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<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Abdellatif Hammouchi reçoit l’ambassadeur du Pakistan à Rabat || subtitle : Le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi, a reçu, mercredi à Rabat, l'ambassadeur de la République islamique du Pakistan au Maroc, Muhammad Sami-ur-Rehman. || body : Lors de cette entrevue, les deux parties ont passé en revue plusieurs sujets d'ordre sécuritaire d'intérêt commun et ont examiné les moyens de développer la coopération bilatérale dans les différents domaines de sécurité au service des intérêts des deux pays frères, indique une source sécuritaire. Hammouchi s’entretient avec le Chef du Service de sécurité du Qatar Dans le cadre d’une tournée dans plusieurs pays du Moyen-Orient, le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi a effectué, à compter du 21 avril, une visite de travail à Doha, au Qatar, à la tête d’une délégation sécuritaire. Selon la même source, cette rencontre confirme l'engagement du pôle de la Direction Générale de la Sûreté Nationale et de la Direction Générale de la Surveillance du Territoire à mettre en oeuvre les différents partenariats sécuritaires, bilatéraux et multilatéraux, visant à renforcer la coopération sécuritaire internationale. Elle reflète également la détermination constante du pôle à répondre à toutes les demandes de coopération qui renforcent la coordination sécuritaire entre le Royaume du Maroc et les différents pays frères et amis, ajoute-t-on.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Istiqlal : La constitution du comité exécutif sera une tâche ardue pour Nizar Baraka (Adnane Benchekroun) || subtitle : Trois jours après l’élection à l’unanimité de Nizar Baraka pour un deuxième mandat à la tête du Parti de l’Istiqlal, le vice-président de l’Alliance des économistes de l’Istiqlal, Adnane Benchekroun, revient sur les raisons derrière le retard dans la désignation des 34 membres du comité exécutif. || body : Pour le vice-président de l’ Alliance des économistes de l’Istiqlal , Adnane Benchekroun, la formation et la ratification du nouveau comité exécutif du Parti de l’Istiqlal prendra le temps qu’il faudra. Une opération qui peut durer jusqu’à 15 jours, dans le but de désigner l’équipe qui va assister le nouveau secrétaire général du parti dans ses missions. Invité à intervenir dans le cadre de l’émission « L’Info en Face », diffusée par le groupe «Le Matin», M. Benchekroun a reconnu que les tractations pour la sélection des 34 membres du comité exécutif se sont révélées difficiles. Une situation qui s’explique par le fait que le parti est traversé par différents courants. Néanmoins, ces courants ne sont pas des courants d’idées, ni des courants de résistance, mais des courants «normaux», presque électoralistes, au sein d’une organisation politique qui se prépare à des élections au moment voulu. Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal Comme il fallait bien s’y attendre, Nizar Baraka a été réélu, à l’unanimité, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal (PI) pour un second mandat, au terme de l’opération de vote qui s’est déroulée lors de la première session du Conseil national du parti tenue aux premières heures de dimanche. M. Baraka était candidat unique après le désistement de Rachid Afilal. «Ce que traverse actuellement le Parti de l’Istiqlal est presque «banal», car il faut rappeler qu’il ne s’agit ni du premier, ni du deuxième, mais du 18e congrès. Donc il est normal qu’il y ait à chaque fois des gens qui veulent accéder au pouvoir et d’autres qui veulent s’y maintenir. Mais il faut renouveler les profils et injecter du sang neuf dans les organes du parti. Ce renouvellement ne se fait pas dans la douleur, comme certains tentent de le faire croire, mais dans un climat de concurrence», souligne le même intervenant. D’après le même responsable, le report de la constitution du comité exécutif s’est fait dans l’objectif de trouver un consensus autour des futurs noms et d’éviter qu’il y ait des scissions, afin de pouvoir fédérer les nouveaux profils et resserrer les rangs en vue de se positionner en tant que parti leader lors des prochaines échéances électorales de 2026. «Ce qu’il faut garder en tête, c’est que le principal objectif du secrétaire général élu à l’unanimité lors de ce 18e congrès reste la fédération de tous les membres du parti autour d’un seul projet, qui est celui de promouvoir le rayonnement du parti et son positionnement sur la scène politique nationale. Donc cette prolongation permettra de donner au secrétaire général, Nizar Baraka , un temps suffisant lui permettant de procéder aux consultations nécessaires au sein du parti, tout en offrant à toutes les composantes du parti la possibilité de participer à l’élaboration de la liste des membres du comité exécutif», souligne-t-il. En effet, bien que les statuts du Parti de l’Istiqlal, votés et validés par le congrès national le 27 avril dernier, aient prévu que la liste du comité exécutif s’inscrit dans le cadre d’une proposition du secrétaire général du parti, puis d’un vote du conseil national constitué de 1.200 membres, la tâche demeure assez ardue pour le secrétaire général, surtout lorsqu’on sait que ce dernier devra trancher sur la base de 120 candidatures. Des arbitrages qui ne manqueront pas de créer des tensions, reconnaît M. Benchekroun, mais qui demeurent nécessaires afin de désigner un comité exécutif fort qui pourra améliorer l’image du parti sur l’échiquier politique et soutenir le chef de file du parti dans ses missions. «Il est tout à fait logique que le secrétaire général élu choisisse son équipe, car il sera appelé à présenter un bilan de ses réalisations aux Istiqlaliens à la fin de son second mandat, affirme-t-il, en rappelant que les statuts du parti ne prévoient pas de troisième mandat pour le secrétaire général sortant.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aïd Al Adha : Le gouvernement veut doubler le nombre d'ovins importés || subtitle : Le gouvernement œuvre à doubler le nombre d'ovins destinés à abattage à l'occasion de l'Aïd Al Adha par rapport à l'année dernière, a fait savoir, jeudi, le ministre chargé des relations avec le Parlement et porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas. || body : "Le gouvernement entend doubler le nombre de moutons importés pour l' Aïd al-Adha cette année", a déclaré M. Baitas lors d'un point de presse à l'issue de la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement , notant que le gouvernement envisage actuellement d'importer 600.000 ovins , un chiffre susceptible d'être revu à la hausse. Le ministre a souligné que la mise en place d'un mécanisme d'importation n'est pas suffisante pour atteindre l'objectif escompté, notant que le gouvernement s'emploie à "simplifier et réguler le processus suivi l'année dernière, afin de faciliter l'importation". Aïd Al Adha : 2 millions de têtes identifiées à ce jour Le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, a tenu lundi à Rabat une réunion avec les professionnels de la filière des viandes rouges, et ce dans le cadre des préparatifs pour l’Aïd Al-Adha. En réponse, mardi, à une question sur les mesures prises en prévision de l' Aïd Al-Adha à la Chambre des conseillers , le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki , a fait état de l'identification d'environ deux millions de têtes d'ovins jusqu'à présent Le ministre a rappelé que 34 marchés temporaires ont été aménagés pour renforcer les marchés existants, tandis que 210.000 unités d'engraissement ont été enregistrées, notant l'ouverture temporaire pour la deuxième année consécutive des importations de bétail , et le lancement d'un appel d'offres pour 600.000 têtes d'ovins.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Banjul : Série d'entretiens de Bourita en marge du 15è sommet islamique || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a eu, samedi à Banjul, en Gambie, une série d'entretiens en marge des travaux de la 15-ème session de la Conférence islamique au sommet. || body : Nasser Bourita s'est ainsi entretenu avec le chef de la diplomatie Azerbaidjanaise, Jeyhun Bayramov , le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan , son homologue du Soudan, Hussein Awad Ali , ainsi qu'avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l'Extérieur, Karamoko Jean Marie Traoré . Ces entretiens ont été l'occasion de passer en revue les relations entre le Royaume et ces pays et d'examiner des questions d'intérêt commun. Sommet de l'OCI : Ouverture à Banjul de la 15ème session avec la participation du Maroc Les travaux de la 15ème session de la Conférence islamique au sommet, tenue sous le thème "Promouvoir l'unité et la solidarité à travers le dialogue pour le développement durable", se sont ouverts, samedi à Banjul en Gambie, en présence de chefs d'Etat et de gouvernement des pays membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI). Le ministre marocain s'est également entretenu avec le vice-président du Conseil présidentiel libyen , Moussa El Kouni , et la secrétaire générale de l'Organisation de la Coopération numérique, Dina Yahia . M. Bourita a également eu samedi une réunion avec Salem Al-Malik , directeur général de l'Organisation du Monde Islamique pour l'Education, les Sciences et la Culture (ISESCO) avec lequel il a procédé à la signature de l'Annexe modificatif de l'Accord de siège entre cette Organisation et le gouvernement du Maroc. Il s'agit du premier amendement à l'accord, 36 ans après sa signature en 1988, selon lequel le Royaume du Maroc accorde à l'ISESCO et à ses employés une série de privilèges. Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger avait eu, jeudi et vendredi dans la capitale gambienne, des entretiens avec plusieurs de ses homologues participant au Sommet islamique qui prend fin dimanche.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan préside le GP de S.M. le Roi du Concours de saut d'obstacles 3* de la Garde Royale || subtitle : Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, dimanche, le Grand Prix de S.M. le Roi Mohammed VI du Concours officiel de saut d'obstacles 3* de la Garde Royale, organisé du 26 au 28 avril à la carrière Hassan II au Méchouar à Rabat, sous le Haut Patronage de S.M. le Roi. || body : A son arrivée à la carrière Hassan II de la Garde Royale, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a été accueilli par le Général de division, commandant la Garde Royale , Abdelaziz Chatar . Après avoir passé en revue une section de la Garde Royale qui rendait les honneurs, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a été salué par le ministre de l'Education Nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa , le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki , le président du Comité national olympique marocain (CNOM), Fayçal Laraïchi , et le Wali de la région Rabat-Salé-Kénitra, Mohamed Yacoubi , ainsi que par des officiers supérieurs de la Garde Royale et d'autres personnalités. Par la suite, et sous les ovations du public venu nombreux à la carrière Hassan II de la Garde Royale, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a pris place à la tribune d’honneur d’où Son Altesse Royale a présidé la finale du Grand Prix de S.M. le Roi Mohammed VI du Concours officiel de saut d’obstacles 3* de la Garde Royale , épreuve réservée aux chevaux de première catégorie, qui a été remportée par le cavalier Ali Al Ahrach sur le cheval "Douglas", après un barrage, bouclant le parcours sans faute en 44sec 01/100è. A la fin de cette compétition, organisée sous l’égide de la Fédération Royale Marocaine des Sports Equestres (FRMSE) , S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a remis le trophée du Grand Prix de S.M. le Roi Mohammed VI au cavalier vainqueur, Ali Al Ahrach. S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a aussi remis les autres prix (Coupes) aux finalistes classés aux places suivantes. A la fin de cette prestigieuse manifestation sportive, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a posé pour une photo souvenir avec les vainqueurs, qui ont ensuite effectué un tour d'honneur à cheval.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara, position du Maroc lors de la visite de Staffan de Mistura : ce qu'en dit Dr Talal Cherkaoui || subtitle : Dans le cadre d’une tournée régionale auprès des parties mentionnées dans la résolution 2703 du Conseil de sécurité, en vue de relancer le processus politique des tables rondes avec la participation du Maroc, de l’Algérie, de la Mauritanie et du polisario, Staffan de Mistura a été reçu jeudi dernier au ministère des Affaires étrangères. À cette occasion, il s’est vu rappeler les positions fermes et non négociables du Maroc. Cet événement, d’après le professeur à l’Université Mohammed V de Rabat Dr Talal Cherkaoui, a inauguré une nouvelle étape dans la recherche d’une solution au conflit du Sahara, en mettant en exergue les attentes marocaines et en éclairant les défis et les opportunités pour relancer les discussions entre les parties concernées. || body : La visite de Staffan De Mistura à Rabat, le 3 avril, en tant qu’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, a marqué un tournant significatif dans le dialogue autour du dossier du Sahara marocain, souligne au «Matin» le professeur de sciences économiques, sociales et politiques à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, Dr Talal Cherkaoui. «Reçu au ministère des Affaires étrangères, M. de Mistura s’est vu rappeler les positions fermes du Maroc, jugées non négociables. Cet événement a inauguré une nouvelle étape dans la quête de résolution du conflit du Sahara, mettant en relief les attentes marocaines et illuminant les défis et opportunités pour revitaliser les discussions entre les parties impliquées», indique le professeur de sciences économiques, sociales et politiques. «Cette visite survient dans un contexte de tensions renouvelées, mais aussi d’un espoir de progrès, soulignant l’importance cruciale de la continuité et de l’efficacité du rôle de M. de Mistura dans cette démarche délicate», affirme Dr Talal Cherkaoui. Ainsi, le Maroc a réitéré son rejet de toute initiative extérieure aux tables rondes définies par l’ONU et de toute solution autre que l’Initiative marocaine d’autonomie. Ces principes, déclarés non négociables par le Maroc, soulignent, de l’avis du professeur, aussi l’importance capitale de la pleine participation de l’Algérie aux tables rondes et du respect du cessez-le-feu par le polisario. Le Maroc n’est pas disposé à concéder sur ses principes fondamentaux concernant le Sahara La fermeté de la position marocaine, exprimée lors de la visite de Staffan de Mistura, illustre que le Maroc n’est pas disposé à concéder sur ses principes fondamentaux concernant le Sahara, affirme Dr Talal Cherkaoui. Néanmoins, fait-il remarquer, «cette posture peut également être vue comme une volonté du Maroc de préciser ses conditions préalables à toute reprise sérieuse du dialogue. En mettant l’accent sur l’Initiative d’autonomie et la participation de l’Algérie, le Maroc cherche à structurer le débat autour de ses propositions, tout en mettant en avant l’importance d’une démarche concertée». Le passage de M. de Mistura s’insère dans le cadre d’une tournée régionale visant à relancer le processus politique des tables rondes avec la participation du Maroc, de l’Algérie, de la Mauritanie, et du polisario, tel qu’il est défini par la résolution 2703 du Conseil de sécurité. «L’envoyé spécial est donc appelé à ajuster ses actions, notamment sa visite en Afrique du Sud, et à revoir sa stratégie concernant le Sahara marocain en se limitant uniquement aux intervenants clés», dit le professeur. Et de faire observer que «la mise en parallèle de Staffan de Mistura avec ses prédécesseurs, comme Peter Van Walsum et Christopher Ross, révèle la complexité de la médiation dans l’affaire du Sahara marocain. Cependant, avec le Maroc bénéficiant d’un soutien international grandissant pour son initiative d’autonomie, il est peu probable que le Royaume rejette les efforts de médiation de l’ONU de manière catégorique». Selon Dr Cherkaoui, «la situation diffère notablement de celle vécue avec Christopher Ross, lors de laquelle le Maroc avait suspendu sa confiance en réaction à ses démarches». Le contexte actuel, observe-t-il, se distingue nettement : les objections marocaines vis-à-vis de l’envoyé personnel ont évolué, M. de Mistura n’est pas M. Ross, et l’appui de la communauté internationale pour l’Initiative d’autonomie s’intensifie, notamment grâce à leurs investissements dans les provinces du Sud. «Se trouvant dans une position plus avantageuse qu’auparavant, le Maroc n’a aucune raison de désavouer M. de Mistura, une telle action serait contre-productive. En effet, abandonner la médiation de l’ONU à ce stade, alors que le Maroc bénéficie d’une position consolidée, ne serait pas avisé», conclut le professeur.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La DIDH dénonce un acharnement systématique d’Amnesty International contre le Maroc || subtitle : La Délégation interministérielle aux droits de l’Homme (DIDH) a affirmé, lundi, que la partie consacrée au Maroc dans le rapport d’Amnesty International (AI) au titre de 2023, publié le 24 avril dernier, constitue une preuve de plus de l’acharnement systématique de cette organisation et de son obstination à poursuivre ses campagnes contre le Royaume. || body : Dans un communiqué, la DIDH souligne que ces campagnes s'appuient sur une démarche sélective dans la présentation des données, le choix des affaires, et dans la manière d'exposer les dossiers, en tirant, de manière arbitraire, des conclusions erronées sur la base de faux récits et d'allégations dénuées de tout fondement. ONU: le Maroc élu à la présidence du Conseil des Droits de l'Homme pour 2024, une première historique Le Royaume du Maroc vient d’être élu brillamment à la Présidence du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies pour l’année 2024, lors d’un vote tenu mercredi à Genève. L' Amnesty International a avancé de manière mensongère, poursuit la même source, des allégations d'"intolérance à l’égard de la liberté d'expression ", sur la base de certaines affaires sélectionnées, jugées ou en cours de jugement, sans tenir compte du fait que cette approche constitue une violation de la primauté de la loi et du principe d'égalité , ainsi qu'une consécration d’une démarche d''impunité offrant protection à certains individus impliqués dans des affaires de crimes relevant du droit public , et niant le droit des victimes à la justice . Pour la DIDH, l'approche de l'AI s'inscrit aux antipodes des règles fondamentales de s droits de l'Homme , telles que proclamées constamment par les mécanismes internationaux. En s'appuyant sur des affaires en dehors de la période couverte par ledit rapport dans le but de les instrumentaliser, l'AI a péché par un manque de crédibilité et de professionnalisme, nécessaires pour évaluer la situation des droits de l'Homme à travers le monde, fait observer la même source. La délégation a fustigé également l'attitude de l’organisation qui a adopté délibérément une classification arbitraire au sujet de certains cas qu’elle a inscrits comme relevant de la torture , alors que certains cas concernent la procédure d' extradition dans le cadre de la coopération judiciaire internationale , tandis que pour d’autres, aucun fait n’a été prouvé permettant de les classer comme relevant de la torture. Le recours de cette organisation à ce genre de subterfuges au moyen d'une classification biaisée, de manière délibérée et arbitraire, des allégations, à des desseins de provocation, fait partie de son approche de manipulation, d'instrumentalisation et d'exploitation dans le but de servir des intérêts particuliers, indique le communiqué, ajoutant que toute allégation de torture exige de cette organisation de mener les recherches et les investigations requises pour en vérifier la véracité avant de l'adopter dans le rapport, d'autant plus qu'aucun de ces cas n’a fait l’objet de plaintes ou doléances auprès des autorités compétentes. Ainsi, fait observer la DIDH, l'AI a choisi encore une fois, concernant les événements qu’a connus la région de Nador-Melilla , de passer sous silence toutes les données et tous les éclaircissements fournis par les autorités marocaines à plusieurs reprises aux mécanismes onusiens des droits de l'Homme, et qui ont été publiés sur le site officiel de ces mécanismes, lesquels comprennent des explications détaillées sur ce qui s'est passé, ainsi que les mesures prises par le Royaume conformément aux exigences des droits de l'Homme, de la justice et de l' État de droit , y compris les conclusions des recherches et investigations dans cette affaire. Les éléments sur lesquels s’est basée l’organisation concernant ces événements n’ont pas prêté attention aux données contenues dans les documents des Nations unies , relève la même source, notant que certaines données figurant dans le rapport contredisent parfois les documents onusiens . Il ressort du rapport que ses auteurs servent des agendas hostiles à l' intégrité territoriale du Royaume du Maroc , en tentant d'instrumentaliser la visite de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara marocain pour colporter des informations inventées de toutes pièces, sur la base de récits véhiculés par les adversaires du Maroc sans prendre la peine d'en vérifier la véracité notamment en ce qui concerne les prétendues dispersions des rassemblements pacifiques et restrictions imposées sur les associations, affirme la DIDH qui rappelle que la visite de l'envoyé personnel s'est déroulée dans de conditions normales, les autorités marocaines ayant réuni toutes les conditions pour en assurer le succès. Et de préciser que la réalité sur le terrain confirme que les rassemblements pacifiques et le droit de créer des associations sont garantis par la Constitution et les lois en vigueur à tous les citoyens dans les différentes régions du Royaume sans distinction aucune. Par ailleurs, la délégation interministérielle a relevé que les responsables de l'élaboration du rapport ont omis sciemment d'évoquer les graves violations systématiques des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf , en dépit des rapports internationaux successifs faisant état de cas connus susceptibles de faire l'objet d'investigations et de recherches, pointant la partialité flagrante de cette organisation qui a choisi de s'immiscer dans les attributions du Conseil de sécurité concernant le mandat de la MINURSO . Pour toutes ces considérations, la délégation interministérielle a tenu à exprimer son rejet en bloc des allégations infondées et les positions partielles contenues dans le rapport précité concernant le Maroc, réitérant sa disposition à interagir de manière constructive et positive avec les rapports sérieux des organisations internationales responsables et crédibles et ce, en fournissant toutes les précisions et données de nature à contribuer à la réalisation de rapports objectifs et réalistes sur la situation des droits de l'Homme dans le Royaume.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Hammouchi reçoit l'Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume d'Arabie Saoudite au Maroc || subtitle : Le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi, a reçu, vendredi à Rabat, l'Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume d'Arabie Saoudite au Maroc, Sami bin Abdullah Al-Saleh. || body : Cette entrevue s'inscrit dans le cadre d'une visite de travail et de coopération effectuée par l'Ambassadeur du Royaume d'Arabie Saoudite à Rabat au bureau du Directeur Général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire pour s'entretenir de différentes questions sécuritaires d'intérêt commun, indique une source sécuritaire. Abdellatif Hammouchi reçoit l’ambassadeur du Pakistan à Rabat Le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi, a reçu, mercredi à Rabat, l'ambassadeur de la République islamique du Pakistan au Maroc, Muhammad Sami-ur-Rehman. Selon la même source, les deux parties ont passé en revue, au début de leurs échanges, les niveaux et formes de la coopération distinguée entre le Royaume du Maroc et le Royaume d'Arabie Saoudite dans le domaine de la sécurité, et ont examiné les mécanismes pour élargir cette coopération et la hisser au niveau des relations distinguées entre les deux pays frères. Les deux parties ont également abordé la situation sécuritaire aux niveaux international et régional, évoquant les risques, les menaces et les répercussions de plusieurs crises émergentes dans l'environnement international et régional des deux pays. À l'issue de l'entrevue, les deux parties ont souligné la volonté constante des deux pays frères de renforcer leur coopération sécuritaire et d'échanger leurs expertises et expériences dans le domaine de la police, de manière à permettre de consolider leur sécurité commune, ajoute-t-on.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Bilan de mi-mandat, dialogue social... la majorité accorde ses violons || subtitle : C’est la première réunion de la majorité depuis l’arrivée du trio Mansouri-Bensaïd-Aboulghali à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM). Les résultats semblent plutôt prometteurs. En effet, les trois composantes de la majorité ont accordé leurs violons pour jouer la même partition cette fois. Se félicitant du bilan à mi-mandat de l’Exécutif, bilan qui fera l’objet d’un exposé devant le Parlement, les chefs de file de la majorité ont annoncé la poursuite de leur coordination au sein des collectivités territoriales. S’agissant du perchoir de la première Chambre, et sur lequel le PAM avait des vues, Il sera finalement gardé par le Rniste Rachid Talbi Alami jusqu’à la fin de cette législature. || body : Le Chef du gouvernement s’apprête à présenter le bilan des réalisations de son gouvernement devant le Parlement au cours de cette session printanière, et ce conformément à l’article 100 de la Constitution . Ce bilan de mi-mandat fera ensuite l’objet d’un débat public au Parlement et dans les médias et l’espace public. C’est ce qu’a annoncé en tous cas la présidence de la majorité gouvernementale, dans un communiqué publié hier à l’issue d’une réunion ordinaire tenue jeudi dernier, sous la présidence du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. Bilan à mi-mandat du gouvernement : la majorité et l’opposition croisent le fer De quelle manière faut-il appréhender le bilan à mi-parcours du gouvernement ? Entre une majorité qui revendique des succès, en dépit d’un contexte extrêmement compliqué à bien des égards, et une opposition qui juge tièdes les résultats intermédiaires d’un gouvernement qui avait pourtant placé la barre très haut dans ses engagements électoraux, les avis divergent, alimentés par la volonté des uns et des autres de gagner la bataille de l’opinion publique. La présidence de la majorité n’a pas manqué de saluer à cette occasion le bilan des réalisations de l’Exécutif, le qualifiant de très honorable et positif. «C’est un bilan positif, qui traduit la forte volonté politique du gouvernement de mettre en œuvre les réformes économiques et de renforcer les fondements de l’ État social . Ce bilan reflète par ailleurs la détermination du gouvernement à honorer les engagements prévus dans le cadre de son programme», souligne ladite instance. Dans le même document, les partis politiques de la majorité n’ont pas manqué de mettre en avant l’esprit d’harmonie et de coopération qui caractérise les relations du gouvernement avec les groupes parlementaires de la majorité, ainsi que les rôles majeurs joués par ces groupes parlementaires au niveau du renforcement de la législation et du contrôle de l’action gouvernementale, ainsi qu’au niveau de la diplomatie parlementaire, appelant par ailleurs ces groupes à poursuivre la coopération et la collaboration entre eux, dans un cadre d’intégration et de coordination étroite, tout en restant à l’écoute des groupes parlementaires de l’opposition afin d’interagir avec leurs propositions. La présidence de l’instance de la majorité a par ailleurs annoncé la poursuite de la coordination entre les trois partis qui la composent au sein des collectivités territoriales, que ce soit au niveau local, provincial ou régional, en raison des opportunités importantes qu’offre cette expérience inédite pour la mise en œuvre des politiques publiques selon une approche de proximité, et avec l’efficience et l’efficacité nécessaires. Abordant le chantier de dialogue social, la même instance a tenu à louer la poursuite des négociations du dialogue social entre le gouvernement, et les centrales syndicales les plus représentatives, un dialogue qu’elle espère fructueux. Par la même occasion, l’Instance de la majorité a affirmé son appui total aux chantiers de réforme que le gouvernement est sur le point de lancer dans les jours à venir, que ce soit au niveau institutionnel, législatif ou social. Enfin, et à la veille du renouvellement des instances de la Chambre des représentants, les partis de la majorité ont annoncé leur décision d’appuyer la candidature de Rachid Talbi Alami à la présidence de la Chambre pour la deuxième partie de l’actuelle législature. Il convient de souligner que cette réunion de l’instance de la majorité a été présidée par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch. Cette rencontre a par ailleurs connu la participation des trois membres de la direction collégiale du parti du PAM ainsi que le secrétaire général du Parti de l’Istiqlal et le président du comité préparatoire du prochain congrès ainsi que le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami. Ainsi, outre les réalisations du gouvernement à mi-mandat, cette réunion a été consacrée à l’examen de l’évolution de la situation politique et économique du pays ainsi que du futur agenda de l’action gouvernementale.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La paix dans le secteur de l'Education tient aux dossiers de 250 enseignants suspendus || subtitle : La tension est de nouveau montée d’un cran dans le secteur de l’éducation nationale après la convocation de plus de 250 enseignants suspendus en conseil de discipline. Une mesure qui risque d’envenimer davantage la situation en provoquant de nouvelles protestations dans un secteur qui connaît une paix fragile. En tout état de cause, les syndicats refusent catégoriquement de cautionner toute sanction contre les enseignants suspendus. || body : Après quatre mois d’attente, le sort des enseignants suspendus temporairement sera fixé la semaine prochaine. En effet, les commissions régionales créées au niveau des Académies régionales de l’éducation et de la formation (AREF) s’apprêtent à tenir une réunion, lundi prochain, pour trancher sur ces cas problématiques. Selon une source syndicale, le nombre des enseignants qui devront se présenter devant les conseils disciplinaires a considérablement baissé, passant de 540 à 250 enseignants. Le reste des enseignants ont pu rejoindre leurs classes après avoir reçu des avertissements ou des blâmes de la part du ministère de tutelle. Les enseignants multiplient les mouvements de manifestations «Les enseignants qui devront se présenter aux commissions représentent des cas particuliers. Le ministère estime en effet que ces derniers ont non seulement participé aux grèves organisées, mais ont également incité à des actes de violence, mais sans détenir des preuves étayant ces accusations», ajoute la même source. Enseignants suspendus : un nouveau mouvement de protestation annoncé Le secteur de l'enseignement se dirige-t-il vers un nouveau blocage ? La Coordination nationale du secteur de l’enseignement, la Coordination unifiée du corps enseignant et des cadres de soutien, la Coordination du secondaire qualifiant et la Fédération nationale de l'enseignement ont annoncé un nouveau mouvement de protestation à partir de cette semaine. Une grève nationale est programmée lundi 22 avril 2024. La convocation des enseignants en question à cette réunion a créé une tension palpable au sein d’un secteur où la paix sociale demeure fragile. En effet, la tenue de cette future rencontre intervient à une semaine seulement de la fin du délai légal fixé par la loi pour tenir un conseil disciplinaire (4 mois). Passé ce délai, les enseignants suspendus pourraient retourner normalement en classe, puisque les sanctions qui seraient prononcées à leur encontre au-delà de ce délai ne pourraient pas prendre effet. Conscients de cette situation, les enseignants ont multiplié les sorties dans la rue au cours de la semaine dernière pour dénoncer la décision du ministère de l’Éducation nationale et, par la même occasion, exiger le retour des enseignants suspendus pour mettre fin aux tensions que connaît le secteur. Les syndicats, de leur côté, maintiennent la même position en appelant à mettre fin à ce bras de fer à travers un retrait définitif de toutes les décisions de suspension. Pour eux, seule une mesure de ce genre est à même de contribuer à faire baisser la tension et permettre de tourner la page de ce feuilleton qui n’a que trop duré. Les syndicats décidés à rejeter les décisions du conseil disciplinaire «Nous appelons le ministère à faire prévaloir la raison et à retirer toutes les décisions de suspension afin de consolider la paix dans ce secteur. Autrement, les syndicats s’opposeront vigoureusement à toute décision disciplinaire par les commissions régionales», tient à souligner Mohammed Khoufayfi, vice-secrétaire général de la Fédération nationale de l’enseignement (UMT) dans une déclaration accordée au «Matin». Selon M. Khoufayfi, les syndicalistes des commissions bilatérales ont déjà exprimé leur refus de signer tout rapport comportant une sanction contre les enseignants suspendus, tout en appelant le ministère de tutelle à faciliter leur retour dans les classes. Il convient de rappeler que près de 540 enseignants ont été suspendus avec des prélèvements de salaires à cause du mouvement de grève qui a duré plus de trois mois, avant que ce nombre ne soit réduit à 250 enseignants actuellement en arrêt temporaire de travail.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Burkina Faso salue l'Initiative Africaine Atlantique lancée par S.M. le Roi (ministre des AE) || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l'Extérieur, Karamoko Jean Marie Traoré, a salué l'Initiative Africaine Atlantique lancée par SM le Roi Mohammed VI au profit des Etats du Sahel. || body : Dans une déclaration à la presse à l'issue de son entretien, samedi à Banjul, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita , le chef de la diplomatie burkinabè a indiqué que le Burkina Faso , "un pays enclavé", a accueilli favorablement cette Initiative Royale permettant aux pays du Sahel d'avoir un accès à l'Océan Atlantique . S.M. le Roi adresse un discours à la 15ème Conférence au Sommet de l'OCI Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a adressé un discours à la 15è Conférence au Sommet de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), dont les travaux se sont ouverts, samedi à Banjul (Gambie), sous le thème “Promouvoir l’unité et la solidarité à travers le dialogue pour le développement durable”. Il a affirmé que son pays est "intéressé à plus d'un titre" par cette Initiative Royale, soulignant que ses "contours techniques sont en train d'être révélés davantage" et qui portent non seulement sur l'accès physique, mais aussi sur d'autres types de facilités dont les pays enclavés ont besoin "pour que leurs économies soient performantes". Cette Initiative vient en articulation parfaite avec les politiques d'intégration qui sont mises en œuvre au niveau de l'Afrique de l'ouest, mais aussi au sein de l'Alliance des États du Sahel (AES), regroupant le Mali, le Burkina Faso et le Niger, a ajouté le ministre Burkinabè . Tout en saluant cette Initiative, le ministre a assuré que les experts de son pays "seront prêts", faisant savoir qu'une rencontre de consolidation se tiendra bientôt pour "essayer de décliner les contours" de l'Initiative. L'entretien entre le ministre marocain et son homologue burkinabè a porté sur le renforcement des relations bilatérales , ainsi que sur des sujets d'intérêt commun et la situation dans la sous-région, entre autres. L'entrevue, qui a eu lieu en marge des travaux de la 15ème session de la Conférence islamique au sommet, s'est déroulé en présence de l'ambassadeur, directeur général de l'Agence Marocaine de la Coopération internationale, Mohamed Methqal . M. Bourita a eu, lors de son séjour dans la capitale gambienne, une série d'entretiens avec plusieurs de ses homologues et responsables participant au Sommet islamique qui s'est ouvert samedi dans la capitale gambienne .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Plus de 200 enseignants suspendus présentés devant les conseils disciplinaires || subtitle : 202 enseignants suspendus ont comparu vendredi devant les conseils disciplinaires des douze Académies régionales d'éducation et de formation du royaume. De quoi raviver les contestations des syndicats qui s'opposaient à cette décision qu'ils jugent contraire à leur droit de grève. Ils n'ont d'ailleurs pas tarder à réagir pour exprimer le rejet de ce traitement des enseignants grévistes et appellent à une nouvelle vague de manifestation tout en appelant à une intervention du gouvernement pour annuler les sanctions et restaurer la paix sociale. || body : Le ministère de l'Education nationale est passé à l'action au sujet des enseignants suspendus suite aux grèves qui ont paralysé le secteur pendant des mois. Hier vendredi, ce sont 202 enseignants qui se sont présentés devant les conseils disciplinaires des douze académies régionales d'éducation et de formation du Maroc. Enseignants suspendus : un nouveau mouvement de protestation annoncé Le secteur de l'enseignement se dirige-t-il vers un nouveau blocage ? La Coordination nationale du secteur de l’enseignement, la Coordination unifiée du corps enseignant et des cadres de soutien, la Coordination du secondaire qualifiant et la Fédération nationale de l'enseignement ont annoncé un nouveau mouvement de protestation à partir de cette semaine. Une grève nationale est programmée lundi 22 avril 2024. Dans une déclaration à " Assahra Maghribia ", Abdellatif Moujahid, membre du bureau national de la Fédération Nationale de l'Enseignement, affiliée à la Confédération Démocratique du Travail (CDT), a dénoncé cette décision de la tutelle. Il a expliqué que "présenter ces enseignants de manière arbitraire devant les conseils disciplinaires manque de légitimité, étant donné que les intéressés ne faisait qu'exercer leur droit à la grève. Un droit d'ailleurs garanti par les lois nationales et internationales". Et d'ajouter que "cette action traduit une volonté de se venger des enseignants pour les amener à abandonner la réclamation de leurs droits". Il a également souligner que la Fédération rejettent totalement la décision de suspension des enseignants et des enseignantes, dont le nombre a atteint 545. Selon les données fournies par le responsable syndical , "245 enseignants, ayant rejoins leurs établissements, ont eu des avertissements, "ce que notre syndicat rejette catégoriquement et exige leur retrait, afin de ne pas affecter le dossier professionnel de ces personnes". Il a par ailleurs fait savoir qu'en réaction à cette action, le syndicat a décidé de lancer une série de mouvements de manifestations. «Nous appelons le ministère à faire prévaloir la raison et à retirer toutes les décisions de suspension afin de consolider la paix dans ce secteur. Autrement, les syndicats s’opposeront vigoureusement à toute décision disciplinaire par les commissions régionales», avait souligné Mohammed Khoufayfi, vice-secrétaire général de la Fédération nationale de l’enseignement (UMT) dans une déclaration accordée au «Matin». A noter que pour le ministère de tutelle, ces enseignants suspendus ont non seulement participé aux grèves organisées, mais ont également incité à des actes de violence. Une conclusion que les syndicats rejettent faute de preuves étayant ces accusations.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les propriétaires de cafés vent debout contre les allégations du Conseil de la concurrence || subtitle : La récente sortie du Conseil de la concurrence n’a pas laissé indifférente la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants. L’avertissement de l’institution concernant une éventuelle augmentation des prix des consommations dans les cafés a littéralement mis en rogne les professionnels du secteur. Et leur riposte n’a pas tardé. || body : Ahmed Rahhou s’est attiré les foudres des propriétaires et gérants des cafés . Et leur réponse ne s’est pas fait attendre. Au lendemain de la mise en garde du Conseil de la concurrence contre une éventuelle entente sur les prix des consommations entre professionnels du secteur, la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants a tenu un «conseil de guerre» pour préparer sa riposte. Celle-ci a été délivrée sous forme de communiqué, à travers lequel les professionnels ont protesté vigoureusement contre la sortie du Conseil. Une sortie «ratée» et «irresponsable», disent-ils. Prix des boissons dans les cafés: Le face à face professionnels/Conseil de la Concurrence Les rumeurs se sont intensifiées sur une éventuelle décision des propriétaires des cafés et restaurants... Il faut dire que les cafetiers n’y sont pas allés de main morte. Ils estiment que les propos du Conseil reflète une vision biaisée qu’ils espèrent passagère. C'est pourquoi ils ont tenu à signifier au Conseil qu'ils «connaissent et respectent la loi 104-12 sur la liberté des prix et de la concurrence» et qu'ils n'ont «pas besoin d'être rappelés à l'ordre». L’occasion aussi de l’informer que la Fédération a fait ce qu’il fallait en sensibilisant ses membres à ce sujet. L’ennemi est ailleurs Les professionnels n’ont pas non plus manqué d’exprimer leur étonnement face à la sortie du Conseil qui, selon eux, aurait mieux fait de s’intéresser à la source du problème, à savoir le cafouillage qui règne en maître dans le marché du café. Ils soulignent dans ce sens que le prix du café en grains a augmenté de 35% et qu’une seule société monopolise 99% du marché, et ce au vu et au su du Conseil de la concurrence qui a préféré diriger son «artillerie» sur le dernier et le plus faible maillon de la chaîne. La Fédération du secteur a rejeté avec force toute tentative visant à «distordre» l'image des professionnels, accusant l’institution en charge d'assurer la transparence et l'équité dans les relations économiques de vouloir «détourner l’opinion publique des véritables dysfonctionnement qui sévissent dans plusieurs grands secteurs, tels que les hydrocarbures , les télécommunications , les banques et les assurances». Dans le même sillage, la Fédération a dénoncé le mutisme «douteux» du Conseil à propos de la hausse fulgurante des prix des carburants qui a entraîné une flambée des prix de toutes les matières premières jusqu’à pratiquement 300%. Elle rappelle ainsi que l’inflation a causé la faillite d’un nombre non négligeable d’unités. Les professionnels pointent également l’inaction de l’institution face à la prolifération des restaurants et des cafés ambulants, et aussi face aux impôts «exceptionnels» qui obèrent les professionnels, entraînant l’effondrement d’un large pan du secteur. À ce titre, la Fédération a invité le Conseil à assumer ses responsabilités et à orienter son viseur vers les parties qui ont fait main basse sur le marché du café. Elle l’a également appelé à cesser de «regarder de haut» ce secteur pourvoyeur d’emplois qui constitue un pan important de l’économie nationale.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nadia Fettah représente S.M. le Roi au Sommet de l’Association internationale de développement || subtitle : La ministre de l'Économie et des Finances, Nadia Fettah, représente Sa Majesté le Roi Mohammed VI au 21ème Sommet de l’Association internationale de développement (IDA 21), dont les travaux se sont ouverts lundi à Nairobi. || body : Organisé conjointement par le gouvernement du Kenya et le Groupe de la Banque mondiale , le Sommet de l’Association internationale de développement est axé sur la question de la reconstitution des ressources de l'organisation et sur le soutien dont elle a besoin pour catalyser efficacement les investissements sur le continent. Réunissant plusieurs chefs d'Etat et de gouvernement africains, le Sommet vise à affirmer, auprès des donateurs de l' IDA et d'autres partenaires, les domaines prioritaires pour le financement du développement en Afrique . Il ambitionne notamment d'appeler les donateurs à envisager un niveau de financement nettement plus élevé afin de répondre aux défis et accompagner les opportunités de développement de l'Afrique. La délégation marocaine à ce sommet comprend également Mohamed Tarik Bichr , Conseiller spécial de Mme Fettah, Abdelmajid Mellouki , coordonnateur des relations avec le Groupe de la Banque Mondiale au sein du ministère de l'Economie et des finances, ainsi que de l' ambassadeur de S.M. le Roi au Kenya , Abderrazzak Laassel .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le débat sur le secret des travaux des Commissions parlementaires relancé || subtitle : Le débat autour de la confidentialité des travaux des commissions parlementaires est de nouveau relancé avec l’interdiction, mardi dernier, des représentants des médias dans la salle accueillant les travaux de la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme. Une décision prise par le bureau de la Commission et qui n’a pas manqué de créer une vive polémique entre les parlementaires de la majorité et ceux de l’opposition. || body : Le débat autour de la confidentialité des travaux des Commissions parlementaires revient en force avec la décision prise mardi dernier par le bureau de la Commission de la justice , de la législation et des droits de l’Homme d’interdire l’accès des journalistes à ses travaux. La Commission, qui avait entamé mardi dernier la discussion approfondie du très attendu projet de loi 02-23 relatif à la procédure civile, avait tenu une première réunion au cours de la semaine dernière. Une réunion qui avait connu la présence des représentants des médias, avant que le ministre de la Justice n’intervienne pour demander au président du bureau de la Chambre de mettre en œuvre les dispositions du règlement intérieur et celle de la Constitution relatives à la confidentialité des travaux des Commissions et donc d’exclure les journalistes. Code de déontologie des parlementaires : ce qu’en pense Mohamed Tozy À l'occasion du Symposium commémorant le 60e anniversaire de la constitution du premier Parlement élu au Maroc, Sa Majesté le Roi Mohammed VI avait adressé un message d'une importance capitale aux participants. Au cœur de ses directives, un appel clair à l'adoption d'un code de déontologie qui soit juridiquement contraignant pour les deux Chambres de l’institution législative, soulignant ainsi l'urgence de renforcer les fondements des institutions représentatives. Si le ministre s’est rétracté lors de la deuxième réunion tenue mardi dernier, laissant entre les mains des membres du bureau de la Commission la décision finale relative à l’interdiction de l’accès aux journalistes, il n’a pas manqué d’appeler les parlementaires à assumer pleinement leur responsabilité en cas de non-respect des dispositions en vigueur. Des propos qui n’ont pas manqué de créer une forte tension et une vive polémique au sein de la Commission entre les parlementaires de l’ opposition et ceux de la majorité . En effet, si les parlementaires du Rassemblement national des indépendants (RNI) et du Parti authenticité et modernité (PAM) ont insisté sur la nécessité de respecter le règlement intérieur en tenant la réunion à huis clos, les députés de l’opposition ont rappelé que les coutumes parlementaires voulaient que la discussion de ce genre de projet soit publique. Selon une source ayant pris part aux travaux de la Commission, le président du groupe parlementaire du Mouvement populaire à la Chambre des représentants, Driss Sentissi, avait souligné lors de son intervention que la Commission peut faire exception à la règle de confidentialité lorsqu’il s’agit de débattre d’un projet de loi intéressant une large frange de la population, comme c’est le cas pour le projet de loi relatif à la procédure civile. Pour sa part, la parlementaire Rabiaâ Bouja, du Parti de la justice et du développement (PJD), a rappelé dans son intervention que la coutume parlementaire instaurée depuis des années permet la levée de la confidentialité des travaux des Commissions lorsqu’il s’agit de projets de loi de grande importance. Il convient de souligner que malgré l’entrée en vigueur du nouveau règlement intérieur de la Chambre des représentants, les travaux des différentes commissions parlementaires sont restés ouverts à la presse au cours de la dernière session parlementaire, à l’exception de la Commission de la justice, qui a annoncé mardi dernier que toutes ses réunions consacrées à l’examen des textes relatifs à la procédure civile et pénale seraient désormais tenues à huis clos.