrière et propulsion arrière, comme c'était le cas avec la Coccinelle, à une disposition à moteur avant et traction avant. Avec ses innovations telles que le convertisseur catalytique, l'ABS et les airbags, elle a redéfini les normes de sécurité et de technologie. Au fil des générations, la Golf est devenue une référence en matière de confort, de qualité et d'innovation, introduisant des variantes comme le Variant, le Cabriolet et le Sportsvan, ainsi que des modèles électriques et sportifs comme l'e-Golf et la Golf GTI. Son héritage inclut des avancées telles que la conduite assistée et la technologie Car2X. Avec des millions d'unités vendues et une reconnaissance mondiale, la Golf reste un symbole de mobilité abordable et de haute technologie depuis plus de 50 ans.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Bridgestone soutient l'équipage «Les Amazelles» pour le 33e Rallye Aïcha des Gazelles || subtitle : Bridgestone soutient l'équipage marocain «Les Amazelles» pour le Rallye Aïcha des Gazelles, promouvant l'aventure et l'autonomisation des femmes. Imane Guennouni et Soukaina Misbah incarneront la détermination lors de cette compétition du 12 au 17 avril 2024. || body : À l'occasion de la 33e édition du Rallye Aïcha des Gazelles , sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI , Bridgestone , acteur mondial dans le domaine des pneumatiques et de la mobilité , annonce son partenariat avec l'équipage exclusivement marocain « Les Amazelles ». >> Lire aussi: L’équipage mére-fille de Peugeot remporte l'édition 2023 du Rallye Aicha des Gazelles Avec Imane Guennouni , directrice de site de 36 ans, et Soukaina Misbah , entrepreneure de 34 ans, à son bord, l'équipage «Les Amazelles» symbolise l'engagement et la détermination, selon Bridgestone. Les deux femmes participent dans la catégorie 4x4/Camion avec un Ford Ranger . «Énergie, fierté et une bonne dose d'optimisme et de bonne humeur sont notre devise pour vivre pleinement ce challenge et franchir fièrement la ligne d'arrivée. Vivre cette liberté inconditionnelle, en tant que femmes et pour toutes les femmes», ont-elles déclaré avant le début de cette aventure, prévue du 12 au 17 avril 2024. Bridgestone a décidé de soutenir «Les Amazelles» en raison de leur adhésion aux valeurs essentielles du Rallye Aïcha des Gazelles. Cet événement emblématique, rassemblant des femmes du monde entier dans le désert marocain , offre une expérience singulière axée sur l'aventure humaine, le respect de l' environnement et l' autonomisation des femmes . Jacques Fourie , président de Bridgestone, a déclaré : «Notre partenariat avec l'équipage “Les Amazelles” pour le 33e Rallye Aïcha des Gazelles nous remplit de fierté, car leur détermination, leur camaraderie et leur esprit inébranlable correspondent parfaitement aux valeurs qui nous sont chères chez Bridgestone. Nous croyons qu'il faut donner aux gens les moyens de repousser leurs limites, de relever des défis et d'expérimenter l'essence de la vraie liberté. Ce partenariat soutient non seulement cette vision, mais promeut également les valeurs de l'autonomisation des femmes, de la durabilité environnementale et de la mobilité inclusive. Ensemble, nous espérons ouvrir la voie à une communauté plus lumineuse et plus résiliente».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Le Hyundai Ioniq 5 restylé: Des mises à jour esthétiques et technologiques || subtitle : Le Hyundai Ioniq 5 restylé offre une autonomie améliorée avec une batterie de capacité augmentée, ainsi que des améliorations esthétiques et ergonomiques à l'intérieur et à l'extérieur. De plus, de nouvelles technologies ont été intégrées à bord et les systèmes d'aide à la sécurité ont été renforcés. La finition N Line se distingue par ses spécificités esthétiques uniques. || body : Hyundai vient de dévoiler son Ioniq 5 amélioré. Après son lancement en 2021, le SUV 100% électrique passe déjà à la case restylage, proposant des améliorations de produits, de nouvelles fonctionnalités et des mises à niveau de conception. Le SUV sud-coréen présente désormais une capacité accrue, passant de 77,4 kilowattheures (kWh) à 84 kWh, augmentant ainsi son autonomie . Hyundai et Kia améliorent les concepts de la mobilité de demain Hyundai Motor Company et Kia Corporation viennent de présenter leur système d’entraînement de roue universel. Baptisée «Uni Wheel», la nouvelle architecture de propulsion intègre des organes de propulsion déjà existants pour garantir de bonnes performances en termes d’efficience, de puissance et de durabilité sans nuire au confort de conduite. Les améliorations extérieures incluent une garniture raffinée en forme de V et des pare-chocs avant et arrière redessinés qui mettent en valeur la position basse et large du véhicule. En conséquence, la longueur a augmenté de 20 mm pour atteindre 4,65 mètres, tandis que les autres dimensions extérieures, largeur (1,89 mètre), hauteur (1,60 mètre) et empattement (3 mètres), restent inchangées. L'intérieur du véhicule offre une convivialité et une commodité améliorées, tout en conservant un espace de vie confortable. Dans la console centrale, la partie supérieure de l'Universal Island présente désormais un bouton physique pour un accès rapide aux fonctions couramment utilisées, telles que les sièges chauffants et ventilés de première rangée, le volant chauffant et l'aide au stationnement. De plus, le chargeur sans fil du smartphone a été déplacé vers le haut, ce qui améliore considérablement l' ergonomie . De plus, un nouveau design de volant avec des pixels lumineux interactifs a été introduit, et la disposition des commandes d'infodivertissement et de climatisation a été optimisée pour améliorer le confort d'utilisation . Hyundai a également intégré un système d'infodivertissement de nouvelle génération appelé Connected Car Navigation Cockpit . En outre, le véhicule est équipé de mises à jour logicielles sans fil Over-The-Air pour assurer que les principales commandes électroniques restent constamment à jour. Sécurité améliorée à bord du Ioniq 5 Hyundai a intégré de nombreuses fonctionnalités de sécurité et de commodité pour le conducteur, telles que le volant à détection manuelle , l' assistance au maintien de voie 2 , l' assistance au stationnement intelligent à distance 2 et l' assistance à l'évitement de collision avant/arrière/latéral. Ces fonctionnalités contribuent à une expérience de conduite plus sûre et plus pratique, selon la marque. De plus, Hyundai a pris en compte les préférences des clients en mettant l'accent sur des fonctionnalités telles que le système d'éclairage avant intelligent, la clé numérique 2, la caméra intégrée et le rabattement à distance des sièges de deuxième rangée. Des mesures supplémentaires ont été prises pour renforcer la sécurité et le confort de conduite par rapport aux modèles précédents. Le nouveau Ioniq 5 est doté d'un amortisseur qui atténue les vibrations de la route, offrant ainsi une expérience de conduite plus douce, selon Hyundai. De plus, la rigidité de la traverse d’auvent a été renforcée pour réduire les vibrations dans le volant. Les renforts au niveau de la roue arrière et de la partie inférieure du véhicule ont été doublés, améliorant ainsi la stabilité et l’agilité. La carrosserie du véhicule a été renforcée pour réduire les bruits sourds à basse fréquence, et le contrôle du bruit du moteur a été optimisé. Une isolation phonique supplémentaire pour le moteur de la roue arrière améliore le silence général. Le Ioniq 5 amélioré et la nouvelle gamme Ioniq 5 N seront disponibles pour les clients coréens à partir de mars 2024. Hyundai prévoit de les déployer progressivement sur les marchés mondiaux tout au long de l'année. Les caractéristiques du Ioniq 5 N Line Le Hyundai Ioniq 5 N Line arbore un design avant et arrière plus agressif et dynamique, caractérisé par des pare-chocs uniques, des jupes latérales élégantes et un ensemble de roues en aluminium de 20 pouces dédiées, mettant ainsi en valeur son allure sportive. La cabine offre un design exclusif, comprenant un volant et un tableau de bord dédiés N Line, des pédales métalliques exclusives N Line, une garniture de toit noire, des sièges sport dédiés avec le logo N, des coutures contrastées rouges et deux options de revêtement de siège. L'ensemble crée une ambiance immersive et dynamique, selon la marque. En matière de sécurité, la carrosserie, les portes avant et arrière ainsi que les pièces du montant B ont été renforcées pour offrir une meilleure protection contre les collisions latérales. De plus, le véhicule est équipé d'un système de huit airbags, incluant des airbags latéraux pour le deuxième rang, garantissant ainsi une sécurité accrue.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Skoda présente la quatrième génération de la Superb || subtitle : Disponible en carrosserie berline ou break, avec un large choix de motorisations, dont deux micro-hybride et hybride rechargeable inédites, la nouvelle Superb, qui vient d’être présentée par Skoda, offre un design plus sophistiqué, plus d’espace, de confort et une technologie de pointe. || body : La Skoda Superb ouvre un nouveau chapitre de sa carrière. Le vaisseau amiral de la marque tchèque vient de lancer sa quatrième génération, qui, tout en s’appuyant sur les points forts de sa prédécesseur, offre un design encore plus sophistiqué, plus d’espace, de confort et une technologie de pointe. Disponible en carrosserie berline ou break, il propose avec un large choix de motorisations, dont deux motorisations micro-hybride et hybride rechargeable inédites. >> Lire aussi : Les nouveaux intérieurs des Skoda Kodiaq et Superb dévoilés Dotée du langage stylistique actualisé de Skoda , de nouveaux feux et de proportions révisées, la nouvelle Superb est plus grande, plus émotive et plus dynamique que son prédécesseur. Elle est proposée en deux styles de carrosserie : une berline à hayon et un break Combi . Toutes deux présentent un design sculptural, et des phares Full Matrix LED de deuxième génération. Grâce à un certain nombre de petites modifications, elle offre un aérodynamisme exceptionnel. Des augmentations modérées de la longueur et de la hauteur ont amélioré les dimensions générales de l’habitacle. Le volume du coffre a augmenté de 20 litres pour atteindre 645 litres pour la limousine à hayon et de 30 litres pour atteindre 690 litres pour la version Combi. Au lancement, la Superb propose un total de six nouvelles couleurs. «La Superb a traditionnellement façonné le design de Skoda et la quatrième génération continuera à le faire. Son allure se caractérise par des lignes très marquées, des proportions dynamiques clairement définies et un style sculptural et cristallin très moderne. Nous avons également réussi à améliorer considérablement l’aérodynamisme de la berline et du break, tout en offrant encore plus d’espace aux passagers», indique Oliver Stefani , directeur du design Skoda. À l’intérieur, le tout nouveau concept de la Superb comprend un écran d’info divertissement de 12,9 pouces inclus de série. Le levier de vitesse a été déplacé sur la colonne de direction, ce qui permet d’obtenir une console centrale plus spacieuse. Les nouvelles commandes «intelligentes» permettent un accès rapide et intuitif à de nombreuses fonctions du véhicule et de l’info divertissement. Parmi les nouveautés, on trouve une Phone Box avec recharge rapide à induction de 15 watts et refroidissement simultané du smartphone, ainsi que des sièges Ergo confortables pour le dos, avec dix coussins de massage à commande pneumatique. Nouvelle Skoda Superb : plus de solutions Simply Clever Skoda a introduit les premières solutions Simply Clever en 2001, lors de la présentation de la première génération moderne de la Superb. À l’époque, ces détails comprenaient des porte-gobelets dans les accoudoirs arrière, sur l’accoudoir central et dans la boîte à gants, ainsi qu’une première prise 12 volts pour les passagers arrière. Le parapluie emblématique dans la porte du conducteur et les crochets à bagages intelligents dans le coffre sont toujours présents dans les voitures Skoda aujourd’hui. Jusqu’à 28 solutions Simply Clever augmentent le confort du conducteur et des passagers de la Superb nouvelle génération. Certains d’entre eux sont inédits chez la marque tchèque : un store unique à commande électrique faisant office de cache-bagages dans la Superb Combi break, un accoudoir central pour les sièges arrière avec porte-tablette intégré et une double poche de rangement au dos de chaque siège avant pour accueillir des documents ou des magazines ainsi qu’un smartphone. L’entonnoir intégré dans le bouchon du réservoir du lave-glace fait son apparition sur la Superb. La nouvelle Superb propose un large choix de groupes motopropulseurs. La gamme comprend deux moteurs à essence, deux diesels et un nouvel hybride rechargeable avec une autonomie électrique accrue. Pour la première fois dans une Superb, il existe une variante mild-hybrid. Tous les groupes motopropulseurs sont couplés à une boîte DSG. «La nouvelle Superb sera plus efficace et plus polyvalente que jamais grâce à un large éventail de groupes motopropulseurs dernier cri. Le système hybride rechargeable de nouvelle génération offre une autonomie de plus de 100 kilomètres en mode tout électrique. En outre, la Superb est désormais disponible avec la technologie mild-hybrid. Le nouveau système DCC Plus garantit un amortissement idéal et une conduite confortable ou dynamique en toutes circonstances», explique Johannes Neft, membre du Conseil d’Administration de Skoda Auto en charge du Développement technique. n</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La nouvelle ère électrique du Porsche Macan : jusqu’à 639 ch de puissance || subtitle : Les nouveaux Porsche Macan 4 et Macan Turbo 100% électriques affichent des performances impressionnantes, avec respectivement 408 ch et 639 ch, et offrent des autonomies allant de 516 km à 765 km. Reposant sur une toute nouvelle plateforme, ils bénéficient d’une conception aérodynamique optimisée pour réduire la consommation. De plus, le Macan propose désormais un troisième écran et plus d’espace de rangement à bord. || body : Dix ans après son introduction sur le marché, le Porsche Macan inaugure sa seconde génération de modèles, entièrement électrique désormais. Avec les nouveaux Macan 4 et Macan Turbo , Porsche propose une gamme complète répondant aux attentes actuelles de ses clients, mettant en avant une autonomie étendue et un design à la fois avant-gardiste et classique. La Porsche Panamera revient avec une troisième génération plus luxueuse, plus digitale et plus efficiente Disponible à la commande, la Porsche Panamera de troisième génération se caractérise par un nouveau design expressif, une dotation numérique enrichie, une gamme de motorisation hybride rechargeable puissante ainsi qu’un nouveau système de réglage actif du châssis. La nouvelle venue a toutes les qualités pour s’affirmer comme l’une des berlines les plus dynamiques de son segment. Grâce à ses proportions plus distinctes et à l’ADN du design Porsche , le nouveau Macan affiche une allure plus dynamique. Michael Mauer , vice-président du style Porsche, a souligné : «Avec le Macan entièrement électrique, nous dévoilons la première Porsche électrique issue d’une identité de produit déjà établie». Selon lui, le nouveau Macan conserve clairement l’essence de la marque Porsche , s’intégrant parfaitement dans sa gamme de produits. Les proportions classiques de la marque ont été affinées et adaptées de manière optimale aux exigences d’un véhicule électrique, renforçant ainsi son apparence sportive, moderne et dynamique. L’inclinaison modérée du capot et les ailes marquées confèrent au SUV une allure dynamique, mesurant 4,78 mètres de long, 1,93 mètre de large et 1,62 mètre de haut. Équipé de roues allant jusqu’à 22 pouces avec un déport important, le nouveau Macan présente un empattement rallongé de 8,6 cm par rapport à son prédécesseur (2,89 mètres), compensé par des porte-à-faux courts à l’avant et à l’arrière. Les phares, divisés en deux parties, intègrent des feux de jour à quatre points dans les ailes pour souligner la largeur du véhicule, tandis que le module principal des phares, doté de la technologie LED matricielle en option, est positionné légèrement plus bas à l’avant. La ligne de fuite caractéristique de Porsche se fond harmonieusement avec la lunette arrière plate, tandis que les épaules marquées confèrent à l’arrière une allure musclée. Enfin, le logo Porsche est désormais placé au centre de la bande lumineuse sculpturale en 3D. Porsche intègre une conception aérodynamique au Macan pour améliorer son autonomie. Grâce au système Porsche Active Aerodynamics (PAA) , qui combine des éléments actifs et passifs, le nouveau Macan affiche un coefficient de traînée de 0,25, ce qui en fait l’un des SUV les plus efficients sur le marché. Le PAA comprend notamment un aileron arrière adaptatif, des volets de refroidissement actifs à l’avant, et des rideaux d’air sous le module de phare pour optimiser le flux d’air et réduire la consommation d’énergie. Nouvelle plateforme pour le Porsche Macan EV Le Macan 4 développe une puissance allant jusqu’à 300 kW (408 ch), avec une consommation d’énergie électrique (WLTP) comprise entre 21,1 et 17,9 kWh/100 km, et une autonomie électrique mixte (WLTP) variant de 516 à 613 km, avec une autonomie en ville entre 665 et 784 km. De son côté, le Macan Turbo offre une puissance allant jusqu’à 470 kW (639 ch), avec une consommation d’énergie mixte de 20,7 à 18,8 kWh/100 km, et une autonomie mixte entre 518 et 591 km, avec une autonomie en ville entre 670 et 765 km. Le couple maximal est respectivement de 650 et 1.130 Nm. Ces chiffres se traduisent par de bonnes performances de conduite, avec une accélération de 0 à 100 km/h en 5,2 secondes pour le Macan 4 et en 3,3 secondes pour le Macan Turbo. Les deux modèles affichent des vitesses de pointe respectives de 220 et 260 km/h. Les moteurs électriques du nouveau Macan puisent leur énergie d’une batterie lithium-ion située dans le soubassement, offrant une capacité brute de 100 kWh, dont jusqu’à 95 kWh peuvent être activement utilisés. Cette batterie HV constitue un élément central de la nouvelle plate-forme électrique Premium (PPE) de Porsche, adoptant une architecture de 800 volts, une première pour la marque. La puissance de charge en courant continu peut atteindre jusqu’à 270 kW, permettant une recharge de 10 à 80 % en environ 21 minutes sur une station de charge rapide adaptée. En outre, dans les stations de recharge de 400 volts, un interrupteur haute tension dans la batterie facilite la recharge en divisant efficacement la batterie de 800 volts en deux batteries de 400 volts chacune, autorisant une recharge jusqu’à 135 kW sans besoin de booster HT supplémentaire. La recharge en courant alternatif jusqu’à 11 kW est également possible sur des boîtiers muraux domestiques. Espace et confort renforcés dans le Porsche Macan EV L'intérieur du Macan reflète distinctement le style de Porsche : la largeur du cockpit est mise en valeur par un panneau noir intégré, tandis que le design ascendant de la console centrale crée une sensation de position basse et axée sur les performances. Les fenêtres spacieuses offrent une belle luminosité et une atmosphère aérée à l'intérieur. En plus des interfaces numériques modernes, on retrouve des commandes analogiques pour la climatisation. Une bande lumineuse à LED, intégrée dans la garniture du cockpit et des portes, assure à la fois un éclairage d'ambiance et une communication visuelle. Le Macan est équipé de jusqu'à trois écrans, dont un combiné d'instruments autonome de 12,6 pouces et un écran central de 10,9 pouces. Pour la première fois, le passager peut également accéder à des informations et ajuster les paramètres du système d'info-divertissement via son propre écran de 10,9 pouces en option, même pendant que le véhicule est en mouvement. Le nouveau Macan offre un haut niveau de praticité pour un usage quotidien, avec un équipement de qualité et un intérieur spacieux. L'électrification a permis d'augmenter l'espace de chargement du SUV , pouvant atteindre 540 litres derrière la banquette arrière (mode cargo), en plus du deuxième coffre à bagages sous le capot d'une capacité de 84 litres. Selon le modèle et l’équipement installé, le conducteur et le passager avant sont désormais assis jusqu’à 2,8 cm plus bas qu’auparavant, tandis que les passagers arrière sont assis jusqu’à 1,5 cm plus bas avec un espace pour les jambes accru.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La nouvelle BMW R 1300 GS touche terre au Maroc || subtitle : None || body : BMW Motorrad Maroc vient de dévoiler la toute nouvelle R 1300 GS , un maxi trail allemand repensé qui se distingue par des améliorations marquantes, tant au niveau du design que de la motorisation. Redéfinissant les standards de performance, cette moto arbore un nouveau moteur boxer, une suspension optimisée, tout en affichant un poids considérablement réduit. La BMW Série 7 bientôt équipée de la conduite autonome de niveau 3 Le constructeur allemand BMW dotera bientôt sa nouvelle Série 7 de la conduite autonome de niveau 3, qui permet aux conducteurs de retirer les mains du volant et de détourner temporairement leur attention de la route. La R 1300 GS présente un design entièrement nouveau qui s’inspire de la silhouette traditionnelle de la lignée «GS», tout en reflétant une extrême compacité et une réduction de poids significative. Le nouveau réservoir en aluminium, dont la surface est beaucoup plus plate, contribue largement au profil plus dynamique de la dernière-née de la gamme Adventure de BMW Motorrad . La couleur et la forme de la selle se prolongent harmonieusement en peinture jusqu’en haut du réservoir afin de renforcer l’impression visuelle de finesse et de mettre en lumière les aptitudes renforcées de la R 1300 GS pour le «off-road» . De série, la nouvelle allemande incarne parfaitement ce que l’équipe de développement de BMW Motorrad a donné à la légende GS : une implantation des composants extrêmement soignée, un haut niveau d’équipement, et tout cela en se concentrant sur l’essentiel. Avec sa teinte Lightwhite, ses lignes saillantes et son aspect très épuré, la nouvelle R 1300 GS a une allure musclée et incarne le concept de la GS à moteur boxer de manière magistrale. «La redéfinition esthétique de la BMW 1300 GS a considérablement amélioré son aérodynamisme, procurant une expérience de conduite qui se distingue nettement. Alors que la 1250 GS était souvent qualifiée de parfaite, la 1300 GS élève encore davantage les standards, offrant une véritable machine à sensations sur la route», nous a confié Aziz Rochdi, directeur de BMW au Maroc , lors d’une sortie moto organisée par la marque. Nouvelles caractéristiques techniques pour la BMW R 1300 GS La pièce maîtresse de cette nouveauté est le légendaire moteur boxer bicylindre. Il est plus compact que jamais grâce à une boîte de vitesses située sous le moteur et à une nouvelle disposition des arbres à cames. Doté d’une cylindrée d’exactement 1.300 cm³, il produit une puissance de 145 ch à 7.750 tr/min et développe un couple maximal de 149 Nm à 6.500 tr/min. Cela en fait de loin le moteur BMW le plus puissant jamais produit en série. «La BMW 1.300 GS intègre toutes les technologies qui ont contribué au succès de la 1.250 GS, mais bénéficie d’une refonte complète. Notamment, le moteur a été agrandi tout en devenant plus compact, avec des pistons élargis, une boîte de vitesses déplacée vers le bas, et une tête de fourche redessinée. Ces modifications visent à rendre la moto plus légère et plus compacte», nous a expliqué Aziz Rochdi. Le cadre principal en acier qui, en plus d’être considérablement optimisé en termes d’encombrement, offre également des niveaux de rigidité supérieurs à ceux du modèle précédent. Au niveau de la boucle arrière, l’ancienne structure tubulaire en acier a été remplacée par une construction en aluminium moulé sous pression. Le nouveau système de guidage de la roue avant EVO Telelever et le système de guidage de roue arrière EVO Paralever améliorés offrent également une précision et une stabilité de pilotage accrues. La précédente suspension électronique Dynamic ESA Next Generation assurait un haut niveau de sécurité et de plaisir de pilotage sur une grande variété de terrains grâce à son réglage dynamique de l’amortissement et à son ressort réglage à l’arrière. Le Dynamic Suspension Adjustment (DSA) électronique va désormais encore plus loin en combinant le réglage dynamique de l’amortissement avant et arrière avec un réglage correspondant de la raideur du ressort en fonction du mode de pilotage sélectionné, des conditions de pilotage et du type de manœuvres effectuées. Le réglage automatique du ressort assure en permanence la compensation de charge. Nouvelle technologie d’éclairage pour la BMW R 1300 GS La nouvelle BMW R 1300 GS introduit une avancée significative dans la technologie d’éclairage, offrant un projecteur entièrement à LED aux dimensions affinées. Cette innovation comprend deux unités LED pour les feux de route et de croisement, ainsi que quatre unités supplémentaires dédiées aux feux de jour et aux feux de position. Les clignotants à LED, intégrés de manière ultramoderne dans les protège-mains à l’avant et à l’arrière, complètent l’éclairage de la GS. Une caractéristique exceptionnelle est l’équipement optionnel Headlight Pro, qui ajuste le faisceau du projecteur full LED pour éclairer l’intérieur du virage en fonction de la position de la moto. Cette fonction novatrice offre une visibilité optimale dans les virages, la lumière suivant la trajectoire de la moto et éclairant ainsi de manière exceptionnelle la route à venir. Équipements de la nouvelle BMW R 1300 GS Caractéristiques techniques Moteur bicylindres 4T (e) Cylindrée (cc) 1.300 Puissance fiscale (cv) 12 Puissance maxi (ch) 145 Couple maxi (Nm) 149 Boîte de vitesses BVM6 Vitesse maxi (km/h) +200 Accélération (0-100 km/h) 3,39 (s) Consommation mixte (l/100 km) 4,8 Poids (kg) 237 Hauteur de selle (mm) 850 Prix de base (DH) 250.000</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La nouvelle Opel Corsa bientôt dotée du système hybride 48 volts || subtitle : Le nouveau système hybride 48 volts proposé comprend une batterie lithium-ion qui se recharge automatiquement dans certaines conditions de conduite et de nouveaux moteurs 1.2 litre essence trois cylindres de 100 ch et 136 ch qui ont été développés spécialement pour l’application hybride. || body : Rien n’échappe plus à l’ électrification . En effet, Opel vient d’annoncer qu’elle proposera prochainement, et pour la première fois, la technologie hybride 48 volts sur sa nouvelle Corsa . L'Opel Rocks-e fait ses premiers pas au Maroc La Rocks-e vient élargir la gamme d'Opel au Maroc en tant que première option électrique de la marque dans le pays. Avec une autonomie de 75 km et une vitesse maximale limitée à 45 km/h, ce véhicule compact de 2,41 mètres de long se positionne comme une solution de mobilité urbaine pratique. Assemblée à l'usine Stellantis de Kénitra, la Rocks-e est spécifiquement destinée à trois marchés : l'Allemagne, les Pays-Bas et le Maroc. Son prix au Maroc est fixé à 109.900 DH. Le nouveau système proposé comprend une batterie lithium-ion qui se recharge automatiquement dans certaines conditions de conduite et de nouveaux moteurs 1.2 litre essence trois cylindres de 74 kilowatts (kW)/100 ch et 100 kW/136 ch qui ont été développés spécialement pour l’application hybride. Ces moteurs sont accouplés à une nouvelle transmission électrifiée double embrayage à six rapports et à un moteur électrique de 21 kW/28 ch. Selon les ingénieurs d’ Opel , la technologie hybride 48 volts est bien adaptée à la nouvelle Corsa . Par rapport à l’actuelle Corsa 1.2 essence non électrifiée équipée de la transmission automatique à huit rapports dont les consommations sont de 5,5-5,4 l/100 km et les émissions de CO2 comprises entre 125-122 g/km (en cycle combine WLTP), la nouvelle Corsa hybride de 74 kW/100 ch équipée de la technologie 48 volts permet économiser près d’un litre carburant au 100 km, soit environ 15%, et de réduire significativement les émissions de CO2 (consommation WLTP : 4,7- 4,6 l/100 km ; 106-102 g/km de CO2 en cycle combiné). Au quotidien, en ville ou sur les routes de campagne, les moteurs essence et électrique de la Corsa Hybrid fonctionnent ensemble ou séparément pour optimiser la consommation d’énergie et les performances, offrant de nombreux avantages, notamment en usage urbain. Le moteur électrique permet également à la voiture de rouler à faible couple en mode entièrement électrique sur une distance pouvant aller jusqu’à un kilomètre, par exemple lors de manœuvres ou à moins de 30 km/h dans le trafic. Il assiste également le moteur essence en phase d’accélération, par exemple lors d’un démarrage. En décélération, le moteur essence s’arrête et le moteur électrique fait alors office de générateur pour recharger la batterie 48 volts du système hybride. La batterie stocke également l’énergie récupérée par le système de freinage régénératif. «La nouvelle Opel Corsa hybride 48V est parfaite pour un usage urbain ou péri-urbain. Cette technologie de pointe est en effet accessible et facile à vivre. Elle séduira également les automobilistes qui souhaitent s’initier au plaisir de la conduite électrique pour la première fois, sans avoir besoin de recharger la batterie», indique Opel.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : «Le Matin Auto» au volant du Geely GX3 Pro 1.5 TD Premium || subtitle : Le Geely GX3 Pro, proposé à partir de 159.900 DH, se démarque en tant que crossover compact, représentant le plus petit véhicule de la gamme actuelle de Geely au Maroc. Avec son design simple, des équipements dans la bonne moyenne de la catégorie et une conduite pratique en ville, le crossover chinois constitue une option séduisante pour les conducteurs urbains || body : Entré récemment sur le marché marocain avec deux modèles de SUV, dont un entièrement électrique, Geely fait sensation en lançant un tout nouveau crossover à carrosserie ultra-compacte, propulsé par un moteur essence, le tout à un prix très attractif. Avec une offre limitée dans la fourchette de 159.900 DH en raison de l’inflation, ce montant n’ouvre que peu d’options, principalement des citadines d’entrée de gamme. Dans cette optique, le Geely GX3 Pro se positionne aux côtés du Chery Tiggo 2 Pro , offrant une alternative intéressante dans cette gamme de prix. Malgré son statut de dernier modèle commercialisé par la marque chinoise au Maroc, le GX3 Pro n’est pas le véhicule le plus récent de la gamme, ayant débuté en 2017 en Chine sous une autre appellation. Désormais présenté en tant que GX3 Pro, son design, bien que non démodé, se distingue des modèles Geely actuels, affichant des lignes moins audacieuses et des angles moins prononcés. Ses dimensions compactes (4,05 mètres de longueur et 1,76 mètre de largeur) pourraient le qualifier de «mignon», mais son extérieur, bien qu’attirant certaines personnes, ne suscitera pas une attention particulièrement marquée. Les phares avant arborent une forme pointue, accompagnés de feux de jour à LED et d’une calandre au design distinctif. Le pare-chocs présente un style robuste avec des côtés carrés. Au niveau du profil, on observe un format compact et des lignes discrètes au niveau des portes. À l’arrière, deux feux imposants et une lunette légèrement inclinée complètent le design, avec un becquet ajoutant une touche supplémentaire. GX3 Pro: Geely Maroc lance son troisième modèle sur le marché national Conçue pour une expérience de conduite agréable en ville et aussi en dehors des sentiers battus, la nouvelle citadine surélevée de Geely offre un mélange sympathique de design moderne, d’innovations fonctionnelles et de performance. Intérieur simple et fonctionnel pour le GX3 Pro Pour tous les modèles Geely, y compris le GX3 Pro, l’esthétique intérieure privilégie les lignes droites et les surfaces lisses. L’intérieur se distingue par son design épuré et simple, avec une planche de bord bien conçue centrée autour d’un écran tactile de 8 pouces. L’équipement comprend l’Android Auto et l’Apple CarPlay, ainsi qu’une caméra de recul. Les commandes physiques de la climatisation situées en dessous sont conviviales pendant la conduite. Malgré la console centrale de grande taille, elle ne gêne pas à l’avant, offrant un espace généreux pour le conducteur et le passager. En ce qui concerne l’espace à l’arrière, il est assez satisfaisant pour un véhicule de cette taille, et le coffre dispose d’une capacité de chargement de 400 litres. Bien que l’intérieur présente beaucoup de plastiques durs, cela semble justifié par le prix abordable du véhicule. Une caractéristique appréciable est que même dans la finition intermédiaire «Premium» que nous testons, le GX3 Pro est équipé d’un toit ouvrant. Geely GX3 Pro : bloc essence Le Geely GX3 Pro est propulsé par une motorisation essence : le bloc 1.5 litre de 103 ch, disponible en boîte manuelle à 5 rapports (celle que nous testons) et en boîte automatique CVT. Dès l’accélération, le moteur offre une réponse dynamique, ce qui n’est pas étonnant étant donné que ce bloc est bien réputé au sein de la marque. La position de conduite est agréable, avec une direction précise et un rayon de braquage généreux, facilitant les manœuvres en ville. Un aspect notable, identifié lors de l’essai du Geely Coolray, est la qualité de la suspension, offrant un confort appréciable tant pour le conducteur que pour les passagers, même sur des routes en mauvais état. De manière intéressante, cet élément que nous avions relevé s’est confirmé lors de cet essai du GX3. Un élément crucial est la consommation, et le crossover affiche une consommation de 7,1 litres pour 100 km en conduite mixte. Verdict Proposé à partir de 159.900 DH, le Geely GX3 Pro demeure un choix abordable dans le segment des crossovers. Avec un design simple, des équipements répondant aux standards de la catégorie et une habitabilité convenable, ce SUV chinois présente une option intéressante pour les clients au budget restreint, privilégiant une utilisation urbaine et optant pour un crossover plutôt qu’une citadine. Affichant une consommation plutôt raisonnable, il est à noter cependant que la version automatique pourrait entraîner une légère augmentation de la consommation. Equipements Sur la finition Premium 2 Airbags frontaux, ABS, EPS, EBD, Avertisseur de pression des pneus, Système de déverrouillage des portes en cas de collision, Feux antibrouillard arrière, Réglage électrique des phares, Système d’alarme antivol électronique, Climatisation automatique, Allumage automatique des feux, Radars de stationnement arrière, Rétroviseurs extérieurs chauffants avec clignotants LED, Lève-vitres électriques avant/arrière séquentiels, Accoudoir central avant avec porte-gobelets, Banquette arrière rabattable 40/60, Régulateur de vitesse, Caméra de recul, Jantes aluminium 16 pouces, Feux de jour avant, Feux de jour LED arrière, Sellerie en éco-cuir, Rails de toit chromés, Volant sport en éco-cuir, Toit ouvrant électrique avec Fonction antipincement, Écran tactile 8 pouces, Bluetooth, Radio et Lecture MP3 + 6 Haut-parleurs, Port USB et Prise 12 volts console avant, Mirror Link (Apple CarPlay & Android Auto), Connexion Wi-Fi, Port USB console arrière.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Les nouveaux Volvo XC40 et C40 électriques prochainement disponibles au Maroc || subtitle : Les Volvo XC40 et C40 électriques peuvent déjà être commandés au Maroc. Exposés au showroom casablancais de la marque scandinave, les deux modèles offrent des autonomies de plus de 500 kilomètres et un temps de charge réduit, et affichent de solides performances. || body : La montée crescendo des véhicules électriques se confirme au Maroc. Si les ventes sont encore en stade embryonnaire sur notre marché national, l’offre, elle, est de plus en plus fournie. Pas un mois qui passe sans son lot de lancements de véhicules électriques . Volvo Trucks Maroc lance une gamme complète de camions électriques La nouvelle gamme électrique de Volvo compte des camions de moyen et grand tonnage, destinés à couvrir plusieurs domaines d’activité, allant de la distribution de marchandises à la gestion des déchets, incluant les transports urbains et interurbains. Cette fois, c’est Volvo qui exprime, encore une fois, sa volonté d’accompagner l’engouement pour la mobilité durable sur le marché marocain. Et ce par le lancement prochain de deux modèles aux standards élevés. Il s’agit des SUV compact XC40 électrique et le crossover coupé C40 électrique. Disponibles au showroom de Casablanca, les deux modèles peuvent être commandés par les clients. Avec des autonomies de plus de 500 kilomètres et un temps de charge réduit, les nouveaux modèles affichent de solides performances. Fleuron de la marque suédoise, le XC40 100% électrique, à travers sa ligne «Recharge», est devenu le premier véhicule entièrement électrique de Volvo conçu pour la vie urbaine. Ce SUV compact haut de gamme, sacré «Voiture européenne de l’année», séduit par le caractère avant-gardiste de son design et sa modernité. Côté puissance, le XC40 Recharge dispose d’un moteur de nouvelle génération de 408 chevaux, permettant d’atteindre les 100 km/h en 4,9 secondes, avec la promesse d’une autonomie de 531 kilomètres. Ce modèle à transmission intégrale, dont la batterie peut récupérer 80% de charge en à peine 27 minutes, promet puissance et souplesse sur la route, pour une expérience de conduite intense. De son côté, le C40 Recharge est proposé uniquement en version 100% électrique. Ce nouveau crossover coupé offre une autonomie exceptionnelle et une recharge rapide, ce qui en fait l’un des véhicules électriques les plus innovants et les plus performants du marché. Il est en effet équipé de motorisations électriques de nouvelle génération permettant d’augmenter sa capacité pour une plus grande autonomie (jusqu’à 550 km) et une charge accélérée (27 minutes pour passer de 10 à 80% avec une recharge rapide). Très prisés, les deux derniers modèles de la gamme 40 concentrent l’ensemble des technologies Volvo, avec un pack complet de fonctionnalités de sécurité, d’innovations techniques et de services numériques, comme le système d’info-divertissement développé conjointement avec Google. Leur design contemporain et épuré s’inspire de l’esthétique scandinave, pour allier fonctionnalité et simplicité. Un futur électrique Volvo Cars est déjà leader sur le marché en forte croissance des voitures électriques haut de gamme. D’ici 2025, la marque scandinave prévoit que les véhicules tout-électriques représenteront 50% de ses ventes mondiales et compte ne plus commercialiser que des véhicules électrifiés. À partir de 2030, Volvo deviendra un constructeur tout électrique. À compter de cette date, l’entreprise supprimera de son portefeuille mondial tous les modèles équipés d’un moteur à combustion interne, y compris les véhicules hybrides. Cette transition fait partie de l’ambitieux plan Climat de la marque, qui vise à réduire sans cesse l’empreinte carbone du cycle de vie de chaque voiture à travers des actions concrètes. Équipements : XC40 Recharge Ultimate Radars de stationnement avant et arrière avec signal sonore et visuel, Caméra de recul, Dossiers de la banquette arrière rabattables 60/40, Volant réglable en hauteur et en profondeur, Climatisation automatique bi-zone (inclut un système de recirculation de l’air et un filtre à pollen), Capteur d’humidité, Détecteur de pluie et allumage automatique des feux, Éclairage d’approche et d’accompagnement, Direction assistée électrique asservie à la vitesse, Ordinateur de bord, Sièges conducteur et passager à réglage électrique avec mémoire pour le conducteur, Sièges conducteur et passager à réglage électrique des supports lombaires (4 positions), Extension manuelle du coussin d’assise des sièges avant, Rétroviseurs extérieur rabattables électriquement, Vitres avant et arrière électriques à impulsion (montée et descente) avec système anti pincement, Keyless start, Sonde de température extérieure et horloge, Care Key «orange» (permet de fixer une vitesse limite à une tierce personne utilisant la voiture), Keyless Entry, Hayon à commande électrique avec ouverture sans les mains, Plancher de chargement pliable multifonction avec fixe-sacs à provisions, Jantes 19 pouces 5 branches Noir/Diamant, Toit panoramique ouvrant, Poignée de porte assortie à la couleur, Plaques de protection avant et arrière, Argent brillant, Phares Full LED et feux de jour design marteau de Thor, Bas de caisse et passages de roues anthracite, Rétroviseur couleur noir, City Safety (Système d’anticipation de collision intelligent), Système de protection anti-sortie de route, Système de protection collision frontale, Freinage automatique post-collision, Alerte vigilance conducteur, Alerte franchissement de ligne active, Contrôle de la transmission en descente HDC, Correcteur électronique de trajectoire ESC, Feux de jour à LED, Feu antibrouillard avant + arrière, Pilot Assist + Adaptative Cruise control, Indicateur de perte de pression des pneus, Télécommande de verrouillage centralisé avec clé de contact intégrée... , Système intelligent d’information au conducteur IDIS, Contrôle de la stabilité au roulis RSC, Système de contrôle du freinage du véhicule VDC, Système de contrôle de la stabilité et de la traction STC, Airbags conducteur et passager à déclenchement différencié, Airbags latéraux conducteur et passager, Airbags rideaux, Airbags de genoux côté conducteur, Airbag passager désactivable avec témoin d’indication (on/off), Système de protection en cas de sortie de route Assise des sièges avant à absorption d’énergie, Pédale de frein rétractable en cas de collision frontale, Système de protection contre les chocs latéraux SIPS. Caractéristiques techniques Modèle XC40 C40 Énergie Électrique Électrique Puissance maxi (ch) 408 408 Couple maxi (Nm) 660 670 Accélération (0-100 km/h) 4,9 4,7 Autonomie mixte (km) 531 550 Consommation d’énergie (kWh/h) 17,8 17,4</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Kia Maroc dévoile son dernier bijou : l'EV9, un SUV électrique haut de gamme || subtitle : Le Kia EV9 offre un design inspiré de la nature et un intérieur spacieux et connecté. Doté de deux moteurs électriques totalisant 385 ch et d'une batterie de 99,8 kWh, l'EV9 offre une autonomie de 505 km et une recharge rapide, tout en accueillant jusqu'à 7 passagers. || body : Kia Maroc poursuit son rythme effréné de lancements de nouveaux modèles. Après avoir introduit la Picanto restylée, le plus petit véhicule de sa gamme, la marque sud-coréenne s'engage désormais sur le terrain des SUV électriques haut de gamme avec l' EV9 . Présenté pour la première fois en mars 2023 et officiellement dévoilé au salon de l'automobile de New York en avril de la même année, l’EV9 vient enrichir la gamme électrique « EV » de Kia aux côtés de l' EV6 , lancé en octobre dernier au Maroc. Le design révolutionnaire de l’ EV9 suit résolument la lignée de l’ EV6 mais avec une évolution plus marquée. Selon la marque, son esthétique est inspirée de la philosophie « Opposites United », mettant en avant le concept « Bold of Nature ». Ce choix stylistique exploite la tension créative entre les valeurs divergentes de la nature et de la modernité pour proposer un design global harmonieux. En ce qui concerne la face avant, le célèbre « Tiger Face » est revisité avec une approche plus technologique baptisée « Digital Tiger Face » . Cette nouvelle configuration comprend une calandre illuminée numériquement avec des phares full LED matriciels composés de 24 cubes, ainsi que des feux de jour à LED en forme de Z, conférant à l'ensemble un style imposant, selon les dires de la marque. À l’arrière, le coffre adopte des lignes épurées et intègre un essuie-glace discret, tandis que les feux arrière au design distinctif accentuent sa singularité. Les feux verticaux en forme de boomerang, surnommés « Star Map » , rendent hommage aux constellations du ciel, selon l'équipe de designers. Quant à la partie latérale, elle s'harmonise parfaitement avec les éléments avant et arrière. Équipé de jantes GT Line de 21 pouces aérodynamiques, de poignées de porte affleurantes, de rétroviseurs extérieurs digitaux exclusifs et d'une silhouette remarquable, l’EV9 confirme sans conteste sa présence révolutionnaire. Kia dévoile les premières images de sa nouvelle berline compacte K4 La Kia K4 propose un design moderne et distinctif, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Guidée par la philosophie de conception «Opposites United» de Kia, elle offre une expérience de conduite équilibrée entre le rationnel et l’émotionnel, combinant, selon la marque, technologie avancée et confort pour le conducteur et les passagers. Kia EV9 : un intérieur spacieux et hautement connecté Le design intérieur du tout nouveau EV9 annonce clairement une nouvelle ère dans le domaine du design des habitacles chez Kia. Axé sur le pilier « Technology for Life », il vise à encourager des interactions positives et intuitives entre les occupants et les commandes ainsi que les outils connectés. Le volant en cuir présente un nouveau design carré et illuminé, tout en intégrant plusieurs fonctionnalités avancées qui libèrent de l'espace sur la console centrale. La planche de bord flottante accueille un triple écran panoramique au format allongé. À l'arrière du volant, un premier écran de 12,3 pouces affiche les informations essentielles à la conduite. Sur sa droite, un écran tactile de 12,3 pouces regroupe toutes les fonctionnalités d'info-divertissement, compatible avec Android Auto et Apple CarPlay. Entre ces deux écrans, un troisième écran tactile de 5 pouces rassemble les commandes liées au confort des occupants : climatisation, chauffage, etc. Les concepteurs de Kia ont réimaginé le rôle des SUV familiaux en mettant l'accent sur le bien-être, le confort et la technologie pour l'ensemble des passagers, et non seulement pour le conducteur. Avec ses dimensions de 5,01 mètres de long, 1,98 mètre de large, 1,76 mètre de haut et un empattement de 3,1 mètres, l'EV9 se distingue par sa taille généreuse. Ces proportions spacieuses permettent d'intégrer une troisième rangée de sièges à l'arrière, offrant un confort absolu pour jusqu'à 7 passagers. Au Maroc, le SUV électrique est disponible en version GT Line avec transmission intégrale et deux moteurs électriques totalisant 385 ch, alimentés par une batterie de 99,8 kWh. Il atteint 100 km/h en 5,3 secondes, dispose d'une technologie de recharge rapide 800V/200 kW DC, offrant 249 km d'autonomie en 15 minutes et une autonomie totale de 505 km en cycle mixte, avec une consommation moyenne de 22,8 kWh/100 km. Kia Ev9 : Caractéristiques techniques Énergie : Électrique Puissance maximale (ch) : 385 Couple maximal (Nm) : 700 Transmission : 4x4 Boîte de vitesses : BVA Vitesse maximale (km/h) : 200 Accélération 0-100 km/h : 5,3 (s) Capacité de la batterie (kWh) : 99,8 Autonomie cycle mixte : 668 (km) Prix (DH) : 1.079.000 Equipements du Kia EV9 10 airbags (frontaux, latéraux AV et AR, rideaux, genoux côté conducteur et central), ABS, ESC, HAC, TSA, HBA, Système de freinage anti multi-collisions, Alerte d'attention du conducteur, Système d'affichage vidéo des angles morts, Système de détection de trafic transversal AR avec fonction freinage, Régulateur de vitesse intelligent adaptatif avec fonction Stop & Go et limiteur de vitesse, Alerte et maintien dans la voie, Système de freinage d'urgence autonome avancé avec détection de piétons, cyclistes et intersection et croisement, , Fonctions Follow Me Home et Leave Me Home, Pare-brise acoustique anti-bruit, Contrôle de stabilité par vent latéral et en virage, Affichage tête-haute 12 pouces, Système d'éclairage intelligent, Modes de conduite, Climatisation automatique tri-zone, Démarrage à distance du moteur et de la climatisation, Accès mains-libres et démarrage sans clé, Transmission SBW (shift-by-wire), Coffre électrique mains-libres à ouverture intelligente et hauteur ajustable, Rétroviseurs extérieurs digitaux (caméras) avec affichage intérieur sur écrans 7 pouces et lignes de guidage, Palettes de modulation de la puissance de freinage régénératif au volant, Sièges AV et AR (2ème rangée) chauffants et ventilés, Siège conducteur avec fonction massage premium.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Les six secrets pour prolonger la durée de vie de votre voiture || subtitle : Dans un monde où les véhicules modernes repoussent les limites de la longévité, découvrez comment préserver la vitalité de votre voiture. Explorez une approche axée sur une conduite souple, une réactivité accrue aux signaux d’alerte et un entretien régulier, avec vous-même comme acteur principal, pour maximiser sa durée de vie. || body : Il est indéniable que les voitures modernes sont dotées d’une durée de vie considérablement prolongée, grâce à des conceptions plus sophistiquées et à des moteurs nettement plus fiables que leurs prédécesseurs. Néanmoins, au-delà des caractéristiques intrinsèques des véhicules, de nombreux facteurs externes influent sur leur longévité. De plus, en effectuant des vérifications régulières et en suivant des procédures d’entretien simples, il est possible de prolonger significativement la durée de vie de votre voiture. Être attentif aux signes de dysfonctionnement et agir rapidement peut prévenir des problèmes majeurs. Que ce soit un bruit inhabituel, une odeur suspecte ou une alerte lumineuse sur le tableau de bord, ne pas ignorer ces signaux peut éviter des réparations coûteuses à long terme. En réglant les problèmes dès leur apparition, vous maintenez votre véhicule en bon état de fonctionnement et prolongez sa durée de vie. Voici les six principaux conseils pour entretenir votre voiture et préserver son état optimal. Respectez le plan d’entretien du constructeur Pour assurer la longévité de votre véhicule, ne sous-estimez pas l’importance de suivre méticuleusement le plan d’entretien préconisé par le constructeur. Bien que certains propriétaires négligent parfois ces recommandations, ces entretiens périodiques jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé mécanique de votre voiture. Les changements réguliers de fluides et le remplacement des pièces d’usure contribuent à préserver les performances optimales de votre véhicule au fil du temps, évitant ainsi les dommages coûteux et prolongeant sa durée de vie. Voiture électrique Vs voiture hybride au Maroc : les conseils de Matin Auto Les véhicules électriques offrent une consommation économique et des coûts d’entretien réduits. En revanche, les hybrides se démarquent par leur polyvalence, leur résistance aux conditions difficiles et leur autonomie étendue. Le choix dépendra donc des besoins spécifiques de chaque utilisateur. Remédiez aux pannes dès leur détection Dès que vous remarquez des problèmes tels qu’une climatisation défaillante, un démarreur capricieux ou une direction peu précise, agissez rapidement. Les pannes automobiles ne se réparent pas d’elles-mêmes. En les négligeant, vous risquez d’aggraver les dommages et d’augmenter les coûts de réparation. De plus, votre voiture pourrait voir sa durée de vie réduite. Traitez ces problèmes dès leur apparition pour prévenir des complications majeures et garantir la longévité de votre véhicule. Laissez votre voiture chauffer correctement Le temps où les départs difficiles étaient monnaie courante est révolu, avec la plupart des voitures démarrant facilement, quel que soit le climat. Cependant, qu’il fasse chaud ou froid, il reste crucial de respecter les temps de chauffe du moteur pour assurer sa longévité. Lorsque le moteur atteint sa température optimale, de nombreuses pièces se dilatent et se lubrifient, ce qui permet un fonctionnement fluide et réduit le risque d’usure prématurée ou de défaillance lors de sollicitations à froid. Gardez votre voiture propre Assurez-vous de nettoyer votre voiture de manière régulière, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, afin de préserver son état et d’éviter les dommages potentiels causés par l’accumulation de saletés provenant de la route. Vous pouvez prendre soin efficacement de votre véhicule via différents produits, protégeant ainsi le compartiment moteur et l’habitacle contre les dommages. Prenez également le temps de bien nettoyer la carrosserie pour éliminer les impuretés et raviver son éclat d’origine. Adoptez une conduite souple Adoptez une conduite souple et mesurée pour préserver la longévité de votre véhicule, même si son châssis sportif semble vous inciter à une conduite plus dynamique. Évitez les accélérations brusques et les freinages violents, car une conduite agressive sollicite excessivement les composants essentiels tels que les amortisseurs, la direction et les freins, ce qui pourrait compromettre leur durabilité et leur efficacité. Opter pour une conduite fluide et sans à-coups non seulement prolongera la vie des organes principaux de votre voiture, mais vous garantira également une expérience de conduite plus confortable et sécuritaire. Évitez la surcharge de votre véhicule Évitez de surcharger votre voiture en respectant scrupuleusement le Poids total autorisé en charge (PTAC) spécifié par le constructeur pour chaque véhicule. Cette mesure garantit que votre voiture supporte en toute sécurité un poids maximal prédéterminé. Lorsque vous transportez des charges lourdes de manière régulière, veillez à vérifier périodiquement que vous n’excédez pas le PTAC recommandé. En cas de dépassement, non seulement vous enfreignez les réglementations routières, mais vous exposez également votre véhicule à des dommages structurels potentiellement irréparables. Ces six conseils cruciaux représentent les premières étapes vers une préservation optimale de votre véhicule. Néanmoins, gardez un œil attentif pour découvrir une panoplie d’autres astuces et recommandations dans nos prochains article et vidéo du «Matin Auto Conseils».