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Grève dans les Facultés de médecine : les étudiants tendent la main au gouvernement || subtitle : La commission nationale des étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie a critiqué jeudi la «rupture par le gouvernement de tous les canaux de dialogue et son manque de volonté de résoudre la crise» qui se poursuit depuis plus de cinq mois dans le secteur de la santé, malgré les tentatives de médiation engagées par les parlementaires et les signes de bonne foi émis par les étudiants. La Commission, qui a mis en garde contre la circulation de fausses informations, notamment un éventuel consensus autour de 45 points sur les 50 défendus par les étudiants, a réitéré son appel à la réouverture du dialogue dans les plus brefs délais en vue d’éviter le scénario de l’année blanche. || body : Les étudiants en médecine , en médecine dentaire et en pharmacie ont réitéré jeudi, lors d’une conférence de presse organisée à Rabat, leur appel aux deux ministères de tutelle (Santé et Enseignement supérieur) pour relancer le dialogue avec leur commission nationale et éviter le scénario de l’année blanche. Ils ont rappelé à cette occasion que leur principal souci demeurait l’amélioration de la qualité de la formation afin de garantir aux étudiants l’acquisition de toutes les compétences nécessaires à la bonne pratique de leur métier au futur. «Contrairement à ce qui se dit ça et là, la principale préoccupation des étudiants n’est pas la réduction de la durée de formation à six ans au lieu de sept, mais l’impact de la mise en œuvre de cette décision sur la qualité de la formation, d'autant plus que la réorganisation des études à partir de la sixième année demeure floue», souligne Badr Douibi , membre de la commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et pharmacie. Facultés de médecine : éviter à tout prix une année noire (Billet) Plus qu'un métier, la médecine est une vocation. Et ceux qui l'ont choisie ne le savent que trop. C'est ce qui explique peut-être leur obstination à faire des études longues et difficiles. Mais le spectacle qu'offrent depuis des mois les facultés de médecine est désolant. Les grèves ininterrompues et le bras de fer entre étudiants et autorité gouvernementale n'augurent rien de bon. Il est temps d'écouter la voix de la raison et de faire primer l'intérêt de la Nation. Les futurs médecins méritent mieux. Après tout, ils sont la clé de voûte de la réforme du secteur de la santé. M. Douibi n’a pas manqué de dénoncer lors de son intervention la politique de «la sourde oreille» adoptée par le ministère de l’Enseignement supérieur à l’égard des revendications des étudiants et sa décision de dissoudre les bureaux des étudiants qui restent leur seul représentant légitime. Report de la marche nationale, un signe de bonne volonté Une semaine après la décision du report de la marche nationale, qui était prévue le 25 avril dernier, en signe de bonne volonté, la commission nationale des étudiants est revenue à la charge en organisant une conférence de presse pour réexpliquer les raisons ayant motivé la décision du boycott des cours et des examens et lancer un appel aux deux ministères pour relancer les discussions dans les plus brefs délais, afin de trouver un terrain d’entente et mettre fin à ce mouvement de protestation. «Les étudiants en médecine et en pharmacie se sont retrouvés contraints à s’engager dans un boycott total des cours, des stages et des examens. Ce boycott est resté ouvert dans l’espoir que les responsables s’intéressent à leur dossier et répondent favorablement à leurs revendications, qui restent en somme des revendications justes et légitimes, puisqu’elles portent essentiellement sur l’amélioration de la qualité de l’enseignement en médecine et en pharmacie dans le but de pouvoir offrir des services de santé à la hauteur des aspirations du citoyen marocain», explique pour sa part Saad Nakhwi , représentants des étudiants en pharmacie au sein de la commission nationale. D’après le même étudiant, le message fondamental de cette conférence de presse reste la disposition des étudiants à reprendre le dialogue dans l’immédiat afin de trouver des solutions qui arrangent les deux parties et éviter le scénario de l’année blanche. «Le dialogue est le seul moyen de trouver une solution qui satisfasse toutes les parties. La commission a participé à des débats visant à améliorer les conditions de la formation et son socle pédagogique. Cependant, les étudiants estiment que les réformes proposées par les ministères de tutelle sont insuffisantes et superficielles et ne tiennent pas compte des obstacles auxquels ils sont confrontés à la fois en Faculté et dans les hôpitaux», ajoute le même intervenant. Il convient de rappeler que cette conférence de presse s’inscrit dans le cadre d’un programme de protestation engagé par les étudiants en médecine en l'absence d’une réponse de la part des deux ministères de tutelle qui continuent, selon les membres de la commission, d’ignorer les revendications des étudiants. Des revendications qui portent essentiellement, rappelons-le, sur l’amélioration de la qualité de la formation et de l’encadrement au sein des stages, le renforcement des infrastructures et la mise en place d’un cahier pédagogique clair relatif à la réforme du troisième cycle, aussi bien pour la branche de la médecine que celle de la pharmacie.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan préside à Meknès l'ouverture de la 16ème édition du SIAM || subtitle : Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, lundi à Mechouar Stinia-Sahrij Souani à Meknès, la cérémonie d'ouverture de la 16ème édition du Salon International de l'Agriculture au Maroc (SIAM), organisée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, du 22 au 28 avril, sous le thème "Climat et agriculture : Pour des systèmes de production durables et résilients". || body : Au début de la cérémonie d’ouverture de la 16ème édition du SIAM , dont l’invité d’honneur est le Royaume d’ Espagne , S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a procédé à la remise de 3 certificats de reconnaissance des Signes Distinctifs d’Origine et de Qualité aux présidents des groupements de producteurs de produits de terroir labellisés au cours de la campagne 2023-2024. La durabilité et la résilience au cœur de la 16e édition du SIAM Du 22 au 28 avril 2024, la ville de Meknès vibrera au rythme du Salon international de l’Agriculture. Ayant pour thématique «Climat et Agriculture : pour des systèmes de production durables et résilients», cette 16e édition promet plein de nouveautés. La durabilité et l’innovation étant au cœur des préoccupations. Ainsi, le premier certificat a été remis à M. Abdelkrim Bayad , président de la Fédération des professionnels d'amandes de l'Oriental pour l'Indication géographique "Amandes Beni Snassen" (région de l'Oriental), alors que le deuxième a été remis à M. Mohamed El Hadi , président de la coopérative Ait Bouguemez des producteurs agricoles pour l'Indication géographique "Pomme de la Vallée Ait Bouguemez" (région Béni Mellal-Khénifra). Le troisième certificat a été remis à M. Abdessalam El Houadfi , directeur de la société "Le Petit Domaine SARL" pour le Label agricole "Oeufs de poules élevées en plein air". Par la suite, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a posé pour une photo souvenir avec les trois agriculteurs. Un des principaux axes de développement des produits dans le cadre du "Plan Maroc Vert" et de "Génération Green", le système de labellisation a pour objectifs la promotion de la qualité des produits de terroir et la valorisation du savoir-faire des populations locales, le développement des zones rurales et l'amélioration du revenu des agriculteurs, la protection des produits de terroir de qualité contre toute usurpation, ainsi que la promotion d'une agriculture en zone rurale capable de préserver la biodiversité et les ressources naturelles. A l’entrée du Salon, Son Altesse Royale a été salué par M. Luis Planas , ministre de l'Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation du Royaume d’Espagne, les personnalités représentant les pays étrangers invités ( France, Roumanie, Tchéquie, Bénin, Burundi, Côte d'Ivoire, Eswatini, Gabon, Gambie, Guinée-Bissau, Guinée Équatoriale, Libye, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, Soudan et Soudan du Sud ), ainsi que par Mme Josefa Leonel Correia Sacko , Commissaire à l'économie rurale et à l'agriculture de la Commission de l'Union Africaine. Par la suite, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a visité les différents pôles du Salon et suivi des explications sur les produits exposés, notamment le pôle "Régions", avant de poser pour une photo souvenir avec les présidents des conseils des régions. Son Altesse Royale a également visité les stands "Eau et irrigation" et "Recherche et Innovation" au pavillon "Génération Green" du ministère de l'Agriculture, de la Pêche, du Développement rural et des Eaux et Forêts et les Pôles des "Institutionnels", "Produits du terroir", "lntrants élevage", "Elevage", "Agri-Digital" et "International". Au pôle "Agro-alimentaires", S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan a suivi la projection d’une vidéo immersive sur les aspects de la digitalisation de l'agriculture avant de se rendre aux pôles "Agro-fournitures" et "Machinisme". Erigé à la place "Sahrij Souani" sur une superficie de 12,4 Ha, le SIAM , qui connaît la participation de 70 pays et de 1.500 exposants avec 40 conférences et tables rondes au programme, promet d'être une expérience enrichissante pour les professionnels et le grand public. Il propose aux visiteurs une panoplie de produits et un machinisme agricole de dernière génération, à même de promouvoir la production agricole et animale et valoriser les secteurs clés de l'économie régionale, dont l'agroalimentaire et son corollaire l'industrie alimentaire. L’édition 2024 du SIAM est marquée par l'introduction d'un nouveau Pôle "Agri-Digital", illustrant le rôle des technologies digitales au service d’une agriculture plus performante et plus résiliente, l’extension importante du pôle "Produits du terroir", valorisant la diversité agricole marocaine, et l’introduction du E-ticket pour améliorer les conditions d’accès. Au fil des éditions, le SIAM a réussi le pari de se positionner comme événement phare du Maroc en général et de son agriculture en particulier. Il a acquis une dimension panafricaine de premier plan et est devenu la grand-messe des professionnels du secteur à l’échelle du continent. A son arrivée au Salon, S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan avait passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d’être salué par le ministre de l'Agriculture, de la Pêche, du Développement rural et des Eaux et Forêts, le wali de la région Fès-Meknès, le président du conseil de la région Fès-Meknès, le gouverneur de la préfecture de Meknès, le président du conseil préfectoral de Meknès, le président du conseil communal de Meknès, le président de la commune Mechouar Stinia, le président de la chambre régionale de l'agriculture Fès-Meknès, le président et les membres du conseil d'administration et les sponsors du SIAM, le président de la fédération des chambres de l'agriculture et le président de la confédération marocaine de l'agriculture et du développement rural.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Performance logistique : le Maroc régresse, doit redoubler d'efforts || subtitle : En matière de performance logistique, le Maroc est appelé à redoubler d’efforts pour gagner la bataille d’une concurrence de plus en plus ardue. Le rapport intitulé «Agility Emerging Markets Logistics Index 2024» a fait ressortir une régression du Royaume dans le classement. || body : Selon un rapport publié le mardi 6 février 2024 par le groupe logistique koweïtien Agility et le cabinet de recherche spécialisé Transport Intelligence, le Maroc, l’Égypte et l’Afrique du Sud sont les marchés émergents font état des meilleures performances logistiques en Afrique. Seulement, si sur les 14 pays africains considérés comme étant des marchés émergents, deux ont gagné des places par rapport à l’édition 2023 : l’Égypte (+1) et l’Angola (+1), six pays ont stagné (Afrique du Sud, Kenya, Ouganda, Éthiopie, Mozambique, Libye) alors que six autres pays dont le Maroc ont régressé. Les configurations logistiques mondiales changent, le Maroc doit suivre Les investissements consentis depuis une vingtaine d’années dans les infrastructures ont permis au secteur du transport et de la logistique d’enregistrer un énorme développement. Ce qui a permis à l’économie nationale d’avoir une certaine compétitivité et une résilience. Seulement, de nombreux défis restent à relever. Le rapport, intitulé « Agility Emerging Markets Logistics Index 2024 », classe les 50 principaux marchés émergents du monde en matière de compétitivité logistique en se basant sur 22 indicateurs qui les rendent attrayants pour les prestataires logistiques, les transitaires, les transporteurs aériens et maritimes, les distributeurs et les investisseurs. Ces indicateurs sont regroupés dans quatre catégories : les opportunités logistiques domestiques, les opportunités logistiques internationales, le climat des affaires et l’état de la préparation à la numérisation. À noter que l’Égypte, avec un score de 5,04 points, se place en pole position à l’échelle continentale et occupe la 20e place sur l’ensemble des 50 marchés émergents couverts dans ce classement qui évalue les performances logistiques des pays sur une échelle allant de 0 à 10 points. À l’échelle de l’ensemble des marchés émergents couverts par l’étude, la Chine conserve le premier rang avec un score de 8,61 points. L’Inde arrive en deuxième position devant les Émirats arabes unis, la Malaisie et l’Indonésie. D’ailleurs, même l’indice de performance logistique (IPL) 2018 publié par la Banque mondiale a révélé une détérioration du classement du Maroc qui a perdu 23 places par rapport à son classement de 2016 (86e). Cet indice jauge comment les chaînes d’approvisionnement connectent les entreprises à leurs marchés nationaux et internationaux. Il repose sur une note globale de 1 à 5 (la note la plus élevée représentant la meilleure performance) qui reflète les perceptions relatives à la logistique d’un pays sur la base de critères clés : la compétence logistique, la qualité de l’infrastructure des échanges, l’environnement douanier, le coût des expéditions internationales et le respect des délais de livraison. Le rapport IPL 2023 qui a couvert 139 pays contre 160 auparavant n’a pas abordé le Maroc. À souligner que le classement du Royaume n’a cessé de chuter au fil des éditions, puisque le Maroc est tombé du 50e rang en 2012 au 86e en 2016 puis au 109e rang dans le classement 2018. Le coût logistique à réduire Force est de noter que pour les pays en développement, l’amélioration de la logistique passe par celle de leurs infrastructures, de leurs procédures douanières, de leur niveau de compétences logistiques et de leurs réglementations. Pour dire que le Maroc a beaucoup de retard à rattraper en matière du rythme de mise en œuvre de la stratégie de développement de la compétitivité logistique. Une compétitivité logistique au ralenti ne favorise aucunement le tissu productif, et encore moins le tissu industriel. Considéré comme vital, ce secteur demeure le noyau de toute activité. Ainsi, le renforcer davantage ne peut que se répercuter positivement sur le tissu productif. Mais avec un coût logistique à hauteur de 19% du PIB, la compétitivité n’est toujours pas au rendez-vous, car il était prévu, parmi les grands axes de la Stratégie nationale de logistique dont le Maroc s’est doté il y a une dizaine d’années, de réduire le coût logistique à 15%, ce qui permettrait d’accélérer la croissance économique de 0,5 point de PIB par an. Une avancée qui pourrait éventuellement alléger le fardeau des industriels quant aux frais de transport qui impactent lourdement la compétitivité des opérateurs aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Conseil de gouvernement : Six nouvelles nominations à de hautes fonctions || subtitle : Le Conseil de gouvernement, réuni jeudi 4 avril 2024, sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, a approuvé des propositions de nomination à de hautes fonctions, conformément à l'article 92 de la Constitution. || body : Conseil de gouvernement : Cinq nouvelles nominations à de hautes fonctions Le Conseil de gouvernement, réuni jeudi sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, a approuvé des propositions de nomination à de hautes fonctions, conformément à l'article 92 de la Constitution. Il a été procédé aux nominations suivantes : Au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation : Mohammed Bellachhab , Doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Béni Mellal. Ahmed Barakat , Doyen de la Faculté des sciences et techniques de Béni Mellal. Au niveau du ministère de la Transition énergétique et du Développement durable : Abderaouf Benabbou , Directeur des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Bouzekri Razi , Directeur de l'évaluation et du contrôle environnementaux et des affaires juridiques. Au niveau du ministère de la Solidarité, de l'Insertion Sociale et de la Famille : Hicham Belmaati , Directeur de l'Institut national de l'action sociale. Au niveau du ministère délégué chargé de la Transition numérique et de la Réforme de l'administration : Karima Khaldoun , Directrice du développement de l'utilisation de la langue amazighe.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Réforme des études de médecine : le plaidoyer de Mohamed Ahallat, ex-doyen de la Faculté de médecine de Tanger || subtitle : La réforme du cursus des études en médecine marque une véritable restructuration et réunit tous les ingrédients nécessaires à sa réussite, dont avant tout l'engagement du gouvernement. Voilà l'avis de l'ancien doyen de la Faculté de médecine et de pharmacie de Tanger, Pr Mohamed Ahallat, qui estime que si les étudiants sont préoccupés par la réduction de la durée des études de 7 à 6 ans, cela ne doit pas pour autant motiver le boycott des cours, au point de faire planer le risque d'une année blanche. || body : Si la préoccupation des étudiants en médecine porte essentiellement sur la réduction du nombre d'années de formation, alors il faut leur expliquer qu'il s'agit d'un problème pédagogique qui nécessite une solution pédagogique, ce qui est tout à fait possible. En aucun cas, cela ne doit pas servir de motif pour boycotter les cours, souligne le professeur Ahallat, qui va même jusqu'à soutenir que la septième année s’avère peu avantageuse pour les étudiants. Bien pire, des étudiants perdent de leur niveau à la fin de cette année d’externat, tandis que d'autres assimilent des pratiques qui vont à l'encontre de l'éthique médicale. Une vraie réforme disposant de tous les ingrédients nécessaires à sa réussite Pour l'ancien doyen de la Faculté de médecine et de pharmacie de Tanger, qui s’exprimait lors d’une conférence organisée par le secteur des étudiants du Parti du progrès et du socialisme (PPS) sous le thème «L’avenir de la formation médicale au Maroc», cette réforme a tous les ingrédients nécessaires à sa réussite, notamment l'engagement du gouvernement. Et ses concepteurs avaient même songé à une formation qui dure cinq ans au lieu de six, a-t-il précisé, rappelant que partout dans le monde, la formation dure six ans (France, Allemagne, Espagne, etc.). Un autre avantage de cette réforme tient aux mesures d'accompagnement, indique Dr Ahallat, assurant que toutes les Facultés ont été dotées des postes budgétaires nécessaires. Pour lui, le gouvernement agit de manière concrète avec cette réforme, basée sur l'efficacité, afin de disposer d'un médecin en six ans pour un coût moindre. Et de faire valoir que cette réforme est aussi commandée par un souci d'équité, dans le cadre de la médecine de proximité, notamment avec l'introduction de la médecine de famille. «Il faut faire preuve de rationalité» L'ancien doyen de la Faculté de médecine et de pharmacie de Tanger a par ailleurs appelé à la rationalité et à considérer cette réforme comme une opportunité à saisir pour améliorer les conditions de formation. Il a également noté que les CHU ne constituent pas les structures idéales pour la formation des étudiants, dans la mesure où les futurs médecins ne seront pas affectés toute leur vie aux CHU. Bien au contraire, ils vont exercer dans les hôpitaux régionaux et provinciaux, et l'idéal serait donc d'effectuer un stage dans le lieu où le futur médecin exercera, sous la supervision bien évidemment d'un professeur de l'enseignement supérieur, dit-il. Dans un autre ordre d'idées, Dr Ahallat estime que cette réforme devrait s'accompagner de la suppression du temps plein aménagé (TPA) pour les enseignants des Facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire. La formation des enseignants est un problème majeur, compte tenu du fait que l'enseignement est un métier distinct qui nécessite une formation propre et que la formation traditionnelle, basée sur des cours magistraux, a fait son temps et est devenue obsolète, fait-il remarquer. Les exigences des étudiants en médecine ne se limitent pas à la seule durée de leur formation Intervenant au nom de la commission nationale des étudiants en médecine et en pharmacie, Dr Aymane Fathi a rappelé que la valorisation des ressources humaines reste un pilier très important dans la mise en œuvre de la couverture médicale universelle et dans l'amélioration de la qualité de l'offre de soins. Faisant référence au conflit qui secoue actuellement les Facultés de médecine et de pharmacie, il a déclaré que la rupture du dialogue avec les étudiants et leur commission nationale n'était pas une bonne décision de la part des responsables. Il a également souligné que les mesures de sanction n'ont fait qu'accroître la tension parmi les étudiants, qui ne demandaient qu'à dialoguer pour discuter des points litigieux. D'après lui, les revendications des étudiants ne doivent pas être réduites à la seule réduction de la durée des études, mais elles portent sur des points qui n'ont pas été résolus depuis le lancement de la réforme en 2015. Ces points de discorde concernent également les conditions de formation dans le contexte de l'augmentation du nombre de médecins, le troisième cycle et la médecine de famille, ainsi que d'autres questions qui restent sans réponse, fait-il observer.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch présente le bilan de mi-mandat du gouvernement ce mercredi au Parlement || subtitle : Le Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, présentera le bilan de mi-mandat de l'Exécutif mercredi prochain devant les parlementaires. || body : La Chambre des représentants et la Chambre des conseillers tiendront ce mercredi une séance plénière conjointe pour présenter le bilan d'étape de l'action du gouvernement . Parlement : La présentation du bilan du gouvernement reportée Initialement programmée pour ce mercredi, la séance de présentation du bilan de mi-mandat du gouvernement devant les parlementaires a été reportée. La séance, tenue conformément aux dispositions de l'article 101 de la Constitution, débutera à 16h00 dans la grande salle de la Chambre des représentants, selon un communiqué conjoint des deux chambres.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Bank Of Africa prend une participation dans le capital de Bank of Palestine || subtitle : Bank of Africa prend une participation de 1,24% dans le capital de Bank of Palestine, institution qui pèse 40% du PIB du pays et 33% de part de marché. Le partenariat entre les deux groupes inclut également une prise de participation ultérieure de BOP dans le capital de BOA ainsi qu’une coopération bancaire multidimensionnelle. Selon Othman Benjelloun, cette opération qui a reçu la Haute Approbation de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI traduit la sollicitude constante de notre Souverain envers le peuple palestinien. || body : Ni la situation de guerre, ni l’instabilité de la région, encore moins les destructions subies n’ont dissuadé Bank of Africa (BoA) de prendre pied en Palestine , en prenant 1,24% du capital de la principale banque de Palestine, conglomérat bancaire et financier dont les actifs représentent 40% du PIB du pays, premier employeur et premier réseau bancaire avec une centaine d’agences et une part de marché de 33%. « C’est un message d’espoir et de confiance qu’envoie BoA aux investisseurs et un signal fort donné en temps de guerre, prélude au redressement et à la reconstruction de notre pays », a déclaré Hashim SHAWA , président de Bank of Palestine (BoP), qui a indiqué que cette opération traduit la Haute Sollicitude de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI envers le peuple palestinien , rappelant la présidence du Souverain du comité Al-Qods et ses multiples bienfaits. Pour sa part, Othman Benjelloun a rappelé que les discussions entre les deux banques avaient démarré il y a 2 ans et qu’elles ont été interrompues ces derniers mois, pour aboutir en ce moment où l’on espère un cessez le feu. Quatre dimensions caractérisent cette opération : Une participation croisée dans chacune des deux banques. Celle de BoA a été réalisée le 6 mai et celle de BoP interviendra ultérieurement ; Une coopération bancaire multidimensionnelle , essentiellement en matière de financement des échanges (trade finance) avec l’ouverture de lignes de financement et de confirmation, le financement des TPME, les échanges d’expériences et la gestion de patrimoine en plus de l’accompagnement de la diaspora palestinienne au vu du savoir-faire de BoA pour les Marocains du monde; La promotion de l’investissement et du marché palestinien , avec la conduite de délégations d’hommes d’affaires et la mise à profit de la plateforme BoA dans les différents pays de présence pour promouvoir la Palestine, à un moment où la reconstruction et les infrastructures demanderont des allocations importantes de capitaux ; Une coopération culturelle à travers le soutien à Bayt Al-Maghrib et la co-édition d’un ouvrage sur les deux villes déjà jumelées : Al-Qods Asharif et Fès. BoA et BoP fortement engagées pour leurs communautés Fondées presque au même moment (BoA en 1959 – BoP en 1960), les deux banques partagent les mêmes valeurs. BoP alloue 5% de ses bénéfices à des actions citoyennes, notamment sociales, culturelles, éducatives et médicales. Son conseil d’administration vient de mettre en place une enveloppe de 40 millions de dollars (2 millions par an sur 20 ans) pour venir en aide aux orphelins de la guerre de Gaza. Pour sa part, BoA à travers sa fondation pour l’éducation et l’environnement contribue fortement à ces deux secteurs. Son réseau d’écoles compte 309 établissements d’enseignement, prenant en charge 22.000 élèves et étudiants sur le territoire national.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Focus à Washington sur la dynamique de développement économique au Maroc || subtitle : L'ambassade du Maroc à Washington a organisé vendredi son deuxième dîner-débat annuel sous le thème «Économie marocaine, défis et perspectives», en présence de la ministre de l'Économie et des finances, Nadia Fettah, et ce en marge des Réunions de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI), qui se sont tenus du 15 au 20 avril dans la capitale fédérale américaine. || body : Cette rencontre a vu la participation notamment du sous-secrétaire adjoint américain au Commerce pour le Moyen-Orient et l'Afrique, Thomas Bruns, du sous-secrétaire d'État adjoint, Joshua Harris, de responsables d'influents think tanks US, de compétences marocaines de la Banque mondiale et du FMI, outre des acteurs du secteur privé et représentants des agences de financement du développement basées aux États-Unis. Ont également pris part à cet événement le président du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies et représentant permanent du Maroc à Genève, Omar Zniber, des membres de la délégation marocaine participant aux réunions des deux institutions financières internationales, ainsi que des parlementaires et plusieurs autres acteurs de la société civile. Youssef Amrani met en avant à Washington le modèle marocain de tolérance et de coexistence religieuse L'ambassadeur du Maroc aux États-Unis, Youssef Amrani, a mis en avant, à l’occasion d’une conférence initiée lundi à Washington par le prestigieux think tank «American Foreign Policy Council», le modèle marocain singulier en termes de tolérance et de coexistence religieuse ainsi que le rôle de garant de la liberté de culte que joue S.M. le Roi Mohammed VI en tant que Commandeur des croyants. Dans son allocution, l’ambassadeur du Maroc aux États-Unis, Youssef Amrani, a mis en avant les avancées économiques enregistrées par le Royaume, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, faisant du Maroc aujourd’hui un modèle de résilience et de gestion post-crises. M. Amrani, qui a particulièrement souligné le rôle important que pourraient jouer les experts marocains de la Banque mondiale et du FMI, a également mis en valeur le capital humain précieux qu’ils représentent pour le Royaume qui peut bénéficier de leur expertise et de leur réseau dans plusieurs domaines. Le diplomate a, par ailleurs, évoqué le partenariat stratégique solide et multiforme liant le Maroc aux États-Unis dans la promotion des ambitions communes, tant au niveau bilatéral que multilatéral. Comme S.M. le Roi l'a souligné dans le message aux participants aux réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale tenues à Marrakech en octobre dernier, appelant à la réforme des institutions et des règles régissant le multilatéralisme, il est impératif d'entreprendre, de repenser, remodeler et reconstruire le multilatéralisme, tout en assurant une plus grande représentation du Sud global, a conclu l'ambassadeur. Intervenant lors de cette rencontre, la ministre de l’Économie et des finances a mis en avant la trajectoire de réformes tous azimuts engagées au Maroc sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Cette dynamique réformatrice s’appuie sur une Vision Royale inscrite dans la durée, a-t-elle fait valoir, notant que le nouveau modèle de développement en cours de concrétisation au Maroc est le fruit de cette stratégie prospective, d’institutions solides ainsi que d’un processus inclusif impliquant toutes les parties prenantes. Parmi les réformes majeures, la ministre a évoqué la consolidation des fondements de l’État social, notamment à travers la mise en œuvre du Chantier Royal de la protection sociale, via la généralisation de l’assurance maladie obligatoire de base au profit des catégories démunies, ainsi que l’opérationnalisation de l’aide sociale directe. «Aujourd'hui, quatre millions de personnes bénéficient de ces transferts, une avancée rendue possible grâce à la mise en place d'un solide système de Registre national unifié», a-t-elle précisé. Évoquant la performance de l’économie marocaine, Mme Fettah a fait observer que le Royaume a fait preuve de résilience malgré un contexte marqué par la montée de l’inflation et les répercussions de la pandémie de la Covid-19 et du séisme d’Al Haouz. Elle a rappelé que la croissance de l’économie marocaine s’est établie à 3,2% en 2023, alors qu’elle doit se chiffrer à 3,4% cette année. Par ailleurs, la ministre s’est félicitée du partenariat solide liant le Maroc à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international, qui est fondé sur la confiance pour accompagner les stratégies de développement initiées par le Royaume dans divers domaines.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Rabat et Paris pour un partenariat économique en phase avec les défis mondiaux || subtitle : Organisée par la CGEM et le Mouvement des entreprises de France (MEDEF) sous le thème «Ensemble vers un élan renouvelé des opportunités économiques et sociales», une Rencontre économique Maroc-France a réuni, vendredi à Rabat, plus de 500 acteurs économiques des deux pays. C’était l’occasion de renouveler l’engagement de Rabat et Paris à donner une nouvelle impulsion à leur partenariat économique. || body : Le Maroc et la France peuvent envisager de nouvelles collaborations sur des initiatives économiques tournées vers l'avenir et répondant aux enjeux mondiaux actuels, a souligné vendredi à Rabat la ministre de l'Économie et des finances, Nadia Fettah . S'exprimant lors de l'ouverture de la Rencontre économique Maroc-France , Mme Fettah a cité comme initiative plus particulièrement le développement des énergies renouvelables, un domaine où le Maroc a réalisé des avancées significatives, notamment dans le solaire et l'éolien. Maroc-France : Pour un partenariat mutuellement bénéfique Dans ce sillage, elle a relevé que la France , pionnière dans les technologies vertes, peut apporter son expertise pour renforcer ces efforts, notant que le domaine de la transformation digitale offre des opportunités pour la création de startups et l'innovation permettant aux deux pays d'œuvrer ensemble afin de stimuler l'économie numérique. «La mobilité durable est un autre secteur où nos visions se rejoignent, avec des initiatives communes pour promouvoir des transports respectueux de l'environnement et réduire notre empreinte carbone», a affirmé la ministre, soulignant que ces collaborations pourraient non seulement contribuer à la croissance économique des deux pays, mais également avoir un impact positif sur l’Afrique et le reste du monde. Face à des défis mondiaux, comme la transition énergétique, la lutte contre le réchauffement climatique ou la mobilité durable, «notre capacité à les surmonter dépendra également du niveau de collaboration et du renouveau de notre partenariat commun sur des bases rénovées, équilibrées et mutuellement bénéfiques», a-t-elle soutenu. De son côté, le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) , Chakib Alj, a souligné l'importance de mettre en place de nouveaux fondements pour renforcer les relations économiques entre le Maroc et la France, dans le cadre d'un partenariat mutuellement bénéfique. Il a, en outre, mis l'accent sur la mobilisation du secteur privé marocain , mais aussi celle des compétences et entrepreneurs marocains établis en France pour accompagner l'essor majeur de l'économie marocaine, en accélérant la cadence de l’investissement sur l'ensemble du territoire national et en tissant de nouveaux partenariats solides, fiables et «gagnant-gagnant». Par ailleurs, M. Alj a indiqué que cette rencontre économique était une occasion propice pour des échanges francs et pragmatiques autour des challenges à relever ensemble et des réponses et solutions à formuler, tout en capitalisant sur tout ce qui a été déjà réalisé. Bruno Le Maire : Le Maroc et la France ont aujourd’hui l’occasion de réinventer leur modèle de partenariat économique Pour Bruno Le Maire, ministre français de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Rabat et Paris font face aux mêmes défis économiques. Le haut responsable français, qui effectue une visite de travail au Maroc, cite à cet égard notamment la sécurisation des chaînes de valeur, la décarbonation, le défi climatique, la transition numérique... «Il nous appartient de redéfinir nos stratégies et nos complémentarités économiques et de réinventer des logiques gagnant-gagnant, qui sont les seules possibles», explique-t-il dans un entretien accordé au «Matin». Tout en rappelant que sa visite s’inscrit dans le cadre de la relance de la relation entre les deux pays, M. Le Maire précise qu’en matière de partenariat économique, une nouvelle feuille de route est en train de mûrir. L’ambition étant de «mettre en œuvre l’objectif de nos deux Chefs d’État, qui est celui d’un profond renouvellement et d’une modernisation résolue de la relation franco-marocaine.» Le Maroc, un choix stratégique pour la France La France a fait le choix stratégique de renforcer ses liens économiques avec le Maroc dans le contexte des évolutions mondiales post-Covid, notamment sur le plan géopolitique et de la réorganisation des chaînes de valeur, a indiqué, vendredi à Rabat, le ministre français de l’Économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire . S'exprimant à l'ouverture de la Rencontre économique Maroc-France , M. Le Maire a exprimé la volonté de son pays de coopérer avec le Royaume du Maroc dans divers domaines, particulièrement celui des énergies propres, notamment solaire, l'éolien et l'hydrogène vert. Il a également fait part du souhait de la France de collaborer avec le Maroc dans le développement des infrastructures de transport énergétique et dans la production de l'énergie nucléaire, mais aussi d'élargir davantage la coopération entre les deux pays dans les secteurs ferroviaire, aéronautique et automobile. Pour sa part, le président du Mouvement des entreprises de France , Patrick Martin , a relevé que la rencontre économique Maroc-France revêt une importance capitale et s'inscrit dans le renouvellement des relations économiques entre les deux pays, ajoutant que ses entretiens avec son homologue marocain ont constitué une opportunité pour souligner l'importance cruciale de la diplomatie économique. Conscients de la puissance et du rôle central que le Maroc occupe désormais en tant que hub vers l'Afrique, le président du MEDEF a émis le vœu de voir les entreprises marocaines continuer à travailler avec les entreprises françaises, dans une perspective de bénéfices mutuels. Organisée par la Confédération générale des entreprises du Maroc et le MEDEF, sous le thème «Ensemble vers un élan renouvelé des opportunités économiques et sociales», cette rencontre a réuni plus de 500 leaders économiques marocains et français.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Ce qu'il faut savoir sur les préparatifs du 18e congrès national de l’Istiqlal || subtitle : À quelques jours du 18e congrès national du Parti de l'Istiqlal, la commission nationale préparatoire vient de mettre la dernière main aux préparatifs de cette grand-messe. Entre validation du slogan du congrès, adoption du calendrier des congrès régionaux, répartition et élection des délégués et autres décisions cruciales, rien n'a été laissé au hasard afin de faire de ce rendez-vous une étape charnière dans la vie du parti fondé en 1943 par Allal El Fassi. || body : Le compte à rebours est officiellement lancé pour le 18e congrès national du Parti de l'Istiqlal. Lors de sa réunion tenue dimanche 14 avril 2024 à Salé, la commission préparatoire nationale a parachevé la feuille de route de ce grand rendez-vous politique. Sous la houlette de son président Abdeldjabbar Rachdi, en présence du secrétaire général Nizar Baraka et des membres du comité exécutif, les travaux se sont déroulés «dans un esprit positif» et ont été marqués par une «discussion responsable et sérieuse», selon le communiqué publié à l'issue de la réunion. Un slogan fédérateur pour réaffirmer les priorités Parmi les décisions phares prises dans un esprit de consensus, l’adoption du slogan officiel du congrès. Après d'intenses discussions, le verdict est tombé à l'unanimité : «Renouvellement du pacte pour la patrie et le citoyen». Chargé de symboles, ce slogan traduit la volonté du parti de rassembler les militants autour des priorités. «Nous voulons réaffirmer notre engagement indéfectible envers le Maroc et les citoyens, en donnant un nouveau souffle à notre action», a expliqué un cadre du comité exécutif. L'Istiqlal tiendra son 18ème congrès national du 26 au 28 avril Le Conseil national du Parti de l'Istiqlal, réuni ce samedi 2 mars à Bouznika, a décidé de la date de la tenue du 18ème congrès national, prévu du 26 au 28 avril. Autre décision majeure prise à l’issue de la réunion de dimanche dernier : les dates des congrès régionaux ont été fixées. Ainsi, après validation des dates en commission, ces congrès se tiendront du 18 au 20 avril prochain à travers le Royaume. Une étape décisive pour préparer sereinement le grand conclave national qui se déroulera les 26, 27 et 28 avril 2024 à Bouznika. Quant à la question de la représentativité lors cette grand-messe politique, la commission préparatoire semble avoir tout prévu. À commencer par le nombre de délégués qui sera de 3.600, répartis équitablement entre les différentes régions selon des critères précis. «Le poids démographique, les scores réalisés lors des derniers scrutins législatifs et communaux ainsi que la présence territoriale du parti ont été pris en compte pour assurer une représentation juste et équilibrée de toutes les sensibilités», a tenu à souligner la commission dans son communiqué final. En outre, une liste des «chargés de mission» par le comité exécutif représentant 5% des délégués élus a été approuvée, conformément aux dispositions de l'article 99 des statuts du parti. La feuille de route validée, rien n'est laissé au hasard Au cours de cette réunion marathon, les membres de la commission préparatoire ont par ailleurs entériné l'ensemble des projets de rapports élaborés par les différentes commissions sectorielles. L'unité territoriale, les affaires politiques et régionales, la gouvernance locale, l'économie, le développement durable, les références et la culture, la communication, les questions sociales, la jeunesse et le sport, la diaspora et l'immigration, la famille, la femme et la parité... autant de projets de rapports qui seront présentés lors du prochain congrès, sans oublier les propositions de la commission des statuts et des règlements. Tous ces dossiers brûlants ont été soigneusement passés au crible. Les règles du jeu ont été également clairement définies s’agissant du dépôt des candidatures aux différentes instances dirigeantes. Un délai de 48 heures a été accordé pour les postulants au poste de secrétaire générale à partir de la publication du règlement adopté à ce sujet, tandis que pour la candidature au comité exécutif, la date butoir est fixée à 72 h avant l'ouverture du congrès. Il est à souligner que pour se porter candidat au poste de secrétaire général, les postulants doivent avoir déjà été membres du comité exécutif, selon les statuts du parti. De même, pour se porter candidat au comité exécutif, les candidats doivent avoir déjà siégé au sein du conseil national et avoir assumé des responsabilités au sein des organes du parti pendant au moins quatre ans. Mais tout porte à croire qu’il n’y aura pas candidat surprise, étant donné que les membres du parti, alignés principalement autour de deux courants, s’étaient mis d’accord pour soutenir la candidature du secrétaire général sortant, Nizar Baraka. Ce dernier, une fois élu, aura, selon nos informations, de larges prérogatives, notamment en matière de proposition de la liste des noms à figurer dans la composition de la prochaine direction de l’Istiqlal. Le chemin semble balisé pour faire de ce 18e congrès un rendez-vous réussi et un tournant majeur dans la vie du doyen des partis politiques marocains.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara marocain : l’axe Paris-Rabat, plus stratégique que jamais || subtitle : Comme pour marquer une nouvelle progression dans le réchauffement des relations entre Paris et Rabat, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, s’est rendu mardi dernier à Paris où il a été reçu par son homologue français, Stéphane Séjourné, au Quai d’Orsay. Dans un post publié sur X, le chef de la diplomatie française a déclaré, dans le sillage de cette visite, que «la relation entre la France et le Maroc est unique». Au fond, Paris se fait toujours attendre sur une reconnaissance claire de la marocanité du Sahara. || body : Le bal diplomatique franco-marocain annonce de nouvelles perspectives pour les relations bilatérales entre les deux pays. Avec la visite du chef de la diplomatie marocaine à Paris et les visites récentes ou à venir de ministres français au Maroc, la dynamique de ces relations connaît un nouvel élan. Quant à la question de la reconnaissance de la marocanité du Sahara, une position claire de Paris se fait toujours attendre. Le soutien du Quai d’Orsay aux projets d’investissement dans les provinces du Sud, synonyme de reconnaissance économique, laisse-t-il augurer une reconnaissance politique ? La reconnaissance de la marocanité du Sahara reste la grande question en suspens Pour le professeur d’études stratégiques au Collège de défense nationale des Émirats arabes unis à Abou Dhabi, Mohamed Badine El Yattioui, «ce qui est intéressant, ce sont les réactions et les commentaires de la diplomatie française. En revanche, il n’y a eu aucun commentaire ou réaction officielle de la part de Nasser Bourita ou de ses services du ministère des Affaires étrangères concernant son récent déplacement à Paris». Il est intéressant aussi de voir cette dynamique du côté français, avec un certain nombre de ministres qui se sont rendus ou se rendront au Maroc dans les prochaines semaines, notamment le ministre de la Culture, le ministre de l’Agriculture et le ministre de l’Intérieur, ce qui témoigne d’une volonté française de sortir de la froideur qui marque les relations entre Rabat et Paris depuis plus de deux ans, souligne également au «Matin» M. Badine El Yattioui. La France vise un partenariat économique renouvelé avec le Maroc Le ministre français du Commerce extérieur, Franck Riester, affirme l’engagement de la France à raviver son partenariat avec le Maroc, en mettant l’accent sur le renforcement des relations économiques et commerciales. La signature de la concession de service public de Business France à la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc marque une étape importante dans cette démarche, visant à stimuler les échanges bilatéraux et à encourager la coopération dans divers secteurs clés, avec une attention forte accordée aux PME. «Nous avons eu des annonces intéressantes de la part de Franck Riester, confirmées du côté français avec la volonté de participer au développement économique des provinces du Sud et la volonté d’y investir via Proparco, qui est une filiale de l’Agence française de développement (rattachée au Quai d’Orsay)», indique le professeur d’études stratégiques, ajoutant qu’«on a donc cette volonté d’agents publics et privés de participer au développement du Sahara marocain, ce qui marque une dynamique nouvelle». En revanche, fait-il observer, «il n’y a rien sur la reconnaissance diplomatique de la marocanité du Sahara par le gouvernement français, ce qui représente la grande question en suspens, puisque d’autres partenaires comme les États-Unis, l’Espagne et d’autres pays européens comme l’Allemagne et la Belgique ont franchi ce pas, sans parler d’Israël, qui a reconnu la marocanité du Sahara en juillet 2023». Et de poursuivre que «du côté français, on a l’impression qu’il y a une volonté de substituer la participation et la coopération économique dans cette région marocaine à la reconnaissance claire de sa marocanité sur le plan diplomatique dans le cadre de la relation bilatérale, et aussi au-delà au niveau du soutien au Plan d’autonomie aux Nations unies, chose qui serait très importante et très positive pour le Royaume, étant donné que la France est l’un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité». «On a vu que le chef de la diplomatie française, Stéphane Séjourné, a clairement repoussé cette question dans son interview à France 24, en disant que c’était au chef de l’État français, Emmanuel Macron, d’en discuter avec Sa Majesté pour avancer sur ce dossier. Il n’a pas souhaité prendre position», rappelle M. Badine El Yattioui, faisant remarquer que «l’Algérie, principal soutien du Polisario, pourrait avoir une réaction très négative à l’égard de la France et aussi, d’une certaine manière, créer une crise avec Paris, et c’est ce que la France veut éviter». Et d’affirmer «que les Français veulent avancer avec le Maroc. Ils se rendent compte que le Maroc en général, et les provinces du Sud en particulier, sont en train de se développer avec une prolifération des projets et une volonté de développer tout un tas de secteurs comme les infrastructures ou les énergies (secteur dans lequel la France veut se positionner pour le projet de nucléaire civil marocain pour la production d’électricité ou le dessalement). Il y a une volonté française de ne pas perdre pied au Maroc, car l’Espagne, depuis le changement de sa position concernant le Sahara marocain, a intensifié ses relations économiques, commerciales et ses investissements au Maroc. La France ne veut pas être larguée. On sait aussi que les États-Unis veulent investir dans les provinces du Sud, tout comme les Émirats arabes unis. La France sait que les deux ans de relations diplomatiques froides lui ont fait perdre de l’influence et une capacité à discuter avec les interlocuteurs publics et privés marocains et que cela nuit aussi bien à l’État français en termes d’influence qu’aux entreprises françaises qui ont besoin de ces parts de marché à l’international». Et le professeur d’études stratégiques de conclure qu’«il y a une dynamique claire du côté français qui vient très certainement du Président Macron, puisque ce sont ses ministres qui interviennent à chaque fois ou qui vont intervenir, et on voit que ce qui est la clé pour le Maroc, à savoir la reconnaissance diplomatique claire de la marocanité du Sahara, se fait attendre. Est-ce que cette reconnaissance se fera dans un second temps ou est-ce qu’il y a une volonté de gagner du temps et de continuer à entretenir cette ambiguïté ? Seul l’avenir nous le dira». Les relations franco-marocaines entrent dans une phase cruciale De son côté, le professeur de sciences économiques, sociales et politiques à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, Dr Talal Cherkaoui, indique au «Matin» que «la relation entre la France et le Maroc est en train d’entrer dans une phase cruciale, marquée par des engagements économiques profonds et des discussions politiques stratégiques». Les investissements français dans les provinces du sud du Maroc ne sont pas seulement des projets de développement, «ils symbolisent une avancée significative vers une reconnaissance implicite de la marocanité du Sahara. Cette implication économique pourrait potentiellement se transformer en un appui politique plus explicite dans les années ou les mois à venir», estime Dr Talal Cherkaoui. De l’avis du professeur de Sciences économiques, sociales et politiques, «les investissements français dans le Sahara marocain, tels que le projet de ligne haute tension entre Dakhla et Casablanca, sont des indicateurs clairs d’un soutien non seulement économique mais également politique». «Proparco, filiale du groupe Agence française de développement (AFD), spécialisée dans le soutien au secteur privé, ne se contente pas de financer une infrastructure essentielle en participant à ce projet, elle investit dans la stabilité et le développement des provinces du Sud. Ce type d’engagement suggère une reconnaissance de facto de la gouvernance marocaine sur son territoire, précédant souvent les reconnaissances diplomatiques formelles», souligne Dr Talal Cherkaoui. Par ailleurs, ce rapprochement entre la France et le Maroc suscite des jalousies, et la réaction algérienne aux démarches françaises envers le Maroc révèle une tension accrue, fait remarquer le professeur. «L’Algérie, qui supporte le Polisario, voit dans l’engagement français une menace directe de sa position sur le dossier du Sahara marocain. Les médias algériens, souvent en écho aux positions officielles, ont vivement critiqué la France, interprétant son soutien au développement économique du Sahara marocain comme un soutien politique au Maroc. Cette réaction illustre le rôle que la France joue désormais dans le dossier du Sahara marocain, où son influence pourrait contribuer à redéfinir les alliances et les oppositions régionales», explique-t-il. Et de dire que les rencontres de haut niveau, comme celle entre Stéphane Séjourné et Nasser Bourita, ne se limitent pas à des discussions politiques superficielles. Elles couvrent des domaines aussi divers que la sécurité, la culture et l’économie, signe d’une relation bilatérale qui se densifie. L’approfondissement de ce dialogue est crucial : il prépare le terrain pour des accords plus formels et pourrait même influencer la politique internationale envers le dossier du Sahara marocain. Le rôle de médiateur que la France semble adopter renforce sa position en tant que puissance influente en Méditerranée et en Afrique du Nord. Ainsi, poursuit Dr Talal Cherkaoui, si les actions économiques sont souvent les précurseurs des décisions politiques, l’engagement de la France dans le Sahara marocain pourrait bien être le prélude à une reconnaissance officielle de la marocanité du Sahara. Un tel développement serait historique, redéfinissant non seulement les relations franco-marocaines, mais influençant également la dynamique du Maghreb et la politique des puissances mondiales vis-à-vis du dossier du Sahara marocain. La progression de la France dans la reconnaissance de la marocanité du Sahara, observe le professeur, peut avoir des implications profondes pour la région. «Un soutien européen accru au Maroc dans ce dossier pourrait encourager d’autres nations à reconsidérer leur position, aboutissant potentiellement à une solution plus stable et pacifique pour la région. De plus, cela pourrait renforcer le Maroc dans son rôle de puissance régionale, capable de négocier sur des bases plus solides avec ses voisins et au sein des forums internationaux». Et Dr Talal Cherkaoui de souligner que «le rapprochement économique et politique entre la France et le Maroc sur la question du Sahara marocain n’est pas juste une série d’accords bilatéraux. C’est l’indicateur d’un changement géopolitique potentiel qui pourrait affecter positivement la stabilité et l’ordre politique de toute la région du Maghreb. La suite des événements dépendra de la manière dont ces engagements seront perçus et gérés tant au niveau régional qu’international, mais une chose est certaine : l’axe Paris-Rabat est plus stratégique que jamais».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Grèves dans les Facultés de médecine : les étudiants en pharmacie veulent mener leur combat à part || subtitle : Depuis la fin de la semaine dernière, les étudiants en pharmacie multiplient les sit-in devant les Facultés de médecine et de pharmacie pour appeler le ministère à traiter leur dossier revendicatif séparément de celui des étudiants en médecine et en médecine dentaire. Une démarche qui pourrait augurer des premières fissures dans le mouvement de protestation que mènent les futurs professionnels de la santé depuis 4 mois. || body : Assistera-t-on bientôt aux premières discordances dans le mouvement de protestation que mènent les étudiants en médecine et en pharmacie depuis plus de 4 mois contre la détérioration de leurs conditions de formation ? S’il est difficile d’apporter une réponse tranchée à cette question, des indices montrent que la cohésion et l’esprit de solidarité ayant caractérisé ce mouvement depuis son lancement sont sérieusement menacés. Car c’est la première fois depuis le démarrage des grèves que les étudiants en pharmacie haussent le ton pour exiger des deux ministères de tutelle que leur dossier soit traité séparément de celui des étudiants en médecine. Les futurs pharmaciens ont organisé, vendredi dernier, un sit-in devant la Faculté de médecine de Casablanca , suivi d’un deuxième organisé mardi à la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat . Lors des deux manifestations, ils ont appelé le ministère à plancher sérieusement sur leurs doléances qui «restent indépendantes de celles formulées par les étudiants en médecine et en médecine dentaire». Grève des étudiants en médecine : appel à l’unité pour résoudre la crise Le Syndicat indépendant des médecins du secteur public a brisé le silence en exprimant sa solidarité avec les étudiants des Facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire, en grève depuis plusieurs semaines. Le syndicat a appelé les départements concernés à agir de manière raisonnable et sage pour trouver rapidement des solutions aux problèmes en suspens. Les étudiants en pharmacie ont des revendications différentes «Les étudiants en pharmacie sont une minorité au sein des Facultés de médecine. Leur nombre ne dépasse pas 1.700 étudiants sur les 23.000 que comptent les Facultés de médecine. Ayant des revendications différentes de celles des étudiants en médecine, ils ne cachent plus leur disposition à rompre leur mouvement de protestation si le ministère décide de relancer le dialogue, d’autant plus qu’ils ne sont pas concernés par la suppression de la septième année de formation, qui constitue le principal point de discorde entre les étudiants en médecine et le ministère de tutelle», déclare une étudiante en pharmacie qui a préféré garder l’anonymat. Selon la même étudiante, le ministère de l’Enseignement supérieur s’était déjà réuni le 23 février dernier avec les représentants des étudiants en pharmacie et avait formulé un certain nombre de propositions qui auraient pu aboutir si le département de M. Miraoui n’avait pas refusé de sanctionner cette rencontre par un procès-verbal contenant les propositions formulées. Cette attitude n’était pas de nature à dissiper la défiance des futurs pharmaciens qui ont décidé par conséquent de poursuivre leur mouvement de protestation. La qualité de la formation universitaire en jeu S’agissant des principales revendications des étudiants en pharmacie, elles portent essentiellement sur la relance du dialogue avec le ministère autour de l’amélioration de la qualité de la formation, surtout après l’augmentation actée du nombre des étudiants inscrits dans cette branche qui a quasiment doublé au cours des deux dernières années. Les étudiants appellent également le département de tutelle à mettre en place un cahier pédagogique relatif à la réforme du troisième cycle de pharmacie et au renforcement des stages programmés à la cinquième année. «La hausse du nombre des étudiants ne s’est pas accompagnée d’un renforcement des structures de formation ni de l’acquisition du matériel nécessaire pour la conduite des travaux pratiques, ce qui se répercute sur la qualité de la formation et pourra créer des lacunes dans les compétences acquises. Il en est de même pour les stages dont bénéficient les étudiants en pharmacie inscrits en cinquième année et qui restent insuffisants pour qu’ils puissent parfaire leur formation», conclut la même étudiante.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara : Le Libéria réaffirme son soutien au plan d'autonomie marocain || subtitle : La République de Libéria a réaffirmé, jeudi à Rabat, son soutien à l'intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur l'ensemble de son territoire, y compris le Sahara marocain. Cette position a été exprimée dans un communiqué conjoint publié à l'issue des entretiens entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, et la ministre des Affaires étrangères libérienne, Sara Beysolow Nyanti. || body : Dans un communiqué conjoint publié à l'issue de ses entretiens avec Nasser Bourita , la ministre des Affaires étrangères libérienne, Sara Beysolow Nyanti a réitéré le soutien de son pays à l’initiative d’autonomie , présentée par le Royaume en 2007, qui constitue la seule solution crédible et réaliste pour la résolution du différend autour du Sahara marocain . Dans ce sens, elle a salué les efforts des Nations Unies en tant que cadre exclusif pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable au différend autour du Sahara marocain . Sahara marocain : comment l'Initiative Atlantique conforte la position du Maroc (Talal Cherkaoui) Pour parvenir à une solution définitive au conflit artificiel autour du Sahara marocain, le Maroc adopte une approche multidimensionnelle. Outre la voie diplomatique et des négociations, Rabat joue la carte de la coopération économique et de la croissance partagée. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les deux chantiers majeurs que sont le Gazoduc Maroc-Nigeria et l’Initiative Royale visant à favoriser l’accès des pays du Sahel à l’océan Atlantique. Pour le Royaume, l’intégration régionale ne peut que favoriser l’intégration politique et, partant, sonner le glas du séparatisme. Dr Talal Cherkaoui, professeur de sciences économiques, sociales et politiques à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, semble convaincu de la pertinence de cette démarche. Dans un entretien accordé au «Matin», il revient sur la portée géostratégique de la politique du Maroc dans ses relations avec le Sahel et l’Afrique subsaharienne, ainsi que sur le lien entre le développement et la stabilité dans cette région qui fait l’objet de toutes les convoitises. Se félicitant de cette décision, Bourita a remercié la partie libérienne pour son soutien constant et ferme à l'intégrité territoriale du Maroc, notamment sa position claire en faveur de la marocanité du Sahara , qui a été confortée par l’ouverture, en mars 2020, d’un Consulat général du Libéria à Dakhla et la participation de ce pays, le 15 janvier 2021, à la Conférence ministérielle de soutien à l'initiative d'autonomie sous la souveraineté du Maroc , à l'invitation du Royaume et des Etats-Unis d'Amérique. Par ailleurs, précise la même source, Mme Nyanti a souligné le rôle des provinces du sud du Royaume en tant que hub africain majeur, appelant à faire de l'expérience de ces provinces une base en vue de l'élaboration et de la mise en œuvre d'une politique de développement pour l'ensemble de l'Afrique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Chakib Benmoussa, Younes Sekkouri et Nadia Fettah répondent aux questions des conseillers || subtitle : None || body : Chakib Benmoussa, Younes Sekkouri et Nadia Fettah répondent aux questions des conseillers.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-Émirats arabes unis : l’Histoire et l’avenir en partage || subtitle : À l’occasion d’un séminaire scientifique organisé à Fès, experts marocains et émiratis ont disséqué les multiples facettes des relations privilégiées unissant les deux pays frères. Un exercice inédit qui donnera lieu à la publication d’un ouvrage de référence. || body : Le lundi 22 avril 2024, un important séminaire scientifique sur les relations entre le Maroc et les Émirats arabes unis s’est tenu à l’Université euro-méditerranéenne de Fès. Cet événement de grande envergure a été organisé conjointement par l’Institut Royal des études stratégiques (IRES), l’Université et le bureau du Pr Jamal Sanad Al-Suwaidi, ministre conseiller auprès du Cabinet présidentiel et conseiller de S.A. Cheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane. À cette occasion, de prestigieux intervenants des deux pays ont analysé les multiples aspects des liens solides existant entre le Royaume et l’État émirati. Des trajectoires similaires, des visions complémentaires Les idées et réflexions développées lors de cette rencontre ont couvert quatre axes principaux. Le premier axe, intitulé «les temps des débuts», porte sur l’histoire des relations entre le Maroc et les Émirats arabes unis, notamment les liens distingués entre Feu S.M. le Roi Hassan II et Feu Son Altesse Cheikh Zayed Ben Sultan Al-Nahyane. Ces relations se sont poursuivies et ont été entretenues par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Son Altesse Cheikh Mohammed Ben Zayed Al-Nahyane, président des Émirats arabes unis. Maroc-Émirats : des liens indéfectibles forgés par deux fondateurs visionnaires La relation d'exception entre le Royaume du Maroc et l'État des Émirats arabes unis a été célébrée lors d'une conférence de haut niveau tenue lundi à Fès. Cet événement phare a réuni des personnalités marocaines et émiraties de premier plan autour du thème «Entre le Maroc et les Émirats arabes unis : des visions en matière de développement et de construction institutionnelle». Ce volet, développé par le Pr Jamal Sanad Al-Suwaidi, a mis en lumière les similitudes entre ces deux personnalités, comme en témoignent leur parcours scolaire commun au Maroc, leur vision et leur engagement à servir leurs citoyens. Ces similitudes ont également été mis en avant par l’universitaire Tenkoul Abderrahman, responsable du cursus sur la diversité culturelle méditerranéenne à l’Université euro-méditerranéenne. Ce dernier s’est longuement attardé sur les choix faits par les deux dirigeants en matière de gouvernance, leur attachement à l’autonomie et la neutralité de leur pays, et leur approche en matière de diplomatie et des relations internationales. Le défi du développement et de la construction Le deuxième axe abordé lors du séminaire scientifique a porté sur «les visions et les politiques publiques dans les deux pays». Ce volet a pris plus de temps que les trois autres axes. Du côté marocain, le directeur général de l’IRES a fait un exposé exhaustif intitulé «Entre le Maroc et les Émirats arabes unis : des visions en matière de développement et de construction institutionnelle sous la conduite éclairée, respectivement, de S.M. le Roi Mohammed VI et de S.A. Cheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane». À cet égard, le haut responsable a mis en lumière les stratégies de développement et de construction institutionnelle adoptées par le Maroc depuis l’intronisation de S.M. le Roi en 1999. Il a également mis l’accent sur les fondements du Royaume, notamment l’importance du pacte d’allégeance et de l’identité marocaine diverse, qui sont des piliers essentiels pour l’édification d’un État marocain fort et moderne. Selon Tawfik Mouline, le Maroc a adopté un modèle national singulier, initié par le Souverain, visant à renforcer les bases d’une société démocratique, à promouvoir la modernisation de la gouvernance locale, le respect des droits de l’Homme et l’engagement vers une citoyenneté active. M. Mouline a également exposé les efforts du Maroc pour intégrer les normes internationales en matière de développement durable, avec des initiatives telles que l’Initiative nationale pour le développement humain lancée en 2005 et divers programmes visant à améliorer le niveau de vie dans les provinces du Sud. Deux acteurs majeurs des relations internationales Le directeur de l’IRES a par ailleurs évoqué la position du Maroc sur la scène internationale, mettant l’accent sur les nouveaux paradigmes de la diplomatie marocaine. Il a expliqué comment le Maroc a établi un nouveau rapport au monde reflétant l’importance du continent africain dans sa politique extérieure. Cette nouvelle orientation a été soutenue par des politiques telles que la régionalisation avancée et l’autonomie des provinces du Sud, positionnant le Maroc comme un acteur clé dans les discussions internationales sur le changement climatique et la sécurité. Dans sa communication, le directeur général de l’IRES a réaffirmé aussi l’engagement du Maroc envers une gouvernance démocratique stable et inclusive. Il est également revenu sur les nombreuses réalisations et chantiers initiés par S.M. le Roi à tous les niveaux. Pour sa part, le président du Centre de la langue arabe d’Abou Dhabi et secrétaire général du Prix Zayd pour le livre, Ali Ben Tamim, a mis en avant les actions menées par Cheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane pour la promotion de la culture et du livre arabe, citant la traduction de plus de 1.000 ouvrages par quelque 700 traducteurs spécialisés, le soutien à la langue arabe, les Prix du livre et l’organisation des salons du livre... Il a également mentionné des actions en faveur de la durabilité, de la protection de la planète, du renforcement du vivre ensemble et de la paix... Les clés d’une diplomatie apaisée et influente Le troisième axe abordé avait trait à «la politique étrangère et le principe de coopération commune et la paix internationale en tant que principale stratégie suivie par les deux États dans la prise de décision et dans les relations internationales». Du côté marocain, cet axe a été développé par l’ancien ministre de l’Emploi, Abdeslam Seddiki, et du côté émirati par le chef du département de science politique à l’Université des EAU ainsi que le président du Conseil international de tolérance et de paix aux EAU, Ahmed Ben Mohamed Al Jarouane. Le dernier axe, animé par Abdelhak Azzouzi, président de la chaire Alliance des civilisations à l’Université Euromed de Fès, a porté sur «l’expérience constitutionnelle et les facteurs de stabilité». Il est revenu à cette occasion sur les similitudes entre les Lois fondamentales des deux pays. nUn ouvrage collectif en projet Les réflexions et analyses présentées lors de ce séminaire seront publiées dans un ouvrage collectif. Ce projet, présenté comme le premier ouvrage relatant les relations entre les deux pays, oblige les intervenants à soumettre par écrit leurs analyses aux organisateurs, après les avoir présentées oralement lors du séminaire scientifique. Ce livre d’environ 300 pages, qui devrait paraître dans un mois aux éditions françaises L’Harmattan, sera publié en arabe. Le choix de cette maison d’édition française s’explique par le fait qu’elle a déjà un accord de partenariat avec l’Université euro-méditerranéenne.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : L’Afrique que nous voulons ne sera pas possible sans démocratie (Bankole Adeoye) || subtitle : Pour le commissaire aux Affaires politiques, à la paix et à la sécurité de l'Union africaine (UA), Bankole Adeoye, «la démocratie africaine est tributaire d’un processus électoral juste et équitable qui porte la voix du peuple». M. Adeoye intervenait en ouverture du séminaire «Élections et démocratie en Afrique : nouvelles perspectives, leçons apprises et meilleures pratiques», organisé jeudi à Rabat par la Commission de l'UA et le Policy Center for the New South (PCNS). || body : Continent de tous les défis, mais aussi de toutes les opportunités, l’ Afrique fait encore face à des difficultés d’ordre démocratique. En effet, si certains pays du continent parviennent à mener leur transition démocratique, d’autres n’arrivent toujours pas à franchir le cap. Une situation qui pousse les observateurs à poser la question sur l’avenir de ce concept au niveau continental. Pour le commissaire aux Affaires politiques, à la paix et à la sécurité de l' Union africaine (UA), Bankole Adeoye , «la démocratie africaine est tributaire d’un processus électoral juste et équitable qui porte la voix du peuple». Pourquoi l’Afrique atlantique doit prendre son destin maritime en main Alors que les tensions mondiales façonnent les nouvelles réalités géopolitiques, l'océan de l'Afrique Atlantique, avec ses promesses et ses tumultes, était au centre des débats hier à Rabat. Des experts de Policy Center for the New South (PCNS), des chercheurs, des sécuritaires et des spécialistes se sont penchés ce jour-là sur les opportunités et les défis des espaces maritimes de l'Afrique atlantique, une région au potentiel immense, mais non exempt de problèmes. Ils ont abordé tour à tour l'Initiative Royale pour le Sahel, la coopération Sud-Sud, la sécurité et les enjeux géoéconomiques, la mer que comme facteur de puissance… Ils ont été unanimes à souligner l’impérieuse nécessité pour l’Afrique de prendre en main son avenir maritime. Prononçant le mot d’ouverture du séminaire « Élections et démocratie en Afrique : nouvelles perspectives, leçons apprises et meilleures pratiques», organisé jeudi à l’ Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) de Rabat par la Commission de l'UA et le Policy Center for the New South (PCNS), le diplomate a assuré que les élections constituent souvent un défi, mais restent le seul moyen de choisir les leaders. Refusant de donner une définition à la démocratie, le responsable africain a affirmé que ce concept renvoyait notamment aux meilleurs services de santé et d’éducation. Il est aussi la voie vers des infrastructures et des services publics de qualité, favorisant l’intérêt général de la population. Par ailleurs, M. Adeoye a fait savoir que la démocratie n’est pas quelque chose de statique. Elle est en progrès continu, a-t-il assuré, en affirmant que «l’Afrique que nous voulons ne sera pas possible sans démocratie». Dans le même sens, le diplomate a insisté sur le fait que la paix en Afrique n’est pas envisageable sans instauration de règles démocratiques. Prenant également la parole à l’occasion de l’ouverture de ce séminaire, le président exécutif du PCNS, Karim El Aynaoui , a insisté, de son côté, sur le rôle des élections pour assurer des transitions politiques pacifiques et équitables dans les pays africains. Pour y parvenir, une efficacité organisationnelle et une transparence à toutes les étapes du processus électoral sont nécessaires. C’est le moyen de susciter l'adhésion de la population, a assuré l’universitaire. À rappeler que cette rencontre est organisée en parallèle avec la troisième édition du Cycle de formation spécialisée des observateurs africains des élections et qui sera clôturée ce vendredi à Rabat. La question de l’observation des élections a d’ailleurs été l’une des plus abordées lors de cette rencontre.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Ordre des architectes : les raisons d'une mésentente avec le gouvernement || subtitle : Alors que son mandat 2021-2024 s’achève, l’Ordre national des architectes se prépare à tenir son assemblée générale annuelle. Ce rendez-vous institutionnel crucial sera l’occasion de dresser le bilan et d’explorer les pistes à même de promouvoir la profession qui cherche à relever des défis réglementaires persistants. || body : Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir du corps des architectes marocains . En ce week-end, les architectes du Royaume se retrouveront en assemblée générale ordinaire pour un rendez-vous primordial. L’enjeu est de taille : clôturer un mandat riche en rebondissements tout en impulsant une nouvelle dynamique à la profession. Le tout dans un contexte marqué par des crispations avec les autorités de tutelle. «Cette assemblée marque la fin de notre mandat 2021-2024. C’est l’occasion de dresser un bilan», nous confie Chakib Benabdallah , président de l’ Ordre national des architectes , sur un ton empreint de gravité. Mais si M. Benabdallah revendique des «réalisations positives au profit du corps des architectes », sa fierté n’en demeure pas moins mêlée d’une certaine amertume. Construction des ouvrages : la durabilité, une obligation de moyens sur la durée LafargeHolcim a organisé, en partenariat avec LPEE et l’École Hassania des travaux publics, un séminaire sur l’approche performantielle de la durabilité des ouvrages. Un événement qui a permis de tracer les dernières avancées en la matière, les défis à relever par l’écosystème des professionnels ainsi que les perspectives identifiées à ce jour. Car aux réalisations accomplies viennent se greffer d’inextricables difficultés avec le gouvernement . «Malheureusement, il y a aussi des points négatifs en relation avec les pouvoirs publics», déplore le président de l’Ordre, pointant du doigt à cet égard le ministère de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville , ainsi que le Secrétariat général du gouvernement (SGG) . Architectes vs gouvernement : Divergences au sujet du code du devoir professionnel «Le ministère de l’Habitat , qui est en principe notre département de tutelle, n’accompagne pas comme il faut les ambitions de notre Ordre. Il y a des textes de loi qu’on souhaitait voir adoptés, mais qui tardent à voir le jour. On comptait beaucoup sur le ministère pour nous aider dans ce sens, mais cela n’a pas été le cas. Je ne dis pas que rien n’a été fait, mais avec le Conseil actuel de l’Ordre, on voulait faire énormément de choses, mais on n’a pas eu le répondant qu’on voulait», regrette-t-il. Le désaccord porte essentiellement sur un épineux dossier, celui de l’adoption du «code du devoir professionnel» des architectes . Un texte que l’Ordre a proposé il y a plus d’un an, mais qui peine à voir le jour face aux réserves du SGG et du ministère de tutelle. «Ils veulent que nous le fassions comme ils le voient eux, alors que c’est notre code déontologique !» s’insurge Chakib Benabdallah qui déplore «des retards et des blocages à ce niveau». Autre pomme de discorde : la révision de la loi 16.89 régissant la profession qu’il trouve d’ailleurs désuète à bien des égards. Si l’Ordre milite pour des amendements, le SGG prône carrément une refonte complète du texte. Une option que rejette fermement le président qui, s’exprimant au nom des architectes, «craint qu’on nous sorte un texte inadapté». Par ailleurs, l’obligation du stage avant l’exercice effectif du métier ne fait pas consensus. «C’était une exigence dans les textes actuels, mais le ministère et le SGG refusent de la rendre applicable. Pourtant nous estimons que le stage est crucial dans une profession comme la nôtre», souligne le président. Autant dire que les débats seront riches lors de cette assemblée générale annuelle. D’autant qu’il est question d’un scrutin pour un nouveau Conseil de l’Ordre. Bien que ce point ne soit pas inscrit à l’ordre du jour, un renouvellement des instances dirigeantes est à prévoir. L’Ordre a récemment lancé un appel à candidatures, ouvrant ainsi la voie à un nouveau mandat de cette instance. >> Lire aussi : Séisme d’Al Haouz : les leçons d’un drame analysées par trois experts Reconstruction d’Al Haouz : les doléances des architectes Au-delà des divergences avec le gouvernement , les architectes reprochent également à l’Exécutif son approche face à la catastrophe naturelle d’ Al Haouz . Lors de ce douloureux séisme, le corps avait «mobilisé plus de 450 de ses membres pour le recensement et la reconstruction», mais selon Chakib Benabdallah , «les actions sont parties dans tous les sens» côté ministériel, avec notamment «des autorisations livrées sur la base de plans types, sans respect du patrimoine rural». Une démarche à l’opposé des principes prônés par la profession, regrette-t-il.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin attendu le 21 avril au Maroc || subtitle : Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin, se rendra prochainement à Rabat pour une visite officielle de travail de trois jours. Selon des médias français, cette visite portera principalement sur le développement de la coopération en matière de sécurité entre le Maroc et la France. || body : Le ministre entamera sa visite au Maroc le 21 avril, indiquent certains médias français. Au programme de cette visite, une série de rencontres avec des membres du gouvernement. Le 22 avril, une rencontre est prévue avec le ministre marocain de l'Intérieur, Abdeloufi Laftit pour discuter de divers sujets, notamment la lutte contre la criminalité organisée et la coopération dans la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue . Cinq ministres français en visite au Maroc au cours de ce mois Cinq ministres français se rendront au Maroc durant ce mois d'avril. Le ministre français de l’Agriculture, Marc Fesneau, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin et le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, figurent dans la liste des visites officielles. Gérald Darmanin devra également s'entretenir avec le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Tawfiq . Cette rencontre sera axée sur des sujets relatifs à l'Islam et à la formation des imams .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les écoles primaires bientôt équipées de 60.000 coins de lecture (ministère) || subtitle : Le ministre de l’Éducation Nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa s’est rendu, mardi, au sein de l’école Hay Essalam Salé afin d’accompagner et appuyer l’opération d’équipement en coins de lecture de toutes les classes des écoles primaires à travers le Royaume. || body : Cette année, 60.000 coins de lectures , dont 25.000 dans "les écoles pionnières ", recevront une dotation initiale de 50 ouvrages chacun, en arabe et en français, comprenant des histoires, des albums, des encyclopédies, des dictionnaires et des bandes dessinées, indique un communiqué du ministère de l’Éducation Nationale, du Préscolaire et des Sports , précisant que cette dotation préliminaire pourra être enrichie grâce à la contribution volontaire des familles, des associations et des partenaires. Projet national de lecture : Remise des prix aux lauréats de la 1ère édition La première édition du Projet national de lecture (2022-2023), placée sous le thème "Le Maroc, aux couleurs du savoir", s'est clôturée, dimanche à Rabat, avec la remise des prix aux lauréats de ce concours, organisé par le ministère de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, en collaboration avec la Fondation émiratie de la recherche scientifique. Cette initiative permettra aux élèves du primaire d’avoir accès à une bibliothèque de classe avec un programme d’accompagnement pour que l’ activité de lecture devienne une réalité quotidienne dans la vie des élèves aussi bien dans les classes que dans le temps extrascolaire. Elle souligne également l’importance accordée à la lecture dans l’ amélioration des apprentissages des enfants , l’un des trois objectifs stratégiques de la feuille de route 2022-2026 pour une école publique de qualité pour tous , relève la même source, notant que dans l’ensemble des établissements du primaire, ces livres seront utilisés dans les rituels de lecture généralisés en début d’année. Depuis la rentrée 2023-2024 , les premiers résultats dans les écoles pionnières , montrent que la focalisation sur les apprentissages fondamentaux a permis de renforcer les aptitudes des élèves en lecture au niveau du décodage, de la fluence et de la compréhension. Ces enfants sont désormais mieux outillés pour profiter pleinement des vertus de la lecture : acquérir plus de connaissances, enrichir le vocabulaire, développer la créativité, échanger des idées, etc. L’accès aux livres est une fenêtre sur le monde qui contribue de manière décisive à l’épanouissement scolaire, personnel et social des élèves. Pour renforcer les initiatives et projets nationaux existants pour faire aimer la lecture aux enfants, un nouveau programme à caractère ludique est mis en place: "Le défi des champions : je vais lire 20 livres par an", souligne la même source, relevant que ce programme est expérimenté dans un premier temps dans les écoles pionnières. Et d’ajouter que chaque semaine, l’ enseignant affecte un livre à l’ élève qui peut le lire à l’école ou à la maison. La gestion de la bibliothèque de classe s’appuie sur une charte qui implique les élèves et contribue au développement de comportements coopératifs et civiques. Un carnet de lecture est mis en place pour permettre aux élèves de restituer leur expérience de lecture à travers des productions écrites et graphiques. Des exposés et des discussions en classe sont prévus pour stimuler l’échange d’idées et l’expression des opinions. Les avis des élèves seront systématiquement pris en compte dans le choix des livres qui seront acquis pour les coins de lecture futurs. Une des conditions de réussite de cette opération est l’implication des parents qui doivent veiller au bon usage des livres. Dans les écoles pionnières, les livres sont en cours de distribution aux élèves afin qu’ils puissent les lire durant les vacances débutant le 26 avril, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pedro Sanchez souligne l’excellence des relations de coopération avec le Maroc || subtitle : Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a souligné, mercredi au Congrès des députés, l’’’excellence’’ des relations de coopération avec le Maroc dans tous les domaines, assurant que sa dernière visite au Royaume, en février dernier, a donné une nouvelle dynamique aux liens bilatéraux. || body : ‘’Nous entretenons une excellente coopération avec le Maroc notamment en matière de lutte contre le terrorisme, l’immigration illégale et les mafias s’activant dans le trafic d'êtres humains’’, a dit M. Sanchez lors de la session plénière du Congrès de la Chambre basse. Maroc-Espagne : l’essentiel de la visite de Pedro Sanchez Le Président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a effectué, mercredi, une visite de travail à Rabat. Reçu par S.M. le Roi Mohammed VI au Palais Royal de Rabat, M. Sanchez a tenu une conférence de presse au terme de sa visite. Revêtant une grande importance sur les plans politique et stratégique, elle a été l’occasion pour le haut responsable ibérique de réitérer la position, sans ambiguïté, de soutien de l’Espagne au plan d’autonomie. M. Sanchez a également profité de cette occasion pour annoncer des investissements espagnols au Maroc d'environ 45 milliards d'euros d'ici 2050. Il a relevé que cette coopération s'étend également aux domaines culturel et sportif, comme l'illustrent ‘’le développement du réseau de l'Institut Cervantès au Maroc et l'organisation de la Coupe du monde de football avec le Maroc et le Portugal en 2030’’. M. Sanchez s’est également félicité de l’’’amélioration’’ de la coopération en matière sécuritaire, financière et commerciale entre les deux pays. ‘’Nous sommes le premier fournisseur commercial du Maroc, qui est une plateforme de croissance intéressante pour les entreprises espagnoles, où de grands projets sont développés dans les énergies renouvelables, la gestion de l'eau, les infrastructures et le transport’’, a-t-il soutenu. Et de conclure : ‘’La prospérité du Maroc se reflétera dans notre prospérité’’.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pour Aziz Akhannouch, la communication semble désormais un exercice maitrisé || subtitle : C’est un Chef du gouvernement sûr de lui, maîtrisant ses dossiers, à la fois affable et serein qui répondait jeudi dernier aux questions de nos confrères, Jamaa Goulahcen et Sabah Bendaoud. Invité d’une émission spéciale diffusée sur les deux chaînes Al Aoula et 2M, Aziz Akhannouch affichait la mine des grands jours en se prêtant avec aisance au jeu des questions-réponses. Sa facilité de communication, sa posture décontractée et sa capacité à discuter à la bonne franquette avec les journalistes ne sont pas passées inaperçues. N’éludant aucune question, utilisant un langage accessible, pédagogue quand il le faut, le Chef de l’Exécutif a tordu le cou à des clichés qui lui collaient à la peau. C’est désormais un responsable politique qui assume ses choix et qui les défend avec beaucoup de conviction et sans ciller. Jonglant avec les chiffres et répondant sans détours aux interrogations des journalistes, M. Akhannouch a plutôt réussi sa sortie médiatique, abstraction faite des appréciations des uns et les autres du bilan de mi-parcours de son équipe. || body : L’État social, le leitmotiv du Chef du gouvernement D’entrée de jeu, Akhannouch donne le la : le gouvernement a réalisé à mi-mandat des «exploits» notables, chiffres à l’appui. Sur les 7,3 millions de familles que compte le Maroc , 5,3 ont bénéficié de l’une des différentes aides de l’État . Près de 4 millions de familles bénéficient désormais des aides sociales directes et de l’ assurance maladie obligatoire (AMO) . Et ce sont quelque 12 millions de personnes, dont 5 millions d’enfants et 1,2 millions de personnes âgées, qui bénéficient des aides directes. 1,4 million des familles bénéficiaires sont sans enfants. Ces aides, d’un minimum mensuel de 500 dirhams, iront crescendo jusqu’à 1.000 dirhams en 2026. Par ailleurs, 600.000 personnes ont vu leurs pensions revalorisées, 300.000 personnes sont ciblées par le programme d’aide à l’accès au logement et 400.000 fonctionnaires, notamment ceux de l’enseignement et de la santé, connaîtront des augmentations de salaire. Rappelant que le gouvernement ne peut prétendre à aucun mérite quant au projet de soutien direct aux Marocains qui est une architecture exclusive de S.M. le Roi , M. Akhannouch indique que l’Exécutif s’est attelé à sa mise en œuvre et l’a réussie en un temps record, et ce en dépit des difficultés. Pour preuve, en seulement 14 mois, le RSU (Registre social unifié) est opérationnel, le remplacement du système RAMED par la couverture AMO Tadamon est réalisé en moins de 2, et en 30 mois, le plus grand projet de soutien au logement pouvant aller jusqu’à un tiers du prix du logement est sur les rails. C’est ainsi que 60.000 primo-acquéreurs en ont fait la demande, dont à peu près 54.000 ont été admis, avec un coût pour le budget de l’État de 9 milliards de dirhams par an. «Nous sommes face à une nouvelle relation du citoyen avec l’État», souligne le Chef du gouvernement. Répondant à la délicate question des personnes exclues, le Chef du gouvernement a tenu à rappeler que le principe directeur présidant à cette réforme était le ciblage, en ce sens que l’aide de l’État ne doit pas profiter aux familles aisées ni à des personnes qui ne sont pas éligibles. Et d’ajouter qu’à l’instar de tous les régimes similaires de par le monde, le système est bâti sur le niveau des dépenses avec à la base la déclaration du postulant et l’attribution de points tel que cela a été fixé de manière transparente par un décret, précisant que des recours existaient pour les personnes s’estimant lésées, que ce soit pour les aides directes ou pour l’AMO. Concernant la crainte d’abolir le système de compensation , le Chef du gouvernement s’est montré rassurant, indiquant que ce système doit continuer à jouer son rôle, notamment pour certaines dépenses de la classe moyenne. Entretemps, l’augmentation de 10 dirhams de la bonbonne de gaz butane est différée pour le moment, a-t-il souligné. La réforme de la compensation sera menée graduellement, et c’est ce qui explique selon lui le fait que l’État a commencé par octroyer des aides en premier. «L’idée est d’avoir à terme un équilibre entre le financement des aides directes et celui de la compensation». Santé, accès aux soins, grève des étudiants en médecine Le Chef du gouvernement a rappelé que 4 millions de familles, soit 10 millions de citoyens, bénéficiaient d’ores et déjà de l’AMO Tadamon, autrement dit leurs cotisations sont prises en charge par l’État. Reconnaissant que le système de santé fait face à des défis de taille, il a indiqué qu’une feuille de route pour la rénovation et la mise à niveau des dispensaires (soins primaires) était en cours de déploiement. 480 dispensaires sont rénovés et 1.400 sont programmés et un programme visant à doter chacune des 12 régions du Maroc d’un CHU (Centre hospitalier universitaire) est en cours de parachèvement. Le problème du manque de ressources humaines se pose avec acuité et le gouvernement s’attelle à trouver des solutions, notamment à travers l’instauration du concept de médecin de famille qui permettra de réduire la pression sur les formations hospitalières, le doublement des lauréats dans les filières médicales sur les 5 années à venir et la réduction de l’impact des déserts médicaux. Le Chef du gouvernement n’a pas manqué de déplorer les pratiques de certains pays occidentaux, qui comblent leurs besoins en personnel de santé par des politiques de migrations sélectives préjudiciables aux pays qui ont consenti d’importants investissements en enseignement et en formation. Pour ce qui de la grève des étudiants en médecine et en pharmacie qui dure depuis près de 4 mois, le Chef du gouvernement a indiqué que sur 50 revendications, 45 avaient été satisfaites. Selon lui, il s’agit plus d’incompréhensions que de différends, rejetant le risque d’une année blanche, car les Facultés sont ouvertes et les enseignants dispensent les cours au profit de quelque 3.000 étudiants. Insistant sur l’importance du retour des grévistes aux classes pour décrisper la situation, il a laissé la porte ouverte à de possibles compromis, rappelant au passage que ce qui compte est l’intérêt du citoyen (voir nos éditions du 26 avril 2024). Il n'y aura pas d'année blanche pour les étudiants en médecine (Akhannouch) Pas d’année blanche pour les étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie. C’est le Chef du gouvernement qui l’a affirmé lors de son passage jeudi dans le cadre d’une émission spéciale des deux chaînes nationales consacrée aux réalisations du gouvernement à mi-mandat. Selon Aziz Akhannouch, 45 revendications portées par les étudiants qui boycottent les cours depuis près de 4 mois ont déjà été satisfaites, sachant que «les canaux de dialogue restent ouverts». Le contexte est plus que jamais favorable à la reprise des discussions. Le signal positif du Chef du gouvernement y est pour beaucoup, ainsi que la maturité et le sens de responsabilité des étudiants. Ces derniers avaient en effet reporté leur marche nationale qui était prévue jeudi sur recommandation de quelques députés qui jouent les bons offices. Emploi, chômage Face à un taux de chômage qui frôles les 13% de la population active, selon le HCP, le Chef du gouvernement a rappelé les différentes mesures prises depuis son installation, notamment le règlement de la question des contractuels de l’enseignement , le programme Awrach , le remboursement de 2 milliards de dirhams de TVA aux entreprises, le soutien à divers secteurs, dont le tourisme, l’amélioration de l’environnement des affaires et la nouvelle Charte de l’investissement . Toutefois, les gains en emploi dans les secteurs industriels et les services ont été annihilés par les pertes de 200.000 emplois par an dans le secteur agricole, conséquence de trois années consécutives de sécheresse sévère. Enseignement : nul ne peut s’improviser enseignant Le Chef du gouvernement a rappelé les objectifs de la réforme de l’enseignement , se félicitant des avancées réalisées, notamment le retour aux classes après des mois de grèves et le nouveau cahier des charges pour les enseignants. Défendant la mesure de Chakib Benmoussa de réserver l’accès au métier aux personnes âgées de moins de 30 ans, il a insisté sur la nécessité pour l’ enseignant d’être au diapason avec l’ élève et l’ apprenant , d’où l’importance de réduire le gap entre les deux parties en termes d’âge. Pour lui, les considérations générationnelles ont toute leur importance dans le domaine pédagogique. Désormais l’enseignement est un métier que tout le monde ne peut pas exercer, puisqu’il nécessite des formations adaptées et des programmes de formation permanente pour les enseignants. Le Chef du gouvernement a évoqué le programme TaRL (Teaching at The Right Level) qui a touché dans un premier temps 600 écoles et sera étendu aux autres écoles d’excellence. Ce programme a permis de rattraper en un temps record les carences en connaissances de base des élèves, allant jusqu’à multiplier par 4 leur niveau de connaissances en mathématiques, se félicite le Chef du gouvernement. Ce que l’on doit au Plan Maroc vert Le Chef du gouvernement a saisi l’occasion pour en découdre avec les détracteurs du Plan Maroc vert . À cet égard, il a précisé que ce plan a été clôturé et a laissé place au plan Génération Green . Démontrant que sans le Plan Maroc vert, la situation du Maroc aurait été dramatique, il n’a pas hésité à énumérer ses bienfaits : d’abord une croissance annuelle moyenne du secteur agricole de 5,2% l’an, soit à peu près un doublement en 10 ans. Des investissement de 10 milliards de dirhams par an, dont 6 milliards de subventions de l’État, qui ont permis d’équiper 900.000 hectares en système de goutte-à-goutte et d'économiser 2 milliards de m³ par an avec la création de 10.000 coopératives de production valorisant la production de 2,5 millions d’agriculteurs. Le Plan Maroc vert, toujours selon M. Akhannouch, a permis de diversifier les cultures et de sortir de la culture unique des céréales pour des productions d’arboriculture ayant une meilleure valeur ajoutée. Enfin, l’export de la filière agricole a été multiplié par 2. C’est ce qui fait, a-t-il conclu, que malgré 3 années de sécheresse, les viandes et les produits laitiers sont disponibles. Mieux encore, selon M. Akhannouch, pendant la crise de la Covid, c’est ce modèle agricole qui a permis au Maroc de tirer son épingle du jeu. Récusant l’idée selon laquelle certaines cultures sont à l’origine d’un usage immodéré de ressources en eau , le Chef du gouvernement a souligné que la consommation annuelle du secteur agricole, qui s’élevait 5 milliards de m³ d’eau, a été ramenée à 1,2 milliard l’année dernière et à seulement 600 millions de m³ cette année. Et pour une meilleure gestion des ressources hydriques , le gouvernement, a-t-il précisé, a réussi en 10 mois à construire une autoroute de l’eau du Sebou au Bouregreg pour alimenter Casablanca et Rabat. Dans le même ordre d’idées, le plan d’installation d’unités de dessalement de l’eau de mer va bon train dans plusieurs villes et localités, comme Dakhla, le Souss, Doukkala, Tiznit, Nador et Tanger, a rappelé M. Akhannouch. Tremblement de terre du Haouz, la reconstruction se poursuit Concernant le programme d'urgence de reconstruction , de réhabilitation et de mise à niveau agricole dans les zones touchées par le séisme , la feuille de route est respectée, conformément aux Hautes Instructions Royales , a fait savoir le Chef du gouvernement, précisant que la commission ministérielle ad hoc s’est réunie 9 fois. Plus concrètement, il a précisé que 55.000 familles ont reçu des aides et 50.000 habitations doivent être soit réhabilitées soit reconstruites et déjà 44.000 autorisations de construire ont été délivrées avec des plans types. Malgré ces efforts, du travail reste encore à faire, reconnaît M. Akhannouch , notamment les travaux relatifs au déblaiement, la réouverture de routes, la reconstruction d’écoles, le cheptel à reconstituer, les séguias à réhabiliter ainsi que des centres de soins. Coupe du monde 2030 : une opportunité pour le Maroc ! Évoquant l’organisation tripartie de la Coupe du monde 2030 , M. Akhannouch a salué la Vision Royale quant à cette candidature qui a une dimension stratégique et qui ne manquera pas donner un sérieux coup de fouet aux investissements , notamment ceux en lien avec les grandes infrastructures comme les stades, les routes, les hôtels, la mobilité, etc. Pour le Chef du gouvernement, le Royaume mettra à profit cet événement exceptionnel pour accélérer la dynamique de son développement économique et offrir ainsi au monde entier l’image d’un pays émergent, ouvert et confiant dans ses choix. Tout à son optimisme, M. Akhannouch a rappelé la performance des Lions de l’Atlas au Qatar en 2022 qui a contribué à relancer le secteur du tourisme , puisque 14,5 millions de visiteurs se sont rendus dans le Royaume pour découvrir un pays qui fascine autant par sa culture et son histoire que par son ouverture et son dynamisme. Dialogue social : 4 axes Le Chef du gouvernement a énuméré 4 objectifs au dialogue social : 1. Améliorer le pouvoir d’achat des masses salariées. Le dossier est porté par Fouzi Lekjaâ . 2. Les priorités sectorielles ainsi que les questions d’accès du privé à la commande publique. Le dossier est porté par Ghita Mezzour . 3. Faire aboutir la loi sur la grève toujours en instance au Parlement depuis 8 ans. Ce point avait fait l’objet de l’accord conclu avec le patronat et les syndicats et il est temps, selon M. Akhannouch, de trouver un compromis. Une rencontre de concertation entre les parties est prévue prochainement. 4. Réformer le système de la retraite : là, le Chef du gouvernement tire la sonnette d’alarme, car selon lui, si rien n’est fait, le système sera en faillite à l’horizon 2028. Ce sujet sera pris à bras le corps pour que la réforme soit actée lors de la rentrée en septembre prochain. Remaniement ministériel : discret, Aziz Akhannouch pèse ses mots Le Chef du gouvernement est resté discret sur la question d’un éventuel remaniement ministériel . Soufflant le chaud et le froid, M. Akhannouch loue le travail de tous ses ministres, mais n’exclut pas de revoir les priorités (donc les personnes en charge). Il lie par ailleurs toute éventuel remaniement au renouvellement des instances du Parti de l’Istiqlal et les résultats de son 18e congrès et rappelle qu’il s’agit in fine d’une étape constitutionnelle, sous entendant qu’une telle décision requiert des concertations à un niveau supérieur. Akhannouch : une posture et un style propres Tout au long de l’entretien télévisé, Aziz Akhannouch est resté plutôt à l’aise dans cet exercice de communication . Concentré, attentif et bienveillant, il a adopté une attitude proactive et presque amicale en s’adressant aux interviewers par leurs prénoms. Le Chef du gouvernement n’a à aucun moment semblé être dépassé ni pris au dépourvu. Il a même rappelé à un des journalistes qu’il n’avait pas oublié sa question et qu’il allait y répondre. Tout en se gardant d’évoquer le bilan de son prédécesseur, Aziz Akhannouch l’a taclé sans le citer, à une seule occasion, en rappelant que pendant dix ans, le dialogue social était au point mort. De même, le Chef de l’Exécutif a évité de verser dans un raisonnement justificatif. C’est pourquoi il a parlé des facteurs conjoncturels (l’inflation, les conséquences de la Covid ou la sécheresse) comme de contraintes que le gouvernement a gérées tout en gardant le cap sur les objectifs cardinaux. S’agissant du langage utilisé, M. Akhannouch à choisi de s’exprimer à la bonne franquette. Sans cérémonie, il a eu recours à une combinaison d’arabe classique et de termes français avec la prédominance de l’arabe dialectal. Ce qui importe pour lui c’est de se faire comprendre par les citoyens et que ses idées soient claires et intelligibles. Si bien que sur bien des questions, il n’a pas hésité a fait preuve de pédagogie. L’entretien n’a pas échappé non plus à quelques piques d’humour. Parlant du bras de fer avec les enseignants, le Chef du gouvernement a fait un parallèle entre le bâton et la baguette magique, exprimés par le même terme en arabe. Rappelant qu’il n’y a pas eu violence à l’adresse des grévistes et que d’un autre côté le gouvernement n’avait pas de solution miracle. À un journaliste qui voulait passer au sujet suivant, Il lui demande s’il était pressé. Comment financer autant de projets ? l’essentiel est de préserver les équilibres ! Préférant répondre à cette question par des agrégats macroéconomiques et anticiper les questions sur le désendettement ou le déficit, le Chef du gouvernement a indiqué que tous les équilibres macroéconomiques du pays était au vert. Le déficit public qui était à 7% est ramené à 5,5% et devrait s’établir à 3,5% cette année pour se stabiliser à 3% les années suivantes. L’endettement public est passé de 78 à 76% du PIB et le déficit de la balance des paiements est de moins 0,1%, vu le bon comportement de nos exportations et les recettes MRE et tourisme. M. Akhannouch a mis également l’accent sur le bon comportement des recettes fiscales, qui s’explique selon lui par l’engagement et le civisme du citoyen qui, voyant où va son argent, est plus enclin à payer spontanément ses contributions fiscales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Carburants : les pétroliers se sont fait 1,12 DH/L de marge brute pour le gasoil au 2e semestre de 2023 || subtitle : Le Conseil de la concurrence a dévoilé vendredi son Reporting relatif au suivi des engagements pris par les sociétés de distribution en gros du gasoil et de l’essence dans le cadre des accords transactionnels conclus avec neuf entreprises du secteur. Affirmant que la variation des cotations à l’international n’impacte pas systématiquement les prix de vente sur le marché national, le Conseil fait état, dans son rapport, d’une hausse de près de 3,75% des ventes en 2023, ainsi que d’une baisse significative des importations en termes de valeur. Le Conseil affirme également que la capacité de stockage a poursuivi son accroissement pour atteindre un total de 1,47 million de tonnes à fin décembre dernier. || body : Le niveau de corrélation entre la variation des prix de vente, des cotations à l’international et des coûts d’achat pondérés varie selon les produits (gasoil ou essence) et entre les périodes d’une même année, a affirmé, vendredi, le Conseil de la concurrence. Pour le gasoil, il existe une corrélation positive élevée entre la variation des cotations à l’international, les fluctuations des coûts d’achat et les variations des stocks, dans la mesure où le coefficient de corrélation avoisine les 0,88, aussi bien pour le rapport prix de vente/cotations que celui prix de vente/coût d’achat, précise le Conseil de la concurrence dans un Reporting relatif au suivi des engagements pris par les sociétés de distribution en gros du gasoil et de l’essence dans le cadre des accords transactionnels conclus avec le Conseil. Carburants : Ahmed Rahhou défend l’approche du Conseil de la concurrence Invité sur les plateaux de Medi1 TV, le président du Conseil de la concurrence, Ahmed Rahhou, est revenu une nouvelle fois sur la polémique suscitée par le verdict du Conseil sur les pratiques anticoncurrentielles dans le marché des hydrocarbures, rendu le 23 novembre dernier. Il a tenu à cet égard à rejeter quelques idées reçus et à défendre la pertinence et la philosophie de la décision de l’instance de régulation. Dans le même ordre d’idées, M. Rahhou a déclaré que le Conseil aurait désormais les neuf opérateurs sanctionnés à l’œil. «Nous leur avons donc demandé de nous fournir tous les trois mois les données sur leurs achats, stocks et ventes», a-t-il souligné. L’objectif, selon lui, est de voir si les fluctuations des prix à l’international sont répercutées au même rythme à la hausse comme à la baisse. Cependant pour l’essence, le niveau de corrélation reste relativement faible, du fait qu’il se situe à près de 0,62 pour le rapport prix de vente/cotations et 0,78 pour celui du prix de vente/coût d’achat, indique le Conseil, notant que ce niveau de corrélation varie entre les périodes d’une même année, vu que la répercussion des variations des cotations et des coûts d’achat pondérés sur les prix de vente au niveau national se fait, pour certaines périodes, à des cadences différenciées. En effet, il a été constaté durant ces périodes un décalage pour impacter ces variations, soit en lissant la répercussion de la hausse des coûts d’achat pondérés sur le prix de vente sur plusieurs périodes, soit en retardant l’application des variations sur le prix de vente en cas de baisse des cotations et du coût d’achat. Ce constat peut s’expliquer, d’une part, par l’effet stock qui oblige les opérateurs, en cas de baisse, à écouler le stock des carburants achetés auparavant à des prix plus élevés et, d’autre part, par des effets de rattrapage entre les périodes de hausse et de baisse. D’ailleurs, cette logique de rattrapage et de réajustement se confirme dans l’évolution des marges brutes, qui ont connu en 2023 deux périodes distinctes. D’un côté, le premier semestre de l’année, caractérisé par des niveaux de marges brutes faibles avec une moyenne de 0,40 DH/litre pour le gasoil et 1,10 DH/l pour l’essence. De l’autre, le deuxième semestre, où les opérateurs ont consolidé à titre de compensation leurs niveaux de marges brutes en appliquant des niveaux supérieurs à ceux du premier semestre, soit 1,12 DH/l pour le gasoil et 1,64 DH/l pour l’essence. Les ventes des carburants en hausse de près de 3,75% en 2023 Les ventes annuelles en gasoil et essence ont atteint près de 6,78 millions de tonnes, soit environ 8,12 milliards de litres en 2023, contre 6,53 millions de tonnes (environ 7,83 milliards de litres) en 2022, ce qui constitue un accroissement de près de 3,75%, fait savoir le Conseil de la concurrence. Pour les ventes en valeur, et à défaut de disponibilité des données sur le chiffre d’affaires global réalisé sur le marché de distribution tous opérateurs confondus, seul le chiffre d’affaires des neuf sociétés concernées, représentant près de 90% des importations globales et 83% des volumes vendus, est retenu, précise le Conseil. Le chiffre d’affaires total des neuf sociétés, réalisé dans le segment de la distribution du gasoil et de l’essence (hors carburant marin) s’élève à 79 milliards de dirhams (MMDH) en 2023 contre 85 MMDH en 2022, soit une baisse d’environ 7%. Dans le détail, l’analyse de la répartition des ventes en volume par segment de clientèle au titre de l’année 2023 permet de noter que le réseau des stations-service représente l’essentiel des ventes du gasoil et de l’essence des neuf sociétés concernées, avec une part moyenne pondérée de près de 75%, alors que le canal B to B s’adressant à des clients professionnels représente 25% du volume global vendu en gasoil et en essence sur le marché national. S’agissant de l’évolution du réseau de stations-service, il apparait que leur nombre total, à fin 2023, a atteint 3.350 stations, dont environ 75% sous l’enseigne des neuf opérateurs concernés, soit 2.491 stations-service. Baisse significative des importations en termes de valeur en 2023 Au cours des deux dernières années, les importations de gasoil et d’essence ont enregistré une baisse significative de 21,5% en termes de valeur, passant de 66,3 milliards de dirhams en 2022 à près de 52,7 MMDH en 2023, malgré un volume d’importation presque stable, selon les données du Conseil. Cette baisse est attribuable à la chute des prix des carburants raffinés sur le marché international, en particulier ceux du gasoil, qui reste le carburant le plus dominant dans les importations marocaines, représentant près de 90%, comme l’a expliqué le Conseil de la concurrence dans son Reporting. En ce qui concerne les recettes de la Taxe intérieure de consommation (TIC), ces deux carburants ont généré environ 18,34 MMDH pour le budget de l’État en 2023, contre 18,42 MMDH en 2022, soit une légère baisse de 0,4% (-78,6 millions de dirhams), précise le Conseil. Les recettes de la TVA ont également diminué, passant de 8,61 à 7,23 MMDH entre les deux périodes, soit une baisse de 16% (-1,39 MMDH), ajoute la même source. La capacité de stockage totale avoisine les 1,47 million de tonnes à fin 2023 La capacité de stockage totale disponible au Maroc en gasoil et en essence a atteint à fin 2023 près de 1,47 million de tonnes, dont 86% concernent le gasoil, en accroissement de près de 12% en glissement annuel, et de plus de 33% par rapport à 2020, lit-on sur le Reporting du Conseil. Les capacités de stockage des neuf sociétés actives sur les marchés de l’approvisionnement, du stockage et de la distribution du gasoil et de l’essence n’ont connu aucun changement entre 2022 et 2023, à l’exception d’un seul opérateur, qui a enregistré une augmentation substantielle de plus de quatre fois, passant de 47.000 tonnes en 2022 à 200.000 tonnes en 2023, précise la même source. Cette évolution s’est traduite par une amélioration de 10 points (13,6% vs 3,6%) de la part de marché de cet opérateur en capacité de stockage et par une baisse des parts de marché des autres opérateurs sur ce segment de marché, souligne le Conseil.