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : FEV et UTAC ouvrent le premier centre d’essais automobile d’Afrique au Maroc || subtitle : Le nouveau centre d'essais automobile en Afrique, fruit de la collaboration entre UTAC et FEV à Oued Zem, au Maroc, s'étend sur 500 hectares. Il offre des installations de pointe, dont des pistes variées, des ateliers, et des chambres climatiques. Ce site met en avant l'expertise conjointe de FEV dans les essais de moteurs et d'émissions. || body : FEV, leader allemand du développement automobile, et le groupe français UTAC inaugurent le tout premier centre de tests automobile en Afrique, implanté à Oued Zem, au Maroc, sur un terrain de 500 hectares, marquant une première sur le continent. Ce site innovant offre des conditions optimales pour le développement et les essais de véhicules, consolidant ainsi les services avancés de développement, d'essais et d'homologation destinés aux constructeurs automobiles. Au cours d'une visite prévue hier, le 14 novembre 2023, à laquelle la presse marocaine et internationale était conviée, les locaux ont été découverts avec le privilège d'être présents. Ce centre récent comprend des zones d'essai dédiées à la conduite à grande vitesse, aux tests de freinage, à l'acoustique, ainsi que des pentes abruptes et des sections routières accidentées. Avec des installations telles qu'une piste acoustique ISO 10844, un environnement urbain simulé et d'autres circuits d'essai, il propose une gamme complète de services. De plus, sa proximité avec les montagnes de l'Atlas, à seulement 70 km, en fait un point de départ idéal pour les essais de longue distance. UTAC et FEV : Compétition sur piste Le site marocain est divisé entre les quatre ateliers de l’UTAC, les installations d’essais de la FEV, et compte 14 pistes distinctes. Pour renforcer sa position en tant qu'offre singulière, comme l'a souligné le directeur général de FEV Afrique du Nord, Oussama Hafsi, intégrant tests, développement et homologation, le tracé des voies du site a été réalisé en stricte conformité avec les régulations européennes et internationales. Parmi ces installations, la piste de descente se distingue particulièrement. Durant les phases de planification et de construction, le respect scrupuleux de la réglementation EU6d relative à la charge sur route et au réglage du dynamomètre était impératif. Cette réglementation précise que la pente longitudinale de la route d’essai ne doit pas dépasser ± 1%, et la pente locale entre tout point distant de 3 mètres ne doit pas s’écarter de plus de ± 0,5% de cette pente longitudinale. Le défi majeur était le terrain accidenté d'une mine de phosphate semi-montagneuse. Pour assurer la conformité de la piste aux normes de régulation, une pente exigeante de 0,7% a été établie, avec des évaluations de la déviation de la pente longitudinale à des intervalles de trois mètres, garantissant l'uniformité sur une descente de 4 km. La complexité de la construction de cette voie a nécessité le développement et l'utilisation d'une machine inexistante avant l'acquisition du site. Actuellement conforme aux normes des équipementiers européens et japonais, des plans sont en cours pour répondre aux réglementations nécessaires pour les équipementiers américains et coréens. La coentreprise accueille également une série de pistes d’approbation acoustique. Parmi elles, un carré d'essai de 500 mètres de long certifié selon la norme ISO10844. Ces pistes réalisent des tests variés, conformes aux normes ECE 51.03 pour le bruit des véhicules, ECE 138 pour le bruit minimum et ECE 117 pour le bruit des pneus. Les côtés inclinés de cette piste assurent une ambiance réaliste dans la zone. UTAC et FEV : Hors-piste Au-delà des pistes, l'UTAC propose un ensemble complet de développement et de validation réparti sur quatre ateliers et trois enceintes climatiques. Le plus vaste atelier, actuellement occupé par Stellantis, s'étend sur 240 mètres carrés, offrant un espace dédié aux essais. Chacun des ateliers dispose de son propre parking, pouvant accueillir jusqu'à 30 véhicules. La plus grande chambre climatique opérée par l’UTAC mesure 72 mètres cubes, peut simuler des températures allant de -30°C à +60°C, avec une humidité pouvant atteindre 95%. Les deux autres chambres, plus petites, de 45 mètres cubes, peuvent reproduire des températures entre -25°C et +40°C. Des extensions futures sont déjà planifiées, incluant une chambre solaire, une chambre à pluie, et une chambre à poussière. La chambre solaire sera équipée de plus de 800 ampoules infrarouges, permettant des simulations jusqu'à +60°C. Par ailleurs, le partenariat avec FEV met en avant leur expertise commune en matière d'essais de moteurs et d'émissions de véhicules. Le point culminant de ce partenariat est un dynamomètre de châssis 4×4 conforme à la norme EU6d, avec une plage de températures de -20°C à +50°C. Le site comprend également une salle d'immersion à 23°C, des boîtes de température, des chambres froides jusqu'à -20°C, des bancs d'essai de moteurs dynamométriques de 250 kW, et des tests de systèmes portables de mesure des émissions (PEMS). Ces analyses des émissions sont facilitées par un réseau de circuits de 7 km, alimentés par 31 mélanges gazeux différents et très précis. Tous les tests moteurs sont gérés de manière centralisée grâce au logiciel exclusif MORPHEE (Standard and Configurable Application for Laboratory Environment) de FEV. Les bancs d'essai sont montés sur des ressorts pneumatiques pour atténuer les vibrations, rendant chaque test prêt en deux ou trois semaines de préparation, et réalisable en une journée.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Stellantis lance au Maroc son label de voitures d’occasion Spoticar || subtitle : Le nouveau spécialiste des véhicules d’occasion, Spoticar, qui vient d’être lancé officiellement le 6 décembre, propose des véhicules multimarques, expertisés et préparés par les spécialistes des réseaux Stellantis. || body : Le marché marocain des véhicules d’occasion ne cesse de se moderniser. Dominé par l’anarchie des transactions directes, des «souks traditionnels» et autres «semsaras», avec tout leur lot d’appréhension et d’arnaques, ce marché connaît depuis quelque temps développement et modernisation, suite à l’arrivée d’acteurs professionnels spécialisés. Le dernier en date est Spoticar, label dédié aux véhicules d’occasion de Stellantis, l’un des principaux constructeurs automobiles et fournisseurs de services de mobilité mondiaux. Auto24 : nouvel acteur sur le marché de l'automobile d'occasion marocain Auto24, une entreprise australienne spécialisée dans la vente de voitures d'occasion, a choisi le Maroc comme prochaine destination en Afrique, bénéficiant du soutien de Stellantis en tant qu'investisseur. Leur approche se caractérise par une transparence totale lors des transactions, une assurance annuelle offerte, et une garantie de satisfaction de 5 jours pour les clients. Cette initiative marque l'expansion d'Auto24 en Afrique, où elle vise à devenir le leader du marché multimarques de véhicules d'occasion. Le nouveau spécialiste des véhicules d’occasion propose des véhicules multimarques, expertisés et préparés par les spécialistes des réseaux Stellantis. Offrant aux clients l’accès à une large offre de véhicules et de services, il leur offre également une garantie allant jusqu'à 12 mois, la possibilité d'essayer le véhicule avant l'achat, une assistance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 au Maroc, des offres de reprises toutes marques formulées en moins de 2 heures, des financements avantageux, et un accompagnement dans toutes les démarches administratives. Pour Yves Peyrot des Gachons, directeur général de Stellantis au Maroc, Spoticar se positionne d’ores et déjà comme le partenaire idéal pour les besoins automobiles d'occasion. «Chez Spoticar, nous nous engageons à offrir une expérience client transparente, fiable et avantageuse, en mettant à la disposition de nos clients des véhicules d'occasion soigneusement sélectionnés et entretenus», a-t-il avancé lors de la conférence de présentation officielle du nouveau label, organisée hier 6 décembre à Bouskoura. «Stellantis & You Casablanca», ex Motor Village Bouskoura, est le premier point de vente Spoticar. Le réseau sera développé suite à un déploiement progressif dans les principales villes du Royaume, à savoir Marrakech, Agadir, Tanger, Meknès et Larache. A rappeler que Spoticar, lancé en 2019, compte parmi les leaders mondiaux du véhicule d’occasion, thermique, hybride et électrique, avec plus de 850.000 véhicules vendus dans le monde en 2022. Dans le cadre du plan «Dare Forward 2030» de Stellantis, Spoticar a pour objectif d’atteindre plus de 2 millions de ventes de véhicules d’occasion par an d’ici 2030.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Tesla : les ventes en baisse pour la première fois depuis 2000 || subtitle : Le géant de l'automobile électrique Tesla a affiché des ventes annuelles inférieures aux estimations, accusant la première baisse depuis 2020. L'action de la compagnie du milliardaire Elon Musk a chuté, mardi, de plus de 5% en début de séance à Wall Street, prolongeant la perte de 2024. || body : Le constructeur a livré 386.810 véhicules au cours des trois premiers mois de 2024, a annoncé mardi l’entreprise dans un communiqué. «Ce chiffre est tellement inférieur à l’estimation moyenne des analystes de 449.080 livraisons qu’il s’agit du plus grand échec jamais enregistré», selon une analyse de Bloomberg. Les actions de Tesla ont chuté de 5,5% à 165,54 dollars à 9 h 33 à New York. Le titre est en baisse d'environ 33% cette année. Tesla a souligné la première rampe de production de son modèle 3 mis à jour comme un facteur de baisse des volumes. Il a également cité, parmi les raisons de ce recul des ventes, des «détournements de navires» causés par le conflit en mer Rouge et un incendie criminel dans son usine de Berlin. Tesla rappelle 200.000 véhicules électriques pour un problème de caméra Le constructeur automobile américain Tesla a rappelé près de 200.000 voitures électriques en raison d'un dysfonctionnement d'un logiciel qui peut obstruer la vue du conducteur lorsqu'il conduit en marche arrière, a annoncé vendredi l'Administration nationale de la sécurité routière (NHTSA). Malgré ces défis, Tesla continue de reconquérir sa position de leader mondial du marché des véhicules électriques après avoir été détrônée par la société chinoise BYD Co. à la fin de l’année dernière.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : «Le Matin Auto» au volant du Honda CR-V 2.0 i-MMD Titanium || subtitle : La sixième génération du Honda CR-V affiche un design épuré et s’allonge de 10 cm pour optimiser l’espace intérieur. Propulsé par une motorisation hybride performante, il offre confort, équipements modernes et sensations de conduite premium, constituant une proposition solide sur le marché des SUV. || body : La sixième génération du Honda CR-V est désormais sur le devant de la scène. Après une carrière en retrait au Maroc , comparé à ses homologues japonais et coréens plus marqués, ce nouveau modèle se veut une offensive renouvelée. Sur le plan du design, les lignes gagnent en sobriété, avec une calandre discrète et des phares affinés. L’arrière, moins imposant, présente des vitres latérales plus amples, sans succomber à la tendance des SUV coupés. Dans le cadre de cette mise à jour, le CR-V s’allonge de 10 cm, atteignant désormais 4,70 mètres, avec une extension de l’empattement de 4 cm. Cette transformation le positionne avantageusement face à des concurrents tels que le Toyota Rav4, le Kia Sportage et le Hyundai Tucson. L’objectif principal est d’optimiser l’espace, tant au niveau des jambes que du compartiment à bagages, qui offre désormais 587 litres. Bien que le coffre propose une banquette coulissante pour un gain supplémentaire de volume, le Honda CR-V ne propose pas de troisième rangée de sièges. Le nouveau Honda CR-V débarque au Maroc avec une motorisation hybride Le nouveau Honda CR-V vise à s'imposer parmi les grands SUV, se distinguant par ses dimensions plus imposantes. Doté d'une motorisation hybride générant 204 ch de puissance, ce modèle offre des aides à la conduite avancées et des équipements de pointe en matière de technologie. Honda CR-V : intérieur ergonomique Le design intérieur du CR-V , partageant de nombreux éléments avec la nouvelle Civic , divise les opinions entre son côté classique et néo-rétro. Certains le trouvent trop conventionnel, tandis que d’autres apprécient son style ergonomique. Malgré des critiques sur le grillage alvéolé de la planche de bord, jugé trop sportif, la qualité des matériaux et l’assemblage sont généralement bien accueillis. La console centrale, bien que massive, n’empiète pas sur l’espace à l’avant. Le CR-V offre des caractéristiques pratiques, telles que la caméra sous le rétroviseur droit, qui affiche l’angle mort sur l’écran tactile central. En matière d’équipement, le SUV se distingue avec un ensemble complet comprenant le régulateur de vitesse adaptatif, l’aide au maintien dans la voie, la caméra 360 ° et le toit panoramique. Ces fonctionnalités renforcent l’habitabilité et la compétitivité du CR-V par rapport à ses concurrents. Globalement, le nouveau CR-V présente une proposition solide avec un intérieur bien pensé, une qualité de fabrication appréciée et un ensemble d’équipements modernes qui répondent aux attentes du segment des SUV compacts . Motorisation hybride pour le Honda CR-V Le Honda CR-V propose une seule option de motorisation, entièrement hybride, abandonnant le traditionnel moteur thermique. Doté d’un bloc de 2.0 litres associé à deux moteurs électriques, il délivre une puissance de 204 ch et un couple remarquable de 335 Nm, surpassant des concurrents tels que le Toyota Rav4 (221 Nm). Le choix d’un moteur atmosphérique à cycle Atkinson, peu réputé pour sa force à bas régime, est compensé par une configuration astucieuse où les roues sont principalement entraînées par un moteur électrique puissant, tandis que le moteur thermique agit principalement comme générateur, ne se connectant aux roues que lors de phases spécifiques. Sur le plan du confort, le nouveau CR-V se démarque avec une capacité impressionnante à absorber les irrégularités de la route grâce à un amortissement piloté adaptatif en continu. L’insonorisation exemplaire des bruits de suspension contribue à une expérience de conduite premium. Les sensations au volant sont également au rendez-vous, avec une direction directe, précise et informative, caractéristique propre à Honda . Les mouvements de caisse sont bien maîtrisés, ajoutant à la qualité globale de la conduite. Nouveau Honda CR-V Verdict Le nouveau CR-V aspire clairement à une élévation de statut vers le segment premium. Avec une stature agrandie, des équipements accrus, une motorisation fiable et puissante, il ambitionne de conquérir un public plus large. Malgré un tarif dépassant les 500.000 DH, marquant une transition par rapport à son orientation initiale vers le grand public, cette évolution positionne le CR-V en concurrence avec d’autres SUV hybrides tels que le Kia Sportage, tout en offrant un ensemble attractif et compétitif. Sur la finition Titanium 8 Airbags (frontaux, latéraux et rideaux), ABS, EBD, Assistance à la stabilité du véhicule, HSA, HDC, Frein de stationnement électronique avec Auto-Hold, Moniteur de l’attention du conducteur, Réglage automatique des phares, Feux antibrouillard avant LED, Signal d’arrêt d’urgence, Système de freinage à atténuation de collision, Système d’assistance au maintien de la voie, Alerte de franchissement de ligne, Atténuation de la sortie de route, Avertisseur de collision avant, Lane Watch, Climatisation automatique bi-zone avec diffuseur arrière, Phares automatiques, Caméra multivue 360 degrés, Radars avec 4 capteurs de stationnement, Feux avant adaptatifs, Détecteur de pluie, Rétroviseurs électriques rabattables à distance avec gradation automatique, Sièges conducteur et passager à réglage électrique, Hayon électrique avec fonction mains libres, Contrôle actif du bruit à 3 micros, Fonction Coming Home, Régulateur de vitesse adaptatif avec suivi à basse vitesse, Jantes en alliage 18 pouces, Affichage tête-haute, Feux à LED de virage avant séquentiels, Phares à LED, Feux de jour à LED, Rails de toit, Aileron de porte arrière, Toit ouvrant panoramique, Antenne en forme d’aileron de requin, Interface TFT d’information du conducteur de 10,2 pouces, Écran tactile 9 pouces avec navigation, Apple CarPlay et Android Auto, 2 ports USB (avant/arrière), Chargeur sans fil, 12 Haut-parleurs. Équipements du nouveau Honda CR-V Caractéristiques techniques Moteur 2.0 i-MMD (H) Cylindrée (cc) 1.993 Puissance fiscale (cv) 11 Puissance maxi (ch) 204 Couple maxi (Nm) 335 Boîte de vitesses BVA Vitesse maxi (km/h) 194 Accélération (0-100 km/h) 9 (s) Consommation (l/100 km) (urbaine/rurale/mixte) 7,5/4,8/5,9 Finition Executive (DH) 504.000 Finition Titanium (DH) 550.000</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La BMW Série 7 bientôt équipée de la conduite autonome de niveau 3 || subtitle : Le constructeur allemand BMW dotera bientôt sa nouvelle Série 7 de la conduite autonome de niveau 3, qui permet aux conducteurs de retirer les mains du volant et de détourner temporairement leur attention de la route. || body : BMW place la barre encore plus haut en matière de conduite autonome . En effet, le constructeur allemand équipera bientôt sa nouvelle Série 7 de la conduite autonome de niveau 3 , qui permet aux conducteurs de retirer les mains du volant et de détourner temporairement leur attention de la route. La nouvelle BMW Série 5 officiellement lancée sur le marché marocain Plus dynamique, dotée d’une multitude d’innovations numériques et, pour la première fois, de motorisations entièrement électriques, la huitième génération de la BMW Série 5, qui vient d’être lancée sur le marché marocain, est également proposée avec des motorisations hybrides rechargeables et des moteurs essence et diesel incluant la technologie d’hybridation légère 48 volts. La nouvelle fonction BMW Personal Pilot L3 soulage la personne au volant de la tâche de conduite dans certaines situations et contrôle la vitesse du véhicule, la distance par rapport au véhicule qui le précède et le positionnement dans la voie. Conçue pour assurer l'intégralité de la tâche de conduite, avec une capacité de niveau 3 telle que définie par la Society of Automotive Engineers (SAE) , cette technologie innovante permet aux conducteurs de se concentrer sur d'autres activités lorsqu'ils roulent à une vitesse maximale de 60 km/h sur des autoroutes dont les chaussées sont séparées. Grâce à ses capteurs particulièrement sophistiqués, il s'agit du premier système de ce type à pouvoir également être utilisé dans l'obscurité. L'introduction de la fonctionnalité de niveau 3 dans les modèles Série 7 fera de BMW Group le premier constructeur automobile à proposer simultanément une fonction de conduite de niveau 2 dans sa gamme de produits, mais également une fonction de niveau 3 permettant de retirer les mains du volant. Le BMW Highway Assistant propose déjà une fonction de conduite de niveau 2 sur tous les nouveaux modèles Série 5. Il comprend également une fonctionnalité unique avec l'assistant de changement de voie actif avec confirmation oculaire. Cette fonction est principalement conçue pour être utilisée sur de longs trajets dans la nouvelle Série 5 , afin de soulager le conducteur. Lorsque vous roulez à une vitesse jusqu’à 130 km/h, cette fonction peut contrôler la vitesse du véhicule, la distance par rapport au véhicule qui précède ainsi que la direction. La différence essentielle entre le niveau 2 et le niveau 3 réside dans le fait qu'avec le niveau 2 (conduite partiellement automatisée), la responsabilité continue d'incomber au conducteur à tout moment. Chaque fois que le BMW Highway Assistant est utilisé, les conducteurs doivent être attentifs à ce qui se passe sur la route et être en mesure de reprendre le volant à tout moment. Ceci est surveillé en permanence à l'aide d'une caméra d'attention intelligente . Le BMW Personal Pilot L3 de la Série 7 donne aux conducteurs la possibilité de se concentrer sur des activités secondaires à bord du véhicule, loin de ce qui se passe sur la route. Dans une Série 7 avec le BMW Personal Pilot L3 activé, les clients pourront par exemple consulter leurs e-mails, ou participer à des appels téléphoniques lorsqu'ils roulent à une vitesse maximale de 60 km/h. Ils peuvent également utiliser des services numériques, par exemple pour visionner des vidéos sur l'écran central pendant un trajet. Le nouveau BMW Personal Pilot L3 est donc la solution idéale pour utiliser à bon escient le temps passé dans les embouteillages. Une carte HD, régulièrement mise à jour, est alignée en permanence avec une localisation GPS extrêmement précise et fonctionne avec des capteurs à 360 ° pour garantir un positionnement et une surveillance exacts de la zone autour du véhicule. Dans la nouvelle Série 7, cette fonctionnalité est rendue possible par une nouvelle suite logicielle, une puissante plateforme informatique et une connexion 5G au BMW Cloud . Outre les caméras, les véhicules équipés du BMW Personal Pilot L3 sont également équipés de capteurs à ultrasons et de capteurs radar de dernière génération, ainsi que d'un capteur lidar 3D très sensible pour surveiller la zone autour du véhicule et la situation sur la route. Grâce à cet ensemble de technologies, le BMW Personal Pilot L3 fonctionne de manière très fiable, et ce même dans l'obscurité.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Mercedes-Benz obtient l’approbation de la conduite autonome et des feux de position turquoise || subtitle : Dans une semaine marquante, Mercedes-Benz reçoit le feu vert pour des essais de conduite automatisée de niveau 3 à Pékin et l'autorisation d'utiliser des feux de position extérieurs turquoise dédiés aux véhicules autonomes en Californie et au Nevada. Une avancée significative sur la scène internationale de la conduite autonome. || body : Mercedes-Benz confirme son investissement dans le domaine de la conduite autonome . La marque à l’étoile vient d’obtenir l'approbation pour des essais routiers de conduite automatisée conditionnelle de niveau 3 à Pékin , en Chine . Mercedes EQE : une berline électrique prête pour les longs trajets Lancée récemment sur le marché marocain, la berline électrique à l’étoile Mercedes EQE arbore une allure sportive avec tous les éléments typiques de la gamme électrique de Mercedes-Benz, une ligne unique et un design orienté vers la cabine. Son autonomie, qui va jusqu’à 682 km, convient parfaitement aux voyages. En tant que premier constructeur automobile à recevoir cette autorisation, la marque souligne son engagement constant envers la sécurité . Parallèlement, cette semaine marquante a également vu Mercedes-Benz devenir le premier constructeur automobile mondial à recevoir des autorisations spéciales pour des feux de positions extérieurs dédiés à la conduite automatisée en Californie et au Nevada , aux États-Unis . Mercedes-Benz a depuis toujours été un pionnier en matière de conduite automatisée. Tout a commencé en 1986 avec des tests de régulateur de vitesse adaptatif . Aujourd’hui, il est le seul constructeur automobile au monde à disposer de l’approbation pour la conduite automatisée conditionnelle et du système de stationnement sans conducteur SAE (niveau 4). Le système Drive Pilot (niveau 3) s’appuie sur la technologie des capteurs du pack d’assistance à la conduite et comprend des capteurs supplémentaires que Mercedes-Benz considère comme essentiels pour une conduite automatisée conditionnellement sûre. Les modèles Classe S et EQS équipés du système offrent une direction, un freinage et un système électrique redondants, assurant la maniabilité en cas de défaillance. En Allemagne , le Drive Pilot est disponible en option depuis 2022, tandis qu'aux États-Unis , il a fait ses débuts en Californie et au Nevada avec une flotte limitée de berlines EQS . Les livraisons aux clients débuteront en 2024. D'ici la fin de la décennie, Mercedes-Benz aspire à développer la conduite autonome avec une vitesse atteignant 130 km/h. En Allemagne, la prochaine étape cible une vitesse de 90 km/h sur autoroute en suivant un véhicule en face. La marque allemande a intégré son expertise mondiale en R&D avec une équipe chinoise dédiée, collaborant avec des partenaires locaux et adaptant ses produits aux normes chinoises. L'équipe R&D locale a travaillé sur l'adaptation du système de conduite automatisée (niveau 3) aux infrastructures et conditions routières spécifiques de la Chine. Feux de position turquoise pour les Mercedes-Benz autonomes Le permis du Nevada et de la Californie s'applique aux véhicules Mercedes-Benz produits à partir de l’année 2026 et reste en vigueur jusqu'à une éventuelle modification législative. Ces permis permettent à Mercedes-Benz d'acquérir des informations cruciales sur l'interaction entre les véhicules automatisés et les autres usagers de la route. L'intégration des feux de position de couleur turquoise vise à améliorer considérablement l'acceptation publique de la conduite automatisée, tout en renforçant la sécurité routière grâce à une visibilité claire de l'état du système depuis l'extérieur. Cette fonction facilite également l'identification par les forces de l'ordre de l'état du système, permettant de déterminer si les conducteurs sont autorisés à se livrer à des activités secondaires pendant le trajet automatisé sous certaines conditions. Les feux de position de conduite automatisée seront initialement intégrés dans des véhicules d'essai en Californie et au Nevada équipés de Drive Pilot. Mercedes-Benz a choisi le turquoise, une couleur répondant à deux critères essentiels : sa visibilité permet une détection fiable et rapide pour les autres usagers de la route et il se différencie de l’éclairage des véhicules traditionnels. Le risque de confusion avec des couleurs d’éclairage déjà existants peut être considérablement réduit. De plus, selon les résultats de nombreuses études de test, le turquoise est la couleur optimale pour la conduite automatisée. Des facteurs physiologiques et psychologiques attestent les valeurs plus élevées pour le turquoise dans presque tous les domaines que pour les autres couleurs. Le développement et l'approbation du nouveau concept d'éclairage ont nécessité les efforts collaboratifs d'une équipe interdisciplinaire composée d'ingénieurs, de responsables de la conformité, d'experts en protection des données et d'experts en éthique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Mini Maroc commercialise le nouveau Countryman || subtitle : Le nouveau Mini Countryman allie prestance et polyvalence avec un design urbain distinctif et des fonctionnalités innovantes telles que l'écran circulaire et le Mini Intelligent Personal Assistant. Il offre un confort accru et une variété de motorisations, allant de l'essence à l'électrique, pour répondre à différents besoins. || body : Mini Maroc dévoile le nouveau Countryman , offrant une prestance améliorée et une polyvalence inédite. Cette génération se distingue par son espace intérieur accru et ses équipements de sécurité renforcés. Il s’agit de la première nouveauté de Mini Maroc depuis un bon moment, préfigurant le lancement prochain d'une gamme électrique complète. En direct : lancement officiel du nouveau Mini Countryman au Maroc En direct : lancement officiel du nouveau Mini Countryman au Maroc. Avec ses dimensions de 4,43 mètres de long, 1,84 mètre de large et 1,66 mètre de haut, le Countryman offre polyvalence et espace pour un usage quotidien. L'empattement élargi à 2,70 mètres améliore le confort, tandis que le modèle Cooper , fabriqué en Allemagne , vise le plus haut niveau de respect environnemental lors de sa production, selon Mini. Mini s'inspire du concept de « Charismatic Simplicity » pour le design du nouveau Countryman, lui conférant un caractère urbain distinctif. Les proportions de la voiture , marquées par des porte-à-faux réduits, un capot court et un empattement long, associent l'ADN du design Mini à un profil robuste, idéal pour le tout-terrain. Avec un coefficient de traînée de 0,26, le Countryman affiche une meilleure aérodynamique, contribuant à des performances plus éco-responsables. Le design extérieur se caractérise par des surfaces lisses et un toit légèrement incurvé, créant une transition harmonieuse avec le montant C évoluant selon la finition. La face avant a été revisitée avec une signature lumineuse personnalisable, offrant des détails uniques en fonction du niveau de finition. Les projecteurs à LED diurnes ajoutent une touche distinctive au modèle, avec la possibilité d'opter pour trois signatures lumineuses réglables en option. Le nouveau Countryman présente une allure minimaliste et imposante de profil, où le design du montant C accentue la ligne de toit arrière pour une apparence plus dynamique. Les options de jantes, allant de 17 à 19 pouces et pouvant atteindre 20 pouces en option, ajoutent à son allure distincte. À l'arrière, les feux verticaux à LED affichent une signature lumineuse moderne, reprenant l'emblématique Union Jack de la marque dans un style contemporain. Écran circulaire à bord du nouveau Countryman Dans la lignée de la Mini d'origine , aucun écran n'est placé derrière le volant. L'affichage tête haute permet au conducteur d'accéder aux données essentielles de conduite tout en complétant les informations de l' écran central Oled . Le tableau de bord est novateur avec des surfaces textiles recyclées et faciles à entretenir, tandis que les éléments de design sont disposés verticalement, y compris les aérateurs et les poignées de porte. Le toit ouvrant vitré inonde l'intérieur de lumière, et les sièges sport de série assurent un confort optimal. Avec un volume de coffre de 460 litres, l'arrière du véhicule offre un espace généreux pour les passagers et les bagages. L'écran circulaire nouvellement introduit est une pièce maîtresse de l'intérieur, intégrant diverses fonctionnalités. Avec un diamètre de 24 cm, il fonctionne avec le nouveau Mini Operating System 9 . Son interface rappelle celle des smartphones modernes , offrant une expérience utilisateur intuitive et hautement personnalisable, mêlant informations essentielles et divertissement. Toutes les fonctionnalités sont personnalisables et facilement accessibles, offrant une expérience immersive. Les nouveaux « Mono Experience Modes » ne se limitent pas aux modes de conduite ; ils transforment également l'ambiance intérieure en modifiant les couleurs et motifs du tableau de bord. La nouvelle « Toggle Bar » est un autre élément essentiel de l'intérieur. Elle permet un accès facile aux commandes de conduite principales, telles que le frein de stationnement et le sélecteur de vitesse, ainsi qu'au bouton de démarrage et au contrôle du volume média, le tout d'une simple pression. Cette conception innovante permet de se passer du traditionnel levier de vitesse. Le nouveau Countryman est équipé du Mini Intelligent Personal Assistant , activable par commande vocale , permettant un contrôle simplifié des fonctionnalités via un écran Oled , avec le choix d'avatar entre une Mini stylisée ou le bulldog Spike . Ce système repose sur le Mini Operating System 9. Pour son lancement au Maroc, le Mini Countryman est disponible dans sa version Cooper essence de 170 ch à partir de 363.000 DH, et en version Cooper S ALL4 de 218 ch à partir de 430.000 DH. Les versions John Cooper Works et la motorisation électrique seront annoncées ultérieurement dans le courant de l'année 2024.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : La Peugeot 208 restylée débarque au Maroc || subtitle : La nouvelle Peugeot 208 présente un design actualisé, des technologies innovantes et des motorisations essence et diesel. Les tarifs débutent à 159.900 DH pour la version essence et à 192.900 DH pour la version diesel. || body : Peugeot Maroc lance la toute dernière édition de son modèle phare, la 208. À l'instar des récentes versions actualisées des Renault Clio et Opel Corsa, la petite citadine de la marque au lion bénéficie d'un relooking. Depuis son lancement en 2019, cette citadine est devenue une référence incontestée au Maroc, remportant un vif succès sur le marché national. La nouvelle 208 restylée se dote d’un nouveau design et introduit la version GT, offrant ainsi une touche de nouveauté aux adeptes de la marque. Peugeot dévoile son projet E-Lion 2024 avec garantie étendue et ChatGPT intégré Le projet E-Lion 2024 de Peugeot inclut une gamme élargie de véhicules électriques et un programme de garantie spécifique pour les e-3008. De plus, la marque intègre la technologie ChatGPT dans tous ses modèles pour améliorer l’expérience client et s’engage dans des pratiques durables avec l’économie circulaire. La Peugeot 208 a été remaniée avec une nouvelle face avant comprenant une calandre enveloppante et des blocs optiques plus marqués. Les feux arrière présentent également un nouveau design, arborant des bandes de LED horizontales plutôt que verticales. De plus, on note l'apparition d'un nouveau logo Peugeot et d'une nouvelle typographie en gris basalte sur toute la largeur du hayon. Ce lifting inclut également deux nouvelles teintes de carrosserie : Selena Grey et Agueda Yellow. Pour ce qui est de la version supérieure GT, elle se distingue par ses passages de roues en noir brillant. Les modifications sur les flancs de la voiture sont moins frappantes. Bien que le nouveau logo Peugeot soit visible sur le moyeu des jantes, il ne figure pas sur les ailes avant, contrairement à ce qui a été fait pour la 508 restylée. Cela indique que la signature, pourtant présente sur les dernières 308 et 408, a été abandonnée précocement. Par ailleurs, de nouvelles jantes en alliage sont ajoutées au catalogue de la 208. Motorisations essence et diesel pour la nouvelle 208 À l'intérieur, la principale mise à jour concerne le nouveau système multimédia, qui est plus réactif et équipé d'un écran plus grand, similaire à celui intégré dans la nouvelle 308. Les différentes ambiances lumineuses de l'habitacle ont également été repensées. Sur les versions Allure et GT, la 208 est dotée d'une dalle numérique de 10 pouces et d'un affichage 3D sur la finition GT. En revanche, l'écran tactile central mesure désormais 10 pouces sur toutes les finitions, alors qu'il était de 7 pouces auparavant sur les deux premières versions. La nouvelle Peugeot 208 GT propose huit couleurs différentes, certaines étant inédites, pour répondre aux préférences des utilisateurs. Ces teintes s'harmonisent désormais avec celles de l'écran central tactile et peuvent même s'ajuster en fonction du mode de conduite sélectionné. De plus, de nouveaux tissus de sièges sont introduits, notamment une sellerie en Alcantara noir avec des surpiqûres Vert Adamite en option sur la version GT. En ce qui concerne les équipements, la citadine française bénéficie désormais de série du système Peugeot i-Connect. Selon la version, elle peut être équipée du chargement par induction du téléphone, de la caméra 360°, du régulateur de vitesse adaptatif, du freinage d’urgence automatique, de la reconnaissance étendue des panneaux de signalisation et de la surveillance de l’angle mort. Du côté des motorisations, Peugeot Maroc maintient une offre thermique comprenant des options essence et diesel. Un bloc essence 1.2 PureTech de 75 ch est proposé avec une boîte manuelle à 5 rapports, tandis qu'un bloc 1.5 litre de 100 ch est associé à une boîte manuelle à 6 rapports. Actuellement, la boîte automatique n'est pas disponible, bien que Peugeot Maroc ait proposé une boîte automatisée pour l'ancienne 208 deux ans après son lancement. En ce qui concerne les prix, la seule version essence disponible (entrée de gamme) est désormais proposée à un prix promotionnel de 169.900 DH, tandis que la même finition en diesel démarre à 192.900 DH. Caractéristiques techniques : Moteur : 1.2 PureTech (e) Cylindrée (cc) : 1.199 Puissance fiscale (cv) : ¬7 Puissance maxi (ch) : 75 Couple maxi (Nm) : 111 Boîte de vitesses : BVM5 Vitesse maxi (km/h) : 170 Accélération (0-100 km/h) : 10,4 (s) Consommation (l/100 km) (Urbaine/Rurale/Mixte) : 6,0/4,2/4,9 Finition Active (DH) : 159.900 Moteur : 1.5 BlueHDi (d) Cylindrée (cc) : 1.499 Puissance fiscale (cv) : ¬6 Puissance maxi (ch) : 100 Couple maxi (Nm) : 250 Boîte de vitesses : BVM6 Vitesse maxi (km/h) : 188 Accélération (0-100 km/h) : 10,2 (s) Consommation (l/100 km) (Urbaine/Rurale/Mixte) : 4,8/3,9/4,2 Finition Active (DH) : 192.900 Finition Allure (DH) : 214.900 Finition GT (DH) : 234.900 Equipements : Sur la finition Active ESP, Aide au démarrage en côte, Détection de sous-gonflage des pneus, Volant croûte de cuir avec emblème et commandes sur le volant, Lève-vitres électrique AV/AR avec système anti-pincement côté conducteur et côté passager, Air conditionné manuel, Projecteurs Peugeot LED Technology avec feux diurnes à LED 3 griffes, Régulateur et limiteur de vitesse, Ecran 10 pouces avec Bluetooth, MirrorScreen sans fil (Apple CarPlay/ Android Auto) et 1 prise USB type C, Jantes en alliage 16 pouces, Console basse avec frein de stationnement mécanique, Aide au stationnement arrière. En plus sur la finition Allure : Rétroviseur intérieur électrochrome, Rétroviseurs extérieurs dégivrants à réglage et rabattement électriques, Essuie-vitre avant à déclenchement automatique, Air conditionné automatique mono-zone, Ecran tactile couleur personnalisable 10 pouces, Mirror Screen sans fil Wifi, Peugeot i -Cockpit avec combiné tête haute 10 pouces numérique, Démarrage mains libres, Console haute avec accoudoir et frein de stationnement électrique, Vitres AR et lunette AR surteintée, Recharge smartphone sans fil (15 W), Aide au stationnement avant et arrière + Caméra numérique de recul. En plus sur la finition GT : Projecteurs Peugeot Full LED Technology avec feux diurnes à LED 3 griffes, Commutation automatique feux de route et feux de croisement, Feux arrière signature 3 griffes, stop, recul et indicateur de direction à LED, Sellerie tissu Belmoka, Jantes en alliage 17 pouces, Peugeot i-Cockpit 3D avec combiné tête haute 10 pouces numérique, Habitacle et ciel de pavillon Noir, Eclairage 8 couleurs (Liés aux modes de conduite), Toit panoramique Cielo avec velum intérieur mécanique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Fiat Maroc franchit le cap de l'électrification avec les nouvelles 600e La Prima et Topolino || subtitle : Fiat Maroc élargit sa gamme avec deux nouveaux modèles entièrement électriques. La Fiat 600e La Prima propose une autonomie allant jusqu'à 600 km en cycle urbain, tandis que la compacte Topolino, adaptée à la conduite urbaine avec une vitesse maximale de 45 km/h, offre une autonomie de 75 km et se recharge en moins de 4 heures sur une prise domestique. || body : Fiat Maroc fait un grand pas vers l' électrification en lançant deux nouveaux modèles électriques : la Fiat 600e La Prima et la Topolino . Cette initiative témoigne de l'engagement de la marque italienne à offrir des véhicules propres dans le Royaume. Présentés à Tanger devant les journalistes locaux, ces deux véhicules sont désormais disponibles à l'achat. En direct : Lancement officiel de la Fiat 600 au Maroc En direct : Lancement officiel de la Fiat 600 au Maroc. Selon Fiat, la nouvelle 600e La Prima est présentée comme une solution pour les citadins et les amateurs d'activités en plein air . Elle reflète les valeurs emblématiques de la marque, avec son style distinctivement italien et son engagement en faveur de l'environnement . D'autre part, la Topolino incarne également l'esprit de la mobilité urbaine à l'italienne , avec ses dimensions compactes de seulement 2,53 mètres de longueur, offrant ainsi une solution pratique pour une conduite aisée en milieu urbain. Cette dernière est disponible en deux versions, la Topolino «fermée» et la Topolino Dolcevita «ouverte» . Yves Peyrot des Gachons , directeur général de Stellantis Maroc souligne l’importance de cet événement majeur pour le secteur automobile marocain , déclarant : «En cette ère de préoccupation croissante pour la durabilité et de prise de conscience de l' impact environnemental du transport, l' industrie automobile mondiale évolue rapidement vers des véhicules plus propres. L' électromobilité devient progressivement la norme, et les consommateurs recherchent des alternatives respectueuses de l'environnement . Fiat Maroc répond à ces attentes en lançant simultanément deux modèles de véhicules électriques compacts et élégants, et répondant aux besoins des citadins marocains soucieux de l'environnement». La Fiat 600e La Prima : jusqu’à 600 km d’autonomie La Fiat 600e puise son inspiration dans la version de 1955 tout en injectant une touche de modernité propre au style italien. À l'extérieur, elle arbore une allure plus affirmée avec un capot plus marqué et une ligne frontale effilée, tout en conservant la courbure caractéristique à l'arrière. Bien que le moteur ne soit plus logé à l'arrière comme dans les années 50, le becquet noir accentue les lignes arrondies héritées de la famille 500, exprimant ainsi son dynamisme. À l'intérieur, la Fiat 600e La Prima rappelle fortement l'emblématique Fiat 500 , avec un tableau de bord fidèle à la forme arrondie et aux nuances de teintes caractéristiques. Le volant à deux branches conserve également le design original. Sur le plan technique, la 600e est équipée de batteries lithium-ion d'une capacité de 54 kWh, offrant une autonomie de 400 km en cycle WLTP et plus de 600 km en cycle urbain. Pour une recharge optimisée, la 600e La Prima est dotée d'un système de charge rapide de 100 kW, permettant une recharge de 20% à 80% en 27 minutes. De série, elle est également équipée d'un chargeur embarqué de 11 kW et d'un câble Mode 3 pour la recharge à domicil e ou sur les bornes publiques , garantissant une recharge complète en moins de 6 heures. Le moteur, d'une puissance de 115 kW (156 ch), assure une accélération de 0 à 100 km/h en 9 secondes. 75 km d’autonomie pour la Topolino La Fiat Topolino , petite sœur de la célèbre Fiat 500, tire son nom et son design de la version originale de 1936, surnommée affectueusement «Topolino» en raison de ses phares ronds caractéristiques rappelant les oreilles d'une célèbre souris de dessin animé. À l'intérieur, cette petite italienne offre une habitabilité remarquable grâce à ses deux sièges désaxés et à une grande surface vitrée qui amplifie la sensation d'espace. Les espaces de rangement astucieusement disposés, comme celui entre le conducteur et le passager, offrent un total de 63 litres de capacité, permettant même le logement d'une valise. Disponible en deux versions, fermée et ouverte, la gamme Topolino est équipée d'une batterie de 5,5 kWh offrant jusqu'à 75 km d'autonomie à une vitesse limitée de 45 km/h, avec une recharge complète en moins de quatre heures. Les deux véhicules sont déjà disponibles à la commande. La 600e La Prima est proposée à partir de 488.900 DH incluant une borne de recharge, 5 ans de garantie constructeur, 8 ans de garantie de la batterie électrique et une assurance offerte . La Topolino est proposée au prix de 115.900 DH pour les deux versions. Fiat 500e : leader européen des véhicules électriques En 2023, la Fiat 500e a maintenu sa position de leader sur le marché européen des citadines électriques pour la deuxième année consécutive. Avec plus de 185.000 unités vendues dans le monde depuis son lancement, elle a joué un rôle essentiel dans la transition vers la mobilité verte à l'échelle mondiale. La 500e est devenue la citadine électrique la plus vendue en Europe depuis 2022 et le véhicule électrique le plus populaire du groupe Stellantis. Enregistrant une part de marché de 14,7% dans le segment A+B BEV en Europe l'année dernière, elle a réalisé près de 65.000 ventes, la classant quatrième sur le marché total des BEV des 10 plus grands pays européens. Avec l'introduction de nouveaux modèles électriques comme la 600e et la Topolino, la famille Fiat 500e continue d'élargir son offre et de façonner l'avenir de l'électrification.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Automobile: Tesla rappelle plus de deux millions de voitures || subtitle : Le constructeur automobile américain de véhicules électriques Tesla a rappelé plus de 2 millions de voitures pour réparer un système censé garantir que les conducteurs soient attentifs lorsqu'ils utilisent le pilote automatique. || body : Des documents publiés mercredi par les régulateurs américains de la sécurité indiquent que la société va procéder à une mise à jour logicielle pour résoudre les problèmes. La mise à jour augmentera les avertissements et les alertes aux conducteurs et limitera aussi les régions dans lesquelles les versions de base du pilote automatique peuvent fonctionner. >> Lire aussi : Nissan rappelle plus d'un million de véhicules pour défauts de fabrication Le rappel intervient après une enquête de deux ans menée par la National Highway Traffic Safety Administration sur une série d'accidents survenus alors que le système de conduite partiellement automatisé Autopilot était utilisé. L'agence affirme que son enquête a révélé que la méthode utilisée par Autopilot pour garantir que les conducteurs soient attentifs peut être inadéquate et conduire à une mauvaise utilisation du système. Le rappel couvre les modèles Testla Y, S, 3 et X produits entre le 5 octobre 2012 et le 7 décembre dernier.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Volkswagen lance un nouveau système d’ouverture de porte sécurisée || subtitle : Le nouveau système d’assistance du constructeur allemand Volkswagen avertit le conducteur et les passagers que des usagers de la route s’approchent du véhicule à l’arrêt, en venant de l’arrière. || body : Geste anodin que l’on peut répéter plusieurs fois par jour, l’ouverture de porte peut s’avérer parfois dangereuse si l’on ne fait pas très attention. Surtout vis-à-vis des motards et cyclistes qui arrivent à toute vitesse à proximité de votre véhicule. C’est pour cette raison que certains constructeurs se sont attelés à développer des systèmes pour éviter les accidents au moment de l’ ouverture des portes par les passagers d’une voiture, à l’instar de Volkswagen qui a inventé un système d’ouverture de porte sécurisée qui permet d’éviter les situations dangereuses lors de la sortie du véhicule en environnement urbain. NamX : Faouzi Annajah annonce des changements à son HUV Du nouveau pour le NamX Hydrogen Utility Vehicle (HUV). L’entreprise, fondée par Faouzi Annajah, annonce avoir choisi le moteur à combustion interne (ICE) pour équiper le HUV. Le design du véhicule a également été amélioré en collaboration avec l'icône du design automobile italien Pininfarina. Le nouveau système d’assistance du constructeur allemand avertit le conducteur et les passagers que des usagers de la route s’approchent du véhicule à l’arrêt, en venant de l’arrière. Ainsi, dans les limites du système, l’assistant peut détecter les cyclistes qui comptent parmi les usagers de la route les plus vulnérables. Outre les portières côté conducteur et côté passager avant, le système d’ouverture sécurisée protège également les portières arrière. La nouvelle ID.7 , la nouvelle Passat et le nouveau Tiguan sont équipés de série de ce système d’assistance. Sur la Golf , l’ ID.4 et l’ ID.5 , le système est disponible en option, sous une forme spécifique sur le plan technique. La nouvelle ID.7 est équipée de la dernière évolution du système d’ouverture de porte sécurisée. Ce système scanne la zone située derrière le véhicule à l’arrêt à l’aide de deux capteurs radar arrière (à gauche et à droite au niveau du parechoc) et informe les passagers d’un danger avant même que ne soit actionnée une poignée de porte. Si un usager de la route s’approche, une LED s’allume automatiquement dans le rétroviseur extérieur en guise de premier niveau d’avertissement. Si l’un des dispositifs d’ouverture de porte est néanmoins actionné, l’ouverture de la porte est empêchée pendant un court laps de temps. Si la porte est ouverte, un signal d’avertissement retentit. En outre, le système d’assistance reste actif pendant trois minutes après le stationnement de la voiture, l’arrêt du moteur et la coupure de l’alimentation de bord, afin de couvrir la sortie du véhicule de tous les passagers. Le système d’ouverture de porte sécurisée de la nouvelle Passat et du nouveau Tiguan fonctionne de la même manière que celui de l’ID.7 : le système allume la LED du rétroviseur extérieur concerné pour informer les occupants du véhicule qu’un usager de la route s’approche par l’arrière, avant même que la poignée de la porte ne soit actionnée. Si une poignée de porte est néanmoins actionnée, l’avertissement sonore retentit par l’intermédiaire d’un haut-parleur situé dans la portière. Comme ces deux modèles sont équipés de serrures mécaniques, la fonction supplémentaire de retard à l’ouverture des portes de l’ID.7 n’est pas disponible. Le système de temporisation fonctionne avec les verrouillages électriques. Le système d’ouverture de porte sécurisée est disponible en option sur les modèles ID.4 et ID.5. Il fonctionne pratiquement de la même manière que sur l’ID.7. Seule exception : la lumière LED dans le rétroviseur extérieur n’est activée en cas de danger que lorsque les passagers actionnent l’une des poignées de porte. Les autres niveaux d’avertissement, le signal sonore dans la portière concernée et la temporisation à l’ouverture électronique sont identiques à ceux de l’ID.7. La Golf actuelle fut le premier modèle Volkswagen à être équipée du système d’ouverture de porte sécurisée. Le système fonctionne de la même manière que sur les modèles ID.4 et ID.5. Comme les modèles Passat et Tiguan construits à partir de la plateforme modulaire transversale MQB, la Golf est équipée d’un verrouillage mécanique des portes, ce qui signifie que la fonction supplémentaire de temporisation à l’ouverture des portes n’est pas disponible.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Automobile : le design intérieur du NamX HUV dévoilé || subtitle : Après 16 mois de travail intense, le design intérieur du NamX HUV (Hydrogen Utility Vehicle) avec zéro émission carbone a été dévoilé mardi. Ce projet porté par Faouzi Annajah a fait l'objet d'un appel au vote en ligne pour choisir le modèle qui sera prochainement commercialisé. || body : "16 mois de travail intense entre la première esquisse et cette étape importante de design intérieur . Plus de 11.000 heures de travail cumulées... Je suis profondément fier des créateurs marocains pour leur travail exceptionnel, et de Thomas De Lussac pour son rôle de chef d'orchestre", a écrit l'entrepreneur marocain sur le tout dernier post révélation du NamX HUV . >> Lire aussi : Automobile : appel au vote public pour choisir le design du NamX HUV Pour Faouzi Annajah , il ne s'agit pas "seulement de design", mais aussi d'ingénierie, afin que ce modèle puisse être produit en série : "Merci encore une fois au vote du public, qui nous a aidé à faire notre (bon) choix final ! Nous avons hâte de vous voir bientôt à bord du NamX HUV ", a-t-il conclu.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Le Ford Kuga bénéficie d’une mise à jour pour 2024 || subtitle : Le Ford Kuga restylé se voit modernisé tant sur le plan esthétique que technologique. Les améliorations comprennent l’introduction d’une version Active X, des mises à niveau du système d’info-divertissement Sync 4 et des améliorations au groupe hybride rechargeable pour une performance accrue et une autonomie prolongée. || body : Ford a récemment dévoilé le Kuga restylé, la version européenne de l’Escape. Cette nouvelle génération, lancée en 2019, a bénéficié d’un remaniement visant à intégrer davantage de technologies et de systèmes d’aide à la conduite, tout en rafraîchissant son esthétique. Alors qu’il vient tout juste d’être introduit sur le marché européen, le Kuga restylé avait déjà fait ses débuts aux États-Unis en octobre 2022, où il est commercialisé sous le nom d’Escape. >>Lire aussi : Le nouveau Ford E-Tourneo Courier dévoilé avant sa sortie en 2024 Ford annonce désormais la gamme et les prix, avec un tarif d’entrée fixé à 39.490 euros. Le Kuga restylé a subi des évolutions notables à la fois à l’intérieur et à l’extérieur, bénéficiant ainsi d’un design revigoré. Chacune des quatre finitions disponibles se distingue par des caractéristiques de design uniques, offrant ainsi des personnalités distinctes. Une bande lumineuse à LED parcourt désormais toute la largeur de la calandre, mettant en valeur l’emblématique ovale bleu Ford. À l’arrière, les feux à LED ont été légèrement actualisés, apportant ainsi une touche de modernité à l’ensemble. La finition haut de gamme Vignale est remplacée par la version Active X, offrant un caractère plus aventurier au Kuga. Dans cette configuration, le véhicule bénéficie d’éléments de design spécifiques, tels que des barres de calandre verticales en noir brillant et une plaque de protection à l’avant, ainsi que d’une hauteur de caisse surélevée (+100 mm à l’avant et +5 mm à l’arrière). Nouvelles technologies à bord du Ford Kuga 2024 À l’intérieur, le Kuga restylé est équipé du dernier système d’info-divertissement Sync 4 de Ford, qui bénéficie d’une puissance de calcul deux fois supérieure à son prédécesseur. Selon la marque, ce système offre une connectivité 5G pour un accès rapide aux informations, une navigation connectée au cloud pour anticiper les embouteillages, ainsi qu’une intégration sans fil d’Apple CarPlay et d’Android Auto pour un accès pratique aux applications et données essentielles. De plus, la fonctionnalité Alexa Built-in est désormais de série, permettant aux conducteurs et passagers d’interagir facilement, même sans smartphone connecté. Sync 4 facilite également l’optimisation de la capacité de remorquage du nouveau Kuga, grâce à la Trailer Connection Checklist qui garantit des attelages sûrs et sécurisés. De plus, la fonction Trailer Tow Navigation permet aux conducteurs d’entrer les dimensions de leur véhicule et de leur remorque, permettant ainsi au système Sync 4 de sélectionner un itinéraire évitant les virages serrés, les ponts bas et autres obstacles potentiels. Le nouveau Kuga offre des technologies avancées pour une conduite optimale, incluant un régulateur de vitesse adaptatif et un système de caméra à 360 degrés. En matière d’éclairage, les phares à LED sont de série, tandis que les phares Dynamic Pixel LED en option améliorent la lecture des panneaux de signalisation. Selon Ford, la fabrication précise à l’usine de Valence, en Espagne, assure des normes de qualité élevées grâce à l’impression 3D et à l’intelligence artificielle. Ford Kuga : groupe hybride rechargeable amélioré Le point fort du nouveau Kuga réside dans son hybride rechargeable amélioré, équipé d’un moteur de 2.5 litres qui développe désormais une puissance combinée de 240 ch, soit 30 ch de plus que l’Escape PHEV. Avec une transmission automatique à répartition de puissance améliorée partagée avec le Kuga Hybrid AWD, le Kuga PHEV atteint maintenant 100 km/h en 7,3 secondes, soit près de deux secondes plus rapidement qu’auparavant. De plus, sa capacité de remorquage a augmenté de plus de 30%, atteignant désormais 2.100 kg. Grâce à sa batterie lithium-ion de 14,4 kWh, il offre une autonomie électrique maximale de 69 km dans le cycle WLTP. Les conducteurs peuvent recharger leur véhicule à domicile ou en public. Pour ceux sans cette possibilité, selon Ford, le Kuga hybride propose jusqu’à 900 km d’autonomie avec un seul plein de carburant, dont jusqu’à 64% de conduite en mode 100% électrique en ville. À noter que le Kuga Hybride rechargeable a été le PHEV le plus vendu en Europe en 2021 et 2022, selon les données de JATO Dynamics et IHS Markit.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur automobile [INST] Rédiger un article de presse sur le thème automobile [/INST] title : Comparatif Auto : Chery Tiggo 2 Pro et Geely GX3 Pro, égalité à l’issue du duel || subtitle : Ce face-à-face entre les deux crossovers chinois se conclut par une égalité, chacun offrant des avantages distincts. Le Tiggo 2 Pro séduit par sa face avant moderne et son espace intérieur généreux, tandis que le Geely GX3 Pro brille par ses équipements embarqués et une conduite plus fluide. || body : Avec l’inflation et les crises économiques en cours, la recherche de véhicules abordables à 150.000 DH devient un défi. Au Maroc actuellement, ce budget limite généralement les choix aux micro-citadines ou aux citadines d’entrée de gamme. Cependant, des alternatives sous forme de crossovers chinois sont maintenant disponibles, débutant à 150.000 DH. Ayant déjà testé les Chery Tiggo 2 Pro et Geely GX3 Pro via nos essais du «Matin Auto», nous avons procédé à une comparaison détaillée pour déterminer le vainqueur de ce duel entre crossovers. «Le Matin Auto» au volant du Geely GX3 Pro 1.5 TD Premium Le Geely GX3 Pro, proposé à partir de 159.900 DH, se démarque en tant que crossover compact, représentant le plus petit véhicule de la gamme actuelle de Geely au Maroc. Avec son design simple, des équipements dans la bonne moyenne de la catégorie et une conduite pratique en ville, le crossover chinois constitue une option séduisante pour les conducteurs urbains En ce qui concerne le design extérieur, la première impression est que le Tiggo 2 Pro semble plus imposant, et cela se confirme avec ses 4,20 mètres de longueur, comparé aux 4,05 mètres du GX3 Pro . Sur le plan de la conception, le Tiggo 2 Pro emprunte une face avant légèrement inspirée de son grand frère, le Tiggo 7 Pro , un modèle plus récent, avec une calandre similaire et une allure robuste au niveau du bouclier avant. Les optiques, étirées à la manière d’un Hyundai Kona, le distinguent toutefois du Tiggo 7 Pro. Cependant, son profil et sa face arrière semblent provenir de l’ancienne génération, affichant des feux au style quelque peu dépassé. Bien qu’il ait été lancé en Chine en 2017 sous un autre nom, le GX3 Pro arbore un design qui, bien que toujours moderne, se distingue de la dernière gamme actuelle de Geely . Ses lignes sont moins audacieuses, avec des angles moins prononcés. La face avant du GX3 Pro, avec des phares en forme pointue et une calandre dépassant par le haut des phares, n’est pas le meilleur exemple du design produit par Geely. Le pare-chocs arbore un style robuste avec des côtés carrés et le profil ainsi que l’arrière affichent un design légèrement démodé. Les deux crossovers adoptent un design quelque peu décalé par rapport à la gamme habituelle de leur marque, mais l’avantage semble revenir au Tiggo 2 Pro, avec sa taille plus imposante et sa face avant inspirée des modèles plus récents. >> Lire aussi : «Le Matin Auto» au volant du Chery Tiggo 2 Pro 1.5 Dynamic Design intérieur : match nul entre le Tiggo 2 Pro et le GX3 Pro En explorant l’intérieur du Tiggo 2 Pro , on remarque une planche de bord centrée sur le conducteur, mettant en avant des matériaux doux au toucher et une barre en cuir en forme de D, renforçant la sensation de qualité à bord. Bien que les matériaux utilisés et les textures créent une impression de conduite luxueuse, le noir piano, utilisé fréquemment, tend malheureusement à mal vieillir. En termes d’habitabilité, le Tiggo 2 Pro offre un espace généreux à l’avant et à l’arrière, avec un coffre spacieux de 420 litres. En revanche, le GX3 Pro privilégie des surfaces lisses et des lignes droites, créant une impression d’espace à l’intérieur. Son écran tactile bien positionné au centre est facilement accessible. Cependant, ce dernier utilise davantage de plastiques durs par rapport au Tiggo 2 Pro, et l’espace à l’arrière est légèrement plus restreint, avec un coffre offrant 20 litres de moins que celui du Tiggo 2 Pro. En ce qui concerne les équipements, les deux crossovers sont dotés de l’aide au démarrage en côte, du régulateur de vitesse, de l’aide au stationnement, de la caméra de recul et de la connectivité Android Auto et Apple CarPlay. Le Tiggo 2 Pro se distingue avec son écran tactile de 9 pouces (contre 8 pouces pour le GX3 Pro), ses antibrouillards et ses 4 airbags (2 pour le GX3 Pro). En revanche, le GX3 Pro propose des modes de conduite, un détecteur de sous-gonflage des pneus, des sièges en cuir et un toit ouvrant panoramique. En résumé, sur le plan de l’intérieur, le Tiggo 2 Pro offre plus d’espace et un coffre plus grand, tandis que le GX3 Pro propose une dotation technologique plus riche. Ainsi, les deux crossovers présentent des avantages distincts, rendant le match relativement équilibré selon les préférences individuelles. Le Geely GX3 Pro remporte la partie conduite Les deux crossovers sont propulsés par un moteur essence de 1.5 litre, développant 109 ch pour le Tiggo 2 Pro et 103 ch pour le GX3 Pro . Notre comparaison s’est concentrée sur les versions équipées d’une boîte de vitesses automatique. Un élément notable dès le départ concerne les boîtes de vitesses automatiques à variation continue (BVA CVT). Nous avons observé sur le Tiggo 2 Pro un léger décalage entre l’appui sur la pédale d’accélérateur et la réponse du moteur, avec un bref temps d’attente. En revanche, le GX3 Pro se démarque par une réponse plus fluide, offrant une puissance rapide dès l’appui sur la pédale d’accélérateur. Un autre aspect remarquable, spécifique au GX3 Pro, concerne son niveau de suspension appréciable. Malgré ces nuances, les deux véhicules présentent une position de conduite agréable, une direction précise et une facilité de conduite en milieu urbain et extra-urbain. L’avantage en termes de conduite et de comportement routier semble pencher en faveur du GX3 Pro.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Une nouvelle approche de la richesse || subtitle : None || body : Par Faouzi Skali De nombreux penseurs se sont interrogés, dans nos contrées, sur le rapport qu’il nous appartenait d’entretenir avec notre patrimoine culturel et spirituel. Celui-ci constituant de fait le socle de valeurs et d’un imaginaire collectifs. Différentes attitudes peuvent exister. Pour certains, une société est dans un progrès continu et doit pour cela savoir se délester du poids de son passé. Une attitude que l’on appelle communément «progressiste». Pour d’autres, il n’y a d’avenir que dans le passé. Il est le seul garant d’une identité pérenne à travers le temps et l’histoire. Une identité qui serait d’abord religieuse. Une telle approche considère que le modèle par excellence de société, qu’il faut s’atteler à reconstituer, se situe derrière nous. Dans le monde de l’Islam, ce courant de pensée a produit ce qu’il est convenu d’appeler le salafisme (en référence aux salaf, les «prédécesseurs»), aussi bien dans sa modalité intellectuelle et érudite, comme chez Muhammed ‘Abduh et Jamâl ed Dîn al ‘Afghânî, que dans ses mouvances politico-religieuses. Une autre forme parallèle du salafisme est constituée par le mouvement wahhabite, fondé par Muhammed Ibn ‘Abd al Wâhhab (m. 1792). Mais pour les uns et les autres, ce passé peut être plus ou moins lointain. Dans une perspective strictement religieuse, il est constitué exclusivement du premier modèle de la société prophétique. Pour d’autres, il peut se situer à l’âge d’or de l’Islam tel qu’il a pu s’exprimer à l’époque Abbasside ou en Andalousie médiévale. Il a donné alors lieu à une forme de nostalgie, ou même de désespérance, d’une puissance, à la fois intellectuelle et matérielle, maintenant perdue. Mais certains le considèrent aussi comme porteur de promesses par le fait que ce qui a pu exister auparavant peut également se reproduire, pour autant que certaines conditions soient réunies. Plusieurs des débats philosophiques qui tournent autour de ces questions cherchent à définir ce que doit être la place de la rationalité dans la culture de l’Islam ou du monde arabe (al ‘aql al ‘arabî, chez Mohamed Abed Al Jabri par exemple) et la façon dont une approche rationnelle peut émanciper du poids des traditions patrimoniales. Deux approches se sont constituées, l’une faisant la promotion de la raison, y compris dans le domaine religieux (faisant revivre par là un néo-mu’tazilisme, théologie rationaliste développée à partir du huitième siècle, et l’autre se basant sur une idéologie principalement religieuse. Les idéologues du «retour» vers le passé se réfèrent à un hadîth souvent évoqué selon lequel : «La meilleure des périodes est la mienne puis celles qui les suivent et celles qui les suivent...» Ce hadîth est souvent interprété dans le sens où, en raison du déclin spirituel progressif qu’il indique, il suffit en quelque sorte de revenir mentalement, et par un processus d’imitation, à la période fondatrice pour tâcher de réagir à ce dernier. Cette attitude est idéologique dans le sens où elle ne tient pas compte de la réalité de l’histoire et de ses contraintes particulières. C’est donc une telle approche que les progressistes vont chercher à dépasser et qu’ils considèrent comme un frein à toute évolution sociale, celle-ci ne pouvant s’inscrire que dans cette réalité. Et ceci d’autant plus que cette pensée idéologico-religieuse va se référer à d’autres hadîths qu’elle réinterprète à sa façon et qui ont créé des situations sociales particulièrement troublées, voire dramatiques, depuis plusieurs décennies. Tel le hadîth (dont en réalité il y a 9 versions) selon lequel la communauté de l’Islam se divisera en 73 groupes dont un seul sera sauvé. Des érudits illustres comme Abd al Halîm Mahmûd (m. 1978) font valoir l’une de ces 9 versions dont le texte est exactement à l’inverse de la première, ce qui viserait alors plutôt à construire une solidarité et une émulation spirituelle et sociale. Mais c’est pourtant à la première version que ces mouvements s’en tiennent, entraînant les attitudes d’exclusions et de sectarisme que l’on connaît. Aujourd’hui il serait temps de sortir de cette double attitude négative vis-à-vis du patrimoine dont le sens et la richesse doivent s’inscrire dans l’histoire, celle de chaque époque, de chaque culture, de chaque communauté. Nous devons développer une approche pédagogique et une réflexion philosophique qui nous permettent de puiser dans les sagesses du passé ce qui peut nous nourrir aujourd’hui et élever notre humanité. Les faire venir dans notre présent, et non pas l’inverse, pour nous interroger sur la manière dont celles-ci peuvent nourrir notre époque et nous apprendre à vivre et à mieux vivre. Des clés pédagogiques doivent être mises en œuvre pour explorer ces trésors fabuleux de notre histoire et de notre mémoire. En sachant faire la part de leur pertinence et de leur utilité. Elles vont alors entrer dans cette prise en compte qui deviendra de plus en plus fondamentale, à l’avenir, des dimensions et richesses immatérielles dans toute approche globale du développement humain, et plus largement aussi de notre humanité. Si l’héritage historique a toute sa place et importance, il ne peut constituer un modèle formel en soi, car nul ne peut remonter le temps. Le retour dont il pourra alors s’agir est non pas horizontal et historique, mais vertical et spirituel, à même de nourrir notre époque, notre intelligence et notre créativité. Un modèle qui n’est pas antinomique à une construction positive de l’avenir, mais au contraire l’irrigue et l’enrichit.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Nouvel an Amazigh : le renouveau de l’amazighité dans l’esprit de la Constitution (Tribune) || subtitle : Pour Rachid Raha, président de la Fondation David M. Hart des études amazighes et de l’Assemblée mondiale amazighe, la reconnaissance du Nouvel An Amazigh comme fête nationale officielle et journée fériée payée est d’une symbolique très profonde qui consacre et rétablit le renouveau de l’amazighité, conformément à l’esprit et à la philosophie de la Constitution et en harmonie avec les discours du Chef de l’État, Sa Majesté le Roi Mohammed VI. || body : Par Rachid Raha, président de la Fondation David M. Hart des études amazighes et de l’Assemblée mondiale amazighe Du Roi pharaonique Sheshonq au Roi Mohammed VI : le Maroc se réconcilie avec son histoire plurimillénaire par l’instauration des festivités officielles de la nouvelle année amazighe 2974 Le Royaume du Maroc et son peuple, à travers ses diverses institutions, sa société civile aux quatre coins du pays et à travers sa diaspora euro-américaine, célèbre de manière officielle et pour la première fois de son histoire, le Nouvel An amazigh 2974, à la suite de la sage Décision Royale annoncée le 3 mai dernier et à travers laquelle Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a instauré le Jour de l’An amazigh comme jour férié national officiel payé. Adoption du Jour de l’An amazigh comme jour férié : l'expression d'un Maroc attaché à son identité plurielle Ce dimanche 14 janvier, les Marocains célèbrent pour la première fois le Nouvel An amazigh en tant que jour férié et payé, au même titre que le premier Moharram de l’année hégirienne et le Jour de l’An dans le calendrier grégorien. Une célébration qui se fait grâce à la décision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI d’instituer cette fête nationale officielle, en donnant Ses Hautes Instructions au Chef du gouvernement pour prendre les mesures nécessaires à la mise en œuvre de cette Haute Décision Royale. Le Souverain a en effet donné ses Hautes Instructions au Chef du gouvernement pour prendre les dispositions nécessaires en vue de mettre en œuvre cette historique décision, tout en mettant l’accent sur la place de «l’Amazigh en tant que composante essentielle de l’identité marocaine authentique, riche par la pluralité de ses affluents, et patrimoine commun à tous les Marocains sans exception». Déjà, à l’occasion de la célébration de l’anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, le 20 août 2021, Sa Majesté le Roi avait rappelé à juste titre que : «Le Maroc est visé du fait qu’il est un État pleinement constitué depuis plus de douze siècles, outre une longue histoire amazighe, et que depuis plus de quatre siècles, il est gouverné par une monarchie citoyenne, présidant à la destinée du pays et la façonnant dans une symbiose totale entre le Trône et le peuple». Tant attendue, cette reconnaissance explicite et officielle du calendrier amazigh, revendiquée et défendue de longue date par les militants du Mouvement amazigh, à côté des calendriers religieux musulman et chrétien, constitue en fin de compte une authentique réconciliation de toutes les citoyennes et tous les citoyens marocains avec leur profonde et multimillénaire histoire. De ce fait, les autorités gouvernementales chargées de l’Éducation sont appelées, plus que jamais, à réviser sérieusement le contenu parfois approximatif des manuels pédagogiques et scolaires en ce qui concerne la discipline, la plus attractive, qui est celle de la «mémoire collective», la mémoire de notre nation. Ainsi, cette louable Décision Royale consistant à reconnaître officiellement le calendrier amazigh, que nous célébrons avec une joie populaire générale, nous oblige à revoir notre Histoire, et celle de toute l’Afrique du Nord, en remontant plus loin que les 12 derniers siècles de régnes des dynasties musulmanes et en allant au-delà des quatre siècles de présence des civilisations romaine et phénicienne. Il s’agit de revisiter notre glorieuse histoire à travers nos valeureux royaumes maures qui ont édifié de superbes centres urbains maritimes, et en s’aventurant au sein des différentes périodes paléolithiques de notre si riche et étendue préhistoire, qui remonterait à l’homo erectus de «l’Homme de Sidi Abderrahmane» de Casablanca, et en passant à l’homo sapiens de «l’Homme d’Adrar ighud», qui constitue pour le moment l’aïeul de toute l’humanité, depuis 315.000 ans [1]. De fait, cette reconnaissance du calendrier amazigh fait suite au Discours du Trône de 2001 qui avait reconnu l’amazighité du Maroc, à la consécration de l’amazigh en tant que langue officielle dans la Constitution de 2011 et à la promulgation des lois réglementaires relatives à l’activation du caractère officiel de l’amazigh en 2019, dans l’optique du respect de la Constitution du Royaume qui reconnaît tous les éléments de l’histoire collective et de l’identité plurielle du Maroc, constituée de multiples affluents culturels. Cependant, quelle est l’origine du calendrier amazigh ? Ce dimanche 14 janvier 2024 correspond au premier Yennayer de l’année amazighe 2974 au Maroc (le 12 en Algérie et le 13 en Libye et Tunisie...), et cette date commémore, en quelque sorte, le règne des troupes amazighes, dirigées par le roi Sheshonq Ier, se désignant comme pharaon de la XXII dynastie d’Égypte en l’an 950 avant J.C., proposé par l’Académie Berbère de Paris dans les années quatre-vingt. Ce calendrier, qui est, avant tout, une commémoration du calendrier agricole, était célébré depuis longtemps et avant le règne de la dynastie des Sheshonq en Égypte et au Proche-Orient, y compris en Palestine. Il va sans dire que l’organisation du temps était une nécessité humaine depuis la préhistoire, et plus particulièrement depuis le néolithique et la découverte par l’homme de l’agriculture et sa diffusion du Proche-Orient vers l’Afrique du Nord (Tamazgha) et vers l’Europe. Ainsi, l’organisation sociale de l’économie agricole et animale en dépendait, en fonction des cycles et périodes. À la différence du calendrier religieux des musulmans qui est lunaire, le calendrier amazigh est un calendrier fondamentalement solaire et est utilisé en Afrique septentrionale dans le but de réguler bien des travaux agricoles selon les quatre saisons de l’année : automne, hiver, printemps et été. De ce fait, l’observation du ciel, du soleil et des corps astronomiques a toujours suscité un intérêt très particulier depuis la préhistoire. Une récente étude archéologique [2] – ayant connu la participation de notre distingué chercheur espagnol Antonio Arnaiz Villena, aux côtés de chercheurs canariens – soutient que l’origine des civilisations pharaonique, des empires du pourtour méditerranéen, du peuple ibérique et des Guanches des Îles Canaries, sont tous d’origine amazigh du Grand Sahara. Elles puisent leurs origines de cet immense désert qui va du Sahara occidental marocain jusqu’au Sahara oriental libyen. Cette recherche révèle que nos aïeux, nos grands-parents néolithiques, sont arrivés à organiser leur vie sociale et agricole selon les saisons et les mois du calendrier solaire. Comme en témoigne cette extraordinaire découverte de pétroglyphes dans la région de Tiwrare (village rural d’Ida Oukazzou) à environ 100 km au nord d’Agadir, du côté ouest du Haut Atlas, dans la province d’Essaouira [3]. Et avec le temps, nos grands-parents ont commencé à fêter ce nouvel an agraire comme une façon de commencer les labours, à s’atteler à cette relation intime avec leur terre nourricière et la pluie féconde du dieu «Anzar» (de la pluie). C’était, selon les mythes et les légendes, une forme pour achever et en finir avec une période dure et obscure (fermer «tiwara tibarkanin» : fermer les portes obscures !) et se lancer dans une nouvelle période où ils demandaient aux forces surnaturelles et aux dieux, dont le Soleil, de leur ouvrir une nouvelle période blanche et prospère (ouvrir «iwara timalalin» : ouvrir les portes blanches et de bonheur !). Et ils le faisaient en famille en consommant les restes alimentaires de l’année écoulée, des fruits secs et du couscous ! En définitif, la reconnaissance du Nouvel An amazigh comme fête nationale officielle et journée fériée payée est d’une symbolique très profonde qui consacre et rétablit le renouveau de l’amazighité, conformément à l’esprit et à la philosophie de la Constitution et en harmonie avec les Discours du Chef de l’État, Sa Majesté le Roi Mohammed VI. In fine, nous sommes honorés d’adresser nos plus chaleureuses félicitations et nos meilleurs vœux à Sa Majesté, au peuple marocain et à tous les peuples de Tamazgha à l’occasion de cette «nouvelle année amazighe 2974». Notes : [1]- https://amadalamazigh.press.ma/pdf/Origines.pdf [2]- https://www.ajol.info/index.php/ijma/article/view/259892 [3]-academia.edu/38085765/the_discovery_of_mysterious_petroglyphs_suggests_that_a_meteor_has_been_observed_in_ancient_times _in_morocco_THE_DISCOVERY_OF_MYSTERIOUS_PETROGLYPHS_SUGGESTS_THAT_A_METEOR_HAS_BEEN _OBSERVED_IN_ANCIENT_TIMES_IN_MOROCCO</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Pedro Sanchez : Le Mondial 2030 sera un "grand succès" || subtitle : La Coupe du Monde 2030, dont le dossier Maroc-Espagne-Portugal a été retenu par le Conseil de la FIFA comme candidature unique pour son organisation, sera un «grand succès», a affirmé, lundi à Madrid, le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez. || body : «La Coupe du monde 2030 sera un grand succès parce que nous sommes trois nations, le Portugal , l' Espagne et le Maroc , qui aiment le football en tant que sociétés», a souligné le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez lors d’un point de presse conjoint avec le premier ministre portugais, Luis Montenegro . Mondial 2030 : le Maroc, l’Espagne et le Portugal veulent en mettre plein les yeux au monde Les contours du dossier de candidature conjoint pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 ont été dévoilés mardi lors d’une cérémonie organisée à Lisbonne. En plus de l’identité visuelle et du slogan «Yalla Vamos 2030», le Maroc, l’Espagne et le Portugal se sont engagés à organiser la meilleure Coupe du monde de l’histoire et qui aura un impact intemporel. «Nous avons une longue histoire éprouvée dans l'organisation d'événements sportifs, ce qui démontre notre capacité d'organisation que peu de pays dans le monde ont», a encore soutenu le chef du gouvernement espagnol . «Je suis sûr que la Coupe du monde sera un grand succès organisationnel avec un pays ami comme le Maroc», a-t-il insisté. Pour sa part, M. Montenegro a réitéré le «plein engagement» des trois pays pour garantir le succès de cet événement planétaire. «Nous mettrons tous nos efforts et notre dévouement au service de l'organisation de la Coupe du monde 2030 », a affirmé le responsable portugais, relevant que le Portugal , l’ Espagne et le Maroc sont «convaincus de l'importance de cet événement, non seulement d'un point de vue sportif, mais aussi d'un point de vue économique, culturel et d'opportunités». «Ce sera l'occasion de montrer au monde les valeurs que nous défendons au Portugal, en Espagne et au Maroc», a-t-il assuré.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La leçon de Cordoue || subtitle : Dans l’histoire occidentale depuis le XIVe siècle (mais surtout depuis les XVIIIe et XIXe siècles), l’humanisme correspond à un mouvement de pensée dont le but était de s’émanciper des ordres transcendants de la religion et du sacré. Il est d’une certaine façon l’aboutissement d’une société de plus en plus despiritualisée où la raison pense se libérer de sa source et se suffire à elle-même. Ce mouvement aboutit à l’impasse que l’on connaît. Peut-on aujourd’hui repenser la renaissance d’une pensée d’une inspiration akbarienne (d’Ibn Arabî) et finalement d’une nouvelle forme de civilisation qui nourrirait, sans l’entraver ni s’y substituer, la raison de sa source spirituelle ? || body : Par Faouzi Skali Vers 1180 se situe à Cordoue une rencontre devenue célèbre depuis que Ibn Arabî, le grand maître andalou du soufisme, en a rendu compte dans son œuvre maîtresse : «al futûhât al Makkiya» (Les illuminations mecqoises). Le père d’Ibn Arabî demanda à son fils, qui était à l’orée de l’adolescence  , de visiter à Cordoue  son ami Ibn Rushd (Averroës), alors philosophe et principal commentateur d’Aristote, largement connu et reconnu. Voilà comment Ibn Arabî rapporte cette rencontre qui reste pour une bonne part énigmatique : «Je me rendis donc un beau jour, à Cordoue, à la maison d’Abû’l Wâlid Ibn Rushd (Averroës). Il avait exprimé le désir de me rencontrer personnellement, parce qu’il avait entendu parler des révélations que Dieu m’avait accordées au cours de ma retraite spirituelle, et il n’avait pas caché son étonnement devant ce qu’on lui avait appris. C’est pourquoi mon père, qui était un de ses amis intimes, m’envoya un jour chez lui sous prétexte d’une commission quelconque, en réalité pour permettre à Averroës d’avoir un entretien avec moi. J’étais encore à cette époque un adolescent imberbe. À mon entrée, le philosophe se leva de sa place, vint à ma rencontre en me prodiguant les  marques démonstratives d’amitié et de considération, et finalement m’embrassa. Puis il me dit : “Oui” . Et moi à mon tour je lui dis : “ Oui” . Alors sa joie s’accrut de constater que je l’avais compris. Mais ensuite, prenant moi-même conscience de ce qui avait provoqué sa joie, j’ajoutais : “Non” . Aussitôt Averroës se contracta, la couleur de ses traits s’altéra, il semblait douter de ce qu’il pensait. Il me posa cette question : “ Quelle sorte de solution as-tu trouvée par l’illumination et l’inspiration divine ? Est-ce identique à ce que nous dispense à nous la réflexion spéculative ? ” Je lui répondis : “ Oui et non... ”» Je saute ici un passage encore plus énigmatique pour passer au paragraphe suivant : « Plus tard, après notre entrevue, il interrogea mon père à mon sujet, afin de confronter l’opinion qu’il s’était faite de moi, et de savoir si elle coïncidait avec celle de mon père ou au contraire en différait. C’est qu’Averroës était un grand maître en réflexion et méditation philosophique. Il rendit grâce à Dieu, me dit-on, de l’avoir fait vivre en un temps où il put voir quelqu’un qui était entré ignorant dans la retraite spirituelle, et qui en était sorti tel que j’en étais sorti. C’est un cas dit-il dont j’avais affirmé moi-même la possibilité, mais sans avoir encore rencontré personne qui l’ait expérimenté... » (trad. Henry Corbin). Il est assez remarquable qu’Averroës qui était à son époque le plus grand représentant de la pensée d’Aristote se trouvait en face de ce jeune adolescent qui allait, lui, être surnommé plus tard «le fils de Platon» (Ibn aflatûn). Nous sommes ici très précisément dans cette confrontation caractéristique de ces deux philosophes de l’antiquité grecque, entre un représentant de la pensée rationnelle, Aristote, et le maître de celui-ci, Platon, qui donnait la prééminence à la sagesse, à une intelligence spirituelle de l’existence. De telle façon d’ailleurs que pour Platon, grâce à un processus d’«anamnèse», de remémoration (qui n’est pas sans rappeler le dhikr soufi), cette connaissance d’abord enfouie au plus profond de notre être devenait de plus en plus consciente jusqu’à s’exprimer pleinement. C’est ce qui arriva à Ibn Arabî. Il y a une discussion sur le fait de savoir quel était le sujet exact abordé par Ibn Rushd et Ibn Arabî. Je pense pour ma part que celui-ci concerne de toute manière les modalités de la connaissance, différentes chez l’une et l’autre de ces deux personnalités. Cette question s’éclaire si on la place dans le contexte général du soufisme et de son rapport avec la philosophie (ici aristotélicienne). Dans ce contexte, la lumière de la raison n’est que le reflet diffracté de la lumière de l’esprit  de la même manière que la lune reflète la lumière du soleil. Dans son commentaire spirituel du Coran (dit tafsîr bi l ishâra),  le soufi et théologien marocain ibn ‘Ajîba (m. 1809) exprime ce symbolisme de la double dimension de l’intelligence,  à partir des versets de la Sourate «ash shams» (le soleil) : «Par le soleil et le jour montant, par la lune qui le suit [...] Par une âme ! - Comme Il l’a modelée en lui inspirant [ce qu’est] son libertinage et sa piété» (Cor. 91/1-7). L’âme inspirée (an nafs al mulhama) est précisément le degré de l’âme qui ouvre celle-ci à une inspiration spirituelle et à une voie de l’unité qui va au-delà de celle de l’âme qui se blâme (an nafs al luwwâma), qui reste elle en prise avec une approche duelle. L’intelligence spirituelle (qu’Ibn Ajîba appelle la grande intelligence, al ‘aql al kabîr), c’est cette lumière directe qui émane du soleil de l’âme pour se refléter et se diffracter dans la «lune» de la raison. Ibn ‘Ajîba reprend dans plusieurs endroit de son œuvre la conception soufie de l’intelligence spirituelle, la grande intelligence, de laquelle découle  les lumières de la petite intelligence, celle d’une rationalité qui décrypte l’aspect matériel de l’existence. Dans l’histoire occidentale, depuis le XIVe siècle (mais surtout depuis les XVIIIe et XIXe siècle), l’humanisme correspond à un mouvement de pensée dont le but était de s’émanciper des ordres transcendants de la religion et du sacré. Il est d’une certaine façon l’aboutissement d’une société de plus en plus despiritualisée  où la raison pense se libérer de sa source et se suffire à elle-même. Ce mouvement aboutit à l’impasse que l’on connaît. Peut-on aujourd’hui repenser la renaissance d’une pensée d’inspiration akbarienne (d’Ibn Arabî) et finalement d’une nouvelle forme de civilisation qui nourrirait, sans l’entraver ni s’y substituer,  la raison de sa source spirituelle ? C’est l’une des leçons, sans doute, de cette rencontre de Cordoue.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La Turquie célèbre la Journée de l'Afrique (Tribune) || subtitle : None || body : Par Mevlüt Çavusoglu, ministre des Affaires étrangères de la République de Turquie Aujourd'hui, nous célébrons la Journée de l'Afrique avec enthousiasme sur le continent et en Turquie. Nous nous souvenons avec appréciation de la réunion des Nations africaines sous un même toit, le 25 mai 1963. Cette journée signifie un voyage ardu vers l'indépendance et la liberté, ainsi qu’une conscience commune fondée sur la solidarité et l'unité du continent. L'histoire des succès concrétisés dans cet esprit au cours des décennies suivantes, grâce aux efforts de dirigeants africains puissants et acclamés, témoigne de l'avenir brillant du continent. Malgré les injustices historiques de l'époque coloniale, l'apathie à l'échelle mondiale vis-à-vis des catastrophes naturelles et de la famine, ainsi que les interférences extérieures inacceptables, la force des nations africaines en ce qui concerne la résistance face à ces énormes défis est exceptionnelle. Avec sa population jeune et dynamique, ses vastes ressources, sa culture et son histoire riches et profondément enracinées, le continent africain promet un énorme potentiel pour un monde meilleur, plus équitable et plus juste au 21e siècle. L'Afrique signifie de l’espoir et nous sommes partenaires dans ce voyage. La Turquie est dans une position privilégiée. Au cours des 20 dernières années, la Turquie est devenue un «hub africain» dans sa région, avec un nombre toujours croissant de missions diplomatiques africaines, ainsi que sa diaspora africaine dynamique englobant des étudiants, des femmes/hommes d'affaires et des touristes. Nos 44 ambassades sur le continent ainsi que les 37 ambassades africaines à Ankara rendent la Journée de l'Afrique plus significative pour nous. Les nations africaines nous considèrent comme un partenaire fiable et un ami proche. C'est un plaisir pour nous d’accueillir des interlocuteurs africains, souvent des dirigeants africains, à Ankara chaque mois. Le Président Erdogan occupe la première place en termes de nombre de visites en Afrique. Turkish Airlines continue de réunir l'Afrique avec le reste du monde et, en se remettant des effets de la pandémie, dessert actuellement 44 destinations dans 35 pays africains. La présence des étudiants africains au sein des universités de toute la Turquie continue d'augmenter, grâce à des centaines de Bourses d'études turques, accordées annuellement. Jusqu'à présent, la Turquie a accordé plus de 15.000 bourses à des étudiants africains. En tant que partenaire stratégique de l'Union africaine (UA), nous avons organisé conjointement trois sommets sur le partenariat Turquie-Afrique, en 2008, 2014 et 2021. Le troisième sommet du partenariat s'est tenu sous le thème «Partenariat renforcé pour le développement commun et la prospérité», du 16 au 18 décembre 2021, à Istanbul, avec la participation de 38 pays africains. Nous mettons maintenant en œuvre avec enthousiasme les décisions approuvées lors du Sommet, en étroite coopération avec tous nos amis africains, afin de porter nos relations avec le continent à un niveau entièrement nouveau et élevé. Nous visons maintenant à bénéficier mutuellement de notre collaboration accrue avec l'UA et les organisations régionales africaines, dans d'autres plateformes internationales telles que l'ONU et l'OCI. En outre, en accueillant la Banque de technologie des Nations unies, la Turquie est fière d'être un partenaire de développement important pour les pays les moins avancés (PMA) concernant la mise en œuvre des objectifs de développement durable des Nations unies. Les pays africains ont beaucoup à bénéficier des services de la Banque en ce qui concerne la mise en place et la consolidation de leurs technologies et leur capacité d'innovation. Notre vision commune sur les problèmes mondiaux joue également un rôle important dans l'avancement des relations entre la Turquie et l'Afrique. Dans ce cadre, la Turquie partage les mêmes attentes fondamentales pour l'ordre mondial, défendues depuis longtemps par les pays africains concernant un multilatéralisme efficace et une réforme structurelle de l'ONU. À cet égard, les injustices historiques envers le continent doivent être abordées, y compris en renforçant la représentation des pays africains au sein du Conseil de sécurité des Nations unies. C'est une responsabilité collective d'œuvrer pour le maintien d'une Afrique pacifique, stable et sûre. À cette fin, en tant que pays qui a souffert depuis longtemps du terrorisme, nous sommes engagés à renforcer notre coopération avec l'UA pour combattre et éliminer toutes les formes et manifestations du terrorisme, de l'extrémisme violent et de la radicalisation, comme annoncé dans la Déclaration conjointe du Troisième Sommet. Notre coopération économique avec les nations africaines ne cesse de croître. À la fin de 2021, notre volume commercial a atteint 34,5 milliards de dollars, multiplié par sept environ au cours des deux dernières décennies. Le protocole d’entente sur la coopération que nous avons signé avec le secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) augmentera davantage ce volume. Notre but, cependant, va au-delà du commerce. La Turquie a soutenu et soutiendra ses amis africains dans leur quête d'un développement et d'une prospérité inclusifs, équitables et durables, basés sur un partenariat égal et le respect mutuel. Par conséquent, nous soulignons notre principe «gagnant-gagnant» à chaque occasion. Nous saluons les politiques et programmes robustes et innovants mis en place par l'Union africaine pour accélérer le développement du continent. L'Agenda 2063 est le programme fleuron, qui peut libérer le potentiel du continent et apporter de l’espoir et de la prospérité à tous, que nous soutenons de tout cœur. Notre gouvernement et les agences officielles ont déployé des efforts conformément à l'Agenda 2063. L'Agence turque de coopération et de coordination (TIKA), par l’intermédiaire de ses 22 représentants à travers le continent, la Direction turque de gestion des catastrophes naturelles et des situations d’urgence (AFAD) ainsi que le Croissant-Rouge turc ont mis en œuvre des projets de développement durable et de l’aide en nature d'une valeur de plusieurs millions de dollars en Afrique subsaharienne. Les Centres culturels turcs Yunus Emre sont implantés dans 7 pays africains et la Fondation Maarif continue de fournir des services éducatifs dans 25 pays africains avec 191 institutions. Même au cours des périodes les plus tumultueuses, la Turquie a maintenu sa solidarité avec le continent. Nous avons soutenu nos amis africains durant la pandémie, notamment par des dons de vaccins. Grâce à nos relations humaines, culturelles et historiques, datant de plusieurs siècles, nous continuerons d’agir de concert et en solidarité avec les pays africains en tant que partenaires solides. Bonne fête de l'Afrique à tous !</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Codéveloppement impliquant les fournisseurs : Calibrer les facteurs d'échec pour garantir le succès (Tribune) || subtitle : Les entreprises industrielles s'engagent de plus en plus dans des projets de développement impliquant des fournisseurs pour définir conjointement les spécifications techniques et encadrer le design. L’implication précoce des fournisseurs permet aux firmes clientes de se concentrer sur leur cœur de métier tout en concevant et développant des produits efficaces utilisant des technologies non assimilées en interne. Si cette pratique améliore l'innovation, promeut la qualité des produits, et réduit les délais de mise sur le marché et les coûts de développement, elle est toutefois susceptible d’engendrer des charges supplémentaires et prolonger le temps de développement lorsqu’elle n’est pas correctement pilotée. || body : Dr. Lamiae Benhayoun, Professeure Associée en Systèmes d’Information Program Manager, Master en Business Analytics E-learning Development Manager QTEM Pilot L’approche dominante dans l’industrie pour gérer l’implication des fournisseurs consiste à capitaliser sur ses facteurs de succès tout au long du cycle de vie de la collaboration. Cependant, favoriser la réussite d’un projet nécessite également de surveiller ses facteurs d’échec. Cette nouvelle tendance a été remarquée dans l’ère post-covid. Les profonds changements dans l'offre et la demande provoqués par la pandémie rendent les mouvements des entreprises plus difficiles à anticiper et à prévoir, mettant ainsi la collaboration en danger. Les responsables des achats et de l’approvisionnement adoptent désormais des techniques d’atténuation des risques pour favoriser la résilience et la compétitivité de leurs organisations. Dans cette optique, une recherche [1] menée par Rabat Business School en collaboration avec des universitaires et industriels de France et des Pays-Bas opérationnalise cette nouvelle perspective managériale en proposant un modèle de gestion des risques d'échec appliqué à l'implication précoce des fournisseurs. En exposant les gains de performance des projets de codéveloppement résultant de l’absence de facteurs d’échec, le modèle remet en question l’hypothèse audacieuse selon laquelle les facteurs de succès peuvent expliquer un phénomène de manière compréhensive. Les facteurs d’échec ne sont pas simplement l’opposé des facteurs de succès. Ils font référence au manque de bonnes pratiques dont la présence ne garantit pas nécessairement le succès, tandis que leur absence déclenchera dans une certaine mesure l'échec. Le modèle développé fournit des conseils aux managers pour calibrer leurs efforts d'atténuation des facteurs d'échec de l'implication des fournisseurs tout au long du cycle de vie de la collaboration composé des phases de conception de la relation puis des interactions quotidiennes. Nous sensibilisons les managers aux déterminants d'échec qu'ils doivent principalement surveiller, et ce en fonction des seuils de coût, délai, qualité et innovation du codéveloppement qu'ils acceptent et ciblent comme expliqué ci-dessous. Une performance ciblée faible à moyenne : Efforts sobres d'atténuation lors des deux phases du projet Pour atteindre des performances même faibles de codéveloppement, le client et le fournisseur doivent réduire, durant la phase de conception de la relation, la définition déficiente des responsabilités mutuelles et du contenu du contrat. En effet, l’absence de répartition des rôles et d’alignement quant aux clauses de non-divulgation, règles de propriété intellectuelle et livrables attendus, peut entraîner le désengagement de l'un ou des deux partenaires. Durant les interactions quotidiennes, la priorité est de réduire l'obstruction du fournisseur à l' innovation et l'implication de membres d'équipe inadéquats qui créeraient de la frustration chez le client. Des niveaux moyens de performance du codéveloppement nécessitent que les partenaires écartent significativement le manque d’alignement relationnel comprenant les cultures, outils, et langage commun. Ce facteur se manifeste durant la phase de design de la relation et susciterait les soupçons mutuels qui réduiraient les performances de coût et de délai. Aussi, cette étape initiale de la collaboration requière une attention particulière à la définition imprécise de la responsabilité du fournisseur lorsqu’il est explicitement sommé de jouer un rôle dépassant sa base de compétences, mettant ainsi en péril le coût, délai, et innovation. Quant à la phase d’interactions quotidiennes, l'obtention d'une performance moyenne du codéveloppement est sujette à la réduction du manque de réactivité du fournisseur aux spécifications contractuelles proposées par le client, qui empêcherait ce dernier de bénéficier de l'innovation du fournisseur. Un autre problème fréquent au cours de cette phase avancée du projet est lié à la gestion inefficace des actifs humains qui peut entraîner leur rotation élevée, ainsi que le management inapproprié des ressources techniques qui peut augmenter les coûts du projet. Assurer le succès du projet : Exhortation à réduire les facteurs préjudiciables au coût et à l’innovation Pour atteindre un niveau de performance optimal, les partenaires doivent modérément diminuer lors de la phase de conception de la relation, la sélection non professionnelle du fournisseur qui résulte du non-consensus entre les acheteurs et l'équipe projet quant aux critères de choix. Cette étape du projet est également marquée par une influence prononcée des acteurs frontières inappropriés qui peuvent mettre en péril la communication et provoquer des conflits intra et interorganisationnels. En effet, l’étude a démontré que, pendant la crise du Covid-19, les entreprises industrielles ont diversifié leur portefeuille et ont fait preuve de polyvalence dans le développement de nouveaux produits pour répondre aux demandes locales, nationales et internationales. Cette diversification a été principalement réalisée grâce à une augmentation de la communication et des collaborations conduisant à de nouvelles firmes et innovations. Par ailleurs, des efforts d’atténuation similaires concernent le report de signature du contrat à la phase d'interactions quotidiennes. Ce retard est généralement dû aux difficultés rencontrées par l'équipe projet pour parvenir à des accords complets du top management au début de la collaboration, entraînant ainsi une perte de confiance et d’engagement du fournisseur. Au-delà de ces facteurs d’échec élémentaires, les partenaires sont invités à prêter une attention particulière à certains déterminants destructeurs qui mettent en péril le coût et l’innovation. D'une part, il est obligatoire durant la conception de la relation d’agir contre la sélection d’un fournisseur inadéquat, qui se produit lorsque l'équipe projet choisit de prendre un risque de surestimation en travaillant avec un fournisseur qui n'a pas clairement démontré ses capacités de collaboration et de conception. Le manque d’alignement stratégique est également un facteur induisant l’échec durant la première phase du projet. Il provient de l'absence de vision et d'objectifs communs entre les partenaires, complétée par le manque de soutien du top management à l’intégration du fournisseur. Quant à la phase d'interactions quotidiennes, les efforts d'atténuation pour une performance optimale doivent être principalement orientés vers le manque de partage d'information . Lorsque les partenaires n’échangent pas assez à propos des coûts et des procédures du client, des problèmes équivoques de compréhension mutuelle peuvent survenir. Aussi, l'acheteur doit en priorité éliminer les changements incohérents de spécifications sans en expliquer les raisons au fournisseur ni même intégrer ses suggestions, réduisant ainsi l’engagement du fournisseur. Enfin, le manque d'implication régulière du personnel de conception de l'acheteur les rend réticents à accroître le niveau d'intégration des fournisseurs dans le processus de conception. [1] Benhayoun, L., Le-Dain, M-A., Schiele, H., Personnier, H. (2023, forthcoming). How to prevent ruining New Product Development projects with suppliers? A failure factors’ perspective. Total Quality Management and Business Excellence.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : AFD : prêt de 100 millions d'euros pour la stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » || subtitle : L’Agence Nationale des Eaux et Forêts du Maroc (ANEF) et l’Agence Française de Développement (AFD) renforcent leur partenariat pour contribuer, à travers un nouveau Programme d'appui à la mise en œuvre de la Stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » et aux efforts de reconstruction et de développement durable de la zone du Parc National de Toubkal. || body : L' Agence nationale des Eaux et Forêts du Maroc (ANEF) et l’ Agence Française de Développement (AFD) ont signé le lundi 15 avril 2024 une lettre d'intention visant à contribuer à la mise en œuvre de la Stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » et aux efforts de reconstruction et de développement durable de la zone du Parc national de Toubkal . Réforme de l'éducation : L'AFD accorde un prêt de 130 millions d'euros au Maroc L'Agence Française de Développement (AFD) a accordé un prêt de 130 millions d'euros au Maroc pour soutenir la réforme nationale du système éducatif 2022-2026. Ce nouveau programme, doté d'un financement en prêt de 100 millions d'euros et de 2 millions d'euros en subvention , vise à favoriser le développement local en créant des opportunités économiques , tout en préservant les écosystèmes forestiers . La cérémonie de signature de ce nouveau partenariat s'est déroulée présence de Aberrahim Houmy , directeur général de l’ANEF, de Christophe Lecourtier , Ambassadeur de France au Maroc, et de Quiterie Pincent , directrice de l’AFD. A travers cette opération, l’ AFD et l’ ANEF mettront en œuvre de nouvelles approches centrées sur la valorisation du tourisme écologique en intégrant les savoirs et les besoins des populations locales. Les deux Agences travailleront ensemble pour concevoir et mettre en œuvre des projets visant à préserver et restaurer les écosystèmes forestiers, De plus, l’AFD soutiendra l'ANEF en renforçant ses capacités à travers une assistance technique et financière. Un partage de connaissances et d'expertise se fera entre l’AFD et l’ANEF, notamment dans les domaines de la gestion intégrée des ressources en eau , la conservation et la valorisation de la biodiversité , et l'adaptation aux changements climatiques . Cette lettre d'intention symbolise l'engagement des deux Agences à prolonger leur collaboration, initiée depuis 2021 en appui à la stratégie « Forêts du Maroc 2020-2030 » à travers le Programme « Ghabati Hayati » et le projet « conservation de la biodiversité du Parc national d'Ifrane », en étendant leur partenariat à d’autres zones, notamment la zone du Parc national de Toubkal qui a été affectée par le séisme .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Coupe du Monde 2030 : Le Maroc vit un conte de fées || subtitle : La bonne nouvelle annoncée par le Souverain aux Marocains mercredi 4 octobre a réjoui toute la population, de Tanger à Lagouira. La Coupe du monde 2030 est finalement la nôtre, avec l’Espagne et le Portugal. || body : Ce jour-là restera à jamais gravé dans la mémoire collective des Marocains qui ont connu, il faut le reconnaître, beaucoup de déceptions par le passé, lors des candidatures précédentes du Royaume. Grâce aux Directives de SM. le Roi, qui a érigé le sport en général et le football en particulier en chantier prioritaire, le Maroc recueille un à un les fruits de cette Stratégie Royale. S.M. le Roi nomme Fouzi Lekjaa président du «Comité Coupe du Monde 2030» Sa Majesté le Roi a reçu M. Fouzi Lekjaa, président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF). Le Souverain l'a nommé président du «Comité Coupe du Monde 2030». En l’espace de quelques jours seulement, le Royaume a reçu deux bonnes nouvelles : l’attribution de l’organisation de la CAN 2025 et de la Coupe du monde 2030. Ces deux méga événements footballistiques constituent une grande chance pour notre pays et pour notre football. Ils vont certainement dynamiser nos territoires et auront un impact sur la croissance et l’emploi. Coupe du monde 2030 : Les premiers détails sur l'édition du centenaire Les premiers détails sur la Coupe du monde 2030 de football se précisent. Le Maroc, l'Espagne, le Portugal,... Mieux encore, ils ont suscité une immense joie chez les citoyennes et citoyens et renforcé le sentiment d’adhésion et d’appartenance au Maroc. Certes, nous avons vécu des moments difficiles avec le drame du séisme d’Al Houaz qui a nourri le sentiment de solidarité chez les Marocains. Maintenant, c’est l’heure de savourer l’obtention de l’organisation de la CAN et de la Coupe du monde, en attendant, Inchallah, de les vivre pleinement avec de nouveaux exploits des Lions de l’Atlas. Coupe du Monde 2030 : la FIFA retient le dossier Maroc-Espagne-Portugal comme candidature unique S.M. le Roi annonce, via un communiqué du Cabinet Royal, que le Conseil de la FIFA vient de retenir à l’unanimité le dossier Maroc-Espagne-Portugal comme candidature unique pour l’organisation de la Coupe du Monde 2030 de football.