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le spectre des grèves plane à nouveau sur les écoles publiques || subtitle : Le scénario d’un retour à la grève est à nouveau redouté dans le secteur de l’enseignement public. La principale raison invoquée concerne cette fois-ci une augmentation des salaires du corps enseignant du primaire et du secondaire collégial à trancher dans le cadre du dialogue social central. Explications. || body : La menace de grève est de nouveau d’actualité dans le secteur de l’enseignement public. À l’approche de la fin du mois d’avril, qui devrait être marquée par des annonces sanctionnant le dialogue social central, notamment en ce qui concerne les augmentations de salaires dans la fonction publique , le corps enseignant entend ne pas se voir exclu de cet acquis au prétexte qu’il a déjà bénéficié d’une revalorisation dans le cadre de l’accord du 10 décembre de l’année dernière. Cet accord prévoit, pour rappel, une augmentation générale de salaire de 1.500 DH pour les enseignants, appliquée en deux tranches égales en janvier 2024 et janvier 2025. Grèves des enseignants : bientôt l’épilogue après trois mois d’âpres tractations Visiblement, le compte à rebours est enclenché avant la promulgation du statut unifié des fonctionnaires du département de l’Éducation nationale. Le Conseil du gouvernement qui se tiendra jeudi prochain examinera aux fins d’adoption tous les projets de décret afférents à ce cadre référentiel. Les syndicats les plus représentatifs devaient recevoir, ce lundi, la version finale de ces textes. S’agissant des enseignants suspendus, leur sort sera décidé au niveau des Commissions régionales qui seront créées au niveau des AREF. Depuis lors, des échos non officiels laissent entendre que le corps enseignant ne bénéficierait pas d’un relèvement général des salaires de la fonction publique, si un accord était conclu sur ce point dans le cadre du dialogue social central entre le gouvernement et les centrales syndicales. Voilà ce qui a fait réagir les enseignants pour faire entendre leur voix avant qu’un tel accord ne soit officialisé. Sur les réseaux sociaux, particulièrement sur Facebook, de nombreuses annonces ont circulé laissant présager une grève nationale de quatre jours à partir de ce lundi 15 avril, sans pour autant revêtir une forme officielle. Cependant, la F édération nationale de l’enseignement (FNE-Orientation démocratique) a annoncé vendredi dernier sur sa page Facebook que «la lutte des enseignants se poursuivra», pour la retard dans la mise en œuvre des dispositions de l’accord du 10 décembre, notamment l’augmentation des salaires des enseignants de 750 qui devait être effective à partir de janvier 2024. Dans une lettre au Chef du gouvernement datée du 31 mars, la FNE a réclamé une augmentation supplémentaire de 500 dirhams pour les enseignants du primaire et du secondaire collégial, à l’instar de leurs confrères du secondaires qualifiant. Il est à rappeler que le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, avait déclaré le 5 février dernier, devant les parlementaires, que l’accord conclu avec les syndicats les plus représentatifs du secteur de l’Éducation nationale coûterait 17,5 milliards de dirhams supplémentaires au Budget de l’État d’ici 2028. Cet accord prévoit plusieurs mesures en faveur des enseignants, notamment : • Une revalorisation salariale d’au moins 1.500 DH net par mois pour tous les enseignants, ainsi qu’une prime de 1.000 DH à partir de la troisième classe. • Des promotions non programmées pour les enseignants du primaire et du secondaire, qui bénéficieront d’une accélération de leur carrière et d’un traitement des dossiers en souffrance. • Une prise en compte spécifique des enseignants ayant une haute distinction académique, qui seront promus dans la classe salariale correspondant à leur diplôme. • Une régularisation de la situation des enseignants titulaires d’une maîtrise ou équivalent, d’un doctorat ou d’un diplôme universitaire reconnu équivalent, qui seront soumis à des procédures de sélection particulières pour accéder à la classe salariale appropriée. Un nouveau groupe salarial pour les stagiaires sera également créé. • Une attribution rétroactive de l’ancienneté aux personnes promues à un grade actuellement bloqué. En outre, un nouvel organisme pour les administrateurs de l’éducation et un statut spécial pour les professeurs d’université seront créés.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : MRE : généralisation des prestations consulaires en ligne (ministère) || subtitle : En vue d’assurer l'accès des ressortissants marocains résidant à l’étranger à des prestations consulaires de qualité, les systèmes de "Rendez-vous" et du "eTimbre" ont été généralisés depuis le 1er avril courant à l'ensemble des Missions diplomatiques et Postes consulaires du Royaume (MDPC). || body : En tant que sollicitation longuement exprimée par les MRE , la mise en place de ce dispositif traduit la Haute sollicitude dont S.M. le Roi Mohammed VI entoure les membres de la communauté marocaine établis à l’étranger pour améliorer leurs conditions d’accueil dans les Missions diplomatique s et Postes consulaires . MRE: la nouvelle procédure pour les prestations consulaires généralisée Une nouvelle procédure pour la délivrance des "Prestations consulaires de proximité" a été mise en place en faveur des Marocains résidant à l'étranger (MRE) auprès de l'ensemble des Missions Diplomatiques et Postes Consulaires, indépendamment du poste dont relèvent leurs lieux et pays de résidence. Ainsi, l’établissement d’un système de gestion des rendez-vous à l'instar de ce qui est usuel au niveau des administrations des pays d'accueil permettra de répondre aux attentes et aspirations des MRE à des services consulaires modernes et de qualité. Ce système leur offre aussi un accès facilité aux prestations consulaires dans des conditions d'accueil optimales , la réduction du temps d'attente ainsi qu’une meilleure qualité d'accueil et de service . Il contribue également à diminuer, de façon substantielle, les longues files d'attente devant les Services Consulaires du Royaume et permet aux MDPC une gestion optimale de l'espace dédié à l'accueil ainsi que l’utilisation des nouvelles technologies de communication et d'information pour un meilleur traitement des prestations consulaires. Ce système propose aux usagers, une fois leurs demandes de prestations consulaires validées par les Services consulaires, des plages horaires et des dates à choisir à leur convenance, selon le service ou la prestation de leur choix. De même, il leur permet l' envoi des pièces justificatives en ligne , avant même de se déplacer aux Services consulaires. Dans le souci d’assurer plein succès à ce projet, un accompagnement des usagers est assuré par le Centre d'appels consulaire ainsi que par les Services consulaires du Royaume à l'étranger . Depuis son lancement, le système de gestion des rendez-vous a permis de traiter plus de 3,2 millions de rendez-vous, pour plus de 5 millions de prestations consulaires desservies aux membres de la communauté marocaine résidant à l’étranger. Aussi, dans le cadre de l'opération de dématérialisation des timbres lancée par le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger en coordination avec la Trésorerie Générale du Royaume (TGR) , le module de gestion des " eTimbre " mis en place se veut un jalon essentiel pour la modernisation de l' action consulaire . L’adoption de ce nouveau procédé d'acquittement des droits de chancellerie vise le renforcement du climat de confiance entre les usagers et les Services consulaires pour une meilleure transparence dans les transactions administratives . Le nombre des prestations rendues grâce à cette solution, depuis son lancement, s'élève à plus de 2,8 millions de prestations consulaires. La mise en place de ce dispositif au niveau des MDPC a été accompagnée par un effort de déploiement des Terminaux de paiement Electronique (TPE) au niveau des Postes Consulaires .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Service militaire 2024 : les listes des appelés bientôt prêtes || subtitle : Les listes comportant les noms des appelés au service militaire au titre de l'année 2024 seront bientôt établies, a annoncé le ministre de l’Intérieur. Ces listes seront par la suite transmises aux autorités afin de leur permettre d'engager les démarches relatives à la convocation des appelés et à leur incorporation en septembre 2024. || body : La Commission centrale du recensement relatif au service militaire a tenu, jeudi au siège du ministère de l'Intérieur , une réunion, sous la présidence du juge, président de Chambre à la Cour de cassation , consacrée à la définition des critères à adopter pour déterminer les noms des jeunes, de sexes masculin et féminin, appelés à accomplir le service militaire au titre du prochain contingent, a annoncé le ministre de l’Intérieur, dans un communiqué sur la préparation de l'incorporation des appelés au service militaire au titre de l'année 2024. Service militaire 2024 : Lancement de l'opération de recensement L’opération de recensement relative au service militaire au titre de l'année 2024 a été lancée, vendredi, pour prendre fin le 29 avril prochain. Cette réunion, tenue à l'issue de la période consacrée au recensement relatif au service militaire qui a pris fin le 29 avril 2024, intervient en préparation de l'incorporation des appelés du prochain contingent, et en application des Hautes Instructions de S.M. le Roi Mohammed VI , que Dieu L'assiste, Chef Suprême et Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées Royales , indique le communiqué. A la lumière des critères fixés par la Commission centrale, les listes comportant les noms des appelés concernés seront établies, tout en tenant compte du classement et des grades indiqués par les autorités militaires compétentes, précise le communiqué, notant que ces listes seront transmises aux autorités dans les meilleurs délais, afin de leur permettre d'engager les démarches relatives à la convocation des appelés et à leur incorporation au service militaire en septembre 2024.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Il n'y aura pas d'année blanche pour les étudiants en médecine (Akhannouch) || subtitle : Pas d’année blanche pour les étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie. C’est le Chef du gouvernement qui l’a affirmé lors de son passage jeudi dans le cadre d’une émission spéciale des deux chaînes nationales consacrée aux réalisations du gouvernement à mi-mandat. Selon Aziz Akhannouch, 45 revendications portées par les étudiants qui boycottent les cours depuis près de 4 mois ont déjà été satisfaites, sachant que «les canaux de dialogue restent ouverts». Le contexte est plus que jamais favorable à la reprise des discussions. Le signal positif du Chef du gouvernement y est pour beaucoup, ainsi que la maturité et le sens de responsabilité des étudiants. Ces derniers avaient en effet reporté leur marche nationale qui était prévue jeudi sur recommandation de quelques députés qui jouent les bons offices. || body : «Il n’y aura pas d’ année blanche pour les étudiants en médecine et le gouvernement demeure mobilisé pour maintenir les canaux de dialogue», a souligné jeudi le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch , mettant ainsi fin aux spéculations les plus folles quant au sort de plus de 23.000 étudiants en grève depuis le 20 décembre dernier en protestation contre les conditions d’études et de stages . Intervenant dans le cadre d’un entretien télévisé accordé aux deux chaînes nationales 2M et Al Aoula, le Chef de l’Exécutif a indiqué que le gouvernement demeurait à l’écoute des doléances des étudiants, notant que sur les 50 revendications défendues par les futurs professionnels de la santé , 45 ont déjà été satisfaites. Ainsi, seules cinq points restent encore en suspens et font donc l’objet de discussions, a poursuivi le haut responsable, précisant qu’«il n’y a aucun point difficile qui ne pourra être résolu dans l’avenir». Akhannouch , qui dit ne pas comprendre la décision de boycott des cours , sachant qu’«il n'y a pas beaucoup de divergences dans les points de vue». Il a ajouté dans le même ordre d’idées que «les universités et les départements sont ouvertes et les professeurs y vont tous les matins. De même, quelque 3.000 étudiants font leurs études quotidiennement et passent leurs examens . Nous voulons que les autres étudiants regagnent leurs places dans les amphis», a-t-il précisé. Revenant sur les cinq points qui font l’objet de désaccord, le Chef de l’Exécutif a tenu à souligner que le gouvernement restait ouvert au dialogue , indiquant toutefois qu’il n’était pas acceptable de soumettre aux discussions certains points comme celui relatif à la durée des études. Or justement, la question de la réduction des années des études médicales de 7 à 6 ans constitue la principale pomme de discorde à l’origine de la tension entre les étudiants et les deux départements de tutelle (Santé et Enseignement supérieur). Les étudiants protestent, faut-il le rappeler, contre la migration vers le nouveau régime sans avoir pris les dispositions d’accompagnement nécessaires aussi bien au niveau académique qu’au niveau logistique. Ils déplorent de ce fait des conditions d’enseignement difficiles qui impactent négativement la qualité de la formation (en raison notamment du sureffectif par rapport aux structures d’enseignement et de stage). Grèves des étudiants en médecine : Des signes d'apaisement À noter par ailleurs que les déclarations du Chef du gouvernement intervenaient au moment où la Commission nationale des étudiants en médecine au Maroc annonçait le report de la marche nationale prévue le 25 avril en signe de bonne foi. Selon une source proche du dossier, les étudiants des Facultés de médecine et de pharmacie attendaient en effet une intervention du Chef de gouvernement pour relancer le dialogue et tourner la page des grèves qui durent depuis plus de quatre mois. D’autant que les efforts de médiation parlementaire engagés par des députés de la Commission de l’enseignement et des affaires culturelles et sociales semblent porter leurs fruits. Les parlementaires qui s’étaient réunis mercredi dernier avec les représentants des étudiants leur auraient demandé de faire montre de bonne foi en acceptant de retourner aux cours pendant un certain nombre de jours et de reporter la marche nationale qui était prévue jeudi dernier. Une recommandation qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd, puisque les futurs médecins ont fait preuve de flexibilité. Le contexte est donc plus que jamais favorable à la reprise du dialogue. Le signal positif du Chef du gouvernement y est pour beaucoup, ainsi que la maturité et le sens de responsabilité des étudiants . Tout le monde est convaincu en effet que le blocage actuel ne sert les intérêts de personne. Il serait donc sage que toutes les parties mettent leur ego de côté et franchissent le premier pas. L’enjeu est beaucoup plus grand qu’un bras de fer entre étudiants et des responsables gouvernementaux. Grèves dans les Facultés de médecine : les étudiants en pharmacie veulent mener leur combat à part Depuis la fin de la semaine dernière, les étudiants en pharmacie multiplient les sit-in devant les Facultés de médecine et de pharmacie pour appeler le ministère à traiter leur dossier revendicatif séparément de celui des étudiants en médecine et en médecine dentaire. Une démarche qui pourrait augurer des premières fissures dans le mouvement de protestation que mènent les futurs professionnels de la santé depuis 4 mois. Les doléances des étudiants en médecine Les étudiants en médecine, médecine dentaire et en pharmacie poursuivent depuis le 20 décembre dernier un mouvement de protestation consistant à boycotter les cours magistraux et les stages ainsi que les examens. Ils revendiquent principalement l’annulation de la décision du ministère de l’Enseignement supérieur relative à la suppression de la septième année d’études, ainsi que l’élaboration du cahier pédagogique relatif à la réforme du troisième cycle. Les futurs médecins appellent par ailleurs au renforcement des infrastructures, l’amélioration de l’encadrement ainsi que l’augmentation de la bourse d’études pour les internes.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch présentera le bilan de mi-mandat de son gouvernement après le 12 avril || subtitle : Le chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, présentera le bilan à mi-mandat de son gouvernement après l’ouverture de la session de printemps du Parlement qui se tient ce vendredi 12 avril. C’est ce qui a été annoncé par les partis de la majorité lors d’une réunion tenue jeudi à Rabat. || body : Les partis de la majorité se sont réunis dans la soirée du jeudi 4 avril sous la présidence du président du RNI , Aziz Akhannouch , de la coordinatrice de la direction collégiale du secrétariat général du PAM , Fatim-Zahra Mansouri , accompagnée de Mohamed Mehdi Bensaid et Salaheddine Aboulghali et du secrétaire général du parti de l’Istiqlal , Nizar Baraka . Bilan à mi-mandat du gouvernement : la majorité et l’opposition croisent le fer De quelle manière faut-il appréhender le bilan à mi-parcours du gouvernement ? Entre une majorité qui revendique des succès, en dépit d’un contexte extrêmement compliqué à bien des égards, et une opposition qui juge tièdes les résultats intermédiaires d’un gouvernement qui avait pourtant placé la barre très haut dans ses engagements électoraux, les avis divergent, alimentés par la volonté des uns et des autres de gagner la bataille de l’opinion publique. Au menu de cette réunion, l’examen de la situation politique et économique du pays ainsi que l’agenda de la présidence de la majorité et comment renforcer la coordination entre le gouvernement et les composantes de la majorité au sein du Parlement . Dans un communiqué conjoint, les partis de la majorité saluent le bilan honorable de l’action du gouvernement à mi-mandat. Ils indiquent également que ce bilan sera présenté devant les parlementaires par le Chef du gouvernement et ce après l’ouverture de la session d’avril. Les partis de la majorité ont également réaffirmé l’esprit de cohésion qui caractérise la relation entre le gouvernement et les groupes parlementaires. Et de rappeler la mise en place d’un mécanisme d’étude et d’évaluation des propositions de lois émanant de ces groupes afin d’interagir avec celles qui s’inscrivent dans la vision du gouvernement. Les partis affirment par ailleurs leur détermination à poursuivre la coordination entre les différentes composantes de leurs formations politiques, que ce soit au niveau local ou régional. La majorité salue également la reprise du dialogue social entre le gouvernement et les syndicats les plus représentatifs. Enfin, les partis de la majorité annoncent leur appui à Rachid Talbi Alami pour la présidence de la Chambre des Représentants lors de la deuxième moitié de la législature.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Huit syndicats de Santé forment une coordination et annoncent une grève générale || subtitle : Les syndicats de la Santé reviennent à la charge et annoncent une grève générale de 48 heures, à l'exception des services des urgences et de réanimation. ce retour se fera sous le signe de l'union et promet donc de faire s de bruit. Huit syndicats ont ainsi décidé de créer une coordination syndicale pour centraliser les demandes des travailleurs du secteur et parler d'une seule voix. || body : Les secrétaires généraux nationaux de 8 syndicats se sont réunis vendredi dernier à Rabat pour faire le point sur la situation du dialogue avec le ministère de la Santé et étudier les réponses à donner à ce qu'ils qualifient de "marginalisation" de leur dossier revendicatif de la part de la tutelle. Ils ont ainsi décidé d'organiser leurs actions dans le cadre d'une coordination syndicale "pour imposer une interaction et une réponse à leurs doléances". Les syndicats ont en parallèle annoncé un programme de lutte progressif. A commencer par une grève générale et nationale de 48 heures, mercredi 24 et jeudi 25 avril 2024, au niveau de tous les établissements de santé à l’exception des services d’urgence et de réanimation . Nouvelle grève prévue mercredi et jeudi dans le secteur de la santé Le secteur de la santé est de nouveau sur le gril. Une nouvelle grève est annoncée pour ce mercredi et jeudi dans les établissements de santé publique, à l’exception des urgences et des services de réanimation et des soins intensifs. Cette grève, organisée à l’appel du Syndicat national de la santé publique, affilié à la FDT, et du Syndicat national de la santé relevant de la CDT, vise à dénoncer le retard accusé dans la mise en œuvre des dispositions des deux accords ratifiés les 29 décembre et 26 janvier. Cette coordination syndicale comprend la fédération nationale de la santé affiliée à l’union marocaine du travail ( UMT ), le syndicat indépendant des infirmiers , le syndicat national de la santé affilié à la confédération démocratique du travail ( CDT ), le syndicat national de la santé publique affilié à la fédération démocratique du travail ( FDT ), le syndicat indépendant des médecins du secteur public , l’ union nationale du travail au Maroc (UNTM), l’ union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) et l’ organisation démocratique du travail (ODT). Les syndicats appellent également à la mobilisation générale des militants pour faire preuve de solidarité dans le but de défendre les droits des travailleurs et parler d'une seule voix avec la tutelle. L'objectif étant de répondre positivement aux revendications de la famille de la santé.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : El Khattat Yanja invite les hommes d’affaires espagnols à investir dans la région de Dakhla-Oued Eddahab || subtitle : Le président du Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab, El Khattat Yanja, a invité, mardi à Madrid, les hommes d’affaires et les entreprises espagnols à saisir les opportunités d’investissement offertes par la région, devenue un hub commercial et logistique continental. || body : «Grâce à sa position géographique stratégique et avantageuse, la région de Dakhla Oued-Eddahab est devenue une plaque tournante logistique et commerciale pour l'Afrique et une porte d'entrée pour les grandes entreprises sur le marché africain, avec un potentiel prometteur pour l'avenir», a souligné El Khattat Yanja lors d’un forum économique de haut niveau organisé dans la capitale espagnole, à l’initiative de la Chambre de commerce de Madrid , en partenariat avec l’Ambassade du Maroc en Espagne . Comment la région de Dakhla est en passe de gagner le pari de l’émergence La métamorphose ne s’est pas faite du jour au lendemain. Le nouveau visage de Dakhla-Oued Eddahab, on le doit aux efforts de développement mené tambour battant depuis 2015. On le doit aussi aux milliards de dirhams qui ont été injectés dans les différents projets structurants du territoire. Sans oublier les acteurs qui ont orchestré cette transformation, notamment l’actuel Conseil régional, dont les deux mandats coïncident avec cette décennie de développement. Bilan. La région de Dakha-Oued Eddahab se consacre de plus en plus comme une «plateforme de création de richesses» grâce à des secteurs en développement continu tels que la pêche, le tourisme, le commerce, l'agriculture et les énergies renouvelables , a-t-il précisé, ajoutant que la région est dotée également d' infrastructures de premier ordre qui fournissent les facilités nécessaires pour le développement de toute activité commerciale et économique. De ce fait, a fait noter M. Yanja, le méga-projet Port de Dakhla Atlantique donnera un élan important aux investissements étrangers . Dans le même contexte, il a relevé que l'initiative internationale lancée par S.M. le Roi Mohammed VI pour promouvoir l'accès des pays du Sahel à l'océan Atlantique vise à faire de la région de Dakhla-Oued Eddahab, en particulier, et des provinces du Sud , en général, un territoire attractif pour l'investissement et ouvrira des perspectives pour renforcer davantage les relations commerciales avec les pays africains frères. Ainsi, le président du Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab a invité les hommes d'affaires espagnols à explorer les diverses opportunités offertes par la région qui leur fournit un système d'assistance approprié pour développer leurs affaires dans les meilleures conditions. «Ensemble, nous pouvons explorer de nouvelles opportunités et œuvrer pour un avenir plus prospère pour nos citoyens», a-t-il soutenu, exprimant sa détermination à approfondir les relations avec les différentes régions espagnoles afin de construire ensemble un avenir meilleur et un environnement plus prospère. De son côté, le vice-président de la Chambre de commerce de Madrid, Augusto De Castaneda , a affirmé que ce forum était, sans nul doute, une occasion de renforcer davantage les liens de coopération commerciale entre l’Espagne et le Maroc. «Cette rencontre importante nous permet de nous connaître et de renforcer notre amitié, ce qui conduira au progrès mutuel», a relevé M. De Castaneda lors de cette rencontre, mettant l’accent sur la pertinence de cet événement tenu à l’initiative de la Chambre en partenariat avec l’ambassade du Maroc en Espagne. Le Maroc, une destination ‘’stratégique’’ pour les entreprises espagnoles (rapport) La stabilité politique du Maroc, son ouverture économique et commerciale et sa position stratégique font du Royaume une destination ‘’stratégique’’ pour les investissements étrangers et les entreprises espagnoles, souligne, mardi, un rapport de la Chambre de commerce de La Corogne. Les échanges commerciaux entre le Maroc et l'Espagne ont atteint 12 MM€ en 2023 Sur la base de ce principe, a-t-il dit, la Chambre de commerce de Madrid «soutient fermement» ce genre d’événements pour consolider la connaissance mutuelle et s’informer de près des opportunités d’investissement présentées par la région. «Le Maroc est une puissance économique régionale dotée d'une économie moderne et diversifiée et sa situation géographique stratégique lui permet d'accéder à un marché de 2.500 millions de personnes», a fait observer le vice-président de la Chambre de commerce de Madrid. «La position du Maroc en tant que porte d'entrée de l'Afrique et hub logistique et financier pour le marché subsaharien en fait un pays stratégique», a-t-il poursuivi, rappelant que les échanges commerciaux entre le Maroc et l'Espagne ont atteint le chiffre record de 12 milliards d'euros en 2023. Intervenant également lors de cette rencontre, l’ambassadrice du Maroc en Espagne, Karima Benyaich , a affirmé que la région de Dakhla-Oued Eddahab est devenue un pôle économique régional majeur, reliant le Maroc à son prolongement africain et offrant des opportunités d'investissement considérables tant pour les acteurs marocains que pour les autres opérateurs économiques étrangers . «La région de Dakhla-Oued Eddahab est l'une des régions les plus dynamiques du Maroc, grâce au modèle de développement des provinces du Sud , lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en 2015», a relevé Mme Benyaich devant un parterre d’ambassadeurs africains et arabes et une centaine d’hommes d’affaires et de responsables d’entreprises espagnols présents lors d’un forum économique axé sur les opportunités d’investissement offertes par la région de Dakhla-Oued Eddahab. Ce modèle de développement a permis la mise en œuvre de différents programmes structurants pour accompagner le développement de la région dans plusieurs domaines, tels que les infrastructures portuaires, l'énergie, l'agriculture, la pêche maritime, le tourisme, la formation, la culture et l'environnement, a détaillé la diplomate. «Aujourd'hui, nous devons profiter de ces atouts et des avantages offerts par cette région, ainsi que du moment historique des relations entre le Maroc et l'Espagne, pour soutenir les investisseurs espagnols dans le Royaume dans un esprit gagnant-gagnant», a fait valoir Mme Benyaich. Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc a lancé une politique africaine «réaliste et constructive», favorisant une coopération Sud-Sud fructueuse, faisant du Maroc une plaque tournante régionale et continentale, a-t-elle encore souligné. Une centaine d’investisseurs et de grandes entreprises espagnoles de divers secteurs d’activité, telles qu’Iberdrola, Renfe, Alstom, Vectalia et Repsol, ont pris part à ce forum qui s’est tenu en présence d’une dizaine d’ambassadeurs de pays africains et arabes accrédités en Espagne, ainsi que de personnalités politiques.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-Mauritanie : les collectivités territoriales invitées à s'inscrire dans l'Initiative Royale pour l'Atlantique || subtitle : Les collectivités territoriales du Maroc et de la Mauritanie sont invitées à s’inscrire pleinement dans l'Initiative pour l’Atlantique que S.M. le Roi Mohammed VI a lancée en faveur des pays du Sahel pour un développement global et intégré, selon des participants au deuxième Forum maroco-mauritanien organisé mardi à Rabat. || body : Ce Forum, initié par l' Association des régions du Maroc et l' Association mauritanienne des régions sous le thème «Régionalisation et développement intégré et durable des territoires au Maroc et en Mauritanie», a été l'occasion d'examiner les possibilités pour les deux pays de mutualiser leurs efforts, notamment pour la concrétisation de cette vision Royale visant à faire de l'espace afro-atlantique une région de paix, de sécurité et de prospérité partagée. Initiative Royale pour le Sahel : le décryptage du Pr. Talal Cherkaoui (Entretien) Comment l’Initiative Royale pour le Sahel redéfinit les dynamiques géopolitiques dans une région considérée par Alger comme sa zone d’influence historique ? Quelle est la stratégie derrière l'animosité d’Alger envers Rabat ? Décryptage de Talal Cherkaoui, professeur de sciences économiques, sociales et politiques et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib. Le Maroc et la Mauritanie, tous deux engagés dans un processus de régionalisation avancée sur la base d'une approche démocratique et participative, partagent plusieurs similitudes, notamment en termes de découpage territorial, de prérogatives et de lois organiques, a souligné Mbarka Bouaïda , présidente de l'Association des régions du Maroc. L'expérience marocaine, a-t-elle affirmé, a démontré la pertinence et l'efficience de ce choix comme en témoignent les acquis réalisés à la faveur des différents programmes de développement régional, qui ont permis l'implémentation de politiques publiques territoriales traduisant les besoins et les aspirations des populations. Elle s'est félicitée, dans une déclaration à la MAP, de l'Initiative Royale qui ambitionne de faire de la zone afro-atlantique un espace de paix, de sécurité et de prospérité partagée, mettant l'accent sur le rôle majeur qui revient aux régions pour une déclinaison territoriale de cette vision à même de garantir un développement intégré et durable des États africains concernés. «Nous sommes en train de discuter des moyens pour renforcer notre partenariat bilatéral à travers l'ensemble des régions, qui tiendra compte des différents aspects de cette vision», a-t-elle dit, rappelant que l’Association des régions du Maroc a également conclu avec les États du Sahel des partenariats devant aboutir à une vision d'ensemble du développement. Même son de cloche du côté de la présidente de l'Association mauritanienne des régions et présidente de la région de Nouakchott, Fatimetou Abdelmalik, qui a mis en avant le rôle central des collectivités territoriales, de par leur relation de proximité avec le citoyen, dans la concrétisation de cette vision Royale à travers l’élaboration de projets et de stratégies de développement. Rappelant la signature, il y a deux ans, de plusieurs conventions entre les régions mauritaniennes et marocaines dans divers domaines d'intérêt commun, elle a soutenu que cette rencontre permettra l'actualisation et la révision desdits accords afin de promouvoir ce modèle de partenariat dans la région, d'approfondir la coopération décentralisée entre les deux pays et de favoriser l'échange d’expériences et d'expertises en matière de développement local. D'après Abdelouahab El Jabri, gouverneur à la Direction générale des collectivités territoriales, cette rencontre intervient dans le sillage de l'annonce par Sa Majesté le Roi d'une nouvelle initiative qui consiste à fédérer toutes les énergies et à partager l'expérience du Maroc afin de soutenir les pays du Sahel et libérer ainsi l'énorme potentiel dont regorge la région, le but étant d'accélérer la croissance et le développement intégré et durable de ses économies. Cette initiative traduit la vision Royale qui ambitionne de repenser, collectivement, le modèle de coopération pour des solutions innovantes, audacieuses et structurantes dans une logique gagnant-gagnant avec les pays africains frères et amis, a-t-il expliqué. Il a par ailleurs souligné l'importance de cette rencontre dans le renforcement de la coopération Sud-Sud et la consécration de la culture de dialogue constructif et de participation agissante en vue d'améliorer les mécanismes de gouvernance locale dans les deux pays et de relever les défis actuels et futurs pour un développement territorial global. Il a dans ce sens mis en avant la contribution de la régionalisation dans le progrès et le développement socio-économique des territoires par la mise en place de stratégies, de programmes et de plans d'action visant la lutte contre les disparités et les déséquilibres sociaux et territoriaux. Cette rencontre intervient suite au franc succès de la première édition du Forum maroco-mauritanien, tenu en janvier 2020 à Nouakchott et qui a permis d'identifier les dysfonctionnements rencontrés dans la mise en œuvre progressive de la gouvernance des régions dans les deux pays et de prospecter les opportunités de coopération décentralisée afin de permettre aux acteurs régionaux d'améliorer l'efficience des collectivités territoriales en tant que leviers d'un développement socio-économique inclusif. Trois axes étaient au menu de cette édition : les instruments de programmation du développement intégré et durable, les mécanismes de financement des projets territoriaux, et les sociétés de développement régional et la gestion associative des projets de développement socio-économique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pas d’augmentation générale des prix des boissons dans les cafés (Noureddine El Harrak) || subtitle : Depuis deux jours, les rumeurs se sont intensifiées sur une éventuelle décision des propriétaires des cafés et restaurants d'augmenter les prix des boissons. Une information qui a fait polémique notamment sur les réseaux sociaux. Pour y voir plus clair, "Le Matin" a contacté le président de la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants, Noureddine El Harrak, qui a balayé d’un revers de la main toutes ces rumeurs. Explications. || body : Le président de la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants , Noureddine El Harrak, a démenti toute augmentation des prix des boissons , particulièrement le café, après l’Aïd Al-Fitr. Contacté par «Le Matin» pour vérifier les rumeurs circulant ces derniers jours selon lesquelles les cafés auraient augmenté les prix des boissons, M. Harrak a balayé d’un revers de la main ces fausses informations, soulignant que la Fédération nationale n’avait pris aucune décision concernant l’augmentation des prix des boissons après l’Aïd Al-Fitr, contrairement à ce qui circule sur la Toile. «Les allégations qui circulent sur la Toile sont totalement infondées. Toute hausse des tarifs ne peut être effective qu’après une décision officielle de la fédération. Ce qui n’est pas le cas actuellement», a-t-il affirmé. Cafés et restaurants : les faillites s’accélèrent en 2023, le secteur dans la zone rouge Pour le secteur des cafés-restaurants, la reprise n’a pas été au rendez-vous comme en témoigne le nombre alarmant des entreprises ayant fait faillite en 2023. Une enquête de la Fédération nationale de la profession, dévoilée en marge du 1er Congrès de la section régionale de Casablanca-Settat, révèle la gravité de la situation. Rien qu'en 2023, 13.000 faillites ont été déclarées dans trois régions du Maroc, dont Casablanca-Settat. Il y a eu des cas isolés d'augmentation des prix dans certains cafés Noureddine El Harrak a par ailleurs tenu à préciser que le conseil national et les représentations régionales affiliées à la fédération n’avaient envisagé aucune augmentation des prix, expliquant que la hausse du prix du kilogramme du café de 15 DH deux fois en l’espace de six mois seulement avait incité, certes, certains professionnels à réfléchir à opérer des augmentations des prix des boissons. Mais ces initiatives restent isolées et relèvent de la «liberté personnelle», déclare-t-il, rappelant à cette occasion que le secteur des cafés et restaurants demeure soumis à la loi relative la liberté des prix et de la concurrence, qui interdit totalement la fixation des prix. El Harrak : une hausse de 1 ou 2 dirhams ne peut pas sauver le secteur en crise Par ailleurs, les propriétaires de cafés et restaurants demeurent convaincus qu’une pareille augmentation ne pourra être opérée dans le contexte actuel, marqué par la montée de l’ inflation et la baisse du pouvoir d’achat des citoyens, notant qu’une hausse des prix de l’ordre de 1 ou 2 dirhams ne pourra pallier la crise que traverse le secteur et qui a conduit à la faillite de plus de 16.000 cafés au cours des derniers mois. Une situation qui constitue une suite logique, note M. El Harrak, de l’accumulation de plusieurs dysfonctionnements d’ordre structurel, notamment l’augmentation de la redevance d’exploitation temporaire de l’espace public, la prolifération des restaurants ambulants suite à leur autorisation par certains conseils communaux, ainsi que les montants exorbitants des amendes et pénalités astronomiques infligées aux professionnels par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) suite au non-paiement des cotisations pendant la période ayant suivi la Covid-19, dont la valeur dépasse souvent celle du bien commercial. Le président de la fédération, qui a rappelé que son instance avait déjà adressé des correspondances aux différents groupes parlementaires ainsi qu’à plusieurs ministres, notamment celui de l’Économie et des finances, celui de l’Intérieur, celui de l’Emploi et celui de l’Industrie et du commerce, a annoncé que la Fédération allait être bientôt reçue au cours des prochains jours par Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger le secteur.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Publicité au Maroc : l'évolution de la place de la femme selon la HACA || subtitle : La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a organisé, mardi dernier, un atelier consacré à la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle, en particulier durant le mois du Ramadan. Avec l’analyse rigoureuse de plus de 750 publicités diffusées entre 2020 et 2023, cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large visant à éradiquer les stéréotypes de genre et à promouvoir une image équilibrée des femmes dans les médias. Une étude présentée à cette occasion par la HACA montre les progrès réalisés, mais aussi les obstacles persistants qui entravent la parité dans l’espace publicitaire marocain, malgré un cadre légal progressiste. || body : La Haute Autorité de la communication audiovisuelle a abrité, le 2 avril dernier, un atelier interactif destiné à jeter la lumière sur une question cruciale : la représentation des femmes dans la publicité audiovisuelle. Ce rassemblement, bien plus qu’une simple rencontre, avait pour but de présenter les résultats d’une étude assez exhaustive sur la représentation des femmes dans la publicité audiovisuelle, spécifiquement durant le mois sacré du Ramadan , une période de haute audience télévisuelle . Lumière sur la parité : un atelier de la HACA dédié à la femme dans la publicité Avec l’analyse de plus de 750 spots publicitaires diffusés en prime time sur les chaînes de télévision publiques entre 2020 et 2023, cette initiative s’inscrit dans l’effort continu pour promouvoir la culture de la parité et combattre les stéréotypes de genre dans les médias. Cette étude a également été conduite dans le cadre de l’adhésion de la HACA à la Déclaration de Marrakech, initiée par S.A.R. la Princesse Lalla Meryem , présidente de l’Union nationale des femmes du Maroc, avec pour objectif de renforcer les efforts nationaux dédiés à la lutte contre la violence à l’égard des femmes. Mise en scène d'un vol sur Hit Radio : La HACA entre en ligne La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a appelé à préserver le droit du citoyen à des contenus médiatiques vigilants et sûrs, sur fond de l'affaire de fabrication de crime fictif et de diffusion de fausses informations au cours d’une émission radiophonique. Cet atelier de la HACA ne représente par conséquent pas seulement une occasion de mise en lumière des tendances actuelles dans la publicité télévisuelle. Il constitue également un engagement envers le progrès social et l’égalité de genre, invitant à une réflexion collective sur le chemin parcouru et les défis à relever. En analysant et en discutant des résultats de cette étude, les participants – issus de divers horizons : les annonceurs, les agences de publicité, les médias audiovisuels, les associations féminines, les institutions et les acteurs des droits humains – ont ainsi l’opportunité d’œuvrer ensemble pour une représentation qui honore et respecte la diversité et la richesse des rôles des femmes dans la société marocaine. Cadre légal : les fondations de l’égalité des sexes dans la publicité au Maroc La HACA, qui est au cœur de la lutte contre la discrimination et les stéréotypes de genre au Maroc, souligne que la législation nationale se dresse comme un pilier essentiel dans la promotion de l’égalité des sexes, notamment dans le domaine de la publicité. La loi n°77.03, relative à la communication audiovisuelle, adoptée en 2015, incarne cet engagement législatif, en intégrant des mesures spécifiques visant à contrer les représentations dévalorisantes des femmes. À travers ses articles, cette loi interdit explicitement toute publicité portant atteinte à l’image de la femme ou véhiculant des stéréotypes négatifs, une image d’infériorité, ou incitant à la discrimination basée sur le sexe. De plus, elle impose aux opérateurs de communication audiovisuelle la promotion de la culture de l’égalité entre les sexes et la lutte contre les stéréotypes préjudiciables à la dignité de la femme. Principaux résultats de l’étude de la HACA La récente étude menée par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, qui a scruté avec attention plus de 750 spots publicitaires diffusés pendant les mois du Ramadan de 2020 à 2023, a révélé des tendances significatives dans la manière dont les femmes sont représentées dans la publicité audiovisuelle au Maroc. Cette période, marquée par une audience télévisuelle accrue, offre un panorama révélateur des dynamiques de genre à l’œuvre dans le secteur de la publicité. L’analyse approfondie, tant quantitative que qualitative, des publicités diffusées aux heures de grande écoute par Al Oula et 2M durant le mois du Ramadan a été mise en parallèle avec les données d’une précédente étude réalisée en 2014. Cette comparaison vise à approfondir le débat sur l’égalité de genre dans le secteur des médias audiovisuels , une question au cœur de l’engagement continu de la HACA. Évolutions positives de la présence de la femme dans la publicité L’une des constatations les plus encourageantes de cette étude est la nette réduction des publicités véhiculant des stéréotypes de genre. Entre 2014 et 2023, le pourcentage de publicités ne reposant pas sur des stéréotypes de genre a été multiplié par plus de cinq. Ainsi, en l’espace de neuf ans, l’étude a révélé que la proportion de publicités évitant les stéréotypes de genre a quintuplé, passant de 9% en 2014 à 51% en 2023. La HACA a également observé une évolution favorable vers une plus grande diversité et équité dans la représentation des femmes et des hommes dans les publicités de divers secteurs. Ce progrès notable témoigne d’une évolution dans la sensibilité des créateurs de contenu publicitaire, qui intègrent désormais davantage de représentations équilibrées des genres. La HACA a également observé une tendance à une meilleure mixité et équilibre dans la représentation des femmes et des hommes, notamment dans les publicités de certains secteurs, reflétant ainsi un pas vers la diversification des rôles attribués à chaque genre. Persistance de représentations discriminantes Malgré ces avancées positives, l’étude met en lumière la persistance de représentations discriminantes à l’égard des femmes. La majorité des spots publicitaires continuent de cantonner les femmes à la sphère domestique, alors même qu’une légère augmentation de leur représentation dans le monde professionnel est notée. Les hommes, quant à eux, sont plus fréquemment dépeints dans des positions de pouvoir et de contrôle, contrastant avec la représentation des femmes souvent reléguées à des rôles subalternes. Cette dichotomie souligne la résilience des stéréotypes, malgré les efforts réglementaires et les initiatives pour promouvoir l’égalité des genres. Appel à l’action Dans le sillage des révélations et des discussions suscitées par l’étude de la HACA, Latifa Akharbach, présidente de l’instance, a souligné l’impératif d’une mobilisation collective pour transformer la représentation des femmes dans les médias. Selon elle, la persistance de stéréotypes et d’images discriminatoires dans la publicité audiovisuelle n’est pas seulement une question de représentation injuste, elle entrave le potentiel des sociétés en matière de développement et de démocratisation. «Au moment où le chantier décisif de la réforme de la Moudawana est ouvert dans notre pays, la consolidation de la culture de la parité, de la diversité et de l’égalité citoyenne apparaît comme une urgence et un atout fondamental pour réussir les réformes et pérenniser les acquis dans ce domaine» a-t-elle rappelé. Un appel à l’action qui résonne comme un impératif urgent et fondamental.