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Séisme au Maroc : Un momentum pour retrouver nos marques || subtitle : None || body : Par Hubert Seillan, avocat au Barreau de Paris, président de la Fondation France-Maroc, Paix et Développement durable Alors qu’un séisme d’une rare violence vient de toucher le Maroc, nous devons l’admettre, la France et le Maroc ne partagent plus le pain comme pendant plus d’un siècle. Ce pain, qui était façonné par d’innombrables communautés d’idées, avait permis aux deux nations de s’exprimer bien souvent d’une seule voix, sur les sujets d’importance. Ce patrimoine culturel s’est rétréci. Leurs relations sont plutôt tendues, l’écoute fait défaut et les attitudes de chacun, dans son rapport à l’autre et au monde, sont de plus en plus individuelles. Les actions mécaniques du contexte mondial, politique, économique et social favorisent les nationalismes égoïstes plus que les solidarités. Pourtant, la France et le Maroc sont étroitement réunis dans une communauté culturelle, économique et sociale très ancienne et généreuse. >>Lire aussi : La visite du président Macron au Maroc, "ni à l'ordre du jour, ni programmée" (source gouvernementale) Pourquoi cette communauté a-t-elle perdu de sa vigueur ? Les facteurs sont de trois ordres : le corpus identitaire de chacun des deux pays, les liens qui les unissent et le monde extérieur. Nos sociétés de l’instant perdent régulièrement de vue les marques du temps. Ainsi, la substance des événements et des actes antérieurs est souvent méconnue. Mais lorsque les fondations et les constituants de cette communauté sont éclairés par la preuve des faits et des actes, on constate alors l’existence d’une formidable unité entre les deux peuples. C’est ce que vient de révéler le séisme de Marrakech. Le mot communauté est fort. Il demande de faire la balance entre ce qui est commun à un groupe ou plus exactement à tous ceux qui le constituent, et ce que sont ses différences, du moins sur les sujets qui importent. Il nous apprend alors que la voix de l’un peut aussi devenir la voix de tous ou du moins comme ici, la voix des deux. Certains pourront dire qu’il s’agit d’un idéal fondé sur la foi, d’une utopie. Mais rappelons que sans idéal, le but disparaît et les décisions s’éparpillent et s’affaiblissent dans des objectifs particuliers. Cette catastrophe a-t-elle produit un élan de rassemblement ? Du côté du peuple français, il ne fait aucun doute que l’amitié sincère des Français à l’égard de leurs frères marocains s’est manifestée dans toute sa splendeur et sous toutes ses formes. Leur réflexe fut immédiat, ferme et clair. La catastrophe a donné naissance à une émotion considérable et à des sentiments très profonds de solidarité. Dans le malheur des Marocains, les Français semblent retrouver l’esprit de camaraderie du sang partagé en 14-18 et en 39-45, l’amitié liée au temps qui passe et à un très grand partage culturel. Ce long passé a frappé leur cœur et leur a fait comprendre que leur futur se profile derrière eux. La douleur partagée ravive les mémoires, rassemble, pacifie, et est parfois une source de civilisation. Les plus petites différences fragmentaires, ces brisures, ces ruptures sociales, ces conflits, trop souvent mis en exergue par les médias et les analyses sociales, semblent balayés par l’événement. Ce momentum est-il perçu du côté de l’Hexagone ? Un fait saute aux yeux en dominant tous les autres. En s’adressant directement aux Marocains, sur la plateforme X (ex-Twitter), sans respecter les us et coutumes diplomatiques internationaux, en insistant sur l’existence de polémiques, le Président de la République a affiché un mépris insolent pour l’ensemble des institutions du Royaume qui ne saurait être sans conséquences pour les Français. Qu’on n’attende cependant pas une réponse officielle du Maroc. La rue a reçu très, très mal cette harangue. L’unité du pays est entière quand il s’agit de sa souveraineté. La politique actuelle de la France non seulement à l’égard du Maroc, mais de l’Afrique, se révèle chaque jour plus incompréhensible.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : 2023 : Ces avancées technologiques qui façonneront le monde (Tribune) || subtitle : None || body : Mohammed Amin, Vice-Président Senior – Moyen-Orient, Turquie et Afrique chez Dell Technologies Alors que 2020 a été une année marquée par des changements sans précédent et 2021 une année de reprise et de résilience, 2022 s'est montrée être la grande favorite de tous. Ce fut particulièrement vrai pour la région du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique, où nous sommes sortis des sentiers battus pour favoriser les dialogues sur le changement climatique, avons fait progresser nos moyens d'exploration spatiale et avons suscité l'intérêt du monde entier lors de l'un des événements sportifs mondiaux les plus suivis. Les nouvelles technologies ont mis en évidence ces réalisations monumentales, élargissant les aspirations humaines et insufflant un nouvel élan aux économies, aux entreprises et à la vie quotidienne. L'année 2023 promet d'être tout aussi remarquable. Voici les cinq principaux changements technologiques qui, à mon avis, façonneront nos économies et nous inciteront, en tant que région, à faire progresser nos contributions économiques, scientifiques et créatives sur la scène mondiale. Les entreprises exigeront un cloud sans compromis pour évoluer Selon une étude Forrester Consulting commandée par Dell, 83 % des entreprises auront mis en œuvre le multicloud en 2023, et trois entreprises sur quatre ont besoin de flexibilité dans leur infrastructure de cloud actuellement. Cette année, le cloud deviendra primordial pour la survie d'une entreprise, et les chefs d'entreprise assembleront un écosystème de différents services pour répondre à leurs besoins spécifiques. Les dirigeants visionnaires évalueront aussi étroitement les nouvelles options de cloud pour réaliser des économies, répartiront les capacités informatiques entre différents fournisseurs de cloud et développeront une stratégie cloud pour garantir la sécurité des données, la bonne gouvernance et la valeur pour les parties prenantes. Cyber Recovery deviendra la force vitale de toute organisation et déterminera chacun de ses mouvements Plus une entreprise est évolutive, plus elle est tenue de privilégier la récupération des données informatiques. Les organisations mettront en place un cadre de gestion des identités, de gestion des politiques et de gestion des risques, afin d'assurer la continuité de l'identité, des politiques et de la reprise au sein de l'entreprise. Nous continuerons d'assister à une augmentation du nombre de secteurs exigeant des cadres de Zéro Trust. Cette approche deviendra la meilleure pratique mondialement acceptée en matière d'architecture cybersécurité. Plus que tout autre aspect, la sécurité dans le multicloud nécessitera d'être cohérente et accessible. Les silos seront l'ennemi d'une véritable protection basée sur la Zéro Trust. L'informatique quantique : la nouvelle frontière de la transformation numérique Depuis plusieurs décennies, l'informatique quantique n'est accessible qu'aux plus grandes institutions de recherche et agences gouvernementales du monde. Cependant, en 2023, l'informatique quantique devient réelle et les entreprises se doivent d'identifier et de consacrer l'équipe, les outils et les tâches et de commencer à expérimenter, au risque de manquer cette vague technologique. Véritable nouvelle frontière de la transformation numérique, les entreprises commenceront à piloter l'utilisation du quantique et à exploiter ses capacités informatiques avancées pour accélérer l'innovation. La santé et la finance sont deux secteurs où l'impact du quantique commencera à se faire sentir.  Investir dans la simulation quantique et permettre aux équipes de science des données et d'IA d'apprendre les nouveaux langages et capacités du quantique est indispensable en 2023. Edge marquera le début d'une nouvelle ère d'avancées commerciales Dans un monde où les données sont omniprésentes, la transmission de grandes quantités de données depuis leur source vers un datacenter ou le cloud est non seulement coûteuse, mais aussi peu efficace. Si les ressources informatiques sont déplacées plus près du point où les données sont générées et consommées, une entreprise peut en tirer un réel avantage. La croissance astronomique de l'Edge Computing se poursuivra en 2023, et deviendra rapidement un différentiateur clé qui ouvrira une nouvelle ère de transformation pour les entreprises. L'Edge permettra de nouveaux cas d'utilisation et de nouvelles capacités dans de nombreux secteurs. L'IA sera le catalyseur de l'innovation dans toutes les entreprises Le chemin vers des résultats intelligents, automatisés et efficaces commence avec l'IA. L'année prochaine, l'IA connaîtra un tournant important avec son déploiement dans toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. De plus en plus, les dirigeants sont à l'affût des moyens permettant d'exploiter la valeur des données et se tournent vers l'IA pour suivre l'évolution des tendances et garder une longueur d'avance sur leurs concurrents. L'IA deviendra le premier moteur d'innovation en 2023, et l'impact des partenariats homme-machine se répercutera dans le monde entier. La nouvelle année est riche en promesses pour les entreprises régionales. Avec la transformation numérique qui s'accélère à un rythme intense, les technologies émergentes favoriseront le développement futur des économies numériques dans notre région. Qu'il s'agisse de villes intelligentes conçues autour d'une consommation énergétique durable ou d'un engagement transparent entre la communauté et le gouvernement, les économies numériques de demain reposeront sur un socle numérique. Rejoignez-nous dans cette aventure et découvrez comment la technologie ne cessera d'accélérer l'innovation et de nous faire plonger dans l'avenir numérique - nous devrions tous être prêts à nous adapter.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Échanges sur les convergences des religions et des cultures (Tribune) || subtitle : Créée en 2017, par des Marocains et des Français animés d’une intention humaniste et altruiste, la Fondation France-Maroc, paix et développement durable développe des rencontres et des échanges réguliers sur les sujets de la paix et du développement durable, tant en France, en particulier à Bordeaux et sa région, qu’au Maroc et notamment à Laâyoune, Smara et Dakhla, dans les provinces du Sud. || body : Par Hubert Seillan, avocat au Barreau de Paris, président de la Fondation France-Maroc, paix et développement durable Fondée sur la conscience que les deux pays ont de nombreuses racines communes, la Fondation France-Maroc, paix et développement durable se donne pour mission de faire partager ce patrimoine historique et de le vivifier. C’est ainsi que deux journées d’échanges ont eu lieu les 27 et 28 novembre derniers à Smara sur les convergences des religions et des cultures. Cette intention est née du constat que si ce sont aujourd’hui des facteurs de guerre, ils peuvent et doivent être vus comme des facteurs de paix. Voyons le contexte La planète rétrécit. La mondialisation accélérée par les nouvelles technologies et l’intelligence artificielle tend à unifier les modes de vie. Des enjeux globaux, comme ceux qui prennent leur source dans le réchauffement climatique, interpellent toutes les sociétés humaines. Les terroirs perdent de leur signification. Les États sont conduits à appliquer et à fixer des normes étrangères sinon hostiles aux traditions culturelles locales. Les religions n’ont plus le même ascendant sur les peuples. Des idéologies matérialistes et athées, socialistes et capitalistes, mais structurées sur des dogmes, ont tous les caractères du fait religieux. Cependant, le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam affirment une incontestable autorité morale, sociale et politique dans la gouvernance mondiale. Ces trois religions dites du Livre, fondées sur l’espérance, la foi, l’amour, la charité et le respect, expriment des valeurs convergentes, unificatrices et pacifiques. Si ce socle commun existe indiscutablement, il n’est pas suffisamment partagé parce qu’il est essentiellement vu par les différences de ses pratiques. Les religions se développent sur des territoires nouveaux, qui leur sont culturellement étrangers. Ces nouvelles proximités conduisent à placer la focale sur les points les plus visibles, évidemment placés à la périphérie de la question. Cela n’aide pas à la recherche des données partagées. Les conflits dits religieux se multiplient, en s’appuyant assez souvent sur des considérations ethniques. Les religions et les cultures sont un enjeu de société désormais mondial. La Fondation pense que leurs valeurs socles sont des facteurs de paix et de développement, tant pour la France que pour le Maroc, dans leurs environnements européen et africain. Ce qui explique qu’elle a organisé les Premières Rencontres de Smara. Pourquoi Smara ? Parce que la ville et sa province ont un ascendant spirituel reconnu par les trois religions du Livre. Les mausolées, marabouts, de trois zaouias en témoignent, Sidi Ahmed Rguibi, Sidi Ahmed Laaroussi et Maelainin. Elle a été fondée en 1898 par le cheik Maelainin avec l’aide et sur ordre du Sultan Moulay Abdelaziz sur un territoire désertique où ne vivaient que des nomades éleveurs de chameaux. Les rapports des trois religions avec le désert sont bien connus. Ils sont essentiels. Ce choix est en lui-même l’expression d’un élément de patrimoine commun. L’Ancien, le Nouveau Testament et le Coran lui reconnaissent des forces spirituelles supérieures et il est devenu un mythe conducteur pour de nombreux écrivains. Parmi les Français, nous citerons Joseph Kessel, dans «Vent de sable» (1929), Le Clézio avec «Désert» (1980) et «Gens des nuages» (1997). Moins célèbre, Michel Vieuchange est cependant connu par tous les habitants de la province. Du 10 septembre au 16 novembre 1930, il a effectué à pied le voyage de Tiznit à Smara, soit 1.400 km. Ses «Carnets de route» (1932) expriment toute la sensibilité spirituelle de Smara. Le choix de la ville s’est imposé à tous. Durant trois jours, des musulmans, des chrétiens et des juifs ont ainsi fait part de leurs visions sur les tenants et les aboutissants de chacune des trois religions. Une intention en trois mots : Rencontre, Échange, Convergence Les deux premiers relèvent des moyens, le troisième est l’objectif. Le gouverneur de la province, Hamid Naïmi, et le président de la commune, Moulay Brahim Chrif, parce qu’ils ont animé personnellement l’ensemble des discussions, ont permis à ces Premières Rencontres de démontrer que l’intention retenue était partagée par les élus et les notables réunis autour de la table des discussions. Encore fallait-il qu’elle soit poursuivie par des échanges suffisamment concrets, car il ne pouvait s’agir de débattre de théologie, de droit et de politique. Abdelkrim Bennani, au nom de Ribat al Fath et de la Fondation, avait fermement indiqué en ouverture notre volonté de faire œuvre sociale plutôt que théologale, en recherchant nos valeurs communes, en les mettant en évidence afin d’en faire les porte-drapeaux de la paix. La présence durant trois jours du cardinal Cristobal Lopez Romero, archevêque de Rabat, a donné une dimension que l’on peut qualifier d’exceptionnelle à l’événement. Issu de l’Ordre des Salésiens, créé par Don Bosco, en référence à saint François de Sales, appelé l’apôtre de la douceur, il a montré qu’il était pleinement investi de cette qualité humaine, à la fois bienveillante et calme, progressive, sans heurt ni bruit. Il suffit au cardinal de quelques mots pour convaincre l’ensemble des participants, présents physiquement et en visio-conférence, de l’utilité de notre proposition. «Nous croyons tous en un même Dieu, nous avons la même foi dans le Royaume de Dieu, nous sommes Frères en Dieu». Propos fondateur repris par tous. Parmi les intervenants, nous citerons Mohamed Faouzi Skali Alami, professeur des universités, président de Sufi Héritage, spécialiste des religions au Moyen-Orient, Othman Sqalli Houssaïni, enseignant chercheur spécialiste des relations internationales, Evraham Elarar, président de la Fédération sépharade du Canada, Bruno Clément-Bollée, général exerçant aujourd’hui des missions stratégiques pour la paix en Afrique, Henri Seillan, vice-président de l’Église protestante unie de Bordeaux, Pedro Diez de la Vega, président de l’Alliance d’amitié Mexique-Maroc. De nos échanges, un dialogue très convergent s’est installé dans le calme, mais très vif et passionné, donc porteur de la très ferme volonté de le pérenniser. Ce fut dit à plusieurs reprises, notamment par les élus et notables de la province, avant d’être confirmé par des applaudissements nourris. Maintenant, la conclusion partagée par tous : • Les courants sont nombreux dans les religions. • S’ils convergent naîtra un fleuve de paix.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : L’extraterritorialité : le droit comme enjeu de puissance de l’Occident (Raja Bensaoud) || subtitle : Dans les relations économiques et commerciales internationales, le droit est un enjeu majeur de puissance. Il n’est pas surprenant que son application extraterritoriale émane principalement des grandes puissances économiques mondiales. Ces prétentions extraterritoriales tendent à instaurer un ordre juridique mondial gouverné par des rapports de force. Dans ce contexte, les systèmes juridiques des grands ensembles géopolitiques, et en particulier les États-Unis et l’Union européenne, prédominent. De ce fait, le droit peut être instrumentalisé pour affirmer, voire imposer leur influence, promouvoir leurs intérêts et ceux de leurs entreprises. || body : Par Raja Bensaoud, enseignante-chercheure en droit des affaires et du numérique Dans le domaine des relations économiques et commerciales au niveau mondial, la globalisation des échanges et l’internationalisation des activités a conduit à une multiplication des réglementations. Ce phénomène ne manque pas de générer des conflits et des problèmes d’interprétation sur le droit applicable. Dans ce contexte, les systèmes juridiques des grands ensembles géopolitiques, et en particulier les États-Unis et l’Union européenne, prédominent grâce à leur puissance économique et à la quasi-absence d’un cadre juridique international. Et le droit peut ainsi être instrumentalisé pour affirmer, voire imposer leur influence, promouvoir leurs intérêts et ceux de leurs entreprises. Le levier utilisé est l’extraterritorialité : on établit une loi extraterritoriale et le reste du monde doit s’y conformer, combinée avec la pratique des sanctions ou «mesures coercitives unilatérales». Fondement juridique de l’extraterritorialité L’extraterritorialité s’oppose à la territorialité des lois qui signifie que chaque État souverain exerce ses compétences dans les limites de son territoire et sans porter atteinte à la souveraineté des autres États. L’extraterritorialité signifie ainsi que les normes d’un État ou son ordre juridique s’étendent au-delà de ses frontières et appréhendent des éléments, des situations ou des personnes qui se trouvent en dehors de son territoire. L’extraterritorialité – au sens matériel – fait référence au champ d’application spatial d’une norme. Il s’agit donc d’une exception au principe de la territorialité ou du rattachement territorial de la norme à un État, principe qui découle de la souveraineté étatique. L’extraterritorialité bouscule ainsi une règle fondamentale du droit international : un État ne doit pas faire de sa compétence normative un usage qui risque de porter atteinte à la souveraineté d’un autre État (article 2 de la Charte de l’ONU). L’exercice de l’extraterritorialité par un État nécessite un titre de compétence. Le droit international reconnaît deux types de compétences aux État, développées par la Cour permanente de justice internationale (CPJI) dans la célèbre affaire du Lotus jugée en 1927. • La compétence normative (le pouvoir d’un État d’élaborer des normes à travers ses organes législatifs, exécutifs ou juridictionnels) : la CPJI avait adopté une attitude libérale et reconnu la possibilité pour un État de donner des effets extraterritoriaux à ses règles de droit. • La compétence d’exécution : implique l’exercice matériel par l’État de sa puissance publique, et l’utilisation, le cas échéant, de la contrainte. Cette compétence, qui s’oppose au principe de souveraineté des États, a été considérée comme strictement territoriale : «La limitation primordiale qu’impose le droit international à l’État est celle d’exclure – sauf l’existence d’une règle permissive contraire – tout exercice de sa puissance sur le territoire d’un autre État» (Affaire Lotus). Dans une formule célèbre, le Professeur Rousseau distingue brillamment ces deux types de compétences : «Les compétences exécutives sont indépendantes, les compétences législatives sont interpénétrables». Compétence normative et extraterritorialité Elle présuppose l’existence d’un lien entre l’État émetteur de la norme et la situation qu’il entend réguler. La doctrine a développé essentiellement trois catégories de liens : • Lien fondé sur la nationalité : l’État est habilité à légiférer à l’égard de ses nationaux où qu’ils soient. • Lien fondé sur la souveraineté (ou sur le principe de protection) : un État peut affirmer sa compétence normative à l’égard de faits ou situations menaçant sa sécurité, l’intégrité de son territoire ou portant atteinte à ses intérêts fondamentaux (exemples : espionnage, contrefaçon de la monnaie). • Lien fondé sur une convention : l’existence d’un accord entre les pays concernés par les faits ou la situation en cause. L’extraterritorialité d’un système juridique étatique ne soulève pas de problèmes particuliers dès lors qu’il est justifié par des critères de rattachement personnels, territoriaux ou liés à la souveraineté étatique. Cette pratique suscite des interrogations et des controverses lorsqu’un État l’utilise alors que les liens de rattachement sont ténus, fictifs et donc discutables. Ce qui complique le problème est que le droit international est assez lacunaire sur le sujet puisqu’il n’existe pas de normes internationales claires gouvernant la compétence normative extraterritoriale des États. Cette situation a généré un développement du multilatéralisme en matière d’extraterritorialité de la part des grandes puissances et en particulier des États-Unis et de l’UE. La pratique de l’extraterritorialité par les États-Unis Les États-Unis ont développé à partir des années 2000 une offensive juridique extérieure basée sur des textes internes à portée extraterritoriale ciblant un grand nombre d’entreprises étrangères. Les domaines sont : le droit de la concurrence, la lutte contre l’évasion fiscale, le blanchiment d’argent et la lutte contre la violation des embargos. Le modèle juridique extraterritorial américain prend appui sur une batterie de lois qui, pour la plupart, ont été adoptées dans le sillage de différents scandales financiers au cœur desquels se trouvaient des firmes américaines (les affaires Enron, Worldcom Xerox et Global Crossing notamment). Trois de ces lois, toutes à portée extraterritoriale, sont particulièrement redoutées par le monde des affaires : • Le Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) voté en 1977. Prévu initialement pour s’appliquer aux entreprises américaines, ce texte a été étendu, en 1998, aux entreprises étrangères ayant un lien avec les États-Unis. • Le Foreign Account Tax Compliance Act (FATCA), mis en place en 2014 par l’Administration Obama, prévoit l’extension de la législation fiscale personnelle américaine aux citoyens américains non-résidents, même «accidentellement» américains. Cette loi est applicable aux institutions financières marocaines depuis 2018. • Le Sarbanes-Oxley Act, loi adoptée en 2002 et permettant aux autorités américaines de contrôler leur marché boursier, afin de protéger les investisseurs et les petits porteurs, suite aux dérapages financiers des années 2000. Elle s’applique à toutes les sociétés cotées aux États-Unis et à leurs filiales. Les entreprises de droit marocain filiales de sociétés cotées aux Bourses américaines sont ainsi concernées par cette loi. • Les lois qui criminalisent le commerce avec les États soumis à embargo américain (en particulier les deux lois Helms-Burton et d’Amato-Kennedy adoptées en 1996 à l’encontre de Cuba puis de l’Iran et de la Libye). Ces deux lois, de portée extraterritoriale, ont créé une épée de Damoclès juridique qui pend au-dessus des entreprises partout dans le monde. • Le Patriot Act 2001 : dispose que les agences de renseignement US peuvent accéder à toute donnée personnelle hébergée par un prestataire américain en cas de suspicion de terrorisme ou d’espionnage sans autorisation préalable et sans en informer les détenteurs de ces données. • Le Cloud Act 2018 : le gouvernement américain peut accéder aux données de toutes les personnes dès lors qu’elles sont stockées dans les serveurs d’une société américaine et de ses filiales non américaines, quelle que soit leur localisation (située aux États-Unis ou hors des États-Unis). • La loi sur le dopage (2020) permet à la Justice américaine de poursuivre et sanctionner toute personne, quelle que soit sa nationalité, qu’elle juge coupable de dopage dans une compétition à laquelle au moins un athlète américain ou des intérêts économiques américains sont concernés. Parallèlement à cet arsenal juridique, les autorités américaines (souvent extrajudiciaires) ont développé, et de manière extensive, des liens de rattachement (Nexus) qui servent de fondement juridique à leur compétence extraterritoriale. Il peut s’agir, à titre d’exemple, de l’emploi du dollar comme monnaie dans les transactions incriminées, de l’utilisation de serveurs américains ou de paiement transitant par le système bancaire des États-Unis. Face à la puissance d’une machine juridique américaine sans équivalent dans le monde, plusieurs parlementaires et hommes politiques européens ont crié à l’unilatéralisme et à l’extraterritorialité. En utilisant ces différents éléments de rattachement décidés unilatéralement par les Autorités US, plusieurs entreprises notamment européennes ont été poursuivies. Ces entreprises ont préféré recourir à des transactions avec les autorités de poursuite pour éviter des sanctions pénales plus lourdes et pour ne pas être exclues du marché américain. La pluparts de ces affaires n’ont pas été portées devant le juge : la jurisprudence est rare en matière pénale aux États-Unis et cela tient à la nature même du système pénal américain basé plus sur la transaction que sur le procès. La pratique de l’extraterritorialité par l’Union européenne L’UE a veillé à se doter d’armes juridiques équivalentes à celles développées par les États-Unis. Dans un Rapport d’information déposé par la Commission des Affaires étrangères étrangères à l’Assemblée nationale française (2016), on peut lire : « ...En l’absence d’harmonisation internationale des normes, les droits et les pratiques internes à portée extraterritoriale se sont développés sous l’impulsion des principales puissances économiques, à commencer par les États-Unis, mais aussi l’Union européenne...» (page 12 du Rapport). Lois extraterritoriales de l’UE 1. Le droit de la concurrence : les autorités de l’UE se sont octroyé le droit de contrôler des fusions entre des entreprises non européennes en invoquant les effets sur le marché européen, donc les consommateurs européens. 2. Le RGPD (2018) s’applique par-delà les frontières de l’Europe avec deux critères : la localisation des entités traitant les données et l’audience ciblée (art. 3 §2). Il s’applique ainsi à toute organisation située en dehors de l’Union européenne dès lors que ses activités de traitement de données sont liées à des offres de biens ou services ciblant des personnes situées au sein de l’UE (art. 3 du RGPD). 3. En 2022, les Règlements «DMA» (Digital Markets Act) et «DSA» (Digital Services Act) ont entériné cette vision européenne plus offensive d’une extraterritorialité destinée à donner à l’Europe le leadership mondial dans le domaine de la réglementation numérique. 4. La directive sur le reporting de durabilité des sociétés du 14 décembre 2022 qui s’appliquera dès janvier 2024 a une portée extraterritoriale, puisqu’elle s’appliquera aux entreprises étrangères qui réalisent un chiffre significatif au sein du marché intérieur. (Concerne le reporting extra financier). Comme lien de rattachement, l’Europe n’a certes ni le dollar ni les serveurs américains ni leur technologies. Si elle mise sur l’euro, elle risque de décourager les transactions en euros, dans un contexte de concurrence exacerbée entre cette monnaie et la livre anglaise. Par conséquent, dans ce rapport de force, l’UE va jouer un atout majeur : son Market power. Cette démarche est souvent mise en avant par les différentes instances de l’UE. Ainsi, et à titre d’exemple, dans une Communication de la Commission européenne, il est signalé : «En tant que premier marché unique au niveau mondial, l’UE peut fixer des normes qui s’appliquent dans l’ensemble des chaînes de valeur mondiales» (le Pacte vert pour l’Europe, COM-2019, p. 26). L’UE, puissance normative La puissance normative de l’Union européenne et sa capacité à diffuser ses règles à l’échelle mondiale est une réalité qui se vérifie dans de nombreux domaines. L’Europe a une influence normative qui s’étend au-delà du seul territoire européen, qualifiée d’«effet Bruxelles». Cette capacité de l’UE d’exporter hors de ses frontières ses normes et ses valeurs est facilitée par sa forte présence au sein des différentes agences de l’ONU, à travers les 27 voix de ses États membres. Elle l’est également par la dimension du marché qu’elle représente, composé de 500 millions de consommateurs. L’UE utilise plusieurs leviers pour la promotion de son modèle réglementaire dans les pays tiers et l’exportation de ses règles de droit et de ses valeurs. • La politique commerciale commune (PPC), mise en œuvre à travers des accords avec les pays non membres de l’UE, constitue un de ces leviers majeurs. • L’Europe est aussi un pourvoyeur de normes techniques au niveau mondial. À titre d’exemple, les règles de sécurité européennes doivent être respectées pour tous les produits à destination du marché européen. Ces règles sont devenues des standards applicables à l’échelle mondiale. • L’Europe s’est ainsi donné le rôle de chef de file mondial dans le domaine de l’élaboration des normes industrielles. (ex : produits comme les jouets, l’électroménager, les voitures automobiles). Et les normes UE sont devenues des normes standards qui s’appliquent au monde. Conclusion Le droit étant un instrument parmi d’autres de la puissance, il n’est pas surprenant que son application extraterritoriale émane principalement des grandes puissances économiques mondiales : les États-Unis, l’Union européenne, mais aussi de plus en plus la Chine, qui ne cache pas ses ambitions normatives sur la scène internationale. Ces prétentions extraterritoriales tendent à instaurer un ordre juridique mondial gouverné par des rapports de force. Dans cet univers, on constate l’absence de la Commission du droit international de l’ONU, alors que dans ses statuts, ce type de sujets relève de sa compétence. Il faut que la communauté internationale reprenne la voie du multilatéralisme dans ce domaine. La compétence normative universelle doit être cadrée pour qu’elle cesse d’être utilisée comme une arme diplomatique et économique aux mains des grandes puissances et au service de leur leadership mondial.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Réseaux sociaux : le point sur les habitudes des Marocains || subtitle : None || body : Le Centre marocain pour la citoyenneté (CMC) a mené une enquête auprès de 1.201 personnes pour identifier les usages des réseaux sociaux par les Marocains ainsi que les risques liés à l’usage incontrôlé de ces plateformes. Voici l'essentiel à retenir de cette étude du CMC.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Violence à l’égard des femmes : voici le message d’Antonio Guterres || subtitle : Dans un message prononcé à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, s’indigne de la persistance de la violence contre les femmes sous plusieurs formes. Pour le chef de l’ONU, «ces discriminations, violences et atteintes ciblant la moitié de l’humanité coûtent très cher». c’est pourquoi, estime-t-il, l’heure est venue d’une action transformatrice qui mette fin à ces pratiques. Voici les actions qu’il préconise || body : "La violence contre les femmes et les filles est la violation des droits humains la plus répandue au monde. Toutes les 11 minutes, une femme ou une fille est tuée par un partenaire intime ou un membre de sa famille. On le sait aussi, des facteurs de stress, tels que la pandémie de Covid-19 ou les turbulences de l’économie, conduisent inévitablement à encore plus de violences physiques et verbales. Les femmes et les filles sont par ailleurs confrontées à un phénomène endémique de violence en ligne : des discours haineux misogynes au harcèlement sexuel, en passant par les abus d’images et le «grooming» auxquels se livrent les prédateurs. Ces discriminations, violences et atteintes ciblant la moitié de l’humanité coûtent très cher. Elles limitent la participation des femmes et des filles dans toutes les sphères de la vie, elles les privent de leurs droits et libertés fondamentales et elles entravent la reprise économique équitable et la croissance durable dont notre monde a pourtant tant besoin. L’heure est venue d’une action transformatrice qui mette fin à la violence contre les femmes et les filles. Pour y arriver, il faut que les gouvernements conçoivent, financent et mettent en œuvre des plans d’action nationaux contre ce fléau. Les groupes locaux et la société civile doivent participer à chaque étape de la prise de décision. Les lois doivent être appliquées et respectées, pour que les survivantes puissent faire valoir leurs droits à la justice et à une aide. Et il faut soutenir les campagnes publiques qui remettent en cause les normes patriarcales et rejettent la misogynie et la violence. Par ailleurs, comme le rappelle le thème de cette année, «Tous unis : militons pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles», il faut se tenir aux côtés de celles et ceux qui militent dans le monde entier pour faire advenir le changement et aider les survivantes de la violence. J’appelle les gouvernements à augmenter de 50% le financement des organisations et mouvements de défense des droits des femmes d’ici à 2026. Nous devons agir et faire entendre nos voix pour défendre les droits des femmes. Ensemble, déclarons avec fierté que nous sommes féministes. Reléguons à jamais la violence contre les femmes et les filles à la place qui lui revient : dans les livres d’histoire." >> Lire aussi : Leila Rhiwi : La violence à l’égard des femmes n’est pas une fatalité >> Lire aussi : Une campagne nationale sur les violences numériques faites aux femmes lancée le 25 novembre</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Objectifs de numérisation à l’horizon 2035 : les partenariats, essentiels pour le Maroc (Tribune) || subtitle : La recherche d’avantages concurrentiels, à travers une nouvelle appréciation des risques instaurés par les crises, pousse plus que jamais les gouvernements et les entreprises à accélérer leurs investissements dans les domaines des technologies numériques, de la transformation et du cloud. L’exploitation de l'IA, le recours aux technologies liées aux données et à l'analytique sont ainsi devenus des priorités absolues. || body : Par Mimoun Ouchaou, directeur général et responsable de la technologie pour IBM Maroc À l’heure où le Royaume du Maroc, dans le sillage de sa vision 2035, s'engage dans un passionnant périple de transformation numérique, des entreprises telles que IBM continuent à le soutenir dans ses efforts d’adoption de technologies émergentes. Il faut dire que depuis l’avènement de la crise de la Covid-19, le renforcement de l'agilité des entreprises et des gouvernements s’est transformé en une nécessité impérieuse. À ce titre, l’exploitation de l'IA (intelligence artificielle), le recours aux technologies liées aux données et à l'analytique sont aujourd’hui devenus des priorités absolues. La recherche d’avantages concurrentiels à travers une nouvelle appréciation des risques instaurés par les crises pousse plus que jamais les gouvernements et les entreprises à accélérer leurs investissements dans le domaine des technologies numériques, de la transformation et du cloud. Le secteur public s’est fixé pour mission de devenir le pionnier des nouvelles technologies et de s’ancrer de plain-pied dans le futur. De leur côté, de nombreuses entreprises suivent la même voie et commencent à explorer de nouveaux moyens de tirer parti des technologies émergentes afin d’améliorer l'expérience de leurs clients, de moderniser leurs services, d’optimiser leurs solutions et de rivaliser avec leurs homologues sur le plan international. Nouveau modèle de développement Le Royaume du Maroc s’est lancé dans une véritable dynamique de transformation numérique à travers l’adoption de son nouveau modèle de développement, lequel définit la vision future du Maroc à l’horizon 2035 tout en lui permettant de mieux s'attaquer aux nouveaux défis imposés par la pandémie de Covid-19. Il faut dire que le Maroc a toujours été un pays ouvert aux innovations technologiques : et pour cause, le Royaume accueille chaque année le très innovant Global Entrepreneur Summit, qui représente une première en Afrique. Le Maroc abrite également la plus grande centrale solaire du monde : la Noor Power Station. Et parce que la numérisation est devenue un impératif pour le secteur public, le nouveau modèle de développement proposé par le Maroc bénéficie aujourd’hui d’une aide financière internationale fournie par la Banque mondiale, laquelle a accordé 450 millions de dollars au programme de performance du secteur public (Ennajja) pour des résultats (PforR). Ce programme permet au pays d’améliorer ses bases de transformation numérique et d’atteindre ses objectifs de numérisation fixés dans le cadre de son nouveau modèle de développement. Dans ce contexte, les partenariats que le Maroc scelle avec des multinationales technologiques de renom lui permettent de mieux optimiser son ancrage au sein des technologies numériques. Alors que la technologie a ouvert la voie à de nouvelles manières de réaliser des affaires, l’adoption de stratégies d'exploitation et de marché innovantes permet d’estomper les frontières entre les secteurs et de déplacer les chaînes de valeur. Ces transformations spectaculaires ont indéniablement un effet considérable sur la manière dont le secteur public déploie sa stratégie numérique et fournit des services numériques qui permettent d’améliorer les vies et de contribuer à la croissance et à la prospérité économiques. L'avenir se trouve dans le cloud hybride. Les partenariats public-privé ne cessent de jouer un rôle crucial dans le processus de transformation numérique du Maroc. Les technologies et les innovations émergentes offrent au secteur public une multitude de nouvelles possibilités de collaboration avec des entreprises technologiques. IBM a tout misé sur les technologies liées au cloud hybride, et nous travaillons en permanence à faciliter l'adoption du cloud pour nos partenaires qui opèrent dans des secteurs hautement réglementés. À titre d’exemple, les solutions de cloud hybride et d'IA que IBM développe ont aidé Attijariwafa bank – une institution marocaine et panafricaine de premier plan – à accélérer la numérisation de ses opérations bancaires et à déployer de nouveaux services numériques au profit de ses clients, le tout au sein d’un environnement hautement sécurisé et parfaitement flexible. Les stratégies hybrides continuent à apporter davantage de valeur ajoutée aux entreprises publiques. Elles font bénéficier ces dernières des innombrables avantages du cloud, leur offrant ainsi une valeur ajoutée qui est 2,5 fois supérieure à celle du cloud unique. Si, à l'heure actuelle, 25% des données d'entreprise sont abritées au sein du cloud, ce chiffre devrait continuer à augmenter de manière exponentielle dans les prochaines années. Selon une étude récente réalisée par IBM, 74% des PDG d’entreprises restent convaincus que le cloud computing sera la technologie la plus utile à l’avenir pour leur entreprise. À ce jour, IBM, par le biais de son infrastructure de cloud hybride, aide plus de 3.000 clients à travers le monde à faire preuve de souplesse et d'agilité afin de mieux faire face aux changements économiques liés à l’évolution du comportement des acheteurs, mais aussi aux réalités géopolitiques, au changement climatique, etc. Malgré la crise économique et sanitaire que nous traversons actuellement, IBM continuera toujours à autant assister les gouvernements et les entreprises dans leur parcours de transformation numérique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Il est urgent de développer une règlementation sur les cryptomonnaies au Maroc ! || subtitle : None || body : Par Cathie-Rosalie Joly, avocate associée Bird & Bird L’émergence croissante des cryptomonnaies est à l’origine d’un bouleversement du monde monétaire et financier sans précédent. Actuellement, les transactions en cryptomonnaies sont pourtant interdites au Maroc et constituent même une infraction à la réglementation des changes. Le 10 janvier 2022, le Maroc a néanmoins annoncé qu’il comptait encadrer l’usage de ces cryptomonnaies par une nouvelle législation et créer une cryptomonnaie marocaine ! L’instauration de cette nouvelle législation permettrait d’exploiter le potentiel immense que les cryptomonnaies sont susceptibles d’offrir. Des avantages immédiats pour le pays seraient à retirer de ce cadre juridique nouveau ; des bénéfices à la fois en termes de sécurité juridique, mais aussi de croissance économique. Renforcer la sécurité juridique L’absence d’un cadre légal peut entraîner un manque de confiance des utilisateurs de cryptomonnaies. Encadrer les services permettrait toutefois de professionnaliser, sécuriser et contrôler les acteurs marocains et étrangers souhaitant proposer leurs services dans le pays. L’instauration d’une réglementation dédiée démontrerait la volonté du Maroc de soutenir le développement de ces technologies et d’encourager les innovations dans ce secteur. L’émergence de plateformes marocaines innovantes dans le secteur des cryptomonnaies serait ainsi favorisée. L’instauration d’une telle réglementation permettrait par ailleurs de réduire les risques de développement de systèmes de paiements parallèles qui font peser une lourde menace sur la sécurité des personnes et des États. Cet encadrement pourrait notamment se matérialiser par un contrôle des plateformes d'échange et des dépositaires de cryptomonnaies et la mise en œuvre de mesures préventives et de déclaration des transactions suspectes. De manière générale, la réglementation pourrait décider de soumettre les acteurs offrant des services relatifs aux cryptomonnaies à des mesures de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme similaires à celles imposées aux institutions financières régulées. Accompagner la modernisation de l’économie En juin 2020, le taux de bancarisation a été estimé à 78% par la Bank Al-Maghrib. L’inclusion financière est un enjeu fondamental pour favoriser le développement de la population marocaine et est associée à la réduction de la pauvreté. Le soutien en faveur des cryptomonnaies agirait directement sur le problème de non-bancarisation auquel fait face une partie de la population. Les cryptomonnaies sont en effet un outil adéquat pour faciliter des formes numériques de paiements moins coûteuses à exploiter et plus facilement accessibles. Elles seraient donc un moteur de l'inclusion financière en augmentant l'accès aux paiements numériques et en servant de passerelle vers un accès à des services financiers plus nombreux. Il est par ailleurs probable qu’une cryptomonnaie marocaine, si elle voyait effectivement le jour tel qu’annoncé, soit rapidement et massivement adoptée par les consommateurs nationaux. La définition d’un ensemble de règles encadrerait évidemment son développement conformément à la politique monétaire voulue par le Maroc. La régulation des services de cryptomonnaies favoriserait également l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché. Ces nouvelles entreprises auraient pour effet direct d’agir sur la forte concentration des fournisseurs de services et contribueraient à une réduction des coûts de paiements. Cela aurait pour conséquences d’accroître la concurrence face aux formes et services de paiement existants. Aussi, tel que cela a été mentionné par le Wali de Bank Al-Maghrib, les cryptomonnaies constituent «un moyen d’innovation qui peut être dans l’intérêt du consommateur dans la mesure où il peut faire baisser les coûts». Les plateformes de cryptomonnaies viendraient ainsi compléter les offres proposées par le secteur bancaire et financier tout en renforçant les complémentarités entre ces différents acteurs et en permettant le développement de services innovants. La liste des avantages à retirer d’une ouverture encadrée du Maroc aux cryptomonnaies est, on le voit, si longue qu’elle pourrait s’apparenter à un inventaire à la Prévert. Accompagner cette transformation de l’économie marocaine ne doit pas être vécue comme une réponse à une menace ; c’est au contraire une opportunité unique d’accélérer en direction de nouveaux horizons de croissance.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : L’âme comme archétype du féminin || subtitle : Plusieurs versets du Coran font référence aux différentes représentations de l’âme humaine (an nafs) en fonction de son degré d’élévation spirituelle. Nous retrouvons dans la pensée soufie de nombreux traités qui classent ces étapes de l’âme comme autant d’états de conscience dans le chemin d’un accomplissement personnel. En l’occurrence les «fuyûdât ar rabbâniya» (Les effusions seigneuriales) du Shaykh Abd el qâdir al Jilânî (m. 1166) dont le mausolée se trouve à Baghdad et selon lequel il y a sept degrés de l’élévation de l’âme, dont le premier est celui de l’âme despotique (an nafs al ammâra). || body : Parmi les mystiques musulmans, Ibn Arabî est sans doute celui qui a le plus magnifié l’archétype du féminin et reconnu l’élévation et les plus hautes réalisations spirituelles d’un grand nombre de femmes qu’il a rencontrées lors de ses nombreux voyages entre Occident (Andalousie, Maghreb et notamment Fès) et Orient. Pour mieux assoir sur un plan métaphysique la prééminence du symbolisme du féminin, il va faire valoir que si selon une tradition bien établie on considère que Ève est issue d’Adam, les deux sont issus d’une «âme unique», qui est une entité féminine. Comme cela est spécifié dans le verset suivant : «Ô Humains craignez Dieu qui vous a créé d’une âme unique et dont Il a créé son épouse et a engendré des deux de nombreux hommes et femmes...» (Cor. 4/1). La grande orientaliste allemande Anne Marie Schimmel a publié quelques études remarquables et, très récemment, Eric Geoffroy, universitaire et spécialiste du soufisme, un livre très complet sur les représentations du féminin dans la pensée islamique. Et j’ai bien sûr déjà eu l’occasion de citer l’ouvrage remarquable du Docteur Asma Lamrabet sur «Le Coran et les femmes». Il y a là une matière très riche que nous ne pourrons pas développer ici. Mais il pourrait être intéressant de tenter l’esquisse d’une herméneutique (ta’wîl ou interprétation spirituelle des textes scripturaires) des figures du féminin à partir des différentes représentations de l’âme humaine (an nafs) dans le texte coranique. Plusieurs versets font référence à ces différentes expressions de l’âme en fonction de son degré d’élévation spirituelle. Nous retrouvons dans la pensée soufie de nombreux traités qui classent ces étapes de l’âme comme autant d’états de conscience dans le chemin d’un accomplissement personnel. En l’occurrence les «fuyûdât ar rabbâniya» (Les effusions seigneuriales) du Shaykh Abd el qâdir al Jilânî (m. 1166), dont le mausolée se trouve à Baghdad et selon lequel il y a sept degrés de l’élévation de l’âme, dont le premier est celui de l’âme despotique (an nafs al ammâra) : «Je ne cherche pas à m’innocenter car c’est le propre de l’âme d’inciter (ammâra)  au mal, à moins qu’elle ne soit touchée par la grâce de Dieu...» (Cor. 12/53). On peut préciser, même s’il a de fait une portée générale, que ce passage coranique se réfère aux circonstances troubles qui ont entouré l’accusation d’abus portée par la femme d’Al Azîz (selon les source bibliques,  Ra’il ou Putiphar) et ceci au moment même où elle regrettait cet acte et reconnaissait l’innocence de Joseph à cet égard. Il faut mentionner que dans certaines exégèses  Zulaykha, la femme de Putiphar, va après cette aventure devenir effectivement l’épouse  de Joseph. Ce qui va donner lieu à plusieurs récits et commentaires mystiques selon lesquels Zulaykha est le symbole de l’âme humaine qui, éprise de la Beauté divine, va entreprendre ce voyage vers la source divine, en traversant de nombreuses épreuves et étapes. «L’amour est comme un océan, dira la grand poète mystique Rûmî, sur lequel les cieux ne sont qu’écume ardente, comme Zulaykha dans son amour pour Yûsuf». Il faut mentionner que dans le Coran ainsi que dans la Bible (Le Cantique des Cantiques), la relation du Roi Salomon avec Belqis, reine de Saba, se prête à une interprétation symbolique et spirituelle similaire. L’étape qui va suivre l’âme despotique est selon la terminologie coranique l’âme admonestatrice, ou l’âme qui se blâme (an nafs alawwâma) : «Non !... Je jure par l’âme qui admoneste» (Cor. 75/2). Le troisième degré de l’âme, décrit dans le Coran, est celui de l’âme inspirée (al nafs al mulhama) : «Par une âme ! – Comme Il l’a modelée en lui inspirant [ce qu’est] son libertinage et sa piété» (Cor.91/7). Il est remarquable que ce degré de conscience de l’âme inspirée est mis en relation dans le Coran de manière différente avec plusieurs figures féminines. C’est en l’occurrence le cas de Sâra (Sarah) qui a eu un échange avec des émissaires angéliques qui sont venus trouver Abraham et leur annoncer la naissance d’un fils, Ishâq (Isaac), malgré leur âge avancé (Cor. 11/69-73). C’est celui aussi de la mère de Moïse (Yokheved dans la Bible) qui sous l’effet de cette inspiration (révélation selon le texte coranique) va mettre son enfant dans un coffret et abandonner son destin à la Providence divine : «Et Nous fîmes la révélation suivante à la mère de Moïse : “Allaite ton fils et si tu as peur pour lui dépose le dans le fleuve et n’éprouve ni crainte ni chagrin à son égard, car Nous allons te le rendre et en faire l’un de nos messagers”» (Cor. 28/7). Ou encore : «Et le cœur de la mère de Moïse devint vide. Et peu s’en fallut qu’elle n’en divulgue la raison, si Nous n’avions pas raffermi son cœur afin qu’elle soit parmi ceux qui [persistent] dans la foi» (Cor. 28/10). Cette dernière mention du «raffermissement (rabatnâ) du cœur» annonce déjà le quatrième degré de l’âme qui est celui de l’apaisement ou de la paix intérieure, l’âme pacifiée (al nafs al mutm’inna). Le verset coranique qui en fait mention détermine également deux autres expressions de l’âme, agréante (râdiya) et agréée (mardiya) : «Ô toi ! âme apaisée ! retourne vers ton Seigneur agréante et agréée» (Cor. 59/27-28). Dans le Coran, Marie traverse plusieurs de ces étapes pour parvenir à un accomplissement, telle qu’elle est décrite par le Prophète Muhammed (PLS), en résonance avec la révélation coranique, comme l’une des quatre femmes parfaites de l’univers : «Et quand les anges dirent : “Ô Marie ! Dieu t’a élue, t’a purifiée, Il t’a élue sur toutes les femmes de l’univers ! Ô Marie prosterne-toi pour L’adorer et incline toi avec ceux qui s’inclinent”» (Cor. 3/42-43). Marie a dû cependant passer par des étapes et de grandes épreuves : «Elle devient donc enceinte de l’enfant et se retira avec lui dans un lieu éloigné. Les douleurs la surprirent au tronc d’un palmier et elle dit : «Malheur à moi ! Que ne sois déjà morte et oubliée d’un grand oubli !» (Cor. 19/22-23). Avant que la réponse ne lui parvienne sous la forme d’un miracle exprimant toute la Miséricorde de Dieu à son égard : «Il (l’enfant) l’appela de dessous d’elle : “Ne t’attriste pas ! Ton Seigneur à fait jaillir un ruisseau à tes pieds. Secoue vers toi le tronc du palmier, il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. Mange, bois et rafraichis tes yeux !”...» (Cor. 19/24-26). Selon cette terminologie des sept degrés mentionnée plus haut, Marie symbolise l’âme apaisée, agréante, agréée et finalement accomplie.  (an nafs al kâmila). PAR Faouzi Skali</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Le «Must Have» des budgets 2024 (Tribune) || subtitle : À l’aune des rebondissements et disruptions de ces quatre dernières années, l’appréhension de l’imprévisible et le doute sur la reprise planent sur l’exercice budgétaire 2024. D’aucuns diront que le monde est entré dans le cycle des années des sept vaches maigres. Les épisodes inflationnistes successifs affectent sérieusement le pouvoir d’achat des ménages et les entreprises en souffrent doublement que ce soit en termes de volume de chiffre d’affaires ou de marge d’exploitation. || body : Par Kamal El Alami, directeur général adjoint de Groupe Le Matin Heureusement, certains acteurs s’en sortent, malgré la succession des crises mondiales, souvent en misant sur un leadership fort, une agilité à toute épreuve et un lean management qui élimine tous les gaspillages et améliore la satisfaction client. En effet, le leadership au sein de l’entreprise permet de fédérer le capital humain autour d’une vision partagée, d’encourager l’innovation et de stimuler une culture positive orientée performance. L’ agilité permet d’adopter une approche incrémentale qui favorise la flexibilité et l’adaptabilité par rapport aux changements du marché. L’approche japonaise du Lean management améliore l’efficacité opérationnelle pour plus de valeur ajoutée aux différentes parties prenantes. Le PLF 2024 adopté en deuxième lecture à la Chambre des représentants Fin du circuit législatif pour le projet de loi de Finances (PLF 2024). Le texte vient d'être adopté, en seconde lecture, par la Chambre des représentants. Les organisations qui intègrent ces trois approches sont censées être mieux équipées pour faire face aux défis d’un marché de plus en plus concurrentiel et instable. Cependant, de nouvelles disruptions risquent de changer la donne et il est nécessaire de les anticiper lors de l’exercice budgétaire pour cette nouvelle année. La ruée vers le digital accélérée par la pandémie a généré une recrudescence des cyberattaques et il est devenu difficile de se protéger avec les outils standards. La mobilité des utilisateurs, l’essor des équipements intelligents, le recours à l’hébergement des serveurs en cloud et le développement du SaaS ( Software as a service ) sont autant de facteurs qui augmentent la productivité tout en accroissant l’exposition aux risques de sécurité. Mais la vraie menace vient de la nécessaire transition des algorithmes de cryptage normaux vers ceux du quantique, plus adaptés aux ordinateurs de même nature. La nouvelle technologie quantique est capable de décoder les chiffrements les plus complexes, notamment au niveau des protocoles de communication. Le volet cybersécurité doit donc être intégré de manière conséquente dans les budgets 2024, à la fois au niveau de la formation des équipes, des outils de monitoring, de l’architecture complexe difficile à infiltrer et de solutions de sécurité intelligentes et évolutives. Sur un autre registre et ayant fait couler beaucoup d’encre concernant son éthique, sa pertinence et ses menaces, l’intelligence artificielle devient aujourd’hui une réalité et une véritable révolution de l’année 2024. Le temps n’est plus à la réflexion, c’est un «must have» pour toute organisation qui souhaite être compétitive et performante. Les solutions fusent et foisonnent sur le net avec des prix très accessibles et des performances créatives de plus en plus stupéfiantes. L’avènement d’une intelligence artificielle générative capable d’apprendre différents sujets grâce au « Large Language Model (LLM)» ouvre des possibilités incroyables à la synergie homme-machine . Le fait qu’elle soit capable de produire des reportings et des conceptions complexes en mode autonome annonce une rupture avec le mode de fonctionnement de la société telle qu’on la connaît. L’année 2023 peut être considérée comme la phase de tâtonnement et de recherche de soi pour l’IA générative, mais 2024 sera l’année de maturité et de généralisation. Le quotient intellectuel verbal de ChatGPT-4 a été évalué par un psychologue finlandais à 155, soit une progression de 59 points par rapport à sa précédente version. Ceci correspond à un niveau extrêmement élevé et assez rare chez l’être humain, puisque Einstein est censé avoir eu un QI de 160. Le QI le plus élevé actuellement s’élève à 225 et est détenu par deux prodiges installés aux États-Unis. Il s’agit de Terence Tao, un mathématicien de renom, et Christopher Hirata, un astrophysicien. Au vu des évolutions du LLM et des ordinateurs quantiques, les êtres humains les plus incroyables seront rapidement dépassés. Ainsi, la technologie du 21e siècle intègre de manière directe et forcée le dernier bastion des ressources humaines, la matière grise. Les collaborateurs d’une entreprise dotés d’outils IA adéquats peuvent être considérés comme des personnes «augmentées», capables de performances inédites et inégalables. Sans ces nouveaux outils, le manager et le collaborateur sont démunis et leur entreprise ne saura faire face à une concurrence armée d’un booster technologique inédit. Dans notre nouvelle réalité, l’IA apporte de la magie à la formule du triptyque du leadership, de l’agilité et du lean management afin de propulser la créativité et la performance. Pour toute entreprise, une telle démarche peut refaçonner la transformation digitale, redéfinir les besoins en ressources humaines et rehausser les objectifs de croissance et de rentabilité. La mise en œuvre de cette nouvelle disruption n’est pas une tâche aisée. Elle nécessite une nouvelle vision claire et une bonne collaboration entre le top management et les différents départements de la DSI. Il s’agit, notamment, de bien identifier des solutions évolutives et adaptées à l’ADN de l’entreprise, d’avoir une infrastructure informatique mature capable de les intégrer et surtout des collaborateurs prédisposés à devenir des individus augmentés. Sur un autre volet, l’essor de l’IA touche aussi des domaines névralgiques et stratégiques pour les nations, dont la santé, l’enseignement et la défense. Autant de secteurs où la souveraineté nationale est une priorité indiscutable. Mais là, c’est un autre sujet qui mérite une profonde réflexion. En attendant, il faut aussi se poser plusieurs questions connexes dans le genre : quelle législation pour cadrer l’utilisation de l’IA ? Ou quelles compétences et infrastructures préparer pour maintenir et exploiter des ordinateurs quantiques ? En tout cas, ce qui est sûr, c’est que les défis de demain se gagnent aujourd’hui.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Chantres de l’Amour divin || subtitle : Si la théologie s’adresse à la raison, l’amour est le fruit de cette intelligence ou contemplation du cœur. Cet éveil à l’amour spirituel s’est souvent accompli par la poésie soufie (Samâ’) régulièrement chantée dans les Zawiya-s ou dans des domiciles privés, réunions ouvertes à la participation de tous, y compris aux plus jeunes. Il s’agit là d’une éducation à la fois à l’art, à la culture du beau et de la spiritualité, à l’imbibition de la langue arabe par une magnifique poésie, coulant de source. Au Maroc, cette culture de l’amour spirituel a irrigué traditionnellement nos valeurs de conduite et le rapport que nous entretenons avec la religion. Celle-ci ne se réduit pas à un «système» de pensée, mais s’incarne dans un art de vivre. || body : Par Faouzi Skali Dans ses «futûhât al makkiya», Ibn ‘Arabî souligne le fait que les arguments abstraits et souvent ardus de la théologie ne peuvent par eux-mêmes conduire à ce sentiment central dans toute véritable dévotion ou adoration, l’amour spirituel. Pour autant, comment naît ce sentiment d’amour dans une âme portée dans son voyage intérieur vers la Présence et la Proximité divines ? Si la théologie s’adresse à la raison, l’amour est le fruit de cette intelligence ou contemplation du cœur. Dans les chants parfois mystiques de notre répertoire andalou, on entend ce vers : «La manifestation de Ta Beauté suscite celle de mon amour». Cet éveil à l’amour spirituel s’est souvent accompli par la poésie soufie (Samâ’) régulièrement chantée dans les Zawiya-s ou dans des domiciles privés, réunions ouvertes à la participation de tous, y compris aux plus jeunes. Il s’agit là d’une éducation à la fois à l’art, à la culture du beau et de la spiritualité, à l’imbibition de la langue arabe par une magnifique poésie, coulant de source. Au Maroc, cette culture de l’amour spirituel a irrigué traditionnellement nos valeurs de conduite et le rapport que nous entretenons avec la religion. Celle-ci ne se réduit pas à un «système» de pensée, mais s’incarne dans un art de vivre. Cette culture a été cependant traversée depuis plusieurs décennies par des mouvements idéologiques pour lesquels cette dimension spirituelle et intérieure n’a quasiment pas de place. Dans une approche spirituelle, on souligne que Dieu est certes Transcendant (Zâhir), mais qu’Il est aussi Immanent (Bâtin), comme cela est mentionné dans le Coran : «Il est le Premier et le Dernier, l’Extérieur et l’Intérieur, et Il est de toute chose Omniscient» (Cor. 57/3) . Cette proximité intime de la Présence divine est mentionnée ainsi : «Nous avons créé l’être humain et Nous savons ce que lui suggère son âme et Nous sommes plus proches de lui que sa veine jugulaire  (Cor. 50/16). Plusieurs versets évoquent la réciprocité de l’amour qui lie les hommes à Dieu : «... Il les aime et ils L’aiment.. » (Cor. 5/54) «... et ceux qui ont la foi ont un amour de Dieu encore plus grand» (Cor. 2/165). De nombreux hadîths et commentaires ou traités corroborent cette dimension de l’amour spirituel et sa centralité religieuse. C’est cette dimension qui va être magnifiée et portée aux plus hauts niveaux par la voie spirituelle et la poésie soufie. Pour ces chantres de l’amour, il ne s’agit pas là d’une représentation abstraite, mais de l’effet d’une expérience, d’une saveur (dhawq), pleinement vécue et éprouvée. La réalité de cette expérience est cependant tellement subtile qu’elle ne peut s’exprimer qu’en termes symboliques. C’est en se basant sur tous ces éléments que va se développer une tradition  poétique qui se ressource à la fois dans ces orientations coraniques et prophétiques, mais aussi dans la grande tradition littéraire de la poésie arabe et en particulier celle de l’amour courtois platonique, dit «udhrî» (d’une tribu portant le même nom, connue pour avoir développé  cette approche amoureuse) et du «nasîb» (poésie centrée sur l’absence de la bien-aimée) et même de la «khamriya» (poésie bachique faisant l’éloge du vin), en réinterprétant l’ensemble de ces genres dans un sens spirituel. C’est ainsi que Ibn Fârid (m. 1234), appelé Sultan de l’amour divin, a pu dire dans sa célèbre «khamriya» : «Nous avons bu à la mémoire du Bien Aimé un vin qui nous a enivrés avant la création de la vigne / Notre verre était la pleine lune, lui, il est un soleil ; un croissant le fait circuler. Que d’étoiles resplendissent quand il est mélangé. / Sans son parfum, je n’aurais pas trouvé le chemin de ses tavernes. Sans son éclat, l’imagination ne le pourrait concevoir.» Interrogé sur la signification de cette Présence d’amour, Ibn al Fârid dit : «Limpide elle n’est pas eau, subtile elle n’est pas air, lumineuse elle n’est pas feu, esprit elle n’est pas corps». Il ne s’agit ici que d’évoquer quelques exemples, à titre illustratif, d’une poésie de l’amour divin dans le patrimoine littéraire de l’Islam, dont la richesse est de fait incommensurable. Citons ce passage de la grande Rabia : «Je T’aime de deux amours : l’un, est passion d’aimer, L’autre, pour ce que Tu es digne d’être aimé. Le premier, n’est que souvenir de Toi, Eloignée de tout ce qui est autre que Toi. Le second, c’est l’enlèvement de tes voiles Afin que je Te voie. De l’un ni de l’autre, je ne veux être loué Mais pour l’un et pour l’autre, louange à Toi !» Évoquons ce couplet célèbre d’Ibn Arabî : «Je professe la religion de l’amour et en quelque lieu que se tournent ses montures   l’amour est ma religion et ma foi». On retrouve des résonances de cette tradition littéraire et poétique soufie de la thématique arabe classique de l’amour éperdu de Qays pour Laylâ dans plusieurs œuvres de la littérature universelle (dont celle de Cervantes) et, en l’occurrence, dans le contexte d’une Grenade mythique,  chez Aragon, dans «Le fou d’Elsa». Poésie magnifiquement chantée, on le sait, par Jean Ferrat : «Aimer à perdre la raison Aimer à n’en savoir que dire À n’avoir que toi d’horizon Et ne connaître de saison Que par la douleur du partir Aimer à perdre la raison». Une mise en abyme à travers les siècles du Majnûn de Layla   : «Passant par les demeures, les demeures de Laylâ J’embrasse tel vestige, et tel autre vestige Ce n’est pas que l’amour de ces vestiges ait saisi mon cœur Mais l’amour de celle qui est passé par ces demeures».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Comment les organisations africaines peuvent utiliser l’IA pour accélérer la durabilité en 2023 (Tribune) || subtitle : None || body : Par Mimoun Ouchaou, directeur général d’IBM Maroc, explique comment la technologie de l’IA peut aider les entreprise à gérer, analyser et opérationnaliser les données. Les entreprises africaines ne peuvent plus considérer les objectifs de durabilité comme une option – c'est un impératif commercial. Dans le monde actuel d’interconnecté, les chefs d'entreprise du continent sont confrontés à des pressions croissantes pour une plus grande transparence en matière de durabilité de la part des conseils d'administration, des investisseurs, des clients et des employés. Des données récentes montrent que la durabilité occupe une place de choix dans les agendas des entreprises – près de la moitié (48%), des PDG mondiaux déclarent que l'augmentation de la durabilité est l'une de leurs principales priorités – en hausse de 37% depuis 2021. La COP27 de l'année dernière a souligné l'importance de passer des engagements à l'action dans la lutte contre le changement climatique. En 2023, l'objectif est non seulement de fixer des objectifs ambitieux en matière de durabilité, mais aussi de transformer ces ambitions en actions. Pourtant, seuls 23% des chefs d'entreprise déclarent mettre pleinement en œuvre des stratégies de développement durable dans leur organisation aujourd'hui, et ces dirigeants indiquent que le manque d'informations fiables sur les données les empêche d'agir. Relever les défis de la durabilité peut exiger des entreprises qu'elles réalisent des investissements substantiels dans l'informatique verte, les nouveaux processus et les technologies, comme l'Intelligence artificielle (IA), pour combler le fossé entre la stratégie et l'impact, et il existe plusieurs façons dont l'IA accélérera leurs efforts de durabilité en 2023. Établir une base de données ESG Les données sont un ingrédient essentiel pour obtenir des résultats par rapport aux objectifs de durabilité, et de nombreux chefs d'entreprise reconnaissent que pour atteindre les objectifs de durabilité, ils doivent disposer de données environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) significatives qui les aideront à évaluer leurs progrès. La bonne nouvelle est qu'il existe une pléthore de données environnementales disponibles dans les opérations d'une organisation qui peuvent être extraites des opérations des installations, de la consommation d' énergie , de la maintenance des actifs, de l' infrastructure informatique , etc. En même temps, il est difficile de collecter et de donner un sens à des volumes de données qui se trouvent dans différents silos au sein d'une entreprise. Les organisations doivent être équipées pour communiquer des données à une variété de parties prenantes et en fonction d'un paysage complexe de cadres ESG. Au cours de l'année à venir, les parties prenantes tiendront les dirigeants davantage responsables des efforts de leur entreprise en matière de durabilité. Les entreprises se tourneront vers les technologies d'automatisation pour la collecte et la consolidation de centaines de types de données afin de fournir systématiquement des informations transparentes, vérifiables et de qualité financière et de rendre compte des progrès accomplis. La technologie de l'IA peut aider à gérer, analyser et opérationnaliser les données, ce qui permet aux entreprises de présenter des rapports sur leurs objectifs. Les entreprises seront en mesure de mesurer les données ESG là où elles sont stockées et de les transformer en informations prédictives qui pourront être utilisées pour évaluer les progrès accomplis dans la réalisation des critères de durabilité, et contribuer ainsi à réduire l'impact environnemental des opérations commerciales quotidiennes. Construire des chaînes d'approvisionnement plus responsables Les entreprises ont besoin d'une visibilité approfondie de la chaîne d'approvisionnement pour atteindre leurs objectifs de durabilité et répondre aux nouvelles exigences réglementaires en matière d'ESG. La possibilité de remonter à la source des produits est essentielle pour certifier qu'ils ont été produits de manière éthique et durable, et les consommateurs attendent de plus en plus une transparence totale, du premier au dernier kilomètre de la chaîne d'approvisionnement. La compréhension de l'empreinte carbone est également essentielle, car les émissions de portée 3 peuvent représenter jusqu'à 90% des émissions globales de gaz à effet de serre. La transparence et la visibilité nécessitent des données fiables et sécurisées , et la plupart des responsables de la chaîne d'approvisionnement (CSCO) s'attendent à ce que des niveaux accrus de transparence et de visibilité soient des facteurs clés de différenciation au cours des trois prochaines années. L'utilisation des données, de l'analyse et de l'IA permet aux organisations d'optimiser les flux de travail et de fournir cette visibilité, et les CSCO exploiteront l'IA et une approche axée sur les données pour relever les défis de la chaîne d'approvisionnement. En appliquant la technologie de l'IA, les entreprises peuvent établir des chaînes d'approvisionnement plus transparentes, plus traçables et plus décarbonées . L'IA et l'automatisation peuvent aider les CSCO et leurs équipes à collecter des données, à identifier les risques, à valider la documentation et à fournir des pistes d'audit, même en période de forte inflation, tout en gérant leur carbone, leurs déchets, leur énergie, leur eau, leur consommation et leur utilité matérielle. Cela peut permettre de redimensionner les stocks afin d'aider les entreprises à réduire le gaspillage et le temps nécessaire pour retracer la provenance des produits de plusieurs jours à quelques secondes. Gérer l'impact des changements météorologiques Les chefs d'entreprise ne peuvent ignorer les risques croissants du changement climatique . Les conditions météorologiques extrêmes, l'échec de l'action climatique et les dommages environnementaux causés par l'homme sont les trois principaux risques les plus probables pour les entreprises au cours des dix prochaines années, selon le rapport sur les risques mondiaux du Forum économique mondial 2021. Cette année, les entreprises chercheront de plus en plus à exploiter les données météorologiques et climatiques pour lutter contre le risque climatique – et l'IA sera la clé. Il existe une grande quantité de données précieuses liées au climat, notamment des observations en temps réel et en continu sur la météo et les opérations commerciales. Mais les entreprises ne tirent pas encore pleinement parti de ces informations. La technologie de l'IA peut jouer un rôle essentiel pour aider les entreprises à lutter contre les effets du changement climatique. En combinant l'IA, les données météorologiques, climatiques et opérationnelles, il devient plus facile de gérer les risques climatiques affectant les opérations commerciales, et les entreprises sont mieux placées pour faire progresser les objectifs ESG. Par exemple, des données météorologiques et climatiques cohérentes analysées par l'IA permettent aux entreprises d'approfondir des problèmes spécifiques, ainsi que d'évoluer vers des structures de rapport plus larges, comme l'identification des régions, des bâtiments ou des actifs susceptibles de contribuer à une quantité disproportionnée d'émissions de carbone afin de prioriser les efforts d'amélioration. L'impact et l'urgence du changement climatique et de l'ESG envahissent le monde des affaires en mettant davantage l'accent sur la responsabilité et l'action. En 2023, l'IA peut être un moteur de la durabilité, en aidant les entreprises à agir pour résoudre certains des problèmes les plus urgents et à construire un avenir plus durable.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La monnaie digitale de la banque centrale : les facteurs de succès (Tribune) || subtitle : None || body : Par Dr. Lamiae Benhayoun, Professeur-chercheur en Management des Systèmes d’Information à UIR Rabat Business School Aujourd'hui, les soldes de trésorerie et de réserve ne sont disponibles que pour certaines institutions, principalement des banques. Cependant, la situation pourrait assez rapidement évoluer avec l’avènement du digital qui transforme la façon dont nous effectuons des transactions financières. Dans un monde programmable, les utilisateurs cherchent la décentralisation en omettant les intermédiaires comme les avocats, les courtiers et les banquiers, afin d’effectuer des transactions plus rapides et moins chères. De telles mutations poussent à l'introduction des monnaies numériques dans nos sociétés, matérialisées par les crypto-monnaies et les monnaies digitales des banques centrales (Central Bank Digital Currency-CBDC). Les crypto-monnaies sont des devises mondiales programmables sous forme de systèmes anonymes qui menacent les États-nations, puisqu’elles privent les gouvernements du contrôle de la politique monétaire et budgétaire. Leur valeur est principalement celle du stockage et de la spéculation, non dans l’usage. En revanche, une CBDC est une monnaie issue par une banque centrale, utilisée pour régler des paiements ou comme réserve de valeur. Elle constitue une monnaie électronique mais qui existe déjà sous forme de réserves de la banque centrale. La CBDC peut être soit une monnaie fiduciaire, ou non fiduciaire s'appuyant sur l'or ou un autre métal précieux. L'adoption des CBDC réduira l'utilisation du cash qui implique des coûts de stockage élevés, permettant ainsi une plus grande flexibilité du système financier. Au-delà des défis techniques : une recherche pour examiner l’acceptation des CBDC par les ménages Les formes centralisées de monnaies numériques sont encore principalement en phase de test pour affiner leurs fonctionnalités techniques et opérationnelles et éclairer les institutions quant à la conception précise de ces monnaies. En effet, les CBDC posent des défis concernant la traçabilité, leur nature symbolique ou liée à un compte réel, le degré d'anonymat des utilisateurs, et la génération d’intérêts. 10% des banques centrales sont susceptibles d'émettre une CBDC pour le public à court terme, ce qui représente 20% de la population mondiale et qui aura d’importantes retombées transfrontalières. L'e-yuan est en test dans plusieurs villes chinoises et devrait être la première grande CBDC du marché. Un test pilote est en cours pour l'e-krona en Suède qui devrait rendre compte des résultats fin 2022. Au Maroc, Bank-Al-Maghrib mène actuellement une réflexion sur le sujet avec l'aide d'experts internationaux et s’est doté récemment d’un cadre institutionnel dédié à la CBDC. Ces projets sont réalisés en collaboration avec des véhicules d’innovation internationaux tels que le BIS (Bank for International Settlements). Cependant, des problèmes non techniques restent également à résoudre. L'une des principales difficultés est l'acceptation par les ménages de cette technologie disruptive. L'aspect marketing - identifier les motivations et les besoins - est absent dans presque tous les projets et études des CBDC. Ce n'est non seulement une lacune majeure mais aussi une erreur dans le processus de conception : nous concevons des modèles de CBDC avant de savoir ce que leurs futurs utilisateurs veulent réellement. Dans cette perspective, une étude couvrant des pays où des réflexions et des projets CBDC sont en cours, notamment la France, le Suède, le Maroc et la Chine, a été réalisée par Dr. Lamiae Benhayoun de UIR - Rabat Business School, en collaboration avec des académiques de l'Université de Halmstad en Suède*. La recherche, qui a révélé les facteurs incitant les ménages à adopter une CBDC, aidera les décideurs politiques à mieux concevoir et déployer des CBDC. Nous fournissons ici aux praticiens des recommandations quant à la manière d'agir sur ces facteurs propres aux consommateurs. Possibilités d’usage de la CBDC rapportées par les consommateurs Notre étude montre que les CBDC ne sont pas seulement acceptées par une jeune génération, ce qui était peut-être attendu, mais par des utilisateurs potentiels de tout âge. Les consommateurs sont largement prédisposés à transformer leurs dépôts bancaires en CBDC, et à utiliser cette monnaie fréquemment dans leur quotidien pour plusieurs finalités: des opérations de virement, des transactions bilatérales, les paiements transfrontaliers, les achats en ligne et physiques, et la perception de leurs salaires. Par conséquent, les gouvernements doivent émettre des CBDC puisque cette monnaie pourrait servir d’outil par lequel l'État créerait un système social plus efficace et plus sûr grâce à des paiements directs, immédiats, et plus flexibles. L’adoption des CBDC encouragée par son utilité, la sphère sociale et les ressources disponibles L’utilisation par les ménages des CBDC est favorisée lorsque cette technologie fonctionne comme prévu en termes de convivialité, de facilité des transactions financières, de rentabilité, de rapidité, et de productivité par rapport aux autres moyens de paiement. Ainsi, les banques centrales doivent sensibiliser les utilisateurs à la performance de la CBDC pour améliorer la flexibilité et la qualité de leurs transactions financières. Ceci contribuerait à l’utilisation de cette monnaie de façon continue, fréquente, et quotidienne par les ménages. Par ailleurs, la recommandation et promotion de la CBDC par la sphère sociale accélère son adoption chez les ménages. Cette sphère se compose de la famille et amis proches, de personnalités publiques estimées, et d'experts. Les institutions doivent, de ce fait, inciter à la recommandation des CBDC sur les réseaux et à travers des personnes modèles, afin d’inspirer les utilisateurs potentiels. Aussi, lorsque l'utilisateur a accès à des ressources facilitant l'utilisation de la CBDC, il est susceptible de l'adopter dans ses transactions financières quotidiennes. Les ressources nécessaires à la CBDC comprennent de nouveaux appareils, Internet, des connaissances spécialisées, la compatibilité avec d'autres appareils, et la présence d'un support professionnel. Dès lors, les banques centrales doivent mettre en place un soutien constant et un environnement numérique adéquat aux CBDC chez les ménages. Elles doivent aussi s'assurer que les consommateurs sont conscients de la facilité d’adopter une telle monnaie lorsqu’ils ont accès aux connaissances et au support des banques centrales. La confiance en la CBDC : Le facteur central pour son adoption par les ménages Une conclusion importante de cette étude est que les CBDC peuvent être émises par les gouvernements comme un moyen de reprendre un meilleur contrôle de la politique monétaire, si et seulement si les utilisateurs ont confiance dans le système de cette monnaie. Cette confiance inclut la capacité de la banque centrale à gérer les salaires en monnaie numérique et les portefeuilles, et à garantir l'aspect privé des transactions. La CBDC digne de confiance doit aussi être une monnaie à l’échelle nationale, contrôlée par l'état. En particulier, notre recherche démontre que, même si la CBDC est compréhensible et facile à utiliser, ces fonctionnalités ne peuvent bénéficier à son adoption par les ménages que lorsque la confiance en cette monnaie est installée. Ainsi, les banques centrales doivent proposer une CBDC flexible et accessible, tout en veillant à accentuer la confiance des utilisateurs en cette monnaie. Un usage commercial par ces banques de la confiance des ménages est nécessaire pour motiver ses potentiels usagers. La confiance dans le système existant des principales monnaies fiduciaires interdépendantes menées par le dollar américain, a été sérieusement érodée suite à la rupture de Nixon avec le système de Bretton Woods en 1971 et la politique fédérale de dépenses déficitaires sous Alan Greenspan. Elle a été aggravée par la crise de 1995-2000 (bulle dot-com), 2007-2008 (crise des prêts hypothécaires), et maintenant 2020- (crise Covid-19) et 2022 -(guerre russo-ukrainienne). Alors que les crypto-monnaies semblent être une alternative potentielle, nos recherches fournissent des preuves que les monnaies numériques émises par les banques centrales sont perçues comme plus fiables par les ménages. Nous montrons que les CBDC sont susceptibles d'être largement utilisée pour le stockage de valeur lorsque la confiance est installée dans ce système monétaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Les pouvoirs professionnels du Bâtonnier (Tribune) || subtitle : Il est l’un des piliers de la Justice, il porte la voix de la profession des avocats et assure la connexion entre la profession et tous les acteurs de l’écosystème judiciaire. On parle du Bâtonnier qui assume la lourde tâche de représenter le corps des avocats et est le garant du respect des règles déontologiques et professionnelles. Quel rôle joue le Bâtonnier en tant que chef de l’Ordre des avocats ? Quelles sont ses prérogatives ? Comment il défend les droits des avocats ? Comment il gère les liens entre la profession et tous l’écosystème ? Maître Naoui Saïd, Avocat au barreau de Casablanca, nous apporte plus d’éclairage dans cette tribune. || body : Maître Naoui Saïd, Avocat au barreau de Casablanca Le Bâtonnier est le titre donné au chef de l'Ordre des avocats dans plusieurs pays francophones dont le Maroc. Il joue un important rôle dans la profession d'avocat et est responsable de nombreuses tâches et prérogatives professionnelles importantes. Il représente la profession d'avocat auprès des autorités judiciaires, gouvernementales et des autres institutions professionnelles. Il est souvent considéré comme le porte-parole de la profession et peut être consulté sur des questions juridiques et professionnelles. Il joue un rôle de représentation important au sein de la profession d'avocat. Il est chargé d'exprimer les points de vue, les préoccupations et les intérêts des avocats et de la profession dans son ensemble. Il peut intervenir dans des débats et des discussions sur des questions juridiques et législatives qui touchent les avocats et le système judiciaire et entretient des relations étroites avec les juges, les magistrats et les autres membres du pouvoir judiciaire. Il participe également à des discussions sur l'administration judiciaire, la politique judiciaire, la réforme législative et les problèmes auxquels les avocats sont confrontés dans leur pratique. Cela peut inclure des discussions sur les conditions de travail des avocats, les tarifs et les honoraires, les normes professionnelles, la déontologie et l'accès à la justice. Il peut jouer un rôle de médiateur, de conciliateur ou d’arbitre dans les différends internes à la profession. Lorsqu'il y a des conflits entre avocats ou entre avocats et clients, le Bâtonnier peut être sollicité pour aider à trouver une solution équitable. En somme, le Bâtonnier occupe une position charnière dans la profession d'avocat en étant le représentant de premier plan de la profession et en s'efforçant de défendre les intérêts des avocats, de promouvoir l'accès à la justice et d'assurer le respect des normes professionnelles et éthiques. Sa voix et son influence contribuent au développement et à l'amélioration du système judiciaire dans son ensemble. Il peut représenter l'Ordre des Avocats aux réunions, congrès et autres manifestations impliquant des instances judiciaires, gouvernementales ou professionnelles. Il peut également siéger à des comités et groupes de travail pour défendre les intérêts de la profession. Il peut entretenir des relations avec d'autres organisations professionnelles, des barreaux étrangers ou des associations juridiques internationales. Ces liens facilitent l'échange d'informations, la collaboration et le partage des meilleures pratiques entre les différentes institutions. Il peut aussi représenter la profession d'avocat auprès des autorités gouvernementales pour faire entendre les préoccupations des avocats et plaider en faveur de réformes ou de changements législatifs qui améliorent les conditions d'exercice de la profession. Il peut jouer un rôle de sensibilisation envers le public et les autorités sur l'importance de la profession d'avocat dans la société. Il peut souligner le rôle crucial que jouent les avocats dans la protection des droits et l'accès à la justice pour tous. Il peut s'opposer à toute ingérence ou intimidation qui pourrait menacer l'indépendance des avocats dans l'exercice de leur profession. Il peut également s'engager à protéger le secret professionnel et la confidentialité des communications entre avocats et clients. Quelles sont alors les responsabilités et prérogatives courantes associées à ce rôle ? Le pouvoir de la gestion de l'Ordre des avocats Le Bâtonnier est responsable de l'administration de l'ordre des avocats. Cela peut inclure la supervision du personnel de l’Ordre, la gestion des finances, l'organisation d'événements et de formations, et d'autres aspects de l'administration de l’Ordre. Il peut être chargé de superviser et de gérer le personnel du Barreau. Cela implique généralement la coordination des activités, l'attribution des tâches, l'évaluation des performances et la gestion des ressources humaines au sein de l'organisme. Il est vrai que le financier de l'Ordre est responsable de la gestion financière, mais le Bâtonnier est généralement impliqué dans la gestion financière de l'Ordre. Cela comprend la supervision du budget de l'organisation, l'approbation des dépenses, le suivi des revenus et des dépenses et la planification financière à court et à long terme pour assurer la viabilité de l’Ordre. Le rôle de gérance du Bâtonnier est donc crucial pour assurer le bon fonctionnement du Barreau et répondre aux besoins des membres de la profession. Tous ces éléments contribuent à renforcer l'intégrité, l'efficacité et la réputation de la profession d’avocat. Le pouvoir disciplinaire et déontologie Le Bâtonnier veille à l'application des règles déontologiques et professionnelles, et à la discipline des avocats en cas de manquements éthiques ou professionnels. Il s'agit d'assurer le respect des règles et des normes éthiques au sein de la profession. Il peut prendre des mesures disciplinaires en cas de manquements déontologiques ou professionnels. Il joue un rôle clé dans le maintien de la discipline et de la déontologie au sein de la profession. Il peut présider les instances disciplinaires et participer à l'examen des plaintes déposées contre les avocats pour des infractions éthiques ou déontologiques. Ces instances sont chargées d'examiner les plaintes déposées contre des avocats pour des infractions éthiques ou déontologiques. Le Bâtonnier peut présider ces instances disciplinaires ou désigner des membres pour le faire. Toutefois, il peut désigner un membre rapporteur du conseil disciplinaire pour l’instruction du dossier avant de prendre une décision. Ainsi, lorsqu'une plainte est déposée contre un avocat, le Bâtonnier peut superviser l'enquête pour vérifier si des infractions éthiques ou déontologiques ont été commises. Cela peut impliquer la collecte de preuves, l'interrogation de témoins et l'examen minutieux des circonstances entourant la plainte. En cas d'infractions avérées, l'instance disciplinaire peut décider des sanctions appropriées à imposer à l'avocat concerné. Ces sanctions peuvent aller d'avertissements et de réprimandes à des amendes, des suspensions temporaires ou, dans les cas les plus graves, la radiation définitive du barreau . Le rôle du Bâtonnier dans la discipline et la déontologie est essentiel pour protéger le public contre les comportements répréhensibles ou les actes d'inconduite de la part des avocats. Cela contribue à maintenir la confiance du public dans la profession et à garantir que les avocats respectent les normes élevées d'éthique et de conduite professionnelle. Le conseil de l’ordre peut également jouer un rôle dans l'élaboration de règles déontologiques qui régissent la conduite des avocats. Ces règles sont conçues pour guider les avocats dans leur pratique professionnelle et établir des normes de conduite professionnelles élevées . Et, pour faire face à ces dérisions le Bâtonnier peut s'engager dans des initiatives de sensibilisation et de formation pour les avocats afin de les informer des règles déontologiques et des responsabilités éthiques qui leur incombent. Cela peut inclure des séminaires, des ateliers et des publications sur des sujets liés à la déontologie et à l'éthique juridique. En agissant comme gardien de la discipline, le Bâtonnier contribue à maintenir l'intégrité de la profession et à protéger les droits et les intérêts du public qu'elle sert. Le pouvoir de règlement des différends entre avocats Le Bâtonnier peut être impliqué dans la médiation, l’arbitrage et la résolution de conflits entre avocats, en particulier dans les cas de différends professionnels, afin de préserver l'harmonie et la cohésion au sein de la profession. Le Bâtonnier peut être sollicité pour jouer le rôle de médiateur ou arbitre lorsqu'un différend survient entre deux avocats ou entre avocats et cabinets d'avocats. Ces conflits peuvent porter sur des questions professionnelles telles que la répartition des honoraires, les désaccords sur des dossiers, les différends commerciaux, les problèmes de partenariat. Il peut faciliter la communication entre les parties en conflit, en encourageant un dialogue ouvert et constructif pour aider les avocats impliqués à exprimer leurs préoccupations, à écouter les arguments des autres et à trouver des points d'accord pour résoudre le litige de manière amiable. En tant que médiateur ou arbitre, le Bâtonnier doit rester neutre et impartial. Il ne prend pas parti dans le conflit, mais cherche plutôt à faciliter la recherche d'une solution équitable et équilibrée pour toutes les parties concernées. Il veille à ce que les informations partagées pendant la médiation restent confidentielles. Cela encourage les avocats à s'exprimer librement et à rechercher des solutions sans craindre que leurs déclarations puissent être utilisées contre eux par la suite. Il encourage les parties en conflit à parvenir à un consensus et à trouver un terrain d'entente. Il peut proposer des solutions créatives et aider à identifier des options de règlement mutuellement acceptables. La médiation ou l’arbitrage dirigé par le Bâtonnier offre une alternative aux litiges formels qui peuvent être longs, coûteux et porter atteinte à la réputation des avocats impliqués. La résolution amiable des différends contribue à préserver les relations professionnelles et à éviter les tensions au sein de la communauté des avocats. Il s'assure que tout règlement convenu entre les parties respecte les règles déontologiques et les obligations professionnelles des avocats impliqués. Il peut mettre en place des ressources et des mécanismes pour aider les avocats à résoudre leurs différends de manière informelle et confidentielle. Cela peut inclure des lignes directrices sur la médiation ou l’arbitrage, des formations sur la communication et la gestion des conflits, ou des informations sur les options de résolution des litiges disponibles. Le Bâtonnier contribue à résoudre les conflits de manière constructive et à éviter les litiges formels. Cette approche favorise un environnement professionnel sain et renforce la confiance entre les avocats, tout en maintenant l'intégrité et la réputation de la profession. Le pouvoir de supervision des stages et de la formation continue Le Bâtonnier peut superviser les programmes de stage pour les avocats stagiaires, s'assurant qu'ils acquièrent l'expérience professionnelle nécessaire pour devenir avocats à part entière. Il peut également être impliqué dans la promotion de la formation continue pour les avocats établis afin de maintenir leur compétence professionnelle. Il joue un rôle important dans la supervision des stages pour les avocats stagiaires et la promotion de la formation continue pour les avocats établis. En effet, il s'assure que ces programmes offrent une formation pratique et une expérience professionnelle pertinente aux avocats stagiaires. Il peut travailler en collaboration avec les cabinets d'avocats et les organisations pour garantir que les stagiaires reçoivent une formation complète et variée dans différents domaines du droit. Aussi, il s'assure que ces programmes répondent aux normes professionnelles établies et qu'ils préparent adéquatement les avocats stagiaires à leur future carrière. Il joue également un rôle dans la promotion de la formation continue pour les avocats établis. La formation continue est essentielle pour maintenir leur compétence professionnelle, se tenir informés des développements juridiques récents et rester au fait des meilleures pratiques dans leur domaine de spécialisation. Il peut être impliqué dans l'organisation de formations et de séminaires pour les avocats. Ces événements peuvent aborder divers sujets juridiques, éthiques, pratiques ou managériaux pour aider les avocats à améliorer leurs compétences professionnelles. Le Bâtonnier peut suivre la progression des avocats stagiaires tout au long de leur stage. Il peut organiser des réunions régulières pour discuter de leur développement professionnel, de leurs besoins en formation et de leurs performances dans le cadre du stage. Cette supervision permet de garantir que les avocats stagiaires acquièrent les compétences nécessaires pour exercer la profession d'avocat de manière efficace et éthique. Il peut évaluer l'efficacité des programmes de stage et proposer des améliorations si nécessaire, et il peut travailler à rendre la formation continue accessible aux avocats en mettant en place des ressources en ligne, des programmes de mentorat ou en facilitant l'accès à des formations externes pertinentes. En encourageant la formation continue, le Bâtonnier veille à ce que les avocats maintiennent leurs connaissances à jour et respectent les normes élevées de compétence professionnelle attendues de la profession. La supervision des stages et la promotion de la formation continue sont essentielles pour assurer que les avocats sont bien préparés et continuent à se développer professionnellement tout au long de leur carrière. Le Bâtonnier joue un rôle clé dans ces domaines, contribuant ainsi à l'amélioration de la qualité des services juridiques fournis et au maintien de l'intégrité de la profession d'avocat. Le pouvoir de la défense des intérêts des avocats Le Bâtonnier peut s'engager activement dans la défense des intérêts des avocats, notamment en ce qui concerne leurs droits, leurs conditions de travail, leurs honoraires, et la promotion d'un environnement favorable à l'exercice de leur profession. En effet, le Bâtonnier joue un rôle essentiel dans la défense des intérêts des avocats, en veillant à ce que leurs droits, leurs conditions de travail et leurs honoraires soient respectés. Il s'engage à promouvoir et à défendre les droits des avocats dans l'exercice de leur profession. Cela peut inclure des droits tels que la liberté d'exercer le droit, l'accès à la justice, la protection des données des clients, l'indépendance professionnelle et la présomption d'innocence. Il peut plaider en faveur de meilleures conditions de travail pour les avocats. Cela peut inclure des initiatives pour garantir des horaires raisonnables, des charges de travail équilibrées, des conditions de travail sécuritaires et un environnement de travail favorable. Le Bâtonnier peut jouer un rôle actif dans la défense des honoraires des avocats, en s'assurant qu'ils sont justes et en adéquation avec les services juridiques fournis. Il peut également lutter contre les pratiques de dumping tarifaire qui pourraient dévaloriser le travail des avocats. Le Bâtonnier peut favoriser le dialogue et la communication entre les avocats, en organisant des rencontres et des discussions sur les problèmes communs auxquels ils font face et en facilitant l'échange d'expériences et de bonnes pratiques. En agissant comme défenseur des intérêts des avocats, le Bâtonnier contribue à renforcer la profession et à garantir que les avocats bénéficient d'un environnement propice à leur pratique professionnelle. En protégeant les droits, les conditions de travail et les honoraires des avocats, il assure également que la profession reste une force essentielle pour la promotion de la justice et des droits de l'homme dans la société. Le pouvoir facilitateur de l’accès à la justice : Le Bâtonnier peut également être impliqué dans la promotion de l'accès à la justice pour tous, en soutenant des mesures pour faciliter l'accès aux services juridiques et à la représentation juridique, en particulier pour les personnes défavorisées, en particulier en soutenant des mesures visant à garantir que tous, y compris les personnes défavorisées, puissent bénéficier de services juridiques et de représentation juridique. Le Bâtonnier peut jouer un rôle de sensibilisation envers le public, les autorités gouvernementales et les avocats eux-mêmes sur l'importance fondamentale de l'accès à la justice. Il peut mettre en lumière les obstacles et les défis auxquels sont confrontées les personnes défavorisées pour accéder aux services juridiques. Il peut plaider en faveur de la mise en place de services d'assistance juridique gratuits ou à faible coût pour les personnes qui ne peuvent pas se permettre de payer des honoraires d'avocat. Cela peut inclure des cliniques juridiques, des services pro bono fournis par des avocats ou des initiatives gouvernementales pour soutenir l'accès à la justice. Le Bâtonnier peut travailler en étroite collaboration avec des organisations caritatives, des organisations non-gouvernementales et d'autres entités qui sont engagées dans la fourniture d'aide juridique aux personnes défavorisées. Cette collaboration peut renforcer les efforts pour étendre l'accès à la justice à ceux qui en ont le plus besoin. Il peut mettre en place des programmes de formation et d'encadrement pour les avocats bénévoles qui s'engagent à fournir des services juridiques gratuits aux personnes défavorisées. Ces programmes peuvent garantir que les avocats ont les compétences nécessaires pour traiter des cas sensibles et complexes. Le Bâtonnier peut élaborer des lignes directrices pour encourager les avocats à fournir des services pro bono de manière efficace et éthique. Ces lignes directrices peuvent aider à garantir que les avocats offrent une représentation juridique de haute qualité aux personnes défavorisées. Il peut plaider en faveur de réformes législatives visant à simplifier les procédures judiciaires, à réduire les coûts et à faciliter l'accès à la justice. Il peut également travailler pour améliorer l'accès aux tribunaux et aux mécanismes de règlement des différends. En agissant comme promoteur de l'accès à la justice, le Bâtonnier démontre l'engagement de la profession d'avocat envers la justice sociale et l'équité. En garantissant que tous les individus, indépendamment de leur statut économique, ont la possibilité de bénéficier de services juridiques et de représentation juridique, le Bâtonnier renforce la confiance dans le système judiciaire et contribue à une société plus équitable et respectueuse des droits de l'homme.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Jardins du paradis || subtitle : La culture qui se base sur l’idée qu’il peut y avoir des lieux particulièrement propices pour susciter une médiation et une ferveur spirituelle a des bases théologiques réelles. Le sanctuaire comme le saint symbolisent et renvoient à ce lien avec l’invisible. Au détour d’un chemin de campagne, au sommet d’une colline, dans l’enchevêtrement des ruelles d’une ville ancienne, les «marabouts» nous rappellent à une présence où le surnaturel est toujours profondément lié à la vie ordinaire et à la nature. || body : Par Faouzi Skali On dit du Maroc qu’il est un pays mystique, une pépinière de saints. De cette culture là, il est des traces sensibles, le nombre de «qubba-s», de sanctuaires ou de marabouts qui s’égrènent sur l’ensemble de la terre marocaine, dans les villes comme dans les campagnes, sur les plateaux ou sur les cols escarpés. Partout la mémoire collective semble avoir voulu rendre un hommage durable à ceux qui ont traversé la barrière de la mort tout en restant vivants. Le sanctuaire devient lui-même le symbole de ce lien entre le ciel et la terre, dont ils ont en leur temps témoigné. Car dans ce pays aux innombrables saints, la religion n’est pas une abstraction. Elle s’incarne dans chaque geste du quotidien, par ces femmes et ces hommes qui, par leurs valeurs de générosité, de sagesse et de bienveillance deviennent des sources d’inspiration. Un hadîth rapporte que «Les amis de Dieu sont ceux qui, lorsqu’on les voit, Dieu est évoqué». Des sortes de temples vivants dont le souvenir est prolongé par la construction d’un sanctuaire qui leur est dédié post-mortem, mais à travers lequel on ne doute pas que leur présence spirituelle et leur baraka continuent de rayonner.  Le prototype de ces sanctuaires est celui de la tombe du Prophète Muhammed (Que la prière et le salut l’accompagnent) à Médine. Le Prophète (PLS) est effectivement considéré comme vivant dans sa tombe : «L’espace qui se trouve entre ma tombe et mon minbar (chaire de prêche) est un jardin parmi les  jardins du paradis». C’est ce modèle du sanctuaire prophétique qui selon un autre hadîth s’étend également aux saints : «La tombe du croyant s’élargit aussi loin que son regard peut porter et une porte du paradis lui est ouverte en sorte qu’il reçoive des effluves paradisiaques». Ibn Qayyim al Jawziyya, un savant du 14e siècle, a dédié un ouvrage intitulé «ar rûh» (Le livre de l’esprit) aux hadîths et récits traditionnels attestant la survivance, dans les sanctuaires, d’une conscience post-mortem, rendant ainsi possible cette communication entre vivants et morts. Cette culture qui se base sur l’idée qu’il peut y avoir des lieux particulièrement propices pour susciter une médiation et une ferveur spirituelle a donc des bases théologiques réelles. Le sanctuaire comme le saint symbolisent et renvoient à ce lien avec l’invisible. Au détour d’un chemin de campagne, au sommet d’une colline, dans l’enchevêtrement des ruelles d’une ville ancienne, ils nous rappellent à une présence où le surnaturel est toujours profondément lié à la vie ordinaire et à la nature. Ces coupoles souvent construites sobrement, en terre battue, sont pourtant très belles. Elles s’intègrent avec harmonie dans un paysage qu’elles colorent d’une lumière diffuse de spiritualité. Elles apportent dans des lieux simples et populaires la perception d’une richesse insaisissable : une richesse précieuse et immatérielle. La vérité du moment laisse transparaître un monde de sérénité. Un adage populaire célèbre dit que si l’Orient (mashreq) est la terre  des prophètes (anbiyâ’) l’Occident (maghreb) est celle des saints (awliyâ’). Dans le texte coranique, l’un des termes qui renvoient à cette notion de sainteté est celui de wilâya : «Non, vraiment les amis (awliyâ, sing. walî) n’éprouveront plus aucune crainte et ne seront point affligés. Ceux qui croient en Dieu et qui Le craignent recevront la bonne nouvelle dans cette vie et dans l’autre» (Cor. 10/62-63-64). Un hadîth qudsî (où Dieu parle par la bouche de Son Prophète) précise le sens de cette wilâya : «Mon serviteur ne cesse de s’approcher de Moi par des œuvres surérogatoires jusqu’à ce que Je l’aime, et lorsque Je l’aime je deviens son ouïe par laquelle il entend, sa vue par laquelle il perçoit, sa main par laquelle il saisit, son pied avec lequel il marche. S’il Me sollicite,   certainement, Je l’exaucerai et s’il prend refuge auprès de Moi, certainement, Je l’accueillerai».