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara : Saint-Christophe-et-Niévès réitère son soutien à la souveraineté du Maroc || subtitle : Saint-Christophe-et-Niévès a réitéré mercredi sa position constante en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de son intégrité territoriale. || body : Le ministre des Affaires étrangères, du Commerce international, de l'Industrie, du Commerce et de la Consommation, du Développement économique et de l'Investissement de Saint-Christophe-et-Niévès, Denzil Llewellyn Douglas , a réitéré mercredi à Rabat la position constante de son pays "en faveur de la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara et de l'intégrité territoriale du Royaume". Sahara marocain : La Belgique réitère son soutien au plan d’autonomie La Belgique considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme "un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une bonne base pour une solution acceptée par les parties". Dans une déclaration à la presse à l'issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita , M. Douglas a également réaffirmé le soutien de son pays au processus politique dirigé par l' ONU visant à trouver une solution juste et durable à ce différend régional, tout en soulignant la pertinence de l'initiative marocaine d'autonomie comme "seule solution crédible, sérieuse et réaliste". Cette initiative marocaine est en conformité totale avec le Droit international, la Charte des Nations Unies, les résolutions de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité de l’ONU , indique-t-on dans un communiqué conjoint publié à l'issue des entretiens entre les deux ministres. Selon la même source, la Fédération de Saint-Christophe-et-Niévès a annoncé sa reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud et son soutien à l’initiative du plan d'autonomie comme "seule base sérieuse, crédible et réaliste" pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain . Elle a également salué le développement socio-économique que connaît le Sahara marocain à la faveur des efforts et des investissements engagés par le Royaume du Maroc, dans le cadre du Nouveau Modèle de Développement des provinces du Sud. Ce nouveau modèle a considérablement favorisé l’autonomisation des populations de ces provinces et amélioré les indices de développement humain dans cette région, précise le communiqué conjoint. De plus, la Fédération de Saint-Christophe-et-Niévès, en tant que membre de l'Organisation des États de la Caraïbe Orientale, a salué l'ouverture d'une ambassade de l'Organisation à Rabat le 19 octobre 2018 et d'un consulat général à Dakhla le 31 mars 2022, ajoute-t-on. Le Maroc et Saint-Christophe-et-Niévès expriment leur volonté de conclure une Feuille de route de coopération de nouvelle génération 2024-2026 Le Royaume du Maroc et la Fédération de Saint-Christophe-et-Niévès ont exprimé, mercredi à Rabat, leur plein engagement à consolider et à élargir le champ de leur coopération, exprimant leur volonté de conclure une Feuille de route de coopération de nouvelle génération pour les trois prochaines années (2024-2026). Les deux parties ont également exprimé leur volonté d'approfondir et de consolider davantage leur coopération par l'échange d'expériences et d'expertises dans différents domaines d'intérêt commun. MM. Bourita et Douglas, qui ont hautement salué le niveau actuel des relations entre les deux pays, ont discuté de plusieurs questions en lien avec l'état actuel et les perspectives d'élargissement de la coopération bilatérale afin de répondre aux aspirations et ambitions des deux pays amis. Dans ce sens, la Fédération de Saint-Christophe-et-Niévès a salué le programme de coopération lancé par le Royaume du Maroc depuis 2013 dans le domaine de l'agriculture à travers la fourniture d'engrais qui ont grandement profité aux agriculteurs des pays membres de l'Organisation des États de la Caraïbe orientale, ainsi que dans les secteurs de la santé et du tourisme et en matière de développement des ressources humaines. Pour sa part, M. Bourita a salué les résultats des élections tenues le 5 août 2022 à Saint-Christophe-et-Niévès, qui font partie intégrante du maintien de la bonne gouvernance, de la prospérité et de la stabilité dans la sous-région de la Caraïbe orientale, précise le communiqué conjoint.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-Belgique : Ouverture à Rabat de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat || subtitle : Les travaux de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat Maroc-Belgique se sont ouverts, lundi à Rabat, sous la coprésidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch et du Premier ministre belge Alexander De Croo. || body : Prennent part à cette réunion, du côté marocain, le ministre de l'Intérieur, Abdelouafi Laftit , le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita , le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi , la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali , le ministre délégué chargé de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des politiques publiques, Mohcine Jazouli , et l'ambassadeur du Maroc en Belgique, Mohamed Ameur . Le Premier ministre belge visite le Mausolée Mohammed V Le Premier ministre belge, Alexander De Croo, a effectué, lundi, une visite au Mausolée Mohammed V à Rabat, où il s’est recueilli sur les tombes des regrettés Souverains feu S.M. Mohammed V et feu S.M. Hassan II que Dieu Les ait en Sa sainte miséricorde. La délégation belge est composée du vice-Premier ministre et ministre de la Justice, Paul Van Tigchelt , de la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden , de la ministre des Affaires étrangères, Hadja Lahbib , de la Secrétaire d’État à l'Asile et la Migration, Nicole De Moor , et de la présidente de Comité de direction au ministère des Affaires étrangères, Theodora Gentzis . Cette réunion sera marquée, notamment, par la signature de plusieurs accords de coopération dans différents domaines entre les deux pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Enseignants : les augmentations des salaires effectives dès fin avril || subtitle : L’augmentation salariale approuvée par le gouvernement en faveur des enseignants et des enseignantes, conformément aux accords conclus avec les syndicats représentatifs du secteur le 10 décembre 2023, sera effective dès la fin de ce mois d'avril avec un effet rétroactif à partir de janvier 2024. || body : Le ministère de l'Éducation Nationale a annoncé que les augmentations des salaires du corps enseignant, d'une valeur de 750 dirhams par mois pour la première tranche, seront versées en même temps que le paiement des salaires de ce mois d'avril, avec effet rétroactif à partir Janvier 2024. Ce processus intervient après avoir achevé toutes les procédures nécessaires en coordination avec le Ministère de l'Economie et des finances, indique le département de l'Education dans un communiqué. >>Lire aussi: L'augmentation des salaires des enseignants coûtera 9 milliards de DH sur deux ans Et de rappeler que cette augmentation s'inscrit dans le cadre des accords du 10 et du 26 décembre 2023 entre le gouvernement et les syndicats les plus représentatifs du secteur de l'enseignement. Ces accords prévoient une hausse de 1.500 dirhams, à verser en deux tranches, pour les membres du corps enseignant, hommes et femmes. La première tranche, d’un montant de 750 dirhams sera suivie d'une seconde du même montant à partir de janvier 2025.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Conseil de la concurrence alerte sur une éventuelle augmentation des prix des boissons dans les cafés || subtitle : Le Conseil de la concurrence a annoncé que les investigations préliminaires menées par ses services compétents ont permis de relever des éléments selon lesquels certains propriétaires et gérants de cafés, étudient une éventuelle augmentation des prix des boissons servies dans les cafés, soulignant que si ces faits sont avérés, une enquête sera ouverte à ce sujet. || body : "Dans le cadre du suivi du fonctionnement concurrentiel des marchés nationaux, les investigations préliminaires menées par les services compétents du Conseil de la Concurrence , ont permis de relever des éléments selon lesquels certains propriétaires et gérants de cafés, étudient une éventuelle augmentation des prix des boissons servies dans les cafés . Cette information a été relayée par plusieurs sources de presse", indique un communiqué du rapport général par intérim du Conseil. Pas d’augmentation générale des prix des boissons dans les cafés (Noureddine El Harrak) Depuis deux jours, les rumeurs se sont intensifiées sur une éventuelle décision des propriétaires des cafés et restaurants d'augmenter les prix des boissons. Une information qui a fait polémique notamment sur les réseaux sociaux. Pour y voir plus clair, "Le Matin" a contacté le président de la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants, Noureddine El Harrak, qui a balayé d’un revers de la main toutes ces rumeurs. Explications. A cet effet, le Conseil de la concurrence rappelle que, conformément aux dispositions de la loi 104.12 relative à la liberté des prix et de la concurrence telle que modifiée et complétée, la fixation des prix des produits et services est déterminée par le jeu de la libre concurrence, sauf dans les cas arrêtés, à titre limitatif, par ladite loi. La même source rappelle aussi que les dispositions de la loi 104.12 précitée prohibent les actions concertées, conventions, ententes ou coalitions explicites ou implicites, quelle que soit leur forme ou cause. Elles sont prohibées lorsqu'elles ont pour objet ou peuvent avoir pour effet d’empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence sur un marché, notamment, lorsqu'elles visent à faire obstacle à la formation des prix par le libre jeu du marché en favorisant artificiellement leur hausse ou leur baisse. Par conséquent, les professionnels ou leurs organisations n'ont pas le droit de discuter toute question liée directement ou indirectement aux prix ou aux marges bénéficiaires applicables, ou de les fixer. "Au vu de ce qui précède et si les faits susvisés sont avérés, le Conseil de la concurrence procédera à l’ouverture d’une enquête à ce sujet et prendra toutes les dispositions et mesures légales qui lui sont dévolues, conformément à ses missions et attributions constitutionnelles et législatives", conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Maroc et la Sierra Leone engagés à conclure une feuille de route de coopération nouvelle génération || subtitle : Le Royaume du Maroc et la République de la Sierra Leone ont exprimé, mardi à Rabat, leur plein engagement à consolider, à dynamiser et à élargir le champ de leur coopération, faisant part de leur volonté de conclure une feuille de route de coopération de nouvelle génération pour la période 2024-2026. || body : Dans un communiqué conjoint publié à l'issue des entretiens du ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, avec le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale de la Sierra Leone, Timothy Musa Kabba, la Sierra Leone a salué les actions de coopération menées dans le cadre de la feuille de route de coopération 2021-2023, dans les domaines de l'agriculture, de la pêche, de la santé, des énergies renouvelables et du tourisme. Sahara : La Sierra Leone réitère son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc La République de la Sierra Leone a exprimé, mardi à Rabat, son plein soutien à l'intégrité territoriale du Royaume, tout en considérant l'Initiative marocaine d'autonomie comme la seule solution "crédible, sérieuse et réaliste" au différend autour du Sahara. MM. Bourita et Kabba se sont aussi félicités des liens solides de fraternité, de solidarité, de soutien et d’entente entre les peuples marocain et sierra-léonais, de l’estime mutuelle entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Son frère, Son Excellence le Président Julius Maada Bio, ainsi que de la volonté commune de faire du partenariat maroco-sierra-léonais, un modèle exceptionnel de coopération intra-africaine, fondé sur les valeurs de solidarité, d'échange et de partage. De même, les deux parties ont reconnu les réalisations accomplies et se sont félicitées des résultats de la troisième commission mixte, tenue le 28 avril 2023 à Dakhla, qui a cimenté l'ambition des deux pays de réaliser de nouveaux progrès et de renforcer les relations d'amitié, de solidarité et de coopération. Les deux ministres ont également exprimé leur engagement à mettre en œuvre les accords bilatéraux visant à promouvoir un partenariat gagnant-gagnant à long terme entre le Royaume et la Sierra Leone dans le but d'ouvrir de nouveaux horizons pour aider à libérer l'énorme potentiel sur les plans économique, social et culturel. Selon le communiqué conjoint, les deux parties ont exprimé aussi leur volonté d'orienter les relations bilatérales vers une prospérité partagée et se sont engagées à renforcer leur coopération dans les domaines jugés prioritaires par la partie sierra-léonaise, tels que le commerce, l'agriculture, les engrais, l'investissement, l'eau, la pêche, l'exploitation minière, l'échange culturel, le renforcement des capacités et le tourisme, qui constituent les axes stratégiques de la Sierra Leone conformément aux hautes orientations de Son Excellence le Président Julius Maada Bio. Les deux ministres ont, par ailleurs, souligné les ambitions communes et les objectifs partagés des deux pays, pour répondre aux attentes et à la vision des deux Chefs d'État, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et Son frère Son Excellence Julius Maada Bio, prônant le renforcement de leur action vers un partenariat efficace, au service du progrès, du développement, du bien-être et surtout de la réalisation des aspirations communes de deux nations. En outre, les deux parties sont convenues de tenir la réunion du mécanisme de coopération bilatérale, coprésidée par les deux ministres des Affaires étrangères, au cours de cette année, indique le communiqué conjoint, ajoutant que les dates seront arrêtées d'un commun accord par voie diplomatique. Reconnaissant le succès de la mission des hommes d'affaires marocains à Freetown en janvier 2024, les deux parties ont exprimé la volonté d'établir un partenariat économique solide et de créer un environnement propice à la dynamisation et au renforcement de leurs échanges économiques pour contribuer à la croissance économique et au développement mutuel. D'autre part, M. Bourita a exprimé ses meilleurs vœux à la Sierra Leone pour son nouveau mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies pour la période 2024-2025. Il a souligné que le Maroc reste engagé à œuvrer de concert avec la Sierra Leone pour le développement d'une vision commune pour la paix et la sécurité internationales, tout en se réjouissant de la promotion de la coopération pour parvenir à des solutions pacifiques aux différends internationaux et régionaux. Par ailleurs, M. Bourita a salué le développement remarquable qu'a connu la République de Sierra Leone ces dernières années sous la conduite éclairée de Son Excellence le Président Julius Maada Bio. À cet égard, il a réaffirmé l'engagement du Royaume du Maroc à contribuer aux efforts déployés par le gouvernement de la Sierra Leone à travers de nombreuses initiatives et politiques positives visant à stimuler davantage le développement économique et social. La Sierra Leone s'inscrit pleinement dans les Initiatives Royales pour l'Afrique de l'Ouest La République de la Sierra Leone a exprimé, mardi à Rabat, sa volonté de s'inscrire pleinement dans les initiatives menées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour l'Afrique de l'Ouest. Cette position a été exprimée dans un Communiqué conjoint publié à l'issue des entretiens entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, et le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale de la Sierra Leone, Timothy Musa Kabba. Dans ce communiqué conjoint, M. Kabba a notamment salué le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Sa vision clairvoyante visant à consolider la coopération et la solidarité Sud-Sud pour relever les défis et promouvoir les initiatives régionales qui font progresser la stabilité et le développement socio-économique au service des peuples africains. Le chef de la diplomatie sierra-léonaise s’est, par ailleurs, félicité de la contribution louable du Royaume du Maroc à la promotion de la paix et du développement durable dans la sous-région depuis la création de l'Union du Fleuve Mano. M. Kabba a, en outre, salué l'«initiative éclairée» de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans le cadre du processus des États africains de l'Atlantique, visant à renforcer la coopération en faisant de l'espace africain de l'Atlantique un cadre géostratégique pour la coopération intra-africaine et la promotion de la stabilité et de la prospérité. Il a aussi salué l'opportunité offerte par l'Initiative Royale visant à favoriser l'accès des pays du Sahel à l'océan Atlantique qui contribuera au développement socio-économique de la région et assurera la stabilité et la prospérité en Afrique. Par ailleurs, les deux parties ont souligné le rôle du projet du Gazoduc Maroc-Nigeria qui devrait stimuler l'intégration économique de la région et profiter à toutes les nations concernées – dont la Sierra Leone – en libérant leur potentiel industriel et en réduisant leur déficit énergétique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Parlement : l’opposition exige plus d’assiduité de la part de Aziz Akhannouch || subtitle : Les partis de l’opposition ont de nouveau décoché leurs flèches à l’endroit de la majorité gouvernementale lors de leur dernière réunion tenue vendredi dernier. Les quatre formations politiques ont par ailleurs protesté contre le manque d’assiduité du Chef du gouvernement pour les séances mensuelles des questions de politique générale et son «manque d’interaction avec l’institution législative». Elles ont par ailleurs dénoncé la mainmise de l’Exécutif sur l’action législative et sa faible interaction avec les propositions de loi. || body : À quelques jours de l’ouverture de la session printanière prévue pour ce vendredi 12 avril, les partis de l’opposition ont tenu une réunion la semaine dernière à Rabat pour examiner les moyens de renforcer leur action parlementaire et faire face à l’hégémonie de la majorité. Et comme il fallait s’y attendre, les quatre formations politiques n’ont pas manqué de protester contre ce qu’elles qualifient d’«absence du Chef du gouvernement du Parlement» et son «manque d’interaction avec l’institution législative». Les groupes parlementaires de l’USFP, du MP et du PPS et le groupement parlementaire du PJD ont en effet reproché au Chef du gouvernement son peu d’assiduité pour les séances mensuelles des questions de politique générale. Selon le président du groupe parlementaire du mouvement populaire, les partis de l’opposition ont été unanimes à souligner le manque d’assiduité du Chef de gouvernement et ses absences répétitives des séances mensuelles, malgré leur importance. «Nous tenons donc à appeler le Chef du gouvernement à respecter ce rendez-vous constitutionnel, puisque la Loi fondamentale lui impose de répondre présent une fois par mois pour répondre aux questions des parlementaires. Par ailleurs, nous sollicitons ce dernier pour présenter le bilan de son gouvernement devant le Parlement dans les plus brefs délais afin qu’on puisse évaluer les réalisations de cet Exécutif qui ne cesse de répéter qu’il travaille plus qu’il ne parle», a-t-il affirmé dans une déclaration à la presse publiée à l’issue de cette réunion. Code de déontologie des parlementaires : ce qu'en pense l’opposition Le débat autour du futur code de déontologie des parlementaires bat son plein au sein de l’institution législative. Mais si tout le monde adhère au principe de cette réforme, compte tenu de sa portée et de ses implications sur la vie politique, les partis de l’opposition ne cachent pas leur inquiétude de l’adoption d’un texte qui «pénaliserait le travail parlementaire et ligoterait les mains des députés au lieu de moraliser la vie parlementaire». Par ailleurs, les partis de l’opposition ont également relevé le manque «d’assiduité» de certains membres du gouvernement et leur faible interaction avec les questions écrites et orales, ce qui exige, souligne l’opposition, plus de mobilisation et de pression ainsi que de faire appel à tous «les recours possibles pour renforcer le contrôle de l’action gouvernementale en partant du rôle attribué à l’opposition comme instrument de contrôle responsable et citoyen». Action législative : les partis de l'opposition reviennent à la charge Les partis de l’opposition ont aussi critiqué la mainmise du gouvernement sur l’action législative. En effet, depuis le début de ce mandat, les formations politiques formant l’opposition (USFP, MP, PPS et PJD) n’ont cessé d’exprimer leur mécontentement quant au rejet par le gouvernement des propositions de loi déposées ainsi que la non-tenue des réunions des commissions permanentes dans les délais légaux fixés par le règlement intérieur pour étudier les propositions de loi. À cet égard, l’opposition se dit décidée à poursuivre sa mobilisation pour défendre les initiatives parlementaires. «Nous avons décidés au cours de cette réunion de poursuivre notre engagement à défendre les initiatives législatives émanant des élus de la Nation, tout en dénonçant la poursuite de l’interaction négative du gouvernement avec les initiatives législatives, ce qui constitue un empiétement sur le rôle et les missions du Parlement en tant qu’institution législative. Pourtant, les dispositions de l’article 24 de la loi organique relative à l’organisation et à la conduite des travaux du gouvernement sont claires. Elles prévoient que les membres du gouvernement sont tenus de participer aux travaux des commissions permanentes pour examiner les projets et propositions de loi et d’exprimer leurs positions», ajoute M. Sentissi. Au cours de cette réunion, les partis de l’opposition ont convenu enfin d’œuvrer pour renforcer la moralisation de la vie parlementaire à travers l’accélération de la promulgation de la charte d’éthique qui devra prévoir un volet contraignant afin de mettre en œuvre les dispositions du Message Royal adressé au Parlement en commémoration du 60e anniversaire de sa création. Les formations politiques de l’opposition se sont accordées pour organiser des journées d’étude et des réunions sur plusieurs sujets communs qui intéressent l’opinion publique dans le but de lancer le débat au sein du Parlement. Ils ont également décidé d’encourager le travail au sein des institutions et de renforcer les mécanismes d’ouverture sur diverses expressions et dynamiques sociétales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Gambie: clôture du 15ème Sommet de l'OCI avec l'adoption de la Déclaration de Banjul || subtitle : La 15-ème Conférence au sommet de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), tenue les 4 et 5 mai à Banjul, en Gambie, a salué le rôle de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al Qods, dans le soutien de la cause palestinienne et la protection des sacralités islamiques à Al Qods Acharif. || body : Les travaux de la 15ème session de la Conférence islamique au sommet, tenue sous le thème "Promouvoir l'unité et la solidarité à travers le dialogue pour le développement durable", ont pris fin, dimanche à Banjul, en Gambie, avec l'adoption du communiqué final et de la Déclaration de Banjul. Le Sommet de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI), tenu les 4 et 5 mai au Centre de conférences international "Dawda Kairaba Jawara", en présence de nombreux chefs d’Etat membres, a adopté également une résolution sur la Palestine et Al-Qods Acharif. Banjul : Série d'entretiens de Bourita en marge du 15è sommet islamique Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a eu, samedi à Banjul, en Gambie, une série d'entretiens en marge des travaux de la 15-ème session de la Conférence islamique au sommet. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a été représenté à ce Sommet par le ministre des Habous et des Affaires islamiques , Ahmed Toufiq , qui a donné lecture du Discours Royal lors de la cérémonie d'ouverture solennelle de cet événement. S.M. le Roi adresse un discours à la 15ème Conférence au Sommet de l'OCI Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a adressé un discours à la 15è Conférence au Sommet de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), dont les travaux se sont ouverts, samedi à Banjul (Gambie), sous le thème “Promouvoir l’unité et la solidarité à travers le dialogue pour le développement durable”. Banjul : Série d'entretiens de Bourita en marge du 15è sommet islamique Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a eu, samedi à Banjul, en Gambie, une série d'entretiens en marge des travaux de la 15-ème session de la Conférence islamique au sommet. La question palestinienne , la paix et la sécurité, la situation des communautés et minorités musulmanes dans les États non membres, les questions juridiques, humanitaires, sociales, culturelles, économiques, scientifiques et technologiques, médiatiques, administratives et financières étaient au menu de ce 15ème Sommet que préside désormais la République de Gambie. La cérémonie d’ouverture, présidée par Son Altesse le Prince Faisal bin Farhan bin Abdullah , ministre saoudien des Affaires étrangères, a été l’occasion pour les dirigeants des États membres de discuter de diverses questions politiques, économiques, humanitaires, sociales et culturelles, avec un accent particulier sur le rejet des discours de haine et d’islamophobie, la promotion du dialogue, ainsi que sur les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire Cette 15ème session a été précédée d'une réunion des ministres des Affaires étrangères avec la participation du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita , accompagné de l'ambassadeur du Maroc en Arabie Saoudite, Représentant permanent du Royaume auprès de l'OCI, Mustapha Mansouri, de l'ambassadeur, directeur général de l'Agence Marocaine de la Coopération internationale, Mohamed Methqal , du chargé d'affaires de l'Ambassade du Maroc en Gambie, Ahmed Belhaj, ainsi que de plusieurs responsables du ministère.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Rachid Talbi Alami réélu président de la Chambre des représentants || subtitle : Rachid Talbi Alami du Rassemblement National des Indépendants (RNI) a été réélu vendredi à la tête de la Chambre des représentants avec 264 voix contre 23 pour le candidat du Parti Justice et Développement (PJD), Abdellah Bouanou. || body : Sans surprise, Rachid Talbi Alami , candidat du RNI , a conservé son poste à la tête de la Chambre des représentants . Dans un face à face avec le président du groupement parlementaire du PJD , Abdellah Bouanou , l’actuel président de la Chambre s’est adjugé le vote de 264 parlementaires contre 23 seulement pour son adversaire. À l’issue de cette séance de vote, quelque 37 voix ont été annulées a annoncé le parlementaire du Parti de l’Istiqlal (PI), Hamdi Ould Rachid , qui présidait exceptionnellement cette séance en sa qualité de membre le plus âgé. Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. Intervenant à cette occasion, le parlementaire du PJD, Abdessamad Haikar , a exigé l’annulation des voix exprimées en langue française. Selon le parlementaire de l’opposition, le vote doit se faire dans les deux langues nationales, à savoir l’arabe et l’amazigh. «Un précédent avait eu lieu en 2013», a assuré le parlementaire qui a rappelé que ces voix avaient été annulées à l’époque. «Les 10 voix en question ne vont pas changer l’issue de ces élections, mais leur annulation est une victoire pour nous tous», a-t-il soutenu. Prenant la parole après l’annonce des résultats, «l’ancien-nouveau» président de la Chambre des représentants a tenu, de son coté, à remercier les parlementaires de la majorité et de l’opposition, rappelant dans ce sens qu’il est le président de l’ensemble de la Chambre, comme le stipulent la Constitution et le règlement intérieur de la Chambre. À rappeler que cette session, dont les travaux se sont officiellement ouverts vendredi, sera marquée par d’importantes échéances de contrôle et d’évaluation. En effet, le Chef du gouvernement sera invité à présenter le bilan d’étape de l’action gouvernementale devant le Parlement en vertu des dispositions de l’article 101 de la Constitution, ce qui constitue un momentum politique et constitutionnel exceptionnel et un exercice démocratique et de communication durant cette session qui reflète la maturité de la pratique parlementaire marocaine et l’interaction constructive entre les pouvoirs exécutif et législatif. Il s’agit également d’une opportunité pour informer l’opinion publique nationale des réalisations du gouvernement et du degré de satisfaction des engagements contenus dans le programme gouvernemental, en tant que base contractuelle avec les citoyens. En ce qui concerne le volet législatif, la session parlementaire d’avril planchera sur des textes à caractère prioritaire qui feront assurément l’objet d’un large débat sociétal, en particulier la réforme du Code de la famille , les lois liées au système judiciaire ainsi que le projet de loi organique déterminant les conditions et les modalités de l'exercice du droit de grève .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aide aux transporteurs : les inscriptions lancées le 03 mai || subtitle : Le ministère du Transport et de la Logistique a annoncé le lancement, à partir du vendredi 03 mai 2024, de l'opération d'inscription pour l'obtention du soutien exceptionnel destiné aux professionnels du transport routier. || body : Carburants : légère hausse des prix du gasoil et de l’essence Les distributeurs de carburants ont procédé à une légère hausse dans les prix du gasoil et de l'essence. L’inscription pour l’obtention de ce soutien , qui intervient suite à la décision du gouvernement de soutenir les professionnels du transport routier , sera disponible via la plateforme mouakaba.transport.gov.ma , a indiqué le ministère du Transport et de la Logistique dans un communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aid Al Fitr : le vendredi 12 avril 2024 jour férié dans les administrations publiques || subtitle : C'est officiel. Le chef du gouvernement vient d'accorder le vendredi 12 avril 2024 comme congé exceptionnel dans l'administration publique. || body : Voici le communiqué du chef du gouvernement : "A l’occasion de l’Aïd Al-Fitr, il a été décidé de suspendre le travail dans les administrations de l’Etat et les collectivités territoriales, de manière exceptionnelle, le vendredi 12 avril 2024, au cas où le 1er Chaoual 1445 correspondrait au mercredi 10 avril 2024, et ce, en application des dispositions de l’article 3 du décret n ° 2-05-916 du 13 Joumada II 1426 (20 juillet 2005), tel que modifié et complété".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : En direct du Logismed 2024 : Déclaration de Rachid Tahri, secrétaire général de la Fédération du transport et de la logistique || subtitle : None || body : En direct du Logismed 2024 : Déclaration de Rachid Tahri, secrétaire général de la Fédération du transport et de la logistique.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les incontournables du développement du Maroc à l'horizon 2030 (Mehdi Alioua) || subtitle : 2030, c’est déjà demain et beaucoup reste à faire ! Quelles dynamiques pour franchir un nouveau palier de développement et atteindre les objectifs fixés pour cet horizon ? On a posé la question au sociologue Mehdi Alioua et voici ce qu’il en pense. || body : L’implication du citoyen est l’un des paramètres essentiels dans l’équation du développement, soutient le sociologue Mehdi Alioua . Invité à livrer son point de vue à l’émission «L’Info En Face» , celui-ci a rappelé qu’il y a une forte corrélation entre le développement socioéconomique et la démocratie participative . Pour lui, il n’y a pas de développement possible sans associer la population et toutes les forces vives aux décisions qui les concernent et qui correspondent aux besoins réels du pays et de son avenir. Or au Maroc , l’implication des citoyens dans la prise de décision demeure encore limitée, et ce en dépit des efforts déployés à ce jour. «Il est vrai que cela se fait de plus en plus, mais cela reste largement insuffisant», regrette-t-il. D’ailleurs, s’étonne-t-il, le terme «démocratie» a pratiquement disparu du débat public ces dernières années ! «J’exagère un peu, mais si on fait l’exercice de chercher dans les médias sur les cinq à sept dernières années, le mot démocratie n’apparaît pratiquement nulle part. Pourtant, le projet de société porté par la Constitution de 2011 avait lancé un élan assez important, celui de construire une démocratie à la marocaine», fait remarquer le sociologue, qui est également enseignant-chercheur à l’Université internationale de Rabat (UIR). Cet élan devait aboutir à un modèle démocratique particulier adapté aux réalités nationales. L’attentisme de la société, ennemi du développement Dans cette démocratie à la marocaine , l’enjeu est de définir un contrat social à même de répondre aux nouveaux enjeux de développement . Le contrat social, rappelons-le, défend le principe de souveraineté du peuple basé sur la liberté, l’égalité et la notion de volonté générale. «C’est une question fondamentale. Dans le contrat social, on implique les citoyens. En fait, les citoyens s’auto-impliquent même dans des rapports de force, souvent dans des conflits, pour essayer de faire valoir à la fois leur droit à la dignité, leur volonté d’exister, d’être présents et d’être écoutés», affirme le sociologue. «Quand le citoyen a l’impression qu’il n’est pas écouté, il n’a plus envie de s’exprimer. Cela touche l’esprit d’initiative, la volonté d’entreprendre... In fine, cela touche directement l’aspect économique», poursuit-il. Concernant ce point en particulier, le chercheur estime que le dynamisme de la société marocaine s’est un peu essoufflé parce que les citoyens ont l’impression de ne plus être vraiment écoutés. «En fait, la parole, ce n’est pas qu’elle est moins libre, elle est juste plus attentiste. Le Maroc a de grands chantiers qui devraient être mobilisateurs : le modèle de développement, l’État social..., mais on a l’impression d’être une société attentiste», signale M. Alioua. «Tout cela pour dire que la premier levier pour enclencher cette dynamique de développement est d’impliquer les citoyens pour qu’ils se sentent vraiment acteurs, qu’ils prennent part à la co-construction de ce qu’on appelle l’action sociale», plaide-t-il. «Pour revenir à ces notions de démocratie et de contrat social, ce sont des sujets sur lesquels nous n’arrivons pas à débattre suffisamment. Principalement en raison des raccourcis idéologiques (occidentalisation vs islamisation) qui rendent tout débat stérile. Cela fait plus de 10 ans qu’on n’arrive pas à en sortir ! Pourtant, il ne s’agit pas de copier d’autres pays dans un sens ou dans l’autre. C’est pour cela qu’il nous faut une démocratie à la marocaine», insiste le sociologue. Démocratie à la marocaine : les partis politiques n’ont pas joué le jeu Sur cette question de démocratie, M. Alioua relève que le Maroc a fait de grands pas en matière de liberté d’expression. Aujourd’hui, souligne-t-il, on peut dire que la parole s’est libérée et que les citoyens s’expriment de plus en plus librement sur différentes questions. «Pas exactement comme dans certaines démocraties libérales, mais il s’agit tout de même d’une évolution assez forte, même s’il existe toujours des tensions», précise le chercheur. Par contre, relève-t-il, ce sont les partis politiques qui n’ont pas mis la démocratie au centre de leurs enjeux. «Pourquoi les partis politiques ne portent pas haut la démocratie ? Tout simplement parce que ce n’est pas leur projet politique. Les formations qui ont été aux commandes au cours des 14 dernières années n’ont pas mis la démocratie au centre de leurs enjeux. Que ce soit le PJD qui a une vision populiste de la démocratie ou le RNI qui porte un projet dans lequel cette question n’est pas très présente», explique M. Alioua. «Ce n’est pas une critique. Je ne dis pas qu’ils ont tort, j’essaie juste d’analyser les données en toute neutralité. Le projet du parti qui est aujourd’hui à la tête du gouvernement, par exemple, est basé sur autre chose que la volonté démocratique», tient-il à préciser. «C’est le travail des partis politiques, mais aussi des syndicats et de la société civile. Sans l’État qui doit mettre en œuvre des politiques éducatives susceptibles de remuer cette société, et d’être un peu moins dans la volonté de tout diriger, de tout gérer, que ce soit à l’échelle nationale ou locale», ajoute-t-il. Nabila Mounib : la femme marocaine a besoin de l’Etat social plus que de la réforme de la Moudawana Un gouvernement doit travailler à éradiquer l’analphabétisme et à trouver du travail pour les femmes et les hommes aussi. Et un gouvernement doit faire tout pour évoluer vers ce qu’il a annoncé. C’est l’avis de l’ancienne secrétaire générale du Parti socialiste unifié, Nabila Mounib, qui estime que les femmes ont besoin de plus que de la réforme de la Moudawana, bien que cette réforme soit importante. La Moudawana comme moteur de développement : il faut libérer les femmes ! Mehdi Alioua affirme aussi que la révision du Code de la famille est un autre enjeu de développement qui va conditionner les évolutions des prochaines années. Le chercheur signale que le Maroc peine toujours à améliorer son score dans les classements internationaux, en dépit de ses efforts pour lutter contre les inégalités sociales de manière générale. «La dépendance des femmes vis-à-vis des hommes crée des situations attentatoires à la dignité humaine, et pèse sur le développement social et le développement économique du pays. Les femmes sont attachées complètement à la tutelle masculine de différentes manières, souvent déguisées. Cela empêche le pays de décoller et la société d’assumer réellement la transformation en cours», alerte le sociologue. «Il faut libérer les femmes ! Autrement, on enchaîne la moitié du pays ! On ne développe pas un pays qu’avec la moitié de la population !» martèle-t-il. Il convient de souligner que la révision de la Moudawana , avec les transformations qu’elle va apporter dans son sillage, a déclenché d’intenses débats, particulièrement sur les réseaux sociaux, devenus aujourd’hui de nouveaux espaces publics où s’exerce bien la libre expression. Même s’il y a des abus. À travers ces débats, on peut constater que cette société, qu’on encourage à prendre la parole, est assez divisée sur la question, voire fracturée. Cela va même jusqu’à la violence. Or, note l’expert, la liberté d’expression n’est pas sans limites, même en démocratie libérale. «Tout le monde ne peut pas dire ce qu’il veut, comme il veut ! Ce n’est pas de la démocratie ! En démocratie, il y a des droits, notamment en termes de liberté en général, mais il y a aussi des devoirs !», s’indigne l’enseignant-chercheur. «Il faut bien des arbitres. Et pour l’instant, nous n’avons pas de meilleur arbitre que l’État. Et puis un État fort pour un État social, c’est le modèle de développement choisi par le Maroc, dans lequel il faut à tout prix intégrer la question démocratique et faire bouger les bases pour impulser le développement», lance-t-il.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Investiture de six nouveaux membres de l’Académie du Royaume du Maroc || subtitle : L’Académie du Royaume du Maroc a organisé, mercredi 17 avril, une séance solennelle d’investiture de trois de ses nouveaux membres : Assia Ben Salah Alaoui, Elisabeth Guigou, Najia Hajjaj Hassouni, Abdelfattah Kilito, Alioune Sall et Driss Guerraoui. || body : Il s’agit de la troisième cérémonie d’investiture dans le cadre de la réorganisation de l’Académie du Royaume instituée par le Dahir du 5 février 2021 portant promulgation de la loi n°74-19. Dans son article 11, ce Dahir indique qu’après la nomination de chaque nouveau membre résident ou associé, l’Académie consacre une séance solennelle pour son accueil et son investiture. «Lors de cette séance, le secrétaire perpétuel ou son représentant parmi les membres de l’Académie, prononce un discours de bienvenue en mettant l’accent sur la personnalité du nouveau membre, son parcours et ses contributions scientifiques. À son tour, le membre récipiendaire prononce un discours vantant les vertus et les mérites de son prédécesseur et évoquant brièvement une des questions scientifiques ou intellectuelles qui relèvent de son domaine de spécialité». C’est dans ce cadre que S.E. Assia Ben Salah Alaoui a présenté sa leçon d'investiture intitulée «Le Maroc de S.M. Mohammed VI à l'ère de la géopolitique». Mme Ben Salah Alaoui a tenu, au début de son intervention, à adresser ses remerciements à S.M. le Roi Mohammed VI pour l’honneur rendu aux femmes. Abordant le sujet de sa leçon d’investiture, Mme l’ambassadrice a rappelé le contexte géopolitique qui caractérise le monde actuellement et qui exacerbe les crises économique, financière, alimentaire, climatique... En pleine frayeur des changements du millénaire, la question à laquelle le Maroc se devait de répondre à l’aube du nouveau règne, souligne Mme Ben Salah Alaoui, est la suivante : comment assurer le changement dans l’ordre et préserver l’ordre dans le changement ? «La réponse se décline, un quart de siècle plus tard, par une trajectoire qui, bien qu’émaillée par d’immense défis qu’il nous reste à relever, interpelle tant elle semble défier les idées reçues», souligne l’ambassadrice. lle explique par la suite que le Maroc a su se positionner comme un pays stable dans un contexte mouvementé en devenant un acteur incontournable dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Le Royaume a également brillé à travers la diversification des partenariats stratégiques qu’il a noués avec différents pays, particulièrement en Afrique. Dans le domaine de la transformation énergétique, elle rappelle que le Maroc a fait des avancées notables en matière des énergies renouvelables. La bonne gestion de la dernière crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 a également fait du Maroc un pays distingué et donné en exemple partout dans le monde. «Le Maroc va encore plus loin jusqu’à oser bousculer l’hégémonie bien établie de l’Europe sur la planète foot. Certes, il n’a pas gagné la Coupe, mais il a gagné les cœurs», souligne Mme Ben Salah Alaoui. Cette montée en puissance du Maroc suscite à la fois interrogation et admiration, ajoute l’intervenante en soulignant que le Royaume est en plein dynamique de maturité sur les plans théoriques et pratiques. Assia Ben Salah Alaoui fait un bond en arrière pour rappeler le premier Discours du Trône de Sa Majesté le Roi qui a marqué les esprits par la clarté de la vision Royale et la détermination du Souverain à propulser le Royaume dans le 21e siècle. «Le leadership énergique du Roi s’apprête à naviguer l’ère de l’hypercomplexité pour relever les immenses défis qu’impliquent les objectifs fixés par le Souverain», indique l’intervenante devant les membres et invités de l’Académie. Mme Assia Ben Salah Alaoui a par la suite fait le tour des chantiers stratégiques et projets concrets lancés par Sa Majesté le Roi et qui font du Maroc un leader régional, continental et mondial.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Sahara : Albares s'oppose à l'octroi de la nationalité espagnole aux Sahraouis nés pendant l'occupation || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères espagnol, José Manuel Albares, s'est prononcé contre le proposition de loi du parti Sumar pour l'octroi de la nationalité espagnole aux ressortissants originaires des provinces du Sud, nés sous l'époque coloniale avant 1976. || body : "Les propositions de réforme de la réglementation sur la nationalité pour étendre la nationalité espagnole aux Sahraouis soulèvent des questions de sécurité technique et juridique qui doivent être clarifiées conformément au système judiciaire actuel, et en tenant compte du processus de négociation dans le cadre des Nations Unies , dont la centralité doit être assurée dans tous les cas", a écrit le ministre des Affaires étrangères espagnol, José Manuel Albares dans une réponse écrite au groupe parlementaire de Sumar relayée par les médias ibériques. Le Maroc, "un partenaire stratégique de premier ordre pour l'Espagne" (Albares) Le Maroc est un "partenaire stratégique de premier ordre" pour l'Espagne, a souligné le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, saluant "la coopération exemplaire" entre les deux pays dans tous les domaines. Le parti a déposé au Congrès des députés une proposition de loi pour l'octroi de la nationalité espagnole aux ressortissants originaires des provinces du Sud , nés sous l'époque coloniale avant 1976. Une initiative similaire à celle proposée par Unidas Podemos à la Chambre basse en février 2023 et rejetée par le PSOE et le PP avec l'abstention de Vox.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Plus de 6.850 logements sociaux réalisés dans le monde rural depuis 2019 || subtitle : Treize accords ont été signés depuis le lancement de l’ambitieux programme «100 logements sociaux en milieu rural» en 2019 pour la réalisation de 6.852 unités de logement, a fait savoir la ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, Fatima-Zahra El Mansouri, qui répondait récemment à une question écrite posée par le groupe du Mouvement populaire au sein de la Chambre des représentants. || body : Une attention particulière est accordée à l’accès au logement social dans les zones rurales , a fait savoir la ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, Fatima-Zahra El Mansouri , qui répondait récemment à une question écrite posée par le groupe du Mouvement populaire au sein de la Chambre des représentants . D’après la même responsable, 13 accords ont été signés depuis le lancement de l’ambitieux programme «100 logements sociaux en milieu rural» en 2019 pour la réalisation de 6.852 unités de logement, dont 864 ont déjà été certifiées conformes, témoignant ainsi des progrès réalisés jusqu’à juin 2023. Aide au logement : près de 52.000 demandes reçues au 27 février 2024 La plateforme numérique d'aide directe au logement a connu un engouement significatif depuis son lancement le 2 janvier 2024, enregistrant un total de 51.900 demandes d'inscription. Selon la ministre, ce programme novateur avait particulièrement suscité l’intérêt des promoteurs immobiliers qui avaient exprimé leur désir de participer à ce projet afin d’améliorer les conditions de vie des habitants des zones rurales et de renforcer l’attrait des régions rurales, en particulier des centres ruraux émergents. Abordant les objectifs de ce programme, Mme El Mansouri a indiqué que cette feuille de route tablait sur l’adaptation des logements sociaux aux modes de vie, aux conditions de vie, au contexte culturel et géographique du monde rural, tout en préservant son identité architecturale unique. Un objectif dont la réalisation a nécessité que le département de tutelle œuvre en étroite collaboration avec les acteurs du secteur du logement pour intégrer des modifications et des innovations dans les normes de construction, en tenant compte des particularités locales et des données d’ingénierie propres aux espaces ruraux. Sur un autre registre, Mme El Mansouri a rappelé les efforts consentis pour renforcer le pouvoir d’achat des catégories à revenu limité et moyen, tout en réduisant les disparités régionales en matière de logement, notamment en milieu rural, depuis la fin des contrats du programme de logement subventionné par l’État en 2020. Des efforts qui se sont traduits par le lancement d’un nouveau programme révolutionnaire, conformément à l’article 8 du projet de loi de Finances pour l’année 2023. Cette feuille de route s’était fixé pour objectif d’octroyer une aide financière directe au logement pour tous les citoyens marocains éligibles, à condition qu’ils ne possèdent pas de propriété destinée au logement dans le territoire national, plaçant ainsi le soutien à l’acquisition d’un habitat social dans le monde rural parmi les priorités.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-France : la mise en œuvre de la feuille de route commune progresse (Quai d’Orsay) || subtitle : La France et le Maroc progressent dans la mise en œuvre de leur "ambitieuse" feuille de route commune, a souligné, jeudi, le porte-parole adjoint du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères. || body : Les échanges du ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné , avec son homologue marocain, Nasser Bourita , qui ont eu lieu mardi à Paris , ont "permis de progresser davantage dans la mise en œuvre de l'agenda politique et la feuille de route commune ambitieuse que nous partageons désormais avec le Maroc ", a indiqué le porte-parole adjoint du Quai d’Orsay , qui s’exprimait lors d’un point de presse. Cette feuille de route "concerne aussi bien les grands investissements d'avenir que les aspects sécuritaires, les échanges culturels ou encore les enjeux globaux", a-t-il ajouté. À l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, le chef de la diplomatie française avait écrit sur son compte X que ‘’la relation entre la France et le Maroc est unique !". Maroc-France : Nasser Bourita s’entretient avec Stéphane Séjourné à Paris Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a été reçu, ce mardi 9 avril à Paris, par son homologue français, Stéphane Séjourné. M. Séjourné avait effectué fin février une visite au Maroc , dans le cadre de la ferme détermination de S.M. le Roi Mohammed VI et du président français Emmanuel Macron à impulser le partenariat stratégique bilatéral sur des bases fortes, en capitalisant sur les assises historiques et humaines solides auxquelles sont adossées ces relations, tout en tirant profit des acquis enregistrés dans le cadre de ce partenariat depuis des décennies.