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La passion de Hallâj || subtitle : À travers un travail monumental, qui lui valut d’occuper la chaire de sociologie musulmane au Collège de France, Louis Massignon a voulu rendre cette grande figure d’al Hallâj à l’histoire de l’Islam, à une époque où elle y était passablement oubliée. Mais aussi montrer, à travers ou en dépit de cet exemple, assez exceptionnel, comment le soufisme trouvait ses sources et ses racines dans les bases scripturaires du Coran et de la Sunna. En cela, cette conception différait sensiblement des thèses orientalistes alors en vogue. || body : Par Faouzi Skali En 1922, l’islamologue et orientaliste français Louis Massignon va soutenir une thèse de doctorat qui fera date : «La passion de Hallâj». Cette thèse est aujourd’hui éditée par Gallimard en quatre volumes. Elle exprime une quête personnelle enflammée liée à une érudition vertigineuse qui nous fait entrer dans les méandres et le flux des mouvements des idées et des cultures qui s’entrecroisaient ou s’opposaient à Baghdad à l’orée du Xe siècle. Et rendre finalement compte du contexte et, en filigrane, des enjeux qui ont abouti à l’exécution publique du grand mystique et poète soufi, al Hallâj, en 922. C’est aussi une analyse fine et d’une haute facture littéraire des conséquences sur la pensée religieuse en Islam, et la pensée universelle en général, de cet événement qui va, pour longtemps, constituer un choc et un symbole majeurs. Massignon fait partie de ces grandes figures qui ont joué un rôle important aussi bien au plan intellectuel que par leurs positions ou actions politiques en cette première moitié du XXe siècle. Il nous suffit de mentionner ici qu’il a rencontré et entretenu des liens avec des personnalités aussi diverses que Gandhi, Charles de Foucault, Abd al Halîm Mahmûd, alors recteur mythique d’al Azhar, Muhammed Iqbal ou Lawrence d’Arabie. À travers ce travail monumental, qui lui valut d’occuper la chaire de sociologie musulmane au Collège de France, il a voulu, a-t-il dit, rendre cette grande figure d’al Hallâj à l’histoire de l’Islam, à une époque où elle y était passablement oubliée. Mais aussi montrer, à travers ou en dépit de cet exemple, assez exceptionnel, comment le soufisme trouvait ses sources et ses racines dans les bases scripturaires du Coran et de la Sunna. En cela, cette conception différait sensiblement des thèses orientalistes alors en vogue. Edgar Morin m’a rapporté la rencontre qu’il a eue, avec un groupe de jeunes étudiants de l’époque qui s’opposait à la guerre en Algérie, avec le grand orientaliste, connu pour ses positions militantes en la matière. Louis Massignon est mort en 1968. J’ai eu la chance, une dizaine d’années plus tard, de rencontrer à Paris l’une de ses principales disciples, Eva de Vitray Meyerovitch, qui est surtout connue pour être la principale traductrice de l’œuvre de Rumî, du persan en langue française. Cette relation s’est étalée sur près d’une vingtaine d’années jusqu’à ce qu’elle fut rappelée par Dieu en 1999. Eva, alors jeune assistante de Louis Massignon, me parlait souvent de l’influence qu’il a eue sur elle dans ses choix de recherche universitaire, en l’occurrence bien sûr autour de Rumî et de son œuvre, mais aussi auparavant par le fait de lui avoir fait découvrir une personnalité – philosophe, poète, mystique et homme politique – majeure du XXe siècle, Mohammed Iqbal. Elle a alors traduit, sur la demande de Massignon qui en fait ensuite la préface, un ouvrage qui fait référence : «Reconstruire la pensée religieuse de l’islam». La remarque de Massignon était la suivante : la pensée d’Iqbal était l’une des rares qui tout en se ressourçant dans un grand patrimoine persan, arabe et indien, se distinguait de beaucoup d’autres à l’époque par sa capacité à relier ce patrimoine, et plus particulièrement l’œuvre de Rumî, à une pensée rompue aux arcanes de la philosophie occidentale. La conjonction en lui de ces deux mondes l’a amené à développer, ce qui figurait alors une quasi-exception, une approche d’une réforme de la pensée et de la société qui prend sa source dans une vision et une expérience spirituelles. Pour lui, la pensée philosophique et les pensées poétiques et spirituelles doivent converger ensemble vers une meilleure appréhension du réel. Nous retrouvons ici des résonances avec la pensée complexe d’Edgar Morin. À la manière des écrivains anciens, Iqbal mêle dans ses écrits les analyses philosophiques aux envolées poétiques et mystiques : «Quand l’amour accompagne l’intelligence, écrit-il, il devient l’architecte d’un autre univers Lève-toi et dessine un monde nouveau Unis l’amour à l’intelligence». L’œuvre d’Iqbal n’est pas sans nous rappeler cet appel de l’Émir Abdelkader qui, dans sa «Lettre aux Français» appelait à la nécessité d’une alliance entre Orient et Occident. Tout en déplorant cependant qu’à son époque, qui précédait de peu celle d’Iqbal, les esprits n’étaient pas assez mûrs pour cela. Il fut un temps, pas si lointain, où les travaux sur le soufisme ainsi que de nombreuses études et traductions ont fleuri sous l’influence de ces pionniers. On peut citer dans le monde francophone de nombreux exemples comme Henry Corbin, un autre disciple de Massignon, ou le remarquable travail de Michel Chodkieviz – ancien président des éditions du Seuil – et de sa fille Claude Addas, dans une approche qui allie spiritualité et érudition, pour faire connaître l’œuvre monumentale d’Ibn ‘Arabî. Entretemps, le monde a cependant connu une évolution où les richesses de ces travaux et études ont été largement couvertes par le bruit du «choc des civilisations». Études, traductions et publications, même si elles existent encore, ne suscitent plus, au-delà des cercles les plus concernés ou spécialisés, le même engouement. Dans cette fonction de médiation entre l’Orient et l’Occident,  la culture du soufisme continue cependant d’être à l’œuvre, puisque cela fait partie de ses valeurs intrinsèques, pour développer  une capacité à trouver des passerelles, une reconnaissance naturelle et féconde des différences et de la diversité, là où peuvent s’installer des attitudes de rejet, de crispation et de conflit. Elle porte en elle cette aspiration à remplacer progressivement par un long processus de connaissance et de transformation de soi les logiques de la haine par celles de l’amour. Le développement civilisationnel d’une société peut se mesurer à sa mise en œuvre des moyens par lesquels le plus simple citoyen peut avoir accès, par des relais multiples, certes, à une vie décente, mais également à un patrimoine, aussi large que possible, de connaissance, de culture et de sagesse. Ouvrir en somme la possibilité, selon l’aspiration réformiste d’Iqbal, de créer des modalités individuelles et collectives, en dépit d’innombrables épreuves et résistances, pour promouvoir une «civilisation» où se conjuguent amour et connaissance  : Dieu : J’ai fait le monde d’eau et d’argile, Tu as fait l’Iran, la Tartarie et l’Éthiopie ; J’ai placé dans le sol le minerai de fer, Tu as fait l’épée, la flèche et le fusil ; Tu as fait la hache pour l’arbre de la prairie, Tu as fait la cage pour l’oiseau chanteur ! L’homme : Tu as créé la nuit et j’ai fait la lampe, Tu as créé l’argile et j’ai fait la tasse, Tu as créé les déserts, les montagnes et les forêts, J’ai fait les vergers, les jardins et les bosquets ; C’est moi qui transforme la pierre en un miroir, C’est moi qui transforme le poison en antidotes ! (Muhammad Iqbal)</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Perles de sagesse || subtitle : Les sapiences ou hikam sont les fruits d’expériences vécues qui traversent la conscience comme des fulgurances. Elles deviennent ensuite des principes ou «clés» de sagesse qui s’expriment à travers une culture et deviennent éclairantes par leur mise en pratique dans la vie de tous les jours. L’un de ces principes est que le meilleur enseignement est celui qui se fait par le vécu et l’exemple : «La réalité de l’état, dit un adage soufi, dispense de la parole». || body : Par Faouzi Skali La littérature soufie s’est exprimée à travers la poésie, les récits, les exposés pédagogiques ou métaphysiques ou encore sous la forme d’une littérature de «sapiences» (hikam) ou phrases de sagesse qui sont des aperçus sur le dévoilement d’itinéraires spirituels, tant sur le plan intérieur que sur celui du comportement. Ces sentences, telles les «hikam» d’Ibn Atâ Allâh Al Iskandarî, nourrissent les méditations et le cœur des disciples, mais aussi une culture collective imprégnée de valeurs et conceptions intellectuelles et spirituelles. Le Coran fait référence à la hikma, sagesse, comme un don providentiel : «Il (Allâh) donne la sagesse à qui Il veut. Celui à qui la sagesse a été donnée bénéficie d’un bien considérable. Seuls s’en souviennent ceux qui sont doués d’intelligence (littéralement ceux qui possèdent le lubb)  (Cor. 2/269) . Il y a un autre passage du Coran où il est fait référence à cette réception d’une grâce immense qui nourrit précisément une noblesse ou une sagesse du comportement, du «bel agir» : «Le mal et le bien ne se valent pas. Réagis par ce qui est meilleur, celui avec lequel existe une inimitié se transformera en ami intime. Cela n’est donné qu’à ceux qui sont patients, à quiconque a une immense portion de grâce» (Cor. 41/34). C’est la voie qui est développée au cœur du soufisme et qui est appelée «ihsân» (perfectionnement) ou «makârim al akhlâq», excellence ou noblesse du comportement. Dans un hadîth, le Prophète (que la Paix et le Salut l’accompagnent) dit : «J’ai été envoyé afin de parfaire la noblesse du comportement (ou des mœurs)». C’est ainsi que l’on rapporte qu’au moment de la révélation du verset coranique : «Pratique le pardon, ordonne le bien et écarte-toi des ignorants» (Cor. 12/199), l’Archange Gabriel est venu trouver le Prophète (PSL) et lui a dit : «Ô Muhammed, je t’ai apporté l’excellence du comportement (...) elle consiste en ce que tu pardonnes à celui qui a été injuste envers toi, que tu donnes à celui qui te refuse son don, que tu rendes visite à celui qui s’est détourné, que tu t’écartes de celui qui fait preuve d’incompréhension à ton égard, et que tu pratiques le bien envers celui qui agit envers toi par le mal». De quelle manière cette pratique de la «hikma» a pu s’exercer à une échelle sociale et pourrait-elle nous inspirer de telles pratiques pour un exercice d’accompagnement spirituel à l’échelle d’une entreprise et plus particulièrement encore pour ce qui peut ressortir de nos capacités à prévenir, désamorcer ou  résoudre des conflits ? En somme, pourrions-nous imaginer ce patrimoine spirituel comme une source et une ressource d’inspiration pour résoudre des situations de conflit à une échelle interpersonnelle, familiale, entrepreneuriale, voire diplomatique ? De fait, ce fut une réalité historique à notre échelle marocaine par l’instruction du rôle de médiation qui fut souvent dévolu à certaines personnalités, hommes ou femmes connus pour leur probité et spiritualité. Les sapiences ou hikam sont les fruits d’expériences vécues qui traversent la conscience comme des fulgurances.  Elles deviennent ensuite des principes ou «clés» de sagesse qui s’expriment à travers une culture et deviennent éclairantes par leur mise en pratique dans la vie de tous les jours. L’un de ces principes est que le meilleur enseignement est celui qui se fait par le vécu et l’exemple : «La réalité de l’état, dit un adage soufi, dispense de la parole». Ce même principe s’exprime de la façon suivante : l’attitude droite consiste à essayer de bien faire sans exiger des autres d’en faire autant. C’est toute une façon d’être dont le produit est le fruit d’une forme de méditation et de travail sur soi. Dans de nombreuses traditions de sagesse de l’humanité, on retrouve ce même principe : on ne combat pas l’obscurité par l’obscurité, mais en allumant une bougie. Pas plus qu’on ne peut combattre la haine par la haine. Les hikam sont des viatiques qui fortifient nos âmes et nous apprennent à mieux vivre. Une partie des arts martiaux au Japon est l’application de tels principes. Au lieu de s’inspirer d’une force brute, ils restent attentifs dans une sorte de méditation dynamique et de conscience de soi à un «champ ou mouvement de l’être». Au lieu de se précipiter dans un cercle d’actions-réactions, dans lequel nous ne maîtrisons plus rien, on attend une certaine configuration de ce champ pour intervenir au moment voulu. On a pu dire que la sagesse consiste à penser et à agir d’une manière juste. On pourrait ajouter «et aussi au moment le plus juste». La différence entre la pratique de la sagesse et un simple savoir théorique est que la première est issue de la conscience de son propre «ego» (nafs) et de la nécessité de son dépassement. Quand on entreprend la possibilité de «voir» par la pratique méditative du «dhikr» (invocations), des liens ou des «voiles» psychiques illusoires se défont ou se dissipent d’une manière naturelle. Un processus d’illumination intérieure se met en place donnant naissance à ces fulgurances de conscience comme celles des hikam d’Ibn Atâ Allâh. Ce sont des perles de sagesse. Celles-ci ne se situent jamais, dit-on, à l’endroit où l’ego croit pouvoir les saisir.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : À la mémoire Mohamed Benmejdoub, le plus ancien rotarien du monde (Tribune) || subtitle : None || body : Par le Professeur Azzedine Kettani Ssi Mohamed Benmejdoub nous a quittés le 2 août 2023, à 90 ans, dont 65 consacrées principalement au Rotary, c’est-à-dire au service à autrui. C’était le plus ancien rotarien du monde ! L’un de ses grands donateurs (Major Donor) et de ses dirigeants qui ont laissé leur empreinte en divers domaines de l’action du Rotary à l’échelon national et à l’international. Il fut aussi en 1958, lorsqu’il avait été accueilli par le Rotary club d’Agadir à 26 ans, le plus jeune rotarien du monde ! C’est dire qu’il faisait exception en tout. D’ailleurs l’année 1958 fut dans sa vie l’une des plus riches en événements : Ce fut l’année de son mariage avec Frederique-Kenza, sa moitié pendant 65 ans, mais aussi l’année de la naissance de sa première fille Amina, et l’année de sa nomination en tant qu’Ingénieur TP, à la tête du service des routes et des ponts de la ville d’Agadir. Envers cette ville, il garda d’ailleurs toujours une affection particulière : il y a vécu avec sa petite famille le séisme de 1960 qui emporta l’un de ses frères. Il y déploya tout son savoir d’ingénieur, toute son énergie de rotarien dans les opérations de sauvetage. Qui ne se souvient de M. Mohamed Benmejdoub, ingénieur municipal de Casablanca, dont le nom demeure associé à la planification des voies de circulation et des grands ouvrages de la ville, mais aussi au sport, notamment au tennis et aux œuvres sociales. Qui peut oublier le premier arabe et musulman à accéder au Board du Rotary International et être ainsi membre de son conseil d’administration, après une ascension fulgurante qui lui a fait gravir, sans s’arrêter, tous les échelons du Rotary. On ne peut compter toutes les missions importantes qui lui ont été confiées ni les commissions internationales qu’il a présidées et encore moins le nombre de conventions internationales auxquelles il a assisté ni enfin le nombre de représentations des présidents internationaux aux conférences du District dans des dizaines de pays à travers le monde dont il a fait le tour plus d’une fois avec Kenza, son épouse. Ne fut-il pas, par exemple, un des artisans de l’action menée contre la poliomyélite et le président de diverses commissions internationales et régionales chargées de la mettre en œuvre. Que ne fut sa joie chaque fois qu’un pays était annoncé Polio free et que ne fut son bonheur d’avoir réussi au Maroc à libérer les enfants du danger et du risque d’attraper cette maladie en procurant des millions de vaccins en collaboration avec l’Unicef. Des vaccins offerts gratuitement grâce à ses liens et amitiés au sein du Rotary International ainsi qu’avec l’inventeur du vaccin oral (Dr Albert Bruce Sabin, un autre rotarien), ainsi qu’avec les producteurs et amis rotariens italiens. D’autres missions d’envergure également lui avaient été confiées et l’une d’elles était concentrée sur la paix et l’entente mondiales. Il était l’un des rares, il y a plus de 30 ans, à croire que la paix était chose possible par le Rotary et, à titre d’exemple, Ssi Mohamed fut à l’origine de la première réunion ad hoc entre rotariens arabes et israéliens, ce qui n’était pas imaginable à cette époque. Il faudrait, pour relater toute son œuvre, tout un ouvrage et notre chance est que notre ami a pris le soin de rédiger ses mémoires qu’il acheva quelques jours avant de nous quitter. Ils seront publiés prochainement. Il aurait pu devenir le premier président arabe à la tête du Rotary International, mais le sort à deux reprises l’a contrarié, car Ssi Mohamed menait un combat qui n’était pas le sien et pensait que le Rotary qu’il avait connu 60 ans plutôt était toujours le même. Cela ne le découragea point et bien au contraire, il continua de toutes ses forces à accomplir de nombreuses tâches et l’une des dernières, et non la moindre, fut justement celle de membre de la commission de nomination du président international. D’autres s’en sont suivies jusqu’il y a peu de temps, quand sa santé lui a imposé la réduction de ses voyages. Il n’empêche qu’il a continué à inspirer tous les rotariens et à prendre la parole à diverses occasions jusqu’en ce juillet dernier, le 8, lorsqu’il assista à Rabat à la soirée de passation du collier du gouverneur sortant, l’ami tunisien Hamadi Siala à notre gouverneure 2023-24, Saadia Aglif. Qui peut oublier ses joutes oratoires à chaque événement national ou international du Rotary ? Qui ne garde en mémoire un conseil, une recommandation, une idée ou une leçon reçue de lui en privé ou lors d’un événement ou d’un séminaire de formation au Rotary. Chacun de ceux qui l’ont connu, le pleure aujourd’hui quelque part pour quelque chose, y compris ceux qui, dans une absolue discrétion, bénéficiaient de sa générosité. Tous les Rotariens du District maghrébin, au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Mauritanie le pleurent et plusieurs se sont déplacés pour ses obsèques. N’est-ce pas à Ssi Mohamed que ce District doit sa création et n’est-ce pas lui, alors chargé du comité de redistricting au Rotary International en tant que directeur, qui put réussir à détacher ces pays du district français (173), nous apportant ainsi une autre indépendance. Tous les grands dirigeants et anciens dirigeants du Rotary International partagent notre peine et les messages du Président international actuel R. Gordon I. Mc Inally et du secrétaire général et CEO John Hewco sont très éloquents à ce sujet et expriment avec sincérité la grande tristesse qui les affecte. Un être exceptionnel est parti, laissant dans le désarroi sa famille et ses nombreux amis. Il a laissé une épouse aimante et dévouée qui était sa boussole et qui, aujourd’hui est plongée dans le noir, dans un vide absolu. Il était toute sa vie. Il était aussi le père affectueux, le parfait éducateur, le guide protecteur de ses enfants, et cette affection s’est étendue tout naturellement à ses petits-enfants et arrière-petits-enfants. Tous aujourd’hui pensent qu’il n’est pas loin et qu’il reviendra… C’est son esprit qui survit, son sourire, la lumière par laquelle il a éclairé leurs chemins qui seront toujours là. Pour ma part, j’ai plus d’un demi-siècle de souvenirs, de voyages partagés, de réflexions et de décisions difficiles à prendre en Rotary. J’étais – comme il se plaisait à le dire et à l’écrire –, son compagnon, son confident. J’en étais honoré et j’en resterai fier. C’est cela que je garde au fond de mon cœur avec son image que le temps ne saurait ternir. Il aimait et encourageait Naïma, mon épouse, et était fier de la guider en Rotary et d’avoir contribué à faire d’elle la première femme gouverneure en Afrique. Adieu mon ami ! Puisse Dieu assister Lalla Kenza et ses enfants, Amina, Nadia, Samia, et toute la famille dans cette épreuve à nulle autre pareille !</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Bannir les incertitudes || subtitle : La pandémie entame sa troisième année et devient structurelle, alors que les approches pour l’affronter sont toujours conjoncturelles. Dès lors, il convient d’intégrer ce paramètre déterminant dans toute décision future afin d’éviter le pire. || body : Par Kamal El Alami, Directeur Général Adjoint Groupe Le Matin Bien avant la crise sanitaire, notre planète souffrait déjà de maux profonds comme la pollution, le tarissement des ressources, les guerres commerciales et les conflits armés. La pandémie n’a été donc qu’un facteur accélérateur d’un nouvel ordre mondial, déjà en marche, où se redessinent les plans géopolitiques, économiques et industriels. Cette rivalité est nourrie par l’émergence de nouvelles économies fortement industrialisées, par la rareté des ressources naturelles clés ainsi que de fortes avancées technologiques qui replacent la matière grise et la matière première au sommet de la pyramide des convoitises. Les bonnes alliances deviennent alors un facteur essentiel pour sauvegarder ses atouts dans l’échiquier mondial. Cependant, la persistance de la crise sanitaire combinée aux choix introvertis des grands acteurs mondiaux, impactent de manière significative les économies pauvres et émergentes. De même, à un niveau micro, elles affectent durement le mode et le niveau de vie des familles et la viabilité des entreprises. En effet, plusieurs activités à faible marge et faible intérêt par rapport à la pandémie souffrent d’un déséquilibre chronique d’exploitation et peinent à survivre. Certaines professions libres ainsi que les salariés du privé se retrouvent dans des schémas difficiles de baisse de régime ou de chômage technique. Les conséquences sont alors, la perte d’emploi, la réduction d’heures de travail ou, au mieux, la stagnation des revenus dans un contexte de forte inflation qui ne dit pas son nom. Ensuite, les matières premières se font rares et plus chères. La loi de l’offre et de la demande entraine les prix dans une spirale haussière infernale qui défie toute logique. Souvent, les matières ou produits intermédiaires sont fournis aux plus offrants dans le monde mais après satisfaction des besoins locaux protégés par quotas et taxes d’export. Les industries et citoyens des pays pauvres ou en voie de développement sont donc les plus impactés et restent sans recours face aux faiseurs du marché. Troisièmement, la série des variants du virus pandémique alimente la psychose et impose le maintien des mesures sanitaires avec toutes les décisions restrictives de la libre circulation. Le voyage à l’étranger, quand c’est autorisé, est devenu une aventure risquée à l’issue improbable. Ces différents facteurs poussent les gens à revoir leurs priorités et leur mode de vie de manière profonde et durable, puisque l’exception est devenue la règle et l’avenir totalement incertain. Sur un autre volet, les états sont sollicités pour anticiper et résoudre ces répercussions avec une baguette magique et sous les projecteurs critiques des citoyens et des différents acteurs sociaux. Cependant, les actions d’antan ne sont plus adaptées et les budgets exceptionnels de contremesures ne sont plus disponibles. Dans ce contexte de crise qui perdure, l’endettement des Etats s’aggrave, le déficit de la balance commerciale se creuse, la recette fiscale se tarit et les moyens de relance s’amenuisent. En réalité, la pandémie entame sa troisième année et devient structurelle, alors que les approches pour l’affronter sont toujours conjoncturelles. Dès lors, il convient d’intégrer ce paramètre déterminant dans toute décision future afin d’éviter le pire. Nombre d’activités sont déjà condamnées et ne pourront malheureusement plus se relever car au bout de deux ans de pertes et de pseudo-ouvertures il est difficile de survivre. Or, le nouveau modèle de développement a besoin de la contribution de tous les secteurs afin de réaliser le succès attendu. Le tourisme, sous toutes ses formes légales et ses implications, devrait reprendre de manière sereine et pérenne. La RAM qui représente aussi les ailes de l’Afrique est notre vecteur du business continental et international. Elle devrait réinvestir le ciel pour relancer l’économie, raviver les échanges commerciaux et culturels et surtout réunir de nouveau les familles marocaines séparées en temps de deuil ou de joie. Les mondes de la crypto-monnaie et du méta-verse offrent une opportunité sans précédent et concernent déjà les revenus complémentaires de presque un million de marocains, alors qu’ils ne sont ni autorisés, ni encadrés, ni intégrés au développement du PIB. Le Maroc moderne a besoin d’une politique digitale agile, très audacieuse et à fort budget à l’aune des grandes transformations numériques mondiales. Le Maroc a besoin de ses centres commerciaux avec des boutiques ouvertes et non des affiches PLV pour égayer les tristes fermetures. Il a aussi intérêt à posséder une flotte de navires de charge pour ses magnifiques infrastructures portuaires et la liste est longue. Certes le spectre de la pandémie est toujours présent, mais il est loin le temps où ce virus n’avait ni nom, ni traitement, ni vaccin. L’écosystème santé et les pouvoirs publics ont réussi à démystifier le virus et juguler ses ravages. Il est aussi vrai que la gestion de cette troisième vague est plus audacieuse et diffère de ce qui précède. Cependant, il est temps d’oser vivre normalement sans peur ni restrictions, ni statistiques. L’économie et la société marocaines ont besoin de bannir les incertitudes causées par le virus et ses variants afin de se concentrer sur les véritables enjeux et défis du Maroc moderne, à savoir, accélérer la mise en œuvre du nouveau modèle de développement tout en saisissant les opportunités qu’offre la crise. Le salut est plus dans la réalisation d’un taux de croissance élevé en combinant tous les efforts que dans des coups d’éclat isolés, broyés par une conjoncture négative.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Global Forum de l’Alliance des civilisations : les réflexions de Faouzi Skali || subtitle : Dans le cadre de la neuvième édition du neuvième Global Forum de l’Alliance des civilisations, nous avons demandé à l’anthropologue Faouzi Skali, qui intervient en tant que conférencier dans le cadre de ce Forum, de nous faire part de quelques réflexions de fond concernant cette thématique. || body : Par Faouzi Skali Deux textes de l’Unesco ont fait date en ce début du XXIe siècle: la déclaration universelle sur la diversité des cultures de 2001 et, en 2005, la convention internationale sur la protection et la diversité des contenus culturels et des expressions artistiques . On connaît les débats sous-jacents à ces textes qui visent à combattre l’émergence d’une hégémonie culturelle et une tendance à l’uniformisation et à la standardisation des cultures. C’est la fameuse exception culturelle, la culture ne pouvant être une marchandise comme une autre. Cette tendance grandissante vers l’uniformisation s’exprime,  à titre illustratif,  par le fait qu’il ne reste plus aujourd’hui que 6.000 langues sur les 20.000 parlées par l’humanité à l’époque néolithique  et que nous perdons environ une langue par semaine. Cent langues sont parlées par 95% de la population mondiale et seules 12 d’entre elles dominent l’ensemble de la communication numérique à l’échelle de la planète. La notion de culture peut être comprise dans un sens extensif, anthropologique, comme cela a été défini par la déclaration de Fribourg sur les droits culturels. Selon celle-ci elle «recouvre les valeurs, les croyances, les convictions, les langues, les savoirs et les arts, les traditions, institutions et modes de vie par lesquels une personne ou un groupe exprime son humanité et les significations qu’il donne à son existence et à son développement». La diversité, un concept à généraliser à la culture, la langue... C’est en tenant compte de ces définitions que le concept de « diversité » peut être entendu comme recouvrant la «diversité culturelle, linguistique, sociale, territoriale et religieuse». La promotion de la diversité et du dialogue des cultures a pour but de rendre compte de la façon la plus large possible de cette diversité au sein de la société, d’enrichir donc le processus démocratique, la liberté d’expression, l’égalité des chances et la cohésion sociale, de lutter contre les différentes formes de discrimination et le développement de discours extrémistes et d’incitation à la haine. Dans son préambule, la Constitution marocaine de 2011 souligne la nécessité de «bannir et combattre toute discrimination à l’encontre de quiconque en raison du sexe, de la couleur, des croyances, de la culture, de l’origine sociale ou régionale, de la langue, du handicap ou de quelque circonstance personnelle que cela soit». Un autre passage de ce préambule consacre l’importance du principe de la diversité en soulignant que l’unité nationale est forgée «par la convergence de ses composantes arabo-andalouse, amazighe et saharo-hassanie, s’est nourrie et enrichie de ses affluents africain, andalou, hébraïque et méditerranéen». Nous nous trouvons, comme le soulignait le Président Abdou Diouf, devant la nécessité de mettre  en œuvre une «gouvernance» des cultures et des identités sans laquelle celles-ci, livrées à elles-mêmes, entreraient dans des  processus de conflit, de repli et d’exclusion. Là où il n’y pas de débats, dit-on à juste titre, il y a des combats. C’est en raison de cette nécessaire régulation ou gouvernance des cultures que le prix Nobel de l’économie Amartya Sen avait appelé à l’enrichissement du processus démocratique en élargissant celui-ci par la notion de démocratie multiculturelle. Cette dernière notion implique que la «régulation» de la diversité et du dialogue des cultures est aussi un facteur puissant de lutte contre la discrimination et de promotion de l’équité politique et socio-économique des différentes identités collectives présentes au sein de la société. Identité collective et identité des individus Signalons cependant au passage que les identités collectives, comme celles des individus, ne sont pas figées mais évolutives. Les individus par ailleurs peuvent continuer de disposer, au sein de ces identités qui peuvent être pour chaque personne multiples et complémentaires, d’une pleine liberté de penser et d’opinion. Selon l’article 3 de la déclaration de Fribourg sur les droits culturels : «Toute personne, aussi bien seule qu’en commun», a le droit «de choisir et de voir son identité culturelle respectée dans la diversité de ses modes d’expression, ce droit s’exerce dans la connexion notamment des libertés de pensée, de conscience, de religion, d’opinion et d’expression.» Nous sommes cependant nécessairement tenus de faire des arbitrages de par l’application concomitante des deux articles 19 et 20 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Dans quelle mesure et dans quel cas la pleine liberté d’expression, soulignée par l’article 19 peut-elle être limitée légalement par l’article 20 qui demande aux États d’interdire «tout appel à la haine nationale, raciale ou religieuse qui constitue une incitation à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence» ? C’est la mise en œuvre d’une dialectique positive et fructueuse de ces deux articles qui a conduit à l’élaboration des principes de Camden sur «la liberté d’expression et l’égalité». Pour le suivi et l’appréciation des discours de discrimination et d’incitation à la haine, il nous appartient d’évoquer «le Plan d’action de Rabat» qui est l’aboutissement de toute une série d’ateliers d’experts coordonnés par le Haut-Commissariat aux droits de l’Homme. Le Plan de Rabat fournit des directives pratiques pour la mise en œuvre de l’article 20 du PIDCP (Plan international des droits civils et politiques) interdisant tout appel à la haine nationale, raciale ou religieuse. Lire aussi : S.M. le Roi adresse un message aux participants au 9ème Forum mondial de l'Alliance des Civilisations des Nations Unies Lire aussi : Alliance des civilisations : le SG de l'ONU rend hommage à S.M. le Roi, "champion du dialogue interreligieux et interculturel" Lire aussi : Paix, tolérance et coexistence,... la ville de Fès donne l’exemple</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La performance des projets de codéveloppement avec les fournisseurs : Quid de la socialisation opérationnelle et stratégique ? (Tribune) || subtitle : None || body : Dr. Lamiae Benhayoun, Professeure Associée – UIR Rabat Business School Dans un marché fluctuant marqué par des avancées technologiques intenses et une concurrence exacerbée, les entreprises industrielles doivent se battre sur le double terrain de l’innovation et la rapidité de développement de produits. Elles sont dépendantes des ressources et expertises de leurs fournisseurs, représentant les principaux contributeurs à la performance et l' innovation des manufacturiers. Les fournisseurs sont aujourd'hui impliqués dès les phases amont du développement de nouveaux produits pour co-définir avec les clients les spécifications et cadrer la conception. Il en résulte une réduction de l'incertitude technologique, des coûts de développement, et des délais de mise sur le marché, accompagnées d'une qualité améliorée. Cependant, l’industrie regorge d’exemples où l’intégration des fournisseurs a été contreproductive. C'est le cas notamment du Dreamliner 787 de Boeing qui reposait fortement sur divers fournisseurs responsables de la fabrication des composants et des systèmes. Le projet a connu maints problèmes avec les fournisseurs pour la conception, l'assemblage, la livraison de pièces, et l'intégration des technologies de batteries. Le calendrier initial de commercialisation de l'avion a ainsi été repoussé de plusieurs années, entrainant des pertes financières importantes pour Boeing et ses clients. Si les entreprises ne peuvent plus opérer sans leurs fournisseurs pour rester en lice dans des marchés intransigeants, la collaboration avec les fournisseurs pour le développement de nouveaux produits est loin d'être innée, même pour les leaders de leurs secteurs. Cette collaboration est avant tout un processus social interdépendant visant à produire des résultats satisfaisants pour les partenaires supply chain . Les fonctions chargées des ressources externes s’orientent aujourd’hui vers la mise en place d’échanges sociaux pour améliorer la performance des projets de codéveloppement avec les fournisseurs, tandis qu’avant elles prônaient une démarche de réduction drastique des coûts. Cette nouvelle donne fut à l’origine d’une recherche interdisciplinaire menée par Rabat Business School , et impliquant des académiques et professionnels en France et aux Pays Bas[i]. L’étude a permis d’améliorer la pratique industrielle en déterminant les mécanismes de socialisation aux niveaux stratégique et opérationnelle de la collaboration client-fournisseur pour le développement de nouveaux produits. Confiance et réciprocité : maître mot des pratiques opérationnelles pour une performance optimale La recherche a démontré que la réussite du codéveloppement avec le fournisseur repose sur la construction d’un capital social commun qui s’accumule à mesure que les partenaires opèrent ensemble. Les client et fournisseur doivent assurer un alignement structurel en organisant des échanges formels et informels entre leurs équipes autour de connaissances hautement spécifiques pour le développement. Ils sont également tenus d’œuvrer pour un alignement cognitif à travers le partage de valeurs et de vision. Ces alignements doivent s’accompagner de confiance et réciprocité pour engager les partenaires mutuellement et améliorer leur communication. Si ces trois composantes sociales sont importantes pour favoriser la performance du projet de codéveloppement, nos résultats ont particulièrement mis en évidence le rôle central de la confiance pour supplanter entièrement le bénéfice d’échanges structurels soutenus entre les équipes, et partiellement l’apport de leur proximité de valeurs et cultures. D’une part, lorsque des niveaux élevés de confiance s’installent au sein de la collaboration, nous avons noté que les liens structurels forts deviennent superficiels voire préjudiciables. L’entretien de canaux denses de partage entraine une dépense vaine de ressources, et génère un manque d'apprentissage et une surcharge d’informations qui complique la prise de décision. Nous recommandons aux client et fournisseur d’organiser des ateliers et des rassemblements intenses jusqu'à ce que la confiance soit installée. Au-delà, les partenaires ne doivent interagir vivement que pour remettre le projet sur les rails quand/s'il dérive de son orientation. D’autre part, nos résultats soulignent que la collaboration avec un fournisseur compétent et digne de confiance est inutile lorsque sa vision et valeurs ne sont pas cohérentes avec l’entreprise cliente. La confiance s’avère être insuffisante pour l’engagement mutuel des partenaires lorsque leur écart cognitif est substantiel. Notre recherche encourage les acteurs supply chain à gérer soigneusement la phase de lancement du projet pour aligner leurs stratégies et objectifs. Ils doivent également veiller à vérifier et restaurer cet alignement de routines et postures tout au long du processus de développement pour l’intérêt conjoint de la collaboration. Statuts stratégiques de client et fournisseur privilégiés : un apport secondaire à la performance projet L’étude a également fait le point sur la contribution réelle au codéveloppement, des statuts stratégiques de client et de fournisseur privilégiés. Les partenaires intègrent la collaboration avec des attentes d’apports mutuels qui animeront l’efficacité de leurs échanges. Ils formalisent ces aspirations en amont du projet en attribuant les statuts stratégiques de partenaires préférés de part et d’autre de la supply chain. D'un côté, le fournisseur accorde le statut de client privilégié au partenaire qui l’implique effectivement dans des projets de développement, répond à ses promesses, et détient une part substantielle des ventes du fournisseur. Nos résultats soulignent que lorsque les clients acquièrent ce statut, ils bénéficient d’une performance produit renouvelée à un prix avantageux, ainsi que de support et service prioritaires. Pour ce faire, nous exhortons les clients à remplir les accords formels et informels tout au long de leurs relations avec le fournisseur et de démontrer leur engagement à une collaboration future efficace. Ceci favorisera leurs accès, avant le début du projet, à ce statut signe de confiance et hautement bénéfique pour le développement de nouveaux produits. D'un autre côté, la position de fournisseur privilégié est attribuée lorsque le client estime que le partenaire est prêt à partager ses compétences technologiques, à lui allouer préférentiellement des ressources, et convient parfaitement au projet en termes d’expertise. L’étude conclut que ce fournisseur aide les clients à acquérir les meilleures normes de l'industrie, obtenir des avantages concurrentiels en termes de réduction des coûts et d'innovation, et à devenir résilients aux turbulences externes tout en diminuant le comportement opportuniste des fournisseurs. Nos résultats incitent ainsi les clients à investir dans des programmes de fournisseurs privilégiés par le biais d’assistance technique et d'opportunités d'apprentissage. La confiance du fournisseur envers le client en sera renforcée, entrainant un dévouement sans précédent du fournisseur à la collaboration. En dépit de l’apport démontré à l'intégration de la supply chain des statuts de partenaires privilégiés accordés en amont du projet de codéveloppement, un résultat clé de notre recherche est de prouver que ces positions stratégiques ne peuvent se substituer aux bénéfices du capital social qui s’accumule à travers la collaboration opérationnelle client-fournisseur. Côté client, nous avons noté qu’une forte dépendance à l'égard d'alliances stratégiques avec des fournisseurs privilégiés entrave une gestion efficace du risque fournisseur, suggérant qu'une trop grande confiance pourrait nuire à la performance. Côté fournisseur, l’étude note que des accords long-termes avec un client privilégié peut générer une illusion de sécurité conduisant à une inertie logistique. Dès lors, une pratique clé dans les projets de codéveloppement client-fournisseur est le maintien au jour le jour, de la confiance initialement établie découlant des statuts de partenaires privilégiés. Les client et fournisseur doivent assurer le respect mutuel et la réciprocité à tous les niveaux d'interactions au sein du projet, et réexaminer régulièrement les statuts privilégiés. Ceci agira comme la principale protection contre l'opportunisme des parties prenantes. [i] Benhayoun et al. (2023, forthcoming). “Supplier involvement in NPD projects: The buyer’s perspective on the complementary roles of social capital and social exchange for project performance”. International Journal of Logistics Management.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Changement d’heure et horloge biologique : ce qu'il faut savoir || subtitle : None || body : Le Maroc est repassé à l’heure GMT+1 après la fin du mois du Ramadan. Si pour certains, ce changement d’heure n’a pas de conséquences visibles, pour d’autres l’adaptation se fait difficilement. Fatigue, irritabilité, difficultés de concentration... les experts sont formels : notre horloge biologique se trouve perturbée et notre corps a besoin de gérer ce passage à un nouveau fuseau horaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Antonio Guterres : Mon message d’Hiroshima (Tribune) || subtitle : None || body : Samedi, c’est avec fierté que je me suis tenu aux côtés du premier ministre du Japon, Fumio Kishida, et des habitants d’Hiroshima en souvenir d’une catastrophe sans précédent. Il y a 77 ans, des armes nucléaires étaient lâchées sur les habitants d’Hiroshima et de Nagasaki. Des dizaines de milliers de femmes, d’enfants et d’hommes ont péri en un instant, incinérés dans un incendie cauchemardesque. Les bâtiments ont été réduits en poussière. Les magnifiques cours d’eau de ces villes sont devenus sang. Celles et ceux qui ont survécu ont été livrés aux séquelles de la radioactivité, en butte à des problèmes de santé et stigmatisés à vie à cause des bombardements nucléaires. J’ai eu le grand honneur de rencontrer un groupe de ces survivants – les hibakusha, dont le nombre diminue chaque année. Ils m’ont raconté avec une vaillance inentamée ce dont ils ont été témoins en cette terrifiante journée de 1945. Il est temps que les dirigeantes et dirigeants du monde entier soient aussi lucides que les hibakusha et voient les armes nucléaires pour ce qu’elles sont. Les armes nucléaires sont une absurdité. Elles ne peuvent garantir ni la sûreté, ni la protection, ni la sécurité. Elles ont été créées avec pour seul dessein la mort et la destruction. Trois quarts de siècle se sont écoulés depuis que les champignons atomiques se sont élevés au-dessus d’Hiroshima et de Nagasaki. Depuis, l’humanité a connu une guerre froide, des décennies d’une absurde politique de la corde raide et plusieurs situations dans lesquelles l’humanité était à deux doigts de son anéantissement. Mais même au plus fort de la guerre froide, les puissances nucléaires ont procédé à des réductions importantes de leurs arsenaux nucléaires. Les principes s’opposant à l’utilisation, à la prolifération et aux essais d’armes nucléaires étaient largement acceptés. Aujourd’hui, nous risquons d’oublier les leçons de 1945. Une nouvelle course aux armements commence à prendre de la vitesse, certains États dépensant des centaines de milliards de dollars pour moderniser leurs stocks d’armes nucléaires. Près de 13 000 de ces armes se trouvent actuellement dans les arsenaux du monde entier. Les crises géopolitiques aux forts relents nucléaires se propagent rapidement, du Moyen-Orient à la péninsule coréenne, ou dans le cas de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Une fois de plus, l’humanité est en train de jouer avec un pistolet chargé. Nous sommes à une erreur, un malentendu, un mauvais calcul de la fin du monde. Les dirigeantes et dirigeants doivent cesser de frapper à la porte de l’Apocalypse et balayer une fois pour toutes l’option nucléaire. Il est inacceptable que les États dotés armes nucléaires souscrivent à la possibilité d’une guerre nucléaire, qui signerait la fin de l’humanité. Pour cette raison même, ces pays doivent s’engager à ne pas recourir à l’arme nucléaire en premier. Ils doivent également garantir aux États non dotés d’armes nucléaires qu’ils n’emploieront pas, ni ne menaceront d’employer, de telles armes contre eux, et faire preuve de transparence à chaque instant. Les démonstrations de force nucléaire doivent cesser. En fin de compte, il n’y a qu’une seule solution à la menace nucléaire : ne pas avoir d’armes nucléaires du tout. Cela signifie qu’il faut ouvrir toutes les voies du dialogue, de la diplomatie et de la négociation pour apaiser les tensions et éliminer ces armes de destruction massive meurtrières. Nous voyons poindre des signes d’espoir à New York, où le monde s’est réuni pour la dixième Conférence des Parties chargée d’examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires. Le Traité est l’une des principales raisons pour lesquelles les armes nucléaires n’ont pas été utilisées depuis 1945. Les parties au Traité ayant pris des engagements juridiquement contraignants en vue d’un désarmement nucléaire, il peut aussi être un puissant catalyseur du désarmement, qui est la condition sine qua non pour éliminer ces armes effroyables une bonne fois pour toutes. En juin, les parties au Traité sur l’interdiction des armes nucléaires se sont réunies pour la première fois afin d’élaborer un plan de marche vers un monde exempt de ces armes de l’Apocalypse. Nous ne pouvons plus accepter la présence d’armes qui pèsent si lourdement sur l’avenir de l’humanité. Il est temps que le message intemporel des hibakusha soit entendu : «Plus jamais Hiroshima ! Plus jamais Nagasaki !» Il est temps que ce soit la paix qui prolifère. Ensemble, pas à pas, balayons ces armes de la surface de la Terre. Par Antonio Guterres</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La littérature africaine, un condensé du monde ! (Tribune) || subtitle : Arabophone, anglophone ou francophone, la littérature africaine est un condensé du monde. Cette phrase résume bien le foisonnement et la richesse de cette littérature qui a raflé tous les prix prestigieux en 2021. Polar, thriller ou roman, chaque genre a sa place et la terre natale est souvent source d’inspiration, la diaspora africaine comptant plusieurs écrivains restés attachés au bercail, à ses merveilles et à ses fantômes, écrit docteure Sabah Attab dans cette tribune à l'occasion du Salon du livre 2022 qui met à l'honneur la littérature africaine. || body : 2021, une année faste pour la littérature africaine, les écrivains africains ont raflé tous les prix prestigieux ! L’année 2021 est une année faste pour la littérature africaine. Le monde découvre des noms et des talents hors pair, à l’image des diamants enfouis, découverts tout à coup pour révéler une splendeur et une beauté rare. Une première consécration à travers le prestigieux prix Nobel de littérature décerné à l’écrivain Abderrazek Gornah pour son œuvre littéraire. Ce Tanzanien écrivant en anglais vit en Angleterre. Il avait écrit plus de dix romans qui restent peu connus. Cette distinction suprême l’a définitivement inscrit en lettres d’or dans l’histoire littéraire africaine et mondiale. Le Booker Prize, un autre prestigieux prix littéraire octroyé par l’Angleterre, est revenu à Damon Galgut, qui était deux fois finaliste en 2003 et 2010. C’est «The Promise», neuvième roman, qui a propulsé cet écrivain anglophone au faîte. Damon Galgut est le troisième écrivain sud-africain récompensé dans l'histoire du Booker Prize. Dans la littérature francophone, le romancier sénégalais, Mohamed Mbougar Sar, auteur vivant en France est le premier écrivain d’Afrique noire à recevoir le prestigieux prix Goncourt pour son livre «La plus secrète mémoire des hommes». Interrogé sur son rapport à la langue française, le romancier explique : «C’est ma langue d’écriture naturelle et je suis très à l’aise avec cette idée-là, cela ne m’empêche pas de réfléchir aux autres langues que je pourrais utiliser à l’avenir pour écrire. J’écrirai un jour en sérère qui est ma langue maternelle du Sénégal ou en wolof qui est aussi une langue du Sénégal. Pour l’heure, je suis à l’aise avec cette idée d’écrire en français, symboliquement, politiquement. Cela ne m’empêche pas de voir ce que cette langue charrie comme passé, mais je refuse de ma laisser définir par cette histoire-là. On écrit en présence de toutes les langues (…)» Boubacar Boris Diop, écrivain sénégalais, francophone de 75 ans, est récompensé lauréat du Neustadt International Prize for Literature. Ce prix littéraire américain référencé comme le prix Nobel américain est ouvert aux écrivains du monde entier afin de consacrer les talents et le mérite littéraire exceptionnels. Cet alignement des astres offre la meilleure visibilité à une littérature, restée longtemps sous-représentée dans le palmarès des prix littéraires, une littérature peu lue et souffrant d’un déficit en termes de diffusion, de lectorat et d’institutions littéraires. Les écrivaines africaines, patrimoine et mémoire Le patrimoine oral jouit d’une aura exceptionnelle dans la culture et la civilisation africaine. Les conteurs et notamment les conteuses forment des relais entre les espaces d’évasion, de l’imagination et celui de l’éducation. Cette littérature orale constitue pour plusieurs écrivains le sol où a germé la graine de l’amour «d’écouter et de raconter les histoires» comme le révèle le lauréat du Goncourt et auteur de «La plus secrète mémoire des hommes», Mohamed Mbougar Sarr, dans un hommage sincère et ému rendu principalement à des femmes, «autrices» dans l’ombre et qui lui ont passé le flambeau de la passion des mots. Qui sont alors les héritières des conteuses ? Citons des noms consacrés qui ont connu un succès littéraire, marquant ainsi l’histoire littéraire de l’Afrique et de l’Europe. Le Renaudot octroyé à la Ruandaise Scholastique Mukasonga pour son roman «Notre-Dame du Nil» paru en 2012. Huit ans plus tard, la Camerounaise Djaili Amadou Amal était l’heureuse gagnante du prix Goncourt des lycéens français en 2020 pour son roman «Les impatientes». Une première dans la littérature africaine après le Goncourt décerné à Leila Slimani en 2016 pour le roman «Chanson douce». La Nigériane Himamanda Ngozi Adichie est l’une des voix anglophones qui s’illustrent dans l’écriture des autrices africaines. Dnas son ouvrage «Americanah» (2013), avant de rencontrer un franc succès et avant de s’imposer comme l’un des grands noms de la littérature anglophone, l’écrivaine revenait sur ses premiers pas dans l’écriture et les refus qu’elle essuyait : «J’étais préparée à essuyer l’indifférence : les agents avaient été tellement nombreux à m’expliquer en rejetant le manuscrit que le Nigeria n’intéressait personne». En Afrique du Nord, au Maghreb, les écrivaines opèrent une révolution dans l’univers littéraire d’abord, par le nombre de publications, ensuite, par le succès que remportent leurs œuvres. Ghita El Khayat, Mouna Hachim, Loubna Serraj, Nouzha Guessous, Bahaa Trabelsi, Souad Jamai sont quelques-uns des noms qui écrivent l’histoire littéraire empreinte d’un engagement pour les causes de la femme comme thématique majeure. Les genres littéraires comme miroir de la société Dans le cursus universitaire littéraire ou le programme scolaire au secondaire marocain, les écrivains africains sont, certes, présents aux côtés des classiques français ou du patrimoine littéraire universel, toutefois, cette littérature gagnerait à plus de présence dans les manuels. Le recueil en prose «Cahier d’un retour au pays natal», du poète martiniquais Aimé Césaire, «L’Aventure ambiguë» de l’écrivain sénégalais Cheikh Hamidou Kane ou encore «L’enfant noir» de l’écrivain guinéen Camara Laye comptent parmi les œuvres littéraires classiques les plus connues. Quels sont les genres littéraires qui dominent dans la Littérature africaine ? La littérature qui n’est que le pouls de la société voit croître des ouvrages qui disent ses souffrances, ses dérives et ses folies. C’est ce qui explique l’engouement pour le polar en Afrique du Sud. Des écrivains tels Roger Smith, Mike Nicol, Deon Meyer, Marli Roode et Michèle Rowe décrivent les conflits, les tensions raciales, l’apartheid, les bandes criminelles, les quartiers gangrénés par la vente des stupéfiants et des gangs, les violences sous toutes leurs formes. Le polar connaît un grand succès et le thriller a de beaux jours devant lui. À Dakar, au Sénégal s’est tenu en 2000 le premier festival Polar où «Les Enquêtes du commissaire Habib» de l’écrivain malien Moussa Konaté reflètent cette réalité africaine dominée par la culture des traditions et l’ambition de la modernité. En Afrique du Nord, au Maghreb, ce sont d’autres tendances littéraires, liées à d’autres cultures et à d’autres réalités. Le roman est l’avatar du réel. Les écrivain(e) marocain(e)s sont à l’écoute de leur société, reproduisant grâce aux multiples possibilités qu’offre l’écriture un miroir de réalité sociale, politique, historique... la littérature maghrébine francophone, arabophone et s’illustrent dans les prestigieux rendez-vous littéraires, le dernier en date est le Booker Prize du roman arabe 2022 octroyé à l’écrivain libyen Mohamed Naasse pour son premier roman «Du pain sur la table de l’oncle Milad» ou encore l’écrivaine Loubna Serraj, lauréate du Prix orange pour le livre d’Afrique en 2021 pour son roman «Pourvu qu’il soit de bonne humeur». La terre natale, source d’inspiration L’Afrique a des écrivain(e)s vivant loin du sol, mais «près du cœur». La diaspora africaine comptant plusieurs écrivain(e)s rqui estent attachés au bercail, à ses merveilles et à ses fantômes. En effet, la terre natale des écrivain(e)s demeurent pour plusieurs leur source d’inspiration. Le dernier en date est le roman finaliste du Goncourt du premier roman 2022, «La poule et son cumin» de la Marocaine Zineb Mekouar, où l’espace de l’intrigue est situé au Maroc, à Casablanca, tout comme les romans de Fouad El Aroui, Tahar Ben Jelloun, Mustapha Ami, Leila Slimani, Safia Azzeddine… Pour le prix Nobel, décerné à Abdurazak Gurnah, le jury a salué l’«Analyse pénétrante et sans compromis des effets du colonialisme et du destin des réfugiés écartelés entre cultures et continents». L’écrivain qui vit en Angleterre raconte les tourments liés à l’immigration et à l’exil et voyage à travers la géographie de Zinzibar. À la réception du prix Goncourt, Mohamed Mbougar Sarr dit avoir une pensée d’abord pour sa famille, restée au Sénégal, ses maîtres d’école, sa famille et ses amis. Son roman «La Plus Secrète mémoire des hommes» est inspiré de l’histoire du premier écrivain africain, le Malien Yambo Ouologuem, qualifié de «Rimbaud nègre», à recevoir le prix Renaudot, honneur qui se transforme en drame suite à des accusations de plagiat. La situation du personnage principal du roman de Mohamed Sarr, «La Plus secrète mémoire des hommes», Siga D. écrivaine exilée illustre cette situation de l’écrivain africain de la diaspora tiraillé entre son quotidien et l’appel des racines. «“Élégi pour nuit noire” fut le début du malentendu de Siga D. avec sa société. Il persiste. Il s’est creusé. Siga D. n’est jamais revenue chez elle. Je crois qu’elle mourra sans jamais y retourner. Mais toute son œuvre, même si elle a trouvé d’autres scènes, d’autres images, d’autres passions, porte en son cœur celles de son pays.» Par Sabah Attab, docteure en littérature française</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Youssef Amrani : l’engagement africain du Maroc, une Vision, une Histoire, une Identité (Tribune) || subtitle : None || body : L’Afrique du Sud et le Maroc partagent une longue histoire et ont toujours été considérés comme des acteurs positifs dans la construction du potentiel de l’Afrique, a indiqué vendredi l’ambassadeur du Royaume en Afrique du Sud, Youssef Amrani. «Notre relation a densément contribué à rapprocher nos peuples, nos entreprises, nos intérêts et nos visions», a souligné M. Amrani dans une tribune publiée dans le journal sud-africain à grand tirage «The Star», à l’occasion du 23e anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres. Il s’agit de «23 années qui ont façonné, guidé et renforcé les vocations du Maroc en tant que pays qui valorise l’unité, l’amitié et les peuples avant tout», a-t-il relevé, notant que le Maroc et l’Afrique du Sud devraient travailler ensemble pour faire face à l’ensemble complexe et interdépendant de problèmes mondiaux allant de la stabilité et de la paix, à la sécurité internationale, à la crise financière, à la traite des êtres humains, à la réduction de la pauvreté, à la lutte contre l’extrémisme et au développement économique». «Les enjeux sont assez similaires sur tout le continent africain. Aucun pays n’est à l’abri de ces défis transversaux. L’unité internationale doit prendre de l’ampleur, du sens et de l’efficience», a-t-il poursuivi. Le diplomate marocain a précisé que «cela signifie que nous avons tous un rôle à jouer dans la promotion des initiatives et des innovations africaines dont nous pouvons être fiers, a conditions qu’elles nous rapprochent», notant que la première réunion ministérielle des États africains atlantiques, organisée le 8 juin à Rabat, reflète l’essence de cet esprit, car au-delà de la géographie, nous partageons les mêmes défis, les mêmes espoirs et le même avenir. «L’Afrique doit relever ses défis dans l’unité, la concertation et la coordination. Un leadership, un engagement et une vision solides sont essentiels. Le dialogue, la confiance et la responsabilité sont obligatoires. Ce sont nos engagements internationaux envers un ordre fondé sur des règles qui façonnent notre avenir», a-t-il martelé. M. Amrani a également relevé que le Maroc estime aujourd’hui plus que jamais que la coopération multilatérale dans un contexte de protectionnisme et de populisme croissants est essentielle pour l’Afrique. «Nous défendons la responsabilité partagée, l’action concertée et le dialogue, car la cohérence de nos engagements en tant qu’Africains en dépendent. Aucun pays ne peut vraiment évoluer si d’autres échouent», a-t-il dit. Signalant que le respect, l’empathie et l’honnêteté sont la seule voie à suivre, il a fait observer que «construire et renforcer cet esprit nous permet de vraiment expérimenter et concrétiser le monde que nous voulons… le monde dont nous avons besoin». Il a, à cet égard, rappelé qu’en pleine crise de la Covid-19, alors que rien ne semblait certain, le Maroc, avec nombre de ses nations sœurs, dont l’Afrique du Sud, a continué à favoriser et surtout à agir pour un avenir meilleur, un monde plus prospère, en somme plus responsable. «Surmonter la crise signifiait, pour nous, créer de nouvelles perspectives, de nouvelles orientations, de nouveaux schémas et de nouveaux outils pour que nos peuples grandissent dans un environnement décent, qui valorise l’humain et la durabilité de nos démarches. Aucune crise ne pourra jamais vaincre l’esprit de véritable solidarité», a-t-il estimé. Selon M. Amrani, le Maroc a toujours défendu cet esprit, en élargissant le cadre, les contextes et le sens de l’unité, à travers l’Afrique et au-delà. «Nous avons poussé la relance en mettant la dimension humaine au cœur de nos priorités. Politiques nationales, réglementations, projets et coopération visaient à promouvoir avant tout les meilleurs intérêts de notre peuple et ceux des nations avec qui nous partageons une même identité africaine», s’est-il félicité. Dans cet esprit, l’ambassadeur a affirmé que «la gestion de la santé était au centre de nos préoccupations». Il a expliqué ainsi qu’«en fabriquant des vaccins, le Maroc a choisi la souveraineté en s’appuyant sur ses propres capacités, et en apportant à ses pays frères et amis la solidarité nécessaire dont nous avions tous besoin alors, et dont nous avons encore besoin aujourd’hui». Par ailleurs, il a fait observer que dans un monde en évolution rapide et plutôt incertain, la création d’emplois, les infrastructures sanitaires et le droit à l’éducation pour tous étaient des piliers prioritaires, signalant que le nouveau modèle de développement que le Maroc s’est fixé constitue donc une nouvelle voie vers la modernité, la pertinence et l’efficacité, avec une énergie revigorante. Abordant la question du Sahara, M. Amrani a souligné que le processus mené par l’ONU trace clairement la voie, rappelant que «le Maroc reste attaché à la solution politique durable et réaliste basée sur le compromis, conformément aux paramètres établis par le Conseil de sécurité de l’ONU». La dernière résolution 2602 du Conseil de sécurité de l’ONU a confirmé le «continuum» du processus des tables rondes comme «seul et unique» cadre pour le règlement du différend régional autour du Sahara marocain, a-t-il poursuivi. Le diplomate marocain a conclu que l’adoption de cette nouvelle résolution intervient dans un contexte empli d’optimisme pour la reprise du processus politique, suite à la nomination de M. Staffan De Mistura comme nouvel envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara marocain. --------------------------------------- Journal sud-africain : la vision de S.M. le Roi Mohammed VI apporte des milliards pour le développement de l’Afrique La vision de S.M. le Roi Mohammed VI a permis d’apporter des milliards de dollars pour le développement du continent africain dans le cadre du Sommet des affaires États-Unis-Afrique qui s’est tenu du 19 au 22 juillet à Marrakech, a indiqué vendredi le journal sud-africain «The Star». «Des dirigeants et hommes d’affaires africains et leurs homologues américains se sont rencontrés à Marrakech pour signer des accords sur les infrastructures, les mines, l’agriculture et le commerce», a souligné le journal à grand tirage, notant que la conférence organisée au Maroc a «levé des milliards pour l’Afrique». Revenant sur les propos du président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, la publication a mis l’accent sur le rôle crucial que la plateforme panafricaine d’investissement dans les infrastructures «Africa50» jouait pour combler le fossé infrastructurel en Afrique. «M. Adesina a déclaré aux délégués réunis pour l’assemblée des actionnaires qu’Africa50 avait investi plus de 5 milliards de dollars dans 16 projets d’investissement axés sur le secteur privé au cours des six dernières années», poursuit le quotidien. Il relève également que le responsable a affirmé qu’«Africa50 repousse les frontières du développement des infrastructures sur le continent, prépare des projets, les amène à la viabilité commerciale et les finance». Pour sa part, le directeur général d’Africa50, Alain Ebobissé, a déclaré que cette plateforme est un catalyseur de changement et de développement en Afrique, «car l’investissement privé est essentiel pour atteindre notre objectif d’équiper les pays africains d’infrastructures durables», rapporte le journal. Il signale de même que la ministre marocaine de l’Économie et des finances, Nadia Fettah Alaoui, a déclaré que la réunion se tenait à un moment où la Covid-19 avait révélé la vulnérabilité de l’Afrique et que le Royaume avait exposé sa stratégie pour se remettre de la pandémie. «La vision du Maroc est de construire un avenir meilleur. Il ne peut y avoir de monde prospère qu’avec une Afrique prospère», a-t-elle dit, citée par le média. Il rappelle également que le sommet s’est terminé par l’adoption d’un protocole d’accord selon lequel la BAD, Africa50 et le Forum africain des investisseurs souverains collaborent au développement de projets d’infrastructures vertes résilientes au climat.