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Météo : Les changements de températures, un phénomène normal pendant le printemps (Expert) || subtitle : Après la pluie vient le beau temps ! L’espoir retrouvé grâce aux dernières pluies s’est vite estompé avec l’annonce d’une vague de chaleur qui touche le Maroc depuis mercredi et jusqu’à samedi. Comment expliquer ce changement de météo rapide et brusque ? Explications de Houcine Youaabed, responsable de la communication à la Direction générale de la météorologie (DGM). || body : Une vague de chaleur est prévue dès ce jeudi, et jusqu’à samedi, dans plusieurs provinces du Royaume avec des températures variant entre 34 et 39°C, a annoncé la Direction générale de la météorologie (DGM). Cet épisode caniculaire vient après une semaine pluvieuse qui a été bénéfique pour remplir les barrages marocains. Beaucoup de citoyens s’interrogent sur ce changement rapide de la météo et ce passage d’un climat froid à une hausse des températures avec des pics de 39° sur certaines villes. Les vagues de chaleurs plus longues et plus intenses à cause des changements climatiques (étude) Une nouvelle étude, parue cette semaine dans la revue américaine «Science Advances», met en évidence que les changements climatiques provoquent des vagues de chaleur plus longues et plus intenses. Houcine Youaabed, responsable de la communication à la DGM, précise que ces hausses de températures seront plus importantes dans les provinces du Sud, du Centre et du Nord du pays. Contacté par « Assahra Al Maghribia », M. Youabed explique que les températures dépasseront de 5 à 9 degrés la moyenne saisonnière. Le pic de chaleur sera enregistré vendredi et samedi dans les régions du Sud et du Centre, ainsi que dans les plaines de l'Atlantique Nord, l'Est et le Sud-Est du pays. La hausse des températures concernera également la région du Souss, et les plaines du Tadla, Al Haouz, Rehamna et Tensift, Al Haouz, et même les régions intérieures du Nord du pays. Alerte météo : Vague de chaleur jusqu'à 39°C de jeudi à samedi dans plusieurs provinces Une vague de chaleur est prévue de jeudi à samedi dans plusieurs provinces du Royaume avec des températures variant entre 34 et 39°C, a annoncé la Direction générale de la météorologie (DGM). Selon l’expert, cette augmentation des températures est due au positionnement d'une dépression atmosphérique au Nord au large de l'océan Atlantique, à l'ouest de l'Europe, parallèlement à un anticyclone stationné dans la mer Méditerranée. Ces deux éléments contribuent à la formation d'un courant Sud qui amène une montée des masses d'air chaud et sec du Sahara vers le Maroc, et s'étendra jusqu'à la fin de cette semaine, même pour le Sud de l'Europe. Le même porte-parole a ajouté que les températures devraient osciller entre 33 et 39 degrés dans le Sud et le Centre du pays ainsi que dans les régions atlantiques intérieures et les plaines du nord du pays. Les températures oscilleront également entre 30 et 36 degrés sur les côtes nord-atlantiques, notamment le vendredi 5 avril 2024. Concernant ce changement rapide du climat, M. Youabed a souligné que cette période printanière est souvent caractérisée par des fluctuations météorologiques, avec des températures parfois en hausse ou en baisse à d'autres moments.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aide au logement : plus de 8.500 bénéficiaires au 19 avril 2024 (Mansouri) || subtitle : Le programme d'aide directe au logement a connu un engouement significatif depuis son lancement le 2 janvier 2024, enregistrant un total de plus de 65.000 demandes d'inscription. Au 19 avril 2024, plus de 8.500 demandeurs ont bénéficié de l'aide de l'Etat pour acquérir leur logement. || body : Au 19 avril 2024, le nombre de demandes pour l’ aide directe au logement réceptionnées par la plateforme « Daam Sakane » a dépassé 65.000, dont plus de 8.500 demandeurs ont bénéficié de l' aide de l'Etat pour acquérir leur logement . C'est ce qu'a affirmé mardi à la Chambre des conseillers la ministre de l'Aménagement du Territoire national, de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Politique de la ville, Fatima-Zahra Mansouri . Aide au logement : près de 52.000 demandes reçues au 27 février 2024 La plateforme numérique d'aide directe au logement a connu un engouement significatif depuis son lancement le 2 janvier 2024, enregistrant un total de 51.900 demandes d'inscription. Dans une réponse lue en son nom par la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l'administration, Ghita Mezzour , la responsable a précisé que 80% des demandes sont formulées par des Marocains résidant dans le Royaume et 20% par les MRE , dont 62% sont des hommes et 38% des femmes". Par ailleurs, la ministre a assuré que son département tient des réunions périodiques avec les promoteurs immobiliers , les notaires et la Caisse de dépôt et de gestion pour évaluer l'efficacité et l'efficience de cette opération. Et d'ajouter qu'une réunion de travail sera également programmée avec les banques à cette fin.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pourquoi l’Afrique atlantique doit prendre son destin maritime en main || subtitle : Alors que les tensions mondiales façonnent les nouvelles réalités géopolitiques, l'océan de l'Afrique Atlantique, avec ses promesses et ses tumultes, était au centre des débats hier à Rabat. Des experts de Policy Center for the New South (PCNS), des chercheurs, des sécuritaires et des spécialistes se sont penchés ce jour-là sur les opportunités et les défis des espaces maritimes de l'Afrique atlantique, une région au potentiel immense, mais non exempt de problèmes. Ils ont abordé tour à tour l'Initiative Royale pour le Sahel, la coopération Sud-Sud, la sécurité et les enjeux géoéconomiques, la mer que comme facteur de puissance… Ils ont été unanimes à souligner l’impérieuse nécessité pour l’Afrique de prendre en main son avenir maritime. || body : Alors que les tensions mondiales façonnent les nouvelles réalités géopolitiques, l’océan de l’Afrique Atlantique, avec ses promesses et ses tumultes, était au centre des débats hier à Rabat. Des experts de Policy Center for the New South ( PCNS ) et des chercheurs, des sécuritaires et des spécialistes ont en effet passé au peigne fin «Les enjeux stratégiques des espaces maritimes de l’ Afrique atlantique ». Un océan de possibilités et d’obstacles D’entrée de jeu, Dr Karim El Aynaoui , président exécutif du Policy Center for the New South, a mis en lumière l’urgence de saisir les rênes du développement maritime pour affronter les défis géopolitiques et géoéconomiques imminents. «Nous nous trouvons à un carrefour crucial où nos actions définiront l’avenir de notre continent», a-t-il déclaré, soulignant l’importance de l’ Initiative Royale visant à intégrer économiquement et socialement les pays du Sahel à l’espace atlantique. Jamal Machrouh , Senior Fellow au PCNS, a de son côté expliqué comment la mer peut être un formidable levier de puissance, notant que les pays africains doivent encore faire face à des taux de croissances économiques insuffisants et renforcer leur souveraineté maritime pour réellement tirer profit de cette «puissance bleue». Ainsi, estime-t-il, les océans constituent une formidable source de pouvoir pour les nations, affirmant que l’Afrique doit exploiter cette chance en élaborant une stratégie maritime complète, orientée vers l’établissement d’une zone stable et florissante. Il a attiré également l’attention sur l’initiative marocaine de désenclavement des pays du Sahel, une démarche qui promeut l’inclusion et la solidarité. Cette initiative requiert l’utilisation de mécanismes efficaces et de nouvelles idées pour la réalisation de projets de grande envergure. Le « Morocco Today Forum » se penche sur l’Initiative Royale de l’Afrique Atlantique pour sa 7ème édition Prévue à Dakhla en juillet 2024 et organisée en marge des festivités commémorant le 25ème anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI sur le Trône de ses Glorieux Ancêtres, la 7ème édition du MTF réunira décideurs, diplomates, opérateurs économiques et experts, du Maroc et du reste du Continent, pour débattre des potentialités, des moyens à mettre en place et des défis à relever pour concrétiser la Vision Royale de développement de la façade Atlantique de l’Afrique et de l’accès des pays du Sahel à celle-ci. La voix royale vers un horizon stabilisé La conférence a abordé divers thèmes en quatre panels distincts, allant des enjeux géopolitiques liés à l’intégration régionale et la rivalité des grandes puissances aux défis juridiques des droits maritimes, en passant par les questions de sécurité et les enjeux géoéconomiques . Le panel le plus attendu fut celui qui détaillait l’Initiative Royale, décrite comme une vision avant-gardiste par Mohamed Tangi , modérateur du panel. «Cette initiative ne cherche pas seulement à répondre aux défis présents, mais à construire un avenir où l’Afrique atlantique peut prospérer en paix, dans la solidarité et le développement mutuel», a-t-il affirmé. Il a présenté l’Afrique atlantique comme une région marquée par des rivalités et confrontée à de multiples défis, notamment la faiblesse des contributions de la coopération internationale, l’instabilité politique et les risques environnementaux. Face à ces difficultés, l’intervenant a souligné l’importance cruciale de la navigation maritime, qui représente 90% des échanges commerciaux. Il a également mis en avant l’Initiative atlantique, portée par le Maroc et pour laquelle la Mauritanie et le Sénégal représentent un pilier de stabilité, capable d’apporter une contribution décisive à la concrétisation de ce projet. Pour sa part, Mohamed Methqal , ambassadeur directeur général de l’Agence marocaine de coopération internationale, a abondé dans le même sens en mettant en avant les qualités intrinsèques et les ressources de l’Afrique atlantique, insistant sur le fait que ces atouts doivent être le socle d’une stratégie régionale ambitieuse. Il a affirmé que «la dimension maritime est cruciale pour le développement et l’impact international de toute région géographique». Naviguer parmi les défis sécuritaires et environnementaux La sécurité des mers ne concerne pas uniquement les actes de piraterie ou les conflits armés, mais englobe également les défis environnementaux qui menacent la biodiversité marine et la viabilité des ressources halieutiques. Abdelhak Bassou , Senior Fellow, a souligné la nécessité de préserver ces eaux comme un bien commun africain, en mettant l’accent sur la coopération régionale pour contrecarrer les menaces sécuritaires sans précédent. De son côté, Rachid El Houdaïgui , Senior Fellow au Policy Center for the New South, a observé un regain de la puissance navale dans la compétition mondiale, la considérant non seulement comme un outil de défense et de dissuasion, mais aussi comme un moyen d’exercer de l’influence. Il a également anticipé un basculement de l’Atlantique au cœur des enjeux stratégiques des grandes puissances. L’ambassadeur et Senior Fellow Mohammed Loulichki a soutenu les objectifs du Maroc visant à surmonter les obstacles géographiques tels que l’enclavement, l’instabilité et la division arbitraire entre l’Afrique du Nord et l’Afrique subsaharienne. Il a précisé que pour mener à bien ce projet, jugé à la fois réaliste et faisable, il est essentiel de posséder une expertise en matière de connectivité, d’infrastructures portuaires et de structuration financière. La conférence s’est également concentrée sur les enjeux de sécurité, incluant une analyse des risques, les acteurs étatiques et non étatiques, ainsi que les stratégies d’intervention, avec un accent particulier sur les problématiques environnementales. À ce propos, Abdelhak Bassou, Senior Fellow, a exploré les aspects de stabilité et les défis sécuritaires dans l’Afrique atlantique. Il a mis en avant l’importance de la coopération économique et noté l’absence de conflits interétatiques, tout en mettant en relief les risques liés à l’extrémisme violent et aux activités illicites. Il a insisté sur l’importance de prévenir l’installation de bases militaires étrangères et de favoriser la coopération régionale. De plus, il a avancé que l’amélioration de l’accès des États du Sahel à des zones non enclavées pourrait significativement augmenter leur capacité à combattre le terrorisme de manière efficace. Vers une stratégie maritime robuste : le Maroc à la barre Prenant part à ce débat, le colonel-major Khalid Loudiyi, représentant la Marine Royale, a souligné l’adoption par le Maroc d’un plan stratégique maritime qui intègre prévention, coordination et connaissance, et qui se projette jusqu’en 2027. Ce plan repose sur six piliers essentiels pour améliorer la sécurité. Ce plan comprend la Connaissance du domaine maritime (MDA), essentielle pour une surveillance efficace, et le Command and Control (C2) maritime, qui assure la gestion et la coordination des opérations navales. Il vise également le développement des compétences pour équiper les forces avec les savoirs nécessaires à la nouvelle ère de défis maritimes. En outre, le plan prévoit une Flotte de surveillance cohérente et dissuasive pour protéger les intérêts maritimes du pays, la préparation des forces pour garantir une réponse rapide et efficace en cas de menaces, et la coopération et interopérabilité pour travailler de manière synchronisée avec les partenaires. Il a également partagé des insights sur l’expérience navale du Maroc, rappelant que 23 des 37 pays africains bordant l’océan s’étendent sur des milliers de kilomètres de côtes. Ces nations disposent d’abondantes ressources maritimes, cruciales pour leur développement et pour l’avenir de l’ensemble du continent. Le colonel-major a décrit un environnement de risques et de menaces variés et en constante évolution, comprenant le terrorisme maritime, la piraterie, l’immigration irrégulière, le trafic de drogue, la pêche illégale, la multiplication des câbles sous-marins et une interconnectivité croissante, qui s’ajoutent aux défis posés par les changements climatiques, la crise sanitaire, les guerres actuelles... Dans le même esprit, Naïma Hamoumi , professeure et experte en océanographie, a souligné que le littoral de l’océan Atlantique est confronté à des risques liés à la géodynamique interne, tels que les séismes et les éruptions volcaniques, ainsi qu’aux conséquences du réchauffement climatique, comme le stress hydrique. Elle a insisté sur la nécessité d’une gestion proactive pour atténuer ces risques. Pour répondre à ces défis, elle a proposé la mise en place d’un centre des sciences de la mer au Maroc et a appelé au renforcement de la recherche interdisciplinaire. Elle a également recommandé la formation de techniciens spécialisés et une sensibilisation accrue à tous les niveaux concernant les risques naturels et les impacts du changement climatique. Naviguer entre les lois : complexités du droit maritime africain Lors de cette rencontre, un panel d’experts s’est penché sur les aspects juridiques qui régissent les espaces maritimes de l’Afrique atlantique, abordant principalement le droit maritime, incluant les normes de navigation et de transport, ainsi que les législations relatives à la mer. Parmi eux, Miloud Loukili, expert international en droit de la mer, a mis en exergue la Charte de Montego Bay de 1982, qu’il a qualifiée de pierre angulaire du droit maritime, soulignant le rôle essentiel de la mer dans l’élaboration des lois maritimes et appelant à une coopération intra-africaine pour un développement durable. Faisant le point sur les défis spécifiques de la relation bilatérale Maroc-Espagne, Ayoub Aliati, professeur de droit maritime à l’ISEM, a exploré les tensions liées à la délimitation des frontières maritimes. Les divergences sur les principes d’équidistance et d’équité rendent cette tâche complexe, avec d’importantes répercussions sur la sécurité et l’économie des deux nations, estime-t-il. Dans le prolongement de cette discussion, Larbi Sbaï, également professeur et expert en droit de la mer, a insisté sur l’importance de la sécurité maritime dans l’Afrique atlantique. Il a évoqué la coordination nécessaire pour les opérations de recherche et de sauvetage et a noté que le développement des flottes marchandes stimule la coopération économique et commerciale entre les pays africains. Pour sa part, Sarra Sefrioui, professeure à l’Université Abdelmalek Essaadi, a clarifié la distinction entre la délimitation maritime et la détermination des zones maritimes. Elle a expliqué que les États définissent d’abord leurs zones maritimes avant de procéder à leur délimitation en cas de proximité avec un autre État. Vers une économie bleue : connectivité et gestion portuaire en Afrique Les participants ont également discuté lors de cette conférence des dimensions géoéconomiques, se concentrant sur la maritimisation des économies africaines. Les discussions ont porté sur l’économie bleue, la connectivité maritime et la gestion des infrastructures portuaires, dévoilant des perspectives prometteuses pour l’intégration économique régionale à travers les voies maritimes. En somme, la conférence de Rabat a jeté la lumière sur les multiples facettes de la sécurité maritime, allant de la coopération internationale à la gouvernance environnementale. Avec des propositions concrètes et un appel à l’action immédiate, les participants ont presque esquissé un plan d’avenir pouvant constituer la base d’une feuille de route à travers laquelle l’Afrique atlantique pourrait naviguer vers des eaux plus sereines et prospères.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal || subtitle : Comme il fallait bien s’y attendre, Nizar Baraka a été réélu, à l’unanimité, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal (PI) pour un second mandat, au terme de l’opération de vote qui s’est déroulée lors de la première session du Conseil national du parti tenue aux premières heures de dimanche. M. Baraka était candidat unique après le désistement de Rachid Afilal. || body : C’est acté. Nizar Baraka vient de rempiler pour un deuxième mandat après avoir été réélu à l’unanimité secrétaire général du Parti de l’Istiqlal (PI) , aux premières heures de la journée de dimanche, à Bouznika, au terme de l’opération de vote qui s’est déroulée lors de la première session du conseil national du parti. Après que Rachid Afilal a retiré sa candidature, M. Baraka était candidat unique au poste de chef du parti qui vient de clôturer dimanche son 18e Congrès national sous le thème «Renouveler le pacte pour la patrie et le citoyen». Ouverture du 18ème congrès du Parti de l'Istiqlal à Bouznika Les travaux du 18ème Congrès du Parti de l'Istiqlal (PI) se sont ouverts vendredi soir au Complexe Moulay Rachid de la Jeunesse et de l'Enfance de Bouznika, avec la participation de 3.600 congressistes des différentes régions du Royaume. Dans un discours prononcé à cette occasion, le secrétaire général élu s’est félicité de l’engagement des Istiqlaliens pour la réussite de ce rendez-vous. Il a par ailleurs réitéré sa détermination à poursuivre la mise en œuvre du projet collectif du parti tout en veillant à améliorer sa performance, son positionnement et son rayonnement, ainsi que son efficacité au service de la nation et des citoyens. M. Baraka s’est en outre engagé à œuvrer pour permettre à l’ Istiqlal de contribuer au développement économique, garantir l'égalité des chances pour tous et réduire les disparités sociales et spatiales, soulignant la mobilisation collective pour relever tous les défis et mettre en œuvre des réformes pour parvenir au développement souhaité et consolider la démocratie. Saluant par ailleurs la présence de 3.600 congressistes, le secrétaire général élu a appelé les Istiqlaliens à faire de ce congrès un nouveau tournant dans la vie du parti en œuvrant à renforcer l'unité, la cohésion et l’unification des rangs et la résilience organisationnelle, ajoutant que cette transformation devrait avoir pour objectif de consacrer le leadership du parti aussi bien sur la scène politique que celle partisane nationale. Il convient de souligner que le Parti de l'Istiqlal a réussi à surmonter les divergences autour des amendements à introduire à son statut. Ainsi, il a été convenu lors de ce 18e congrès l'ajout de nouveaux articles définissant l’élection des organes décisionnels, y compris le Comité exécutif, ainsi que d'autres dispositions relatives à la moralisation de la pratique partisane conformément aux Directives Royales. Le 18e congrès, qui a été marqué par quelques tensions en rapport avec la désignation du président du congrès, a connu finalement la création d’un comité présidentiel composé de trois noms, à savoir Abdessamad Kiyouh, Fouad Kadiri et Abdeljebbar Rachidi . S’agissant des membres du comité exécutif, leur cas n’a pas été encore tranché. Le Parti de l'Istiqlal attend en effet toujours que le conseil national décide des membres du comité exécutif du parti.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Femmes dans la publicité : les stéréotypes ont la vie dure au Maroc (Latifa Akharbach) || subtitle : La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a présenté récemment un rapport consacré à la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle, en particulier durant le mois du Ramadan. Une initiative s’inscrivant dans une démarche plus large visant à éradiquer les stéréotypes de genre et à promouvoir une image équilibrée des femmes dans les médias. Couvrant la période allant de 2020 à 2023, l’étude explore les progrès et les défis vers une représentation juste. Latifa Akharbach, présidente de la HACA, nous éclaire sur le sujet. || body : Le Matin : Dix ans après la première étude menée par la HACA en 2014, quels sont les progrès les plus significatifs que vous avez observés dans la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle au Maroc ? Latifa Akharbach : En 2014, l’étude sur les stéréotypes dans la publicité n’avait porté que sur une année. Dix ans plus tard, nous présentons une étude sur 4 années consécutives, 2020, 2021, 2022 et 2023, pour livrer des constats circonstanciés et encore plus significatifs. Par ailleurs, le corpus de 754 spots analysés a une taille suffisamment importante pour nous autoriser à tirer des conclusions rigoureuses. Le choix d’étudier les spots diffusés pendant le prime time du mois du Ramadan se justifie par le fait que cette période constitue traditionnellement un pic d’audience et un pic d’investissements publicitaires pour la télévision dans notre pays. Cela signifie aussi que s’il y a des stéréotypes dans les spots diffusés pendant ce mois, ils seront vus par des millions de Marocains chaque jour ! Lorsque nous comparons les chiffres de l’étude menée en 2014 et les résultats de la nouvelle étude, nous constatons que la représentation des femmes dans la publicité audiovisuelle a connu quelques évolutions positives, mais que de nombreuses communications publicitaires continuent à véhiculer des clichés et des stéréotypes à l’égard des femmes. La principale évolution positive est qu’en 9 ans, la part des publicités qui ne comportent aucun stéréotype a été multipliée par 5, passant d’un taux de 9% en 2014 à une quote-part de 51% en 2023. C’est un acquis important mais pas suffisant, du point de vue de la HACA en tant que régulateur indépendant et soucieux du respect des principes des droits humains et des valeurs démocratiques dans les contenus audiovisuels. Pour nous, ce résultat signifie qu’il y a encore presque un spot sur deux qui est vecteur d’une représentation discriminante à l’égard des femmes. D’autres évolutions positives ont été également relevées. Des secteurs d’activité dont les communications publicitaires télévisuelles «invisibilisaient» les femmes en 2014 leur font aujourd’hui une place de plus en plus grande dans leurs annonces. C’est le cas notamment du secteur des banques et des assurances et de celui de l’automobile. Mais malgré ces évolutions, il y a encore une tendance à l’assignation de genre dans les publicités. Ainsi, dans un pays où il y a un grave problème d’employabilité des femmes, celles-ci continuent à être majoritairement assignées, dans les publicités, à la sphère domestique, malgré une augmentation de leur représentation dans la sphère professionnelle. Or tout le monde sait que la publicité a un très fort impact sur les croyances et les représentations collectives. Ce genre de stéréotypes de genre est susceptible par exemple de constituer un plafond de verre sur le marché du travail. Publicité au Maroc : l'évolution de la place de la femme selon la HACA La Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a organisé, mardi dernier, un atelier consacré à la représentation des femmes dans la publicité télévisuelle, en particulier durant le mois du Ramadan. Avec l’analyse rigoureuse de plus de 750 publicités diffusées entre 2020 et 2023, cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large visant à éradiquer les stéréotypes de genre et à promouvoir une image équilibrée des femmes dans les médias. Une étude présentée à cette occasion par la HACA montre les progrès réalisés, mais aussi les obstacles persistants qui entravent la parité dans l’espace publicitaire marocain, malgré un cadre légal progressiste. Quels défis persistent malgré les efforts réglementaires ? Les défis consistent à casser les chaînes de reproduction et de perpétuation des stéréotypes et des représentations discriminantes, dans la durée et dans tous les contenus médiatiques. C’est un défi qui renvoie à la problématique générale de l’autonomisation des femmes et de la culture des droits humains. Ce chantier de longue haleine nécessite l’implication de tous et la consécration de la culture de la parité et de l’égalité dans tous les espaces : la famille, l’école, la vie publique, etc. Le fait d’avoir travaillé sur plusieurs années consécutives nous a permis de mesurer la fragilité de certains acquis. Par ailleurs, il y a certainement des efforts à faire en matière d’autorégulation du secteur de l’industrie publicitaire. Car il est bien évident que l’on ne peut imputer aux seuls diffuseurs la responsabilité de la permanence de la représentation partiale et partielle des femmes dans les contenus médiatiques. Comment les stéréotypes de genre sont-ils perpétués ou remis en question dans les spots publicitaires diffusés pendant le mois du Ramadan ? Il faut rappeler qu’il y a dans notre société, comme dans beaucoup d’autres, un conditionnement très précoce et une exposition récurrente aux messages et aux comportements discriminants vis-à-vis des femmes. Il est de ce fait difficile d’exiger des médias des résultats immédiats et définitifs en matière de déconstruction des discours stéréotypés. Mais leur devoir est de s’y engager et d’y travailler continuellement. La HACA insère toujours dans les cahiers des charges des opérateurs des dispositions en ce sens. Toutefois, personne ne peut comprendre ce qui empêche les protagonistes de la communication publicitaire de rompre avec certains clichés faciles : la femme bavarde, la femme assistée, la femme vénale, la femme mégère, la femme fée du logis infatigable et heureuse de sa condition, la femme seule responsable des enfants et pourvoyeuse d’attentions et de soins pour tous, etc., puis en créant un effet de répétition. Grâce à son pouvoir d’influence, la publicité peut aider à faire avancer l’appropriation de la culture de l’égalité hommes-femmes et peut favoriser certaines ruptures culturelles à ce propos. Certains annonceurs, publicitaires et opérateurs audiovisuels dans notre pays ont développé des bonnes pratiques que la HACA promeut et salue fréquemment : comités de parité, chartes internes, récompenses pour les spots féministes, campagnes publicitaires sensibles à la diversité, etc. D’autres mobilisations restent nécessaires. Comment les résultats de cette étude pourraient-ils influencer les politiques et pratiques du secteur audiovisuel en matière de représentation des femmes ? En menant ce type d’études, la HACA participe d’abord à une meilleure connaissance de la réalité, des pratiques et des problématiques. On ne peut agir sur la réalité si on ne la connaît pas. La publication de cette étude, comme toutes celles que l’on a déjà réalisées sur des thématiques variées, permet aussi d’informer le grand public et de promouvoir la culture de la régulation sensible aux droits humains dans la société marocaine. La lutte contre les stéréotypes de genre nécessite une mobilisation globale. Notre démarche n’est ni d’être dans des dénonciations publiques ni dans de simples rhétoriques généralistes et passionnées. La HACA enrichie sans cesse sa production normative en matière de représentation de la diversité et ambitionne de renforcer ses interactions sur cette question tant avec les professionnels des médias qu’avec les citoyens. Comment la HACA envisage-t-elle d’équilibrer la nécessité de réguler sans entraver la créativité et la liberté d’expression dans le secteur publicitaire ? Vous soulevez un point très important. La créativité et la liberté de communication constituent le fil conducteur des délibérations du Conseil supérieur de la communication audiovisuelle. Plusieurs décisions prononcées par le Conseil ont débouté des plaintes d’usagers au nom du principe de la liberté de création. Mais cette liberté ne saurait s’exercer au prix d’une infériorisation, d’une «invisibilisation» et donc d’une discrimination d’une partie de la société. Cela vaut pour les femmes et pour toutes les catégories de population marginalisées dans certains domaines de la vie publique. Les décisions prises par le Conseil reposent sur le cadre législatif et la Constitution qui est notre boussole en quelque sorte.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Chambre des Conseillers : ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 || subtitle : La Chambre des conseillers a ouvert, vendredi, les travaux de sa deuxième session de l’année législative 2023-2024, lors d’une séance plénière tenue conformément aux dispositions de l’article 65 de la Constitution et de l’article 18 du règlement intérieur de la Chambre. || body : Dans une allocution à l’ouverture de cette session, le président de la Chambre des conseillers , Enaam Mayara , a affirmé que la session parlementaire de printemps se tient dans un contexte national marqué par une dynamique soutenue, ponctuée par un débat public productif sur diverses questions à caractères socioéconomique et politique, en lien avec les exigences de la phase actuelle et les défis futurs. Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. Parmi ces questions, M. Mayara a cité en particulier, la réforme du Code de la famille qui a fait l'objet de larges consultations avec les différents acteurs concernés, en application des Hautes Orientations Royales appelant à l'adoption d'une approche participative dans le traitement de ce chantier de réforme initié par Sa Majesté le Roi. A ce sujet, le Président de la Chambre des conseillers s'est dit convaincu que le débat autour de la réforme du Code de la famille aboutira assurément à une réforme globale et effective de la Moudawana , renforçant ainsi son rôle vital dans la construction d'une société où chacun jouit de la liberté, de la dignité, de l’équité et de l'égalité des chances , et préservant, par la même, la cohésion de la famille marocaine . Il a fait observer, dans ce contexte, que le Maroc a réalisé d'importants progrès durant les deux dernières décennies dans le domaine de la reconnaissance constitutionnelle de l’égalité des genres, soulignant toutefois la nécessité d'initier de nouvelles réformes en s'appuyant sur les acquis engrangés par notre société et nos aspirations légitimes à davantage de progrès et à la prospérité. M. Mayara a, à cet égard, souligné la détermination de la Chambre des conseillers, avec toutes ses composantes politiques, syndicales, économiques, professionnelles et territoriales, à faire tout ce qu’il faut et à prendre les mesures à même de dynamiser sa force de proposition législative, de contrôle et d'évaluation pour une adhésion effective et productive à l’effort national visant à moderniser les structures sociétales , économiques et politiques de l'État. Par ailleurs, le président de la Chambre des conseillers a noté que la période entre les deux sessions parlementaires s’est distinguée par l’intérêt accordé au chantier de moralisation de la vie politique et publique, assurant que le projet du Code de déontologie sera soumis à l'appréciation des Conseillers et ce, après l’examen minutieux de certaines de ses dispositions dans le cadre des concertations avec les présidents des groupes et des groupements à la Chambre et en coordination avec la Chambre des représentants. Le bilan des travaux de la Chambre des conseillers Evoquant le bilan des travaux de la Chambre des conseillers durant la période entre les deux sessions, M. Mayara a fait savoir que les composantes de la Chambre ont maintenu un rythme de travail appréciable dans le domaine de la diplomatie parlementaire et des activités de rayonnement en lien avec les axes privilégiés dans le cadre du débat public pluriel, et dans la législation, le contrôle et l’évaluation des politiques publiques. Dans le domaine des relations extérieures et de la diplomatie parlementaire, le président de la Chambre des conseillers a fait état de la poursuite du renforcement de la coopération parlementaire bilatérale et multilatérale au niveau des différentes régions géopolitiques en vue de défendre, au sein de l'écosystème diplomatique national, les questions stratégiques et vitales du Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, notamment la première cause nationale. M. Mayara a en outre évoqué la participation et la contribution des sections nationales permanentes ainsi que des délégations de la Chambre aux différentes rencontres tenues par les instances parlementaires régionales, continentales et internationales, ainsi que l’organisation d'importantes manifestations régionales et internationales à l’instar du Forum du dialogue parlementaire Sud-Sud et la Conférence parlementaire sur la coopération Sud-Sud. En ce qui concerne le volet législatif , il a indiqué que la Commission de la justice, de la législation et des droits de l’Homme a poursuivi l’examen du projet de loi relatif à l’organisation et à la gestion des établissements pénitentiaires, ajoutant que les textes régissant ce domaine connaîtront une révision globale et profonde à travers ce texte qui vise à renforcer les mécanismes de protection et de préservation des droits de l'Homme e de la dignité humaine. Au niveau des groupes thématiques et d’évaluation des politiques publiques, le président de la Chambre a indiqué que les deux groupes thématiques chargés de préparer la séance annuelle dédiée à l'examen et à l’évaluation des politiques publiques concernant le secteur du tourisme, et d'élaborer un rapport sur le multilinguisme au Maroc ont continué leur travail, précisant que le premier groupe thématique a tenu une série de rencontres avec des responsables gouvernementaux et effectué plusieurs visites de terrain dans diverses régions du Royaume, alors que le deuxième groupe a initié une multitude de réunions pour apporter les dernières retouches à son programme et plan d’action. En matière de contrôle de l’action gouvernementale, la période entre les deux sessions a constitué une occasion pour traiter les questions et problématiques à caractère local à travers le mécanisme des questions écrites dont le nombre s'est élevé à 209, a-t-il dit, ajoutant que ces questions ont intéressé divers aspects de la vie économique, sociale et culturelle locale de certaines catégories sectorielles ou sociétales au niveau de nombre de provinces et de préfectures du Royaume. Durant cette même période, 273 questions orales ont été formulées, et le gouvernement a répondu à 352 questions écrites, a-t-il conclu.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aziz Akhannouch s’entretient avec le ministre français de l’Economie, Bruno Le Maire || subtitle : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a eu, ce jeudi 25 avril 2024 à Rabat, des entretiens avec Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique, qui effectue une visite de travail dans le Royaume. || body : Lors de ces entretiens, auxquels ont pris part la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah et le ministre délégué chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, les deux parties ont souligné la spécificité et la singularité des relations entre le Maroc et la France, ainsi que la volonté des dirigeants des deux pays, S.M. le Roi Mohammed VI et le président français Emmanuel Macron d’aller de l’avant dans le partenariat stratégique multidimensionnel. Maroc-France : la mise en œuvre de la feuille de route commune progresse (Quai d’Orsay) La France et le Maroc progressent dans la mise en œuvre de leur "ambitieuse" feuille de route commune, a souligné, jeudi, le porte-parole adjoint du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères. "Le Chef du gouvernement s’est félicité de la qualité des relations entre le Maroc et la France et a mis l’accent sur la nécessité de leur donner un souffle nouveau, en phase avec les évolutions qu’elles connaissent à tous les niveaux, dans le cadre d’une concertation étroite", indique-t-on dans un communiqué. Par ailleurs, ces entretiens ont permis d’échanger autour des perspectives prometteuses de la coopération industrielle entre les deux pays dans des secteurs porteurs, notamment en matière d’hydrogène vert. Cette entrevue a également été l’occasion de saluer l’action de l’Agence Française de Développement dans l’accompagnement des réformes et programmes de développement initiés par le Maroc. Les deux parties ont en outre examiné la coopération économique et commerciale entre les deux pays, la France étant le premier partenaire du Maroc en termes de recettes touristiques et d’investissements étrangers. Les échanges commerciaux entre les deux pays se sont établis en 2023 à quelque 163,1 milliards de dirhams, en progression de 33% par rapport à 2021. La réunion a été l’occasion d’évoquer la tenue dans notre pays de la 15ème Réunion de Haut Niveau Maroc – France, qui constitue un mécanisme important pour renforcer le partenariat bilatéral et lui donner un souffle nouveau, indique la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Parlement : le non-aboutissement des propositions de loi inquiète les partis de l’opposition || subtitle : Le sujet du non-aboutissement des propositions de loi revient avec force avec l’ouverture de la session parlementaire de printemps. Les groupes parlementaires de l’opposition appellent en effet la majorité parlementaire et le gouvernement à interagir avec les initiatives législatives émanant des députés, rappelant que sur les 200 propositions de loi déposées depuis le début de ce mandat, seules six ont abouti. || body : La question du non-aboutissement des propositions de loi émanant des groupes parlementaires de l’opposition se pose avec acuité au moment où le gouvernement entame la deuxième moitié de son mandat (2021-2026). Le bilan des initiatives législatives est très peu reluisant. Au cours des deux dernières années de l’ exercice législatif , les députés n’ont réussi à faire passer que six propositions de loi, sachant que la Chambre des représentants avait adopté au cours de la même période plus de 111 projets de loi, dont 18 ont été validés au cours de la dernière session automnale. Une situation qui interpelle sur l’existence d’une réelle mainmise du gouvernement sur l’action législative. Parlement : une session de printemps avec un agenda législatif intense La session parlementaire de printemps de cette année législative, qui s’ouvre vendredi prochain, sera marquée par l’examen de plusieurs projets de loi à fort enjeu. Ces textes, sur lesquels les élus seront appelés à se prononcer, ne manqueront pas de susciter des débats très animés. «Le gouvernement Akhannouch est à mi-mandat aujourd'hui. Il a déjà accompli deux ans d'un mandat de cinq ans allant jusqu'à octobre 2026. De fait, il faut bien parler de mi-mandat, dans la mesure où il ne lui reste plus que deux autres années de travail, l'exercice 2026 étant celui du processus devant conduire au scrutin parlementaire de la Chambre des représentants. Il est donc tout à fait naturel de dresser un bilan législatif, à l’instar du bilan des réalisations. Et force est de constater que l’interaction du gouvernement avec les initiatives législatives demeure très faible, ce qui déteint sur le rôle du Parlement en tant qu’institution législative dont la mission principale est la promulgation de textes de loi, qu’ils soient des projets ou des propositions», souligne Rachid Hammouni, président du groupe parlementaire du Parti du progrès et du socialisme ( PPS ) au sein de la Chambre des représentants, dans une déclaration accordée au «Matin». Pourtant, ce ne sont pas les propositions de loi qui manquent. Les députés de l’opposition ont été très actifs au cours de la période écoulée. En effet, pas moins de 200 propositions de loi émanant des groupes parlementaires formant l’opposition ont été déposées au bureau de la Chambre des représentants, mais très peu d’entre elles franchissent ce cap pour être programmées en commission. Et si «par chance» elles sont présentées en commission, les choses s’arrêtent à ce niveau-là. «Le bureau de la Chambre des représentants évite de programmer d’autres réunions pour la discussion générale et approfondie des propositions de loi. Ainsi, les initiatives législatives des parlementaires finissent par rester lettre morte», déplore le même intervenant. Selon ce député, les différentes initiatives parlementaires déposées par l’opposition n’ont jamais franchi le cap des commissions pour être votées en plénière, depuis l’arrivée de ce gouvernement, à l’exception de quelques propositions de loi adoptées. «Même les textes qui ont été adoptés n’ont aucun poids législatif et ne font que modifier certaines lois déjà existantes. La majorité parlementaire use de tout son poids numérique pour bloquer les propositions législatives émanant de l’opposition, ce qui compromet le travail du Parlement et porte atteinte à la démocratie et au pluralisme» ajoute M. Hammouni. Il est important de rappeler que les partis politiques membres de l’opposition ont exprimé à plusieurs occasions leur mécontentement du rejet par le gouvernement des propositions de loi déposées. Ils ont par ailleurs appelé à la tenue des réunions des commissions permanentes dans les délais légaux fixés par le règlement intérieur pour étudier les propositions de loi. Dans une déclaration accordée à la presse, vendredi dernier, à l’occasion de l’ouverture de la session printanière, Driss Sentissi, président du groupe parlementaire haraki, avait déploré la faible interaction de la majorité parlementaire avec les propositions de loi, sans justification juridique, sachant que la Constitution et le règlement intérieur accordent à l’opposition comme à la majorité le droit de soumettre des propositions de loi afin d’accompagner les doléances des citoyens.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La grève dans les Facultés de médecine tourne à la guerre d’usure || subtitle : Les étudiants en médecine et en pharmacie reprennent de plus belle leur mouvement de protestation. Après une période de trêve «accordée» au ministère de l’Enseignement supérieur pour relancer le dialogue et après le report de la marche de la «Résilience» qui était prévue le 25 avril, ils sont revenus à la charge en organisant un sit-in lundi sur l’emblématique place Bab El Had au centre-ville de Rabat. Ce sit-in, qui était étroitement encadré par les forces de l’ordre, empêchant les protestataires de se diriger vers le siège du ministère de la Santé via le boulevard Mohammed V, a connu la participation des étudiants des sixième et septième années, qui ont décidé également de boycotter les stages au sein des CHU les 6 et 7 mai. || body : Le bras de fer entre le ministère de l’Enseignement supérieur et les étudiants en médecine, médecine dentaire et pharmacie n’est pas près de prendre fin. Après avoir décidé de reporter la marche prévue le 25 avril en signe de bonne volonté et pour créer un climat propice au dialogue, ces futurs professionnels de la santé se sont rendus à l’évidence : ils sont désormais engagés dans une guerre d’usure qu’il envisagent de mener jusqu’au bout. Partant de là, ils ont entrepris d’organiser une marche hier qui devait prendre le départ de Bab El Had pour se terminer devant le siège du ministère de la Santé , en passant par le boulevard Mohammed V. Seulement, la présence des forces de l’ordre a empêché ces étudiants de quitter le point de départ. Du coup, ils étaient obligés d’observer leur sit-in de protestation sur la Place Bab El Had. Les milliers de manifestants qui ont investi cette espace mythique de la capitale ont scandé des slogans dénonçant les «conditions déplorables de leur formation et l’absence de toute volonté de dialogue chez le gouvernement ». «Le gouvernement déclare qu’il ne souhaite pas que le scénario de l’année blanche se produise. Pourtant, il fait tout pour que ce scénario se concrétise. Les deux départements (Santé et Enseignement supérieur, NDLR) ont totalement coupé les canaux de dialogue et refusent de reprendre les négociations. Cette attitude hautaine ne fera qu’envenimer la situation et provoquer de nouvelles tensions dans un secteur où la paix sociale demeure fragile», s’indigne un jeune étudiant en médecine avant de replonger dans la masse des protestataires. Grève dans les Facultés de médecine : les étudiants tendent la main au gouvernement La commission nationale des étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie a critiqué jeudi la «rupture par le gouvernement de tous les canaux de dialogue et son manque de volonté de résoudre la crise» qui se poursuit depuis plus de cinq mois dans le secteur de la santé, malgré les tentatives de médiation engagées par les parlementaires et les signes de bonne foi émis par les étudiants. La Commission, qui a mis en garde contre la circulation de fausses informations, notamment un éventuel consensus autour de 45 points sur les 50 défendus par les étudiants, a réitéré son appel à la réouverture du dialogue dans les plus brefs délais en vue d’éviter le scénario de l’année blanche. Grève dans les Facultés de médecine : La vague de protestation fait tache d’huile Justement, en l’absence de toute initiative de nature à faire entendre la voix de la raison, la tension ne fait que monter dans les Facultés de médecine et de pharmacie . C’est ce qui explique la décision des étudiants des sixième et septième années de médecine de boycotter les stages au niveau des Centres hospitaliers universitaires le 6 et le 7 mai, en guise de soutien à leurs collègues en grève depuis plus de quatre mois. Dans un communiqué publié en fin de semaine, la Commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et pharmacie a indiqué que ce nouveau boycott intervenait suite au refus du ministère de l’Enseignement supérieur de relancer le dialogue, malgré les initiatives prises par les étudiants pour témoigner de leur bonne foi, notamment le report de la marche nationale du 25 avril dernier. Dans cette atmosphère lourde, le spectre de l’année blanche n’a jamais été aussi proche. Pourtant, plus de flexibilité et de sagesse pourrait éviter ce scénario qui n’arrange personne. Ni les étudiants, ni les autorités de tutelle n’ont intérêt à ce que ce bras de fer perdure. Il y va de l’avenir de la réforme du secteur de la santé, pilier essentiel du projet de la généralisation de la protection sociale. Le coût à payer serait extrêmement élevé, comparé aux revendications des étudiants qui portent grosso modo sur l’amélioration des conditions de formation et sur plus de visibilité concernant la réforme des études de troisième cycle.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Course à la présidence de la première Chambre : le PJD veut rebattre les cartes || subtitle : Ce vendredi 12 avril, la Chambre des représentants s’engage dans une session parlementaire cruciale, avec au programme l’élection de son président. Bien que la majorité semble avoir verrouillé le jeu avec la reconduction de Rachid Talbi Alami, la présence d’un candidat du Parti de la justice et du développement (PJD) ajoute une couche d’incertitude. Ce scrutin, marqué également par les tensions au sein de l’opposition et une motion de censure en préparation, pourrait bien dévoiler les lignes de fracture au sein de cette opposition et tester l’unité des forces en présence. || body : Alors que le Parlement s’apprête à reprendre ses activités ce deuxième vendredi d’avril, les projecteurs sont braqués sur une session qui pourrait redéfinir l’équilibre au sein de l’hémicycle. Entre manœuvres politiques et alliances inattendues, la Chambre des représentants se prépare à un scrutin pour désigner son président, une opération qui pourrait révéler des fissures au sein de l’opposition et tester la solidité de la majorité. Avec un candidat de la majorité en position de force et un challenger inattendu du Parti de la justice et du développement , cette élection sera très suivie. Un scrutin sous le signe de la surprise En effet, le Parlement reprendra ses activités ce deuxième vendredi d’avril, conformément à ce que prévoient la Constitution, la loi organique et les règlements intérieurs des deux Chambres. Cette session recouvre les mêmes enjeux que ceux du début de la législature, en particulier à la Chambre des représentants où les élections du président, des membres du bureau de la Chambre ainsi que des présidents et des bureaux des commissions permanentes ont lieu au début de la législature et ensuite au milieu du mandat, lors de la session d’avril, pour la durée restante de la législature . Ainsi, à mi-mandat, l’attention est particulièrement concentrée sur la présidence, avec des interrogations sur le déroulement de l’élection, bien que l’issue soit évidente. En effet, les forces majoritaires de cette Chambre ont décidé de reconduire l’actuel président, Rachid Talbi Alam i, à son poste. Rentrée parlementaire : la course aux postes de responsabilité a commencé Le Parlement marocain s’apprête à vivre une période charnière. Conformément à l’article 62 de la Constitution, d’importants changements sont à prévoir au sein des structures dirigeantes des deux Chambres. Cette phase cruciale de renouvellement soulève des interrogations, notamment sur les rapports de force au sein de la majorité gouvernementale. La session du vendredi 12 avril promet d’être un temps fort de l’animation parlementaire. Alors que la majorité dispose d’une force numérique suffisante pour sécuriser la présidence, Rachid Talbi Alami ne sera pas l’unique candidat en lice. Initialement, on s’attendait à ce que l’Union socialiste des forces populaires ( USFP ), première force de l’opposition, présente un candidat rival. D’autant plus que l’USFP préparait une motion de censure pour déstabiliser la majorité gouvernementale lors de cette session. La vraie surprise est cependant venue d’une autre formation politique, le Parti de la justice et du développement ( PJD ), qui, malgré le fait qu’il ne dispose que d’un groupement parlementaire, a décidé de défier le candidat de la majorité. À la suite d’une réunion extraordinaire, le secrétariat général du PJD a choisi le weekend dernier de proposer Dr Abdellah Bouanou, le chef de son groupement parlementaire, comme candidat à la présidence de la Chambre des représentants pour le reste du mandat parlementaire. Cette annonce est venue juste après une réunion des forces parlementaires de l’opposition et qui ont observé le silence au sujet d’un éventuel soutien à une candidature commune. D’ailleurs, le secrétariat général du Parti de la justice et du développement a critiqué l’Union socialiste des forces populaires (USFP), principale force de l’opposition, pour sa proposition de motion de censure, montrant ainsi des tensions au sein de l’opposition même. Divisions et stratégies : les enjeux d’une opposition fragmentée Par ailleurs, ce scrutin, qui se déroulera à bulletin secret, pourrait révéler des divisions au sein de la majorité ou des votes dissidents. La question demeure : y aura-t-il une surprise qui mènerait à un second tour ? Selon le règlement intérieur de la Chambre, un deuxième tour est nécessaire si aucun candidat n’atteint la majorité absolue de 198 voix. Bien que ce scénario paraisse improbable, étant donné le soutien substantiel dont dispose le candidat de la majorité avec environ 270 voix sur les 395 sièges de la Chambre, comprenant 102 pour le Rassemblement national des indépendants (RNI), 87 pour le Parti authenticité et modernité (PAM), et 81 pour le Parti de l’Istiqlal. De son côté, le PJD, avec seulement 13 sièges, et même en comptant sur le soutien de l’USFP (34 sièges), du Mouvement populaire (28 sièges), et du PPS (22 sièges), ne rassemblerait au mieux que 84 voix, à condition que tous ces élus soient présents lors de la séance plénière consacrée à l’élection.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Abdelouafi Laftit reçoit la ministre fédérale belge de l'Intérieur, Annelies Verlinden || subtitle : Le ministre de l'Intérieur, Abdelouafi Laftit, a eu, lundi à Rabat, des entretiens avec la ministre fédérale belge de l'Intérieur, des Réformes institutionnelles et du Renouveau démocratique, Annelies Verlinden, axés notamment sur l'examen de questions d'intérêt commun et des moyens de renforcer davantage la coopération bilatérale. || body : Ces entretiens, auxquels ont pris part de hauts responsables des deux ministères en présence de la Secrétaire d'État belge à l'Asile et la Migration, Nicole de Moor, ont été aussi l'occasion d'échanger les vues autour de questions liées à la lutte contre le terrorisme, l'extrémisme et la migration irrégulière. Dans une déclaration à la presse à l’issue de ces entretiens, Mme Verlinden s’est félicitée de la collaboration déjà étroite entre le Maroc et la Belgique particulièrement sur des sujets relatifs à la sécurité. Investissement, énergies ... : Le détail de la Déclaration Conjointe adoptée par le Maroc et la Belgique La 3ème réunion de la Haute Commission Mixte de Partenariat entre le Maroc et la Belgique s'est tenue à Rabat, le 15 avril 2024, sous la coprésidence du Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, et du Premier Ministre, Alexander De Croo. Les travaux de cette réunion ont été sanctionnés par la signature de deux mémorandums d'entente sur la modernisation de l'Administration judiciaire et l'énergie verte ainsi qu'une feuille de route relative aux actions menées dans le cadre du dialogue politique. "Il y a déjà un échange d'informations important entre nos services de police et de sécurité et nous avons discuté des moyens de renforcer cette collaboration pour lutter ensemble contre la criminalité organisée, le terrorisme, l'extrémisme et le trafic d'êtres humains", a-t-elle dit. Mme Verlinden était arrivée, dimanche soir à Rabat, parmi la délégation accompagnant le Premier ministre belge, Alexander De Croo, pour une visite dans le Royaume à l’occasion de la tenue de la Réunion de la Haute Commission mixte Maroc-Belgique, co-présidée par le Chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, et son homologue belge.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Appel depuis «Bayt Dakira» à ériger la diversité culturelle en catalyseur de paix || subtitle : L'impératif d'ériger la diversité culturelle au rang de catalyseur de paix a été mis en lumière, dimanche au complexe scientifique et culturel Bayt Dakira, lors d'un colloque international dont les travaux se sont prolongés tout au long du weekend à Essaouira. || body : S'exprimant à la clôture de cette rencontre internationale organisée sous le thème «Enjeux culturels au prisme de la diversité : quand le Maroc donne du sens à sa diversité», le Conseiller de S.M. le Roi et président fondateur de l’A ssociation Essaouira-Mogador , André Azoulay , a souligné le rôle crucial du Maroc en matière de promotion du dialogue , de la tolérance et de la coexistence pacifique entre les cultures et les religions . >> Lire aussi : Antisémitisme : l’Envoyée spéciale américaine visite Bayt Dakira Dans cette perspective, M. Azoulay a mis en avant la position singulière qu'occupe la Cité des Alizés en tant que carrefour de rapprochement entre les cultures, tant au niveau national qu'international, saluant, dans ce sens, les initiatives constantes de dialogue interculturel qui se déploient «dans cette ville emblématique, où les vents de la tolérance et de la compréhension soufflent depuis des siècles». Intervenant à cette occasion, le président-fondateur du Centre d’études et de recherches sur la culture et le droit hébraïques au Maroc , Abdellah Ouzitane , a mis en relief l'impératif, dans le contexte actuel, de promouvoir notre culture et notre diversité afin de préserver ce «trésor fragile qu'est l'humanité». «Le Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le Roi , assume sa responsabilité morale, prône la lucidité, la résilience et l'acceptation de la diversité de l'autre», a précisé M. Ouzitane, dans une déclaration à la MAP, insistant sur le rôle de chacun de porter le flambeau de la centralité de l'humain dans toutes les initiatives et actions entreprises. Farid El Bacha , fondateur de la Maison Maroc pour la paix et la tolérance , a, quant à lui, partagé une vision profonde de l'importance de l'enseignement dans la construction d'un avenir pacifique et tolérant, affirmant que «l'éducation est l'unique réponse aux conflits et aux massacres, loin des armes». Convaincu que «les valeurs communes peuvent guider notre parcours collectif», M. El Bacha a insisté sur le rôle essentiel des établissements universitaires , non seulement dans la transmission du savoir, mais aussi dans la promotion des valeurs fondamentales de tolérance et d'humanisme. Dans cette lignée, le président de l’ Université Abdelmalek Essaâdi , Bouchta El Moumni , s'est arrêté sur le lancement récent de «l’ Université culturelle Tétouan-Essaouira », un projet culturel et humanitaire ayant pour vocation d'étudier les questions liées au dialogue interculturel et interreligieux , ainsi qu’à leur renforcement, à travers le prisme des valeurs universelles. «Cette initiative offre une plateforme privilégiée aux acteurs académiques, scientifiques et aux résidents des deux villes pour organiser des rencontres scientifiques et littéraires variées», a-t-il expliqué, précisant que ce projet ambitieux tend à mettre en lumière les multiples affluents culturels du Royaume ainsi que son précieux patrimoine, à la fois matériel et immatériel. «La tolérance est essentielle et nous devons nous en imprégner pour apporter une contribution constructive, notamment dans la région du Moyen-Orient », a dit, de son côté, Steven Höfner , représentant résident au Maroc de la Fondation Konrad Adenauer . Saluant l'importance cruciale de la thématique abordée lors de cette rencontre scientifique, M. Höfner a plaidé en faveur du renforcement du dialogue interculturel et interreligieux, tout en soulignant la nécessité impérieuse de promouvoir la compréhension mutuelle et le respect des différences. En marge de ce colloque international, le Centre d’études et de recherches sur la culture et le droit hébraïques au Maroc a signé une convention de coopération avec la Fondation Konrad Adenauer, visant à renforcer la collaboration entre les deux parties, notamment en matière de recherche et de promotion culturelle. Par la même occasion, le Centre a également procédé à la signature d'une deuxième convention avec l' Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud (ADPS) . Dans une déclaration à la presse à cette occasion, le directeur général de l'ADPS, Jabrane Reklaoui , a souligné l'importance capitale de cette convention, précisant qu'elle entend promouvoir la richesse culturelle des provinces du Sud à travers diverses activités culturelles organisées dans la Cité des Alizés, tout en renforçant les liens de coopération et d'échange entre les différentes entités concernées par ce partenariat. Cette rencontre de réflexion a été, par ailleurs, ponctuée par des interventions de professeurs universitaires et d'élèves membres de clubs de coexistence, apportant un éclairage sur les enjeux contemporains liés à la diversité culturelle et religieuse, ainsi que sur les moyens de favoriser un dialogue constructif et inclusif. Organisée conjointement par le Centre d’études et de recherches sur la culture et le droit hébraïques au Maroc, l’ Association Essaouira-Mogador et Bayt Dakira , ce conclave, auquel ont pris part une pléiade de personnalités de diverses sphères, a constitué l'occasion propice de rassembler des perspectives variées et complémentaires, favorisant ainsi un échange dynamique et fructueux sur les défis et les opportunités liés à la promotion de la paix et de la tolérance dans notre société contemporaine.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La Chambre des Représentants parachève la composition de ses organes || subtitle : La Chambre des représentants a tenu, jeudi, une séance plénière consacrée à l'élection des membres de son Bureau. || body : L'élection des membres du bureau de la Chambre des représentants a eu lieu ce jeudi conformément aux dispositions de l'article 62 de la Constitution et de l'article 28 du règlement intérieur. Il ressort de la liste unique annoncée par le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami , et ayant recueillie 163 voix sur les 170 exprimées (7 bulletins nuls), que Mohamed Sibari du groupe Authenticité et Modernité, a été élu premier vice-président du bureau, Abdessamad Qayouh , du groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme, 2ème vice-président, et Driss Chtaibi du groupe socialiste- opposition ittihadie-, au poste de 3ème vice-président. Les groupes parlementaires s’affrontent pour s’assurer une place dans les commissions clés Au cœur de la session parlementaire de printemps, le renouvellement des instances de la Chambre des représentants déclenche une intense bataille politique. Entre élections serrées et manœuvres stratégiques, les groupes parlementaires s’affrontent pour s’assurer une place au bureau et dans les commissions clés, sous l’œil vigilant du président réélu, Rachid Talbi Alami. Cette période critique révèle les complexités et les défis du processus électoral interne, dictés par des règles strictes de représentation et de proportionnalité. De même, Mohamed Ouzzine du groupe Haraki a été élu en tant que 4ème vice-président, Mohamed Joudar (groupe constitutionnel, démocratique et social) 5ème vice-président, et Nadia Touahmi du Groupe Progrès et socialisme, 6ème vice-présidente, alors que Zina Id Hali et Mohamed Ghayate du groupe Rassemblement national des indépendants siègeront respectivement en tant que 7ème et 8ème vice-présidents. Pour leur part, Mohamed Hammouti du Groupe Authenticité et Modernité et Tarik Kadiri du groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme ont été élus questeurs de la Chambre des représentant, tandis que Mbarek Hmia du groupe Rassemblement national des indépendants, Nadia Bouzendfa du Groupe Authenticité et Modernité et Marwa Ansari du groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme occuperont les postes de secrétaires de la Chambre. Le président de la Chambre des représentants avait annoncé à l'entame de cette séance, conformément aux dispositions de l'article 60 du règlement intérieur, les listes des groupes et des groupements parlementaires, ainsi que les noms de leurs présidents. Il s'agit de Mohamed Chaouki du groupe du Rassemblement national des indépendants, Ahmed Touizi du groupe Authenticité et Modernité, Omar Hjira du groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme, Abderrahim Chahid du groupe socialiste-opposition ittihadie, Driss Sentissi du groupe Haraki, Belassal Chaoui du groupe Constitutionnel démocratique et social, Rachid Hammouni , du groupe du Progrès et du socialisme et Abdellah Bouanou du groupe parlementaire de la justice et du développement. Lors d'une séance plénière tenue vendredi dernier, la Chambre des représentants avait réélu Rachid Talbi Alami, du Rassemblement national des indépendants, président de la Chambre pour le reste de la législature parlementaire (2021-2026).</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Académie Hassan II des Sciences et Techniques : Agrément Royal pour la nomination de sept nouveaux membres || subtitle : S.M. le Roi vient de donner Son Agrément à sept nouvelles nominations à l’Académie Hassan II des Sciences et Techniques. Les nouveaux membres seront officiellement installés lors de la prochaine session plénière solennelle. || body : Sa Majesté Le Roi Mohammed VI vient de donner Son Agrément à sept (7) nouvelles nominations à l' Académie Hassan II des Sciences et Techniques . Il s’agit de Lalla Btissam Drissi et de Omar El Fallah en qualité de membres résidents, de Nadia Yousfi, Abdelkrim El Kadib et Salim Tayou, en qualité de membres correspondants et de Abdelkarim Filali-Maltouf et Redouane Taouil en qualité de membres correspondants honoraires, a indiqué l’Académie dans un communiqué. Nouvel accord pour promouvoir la formation professionnelle et de la recherche scientifique Le Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS) s'allie à l'Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) et à l'Académie Hassan II des sciences et techniques pour promouvoir la formation professionnelle et de la recherche scientifique. En qualité de membres résidents : Lalla Btissam Drissi Doctorat d’Etat en sciences physiques, Professeur d’Enseignement supérieur, Faculté des Sciences de Rabat, Chef du Laboratoire "Moroccan Falling Walls Laboratory", Elue "Gardienne des Sciences", Prix de recherche Georg Forster, Présidente du Réseau Africain pour les matériaux bidimensionnels avancés pour la nanotechnologie, regroupant 13 pays africains, Auteur de 140 articles dans des revues internationales auteur de 2 ouvrages spécialisés et de 4 chapitres de livres spécialisés, Domaines d’intérêt : nanostructures à basse dimension pour l’énergie verte, physique médicale, matériaux émergents. Omar El Fallah Doctorat d’Etat en mathématiques, Professeur de l’Enseignement supérieur, Directeur du Laboratoire "Laboratoire Analyse et Applications" - Université Mohamed V, Rabat, Président du Jury du Concours d’agrégation des lycées en mathématiques 2021 et 2022, Expert du Haut Conseil de l’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement supérieur – France (2016), Reviewer pour plusieurs journaux internationaux de mathématiques, Lauréat du Prix "2016 AMMSI Philip Griffiths Prize" (African Mathematics Millenium Science Initiative) ; ce prix récompense une contribution exceptionnelle en mathématiques et il est décerné par le prestigieux "Institut d’Etudes Avancées de Princeton", USA, Travaux d’intérêt : Analyses mathématiques, Algèbres de Banach, Analyse complexe, Espaces Fonctionnels, Théorie des opérateurs, Théorie du potentiel, Auteur de 42 articles dans des revues internationales, Invitations à des conférences internationales dans plusieurs pays (France, Pologne, Espagne, Royaume Uni, Canada), Auteur d’un ouvrage sur "Dirichlet Space" (Cambridge University Press). En qualité de membres correspondants : Nadia Yousfi Professeur des universités en délégation à l’Université Internationale de Rabat, en charge du programme hydrogène, Doctorat en Sciences pour l’ingénieur, DESS en mathématiques pour l’industrie, Master en Energétique, Lauréate de la Médaille de Bronze du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique – France), Lauréate de la Médaille Blondel, Brevets (2 et 1 en cours d’instruction), Conférence invitée (8), Direction d’ouvrage (3), Auteur d’articles dans des revues internationales et des congrès (87), Membre du HER (Hydrogen Europe Research) pour les appels à projets avec financement européen, Lauréate du Trophée de l’hydrogène (2022), Mme Yousfi est la grande spécialiste de l’hydrogène vert au niveau mondial. Abdelkrim El Kadib Doctorat (Chimie) (Université Paul Sabatier – Toulouse), Professeur de l’Enseignement Supérieur à l’Université Euro-Med de Fès, Travaux de recherche : chimie verte et durable, Classé parmi les 2% meilleurs chercheurs au monde (dans le classement de Stanford), Reviewer pour plusieurs prestigieux journaux scientifiques (a examiné plus de 500 articles depuis 2010), Auteur de plus de 120 articles, possède un h-index égal à 32 et quelques 3500 citations, Auteur de 12 brevets, Auteur d’un chapitre de livre spécialisé, Keynote dans 18 conférences, A participé à la création de La Fondation MAScIR (Moroccan Foundation for Advanced Science, Innovation and Research, Maroc), A encadré 30 Ph.D et 3 Post-docs. Salim Tayou Doctorat en mathématiques, Professeur en mathématiques à Dartmouth College-Hanover USA (cette université est parmi les 10 plus anciennes universités américaines, créée en 1769), Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieur (Rue d’Ulm Paris) 2012-2016 ; Parmi ses distinctions et récompenses : La Bourse d’excellence scientifique accordée par la NSF Fondation Nationale des Sciences (USA), La Bourse Benjamin Pierce Fellowship (accordée par l’Université de Harvard et considérée comme la plus prestigieuse bourse post doctorale en mathématiques aux Etats Unis), Giorgio and Elena Petronio Fellowship, accordée par l’Institut d’Etudes Avancées de Princeton USA, le plus prestigieux Institut de mathématiques du monde, ou le grand savant Einstein a exercé tout le temps qu’il a vécu aux Etas Unis, Médaille de Bronze aux « International Mathematical Olympiads (2010) », Classé premier au Concours d’entrée à l’Ecole Polytechnique (Paris) ; entre l’Ecole Polytechnique et l’ENS (ULM), il a opté pour l’Ecole Normale Supérieur (Rue d’Ulm), Titulaire de la bourse d’excellence accordée par l’Académie Hassan II des Sciences et Techniques, lauréat en mathématiques du Concours Général des Sciences et Techniques, Classé premier au Concours National Commun (Maroc), Referee de plusieurs grands journaux de mathématiques, "Entraîneur" de l’équipe marocaine pour les olympiades internationales de Mathématiques. En qualité de membres correspondants honoraires : Abdelkarim Filali-Maltouf Doctorat d’Etat en biologie moléculaire – Université Paris XI – Orsay France, Professeur Enseignement Supérieur, Faculté des Sciences de Rabat, Nommé en 2013 par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu Le garde, membre correspondant de l’Académie Hassan II des Sciences et Techniques, Auteur de 128 publications dans la base WOS (Web of Science), h index 28, et 154 publications dans la base SCOPUS (h index 24), Pilote au nom de l’Académie un grand projet de recherche international sur l’olivier, A contribué à la création d’un consortium réunissant 10 équipes de recherche pour la lutte contre les épidémies et pandémies notamment le COVID (diagnostic, étude, prévention et traitement). Redouane Taouil Doctorat d’Etat en Sciences économiques, Agrégation des Universités en Sciences économiques, Professeur des Universités Faculté d’Economie de Grenoble (France), Nommé (en 2014) par Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu Le protège membre correspondant de l’Académie Hassan II des Sciences et Techniques, Auteur de plusieurs articles dans des revues internationales prestigieuses, Anime chaque année depuis 2009 dans le cadre du plan d’action du collège Etudes Stratégiques et Développement économique, une Ecole Académique sur «Modélisation et Prospective», destinée aux doctorants en sciences économiques et portant sur les liens entre théorie, modèles et économétrie, Au nom de l’Académie, Pr. Taouil développe une coopération avec Bank Al Maghrib, le Département d’études et de prévision du Ministère des Finances et l’Université Mohammed VI Polytechnique. Les nouveaux membres de l’Académie seront officiellement installés lors de la prochaine session plénière solennelle. L’Académie Hassan II des Sciences et Techniques renouvelle à cette occasion ses félicitations à tous les nouveaux membres pour cette précieuse marque de Confiance Royale à leur endroit. Ainsi se poursuit le renforcement progressif des compétences scientifiques de l' Académie Hassan II des Sciences et Techniques , qui ne ménagent aucun effort pour la mise en œuvre des Orientations Royales , avec pour objectif "servir le pays et contribuer au développement de la science mondiale".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Hammouchi s’entretient avec le Chef du Service de sécurité du Qatar || subtitle : Dans le cadre d’une tournée dans plusieurs pays du Moyen-Orient, le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi a effectué, à compter du 21 avril, une visite de travail à Doha, au Qatar, à la tête d’une délégation sécuritaire. || body : Des rencontres ont été tenues à Doha entre le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi et le Chef du Service de sécurité de l'État du Qatar , Abdullah ben Mohammed Al-Khulaifi , qui était accompagné de hauts responsables sécuritaires qataris . Coopération sécuritaire : Hammouchi en visite de travail au Royaume-Uni Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi, a effectué cette semaine une visite de travail au Royaume-Uni, au cours de laquelle il a eu des entretiens avec des responsables britanniques portant sur les moyens de promouvoir la coopération dans divers domaines sécuritaires, notamment la lutte contre le terrorisme et le crime organisé transfrontalier. Cette visite intervient dans une conjoncture internationale marquée par plusieurs changements et divers défis sécuritaires , a indiqué une source sécuritaire, précisant que la rencontre a été l’occasion d’évoquer les principaux défis sécuritaires communs dont ceux relatifs aux crimes transfrontaliers , aux menaces terroristes qui guettent les deux pays frères, ainsi qu'aux répercussions des développements inquiétants dans certains zones de tension à travers le monde. La rencontre a été aussi l’occasion pour les deux parties de renforcer la coopération conjointe à travers la mise en oeuvre d’”importants partenariats sécuritaires ”, d'examiner les moyens à même de consolider la coordination sécuritaire entre les deux pays, outre l’échange d’expertises et d’expériences dans tous les domaines sécuritaires et l'intensification des efforts pour faire face aux répercussions du fléau du terrorisme sur la sécurité et la stabilité des deux pays, selon la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aid Al Fitr : les détenus autorisés à recevoir un panier de repas à partir du deuxième jour || subtitle : La Délégation générale à l'Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a indiqué que les détenus seront autorisés à recevoir un panier de repas à partir du 2ème jour de l'Aid Al Fitr et durant une semaine, et ce selon le calendrier établi par l'établissement pénitentiaire. || body : En vue d'assurer le bon déroulement de l' Aid Al Fitr dans les établissements pénitentiaires , la DGAPR a décidé d'autoriser les visiteurs à apporter un panier de denrées alimentaires à partir du deuxième jour de l'Aid et durant une semaine, et ce selon le calendrier établi par chaque établissement. Aid Al Fitr : le vendredi 12 avril 2024 jour férié dans les administrations publiques C'est officiel. Le chef du gouvernement vient d'accorder le vendredi 12 avril 2024 comme congé exceptionnel dans l'administration publique. Les établissements pénitentiaires offriront toutes les facilités nécessaires à leurs pensionnaires pour leur permettre de contacter leurs familles et les informer des conditions et de la date programmée pour l'introduction du panier d'alimentation , souligne la délégation dans un communiqué, qui invite les familles des détenus à s'engager de manière sérieuse et responsable pour contribuer à la réussite de cette opération. Cette décision intervient dans le cadre de l'exclusion des fêtes religieuses de l'interdiction des paniers-repas , au regard de l'impact psychologique positif de cette fête sur les détenus et sur la préservation des liens familiaux , conclut la même source.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nairobi : le Maroc participe au Sommet africain sur les engrais et la santé des sols || subtitle : La réunion ministérielle préparatoire au Sommet africain sur les engrais et la santé des sols, prévu jeudi, a ouvert ses travaux mardi à Nairobi avec la participation du Maroc. || body : Le Maroc est représenté à cette réunion des ministres africains de l'Agriculture , qui se tient en prélude du Sommet, par le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki , qui conduit une importante délégation qui comprend notamment l’Ambassadeur Représentant Permanent du Maroc auprès de l’Union africaine (UA) et de la CEA-ONU, Mohamed Arrouchi . La durabilité et la résilience au cœur de la 16e édition du SIAM Du 22 au 28 avril 2024, la ville de Meknès vibrera au rythme du Salon international de l’Agriculture. Ayant pour thématique «Climat et Agriculture : pour des systèmes de production durables et résilients», cette 16e édition promet plein de nouveautés. La durabilité et l’innovation étant au cœur des préoccupations. Organisé par l' UA et le gouvernement kényan , le Sommet réunira jeudi des chefs d'État africains, de hauts responsables gouvernementaux, des acteurs du secteur privé et des représentants d'organisations de la société civile. Il ambitionne de souligner le rôle crucial des engrais et de la santé des sols dans la stimulation d'une croissance de l'agriculture africaine durable et favorable aux populations pauvres. L'événement de trois jours devra déboucher sur l'adoption d'un Plan d'action décennal qui fournirait des recommandations concrètes sur les mesures à prendre par les dirigeants et les différents intervenants africains au cours des dix prochaines années. Ce Plan d'action devra orienter les nouvelles politiques et les investissements futurs visant à permettre aux agriculteurs de contribuer à la restauration de la santé des sols et au développement du rendement et de la rentabilité des engrais. Outre le Plan d'action décennal, les participants à ce Sommet devraient adopter la Déclaration de Nairobi sur les engrais et la santé des sols , ainsi que le cadre de l' Initiative des sols pour l'Afrique . Le Sommet permettra d'établir un examen complet de l'état de santé des sols en Afrique et proposera des solutions pour réajuster les stratégies déployées afin de stimuler la productivité des sols , pour des rendements plus élevés et plus durables, au service du citoyen africain. Prennent part également à cet événement des représentants d'organisations d'agriculteurs et d'agences de développement, des ONG, des universitaires et experts, ainsi que des représentations des principales organisations donatrices.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Dakhla: Ouverture du premier forum international sur le Sahara marocain || subtitle : La 1ére édition du forum international sur le Sahara marocain s'est ouverte, mercredi à Dakhla, avec la participation d'une pléiade d'universitaires et de chercheurs. En marge de cette rencontre, trois conventions de coopération ont été signées entre le Centre "Rayonnement" pour les études géopolitiques et stratégiques, l'ENCG de Dakhla, le Centre nigérian des études arabes et le Centre de recherche et des études régionales et internationales au Tchad. || body : Initié par l' Institut universitaire d'études africaines, euro-méditerranéennes et ibéro-américaines , relevant de l' Université Mohammed V de Rabat et le Centre "Rayonnement" pour les études géopolitiques et stratégiques, ce forum s'est tenu sous le thème "Le Sahara marocain : un patrimoine civilisationnel et espace d'intégration dans la zone afro-atlantique , conformément à la Vision royale clairvoyante". Sahara : La Sierra Leone réitère son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc La République de la Sierra Leone a exprimé, mardi à Rabat, son plein soutien à l'intégrité territoriale du Royaume, tout en considérant l'Initiative marocaine d'autonomie comme la seule solution "crédible, sérieuse et réaliste" au différend autour du Sahara. Organisé en partenariat avec l' Ecole nationale de commerce et de gestion (ENCG) de Dakhla et le Conseil de la région Dakhla-Oued Eddahab , ce forum vise à amorcer un débat académique et à engager une analyse prospective sur les enjeux géo-économiques qui se dessinent dans ce nouvel espace géopolitique, dans lequel les provinces du Sud constitueront des plateformes économiques qui auront des retombées positives à l’échelle régionale et continentale. S'exprimant à cette occasion, le directeur par intérim de l'Institut universitaire d'études africaines, euro-méditerranéennes et ibéro-américaines relevant de l'Université Mohammed V de Rabat, Mohamed Dhafer Kettani , a indiqué que ce forum constitue une opportunité pour les participants, tant experts qu'universitaires, de débattre des moyens de soutenir et de renforcer les fondements du développement durable au Sahara marocain, par le biais de trois axes principaux. Le premier axe aborde le rôle vital que le Sahara marocain peut jouer dans la composition de l' espace afro-atlantique et du Sahel , de par sa position stratégique, qui en fait un hub pour les projets de développement économique et d'infrastructures visant à renforcer la coopération économique et l' intégration régionale , a-t-il expliqué. Le second axe concerne les enjeux géo-économiques des projets de développement au Sahara marocain dans le cadre de l'espace afro-atlantique, portant sur le renforcement des infrastructures, le développement des énergies renouvelables , l' agriculture intelligente et durable , la culture sous serre et le tourisme durable . Quant au troisième axe, a poursuivi M. Kettani, il porte sur les enjeux géopolitiques de l'espace atlantique et du Sahel sur fond de risques sécuritaires multiformes, tels que la migration , la sécurité transfrontalière , le terrorisme et l' extrémisme violent, ainsi que les conflits internes ou régionaux, où la coopération s’avère nécessaire pour parvenir à des solutions pacifiques et promouvoir le dialogue et la compréhension entre les différentes parties prenantes. De son côté, le président du Conseil de la région Dakhla-Oued Eddahab , El Khattat Yanja , a souligné que ce forum vise à mettre en avant la vision de S.M. le Roi Mohammed VI , en faveur du développement dans les provinces du Sud du Royaume en particulier, et du continent africain en général, notamment les pays d'Afrique subsaharienne et les pays du Sahel . Pour sa part, le président du Centre "Rayonnement" pour les études géopolitiques et stratégiques, Mohamed El Kihel , a relevé que cette rencontre vise à mettre en exergue l'Initiative Royale "audacieuse" et "proactive" pour l’Atlantique, aux dimensions économique, géopolitique et stratégique, soulignant que cette initiative a redonné à la région son rôle historique, étant donné que le Sahara marocain a toujours été un déterminant fondamental qui constitue la profondeur stratégique du Royaume. M.El Kihel a expliqué que le rôle joué par le Maroc dans son espace afro-atlantique ne date pas d'aujourd'hui, mais repose plutôt sur des composantes civilisationnelles, culturelles, religieuses et spirituelles, ainsi que sur des fondements économiques, étant donné que le Maroc, sous le sage leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, est un pays pionnier en matière de coopération Sud-Sud . Pour sa part, le directeur du Centre nigérian des études arabes , Lakhdar Abdoulbaki Mohamed , a indiqué que la tenue de ce forum constitue une opportunité pour débattre des défis auxquels sont confrontés les pays d' Afrique subsaharienne . Il a également souligné que la politique africaine du Maroc est une "politique intégrée" qui inclut les aspects de coopération économique, religieuse et culturelle de chaque pays africain avec le Royaume, conformément à la Vision clairvoyante et sage de S.M. le Roi Mohammed VI. M. Abdelbaki Mohamed a aussi salué l'Initiative pour l'Atlantique, lancée par le Maroc sous la leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, partant du fait qu'elle s’inscrit dans la vision royale de la coopération Sud-Sud, notant que cette initiative permettra aux pays africains d’exploiter de manière optimale les ressources et capacités dont ils disposent. De même, il a fait savoir que le Maroc est un acteur engagé pour la promotion de la paix et de la stabilité dans la région, saluant le rôle que joue le Maroc dans la lutte contre le terrorisme dans les pays africains, en faveur de la promotion de l' Islam modéré , à travers l' Institut Mohammed VI de formation des Imams Morchidines et Morchidates et la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains . Au programme du forum figurent une série de thématiques axées notamment sur "Le Sahara marocain, un déterminant fondamental dans la formation de l'espace afro-atlantique et du Sahel", "Les enjeux géo-économiques des projets de développement au Sahara marocain et à l'espace atlantique et du Sahel", "Les enjeux géopolitiques de l'espace atlantique du Sahel face aux risques sécuritaires" et "Les relations du Maroc avec les pays du Sahel". En marge de cette rencontre, trois conventions de coopération ont été signées entre le Centre "Rayonnement" pour les études géopolitiques et stratégiques , l' ENCG de Dakhla , le Centre nigérian des études arabes et le Centre de recherche et des études régionales et internationales au Tchad .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-France : signature d'une feuille de route de partenariat dans les secteurs agricole et forestier au SIAM 2024 || subtitle : Le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohammed Sadiki, et le ministre français de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, Marc Fesneau, ont signé, lundi à Meknès, une feuille de route pour le développement de la coopération et du partenariat dans les domaines agricole et forestier. || body : Une nouvelle feuille de route fixe les axes prioritaires de coopération entre le Maroc et la France dans les domaines agricole et forestier. Signé en marge de la 16ème édition du Salon International de l'Agriculture au Maroc (SIAM) , organisée sous le Haut Patronage de S.M. le Roi Mohammed VI , sous le thème "Climat et agriculture : Pour des systèmes de production durables et résilients", cet accord vise également à renforcer la coopération Maroc-France dans ces domaines et d'en faire un levier pour atteindre un développement durable mutuellement bénéfique qui favorise l'émergence de coopérations politiques, sectorielles, économiques, techniques, technologiques, pédagogiques et scientifiques concrètes. S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan préside à Meknès l'ouverture de la 16ème édition du SIAM Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, lundi à Mechouar Stinia-Sahrij Souani à Meknès, la cérémonie d'ouverture de la 16ème édition du Salon International de l'Agriculture au Maroc (SIAM), organisée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, du 22 au 28 avril, sous le thème "Climat et agriculture : Pour des systèmes de production durables et résilients". Il s'agit également de contribuer à atteindre les objectifs communs de sécurité et de souveraineté alimentaires, et de gestion durable des ressources naturelles (eau, sols, forêts et biodiversité). Ladite feuille de route met aussi en exergue le rôle central joué par l'agriculture, le secteur forestier et l'agroalimentaire dans l'économie, la société et le développement durable des territoires marocains et français, ainsi que le potentiel que recèle la transition vers des systèmes agricoles, forestiers durables et résilients face au changement climatique en termes d'investissement, de création d'emplois, de croissance économique, de commerce, de stabilité et de développement humain équitable, durable et inclusif. S'exprimant à cette occasion, Mohammed Sadiki a rappelé l'importance du SIAM , lequel est devenu un événement qui rythme l'agenda agricole au Maroc et offre une plateforme très importante au développement du secteur. Il a, dans ce sens, mis l'accent sur la pertinence de cette rencontre avec son homologue français, qui se veut une occasion de mettre en lumière les projets accomplis conjointement par les deux pays, soulignant la place qu'occupe la valorisation des ressources humaines et de la recherche, notamment en matière du changement climatique. Et de préciser qu'il est nécessaire d'encourager la recherche et l'innovation pour faire face à la diminution des ressources en eau et à la hausse de la demande conjuguée à la croissance démographique. De son côté, Marc Fesneau a mis en avant l'importance de la feuille de route, passant en revue ses principaux axes. Il a, à cet effet, fait savoir que la feuille de route couvre principalement la réciprocité et le partage d'expériences pour accélérer la transition agricole et forestière, la politique de l'élevage, le suivi des marchés céréaliers, la gestion des arbres et forêts et le renforcement de la formation et de la recherche. Mohammed Sadiki fait le point sur la campagne agricole et la situation de l'eau Dans le contexte actuel des changements climatiques et des enjeux de sécurité alimentaire, la tutelle adopte de nouveaux mécanismes, avec un suivi continu et régulier de l’avancement de la campagne agricole. Ce qui permettra de prendre les mesures et les dispositions complémentaires nécessaires en temps utile. Le détail avec Mohammed Sadiki, Ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts. A l'issue de cette rencontre, les deux ministres ont co-présidé la cérémonie de signature de plusieurs conventions entre les professionnels marocains et français. La première convention-cadre de partenariat a été conclue entre la Fédération Nationale Interprofessionnelle des Semences et Plants (FNIS) pour la partie marocaine et l' interprofession agricole des semences et plants (SEMAE) pour la partie française. L'objectif étant de décrire le cadre de la collaboration entre la FNIS et SEMAE en faveur de l'accompagnement des développements de la filière semences et plants marocaine. La deuxième convention-cadre a été signée entre la Fédération Interprofessionnelle des Activités Céréalières (FIAC) et Intercéréales France , avec pour but d'accompagner la FIAC, dès l'origine de ses projets de développement, d'aider à leur mise en place et d'apporter son concours pour les phases de réflexion, de création et de suivi. La troisième convention-cadre a été conclue entre la Fédération interprofessionnelle de la filière lait (Maroc lait) pour la partie marocaine et l' Association nationale interprofessionnelle du bétail et des viandes (INTERBEV) pour la partie française. L'objectif étant d'offrir un cadre de collaboration entre Maroc lait et INTERBEV en faveur de l'accompagnement du développement de la production laitière marocaine. Un protocole d'accord a également été conclu entre l' Association Nationale Ovine et Caprine (ANOC) , Races Ovines des Massifs Sélection (ROM Sélection) et la Chambre Régionale d'Agriculture d’Auvergne Rhône Alpes . Ce protocole d'accord vise à consolider et à développer une coopération professionnelle ovine/caprine entre le Maroc et Auvergne-Rhône-Alpes (France). La durabilité et la résilience au cœur de la 16e édition du SIAM Du 22 au 28 avril 2024, la ville de Meknès vibrera au rythme du Salon international de l’Agriculture. Ayant pour thématique «Climat et Agriculture : pour des systèmes de production durables et résilients», cette 16e édition promet plein de nouveautés. La durabilité et l’innovation étant au cœur des préoccupations. Un autre protocole d'accord a été signé dans le cadre du projet de création d’un centre technique régional pour le développement de la production d'oléagineux au Maroc. Ce projet, qui bénéficie à la Fédération Interprofessionnelle des Oléagineux (FOLEA) , a pour objectif de renforcer les capacités techniques et organisationnelles des acteurs de l'amont de la filière via la mise en place d'un centre technique régional. Il s'inscrit dans une démarche constructive et collaborative entre les parties pour le développement durable de la filière oléagineuse marocaine. De leur côté, l' Institut National d'Enseignement Supérieur pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (France) et l' École Nationale d'Agriculture de Meknès (Maroc) ont signé un accord-cadre de coopération interuniversitaire. Cet accord a pour but de promouvoir une coopération dans les domaines de la recherche et de l'enseignement entre les deux institutions, de renforcer les partenariats scientifiques, de favoriser les mobilités d'enseignants chercheurs, personnels et étudiants, ainsi que de développer les programmes d’échanges et de recherche sur une base de réciprocité et d'intérêt mutuel. En outre, un accord-cadre de coopération a été conclu entre l' Institut agronomique et vétérinaire Hassan II et l' Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE) pour promouvoir le progrès mutuel des connaissances, de la science et du développement social et économique. Une lettre d'intention a également été signée entre l' Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) et l' INRAE qui fait état de la volonté des deux institutions d'associer leurs efforts et expertises en vue de mettre en place un Laboratoire International Associé (LIA) portant sur la valorisation de la biomasse et des déchets organiques et micro-algues pour la production d'énergie, d'aliments pour animaux et de fertilisants/biostimulants. Enfin, dans la poursuite de son partenariat avec l' Agence française de développement (AFD) , le Crédit Agricole au Maroc a signé deux conventions de crédit pour le renforcement de la durabilité et de la résilience de l'agriculture face au changement climatique en vue d'assurer une meilleure sécurité alimentaire. Le programme, qui s’élève à 70 millions d’euros en prêt et 2,1 millions d’euros en assistance technique, permettra principalement de financer des investissements dans les exploitations agricoles, notamment pour un usage plus efficace de l’eau en agriculture, l’agroécologie et la diffusion d’espèces et variétés résilientes au changement climatique. De plus, il permettra de poursuivre le programme Istidama , en soutien aux innovations en zone rurale, ayant pour objectif les économies d’énergie et la production d’énergies renouvelables, le développement de l’agriculture biologique et la valorisation des déchets.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Les significations de la participation du Maroc à la cérémonie d’investiture du nouveau Président du Sénégal || subtitle : Le Maroc et le Sénégal sont unis par des liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération. La cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal a été une occasion renouvelée de témoigner de ce partenariat exceptionnel et multidimensionnel entre Rabat et Dakar, puisque Sa Majesté le Roi Mohammed Vi a été le seul Chef d’État, en dehors des leaders de la sous-région, à avoir reçu une invitation pour y prendre part. || body : En dehors des leaders de la sous-région, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a été le seul Chef d’État à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal , Bassirou Diomaye Faye , où le Souverain a été représenté par le Chef du gouvernement. Cette invitation rappelle une fois de plus la profondeur des liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération qui unissent le Maroc et le Sénégal, et démontre également la profondeur du partenariat exceptionnel et multidimensionnel qui existe entre le Royaume du Maroc et la République du Sénégal dans les domaines politique, économique, culturel, social et spirituel. Maroc-Sénégal : une relation qui n’est plus à prouver Pour le professeur d’études stratégiques au Collège de Défense nationale des Émirats arabes unis, Mohamed Badine El Yattioui , la relation entre le Maroc et le Sénégal n’est plus à prouver. C’est une relation fraternelle qui traverse les années, les décennies et même les siècles et qui prouve une véritable fraternité entre les peuples, mais également entre les dirigeants. L’invitation adressée par le nouveau Président sénégalais à S.M. le Roi Mohammed VI pour assister à sa cérémonie d’investiture à Dakar en est une preuve supplémentaire. «Le Souverain est le seul Chef d’État en dehors de la sous-région à avoir reçu une invitation à participer à la cérémonie d’investiture, ce qui est un symbole fort, compte tenu de l’ancienneté des relations religieuses, historiques et culturelles entre les deux pays, et bien sûr d’une relation diplomatique très forte», souligne M. Badine El Yattioui. Akhannouch représente S.M. le Roi à la cérémonie d'investiture du président du Sénégal En dehors des leaders de la sous-région, S.M. le Roi est le seul Chef d’Etat à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal, où le Souverain est représenté par le Chef de gouvernement. «On se souvient du discours de Sa Majesté à Dakar pour célébrer la Marche Verte en 2016. On sait aussi que Sa Majesté a effectué de nombreux voyages en Afrique, notamment au Sénégal, où Il s’est rendu huit fois en visite officielle en bientôt 25 ans, rappelle le professeur d’études stratégiques. Voilà donc un symbole fort et le témoignage d’une relation unique, guidée par la fraternité, l’amitié, une confiance mutuelle avec des projets concrets tant sur les plans religieux et culturels, que sur le plan économique et un véritable partenariat et un échange constant entre les populations, avec une communauté sénégalaise qui vit au Maroc depuis longtemps et une communauté marocaine qui réside au Sénégal aussi depuis très longtemps, dit M. Badine El Yattioui. Cela prouve aussi, d’un point de vue diplomatique, le leadership de Sa Majesté le Roi qui a cette capacité à fédérer différents espaces, que ce soit la coopération avec le monde arabe et les relations personnelles qui existent entre Sa Majesté et de nombreux Chefs d’États arabes ou, comme le prouve cet exemple là, avec les Chefs d’États africains, notamment de l’Afrique de l’Ouest, qui ont des relations historiques profondes avec le Maroc et qui attestent justement la profondeur historique du Royaume qui remonte à plusieurs siècles, ajoute le professeur d’études stratégiques. Et de faire remarquer qu’au-delà de la conjoncture actuelle et quelles que soient les tendances politiques qui se sont succédé au Sénégal, que ce soit avec Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall, ou maintenant Bassirou Diomaye Faye, qui sont de sensibilités politiques différentes, il y a toujours cette continuité dans les relations maroco-sénégalaises, ce qui illustre une fois de plus à quel point les liens indéfectibles de fraternité, de solidarité et de considération qui unissent les deux pays sont immuables. Le nouveau Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye reçoit la délégation marocaine Le nouveau Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye a reçu la délégation marocaine, conduite par le Chef du gouvernement, qui représente Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la cérémonie de son investiture. Un acte diplomatique qui revêt une importance géopolitique majeure et symbolise une alliance stratégique Le professeur à l’Université Mohammed V de Rabat et ancien économiste chez Bank Al-Maghrib, Dr Talal Cherkaoui, souligne, de son côté, que le fait que S.M. le Roi Mohammed VI soit le seul Chef d’État, en dehors de la sous-région, à avoir reçu une invitation pour prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu sénégalais, M. Bassirou Diomaye Faye, est un événement marquant qui témoigne de la profondeur et de la solidité des relations bilatérales entre le Maroc et le Sénégal. «Cet acte diplomatique, loin d’être anodin, revêt une importance géopolitique majeure et symbolise une alliance stratégique dans un contexte régional et continental en pleine mutation», affirme Dr Talal Cherkaoui. Premièrement, indique-t-il, «cet événement met en lumière la singularité des relations Maroc-Sénégal, qui transcendent la simple proximité géographique pour embrasser des dimensions politique, économique, culturelle et maintenant stratégique». Le fait que Sa Majesté le Roi Mohammed VI soit le seul Chef d’État hors sous-région invité reflète non seulement la reconnaissance du rôle central que joue le Maroc en Afrique, mais aussi la consolidation d’une alliance Sud-Sud. Cette alliance se manifeste à travers des projets de coopération ambitieux, notamment dans les domaines des technologies vertes, de l’entrepreneuriat numérique et du développement durable, dit le professeur. Deuxièmement, poursuit-il, la présence marquée du Maroc à cette investiture souligne la volonté du Royaume de participer activement à la stabilité et au développement du continent africain. En témoigne la délégation de haut niveau représentant Sa Majesté le Roi, conduite par M. Akhannouch, qui a porté les aspirations du Maroc à Dakar. Cette démarche s’inscrit dans une stratégie marocaine visant à renforcer les liens avec les pays du Sahel, le Sénégal jouant ici un rôle pivot, et à faciliter leur accès à l’océan Atlantique, favorisant ainsi une connectivité régionale accrue. Troisièmement, observe Dr Talal Cherkaoui, la dynamique de coopération Maroc-Sénégal pourrait être un modèle de la coopération Sud-Sud, promouvant une vision partagée du développement et de la solidarité panafricaine. L’engagement des deux nations dans des forums bilatéraux et des projets conjoints est une manifestation concrète de leur volonté de dépasser les défis communs, notamment en matière de développement économique et social. Enfin, conclut-il, sur le plan géopolitique, l’événement s’inscrit dans un contexte où l’Afrique cherche à redéfinir son positionnement sur l’échiquier international, avec des enjeux de coopération régionale et de sécurité. Comme l’a indiqué Hassan Naciri, ambassadeur de Sa Majesté le Roi au Sénégal, la délégation a eu de longs entretiens avec le Président élu, M. Diomaye Faye. Au cours de ces échanges, la délégation a transmis à M. Diomaye Faye les salutations fraternelles et les félicitations les plus chaleureuses de Sa Majesté le Roi, tout en l’assurant du soutien et de la pleine disposition du Souverain à collaborer avec lui sur toutes les questions d’intérêt commun. «Ainsi, l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, à l’investiture du Président sénégalais est un témoignage éloquent de l’amitié indéfectible entre le Maroc et le Sénégal. Elle incarne également une vision stratégique du Maroc envers l’Afrique, axée sur la coopération, le développement partagé et la solidarité. Cet événement marque non seulement un jalon important dans les relations bilatérales entre les deux pays, mais ouvre également la voie à de nouvelles dynamiques de coopération régionale, essentielles pour l’avenir du continent», souligne Dr Talal Cherkaoui. Abdullatif Aidara, directeur général du Centre africain d’intelligence stratégique «CisPaix» : L’invitation de S.M. le Roi à l'investiture du Président Diomaye Faye traduit l'excellence des relations entre le Sénégal et le Maroc L’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI à prendre part à la cérémonie d’investiture du Président élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, traduit l'excellence des relations séculaires et multidimensionnelles entre le Maroc et le Sénégal, a affirmé l’expert sénégalais Abdullatif Aidara, directeur général du Centre africain d’intelligence stratégique «CisPaix», basé à Dakar. Rabat et Dakar entretiennent des relations solides et très anciennes, qui sont appelées à se consolider davantage avec le nouveau président sénégalais, a indiqué M. Aidara dans une déclaration à la MAP. «La solidité des relations entre le Maroc et le Sénégal est ancrée dans la culture et la tradition des deux pays», a-t-il dit. Massamba Gueye, expert dans les relations entre le Maroc et l’Afrique : L’invitation de S.M. le Roi témoigne de la solidité des liens de fraternité Sénégal-Maroc L’invitation de S.M. le Roi Mohammed VI à la cérémonie d’investiture du président élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, témoigne de la solidité des liens séculaires de fraternité qui unissent le Sénégal et le Maroc, a souligné le chercheur sénégalais Massamba Gueye. Cette invitation témoigne de la forte collaboration et de la solidité des relations d’amitié et de fraternité entre le Sénégal et le Maroc, lesquelles sont inscrites dans la durabilité, a dit M. Gueye, expert dans les relations entre le Maroc et l’Afrique, dans une déclaration à la MAP. Les solides liens culturels, économiques, politiques, mais surtout spirituels entre Dakar et Rabat «transcendent les époques, les gouvernements et les hommes». Le Royaume du Maroc est un havre spirituel de référence pour le Sénégal et l’Afrique de l’Ouest et une puissance économique qui met tout en œuvre pour partager avec le reste de l’Afrique ses opportunités de développement, a-t-il dit.