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : ONU : pourquoi le soutien à nos Casques bleus est plus important que jamais (Tribune) || subtitle : None || body : Par Jean-Pierre Lacroix, secrétaire général adjoint aux opérations de paix des Nations unies Chaque jour, dans certains des contextes politiques et sécuritaires les plus difficiles au monde, les Casques bleus des Nations unies protègent des centaines de milliers de personnes. Ces personnels civils, militaires et policiers soutiennent des cessez-le-feu, répondent à la violence et cherchent à la prévenir, enquêtent sur les violations et abus des droits de l’Homme et aident à bâtir la paix en accompagnant le rétablissement et le développement des pays touchés par le conflit. Il n’y a aucun doute que des vies sont sauvées et changées par leur présence. Selon une enquête sur les perceptions menée récemment au Soudan du Sud, plus de 80 pour cent de personnes interrogées ont déclaré se sentir plus en sécurité grâce à la présence de Casques bleus de l’ONU. Les populations d'autres zones de conflit ont également témoigné de l'impact du maintien de la paix. Au cours de l'opération «Que la paix règne» en République centrafricaine, les leaders communautaires locaux ont signalé que l'augmentation des patrouilles dissuadait les groupes armés alors que, dans le même temps, la fourniture d'eau potable, l'assistance médicale et la réhabilitation des routes par les Casques bleus avaient considérablement amélioré leurs conditions de vie. «Cela dissuade les ennemis de la paix dans notre région afin que la paix revienne, nous permettant de nous déplacer librement», a partagé Iyo Feikoumon du village de Doyi. Dans certaines missions, une tâche primordiale, dictée par la menace sur le terrain, consiste à fournir une protection des civils robuste. Pour exécuter ce mandat, notre personnel militaire et policier met tout en œuvre dans des conditions difficiles et souvent dangereuses. Mais cette activité même vise à contribuer à l'objectif ultime, qui est de créer les conditions permettant d’aboutir à des solutions politiques et à une paix durable. C’est là que réside la vraie mesure de notre succès. Atteindre ce résultat est actuellement de plus en plus difficile au regard des tensions croissantes du contexte politique et sécuritaire mondial. Les conflits sont plus complexes, aux dimensions multiples et marqués par des tensions locales alimentées par des forces nationales, régionales et internationales qui agissent selon leur propre intérêt. La violence est le fait d’un nombre croissant d'acteurs, y compris des criminels, des terroristes et d'autres éléments armés. Ces individus et ces groupes ont des motivations et des objectifs divers et sont souvent liés à la criminalité transnationale organisée ; il est dès lors difficile de dégager toute perspective avec eux, car ils n'ont aucun intérêt réel à parvenir à des accords politiques et à une paix durable. Par ailleurs, du fait des divisions politiques actuelles entre puissances mondiales, la pression sur les parties aux conflits pour mettre fin aux violences et faire des concessions s’en trouve d’autant réduite. On retrouve ces clivages croissants dans les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU relatives au maintien de la paix, où les décisions prises par les États membres sont moins unanimes que par le passé, notamment pour les renouvellements de mandat. On constate également un soutien moins ferme à nos missions lorsqu'elles font face à des défis sur le terrain. L’augmentation de la désinformation est également source de menaces sérieuses pour la sécurité du personnel de l'ONU et des populations que nous servons. Dans des pays comme le Mali, la République centrafricaine ou la République démocratique du Congo, les fausses informations alimentent non seulement la violence, mais aussi l'hostilité envers les opérations de maintien de la paix. Nous constatons une augmentation des attaques contre nos bases et des embuscades de convois, ainsi qu’un usage accru d'engins explosifs improvisés. Dans ce contexte, le drapeau bleu des Nations unies, qui devrait assurer la sécurité des Casques bleus, risque désormais d'en faire une cible. Malgré nos efforts pour assurer la sécurité du personnel de l’ONU, dans ces conditions difficiles, davantage de Casques bleus sont blessés ou tués. Le nombre d’attaques contre notre personnel est passé de 280 en 2020 à 463 l'an dernier. En 2021, 24 soldats de la paix sont morts à la suite de ces actes de violence. Parmi ceux qui nous ont quittés figurent huit Casques bleus dont l’hélicoptère s'est écrasé dans l'est de la RDC en mars, lors d'une mission de reconnaissance qui visait à protéger des civils. J'ai alors assisté à une cérémonie commémorative très émouvante aux côtés de nos collègues à Goma. Nous comprenons tous que les risques sont inévitables, compte tenu de la nature de notre travail, mais nous réunir dans ces circonstances tragiques nous rappelle le prix immense payé par ces hommes et femmes, ainsi que leurs familles. Je veux leur rendre hommage. Leur sacrifice nous incite à redoubler d'efforts pour bâtir la paix et la stabilité. Les opérations de maintien de la paix de l'ONU ne sont pas seules pour faire avancer la paix. De nombreux partenaires travaillent à nos côtés. Parmi eux se trouvent les personnels humanitaires, qui fournissent une assistance vitale aux personnes les plus démunies. Les communautés locales sont également des acteurs essentiels. Leur résilience est à l’image de leur persévérance dans leurs efforts pour régler les tensions, soutenir la réconciliation et construire la paix. Les femmes et les jeunes sont également des partenaires essentiels en tant que défenseurs incontournables de la paix ; c’est également le cas de la société civile et des médias, qui mettent en lumière les défis et aident à promouvoir des solutions. Nous continuons par ailleurs à renforcer nos partenariats avec les 122 États membres qui fournissent plus de 75.000 militaires et policiers à nos 12 opérations. Nous comptons sur le consentement et la participation active des pays hôtes, ainsi que sur le soutien uni et actif des partenaires régionaux et internationaux pour convaincre les parties de mettre de côté leurs divergences et de faire les concessions nécessaires pour parvenir à des accords politiques. C'est pourquoi, cette année, nous célébrons la Journée internationale des Casques bleus des Nations unies sous le thème «Ensemble pour la paix : le partenariat, clé du progrès». C'est l'occasion de remercier nos partenaires pour leurs contributions et de relancer un appel à l'action dans la poursuite de la paix et de la sécurité globale. Il faut aussi se rappeler que le maintien de la paix est un outil imparfait, qui ne peut répondre à tous les besoins ni à toutes les attentes. Les conditions sur le terrain nous empêchent parfois de faire les progrès escomptés ou bien d’accomplir nos mandats, ce qui est très décevant pour nous-mêmes et pour ceux que nous servons, en particulier quand il s’agit de cas d'inconduite de notre personnel. Dans ces moments, nous devons continuer à être responsables, à constamment interroger notre performance, et à trouver les moyens d’être plus innovants et efficaces. C’est la raison d’être de l'initiative «Action pour le maintien de la paix», qui met en avant des domaines prioritaires où de tels progrès sont nécessaires. Parmi ceux-ci, on compte le renforcement de notre capacité à promouvoir des solutions politiques et à soutenir une paix durable, l’amélioration de la protection des civils ainsi que de la sécurité des Casques bleus, la mise en œuvre du programme pour les femmes et la paix et la sécurité et l’évaluation rigoureuse de la bonne performance de toutes nos composantes. Nos objectifs sont ambitieux et nous sommes conscients que tous ne seront pas facilement atteints. Des questions sont parfois posées sur la valeur et l'impact du maintien de la paix. Mais si ce n’est le maintien de la paix, quel autre outil serait à même de maintenir les cessez-le-feu, de protéger les civils, d’empêcher le chaos et de soutenir les efforts de paix dans les conflits complexes où nos opérations sont déployées ? Malgré ces interrogations, et face à de nombreux défis, les opérations de maintien de la paix de l'ONU continueront de travailler, aux côtés de nos partenaires, pour être une force de changement au cœur d’un effort collectif pour la paix et le progrès pour tous.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Les sept degrés de l’âme || subtitle : Le cheminement de l’âme s’exprime en degrés de connaissance et donc par une capacité d’intellection ou d’intelligence de plus en plus affinée et élevée de l’appréhension du réel. Celui-ci étant considéré dans tous les aspects de ses manifestations, matérielles et spirituelles. C’est en ce sens que nous trouvons dans le soufisme, et aussi dans une grande part de la philosophie islamique classique (comme chez Avicenne), ces différents degrés d’approfondissement de l’intelligence (al ‘aql), qui part de la raison pour atteindre, à travers une procession de degrés d’intelligence, l’intelligence universelle (al ‘aql al kullî) qui s’exprime dans tout le cosmos et qui est précisément celle de l’âme muhammadienne. || body : Par Faouzi Skali Dans le cheminement spirituel, on considère que l’âme passe par plusieurs degrés de connaissance ou de conscience que l’on décrit symboliquement comme étant au nombre de sept. Dans le Coran comme dans le langage soufi, ce chiffre peut désigner la quantité correspondante, mais aussi, dans un sens plus large, une pluralité indéfinie. Il y a en réalité dans ce cheminement intérieur une transformation continue de notre état de conscience, mais aussi cependant des «stations spirituelles» (maqâmât) qui définissent une certaine typologie de l’âme, telle qu’elle est évoquée dans le Coran. On pourrait esquisser la description de ces sept degrés de conscience selon la hiérarchie suivante, que l’on retrouve dans différents traités du soufisme et notamment dans les «fuyûdât ar rabbâniya» du Shaykh Abd al Qâdir al Jilânî : 1. L’âme despotique (an nafs al ammâra)  : «Je ne cherche pas à m’innocenter car c’est le propre de l’âme d’inciter (ammâra)  au mal, à moins qu’elle ne soit touchée par la grâce de Dieu...» (Cor. 12/53) . Ce degré de conscience (ou plutôt ici d’inconscience) se caractérise par certains attributs psychologiques : la cupidité, la négligence, l’arrogance,  la recherche de la célébrité, l’envie et l’inconscience. 2. L’âme «qui se blâme» ou admonestatrice   (an nafs al lawwâma) : «Non !... Je jure par l’âme qui admoneste» (Cor. 75/2). Elle est décrite ainsi : le blâme, ressasser des pensées d’une façon incessante (fikr), l’esprit de contradiction, la tendance à déprimer et d’une façon qui peut sembler paradoxale un certain narcissisme (‘ujb). 3. L’âme inspirée (an nafs al mulhama) : «Par une âme ! – Comme Il l’a modelée en lui inspirant [ce qu’est] son libertinage et sa piété» (Cor.91/7) . Dont les qualités sont les suivantes (sans les citer ici dans une hiérarchie particulière) : la science, le détachement, le contentement, l’humilité, la dévotion, le retour à Dieu, la patience, l’endurance et l’acquittement de ses engagements. 4. L’âme apaisée (an nafs al mutma’inna) : «Ô toi ! âme apaisée ! retourne vers ton Seigneur agréante et agréée» (Cor.59/27-28) . Dont les vertus spirituelles sont la sagesse, la générosité et le don de soi, l’abandon intérieur et la reconnaissance des dons divins. 5. L’âme satisfaite  [de Dieu] (an nafs ar râdiya), citée dans le verset précédent, caractérisée par le scrupule spirituel (wara’), la loyauté, le renoncement (tirk), la sincérité ou la libération de tout ce qui est autre que Dieu (ikhlâs), le sentiment de plénitude. 6. L’âme agréée (an nafs al mardiya), citée également dans le verset précédent.  Elle se distingue par la proximité de Dieu, la noblesse de caractère, la délicatesse (lutf), une attitude compassionnelle envers toute la création et une méditation continuelle sur la Magnificence divine. 7. L’âme accomplie (an nafs al kâmila) qui est l’accomplissement et la synthèse de l’ensemble des qualités précédentes. Pour les soufis, c’est à celle-ci  que fait référence le hadîth prophétique : «J’ai été envoyé pour parfaire la noblesse du comportement (ou des vertus)». Dans cette perspective, elle exprime le modèle «Muhammadien» : «Vous avez dans l’Envoyé de Dieu un beau modèle pour quiconque espère en Dieu, en le jour dernier et invoque Dieu très souvent» (Cor. 33/21) . Et, parlant du Prophète (PLS) : «Tu es vraiment d’une grande noblesse de caractère» (Cor. 68/4). Ainsi que le verset suivant : «Nous ne T’avons envoyé que comme une Miséricorde pour les univers» (Cor. 21/107) . Il faut cependant noter que ce cheminement de l’âme, qui se réalise le long de ces états de conscience, s’exprime aussi en degrés de connaissance et donc par une capacité d’intellection ou d’intelligence de plus en plus affinée et élevée de l’appréhension du réel. Celui-ci étant considéré dans tous les aspects de ses manifestations, matérielles et spirituelles. C’est en ce sens que nous trouvons dans le soufisme, et aussi dans une grande part de la philosophie islamique classique (comme chez Avicenne), ces différents degrés d’approfondissement de l’intelligence (al ‘aql), qui part de la raison pour atteindre, à travers une procession de degrés d’intelligence, l’intelligence universelle  (al ‘aql al kullî), qui s’exprime dans tout le cosmos et qui est précisément celle de l’âme muhammadienne. L’incapacité d’envisager d’autres formes d’intelligence qui se situent au-delà d’une rationalité matérialiste avait déjà fait dire à Ibn Khadûn : «En se bornant à affirmer l’existence de la raison sans se soucier de ce qui se trouve au-delà, ils firent comme ces naturalistes qui se contentent d’affirmer l’existence des corps sans se préoccuper de Révélation ou d’intelligence, pensant qu’au-delà du corps il n’existe rien d’autre dans l’ordre divin». C’est précisément cette question qui a été soulevée d’une façon elliptique à Cordoue, vers 1180, entre Ibn ‘Arabî et Ibn Rushd (Averroës) concernant les liens et les articulations qui existaient entre ces différents types d’intelligence. La conception rushdiennne (qui est celle d’Aristote) a joué un rôle essentiel dans l’émergence du modèle de rationalité qui s’est développé depuis le 14e siècle en Occident pour devenir planétaire. Celle d’Ibn Arabî porte un modèle fécond qu’il nous reste à explorer.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : L'expérience client digitale pour résoudre le dilemme qualité de service et rentabilité en Télécom || subtitle : Si la transformation digitale des entreprises était reconnue comme enjeu stratégique avant la crise sanitaire, seules 48% des firmes en 2019 percevaient le digital comme une opportunité et pilotaient une stratégie numérique véritablement engagée. La pandémie soutenue par un télétravail massif est venue rebattre les cartes de la digitalisation en poussant les entreprises à s’adapter rapidement au confinement. || body : Dr. Lamiae Benhayoun, Professeure Associée en systèmes d’information à UIR Rabat Business School et Mr. Amine Belmejdoub, DSI chez Orange Business Maroc Pour les opérateurs télécom , la capitalisation sur les moyens technologiques s'est souvent inscrite dans une perspective de rationalisation des processus internes et d'adoption de business models atypiques. Mais en apportant son lot de contraintes, la crise covid a démontré que l’expérience client joue, elle aussi, un rôle central pour le développement commercial et l’image de marque. Poussées par les exigences d’un environnement pandémique obligatoirement virtuel et distanciel, les entreprises ont massivement réorienté leur service client vers des espaces digitaux. Il est donc désormais nécessaire pour les opérateurs télécom de diriger leurs moyens et leurs processus vers le client et d’intégrer sa voix aux décisions stratégiques. Cette politique est d'autant plus importante du fait qu'elle permet aux opérateurs d'optimiser la qualité de service tout en assurant leur rentabilité. La combinaison de ces deux spectres de performances est extrêmement contraignante pour les opérateurs télécom car elle nécessite à la fois l'exploitation des ressources pour garantir la productivité, et l'exploration de moyens technologiques novateurs pour proposer un service customisé de haute qualité. Pour répondre à ces nouvelles exigences socioprofessionnelles de l'ère post-crise, une recherche a été menée en étroite collaboration entre UIR Rabat Business School institution leader dans la recherche et l’éducation digitale, et Orange Business acteur majeur des télécommunications pour le marché B2B. En mobilisant une base de données massives de clients dans différents secteurs et en développant des algorithmes deep learning novateurs, l’étude définit les fondements de l’intelligence digitale orientée client. Rôle avéré de l'expérience client B2B digitale pour joindre rentabilité à qualité de service La mise en place d’une expérience client digitale influence considérablement la profitabilité de l’opérateur, en particulier le coût par rapport aux revenus. Il s’agit du coût direct de connexion des sites clients à travers le monde et du service qui leur est fourni. Grâce à la digitalisation de cette expérience, l’opérateur attire et fidélise davantage de clients, augmentant ainsi les revenus et la part de marché. L’expérience digitale mobilise entre autres des actions réduisant les temps d'arrêt du réseau, qui permet de minimiser les coûts associés à la maintenance du réseau et au support client. Par ailleurs, la recherche démontre que l’usage du digital pour la relation client B2B prédit avec précision la qualité de service offert. La numérisation aide à mieux gérer et maintenir les réseaux, ce qui réduit les interventions manuelles contraignantes pour le client, et améliore la fiabilité de la communication et le taux d'achèvement des appels. Elle fournit également en temps réel des données sur l'utilisation du réseau et le comportement des clients, permettant à l’opérateur d'identifier et de résoudre rapidement tout problème susceptible d'affecter la qualité de service. Best practices pour digitaliser l’expérience client B2B Business Intelligence : L’analyse des données aide les opérateurs à comprendre les variations du marché et à créer des campagnes marketing ciblées et des services personnalisés pour répondre aux besoins de chaque segment. Des tableaux de bords au service des clients leur permettent de suivre et comprendre leur consommation et leurs propres marchés, assister les équipes opérationnelles dans le pilotage de la qualité de service, et agir pour minimiser les temps d'indisponibilité. Ces dashboards aident les entreprises clientes à surveiller la performance du réseau en termes de volumes, d’emplacements géographiques, et de dynamique de leurs centres d'appels. Ceci accroît non seulement la satisfaction et la fidélisation des clients, mais aussi la probabilité de ventes incitatives et les recettes générées. Contrôleurs frontaliers virtuels de session : Ces éléments de réseau contrôlent les flux de signalisation et d’appels voix sur IP. Ils servent de passerelle de sécurité entre le réseau interne et l'internet public. En virtualisant ces contrôleurs, l’opérateur optimise l’utilisation et le coût d’infrastructure informatique car plusieurs contrôleurs peuvent fonctionner sur une seule machine physique. Il en résulte des économies d’échelles, une plus grande flexibilité et une meilleure évolutivité du réseau. La qualité de service est également améliorée puisque ces contrôleurs peuvent façonner le trafic pour garantir aux appels une bande passante suffisante et une faible latence. Sondes virtuelles : Elles permettent aux organisations de surveiller leurs réseaux à distance et en temps réel. Elles sont conçues pour collecter des données à partir de diverses sources, notamment les commutateurs, les routeurs, les pares-feux et les serveurs. Ces sondes permettent à l’opérateur de détecter la présence de niveaux élevés de trafic sur le réseau et de temps de réponse lents. La configuration du réseau est ainsi optimisée résultant en une meilleure expérience client, une réduction des coûts de matériel physique et de maintenance, et la prévention des interruptions onéreuses en termes de temps et de revenus. Processus robotiques automatisés (RPA) et intelligents (IPA) : La RPA consiste à automatiser les tâches répétitives à l'aide de robots logiciels, tandis que l’IPA se concentre sur des tâches plus complexes qui impliquent une prise de décision, un raisonnement et un traitement du langage naturel. La RPA permet à l’opérateur d’automatiser les processus de facturation, réduisant ainsi les erreurs qui nuisent à la satisfaction client. L’IPA est mise en œuvre pour automatiser la surveillance et la maintenance du réseau, et optimiser les temps d'arrêt. Les deux technologies servent à automatiser le service client notamment la réponse aux demandes et le traitement des commandes, rationnaliser la gestion de la chaîne d'approvisionnement, et libérer les employés pour se concentrer sur des tâches cognitives. Ensemble, ces technologies aident l’opérateur à optimiser les processus, réduire les erreurs et améliorer l'efficacité. Une future expérience digitale intelligente et humaine grâce à l’OpenAI Les récents OpenAI et ChatGPT ouvrent un nouveau champ de possibilités pour l’expérience client B2B en Télécom, garantissant davantage de rentabilité et de qualité de service. L’opérateur peut expérimenter cette technologie pour créer un chatbot capable de traiter les demandes de renseignements, de réclamations et d'assistance des clients. Le chatbot utilise le traitement naturel du langage pour comprendre et répondre aux demandes des clients, et des algorithmes d'apprentissage pour améliorer ses réponses au fil du temps. L’entreprise peut également tester le potentiel d’OpenAI pour piloter la performance du réseau, et proposer de manière proactive des solutions adéquates aux clients qui rencontrent des problèmes de service.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : PMEs et numérique : Obstacles et opportunités sur le chemin de la servitisation (Tribune) || subtitle : None || body : Dr. Lamiae Benhayoun, Professeur chercheur en Systèmes d’Information pour le Management à Rabat Business School – Université Internationale de Rabat Pour faire face à une concurrence accrue et apporter plus de valeur à leurs clients, les entreprises industrielles développent des stratégies de servitisation en se positionnant non plus comme des vendeurs de produits mais comme des offreurs de solutions intégrant des produits et des services. Ces solutions qualifiées de Product Service System (PSS) peuvent associer au produit un service additionnel tel que la maintenance ou la réparation, ou se présenter sous un format plus complexe orienté sur l’usage où le service se substitue au produit tel que le leasing. Avec la révolution numérique, ces solutions intègrent également des technologies récentes pour doter les produits, les services ou les interfaces produit-service d’intelligence. Les PSS intelligents induisent des opportunités d'innovation pour les entreprises et élargissent la création de valeur pour leurs clients. Ils soutiennent la durabilité grâce à un cycle de vie plus long des produits, à une efficacité accrue des ressources, et à une réduction des émissions carbone. Pour guider les PMEs sur le chemin de la servitisation numérique devenue une variable clé pour leur compétitivité, une recherche [1] a été menée par Dr. Lamiae Benhayoun, Professeur Chercheur à UIR Rabat Business School , en collaboration avec des académiciens en Australie et en France. L'équipe s'est focalisée principalement sur les PMEs, en raison de leur contribution à 85% de l'employabilité mondiale, et de leurs défis particuliers comparés aux grands groupes. Par exemple, la Blockchain peut aider à surmonter les problèmes de confiance entre les PMEs industrielles et leurs partenaires concernant le partage des informations nécessaires à la servitisation numérique. Cependant, intégrer la Blockchain requiert la PME de disposer d'une plateforme mature avec une architecture crédible et d'un vivier interne de connaissances solides. Un autre exemple est celui des digital twins, élément central de la fabrication intelligente aidant à valider directement des tests et à localiser rapidement les dysfonctionnements. Ils nécessitent une expertise pour mettre en œuvre les protocoles de cybersécurité et gouverner les données, qui est souvent absente pour les PME industrielles. La recherche a impliqué des experts en transformation digitale opérant dans des PMEs de plusieurs secteurs industriels tels que l'automobile, la pharmaceutique, l'électronique, etc. Elle a permis de sensibiliser les PMEs aux principaux obstacles et opportunités pour mieux guider leurs stratégies de servitisation numérique. Opportunités clés pour les PMEs La servitisation numérique constitue une stratégie gagnante pour les PMEs pour réaliser d'importants profits financiers, en capitalisant sur le mindset des clients dorénavant orienté services numériques surtout après la crise COVID. Nous avons particulièrement observé que la vente de données et de services de diagnostic constitue un revenu de taille induit par les PSS intelligents. Les médias sociaux réduisent les coûts du marché et améliorent la relation de la PME avec les clients. Ces réseaux et les Data Analytics favorisent également la cocréation avec les clients de Business Models et de nouveaux services. Grâce aux PSS intelligents, la réponse aux besoins du marché et le développement d'avantages concurrentiels est plus rapide pour les PMEs. La servitisation numérique est une opportunité d'amélioration de l'organisation interne des PMEs, à travers une communication digitalisée et un traitement en temps réel des données pour proposer des offres de services customisés. La gestion de ces données est automatisée et repose sur la robotique et l'intelligence artificielle, améliorant ainsi la productivité, et l'efficacité opérationnelle. Il est de ce fait possible de suivre l'exécution des services en temps réel et de réduire les coûts de transport et d'infrastructure. Aussi, l'écosystème de la PME composé de partenaires et clients s'améliore avec les PSS intelligents. Ces offres permettent aux PMEs de développer une relation plus profonde et une loyauté des clients grâce au pilotage du service sur le long terme. L'entreprise assoit une réputation de PME innovante, lui permettant ainsi d'attirer de nouveaux clients et partenaires et d'accéder à des aides gouvernementales. L'offre de service est décomposée de lots provenant d'une diversité de fournisseurs, nécessitant ainsi une interconnexion des systèmes entre les partenaires qui évite les incohérences dans les échanges de données. Enfin, la servitisation numérique renforce les capacités humaines des PME en permettant une dynamique d'apprentissage et de collaboration inédite. De nouvelles connaissances sont générées et les informations nécessaires aux tâches opérationnelles sont rapidement échangées. Point sur les principales barrières D'un point de vue stratégique, les PME sont souvent financièrement limitées et ne disposent pas de structures techniques pour adopter de nouvelles technologies. La stratégie numérique est également risquée pour les PME car les investissements technologiques sont très perturbateurs pour la structure de l'organisation. Un obstacle clé demeure le manque de compréhension de la technologie et de son application dans l'entreprise sur le long terme. En effet, ces entreprises ne sont souvent pas en mesure de choisir la bonne combinaison de technologies pour répondre aux contraintes de complexité des solutions PSS. Aussi, la servitisation numérique peut être difficile pour l'organisation interne des PME. Souvent le manque d'outils et de ressources pratiques sont des problèmes majeurs en plus de la rigidité dans les pratiques de travail lors de la transformation. Les technologies digitales évoluant très rapidement, les outils mis en place pourraient devenir rapidement obsolètes, et donc constituer une charge financière et structurelle coûteuse. Notons également que les PMEs industrielles possèdent des systèmes d'information centrées sur le manufacturing, et n'arrivent pas toujours à les ajuster à des offres PSS intelligents. Par ailleurs, la servitisation numérique affecte l'écosystème de la PME. Ces entreprises manquent de compréhension et de proximité vis-à-vis des clients, qui résulte en des propositions de valeur floues. Les PMEs craignent la manipulation, par leurs fournisseurs, des données utilisées pour l'offre de servitisation, et la violation de vie privée. Dans l'écosystème des PMEs, la réglementation de la servitisation numérique favorise souvent les grands groupes industriels, créant ainsi des obstacles en termes de droit d'auteur et de questions juridictionnelles. Une difficulté majeure pour les PMEs est le manque de capacités humaines et de compétences en servitisation numérique. La recherche a noté que l'apprentissage du personnel autour des technologies digitales et l'intégration d'une culture numérique est souvent une barrière dure à surmonter. De nombreux employés craignent que les machines ne remplacent à terme les humains dans leur travail et ont du mal à gérer les frontières vie privée/travail à l'heure de l'industrie 4.0. De plus, la dématérialisation induite par les PSS intelligents provoque une réticence des équipes à assimiler les technologies numériques. Deux faces d'une même pièce Cette étude a démontré que les opportunités et barrières à la servitisation numérique des PMEs sont inhérents à quatre axes communs, à savoir la stratégie, l'organisation interne, l'écosystème, et les capacités humaines. Ces entreprises peuvent asseoir leur leadership et améliorer leur efficacité sur les quatre thèmes, mais doivent en parallèle manager les risques potentiels d'une stratégie tout autant bénéfique que complexe. [1] Le Dain, M.A., Benhayoun, L., Matthews, J., & Liard, M. (2023). Barriers and opportunities of digital servitization for SMEs: the effect of smart Product-Service System business models. Service Business.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Une miséricorde pour les univers || subtitle : On a souvent insisté dans la tradition de l’Islam sur les aspects extérieurs du modèle prophétique, mais c’est dans le soufisme que fut soulignée l’importance du modèle Intérieur et spirituel qui nécessite le passage par différents degrés de conscience jusqu’à arriver aux plus hauts degrés de l’âme qui sont ceux de la lumière ou de la «Réalité» (haqîqa) muhammadienne. Le modèle n’est donc plus ici seulement horizontal et historique, mais vertical et spirituel et doit finalement nous apporter une nourriture intérieure propre en chaque lieu et chaque temps. C’est ainsi que le soufisme a pu à travers l’histoire susciter des formes culturelles et sociales renouvelées à même de véhiculer ces valeurs dans différents contextes. || body : Parlant du Prophète de l’Islam (PLS) le Coran dit : «Nous ne T’avons envoyé que comme une miséricorde pour les univers» (Cor. 21/107). Un autre verset indique la grandeur de ce comportement prophétique ou «bel agir» : «Tu es vraiment d’une grande noblesse de caractère» (Cor. 68/4). On rapporte par ailleurs que l’on interrogea l’épouse du Prophète (PSL),  ‘Â’isha,  sur ce qui le caractérisait, elle répondit : «Son caractère, c’était le Coran». Toute la tradition prophétique (sunna) se base sur le principe que le Prophète (PSL), incarnant d’une façon ultime cette noblesse de valeurs et de caractère, constitue le modèle à suivre et dont il faut s’inspirer : «Vous avez dans l’Envoyé de Dieu un beau modèle pour quiconque espère en Dieu, en le jour dernier et invoque Dieu très souvent» (Cor. 33/21). C’est cette incarnation même de ces valeurs qui définit le sens de sa mission. Dans un hadîth, le Prophète (PLS) dit : «J’ai été envoyé afin de parfaire la noblesse du comportement (ou des mœurs)». C’est ainsi que l’on rapporte qu’au moment de la révélation du verset coranique : «Pratique le pardon, ordonne le bien et écarte-toi des ignorants» (Cor. 12/199), l’Archange Gabriel est venu trouver le Prophète (PSL) et lui a dit : «Ô Mûhammed, je t’ai apporté l’excellence du comportement (...) elle consiste en ce que tu pardonnes à celui qui a été injuste envers toi, que tu donnes à celui qui te refuse son don, que tu rendes visite à celui qui s’est détourné, que tu t’écartes de celui qui fait preuve d’incompréhension à ton égard, et que tu pratiques le bien envers celui qui agit envers toi par le mal». Ce hadîth souligne bien le sens ultime de cette mission de miséricorde du Prophète (PLS) qui est d’être conforme à la Miséricorde divine. C’est la fonction d’enseignant spirituel qui est attachée au Prophète (PLS), et qui est mentionnée dans ce verset, qui précise que sa mission divine vis-à-vis de sa communauté est «... de leur apporter des signes, de les élever spirituellement et de leur apprendre le Livre et la sagesse...» (Cor. 62/2). L’accomplissement de l’œuvre du Prophète (PSL) est donc de faire passer les âmes à travers différents degrés d’une évolution spirituelle pour les amener, selon la terminologie du Coran, de l’âme despotique jusqu’à l’âme inspirée ou encore l’âme apaisée et les ouvrir à une élévation par laquelle elles se revêtent selon un hadîth des qualités du Miséricordieux (takhallaqû bi akhlâq ar rahmân). On a souvent insisté dans la tradition de l’Islam sur les aspects extérieurs du modèle prophétique, mais c’est dans le soufisme que fut souligné l’importance du modèle Intérieur et spirituel qui nécessite le passage par différents degrés de conscience jusqu’à arriver aux plus hauts degrés de l’âme qui sont ceux de la lumière ou de la «Réalité» (haqîqa) muhammadienne. Le modèle n’est donc plus ici seulement horizontal et historique, mais vertical et spirituel et doit finalement nous apporter une nourriture intérieure propre en chaque lieu et chaque temps. C’est ainsi que le soufisme a pu à travers l’histoire susciter des formes culturelles et sociales renouvelées à même de véhiculer ces valeurs dans différents contextes. Cette fonction spirituelle du Prophète (PLS) et la compréhension profonde et intérieure de sa personnalité ont suscité tout une littérature et des pratiques religieuses dont le but est d’élargir dans les âmes cet amour, dans la mesure même où on en comprend le sens et la profondeur. L’ensemble de ces pratiques spirituelles dédiées aux louanges du Prophète (PLS) est inspiré de cette Injonction divine : «En vérité, Dieu et Ses Anges bénissent le Prophète ; Ô vous qui croyez, priez pour lui et appelez la paix sur lui.» (Cor.33/ 56). C’est ainsi que le dalâ’il al kahyrât (Guides des bienfaits) de l’Imâm al Jazûlî (m. 1469) dont le Mausolée est à Marrakech, qui rassemble un ensemble de prières  sous forme de panégyrique (louanges) dédiées au Prophète (PLS), est devenu une référence et une pratique spirituelle, individuelle et collective, dans l’ensemble du monde musulman. Une autre prière d’une facture spirituelle particulièrement élevée et subtile tant dans sa forme que dans son fond, est celle du grand saint du Jbel ‘Alam, Mûlay Abd es Salâm Ibn Mashîsh (m. 1227) qui a été récitée régulièrement au Maroc et ailleurs et commentée par de grands soufis comme Ibn Ajîba : la salât al mashîshiya. Nous en donnons ici une traduction : «Ô mon Dieu, bénis celui dont dérivent les secrets et dont jaillissent les lumières. Bénis celui dans lequel s’élèvent les réalités et en lequel furent descendues les sciences d’Adam, de sorte qu’aucun d’entre nous ne peut en saisir l’immensité. Les jardins du monde spirituel sont ornés par la fleur de sa beauté, et les bassins du monde de la Toute Puissance débordent par le flux de ses lumières. Il n’existe pas de chose qui ne soit liée à lui, car s’il n’y avait pas le médiateur, tout ce qui en dépend disparaîtrait. Ô mon Dieu, accorde-lui une bénédiction telle qu’elle lui revient par Toi et de Ta part, selon l’étendue de sa dignité. Ô mon Dieu, joins-moi à sa postérité et accorde-moi d’être parmi les Justes par son intermédiaire. Fais que je le connaisse par une connaissance qui me détourne des abreuvoirs de l’ignorance et me désaltère aux abreuvoirs de la vertu. Porte-moi sur son chemin, enveloppé de Ton aide, vers Ta présence. Utilise-moi pour frapper sur toute vanité afin de la détruire. Plonge-moi dans les océans de l’Un, tire-moi des bourbiers du chemin vers l’Unité, noie-moi dans la source pure de l’océan de l’Unicité, afin que je ne voie, ni n’entende, ni ne sois conscient, ni ne sente que par elle. Et fais du Voile Suprême la vie de mon esprit, et de son esprit le secret de ma réalité, et de sa réalité tous mes mondes, par la réalisation de la Vérité première. Ô Premier, Ô Dernier, Ô Extérieur, Ô Intérieur, écoute mon appel, ainsi que Tu as écouté l’appel de Ton serviteur Zacharie ; viens me secourir, aide-moi à m’orienter vers Toi, réalise l’union entre moi et Toi, et efface tous les liens entre moi et autre que Toi. Allah ! Allah ! Allah ! “En vérité, Celui qui t’a inspiré le Coran te ramènera là où nous tous retournons” (Cor. 33/85). “Notre Seigneur, accorde-nous une Miséricorde de Ta part, et dispose de notre sort conformément à la voie droite” (Cor. 18/10). “En vérité, Dieu et Ses Anges bénissent le Prophète ; Ô vous qui croyez, priez pour lui et appelez la paix sur lui” (Cor. 33/56). Que les grâces, la paix, les salutations, la miséricorde et les bénédictions de Dieu se répandent sur notre seigneur Mûhammad, le Prophète illettré qui est Ton serviteur, Ton Prophète et Ton Envoyé. Gloire à ton Seigneur, le Seigneur de la Toute Puissance, Celui qui est au-delà de ce qu’ils imaginent. Que la paix soit sur les envoyés de Dieu. Louange à Dieu, le Maître des mondes (Cor. 36/180-182).» Par Faouzi Skali</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Poésie et spiritualité || subtitle : Nous connaissons au moins deux grands poètes qui ont joué un rôle majeur à l’époque de la Révélation. Il s’agit de Hassân ibn Thâbith, dont le Prophète (PLS) disait qu’il était soutenu par l’Esprit Saint, et Ka’b ibn Zuhayr dont l’histoire a retenu qu’il l’avait entouré de son manteau après que le poète ait déclamé, dans la grande tradition littéraire arabe, des vers qui en faisaient l’éloge (panégyrique). C’est en se basant sur tous ces éléments que va se développer une tradition poétique soufie qui se ressource à la fois dans ces orientations coraniques et prophétiques et dans la grande tradition littéraire de la poésie arabe. || body : Par Faouzi Skali Quelle est le statut de la poésie en terre d’Islam ? La tradition littéraire arabe est à l’origine principalement orale et la poésie y joue un rôle majeur, comme celle de Imru’ al Qays,  Amr ibn Kalthûm et plus généralement des auteurs des fameuses mu’allaqât (les poésies «suspendues», parce que considérées parmi les plus belles) qui pouvait couvrir plusieurs formes littéraires. Parallèlement à ces formes classiques, il existait également, au moment de la Révélation, une forme de poésie dans la péninsule arabe qui était liée à une pratique magique ou divinatoire (kahâna) ou encore spécifiquement utilisée à des fins de satire (hijâ’) ou de propagande (fakhr) politiques, considérées comme de véritables instruments de combat. Le Coran se situe, en tant que révélation divine, en dehors de ce champ poétique : «Nous (Allâh) ne lui ont pas enseigné la poésie, ce n’est pas son fait, ce n’est qu’un Coran et une remémoration explicite» (Cor 36/69). Une Sourate du Coran intitulée «Les poètes» (ashu ‘arâ’) va cependant indiquer une différence essentielle entre deux formes de poètes et donc de poésies : «Les poètes sont suivis par les égarés, ne vois-tu pas qu’ils se perdent dans toutes vallées et qu’ils disent ce qu’ils ne font pas, sauf ceux qui ont la foi, qui font le bien et qui invoquent Allâh très souvent...» ( Cor. 26/224-226). Le Prophète Muhammed (PLS) va de même valoriser d’une façon particulière cette poésie spirituelle indiquant, dans un sens positif, qu’il y a dans une certaine façon de s’exprimer, une force magique ou encore selon un autre  hadîth : «Certaines poésies sont sagesse». Le Prophète (PLS) lui-même était connu pour l’éloquence, la concision et la clarté de son expression : «Il m’a été donné la synthèse de la parole», dit un hadîth. Nous connaissons au moins deux grands poètes qui ont joué un rôle majeur à l’époque de la Révélation. Il s’agit de Hassân ibn Thâbith, dont le Prophète (PLS) disait qu’il était soutenu par l’Esprit Saint, et Ka’b ibn Zuhayr, dont l’histoire a retenu qu’il l’avait entouré de son manteau après que le poète ait déclamé, dans la grande tradition littéraire arabe, des vers qui en faisaient l’éloge (panégyrique). C’est en se basant sur tous ces éléments que va se développer une tradition  poétique soufie qui se ressource à la fois dans ces orientations coraniques et prophétiques mais aussi dans la grande tradition littéraire de la poésie arabe, et en particulier celles de l’amour courtois platonique, dit «udhrî» (d’une tribu portant le même nom, connue pour avoir développé cette approche amoureuse) et du «nasîb» (poésie centrée sur l’absence de la bien-aimée) et même de la «khamriya» (poésie bachique faisant l’éloge du vin), en réinterprétant l’ensemble de ces genres dans un sens spirituel et symbolique. Un genre particulier de poésie, inspiré de la réception du manteau prophétique par Ka’b ibn Zuhayr, va s’exprimer tout au long de l’histoire littéraire de l’Islam et s’intituler la «burda» (le manteau). Le plus connu d’entre tous est celui de l’Imâm al Busayrî (m. 1294) qui est une référence universelle en la matière et a connu un grand nombre de traductions et de commentaires. L’une des traductions commentées les plus récentes est de M. Hassan Boutaleb, dont voici un court extrait : «... Tu peux lui attribuer toute la noblesse que tu veux, et honorer son rang et sa grandeur autant qu’il te plaira. La précellence de l’Envoyé de Dieu est si immense que même la langue la plus éloquente ne saurait l’exprimer et encore moins le décrire [...] Il est comme le soleil qui, de loin, apparaît petit, et qui fait vaciller les yeux et aveugle quand on le regarde de face. Comment peuvent apprécier sa réalité en ce monde, les gens qui, endormis, se contentent de le rêver ? Tout ce que l’on sait de lui c’est que c’est un homme et la plus parfaite de toutes les créatures de Dieu...» Il est à noter que dans ce grand poème qui est chanté dans toutes les circonstances religieuses, al Busayrî tisse, comme son grand prédécesseur Ka’b ibn Zuhayr, entre les fils des deux traditions poétiques, panégyrique et celle de la grande littérature arabe classique. Voilà comment al Busayrî raconte les circonstances de la rédaction de son poème : «Après avoir rendu visite à un notable de la ville, sur le chemin du retour, je croisais un sage au bel aspect et d’âge mûr près de ma demeure qui m’interpella ainsi : “Serait-ce toi qui as vu l’Envoyé de Dieu (PLS) cette nuit en rêve ?” Je répondis : “Non, je n’ai pas vu le Prophète (PLS) cette nuit !” Les paroles de ce sage m’émurent et remplirent mon cœur d’amour et de désir ardent pour le Prophète (PLS). Je rentrai me coucher. Je vis alors en songe l’Envoyé de Dieu (PLS) en présence de ses Compagnons. On aurait dit le soleil au milieu des étoiles. Je me réveillais le cœur palpitant et comblé d’amour et de joie. L’amour pour cette lumière n’abandonna plus jamais mon cœur... Plus tard, je fus atteint d’un mal terrible qui paralysa la moitié de mon corps et m’empêchait de bouger. Me vint alors l’idée de composer une œuvre qui traitait des mérites du Prophète (PLS) à travers laquelle j’invoquais Dieu de me guérir. Après l’avoir composée et m’être endormi, voilà que m’apparut en songe le Prophète (PLS). Je lui récitai mon œuvre en entier, et il caressa de sa noble main bénie les parties paralysées du corps de l’humble et ingrat serviteur que je suis. À mon réveil, j’étais complètement rétabli et n’éprouvais plus aucune douleur. Au sortir de chez moi le lendemain matin, je rencontrais le Shaykh Abû al Rajâ’, un ami, qui, à ma grande surprise me dit : “Donne-moi la qasîda que tu as composée en l’honneur du Prophète (PLS) !” Certain de n’en avoir parlé à personne, je lui rétorquai : “De quelle qasîda parles tu ? J’en ai tellement composées à sa gloire, laquelle veux-tu ?” Il me dit : “Celle qui commence par amin tadhakkurî... (t’en souvient-il ?)”. Stupéfait, je lui demandai : “Ô Abû al Rajâ, de qui tiens-tu cela ? Je ne l’ai encore récitée à personne”. Il me dit alors : “Je t’ai entendu la déclamer devant l’Envoyé de Dieu (PLS). Il en était si ravi que son corps s’était animé d’un mouvement semblable à celui de rameaux portant des fruits lorsque la brise les caresse”. Je la lui donnai, et la nouvelle se répandit rapidement parmi la population» (trad. M. Hassan Boutaleb).</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : L’Impasse des marchés publics (Tribune) || subtitle : Le nouveau décret sur les marchés publics apporte son lot de bonnes pratiques et émancipe la commande publique de la spirale destructive du moins disant. En revanche, la nouvelle approche de détermination du mieux disant pour les marchés de travaux et de services a connu un glissement, à cause de l’adoption d’une méthode purement mathématique qui aura du mal à consacrer la compétitivité et la performance. || body : Par Kamal El Alami, directeur général adjoint de Groupe Le Matin Dans le cadre du Budget 2024 , l’ investissement public global est fixé à 335 milliards de dirhams, soit environ 23% du PIB . Cet énorme montant traduit l’ambition d’un développement soutenu et incontournable dans un contexte de défis multidimensionnels sur les plans géopolitiques et socio-économiques. Un tel budget représente aussi une lourde responsabilité et exige une gestion à la fois transparente et rigoureuse afin d’assurer un bon retour sur investissement et de répondre aux attentes des populations tout en respectant l’égalité des chances. Marchés publics : la porte s’entrouvre pour les auto-entrepreneurs Faciliter l’accès des très petites, petites et moyennes entreprises, notamment les startups innovantes et les auto-entrepreneurs aux marchés publics. C’est l’un des objectifs de la réforme de l’accès à la commande publique entrée en vigueur en septembre dernier. Bien que la mise en œuvre de cette réforme demeure un défi important, il convient de préparer les startups et les inciter à se développer grâce aux marchés publics. Dans cette optique, le nouveau décret n°2-22-431 datant du 8 mars 2023 marque un tournant décisif dans la gestion des marchés publics . Cette réforme vise, entre autres, à rompre avec certaines pratiques et souhaite instaurer des principes de liberté d'accès, de traitement équitable, de transparence et d'intégrité. Ces principes visent à optimiser la qualité et l'efficacité des marchés publics , tout en garantissant une utilisation efficiente des ressources publiques. Cette approche s’inscrit dans une volonté manifeste de moderniser les processus administratifs et de renforcer la confiance du public dans les institutions. Cependant, comme le dit l’adage, «l’enfer est pavé de bonnes intentions». C’est pourquoi nous devons nous en prémunir avec un esprit critique et constructif qui cible l’excellence. Il est vrai que ledit décret apporte son lot de bonnes pratiques et émancipe les marchés publics de la spirale destructive du moins disant. Ainsi, depuis le mois de septembre 2023, les marchés sont attribués au mieux-disant, les dossiers techniques et administratifs ont été simplifiés et l’évaluation technique des marchés est pondérée par une note qualitative après écartement des offres excessives ou anormalement basses. De plus, durant 2023, la soumission est devenue exclusivement digitale en assurant la totale confidentialité des offres financières . Ces améliorations sont à applaudir, car elles versent dans le bon sens et marquent un pas important vers l’efficience de la gestion de la chose publique. En revanche, la nouvelle approche de détermination du mieux disant pour les marchés de travaux et de services a connu un glissement, à cause de l’adoption d’une méthode purement mathématique qui aura du mal à consacrer la compétitivité et la performance. D’une part, le nouveau décret ne challenge pas le budget estimé par le maître d’ouvrage et par conséquent n’encourage pas l’innovation dans l’ outsourcing de la matière première ou dans l’optimisation de la transformation industrielle . Ainsi, toute offre qui se trouve hors d’une zone de tolérance, entre -20% et +20% du budget estimé pour un marché de travaux , est automatiquement rejetée sans demande de justification. D’autre part, il consacre la chance comme règle d’adjudication au mieux-disant qui n’est autre que le concurrent le plus proche par défaut du prix de référence . Cette nouvelle notion que les soumissionnaires doivent cibler est le résultat de la moyenne arithmétique entre le budget estimé et la moyenne des offres concurrentes non rejetées. Ainsi, le budget estimé influence le prix de référence avec un poids de 50% et limite ainsi l’intervalle de sa variation entre -10% et +10%. Toute réflexion logique aboutirait à déduire que le prix optimal de soumission finira par converger par un effet mécanique vers le budget estimé par le donneur d’ordre. Cette logique mathématique s’apparente plus aux sciences statistiques qu’à une démarche au service de la performance et de la compétitivité. Décrocher un appel d’offres devient l’apanage du plus chanceux. Une question s’impose alors à toute entreprise qui soumissionne aux marchés publics : comment améliorer ses chances de remporter un appel d’offres ? Il est certain qu’il faut être capable de construire un bon modèle prédictif et démultiplier les entités écrans afin d’avoir plus de chance, voire manipuler la moyenne. Autant la concentration des marchés entre les mains de quelques entreprises ne rend pas service à l’économie nationale, autant une telle approche aléatoire met l’esprit de la contribution de l’i nvestissement public au développement transparent et équitable des différentes franges d' entreprises marocaines dans l’impasse. Le principe constitutionnel qui lie la responsabilité à la reddition des comptes est le seul concept à même d’assurer l’efficience des marchés publics . Autrement, comment considérer la responsabilité d’un donneur d’ordre qui n’a aucune marge de manœuvre pour l’octroi d’un marché ? Comment challenger un budget estimatif qui devient presque un prix de référence ? Comment développer des champions nationaux capables de remporter des appels d’offres à l’étranger ? Le défis de trouver un moyen à la fois simple, transparent et équitable d’attribuer les marchés publics n’est pas une mince affaire. Toutefois, il est nécessaire et urgent de réformer la réforme. De même, ledit décret aurait gagné à flexibiliser la notion d’offre la plus avantageuse, à permettre l’analyse des offres anormalement basses à l’instar des prix unitaires et enfin rendre totalement accessible le procès-verbal de la séance d’examen des offres. Le Prix de Référence Exemple d’un marché de travaux : Afin d’illustrer la méthode utilisée dans la détermination du moins-disant, nous dressons un tableau pour un cas fictif d’un marché dont le budget estimé s’élève à 5 MDH et dont les offres retenues après ouverture des enveloppes des dossiers administratifs et techniques correspondent à dix sociétés. De même, ledit tableau liste cinq cas d’offres différentes afin de mieux comprendre les scénarios possibles. • Le premier cas illustre une situation extrême où toutes les soumissions sont faites au minimum toléré, soit -20% du budget estimé. Le prix de référence est alors de -10% par rapport au budget estimé. Les offres étant toutes équivalentes et en l’absence de soumissionnaires prioritaires comme les coopératives ou les entrepreneurs autonomes, le départage est fait par un tirage au sort. • Le deuxième cas illustre aussi une situation extrême où toutes les soumissions sont faites au maximum toléré, soit +20% du budget estimé. Le prix référence est alors de +10% par rapport à cette estimation. Le sort du marché sera traité comme pour le premier cas. • Le troisième cas représente une situation standard avec des offres entre -15% et +2% donnant un prix de référence de -2,7%. L’adjudicataire est la Société 6, alors que 60% des concurrents sont moins disants. • Le quatrième cas illustre une possible manipulation par un groupe de trois entreprises. Les sociétés 1 et 2 soumissionnent avec des prix élevés pour augmenter artificiellement la moyenne et la société 3 remporte le marché même en dépassant le prix estimé, alors que 60% des entreprises sont en deçà de son offre. • Le cinquième cas illustre aussi une possible manipulation par un groupe de quatre entreprises. Les sociétés 1, 2 et 3 soumissionnent avec des prix bas afin de baisser artificiellement la moyenne et la société 4 remporte le marché, alors que 30% des entreprises sont en deçà de son offre. À préciser aussi que dans ce cas, l’écart entre l’adjudicataire et le moins disant qui se trouve dans la zone de tolérance est de 15%. Le budget de l’État perd donc 750 KDH dans ledit marché. Nous sommes face à une Loterie Une entreprise citoyenne déploie des ressources précieuses afin de participer à un appel d’offres . Il s’agit d’identifier le marché, de l’évaluer, de le chiffrer et de le préparer pour la soumission en ligne . Une telle entreprise peut comprendre perdre un marché face à des concurrents plus compétitifs et mieux outillés. Cependant, elle sera totalement frustrée de le perdre malgré un excellent dossier technique et une offre financière très compétitive. Les entreprises ont horreur de l’incertitude et cette démarche de l’aléatoire vient la renforcer. Face à une telle loterie, il est nécessaire de soumissionner à un maximum de marchés afin d’espérer en remporter une partie. Ceci soulève un autre défi par rapport à la gestion notamment, des cautions et des lignes bancaires nécessaires.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Un océan sans rivage || subtitle : Laylat d’al-qadr, c’est une nuit où l’Esprit (identifié généralement à l’Archange Gabriel) et les anges descendent parmi les êtres humains , qui prient et invoquent Dieu, pour les saluer et leur assurer paix et protection, jusqu’à l’apparition de l’aube (fajr). Pour les musulmans, c’est une nuit de ferveur particulière car cette «ouverture de la porte du ciel» implique une proximité spirituelle particulière et la possibilité pour les prières et les aspirations de chacun d’être exaucées et réalisées. Dans son interprétation spirituelle Ibn ‘Ajîba considère que le fait que la date de cette nuit n’est pas définie revient à se maintenir dans un état d’éveil et considérer que chaque instant peut être une nuit du destin ou, chaque personne rencontrée, un saint potentiel. || body : PAR FAOUZI SKALI Le soufi marocain Ibn ‘Ajîba (m. 1809), originaire de la région de Tétouan, qui était  aussi un grand théologien de l’Université de la Qarâwiyyîn, a légué, parmi ses œuvres, une exégèse (tafsîr) du Coran selon deux types de niveau d’interprétation, textuel et spirituel. Ce dernier niveau est appelé «tafsîr bi al ishâra» (interprétation «allusive» ou herméneutique spirituelle). Elle s’inscrit dans une longue tradition d’interprétation du Coran, comme celle, des siècles plus tôt, d’al Qushayrî (m. 1074). L’intitulé de cet exégèse est «al bahr al madîd fî tafsîr al qur’ân al majîd», «L’océan qui s’étend dans l’interprétation du glorieux Coran». Ce titre fait lui-même allusion au fait que toutes les interprétations, aussi étendues et profondes qu’elles soient, ne peuvent épuiser l’océan sans rivage, infini, de sens porté par le texte coranique. C’est ce qui est indiqué dans le verset suivant : «Dis si l’océan était de l’encre pour les paroles de mon Seigneur, l’océan se serait épuisé avant que ne s’épuisent les paroles de mon Seigneur, même si nous amenions un océan d’étendue semblable...» (Cor. 18/109). Selon cette approche, Ibn ‘Ajîba va procéder à une interprétation de la Sourate 97 du Coran, appelée al qadr, «Le Destin» : «Nous l’avons certes, fait descendre pendant la nuit d’al-qadr. Et qui te dira ce qu’est la nuit d’al-qadr ? La nuit d’al-qadr est meilleure que mille mois. Durant celle-ci descendent les Anges ainsi que l’Esprit, par permission de leur Seigneur pour tout ordre. Elle est paix et salut jusqu’à l’apparition de l’aube.» Dans cette Sourate référence est faite sans le nommer au Coran, comme cela est confirmé par le verset suivant : «Par le Livre explicite. Nous l’avons fait descendre en une nuit bénie, Nous sommes en vérité Celui qui avertit, durant laquelle est décidé tout ordre sage» (Cor. 44/2-4). Le sens du mot «Destin» est indiqué par la fin du verset pré-cité «... durant laquelle est décidé tout ordre sage». Ibn ‘Ajîba nous rappelle tout d’abord les différentes explications procédant des Compagnons du Prophète (PSL) de cette Sourate. Celle-ci concerne la descente, rapporte-t-on, du Coran jusqu’au ciel le plus proche pour ensuite être révélé au Prophète Muhammed (PLS) en l’an 610, dans la grotte de hirâ’. Cette descente implique que le Coran a un modèle céleste, la «Table bien gardée» (al lawh al mahfûd) qui est au-delà du temps et de l’espace et qui en arrivant jusqu’au ciel du monde va s’inscrire dans cette dimension et être révélé ensuite, progressivement (nujûman)  et selon différentes circonstances, sur une durée prophétique de 23 ans. Cette nuit est désignée en tant que telle aussi par le fait que le destin du monde va changer à jamais par le fait de cette révélation. Pour indiquer la densité de ce sens, elle est donc décrite comme valant mieux (sans restriction de ce «mieux») que «mille mois». Selon Ibn ‘Abbâs – un compagnon du Prophète (PLS), considéré comme l’un des plus éminents exégètes du Coran (suite à une prière du Prophète, PLS) –, cette nuit, dont on ignore la date précise, aurait eu lieu le 27 du mois du Ramadan, s’appuyant en cela sur le fait que le mot «elle», qui en fait référence vers la fin de la Sourate, est précisément le 27e mot dans celle-ci. D’autres traditions évoquent le fait qu’elle se situe dans l’une des nuits impaires des dix dernières nuits du mois du Ramadan. Pour d’autres encore, elle peut se situer dans n’importante quelle nuit de l’année. Par ailleurs, c’est une nuit où l’Esprit (identifié généralement à l’Archange Gabriel) et les anges descendent parmi les êtres humains, qui prient et invoquent Dieu, pour les saluer et leur assurer paix et protection, jusqu’à l’apparition de l’aube (fajr). Pour les musulmans, c’est une nuit de ferveur particulière car cette «ouverture de la porte du ciel» implique une proximité spirituelle particulière et la possibilité pour les prières et les aspirations de chacun d’être exaucées et réalisées. Dans son interprétation spirituelle, Ibn ‘Ajîba considère que le fait que la date de cette nuit n’est pas définie revient, comme pour d’autres dimensions non définies également, tels que le destin réservé à chacun ou l’attribution de la qualité de «sainteté» et certains moments ou prières propices, à se maintenir dans un état d’éveil et considérer que chaque instant peut être une nuit du destin ou, chaque personne rencontrée, un saint potentiel. Et donc par là même avoir une attitude d’humilité, de non-jugement et de respect d’autrui,  en tâchant d’être dans une  disponibilité intérieure qui permet d’accueillir, lorsqu’elle survient, l’effluve spirituelle de cet instant. C’est ce que, nous dit-il, nous ont rapporté dans un langage poétique certains grands spirituels : «Toutes les nuits sont pour moi des nuits du destin Comme chaque moment de “rencontre” (spirituelle) est un Vendredi Et un rituel de pèlerinage en chaque station, Être debout à Sa porte [celle de Dieu] équivaut pour moi à mille pèlerinages». Ou encore : «Chaque instant de mon Aimé Vaut pour moi mille pèlerinages». Tout en magnifiant chacun des grands rituels et célébrations  des temps de l’Islam, Ibn ‘Ajîba insiste sur le fait que ce qui reste cependant le plus important est d’en comprendre et d’en vivre le sens et l’esprit.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : La maturité digitale : Un levier d'amélioration de l'eXpérience collaborateur (Tribune) || subtitle : None || body : Dr. Lamiae Benhayoun, Professeur chercheur en Systèmes d’Information pour le Management à Rabat Business School – Université Internationale de Rabat Depuis la crise financière de 2008, la confiance en soi, la collaboration et la joie au travail sont devenus des sujets extrêmement populaires. Emerveillés par l'énergie positive des employés de la Silicon Valley, de nombreux PDG y ont trouvé inspiration pour insuffler la magie de l'expérience collaborateur dans leurs organisations. Elle renvoie au vécu d'un collaborateur au sein de l’entreprise dans les moments clés de son parcours, depuis son recrutement jusqu’à son départ. Avec l'avènement de l'ère digitale et la transformation des modes de travail suivant la crise sanitaire, les entreprises se voient désormais dans l'obligation d'ajuster rapidement leurs modèles d'expérience collaborateur. Celles qui n’ont pas réussi ce pari ont vu leurs salariés rentrer dans un état de souffrance psychologique avec des conditions de travail dégradées. Un sentiment d'exclusion et de manque d'information était dominant et a causé un ralentissement de la performance des employés. Nous avons mené une recherche[1] au Maroc et en France pour accompagner les entreprises dans la digitalisation désormais inéluctable, mais jonchée d'obstacles, de l'expérience collaborateur. Un procédé de transformation a été établi tenant compte des activités et moments propices à la digitalisation pour le contexte et les capacités de l'organisation et de l'employé. L'expérience collaborateur en quatre points de contacts digitalisés En fonction du niveau de maturité digital idéal, l’entreprise digitalise, à un certain degré, quatre points de contacts caractérisant l'expérience collaborateur: Relations avec les RH: Elles comprennent trois composants nommément l'intégration de l'entreprise, l'administration, et le développement du personnel. La digitalisation du premier implique le dépôt d'offres d'emplois sur les réseaux sociaux et sites dédiés, suivi de l'utilisation d'une plateforme de gestion des candidatures, d’entretiens vidéo, usage de la réalité virtuelle pour la découverte des locaux, et intégration de l'intelligence artificielle pour filtrer les candidats. L'administration digitale du personnel nécessite la mise en place de systèmes d'information pour la gestion du temps, et la génération et l'échange de documents. Enfin, la nature désormais numérisée des connaissances induit un ajustement des méthodes de formation en mettant en place des programmes distantiels synchrones et asynchrones. Il s'agit de programmes développés en interne voire acquis auprès de plateformes spécialisées, et se présentent sous forme de SPOC, MOOC ou de jeux permettant au collaborateur de se former à son rythme selon ses besoins. Les entreprises qui ont adhéré à ces changements ont gagné du temps en automatisant les tâches chronophages. Convivialité: Les participants ont souligné que les discussions autour de la machine à café et dans l’espace de détente leur ont manqué plus que leur espace personnel en période covid. Ils viennent désormais au bureau pour créer du lien social plus que pour travailler sur leurs tâches individuelles. La digitalisation de la convivialité permet une modularité optimale de l'espace pour favoriser les échanges et les rencontres. Les lieux de détente, les évènements et les activités de team building sont partiellement voire complètement digitalisés en intégrant des serious games, des avatars, la réalité étendue, ou le digital twin de l'organisation. Cette approche a permis aux entreprises de l'étude de rallier le physique au virtuel dans une perspective flexible aux capacités et préférences de leurs salariés. Communications interne et externe: La digitalisation de la communication a été bénéfique aux entreprises qui l'ont mise en place de façon inclusive et pertinente. Un usage excessif des outils de communication numérique a généré du technostress et de l'infobésité, créé une démotivation de certains salariés et a favorisé leur isolement. Pour le flux interne, la digitalisation de la communication nécessite l'usage d'outils ergonomiques de mailing et d'intranet pour un partage centralisé et standardisé d’informations. Ensuite, des réseaux sociaux internes permettent des échanges ludiques et dynamiques, en intégrant un mur blanc ou une boîte à idées digitalisés. Si la digitalisation de la communication externe est orientée surtout vers les clients, le collaborateur est sollicité dans les entreprises les plus matures pour conforter leurs images en tant qu'ambassadeur sur les réseaux sociaux. Il s'agit de l'employee advocacy qui consiste à ce que les employés partagent leurs vécus et impressions à propos de l'employeur dans leurs propres comptes média ou dans des supports dédiés au branding des entreprises. Travail du quotidien: La plupart des organisations participantes ont profité des conditions de travail dématérialisé causées par le Covid pour réaménager leurs bureaux et initier une transformation radicale des processus et outils. Les bureaux fixes et unipersonnels disparaissent au profit de salles de coworking et de postes standardisés pour accueillir tout type de collaborateur. Le nombre de postes diminue en raison du recours massif au télétravail rotatif, réduisant ainsi les coûts d’infrastructure. Les entreprises peuvent également investir dans des salles de réunion en améliorant l'acoustique en raison de la multiplication des réunions en ligne. Ces salles intègrent aussi des outils pour le brainstorming et la cocréation phygitaux. Le travail quotidien du collaborateur repose sur des interactions avec le management et les fonctions support. Des outils collaboratifs de planification et de gestion de projet et des systèmes d’échange avec les clients sont mis en place, complétant la workplace digitale. Processus de mise en place de l'expérience collaborateur digitalisée Nous avons défini un procédé de digitalisation de l'expérience collaborateur en 3 phases : La phase d'écoute détermine le modèle digital optimal pour chaque point de contact en fonction du contexte de l'entreprise. L’organisation se fait accompagner d'experts en digitalisation pour réussir cette étape cruciale et s'assurer du respect des règlements en vigueur pour la gestion des données personnelles. L'écoute repose sur des enquêtes internes et du benchmarking externe tenant compte de la stratégie globale de l'organisation, la culture et la mentalité dominantes parmi ses équipes, et ses capacités technologiques actuelles et potentielles. Les managers d'équipes et représentants des utilisateurs sont impliqués pour intégrer les besoins de chaque unité. Une fois le parc technologique ajusté aux modèles définis pour les points de contacts digitalisés, la confrontation permet à chaque collaborateur d'évaluer, à travers un outil self-service, sa maturité au regard des nouveaux outils et processus. L'évaluation se concentre sur les technologies et pratiques qui concernent le collaborateur, définies dans la phase précédente. Elle peut intégrer d'autres outils plébiscités par le collaborateur s'ils n'altèrent pas son travail et celui de l’équipe. La phase de projection permet de définir et mettre en place les actions nécessaires au déploiement de l'expérience collaborateur digitalisée. En fonction de ses résultats, le collaborateur obtient des recommandations individuelles instantanées et un plan d'accompagnement pour monter en maturité. Un tableau de bord généré automatiquement permet d’observer les résultats par équipe et d’en déduire des plans de conduite de changement collectif adapté. La digitalisation de l'expérience collaborateur est un processus itératif à la lumière des évolutions des technologies, des besoins organisationnels, et du contexte socioéconomique. La maturité digitale au sein de l'entreprise doit être capturée régulièrement pour identifier les transformations d'envergure à mener, tracer la feuille de route moyen-terme de la stratégie digitale, et définir sa déclinaison en fonction des priorités des métiers. [1] En collaboration avec Mme. Virginie Carbonnaux consultante chez HeadMind Partners et Magellan Consulting France</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Youssef Amrani : l’Afrique et l’UE ont besoin de construire un espace de prospérité partagée || subtitle : L’Afrique et l’Union Européenne ont, plus que jamais, besoin l’un de l’autre pour construire ensemble un espace de prospérité partagée qui préside à tout partenariat cohérent, a indiqué vendredi l’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani. || body : Dans une tribune publiée au journal sud-africain à grand tirage «The Star» en marge du 6ème sommet UE-UA tenu jeudi et vendredi à Bruxelles, M. Amrani a souligné que «la multiplication des enjeux et des crises qu’ils soient migratoire, climatique, sanitaire ou sécuritaire ne doit pas être prétexte à approfondir les fossés entre les rives méditerranéennes, au risque de paralyser les projets ambitieux que nous avons en commun ». Il a, dans ce contexte, relevé que la récente élection du Maroc pour un mandat de trois ans au Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’Union Africaine (UA) fait écho à cet engagement continental à l’endroit d’une sérénité durable, inclusive et globale. Le Royaume, sous l’impulsion de S.M. le Roi Mohammed VI, «a toujours eu cette vocation à faire avancer la paix et construire la sécurité, par une approche holistique qui met l’humain au centre des préoccupations», a-t-il rappelé. Le Maroc, s’est-il félicité, «est honoré d’une confiance africaine qui l’enjoint à poursuivre, avec toujours plus de volontarisme, cette démarche et cette vision que nous avons en partage avec nombre de nos partenaires, pays frères et amis, africains et européens». Dans cette tribune intitulée : «Sommet UE-UA: une transition vers un multilatéralisme renouvelé», le diplomate marocain a noté que ce conclave sera «l’antichambre d’un renouveau euro-africain avec au cœur, cette ambition de dessiner l’avenir commun dans la cohérence, la solidarité et la coopération». Il a ajouté qu’«entre crise et opportunité ce seront surtout les volontés politiques fermes et les engagements constructifs qui donneront le tempo de cette marche coopérative qui arrime la prospérité partagée à l’action concertée». Pour M. Amrani, «le temps est plus que jamais à l’action. Car en plus de la crise sanitaire, on observe plusieurs foyers de tensions prendre une ampleur inquiétante dans le voisinage euro-africain. Des bouleversements politiques majeurs, des crises sécuritaires persistantes, la montée de certains extrêmes et le relâchement des vigilances diplomatiques sont de nature à cristalliser des incertitudes préoccupantes quant au devenir de la paix et de la sécurité régionales et sous-régionales». Et puisque l’engagement en faveur de la sécurité va de pair avec celui du développement, une approche globale s’impose pour sortir des cercles étriqués d’une diplomatie de circonstance, a préconisé l’ambassadeur, notant que «ce Sommet est donc à plusieurs égards, gage de cette confiance tant nécessaire et que nulle conjoncture ne devra briser». Selon M. Amrani, l’Afrique s’est affranchie aujourd’hui du paradigme d’un continent en quête d’assistance. Évidemment, a-t-il expliqué, beaucoup reste à faire et le continent doit être en mesure, par ses propres moyens et volontés politiques, de promouvoir des développements inclusifs et pérennes. Les réformes institutionnelles, le dialogue, la coopération économique et l’intégration cohérente doivent, d’abord être intera-fricains avant de pouvoir être pleinement euro-africains, a poursuivi M. Amrani pour qui «il est évident que nous devrons faire notre propre travail en interne pour faire avancer l’émergence continentale, libérer le potentiel économique et parachever un modèle politique propre qui soit à la fois, en phase avec nos priorités respectives tout en consacrant la convergence des valeurs autour desquelles nous devons tous nous retrouver». Et de conclure que le Sommet UE-UA s’adresse d’abord à «cette jeunesse africaine et européenne, femmes et hommes, citoyens du Monde, dont les aspirations sont nos devoirs. Il s’agira de faire du Sommet un rendez-vous avec l’histoire définissant, non pas une énième déclaration d’intention, mais bien une feuille de route commune qui enjoint africains et européens à honorer une démarche jonchée d’engagements concrets et de responsabilités imprescriptibles».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Comment aider les décideurs à équilibrer les risques et la rentabilité de l’externalisation logistique (Tribune) || subtitle : L'implication du secteur privé de la Santé a joué un rôle important dans la réussite dans la gestion de la crise sanitaire au Maroc. Toutefois, au-delà de l'épidémie, le secteur public pourrait largement bénéficier et capitaliser sur les ressources du secteur privé pour renforcer son système de santé. || body : Plusieurs pays et gouvernements à travers le monde se sont de plus en plus tournés vers l'implication de partenaires privés dans la conception, le développement et la gestion des infrastructures et des services publics. Dans le secteur de la santé, il a été démontré que l'externalisation des activités logistiques par le biais de partenariats public-privé augmentait la performance des chaînes d'approvisionnement. Cependant, dans les pays émergents comme le Maroc, les chaînes d'approvisionnement en soins de santé sont généralement détenues et gérées par le secteur public et peuvent donc grandement bénéficier de partenariats avec le secteur privé par le biais de l'externalisation. Les partenariats dans le domaine de la santé peuvent néanmoins faciliter l'accès aux services de soins de santé, augmenter les performances, réduire les coûts et suivre les progrès technologiques dans le développement et la gestion des produits pharmaceutiques pour contrer les fluctuations récurrentes de la demande. Les gouvernements devraient donc envisager des plans à long terme et des politiques durables pour commencer à mettre en œuvre des partenariats public-privé réussis. Une telle mise en œuvre va de pair avec une évaluation appropriée. Cependant, l’évaluation de la performance des partenariats dans le secteur pharmaceutique est encore un terrain relativement inexploré, en particulier dans les marchés émergents. Il existe différentes fonctions logistiques qui peuvent être sous-traitées à un prestataire privé. Il s'agit notamment de la conception, l'équipement et la gestion d'un entrepôt et de l'exploitation d'un segment de transport dans la chaîne d'approvisionnement. Pour chaque type de famille de produits pharmaceutiques et chaque région du pays, différentes fonctions peuvent être externalisées ou exécutées en interne. Un obstacle majeur au développement de tels partenariats est que les décisions d'externalisation dans le secteur public rencontrent généralement beaucoup de réticence de la part des décideurs, qui perçoivent plusieurs risques pouvant découler de l'externalisation vers le secteur privé.  Une étude réalisée en 2020 [1] a identifié les dimensions du risque de l’externalisation et évalué spécifiquement l'impact des risques sur des composantes importantes du système de santé. Ces risques doivent être évalués pour assurer une mise en œuvre réussie dans un partenariat public-privé. Une recherche menée à  Rabat Business School de l’Université Internationale de Rabat [2] a abouti au développement d'un outil d'aide à la décision qui accompagne les décideurs dans la conception des chaînes d'approvisionnement et le développement de stratégies d'externalisation, qui équilibrent les coûts de la chaîne d'approvisionnement et les risques liés. Les décideurs du secteur publique ont besoin d'un outil quantitatif pour concevoir efficacement la chaîne d'approvisionnement pharmaceutique tout en impliquant des partenaires privés. Ceci est principalement dû à la complexité des décisions à prendre. En effet, chacune des options d'externalisation correspond à un certain niveau de risque. Par exemple, l'externalisation des fonctions logistiques des produits stupéfiants ou onéreux est plus risquée que l'externalisation des fonctions logistiques des produits d’usage courant. Par conséquent, il est nécessaire d'évaluer et de quantifier le niveau de risque d'externalisation lié à chacune de ces options. De plus, les décisions de conception du réseau incluent le nombre et l'emplacement des entrepôts, l'attribution des types de produits aux entrepôts qui doivent être équipés pour accueillir différents types de produits et l'affectation de la demande régionale de différents produits à un entrepôt spécifique. Chacune de ces décisions peut être sous-traitée ou non au secteur privé. En conséquence, il existe un très grand nombre d'options de conception de réseau de distribution avec des solutions d'externalisation, chacune avec un coût et un risque correspondant. Cet outil que nous proposons intègre une approche multi-phase pour déterminer les conceptions de réseaux avec les stratégies d'externalisation les plus accommodés au réseau public. La première phase élabore une méthode pour quantifier le risque perçu en fonction des décisions d'externalisation. La deuxième phase présente une formulation mathématique et une résolution du problème intégré. Ce modèle détermine l'emplacement optimal des installations, l'allocation, les décisions d'externalisation et l'affectation des produits aux entrepôts et centre de soins de santé. Dans la troisième phase, plusieurs stratégies d'externalisation sont étudiées et comparées sur la base de la frontière efficiente correspondante du coût total et du risque. L'approche proposée est appliquée à l'étude de cas réelle de la chaîne d'approvisionnement marocaine des produits pharmaceutiques. Étant donné que ce contexte représente un projet à grande échelle portant sur l'approvisionnement national en produits pharmaceutiques, la conception de réseaux avec des stratégies d'externalisation s’avère critique. Les résultats de cette recherche concluent que l'externalisation du transport a un impact élevé sur la rentabilité, sa contribution aux économies globales est néanmoins limitée car l'entreposage constitue une partie importante. L'outil d'aide à la décision proposé peut aider les décideurs du ministère de la Santé à évaluer différentes options de conception de réseau afin de déterminer comment et quelles fonctions peuvent être externalisées, pour différents types de produits et points de demande. L’objectif ultime de ces recherches consiste à augmenter la réactivité et l'efficacité de la supply chain pharmaceutique, contribuant ainsi à améliorer l'accès aux soins et l'organisation des services de santé. PAR DR. ASMAE EL MOKRINI, PROFESSEUR CHERCHEUR EN SUPPLY CHAIN MANAGEMENT À RABAT BUSINESS SCHOOL – UIR [1] El Mokrini, Asmae, and Tarik Aouam. "A fuzzy multi-criteria decision analysis approach for risk evaluation in healthcare logistics outsourcing: Case of Morocco." Health services management research 33, no. 3 (2020): 143-155. [2] El Mokrini, Asmae, and Tarik Aouam. "A decision-support tool for policy makers in healthcare supply chains to balance between perceived risk in logistics outsourcing and cost-efficiency." Expert Systems with Applications 201 (2022): 116999.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : 20e anniversaire de la disparition de Moulay Ahmed Alaoui : Merci Président !(Tribune) || subtitle : Dans ce témoignage, Kamal El Alami, directeur général adjoint du Groupe Le Matin, décrit avec une profonde sincérité les qualités, le tempérament et le professionnalisme de feu Moulay Ahmed Alaoui, fondateur du Groupe Le Matin. Il y rappelle non sans nostalgie les rapports particuliers qu’entretenait le disparu avec la profession et les collaborateurs qui lui vouaient un amour quasi filial et un respect digne d’un grand maître. || body : Par Kamal El Alami, directeur général adjoint du Groupe Le Matin qu’il a intégré en 1994 Un homme visionnaire, intelligent, perspicace, doté d’un humour et d’un sens aigu de la répartie, qui a su mettre toutes ses qualités au service du Trône et de la Nation. C’est comme ça que je peux décrire, de manière succincte, le président fondateur du Groupe Le Matin , feu Moulay Ahmed Alaoui . C’est aussi un homme qui a toujours su maîtriser l’art de la communication, notamment à travers ses éditoriaux qui montraient le cap sans dévoiler le secret. Les enjeux sont tellement sensibles que sa mission se devait d’être infaillible, nulle tolérance n’était permise. En cas de doute sur une tournure, car pour lui tout doit être parfait, il fallait tout reprendre. D’un seul appel de Moulay Ahmed Alaoui, tout le journal, déjà produit, pouvait passer à la trappe. Ça n’a jamais été une question d’argent ou de moyens, l’essentiel a toujours été la mission. C’est l’un de ses rôles assurés avec brio et abnégation dans un Maroc naissant et qui était en proie à plusieurs tensions et conspirations. Il éclairait toute une audience nationale et internationale avec perspicacité et intelligence, sur les angles de lecture des orientations Royales, dans les colonnes du quotidien phare qu’il a fondé à dessein. Succédant au groupe MAS et ses titres français, le Groupe Le Matin a été fondé en 1972 par Moulay Ahmed Alaoui afin de donner à la scène de la presse marocaine une nouvelle indépendance médiatique qui se focalise sur la Nation et son devenir et en rupture totale avec les vestiges de la période coloniale. Au sein du Groupe, Moulay Ahmed était aimé et respecté comme un père. Les collaborateurs racontent moult anecdotes le concernant, souvent des histoires qui mêlent humour et bon sens, mais d’autres plus solennelles qui forcent encore plus l’amour et la considération. J’en retiens une particulièrement : suite à une erreur d’insolation de plaque d’impression, un mot irrévérencieux avait été publié sur la rubrique programmes télé. Cette erreur a provoqué une enquête judiciaire au niveau du Groupe dont les suites auraient pu être dramatiques pour les collaborateurs concernés… C’était un moment très dur pour une institution totalement vouée au service de la vision Royale. Toutefois, en bon père de famille, compréhensif et responsable , il a su gérer cette crise sans aucune répercussion pour les opérateurs impliquées. Cette position particulièrement solidaire et courageuse était racontée par les personnes concernées à toute nouvelle recrue, comme source de fierté et de reconnaissance. Feu Moulay Ahmed Alaoui a su se faire entourer de personnes qui partagent sa passion de la vision de Feu Sa Majesté le Roi Hassan II et son héritier au Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’Assiste, en se mobilisant 24 h/7 j au service de la Nation. À ce jour, en intégrant le Groupe, on a l’impression d’être mobilisé pour une mission qui nous transcende et qui fait la fierté de tous. Le génie de Moulay Ahmed Alaoui est bien connu dans de nombreux domaines, mais il l’était surtout au niveau de la presse. Il a créé un groupe avec une position unique et particulière, une véritable institution médiatique au service du Royaume. Un forum de synergie et de complémentarité des compétences éditoriales et techniques, un établissement dont beaucoup de stars des médias sont fiers d’avoir fait partie. Une institution qui collabore avec toute la presse en partenaire et non en concurrent, afin de faire prospérer le domaine médiatique, vecteur de pluralisme et de démocratie. Moulay Ahmed, en tant que président fondateur, a aussi doté le Groupe de fondements solides qui lui permettent d’accompagner les nouveaux défis du Maroc et de poursuivre sa mission au service de la Nation. Merci cher Président fondateur d’avoir initié une belle histoire qui se poursuit. Vous avez été et vous serez toujours présent dans l’ADN du Groupe Le Matin et dans le cœur de ses collaborateurs éternellement reconnaissants. >> Lire aussi : Bahija Simou : Moulay Ahmed Alaoui fut un témoin d'étapes charnières de l’histoire du Maroc</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : Le monde brûle, il faut une révolution des énergies renouvelables (Tribune) || subtitle : La seule solution pour parvenir à la sécurité énergétique, à la stabilité des prix de l’électricité, à la prospérité et pour que la planète reste habitable, c’est d’abandonner les combustibles fossiles polluants et accélérer la transition énergétique fondée sur les énergies renouvelables. || body : Par António Guterres, Secrétaire général de l’ONU Néron est tristement célèbre pour avoir joué du violon pendant que Rome brûlait. Aujourd’hui, certains dirigeants font pire. Ils mettent littéralement de l’huile sur le feu. Alors que les répercussions de l’invasion de l’Ukraine par la Russie se ressentent dans le monde entier, la réponse de certaines nations à la crise énergétique croissante a été de doubler la mise sur les combustibles fossiles – en injectant des milliards de dollars supplémentaires dans le charbon, le pétrole et le gaz, les matières mêmes qui sont à l’origine de l’aggravation de notre urgence climatique. Pendant ce temps, tous les indicateurs climatiques continuent de battre des records, annonçant un avenir émaillé de tempêtes féroces, d’inondations, de sécheresses, d’incendies de forêt et de températures invivables sur de vastes étendues de la planète. Notre monde sombre dans le chaos climatique. Il est insensé de verser de nouveaux financements dans les infrastructures d’exploration et de production de combustibles fossiles. Les énergies fossiles ne sont pas la solution, et ne le seront jamais. Nous pouvons voir de nos propres yeux les dégâts que nous causons à la planète et à nos sociétés. On en parle tous les jours dans les médias, et personne n’est à l’abri. Les combustibles fossiles sont précisément la cause de la crise climatique. Seules les énergies renouvelables constituent une réponse – pour limiter les dérèglements climatiques et renforcer la sécurité énergétique. Si nous avions investi plus tôt et massivement dans les énergies renouvelables, nous ne nous retrouverions pas une fois de plus à la merci de l’instabilité des marchés des combustibles fossiles. Les énergies renouvelables sont les garantes de la paix au XXIe siècle. Mais la bataille pour une transition énergétique rapide et juste ne se livre pas à armes égales. Les investisseurs continuent de soutenir les combustibles fossiles et les États continuent de distribuer des milliards de dollars de subventions pour le charbon, le pétrole et le gaz, soit quelque 11 millions de dollars par minute. Il y a un terme pour désigner le fait de privilégier le soulagement à court terme au détriment du bien-être à long terme : l’addiction. Nous sommes encore dépendants aux combustibles fossiles. Pour la santé de nos sociétés et de notre planète, nous devons nous sevrer. Immédiatement. La seule solution pour parvenir à la sécurité énergétique, à la stabilité des prix de l’électricité, à la prospérité et pour que la planète reste habitable, c’est d’abandonner les combustibles fossiles polluants et accélérer la transition énergétique fondée sur les énergies renouvelables. À cette fin, j’ai exhorté les gouvernements du G20 à démanteler les infrastructures charbonnières, en vue de leur élimination complète d’ici à 2030 pour les pays de l’OCDE et d’ici à 2040 pour tous les autres. J’ai demandé instamment aux acteurs financiers d’abandonner le financement des combustibles fossiles et d’investir dans les énergies renouvelables. Et j’ai proposé un plan en cinq points pour stimuler les énergies renouvelables sur tout le globe. Premièrement, nous devons faire de la technologie des énergies renouvelables un bien public mondial, notamment en abolissant les règles de propriété intellectuelle qui font barrière au transfert de technologie. Deuxièmement, nous devons améliorer l’accès mondial aux chaînes d’approvisionnement en composants et matières premières nécessaires pour les technologies d’énergie renouvelable. En 2020, il existe 5 gigawatts de stockage par batterie à l’échelle mondiale. Il nous faut 600 gigawatts de capacité de stockage d’ici à 2030. Il est évident qu’il faut une coalition mondiale pour y parvenir. Les goulets d’étranglement dans le transport maritime, les contraintes exercées sur la chaîne d’approvisionnement et la hausse des coûts du lithium et d’autres métaux pour batteries freinent le déploiement de ces technologies et matériaux au moment même où nous en avons le plus besoin. Troisièmement, nous devons réduire les formalités administratives qui bloquent les projets solaires et éoliens. Il faut des procédures d’approbations accélérées et plus d’efforts pour moderniser les réseaux électriques. Dans l’Union européenne, il faut huit ans pour approuver un parc éolien, et dix aux États-Unis. En République de Corée, les projets d’éoliennes terrestres exigent 22 permis délivrés par huit ministères différents. Quatrièmement, le monde doit réorienter les subventions aux énergies fossiles pour protéger les personnes vulnérables des chocs énergétiques et investir dans une transition juste vers un avenir durable. Et cinquièmement, nous devons tripler les investissements dans les énergies renouvelables. Cela concerne les banques multilatérales de développement et les institutions de financement du développement, de même que les banques commerciales. Elles doivent toutes augmenter et stimuler considérablement les investissements dans les énergies renouvelables. Nous avons besoin d’une conscience plus aiguë de l’urgence chez tous les dirigeants mondiaux. Nous sommes déjà dangereusement proches du seuil des 1,5 °C qui, d’après la science, est le niveau maximum de réchauffement tolérable pour éviter les pires conséquences climatiques. Pour que le seuil de 1,5 °C reste réaliste, nous devons réduire les émissions de 45% d’ici à 2030 et atteindre zéro émission nette au milieu du siècle. Or les engagements nationaux actuels entraîneront une augmentation de près de 14% au cours de la présente décennie. C’est la catastrophe assurée. La réponse est dans les énergies renouvelables – pour l’action climatique, pour la sécurité énergétique et pour fournir de l’électricité propre aux centaines de millions de personnes qui en sont actuellement privées. Les énergies renouvelables présentent un triple avantage. Il n’y a aucune excuse pour s’opposer à la révolution des énergies renouvelables. Alors que les prix du pétrole et du gaz atteignent des niveaux record, les énergies renouvelables sont de moins en moins coûteuses. Le coût de l’énergie solaire et des batteries a chuté de 85% ces dix dernières années. Le coût de l’énergie éolienne a baissé de 55%. Et les investissements dans les énergies renouvelables créent trois fois plus d’emplois que les investissements dans les énergies fossiles. Bien sûr, les énergies renouvelables ne sont pas la seule réponse à la crise climatique. Les solutions fondées sur la nature, telles que l’inversion de la déforestation et de la dégradation des sols, sont tout aussi indispensables, de même que les efforts visant à promouvoir l’efficience énergétique. Mais nous devons avoir l’ambition d’accomplir une transition rapide vers les énergies renouvelables. Si nous nous sevrons des énergies fossiles, les gains seront considérables, et pas seulement pour le climat. Les prix de l’énergie seront moins élevés et plus prévisibles, ce qui aura des retombées positives sur la sécurité alimentaire et économique. Lorsque les prix de l’énergie montent, le coût des denrées alimentaires et de tous les biens dont nous dépendons s’envole dans leur sillage. Il nous faut donc d’urgence une révolution des énergies renouvelables : reconnaissons-le enfin tous et cessons de jouer du violon pendant que notre avenir brûle.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur chroniques [INST] Rédiger un article de presse sur le thème chroniques [/INST] title : "Nous devons renforcer le maintien de la paix des Nations unies en tant qu’instrument multilatéral essentiel pour la paix" (Tribune) || subtitle : None || body : Par Shirley Ayorkor Botchwey, ministre des Affaires étrangères et de l’intégration régionale du Ghana Jean-Pierre Lacroix, secrétaire général adjoint de l’ONU aux opérations de paix des Nations unies En cette période troublée et marquée par les divisions géopolitiques, l’occasion se présente pour la communauté internationale de réaffirmer son soutien politique et son engagement collectif en faveur des opérations de maintien de la paix des Nations unies . Une réunion des ministres des Affaires étrangères et de la Défense du monde entier va se tenir à Accra ces 5 et 6 décembre. Organisé pour la première fois en Afrique , cet événement de haut niveau doit permettre aux États membres d’annoncer des contributions concrètes, notamment en matière de capacités, de formation et d’équipement, dans le but de renforcer l’efficacité du maintien de la paix . A la COP28, le nucléaire et les renouvelables en vedettes Contre le charbon et le méthane, et pour le nucléaire et les renouvelables. Les pays réunis à la COP28 à Dubaï mettent les projecteurs samedi sur le monde énergétique de demain, parallèlement à de pénibles négociations sur comment parvenir à un monde sans énergies fossiles d'ici quelques décennies. Un quart de l’humanité vit dans des zones touchées par des conflits et il existe environ 108 millions de personnes déplacées de force, soit plus du double d’il y a dix ans. Dans ce contexte, le maintien de la paix a un besoin urgent du soutien complet et unifié de la communauté internationale afin qu’il puisse servir au mieux des populations qui sont parmi les plus vulnérables au monde. Pour cela, il est essentiel d’obtenir un large soutien politique et de mobiliser tous les acteurs, y compris les populations locales, dans le but d’atteindre notre objectif principal, à savoir garantir une paix durable grâce à des solutions politiques. Pour rendre le maintien de la paix plus agile et plus efficace, et lui permettre de mieux s’adapter aux défis actuels, il faut également créer et approfondir les partenariats. Cet enjeu sera l’une des priorités des ministres qui participeront à cette Conférence ministérielle à Accra . Lors de cet événement, les États membres sont invités à concrétiser leur engagement en faveur du maintien de la paix en annonçant de nouvelles contributions pour répondre aux besoins actuels et futurs de nos opérations, ainsi que de nouveaux partenariats, ou partenariats élargis, en matière de renforcement des capacités, de formation et d’équipement. Pour atteindre l’objectif principal du maintien de la paix des Nations unies , il est essentiel que les États membres fournissent un soutien politique plus fort et uni à nos efforts qui visent à soutenir les parties aux conflits à trouver des solutions politiques. Cet objectif est conforme au Nouvel Agenda pour la paix du Secrétaire général António Guterres , qui fournit une évaluation lucide des défis auxquels est confronté le système de sécurité collective, et propose aux États membres des orientations et des actions en prévision du Sommet pour l’avenir qui se tiendra l’année prochaine. Ces défis complexes en matière de paix et de sécurité exigent de l’ ONU qu’elle soit en mesure de mettre en place des réponses opérationnelles adaptées aux besoins et de soutenir d’autres acteurs, tels que l’Union africaine, dans cette démarche. La Conférence ministérielle de cette année à Accra vise à renforcer l’instrument des opérations de maintien de la paix des Nations unies. Plus spécifiquement, elle se concentrera sur le renforcement de la protection des civils, une tâche prioritaire dans la plupart des missions de maintien de la paix . Nous devons également continuer à améliorer la sûreté et la sécurité des Casques bleus , qui sont de plus en plus la cible de menaces et de violences. Il est également nécessaire de s’assurer que la santé mentale, et la fourniture de soins adéquats dans ce domaine, soit dûment prise en compte. En partenariat avec les États membres, il faut également en faire davantage pour lutter contre les cas d’inconduites, tels que l’exploitation et les agressions sexuelles, et pour venir en aide aux victimes. Une paix durable n’est possible que si tous les membres de la communauté font partie de la solution, notamment en veillant à ce que davantage de femmes soient impliquées dans les processus politiques et déployées dans nos missions. Le Ghana en est un bon exemple, car il déploie un nombre important de femmes au sein des opérations de maintien de la paix, à tous les niveaux et dans tous les rôles. Parmi elles se trouve la capitaine ghanéenne Cecilia Erzuah , qui a remporté cette année le prix militaire de l’ONU pour Défense de l’égalité des genres pour son travail au sein de la Force intérimaire de sécurité des Nations unies pour Abyei en faveur du renforcement des efforts de protection des civils. La capitaine Erzuah fait partie des plus de deux millions de Casques bleus militaires, policiers et civils qui, au cours des 75 dernières années, ont sauvé d’innombrables vies, empêché des conflits et soutenu des processus politiques. Nous faisons tout notre possible et nous efforçons toujours de faire mieux, notamment pour perpétuer l’héritage des 4.200 Casques bleus qui ont perdu la vie au service de la paix. Au fil des décennies, nous avons appris que, pour que la paix soit durable, elle doit reposer sur des solutions menées au niveau local. On en trouve des preuves dans des pays comme la Namibie , le Cambodge, la Sierra Leone, le Timor-Leste et le Liberia, où les Casques bleus ont travaillé aux côtés d’acteurs politiques, de la société civile, de femmes et de jeunes pour parcourir le chemin difficile qui mène de la guerre à la paix. Malgré l’impact démontrable du maintien de la paix, cela ne pourra jamais répondre à tous les besoins ni à toutes les attentes. Les conflits de longue date, alimentés par des facteurs géopolitiques et transnationaux complexes, en révèlent les limites. C’est particulièrement le cas lorsque le Conseil de sécurité donne aux missions de maintien de la paix des mandats trop ambitieux sans les ressources ni le soutien politique adéquats. L’impact terrible des conflits actuels sur les civils est un rappel brutal de l’urgente nécessité des solutions politiques. Même si de nombreuses opérations de maintien de la paix opèrent depuis des décennies, elles sont loin d’être des reliques du passé. La Finul (Force intérimaire des Nations unies au Liban) , par exemple, soutient les efforts visant à apaiser les tensions le long de la Ligne bleue entre Israël et le Liban , notamment en assurant la liaison entre les deux parties. Ces opérations jouent un rôle essentiel dans la protection des civils et le maintien des cessez-le-feu pendant que la recherche d’une solution politique de long terme se poursuit. Leur longévité est en fait le signe de l’équation complexe de la paix. Une équation qui nécessite le consentement de toutes les parties concernées, mais aussi un engagement collectif et inébranlable des États membres en faveur du multilatéralisme . Cela demeure nécessaire pour que les opérations de maintien de la paix des Nations unies continuent d’être un instrument essentiel pour la paix. Nous espérons que cet engagement se traduira au Ghana par des annonces de contributions concrètes de la part des États membres. Les communautés que nous servons ne méritent rien de moins.</s>