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La Chambre des conseillers ouvre vendredi la deuxième session de l'année législative 2023-2024 || subtitle : La Chambre des conseillers tiendra une séance plénière, vendredi prochain, consacrée à l’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024. || body : La Chambre des représentants ouvre vendredi la 2ème session de l’année législative 2023-2024 La Chambre des représentants tiendra une séance plénière, vendredi prochain, consacrée à l’ouverture de la deuxième session de l’année législative 2023-2024 et à l’élection du président de la Chambre pour le reste de la législature (2021-2026). Cette séance, qui se tiendra en vertu des dispositions de l’article 65 de la Constitution, débutera à 11h00, indique un communiqué de la Chambre des conseillers .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Banjul : Ouverture de l'Ambassade du Maroc en Gambie || subtitle : L'Ambassade du Royaume du Maroc à Banjul, en Gambie, a été ouverte officiellement vendredi en présence du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et de son homologue gambien, Mamadou Tangara. || body : La cérémonie d'inauguration de l' Ambassade du Maroc en Gambie s'est déroulée en présence également de responsables gambiens, de représentants du corps diplomatique et de consuls de pays européens et africains accrédités à Banjul, de membres de la délégation marocaine participant aux travaux du 15ème sommet de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) , de membres de la communauté marocaine établie en Gambie , ainsi que du chargé d'affaires de l'ambassade du Royaume du Maroc dans ce pays, Ahmed Belhaj . Bourita reçoit son homologue gambien, porteur d’un message à S.M. le Roi Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a reçu, lundi à Rabat, le ministre gambien des Affaires étrangères et de la Coopération, Mamadou Tangara, porteur d’un message écrit à Sa Majesté le Roi Mohammed VI du président de la République de Gambie, M. Adama Barrow. L'inauguration de la représentation diplomatique du Royaume du Maroc à Banjul a eu lieu en marge des travaux de la 15ème Conférence du sommet islamique, qui s'ouvre, samedi au Centre international de conférences " Dauda Kairaba Diawara ", en présence des dirigeants et chefs de gouvernement des pays de l’Organisation. A noter que les relations entre le Maroc et la Gambie ont connu un fort développement grâce aux liens existant entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président Adama Barrow . Dans une déclaration à la presse à cette occasion, le chef de la diplomatie gambienne s'est dit heureux d'assister, en compagnie de son homologue marocain, à l'inauguration de l'Ambassade du Maroc , soulignant que l'ouverture de cette représentation diplomatique permettra aux Gambiens de mieux connaître le Royaume. Le ministre a rappelé que la Gambie a été le premier pays à ouvrir un consulat général à Dakhla , se félicitant des excellentes relations existant entre les deux pays.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nouvelle grève nationale dans les collectivités territoriales || subtitle : Les collectivités territoriales sont de nouveau paralysées par une grève nationale prolongée jusqu'à jeudi. la coordination syndicale des fonctionnaires des collectivités territoriales reproche au ministère de tutelle de ne pas reprendre le dialogue social "de manière méthodique". || body : Les représentants des fonctionnaires des collectivités territoriales et de la gestion déléguée, affiliés à l’Union marocaine du travail (UMT), à la Confédération démocratique du travail (CDT), à l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) et à la Fédération démocratique du travail (FDT), ont appelé à poursuivre le mouvement de protestation jusqu'au jeudi 4 avril. Les collectivités territoriales paralysées par une grève de trois jours à partir de mardi Le secteur des collectivités territoriales connaîtra une grève nationale de trois jours à partir de mardi. Ce nouveau débrayage organisé par la coordination syndicale des fonctionnaires des collectivités territoriales, composée de quatre formations syndicales, vise à attirer l’attention sur les revendications des fonctionnaires du secteur et inciter le ministère de l’Intérieur à reprendre le dialogue social suspendu depuis plus de trois années. Réunis en coordination, ces syndicats revendiquent un règlement de tous les dossiers en suspens. Il s'agit de l'augmentation générale des salaires des fonctionnaires d’au moins 2.000 dirhams nets par mois. Ils exigent également «l’intégration de tous les titulaires de diplômes non inclus dans les échelons appropriés du secteur, avec effet rétroactif administratif et financier, à l’instar de leurs collègues dont la situation est régularisée dans d’autres départements ministériels, dans le cadre du respect du principe d’égalité». Le règlement du statut des secrétaires administratifs diplômés des centres de formation administrative figure également parmi les revendications de ces syndicats, en plus de la révision périodique des salaires et l’élaboration d’un nouveau statut pour les fonctionnaires des collectivités territoriales.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Ouverture du 18ème congrès du Parti de l'Istiqlal à Bouznika || subtitle : Les travaux du 18ème Congrès du Parti de l'Istiqlal (PI) se sont ouverts vendredi soir au Complexe Moulay Rachid de la Jeunesse et de l'Enfance de Bouznika, avec la participation de 3.600 congressistes des différentes régions du Royaume. || body : L'ouverture du congrès du Parti de l'Istiqlal , qui s’étale sur trois jours à Bouznika sous le signe "Renouveler le pacte pour la patrie et le citoyen ", a été marquée par la présence du Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch et des présidents de la Chambre des représentants et de la Chambre des conseillers , en plus de nombre de ministres , de secrétaires généraux , de dirigeants de partis politiques et de centrales syndicales , d’ ambassadeurs de pays étrangers et de personnalités de divers horizons. L'Istiqlal tiendra son 18ème congrès national du 26 au 28 avril Le Conseil national du Parti de l'Istiqlal, réuni ce samedi 2 mars à Bouznika, a décidé de la date de la tenue du 18ème congrès national, prévu du 26 au 28 avril. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le secrétaire général du PI, Nizar Baraka , a appelé à faire de ce congrès un nouveau tournant dans la marche du parti, pour renforcer son unité, sa cohésion, son immunité organisationnelle et pour resserrer les rangs, notant que le but ultime est de consacrer le leadership voulu sur la scène politique et partisane nationale. M. Baraka a souligné que le choix du slogan du congrès vient exprimer l'attachement indéfectible du Parti de l'Istiqlal aux constantes de la Nation et à ses sacralités, ainsi que son attachement à la monarchie constitutionnelle nationale et citoyenne , comme il marque "le renouvellement permanent du pacte porté par la première génération des pionniers du mouvement national et de l’indépendance pour la défense des intérêts supérieurs de notre pays, de sa souveraineté nationale et de son intégrité territoriale ". En pleine mise en œuvre du nouveau modèle de développement adopté par le Maroc , a-t-il ajouté, la cause nationale connait un changement stratégique dans l'approche comme dans les résultats, pour une dynamique soutenue grâce à une vision royale sage et éclairée, donnant lieu à des succès et réalisations engrangés par la diplomatie officielle, parlementaire, partisane, populaire et économique. Lesquels succès sont confortés par l’efficacité du modèle de développement adopté par notre pays dans les provinces du sud , et qui a réalisé plus de 80% des engagements, a poursuivi le SG du parti. Il a relevé que ces réalisations ont eu "un impact positif sur la question de notre intégrité territoriale", en ce qu’elles ont "élargi la base de convictions chez la communauté internationale quant à la légitimité et à la justesse de notre cause nationale et à la viabilité de la proposition d'autonomie sous souveraineté marocaine , en tant que solution réaliste, sérieuse et crédible, à même de garantir la stabilité, la sécurité et la prospérité dans la région". Cela, a noté M. Baraka, a été matérialisé à plusieurs reprises dans les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU , ouvrant grande la porte pour la reconnaissance de la marocanité du Sahara par nombre de pays influents. Dans ce contexte, M. Baraka a insisté sur la nécessité d'une implication pleine et positive de toutes les parties, à leur tête l' Algérie , dans le dialogue politique sur la base des tables rondes , et d’interagir avec les différents efforts onusiens dans un esprit de réalisme et de consensus, pour faire avancer le processus de règlement et parvenir à une solution politique réaliste, pratique et durable, basée sur le compromis, qui réside essentiellement dans le plan marocain d'autonomie sous souveraineté nationale, telle que saluée par le Conseil de sécurité dans ses différentes résolutions. Les manœuvres des adversaires de notre intégrité territoriale, leurs provocations et leurs allégations tendancieuses ont atteint leurs termes et sont devenues vaines, a-t-il dit, soulignant que la fabrication de crises et de complots fomentés contre notre intégrité territoriale est désormais dévoilée et ne dupe plus personne. Par ailleurs, le secrétaire général du Parti de l'Istiqlal a affirmé la nécessité d'insuffler une nouvelle dynamique à l'action et aux institutions politiques en vue de répondre aux attentes et aux aspirations des citoyennes et citoyens. Il a, à cet égard, appelé les partis à s'unir pour élaborer une charte nationale destinée à moraliser l’exercice de la politique et à saisir les signaux royaux contenus dans le message royal adressé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI aux participants au Symposium commémorant le 60ème anniversaire de la constitution du premier Parlement élu au Maroc . Après avoir rappelé les réformes et grands chantiers du gouvernement, notamment dans les domaines économique et social , M. Baraka a exprimé "sa fierté du programme de réformes du gouvernement basé sur les programmes électoraux des partis de la majorité, qui ont démontré une grande conscience des défis politiques, économiques et sociaux et des enjeux placés dans la mise en œuvre de réformes à même de répondre aux besoins et aux attentes des citoyens, hommes et femmes, et d’améliorer leur vie au quotidien et leur garantir la dignité". Figure à l’ordre du jour de la première journée du congrès national l’examen des rapports moral et financier du parti, leur adoption, l’élection du président du congrès , ainsi que l’adoption des travaux des commissions et des documents du congrès. La deuxième journée sera marquée par l’élection du Secrétaire général du parti de l’Istiqlal , celle des membres du comité exécutif et des autres instances du parti.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Nabila Mounib : la femme marocaine a besoin de l’Etat social plus que de la réforme de la Moudawana || subtitle : Un gouvernement doit travailler à éradiquer l’analphabétisme et à trouver du travail pour les femmes et les hommes aussi. Et un gouvernement doit faire tout pour évoluer vers ce qu’il a annoncé. C’est l’avis de l’ancienne secrétaire générale du Parti socialiste unifié, Nabila Mounib, qui estime que les femmes ont besoin de plus que de la réforme de la Moudawana, bien que cette réforme soit importante. || body : Lorsqu’il s’agit d’aborder la question de la condition féminine, Nabila Mounib est convaincue qu’il y a tout un tas de dossiers à traiter, et pas seulement la Moudawana , dont la réforme reste importante. «Un gouvernement doit travailler à éradiquer l’ analphabétisme et à trouver du travail aussi bien pour les femmes que les hommes. Et un gouvernement doit faire tout pour évoluer vers ce qu’il a annoncé. Le gouvernement a déclaré qu’il allait mettre en place l’État social. Où est-ce qu’il est cet État social ?» a-t-elle dit. Aux yeux de cette ancienne secrétaire générale du PSU, «la femme a besoin de plus que de la réforme de la Moudawana, encore que nous voulions bien cette réforme». Aujourd’hui, souligne-t-elle, «il y a une très forte déperdition scolaire. L’analphabétisme des femmes avoisine les 47%. Le taux d’emploi des femmes est inférieur à 20%. Elles sont 8 sur 10, entre 15 et 75 ans, à avoir été victimes de violence». Donc «il y a une problématique plurielle à laquelle il faut s’attaquer et aujourd’hui, ce n’est pas parce qu’il y a ce chantier (de la réforme du Code de la famille) qui a été initié par le Souverain, qu’on va s’y tenir seulement», a affirmé Mme Mounib. Code de la famille : un champ de bataille entre partis progressistes et conservateurs Alors que le délai accordé à l’Instance chargée de formuler des propositions de réforme du Code de la famille tire à sa fin, le débat autour de la future Moudawana n’en finit pas de déchaîner les passions. Ne partageant pas la même conception de la réforme, partis conservateurs et progressistes sont à couteaux tirés. C’est le cas notamment du Parti de la justice et du développement (PJD) et du tandem constitué de son allié d’hier, le Parti du progrès et du socialisme (PPS), et l’Union socialiste des forces populaires (USFP). Les déclarations et les communiqués échangés des deux côtés ne font pas dans la dentelle. «Avec un mineur, il n’y a jamais de consentement» Sur la question du mariage des mineurs , Nabila Mounib trouve qu’il faut aller vers l’interdiction définitive. Et quand on lui demande s’il faut autoriser les relations hors mariage impliquant des mineurs, l’ancienne SG du PSU soutient qu’il faut les interdire, parce qu’il y a des adultes qui abusent des mineurs, ce qui constitue un crime de pédophilie , qui est puni par la loi, et qu’il faut interdire ces relations, même entre mineurs, parce qu’avec un mineur, on ne peut pas parler de consentement. «Les relations sexuelles entre mineurs doivent être punies. D’ailleurs, les relations sexuelles, ce n’est pas ce qu’on enseigne aujourd’hui dans les écoles en Occident à des enfants de trois ans. Je pense que ce sont des sociétés dépravées et que ce n’est pas comme ça que ça marche», dit-elle. Pour Mme Mounib, «il faut protéger les enfants, leur donner la possibilité d’avoir une vie cohérente et respectable en les encourageant à aller à l’école, à suivre une formation, etc.». Tout doit être encadré, insiste-t-elle, «car même les psychologues vous disent que s’il n’y a pas de lignes rouges, il n’y a rien». «Le politique doit rimer avec l’éthique» Loin de la Moudawana, et sur la question de l’éthique en politique, notamment à la lumière des récentes affaires impliquant des hommes politiques ou des partis politiques pour leur gestion des deniers publics, Nabila Mounib répond que la politique doit rimer avec l’éthique et l’intérêt général. Malheureusement, remarque-t-elle, «le dicton selon lequel faire de la politique, c’est servir et non se servir, s’est transformé en son contraire, en ce sens que certains pensent que faire de la politique, c’est d’abord se servir et utiliser les institutions de l’État pour accumuler des richesses, tant que l’impunité est la règle». Et l’ancienne SG de se demander si l’État a tout mis en œuvre, pas seulement en modifiant la loi sur les partis politiques ou le Code électoral, pour aller dans le sens de cette éthique. «Quand vous donnez des subventions aux syndicats et que vous leur dites que la Cour des comptes ne va pas examiner vos comptes, qu’est-ce que cela veut dire ? Quand vous donnez 5 millions de dirhams à un parti politique pour faire de la recherche, alors que cette recherche scientifique doit se faire dans les universités qui sont privées de cet argent, comment l’expliquez-vous ?», s’interroge-t-elle, estimant ensuite que cela revient à parler de «rente pure et dure».</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Enseignants suspendus : un nouveau mouvement de protestation annoncé || subtitle : Le secteur de l'enseignement se dirige-t-il vers un nouveau blocage ? La Coordination nationale du secteur de l’enseignement, la Coordination unifiée du corps enseignant et des cadres de soutien, la Coordination du secondaire qualifiant et la Fédération nationale de l'enseignement ont annoncé un nouveau mouvement de protestation à partir de cette semaine. Une grève nationale est programmée lundi 22 avril 2024. || body : A l'approche de la Fête du travail , célébrée le 1er mai, les tensions montent de nouveau dans le secteur de l'enseignement . Un mouvement de protestation est lancé à l'initiative de la Coordination unifiée du corps enseignant et des cadres de soutien, la Coordination du secondaire qualifiant et la Fédération nationale de l'enseignement. Elles appellent à l'organisation toute la semaine du 16 avril de sit-in et manifestations pour le règlement définitif du dossier des enseignants suspendus et l'application de tous les accords signés entre le ministère de tutelle et les syndicats du secteur. Le spectre des grèves plane à nouveau sur les écoles publiques Le scénario d’un retour à la grève est à nouveau redouté dans le secteur de l’enseignement public. La principale raison invoquée concerne cette fois-ci une augmentation des salaires du corps enseignant du primaire et du secondaire collégial à trancher dans le cadre du dialogue social central. Explications. Une grève nationale est programmée lundi 22 avril 2024, date à laquelle un sit-in ouvert à tous les enseignants suspendus sera organisé à Rabat. Pour rappel, le ministère de l’Education nationale n’a pas encore promulgué le décret relatif à la création des commissions administratives censées superviser les conseils de discipline au niveau des différentes régions du Royaume pour statuer sur le sort des 540 cadres en arrêt temporaire de travail. Ces mouvements sont également motivés par d'autres revendications notamment le dossier des retraites et la loi sur la grève actuellement en discussion dans le cadre du dialogue social.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Figaro souligne la "singularité" de la réforme de la protection sociale au Maroc || subtitle : Le quotidien français "Le Figaro" a souligné, jeudi, la "singularité" de la réforme de la protection sociale au Maroc au niveau de l'Afrique. || body : "La réforme marocaine est surtout singulière à l’échelle du continent africain, où moins de 15% de la population est couverte par un système de protection sociale ", relève "Le Figaro" dans un article mis en ligne, qualifiant cette réforme de "tournant social majeur pour le Maroc". Généralisation de la protection sociale : pourquoi il est essentiel de communiquer avec les jeunes Il faut renforcer la communication avec les jeunes autour de la généralisation de la protection sociale au Maroc. Telle est la recommandation clé qui ressort de la conférence «Gagner la confiance de la jeunesse marocaine face aux défis du futur du travail et de la protection sociale». L’événement a été organisée en marge de la journée d’études qui a eu lieu le 7 mars dernier à l’ESCA école de management. La rencontre a réuni une panoplie d’experts venus pour échanger et débattre autour de l’avenir de la protection sociale au Maroc. "Le Royaume accélère le déploiement de sa réforme de protection sociale universelle, avec une échéance fixée à 2025", note la publication sous le titre "Au Maroc, une réforme historique de la protection sociale", rappelant que la réorganisation de ce système "devrait changer la vie de millions de ménages et améliorer l’indice de développement humain du pays". Lancé officiellement en 2021, le programme de cette réforme serait parmi "le plus ambitieux" en cours dans les pays à revenu intermédiaire à l’échelle mondiale, note le journal, qui cite la Banque mondiale , précisant que ce programme repose sur la mise en place progressive de plusieurs piliers. Le premier axe, déployé à partir de 2022, porte sur l’assurance-maladie obligatoire . Ce régime, financé par les cotisations, a été étendu à 22 millions de bénéficiaires supplémentaires et vient compléter le programme Ramed, détaille la publication. Concernant les allocations familiales dont les premiers versements sont intervenus fin décembre, les aides prévues prennent le relais de la Caisse de compensation, poursuit Le Figaro , faisant observer que l’idée est de verser un revenu direct mensuel selon le nombre d’enfants. Au total, ce chantier colossal, comprenant la couverture médicale et l’aide sociale directe , devrait nécessiter un budget de 40 milliards de dirhams (3,6 milliards d’euros) d’ici à 2026 et sur les trois prochaines années, l’État va contribuer à hauteur de 20 milliards de dirhams, note le journal. "Si cette réforme est jugée historique, c’est aussi par les outils utilisés", soutient, en outre, le journal, ajoutant que l’instrument clé est le Registre social unifié (RSU) qui sert de point unique d’enregistrement pour les demandeurs de programmes sociaux. Selon Le Figaro, "cette plateforme numérique sur laquelle on peut s’inscrire à partir d’un simple smartphone permet d’identifier et d’évaluer la situation des ménages pour fixer leur éligibilité", indiquant que le système biométrique de l’application permet de limiter la fraude".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Akhannouch présente le bilan de mi-mandat du gouvernement mercredi au Parlement || subtitle : Le Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, présentera le bilan de mi-mandat de l'Exécutif mercredi prochain devant les parlementaires. || body : Les Chambres des représentants et des conseillers tiennent, mercredi prochain, une séance plénière conjointe pour la présentation du bilan d’étape de l’ action gouvernementale . Rachid Talbi Alami réélu président de la Chambre des représentants Rachid Talbi Alami du Rassemblement National des Indépendants (RNI) a été réélu vendredi à la tête de la Chambre des représentants avec 264 voix contre 23 pour le candidat du Parti Justice et Développement (PJD), Abdellah Bouanou. Un communiqué conjoint des deux Chambres indique que cette séance, qui se tient conformément aux dispositions de l’article 101 de la Constitution, est prévue à partir de 17 h, dans la Grande salle des séances de la Chambre des représentants .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Le Maroc dénonce vigoureusement l'incursion par certains extrémistes dans l'esplanade de la Mosquée Al-Aqsa (ministère) || subtitle : Le Royaume du Maroc, dont le Souverain S.M. le Roi Mohammed VI, préside le Comité Al Qods, relevant de l'Organisation de la Coopération Islamique, a vigoureusement dénoncé l'incursion par certains extrémistes et leurs partisans dans l'esplanade de la Sainte Mosquée Al-Aqsa, ainsi que les actes de provocation qu'ils ont commis en violation de sa sacralité. || body : Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, le Royaume du Maroc affirme son rejet de toutes les mesures portant atteinte au statut juridique et historique de la ville d'Al Qods et à ses lieux sacrés, y compris la Sainte Mosquée Al-Aqsa , et de toutes les restrictions à l'accès des fidèles à son enceinte, mettant l’accent sur la nécessité d'en préserver le cachet civilisationnel et islamique et d'éviter toute forme d'escalade et de provocation. Gaza : Le Maroc condamne la prise pour cible de civils qui attendaient de recevoir des aides humanitaires Le Royaume du Maroc, dont le Souverain, S.M. le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, préside le Comité Al Qods, condamne et dénonce vigoureusement la prise pour cible, par les forces israéliennes, de civils palestiniens qui attendaient de recevoir des aides humanitaires au niveau de l’avenue Al-Rashid, au nord de la Bande de Gaza, faisant des dizaines de morts et des centaines de blessés, a affirmé, dimanche à Riyad, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. Le Royaume du Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi , Président du Comité Al Qods , réaffirme que l'instauration d'une paix juste et globale et la consécration de la stabilité durable dans la région demeurent tributaires de l'établissement d'un Etat palestinien indépendant sur les frontières de juin 1967 avec Al Qods-Est comme Capitale, conformément aux résolutions de la légalité internationale et dans le cadre de la solution à deux Etats.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Pluies au Maroc : Hausse de 9% des précipitations par rapport à 2023 || subtitle : Le volume de pluviométrie a atteint 224 millimètres jusqu'en avril, affichant une hausse de 9% par rapport à l'année précédente, a indiqué, mardi, le ministre de l'Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural, et des eaux et forêts, Mohamed Sadiki. || body : En réponse à une question orale à la Chambre des conseillers , M. Sadiki a souligné que bien que ce chiffre reste inférieur de 27% par rapport à une année agricole normale, soit la moyenne des 30 dernières années, le total des réserves des barrages utilisées dans l'agriculture s'élève actuellement à 31%, contre 32% l'année dernière, soit environ 4,3 milliards de mètres cubes (m³). Le ministre a affirmé que cette situation s'est répercutée sur la part d'eau allouée aux grands périmètres irrigués, qui ne dépasse pas 680 millions de m³ pour la saison agricole en cours, dont 300 millions de m³ ont été utilisés depuis le début de l'année, précisant que la surface irrigable dans ces grands périmètres ne dépasse pas 400.000 hectares (ha) sur un total de 800.000 ha, marquant ainsi une réduction de 44%. Sadiki rassure sur la campagne agricole et Aïd Al Adha Le ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural, et des Eaux et Forêts, Mohammed Sadiki, a présenté mardi devant les conseillers une analyse de l'impact des dernières pluies sur la campagne agricole. Il a également rassuré sur l'évolution des préparatifs pour Aïd Al Adha cette année. Concernant l'état des cultures à ce jour, il a relevé que la superficie emblavée en cultures d'automne et d'hiver, notamment les céréales d'automne, s'élève à environ 2,5 millions d'ha, contre 4 millions d'ha lors des campagnes normales, soit une baisse significative de 31%, ajoutant que les récentes précipitations dans certaines régions du Royaume pourraient améliorer la situation des céréales. Et de poursuivre que les surfaces des cultures fourragères s'élèvent à 470.000 ha, celles des légumineuses alimentaires à 109.000 ha et celles des cultures sucrières à 22.000 hectares, soit 42% de moins que prévu, en raison de l'indisponibilité de l'irrigation dans les régions de Doukkala et Tadla. S'agissant des surfaces irriguées et emblavées en légumes d'automne et d'hiver, elles ont atteint 90.000 ha, ce qui représente 90% du programme prévu, dont 57.000 ha sont dédiés aux légumes d'hiver, permettant de répondre aux besoins du marché national jusqu'en juin prochain, selon le ministre. Pour les cultures de printemps qui ont bénéficié des dernières précipitations, la superficie totale a atteint 112.000 ha, soit plus de 70% du programme établi, trois semaines avant la fin du programme, et la production prévue devrait satisfaire les besoins du marché national pendant la saison estivale. D'un autre côté, M. Sadiki a souligné que la subvention des prix a atteint un niveau sans précédent, notamment en ce qui concerne les semences, les engrais et les aliments pour animaux, afin de réduire les coûts de production, conformément aux Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI visant à atténuer les effets du déficit hydrique sur l'activité agricole, ajoutant que ce soutien se poursuivra dans les mois à venir. Pour la première fois au Maroc, un soutien financier de 2,2 milliards de dirhams a été accordé aux engrais azotés, tous importés, avec la distribution de 1,3 million de quintaux de ces engrais, notamment dans les zones irriguées ou celles ayant connu les récentes précipitations, et la distribution 672.000 quintaux de semences subventionnées à hauteur de 50 à 70% du prix d'achat, a-t-il fait savoir. Et de noter que cela a permis de réduire les coûts de production et les prix pour les consommateurs, avec environ 18.000 producteurs ayant bénéficié de ces aides d'une valeur totale de 140 millions de dirhams jusqu'à présent.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Salaires, droit de grève, retraites... le dialogue social à un tournant décisif || subtitle : C’est parti pour un nouveau round de dialogue social entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Une nouvelle série de négociations s’est ouverte, mardi, avec la participation des centrales syndicales les plus représentatives et les départements ministériels chargés de mener le dialogue. Entamées par des réunions thématiques, ces sessions abordent des sujets vitaux tels que les augmentations salariales, la loi organique sur le droit de grève et la réforme des retraites. Ces discussions visent à concilier les intérêts divergents dans un contexte marqué par des revendications historiques des syndicats. Avec des propositions gouvernementales sur la table et des syndicats armés de demandes fermes, le climat social est à un tournant décisif. || body : À la veille de l’Aïd, un nouveau cycle de dialogue social a été lancé, durant lequel les acteurs clés du gouvernement et des syndicats se sont retrouvés autour de la même table pour aborder des dossiers brûlants. De l’augmentation des salaires à la réglementation tant attendue du droit de grève, en passant par des débats houleux sur la réforme des retraites, chaque thème promet d’être un champ de bataille pour les droits des travailleurs. Avec des syndicats qui ne lâchent rien et un gouvernement prêt à renégocier les termes de l’engagement social, le terrain est miné pour des discussions qui pourraient définir le climat social et économique des jours à venir. Salaires, grèves et retraites sur la table : découvrez les coulisses des négociations tendues du dialogue social. Quatre ministres pour mener le dialogue Les négociations s’ouvrent sur un nouveau cycle de dialogue social, initié par les sessions des diverses commissions thématiques. Ces discussions portent sur plusieurs sujets via différentes commissions, notamment celles dédiées aux augmentations salariales, à l’amélioration des revenus, aux législations et à la réforme des pensions de retraite. D’après nos sources, des rencontres préliminaires ont eu lieu avec les départements ministériels concernés pour débattre de ces enjeux avec les syndicats les plus représentatifs. Bilan de mi-mandat, dialogue social... la majorité accorde ses violons C’est la première réunion de la majorité depuis l’arrivée du trio Mansouri-Bensaïd-Aboulghali à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM). Les résultats semblent plutôt prometteurs. En effet, les trois composantes de la majorité ont accordé leurs violons pour jouer la même partition cette fois. Se félicitant du bilan à mi-mandat de l’Exécutif, bilan qui fera l’objet d’un exposé devant le Parlement, les chefs de file de la majorité ont annoncé la poursuite de leur coordination au sein des collectivités territoriales. S’agissant du perchoir de la première Chambre, et sur lequel le PAM avait des vues, Il sera finalement gardé par le Rniste Rachid Talbi Alami jusqu’à la fin de cette législature. Ces réunions ont débuté le mardi 9 avril, d’abord avec l’Union marocaine du travail (UMT), suivie par l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM). Ont participé à cette rencontre Nadia Fettah, ministre de l’Économie et des finances, Fouzi Lekjaâ, ministre délégué chargé du Budget, Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, ainsi que Ghita Mezzour, ministre délégué chargée de la Transition numérique et de la réforme de l’administration. Une réunion analogue est prévue le lundi 15 avril 2024 avec la Confédération démocratique du travail (CDT). Les augmentations salariales en débat S’exprimant à propos des points abordés lors de ces premières rencontres du dialogue social entre les départements ministériels et les syndicats, Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’UMT, a mis en lumière l’importance des thématiques abordées. L’ordre du jour de cette première rencontre comprenait principalement des discussions sur l’augmentation des salaires et du salaire minimum (SMIG). En plus de ces questions, les débats ont également porté sur la réduction de l’impôt sur le revenu. À cet égard, le secrétaire général a rappelé les exigences de son syndicat : une hausse salariale de 2.000 dirhams et une diminution de «l’impôt sur les salaires» via une nouvelle grille et des seuils de calcul plus avantageux pour les travailleurs. Pendant cette session, le gouvernement, représenté par Fouzi Lekjaâ, devait présenter ses propositions en matière de politique salariale... Droit de grève, entre avancées et critiques Le deuxième thème principal abordé lors de ces discussions concernait le cadre législatif longtemps attendu : la loi organique sur le droit de grève, comme stipulé par la Constitution de 2011 et les Constitutions antérieures. Younes Sekkouri, ministre de l’Emploi, a élaboré une nouvelle offre législative pour remplacer l’ancienne version élaborée par les précédents gouvernements sous la direction du Parti de la justice et du développement (PJD). Ce projet initial, vivement critiqué par l’UMT, a été décrit par Miloudi Moukharik, secrétaire général du syndicat, comme un «code pénal encadrant un droit constitutionnel». «L’ancien projet a été écarté et un nouveau projet a été développé par le ministère dirigé par Younes Sekkouri», a-t-il affirmé. Le responsable syndical, dont la centrale est connue pour avoir résisté à plusieurs propositions de ce cadre législatif depuis le gouvernement de Abderrahmane El Youssoufi, a souligné : «Nous ne sommes pas contre une loi équilibrée qui garantit à la fois le droit de grève, le droit au travail et les intérêts des salariés». Réforme des retraites : un chantier litigieux Lors de ces rencontres en commissions de dialogue social, un autre point critique a été abordé : la réforme des retraites. Nadia Fettah, la ministre de l’Économie et des finances, a présenté la nouvelle orientation du gouvernement à ce sujet. L’UMT, par la voix de son secrétaire général, Miloudi Moukharik, maintient fermement son opposition, résumée par les «trois non» : le refus de porter l’âge de la retraite obligatoire à 65 ans, l’opposition à la réduction des pensions résultant d’un nouveau mode de calcul et le rejet de l’utilisation inappropriée des fonds des cotisations. M. Moukharik a vivement critiqué ce qu’il considère comme une mauvaise gestion des caisses de retraite, qui finissent par revenir vers les employés pour demander des contributions supplémentaires. Il a également évoqué les investissements infructueux dans la Banque nationale pour le développement économique (BNDE) et le complexe FADESA, qu’il qualifie de véritables échecs, pour illustrer ses propos sur la mauvaise gestion des fonds de retraite.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Mondial 2030 : le gouvernement prépare une feuille de route intégrée || subtitle : Les préparatifs pour l’organisation du Mondial 2030 s'accélèrent. Les départements ministériels concernés se sont réunis ce jeudi au ministère de l’Intérieur en vue de la mise en place d’un système unifié d’action commune et d’une feuille de route intégrée. || body : Une réunion élargie a été tenue, jeudi au siège du ministère de l’Intérieur , dans le cadre des préparatifs pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 , conformément à la Vision et la Volonté Royales porteuses d’une forte ambition d'assurer une grande réussite de cette manifestation internationale. Mondial 2030 : le Maroc, l’Espagne et le Portugal veulent en mettre plein les yeux au monde Les contours du dossier de candidature conjoint pour l’organisation de la Coupe du monde 2030 ont été dévoilés mardi lors d’une cérémonie organisée à Lisbonne. En plus de l’identité visuelle et du slogan «Yalla Vamos 2030», le Maroc, l’Espagne et le Portugal se sont engagés à organiser la meilleure Coupe du monde de l’histoire et qui aura un impact intemporel. Ont pris part à cette réunion, le ministre de l’Intérieur, le ministre de l’Equipement et de l’Eau, le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, la ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la ville, la ministre du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Économie Sociale et Solidaire, le ministre du Transport et de la Logistique et le ministre délégué chargé du Budget. Cette réunion s’est déroulée également en présence des walis et présidents des conseils des régions concernées par l’organisation des matchs de la Coupe du monde , ainsi que des présidents et représentants des conseils communaux relevant de ces régions. Un communiqué du ministère de l’Intérieur indique que cette réunion a été consacrée à la coordination entre l’ensemble des départements ministériels concernés, à la mise en place d’un système unifié d’action commune et à la mise en œuvre d’une feuille de route intégrée , basée sur la l'exécution idoine des engagements, la convergence des initiatives et interventions et l’harmonisation de leur programmation, dans le cadre de la complémentarité des rôles des différentes parties prenantes, de sorte à garantir les conditions et les moyens nécessaires permettant au Royaume de réussir le pari de la co-organisation avec l’ Espagne et le Portugal de cet événement sportif planétaire. Cette réunion de coordination a été l’occasion pour l’ensemble des intervenants de réitérer leur détermination à intensifier les efforts sectoriels et à mobiliser l'ensemble des capacités et moyens, ainsi que de présenter des initiatives efficientes, conformément à une vision globale ayant pour objectif de concevoir une offre organisationnelle innovante répondant, dans tous ses aspects, à l’ambition Royale d’aller de l’avant pour une organisation distinguée de cet événement mondial, et pour renforcer le rayonnement du Maroc en tant que partenaire sûr pour l'accueil d’événements internationaux et consolider la place de choix qu'occupe le Royaume parmi les grandes nations. Elle a constitué aussi une opportunité pour réaffirmer l’engagement du Royaume à œuvrer, en parfaite complémentarité, avec les instances en charge de ce dossier dans les pays hôtes (Maroc-Espagne-Portugal), pour faire du Mondial 2030 un événement exceptionnel et une étape marquante dans l'organisation d’événements sportifs, à même de consolider les aspects civilisationnels, culturels et humains unissant les trois pays, conclut le communiqué.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : La Belgique "fière" de coopérer avec le Maroc (Premier ministre belge) || subtitle : La Belgique est "fière" de coopérer avec le Maroc, qui offre des perspectives de développement "énormes", a indiqué, mardi à Casablanca, le Premier ministre belge, Alexander De Croo. || body : S'exprimant lors de la rencontre économique Maroc-Belgique , tenue dans le cadre de la 3è réunion de la Haute commission mixte de partenariat , le Premier ministre belge a mis en lumière "l'énorme potentiel de coopération entre les deux pays qui expriment un intérêt mutuel croissant", comme en témoigne l’intensité des échanges entre les responsables marocains et belges lors de cette visite au Maroc. Investissement, énergies ... : Le détail de la Déclaration Conjointe adoptée par le Maroc et la Belgique La 3ème réunion de la Haute Commission Mixte de Partenariat entre le Maroc et la Belgique s'est tenue à Rabat, le 15 avril 2024, sous la coprésidence du Chef du Gouvernement, Aziz Akhannouch, et du Premier Ministre, Alexander De Croo. Les travaux de cette réunion ont été sanctionnés par la signature de deux mémorandums d'entente sur la modernisation de l'Administration judiciaire et l'énergie verte ainsi qu'une feuille de route relative aux actions menées dans le cadre du dialogue politique. En termes de potentiel de coopération , Alexander De Croo a évoqué l'importance d’une coopération multidimensionnelle , notamment culturelle, académique et économique, insistant sur les relations d’amitié liant le Maroc et la Belgique . À ce titre, le responsable a estimé que les défis communs entre le Maroc et la Belgique peuvent être relevés à deux conditions : premièrement, travailler ensemble et, deuxièmement, passer à la vitesse supérieure de la coopération en faveur de plus de croissance, d'innovation et d'investissements. "La visite au Maroc est le début de quelque chose de très prometteur et de très beau (...) Ensemble, nous sommes forts. Je suis très optimiste quant à l’avenir de la coopération entre les deux pays", a-t-il conclu. Pour sa part, la Présidente du Comité de direction du SPF Affaires étrangères , Théodora Gentzis , a affirmé que "la Belgique considère le Maroc comme étant bien plus qu’un partenaire économique". "Le Maroc et la Belgique sont liés par des liens humains innombrables et des relations politiques fortes dans le cadre d’un partenariat multidimensionnelle que nous souhaitons renforcer davantage", a dit Mme. Gentzis dans son allocution. Toutefois, elle a estimé que "le potentiel économique entre les deux pays n’est pas encore pleinement acquis", plaidant pour une coopération renforcée avec le Maroc en réponse aux défis communs. Par ailleurs, la responsable s’est dite "impressionnée par le développement que connait le Royaume, notamment au niveau des infrastructures, dans le cadre des réformes et projets menés sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI ".</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Aziz Akhannouch reçoit le directeur général de la FAO || subtitle : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a reçu, jeudi 18 avril 2024 à Rabat, Qu Dongyu, Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), qui effectue une visite au Maroc dans le cadre de la tenue, du 18 au 20 avril à Rabat, de la 33ème conférence régionale de la FAO pour l’Afrique. || body : Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch a souligné l’intérêt particulier que le Maroc accorde, sous la conduite éclairée de S.M. Le Roi Mohammed VI, au secteur de l’agriculture et au monde rural, en vue de réaliser un développement intégré et de créer de la valeur ajoutée, à travers des stratégies successives basées sur la restructuration de l’agriculture, l’amélioration de la productivité, le placement de l’investissement au cœur de l’équation agricole et la promotion du capital humain . 33ème conférence de la FAO pour l’Afrique: les Ambassadeurs des pays représentés en conclave au Maroc Le Ministre de l’Agriculture, Mohammed Sadiki, accompagné du Représentant de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) au Maroc et du représentant du ministère des Affaires Etrangères, a présidé le mardi 02 avril 2024 à Rabat, une réunion avec les Ambassadeurs des pays africains représentés au Maroc, dans le cadre des préparatifs de la 33ème conférence régionale de la FAO pour l’Afrique (ARC33) qui sera accueillie par le Maroc du 18 au 20 avril 2024. De son côté, le directeur général de la FAO a salué l’expérience marocaine en matière d’agriculture et d’ industrie de la transformation alimentaire , considérant que les stratégies adoptées par le Maroc au cours des vingt dernières années sous la conduite éclairée de S.M. Le Roi, peuvent constituer un exemple à suivre pour les différents pays africains. Il a assuré que la FAO entend développer son partenariat avec le Royaume du Maroc de manière profitable aux autres pays africains. Les deux parties ont, en outre, passé en revue les mécanismes de renforcement du partenariat stratégique permanent entre le Maroc et la FAO, qui gère dans le Royaume un portefeuille estimé à quelque 22 millions de dollars dans les domaines notamment de la permaculture et du développement rural , ainsi qu’en matière d’interventions urgentes. Les deux parties ont également mis en exergue l’accompagnement technique offert par la FAO, et qui a évolué de manière notable, de la mise en œuvre sur le terrain de projets répondant à des besoins ponctuels, vers un partenariat stratégique basé sur une approche de programmation. Ces entretiens ont été l’occasion de mettre l’accent sur l’importance la conférence régionale de la FAO pour l’Afrique , pour laquelle le gouvernement a mobilisé toutes les conditions de réussite, afin d’en faire une opportunité d’échange de bonnes pratiques, de prospection de partenariats et d’examen de solutions innovantes autour des systèmes d’agriculture et d’alimentation</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Maroc-Bahreïn : Nasser Bourita reçoit Abdullatif Bin Rashid Al Zayani || subtitle : Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, a reçu mardi à Rabat, le ministre des Affaires étrangères du Royaume de Bahreïn, Abdullatif Bin Rashid Al Zayani. || body : Cette visite, qui s'inscrit dans le cadre des relations fraternelles entre S.M. le Roi Mohammed VI et son frère S.M. Hamad Ben Issa Al Khalifa , Souverain de Bahreïn , vient réaffirmer les liens distingués unissant les deux pays et marqués du sceau de la solidarité agissante et soutenue, de la coordination constante et de la concertation continue. Le Maroc rejoint l'Initiative de partenariat industriel intégré avec 4 pays arabes Le Royaume du Maroc a rejoint l'Initiative de partenariat industriel intégré, à l'occasion de la quatrième réunion du «Haut comité du partenariat industriel intégré pour le développement économique durable», tenue jeudi à Manama, capitale du Bahreïn, avec la participation du ministre de l'Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour. Elle intervient également dans le cadre des préparatifs du 33è Sommet arabe prévu du 14 au 16 mai au Royaume de Bahreïn .</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Grève des étudiants en médecine : appel à l’unité pour résoudre la crise || subtitle : Le Syndicat indépendant des médecins du secteur public a brisé le silence en exprimant sa solidarité avec les étudiants des Facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire, en grève depuis plusieurs semaines. Le syndicat a appelé les départements concernés à agir de manière raisonnable et sage pour trouver rapidement des solutions aux problèmes en suspens. || body : La grève des étudiants en médecine continue de susciter de vives réactions. Après l’intervention rapide des partis de l’opposition, appelant à un dialogue urgent pour éviter une année blanche, c’est au tour du Syndicat indépendant des médecins du secteur public de prendre position. Dans un communiqué récent, le syndicat a exprimé sa solidarité avec les étudiants en lutte, tout en appelant les départements concernés à faire preuve de bon sens et de sagesse pour résoudre rapidement les problèmes en suspens. Grève des étudiants en médecine : comment éviter le pire ? Quelle sera l’issue de la grève des étudiants en médecine et pharmacie ? Pourquoi le dialogue est-il rompu ? Va-t-on vers une année blanche ? Comment les étudiants gèrent-ils ces perturbations ? Toutes ces questions resteront posées tant que le dossier des étudiants en médecine et pharmacie ne sera pas réglé. Si du côté de l’Exécutif la décision est prise pour ne pas faire marche arrière, les étudiants persistent et semblent déterminés à aller jusqu’au bout. Mais à quel prix ? Le syndicat a demandé au gouvernement de ne pas se laisser influencer par des considérations politiques et a souligné l’importance d’adopter une approche sérieuse pour répondre aux besoins fondamentaux des citoyens en matière de système de santé efficace. Il a appelé les professionnels du secteur public à former un front national de la santé pour protéger leur statut professionnel et leurs droits, considérant cette lutte comme une priorité compte tenu de la gravité de la situation actuelle. Le président du Syndicat, Alaoui Montadar, est resté injoignable malgré les tentatives du journal «Le Matin» de le contacter pour obtenir plus de détails. Cette nouvelle vague de solidarité pourrait encourager les étudiants à poursuivre leur mouvement de protestation, notamment après une rencontre avec des représentants de l’opposition. En effet, ils avaient été reçus par la parlementaire Fatima-Zahra Tamni, membre de la Fédération de gauche démocratique. S’agissant des autres partis de l’opposition, ces derniers étaient unanimes à condamner l’approche adoptée par le gouvernement pour la gestion de ce dossier. Ainsi, le Parti du Mouvement populaire (MP) et celui de la justice et du développement (PJD) avaient déjà adressé une correspondance au président de la Commission de l’éducation, de la culture et de la communication appelant à la tenue d’une réunion urgente en présence des deux ministres de tutelle, à savoir celui de l’Enseignement supérieur et celui de la Santé, en vue d’examiner la situation et de proposer des solutions pour sauver l’année universitaire. Pour leur part, le Parti du progrès et du socialisme (PPS) et l’Union socialiste des forces populaires (USFP) ont exprimé, lors de la réunion de leurs bureaux politiques, leur inquiétude de la montée de la tension dans les Facultés de médecine et de pharmacie, appelant le gouvernement à lancer un dialogue sérieux et immédiat afin de surmonter le climat de tension en identifiant des solutions urgentes à cette crise qui risque de compromettre l’année universitaire.</s>
<s>Vous trouverez ci-dessous un article de presse sur nation [INST] Rédiger un article de presse sur le thème nation [/INST] title : Conseil de gouvernement: quatre nouvelles nominations à de hautes fonctions || subtitle : Le Conseil de gouvernement, réuni sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, a approuvé des propositions de nomination à de hautes fonctions. || body : Conseil de gouvernement : cinq nouvelles nominations à de hautes fonctions Le Conseil de gouvernement, réuni jeudi sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, a approuvé des propositions de nomination à de hautes fonctions. Il a été procédé aux nominations suivantes : Au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation : Mohamed Bouaziz , Doyen de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d'Agadir. Au niveau du ministère de l’Inclusion Economique, de la Petite Entreprise, du Travail et des Compétences : Imane Belmaati , Directrice générale de l'Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC). Au niveau du ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Économie Sociale et Solidaire : Hasnaa Zerrouk , Inspectrice générale. Au niveau du ministère de l'Education nationale, du Préscolaire et des Sports : Ikram Bouayad , Directrice du Centre Régional des Métiers de l'Education et de la Formation Rabat-Salé-Kénitra.</s>